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1 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
umise aux puissances supérieures…. Il n’y a point de puissance qui ne vienne de Dieu…. Ceux qui résistent à l’ordre de Dieu attir
rebelles à la parole de Dieu, transmise par le saint apôtre que nous venons de citer ; mais encore ils sont criminels aux yeux d
t dans la violation de ces divins préceptes de Jésus-Christ, que nous venons de citer plus haut, que réside le principe de l’abom
e la communion de l’église romaine. Les vérités incontestables que je viens de proclamer, ne recèlent rien d’irrespectueux, ni d
ans l’ordre social, et toujours, d’après ce principe affreux que nous venons de citer, que c’est par la violence et par les punit
nement par le seul fait de la présentation des nouvelles lois dont je viens de parler plus haut, annonçait le désir de les obten
rêts du ciel. Les saints Evangélistes viennent à l’appui de ce que je viens de développer, dans l’intérêt direct du prince, qui
ans doute d’hypocrisie, la manière franche et loyale avec laquelle je viens de manifester d’immenses vérités utiles au roi, à l’
2 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Cinquième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 33-39
ez-vous voir… voulez-vous voir de son style, à cette Rivale ?… Agathe vient de me le remettre ; je le copie… Le voici ce Billet 
me fit promettre, avant de parler, de ne point chercher à la deviner, vient de m’assurer qu’elle est toute belle, cette épouse q
votre jugement sur nos Comédiens, trop rigoureux ou trop général. On vient de donner une Pièce célèbre, dans laquelle l’Acteur
3 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « [Introduction] » pp. 4-5
que l’on soit obligé de vous en donner de semblables sur ce que vous venez de faire à Aix qui n’est pas moins indigne de Chréti
s justement attiré ces nouveaux Avis, et que les circonstances que je viens de marquer ne faisant que rendre votre action plus s
4 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatorzième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 260-274
eines… J’ai tout osé… Quelle démarche, ô ma sœur ! quelle démarche je viens de faire ! Mais cette Lettre que vous m’avez renvoyé
zan rentra ; je paraissais jouir d’un calme, incompatible avec ce qui venait de se passer. Eh ! pourtant, que j’étais troublée ! 
sœur, c’est votre Projet.   Le fait qui sert de base au récit qu’on vient de lire, est-il arrivé sur le Théâtre de la Capitale
nne surpassait la *** ? L’avantage est tout du côté de celle que vous venez de voir, répondit il. Alors cette aimable & vert
trait de lumière : le Magistrat reconnut dans sa femme l’Actrice qui venait de le charmer : pénétré de reconnaissance, il sentit
5 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Troisième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 25-27
z que je devienne. Je suis tout à vous. D’Alzan. Un laquais étourdi vient de laisser tomber ce billet à mes pieds : je n’ai pu
tance ; j’ai mis une autre enveloppe ; j’ai déguisé mon écriture ; je viens de l’envoyer. A qui croyez-vous qu’il s’adresse ?… O
6 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE V.  » pp. 415-435
condition ne les en dût empêcher. Je n’en ai que contre ceux dont je viens de parler, lesquels par leurs sales paroles, actions
Troupes, apprenez deux choses, la premières que toute votre puissance vient de Dieu, la seconde que ce même Dieu vous demandera
mploie plus ordinairement à ces pernicieux divertissements. Ce que je viens de dire touchant Messieurs les Gens du Roi, qui souf
ateleurs est un vice cruel et détestable ». Le même Tertullien que je viens de citer, parlant de la scène et de l’échafaud des F
7 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « I. » pp. 6-8
tion de leur Pasteur était qu’il avait autant de mérite que celui qui venait de leur être enlevé, et qu’ils espéraient de retrouv
ls espéraient de retrouver dans le Successeur le même avantage qu’ils venaient de perdre avec le défunt, « Ut quidquid boni in illo
8 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XV. Des nouveautés & de leur nombre. » pp. 2-7
e douce létargie. Ainsi quand un Comédien fait les plaintes dont nous venons de parler, qu’il craigne qu’on ne lui dise : « Les A
es critiques, tout redouble. Si elle tombe, outre les fruits que nous venons de détailler ; le public tirera encore de cette espe
9 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 5. SIECLE. » pp. 147-179
Nous imitons en cela celui qui payerait d'une injure le plaisir qu'il viendrait de recevoir, et qui percerait le visage et le cœur d
supplice serait digne un esclave qui outragerait son maître de qui il viendrait de recevoir la liberté ? Il est hors de doute que ce
permis de rendre le mal pour le mal. Nous faisons toutefois ce que je viens de dire, nous nous disons Chrétiens, et par nos impu
se : Nous offrons donc à Dieu des Jeux infâmes pour les bienfaits qui viennent de lui, nous lui faisons des sacrifices exécrables,
ns ce monde, en attendant l'effet d'une bienheureuse espérance, et la venue de la gloire de Jésus, qui s'est donné lui-même pour
paraissent chez nous ? Mais quand on verrait entre eux tout ce que je viens de dire, ils ne seraient pas toutefois si coupables
10 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre IV. De l’illusion Théâtrale. » pp. 64-79
spectateur, n’aident-ils pas fortement à le séduire ? Des hommes qui viennent de rire ; de folâtrer avec les Comédiens, sont-ils b
iamans. « Si nous ne devons pas espérer, dit encore l’Auteur que nous venons de citer, que les Comédiennes préférent à l’ajusteme
rne, pour le soc & le masque comique. Il en résulte que celui qui vient de les entendre parler en Héros, en bergers, en père
11 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « MANDEMENT  du Chapitre d’Auxerre, Touchant la Comédie. » pp. 51-58
ous apprenons, N. T. C. F. avec la plus vive douleur, le scandale qui vient de paroître dans cette Ville, par le séjour d’une Tr
d’une partie de votre nécessaire. Dans une année, où la main de Dieu vient de s’appesantir sur nous, en nous ôtant la récolte q
12 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre prémier. De la Comédie-Bourgeoise, ou Comique-Larmoyant. » pp. 6-13
pe, du Glorieux. La Comédie-Bourgeoise se distingue des Drames que je viens de parcourir, par ce qu’elle prend son sujet parmi c
ne Comédie-Bourgeoise, se livraient à la gaieté dans l’instant qu’ils venaient de s’affliger. Je n’ai fait une telle découverte qu’
13 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
t qu’une faute légère, qu’il considère attentivement tout ce que nous venons de dire, et qu’il prenne bien garde que le plaisir e
nt parlé ci-devant assez amplement, joint que les deux Auteurs que je viens de produire, Salvian et Tertullien s’en sont suffisa
14 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16
antages. Quatre Architectes (MM. D’Ameun, Antoine, Doudilly, Liégeon) viennent de donner chacun un Plan, tant pour la construction
confection de la nouvelle Salle, le Théâtre des Tuileries que l’Opéra vient de quitter. On a raison de dire, que ce Plan entraîn
du civisme, de tous nos devoirs. Détruisons donc l’opposition dont je viens de parler, avant de construire des Théâtres, sans qu
15 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre III. Recherches nécessaires pour s’éclaircir si les Anciens ont connus l’Opéra-Bouffon. » pp. 101-108
vant que la Réligion chrétienne fut connue, & lorsque la Tragédie venait de prendre une forme convenable. Mon déssein n’est p
s, Comédie d’Aristophane & celui des Euménides ronflantes dont je viens de parler, ressemblent, on ne peut d’avantage, au fa
16 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
nos jours, l’aurait aussi été de l’Opéra-Bouffon ; le passage que je viens de rapporter en est une preuve, Boileau nous app
a même dans les bons Écrivains des endroits sublimes dont la grandeur vient de la petitesse énergique des paroles3. » Si l’on vo
nergique des paroles3. » Si l’on voulait récuser l’Auteur Grec que je viens de citer, sous prétexte de son ancienneté, & que
re avec raison consultait sa Servante7. Il résulte de tout ce que je viens de dire, que nous ne saurions trop aimer cet agréabl
17 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [K] » pp. 421-424
une infinité de monumens antiques, n’ont aucuns des défauts dont nous venons de parler. Rien n’est plus agréables que les masques
hanger de masque derrière le Théâtre. Par exemple, si le Père dont on vient de parler, entrait content sur la Scène, il présenta
18 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIX. Nouvel abus de la doctrine de Saint Thomas. » pp. 102-108
ima Collectio, Venise, 1770, tome XV, col. 417-418.].. Cette sévérité venait de l’ancienne discipline des pénitents, qu’on étenda
parlé de la pénitence, ainsi qu’il l’a reconnu dans le passage qu’on vient de voir sur les sentences. Qu’on ne fasse donc point
19 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouvrage intitulé : Des Comédiens et du Clergé, et sur les charlataneries littéraires, politiques et religieuses. » pp. 52-86
aux autres. Je suis donc entièrement de l’avis du journaliste que je viens de citer. Je pense encore que de pareils rapprocheme
e et arracha la vie au meilleur des rois. Et l’écrivain éhonté que je viens de citer, ose le présenter comme l’ami des jésuites 
inion de la théocratie et par conséquent des jésuites, ainsi que nous venons de le dire. On ne doit pas en être étonné, puisque l
ue les exemples ne manqueraient pas pour venir à l’appui de ce que je viens de dire. Car si on veut citer les grands conquérants
poléon, pendant l’espace de seize mois, vers la même époque dont nous venons de parler, et on évalue enfin à plus de cinq million
20 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre III. De l’Unité de lieu, de Tems & de Personne. » pp. 211-238
rchant à me faire croire que je vois encore dans sa chambre celui qui vient de passer dans un autre lieu. D’ailleurs, après que
larté, puisqu’au dernier Acte, il est dit que la pluspart des Acteurs viennent de souper. L’illusion serait plus grande si on l
e l’avanture qu’il ne voit qu’au Théâtre. Les beautés du Drame que je viens de citer achèveront de persuader (je m’en flatte au
er à l’Acteur les paroles de son Role. Si une partie de ce que je viens de dire parait trop minutieux, je prierai les Critiq
21 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre premier. » p. 162
a connoissance. Cette conformité avec les plaisirs anciens, dont nous venons de parler, ne m’empeschera pas de donner icy quelque
22 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Neuvième Lettre. De la même. » pp. 233-241
ais, me trompé-je ! On a cherché à s’assurer si l’avis donné à la *** venait de moi ; si les sentimens généreux qu’elle a montrés
re pour le peuple ? Si ce malheur arrivait, l’exécution du Plan qu’on vient de lire, serait le seul remède efficace.
23 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Sixième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 40-72
ns… Il m’a fourni jusqu’à mon titre : reconnais-tu sa main ? lui-même vient de l’écrire. Voici comme je débute. Observe que ce n
une école de vertu. ‌§ I.ER Inconvéniens des Spectacles. Ce qu’on vient de lire, ne concerne que le fond des Spectacles, con
ons-en les véritables causes. J’en découvre de deux sortes : les unes viennent de nous ; les autres de l’extérieur du Spectacle. Po
cordent pas avec les maximes qu’ils sont chargés de nous débiter ; je viens de faire comprendre qu’il est indispensable de détru
l’empereur Domitien fut obligé de répudier Domitia son épouse, qu’il venait de faire déclarer Augusta, parce qu’elle s’était épr
24 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre III. De la Fable Tragique. » pp. 39-63
quitte Zaïre en la regardant douloureusement. Aussi-tôt Orosmane, qui vient de recevoir d’elle, l’aveu le plus passionné, prend
ne fausse Religion pour la vraie, y auroit encore contribué ; mais on vient de voir un Prince rassuré sur la foi de sa fille, ex
si elles n’y sont pas vraisemblables, & que les exemples que nous venons de citer, n’ont pas peu contribué à la Décadence du
25 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49
que sont tombés dans une erreur encore plus visible, que celle que je viens de reprendre ; ils soutiennent que la Tragédie fut i
? Grace à M. de la Chaussée, & au Père de famille, tout ce que je viens de dire ne paraît plus hazardé. Le genre de la plais
le prouver. Causes de la décadence du Théâtre des Romains. Je viens de raporter en abrégé tout ce que l’on a écrit sur l
ls deviendraient l’ouvrage de plusieurs. L’on peut tirer de ce que je viens de dire une preuve assez claire du frivole & de
26 (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32
t innocent et fort honnête, les Ecclésiastiques tels que ceux dont je viens de parler qui iraient se délasser une fois la Semain
héâtre serait un sujet de scandale et de péché mortel, le Livre qu’il vient de mettre à la tête des pièces de Théâtre le rendrai
et après les exemples tout récents de l’application avec laquelle il vient de purger les ouvrages publics de tout ce qui altéra
es dons de la Cour sur le point de vieillir, Il méprise un métier qui vient de l’anoblir ; Et détestant ses Vers trop remplis de
27 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VII. Paroles de l’auteur et l’avantage qu’il tire des confessions.  » pp. 28-29
eur cœur : car il n’est point de plus grande accusation que celle qui vient de la bouche même du coupable. Le troisième enfin es
28 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE X. De la protection due aux Comédiens par le ministère public, contre les entreprises du fanatisme. » pp. 174-185
, contre la puissance du prince et celle des lois. Le délit dont nous venons de parler, considéré sous le point de vue de l’état
ire à la volonté du prince et aux lois de l’Etat. Les principes qu’on vient de lire, qui découlent de la Charte, sont anathémati
29 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Fautes à corriger. »
omédie, mettez un (*), & au bas de page, ajoutez en note : (*) Il vient de paraître un second Volume du Nouveau Théâtre Angl
30 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVIII.  » p. 489
XXVIII. Dieu ne nous impute pas les froideurs qui viennent de la soustraction de ses lumières, ou simplement de
31 (1675) Traité de la comédie « XXVIII.  » pp. 321-322
XXVIII. Dieu ne nous impute pas les froideurs qui viennent de la soustraction de ses lumières, ou simplement de
32 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. » pp. 297-328
arties du Chant théâtral à une seule voix. Le mot Français Ariette vient de l’Italien Aria. On entend par ce terme un certain
e qu’ils ne contredisent point les règles générales sur lesquelles je viens de jetter un coup d’œil. Que le Musicien ne doit
server que la musique nous plaît, nous enchante davantage lorsqu’elle vient de loin à loin, que lorsque notre oreille est comme
u’il ne soit qu’un développement, une èxplication étendue de ce qu’on vient de dire en abrégé. La raison de cette règle, c’est q
33 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VII. De la frivolité et de la familiarité. » pp. 150-162
sonnes qui réfléchissent peu, est une sorte de frivolité pratique qui vient de la façon légère d'envisager les choses et les per
aite ici. Je ne parle que des divers germes de la familiarité dont je viens de faire le détail, et que les personnes les plus po
e libertinage. Que respecteraient-ils dans des complices avec qui ils viennent de passer la nuit, qui les y ont entraînés, et leur
34 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Avis au lecteur. » pp. -
tesse ; le dernier a beaucoup d'endroits qui feront reconnaître qu'il vient de la même origine ; et si le dernier est rempli d'u
35 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XVIII. Sentiment d’Aristote.  » pp. 66-68
ni même les tragédies, quoiqu’elles fussent aussi sérieuses qu’on le vient de voir ; parce qu’il faut craindre, dit-il, les pre
36 (1675) Traité de la dévotion «  Méditation. » pp. 66-67
u tes plaisirs et tes délices, il en est la source, toute joie qui ne vient pas de lui se termine par la douleur, par la tristesse,
37 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VI. » pp. 98-114
ncevoir une juste horreur, & de désaprouver en sécret ce que l’on vient de canoniser au Parterre. L’action, selon Aristote1,
er Se rend digne de moi, s’il peut l’assassiner. La fureur des Duels vient de l’opinion fausse que l’on doit conserver son honn
38 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE PREMIER. Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre l’auteur du livre intitulé : Des Comédiens et du Clergé. » pp. 49-51
Ne pouvant espérer de faire insérer dans l’ouvrage périodique que je viens de citer, ma réponse à M. de Sénancourt, je me déter
39 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
et les Beaux-frères restant seuls, le sage prend occasion sur ce qui vient de se passer de pousser l’autre sur le chapitre de s
que « les âmes pudiques par cette vue sont blessées, et que cela fait venir de coupables pensées ». Elle lui répond « qu’il est
honnête, caressante et civile dont il aborde la compagnie, soi-disant venir de la part de Monsieur Panulphe, semble être là pour
esprit par la connaissance de la Vérité et de la Vertu : et quand il vient de la vue de l’ignorance et de l’erreur, c’est-à-dir
fait pas l’effet qu’il prétend ; ce qui le rend ridicule, comme vous venez de voir : mais cette galanterie est extrême aussi bi
t que je prétends. Vous me direz qu’il paraît bien par tout ce que je viens de dire, que les raisonnements et les manières de Pa
ls sont inutiles en eux-mêmes. Que si pourtant, malgré tout ce que je viens de dire, on veut que l’âme après le premier mouvemen
ffet dans les occasions aussi sérieuses que celles-ci ! Car, comme je viens de le remarquer, il ne faut point dire que ce soient
avez souhaité de moi : gardez-vous bien de croire pour tout ce que je viens de dire, que je m’intéresse en aucune manière dans l
40 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IV. Des Personnages. » pp. 239-251
Bouffon ne peut se dispenser de suivre ces règles. Tout ce que je viens de dire au sujet de ce qu’il faut observer dans la m
leurs productions, lui appliquassent ce Vers du cèlèbre Auteur que je viens de citer plus haut : Il faut que ses Acteurs badine
41 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seconde Lettre. De madame Des Tianges, À sa Sœur. » pp. 21-24
te chercher, te desirer : trompeuses apparences ! une jeune personne vient de quitter la retraite où elle fut élevée ; d’abord
42 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379
es qu’on les y trouve. Des Arcis. Si j’ai bien entendu ce qu’on vient de lire, madame Des Tianges n’a pas écrit pour défen
-il pas acquitté de tout ce qu’il doit à la vertu par l’hommage qu’il vient de lui rendre ? Des Arcis. Ceci n’est pas un i
himérique ; non, dans le système des Grecs, & dans celui que nous venons de voir. Le Projet de madame Des Tianges satisfait à
elquefois utiles, pour détruire cette même émotion dangereuse dont je viens de parler. Adelaïde. Sans vouloir passer pour s
amp; voici votre Egal, votre Concitoyen, votre Ami. La surprise qu’il venait de causer, lui donna lieu d’achever paisiblement ce
la même patrie : il fut reporté chez lui aux acclamations de ceux qui venaient de l’admirer. C’est ainsi que ce qui l’eût deshonoré
ROISIÈME ENTRETIEN. Les Mêmes. Des Arcis. Monsieur Des Tianges vient de me dire, que madame D’Alzan est satisfaite de vot
il dut se faire un nouveau changement dans les idées des hommes. Nous venons de voir les Théocrates dépossédés, renfermés dans le
nue, en plein Théâtre, aux yeux des Spectateurs une des Actrices qui venait de jouer ; afin que cette ignominie dont on la couvr
aient moins dangereux que ces scélérats, qui, outre les talens que je viens de citer, volent encore sur les grands chemins, &
lemans Reuchlin, leur Thespis ; ils en sont encore là. Mais, comme je viens de l’insinuer, les peintures fortes, tristes, dégoût
même ; sur-tout si l’on considère que la Pièce parut dans un temps où venaient de cesser les guerres sanglantes qui n’avaient pour
le geste & le ton de l’Acteur à la mode*. Je conclus de ce que je viens de lire, que les Spectacles sont bons ; mais que les
heront qu’ils ne le puissent. *. D’autres veulent que le mot Comédie vienne de Comus, dieu de la Joie : alors Comédie signifiera
ite-Live dit, que les Enfans imitèrent les Comédiens qu’on avait fait venir de l’Etrurie ; & que c’est à cette imitation qu’
Dramatisme. 2. Cette Réflexion n’a pas échappé à un jeune Auteur qui vient de publier un Livre singulier, intitulé De l’Art du
s, à la manière des Prêtres de Mars. On dit que l’origine de ces Jeux venait de Lydie. Si quelques-uns de ces Jeunes-gens avaient
43 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230
uet à ses pieds pour marquer que l’amour de sa vertu & du travail vient de Dieu, qu’il faut lui en rendre toute la gloire. L
piquent de l’imiter. Le Village de St. Ferjeux aux portes de Besançon vient de célébrer une Fête pareille à celle de Salenci. To
me aussi bien que contre les bonnes meurs. Le Chef du Corps-Municipal vint de Besançon avec les Compagnies bourgeoises, se rend
44 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129
essants après le spectacle ? Ils le sont davantage ; la dépense qu’on vient de faire, les augmente ; la joie qu’on vient de goût
ntage ; la dépense qu’on vient de faire, les augmente ; la joie qu’on vient de goûter, la pompe qu’on vient de voir, les font mi
e faire, les augmente ; la joie qu’on vient de goûter, la pompe qu’on vient de voir, les font mieux sentir ; les passions qu’on
e par Tibère (Sueton. C. 42.). Théodoric écrit à cet Intendant, qu’il venait de nommer, pour l’instruire de ses devoirs et l’enga
45 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
ui vont nous régir, de cette Charte, si long-temps disputée, que nous venons de recevoir d’un Roi juste qui la secondera encore p
trompeur. C’est pourquoi, plein de confiance dans la nouvelle ère qui vient de s’ouvrir, je veux ajouter mon denier au tribut de
46 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE III. En quoi consiste le Plaisir de la Tragédie, & de la grande émotion que causoient les Tragédies Grecques. » pp. 49-62
ma Mere, j’ai eu d’elle des Fils qui étoient mes Freres, & que je viens de voir s’entretuer. Chargé des imprécations de mon
ene. Dans l’Antigone un Pere arrive tenant dans ses bras son Fils qui vient de se tuer ; on lui présente en même tems le corps d
47 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE III. Réflexions sur le renouvellement du Théâtre. » pp. 36-41
n souffrent pas. Ce Public cependant, qui pense en général comme nous venons de dire, ne cesse pas de changer d’avis, ou de paraî
48 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. » pp. 176-202
les premiers la Tragédie, puisque D. Montiano dans le Discours qu’il vient de faire imprimer à la tête de sa Virginie, nous ass
e en Souveraine. C’est Muratori qui parle ainsi dans l’Ouvrage que je viens de citer : & comme on pourroit dire qu’un Savant
, & des Autos Sacramentales. On en peut juger par la Virginie que vient de donner D. Montiano. Athalie & Britannicus doi
49 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VII. De l’idolâtrie du Théâtre. » pp. 143-158
ereaux des théâtres superbes. Les dépenses en furent énormes : on fit venir de tous côtés tout ce qu’on pût trouver de plus habi
de plus fou, de plus impudent, de plus bouffon. Le plus célèbre, qui vint de Toscane à Rome, s’appelait Hister, Histro, ou His
roles, habits, acteurs, tout eût été du goût des Païens. Un Païen qui viendrait de l’autre monde, y trouverait sa religion : un des
50 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des Sentences mélées à l’action Théatrale, chez les Anciens & les Modernes. » pp. 153-158
ses Poëmes sérieux, c’est ainsi qu’on les distingue de ceux dont nous venons de parler, a placé quelques Sentences, mais de maniè
51 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  AVERTISSEMENT DE. L’ÉDITEUR. » pp. -
u’elle a reçues n’ont pas été bornées à celles des Ecrivains que nous venons de citer. Plusieurs autres en ont parlé avec les mêm
52 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XII. Des Spectateurs. » pp. 355-358
gloire de l’avoir connue en partie. On conclura aisément de ce que je viens de dire, que les meilleurs sujets pour le nouveau Th
53 (1707) Lettres sur la comédie « LETTRE, de Monsieur Despreaux. sur la Comédie. » pp. 272-275
qui ne laisse pas malgré cette précaution de s’y corrompre, la faute vient de lui, et non pas de la Comédie. Du reste, je vous
54 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58
être nous amuser innocemment. Mais comme a dit encore l’Auteur que je viens de citer à l’instant ; « les impressions du plaisir
es rougiraient s’ils se permettaient encore des indécences. Ce que je viens de dire, & les grands éxemples dont j’ai eu soin
r que ressentiront les cœurs honnêtes en voyant les indécences que je viens de découvrir, leur indiquera ce qu’ils doivent faire
derne, cesseront un jour d’être licencieux. Malgré tout ce que je viens de dire, on aurait tort de regarder notre Opéra comm
55 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
canonique des Comédiens. L’infamie civile des Comédiens, dont nous venons de parler, emporte nécessairement l’infamie ecclésia
». Ce qui pourrait servir à décider la question de Panorme, dont nous venons de parler. Cependant on peut dire, pour justifier ce
leur en fermer les portes, elle peut les priver des sacrements. Nous venons de voir l’exclusion des Comédiens de tout ordre sacr
. Plaid. 47. de M. Daguesseau, alors Avocat général. Ce fameux Acteur vint de Florence à Paris avec Laurenza Izabella, qu’il di
56 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. De l’Opéra-Sérieux. » pp. 184-251
e ou les suit ; nos Balets sont au moins plus supportables. Ce que je viens de dire suffit pour donner en même-tems une idée des
en fesant naître des merveilles sans nombre. Il résulte de ce que je viens de dire, que le Théâtre lyrique rejette l’incroyable
tre couvert. Le Poète lyrique doit faire attention aux vérités que je viens de lui découvrir. Je le prie encore de remarquer ave
vieux mot François Baller, qui signifiait sauter, danser, se réjouir, vient de ce qui s’observait dans les Fêtes que donnait Lou
urront peut-être servir à le diriger dans ses travaux. Tout ce que je viens de dire doit montrer que le Théâtre lyrique est fond
cadémie de Musique ne laisse pas de s’en ressentir. Les causes que je viens de rapporter de la sensation moins vive que fait ce
57 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — PREMIERE PARTIE. Quelle est l’essence de la Comédie. » pp. 11-33
n moins extraordinaire. Reprenons l’autre partie de l’objection qu’on vient de me faire. On me dit qu’en excluant de la Comédie
uple par la peinture des vices ridicules. Après la distinction que je viens de faire, je puis établir pour maxime générale, que
58 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
renvoie le Spectateur comme tout engourdi des passions violentes qui viennent de l’émouvoir. C’est à ce contre-coup délicat que l’
u’un malgré cette précaution ne laisse pas de s’y corrompre, la faute vient de ce quelqu’un, et non pas de la Comédie. J’aurais
59 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  piété et bienfaisance d’un comédien.  » pp. 365-370
de bienfaisance que Beauchâteau a déployé dans la circonstance que je viens de décrire, et qui a pris son origine dans la pratiq
60 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre prémier. Qu’on ne doit pas se figurer que la composition des nouveaux Drames soit aisée. » pp. 116-120
qu’on est contraint de se hâter lentement. L’homme de mérite dont je viens de parler m’assura qu’il était aussi longtems à s’oc
61 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre V. Du nombre des Acteurs. » pp. 252-256
udra mettre sur la Scène un nombre plus considérable que celui que je viens de proposer, il observera qu’il n’ayent rien à dire
62 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seizième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 278-281
jeune Débutante. Mademoiselle : Constance m’avait charmé ; mais Inès vient de faire couler mes larmes ; je l’ai vue des mêmes y
63 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XIII. » pp. 62-65
guérir quelque prière que vous m’en fassiez, parce que votre maladie vient de votre dérèglement. Il est vrai, lui répliquerait
64 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Anecdotes de Cour. » pp. 171-202
gistrature, journellement honoré de sa présence & de ses faveurs, vient de lui marquer son zele & sa reconnoissance. M.
s médiocres en tous genres : car il a voulu essayer de tout. M. Dorat vient de faire représenter Adélaïde de Hongrie. Dans ce dr
laïde de Hongrie. Dans ce drame, qui seul peut justifier tout ce nous venons de dire, pour faire sa cour au Parlement, fait paroî
charpente de l’Opéra, par les mains d’un comédien italien qu’elle fit venir de Florence. Ce chef-d’œuvre universel de l’esprit h
niversité de Gênes, la même gazette déplore les pertes que le théatre vient de faire : car les papiers publics sont devenus le N
65 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
oluments, et point du tout ceux d’un Acteur de l’Opéra ? C’est ce que vient de nous apprendre un nouveau Mémoire de M. Travenoll
fondées à dire qu’elles sont comme les autres. Les réflexions que je viens de faire, Mademoiselle, sont sans doute fort désagré
66 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. Que le Musicien doit seconder le Poète, & que le Poète doit s’entendre avec le Musicien. » pp. 292-296
ntendre avec le Musicien. P assons à des règles particulières. Je viens de jetter un coup d’œil général sur la musique des n
67 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PREFACE CONTENANT L’HISTOIRE DU DIX-SEPTIEME SIECLE, SUR LA COMÉDIE. » pp. -
dre le Traité de Monsieur le Prince de Conti contre la Comédie, qu’il venait de donner au public. C’est pourquoi il composa un Li
68 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XV. Les spectacles éteignent le goût de la piété. » pp. 133-137
oissy, op. cit., vol. 2, pp. 147-148. be. [NDE] Ces deux paragraphes viennent de Jean Croiset, Réflexions chrétiennes, vol. 2, Lyo
69 (1707) Réflexions chrétiennes « Réfléxions chrétiennes, sur divers sujets. Où il est Traité. I. De la Sécurité. II. Du bien et du mal qu’il y a dans l’empressement avec lequel on recherche les Consolations. III. De l’usage que nous devons faire de notre temps. IV. Du bon et mauvais usage des Conversations. Par JEAN LA PLACETTE, Pasteur de l’Eglise de Copenhague. A AMSTERDAM, Chez PIERRE BRUNEL, Marchand. Libraire sur le Dam, à la Bible d’Or. M DCCVII — Chapitre XIII. Du temps que l’on perd au bal et à la danse. » pp. 280-284
un mal qu’on ne devroit penser qu’à guerir. Quand même tout ce que je viens de dire ne seroit pas vrai, je ne vois pas comment o
70 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE IV. Des Femmes de Théâtre. » pp. 42-48
ême des Mimes et des Pantomimes, ni de ces Farces Atellanes, que nous venons de nommer, où les Acteurs parlaient et dansaient à v
71 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142
çons du sieur le Gros, célébre & immortel Coëffeur des Dames ; il vient de donner un grand Traité de son art, que l’Académie
& métiers, qu’elle donne à ce Traité de la coëffure des Dames, il vient de joindre un beau Supplément, car c’est un art infi
en apperçut, & lui dit en se moquant, ce que vous me demandez je viens de le refuser à votre pere . Pulchram rogabat Laïde
n porte une très-belle tête toute faite, qu’on adapte au visage qu’on vient de fabriquer, ainsi se continue la comédie ; car la
72 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [E] » pp. 399-406
er, Si la Comédie-Ariette est tolérable ; mais pour appuyer ce que je viens de dire, du vide des Opéras-comiques & de leur i
n Mézetin, un Trivelin ; j’en dis autant des Acteurs des Parades : on vient de voir avec plaisir, dans le Tableau-parlant, Isabe
73 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VIII. Du Stile. » pp. 287-319
A prés que le Poète aura disposé son Drame, selon les règles qu’il vient de voir, il pourra commencer à l’écrire. Autrefois l
fond Dacier peut bien trouver sa place après les grands Hommes que je viens de citer, il mérite que sa voix soit comptée pour qu
sent ? Il se présente ici une question fort naturelle à ce que je viens de dire : pourquoi les Ariettes font elles tant de p
74 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
vous endormir avec la conscience d’avoir évité, durant la soirée qui vient de s’écouler, cette tentation que, le matin même, vo
ur les points suivants, qui sont la conséquence naturelle de ce qu’il vient de lire. D’abord, on ne peut se refuser à reconnaîtr
les dangers qui résultent des plaisirs de la scène sont tels que nous venons de les exposer, et cette vérité ne saurait être niée
75 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
ectacles & les Poëtes. Socrate, Glaucon. « De tout ce que nous venons de dire, il faut donc conclure que la Poësie imitati
tre fortifiés contre ses enchantemens par toutes les raisons que nous venons de dire, de peur de retomber encore dans cette passi
vulgaire, & profitons de ce qu’il a dit de bon. Le Passage que je viens de rapporter, contient de très-belles Reflexions, &a
& encore plus téméraire d’oser contredire son Traducteur, que je viens de faire connoître : qu’il me soit du moins permis d
seconde de ces manieres, & qui est meilleure que l’autre dont je viens de parler, c’est lorsqu’un homme agit avec connoissa
out tems fait regarder son Auteur comme le Législateur du Théâtre. On vient de voir que tous ses Principes conduisent à procurer
76 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — [Introduction] » pp. -1
culpture & d’Architecture de Toulouse, quiaspire à l’immortalité, vient de créer la charge brillante de son Historiographe,
77 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Treizième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 254-259
arler. Un instant plus tard, j’étais deshonoré dans son esprit ; elle venait de tout apprendre, je ne sais comment ; si la premiè
78 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [P] » pp. 441-443
admettre & représenter une Parade de l’espèce de celles que nous venons de définir ? Un Citoyen, qui jouit de la réputation
79 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IV. » pp. 17-22
qu’il a expressément condamnée dans la même page d’où les Vers que je viens de rapporter sont tirés. Car voici comme il commence
80 (1705) Pour le Vendredy de la Semaine de la Passion. Sur le petit nombre des Elûs. Troisiéme partie [extrait] [Sermons sur les Evangiles du Carême] pp. 244-263
table de nôtre Religion une fois supposé, tous ces spectacles dont je viens de parler, sont-ils permis ou défendus ? Pouvés-vous
voulés entrer dans ces voies. Or ceux qui vivent de la maniere que je viens de dépeindre, ne composent pas sans doute le plus gr
81 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VI. Des Sçènes. » pp. 257-276
étations plus étendues ; il n’en a point d’autres que les deux que je viens de marquer. Lorsqu’on dit, la Sçène ne doit point êt
Les Scènes sont composées de dialogues & de monologues. Ce que je viens de dire dans ce Chapitre, se rapporte à ces deux obj
82 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XI. Les Grecs ont-ils porté plus loin que nous la perfection de la Tragédie ? » pp. 316-335
regardée comme la plus parfaite de toutes les Tragédies modernes. Je viens de montrer qu’elle étoit conforme à tous les Princip
apprendre qu’on y est prêt à l’y nommer Roi à la place de Polybe qui vient de mourir. Cet Etranger qui est venu dans l’intentio
83 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99
que veut on qu’il ressente durant la Représentation des Pièces que je viens de citer ? Que leur apprend le Tuteur dupé, dont on
, que le Théâtre, uniquement composé des Pièces dans le genre dont je viens de parler, « ne peut être comporté par l’austérité R
, votre charmant petit traître avance son Ouvrage……… Ah ma chère ! il vient de recevoir une de tes Lettres ; il me l’a montrée :
84 (1758) Lettre à M. Rousseau pp. 1-42
dans mes sentiments le don de l’engager à m’entendre. Monsieur, Je viens de lire votre lettre à M. D’Alembert. Je laisse à d’
cause ? La fatale affectation de mépriser les hommes. Votre état est venu de là. A force de calomnier la société, ses membres,
s dieux qui se déclare ?… Il l’examine encore, il voit tout ce que je viens de peindre, il se rappelle tout ce qu’il vient d’ent
85 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IV. Du Clergé considéré comme protecteur et fondateur des Comédiens du troisième âge en France, et comme en ayant lui-même exercé la profession. » pp. 113-119
ons injustes contre ceux-ci. On se convaincra facilement de ce que je viens de dire, en observant que le théâtre est maintenant
86 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PRÉFACE. » pp. -
e, et se ressentirait des égards que mériterait l’Auteur : mais qu’il vienne de moi qui, pendant plus de quarante ans, ai exercé
87 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. —  De la Comédie.  » pp. 267-275
où la passion d’amour soit traitée d’une manière instructive comme je viens de le proposer. 13. [NDA] On ne peut s’empêcher de
88 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre premier. Remarques Littéraires. » pp. 11-51
t. On a débité, 1774, un catalogue des livres de M. de Pontevert, qui vient de mourir : c’est un gros volume qui contient plusie
ôt retombés dans leur tombeau après cette résurrection momentanée. On vient de renouveller ce miracle & avec le même succès,
ur du théatre, les connoisseurs n’ont pas oublié la bonne comédie. On vient de réimprimer à Paris le Théatre de campagne, par l’
années après, une troisieme ensuite, une quatrieme que Henri IV. fit venir de Piémont, eurent le même sort. Louis XIII. permit
c d’Orléans régent en forma une qui subsiste encore. L’histoire qu’on vient de donner de ce théatre ne commence qu’à cette époqu
89 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
bons. L’opinion des gentils est, que ce sont les mêmes dieux qui sont venus de Samothrace. Le superbe et prodigieux Obélisque es
se passe dans ces lieux, et ce qui souille ces lieux mêmes, comme je viens de le montrer. Ce qui nous gâte sont les choses gâté
Considérons présentement les titres du jeu des Gladiateurs, dont nous venons de montrer l’origine. Quoique cette sorte de spectac
e plaisir, on peut compter les spectacles. Les convoitises, dont nous venons de parler, prises en général, renferment en soi les
n ; si l’appareil en est composé des ouvrages du démon (car ce qui ne vient pas de Dieu est l’ouvrage du diable) il s’ensuit manifes
90 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Corrections et additions. » pp. 364-368
u’Elisabeht, Reine d’Angleterre ; lis. que l’Empereur Leopold, que je viens de citer. pag. 166. lig. 1. où l’on trouve ; lis. o
91 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Septième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 282-286
as au moins ! Que je lui dois ! C’est-elle, oui, bien elle seule, qui vient de rétablir le calme dans mon cœur. Oh ! mon ami, tu
92 (1804) De l’influence du théâtre « PREFACE. » pp. -
s qu’en harmonie parfaite avec celle de la Chaire et du Barreau qu’il vient de rappeler à leur gloire primitive. Aux yeux de que
93 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXI. Réflexions sur la vertu qu’Aristote et Saint Thomas après lui ont appelée Eutrapelia. Aristote est combattu par Saint Chrysostome sur un passage de Saint Paul. » pp. 117-123
plaisanterie : le grec porte que « toutes ces choses », dont l’Apôtre vient de parler, « ne conviennent pas », et c’était ainsi
94 (1574) Second livre. Seconde épître. Cécile Cyprien à Donat [extrait] « letter » pp. 40-41
sidérer les divers spectacles, non moins détestables, que ce que nous venons de dire : tu verras ès Théâtres, ce qui te causera g
95 (1825) De quelques naïves coutumes « De quelques naïves coutumes. » pp. 262-266
De quelques naïves coutumes. On vient de publier des renseignements historiques sous un ti
96 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE IV. Extrait des Lettres de M. Clément. » pp. 85-106
n’étoit que pour trois fois la semaine. Lett. 27. L’Abbé de Voisenon vient de donner (juillet 1750) le Réveil de Thalie au théa
fait passer les plates plaisanteries. Lett. 95. Le Marquis du Rozet vient de faire jouer la comédie la Méchante C’est une fill
bien peu de chose. L’Abbe d’Olivet, Prêtre, & long-temps Jésuite, vient de donner une nouvelle édition de ses Remarques gram
97 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre prémier. Le sujet. » pp. 160-182
s du Théâtre Français voyent mourir leurs pièces à l’instant qu’elles viennent de naître, c’est qu’ils n’ont pas sçû démêler si l’é
fois, l’Abbé d’Aubignac se trompe dans l’endroit de son Livre que je viens de rapporter ; il faut absolument le penser, le dire
98 (1695) Preface [Judith, tragedie] pp. -
s avoir creusé jusques dans la source de cette erreur, je vis qu’elle venait de l’ignorance de l’art, de la faiblesse du genie, d
99 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêtres, contre des Comédiens français. » pp. 141-148
eux et ignorant qui frappa d’anathème le cadavre de l’acteur que nous venons de désigner, faillit troubler la tranquillité publiq
100 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver sur le Théâtre de la Réformation. Avant Propos. » pp. 118-127
ugement que les gens d’esprit et connaisseurs porteront du peu que je viens de dire sera mon guide, et me confirmera dans mes id
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