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1 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 12. SIECLE. » pp. 187-190
e la conversion des Mœurs, Chap. II. Quant à la vue des Spectacles vains , que sert-elle au corps, ou quel bien apporte-t-e
ais quel plus grand mal je lui pourrais souhaiter que la durée de ces vains , amusements qu'il recherche, et de cette inquiétu
continuation et leur durée. Que si les vanités ne sont que des choses vaines , comme nom seul le marque assez clairement ; Il f
nt ; Il faut nécessairement que le travail qu'on emploie à des choses vaines soit aussi vain qu'elles: O gloire ! Ô gloire, di
sairement que le travail qu'on emploie à des choses vaines soit aussi vain qu'elles: O gloire ! Ô gloire, dit un Sage, qu'êt
gloire, dit un Sage, qu'êtes-vous parmi la plupart des hommes, qu'une vaine enflure que le cœur conçoit par l'oreille ? Et ce
oreille ? Et cependant combien cette vanité heureuse, ou plutôt cette vaine félicité produit-elle de malheurs ? C'est de là q
de la Cour, Chap. 8. Notre siècle s'attachant à des fables e à de vains amusements, ne prostitue pas seulement les oreill
2 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXIII.  » p. 493
ier avec une crainte si juste de maux effroyables qui la menacent les vaines réjouissances du monde, et repaître son esprit de
menacent les vaines réjouissances du monde, et repaître son esprit de vains fantômes dont les Comédies le remplissent ? N'est
lui donne est trop précieux, pour le perdre malheureusement dans ces vains amusements ? De sorte que lorsqu'elle s'y abandon
3 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVII.  » pp. 486-488
témoigne de même le mépris qu'elle lui faisait concevoir de tous les vains discours et de tous les vains amusements de ce mo
'elle lui faisait concevoir de tous les vains discours et de tous les vains amusements de ce monde. « Narraverunt mihi iniqui
-dire selon l'explication de S. Grégoire, que lorsqu'on se repaît des vaines joies du monde, les sens spirituels deviennent en
4 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « PRÉFACE. » pp. 3-6
ture Sainte et par les Pères de l’Eglise, pour ne plus suivre que les vaines subtilités d’un raisonnement humain et philosophi
s, ils fermeront l’oreille à la vérité pour ne la plus ouvrir qu’à de vaines fables et à des contes. »Ibid. 4. 3. Il a paru
de flambeaux capables de dissiper les ténèbres de ceux qui aiment ce vain amusement ; mais comme les goûts des hommes sont
5 (1707) Réflexions chrétiennes « Réfléxions chrétiennes, sur divers sujets. Où il est Traité. I. De la Sécurité. II. Du bien et du mal qu’il y a dans l’empressement avec lequel on recherche les Consolations. III. De l’usage que nous devons faire de notre temps. IV. Du bon et mauvais usage des Conversations. Par JEAN LA PLACETTE, Pasteur de l’Eglise de Copenhague. A AMSTERDAM, Chez PIERRE BRUNEL, Marchand. Libraire sur le Dam, à la Bible d’Or. M DCCVII — Chapitre XIII. Du temps que l’on perd au bal et à la danse. » pp. 280-284
x qui se font une grande affaire d’un amusement aussi creux, et aussi vain que celui-ci. Je compte pour beaucoup plus la man
, et l’admiration même des assistans. Et que peut-on imaginer de plus vain qu’une telle pretension ? Qu’y a-t’il même de plu
e ce ne soit un contretemps insupportable, que de rechercher tous ces vains divertissemens lors qu’on est appellé à gémir et
6 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVIII.  » p. 489
e celles auxquelles nous avons contribué par notre négligence, et nos vains divertissements. Il veut que nous n'estimions rie
cher de l'augmenter, ils n'aient point craint de l'éteindre par leurs vains divertissements, et qu'il ne leur impute comme un
7 (1675) Traité de la comédie « XXVIII.  » pp. 321-322
e celles auxquelles nous avons contribué par notre négligence, et nos vains divertissements. Il veut que nous n'estimions rie
cher de l'augmenter, ils n'aient point craint de l'éteindre par leurs vains divertissements, et qu'il ne leur impute comme un
8 (1675) Traité de la comédie « XXXIII.  » pp. 328-329
r avec une crainte si juste des maux effroyables qui la menacent, les vaines réjouissances du monde, et repaître son esprit de
lui donne est trop précieux, pour le perdre malheureusement dans ces vains amusements. De sorte que lorsqu'elle s'y abandonn
9 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 3 : Livre VI, chap. 15] » pp. 663-664
μείνους ἢ μεθίεναι. » Et Euripide In Alcest. qui fournit ses actes de vaines Images d’Ames pour étonner les Auditeurs, n’a poi
lant à ceux de sa connaissancek, c’est que son Esprit est troublé des vaines fantaisies, ou qu’il songe en son ami décédé. « N
10 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « I. Point. » pp. 178-200
tions et à des chimères, fait voir d’autre part qu’il est devenu plus vain que la vanité, puisqu’il préfère l’image à la réa
tout ce qui est dans le monde lui paraît un bagage d’hôtellerie, une vaine décoration de théâtre où ceux qui ont joué les pl
our s’en faire aimer, il le dépouille aussitôt de ce fard et de cette vaine apparence qui pourrait l’éblouir parce qu’il est
quelle impiété ! C’est pourtant là que conduit la représentation des vains spectacles. Elle fait encore un effet plus malin
l’attachement déréglé à ces fictions dangereuses. Est-ce donc pour de vains fantômes que vous avez imprimé en nos cœurs tant
e Jésus-Christ nous oblige à ne rien négliger, et à dissiper tous les vains prétextes dont on se sert pour autoriser de parei
11 (1675) Traité de la comédie « XXVII.  » pp. 318-320
témoigne de même le mépris qu'elle lui faisait concevoir de tous les vains discours, des gens du monde : « Narraverunt mihi
dire, selon l'explication de S. Grégoire, que lorsqu'on se repaît des vaines joies du monde, les sens spirituels deviennent en
12 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Que le Compositeur doit chercher à peindre. » pp. 340-344
Que seraient donc alors les accompagnemens ? Ils ne formeraient qu’un vain bruit. N’est-ce pas les lier aux paroles avec les
soin ; on désire d’y trouver de l’èxpression, du génie, & non de vains bruits. J’ai souvent vu telle Ouverture faire mal
13 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « III. » pp. 12-16
rist, qui est une école de mortification et de renoncement à tous ces vains plaisirs ; Et que peut-on concevoir de plus indig
erre, sans qu’ils les détournassent jamais de côté ou d’autre par une vaine curiosité ; mais ayant les paupières abaissées, i
14 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien premier. Sentiment du reverend Pere Bourdaloue de la Compagnie de Jesus, touchant les Bals & les Comedies en general. » pp. 8-16
rquoi, dirois-je, mettre ma conscience au hazard dans une chose aussi vaine que cella-la, & dont je puis si aisement me p
n’en ressens aucune impression, & je n’en suis nullement touché. Vaine excuse qu’ils traitoient, ou de déguisement &
sans étude, sans connoissance, sans attention à leur Salut, de femmes vaines , dont toute la science se reduit à une parure, do
15 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IV. » pp. 17-22
rque, Ainsi que le Berger, ne passe le Monarque ; C’est d’un scrupule vain s’alarmer sottement, Et vouloir aux Lecteurs plai
ons les applaudir à leur pieuse erreur, Mais pour nous bannissons une vaine terreur. » Ne dirait-on pas en effet que M. Des
16 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre II. De deux sortes de Danses, dont il est parlé dans l’Ecriture Sainte. » pp. 6-13
ssent au son du Tambour, et des autres Instruments, et qu’après cette vaine et courte joie ils se précipitent dans les enfers
leur sensualité ; mais encore pour honorer leurs faux Dieux dans leur vaine , et impertinente Religion. Ce qu’ils ont fait par
17 (1686) La Comédie défendue aux chrétiens pour diverses raisons [Traité des jeux et des divertissemens] « Chapitre XXV » pp. 299-346
ont même extrémement nuisibles ; saint Ambroiseg, parce qu’elles sont vaines  ; saint Jerômeh, parce que nous ne devons pas met
es, aux Comedies, aux Joütes ; aux Tournois, ni aux autres Spectacles vains & profanes, de peur que leurs oreilles &
mp; Farceurs, là où il y a dissolution, impudicité & plaisanterie vaine . » Le Concile Provincial de Bourdeauxd en 1583.
eur que la pureté du Sacerdoce ne soit soüillée par la vûë des choses vaines & malhonnêtes. » Les Statuts & Réglemens
s les Ordres sacrez d’assister aux Comédies, ni aux autres spectacles vains & profanes, de crainte que leurs oreilles &am
la Comedie, les farces, les bousonneries & les autres spectacles vains & profanes leur sont défendus, s’imaginent qu
que charmer les oreilles & surprendre les yeux par des apparences vaines & pernicieuses, & ils ne doivent pas seul
mum ingredi solet. 4. Parce que l’Opera est veritablement un de ces vains spectacles que les Conciles & les Prelats de
ge que les farces, les boufonneries, les marionnettes, & tous les vains amusemens de cette nature, soient interdits aux v
p; farceurs, là où il y a dissolution, impudicité & plainsanterie vaine . » Du Concile Provincial de Bourdeaux en 1583b.
18 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien second. De la vanité des Bals & Comedies en general tiré des Sermons du R. Pere Claude la Colombiere de la Compagnie de Jesus. » pp. 17-25
plus prophanes, qui affectent une propreté si mondaine, des habits si vains , des ajustemens si ridicules, des maniéres si peu
executer que par des voïes si abominables ? Quoi si cette fille n’est vaine & ne voit ce monde, elle ne sauroit rencontre
mp; le vôtre, & son éternité & la vôtre, pour une felicité si vaine si chimerique, pour une felicité qui ne doit dure
19 (1715) La critique du théâtre anglais « TABLE DES PRINCIPALES matières. Contenues dans ce Volume. » pp. 494-500
es Grecs ; mais moins aussi que nos Auteurs, 163 Exemple des Païens ; vain prétexte pour des Chrétiens, principalement en ce
condition ont des mœurs plus saines dans Plaute et dans Térence, 251 Vaine Justification de l’Astrologue Joué, dans sa Préfa
20 (1690) Entretien sur ce qui forme l’honnête homme et le vrai savant « VII. ENTRETIEN. » pp. 193-227
omme tirait la vertu de son propre fond, et l’âme enchantée par leurs vains discours se repaît de vaines idées, et prend un e
propre fond, et l’âme enchantée par leurs vains discours se repaît de vaines idées, et prend un esprit tout Païen. En un mot,
ison de l’orgueil qu’elle inspire. Comme elle n’est fondée que sur de vaines idées, qui sont le principe de l’orgueil, elle l’
onner ; et après tout c’est une nécessité que l’esprit s’arrête à ces vains amusements quand on n’a fait que de fausses étude
21 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre II. Utilité des Spectacles. » pp. 8-21
senter des Drames, si l’on avait régardé cet amusement utile comme un vain plaisir, défendu par la sagesse, & qu’on ne p
ceux qui dédaignent le Théâtre est heureusement très-médiocre ; leurs vaines clameurs ont peine à se faire entendre. Ils pourr
ppliqueront à se surpasser les uns les autres. Je n’ai en vue que les vains raisonneurs, les prétendus philosophes du siécle,
22 (1684) Epître sur la condemnation du théâtre pp. 3-8
in, pour l’appuyer, la volupté s’empresse ; La Comédie expire, et son vain défenseur Ne sert qu’à réveiller le courroux du C
’un Lully les divines fureurs ! Loin de nous, l’appareil de tous ces vains spectacles, Qui doivent leur éclat aux fabuleux m
23 (1675) Traité de la dévotion « Chapitre III. De la trop grande sensibilité aux plaisirs de la terre ; troisième source de l’indévotion. » pp. 58-65
ent incompatibles avec la dévotion, parce qu’ils remplissent l’âme de vaines passions, et nous avons besoin d’une âme libre. I
uvres et les affligés, te soient ce que sont aux gens du monde, leurs vaines courses, leurs jeux, et leurs conversations empor
24 (1698) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras au sujet des Tragédies qui se représentent dans les Collèges de son Diocèse [25 septembre 1698] « Mandement  » pp. 37-43
r autoriser ces désordres. Ce sont ces lâches condescendances sous le vain prétexte de s’accommoder à de mauvais usages et d
faut écouter et qu’il faut suivre. Malheur à qui s’en écarte sous de vains prétextes, et qui se laisse conduire par des guid
25 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXII.  » p. 492
ite des plaisirs inutiles, que la recherche d'un divertissement aussi vain et aussi dangereux que la Comédie: et s'il se con
26 (1675) Traité de la comédie « XXXII.  » p. 327
ite des plaisirs inutiles, que la recherche d'un divertissement aussi vain , et aussi dangereux que la Comédie. S'il se consi
27 (1675) Traité de la comédie « XXXIV.  » p. 330
ies, qui ne sont que les ombres des ombres, puisque ce ne sont que de vaines images des choses temporelles, et souvent de chos
28 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXIV.  » p. 494
res des ombres, et les figures des figures, puisque ce ne sont que de vaines images des choses temporelles, et souvent de chos
29 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 14
mes complices de ce parricide, et nous nous répandrons dans des joies vaines et mondaines ! il n’y a rien de si contraire à l’
30 (1707) Réflexions chrétiennes « Réfléxions chrétiennes, sur divers sujets. Où il est Traité. I. De la Sécurité. II. Du bien et du mal qu’il y a dans l’empressement avec lequel on recherche les Consolations. III. De l’usage que nous devons faire de notre temps. IV. Du bon et mauvais usage des Conversations. Par JEAN LA PLACETTE, Pasteur de l’Eglise de Copenhague. A AMSTERDAM, Chez PIERRE BRUNEL, Marchand. Libraire sur le Dam, à la Bible d’Or. M DCCVII — Chapitre XII. Du temps que l’on perd à la Comedie, et aux autres spectacles de même nature. » pp. 269-279
ien, que celles que la Comedie inspire. Elle remplit l’imagination de vaines chimeres, qui l’occupent incessamment, et qui la
us propre à inspirer du degoust pour ces saintes occupations, que les vains fantômes dont tout ceci remplit ordinairement l’e
31 (1675) Traité de la comédie « XXXV.  » p. 331
ment pourrons-nous croire que nous puissions repaître nos yeux de ces vains spectacles, et mettre notre contentement en ce qu
32 (1774) L’homme du monde éclairé « L’homme du monde éclairé » pp. 150-171
nanciers ne sont plus grossiers ; si les gens de cour ne sont plus de vains petits-maîtres ; si les médecins ont abjuré la ro
ue les plus rusés ne le sont pour ne pas l’être. Après tout, c’est un vain scrupule de se refuser à la galanterie. C’est une
aimoit les apothéoses. Un jour Louis XIV, fatigué, sans doute, de ce vain encens, demanda au Duc de Montausier ce qu’il pen
33 (1753) Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies et les mascarades [Missionnaire paroissial, II] « Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies & les mascarades. » pp. 268-287
suivent dans leur conduite la vanité de leurs pensées : enchantés des vaines apparences du Monde, ils ne cherchent qu’à rempli
se trouve jamais l’esprit de Dieu. Danses, bals, comédies, spectacles vains & dangereux, renoncez à tous ces restes du pa
amp; que la mort approche où il vous faudra rendre compte de tous ces vains amusements ; en un mot qu’ils sont indignes d’une
34 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — VII.  » p. 461
attirent, comme dit un Prophète, l'iniquité dans leurs cœurs par ces vains amusements : « Vae qui trahitis iniquitatem in fu
35 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXV.  » p. 495
ment pourrons-nous croire que nous puissions repaître nos yeux de ces vains spectacles, et mettre notre contentement en ce qu
36 (1607) Recit touchant la comédie pp. 2-8
s des jésuites : ce sera, si l’on croit ces drôles, un passetemps, un vain épouvantail, un jeu de trois jours, un spectacle
u de trois jours, un spectacle remplissant les esprits mal assurés de vaines et détestables imaginations. Le vrai, tout-puissa
37 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 3. SIECLE. » pp. 107-119
ermis aux Chrétiens de se trouver en ces assemblées. Que dirai-je des vaines et inutiles occupations de la Comédie, et des gra
oivent fuir ces Spectacles, qui sont, comme nous l'avons déjà dit, si vains , si pernicieux, si sacrilèges : Nous devons garde
38 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XV. Application de la doctrine précédente aux danses et aux bals qui se font aujourd’hui. » pp. 94-96
dre part sans péché mortel. 3. Y a-t-il rien de plus fréquent que ces vains exercices, desquels suivant la raison même nature
39 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre III. Que les anciens Pères de l'Eglise défendirent aux Chrétiens d'assister aux Jeux du Théâtre, parce que c'était participer à l'Idolâtrie. » pp. 57-89
riture Sainte des paroles pour autoriser l'idolâtrie, et défendre les vaines superstitions qui sont mêlées dans tous les Spect
de l'Écriture Sainte ; qui considère toujours l'Idole pour une chose vaine et sans réalité, comme Saint Paul dit que l'Idole
ur dans l'Amphithéâtre. Enfin dans tous les lieux destinés à tous ces vains ébattements se trouvent ensemble les Démons et to
40 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 4. SIÈCLE. » pp. 120-146
r les vanités, puisque Jésus-Christ a crucifié dans sa chair tous les vains plaisirs du monde ? C'est pourquoi détournons nos
a défendu les paroles de raillerie, et celles qui ne tendent qu'à un vain divertissement ; mais le Démon nous persuade d'ai
e bien davantage, si vous aviez soin de les éviter. Quittons donc ces vaines excuses, et ne cherchons point des prétextes si d
41 (1675) Traité de la dévotion «  Méditation. » pp. 66-67
jà reçus ou déjà possédés en espérance, pourrais-je être sensible aux vains plaisirs de la terre ?
42 (1677) L’Octavius « Paragraphe XII du texte latin » pp. 42-46
ce des choses présentes, combien ces promesses et ces espérances sont vaines  ? Apprenez, pauvres misérables, ce qui vous doit
43 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXV.  » p. 484
s incapable de l'application à Dieu, et qui la remplisse davantage de vains fantômes. Ce sont d'étranges prières que celles q
44 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « introduction » pp. 175-177
ai. 48. , quoiqu’il retranche par là tout ce qui sert de pâture à une vaine curiosité, ou dont la connaissance renfermant de
45 (1824) Du danger des spectacles « INTRODUCTION. » pp. 1-3
résor le plus précieux de tous, et qui est bien au-dessus de tous les vains plaisirs du monde et de tous ses frivoles amuseme
46 (1675) Traité de la comédie « XXV.  » pp. 314-316
lus incapable de s'appliquer à Dieu, et qui la remplisse davantage de vains fantômes. Ce sont d'étranges prières que celles q
47 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XI. Son opposition à l’Evangile. » pp. 23-24
fliction un tourment, l’humiliation un supplice, & la modestie un vain scrupule. N’est-ce pas-là attaquer de front Dieu
48 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XII. De l’autorité des Pères.  » pp. 49-51
cherchent les uns les autres, la trop grande occupation à des choses vaines , les éclats de rire qui font oublier et la présen
49 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XV. La tragédie ancienne, quoique plus grave que la nôtre, condamnée par les principes de ce philosophe.  » pp. 61-63
les héros ou affligés ou en colère, pour des biens ou des maux aussi vains que sont ceux de cette vie ; n’y ayant rien, pour
50 (1664) Traité contre les danses et les comédies « INSTRUCTION, et avis charitable sur le sujet des Danses. » pp. 177-198
de danser à présent ? Non. Pourquoi ? Parce que c’est une occupation vaine , sensuelle, dangereuse, reprouvée par le S. Espri
anse, assure qu’elle ne s’est jamais trouvée parmi les recréations et vains passe-temps, ni avec ceux qui dansaient, ou qui f
51 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXV. Conclusion de tout ce discours. » pp. 138-152
vent si naturellement, et qu’elles ont tant d’affinité, que c’est une vaine entreprise de les vouloir séparer. C’est pourquoi
là plus périlleuses ; ni se passionner si violemment pour des choses vaines . Au reste, il range toujours ces malheureux diver
52 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — I. Fin principale de l’Incarnation du Verbe. » pp. 5-6
; qu’ils lui prescrivent si expressément de renoncer au siécle, à ses vains désirs, & aux passions mondaines, abnegantes
53 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — V. La Comédie donne des leçons de l’amour impur. » pp. 9-11
impur. Ce n’est point ici une accusation hasardée ni exagérée par un vain scrupule ; c’est leur objet direct, c’est le but
54 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
! Réponses appuyées du sentiment des plus grands Auteurs. Ces vaines repliques ne sauraient ébranler les partisans du
ient entendre une Pièce de Théâtre, tandis qu’on repaît son esprit de vains sons, de gigues, de gavotes. On est si accoutumé
fon. Qu’on ne prenne point ceci pour des discours en l’air ou pour de vains sophismes. Les gens judicieux n’ont qu’à réffléch
55 (1666) De l’éducation chrétienne des enfants « V. AVIS. Touchant les Comédies. » pp. 203-229
urs langues, auxquelles il n’est pas permis de proférer aucune parole vaine et qui ne convienne point, comme dit S. Paul, à l
Dieu, et dans un temps où tous ses sens sont occupés à se repaître du vain plaisir qui se présente à eux, et où ses pensées
a défendu les paroles impertinentes, et celles qui ne tendent qu’à un vain divertissement : mais le démon nous persuade d’ai
56 (1764) De l’Imitation théatrale ; essai tiré des dialogues de Platon : par M. J. J. Rousseau, de Genéve pp. -47
réalité, ne produisent même cette apparence, qu’à l’aide de quelques vaines ombres & de quelques légers simulacres qu’il
loin du vrai, de sentir que ce sont des couleurs sans consistance, de vains fantômes, des ombres ; & que, pour tracer de
es sur les choses les moins dignes de l’occuper, en confondant par de vains simulacres le vrai beau avec l’attrait mensonger
urageusement nos propres maux que ceux dont nous n’appercevons qu’une vaine image ? Quoi ! serons-nous les seuls qui n’aurons
57 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre VII. Des Carozels. » pp. 191-195
années dans la court des Thuilleries, pour lors n’estoit qu’une Place vaine , ou qu’un reste de Jardin en desordre. Mais le Si
58 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVIII. Doctrine de l’écriture et de l’église sur le jeûne. » pp. 98-101
componction, ou des comédies qui vous remplissent la tête de plaisirs vains et mondains, quand ils seraient innocents ? Levi
59 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « LIVRE QUATRIEME. » pp. 1-3
, qu'on ne les met aux prises que pour les vaincre l'une par l'autre. Vaine chimère, ridicule prétexte ; comme si un poison é
60 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 19-20
tour vous vous réjouissiez quand ils s’attristeront. Leurs joies sont vaines et frivoles, et les vôtres seront solides et véri
61 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VI. Du sérieux et de la gaieté. » pp. 128-149
consolatio ?  » (de Conversion. C.  12.). Ce monde n'est qu'une ombre vaine , une figure qui passe : « Præterit figura hujus m
« Quel dommage de semer dans la terre de notre cœur des affections si vaines et si sottes, qui occupent la place des bonnes ?
s, attentif et modeste, il ne connaît ni emportement, ni légèreté, ni vaine joie, ne se dissipe, ni ne dissipe les autres : «
de mauvais goût parmi de bonnes viandes, tout cela rendait inutile et vaine leur franchise de parler, et n'en demeurait que l
62 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Siécle de Louis XV. Chap. 2. » pp. 161-170
jouer avec les Princesses. Baron avoit-il tant de tort d’être un peu vain  ? Jamais acteur n’avoit eu des éleves & des c
a qu’à tirer des contributions, dont elle avoit plus de besoin que du vain honneur de voir le Doge de la petite République d
63 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre prémier. Qu’on ne doit pas se figurer que la composition des nouveaux Drames soit aisée. » pp. 116-120
ssemens dont nous comblons notre Spectacle, ses cris ne forment qu’un vain murmure. Elle est digne de notre pitié, plutôt qu
64 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seizième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 278-281
prodigué par une foule d’étourdis, avait pu me flater, que je serais vaine  ! Inès a porté dans tous les cœurs, l’attendrisse
65 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
uvez votre félicité sur la terre, et qui la faites consister dans les vaines joies de la terre ! Mais du reste sans altérer en
rquoi, dirois-je, mettre ma conscience au hasard dans une chose aussi vaine que celle-là, et dont je puis si aisément me pass
e je n’en ressens aucune impression, et je n’en suis nullement touché Vaine excuse qu’ils traitoient, ou de déguisement et de
ans étude, sans connoissance, sans attention à leur salut ; de femmes vaines , dont toute la science se réduit à une parure, do
ittez-vous, voilà votre principale obligation : n’engagez pas pour un vain plaisir le sang de vos freres et la substance des
66 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIII. Si les Comédiens doivent prendre le titre de Compagnie. » pp. 122-128
cette langue qui fit les délices de l’Europe entiére, dégénére en une vaine délicatesse, en un puéril rafinement. A qui s’en
67 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIII. La Comédie considérée dans les Acteurs. » pp. 26-29
rétiens ? Le tître de mere qu’ils donnent à l’Eglise n’est donc qu’un vain nom ? Ne le diroit-on pas, à voir l’empressement
68 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVII. On y risque tout par une seule assistance. » pp. 40-44
le de dangers qu’on court aux Spectacles ? Nos allarmes étoient-elles vaines  ? Le cœur est-il impénétrable aux attraits empois
69 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre III. Du Bal. » pp. 178-183
ent point jusqu’aux grimaces des Precieuses, ou aux contorsions d’une vaine Vielle, ou d’une sotte Provinciale. Ie n’entends
70 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « II. Point. » pp. 201-218
d’un comédien, qu’est-ce qu’on va chercher dans la comédie ? Sinon un vain plaisir qui sera d’autant plus vif que la pièce t
a-t-il à balancer, Chrétiens mes frères, et chercherez-vous encore de vaines excuses et des prétextes déplorables, le meilleur
71 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V. Le but des auteurs et des acteurs dramatiques est d’exciter toutes les passions, de rendre aimables et de faire aimer les plus criminelles. » pp. 51-75
erreur. Soit ; mais quelle est cette pitié ? une émotion passagère et vaine , qui ne dure pas plus que l’illusion qui l’a prod
ition et de vengeance ; des fantômes de vertu, qui en imposent par un vain coloris de grandeur ; des personnages qui, par le
’il favorise. Quel est le plus blâmable d’un bourgeois sans esprit et vain , qui fait sottement le gentilhomme, ou d’un genti
72 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
le de Dieu. « Lorsque une fois l’on s’est accoutumé à se nourrir des vaines jouissances du monde, le goût des choses spiritue
se sont publiquement prononcés contre la tendance pernicieuse de ces vains amusements du monde ; et un grand nombre de perso
ves, une autre scène nous attend, scène imposante et terrible, où les vains plaisirs et les frivoles passe-temps, auxquels no
73 (1694) Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de Qualité, sur le sujet de la Comédie « letter » pp. 3-127
e chauve, et il arrachera leurs cheveux ; il les dépouillera de leurs vains ornements, et il changera leurs parfums en puante
he, parce que cela ne se faisait pas d’une manière lascive et pour un vain plaisir, mais d’une façon religieuse et en se réj
les plaisirs que Dieu lui présente, et d’aimer mieux courir après les vains divertissements du siècle » : « Cur tam ingratus
véritables Chrétiens sont encore obligés de les éviter, à cause de la vaine pompe qui en est inséparable, et qui ne compatit
t rien de la superstition et de la licence des Gentils, à cause de la vaine pompe qui les accompagnait, il a aussi condamné l
ies d’aujourd’hui, où l’on emprunte du siècle tout ce qu’il a de plus vain et de plus pompeux pour éblouir les Spectateurs.
st dommage, dit-il, de semer en terre de notre cœur des affections si vaines et si sottes : cela occupe le lieu des bonnes imp
onnes considérations qui empêchent les dangereuses impressions que le vain plaisir qu’on a reçu pourrait donner à nos esprit
des Spectacles ; qu’on y étale encore tout ce que le monde a de plus vain et de plus pompeux, qu’on y fait toute sorte d’ef
e servir des paroles de saint Augustin, ils doivent mépriser tous les vains amusements du monde, pour ne se nourrir l’esprit
74 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE IV. Détail des péchés qu'on commet en allant aux Spectacles. Réponse à ceux qui demandent s'il y a péché mortel, et si tous ceux qui y vont, sont également coupables. » pp. 76-81
le dérobe à ses occupations, à ses devoirs les plus pressants pour de vains spectacles, qui seraient de ce côté-là criminels
75 (1768) Compte rendu du Monthly Review pp. 288-290
eat applause, and finding that all attempts to gain her point were in vain , continued to perform as usual ever since. « This
76 (1768) Instructions sur les principales vérités de la religion « CHAPITRE LII. De la Comédie et des Spectacles ? » pp. 142-146
spectacles qui remplissent l’esprit et l’imagination de tant d’objets vains , ridicules et séduisants ? Peut-il approuver qu’o
77 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VII. Sentimens des Prédicateurs. » pp. 168-180
t ; car, pourquoi mettre ma conscience au hasard dans une chose aussi vaine dont je puis si aisément me passer ? ils sont don
pprendre à résister à la tentation, permet que le Démon lui expose ce vain éclat, comme un exemple de ce que le père du mens
78 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IX. Sentiments de S. Ambroise. » pp. 200-211
ias falsas. » Mais quels sont surtout ces folies, ces faux biens, ces vains plaisirs, si réellement dangereux ? Ce sont les s
or qui nequior, ille meus est qui suus non est ». A quoi bon tous ces vains scrupules ? profitons du temps, aimable jeunesse,
79 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 19-42
lisse : cependant c’est cette prétenduë insensibilité qui est la plus vaine illusion, & en quoi consiste son mal : car la
libertés ; qu’une Dame, dont les yeux, les paroles, les habits, l’air vain & coquet cinquante fois par jour étudié au mi
iblesse de nôtre nature, ou se faire une vertu chimerique, ou par une vaine présomption vouloir trouver sa sureté au milieu d
80 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE I. Condamnation de la Comédie par la sainte Ecriture, par les Conciles et par plusieurs raisons. » pp. 7-11
e, dit : Qu’il est absurde que des chrétiens attirés par les plaisirs vains et trompeurs que le diable leur présente, soient
81 (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351
es toutes charnelles, et partagée entre la honte, la complaisance, la vaine gloire, et la vue affreuse des derniers désordres
? quelle honte m’accable ? Mais pourquoi ces remords et ces scrupules vains  ? J’ai fléchi le plus grand, le plus fier des hum
été proposés aux Fidèles que pour les détourner des spectacles et des vains amusements. « Oubliant et rejetant les folies et
uvant qu’elle est fatiguée et tourmentée par la faim et la soif d’une vaine curiosité, et que c’est en vain qu’elle cherche à
82 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
ussi l’ouvrage de Dieu. Ignorance humaine, combien fais-tu valoir tes vaines raisons ; surtout lorsqu’il s’agit de la perte de
titre de temple un ouvrage profane, et se moqua de la police sous un vain prétexte de religion. Le théâtre n’est pas seulem
inutilité, se trouvant là où il n’y a rien à profiter. Or une action vaine et inutile ne convient point, ce me semble, aux C
t ce qu’ils maudissent ne les regarde point. Ainsi leur affection est vaine et leur haine est injuste. A la vérité, il est pe
ent attaché à ce plaisir. Laissez Chap. 28. aux parasites du démon la vaine satisfaction de s’engraisser des mets qu’il leur
83 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre III. Que les Danses sont défendues aux Ecclésiastiques. » pp. 14-21
ensi. Le second défend l'ivrognerie, les ris immodérés, les contes vains et ridicules, les jeux profanes et séculiers, et
84 (1677) L’Octavius « Paragraphes XXXVI-XXXVIII du texte latin » pp. 159-171
fon d’Athènesb crie tant qu’il voudra qu’il ne sait rien, et fasse le vain de ce que des démons trompeurs l’en ont estimé sa
85 (1825) De quelques naïves coutumes « De quelques naïves coutumes. » pp. 262-266
r vos contemporains selon l’usage immémorial de ceux qui profèrent de vaines paroles. DE SENANCOUR 1. [NDA] Des Comédiens et
86 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106
ce avec les fureurs du Cirque, avec l'impudicité du Théâtre, avec les vains exercices des Athlètes, et avec les cruautés de l
ur répondrons, qu'il ne faut jamais acheter un divertissement par une vaine et inutile occupation : car un homme sage ne préf
87 (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167
ur qui nous occupent exclusivement, qu’à ces plaisirs factices, à ces vaines grandeurs dont nous nous montrons si vivement ido
arce qu’ils seront consolés ». Philosophes du jour, âmes superbes et vaines  ! ôtez donc, ôtez cette morale à celui qui souffr
ns lequel le théâtre est tombé sur ce point, ce n’est donc pas par un vain scrupule, ou par un esprit d’adulation superstiti
es armes. Faut-il donc s’étonner si, malheureusement, séduits par le vain éclat de ces fausses maximes, que professe trop s
sé, crie à l’injustice, à la calomnie ; mais l’homme sensé rit de ces vaines clameurs, et l’auteur qui veut en mériter le nom
, et vous n’en aurez plus rien à redouter. Ne nous abusons pas par de vaines idées de perfection : trop d’austérité dans les p
corrompre la masse générale des citoyens. Sans nous inquiéter de ces vaines clameurs, que tout homme judicieux sait apprécier
ide et d’estimable. Tandis que l’homme frivole court après un honneur vain et chimérique, il gémit lorsque la nécessité le f
froide indifférence et qu’un silence accablant. Mais en méprisant une vaine gloire, l’orateur du barreau marche avec intrépid
public. Que lui importe que la société lui prodigue ou lui refuse de vains applaudissements ? la récompense de l’homme de bi
Qui, content d’émouvoir, négligeait l’art de plaire. D’une éloquence vaine il dédaignait les fleurs : Il n’avait que des cri
gens sensés et sans passion ont bien su démêler à travers toutes les vaines déclamations qu’on fait en faveur de ceux qui cul
88 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre V.  » pp. 129-160
utôt de ces blaphêmes, malheureusement trop beaux. Dans un siècle si vain , dans un monde frivole Où la beauté du sexe est l
eux, on ajoûte,     Laisse les préjugés, & que rien ne t’étonne, Vain avec tes égaux, hardi contre les Dieux, Comme il
t le philosophe, & joue le sage sur la comédie.     Au lieu d’un vain hochet elle a pris la sérule, Par elle maintenant
autre. Les apologistes qui concluent de l’un à l’autre, ne font qu’un vain sophisme, dont un esprit raisonnable ne se dissim
89 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
rreurs, Sur des mots captieux profèrer des oracles, Par des prestiges vains fabriquer des miracles ? De Lisbonne à Fekin, d’A
si parle-t-il au Marquis d’Argens.     Oui, la vie est un songe, une vaine fumée,         Un théatre où l’illusion         A
la sagesse profonde, &c. Mais que devient au fond cette raison si vaine , Qui sur les animaux fait si fort la hautaine ? J
90 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54
ile, une vie de mortification, d’insensibilité, et de mort à tous les vains plaisirs et les fausses joies du monde.Ad Coloss.
plaisirs qu’ils recherchent, on les voit continuellement passer d’un vain amusement à un autre. De la table au jeu, du jeu
il est vrai qu’une infinité de chrétiens n’ont plus à présent qu’une vaine et trompeuse apparence de Religion qui les distin
91 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE II. Le Théâtre purge-t-il les passions ? » pp. 33-54
que celles des Grecs avaient toutes un pareil dénouement. « C'est un vain scrupule, dit-il, qui n'aboutit à rien. On n'en d
s, Vive école des passions, Qui charment les cœurs idolâtres De leurs vaines illusions, Où par des aventures feintes, On nous
après des papillons le long d'un abîme. Le monde n'est lui-même qu'un vain fantôme ; ses biens, ses honneurs, ses plaisirs,
92 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXX. Profanation du dimanche : étrange explication du précepte de la sanctification des fêtes. » pp. 109-116
l’inutilité et au plaisir. Après cela, je ne daignerais répondre à la vaine excuse qu’on fournit à la comédie dans les jours
93 (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426
ise, de tout ce que l’idolatrie approuve plus largement, combien sont vains ces jeux de prix, comme les débats ès couleurs, l
uter ceux, que la Grèce envoie de toutes parts, instruits de ses arts vaines et frivoles, pour chatouiller les oreilles : l’un
94 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XII. Que la représentation des Comédies et Tragédies ne doit point être condamnée tant qu'elle sera modeste et honnête. » pp. 237-250
e qu'ils en reçoivent, si ce n'est qu'ils y consument leur bien en de vaines profusions, ou qu'ils le donnent à des Bouffons q
95 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIII. L’Opéra est le plus dangereux de tous les spectacles. » pp. 111-117
ter. En effet, « le théâtre lyrique n’offre à l’âme que l’ivresse des vains plaisirs et les charmes de la séduction. C’est là
96 (1705) Traité de la police « Chapitre II. De l’origine des Histrions, des Troubadours, des Jongleurs, et des autres petits spectacles qui ont précédé en France l’établissement des grandes pièces de Théâtre, et des Règlements qui les ont disciplinés. » p. 436
ommun Proverbe, lorsqu’on voulait parler d’une chose mauvaise, folle, vaine ou fausse, on la nommait jonglerie ;Rigor. de ges
97 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE PREMIER. Peinture & Sculpture. » pp. 4-40
e monde ? Vous les étalés, le sang des Lucreces ne coule pas dans vos vaines  : cette suite & ce mélange de portraits forme
einture & de la sculpture, dont il appelle les ouvrages une ombre vaine , un travail sans fruit, umbra picturæ, effigies,
t les théatres qui les font aimer, leurs adorateurs courent après une vaine image, se repaissent d’une couche de blanc &
t vrai, que les images entretiennent la passion jusqu’à s’épencher en vains discours, à des actes sans vie, qui ne peuvent ni
98 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IX. » pp. 158-170
les yeux au milieu de sa carriere, on a regardé sa retraite comme un vain scrupule ; c’étoit plutôt un retour de sa foi écl
99 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Livre second. » pp. 2-7
rieur. Le cœur est le mobile de tout : sans lui nous n’aurions que de vaines apparences. On ne peut se passer de religion. Mai
100 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 15-18
jeu, point de vanité ni d’envie en ces compagnies mondaines, point de vaine complaisance en vous ou en votre fille au bal ? O
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