passion ne fait point parler contre Molière et si on l’attaque par un
véritable
esprit de charité ou pource qu’il a fait le Tartu
e l’on en voulût qu’aux tartufes. Je veux que ce qu’ils publient soit
véritable
et que le faux et le véritable dévots n’aient qu’
s. Je veux que ce qu’ils publient soit véritable et que le faux et le
véritable
dévots n’aient qu’une même apparence. Mais Molièr
nt voulu perdre. Dans toutes les lectures que son auteur a faites aux
véritables
dévots, cette comédie a toujours triomphé à la ho
out ce que des gens comme eux ont de coutume, et se sont servis de la
véritable
dévotion pour empêcher de jouer la fausse. Je n’e
ication, puisque je prétends prouver qu’il est impossible de jouer un
véritable
dévot, quand même on en aurait dessein et que l’o
que fait Tartuffe, tout le monde aurait crié : « Ce n’est point là un
véritable
dévot, c’est un hypocrite qui tâche à nous trompe
m d’hypocrite, mais encore qui en fait les actions, soit pris pour un
véritable
dévot ? Cela est inouï. Il faudrait que l’ordre d
ter naturellement ce qu’elles sont. Si l’on représente ce que fait un
véritable
dévot, l’on ne fera voir que de bonnes actions ;
ue de bonnes actions ; si l’on ne fait voir que de bonnes actions, le
véritable
dévot ne sera pas joué. L'on me dira peut-être qu
nes auront à peine commencé d’agir que l’on dira d’abord : « Voilà un
véritable
dévot. Voilà un hypocrite. » Il est impossible de
tte matière. Je vous dirai pourtant, avant que de la quitter, que les
véritables
dévots ne sont point composés, que leurs manières
e si on la pousse ? Il faut donc retirer son esprit de ces folies. Un
véritable
Chrétien a bien d'autres divertissements plus rel
vertissements plus relevés que ceux-là, s'il a de la passion pour les
véritables
et utiles plaisirs. Qu'il s'applique à la lecture
débauche ; qui par de feints adultères, enseignent à en commettre de
véritable
? Que feront les jeunes hommes, et les filles, vo
, comme le corps aux viandes délicieuses, il faut préférer les choses
véritables
à celles qui sont fausses, les éternelles, aux pa
ez plaisir à chanter, et à entendre chanter les louanges de Dieu : Le
véritable
plaisir est celui qui est accompagné de la vertu,
a volupté que le Diable nous conduit à la mort : comme on acquiert le
véritable
bien par de faux maux, on se procure les véritabl
mme on acquiert le véritable bien par de faux maux, on se procure les
véritables
maux par de faux biens. Il faut donc éviter les p
ablissement de l’éloquence de la Chaire et du Barreau. Mais comme la
véritable
morale en doit toujours être la compagne insépara
nce de la Chaire dans la société civile. En l’examinant donc sous son
véritable
point de vue, j’ai établi qu’elle était d’un gran
ns, elle maintenait l’harmonie sociale ; en offrant aux malheureux de
véritables
consolations, et leur aidant à supporter les pein
, et ont fait de la France le berceau comme le séjour ordinaire de la
véritable
éloquence. Passant ensuite à l’influence réelle d
ion, et de donner à ceux que des talents particuliers y appellent, un
véritable
lustre dans la société. L’influence du Barreau es
ssement sur des bases qui puissent relever en France leur ancienne et
véritable
splendeur. Ecrire tout à la fois en faveur de l
n, je la commencerai par l’examen de la Chaire, sous le rapport de sa
véritable
influence dans la société civile. DE LA CHAIRE.
honteuses ; mais ils ne voient point d’amis qui s’intéressent à leur
véritable
gloire, et qui osent plaider généreusement aux pi
it donc de bien mauvaise foi, lorsque, pour arrêter les progrès de la
véritable
morale, elle semait partout les soupçons et la dé
e ses premiers devoirs9 ; qu’en un mot, indifférents aux succès de la
véritable
morale, nous n’attacherons d’importance et de pri
es de l’ancienne barbarie, elle ne présentera plus que l’aspect d’une
véritable
horde de sauvages, dont nous aurons tout à redout
déployant toute la sévérité de ses vengeances, n’aura cette douce et
véritable
influence de la morale religieuse, qui, par le se
irer sur l’indigence et le malheur, les regards chastes et purs de la
véritable
bienfaisance. Pour juger de l’efficacité de leur
rangs confondus venaient autrefois arroser l’autel, des larmes de la
véritable
pitié ; où tous les cœurs, embrasés du feu sacré
t n’est-ce pas réellement dans la chaire évangélique où croissent les
véritables
lauriers ; où se trouvent les palmes immortelles,
urce du mal ; c’est aux mains adroites et puissantes à administrer le
véritable
remède. DU THEATRE Sans doute, il est bien
r accordons alors de distinctions et d’hommages particuliers, est une
véritable
indiscrétion. Elle accoutume le commun des hommes
montrent seules combien il importe en France de ramener le théâtre au
véritable
but de son institution, celui de corriger et d’in
en amusant ; ce sera le seul moyen de donner à l’art de la comédie un
véritable
lustre, et de replacer celui qui le cultive au ra
’esprit du peuple les grandes idées religieuses, si nécessaires à son
véritable
bonheur, c’est ce dont il n’est pas permis de dou
si égaré par l’imposture ou l’ignorance, il ne va pas la puiser à sa
véritable
source, qui peut lui en garantir l’inaltérable pu
décadence du théâtre, dit-il, on se voit contraint de substituer aux
véritables
beautés éclipsées, de petits agréments capables d
u sien ; et quoique au milieu du luxe et de l’abondance, et vivant en
véritable
Epicurienne, elle ose encore chaque jour disputer
faut que, comme les choses elles-mêmes, tous les hommes soient à leur
véritable
place. Mais laissons ce que l’ouvrage a de bon ou
France éplorée, d’accréditer sur la scène ce préjugé barbare, que le
véritable
honneur est réellement intéressé à laver dans le
éâtre ancien et moderne, tant de jeunes gens confondent si souvent la
véritable
valeur avec cette fausse bravoure, qui n’en a que
rre, l’honneur d’un trépas fameux, n’est pas toujours la marque d’une
véritable
valeur. Le désir immodéré d’une injuste dominatio
n pays : voilà ce qui présente les caractères d’un vrai courage, d’un
véritable
héroïsme, soutenu dans le calme et le sang froid
x d’afficher leur vengeance, en est-il beaucoup qui, comme ce Romain,
véritable
ami de la patrie qu’il portait dans son cœur, soi
taille rangée, longtemps éludé le plus court chemin qui conduisait au
véritable
champ de l’honneur ? Mais ce n’est pas à cela qu
r, les objets ne paraissent donc presque jamais à nos yeux sous leurs
véritables
couleurs ; nous y sommes donc presque toujours le
qui dans Polyeucte avait peint avec tant d’énergie le triomphe de la
véritable
religion ; que celui qui, dans Esther, avait si é
de réussir et de plaire à la multitude, fait si souvent sacrifier la
véritable
morale au mauvais goût ou à la dépravation du siè
ement qui s’y est introduit, corrigeons-les, ramenons-les tous au but
véritable
de leur institution, qui ne peut être celui de co
n’écrive qu’au flambeau de la vérité, et qu’avec les sentiments d’un
véritable
ami de la patrie. Qu’aura-t-il donc alors à redou
e ces vaines clameurs, que tout homme judicieux sait apprécier à leur
véritable
valeur, épurons-donc la scène, veillons scrupuleu
es par la nature ; et c’est un usage aussi abusif que contraire à nos
véritables
jouissances, que celui qui, de nos jours, s’est i
iège de Calais, nous a présenté un tableau si noble et si touchant du
véritable
amour de la patrie, ne saurait-il plus trouver d’
lui, ne sont pas d’une moindre importance. Pénétré de ses devoirs, le
véritable
avocat ne saurait lui refuser un appui tutélaire,
à la triste humanité, il n’en servira qu’avec plus de zèle encore ses
véritables
intérêts, il oubliera jusqu’à l’éclat de sa propr
qui serait funeste à la société ; voilà les sentiments qui animent le
véritable
jurisconsulte. Ah ! que celui qui n’en ressent pa
sein épancher sa douleur et chercher un remède à ses maux : il est le
véritable
ami de la détresse, et si par de salutaires conse
, pour l’éloquence et pour l’humanité ! Dans les tribunaux civils, le
véritable
intérêt des parties permet rarement à l’avocat de
rve et compromet tout à coup la justification ? Ceux qui, élevés à la
véritable
école du barreau, sont par eux-mêmes en état d’en
ier ornement. Ainsi le barreau français, rétabli dans son ancienne et
véritable
splendeur, pourra, comme celui de Rome et d’Athèn
u’une arme inutile ou dangereuse. Alors, incertain ou flottant sur le
véritable
sens de ses dispositions, il était forcé de remon
grands modèles, ils ramèneront et perpétueront les beaux jours de la
véritable
éloquence. CONCLUSION. Si, de toutes les re
n cœur droit, un esprit éclairé, mais je le dis par le sentiment d’un
véritable
intérêt pour la société, non, il n’y a rien que j
essort particulier de l’orateur chrétien qui enseigne et développe la
véritable
morale, il appartient à celui du barreau de force
es se hâtent donc d’abjurer tout ce qui peut arrêter le progrès de la
véritable
morale, ou que plutôt, devenus eux-mêmes ses zélé
mêmes ses zélés panégyristes sur la scène, ils la transforment en une
véritable
école d’éloquence et de bon goût, dont la religio
rendre un état brillant, sans doute, mais peu propre à le mener à une
véritable
considération, puisque un ancien préjugé devait n
des frères de Floridor n’était donc fondée que sur la prudence et un
véritable
intérêt. La vengeance qu’il cherche à en tirer, e
à l’époque où la pièce a paru, c’est-à-dire sous un Prince ami de la
véritable
piété, était propre à signaler ceux qui en prenai
ligieux, il en est plusieurs qui ont la faiblesse de dissimuler leurs
véritables
sentiments pour échapper au ridicule et de prendr
guère propre qu’à égarer le petit peuple, qui ne distingue jamais la
véritable
piété de la fausse. L’un et l’autre ayant toujour
ile, n’a pas un grand intérêt à réprimer tout ce qui tend à avilir la
véritable
morale de l’évangile ? 54. NDA Préface de Cochi
recs si habiles dans tous les beaux Arts, connurent de bonne heure le
véritable
goût de chaque Piéce de Poësie. Elle cherche à am
lque chose de puérile, qui la frappent vivement, elle fit entendre de
véritables
gémissemens, & voilà pourquoi Aristote ne rec
s l’Imitation. Le désordre regna par tout. J’ai placé l’Epoque de sa
véritable
renaissance à Corneille, qui prit une route très-
-grand & très-rare, est certainement admirable : mais est-elle la
véritable
? Elle ne l’est point, si les hommes aiment mieux
t sur des préjugés qui semblaient assez forts ; mais je ressentis une
véritable
joie de ce désaveu Iorsqu’il parut, et je doutais
avoué la Lettre avec édification du Public ; mais celui qui en est le
véritable
Auteur, et non pas tant l’Auteur même que les rai
et ne s’attacheraient pas à l’apparence du mal plus fortement que la
véritable
dévotion ne voudrait que l’on fît au mal même. Je
eux. Je vous laisse à juger si un homme sans passion et poussé par un
véritable
esprit de charité parlerait de la sorte : « Certe
cet argument est convaincant, il doit avec justice faire douter de la
véritable
religion. Il faut avouer que les ignorants et les
Les gens qui ne sont point préoccupés ne l’en blâmeront jamais et les
véritables
dévots n’y trouveront rien à redire. Ce scrupuleu
avaient mine d’honnêtes gens. Toutes ces preuves sont fortes et aussi
véritables
qu’il est vrai qu’il n’y a point d’honnêtes gens
p de Cestes comme votre Hercule, mais par les armes spirituelles d’un
véritable
Evêque, par la Foi, par la Prière, par la vigilan
Voilà, mes Pères, ce qu’on appelle des désordres dignes du zèle d’un
véritable
Evêque et contre lesquels le Prélat défunt n’aura
e votre Hercule, mes Pères, s’il n’avait pour objet que d’empêcher de
véritables
abus comme celui-là. Mais s’il combat dans votre
ste, et combien il est contraire à la piété et aux sentiments que les
véritables
Chrétiens ont toujours fait paraître en de sembla
qu’ayant pitié de l’abandonnement où nous sommes, il daigne donner un
véritable
Pasteur à son Eglise qu’il a fondée lui-même, et
st. D. La vie d'un Chrétien peut-elle être une vie de plaisir ? R. Le
véritable
plaisir d'un Chrétien consiste à se priver de tou
s plaisirs passagers ; à attacher son cœur au lieu où se trouvent les
véritables
délices ; et à se faire de Jésus-Christ l'unique
rien n'est plus opposé à la vie, aux sentiments, et aux devoirs d'un
véritable
Chrétien. D. Qu'appelle-t-on spectacles ? R. On a
e propos, le Frère de la Bru commence déjà à faire voir quelle est la
véritable
dévotion, par rapport à celle de M. Panulphe : de
l en donne six ou sept qu’il propose, soutient et prouve l’être de la
véritable
vertu (nombre qui excède de beaucoup celui des bi
ure qui fait le sujet de cette pièce qu’il n’y a point ou fort peu de
véritables
gens de bien, en témoignant par ce dénombrement q
our la suite, d’une vraie femme de bien, qui connaît parfaitement ses
véritables
devoirs et qui y satisfait jusqu’au scrupule. Ell
flexions très solides sur les différences qui se rencontrent entre la
véritable
et la fausse vertu : ce qu’il fait toujours d’une
abord « si la nouvelle qu’il a apprise » de ce prétendu mariage « est
véritable
». À quoi, dans la terreur où les menaces de son
ulle conséquence dans ces temps-là, au lieu d’agir solidement dans le
véritable
intérêt de la passion. Cela sert, disent-ils enco
parences étaient les mêmes dans les uns que dans les autres ; que les
véritables
dévots fussent capables des affectations que cett
eur profession. Le Frère fait dans ces perplexités le personnage d’un
véritable
honnête homme, qui songe à réparer le mal arrivé,
ue de même que l’estime et la considération qu’on doit avoir pour les
véritables
gens de bien, ne doit point passer jusqu’aux méch
les méchants et pour les hypocrites, ne doit point faire de tort aux
véritables
gens de bien, mais au contraire doit augmenter la
au lieu des punitions qu’il mérite, il reçoive du Ciel la grâce d’une
véritable
pénitence qu’il n’a pas méritée ». Conclusion, à
uvrage si saint, qui n’étant qu’une instruction très chrétienne de la
véritable
dévotion, ne devait pas finir autrement que par l
n a aujourd’hui parmi nous, de décrier l’hypocrisie, et de prêcher la
véritable
dévotion ? La seconde de mes réflexions est sur
iter à fond du Ridicule, qui est une des plus sublimes matières de la
véritable
Morale, et que cela ne se peut sans quelque longu
ntiment passionné ; ce qui est peut-être le plus grand principe de la
véritable
Rhétorique ; aussi n’y a-t-il rien qui déplaise p
adroitement les spectateurs à confondre avec de faux cultes le culte
véritable
, et n’y sont marqués que du sceau de la haine et
aine et du mépris. Sous l’emblème des fausses religions on attaque la
véritable
: Mahomet, les Vestales, Eugénie, Argillan, Virgi
es plaisirs que celui qui naît de l’imitation, soit pour indiquer les
véritables
sources de ces plaisirs, que je voudrois voir ras
qui n’auroit que des vertus, sans aucune ombre de défauts, seroit un
véritable
prodige ; mais le monstre & le prodige sont é
dont plusieurs personnes s’accommodent souvent beaucoup mieux que des
véritables
passions tragiques. Mais le désir d’apprendre &
a place, elle fait en elle-même & dans le tout qui en résulte, le
véritable
effet qu’on doit en attendre ; & comme cette
r, à mettre dans tout son jour le point de morale qui doit en être le
véritable
sujet, & qu’en donnant par-là le plaisir de l
ttentive & plus docile à la raison. Rien ne manque donc plus à la
véritable
gloire du Poëte, parce que joignant toujours ce q
e, ou de l’objet de son imitation, & j’ai tâché d’y découvrir les
véritables
causes de l’impression que fait la Tragédie ; j’y
e de la douleur y fait couler des larmes passageres, mais, en un sens
véritables
. Le commun des hommes aime mieux se laisser agite
e action qu’ils veulent bien regarder pour un moment comme une action
véritable
. Il en est de même à proportion du plaisir que la
’une pensée à laquelle ils font si peu d’attention, soit néanmoins la
véritable
cause du plaisir qu’ils y trouvent. Ainsi, de mêm
pplaudissements à l’Imitateur : on en voit aussi beaucoup plus que de
véritables
Auteurs ; & ce n’est pas seulement dans la Pe
, n’a rien de commun avec le plaisir de l’Imitation renfermé dans ses
véritables
bornes. Si je parlois donc de l’Histoire en trait
goût que les hommes ont pour l’Imitation, il restera d’expliquer les
véritables
causes de cette derniere espece de plaisir dont l
ions mêmes. Ce qui a fait dire à saint Augustin, que c’était un crime
véritable
de faire son divertissement de la fiction des cri
et qu’elle ne s’en devait servir que selon ses ordres. Voilà ce qu’un
véritable
Théologien qui a une juste idée de la Religion de
es spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un
véritable
chrétien. « Le théâtre est contraire à ces v
sence. Mais, pour leur ouvrir les yeux, il suffit de leur rappeler le
véritable
esprit du christianisme, et leur faire voir que l
n ne peut offrir à Dieu comme une œuvre chrétienne, qui est opposé au
véritable
esprit du christianisme, non seulement par sa nat
t, qui, tandis qu’on joue une passion feinte, en éprouve lui-même une
véritable
? « Pour bien comprendre ce que nous venons d’a
det, etc. » Il passe de là au théâtre. Si vos Dieux étaient des Dieux
véritables
, ils vous donneraient des règles de mœurs et de v
en grand nombre. Ceux qui vous procureraient cette vie, seraient vos
véritables
Dieux, etc. Faut-il remonter au temps de S. Augus
e plaisent dans la représentation de leurs crimes, soit qu’ils soient
véritables
, ce qui est le comble de l’infamie, soit qu’ils s
connaître des Dieux qui se plaisent aux hommages des gens infâmes. La
véritable
piété, qui seule peut faire votre véritable gloir
ages des gens infâmes. La véritable piété, qui seule peut faire votre
véritable
gloire, ne souffre pas une engeance infâme que le
ui fait un châtiment de l’impunité, et fortifie leur corruption, leur
véritable
ennemi. Mais les hommes pervers et rebelles mette
ns la connaissance de la misère des hommes que de considérer la cause
véritable
de l’agitation perpétuelle dans laquelle ils pass
’application aux choses extérieures, à perdre le souvenir de son état
véritable
: sa joie consiste dans cet oubli, et il suffit,
u’il peut contribuer, plus que toutes choses, à lui faire chercher sa
véritable
guérison, et que le divertissement, qu’il regarde
e et dans tous les ouvrages où une vie idéale est substituée à la vie
véritable
. « Ceux-là se trompent étrangement qui s’imagine
oulons-nous trouver les sources abondantes d’une innocente joie et du
véritable
contentement, aussi bien que les moyens d’étendre
[NDA] Le Christianisme des gens du monde, mis en opposition avec le
véritable
christianisme, par W. Wilberforce ; traduit de l’
invective contre la Comédie, assure qu’elle est plutôt un mal réel et
véritable
, qu’un divertissement : « Quicquid ibi geritur no
iment à se rendre encore plus insolents, et en sont par conséquent la
véritable
cause. « Non enim, dit ce Père, tam ille delinqui
èles, sous le spécieux prétexte de les récréer, et pour renverser les
véritables
maximes de l’Evangile par des maximes contraires,
ien, considérer que les spectacles sont plutôt une mort à l’âme qu’un
véritable
plaisir. « Respiciant cuncta quæ diximus, et vide
ise et aux Constitutions Canoniques n’est d’aucune autorité et est un
véritable
abus. « Consuetudo, dit le Pape Innocent III. Inn
de la Communion, qu’après qu’ils ont donné des marques assurées d’une
véritable
conversion, ainsi que le déclare le troisième Con
jours heureux ! que l’on vous trouve courts. » D’un autre côté les
véritables
Chrétiens s’entredisent les uns aux autres : allo
ionis », dit S. Augustin, de vera et falsa pœnit. c. 15. En effet, un
véritable
pénitent se doit toujours regarder devant Dieu co
u lieu donc de rire, ou de prendre plaisir à voir rire les autres, un
véritable
Pénitent n’est continuellement occupé que de la p
vie sont des Voyageurs, qui doivent s’avancer incessamment vers leur
véritable
patrie, qui est le Ciel, et que Dieu leur a donné
il n’y a point d’apparence, ce ne serait pas l’aimer. Or Dieu est le
véritable
père des Chrétiens ; Jésus-Christ est l’époux de
t un exercice honnête, dont les uns et les autres peuvent retirer une
véritable
utilité. Ce ne sont donc pas les Pièces de cette
positions d’un très grand nombre de personnes mal instruites de leurs
véritables
intérêts.
omon. En effet, comme le fait très bien voir M. le baron d’Hénin, les
véritables
auteurs de nos jeux scéniques sont ces pèlerins q
omédien en France. Cette législation a fait de ceux qui l’exercent de
véritables
citoyens, supportant les mêmes charges et remplis
et personnellement dénoncée, un ecclésiastique se rend coupable d’un
véritable
délit lorsqu’il refuse les prières publiques à un
des paillardises. Par des douleurs feintes ils vous tirent des larmes
véritables
; Vous souhaitez de vrais homicides, et vous en p
s d’en disputer, arrêtons la superstition, chassons l’impiété, que la
véritable
Religion triomphe toute seule. Commec Octavius eu
exerçons la justice, dans qui la Loi de Dieu règne, qui pratiquons la
véritable
Religion, que la vérité gouverne, que la grâce ga
divine conduit, que la sagesse enseigne, que Jésus-Christ qui est la
véritable
vie régit, et que Dieu seul règle par l'empire qu
ce monde; ou plutôt, c'est une étrange manie de considérer, comme un
véritable
plaisir, les voluptés de ce siècle. Quelques Phil
voluptés, qui nous fait mépriser le siècle; qui nous établit dans une
véritable
liberté ; qui conserve la pureté de notre conscie
de la versification, devoit être une espece de Musique, & de leur
véritable
Musique, qui étoit celle de leurs Chœurs ? Ces Ch
oujours un lieu baigné de larmes. Il retentissoit des lamentations de
véritables
Malheureux, d’une Hecube, d’un Œdippe, d’un Philo
à la fin de leur Art, ne songeant qu’à exciter une grande émotion, le
véritable
plaisir de la Tragédie ; parce que notre Ame, com
sententieuse. Elle devint plus utile aux mœurs, mais elle perdit son
véritable
caractere, qui est d’être plaisante. Elle doit to
e. Le rire n’est pas toujours le témoignage de la joie, & dans la
véritable
joie, comme celle que nous cause une heureuse nou
ureté ?6 Un S. Jean Chrysostome (supposé que ce qu’on dit de lui soit
véritable
) pouvoit se délasser à la lecture d’Aristophane,
omme incompatible avec l’exercice de la religion, le clergé commet un
véritable
délit contre la puissance du prince, contre celle
pureté de notre sainte religion. La puissance temporelle est donc la
véritable
conservatrice d’une religion qui mérite tous nos
à-fait nouveau. §. II.Si l’on peut dire des Comédiens, que ce sont de
véritables
Chrétiens et des Saints. Paroles de l’Auteur de
re. « Les Comédiens joignent à leur devoir d’honnêtes gens celui de
véritables
Chrétiens. »p. 52. « J’en ai confessé et connu
leur appliquer avec justice ce que J.C. dit aux Juifs. Vous êtes les
véritables
enfants du diable, vous agissez par son esprit, v
tres. Ils ne remplissent donc aucunement l’idée qu’on doit avoir d’un
véritable
Chrétien. « Mais,P. 52. me direz-vous, est-ce qu
uïr la Messe, et même fréquenter les Sacrements : mais n’ayant pas la
véritable
piété dans le cœur, et ne la pouvant avoir, tandi
atth. 7. 2. Il s’ensuit donc qu’on ne peut appeler les Comédiens de
véritables
Chrétiens. §. III. Les Comédiens ont toujours été
épargnés. Le mécontentement semble retomber sur eux. N’est-ce pas une
véritable
profanation, qui humilie les Auteurs & désesp
llir les talents, & de les combler de bienfaits. Cette idée de la
véritable
grandeur, anime ceux qu’ils commettent aux différ
e, ne s’est retrouvé que quand il n’étoit plus tems de le mettre à sa
véritable
place, & on a été obligé de l’imprimer le der
nsi tous les jours : mais parlons-nous juste ? Est-ce aujourd’hui une
véritable
louange, ou seulement un titre vain et spécieux ?
e, et deux sortes d’Acteurs et d’Actrices pour une seule action ; les
véritables
dans les loges, et les imaginaires sur le Théâtre
, jugez, prononcez, sans avoir égard à un petit nombre d’honnêtes, et
véritables
dévotes que j’excepte. Pour moi, je crois, que qu
ent voulez-vous que les Empiriques fassent ce que n’ont pu opérer les
véritables
Médecins ? Par ces Empiriques j’entends les Corne
ie n’est jamais si parfaite, que lorsqu’elle peut arracher des larmes
véritables
, ou qu’elle renvoie le Spectateur comme tout engo
tre belle Rhétorique, auriez bien de la peine à remettre à la mode le
véritable
amour conjugal. Vous m’allez demander peut-être q
n’ont que le sens commun en partage ; ils ne savent pas qu’il y a un
véritable
bon sens qui n’est pas donné à tout le monde, et
s donné à tout le monde, et qui est réservé à ceux qui connaissent le
véritable
sens de Jansénius. A l’égard des faussetés qu’il
suffira de penser le contraire de ce que je dis, afin de pénétrer mes
véritables
sentimens. Voilà dans quel esprit on doit lire un
u’il n’y a que l’observation des règles en tout genre qui promette de
véritables
succès. Tout ce qui s’écartera des règles, comme,
lissement surdes bases qui puissent relever en France leurancienne et
véritable
splendeur. ouvrage politique et moralPar Marie-Ja
mi ; votre cœur vous les dit assez, sans que je vous les explique. La
véritable
amitié sympathise. Agréez donc ces Essais, et q
vouera-t-on point qu’il s’y prend bien mal pour nous persuader que la
véritable
dévotion le fait agir, lorsqu’il traite Monsieur
? Je le pardonne pourtant à ces consciencieux, qui reprennent par un
véritable
motif de dévotion, et, quoique les vers de Monsie
e critique quelques mots qui tenaient plutôt de l’animosité que de la
véritable
dévotion. Car me soutiendrez-vous que c’est par c
bre et bizarre procession dont le récit étonnera et affligera même le
véritable
chrétien, parce qu’il y aura vu les objets et les
orter la croix, signe du supplice de Jésus-Christ et l’objet de notre
véritable
rédemption, le sujet de notre vénération, et de t
visage. Il y en a quelques-uns qui prennent ce dévot exercice pour un
véritable
exercice de piété ; mais il y en a d’autres qui n
pouvait être capable, les honneurs et les respects qui sont dus à un
véritable
évêque. La chose était assez ridicule. Ce bel évê
osée vivante, gouverne-nous, conduis-nous aux trônes célestes et à la
véritable
joie ; Toi dignité et vertu, toi le juste et le v
tu, toi le juste et le vrai, toi le saint et le bon ; Toi le Seigneur
véritable
et suprême, à toi soit la gloire. Les matines é
cturne on faisait une invitation ; du reste l’office entier était une
véritable
rapsodie de tout ce qui se chantait pendant le co
élats, et la sagesse de nos parlements, ont cependant fait cesser ces
véritables
profanations, mais ce fut avec beaucoup de peine
, dont toutes les portes s’ouvraient à son arrivée, soit que l’évêque
véritable
fût présent ou absent. On le portait devant une d
ette bouffonnerie. Le prétendu prélat faisait toutes les fonctions du
véritable
évêque. Il assistait aux offices dans la chaire d
lait en toutes circonstances. Or, la puissance temporelle est donc la
véritable
conservatrice d’une religion qui mérite tous nos
uvernement et le salut de tous, et jetteraient dans l’ordre social un
véritable
désordre. Ainsi la puissance séculière doit toujo
a. [NDE]Première édition de ce texte : André de Gaule, Conviction
véritable
du récit fabuleux , Lyon : Abraham Cloquemin, 160
les : que ceux qui ont un peu plus de talens que de suffisance, ou un
véritable
génie n’osant enfreindre les loix, perdent des an
beautés plus utiles. Elle regarde les discutions dogmatiques comme un
véritable
larcin qu’on lui fait. Il paroîtra singulier sans
u’à l’Acteur lui-même pour la produire. Pour que la musique causât un
véritable
délassement, il faudroit qu’elle fût chez nous, c
des fleurs artificielles, qu’on charge de clinquans, pour suppléer au
véritable
éclat qui leur manque. Renvoyez donc ces parasite
aître ? Illusion, mes frères ; erreur dangereuse, très contraire à la
véritable
religion, et à la parfaite obéissance que nous de
ourments ; et qui est plutôt l’effet d’une prévoyance humaine, qu’une
véritable
soumission aux ordres du ciel. On a vu en effet,
t non de près, on ne le connaît qu’imparfaitement. Ainsi on ignore le
véritable
usage, qu’il veut que nous fassions des créatures
fait à l’honneur des parents défunts. Or un pareil sacrifice est une
véritable
idolâtrie ; puisque l’idolâtrie est une espèce de
met en pièces. Faut-il Chap. 24. d’autres preuves pour convaincre les
véritables
serviteurs de Dieu, qu’ils doivent détester tout
utôt vous êtes insensé, si vous regardez la joie de ce monde comme un
véritable
plaisir. Les philosophes n’ont donné le nom de pl
élations célestes ; enfin que de vivre toujours pour Dieu ? Voilà les
véritables
plaisirs des chrétiens : voilà leurs spectacles i
nt, alors plein de gloire, et de majesté, alors enfin reconnu pour le
véritable
fils de Dieu. Quelle sera en ce jour la joie des
ret et d'affliction ; et que si ces sujets tragiques, et ces malheurs
véritables
ou supposés, sont représentés avec si peu de grâc
dirai pourtant, parce que vous savez combien ce que je vais dire est
véritable
) c'est à ces sortes de personnes qu'un Comédien p
re sont la même chose. Si bien que si nous retournons à l'un, il est
véritable
que nous retournons à l'autre. Je renonce, dit-on
ous excuse, et qui ne nous condamne ? Nous sommes en possession de la
véritable
croyance, et nous la ruinons ; nous confessons qu
et l’émail des vôtres, et entre mille belles fictions sentez un aise
véritable
de dire la vérité, qui citoyenne du ciel ne perme
obablement un pseudonyme), qui publie à Lyon la même année Conviction
Véritable
du récit fabuleux, divulgué touchant la Représent
août, de la présente année 1607. Il a été réédité, avec la Conviction
Véritable
de Gaule, par Antoine Péricaud en 1837 (in Revue
es défauts, pendant qu’on est si clairvoyant sur ceux des autres. Mon
véritable
sentiment serait donc que l’on imitât, en cela, l
édie, dans laquelle un vicieux, par fiction, en instruirait plus d’un
véritable
? C’était avec grande raison que Dion Chrysostome
rviraient les Habits de Village, si les Pièces en peignent si peu les
véritables
mœurs ?]
r avec la vie et les sentiments d’un disciple de Jésus-Christ et d’un
véritable
chrétien. Il sera alors facile de reconnaître que
XXXIII. La
véritable
piété ne peut subsister sans une crainte salutair
XXXIII. L'âme ne saurait conserver une
véritable
piété sans le secours d'une crainte salutaire, qu
lité à la Rime, dont l’envie de faire plus aisément des Vers a été la
véritable
cause, prétendent qu’on doit trouver des graces i
Poëme destiné à faire verser des larmes, & à peindre des douleurs
véritables
, Dût connoître l’Amour & ses folles douleu
e réforme il en ajouta une seconde, il fit parler à cette Passion son
véritable
langage. On ne vit plus les Amans diviniser leurs
les. Et pourquoi ? Parce que dans celles-ci l’Amour parle son langage
véritable
, ce qui, malgré les intentions de l’Auteur, doit
anité. On s’attendrit plus volontiers à des maux feints qu’à des maux
véritables
. Les imitations du théâtre n’exigent que des pleu
e Misanthrope. « Cette pièce nous découvre mieux qu’aucune autre la
véritable
vue dans laquelle Molière a composé son théâtre,
Alceste, dans cette pièce, est un homme droit, sincère, estimable, un
véritable
homme de bien qui déteste les mœurs de son siècle
eut produire dans ce sol empesté que des fruits pernicieux : sa place
véritable
et naturelle est dans la chaire, où environnée de
ent des Sages, qui sont seuls capables de distribuer dans le monde la
véritable
gloire. C’est ce qui fait espérer que Molière rec
es, il faut avouer que Molière est lui-même un Tartuffe achevé, et un
véritable
Hypocrite, et qu’il ressemble à ces Comédiens, do
s licencieux : Son Cocu imaginaire est une invention pour en faire de
véritables
, et plus de femmes se sont débauchées à son École
le de l’autre à lui ôter tous les secours qu’elle peut recevoir d’une
véritable
et solide piété. Son Avarice ne contribue pas peu
ètes. Celui des Orateurs. La fausse éloquence. Comment on acquiert la
véritable
. Comment on devient Philosophe. Les effets des fa
ntinuelle, puisque vous lui aurez montré à juger des choses par leurs
véritables
idées, et non point par rapport à lui-même. Euge
mposer. Eugene. Je crois aussi que comme on lui aura fait suivre les
véritables
idées des choses, et reconnaître les bornes de l’
en sortent ? Comment peut-on donc excuser une pratique si remplie de
véritables
maux, sous prétexte d’un bien apparent ? Mais il
es spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un
véritable
chrétien. 116 Chap. XV. Les spectacles éteignent
reuse d’être née en Egypte, et de n’être pas sensible aux biens de la
véritable
Canaan ! C’est pourquoi tu tournes si souvent les
assion, de vraies larmes dans les Acteurs, qui en font couler d’aussi
véritables
dans ceux qui les écoutent. Quel aveuglement dans
ar cette doctrine qui est rapportée par Angélus et par Sylvestre, est
véritable
et constante, que si quelqu’un fait quelque actio
ela a quelque rapport avec la vie, les sentiments et les devoirs d'un
véritable
Chrétien. Et c'est ce qu'on a dessein de faire da
te. Les Pères de l’Eglise ayant donc toujours interdit la Comédie aux
véritables
Chrétiens ; ceux-ci les ont toujours suivis. C’es
us mortel ennemi, et en s’attachant pour toujours à Jésus-Christ leur
véritable
Seigneur et leur Dieu. Il ordonna aussi dans son
honnoreront. Ils seront aujourd’hui chrétiens et demain ils seront de
véritables
païens. Enfin ils seront aujourd’hu dévôts et fid
rviteurs de J.C. et demain ils seront des impies, des Apostats, et de
véritables
ennemis de Jésus-Christ. Mes chers frères, ne vou
Pères de l’Eglise. Les Pères de l’Eglise ont toujours considéré les
véritables
Chrétiens comme des hommes spirituels, dont les p
es divertissements des chrétiens. S’ils aiment, dit-il, ceux qui sont
véritables
, et qui leur seront utiles ; qu’ils s’appliquent
Les Sentiments de l’Eglise et des Saints Pères, pour former ceux des
véritables
Chrétiens, sur la Comédie et les Comédiens. Oppos
ela a quelque rapport avec la vie, les sentiments et les devoirs d'un
véritable
Chrétien. C'est ce qu'on a dessein de faire dans
ne veut pas même qu’il soit nommé, la passion pour les richesses une
véritable
idolatrie, le faux point d’honneur une injustice
tes leurs vertus, ne sont rien sans la foi, tandis que saint Paul, ce
véritable
apôtre de la morale chrétienne et évangélique la
abrégé, la morale évangélique, dont l’empreinte divine caractérise la
véritable
morale chrétienne. Une foule de théologiens ont,
en pratiquant eux-mêmes la morale, auront les yeux ouverts sur leurs
véritables
intérêts. Ils comprendront que l’alliance du gouv
réjugés, n’ont jamais bien envisagé cette question difficile dans son
véritable
point de vue ; ils n’ont présenté que des raisonn
rs, comme il le déclare dans sa Préface ; et non de leur inspirer une
véritable
horreur de l’impiété et du crime. 2°. Ces Comédie
résentation ? » Lactance s’explique en mêmes termes dans son livre du
véritable
culte : « Que dirai-je des Comédiens, dont la Pro
édien peut être comparé en ce sens, au Médecin. L’un dissipe l’ennui,
véritable
maladie de l’ame, comme l’autre guérit celle du c
e, réservée, ils sont des Citoyens utiles, ils peuvent atteindre à la
véritable
vertu ? Je me plais dans cette idée ; elle me con
ainsi que l’enflure du cœur est la mère de la présomption, de même la
véritable
douceur ne procède que de la vraie humilité. » Ce
e son père. « Oui je lui ferai voir par d'infaillibles marques Qu'un
véritable
amour brave la main des Parques, Et ne prend poin
présentée. « Oui je lui ferai voir par d'infaillibles marques, Qu'un
véritable
amour brave la main des Parques, Et ne prend poin
’il veuille vous ouvrir les yeux, et vous donner des Sentiments d’une
véritable
componction. Je veux bien croire pour vous justif
conformer à votre ami. Jugez de l’opposition que les Théologiens d’un
véritable
et solide mérite auront de vous accorder cette di
z juger que les personnes que vous avez consultées, n’avaient pas une
véritable
horreur pour le péché, dés qu’elles s’exposaient
r des décisions : mais je dis seulement que les personnes qui ont une
véritable
horreur du péché, ne fuient pas seulement les occ
bien opposées : et je n’aurais jamais cru qu’on pût unir ensemble une
véritable
horreur du péché avec une disposition habituelle
récaution pour n’y pas heurter davantage : voilà ce que j’appelle une
véritable
horreur pour le péché. Et je ne vois pas d’autre
tes, et s’il est compatible avec l’horreur du péché et avec une piété
véritable
et solide ; malheureusement pour vous tout le mon
Comédies, je ne sais si c’est par scrupule ; pour moi je m’en fais un
véritable
. Si je me contente d’en citer les endroits, cela
erçoit plus les infamies des Anciens, on y aperçoit encore moins leur
véritable
dessein de corriger ou d’instruire ; que si on en
cite pas toujours les passions, ce n’est que par hasard, parce que sa
véritable
fin et tout son but est de les exciter. Vous vous
es excite, et quoiqu’elle ne les excite pas toujours, c’est contre sa
véritable
fin et son principal dessein ; qu’il est toujours
oint par hasard, comme vous dites ; mais parce que c’est la fin et le
véritable
dessein de la Comédie. De là vient que si une Piè
u’elle avait soin ou de renvoyer ou de supprimer. Elle se faisait une
véritable
peine dans le monde de dire avec qui elle était l
ils ne s’y sont souvent engagés que par libertinage. Or je dis que la
véritable
cause de cette infamie dont le Public les note, e
ais un Comédien dans le temps même qu’il moralise le plus, n’a pas un
véritable
dessein de corriger ni de réformer personne : on
a débauche, qui par de feints adultères, enseignent à en commettre de
véritables
, « qui docent adulteria dum fingunt, et simulatis
à celui des Prélats, des Ecclésiastiques et des Religieux, qui ont le
véritable
esprit du Christianisme et de leur profession. Si
fait des folies pour une femme. Voilà un roman. Ces faits fussent-ils
véritables
, vallent-ils la peine d’être transmis à la postér
est trompé. On ne croit pas voir sur le théatre un Cyd, un Alexandre
véritable
; on sait que ce n’est qu’un vil Acteur, dont la
ns son cœur & le modelle dans le monde, & qu’on le donne pour
véritable
, sous le nom imposant de personnes illustres ! Ce
l’esprit, qu’il est impossible à ceux qui s’y amusent, de jouir d’une
véritable
paix. La vanité qui occupe l’entendement obscurci
e dans le cours des siècles. Mais que ces Histoires soient feintes ou
véritables
, il est constant que les Auteurs de ces pièces ne
m dans la chaire de pestilencen : Soutenant que ces paroles dans leur
véritable
sens, condamnent ces actions et ceux qui y prenne
l’Absolution ; que l’amour de Dieu fût la marque et le caractère des
véritables
conversions ; que la charité fût l’âme des bonnes
s pieuses n’en aient usé en quelques occasions, par le mouvement d’un
véritable
zèle, et par un sentiment de piété. Cela paraît d
r le côté favorable. Mais lorsqu’il s’agit de se former une idée des
véritables
inconvéniens des Spectacles, si l’on ne fait que
es ont balancé leur utilité. Pour remédier au mal, recherchons-en les
véritables
causes. J’en découvre de deux sortes : les unes v
ce dernier objet est d’une si grande importance, que pour opérer une
véritable
réforme, on doit commencer par honester la condit
nt l’art de la déclamation, sous de frivoles prétextes qui cachent le
véritable
, sont une nouvelle cause de la dépravation des mœ
que l’on a nommée moyenne ; elle consistait à représenter des actions
véritables
sans nommer les personnes. Ce fut le même Aristop
p à redire à cette méthode : tous ceux qui avaient eu part à l’action
véritable
qui était représentée, ne laissaient pas de s’en
fanatisme est peint des couleurs les plus noires, c’est-à-dire de ses
véritables
couleurs, non sans doute, un ouvrage où la toléra
nergiques ? Un bon Citoyen ne doit-il pas traiter sa Nation, comme un
véritable
ami traite son ami ? N’est-ce pas servir son ami
lier leur pensée ? Depuis cet avilissement du Théâtre, nul homme d’un
véritable
génie n’est entré dans la carrière. Les Tragédies
qu’un Citoyen puisse porter ; alors nous verrons s’élever des vertus
véritables
; alors le génie, sans cesse avili par le despoti
s convenances arbitraires. Tant que j’écrirai, ma plume, soumise à la
véritable
décence, ne se permettra jamais ces affreux Libel
lus bas) de détruire et d’arracher cette mauvaise coutume, qui est un
véritable
abus, afin que la sainteté des Eglises ne soit po
gendre tous les autres, est de ramener les Lettres à l’esprit de leur
véritable
institution : elles n’ont point pour objet, comme
aujourd’hui presque incroyables, c’est que nous avons perdu de vue le
véritable
esprit des Lettres, & que nous les avons, en
du commun des Lecteurs, & à ramener les Lettres à l’objet de leur
véritable
institution. Car enfin, depuis qu’on a mis les Po
st pas Poësie Dramatique, nous croyons ne devoir placer le tems de la
véritable
renaissance en Europe, de la Tragédie & de la
ut plus heureux dans sa fortune que ne l’a été un de ses Successeurs,
véritable
imitateur des Grecs. Henri II, qui honora de sa p
ner la Rime sans laquelle il n’y a point dans nos Langues modernes de
véritable
Poësie. Ce fut apparemment pour nous récompenser
. Qu’on se représente Electre dans son premier monologue, traînant de
véritables
chaînes ; dont elle se voit accablée : quelle dif
tout ensemble, représente ici par les soins des R.R.P.P. Jésuites le
véritable
Dieu que nous adorons, qui descend exprès du Ciel
ut compris dans ces paroles : « Au reste, mes frères, tout ce qui est
véritable
, tout ce qui est juste, tout ce qui est saint (se
Leurs joies sont vaines et frivoles, et les vôtres seront solides et
véritables
; l’objet de leur joie n’est que quelque chétive
d’un Héros de l’Antiquité, s’ils ne servent pas à nous instruire. La
véritable
Tragédie est l’école de la vertu ; et la seule di
a Clairon & la Statira, il est plus que fils de Jupiter, c’est un
véritable
Apollon, qui inspire les poëtes, tout l’empire de
vieuse. S’il faut detester les cabales, il faut respecter l’union des
véritables
gens de lettres. Je vous rémercie donc pour moi,
isent. Tous ces écrits sont un délire, & la fête de la statue une
véritable
Orgie, il a raison : Habemus satentem reum. Volt
rapeaux mortuaires, des ossements, des têtes de morts, & de morts
véritables
dans la bierre, des tombeaux ouverts ; en un mot,
ectateurs dans le danger de n’avoir jamais ni estime ni amour pour la
véritable
piété. En effet, sous prétexte de ruiner la fauss
pas de les faire appliquer, non à un Tartuffe de Théâtre ; mais à un
véritable
homme de bien. Ainsi cette pièce expose les perso
oient la représentation, que des sentiments déshonnêtes, impies et de
véritables
Athées. Car pour l’ordinaire, l’on est bien plus
ssitôt anéanti : c’est pourquoi ils n’ont jamais pensé à corriger les
véritables
dérèglements des hommes. Et quand même ils le vou
, de passions et de personnes, où ils ne considèrent point ce qui est
véritable
, mais seulement ce qui est propre pour toucher le
un homme véritablement Chrétien, véritablement humble, et qui a cette
véritable
science qui n’enfle point et qui n’empêchait pas
ssi n’empêcherez-vous jamais par de telles suppositions qu’il ne soit
véritable
que tous les Religieux ont toujours été bien reçu
doit-on accuser, ou le Port-Royal qui a dit tant de fois une histoire
véritable
, ou les ennemis de Port-Royal qui n’ont jamais ré
Le Théâtre exige qu’on lui donne des éloges, qui ne sont dûs qu’à la
véritable
grandeur. Il veut qu’on accorde son admiration à
du monde. Dieu seul est indifférent, et compté pour rien. Cela est si
véritable
que s'il arrive (et il n'arrive que trop souvent)
piens, chapitre IV, verset 8].« Au reste, mes frères, tout ce qui est
véritable
: tout ce qui est juste, tout ce qui est saint, (
dans une tragédie, enflammé d’amour et animé d’une fausse gloire ? Le
véritable
honneur m’attire bien moins sur ses pas que la pa
'un événement, dans sa substance et dans ses circonstances. C'est une
véritable
peinture, les paroles y peignent les pensées ; et
que que l'instruction est la fin du Poème Dramatique. Cela n'est plus
véritable
, ni dans l'intention du poète, ni dans celle du s
es fausses vertus pour ce qu'elles sont, c'est-à-dire, pour des vices
véritables
. Mais avant que de faire voir plus à fond quelle
s, il paraît bien par la manière dont vous la niez que vous la croyez
véritable
. L’un de vous me reproche seulement d’avoir pris
Père dont on se plaignait, mais cela ne fait pas que le reste ne soit
véritable
, et pourquoi le nier ? Quel tort cela fait à la c
ousse pas les désirs trop loin. Il faut toujours que les règles de la
véritable
vertu soient méprisées par quelque endroit pour d
ergé ; L’abjuration de cette profession, exigée par le clergé, est un
véritable
délit, parce que aucune autorité dans l’Etat n’a
s ni avec la probité, ni avec la religion ? Or, voilà, mes Frères, la
véritable
idée que l’on doit avoir des comédies les plus es
mérite plus que jamais les anathêmes de l’Eglise & l’horreur des
véritables
Chrétiens. Combien d’autres preuves ne pourrois-j
es : necesse est ut veniant scandala, afin qu’on puisse discerner les
véritables
Chrétiens de ceux qui n’en ont que le nom. Il fau
oquium, aut scurrilitas quæ ad rem non pertinet. Mais tout ce qui est
véritable
& sincère, tout ce qui est honnête, tout ce q
eux adversaire, de peur qu’il ne vous livre un jour sans retour à vos
véritables
ennemis, ministres de sa justice. Mais Jésus-Chri
ur vous tirer des mains de cette prostituée, qu’enfin tout ce qui est
véritable
et honnête, tout ce qui est saint et édifiant, to
est que Farce, ils ne représentent pour l’ordinaire que des Histoires
véritables
ou des feintes qui approchent de la vérité comme
s deux choses ne diffèrent qu’en ce point que la Cour est une Comédie
véritable
et la Comédie est une Cour feinte, et en l’une et
s Héros : dans Lucain, les Héros valent des Dieux. Pour vous dire mon
véritable
sentiment, je crois que la Tragédie des Anciens a
ue jamais dans les passions. J’espère que nous trouverons un jour le
véritable
usage de cette passion, devenue trop ordinaire. C
’Archevêque de Paris, à qui il rend compte de sa doctrine comme à son
véritable
Juge en cette matière, et à qui il déclare qu’il
horrible, qui abusent même des saintes Ecritures et en corrompent les
véritables
sens pour justifier des pratiques criminelles, et
nt trouvé dans les assemblées des Juifs, où l’on a conspiré contre le
véritable
Dieu ; néanmoins on peut aussi les étendre à ceux
s Fidèles, si elle était descendue dans un si vilain détail. Voilà la
véritable
règle que saint Cyprien donne aux Fidèles, et non
s intrigues ne sont pas des offrandes qui puissent être présentées au
véritable
Dieu. On n’y fait plus aussi paraître de femmes t
le connaissons nous autres Chrétiens : car comme nous connaissons le
véritable
Maître des créatures, nous connaissons aussi quel
aisser surprendre, en ne démêlant point assez le faux et l’imaginé du
véritable
, il est à propos de temps en temps de lui lever l
supposerait qu’en elles-mêmes elles soient innocentes, néanmoins les
véritables
Chrétiens sont encore obligés de les éviter, à ca
servir de modèle à tous les Directeurs dans la conduite des âmes à la
véritable
dévotion. Et Fontana de Ferrare rapporte dans son
éant le Monde, et il n’avait pas besoin de repos à cet égard. Mais le
véritable
repos de Dieu consiste dans des actions qui n’ont
▲