Dans la dernière Sophonisbe w qui a paru sur le Théâtre, on n’est point touché du malheur de Syphax, parce que ce Prince hasarde sa réputation, son Etat, et sa vie pour plaire à sa femme, dont il est amoureux ; on est fort touché au contraire du malheur de Sophonisbe, qui ne meurt que parce qu’elle aime la gloire, et qu’elle ne veut pas survivre à la perte de sa liberté.