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1 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « APOSTILLE » pp. 33-57
passion ne fait point parler contre Molière et si on l’attaque par un véritable esprit de charité ou pource qu’il a fait le Tartu
e l’on en voulût qu’aux tartufes. Je veux que ce qu’ils publient soit véritable et que le faux et le véritable dévots n’aient qu’
s. Je veux que ce qu’ils publient soit véritable et que le faux et le véritable dévots n’aient qu’une même apparence. Mais Molièr
nt voulu perdre. Dans toutes les lectures que son auteur a faites aux véritables dévots, cette comédie a toujours triomphé à la ho
out ce que des gens comme eux ont de coutume, et se sont servis de la véritable dévotion pour empêcher de jouer la fausse. Je n’e
ication, puisque je prétends prouver qu’il est impossible de jouer un véritable dévot, quand même on en aurait dessein et que l’o
que fait Tartuffe, tout le monde aurait crié : « Ce n’est point là un véritable dévot, c’est un hypocrite qui tâche à nous trompe
m d’hypocrite, mais encore qui en fait les actions, soit pris pour un véritable dévot ? Cela est inouï. Il faudrait que l’ordre d
ter naturellement ce qu’elles sont. Si l’on représente ce que fait un véritable dévot, l’on ne fera voir que de bonnes actions ;
ue de bonnes actions ; si l’on ne fait voir que de bonnes actions, le véritable dévot ne sera pas joué. L'on me dira peut-être qu
nes auront à peine commencé d’agir que l’on dira d’abord : « Voilà un véritable dévot. Voilà un hypocrite. » Il est impossible de
tte matière. Je vous dirai pourtant, avant que de la quitter, que les véritables dévots ne sont point composés, que leurs manières
2 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 3. SIECLE. » pp. 107-119
e si on la pousse ? Il faut donc retirer son esprit de ces folies. Un véritable Chrétien a bien d'autres divertissements plus rel
vertissements plus relevés que ceux-là, s'il a de la passion pour les véritables et utiles plaisirs. Qu'il s'applique à la lecture
débauche ; qui par de feints adultères, enseignent à en commettre de véritable  ? Que feront les jeunes hommes, et les filles, vo
, comme le corps aux viandes délicieuses, il faut préférer les choses véritables à celles qui sont fausses, les éternelles, aux pa
ez plaisir à chanter, et à entendre chanter les louanges de Dieu : Le véritable plaisir est celui qui est accompagné de la vertu,
a volupté que le Diable nous conduit à la mort : comme on acquiert le véritable bien par de faux maux, on se procure les véritabl
mme on acquiert le véritable bien par de faux maux, on se procure les véritables maux par de faux biens. Il faut donc éviter les p
3 (1804) De l’influence du théâtre « PREFACE. » pp. -
ablissement de l’éloquence de la Chaire et du Barreau. Mais comme la véritable morale en doit toujours être la compagne insépara
nce de la Chaire dans la société civile. En l’examinant donc sous son véritable point de vue, j’ai établi qu’elle était d’un gran
ns, elle maintenait l’harmonie sociale ; en offrant aux malheureux de véritables consolations, et leur aidant à supporter les pein
, et ont fait de la France le berceau comme le séjour ordinaire de la véritable éloquence. Passant ensuite à l’influence réelle d
ion, et de donner à ceux que des talents particuliers y appellent, un véritable lustre dans la société. L’influence du Barreau es
4 (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167
ssement sur des bases qui puissent relever en France leur ancienne et véritable splendeur. Ecrire tout à la fois en faveur de l
n, je la commencerai par l’examen de la Chaire, sous le rapport de sa véritable influence dans la société civile. DE LA CHAIRE.
honteuses ; mais ils ne voient point d’amis qui s’intéressent à leur véritable gloire, et qui osent plaider généreusement aux pi
it donc de bien mauvaise foi, lorsque, pour arrêter les progrès de la véritable morale, elle semait partout les soupçons et la dé
e ses premiers devoirs9 ; qu’en un mot, indifférents aux succès de la véritable morale, nous n’attacherons d’importance et de pri
es de l’ancienne barbarie, elle ne présentera plus que l’aspect d’une véritable horde de sauvages, dont nous aurons tout à redout
déployant toute la sévérité de ses vengeances, n’aura cette douce et véritable influence de la morale religieuse, qui, par le se
irer sur l’indigence et le malheur, les regards chastes et purs de la véritable bienfaisance. Pour juger de l’efficacité de leur
rangs confondus venaient autrefois arroser l’autel, des larmes de la véritable pitié ; où tous les cœurs, embrasés du feu sacré
t n’est-ce pas réellement dans la chaire évangélique où croissent les véritables lauriers ; où se trouvent les palmes immortelles,
urce du mal ; c’est aux mains adroites et puissantes à administrer le véritable remède. DU THEATRE Sans doute, il est bien
r accordons alors de distinctions et d’hommages particuliers, est une véritable indiscrétion. Elle accoutume le commun des hommes
montrent seules combien il importe en France de ramener le théâtre au véritable but de son institution, celui de corriger et d’in
en amusant ; ce sera le seul moyen de donner à l’art de la comédie un véritable lustre, et de replacer celui qui le cultive au ra
’esprit du peuple les grandes idées religieuses, si nécessaires à son véritable bonheur, c’est ce dont il n’est pas permis de dou
si égaré par l’imposture ou l’ignorance, il ne va pas la puiser à sa véritable source, qui peut lui en garantir l’inaltérable pu
décadence du théâtre, dit-il, on se voit contraint de substituer aux véritables beautés éclipsées, de petits agréments capables d
u sien ; et quoique au milieu du luxe et de l’abondance, et vivant en véritable Epicurienne, elle ose encore chaque jour disputer
faut que, comme les choses elles-mêmes, tous les hommes soient à leur véritable place. Mais laissons ce que l’ouvrage a de bon ou
France éplorée, d’accréditer sur la scène ce préjugé barbare, que le véritable honneur est réellement intéressé à laver dans le
éâtre ancien et moderne, tant de jeunes gens confondent si souvent la véritable valeur avec cette fausse bravoure, qui n’en a que
rre, l’honneur d’un trépas fameux, n’est pas toujours la marque d’une véritable valeur. Le désir immodéré d’une injuste dominatio
n pays : voilà ce qui présente les caractères d’un vrai courage, d’un véritable héroïsme, soutenu dans le calme et le sang froid
x d’afficher leur vengeance, en est-il beaucoup qui, comme ce Romain, véritable ami de la patrie qu’il portait dans son cœur, soi
taille rangée, longtemps éludé le plus court chemin qui conduisait au véritable champ de l’honneur ? Mais ce n’est pas à cela qu
r, les objets ne paraissent donc presque jamais à nos yeux sous leurs véritables couleurs ; nous y sommes donc presque toujours le
qui dans Polyeucte avait peint avec tant d’énergie le triomphe de la véritable religion ; que celui qui, dans Esther, avait si é
de réussir et de plaire à la multitude, fait si souvent sacrifier la véritable morale au mauvais goût ou à la dépravation du siè
ement qui s’y est introduit, corrigeons-les, ramenons-les tous au but véritable de leur institution, qui ne peut être celui de co
n’écrive qu’au flambeau de la vérité, et qu’avec les sentiments d’un véritable ami de la patrie. Qu’aura-t-il donc alors à redou
e ces vaines clameurs, que tout homme judicieux sait apprécier à leur véritable valeur, épurons-donc la scène, veillons scrupuleu
es par la nature ; et c’est un usage aussi abusif que contraire à nos véritables jouissances, que celui qui, de nos jours, s’est i
iège de Calais, nous a présenté un tableau si noble et si touchant du véritable amour de la patrie, ne saurait-il plus trouver d’
lui, ne sont pas d’une moindre importance. Pénétré de ses devoirs, le véritable avocat ne saurait lui refuser un appui tutélaire,
à la triste humanité, il n’en servira qu’avec plus de zèle encore ses véritables intérêts, il oubliera jusqu’à l’éclat de sa propr
qui serait funeste à la société ; voilà les sentiments qui animent le véritable jurisconsulte. Ah ! que celui qui n’en ressent pa
sein épancher sa douleur et chercher un remède à ses maux : il est le véritable ami de la détresse, et si par de salutaires conse
, pour l’éloquence et pour l’humanité ! Dans les tribunaux civils, le véritable intérêt des parties permet rarement à l’avocat de
rve et compromet tout à coup la justification ? Ceux qui, élevés à la véritable école du barreau, sont par eux-mêmes en état d’en
ier ornement. Ainsi le barreau français, rétabli dans son ancienne et véritable splendeur, pourra, comme celui de Rome et d’Athèn
u’une arme inutile ou dangereuse. Alors, incertain ou flottant sur le véritable sens de ses dispositions, il était forcé de remon
grands modèles, ils ramèneront et perpétueront les beaux jours de la véritable éloquence. CONCLUSION. Si, de toutes les re
n cœur droit, un esprit éclairé, mais je le dis par le sentiment d’un véritable intérêt pour la société, non, il n’y a rien que j
essort particulier de l’orateur chrétien qui enseigne et développe la véritable morale, il appartient à celui du barreau de force
es se hâtent donc d’abjurer tout ce qui peut arrêter le progrès de la véritable morale, ou que plutôt, devenus eux-mêmes ses zélé
mêmes ses zélés panégyristes sur la scène, ils la transforment en une véritable école d’éloquence et de bon goût, dont la religio
rendre un état brillant, sans doute, mais peu propre à le mener à une véritable considération, puisque un ancien préjugé devait n
des frères de Floridor n’était donc fondée que sur la prudence et un véritable intérêt. La vengeance qu’il cherche à en tirer, e
à l’époque où la pièce a paru, c’est-à-dire sous un Prince ami de la véritable piété, était propre à signaler ceux qui en prenai
ligieux, il en est plusieurs qui ont la faiblesse de dissimuler leurs véritables sentiments pour échapper au ridicule et de prendr
guère propre qu’à égarer le petit peuple, qui ne distingue jamais la véritable piété de la fausse. L’un et l’autre ayant toujour
ile, n’a pas un grand intérêt à réprimer tout ce qui tend à avilir la véritable morale de l’évangile ? 54. NDA Préface de Cochi
5 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  RECAPITULATION. » pp. 382-390
recs si habiles dans tous les beaux Arts, connurent de bonne heure le véritable goût de chaque Piéce de Poësie. Elle cherche à am
lque chose de puérile, qui la frappent vivement, elle fit entendre de véritables gémissemens, & voilà pourquoi Aristote ne rec
s l’Imitation. Le désordre regna par tout. J’ai placé l’Epoque de sa véritable renaissance à Corneille, qui prit une route très-
-grand & très-rare, est certainement admirable : mais est-elle la véritable  ? Elle ne l’est point, si les hommes aiment mieux
6 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « AVERTISSEMENT »
t sur des préjugés qui semblaient assez forts ; mais je ressentis une véritable joie de ce désaveu Iorsqu’il parut, et je doutais
avoué la Lettre avec édification du Public ; mais celui qui en est le véritable Auteur, et non pas tant l’Auteur même que les rai
7 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « [Lettre] » pp. 4-32
et ne s’attacheraient pas à l’apparence du mal plus fortement que la véritable dévotion ne voudrait que l’on fît au mal même. Je
eux. Je vous laisse à juger si un homme sans passion et poussé par un véritable esprit de charité parlerait de la sorte : « Certe
cet argument est convaincant, il doit avec justice faire douter de la véritable religion. Il faut avouer que les ignorants et les
Les gens qui ne sont point préoccupés ne l’en blâmeront jamais et les véritables dévots n’y trouveront rien à redire. Ce scrupuleu
avaient mine d’honnêtes gens. Toutes ces preuves sont fortes et aussi véritables qu’il est vrai qu’il n’y a point d’honnêtes gens
8 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54
p de Cestes comme votre Hercule, mais par les armes spirituelles d’un véritable Evêque, par la Foi, par la Prière, par la vigilan
Voilà, mes Pères, ce qu’on appelle des désordres dignes du zèle d’un véritable Evêque et contre lesquels le Prélat défunt n’aura
e votre Hercule, mes Pères, s’il n’avait pour objet que d’empêcher de véritables abus comme celui-là. Mais s’il combat dans votre
9 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « I. » pp. 6-8
ste, et combien il est contraire à la piété et aux sentiments que les véritables Chrétiens ont toujours fait paraître en de sembla
qu’ayant pitié de l’abandonnement où nous sommes, il daigne donner un véritable Pasteur à son Eglise qu’il a fondée lui-même, et
10 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE I. Que les Spectacles sont des plaisirs défendus. Preuves de cette défense tirées de l'Ecriture sainte, des Pères de l'Eglise, des Conciles, des Rituels, et des Lois civiles. » pp. 43-53
st. D. La vie d'un Chrétien peut-elle être une vie de plaisir ? R. Le véritable plaisir d'un Chrétien consiste à se priver de tou
s plaisirs passagers ; à attacher son cœur au lieu où se trouvent les véritables délices ; et à se faire de Jésus-Christ l'unique
rien n'est plus opposé à la vie, aux sentiments, et aux devoirs d'un véritable Chrétien. D. Qu'appelle-t-on spectacles ? R. On a
11 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
e propos, le Frère de la Bru commence déjà à faire voir quelle est la véritable dévotion, par rapport à celle de M. Panulphe : de
l en donne six ou sept qu’il propose, soutient et prouve l’être de la véritable vertu (nombre qui excède de beaucoup celui des bi
ure qui fait le sujet de cette pièce qu’il n’y a point ou fort peu de véritables gens de bien, en témoignant par ce dénombrement q
our la suite, d’une vraie femme de bien, qui connaît parfaitement ses véritables devoirs et qui y satisfait jusqu’au scrupule. Ell
flexions très solides sur les différences qui se rencontrent entre la véritable et la fausse vertu : ce qu’il fait toujours d’une
abord « si la nouvelle qu’il a apprise » de ce prétendu mariage « est véritable  ». À quoi, dans la terreur où les menaces de son
ulle conséquence dans ces temps-là, au lieu d’agir solidement dans le véritable intérêt de la passion. Cela sert, disent-ils enco
parences étaient les mêmes dans les uns que dans les autres ; que les véritables dévots fussent capables des affectations que cett
eur profession. Le Frère fait dans ces perplexités le personnage d’un véritable honnête homme, qui songe à réparer le mal arrivé,
ue de même que l’estime et la considération qu’on doit avoir pour les véritables gens de bien, ne doit point passer jusqu’aux méch
les méchants et pour les hypocrites, ne doit point faire de tort aux véritables gens de bien, mais au contraire doit augmenter la
au lieu des punitions qu’il mérite, il reçoive du Ciel la grâce d’une véritable pénitence qu’il n’a pas méritée ». Conclusion, à
uvrage si saint, qui n’étant qu’une instruction très chrétienne de la véritable dévotion, ne devait pas finir autrement que par l
n a aujourd’hui parmi nous, de décrier l’hypocrisie, et de prêcher la véritable dévotion ? La seconde de mes réflexions est sur
iter à fond du Ridicule, qui est une des plus sublimes matières de la véritable Morale, et que cela ne se peut sans quelque longu
ntiment passionné ; ce qui est peut-être le plus grand principe de la véritable Rhétorique ; aussi n’y a-t-il rien qui déplaise p
12 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VI. Les spectacles produisent et favorisent l’incrédulité. » pp. 86-89
adroitement les spectateurs à confondre avec de faux cultes le culte véritable , et n’y sont marqués que du sceau de la haine et
aine et du mépris. Sous l’emblème des fausses religions on attaque la véritable  : Mahomet, les Vestales, Eugénie, Argillan, Virgi
13 (1759) Remarques sur le Discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie « Remarques sur le discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie. » pp. 350-387
es plaisirs que celui qui naît de l’imitation, soit pour indiquer les véritables sources de ces plaisirs, que je voudrois voir ras
qui n’auroit que des vertus, sans aucune ombre de défauts, seroit un véritable prodige ; mais le monstre & le prodige sont é
dont plusieurs personnes s’accommodent souvent beaucoup mieux que des véritables passions tragiques. Mais le désir d’apprendre &
a place, elle fait en elle-même & dans le tout qui en résulte, le véritable effet qu’on doit en attendre ; & comme cette
r, à mettre dans tout son jour le point de morale qui doit en être le véritable sujet, & qu’en donnant par-là le plaisir de l
ttentive & plus docile à la raison. Rien ne manque donc plus à la véritable gloire du Poëte, parce que joignant toujours ce q
e, ou de l’objet de son imitation, & j’ai tâché d’y découvrir les véritables causes de l’impression que fait la Tragédie ; j’y
e de la douleur y fait couler des larmes passageres, mais, en un sens véritables . Le commun des hommes aime mieux se laisser agite
e action qu’ils veulent bien regarder pour un moment comme une action véritable . Il en est de même à proportion du plaisir que la
’une pensée à laquelle ils font si peu d’attention, soit néanmoins la véritable cause du plaisir qu’ils y trouvent. Ainsi, de mêm
pplaudissements à l’Imitateur : on en voit aussi beaucoup plus que de véritables Auteurs ; & ce n’est pas seulement dans la Pe
, n’a rien de commun avec le plaisir de l’Imitation renfermé dans ses véritables bornes. Si je parlois donc de l’Histoire en trait
goût que les hommes ont pour l’Imitation, il restera d’expliquer les véritables causes de cette derniere espece de plaisir dont l
14 (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191
ions mêmes. Ce qui a fait dire à saint Augustin, que c’était un crime véritable de faire son divertissement de la fiction des cri
et qu’elle ne s’en devait servir que selon ses ordres. Voilà ce qu’un véritable Théologien qui a une juste idée de la Religion de
15 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
es spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. « Le théâtre est contraire à ces v
sence. Mais, pour leur ouvrir les yeux, il suffit de leur rappeler le véritable esprit du christianisme, et leur faire voir que l
n ne peut offrir à Dieu comme une œuvre chrétienne, qui est opposé au véritable esprit du christianisme, non seulement par sa nat
t, qui, tandis qu’on joue une passion feinte, en éprouve lui-même une véritable  ? « Pour bien comprendre ce que nous venons d’a
16 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IX. Sentiments de Saint Augustin sur les Spectacles. » pp. 180-198
det, etc. » Il passe de là au théâtre. Si vos Dieux étaient des Dieux véritables , ils vous donneraient des règles de mœurs et de v
en grand nombre. Ceux qui vous procureraient cette vie, seraient vos véritables Dieux, etc. Faut-il remonter au temps de S. Augus
e plaisent dans la représentation de leurs crimes, soit qu’ils soient véritables , ce qui est le comble de l’infamie, soit qu’ils s
connaître des Dieux qui se plaisent aux hommages des gens infâmes. La véritable piété, qui seule peut faire votre véritable gloir
ages des gens infâmes. La véritable piété, qui seule peut faire votre véritable gloire, ne souffre pas une engeance infâme que le
ui fait un châtiment de l’impunité, et fortifie leur corruption, leur véritable ennemi. Mais les hommes pervers et rebelles mette
17 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
ns la connaissance de la misère des hommes que de considérer la cause véritable de l’agitation perpétuelle dans laquelle ils pass
’application aux choses extérieures, à perdre le souvenir de son état véritable  : sa joie consiste dans cet oubli, et il suffit,
u’il peut contribuer, plus que toutes choses, à lui faire chercher sa véritable guérison, et que le divertissement, qu’il regarde
e et dans tous les ouvrages où une vie idéale est substituée à la vie véritable . « Ceux-là se trompent étrangement qui s’imagine
oulons-nous trouver les sources abondantes d’une innocente joie et du véritable contentement, aussi bien que les moyens d’étendre
[NDA] Le Christianisme des gens du monde, mis en opposition avec le véritable christianisme, par W. Wilberforce ; traduit de l’
18 (1715) Dictionnaire de cas de conscience « COMEDIE. » pp. 739740-750
invective contre la Comédie, assure qu’elle est plutôt un mal réel et véritable , qu’un divertissement : « Quicquid ibi geritur no
iment à se rendre encore plus insolents, et en sont par conséquent la véritable cause. « Non enim, dit ce Père, tam ille delinqui
èles, sous le spécieux prétexte de les récréer, et pour renverser les véritables maximes de l’Evangile par des maximes contraires,
ien, considérer que les spectacles sont plutôt une mort à l’âme qu’un véritable plaisir. « Respiciant cuncta quæ diximus, et vide
ise et aux Constitutions Canoniques n’est d’aucune autorité et est un véritable abus. « Consuetudo, dit le Pape Innocent III. Inn
de la Communion, qu’après qu’ils ont donné des marques assurées d’une véritable conversion, ainsi que le déclare le troisième Con
19 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II. Excellentes raisons qui ont porté les Pères de l’Eglise à condamner les Comédies, et à les défendre aux Chrétiens. » pp. 12-28
jours heureux ! que l’on vous trouve courts. » D’un autre côté les véritables Chrétiens s’entredisent les uns aux autres : allo
ionis », dit S. Augustin, de vera et falsa pœnit. c. 15. En effet, un véritable pénitent se doit toujours regarder devant Dieu co
u lieu donc de rire, ou de prendre plaisir à voir rire les autres, un véritable Pénitent n’est continuellement occupé que de la p
vie sont des Voyageurs, qui doivent s’avancer incessamment vers leur véritable patrie, qui est le Ciel, et que Dieu leur a donné
il n’y a point d’apparence, ce ne serait pas l’aimer. Or Dieu est le véritable père des Chrétiens ; Jésus-Christ est l’époux de
20 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VI. Les obstacles qu’on peut rencontrer pour parvenir à la Réformation du Théâtre. » pp. 59-68
t un exercice honnête, dont les uns et les autres peuvent retirer une véritable utilité. Ce ne sont donc pas les Pièces de cette
positions d’un très grand nombre de personnes mal instruites de leurs véritables intérêts.
21 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
omon. En effet, comme le fait très bien voir M. le baron d’Hénin, les véritables auteurs de nos jeux scéniques sont ces pèlerins q
omédien en France. Cette législation a fait de ceux qui l’exercent de véritables citoyens, supportant les mêmes charges et remplis
et personnellement dénoncée, un ecclésiastique se rend coupable d’un véritable délit lorsqu’il refuse les prières publiques à un
22 (1677) L’Octavius « Paragraphes XXXVI-XXXVIII du texte latin » pp. 159-171
des paillardises. Par des douleurs feintes ils vous tirent des larmes véritables  ; Vous souhaitez de vrais homicides, et vous en p
s d’en disputer, arrêtons la superstition, chassons l’impiété, que la véritable Religion triomphe toute seule. Commec Octavius eu
23 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106
exerçons la justice, dans qui la Loi de Dieu règne, qui pratiquons la véritable Religion, que la vérité gouverne, que la grâce ga
divine conduit, que la sagesse enseigne, que Jésus-Christ qui est la véritable vie régit, et que Dieu seul règle par l'empire qu
ce monde; ou plutôt, c'est une étrange manie de considérer, comme un véritable plaisir, les voluptés de ce siècle. Quelques Phil
voluptés, qui nous fait mépriser le siècle; qui nous établit dans une véritable liberté ; qui conserve la pureté de notre conscie
24 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE III. En quoi consiste le Plaisir de la Tragédie, & de la grande émotion que causoient les Tragédies Grecques. » pp. 49-62
de la versification, devoit être une espece de Musique, & de leur véritable Musique, qui étoit celle de leurs Chœurs ? Ces Ch
oujours un lieu baigné de larmes. Il retentissoit des lamentations de véritables Malheureux, d’une Hecube, d’un Œdippe, d’un Philo
à la fin de leur Art, ne songeant qu’à exciter une grande émotion, le véritable plaisir de la Tragédie ; parce que notre Ame, com
25 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE V. En quoi consiste le Plaisir de la Comédie, & de ce Sel qui assaisonnoit les Comédies Grecques. » pp. 131-144
sententieuse. Elle devint plus utile aux mœurs, mais elle perdit son véritable caractere, qui est d’être plaisante. Elle doit to
e. Le rire n’est pas toujours le témoignage de la joie, & dans la véritable joie, comme celle que nous cause une heureuse nou
ureté ?6 Un S. Jean Chrysostome (supposé que ce qu’on dit de lui soit véritable ) pouvoit se délasser à la lecture d’Aristophane,
26 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêtres, contre des Comédiens français. » pp. 141-148
omme incompatible avec l’exercice de la religion, le clergé commet un véritable délit contre la puissance du prince, contre celle
pureté de notre sainte religion. La puissance temporelle est donc la véritable conservatrice d’une religion qui mérite tous nos
27 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54
à-fait nouveau. §. II.Si l’on peut dire des Comédiens, que ce sont de véritables Chrétiens et des Saints. Paroles de l’Auteur de
re. « Les Comédiens joignent à leur devoir d’honnêtes gens celui de véritables Chrétiens. »p. 52. « J’en ai confessé et connu
leur appliquer avec justice ce que J.C. dit aux Juifs. Vous êtes les véritables enfants du diable, vous agissez par son esprit, v
tres. Ils ne remplissent donc aucunement l’idée qu’on doit avoir d’un véritable Chrétien. « Mais,P. 52. me direz-vous, est-ce qu
uïr la Messe, et même fréquenter les Sacrements : mais n’ayant pas la véritable piété dans le cœur, et ne la pouvant avoir, tandi
atth. 7. 2. Il s’ensuit donc qu’on ne peut appeler les Comédiens de véritables Chrétiens. §. III. Les Comédiens ont toujours été
28 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIV. Le sentiment, juge plus sûr que le goût. Celui-ci préféré au premier. Pourquoi ? Amour du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop communs. Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on employe pour les éluder.  » pp. 129-150
épargnés. Le mécontentement semble retomber sur eux. N’est-ce pas une véritable profanation, qui humilie les Auteurs & désesp
llir les talents, & de les combler de bienfaits. Cette idée de la véritable grandeur, anime ceux qu’ils commettent aux différ
e, ne s’est retrouvé que quand il n’étoit plus tems de le mettre à sa véritable place, & on a été obligé de l’imprimer le der
29 (1698) Caractères tirés de l’Ecriture sainte « [Chapitre 1] — DU SEXE DEVOT. » pp. 138-158
nsi tous les jours : mais parlons-nous juste ? Est-ce aujourd’hui une véritable louange, ou seulement un titre vain et spécieux ?
e, et deux sortes d’Acteurs et d’Actrices pour une seule action ; les véritables dans les loges, et les imaginaires sur le Théâtre
, jugez, prononcez, sans avoir égard à un petit nombre d’honnêtes, et véritables dévotes que j’excepte. Pour moi, je crois, que qu
30 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
ent voulez-vous que les Empiriques fassent ce que n’ont pu opérer les véritables Médecins ? Par ces Empiriques j’entends les Corne
ie n’est jamais si parfaite, que lorsqu’elle peut arracher des larmes véritables , ou qu’elle renvoie le Spectateur comme tout engo
tre belle Rhétorique, auriez bien de la peine à remettre à la mode le véritable amour conjugal. Vous m’allez demander peut-être q
31 (1807) Préface pour une édition des deux lettres à l'auteur des Imaginaires « [Chapitre 2] » pp. 78-82
n’ont que le sens commun en partage ; ils ne savent pas qu’il y a un véritable bon sens qui n’est pas donné à tout le monde, et
s donné à tout le monde, et qui est réservé à ceux qui connaissent le véritable sens de Jansénius. A l’égard des faussetés qu’il
32 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « Discours préliminaire. » pp. -
suffira de penser le contraire de ce que je dis, afin de pénétrer mes véritables sentimens. Voilà dans quel esprit on doit lire un
u’il n’y a que l’observation des règles en tout genre qui promette de véritables succès. Tout ce qui s’écartera des règles, comme,
33 (1804) De l’influence du théâtre « [frontispice]  »
lissement surdes bases qui puissent relever en France leurancienne et véritable splendeur. ouvrage politique et moralPar Marie-Ja
34 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « Dédicace » p. 
mi ; votre cœur vous les dit assez, sans que je vous les explique. La véritable amitié sympathise. Agréez donc ces Essais, et q
35 (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32
vouera-t-on point qu’il s’y prend bien mal pour nous persuader que la véritable dévotion le fait agir, lorsqu’il traite Monsieur
 ? Je le pardonne pourtant à ces consciencieux, qui reprennent par un véritable motif de dévotion, et, quoique les vers de Monsie
e critique quelques mots qui tenaient plutôt de l’animosité que de la véritable dévotion. Car me soutiendrez-vous que c’est par c
36 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340
bre et bizarre procession dont le récit étonnera et affligera même le véritable chrétien, parce qu’il y aura vu les objets et les
orter la croix, signe du supplice de Jésus-Christ et l’objet de notre véritable rédemption, le sujet de notre vénération, et de t
visage. Il y en a quelques-uns qui prennent ce dévot exercice pour un véritable exercice de piété ; mais il y en a d’autres qui n
pouvait être capable, les honneurs et les respects qui sont dus à un véritable évêque. La chose était assez ridicule. Ce bel évê
osée vivante, gouverne-nous, conduis-nous aux trônes célestes et à la véritable joie ; Toi dignité et vertu, toi le juste et le v
tu, toi le juste et le vrai, toi le saint et le bon ; Toi le Seigneur véritable et suprême, à toi soit la gloire. Les matines é
cturne on faisait une invitation ; du reste l’office entier était une véritable rapsodie de tout ce qui se chantait pendant le co
élats, et la sagesse de nos parlements, ont cependant fait cesser ces véritables profanations, mais ce fut avec beaucoup de peine 
, dont toutes les portes s’ouvraient à son arrivée, soit que l’évêque véritable fût présent ou absent. On le portait devant une d
ette bouffonnerie. Le prétendu prélat faisait toutes les fonctions du véritable évêque. Il assistait aux offices dans la chaire d
lait en toutes circonstances. Or, la puissance temporelle est donc la véritable conservatrice d’une religion qui mérite tous nos
uvernement et le salut de tous, et jetteraient dans l’ordre social un véritable désordre. Ainsi la puissance séculière doit toujo
37 (1607) Conviction véritable du récit fabuleux « [FRONTISPICE] »
a. [NDE]Première édition de ce texte : André de Gaule, Conviction véritable du récit fabuleux , Lyon : Abraham Cloquemin, 160
38 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Avertissement. » pp. -
les : que ceux qui ont un peu plus de talens que de suffisance, ou un véritable génie n’osant enfreindre les loix, perdent des an
beautés plus utiles. Elle regarde les discutions dogmatiques comme un véritable larcin qu’on lui fait. Il paroîtra singulier sans
39 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre V. De la Musique ancienne & moderne, & des chœurs. De la Musique récitative & à plusieurs parties. » pp. 80-93
u’à l’Acteur lui-même pour la produire. Pour que la musique causât un véritable délassement, il faudroit qu’elle fût chez nous, c
des fleurs artificielles, qu’on charge de clinquans, pour suppléer au véritable éclat qui leur manque. Renvoyez donc ces parasite
40 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
aître ? Illusion, mes frères ; erreur dangereuse, très contraire à la véritable religion, et à la parfaite obéissance que nous de
ourments ; et qui est plutôt l’effet d’une prévoyance humaine, qu’une véritable soumission aux ordres du ciel. On a vu en effet,
t non de près, on ne le connaît qu’imparfaitement. Ainsi on ignore le véritable usage, qu’il veut que nous fassions des créatures
fait à l’honneur des parents défunts. Or un pareil sacrifice est une véritable idolâtrie ; puisque l’idolâtrie est une espèce de
met en pièces. Faut-il Chap. 24. d’autres preuves pour convaincre les véritables serviteurs de Dieu, qu’ils doivent détester tout
utôt vous êtes insensé, si vous regardez la joie de ce monde comme un véritable plaisir. Les philosophes n’ont donné le nom de pl
élations célestes ; enfin que de vivre toujours pour Dieu ? Voilà les véritables plaisirs des chrétiens : voilà leurs spectacles i
nt, alors plein de gloire, et de majesté, alors enfin reconnu pour le véritable fils de Dieu. Quelle sera en ce jour la joie des
41 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 5. SIECLE. » pp. 147-179
ret et d'affliction ; et que si ces sujets tragiques, et ces malheurs véritables ou supposés, sont représentés avec si peu de grâc
dirai pourtant, parce que vous savez combien ce que je vais dire est véritable ) c'est à ces sortes de personnes qu'un Comédien p
re sont la même chose. Si bien que si nous retournons à l'un, il est véritable que nous retournons à l'autre. Je renonce, dit-on
ous excuse, et qui ne nous condamne ? Nous sommes en possession de la véritable croyance, et nous la ruinons ; nous confessons qu
42 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A la signore Isabelle » pp. 25-
et l’émail des vôtres, et entre mille belles fictions sentez un aise véritable de dire la vérité, qui citoyenne du ciel ne perme
43 (1607) Recit touchant la comédie pp. 2-8
obablement un pseudonyme), qui publie à Lyon la même année Conviction Véritable du récit fabuleux, divulgué touchant la Représent
août, de la présente année 1607. Il a été réédité, avec la Conviction Véritable de Gaule, par Antoine Péricaud en 1837 (in Revue
44 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VII. Quelle doit être la Comédie après la réformation du Théâtre. » pp. 69-85
es défauts, pendant qu’on est si clairvoyant sur ceux des autres. Mon véritable sentiment serait donc que l’on imitât, en cela, l
édie, dans laquelle un vicieux, par fiction, en instruirait plus d’un véritable  ? C’était avec grande raison que Dion Chrysostome
45 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [L] » p. 425
rviraient les Habits de Village, si les Pièces en peignent si peu les véritables mœurs ?]
46 (1823) Instruction sur les spectacles « Introduction. » pp. -
r avec la vie et les sentiments d’un disciple de Jésus-Christ et d’un véritable chrétien. Il sera alors facile de reconnaître que
47 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXIII.  » p. 493
XXXIII. La véritable piété ne peut subsister sans une crainte salutair
48 (1675) Traité de la comédie « XXXIII.  » pp. 328-329
XXXIII. L'âme ne saurait conserver une véritable piété sans le secours d'une crainte salutaire, qu
49 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IX. Défauts que les Etrangers ont coutume de reprocher à notre Tragédie. » pp. 231-259
lité à la Rime, dont l’envie de faire plus aisément des Vers a été la véritable cause, prétendent qu’on doit trouver des graces i
Poëme destiné à faire verser des larmes, & à peindre des douleurs véritables , Dût connoître l’Amour & ses folles douleu
e réforme il en ajouta une seconde, il fit parler à cette Passion son véritable langage. On ne vit plus les Amans diviniser leurs
les. Et pourquoi ? Parce que dans celles-ci l’Amour parle son langage véritable , ce qui, malgré les intentions de l’Auteur, doit
50 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V. Le but des auteurs et des acteurs dramatiques est d’exciter toutes les passions, de rendre aimables et de faire aimer les plus criminelles. » pp. 51-75
anité. On s’attendrit plus volontiers à des maux feints qu’à des maux véritables . Les imitations du théâtre n’exigent que des pleu
e Misanthrope. « Cette pièce nous découvre mieux qu’aucune autre la véritable vue dans laquelle Molière a composé son théâtre,
Alceste, dans cette pièce, est un homme droit, sincère, estimable, un véritable homme de bien qui déteste les mœurs de son siècle
eut produire dans ce sol empesté que des fruits pernicieux : sa place véritable et naturelle est dans la chaire, où environnée de
51 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48
ent des Sages, qui sont seuls capables de distribuer dans le monde la véritable gloire. C’est ce qui fait espérer que Molière rec
es, il faut avouer que Molière est lui-même un Tartuffe achevé, et un véritable Hypocrite, et qu’il ressemble à ces Comédiens, do
s licencieux : Son Cocu imaginaire est une invention pour en faire de véritables , et plus de femmes se sont débauchées à son École
le de l’autre à lui ôter tous les secours qu’elle peut recevoir d’une véritable et solide piété. Son Avarice ne contribue pas peu
52 (1690) Entretien sur ce qui forme l’honnête homme et le vrai savant « VII. ENTRETIEN. » pp. 193-227
ètes. Celui des Orateurs. La fausse éloquence. Comment on acquiert la véritable . Comment on devient Philosophe. Les effets des fa
ntinuelle, puisque vous lui aurez montré à juger des choses par leurs véritables idées, et non point par rapport à lui-même. Euge
mposer. Eugene. Je crois aussi que comme on lui aura fait suivre les véritables idées des choses, et reconnaître les bornes de l’
53 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVIII. D’une excuse de laquelle se servent ordinairement les gens du monde, pour justifier la conduite des jeunes hommes, et des jeunes filles qui vont au bal. » pp. 142-145
en sortent ? Comment peut-on donc excuser une pratique si remplie de véritables maux, sous prétexte d’un bien apparent ? Mais il
54 (1823) Instruction sur les spectacles « Table des chapitres. » pp. 187-188
es spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. 116 Chap. XV. Les spectacles éteignent
55 (1675) Traité de la dévotion «  Méditation. » pp. 66-67
reuse d’être née en Egypte, et de n’être pas sensible aux biens de la véritable Canaan ! C’est pourquoi tu tournes si souvent les
56 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XV. Devoir des parens & des maîtres. » pp. 34-35
assion, de vraies larmes dans les Acteurs, qui en font couler d’aussi véritables dans ceux qui les écoutent. Quel aveuglement dans
57 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre VII. De ceux qui sont aux autres occasions de ruine, et de péché. » pp. 30-32
ar cette doctrine qui est rapportée par Angélus et par Sylvestre, est véritable et constante, que si quelqu’un fait quelque actio
58 (1667) Traité de la comédie « Préface » pp. 452-454
ela a quelque rapport avec la vie, les sentiments et les devoirs d'un véritable Chrétien. Et c'est ce qu'on a dessein de faire da
59 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « II. PARTIE. Où l’on répond aux Objections de l’Auteur de la Lettre. » pp. 89-140
te. Les Pères de l’Eglise ayant donc toujours interdit la Comédie aux véritables Chrétiens ; ceux-ci les ont toujours suivis. C’es
us mortel ennemi, et en s’attachant pour toujours à Jésus-Christ leur véritable Seigneur et leur Dieu. Il ordonna aussi dans son
honnoreront. Ils seront aujourd’hui chrétiens et demain ils seront de véritables païens. Enfin ils seront aujourd’hu dévôts et fid
rviteurs de J.C. et demain ils seront des impies, des Apostats, et de véritables ennemis de Jésus-Christ. Mes chers frères, ne vou
Pères de l’Eglise. Les Pères de l’Eglise ont toujours considéré les véritables Chrétiens comme des hommes spirituels, dont les p
es divertissements des chrétiens. S’ils aiment, dit-il, ceux qui sont véritables , et qui leur seront utiles ; qu’ils s’appliquent
Les Sentiments de l’Eglise et des Saints Pères, pour former ceux des véritables Chrétiens, sur la Comédie et les Comédiens. Oppos
60 (1675) Traité de la comédie « I. » pp. 272-274
ela a quelque rapport avec la vie, les sentiments et les devoirs d'un véritable Chrétien. C'est ce qu'on a dessein de faire dans
61 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XI. Son opposition à l’Evangile. » pp. 23-24
ne veut pas même qu’il soit nommé, la passion pour les richesses une véritable idolatrie, le faux point d’honneur une injustice
62 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. 13-48
tes leurs vertus, ne sont rien sans la foi, tandis que saint Paul, ce véritable apôtre de la morale chrétienne et évangélique la
abrégé, la morale évangélique, dont l’empreinte divine caractérise la véritable morale chrétienne. Une foule de théologiens ont,
en pratiquant eux-mêmes la morale, auront les yeux ouverts sur leurs véritables intérêts. Ils comprendront que l’alliance du gouv
réjugés, n’ont jamais bien envisagé cette question difficile dans son véritable point de vue ; ils n’ont présenté que des raisonn
63 (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Jugement sur la Comédie du Festin de Pierre. CAS II. » pp. 805806-812
rs, comme il le déclare dans sa Préface ; et non de leur inspirer une véritable horreur de l’impiété et du crime. 2°. Ces Comédie
résentation ? » Lactance s’explique en mêmes termes dans son livre du véritable culte : « Que dirai-je des Comédiens, dont la Pro
64 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVI. De la présentation des Poëmes aux Comédiens ; de leur réception, & du choix de ceux qu’on joue dans les intervales. » pp. 8-11
édien peut être comparé en ce sens, au Médecin. L’un dissipe l’ennui, véritable maladie de l’ame, comme l’autre guérit celle du c
65 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Douzième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 250-253
e, réservée, ils sont des Citoyens utiles, ils peuvent atteindre à la véritable vertu ? Je me plais dans cette idée ; elle me con
66 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XI. » pp. 55-57
ainsi que l’enflure du cœur est la mère de la présomption, de même la véritable douceur ne procède que de la vraie humilité. » Ce
67 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIX.  » pp. 475-477
e son père. « Oui je lui ferai voir par d'infaillibles marques Qu'un véritable amour brave la main des Parques, Et ne prend poin
68 (1675) Traité de la comédie « XIX.  » pp. 302-305
présentée. « Oui je lui ferai voir par d'infaillibles marques, Qu'un véritable amour brave la main des Parques, Et ne prend poin
69 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « Réfutation des sentiments relachés d'un nouveau Théologien touchant la Comédie. » pp. 1-190
’il veuille vous ouvrir les yeux, et vous donner des Sentiments d’une véritable componction. Je veux bien croire pour vous justif
conformer à votre ami. Jugez de l’opposition que les Théologiens d’un véritable et solide mérite auront de vous accorder cette di
z juger que les personnes que vous avez consultées, n’avaient pas une véritable horreur pour le péché, dés qu’elles s’exposaient
r des décisions : mais je dis seulement que les personnes qui ont une véritable horreur du péché, ne fuient pas seulement les occ
bien opposées : et je n’aurais jamais cru qu’on pût unir ensemble une véritable horreur du péché avec une disposition habituelle
récaution pour n’y pas heurter davantage : voilà ce que j’appelle une véritable horreur pour le péché. Et je ne vois pas d’autre
tes, et s’il est compatible avec l’horreur du péché et avec une piété véritable et solide ; malheureusement pour vous tout le mon
Comédies, je ne sais si c’est par scrupule ; pour moi je m’en fais un véritable . Si je me contente d’en citer les endroits, cela
erçoit plus les infamies des Anciens, on y aperçoit encore moins leur véritable dessein de corriger ou d’instruire ; que si on en
cite pas toujours les passions, ce n’est que par hasard, parce que sa véritable fin et tout son but est de les exciter. Vous vous
es excite, et quoiqu’elle ne les excite pas toujours, c’est contre sa véritable fin et son principal dessein ; qu’il est toujours
oint par hasard, comme vous dites ; mais parce que c’est la fin et le véritable dessein de la Comédie. De là vient que si une Piè
u’elle avait soin ou de renvoyer ou de supprimer. Elle se faisait une véritable peine dans le monde de dire avec qui elle était l
ils ne s’y sont souvent engagés que par libertinage. Or je dis que la véritable cause de cette infamie dont le Public les note, e
ais un Comédien dans le temps même qu’il moralise le plus, n’a pas un véritable dessein de corriger ni de réformer personne : on
a débauche, qui par de feints adultères, enseignent à en commettre de véritables , « qui docent adulteria dum fingunt, et simulatis
à celui des Prélats, des Ecclésiastiques et des Religieux, qui ont le véritable esprit du Christianisme et de leur profession. Si
70 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE V. Du Mensonge. » pp. 100-113
fait des folies pour une femme. Voilà un roman. Ces faits fussent-ils véritables , vallent-ils la peine d’être transmis à la postér
est trompé. On ne croit pas voir sur le théatre un Cyd, un Alexandre véritable  ; on sait que ce n’est qu’un vil Acteur, dont la
ns son cœur & le modelle dans le monde, & qu’on le donne pour véritable , sous le nom imposant de personnes illustres ! Ce
71 (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « letter » pp. 472-482
l’esprit, qu’il est impossible à ceux qui s’y amusent, de jouir d’une véritable paix. La vanité qui occupe l’entendement obscurci
e dans le cours des siècles. Mais que ces Histoires soient feintes ou véritables , il est constant que les Auteurs de ces pièces ne
m dans la chaire de pestilencen : Soutenant que ces paroles dans leur véritable sens, condamnent ces actions et ceux qui y prenne
72 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « II. » pp. 9-11
l’Absolution ; que l’amour de Dieu fût la marque et le caractère des véritables conversions ; que la charité fût l’âme des bonnes
73 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre I. Que les Danses ne sont pas mauvaises de leur nature. » pp. 1-5
s pieuses n’en aient usé en quelques occasions, par le mouvement d’un véritable zèle, et par un sentiment de piété. Cela paraît d
74 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Sixième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 40-72
r le côté favorable. Mais lorsqu’il s’agit de se former une idée des véritables inconvéniens des Spectacles, si l’on ne fait que
es ont balancé leur utilité. Pour remédier au mal, recherchons-en les véritables causes. J’en découvre de deux sortes : les unes v
ce dernier objet est d’une si grande importance, que pour opérer une véritable réforme, on doit commencer par honester la condit
nt l’art de la déclamation, sous de frivoles prétextes qui cachent le véritable , sont une nouvelle cause de la dépravation des mœ
75 (1705) Traité de la police « Chapitre premier. Des Spectacles anciens, leur origine, leur division, leurs dérèglements, et les Lois qui ont été faites pour les réformer. » pp. 434-435
que l’on a nommée moyenne ; elle consistait à représenter des actions véritables sans nommer les personnes. Ce fut le même Aristop
p à redire à cette méthode : tous ceux qui avaient eu part à l’action véritable qui était représentée, ne laissaient pas de s’en
76 (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45
fanatisme est peint des couleurs les plus noires, c’est-à-dire de ses véritables couleurs, non sans doute, un ouvrage où la toléra
nergiques ? Un bon Citoyen ne doit-il pas traiter sa Nation, comme un véritable ami traite son ami ? N’est-ce pas servir son ami
lier leur pensée ? Depuis cet avilissement du Théâtre, nul homme d’un véritable génie n’est entré dans la carrière. Les Tragédies
qu’un Citoyen puisse porter ; alors nous verrons s’élever des vertus véritables  ; alors le génie, sans cesse avili par le despoti
s convenances arbitraires. Tant que j’écrirai, ma plume, soumise à la véritable décence, ne se permettra jamais ces affreux Libel
77 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre IV. Que les Danses sont défendues dans les lieux saints. » pp. 22-25
lus bas) de détruire et d’arracher cette mauvaise coutume, qui est un véritable abus, afin que la sainteté des Eglises ne soit po
78 (1765) De l’éducation civile « De l’éducation civile » pp. 76-113
gendre tous les autres, est de ramener les Lettres à l’esprit de leur véritable institution : elles n’ont point pour objet, comme
aujourd’hui presque incroyables, c’est que nous avons perdu de vue le véritable esprit des Lettres, & que nous les avons, en
du commun des Lecteurs, & à ramener les Lettres à l’objet de leur véritable institution. Car enfin, depuis qu’on a mis les Po
79 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. » pp. 176-202
st pas Poësie Dramatique, nous croyons ne devoir placer le tems de la véritable renaissance en Europe, de la Tragédie & de la
ut plus heureux dans sa fortune que ne l’a été un de ses Successeurs, véritable imitateur des Grecs. Henri II, qui honora de sa p
ner la Rime sans laquelle il n’y a point dans nos Langues modernes de véritable Poësie. Ce fut apparemment pour nous récompenser
80 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [H] » pp. 416-417
. Qu’on se représente Electre dans son premier monologue, traînant de véritables chaînes ; dont elle se voit accablée : quelle dif
81 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « V. » pp. 23-26
tout ensemble, représente ici par les soins des R.R.P.P. Jésuites le véritable Dieu que nous adorons, qui descend exprès du Ciel
82 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIX. Les Spectacles condamnés par les saintes Ecritures. » pp. 164-167
ut compris dans ces paroles : « Au reste, mes frères, tout ce qui est véritable , tout ce qui est juste, tout ce qui est saint (se
83 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 19-20
Leurs joies sont vaines et frivoles, et les vôtres seront solides et véritables  ; l’objet de leur joie n’est que quelque chétive
84 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « JUGEMENT DE M. DE VOLTAIRE, SUR LES SPECTACLES. » pp. 78-81
d’un Héros de l’Antiquité, s’ils ne servent pas à nous instruire. La véritable Tragédie est l’école de la vertu ; et la seule di
85 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. De la Dédicace de la Statue de Voltaire. » pp. 71-94
a Clairon & la Statira, il est plus que fils de Jupiter, c’est un véritable Apollon, qui inspire les poëtes, tout l’empire de
vieuse. S’il faut detester les cabales, il faut respecter l’union des véritables gens de lettres. Je vous rémercie donc pour moi,
isent. Tous ces écrits sont un délire, & la fête de la statue une véritable Orgie, il a raison : Habemus satentem reum. Volt
rapeaux mortuaires, des ossements, des têtes de morts, & de morts véritables dans la bierre, des tombeaux ouverts ; en un mot,
86 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81
ectateurs dans le danger de n’avoir jamais ni estime ni amour pour la véritable piété. En effet, sous prétexte de ruiner la fauss
pas de les faire appliquer, non à un Tartuffe de Théâtre ; mais à un véritable homme de bien. Ainsi cette pièce expose les perso
oient la représentation, que des sentiments déshonnêtes, impies et de véritables Athées. Car pour l’ordinaire, l’on est bien plus
ssitôt anéanti : c’est pourquoi ils n’ont jamais pensé à corriger les véritables dérèglements des hommes. Et quand même ils le vou
87 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
, de passions et de personnes, où ils ne considèrent point ce qui est véritable , mais seulement ce qui est propre pour toucher le
un homme véritablement Chrétien, véritablement humble, et qui a cette véritable science qui n’enfle point et qui n’empêchait pas
ssi n’empêcherez-vous jamais par de telles suppositions qu’il ne soit véritable que tous les Religieux ont toujours été bien reçu
doit-on accuser, ou le Port-Royal qui a dit tant de fois une histoire véritable , ou les ennemis de Port-Royal qui n’ont jamais ré
88 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — IX. La Comédie donne des leçons de toutes les passions. » pp. 18-21
Le Théâtre exige qu’on lui donne des éloges, qui ne sont dûs qu’à la véritable grandeur. Il veut qu’on accorde son admiration à
89 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE V. Que la circonstance d'aller aux Spectacles un jour de Fête, et de jeûne est une circonstance aggravante. Que ceux qui les fréquentent ne sont pas disposés à approcher des Sacrements. » pp. 83-87
du monde. Dieu seul est indifférent, et compté pour rien. Cela est si véritable que s'il arrive (et il n'arrive que trop souvent)
90 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XX. Silence de l’Ecriture sur les spectacles : il n’y en avait point parmi les Juifs : comment ils sont condamnés dans les saintes Ecritures : passages de saint Jean et de saint Paul. » pp. 72-75
piens, chapitre IV, verset 8].« Au reste, mes frères, tout ce qui est véritable  : tout ce qui est juste, tout ce qui est saint, (
91 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXI. Les spectacles condamnés par les auteurs profanes anciens et modernes. » pp. 179-182
dans une tragédie, enflammé d’amour et animé d’une fausse gloire ? Le véritable honneur m’attire bien moins sur ses pas que la pa
92 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
'un événement, dans sa substance et dans ses circonstances. C'est une véritable peinture, les paroles y peignent les pensées ; et
que que l'instruction est la fin du Poème Dramatique. Cela n'est plus véritable , ni dans l'intention du poète, ni dans celle du s
es fausses vertus pour ce qu'elles sont, c'est-à-dire, pour des vices véritables . Mais avant que de faire voir plus à fond quelle
93 (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « De Paris ce 10. Mai 1666. » pp. 193-204
s, il paraît bien par la manière dont vous la niez que vous la croyez véritable . L’un de vous me reproche seulement d’avoir pris
Père dont on se plaignait, mais cela ne fait pas que le reste ne soit véritable , et pourquoi le nier ? Quel tort cela fait à la c
94 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « V. Si la comédie d’aujourd’hui purifie l’amour sensuel, en le faisant aboutir au mariage.  » pp. 19-24
ousse pas les désirs trop loin. Il faut toujours que les règles de la véritable vertu soient méprisées par quelque endroit pour d
95 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Conclusions générales. » pp. 371-378
ergé ; L’abjuration de cette profession, exigée par le clergé, est un véritable délit, parce que aucune autorité dans l’Etat n’a
96 (1788) Sermons sur les spectacles (2) « Sermons sur les spectacles (2) » pp. 6-50
s ni avec la probité, ni avec la religion ? Or, voilà, mes Frères, la véritable idée que l’on doit avoir des comédies les plus es
mérite plus que jamais les anathêmes de l’Eglise & l’horreur des véritables Chrétiens. Combien d’autres preuves ne pourrois-j
es : necesse est ut veniant scandala, afin qu’on puisse discerner les véritables Chrétiens de ceux qui n’en ont que le nom. Il fau
oquium, aut scurrilitas quæ ad rem non pertinet. Mais tout ce qui est véritable & sincère, tout ce qui est honnête, tout ce q
97 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « II. Point. » pp. 201-218
eux adversaire, de peur qu’il ne vous livre un jour sans retour à vos véritables ennemis, ministres de sa justice. Mais Jésus-Chri
ur vous tirer des mains de cette prostituée, qu’enfin tout ce qui est véritable et honnête, tout ce qui est saint et édifiant, to
98 (1632) Les Leçons exemplaires de M.I.P.C.E. « Livre III, Leçon X. LA COMEDIENNE CONVERTIE. » pp. 461-479
est que Farce, ils ne représentent pour l’ordinaire que des Histoires véritables ou des feintes qui approchent de la vérité comme
s deux choses ne diffèrent qu’en ce point que la Cour est une Comédie véritable et la Comédie est une Cour feinte, et en l’une et
99 (1692) De la tragédie « De la tragédie ancienne et moderne. » pp. 148-162
s Héros : dans Lucain, les Héros valent des Dieux. Pour vous dire mon véritable sentiment, je crois que la Tragédie des Anciens a
ue jamais dans les passions. J’espère que nous trouverons un jour le véritable usage de cette passion, devenue trop ordinaire. C
100 (1694) Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de Qualité, sur le sujet de la Comédie « letter » pp. 3-127
’Archevêque de Paris, à qui il rend compte de sa doctrine comme à son véritable Juge en cette matière, et à qui il déclare qu’il
horrible, qui abusent même des saintes Ecritures et en corrompent les véritables sens pour justifier des pratiques criminelles, et
nt trouvé dans les assemblées des Juifs, où l’on a conspiré contre le véritable Dieu ; néanmoins on peut aussi les étendre à ceux
s Fidèles, si elle était descendue dans un si vilain détail. Voilà la véritable règle que saint Cyprien donne aux Fidèles, et non
s intrigues ne sont pas des offrandes qui puissent être présentées au véritable Dieu. On n’y fait plus aussi paraître de femmes t
le connaissons nous autres Chrétiens : car comme nous connaissons le véritable Maître des créatures, nous connaissons aussi quel
aisser surprendre, en ne démêlant point assez le faux et l’imaginé du véritable , il est à propos de temps en temps de lui lever l
supposerait qu’en elles-mêmes elles soient innocentes, néanmoins les véritables Chrétiens sont encore obligés de les éviter, à ca
servir de modèle à tous les Directeurs dans la conduite des âmes à la véritable dévotion. Et Fontana de Ferrare rapporte dans son
éant le Monde, et il n’avait pas besoin de repos à cet égard. Mais le véritable repos de Dieu consiste dans des actions qui n’ont
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