Ne compte-t-on pour rien tant de pensées impures, et tant de mauvais désirs, dont les âmes qui étaient peut-être venues pures au bal, se trouvent toutes salies et noircies lors qu’elles en sortent ? […] Mais il est temps de finir ce traité, et de ne penser plus qu’à gémir, et à prier la bonté toute-puissante de Dieu, de donner à ceux qui sont constitués en dignité et en charge pour régir les peuples, et la lumière pour ordonner les remèdes convenables, afin d’ôter un abus si insupportable, et néanmoins si commun ; et le zèle de la gloire et du salut des âmes, afin d’en bien faire l’application, c’est-à-dire, avec grâce et avec fruit.