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1 (1707) Réflexions chrétiennes « Réfléxions chrétiennes, sur divers sujets. Où il est Traité. I. De la Sécurité. II. Du bien et du mal qu’il y a dans l’empressement avec lequel on recherche les Consolations. III. De l’usage que nous devons faire de notre temps. IV. Du bon et mauvais usage des Conversations. Par JEAN LA PLACETTE, Pasteur de l’Eglise de Copenhague. A AMSTERDAM, Chez PIERRE BRUNEL, Marchand. Libraire sur le Dam, à la Bible d’Or. M DCCVII — Chapitre XII. Du temps que l’on perd à la Comedie, et aux autres spectacles de même nature. » pp. 269-279
, mais par la plus pure lumiere de la verité, qui n’est nulle part si vive que dans la parole de Dieu. Par consequent fortif
C’est que plus les passions reviennent souvent, plus elles se rendent vives et indomptables. Ces mouvemens fortuits, et produ
st pas tout. Les actes qui viennent des habitudes sont tousjours plus vifs , plus forts, et plus vehemens, que les autres. C’
re n’emporte pas autant de temps, et ne fait pas une impression aussi vive et aussi profonde que la representation ; Mais on
2 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V bis. Le caractère de la plus grande partie des spectateurs force les auteurs dramatiques à composer licencieusement, et les acteurs à y conformer leur jeu. » pp. 76-85
sions dans leurs pièces ; mais ils y mettent encore des passions fort vives et violentes ; car les affections communes ne peu
ou moins à la représentation, si on se sent plus fortement ému par le vif intérêt que l’on prend à l’action ; si on se sent
effet, le spectacle perdrait son agrément, s’il n’était un assemblage vif et séduisant de tout ce qui peut plaire, s’il ne
l’admiration des spectateurs et insinuent dans leur cœur une passion vive et ardente, qui y fait des progrès d’autant plus
3 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IX. Du Dialogue. » pp. 320-335
ages doivent plutôt agir que parler. Il faut que les répliques soient vives & courtes ; qu’elles soient bien liées ensemb
ussi à couvert dans ses différentes parties. Il a soin d’être concis, vif & serré. Ses Dialogues sont d’une clarté, d’u
le est une de celles de l’Opéra-Bouffon dont le Dialogue soit le plus vif , & qui contienne moins de mots répétés. Si l’
er que les Auteurs des Drames en tout genre eussent un Dialogue aussi vif , aussi serré.
4 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seconde Lettre. De madame Des Tianges, À sa Sœur. » pp. 21-24
s terreurs paniques ?… En vérité, je plains beaucoup les imaginations vives & les cœurs tendres avec excès. Ne montres-tu
tout est médiocre ou mauvais… Le goût de ton mari n’en est pas moins vif … Qui l’attirerait ?… Peut-être cherche-t-il à ran
5 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IV. Suite des effets des Passions. » pp. 84-107
des jours fixés pour faire régulièrement le service. La joie la plus vive s'y déploie par toute sorte de ris, de chants et
pleins d'onction, accompagnés de la musique la plus brillante, tantôt vive et légère, tantôt grave et majestueuse, tantôt tr
nourrissent, ceux qui n'en ont pas les y allument. Les cœurs les plus vifs , les plus sensibles, qui s'enflamment plus viveme
à longs traits dans leur coupe ? Leurs plaisirs sont peut-être moins vifs et moins séduisants, leur matière n'est pas si gé
froide, engourdie, distraite ; celle de l'Auteur, communément belle, vive , cultivée, a formé ce tableau vivant, et en anime
é ! La mémoire trop fidèle, le cœur trop sensible, l'imagination trop vive , les objets trop séduisants, et jusqu'aux chimère
scernement, ou plutôt avec empressement, tous les mouvements les plus vifs qu'imagine l'Auteur, qu'exprime l'Acteur, qu'appl
ion ; vous le craignez, c'est votre intérêt. Vous protestez avoir une vive douleur de vous être rendu coupable, et vous fait
6 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Des Duo, Trio & Quatuor. » pp. 329-339
x Amans. On doit le préférer à l’Ariette tendre, parce qu’il est plus vif , & qu’il peut ranimer la Scène lorsqu’elle es
J. Rousseau(71). « Il faut ne placer les Duo que dans des situations vives & touchantes ; n’y mettre qu’un Dialogue cour
ourt, peu phrasé, formé d’interrogations, de réponses, d’èxclamations vives & courtes. Une autre attention est de ne pas
7 (1761) Epître sur les spectacles « Epître sur les spectacles » pp. 3-14
r en est l’objet, le mien me l’a dicté. Quoi ! déjà tout finit, et la vive Camilleh Pour le séjour des Dieux abandonnant l
cher ennemi, tendre objet de ses pleurs, Craindre de décider par ses vives douleurs La Justice d’un Roi qui l’aime, et qui b
u court prendre place au Mercure.  Et toi, qui dans ton jeu, des plus vives couleurs, Nuance, en t’amusant, le tableau de nos
ans ces temps féconds que tout Paris nous vante, Camargoz fut moins vive , et Salé moins brillante ; Ne pense pas, Lany, qu
8 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIV. La comédie considérée dans ses Spectateurs. » pp. 30-33
est Acteur & joue sa propre passion ; & c’est ce qui donne le vif & le piquant au Spectacle ; c’est ce qui y po
leur art, & plus ces passions plairont, plus leur impression sera vive . On les jouera donc sur le Théâtre secret de son
9 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « EXTRAIT DE QUELQUES PENSEES SAINES. Qui se rencontrent dans le livre de J.J. Rousseau contre le Théâtre, ou condamnation de son système par lui-même. » pp. 66-77
 » « IlPages 241. et 242. ne suffit pas que le peuple ait du pain, et vive dans sa condition. Il faut qu’il y vive agréablem
que le peuple ait du pain, et vive dans sa condition. Il faut qu’il y vive agréablement, afin qu’il en remplisse mieux les d
il militaire au sein du plaisir. Tout cela formait une sensation très vive qu’on ne pouvait supporter de sang froid. » « Il
10 (1777) Des Spectacles « Des Spectacles. » pp. 75-92
pectacle n’est plus un amusement vide, et oisif ; c’est un assemblage vif et séduisant de tout ce qui peut plaire, qui ne t
s les acteurs donnent un merveilleux relief, quel progrès une passion vive et ardente, insinuée avec tant d’artifice, ne fai
ur de plaire, et qui sont gagéesb pour exprimer de la manière la plus vive une passion ; des gens qui n’ont d’autre gloire q
vent des sources de réprobation : et tout ce que la passion a de plus vif et de plus empoisonné, tout ce que l’art de tente
11 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. » pp. 297-328
génie qui arrachent des larmes, qui peignent les situations les plus vives , & portent dans l’âme toutes les passions qu’
espèce de Chansonnette. L’Ariette est donc pour le Musicien un chant vif qui sort un peu du naturel. Elle est pour le Poèt
qu’ils lui ont prêté tout ce qui les caractérise. Son stile doit être vif , enjoué, folâtre ; le chant qu’on lui applique do
; une pareille bigarure déplaît. L’oreille qui s’est faite à un chant vif & soutenu par l’harmonie, ne peut sans peine
ncer les mots. Le chant est une image de la parole ; mais il est plus vif , plus passionné que le discours ordinaire ; or su
situations tranquilles que le Poète fournira au Musicien de ces airs vifs , brillans & à prétention. Ce qui précède
12 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Riccoboni. » pp. 4-27
cœur, avec lequel il est naturellement d’intelligence, une impression vive que rend trop durable & l’image de l’objet qu
s’aiment, dont même on n’entend pas les discours, peut faire la plus vive impression. Quel désordre ne causera pas dans l’i
age dit à sa fille ; on y prend au premier coup d’œil l’amour le plus vif , on se l’avoue réciproquement sans honte, les Hér
en est bien critique ; au lieu de réussir, il occasionneroit les plus vives querelles. Peu de Comédiens oseroient l’employer 
, pour l’épouser. On trouve à chaque instant les expressions les plus vives & les plus touchantes ; elles sont l’ame de l
Il n’y aura point de femme dans la troupe qui ne soit mariée & ne vive avec son mari. Au moindre scandale elle sera cong
e ton, le geste & le visage ; tout y fait une sensation bien plus vive . Il est donc encore plus importans de le réformer
13 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
nt on n’entend pas même les discours, est souvent capable de faire de vives impressions sur celui qui les observe ; qu’arrive
hommes et les femmes y prennent au premier coup d’œil l’amour le plus vif l’un pour l’autre : ils se l’avouent réciproqueme
amour filial, de l’amour de la Patrie : voilà des intérêts tendres et vifs , qui seraient nouveaux et très convenables au Thé
14 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. De l’Éducation. » pp. 60-92
, l’égarement de l’âge le plus foible, l’enthousiasme du goût le plus vif , des passions les plus emportées de l’esprit le p
il faut conduire un jeune cœur, dont la concupiscence naissante, mais vive , dont les passions neuves & emportées trouven
illes & les femmes, naturellement plus tendres, plus vaines, plus vives , plus passionnées, plus emportées, plus susceptib
scene tragique ? Il n’y a point de conte de nourrice qui fasse de si vives , de si dangereuses impressions, que la fréquentat
y en a-t-il un bon sur cent mauvais, & avec les couleurs les plus vives , les plus séduisantes, les plus propres à les fai
résentation ; Phedre sur le papier n’excitera pas de tentations aussi vives que la Chammelé sur la scene, parée, fardée, demi
t été mis en comédie. La comédie animée par le dialogue est même plus vive , plus familiere, plus libre, plus hardie que les
faut pas allumer les passions de la jeunesse, elles n’y sont que trop vives , ni représenter même pour les blâmer, les vices q
rose de la vertu ; les plus grands désordres terniroient à peine ses vives couleurs, & n’en priveroient pas l’Iris qui a
15 (1698) Théologie du cœur et de l’esprit « Théologie du cœur et de l’esprit » pp. 252-267
emens grossiers, on n’en ôtera jamais levenin. On y voit toujours une vive representation de l’attache passionnée d’un sexe
idées qui ne sont pas moins dangereuses. Leurs Piéces ne sont que de vives representations de l’orgueil, de l’ambition, de l
s spectacles, quand ils se trouvent offensez, seroient beaucoup moins vifs qu’ils ne le sont : car ce qui les rend violens,
amais dans ces spectacles prophanes : il y faut quelque chose de plus vif , qui se sente d’une fausse grandeur, d’un amour a
16 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
it aisément par ces Vers, que d’un côté la passion Elisabeth est très vive et peu circonspecte, pour ne pas dire quelque cho
ssandre qui craint de se lier avec un homme dont les passions sont si vives , l’ayant détesté comme Amant, le refuse comme mar
roit pour donner un air de bienséance à un amour, qui n’est pas moins vif que tendre. Aussi, malgré tout l’art d’un si gran
ine. On trouve à chaque instant dans Bajazet les expressions les plus vives et les plus touchantes : elles font, pour ainsi d
17 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104
juge bien que je ne garantis pas toutes ces explications. Les danses vives & légères des Vierges peignoient leurs chaste
de tyrans l’accablent, & cherchent à l’asservir ! Poison le plus vif , que la nature souffle, dont il faut arrêter le p
ne la peignit avec tant de feu & des couleurs si douces & si vives . Elle plongeoit les spectateurs dans une espece d
fait un homme universel, un génie sublime, mémoire excellente, esprit vif , conception facile, oreille fine, goût sûr, jugem
on y étoit accoutumé, il falloit réveiller & rendre ce goût plus vif par des nouveautés piquantes. Il choisit la danse
ire adorer le joug qu’on leur impose ! Tel est ce goût si général, si vif , si dominant pour les spectacles, que tout favori
désordre aimable du repas, échauffoit la danse & la tendoit plus vive , plus folle, plus licencieuse. C’est dans ces occ
y peint la volupté, met la passion en action, & y fait naître un vif intérêt, sur-tout lorsqu’adroitement combinée ave
18 (1759) Lettre à M. Gresset pp. 1-16
, dont le style languissant et froid ne saurait être comparé au style vif et enjoué de votre Héros, et dans le ton de la bo
étiens, qu’un génie d’une trempe aussi forte, et un si homme de bien, vive et meure victime des ténébres de l’erreur ! Deman
e et meure victime des ténébres de l’erreur ! Demandons avec les plus vives instances au Dieu de la vérité et à l’Auteur de t
19 (1691) Nouveaux essais de morale « XIV. » pp. 151-158
présentation. Or la représentation fait toujours des impressions plus vives que la lecture, comme le dit ce Poète qui a si bi
ue leur dessein dans la composition des Comédies est de les rendre si vives et si touchantes, que l’imagination soit trompée
20 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE II. De la Danse. » pp. 30-51
ées du côté de la morale. Ce sont des pantomimes, des représentations vives de toutes les vertus. C’est Télémaque fuyant Euch
Bergers. Danses nobles pour les grands ; grossieres, pour le peuple ; vives , légères pour la jeunesse. Danses pour les cieux,
es de beautés, à qui la nature donne des rapports si marqués & si vifs , se prêtent par leur concours un secours mutuel q
s François. La danse d’un sexe est pour l’autre le plaisir le plus vif & la tentation la plus délicate. S’il n’y avo
oit du théatre avec le désespoir & l’excès d’accablement des ames vives & tendres. Cette suite d’agaceries, ces senti
s ames vives & tendres. Cette suite d’agaceries, ces sentimens si vifs , ces prétentions sur le cœur ; voilà ce qu’on app
21 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
squ’elle leur représente leurs défauts, et qu’elle les pique jusqu’au vif  ; ils l’embrassent, lorsqu’elle leur découvre ses
de cette courtisane effrontée. Ce sage et prudent politique, dont les vives lumières perçaient jusques dans l’avenir, n’en a
a raillerie y est le jeu le plus innocent, cependant elle cause de si vifs ressentiments, que les années entières ne suffise
personnes, qui la composent, qui ont la même passion infiniment plus vive et plus ardente, dont le corps est nourri si déli
tin demande, pourquoi un objet si éloigné avait fait sur David une si vive impression. Il répond qu’il ne faut pas avoir tan
essions pour donner un portait au naturel, et pour faire une peinture vive et parlante de ce divertissement, qui est aussi r
22 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des caractères & des Mœurs Tragiques. » pp. 131-152
de la réflexion. La premiere espèce se distingue par une pénétration vive & rapide, qui, sans effort, sans étude, décou
dans le monde. L’on y voit des hommes d’un entretien brillant, léger, vif & même profond, & des esprits solides &am
e chose que le fruit d’un travail heureux, a de tous tems été le plus vif aiguillon qui ait conduit dans la carriere. Mais
23 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VII. Du Père Porée. » pp. 149-177
tations théatrales le sont même davantage, on y goûte un plaisir plus vif  : tout est mort dans la lecture, tout est animé d
-ce des Acteurs, qui par la voix, le geste, les grâces, la figure, la vive expression des passions, s’efforcent de l’emporte
e on leur apprend à la faire naître, à l’entretenir, à la tendre plus vive  ; on leur apprend les mystères de l’amour, le lan
les sens par tout ce que la passion a de plus insinuant & de plus vif . La scène perdroit son agrément sans cet artifice
onneur de plaire, gagés pour peindre la passion de la maniere la plus vive , qui se font une gloire de l’inspirer ; des voix
plus affermie, & l’assemblage de tout ce que la passion a de plus vif , & l’art de plus rafiné, ne sera point un dan
ette dans la plus profonde tristesse, au milieu des plaisirs les plus vifs & les plus séduisans, dans un âge & dans
24 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIII. L’Opéra est le plus dangereux de tous les spectacles. » pp. 111-117
eurs ; que la musique fait entendre les accents des passions les plus vives  ; que la danse retrace aux yeux ou rappelle à l’e
s passions les plus décevantes, en les rendant plus agréables et plus vives par les charmes d’une musique, qui ne demeure si
25 (1753) Compte rendu de Ramire « Compte rendu de Ramire » pp. 842-864
riture & les Peres lui fournissent toujours ses couleurs les plus vives , & ses traits les plus pathétiques : il empru
rivée & le séjour d’une Troupe de Comédiens ! On en trouve ici de vives peintures tracées d’après les plus graves Auteurs
ne suspend d’abord l’activité du feu que pour la rendre bientôt plus vive . Mais enfin, dit-on, les Peres n’ont éclaté avec
26 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « EXTRAIT Du Journal de Trevoux ; Mois d’Avril 1753. Art. XXXIX. » pp. 59-70
riture & les Peres lui fournissent toujours ses couleurs les plus vives , & ses traits les plus pathétiques : il empru
rivée & le séjour d’une Troupe de Comédiens ! On en trouve ici de vives peintures tracées d’après les plus graves Auteurs
ne suspend d’abord l’activité du feu que pour la rendre bientôt plus vive . Mais enfin, dit-on, les Peres n’ont éclaté avec
27 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
rces. Je vois briller dans vos yeux ce feu qui nous annonce un esprit vif & saillant ; ressentez-vous ces élans qui nou
ous les traits que vous tirerez alors d’après elle, seront des traits vifs & animés8. » Ces paroles semblent avoir été f
enchanté de ce qu’il vient d’entendre. Il se livre à la joie la plus vive . Dans son ivresse, il demande du papier, veut écr
28 (1762) Apologie du théâtre adressée à Mlle. Cl… Célébre Actrice de la Comédie Française pp. 3-143
i les rapproche de nous à un certain point. Les touches ont beau être vives  ; elles ne valent point les situations : envain l
ne magie inconcevable à l’ombre substitue le corps, à l’idée seule la vive image ; au portrait pur, l’original. On peut impu
relles. Or peut-on nier que ce ne soit l’affaire de l’émotion la plus vive & la plus profonde. Tout ce que l’Auteur fait
; coupé ; diversifier le geste : être ici imposant & décisif ; là vif & décousu ; s’élever sans enflure, rabattre s
u’elle frappe. L’exemple est plus pressant que les peintures les plus vives  ; & tel prête simplement son esprit à celle-c
ournit-il des pareils avantages ? La nature a-t-elle des leçons aussi vives  ? le Commerce des traits aussi puissants ? les Li
fe & il n’est pas rare de voir finir sa lecture par une affection vive , une contention pénible, peut-être une espèce d’e
tase, une sorte d’enthousiasme. La Lecture en général a un effet trop vif , pour le simple amusement, mais il ne l’est pas a
re cas quelque médité qu’il soit ? Les images n’y sont-elles pas plus vives , les tours plus relevés, les traits plus frappés 
Enfin parce que je suis témoin d’un désordre figuré, que la scéne est vive , sensible & pénétrante ; de bonne-foi peut-on
29 (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386
es agrémens de la vie, il n’est d’autre moyen que de trancher dans le vif , en se privant sur le champ de la dissipation ou
, comment persuadera-t-elle à une jeune personne, de trancher dans le vif , de se priver d’un plaisir qui entraîne ? Mais ce
donner des larmes à ce genre d’infanticide, et sans ressentir la plus vive indignation contre la balourdise cruelle de leurs
is avec cette fermeté que donne la vertu unie à l’attachement le plus vif aux intérêts de la chose publique ; il peut naîtr
de l’esprit de la religion ; je ferois jaillir de la manière la plus vive l’étonnant contraste de l’histrionisme et de l’Ev
par l’écroulement d’un vaste échafaudage ; plus de 600 ont été brûlés vifs à une seule représentation, etc., etc.14. O charm
30 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Fêtes de Théatre. » pp. 169-185
avec celui qu’il venoit de dire ; mais il le déclama d’une maniere si vive , & si naturelle, qu’on le crut du rôle, &
eût fait l’uniforme des gardes ; ils s’en sont plaints amérement, de vive voix, & par écrit ; car il a paru des lettres
é de ce bon Roi, tous les spectateurs, d’une voix unanime, s’écrient, vive le Roi, buvons à sa santé. Le Directeur de la com
on porta de tout côté la santé du Roi avec les acclamations les plus vives , au milieu des cris de joie, & d’applaudissem
31 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IX. Spectacles de la Religion. » pp. 180-195
les rochers amollissant leur sein pour lui fournir des sources d’eau vive , les nuées faisant tomber du ciel un aliment déli
ette, qui bien mieux que l’urne des fleuves versent des sources d’eau vive  ; des nuées lumineuses & fécondes, qui tracen
ps ; ces armées d’étoiles qui du plus haut des cieux brillent d’un si vif éclat ; cette terre avec ses montagnes, suspendue
e du Carmel ; ce courage à faire aux Rois de la part de Dieu les plus vifs reproches, & à leur prédire les plus grands m
32 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « Sonnet à la Seignore Isabelle, sur son voyage à Monceaux »
sans mourir quitté leur douce flamme, Si le Ciel n’eût permis que je vive en deux lieux, Et que gardant le corps, tout ce q
33 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77
entrer naturellement dans l’intrigue d’un genre de Pièce qui était la vive image de ce qui se passait loin des villes. Horac
ns. L’image de la simple Nature ne sçaurait arrêter des esprits aussi vifs , aussi frivoles que les nôtres ; on est contraint
de certains progrès en France. Notre goût déterminé pour le léger, le vif , le badin, & nos mœurs mêmes, nous empêcheron
34 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « II. Point. » pp. 201-218
de soutenir être défendue, qu’en ce qu’elle représente d’une manière vive animée, et pour ainsi dire personnelle, ce que l’
ercher dans la comédie ? Sinon un vain plaisir qui sera d’autant plus vif que la pièce tracera plus fidèlement le portrait
sions qui en produisent de pareilles, à ces larmes arrachées par leur vive image, cette impression contagieuse de nos maladi
35 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Diversités curieuses. » pp. 5-37
uelqu’une venoit à s’oublier, non-seulement elle étoit enterrée toute vive comme les vestales à Rome, & son galant pendu
sont présentée au Monarque Philosophe, parce qu’il aime les couleurs vives & brillantes. Ce sage Prince a laissé dans to
ices sont l’original de ce portrait fidèle, Les Persans ont un esprit vif , un penchant enjoué ; ils aiment la poësie pour l
Mais il est vrai que l’écriture le dit d’une maniere plus noble, plus vive , plus imposante, & bien digne de Dieu. Il y a
ait des sermons en badinant, & châtie les mœurs par des peintures vives du ridicule. En faisant des honnêtes gens pour la
grands vents & des orages ; Il vomit son mal présent, Sentant au vif qui le blesse, Puis en appelle un absent, Sitôt q
n nouveau titre de noblesse. Les yeux d’une jolie Actrice, Au teint vif , aux brillants appas, D’un coup d’œil, d’un mot o
36 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Neuvième Lettre. De la même. » pp. 233-241
t dès qu’on possède ; mais souvent il arrive aussi qu’il devient plus vif pour le bien qu’on n’a plus, que pour celui dont
en l’est également pour celui-ci. Jamais le goût du Théâtre ne fut si vif , si général. Les Ouvriers qui buvaient le Dimanch
37 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233
adé qu’un Spectateur, qui entre dans cette pensée, regardera les plus vives expressions de l’amour d’Æmilie, comme autant de
ce crime qui seul doit attacher les Spectateurs, et faire sur eux une vive impression. A l’égard de la compassion que l’on p
upplices, décernés aux grands criminels, font sur les hommes les plus vives impressions d’horreur et de compassion ; pendant
t Hersilie, je trouve du côté de Romulus des expressions de sentiment vives et tendres, qui me paraissent devoir être supprim
exacte et rigoureuse, pour être purgées de quelques expressions trop vives , j’aurais donc pû conserver celle-ci telle qu’ell
38 (1675) Traité de la comédie « XIII.  » p. 293
ui ne sont guère moins contagieux. Toutes leurs pièces ne sont que de vives représentations des passions d'orgueil, d'ambitio
39 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIII.  » p. 468
s doute le plus honnête de tous les Poètes de Théâtre, ne sont que de vives représentations de passions d'orgueil, d'ambition
40 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VII. Suite de l’Indécence. » pp. 138-160
l’homme. Quatre petits Amours viennent leur reprocher leurs manieres vives & brusques (on devroit dire leur débordement
mêmes : la nature n’est pas moins foible, ni l’amour du plaisir moins vif , ni la volupté moins séduisante. Elle en est même
e pieces voit on un Acteur caché, qui a tout entendu, montrer la plus vive & la plus juste indignation d’un entretien qu
ligé par son rôle de se repaître de cet objet, de lui marquer la plus vive passion. Que fait cette Actrice ? que lui rend on
r consumé les chairs baveuses d’une plaie, elles rongeroient la chair vive , cariroient & pourriroient jusqu’à la moëlle.
41 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58
ntes ». Il est assez difficile qu’il ne nous reste au fond du cœur de vives impressions de tant de peintures agréables &
La modestie, l’adresse du naïf la Fontaine, font des impressions plus vives dans l’ame de ses Lecteurs, que la licence éffrén
garder de la peindre avec des couleurs trop fortes, cette passion si vive , si dangereuse. La magie du Spectacle, la vue d’u
ls auraient eu sous les yeux, leur auraient montré l’importance d’une vive sortie contre le genre plus que galant. Le Th
enfait. La Scène VI. du second Acte est peut-être d’une volupté trop vive  ; je parle de cette Scène où la belle Laurette da
42 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A la signore Isabelle » pp. 25-
ui-même ; parce qu’aucun peintre ne le peut représenter. Ainsi en ces vives couleurs vous faites briller l’éclat, le pourpre
43 (1675) Traité de la comédie « XIV.  » pp. 294-295
se de grand et d'élevé selon les hommes, ou du moins quelque chose de vif et d'animé; ce qui ne se rencontre point dans la
44 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VII. Histoire des Cas de Conscience. » pp. 159-189
uite, l’animerent contre un ouvrage si pernicieux. Il en fit les plus vifs reproches aux Théatins, & le Pere Caffaro qui
p; la Fontaine se convertirent sincérement, & montrerent les plus vifs regrets d’avoir composé ces mêmes ouvrages dont i
toute grossiéreté, ne respire & n’inspire que la passion la plus vive , la plus rafinée, & la plus dangéreuse : Il f
té, contre la défense de l’Eglise, aux occasions prochaines, aux plus vives sensations, aux objets les plus séduisants, s’y c
blessures, de ses infirmités, aux médecins, quelquefois avec la plus vive douleur, ne sont pas sans danger. Phedre l’accusa
lorsque le soleil levant le frappa de ses rayons, il éclata d’une si vive lumiere, qu’on en étoit ébloui. Il s’assit sur un
45 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 68-96
 : ils jouoient d’après nature, ils avoient l’un pour l’autre la plus vive tendresse ; leurs talens supérieurs ne furent emp
eur champs que d’enluminer leurs joues ; avec leur tein naturellement vif , & haut en couleur, elles coupoient le bois n
beauté, c’est ailleurs un beau noir, tournez à droite, c’est un rouge vif , à gauche un jaune pale, plus loin c’est la coule
dans notre hémisphere. Les Incas du Perou avoient défendu l’usage du vif argent ; comme nuisible à la santé ; mais ils per
n, ils se peignent tout le corps de rocou, qui leur donne une couleur vive & brillante d’écarlate, sans quoi l’on est co
pour donner à leurs cheveux, à leurs yeux, à leur peau, des couleurs vives , pour remplir les creux des rides, & répandre
46 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95
clamation, leur inspirer, leur faire exprimer les mouvements les plus vifs et les plus tendres, leur donner les mêmes leçons
une sainte joie ? Elles ne peuvent que la détruire, et causer la plus vive douleur de l’offense de Dieu, et les remords les
doit l’exécuter, et les dangers d’une musique molle, efféminée, trop vive et légère, ordinaire à la musique profane, qu’il
destina pas. Il est bien des sortes de tableaux : la prose est moins vive que la poésie ; l’harmonie, la mesure, la hardies
sie, la danse, la musique, la peinture, la sculpture, mille fois plus vives que sous les plus savantes mains, puisqu’elles so
innocents. A plus forte raison ces tableaux animés, si chargés et si vifs , doivent être d’autant plus religieux et modestes
47 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur le duc de Nemours » pp. -
es âmes d’admiration, l’univers de gloire, et cette grande Princesse ( vive image de la vertu de nos antiques Rois) de conten
48 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIV.  » p. 469
se de grand et d'élevé selon les hommes, et au moins quelque chose de vif et d'animé, ce qui ne se rencontre point dans la
49 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre IV. Des Feux de-Ioye. » pp. 184-185
d’effets, semblent ne dépendre que d’un beau feu, d’une subtile & vive imagination. Il n’y a aucune regle, ny aucuns pre
50 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVIII.  » p. 474
raient infiniment plus lents: mais ce qui les aigrit et les rend plus vifs , c'est l'impression fausse qu'il y a de la lâchet
51 (1675) Traité de la comédie « XVIII.  » pp. 300-301
ne offensée seraient infiniment plus lents. Mais ce qui les rend plus vifs , c'est la fausse impression qu'il y a de la lâche
52 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Avis au lecteur. » pp. -
a] donné l'être ; et comment il est possible qu'une imagination aussi vive et aussi étendue qu'il était convenable de l'avoi
53 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [M] » pp. 426-430
, né à Alexandrie, se chargea de la représentation des actions gaies, vives & badines. La nature avait donné à ces deux h
nt pour eux de fréquentes occasions d’être occupés par des sensations vives & touchantes. *. A la Fête des Junonies,
54 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Troisième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 25-27
es sentimens par ce que vous vîtes hier, Mademoiselle : ils sont bien vifs , ils le sont trop. Aujourd’hui, que la première é
55 (1697) Satire à Mgr Bossuet « SATIRE A MONSEIGNEUR JAQUES BENIGNE BOSSUET. EVEQUE DE MEAUX. » pp. 46-48
our instruire et former la jeunesse des Rois, Et qui par des discours vifs et pleins d’éloquence Sais confondre l’erreur, et
56 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Anecdotes de Cour. » pp. 171-202
au bruit du canon qui ne cessoit de tirer, & des acclamations de Vive le Roi, vive Monsieur. Le Clergé & l’Universi
canon qui ne cessoit de tirer, & des acclamations de Vive le Roi, vive Monsieur. Le Clergé & l’Université qui étoien
nt retentit : ce qui, joint à l’illumination générale & aux cris, vive le Roi, vive la Reine, vive Monsieur, vive Madame
ce qui, joint à l’illumination générale & aux cris, vive le Roi, vive la Reine, vive Monsieur, vive Madame, a satisfait
à l’illumination générale & aux cris, vive le Roi, vive la Reine, vive Monsieur, vive Madame, a satisfait la nuit &
n générale & aux cris, vive le Roi, vive la Reine, vive Monsieur, vive Madame, a satisfait la nuit & le jour les yeu
57 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — X.  » pp. 464-465
x, l'on n'en ôtera jamais le danger, puisque l'on y voit toujours une vive représentation de cette attache passionnée des ho
58 (1675) Traité de la comédie « XI.  » pp. 288-289
x, l'on n'en ôtera jamais le danger, puisque l'on y voit toujours une vive représentation de cette attache passionnée des ho
59 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE I. Faut-il permettre aux femmes d’aller à la Comédie ? » pp. 4-29
la multitude, la continuité de ces pieux excès devroient rendre plus vive . Une jeune fille se renferme pour toute sa vie da
avec force, qui soutient sans sourciller, les plus longues, les plus vives scènes, quelquefois les plus galantes, & répo
la personne qu’il se destine pour compagne, les voient sans les plus vives inquiétudes à l’école la plus rafinée de la coque
haut prix ? La poësie les ravit, sur-tout une poësie légère, badine, vive , saillante, tendre, harmonieuse : celle du théatr
r d’une femme : ici tout ressent, tout exprime, tout inspire les plus vifs & les plus délicieux, de toute espèce ; pitié
60 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-3
des yeux ou celui des personnages ; quel des deux rouges est le plus vif , quelle attitude est la plus indécente, & des
61 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IV. Des Personnages. » pp. 239-251
ombres d’un tableau contrastent avec la lumière & la rendent plus vive . Une Peinture champêtre est embellie par l’opposi
és ; les Acteurs qui les représenteront pourront rendre leur jeu plus vif , & la Pièce sera plus animée. On veut encore
62 (1751) Avertissement (Les Leçons de Thalie) pp. -
appuyer encore ce sentiment, Rousseau nous dira : « Des fictions la vive liberté, Peint souvent mieux l’austère vérité, Qu
63 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VIII. Les spectacles favorisent les duels. » pp. 93-95
nne offensée seraient infiniment plus lents ; mais ce qui les rend si vifs , c’est qu’on s’imagine qu’il y a de la lâcheté à
64 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIX.  » pp. 475-477
les sont obligés, non seulement de les représenter d'une manière fort vive , mais aussi de les dépouiller de ce qu'elles ont
65 (1675) Traité de la comédie « XIX.  » pp. 302-305
les sont obligés, non seulement de les représenter d'une manière fort vive , mais aussi de les dépouiller de ce qu'elles ont
66 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE V. Du Mensonge. » pp. 100-113
s le commerce de la vie ; il manda le débutant Thespis, lui en fit de vifs reproches, & lui dit entr’autres choses : N’a
isir s’imprime dans un cœur sensible, se retrace dans une imagination vive  ; elle est enchantée de ces bosquets délicieux, d
i qui le défend. La comédie est un péché, c’est un corps de mensonge, vif , orné, animé, varié, mis dans tous les jours favo
67 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. » pp. 32-50
bien prochaine à surmonter et à régler ses passions ? Les impressions vives et touchantes, dont nous prenons l’habitude, sont
plus faibles, que les effets en soient moins dangereux ? Comme si les vives images d’une tendresse innocente étaient moins do
ur ceux dont les passions sont déjà accoutumées aux émotions les plus vives , qui sont blasés sur les plaisirs ; qui ne senten
68 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « Stances à Madame Isabelle, sur l’admiration où elle a tiré la France » pp. -
e, Et comprit en soi l’univers. A l’instant pour orner la terre, Des vives beautés qu’il enserre, Il lui voulut donner un Co
69 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Sixième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 40-72
Comme le premier de ces deux Arts, tantôt il ennivre l’âme d’une joie vive & pure ; tantôt il y porte l’étonnement, y ex
t assez clairement. Aussi de tous nos sens, n’y en a-t-il point de si vif , & qui nous enrichisse d’idées plus que la vu
nce est que les Spectacles du corps doivent faire une impression plus vive , plus forte : les secousses qu’ils donnent à l’âm
stinées à l’emploi sublime de faire passer dans nos âmes le sentiment vif , animé de toutes les beautés de notre Corneille,
70 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVI. Il y a des divertissements plus utiles et plus décents que les spectacles. » pp. 138-149
himériques, trop dangereux pour n’être pas souvent criminels, et trop vifs pour être longtemps agréables. « Ces plaisirs peu
ruption s’est glissée dans son cœur ; la plus excellente créature qui vive sur la terre est dominée par les êtres inférieurs
71 (1705) Traité de la police « Chapitre premier. Des Spectacles anciens, leur origine, leur division, leurs dérèglements, et les Lois qui ont été faites pour les réformer. » pp. 434-435
qui accompagne toujours la satyre, les indiquait par des portraits si vifs et si naturels, qu’il était presque impossible de
rent enfin à tous ceux-ci les Histrions, qui joignaient des récits de vive voix aux postures et aux gesticulations des Mimes
72 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XX. Exemples de pratique. » pp. 48-50
l’ouvrage de Dom Ramire-Cayorcy Fonséca, qui a fait une impression si vive sur la ville de Burgos. Le zéle seul pour le salu
73 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Des Spectacles des Grecs. » pp. 3-6
les divers amusemens de quelques particuliers, dont les chaudes & vives imaginations, se sont faits divers ébats mysterie
74 (1731) Discours sur la comédie « Lettre à Monsieur *** » pp. -
pour faire plaisir à quelques personnes, ce que je n’avais dit que de vive voix, et je vous laisse le maître de tout pour le
75 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrisostome. » pp. 180-195
ice est pour elle bien plus profond, car le feu des passions est plus vif , il n’y faut qu’une étincelle pour allumer l’ince
te Table pour le théatre ! vous vous éloignez de cette fontaine d’eau vive pour aller faire naufrage aux pieds d’une Actrice
prétends pas qu’on habite les déserts & les montagnes, mais qu’on vive chrétiennement dans les villes, dans les familles
76 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des Sentences mélées à l’action Théatrale, chez les Anciens & les Modernes. » pp. 153-158
comme aujourd’hui au milieu de la plus grande chaleur & des plus vives impressions. Ainsi je voudrois que la jeunesse qu
77 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81
et des gestes frappent plus fortement les sens, et font bien de plus vives impressions sur l’esprit. « Segnius irritant an
est la perce des jeunes gens, dans lesquels la concupiscence est plus vive et plus forte et qu’elle y cause de funestes rava
ar il parle d’assez bon sens. « Moi dit-il, j’entends que la mienne Vive à ma fantaisie et non pas à la sienne. Que d’une
bons de vouloir qu’on soit mortes à tout divertissement, et qu’on ne vive que pour eux. Je me moque bien de cela, et je ne
78 (1777) Il est temps de parler [Lettre au public sur la mort de Messieurs de Crébillon, Gresset, Parfaict] « Il est tems de parler. » pp. 27-36
ntilhomme de la Chambre du Prince, lui fit réponse par écrit & de vive voix, que ce n’étoit point l’intention de Monsieu
ls sont devenus les arbitres. » Voilà comme s’exprimoit hautement ce vif partisan des Comédiens, à qui ces Messieurs &
79 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
tures de la vérité : au lieu que lorsqu’elle est maniée par une plume vive et animée comme la vôtre, elle fait un progrès su
notre nature corrompue, nous sommes tous plus ou moins sensibles à la vive peinture des passions, et que celle de l’amour ét
80 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401
e prêtres et tant de moines prêchèrent avec audace et persévérance de vive voix et dans leurs livres imprimés, et que plus d
qu’ils immolaient à leurs implacables vengeances, et faisaient brûler vifs des schismatiques, des hérétiques, des Juifs, etc
81 (1576) De la Censure. pp. 611-613
ord, et le plus déshonnête qu'on peut choisir, laisse une impression vive en l'âme de ceux qui tendent là tous leurs sens.
82 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. » pp. 5-9
ns les plus décevantes, en les rendant les plus agréables et les plus vives qu’on peut par le charme d’une musique, qui ne de
83 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XV. Des nouveautés & de leur nombre. » pp. 2-7
eule représentation suffit pour dédommager la Troupe. Qui ne sçait le vif empressement que nous avons pour le nouveau ? Il
84 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — IX. La Comédie donne des leçons de toutes les passions. » pp. 18-21
« Toutes ces piéces de Théâtre, dit un célébre Auteur, ne sont que de vives représentations de passions, d’orgueil, d’ambitio
85 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre II. L’Exposition, le Nœud & le Dénouement. » pp. 183-210
it pas avoir l’air d’un discours Etudié. Celle de la Comédie est plus vive , plus naturelle. Que le nouveau Spectacle par
au dénouement, en paraissant s’en éloigner à chaque pas. Il doit être vif , serré. Que rien ne languisse ni ne diminue l’att
e des discours absolument nécessaires : le langage du ménu Peuple est vif , coupé, il ne disserte jamais. Les choses inutile
86 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
e nous racontent comme passées, et qu'il les représente d'une manière vive , animée, et pour ainsi dire, personnelle; au lieu
s qu'ils eussent pu recevoir d'une autre manière plus simple et moins vive . La plupart des tragédies de Sophocle et d'Euripi
considère de bonne foi quel est l'empire naturel d'une représentation vive , jointe à une expression passionnée, sur le tempé
87 (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44
u rendu » Trois jours apres de mort ressuscita » Et qui plus est tout vif se presenta » A ses amys qui ne sont pas des nost
ns les Villes, & comme on chantoit Noël Noël, au lieu des cris de Vive le Roi, on representoit dans les ruës la Samarita
88 (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238
tout cela peut être attaqué sans ménagement. Plus la peinture en est vive , et la satire accablante, plus le spectacle est a
attribue, en passant, aux Acteurs de l’Opéra, un ressentiment un peu vif de l’ennui qu’ils lui ont causé. « Néron, chantan
s, affaiblis, effacés par des habitudes vicieuses, quelle morale plus vive , plus sensible, plus pénétrante que celle du théâ
e impassible pour lui ; et cette trempe de caractère qui reçoit de si vives impressions des plaies faites à l’humanité, n’est
ue vous le voulez, qu’on y donne des fêtes ou des spectacles, qu’on y vive avec les femmes ou sans les femmes, pourvu que l’
t plus faibles, que les effets en sont moins dangereux ? comme si les vives images d’une tendresse innocente étaient moins do
par des qualités semblables ; et plus l’émotion du Spectacle aura été vive , plus il sera indifférent pour tout ce qui ne res
semble pas au tableau dont il est frappé. Estime, respect, confiance, vif intérêt, tendre penchant, voilà ce qui lui reste
assion. Et quand les hommes seront capables d’un sentiment délicat et vif , ils n’auront pas à redouter la séduction de ces
que l’on n’ose y peindre ; et si les impressions n’en sont pas assez vives , si elles frappent l’oreille sans toucher le cœur
e, Constance ou Cénie, j’oublie la cause, la seule cause de l’intérêt vif et tendre, dont je suis encore tout ému ? Voilà u
ache l’âme de ses devoirs, et qui en rompe les liens : tout sentiment vif les relâche ; l’amitié, le sang et l’amour trompe
qu’une frénésie, rien moins qu’un mouvement stupide ; qu’il est assez vif pour rapprocher les âmes ; et qu’il ne l’est poin
89 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. Si la Musique Française est plus agréable que la Musique Italienne. » pp. 287-291
r plus de partisans qu’autrefois, puisqu’on commence à le rendre plus vif & plus varié qu’il n’était. Cependant la légè
90 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. Que le Musicien doit seconder le Poète, & que le Poète doit s’entendre avec le Musicien. » pp. 292-296
qu’éxigent telle pensée, telle situation ; & pour peindre avec de vives couleurs ce que le Poète ne fait souvent qu’indiq
91 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XII. » pp. 58-61
 : Qu’un discours est languissant, lorsqu’il est froid et n’a rien de vif . Mais si ç’avait été une chanson de l’Opéra, la v
92 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVII. On y risque tout par une seule assistance. » pp. 40-44
gardera t-on désormais comme l’effet d’un zele outré les descriptions vives que nous avons faites de cette foule de dangers q
93 (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191
et état même elle ne plaît que parce qu’elle représente d’une manière vive et touchante ce que peuvent les passions de l’amo
94 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre IX. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques n'étaient point infâmes parmi les Romains, mais seulement les Histrions ou Bateleurs. » pp. 188-216
s eligitur, homines Scenici, ludi Scenici. De Civit. Dei c. 27 et ibi Vives .De Civit. Dei l. 2. c. 13. Déesse Flore par des J
s eligitur, homines Scenici, ludi Scenici. De Civit. Dei c. 27 et ibi Vives .De Civit. Dei l. 2. c. 13. « In Pantominis adver
95 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
ur donner une nouvelle force ? N’est-ce pas là que, par des peintures vives qu’on y fait, les passions s’excitent dans notre
l s’abandonne aux transports les plus déréglés, aux saillies les plus vives  ? n’est-ce pas là en un mot que le cœur, se voyan
96 (1702) Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour. Lettre de Lettres curieuses de littérature et de morale « LETTRE. de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour, qui lui avait demandé quelques réflexions sur les pièces de Théâtre. » pp. 312-410
ut ce qui est ajouté à l’action pour la rendre plus brillante et plus vive , s’appelle Episode : lorsque le sujet est choisi,
ents, c’est tout ce qui fait la matière du discours ; tous ces traits vifs et éclatants, qui excitent les passions. Situati
; ce qui est une extrême beauté dans une pièce, qui est d’autant plus vive et plus intéressante, que l’esprit du spectateur
es images, nul esprit hors d’œuvre, des chutes brillantes, des Scènes vives et courtes, heureusement tournées, beaucoup de fe
nt des effets bien plus étranges, et que leurs malheurs font une plus vive impression sur l’esprit, et causent un plus grand
97 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre prémier. Déssein de cet Ouvrage. » pp. 2-7
l’imitation de ce fameux Philosophe, se sont éfforcés de répandre une vive clarté dans la pénible carrière du Théâtre ; ils
98 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — CHAPITRE IV.  » pp. 109-114
’une simple fleur a des propriétés qui relèvent encore l’éclat de ses vives couleurs. Cette sage remarque les remplit d’une n
99 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Onzième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 244-249
nt vingt-deux ans, est assez bien fait ; il a l’œil ardent plutôt que vif , le caractère sombre ; je crois que ses passions
100 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [Q] » pp. 444-446
amp; bien calquée ; ou une critique, dont la plaisanterie sera bonne, vive & courte, & dans laquelle on évitera l’es
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