umise aux puissances supérieures…. Il n’y a point de puissance qui ne
vienne de
Dieu…. Ceux qui résistent à l’ordre de Dieu attir
rebelles à la parole de Dieu, transmise par le saint apôtre que nous
venons de
citer ; mais encore ils sont criminels aux yeux d
t dans la violation de ces divins préceptes de Jésus-Christ, que nous
venons de
citer plus haut, que réside le principe de l’abom
e la communion de l’église romaine. Les vérités incontestables que je
viens de
proclamer, ne recèlent rien d’irrespectueux, ni d
ans l’ordre social, et toujours, d’après ce principe affreux que nous
venons de
citer, que c’est par la violence et par les punit
nement par le seul fait de la présentation des nouvelles lois dont je
viens de
parler plus haut, annonçait le désir de les obten
rêts du ciel. Les saints Evangélistes viennent à l’appui de ce que je
viens de
développer, dans l’intérêt direct du prince, qui
ans doute d’hypocrisie, la manière franche et loyale avec laquelle je
viens de
manifester d’immenses vérités utiles au roi, à l’
ez-vous voir… voulez-vous voir de son style, à cette Rivale ?… Agathe
vient de
me le remettre ; je le copie… Le voici ce Billet
me fit promettre, avant de parler, de ne point chercher à la deviner,
vient de
m’assurer qu’elle est toute belle, cette épouse q
votre jugement sur nos Comédiens, trop rigoureux ou trop général. On
vient de
donner une Pièce célèbre, dans laquelle l’Acteur
que l’on soit obligé de vous en donner de semblables sur ce que vous
venez de
faire à Aix qui n’est pas moins indigne de Chréti
s justement attiré ces nouveaux Avis, et que les circonstances que je
viens de
marquer ne faisant que rendre votre action plus s
eines… J’ai tout osé… Quelle démarche, ô ma sœur ! quelle démarche je
viens de
faire ! Mais cette Lettre que vous m’avez renvoyé
zan rentra ; je paraissais jouir d’un calme, incompatible avec ce qui
venait de
se passer. Eh ! pourtant, que j’étais troublée !
sœur, c’est votre Projet. Le fait qui sert de base au récit qu’on
vient de
lire, est-il arrivé sur le Théâtre de la Capitale
nne surpassait la *** ? L’avantage est tout du côté de celle que vous
venez de
voir, répondit il. Alors cette aimable & vert
trait de lumière : le Magistrat reconnut dans sa femme l’Actrice qui
venait de
le charmer : pénétré de reconnaissance, il sentit
z que je devienne. Je suis tout à vous. D’Alzan. Un laquais étourdi
vient de
laisser tomber ce billet à mes pieds : je n’ai pu
tance ; j’ai mis une autre enveloppe ; j’ai déguisé mon écriture ; je
viens de
l’envoyer. A qui croyez-vous qu’il s’adresse ?… O
condition ne les en dût empêcher. Je n’en ai que contre ceux dont je
viens de
parler, lesquels par leurs sales paroles, actions
Troupes, apprenez deux choses, la premières que toute votre puissance
vient de
Dieu, la seconde que ce même Dieu vous demandera
mploie plus ordinairement à ces pernicieux divertissements. Ce que je
viens de
dire touchant Messieurs les Gens du Roi, qui souf
ateleurs est un vice cruel et détestable ». Le même Tertullien que je
viens de
citer, parlant de la scène et de l’échafaud des F
tion de leur Pasteur était qu’il avait autant de mérite que celui qui
venait de
leur être enlevé, et qu’ils espéraient de retrouv
ls espéraient de retrouver dans le Successeur le même avantage qu’ils
venaient de
perdre avec le défunt, « Ut quidquid boni in illo
e douce létargie. Ainsi quand un Comédien fait les plaintes dont nous
venons de
parler, qu’il craigne qu’on ne lui dise : « Les A
es critiques, tout redouble. Si elle tombe, outre les fruits que nous
venons de
détailler ; le public tirera encore de cette espe
Nous imitons en cela celui qui payerait d'une injure le plaisir qu'il
viendrait de
recevoir, et qui percerait le visage et le cœur d
supplice serait digne un esclave qui outragerait son maître de qui il
viendrait de
recevoir la liberté ? Il est hors de doute que ce
permis de rendre le mal pour le mal. Nous faisons toutefois ce que je
viens de
dire, nous nous disons Chrétiens, et par nos impu
se : Nous offrons donc à Dieu des Jeux infâmes pour les bienfaits qui
viennent de
lui, nous lui faisons des sacrifices exécrables,
ns ce monde, en attendant l'effet d'une bienheureuse espérance, et la
venue de
la gloire de Jésus, qui s'est donné lui-même pour
paraissent chez nous ? Mais quand on verrait entre eux tout ce que je
viens de
dire, ils ne seraient pas toutefois si coupables
spectateur, n’aident-ils pas fortement à le séduire ? Des hommes qui
viennent de
rire ; de folâtrer avec les Comédiens, sont-ils b
iamans. « Si nous ne devons pas espérer, dit encore l’Auteur que nous
venons de
citer, que les Comédiennes préférent à l’ajusteme
rne, pour le soc & le masque comique. Il en résulte que celui qui
vient de
les entendre parler en Héros, en bergers, en père
ous apprenons, N. T. C. F. avec la plus vive douleur, le scandale qui
vient de
paroître dans cette Ville, par le séjour d’une Tr
d’une partie de votre nécessaire. Dans une année, où la main de Dieu
vient de
s’appesantir sur nous, en nous ôtant la récolte q
pe, du Glorieux. La Comédie-Bourgeoise se distingue des Drames que je
viens de
parcourir, par ce qu’elle prend son sujet parmi c
ne Comédie-Bourgeoise, se livraient à la gaieté dans l’instant qu’ils
venaient de
s’affliger. Je n’ai fait une telle découverte qu’
t qu’une faute légère, qu’il considère attentivement tout ce que nous
venons de
dire, et qu’il prenne bien garde que le plaisir e
nt parlé ci-devant assez amplement, joint que les deux Auteurs que je
viens de
produire, Salvian et Tertullien s’en sont suffisa
antages. Quatre Architectes (MM. D’Ameun, Antoine, Doudilly, Liégeon)
viennent de
donner chacun un Plan, tant pour la construction
confection de la nouvelle Salle, le Théâtre des Tuileries que l’Opéra
vient de
quitter. On a raison de dire, que ce Plan entraîn
du civisme, de tous nos devoirs. Détruisons donc l’opposition dont je
viens de
parler, avant de construire des Théâtres, sans qu
vant que la Réligion chrétienne fut connue, & lorsque la Tragédie
venait de
prendre une forme convenable. Mon déssein n’est p
s, Comédie d’Aristophane & celui des Euménides ronflantes dont je
viens de
parler, ressemblent, on ne peut d’avantage, au fa
nos jours, l’aurait aussi été de l’Opéra-Bouffon ; le passage que je
viens de
rapporter en est une preuve, Boileau nous app
a même dans les bons Écrivains des endroits sublimes dont la grandeur
vient de
la petitesse énergique des paroles3. » Si l’on vo
nergique des paroles3. » Si l’on voulait récuser l’Auteur Grec que je
viens de
citer, sous prétexte de son ancienneté, & que
re avec raison consultait sa Servante7. Il résulte de tout ce que je
viens de
dire, que nous ne saurions trop aimer cet agréabl
une infinité de monumens antiques, n’ont aucuns des défauts dont nous
venons de
parler. Rien n’est plus agréables que les masques
hanger de masque derrière le Théâtre. Par exemple, si le Père dont on
vient de
parler, entrait content sur la Scène, il présenta
ima Collectio, Venise, 1770, tome XV, col. 417-418.].. Cette sévérité
venait de
l’ancienne discipline des pénitents, qu’on étenda
parlé de la pénitence, ainsi qu’il l’a reconnu dans le passage qu’on
vient de
voir sur les sentences. Qu’on ne fasse donc point
aux autres. Je suis donc entièrement de l’avis du journaliste que je
viens de
citer. Je pense encore que de pareils rapprocheme
e et arracha la vie au meilleur des rois. Et l’écrivain éhonté que je
viens de
citer, ose le présenter comme l’ami des jésuites
inion de la théocratie et par conséquent des jésuites, ainsi que nous
venons de
le dire. On ne doit pas en être étonné, puisque l
ue les exemples ne manqueraient pas pour venir à l’appui de ce que je
viens de
dire. Car si on veut citer les grands conquérants
poléon, pendant l’espace de seize mois, vers la même époque dont nous
venons de
parler, et on évalue enfin à plus de cinq million
rchant à me faire croire que je vois encore dans sa chambre celui qui
vient de
passer dans un autre lieu. D’ailleurs, après que
larté, puisqu’au dernier Acte, il est dit que la pluspart des Acteurs
viennent de
souper. L’illusion serait plus grande si on l
e l’avanture qu’il ne voit qu’au Théâtre. Les beautés du Drame que je
viens de
citer achèveront de persuader (je m’en flatte au
er à l’Acteur les paroles de son Role. Si une partie de ce que je
viens de
dire parait trop minutieux, je prierai les Critiq
a connoissance. Cette conformité avec les plaisirs anciens, dont nous
venons de
parler, ne m’empeschera pas de donner icy quelque
ais, me trompé-je ! On a cherché à s’assurer si l’avis donné à la ***
venait de
moi ; si les sentimens généreux qu’elle a montrés
re pour le peuple ? Si ce malheur arrivait, l’exécution du Plan qu’on
vient de
lire, serait le seul remède efficace.
ns… Il m’a fourni jusqu’à mon titre : reconnais-tu sa main ? lui-même
vient de
l’écrire. Voici comme je débute. Observe que ce n
une école de vertu. § I.ER Inconvéniens des Spectacles. Ce qu’on
vient de
lire, ne concerne que le fond des Spectacles, con
ons-en les véritables causes. J’en découvre de deux sortes : les unes
viennent de
nous ; les autres de l’extérieur du Spectacle. Po
cordent pas avec les maximes qu’ils sont chargés de nous débiter ; je
viens de
faire comprendre qu’il est indispensable de détru
l’empereur Domitien fut obligé de répudier Domitia son épouse, qu’il
venait de
faire déclarer Augusta, parce qu’elle s’était épr
quitte Zaïre en la regardant douloureusement. Aussi-tôt Orosmane, qui
vient de
recevoir d’elle, l’aveu le plus passionné, prend
ne fausse Religion pour la vraie, y auroit encore contribué ; mais on
vient de
voir un Prince rassuré sur la foi de sa fille, ex
si elles n’y sont pas vraisemblables, & que les exemples que nous
venons de
citer, n’ont pas peu contribué à la Décadence du
que sont tombés dans une erreur encore plus visible, que celle que je
viens de
reprendre ; ils soutiennent que la Tragédie fut i
? Grace à M. de la Chaussée, & au Père de famille, tout ce que je
viens de
dire ne paraît plus hazardé. Le genre de la plais
le prouver. Causes de la décadence du Théâtre des Romains. Je
viens de
raporter en abrégé tout ce que l’on a écrit sur l
ls deviendraient l’ouvrage de plusieurs. L’on peut tirer de ce que je
viens de
dire une preuve assez claire du frivole & de
t innocent et fort honnête, les Ecclésiastiques tels que ceux dont je
viens de
parler qui iraient se délasser une fois la Semain
héâtre serait un sujet de scandale et de péché mortel, le Livre qu’il
vient de
mettre à la tête des pièces de Théâtre le rendrai
et après les exemples tout récents de l’application avec laquelle il
vient de
purger les ouvrages publics de tout ce qui altéra
es dons de la Cour sur le point de vieillir, Il méprise un métier qui
vient de
l’anoblir ; Et détestant ses Vers trop remplis de
eur cœur : car il n’est point de plus grande accusation que celle qui
vient de
la bouche même du coupable. Le troisième enfin es
, contre la puissance du prince et celle des lois. Le délit dont nous
venons de
parler, considéré sous le point de vue de l’état
ire à la volonté du prince et aux lois de l’Etat. Les principes qu’on
vient de
lire, qui découlent de la Charte, sont anathémati
omédie, mettez un (*), & au bas de page, ajoutez en note : (*) Il
vient de
paraître un second Volume du Nouveau Théâtre Angl
XXVIII. Dieu ne nous impute pas les froideurs qui
viennent de
la soustraction de ses lumières, ou simplement de
XXVIII. Dieu ne nous impute pas les froideurs qui
viennent de
la soustraction de ses lumières, ou simplement de
arties du Chant théâtral à une seule voix. Le mot Français Ariette
vient de
l’Italien Aria. On entend par ce terme un certain
e qu’ils ne contredisent point les règles générales sur lesquelles je
viens de
jetter un coup d’œil. Que le Musicien ne doit
server que la musique nous plaît, nous enchante davantage lorsqu’elle
vient de
loin à loin, que lorsque notre oreille est comme
u’il ne soit qu’un développement, une èxplication étendue de ce qu’on
vient de
dire en abrégé. La raison de cette règle, c’est q
sonnes qui réfléchissent peu, est une sorte de frivolité pratique qui
vient de
la façon légère d'envisager les choses et les per
aite ici. Je ne parle que des divers germes de la familiarité dont je
viens de
faire le détail, et que les personnes les plus po
e libertinage. Que respecteraient-ils dans des complices avec qui ils
viennent de
passer la nuit, qui les y ont entraînés, et leur
tesse ; le dernier a beaucoup d'endroits qui feront reconnaître qu'il
vient de
la même origine ; et si le dernier est rempli d'u
ni même les tragédies, quoiqu’elles fussent aussi sérieuses qu’on le
vient de
voir ; parce qu’il faut craindre, dit-il, les pre
u tes plaisirs et tes délices, il en est la source, toute joie qui ne
vient pas de
lui se termine par la douleur, par la tristesse,
ncevoir une juste horreur, & de désaprouver en sécret ce que l’on
vient de
canoniser au Parterre. L’action, selon Aristote1,
er Se rend digne de moi, s’il peut l’assassiner. La fureur des Duels
vient de
l’opinion fausse que l’on doit conserver son honn
Ne pouvant espérer de faire insérer dans l’ouvrage périodique que je
viens de
citer, ma réponse à M. de Sénancourt, je me déter
et les Beaux-frères restant seuls, le sage prend occasion sur ce qui
vient de
se passer de pousser l’autre sur le chapitre de s
que « les âmes pudiques par cette vue sont blessées, et que cela fait
venir de
coupables pensées ». Elle lui répond « qu’il est
honnête, caressante et civile dont il aborde la compagnie, soi-disant
venir de
la part de Monsieur Panulphe, semble être là pour
esprit par la connaissance de la Vérité et de la Vertu : et quand il
vient de
la vue de l’ignorance et de l’erreur, c’est-à-dir
fait pas l’effet qu’il prétend ; ce qui le rend ridicule, comme vous
venez de
voir : mais cette galanterie est extrême aussi bi
t que je prétends. Vous me direz qu’il paraît bien par tout ce que je
viens de
dire, que les raisonnements et les manières de Pa
ls sont inutiles en eux-mêmes. Que si pourtant, malgré tout ce que je
viens de
dire, on veut que l’âme après le premier mouvemen
ffet dans les occasions aussi sérieuses que celles-ci ! Car, comme je
viens de
le remarquer, il ne faut point dire que ce soient
avez souhaité de moi : gardez-vous bien de croire pour tout ce que je
viens de
dire, que je m’intéresse en aucune manière dans l
Bouffon ne peut se dispenser de suivre ces règles. Tout ce que je
viens de
dire au sujet de ce qu’il faut observer dans la m
leurs productions, lui appliquassent ce Vers du cèlèbre Auteur que je
viens de
citer plus haut : Il faut que ses Acteurs badine
te chercher, te desirer : trompeuses apparences ! une jeune personne
vient de
quitter la retraite où elle fut élevée ; d’abord
es qu’on les y trouve. Des Arcis. Si j’ai bien entendu ce qu’on
vient de
lire, madame Des Tianges n’a pas écrit pour défen
-il pas acquitté de tout ce qu’il doit à la vertu par l’hommage qu’il
vient de
lui rendre ? Des Arcis. Ceci n’est pas un i
himérique ; non, dans le système des Grecs, & dans celui que nous
venons de
voir. Le Projet de madame Des Tianges satisfait à
elquefois utiles, pour détruire cette même émotion dangereuse dont je
viens de
parler. Adelaïde. Sans vouloir passer pour s
amp; voici votre Egal, votre Concitoyen, votre Ami. La surprise qu’il
venait de
causer, lui donna lieu d’achever paisiblement ce
la même patrie : il fut reporté chez lui aux acclamations de ceux qui
venaient de
l’admirer. C’est ainsi que ce qui l’eût deshonoré
ROISIÈME ENTRETIEN. Les Mêmes. Des Arcis. Monsieur Des Tianges
vient de
me dire, que madame D’Alzan est satisfaite de vot
il dut se faire un nouveau changement dans les idées des hommes. Nous
venons de
voir les Théocrates dépossédés, renfermés dans le
nue, en plein Théâtre, aux yeux des Spectateurs une des Actrices qui
venait de
jouer ; afin que cette ignominie dont on la couvr
aient moins dangereux que ces scélérats, qui, outre les talens que je
viens de
citer, volent encore sur les grands chemins, &
lemans Reuchlin, leur Thespis ; ils en sont encore là. Mais, comme je
viens de
l’insinuer, les peintures fortes, tristes, dégoût
même ; sur-tout si l’on considère que la Pièce parut dans un temps où
venaient de
cesser les guerres sanglantes qui n’avaient pour
le geste & le ton de l’Acteur à la mode*. Je conclus de ce que je
viens de
lire, que les Spectacles sont bons ; mais que les
heront qu’ils ne le puissent. *. D’autres veulent que le mot Comédie
vienne de
Comus, dieu de la Joie : alors Comédie signifiera
ite-Live dit, que les Enfans imitèrent les Comédiens qu’on avait fait
venir de
l’Etrurie ; & que c’est à cette imitation qu’
Dramatisme. 2. Cette Réflexion n’a pas échappé à un jeune Auteur qui
vient de
publier un Livre singulier, intitulé De l’Art du
s, à la manière des Prêtres de Mars. On dit que l’origine de ces Jeux
venait de
Lydie. Si quelques-uns de ces Jeunes-gens avaient
uet à ses pieds pour marquer que l’amour de sa vertu & du travail
vient de
Dieu, qu’il faut lui en rendre toute la gloire. L
piquent de l’imiter. Le Village de St. Ferjeux aux portes de Besançon
vient de
célébrer une Fête pareille à celle de Salenci. To
me aussi bien que contre les bonnes meurs. Le Chef du Corps-Municipal
vint de
Besançon avec les Compagnies bourgeoises, se rend
essants après le spectacle ? Ils le sont davantage ; la dépense qu’on
vient de
faire, les augmente ; la joie qu’on vient de goût
ntage ; la dépense qu’on vient de faire, les augmente ; la joie qu’on
vient de
goûter, la pompe qu’on vient de voir, les font mi
e faire, les augmente ; la joie qu’on vient de goûter, la pompe qu’on
vient de
voir, les font mieux sentir ; les passions qu’on
e par Tibère (Sueton. C. 42.). Théodoric écrit à cet Intendant, qu’il
venait de
nommer, pour l’instruire de ses devoirs et l’enga
ui vont nous régir, de cette Charte, si long-temps disputée, que nous
venons de
recevoir d’un Roi juste qui la secondera encore p
trompeur. C’est pourquoi, plein de confiance dans la nouvelle ère qui
vient de
s’ouvrir, je veux ajouter mon denier au tribut de
ma Mere, j’ai eu d’elle des Fils qui étoient mes Freres, & que je
viens de
voir s’entretuer. Chargé des imprécations de mon
ene. Dans l’Antigone un Pere arrive tenant dans ses bras son Fils qui
vient de
se tuer ; on lui présente en même tems le corps d
n souffrent pas. Ce Public cependant, qui pense en général comme nous
venons de
dire, ne cesse pas de changer d’avis, ou de paraî
les premiers la Tragédie, puisque D. Montiano dans le Discours qu’il
vient de
faire imprimer à la tête de sa Virginie, nous ass
e en Souveraine. C’est Muratori qui parle ainsi dans l’Ouvrage que je
viens de
citer : & comme on pourroit dire qu’un Savant
, & des Autos Sacramentales. On en peut juger par la Virginie que
vient de
donner D. Montiano. Athalie & Britannicus doi
ereaux des théâtres superbes. Les dépenses en furent énormes : on fit
venir de
tous côtés tout ce qu’on pût trouver de plus habi
de plus fou, de plus impudent, de plus bouffon. Le plus célèbre, qui
vint de
Toscane à Rome, s’appelait Hister, Histro, ou His
roles, habits, acteurs, tout eût été du goût des Païens. Un Païen qui
viendrait de
l’autre monde, y trouverait sa religion : un des
ses Poëmes sérieux, c’est ainsi qu’on les distingue de ceux dont nous
venons de
parler, a placé quelques Sentences, mais de maniè
u’elle a reçues n’ont pas été bornées à celles des Ecrivains que nous
venons de
citer. Plusieurs autres en ont parlé avec les mêm
gloire de l’avoir connue en partie. On conclura aisément de ce que je
viens de
dire, que les meilleurs sujets pour le nouveau Th
qui ne laisse pas malgré cette précaution de s’y corrompre, la faute
vient de
lui, et non pas de la Comédie. Du reste, je vous
être nous amuser innocemment. Mais comme a dit encore l’Auteur que je
viens de
citer à l’instant ; « les impressions du plaisir
es rougiraient s’ils se permettaient encore des indécences. Ce que je
viens de
dire, & les grands éxemples dont j’ai eu soin
r que ressentiront les cœurs honnêtes en voyant les indécences que je
viens de
découvrir, leur indiquera ce qu’ils doivent faire
derne, cesseront un jour d’être licencieux. Malgré tout ce que je
viens de
dire, on aurait tort de regarder notre Opéra comm
canonique des Comédiens. L’infamie civile des Comédiens, dont nous
venons de
parler, emporte nécessairement l’infamie ecclésia
». Ce qui pourrait servir à décider la question de Panorme, dont nous
venons de
parler. Cependant on peut dire, pour justifier ce
leur en fermer les portes, elle peut les priver des sacrements. Nous
venons de
voir l’exclusion des Comédiens de tout ordre sacr
. Plaid. 47. de M. Daguesseau, alors Avocat général. Ce fameux Acteur
vint de
Florence à Paris avec Laurenza Izabella, qu’il di
e ou les suit ; nos Balets sont au moins plus supportables. Ce que je
viens de
dire suffit pour donner en même-tems une idée des
en fesant naître des merveilles sans nombre. Il résulte de ce que je
viens de
dire, que le Théâtre lyrique rejette l’incroyable
tre couvert. Le Poète lyrique doit faire attention aux vérités que je
viens de
lui découvrir. Je le prie encore de remarquer ave
vieux mot François Baller, qui signifiait sauter, danser, se réjouir,
vient de
ce qui s’observait dans les Fêtes que donnait Lou
urront peut-être servir à le diriger dans ses travaux. Tout ce que je
viens de
dire doit montrer que le Théâtre lyrique est fond
cadémie de Musique ne laisse pas de s’en ressentir. Les causes que je
viens de
rapporter de la sensation moins vive que fait ce
n moins extraordinaire. Reprenons l’autre partie de l’objection qu’on
vient de
me faire. On me dit qu’en excluant de la Comédie
uple par la peinture des vices ridicules. Après la distinction que je
viens de
faire, je puis établir pour maxime générale, que
renvoie le Spectateur comme tout engourdi des passions violentes qui
viennent de
l’émouvoir. C’est à ce contre-coup délicat que l’
u’un malgré cette précaution ne laisse pas de s’y corrompre, la faute
vient de
ce quelqu’un, et non pas de la Comédie. J’aurais
de bienfaisance que Beauchâteau a déployé dans la circonstance que je
viens de
décrire, et qui a pris son origine dans la pratiq
qu’on est contraint de se hâter lentement. L’homme de mérite dont je
viens de
parler m’assura qu’il était aussi longtems à s’oc
udra mettre sur la Scène un nombre plus considérable que celui que je
viens de
proposer, il observera qu’il n’ayent rien à dire
jeune Débutante. Mademoiselle : Constance m’avait charmé ; mais Inès
vient de
faire couler mes larmes ; je l’ai vue des mêmes y
guérir quelque prière que vous m’en fassiez, parce que votre maladie
vient de
votre dérèglement. Il est vrai, lui répliquerait
gistrature, journellement honoré de sa présence & de ses faveurs,
vient de
lui marquer son zele & sa reconnoissance. M.
s médiocres en tous genres : car il a voulu essayer de tout. M. Dorat
vient de
faire représenter Adélaïde de Hongrie. Dans ce dr
laïde de Hongrie. Dans ce drame, qui seul peut justifier tout ce nous
venons de
dire, pour faire sa cour au Parlement, fait paroî
charpente de l’Opéra, par les mains d’un comédien italien qu’elle fit
venir de
Florence. Ce chef-d’œuvre universel de l’esprit h
niversité de Gênes, la même gazette déplore les pertes que le théatre
vient de
faire : car les papiers publics sont devenus le N
oluments, et point du tout ceux d’un Acteur de l’Opéra ? C’est ce que
vient de
nous apprendre un nouveau Mémoire de M. Travenoll
fondées à dire qu’elles sont comme les autres. Les réflexions que je
viens de
faire, Mademoiselle, sont sans doute fort désagré
ntendre avec le Musicien. P assons à des règles particulières. Je
viens de
jetter un coup d’œil général sur la musique des n
dre le Traité de Monsieur le Prince de Conti contre la Comédie, qu’il
venait de
donner au public. C’est pourquoi il composa un Li
oissy, op. cit., vol. 2, pp. 147-148. be. [NDE] Ces deux paragraphes
viennent de
Jean Croiset, Réflexions chrétiennes, vol. 2, Lyo
un mal qu’on ne devroit penser qu’à guerir. Quand même tout ce que je
viens de
dire ne seroit pas vrai, je ne vois pas comment o
ême des Mimes et des Pantomimes, ni de ces Farces Atellanes, que nous
venons de
nommer, où les Acteurs parlaient et dansaient à v
çons du sieur le Gros, célébre & immortel Coëffeur des Dames ; il
vient de
donner un grand Traité de son art, que l’Académie
& métiers, qu’elle donne à ce Traité de la coëffure des Dames, il
vient de
joindre un beau Supplément, car c’est un art infi
en apperçut, & lui dit en se moquant, ce que vous me demandez je
viens de
le refuser à votre pere . Pulchram rogabat Laïde
n porte une très-belle tête toute faite, qu’on adapte au visage qu’on
vient de
fabriquer, ainsi se continue la comédie ; car la
er, Si la Comédie-Ariette est tolérable ; mais pour appuyer ce que je
viens de
dire, du vide des Opéras-comiques & de leur i
n Mézetin, un Trivelin ; j’en dis autant des Acteurs des Parades : on
vient de
voir avec plaisir, dans le Tableau-parlant, Isabe
A prés que le Poète aura disposé son Drame, selon les règles qu’il
vient de
voir, il pourra commencer à l’écrire. Autrefois l
fond Dacier peut bien trouver sa place après les grands Hommes que je
viens de
citer, il mérite que sa voix soit comptée pour qu
sent ? Il se présente ici une question fort naturelle à ce que je
viens de
dire : pourquoi les Ariettes font elles tant de p
vous endormir avec la conscience d’avoir évité, durant la soirée qui
vient de
s’écouler, cette tentation que, le matin même, vo
ur les points suivants, qui sont la conséquence naturelle de ce qu’il
vient de
lire. D’abord, on ne peut se refuser à reconnaîtr
les dangers qui résultent des plaisirs de la scène sont tels que nous
venons de
les exposer, et cette vérité ne saurait être niée
ectacles & les Poëtes. Socrate, Glaucon. « De tout ce que nous
venons de
dire, il faut donc conclure que la Poësie imitati
tre fortifiés contre ses enchantemens par toutes les raisons que nous
venons de
dire, de peur de retomber encore dans cette passi
vulgaire, & profitons de ce qu’il a dit de bon. Le Passage que je
viens de
rapporter, contient de très-belles Reflexions, &a
& encore plus téméraire d’oser contredire son Traducteur, que je
viens de
faire connoître : qu’il me soit du moins permis d
seconde de ces manieres, & qui est meilleure que l’autre dont je
viens de
parler, c’est lorsqu’un homme agit avec connoissa
out tems fait regarder son Auteur comme le Législateur du Théâtre. On
vient de
voir que tous ses Principes conduisent à procurer
culpture & d’Architecture de Toulouse, quiaspire à l’immortalité,
vient de
créer la charge brillante de son Historiographe,
arler. Un instant plus tard, j’étais deshonoré dans son esprit ; elle
venait de
tout apprendre, je ne sais comment ; si la premiè
admettre & représenter une Parade de l’espèce de celles que nous
venons de
définir ? Un Citoyen, qui jouit de la réputation
qu’il a expressément condamnée dans la même page d’où les Vers que je
viens de
rapporter sont tirés. Car voici comme il commence
table de nôtre Religion une fois supposé, tous ces spectacles dont je
viens de
parler, sont-ils permis ou défendus ? Pouvés-vous
voulés entrer dans ces voies. Or ceux qui vivent de la maniere que je
viens de
dépeindre, ne composent pas sans doute le plus gr
étations plus étendues ; il n’en a point d’autres que les deux que je
viens de
marquer. Lorsqu’on dit, la Sçène ne doit point êt
Les Scènes sont composées de dialogues & de monologues. Ce que je
viens de
dire dans ce Chapitre, se rapporte à ces deux obj
regardée comme la plus parfaite de toutes les Tragédies modernes. Je
viens de
montrer qu’elle étoit conforme à tous les Princip
apprendre qu’on y est prêt à l’y nommer Roi à la place de Polybe qui
vient de
mourir. Cet Etranger qui est venu dans l’intentio
que veut on qu’il ressente durant la Représentation des Pièces que je
viens de
citer ? Que leur apprend le Tuteur dupé, dont on
, que le Théâtre, uniquement composé des Pièces dans le genre dont je
viens de
parler, « ne peut être comporté par l’austérité R
, votre charmant petit traître avance son Ouvrage……… Ah ma chère ! il
vient de
recevoir une de tes Lettres ; il me l’a montrée :
dans mes sentiments le don de l’engager à m’entendre. Monsieur, Je
viens de
lire votre lettre à M. D’Alembert. Je laisse à d’
cause ? La fatale affectation de mépriser les hommes. Votre état est
venu de
là. A force de calomnier la société, ses membres,
s dieux qui se déclare ?… Il l’examine encore, il voit tout ce que je
viens de
peindre, il se rappelle tout ce qu’il vient d’ent
ons injustes contre ceux-ci. On se convaincra facilement de ce que je
viens de
dire, en observant que le théâtre est maintenant
e, et se ressentirait des égards que mériterait l’Auteur : mais qu’il
vienne de
moi qui, pendant plus de quarante ans, ai exercé
où la passion d’amour soit traitée d’une manière instructive comme je
viens de
le proposer. 13. [NDA] On ne peut s’empêcher de
t. On a débité, 1774, un catalogue des livres de M. de Pontevert, qui
vient de
mourir : c’est un gros volume qui contient plusie
ôt retombés dans leur tombeau après cette résurrection momentanée. On
vient de
renouveller ce miracle & avec le même succès,
ur du théatre, les connoisseurs n’ont pas oublié la bonne comédie. On
vient de
réimprimer à Paris le Théatre de campagne, par l’
années après, une troisieme ensuite, une quatrieme que Henri IV. fit
venir de
Piémont, eurent le même sort. Louis XIII. permit
c d’Orléans régent en forma une qui subsiste encore. L’histoire qu’on
vient de
donner de ce théatre ne commence qu’à cette époqu
bons. L’opinion des gentils est, que ce sont les mêmes dieux qui sont
venus de
Samothrace. Le superbe et prodigieux Obélisque es
se passe dans ces lieux, et ce qui souille ces lieux mêmes, comme je
viens de
le montrer. Ce qui nous gâte sont les choses gâté
Considérons présentement les titres du jeu des Gladiateurs, dont nous
venons de
montrer l’origine. Quoique cette sorte de spectac
e plaisir, on peut compter les spectacles. Les convoitises, dont nous
venons de
parler, prises en général, renferment en soi les
n ; si l’appareil en est composé des ouvrages du démon (car ce qui ne
vient pas de
Dieu est l’ouvrage du diable) il s’ensuit manifes
u’Elisabeht, Reine d’Angleterre ; lis. que l’Empereur Leopold, que je
viens de
citer. pag. 166. lig. 1. où l’on trouve ; lis. o
as au moins ! Que je lui dois ! C’est-elle, oui, bien elle seule, qui
vient de
rétablir le calme dans mon cœur. Oh ! mon ami, tu
s qu’en harmonie parfaite avec celle de la Chaire et du Barreau qu’il
vient de
rappeler à leur gloire primitive. Aux yeux de que
plaisanterie : le grec porte que « toutes ces choses », dont l’Apôtre
vient de
parler, « ne conviennent pas », et c’était ainsi
sidérer les divers spectacles, non moins détestables, que ce que nous
venons de
dire : tu verras ès Théâtres, ce qui te causera g
De quelques naïves coutumes. On
vient de
publier des renseignements historiques sous un ti
n’étoit que pour trois fois la semaine. Lett. 27. L’Abbé de Voisenon
vient de
donner (juillet 1750) le Réveil de Thalie au théa
fait passer les plates plaisanteries. Lett. 95. Le Marquis du Rozet
vient de
faire jouer la comédie la Méchante C’est une fill
bien peu de chose. L’Abbe d’Olivet, Prêtre, & long-temps Jésuite,
vient de
donner une nouvelle édition de ses Remarques gram
s du Théâtre Français voyent mourir leurs pièces à l’instant qu’elles
viennent de
naître, c’est qu’ils n’ont pas sçû démêler si l’é
fois, l’Abbé d’Aubignac se trompe dans l’endroit de son Livre que je
viens de
rapporter ; il faut absolument le penser, le dire
s avoir creusé jusques dans la source de cette erreur, je vis qu’elle
venait de
l’ignorance de l’art, de la faiblesse du genie, d
eux et ignorant qui frappa d’anathème le cadavre de l’acteur que nous
venons de
désigner, faillit troubler la tranquillité publiq
ugement que les gens d’esprit et connaisseurs porteront du peu que je
viens de
dire sera mon guide, et me confirmera dans mes id
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