Vous travaillerez durant six jours : le septième, vous cesserez votre
travail
, afin que votre bœuf et votre âne, et, en leur fi
in que votre bœuf et votre âne, et, en leur figure, tous ceux dont le
travail
est continuel, se reposent, et que le fils de vot
es apprennent par cet exemple à ne point accabler leurs semblables de
travaux
; ou bien c’est que cette bonté s’étend jusqu’à p
nd jusqu’à prendre soin de nos corps, et jusqu’à les soulager dans un
travail
qui nous est commun avec les animaux ; en sorte q
équences. Le repos de l’ancien peuple consistait à se relâcher de son
travail
pour méditer la loi de Dieu, et s’occuper de son
ges plus nécessaires à la vie ? Les comédiens ne vivent-ils pas de ce
travail
odieux ? et comment peut-on excuser ceux qui les
ilosophes politiques sur le grand nombre des fêtes qui font chômer le
travail
de l’artisan et du laboureur. Que de jours perdus
’instruction des peuples, sont nécessaires à la santé du corps, qu’un
travail
continuel accable ; à la vigueur de l’esprit, que
, dont ces moments de liberté et de plaisir resserrent les liens ; au
travail
lui-même, dont on se lasserait et se dégoûterait
là plus de la moitié de la journée. Chaque représentation distrait du
travail
quatre cents personnes, voilà deux cents journées
la moitié des spectateurs et des compositeurs ne sont nés que pour un
travail
mécanique ; la scène les en arrache, les en dégoû
coupable en les privant du service qu’il pourrait leur rendre par son
travail
? n’est-ce qu’un petit mal d’en détourner les hom
ier s’appliquent plutôt aux jeux des bateleurs et jongleurs qu’à leur
travail
, et y donnent deux grands blancs plutôt qu’à la b
théâtre, mais on y apprend à perdre tout le reste ; on s’y dégoûte du
travail
, on s’y rend inhabile, on ne revient dans sa fami
n, énervés par la débauche, dissipés par une vie frivole, dégoûtés du
travail
et des affaires, n’ont la plupart, ne peuvent ni
aux Halles où à la vallée de Misère, et les autres sur le Théâtre, le
travail
des plus belles plumes. Tellement qu’on peut appe
sans le plaisir qui se trouve dans la vertu. On n’entreprend point un
travail
en tant que travail, et cela est tellement vrai q
se trouve dans la vertu. On n’entreprend point un travail en tant que
travail
, et cela est tellement vrai que l’homme ne peut p
délices, comme disait un Duc de Florence, sont plus à estimer que le
travail
de leurs sujects, et dont les plaisirs et diverti
l’argent que les Comédiens reçoivent, comme un juste salaire de leur
travail
. Mais en ce point ils se condamneront eux-mêmes.
ait lieu, y a-t-il condition qui pût s’exempter de cette tache ? Tout
travail
mérite récompense ; et qui ne voit qu’il faudrait
s grands présents estimant ne pouvoir trop récompenser un si agréable
travail
. Après avoir porté cette botte franche que les ad
e », l’homme serait condamné à rester toujours courbé sous le joug du
travail
? N’aura-t-il à espérer aucun adoucissement à ses
itation, la méditation plus pénible pour la plupart des hommes que le
travail
des mains, et, enfin, vos sermons intolérants, et
? Ah ! imposer à l’homme un pareil repos ne serait que suspendre son
travail
pour lui faire porter, comme à Simon de Cyrène, l
mmet escarpé du Calvaire. Mes frères, l’arrêt qui condamne l’homme au
travail
n’est pas aussi terrible que, dans son intérêt pe
de l’esprit, la distraction si nécessaire après plusieurs jours d’un
travail
assidu. Et en effet, si Dieu, dans sa sévérité, a
assidu. Et en effet, si Dieu, dans sa sévérité, a condamné l’homme au
travail
, il a aussi, dans sa justice et sa bonté, mesuré
esuré ses forces. Ainsi, chaque nuit de chaque jour vient apporter au
travail
de chaque jour le soulagement qui lui est nécessa
fatigués un baume réparateur, et qui lui permettrait de continuer son
travail
même tous les jours. Mais la continuité du travai
t de continuer son travail même tous les jours. Mais la continuité du
travail
sans perspective d’une interruption, serait pour
notre vie ; mais il est aussi destiné aux distractions, à l’oubli du
travail
et des peines, et, ne craignons pas de le dire, a
laisirs diffèrent suivant nos goûts, nos habitudes, le genre de notre
travail
et de nos occupations. Dans les campagnes, les la
après-demain seulement, cet ouvrier intelligent reprendra le joug du
travail
et le supportera patiemment, sans jeter autour de
me ; Qu’il doit immoler tout à sa grandeur suprême. Qu’aux larmes, au
travail
, le peuple est condamné Et d’un sceptre de fer ve
si faux que les principes qui vous les ont fait entreprendre. Tout ce
travail
vous aurait paru de trop, si vous aviez été bien
e du spectacle. Sully n’aurait pas manqué de dire : « Je vois que les
travaux
des Genevois cessant d’être leurs amusements, aus
ait : on en parlera, ou l’on y songera. Par conséquent relâchement de
travail
: premier préjudice. « Quelque peu qu’il en coût
lus, un Ouvrier ne va point dans une Assemblée se montrer en habit de
travail
: il faudra prendre plus souvent ses habits de Di
ps et de l’argent. Augmentation de Dépense, deuxième préjudice. « Un
travail
moins assidu et une dépense plus forte exigent un
usements journaliers pour des gens accablés déjà de fatigue par leurs
travaux
ordinaires. Vos cercles masculins ou féminins, co
n accoutumance, qu'en une nécessité réelle. Ceux qui sont occupés aux
travaux
extérieurs n'ont besoin que d'une simple cessatio
ux travaux extérieurs n'ont besoin que d'une simple cessation de leur
travail
. Ceux qui sont employés dans des affaires pénible
ou en coutume, qu'en une nécessité réelle. Ceux qui sont occupés aux
travaux
extérieurs n'ont besoin que d'une simple cessatio
ux travaux extérieurs n'ont besoin que d'une simple cessation de leur
travail
. Ceux qui sont employés dans des affaires pénible
les forces de l'esprit et du corps, lorsqu'elles sont abattues par le
travail
; il est clair qu'il n'est permis de se divertir t
ermis pour soi-même; mais seulement pour rendre l'âme plus capable de
travail
. Car si personne ne doute que ce ne fût une vie t
les forces de l'esprit et du corps, lorsqu'elles sont abattues par le
travail
; il est clair qu'il n'est permis de se divertir t
ermis pour soi-même, mais seulement pour rendre l'âme plus capable de
travail
. Car si personne ne doute que ce ne fût une vie t
éritablement uni avec le Poète, & celui-ci avec le Musicien, leur
travail
n’en irait que mieux ; il s’aideraient chacun de
intimement au Poète ; il a souvent besoin de lui dans le cours de son
travail
, soit pour entrer davantage dans son idée, soit p
Il a baigné de larmes des lauriers qu’il devait plutôt au génie qu’au
travail
. L’illustre évêque de Meaux fut témoin de ses reg
sait d’avoir travaillé pour le théâtre. Houdar de La Mothe abjura ses
travaux
couronnés, et déclara les maximes de ces sortes d
alement l’exercice et le repos, le plaisir et la peine ; le dégoût du
travail
accable plus les malheureux que le travail même.
et la peine ; le dégoût du travail accable plus les malheureux que le
travail
même. » « Voulez-vous donc rendre un peuple actif
s plaisirs pour les rendre honnêtes, c’est le vrai moyen d’animer ses
travaux
. » « IlPage 256. faut que chacun sente qu’il ne s
lle, qui a pour inscription d’un côté A la vertu, & de l’autre Au
travail
. Ces deux légendes, Dieu aide les bons, Neuilli &
son bouquet à ses pieds pour marquer que l’amour de sa vertu & du
travail
vient de Dieu, qu’il faut lui en rendre toute la
ue font ces prix, l’émulation qu’ils inspirent aux deux sexes pour le
travail
& la vertu. Voici les vers qu’il fit effacer
née…. Ici regne la paix, le foible est protégé…. Des jeunes hommes au
travail
, les bras encouragés, des plus utiles dans la cam
e & en faire un saint usage, secours du ciel sans lequel tous nos
travaux
& toute notre industrie seroit inutile. Exhor
u corps et à l’esprit, quand l’un et l’autre ont été affaiblis par le
travail
, et il ne faut que savoir quelle est notre condit
jeux, de visites, ont-ils besoin de délassements ? Ceux mêmes dont le
travail
n’a rien de sérieux ont-ils besoin de délassement
ne vie qui est un délassement continuel ? Ceux qui sont occupés à des
travaux
corporels ont-ils besoin d’autres délassements qu
ls ont-ils besoin d’autres délassements que la cessation de ces mêmes
travaux
? Après avoir bien travaillé, ne devraient-ils pa
devenir des occupations eux-mêmes, et substituer leur goût à celui du
travail
. »eu Rien de plus sage assurément que ce que vo
j’interdis avec vous le spectacle à tous ceux qui le préféreront à un
travail
utile, à leur fortune, à leur santé, au bien de l
oisiveté. Un homme laborieux n’a point de goût plus vif que celui du
travail
; un paresseux, un libertin, trouvent toujours de
t des paresseux qui n’interrompent leurs occupations que parce que le
travail
leur déplaît ; mais il est bon encore pour amuser
té souffrirait de ce qu’ils seraient bornés à ces amusements après un
travail
fatiguant et assidu. Le spectacle est donc l’amus
pas les oisifs et les paresseux ; ce sont au contraire ceux que leur
travail
met en état de faire la dépense du spectacle. Les
des gens qui, solidement occupés tout le jour, ont besoin après leur
travail
d’un délassement honnête. Comme le nombre de ces
ès doux. »ev Aussi n’est-ce pas aux gens épuisés de fatigue par des
travaux
corporels, qui pour gagner vingt sous par jour, t
huit du soir, que les spectacles sont destinés : mais à ceux dont le
travail
exige plus de génie, d’esprit, de goût, et d’indu
est nécessaire aux fatigues du corps, de même l’esprit, épuisé par le
travail
, demande à être délassé : mais ce n’est point par
les exercent ? La plupart vous diront qu’après six ou sept heures de
travail
, leur cerveau se dessèche, leur imagination se ta
vingt-quatre heures du jour, n’en ayant pu donner que six ou huit au
travail
, il en reste toujours seize ou dix-huit à employe
son jeu ? Ma sœur, il ne manque peut-être à plusieurs que le goût du
travail
: notre siècle est celui de la paresse ; ce vice
le dans les mains des Maitresses Ouvrières, à des heures destinées au
travail
; elles ont presque toutes, pour faire leur parti
mourut en 1721, chez les Jésuites de la maison professe à Paris. Les
travaux
de l’épiscopat n’avaient pu ralentir ses travaux
rofesse à Paris. Les travaux de l’épiscopat n’avaient pu ralentir ses
travaux
littéraires. Continuellement enfermé dans sa bibl
it le préservatif. Entre les hommes, l’indigence condamne les uns au
travail
, tandis que d’autres dans l’abondance s’engraisse
sés ; si au lieu de vaquer à des fonctions honnêtes, ils regardent le
travail
avec mépris ; s’ils treuvent qu’il est beau de s’
rniers débordement. Partout ailleurs où les hommes sont assujettis au
travail
, il n’en est pas ainsi. Les désordres habitans de
c rapidité , dit-il ; le génie même de Montagne sembloit éclairer mon
travail
, & m’aider à tirer de l’oubli le manuscrit qu
de Lettres, & si digne des soins d’un écrivain qui consacre ses
travaux
à sa patrie . Il en fait la confidence à M. d’Ale
. Il en fait la confidence à M. d’Alembert, qui l’encourage dans son
travail
. Il se tue à déchivrer ce manuscrit, à faire des
la contagion qu’il ressent une émotion délicieuse, & se charge du
travail
le plus pénible, soutenu avec une patience inimit
étoit son rôle & son intérêt. Son livre eût-il été reçu & son
travail
récompensé, s’il eut par, lé autrement d’un citoy
mp; diminuent d’autant la portion des auteurs. 4.° Pour encourager au
travail
& à l’étude, on nous apprend que la Clairon d
très-médiocre actrice & fort peu goûtée ; une étude constante, un
travail
opiniatre l’ont conduite à la perfection de son a
dans le Royaume du Ciel, et dans la vie éternelle sans peine, et sans
travail
, ceux qui se divertissent aux Spectacles du Théât
e impudique y auraient bonne part : Mais on ne va au Ciel que par des
travaux
, et par des combats, parce que le chemin qui y co
s lors qu'ils vous voient tous les jours quitter vos occupations, vos
travaux
et l'argent qui vous en revient; en un mot renonc
ccoutumé à ces sortes de discours ; comment pourrez-vous supporter le
travail
qui est nécessaire pour s'affermir dans la contin
Fêtes, bien qu’ils y aient entendu la Messe, et se soient abstenus du
travail
[...] Des Bateleurs, Comédiens, et Tabarins.
leur suffit d’avoir entendu la sainte Messe, et de s’être abstenus du
travail
, pour bien célébrer ces saints jours : ce qui fai
ous y avez entendu la sainte Messe, et que vous vous êtes abstenus du
travail
, puisqu’il est vrai que vous les avez violés auta
per nos chagrins dans nos afflictions, à soulager nos peines dans nos
travaux
, à exciter enfin l’ardeur martiale dans le cœur d
gravité pour l’usage auquel elle est destinée. On y recherche trop le
travail
, et, comme l’a dit l’abbé du Bos, on y joue trop
e taux. Le budget général du clergé, pour l’année 1824, y compris les
travaux
extraordinaires aux édifices des diocèses, et tou
d’homme a ses plaisirs, qui dérivent de sa nature, et naissent de ses
travaux
, de ses rapports, de ses besoins ; et ces plaisir
en fait trouver à perdre, Aussi voit-on constamment que l’habitude du
travail
rend l’inaction insupportable, et qu’une bonne co
xigeraient de nous des soins, des soulagements, des consolations, des
travaux
qui pourraient nous associer à leurs peines, qui
devenir des occupations eux-mêmes, et substituer leur goût à celui du
travail
. La raison veut qu’on favorise les amusements des
faires. Mais laissez un peuple simple et laborieux se délasser de ses
travaux
, quand et comme il lui plaît ; jamais il n’est à
ez encore plus en les admirant, et qui, vous montrant des prodiges de
travail
, de patience et d’industrie, croira ne vous montr
et propre maison de bois24 qu’il a bâtie lui-même, s’occupe de mille
travaux
amusants, qui chassent l’ennui de son asile, et a
ce qui doit résulter de son établissement. Je vois d’abord que, leurs
travaux
cessant d’être leurs amusements, aussitôt qu’ils
e voir : on en parle, ou l’on y songe. Par conséquent, relâchement de
travail
: premier préjudice. Quelque peu qu’on paie à la
lus, un Ouvrier ne va point dans une assemblée se montrer en habit de
travail
: il faut prendre plus souvent ses habits des Dim
mps et de l’argent. Augmentation de dépense : deuxième préjudice. Un
travail
moins assidu et une dépense plus forte exigent un
e et ses effets moraux ; je m’en tiens uniquement à ce qui regarde le
travail
et le gain, et je crois montrer par une conséquen
ndage. En d’autres lieux, ils ne serviraient qu’à détruire l’amour du
travail
; à décourager l’industrie ; à ruiner les particu
tés de la grossesse, et aux douleurs de l’enfantement, ce surcroît de
travail
exigeait-il une diminution de forces ? Mais pour
que celui d’une mère de famille entourée de ses enfants, réglant les
travaux
de ses domestiques, procurant à son mari une vie
disette assez dure, et que l’aisance du plus grand nombre vient d’un
travail
assidu, d’économie et de modération, plutôt que d
que notre industrie. Le peuple Genevois ne se soutient qu’à force de
travail
, et n’a le nécessaire qu’autant qu’il se refuse t
t régner. Tout s’occupe, tout est en mouvement, tout s’empresse à son
travail
et à ses affaires. Je ne crois pas que nulle autr
transporter à Zurich. La ville se multiplie en quelque sorte par les
travaux
qui s’y font, et j’ai vu des gens, sur ce premier
çoit plus les marches des Armées Grecques et Romaines : le chemin, le
travail
, le fardeau du Soldat Romain fatigue seulement à
e pour elles, ce qu’elles devraient faire pour nous, quand épuisés de
travaux
dont elles sont incapables, nos esprits ont besoi
tentation ; en second lieu, sa pauvreté même qui, le condamnant à des
travaux
continuels, sans espoir de les voir finir, lui re
vre, soit par un surcroît réel de dépenses, soit par moins de zèle au
travail
, comme je l’ai ci-devant expliqué. De ces nouvell
ement ne soit pas éternel pour tous. Que ceux dont le Ciel a béni les
travaux
viennent, comme l’abeille, en rapporter le fruit
siveté, tout était plaisir et Spectacle ; c’est là que les plus rudes
travaux
passaient pour des récréations, et que les moindr
ce, de l’érudition, des talents, et tout ce qui s’acquiert à force de
travail
. Mais ce feu céleste qui échauffe et embrase l’âm
ce d’amusement, comme autant de distractions qui le détournent de son
travail
? Cette maxime est barbare et fausse. Tant pis, s
galement l’exercice et le repos, le plaisir et la peine. Le dégoût du
travail
accable plus les malheureux que le travail même.
et la peine. Le dégoût du travail accable plus les malheureux que le
travail
même. Voulez-vous donc rendre un peuple actif et
plaisirs pour les rendre honnêtes ; c’est le vrai moyen d’animer ses
travaux
. 63. [NDA] A chaque corps de métier, à chacune
l tout doit quadrer dans sa personne, pour recueillir le fruit de son
travail
, & assurer ses conquêtes. Ce n’est pas un péc
s votre esprit par l’étude, votre champ par la charrue. Dieu bénit un
travail
honête, par l’accroissement de ces biens naturels
portez Dieu dans votre corps, dit l’Apôtre, par la mortification, le
travail
, la modestie. Le corps porte & glorifie son D
destie regle ses mouvemens, la mortification réprime ses passions, le
travail
emploie utilement ses forces, voilà les livrées d
uire, l’Abbé des Fontaines, en prose, & l’Abbé de Renel, en vers.
Travail
très-inutile à l’Eglise ; n’ont-ils pas blessé le
se divertir, et égayer un peu leurs esprits et leurs corps, après les
travaux
et emplois sérieux et pénibles : je veux ici inst
rées mains sur la tête : » 44 parfois voyant ses disciples lassés des
travaux
de la prédication, il les menait en quelque lieu
r à proprement parler, la récréation n’est pas convenable qu’après le
travail
, et le travail est le mérite de la récréation : A
parler, la récréation n’est pas convenable qu’après le travail, et le
travail
est le mérite de la récréation : Ainsi la Sagesse
nditions qu’on garde en jouant, glorifient Dieu, qui ayant établi les
travaux
, sans lesquels aucun ne passe sa vie, il a voulu
nt réparé par le repos, et par ces divertissements, les forces que le
travail
avait diminué ou épuisé : et c’est à cette intent
ont contre la fin du jeu, qui est se divertir, et se recréer après le
travail
: or ceux-ci, ou ils ne travaillent point, ne s’o
pation meilleure, comme est le temps après le repas, ou après un long
travail
d’esprit, ou de corps. Si vous suivez mon conseil
r route, elle leur déplaît. Si vous leur prescrivez quelque espéce de
travail
, ils s’en acquittent mal, ou font le contraire. I
gement qui lui repugne, son feu se rallentit ; elle ne ressent que le
travail
d’un enfantement involontaire. Une Pièce fournit
l'avoir pour faire le premier, ait pu s'abandonner à l'opiniâtreté du
travail
et de la lecture qui se sont trouvés nécessaires
ment. Quoiqu’il soit permis de prendre quelque recréation après le
travail
, et de donner quelque relâche à son esprit après
ou son coffre ; il vole, sans rougir peut-être, cet argent, fruit des
travaux
& des épargnes d’un respectable vieillard, &a
ent sans interruption, ces jours te sont donnés pour les consacrer au
travail
, & tu ne rougis pas de les perdre dans la plu
s28 Que de gens, fortunés possesseurs d’une aisance acquise par leurs
travaux
, & d’une santé conservée par leur sagesse eus
long de la semaine les hommes & les femmes s’occupaient, soit des
travaux
des champs, soit de leurs métiers : les Dimanches
par ses talens & ses lumieres, soit par son industries & ses
travaux
; s’il est des hommes assez Egoïstes pour nier ce
roupes Foraines ; & en vérité, Monsieur, ce serait se livrer à un
travail
inutile, & perdre son tems, que de chercher à
qui n’a pour toute ressource que le salaire borné qu’il retire de son
travail
, n’a point de superflu à donner aux Histrions du
mp; toutes les fois que les Officiers de Police voudront seconder les
travaux
& les soins du Magistrat, qui est à leur tête
, qui secondent si bien ses vues. Nous verrons, avec l’application au
travail
, l’activité & l’industrie, renaître l’amour d
rrupteurs ; si tous ces fainéans, dont un seul consomme le produit du
travail
de deux Ouvriers ; si tous les gens de luxe &
, que d’Ecoliers & d’Etudians eussent été contraints de donner au
travail
le temps qu’ils perdent aux Boulevards. Avec de l
emps qu’ils perdent aux Boulevards. Avec de l’application, le goût du
travail
& de l’étude serait insensiblement devenu un
enveillance du Public, le droit de jouir actuellement du fruit de ses
travaux
. 41. Dans tous les Etats, mettez, à la place de
té le plaisir de le satisfaire. Voyez ce père tendre, qui s’épuise de
travail
, pour qu’un jour son fils & sa fille reçoiven
au dernier degré, voyez-le durant la semaine se livrer aux plus rudes
travaux
; c’est qu’il entrevoit qu’ils doivent, au bout d
Associations avantageuses, le goût des Arts utiles, du Commerce, des
travaux
profitables à la Population, &c. Il paraît qu
s plaisirs des Grands : c’est le moyen de le consoler de six jours de
travaux
& d’humiliation*. Cette raison suffirait, ind
olérer en sa faveur un divertissement qui alors ne prend rien sur son
travail
; mais le théâtre ne fut jamais dans le christian
Ministre chargé de quelque affaire, un soldat commandé pour quelques
travaux
, un domestique employé à quelque service, etc., s
s objets du précepte est le délassement du corps, par la cessation du
travail
. Mais un divertissement si vif, si long, si suspe
tiendra-t-il grâce les jours de fête ? le précepte de la cessation du
travail
ne serait-il donc qu’un précepte d’oisiveté, et p
les Anciens peuvent avoir sur les Modernes, tâchons au moins par nos
travaux
de nous mettre en estat de leur pouvoir disputer
ces qu’il leur faut faire necessairement, il n’est aucun métier où le
travail
& la sujetion soient plus tiraniques, & o
gles des Maîtres de l’art. Ainsi tout le dessein d’un Poëte, tout son
travail
, c’est qu’on soit comme son héros, épris des bell
ous les métiers. Ils ne s’ouvrent qu’à la fin de la journée, quand le
travail
cesse. On ajuste certains spectacles au goût du p
es. Les Romains, lorsqu’ils commencèrent à penser, se délassaient des
travaux
de la Guerre, en écoutant les Pièces de Plaute &a
n tort considérable ; mais ils n’ont qu’à redoubler de soins & de
travail
, qu’à bien traiter les Auteurs sur-tout, s’ils ve
it, qu’on ne force personne d’y assister ; et qu’après une journée de
travail
ce n’est pas trop qu’une heure ou deux de plaisir
tre avec celle dont il a jugé le procès : leurs délassements et leurs
travaux
s’ajustent parfaitement. Eux et mille autres assi
ofanes, pour prouver que s’il faut se délasser l’esprit après un long
travail
, il ne faut pas toujours se divertir, et il les f
ent à abuser, il est à remarquer que l’homme n’étant pas capable d’un
travail
continuel, tous les saints Pères demeurent d’acco
rconstances, il n’y ait point de scandale. Mais ces jeux supposent un
travail
utile à l’âme, au bien public ; et ils bdoivent ê
rent quelquefois un miel salubre des plantes venimeuses. Livrés à des
travaux
si intéressans, ils verront, avec douleur, approc
ût des choses solides, & le talent de bien choisir l’objet de nos
travaux
. Pour donner au génie François toute l’activité d
d’en profiter. Enfin, je suppose que malgré nos recherches & les
travaux
multipliés de trois ou quatre générations, on ne
m’avez souvent marqué, que vous vous comptiez bien recompensé de vos
travaux
spirituels, quand ils étoient utiles au prochain
ux ou trois mois, autant que l’on peut, le fruit d’un long et pénible
travail
de tout Evêque, quelque Saint qu’il eût été, qui
ure, mais encore parce qu’elles ont été cultivées & polies par le
travail
& l’industrie particuliére du Poëte. Mr. Desp
es premiers siécles4, ——— Que sa fertile veine Ignore en écrivant le
travail
& la peine ; Qu’Apollon tient pour lui tous s
e. La considération publique qui, n’est autre chose que le fruit d’un
travail
heureux, a de tous tems été le plus vif aiguillon
plume. N’est-ce pas là la raison qui rend nos Auteurs si ennemis du
travail
& de l’étude ? Qui remplit nos Théâtres de pi
e nom seul le marque assez clairement ; Il faut nécessairement que le
travail
qu'on emploie à des choses vaines soit aussi vain
onner, comme on y est obligé, la récompense de leur emploi et de leur
travail
. Ainsi vous voyez bien que l’Ange de l’Ecole, et
it, fatigué par des affaires sérieuses : sans cela il succomberait au
travail
, et pour se trop appliquer, il ne pourrait plus r
ison, lorsqu’il dit qu’il est impossible que l’homme subsiste dans un
travail
continuel, et qu’il est nécessaire que le repos,
e que le repos, les plaisirs et les jeux succèdent à ses soins, à ses
travaux
et à ses veilles ; ce qui a fait dire à un Ancien
Augustin : « Souvenez-vous que vous n’avez pas encore fini tout votre
travail
, et qu’il le faut reprendre : vous ne l’avez pas
personne d’y assister contre sa conscience ; et après une journée de
travail
, ce n’est pas trop qu’une heure ou deux « Quam vi
trouve de plus heureux en vous : on ne peut vous reprocher que votre
travail
soit celui d’un autre ; et je ne sais rien de plu
line, & qui ait contracté des infirmités qui soient la suite d’un
travail
long & opiniâtre ? Il n’y a sans doute trop d
ssez parler les ignorans, & ne vous dégoûtez pas des longueurs du
travail
. Vingt fois sur le Métier remettez votre Ouvrage
roupeaux, et après les autres soins domestiques qui ont succédé à ces
travaux
, et il n’a pas besoin de tant de dépenses ni de s
édies un Auteur qui craint de blesser sa conscience dans un semblable
travail
. Peut-être aurait-on de la peine à le croire, s’i
l à propos à se divertir. C’est l’oisiveté qui les lasse, et c’est le
travail
qui doit faire cesser leur ennui. Cependant on se
n’a pas loué davantage ces célébrés Auteurs, d’avoir enfin regardé ce
travail
comme des péchés de la jeunesse ? Monsieur Pradon
r de simples cultivateurs, qui ne devoient jouir du bénéfice de leurs
travaux
, que précairement. Voilà me semble la principale
je chéris les suffrages, ne me ravira pas le légitime salaire que mes
travaux
méritent : s’il la trouve faible, je le conjure d
ée. Là parmi le tumulte des armes, les embarras d’un décampement, les
travaux
journaliers d’un siege, les préparatifs d’une bat
a considérer. Les hommes destinés par la Providence aux fatigues d’un
travail
assidu & pénible, ont besoin de renouveller l
nes : le délassement leur est aussi nécessaire que la nourriture : un
travail
continu épuiseroit autant leurs forces que la pri
pos encore après le plaisir, pour se mettre en état de s’appliquer au
travail
, par conséquent double perte de tems pour les occ
desir de se rendre utile à ses concitoyens, & de mériter par ses
travaux
le prix de l’approbation & de l’estime publiq
nt jamais l’objet de leur générosité : une partie du produit de leurs
travaux
est destiné au soulagement des pauvres. Dans les
s immortel des plus perfectionnés. Si la lecture muette guerdonne les
travaux
d’un Hercule, d’un Bacchus, d’un Thésée, et les r
ie et la retenue. Si donc de tout temps elles ont été exemptes de ces
travaux
et de ces exercices qui demandent de la force et
licence, qui, au lieu de soulager, de fortifier les hommes dans leurs
travaux
, envoyât dans le cœur, dans la fortune des citoye
ltimbanque des sommes immenses11, de pauvres artisans courbés sous le
travail
le plus rude, ne gagnent point de quoi prévenir l
d’amitié, où la pensée trouve un asyle ; où l’homme se repose de ses
travaux
; se remet de l’étourdissement des affaires, se d
a pas la vie de comédien, qu’une farce suffit pour enrichir ; dont le
travail
le plus pénible se réduit à quelques récits d’amo
fidèle qui partageât les biens & les maux, les devoirs & les
travaux
, qui consolât dans les peines, soulageât dans les
tiques, instruit ses enfans, distribue à chacun ses besoins & son
travail
, ne perd pas un moment ; pleine de force & de
; pleine de force & de courage, de vigilance & d’adresse, le
travail
ne l’effraie pas, elle est capable des plus grand
s qu’elle prendra, en feront un chef-d’œuvre de vertu, de décence, de
travail
. Mais si vous êtes assez bourru pour ne pas aimer
rels, vous perdez les éternels. Dieu ne mène à la félicité que par le
travail
de la vertu : le démon mène à la réprobation par
distingués de l’Eglise par sa science, ses écrits, sa naissance, ses
travaux
contre les Iconoclastes, ses vertus, ses persécut
roire ces peuples heureux, parce que négligeant leurs affaires et les
travaux
nécessaires à la vie, ils passent leur temps dans
t cru Evêque, et que sa piété, ses talents, ses écrits, son zèle, ses
travaux
, et les services qu’il a rendu à l’épiscopat, ont
ajoute-t-il, de voir des mœurs pures au Théâtre, tant que le fruit du
travail
& du talent ne pourra suffire aux dépenses at
inaire le Théâtre, doit-il se payer par le fruit des sueurs & des
travaux
du laboureur tombant sous le faix ; du Citoyen re
& laissa Nicolet héritier de ses pieces, & l’enrichit de ses
travaux
. Celui-ci plus économe, amassa près de quarante m
us donne un titre aux applaudissemens. Il débuta par l’Opera comique,
travail
le plus facile & le plus licencieux. Sa raiso
moureux que lui donna sa maîtresse. Le choix d’un tel Auteur, tant de
travail
pour mettre entre les mains de tout le monde un o
e l’habitude et de l’imagination. Les hommes de peine, employés à des
travaux
rudes et journaliers, ne sentent d’autre besoin q
ne sentent d’autre besoin que celui du repos. Ceux qui se livrent aux
travaux
de l’esprit ont besoin de relâcher la tension de
et les scènes de la nature, dans ses admirables productions, dans les
travaux
utiles des arts, dans le tableau fidèle de la vie
héatre, pour les apprendre, pour les exercer ; ce qu’ils appellent un
travail
oisif, ou une oisiveté laborieuse. Trouvez-vous,
u’à ceux qui ont le corps ou l’esprit lassé par un long & penible
travail
, & la pluspart des personnes dont nous parlon
de manger, si quis non vult operari, non manducet.2. Thess. 3. 10. Le
travail
du corps ou de l’esprit estant la pénitence génér
bien la leur accorder, & la principale de ces conditions c’est le
travail
. Si quis non vult operari, non manducet. Et si la
vertus Chrétiennes, si avec tout cela on voit si peu de fruit de leur
travail
, que peut-on esperer de ces fantômes de vertu, dé
de répandre les charmes de la nouveauté sur quelques endroits de mon
travail
. Il est, je crois, inutile de découvrir plus part
es après la célébration de l’office divin, par la seule raison que le
travail
empêche qu’on ne s’occupe des choses spirituelles
capables de faire oublier Dieu & les choses spirituelles, que le
travail
même le plus pénible. De spectaculis, c. 25. An
men sérieux d’une piéce ? Et sont bien vraiment gens à se fatiguer du
travail
long & opiniâtre ? Ils n’altereront jamais le
ont jamais leur santé ! Leurs infirmités viennent d’un autre genre de
travail
, dont le Mercure de la fable ne fut jamais le rem
s aucun goût, ils y viendroient par intérêt. Entreprendroient-ils des
travaux
inutiles, si la louange & le profit ne les en
eu. Celui qui s’abandonne au crime, a plus d’efforts à faire, plus de
travaux
à soutenir, plus de combats à livrer ; il n’est p
ersuadé au surplus que les gens de bien me sauront quelque gré de mon
travail
: leur approbation, si je parviens à l’obtenir, s
de sagesse, de modestie, d’économie, d’amour de la retraite & du
travail
, ce n’est pas dans l’Evangile qu’on les trouve. S
truit le clergé), qui ne veulent pas que le chene antique, cémoin des
travaux
journaliers, le soit aussi des danses innocentes
n’ont aucun sens dons le moral, en ont un faux dans le physique. Les
travaux
journaliers se font dans les champs, & non au
sement dans un temps dont ils peuvent disposer, ou les condamner à un
travail
perpétuel (non pas du moins les jours de fête), s
rsque, revenu de cette espece de délire, il veut s’occuper de quelque
travail
utile, & sur-tout de la piété ? que trouve-t-
mploie, par les péchés qui s’y commettent, & par les innombrables
travaux
serviles qu’exigent les préparatifs de ces fêtes
ent ordinaire, le dérangement de leurs affaires, la cessation de leur
travail
, les mécontentemens domestiques, &c. C’est av
affaires, la nécessité d’un long repos pour se rétablir, le dégoût du
travail
, &c. la paresse ne produit-elle pas tous ces
ancienne mélodie : l’harmonie va prendre un nouvel être. Imitant les
travaux
des deux célèbres compositeurs qui régissent l’Op
ncerneront, & qui pourront peut-être servir à le diriger dans ses
travaux
. Tout ce que je viens de dire doit montrer que le
est comblé de louanges & d’honneurs. Il retire aussi trop peu du
travail
pénible de composer un Poème lyrique. Le Drame en
uter quelques-uns de ceux qui voudraient l’enrichir du fruit de leurs
travaux
. Les paroles des Drames qu’elle reçoit lui appart
es lyriques d’augmenter les honoraires qu’ils doivent retirer de leur
travail
quand la fortune les y contraint. Le dessein des
es visites, & je desire son amitié. Tu n’auras qu’à mon retour le
travail
de ton tendre, de ton généreux Amant (c’est à l’A
ux : mais afin de rendre recommandables, et mémorables les labeurs et
travaux
de ceux qu’ils jugeaient être excellents et cheva
, que s’il la voulait suivre, il souffrirait premièrement beaucoup de
travaux
et de labeurs : mais qu’enfin il ne serait point
au contraire l’autre nous conduisait à vertu, laquelle par peines et
travaux
et dangers nous rendait immortels. Et partant Her
de l’église, qui peut-être a le plus besoin de ses efforts et de ses
travaux
, parce qu’ailleurs les lumières et l’éducation pe
es. Mais courbés déjà, pour la plupart, sous le poids de l’âge et des
travaux
de l’apostolat, ces généreux martyrs de la foi de
, pour suivre M. de Bièvre ou Cadet Roussel ? Fatigué de mes pénibles
travaux
, je cherche des tableaux riants sur les théâtres
ir une direction, qui, sans pitié, écrase ses acteurs de peines et de
travaux
, on appauvrit la scène, on dégrade un des arts le
tout leur prix, quand la satiété les accompagne ? L’homme, né pour le
travail
, trouve sa juste punition dans le dégoût et l’enn
rait aussi la douleur d’accorder une faible portion du fruit de leurs
travaux
aux auteurs vivants, contre le droit desquels ils
ureux, n’en obtiennent souvent, pour prix de leurs nobles et pénibles
travaux
, qu’une froide indifférence et qu’un silence acca
tume. En vain la nature épuisée par de longues veilles et de pénibles
travaux
, l’invite à consacrer à un repos salutaire ces lo
ions auraient toujours dû les rapprocher. C’est ainsi qu’associés aux
travaux
des orateurs, lorsque leur titre particulier ou l
ustice et de prospérité ». Dans l’étude de nos anciennes lois, que de
travail
et de soins ne fallait-il pas pour en entendre ju
concitoyens. Ainsi, plus heureux que nous, et moins distraits par des
travaux
arides et rebutants, ceux qui désormais entreront
me, Qu’il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu’aux larmes, au
travail
le peuple est condamné, Et d’un sceptre de fer, v
, et le reste. Ainsi tout le dessein d’un poète, toute la fin de son
travail
, c’est qu’on soit comme son Héros épris des belle
t disparu. Il y a peu de mérite à détruire ; il ne faut pour cela, ni
travail
, ni vigueur d’imagination : édifions plutôt ; l’ê
ndre eût été fort considéré par un Peuple guerrier, ennemi naturel du
travail
d’esprit ; tout état qui exigeait une vie sédenta
Mimisme est le plus perfectible de tous les dons de la nature par le
travail
& par l’art : il dépend moins du génie, que d
elle s’opérera par les modelemens. C’est à l’Auteur à les donner : ce
travail
le regarde absolument ; s’il les laisse à l’Acteu
Tragique que dans le Comique. Comme ces Acteurs seraient obligés à un
travail
plus continu que les autres, & qu’ils se verr
comme un modèle pour toute la jeunesse. Il ne faut pas croire que le
travail
du corps, ait le même effet, que les Exercices, p
x & aux Accessits des Acteurs & Danseurs-citoyens, soit à des
travaux
pour l’utilité & l’embellissement des Villes,
r la comparaison & la réflexion : il est à présumer que comme les
travaux
corporels diminuent la faculté de combiner les id
ils les auront rendus supportables, on rendra le Public juge de leur
travail
: d’après sa décision, les Pièces resteront au Th
s seraient moins gênés, & pourraient donner au fond une partie du
travail
qu’ils donnent à la forme ; le style conserverait
le Cordonnier, le Tailleur, le Cocher, &c. dans leur ménage, leur
travail
, dans leurs ribotes, dans leurs querelles, &c
able Actrice, sont, après l’exemple de Démosthène, une preuve, que le
travail
opiniâtre surmente la nature : sa voix était sour
encourager celles qui lui ont succédé, disons qu’elle dut tout à son
travail
: la médiocrité suppose toujours un fonds de pare
ntés, lui demander pardon de ses ingratitudes, et de ses offenses. Le
travail
n’est pas mauvais en soi, puisque Dieu l’a comman
e l’Apôtre, pour avoir le moyen d’assister les pauvres de gain de son
travail
. L’on ne peut dire des Comédies ce qu’on dit du t
e gain de son travail. L’on ne peut dire des Comédies ce qu’on dit du
travail
. Car les Conciles ayant expressément défendu de j
availler, et d’ailleurs voulant en grand Seigneur se faire honneur du
travail
des autres, il avait cinq Commis qui composaient
ge qui avait l’approbation publique ? que ce serait un retardement au
travail
du Dictionnaire, etc. » Ces raisons parurent friv
et affectent fort peu les savants. Quoiqu’il en soit, on se remit au
travail
, on nomma de nouveaux Commissaires pour polir et
de quelque divertissement. On est accablé d'affaires, de chagrins, de
travaux
; l'esprit et le corps ont besoin de délassement,
être sérieux, et plus souvent que gai. Les devoirs, les affaires, les
travaux
, les études, sont sérieux. L'Officier qui donne l
en parle si bien le jargon, que tout en est plein : emplois, études,
travail
, prière, tout est négligé. Comment espérer de réf
fantastiques Divinités que nos Poètes et nos Acteurs consacrent leurs
travaux
, ni qu'ils rendent des actions de grâces, quand i
de l’esprit sont bornées comme celles du corps, et, pour reprendre le
travail
avec vivacité, il faut nécessairement se délasser
rs, je suis convaincu que ces recherches auraient coûté bien moins de
travail
et seraient devenues bien plus utiles, si les Mod
de l’émulation, et qui sont une récompense juste et glorieuse de leur
travail
. Comme elle n’est pas excessive, et qu’elle va d’
divins loyersm qui nous sont proposés, vu que par la calamité de tous
travaux
et douleurs, nous est permis d’accourcir et abrég
E] Le sens de "marchander" est ici de prendre quelqu'un pour faire un
travail
(Cotgreave). ak. [NDE] oyons = entendons. al.
ant que je me sois beaucoup arrêté à ce qui distinguera davantage mon
travail
? J’ai cru ne devoir pas craindre les longueurs,
me dirait que mon Livre est arrivé trop tard ; & je perdrais mon
travail
& mes peines. A quoi me servirait de raisonne
ordonnant et formant de bons Ministres pour seconder son zèle et son
travail
, et en bannissant la doctrine relâchée de vos Cas
gination paresseuse : c’est l’affaire d’un peu plus de peine & de
travail
. Mais pour les rendre ces caractéres : c’est l’em
posent, est une espéce de don, où l’affaire d’un usage familier, d’un
travail
assidu. Mais quelles sont les choses réservées à
Jeu loin de distraire & d’amuser a plus l’air, au contraire, d’un
travail
& d’une étude : quel soin pour prévenir les c
s quelque tems que ce soit. Un homme fait doit à la société & ses
travaux
& ses récréations. Quand il s’est acquitté en
dominant du gouvernement républicain ; tout doit s’y rapporter : les
travaux
& les plaisirs. Dans les uns & les autres
Il est quelquefois nécessaire de se divertir. §. 1. Bien que le
travail
ait de grandes utilités, et qu’il ne manque pas d
r tempérer le dégoût que nous pourrions prendre de la continuation du
travail
. Il a fait comme une bonne mère, laquelle reconna
dans un peu de sucre fondu, et la lui fait avaler sans résistance. Le
travail
nous est nécessaire, mais il en faut adoucir l’am
r, nous ont représenté celle dont je parle sous l’alliance du Dieu du
travail
, et de la Déesse du plaisir. Ce mari était d’un n
ce temps-là, disent les Poètes ; les choses se sont accommodées : Le
travail
a commencé d’être moins mélancolique, et le plais
car comme il n’est point de corps si robuste, qui ne se ruine sous un
travail
continu ; de même il n’est point d’esprit qui ne
aussi bien de la dureté de refuser un honnête divertissement après le
travail
d’esprit : Nos forces sont limitées, et si on ne
e entre le repos et le divertissement : celui-là est une cessation du
travail
, celui-ci n’est pas une simple inaction ; c’est p
, qui ne lui voudrait accorder que le repos, ou l’interruption de son
travail
: c’est suffisamment soulager le corps, de lui pe
’un temps favorable, elle doit choisir le lieu où elle veut faire son
travail
; elle doit connaître les personnes, qu’elle y em
ietés, il ne leur en peut rester aucune confusion : ils retournent au
travail
avec de nouvelles forces et avec un esprit reposé
pour une heure que nous y donnerons, nous emploierons un jour pour le
travail
. Ce n’est pas assez que le divertissement ne soit
le nous le fait reprendre avec un nouveau goût, et nous fait aimer le
travail
que nous avions en horreur. LesVitruvius, lib. 5.
relâche à nos esprits, qui sont quelquefois accablés sous le poids du
travail
; il nous l’a accordée pour la réparation de nos
ent sur la plus nombreuse, qui vient y chercher le délassement de ses
travaux
, plaisir toujours moins coûteux que ces orgies, q
s de leur hymen, montrèrent, dès leur bas âge, un goût décidé pour le
travail
. Les parents épargnèrent donc les frais d’école,
let à la main. Pour la moindre chose, un apprenti provoque un chef de
travaux
; on ne voit guère plus que dans les carrefours e
ëte, en sortant d’un beau plaidoyer, ou du théatre, ont été animés au
travail
, & y ont beaucoup mieux réussi que dans d’aut
voir tomber un Ouvrage qui lui aurait coûté beaucoup de tems & de
travail
. L’observation éxacte de la Nature a donné naissa
t de nos corps. Ils ont besoin de repos. Pour leur faire supporter le
travail
, il est nécessaire de leur donner de temps en tem
ature ; la perfection de ses ouvrages dépend de lui ; la solitude, le
travail
exact, réfléchi, long et pénible, la combinaison
feu. J’en suis devenu moins sévère à moi-même. J’ai cherché dans mon
travail
quelque amusement qui me le fît supporter. Je me
Lecteur de me permettre de m’arrêter un instant. Ce n’a point été le
travail
continu d’une foule de gens d’esprit qui a condui
nt-ils citer un génie heureux qui les ait fait connaître par son seul
travail
, ainsi que Térence découvrit les beautés de la Co
Sujets, eurent très-longtems le même titre, & dans la Comédie des
travaux
de Job, il est dit que la patience de Job, que Di
it que les Romains aimoient à écrire, & non pas à effacer, que le
travail
de la lime les rebuttoit ; nos premiers Poëtes on
le à une Académie ; il fait diversion aux études sérieuses, & aux
travaux
utiles. Qu’attendre que des choses frivoles d’un
, ce sont des présens de la langue. Les hommages, les assiduités, les
travaux
, la protection, voilà des dons de services. Ils r
quelqu’un s’y oppose ; paresse & oisiveté. On l’aime mieux que le
travail
. Mensonge & folie dans les paroles & chan
ue les Perses indolents et voluptueux leur avaient appris à rougir du
travail
; Alexandre s’honorait au contraire de porter une
sœurs : ces femmes-ci tiraient donc vanité de leur adresse et de leur
travail
. Depuis que la célèbre Maratti a été admise à l’A
vec une Loupe qu’on peut juger de la longueur et de la délicatesse du
travail
: cet ouvrage, dis-je, est déjà convoité par les
er quels ornemens, ou quels inconviens il faut éviter. » On se met au
travail
: tout ce qu’on écrit est délicieux. A peine l’ar
point de part aux biens du Ciel. Comme c'est par la vertu, et par les
travaux
que Dieu nous appelle à la vie ; c'est par la vol
scours d’Auteurs si rebattus dans les Préfaces) qui m’ont engagé à ce
travail
. L’unique motif qui m’a porté à l’entreprendre, c
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