« De quelle utilité ne doit pas être pour l’Etat un établissement de Congrégations qui tous les jours de fête, qu’on sait être pour la multitude des jours de dissolution, ôte deux ou trois heures à la passion, et occupe à la prière, à de pieuses lectures, à de bonnes œuvres, un temps qu’elle perdrait peut-être dans l’ivresse, les querelles, la débauche, les théâtres ?