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81. (1834) Discours sur les plaisirs populaires « Discours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles » pp. 1-33

Illusion fantastique d’âmes pures et religieuses…. […] Ses prêtres gémissent dans leurs temples déserts ; ils se frappent la poitrine… Rassurez-vous, âmes compatissantes… ils frappent légèrement. […] ne s’agit-il pas avant tout du salut de vos âmes ; abandonnez donc des professions qui le compromettent. […] De toutes amitiés il détache mon âme, Et je verrais mourir frère, enfant, mère et femme, Que je m’en soucierais tout comme de cela …z. » Les sentiments humains, mes frères que voilà ! […] Mais dans ce moment suprême, deux de ces sœurs qui consacrent leur existence tout entière à l’humanité souffrante, ont soutenu son courage par les soins les plus doux, les consolations les plus tendres ; aussi, lorsque son âme s’est séparée de son corps, portée sur les soupirs, les vœux sincères, les prières ferventes de ces deux sœurs, de ces deux anges de charité, aura-t-elle été admise au sein du Dieu de miséricorde !

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