Depuis Épicharme, qui le premier fit une action principale des faits répandus dans des scènes détachées, jusqu’au siècle de Périclès, le théâtre fut vraiment une école de vertus, de grandeur et d’héroïsme pour la jeunesse athénienne. […] Entre l’école de civilisation fondée par les Grecs, rétablie et conservée par Corneille, Racine, Molière, et notre nouvelle école, la France eut aussi son Euripide. […] » Nos auteurs en s’écartant d’une route suivie par nos grands maîtres, s’éloignent aussi de l’objet du drame, qui ne doit être qu’une école de civilisation.