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1 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. —  De la Comédie.  » pp. 267-275
et n’iront pas jusqu’à la racine du mal. Il ne suffit pas en effet de traiter des sujets tels qu’un Joueur, un Jaloux, un Glori
poid, toute la faiblesse et même l’indignité. Dans cette vue on doit traiter la passion d’amour de la même manière qu’on trait
cette vue on doit traiter la passion d’amour de la même manière qu’on traite les autres passions sur la Scène. Tous les Acteur
e puni et corrigé : pourquoi ne fait-on pas la même chose lorsqu’on y traite la passion d’amour ? Pourquoi la fait-on triomphe
de dire la même chose au sujet de la passion d’amour, lorsqu’elle est traitée d’une manière qui blesse les bonnes mœurs et les
u Théâtre, on peut trouver quelque Comédie où la passion d’amour soit traitée d’une manière instructive comme je viens de le pr
2 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
de le commencement, la suite et le dénouement, si les passions y sont traitées avec délicatesse, ou avec force et véhémence selo
ier que je puisse garder. Je ne prétends pas en parlant de la Comédie traiter seulement de cette sorte de poème qui a premièrem
r ses circonstances, soit pour ses effets;, n'est-il pas vrai qu'elle traite presque toujours des sujets peu honnêtes, ou acco
du même blâme que nos Tragédies et Tragi-comédies, par la manière d'y traiter nos passions ? Quels effets peuvent produire ces
plus de corruption dans le choix des sujets et dans la manière de les traiter , il serait bien difficile de blâmer la Comédie da
le qu'elles le sont. L'amour est présentement la passion qu'il y faut traiter le plus à fond ; et quelque belle que soit une pi
es beautés des pièces consistent aujourd'hui aux diverses manières de traiter l'amour, soit qu'on le fasse servir à quelque aut
lus déplorable, c'est que les poètes sont maîtres des passions qu'ils traitent , mais ils ne le sont pas de celles qu'ils ont ain
son compte, l'esprit accoutumé à se nourrir de toutes les manières de traiter la galanterie n'étant plein que d'aventures agréa
héâtre ne souffre plus rien que de chaste, et que les passions y sont traitées de la manière du monde la plus honnête, je soutie
le seul défaut de la Comédie, la vengeance et l'ambition n'y sont pas traitées d'une manière moins dangereuse. Comme ces deux pa
3 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
Tragédies que dans les Comédies. Il est vrai que cette passion bien traitée peut donner occasion, plus que toute autre, à la
ns le plus grand nombre des Poètes ; outre qu’ils ne devraient jamais traiter cette passion que dans la vue d’instruire les Spe
’intérêts que la raison et les devoirs autorisent : ainsi on pourrait traiter des sujets de l’amour conjugal, de l’amour patern
les aussi pernicieux. Quelle correction peut-on espérer d’une passion traitée de cette manière, surtout lorsqu’elle finit par t
ordinaire qu’un si grand nombre de gens d’esprit perdent leur temps à traiter une matière, qui, par le fréquent usage qu’on en
4 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre II. Charles XII. » pp. 32-44
es satyres de Boileau. Quand il lut l’Epître à Louis XIV, où l’auteur traite Alexandre d’écervelé & de fougueux, il déchir
e d’écervelé & de fougueux, il déchira le feuillet, indigne qu’on traitât si mal un prince auquel il faisoit gloire de ress
simplicité pour sa personne, donna des scènes de faste, que Voltaire traite avec raison de comédie. Après avoir passé plusieu
out, vivant aux dépens du Grand-Seigneur, qui eut la générosité de le traiter toujours en Roi. Enfin, obligé de partir, il voul
médiocres). Il vit aussi Leibnitz, & l’écouta, l’estima & le traita avec la plus grande considération, lui fit de ric
Auteurs françois à suivre les modeles du siecle de Louis XIV, & à traiter des sujets qui puissent être entendus & gouté
5 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à conserver. » pp. 276-294
médies dans le dessein de trouver un exemple de la façon dont il faut traiter la passion d’amour pour la rendre instructive. Le
eux : Célimène fait son métier, et le Misanthrope, quoique passionné, traite l’amour suivant son caractère qui influe beaucoup
savante regarde avec horreur les liens du mariage, n’en est pas mieux traitée voyant son Amant devenir le mari de sa sœur : et
sans se dégrader, et qui n’appartient qu’à la farce ; si l’on savait traiter comme il faut la bonne critique, et distinguer ce
6 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16
ion de l’Intrigue, à la suite de laquelle se trouve le § II. 72 On y traite de l’utilité des Spectacles, & de la légitime
ier 108 regarde nos Théâtres : Note [G] 408. Le préambule de ce Titre traite de nos Salles de Spectacles, & des changemens
découvert. 407 [G] donne une idée des Théâtres des Anciens. 408 [H] traite des Décorations. 415 On parle dans [I] de la man
se : quel que soit le sérieux & l’importance des objets qu’elle y traite , son but a toujours été d’en faire un Livre d’amu
7 (1695) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras contre la Comédie [4 décembre 1695] « Mandement  » pp. 34-37
lés les mettent au nombre des personnes que les Curés sont obligés de traiter comme excommuniés ; celui de Paris les joint aux
ce sous peine d’Excommunication : Nous ordonnons à nos Confesseurs de traiter dans le Tribunal conformément aux Règles marquées
8 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre premier. Origine des Spectacles. » pp. 1-14
ui devint dans la suite un proverbe que l’on appliquait à ceux qui ne traitaient pas la matière qu’ils devaient traiter. La scène
on appliquait à ceux qui ne traitaient pas la matière qu’ils devaient traiter . La scène comique dans les commencements était un
serait reproché l’argent qu’il y aurait employé. Il voulait que l’on traitât comme des esclaves et des personnes infâmes les c
Montchablon, Dictionnaire abrégé d’antiquités, 1773, p. 221-222. Nous traitons comme des citations les textes repris intégraleme
9 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XIII. S’il est nécessaire qu’une Pièce de Théâtre plaise autant à la lecture qu’à la représentation. » pp. 359-363
nt de résoudre. Je suis, je crois, le prémier qui se soit avisé de la traiter . Elle méritait pourtant bien une place dans des O
cteurs toutes les figures de la Rhétorique. Le moindre intérêt ne s’y traite , ne s’y termine, qu’à l’aide de discours pathétiq
10 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
, qui n’avez pas encore prophétisé, il y aurait de l’injustice à vous traiter mieux qu’on ne les a traités. Pour moi qui ne sui
il n’y a rien de si misérable que de les appliquer au hasard. On a pu traiter Desmarets de visionnaire, parce qu’il est reconnu
obligé à la créance intérieure du fait de Jansénius, et qu’on puisse traiter comme hérétiques ceux qui n’en sont point persuad
eux. Plus ceux qui les composent sont habiles, plus on a droit de les traiter d’empoisonneurs : et plus vous vous efforcez de l
de Parish, et le plaisir que vous supposez qu’ils prirent à se voir « traiter d’illustres », à la complaisance qu’il ne put se
tendre ? Que peut-on donc dire de celui qui pour avoir un prétexte de traiter d’empoisonneur l’auteur de cette traduction, et d
11 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
le qu’elles le sont. L’amour est présentement la passion qu’il y faut traiter le plus à fond ; et quelque belle que soit une pi
es beautés des pièces consistent aujourd’hui aux diverses manières de traiter l’amour ; soit qu’on le fasse servir à quelque au
lus déplorable, c’est que les Poètes sont maîtres des passions qu’ils traitent , mais ils ne le sont pas de celles qu’ils ont ain
on compte ; l’esprit accoutumé à se nourrir de toutes les manières de traiter la galanterie n’étant plein que d’aventures agréa
héâtre ne souffre plus rien que de chaste, et que les passions y sont traitées de la manière du monde la plus honnête, je soutie
le seul défaut de la Comédie, la vengeance et l’ambition n’y sont pas traitées d’une manière moins dangereuse. Comme ces deux pa
12 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27
raité des Synodes, L. 8. C. 61. N. 11. et dans ses Lettres 37 et 76.) traite au long cette question, et très bien à son ordina
dignité suprême et les lumières supérieures rendaient si respectable, traite d’erronée et de scandaleuse l’opinion d’un Canoni
On se scandalise de le voir au théâtre, et on l’y sollicite, et on le traite de scrupuleux, s’il s’en abstient ; il lui inspir
sont pas oubliées, a entrepris l’analyse de tous les théâtres, et en traite quelqu’und chaque mois. Que de dissertations dans
t défendu au Clergé d’assister à ces folies, lui est-il permis de les traiter , les enseigner, les imprimer ? quel aveuglement !
13 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre prémier. Le sujet. » pp. 160-182
mpara des fameux originaux qu’il appercut dans le monde. Regnard vint traiter après lui ceux qui lui échappèrent ou que la mort
emble assez à la plus-part de nos Opéras ? Si l’on ferait bien de traiter plusieurs fois le même sujet. Il se présente
médie est maintenant si pauvre & si stérile. Permettez même qu’on traite une autre-fois, l’Avare, le Tartufe, le Joueur, l
e, de même vous jouirez du plaisir de voir de quelle façon cet Auteur traitera tel sujet bien ou mal rendu par ses prédécesseurs
14 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VII. De la frivolité et de la familiarité. » pp. 150-162
ans une imagination Française, par la manière de l'envisager et de le traiter , en prend la teinte ; rien n'est goûté dans le be
ngage, et dont il n'est pas encore bien purgé, ce n'est pas ce que je traite ici. Je ne parle que des divers germes de la fami
terre attaquer Attila, Et si ce Roi des Huns ne lui charme l'oreille, Traiter de visigoths tous les vers de Corneille. L'Arti
ersonnes. On parle de tout au théâtre, et comment ? A voir cet Acteur traiter légèrement les matières les plus importantes, d'u
15 (1695) Preface [Judith, tragedie] pp. -
t à confondre ainsi la verité et le mensonge, ils n’osent avec raison traiter des sujets, qu’on ne peut altérer sans un espèce
, et puisque Judith dont l’Histoire est si délicate et si difficile à traiter , n’a pas déplu dans la forme que je lui ai donnée
16 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
essence, on peut dire que c’est le temple de Vénus, où la volupté est traitée , estimée, honorée et adorée comme une divinité ;
mais passer chez les vrais Chrétiens pour divertissements, puisqu’ils traitent ceux qui y assistent d’apostats, de prévaricateur
17 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142
nt toujours fortement et même solidement attaqué le théâtre. (Nicole, Traite de la Comédie. Lettres sur les Spectacles. Dugué,
et pieux était un nouveau comique. Voilà ce qu’avec raison le concile traitait de blasphème et d’invective, et défendait aux Chr
en ? dans celle du maître, homme d’esprit, homme de condition, qui ne traite qu’avec mépris toutes les réflexions pieuses qu’o
uel spectacle ! des hommes se mesurer, disputer avec leurs Dieux, les traiter cavalièrement, les combattre ! Le divin Homère et
u, de l’Eglise, de la morale évangélique. Le Roi souffrirait-il qu’on traitât ses sujets de Majesté, qu’on leur rendît les honn
és des écrits contre la comédie. Quant au P. le Brun, on a tort de le traiter de plagiaire. Cet habile homme n’avait aucun beso
18 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
est très convenable pour nous faire sentir de quelle manière on peut traiter la passion de l’amour sur le Théâtre : on pourrai
paysans, etc. Examinons donc si la façon dont le grand Corneille l’a traitée dans Dom Sanche d’Arragon, peut fournir une instr
les égards de la société lui ont marquée. Les hommes et les femmes y traitent l’amour avec une retenue et avec une modestie qui
us d’honnêtes gens dans le monde, parce que la façon avec laquelle on traite aujourd’hui la passion d’amour déshonnore égaleme
une façon singulière ; il fait sentir avec qu’elle précaution il faut traiter l’amour sur la Scène, pour ne pas s’écarter des é
19 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — PREMIERE PARTIE. Quelle est l’essence de la Comédie. » pp. 11-33
ce de la Comédie de faire rire les Spectateurs, puisque la Comédie ne traite que des actions vertueuses ou vicieuses. Je dis p
ie, ce qui ne prouve pas qu’il ait beaucoup approfondi le sujet qu’il traite  ; car il ne peut pas disconvenir que la Comédie d
ection des Mœurs. Je ne compte pas parmi les avantages de la Comédie, traitée selon les regles qui constituent son essence, cel
20 (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45
tre les Tragédies Politiques & Nationales. Elles demandent à être traitées avec cette liberté austère & impartiale, avec
sant tout haut des vérités énergiques ? Un bon Citoyen ne doit-il pas traiter sa Nation, comme un véritable ami traite son ami 
bon Citoyen ne doit-il pas traiter sa Nation, comme un véritable ami traite son ami ? N’est-ce pas servir son ami que de le d
publication de la pensée. En attendant, revenons à la matière que je traite aujourd’hui. Tâchons de ne rien oublier qui puiss
société, l’on peut raisonnablement oublier certaines professions, ou traiter ces professions privilégiées avec des ménagemens
nsiblement les mœurs Nationales. Les opinions les plus certaines sont traitées de chimères quand elles contrarient les pensées d
temps de la justice vient tôt ou tard, & sur la question que j’ai traitée dans cet ouvrage, le temps de la justice n’est pa
21 (1844) Théologie morale « [FRONTISPICE] »
CARDINAL GOUSSET archeveque de reims, etc. TOME PREMIER comprenant le traite des actes humains, de la conscience, des loisdes
22 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « Discours préliminaire. » pp. -
les règles des différens Drames : on dira que j’aurais mieux fait de traiter à part ce nouveau genre de Poème. J’ai d’abord ét
engageait encore à permettre à ma plume de s’égayer : convenait-il de traiter toujours sérieusement de l’Opéra-Bouffon, & d
23 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXII. Passages de Saint Ambroise et de Saint Jérôme sur les discours qui font rire. » pp. 124-131
Ofjiciis ministrorum, livre. I, chapitre XXIII, n. 102]., où ce père traite à peu près les mêmes matières que Cicéron a trait
102]., où ce père traite à peu près les mêmes matières que Cicéron a traitées dans le livre de même titre, où ayant trouvé les
24 (1705) Traité de la police « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] TRAITE de LA POLICE, Où l’on trouvera l’histoire de so
25 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
te aux pieds sans avoir la force de parler. Peu s’en faut qu’il ne me traite de visionnaire. Je l’arrête par ces mots, lorsqu’
services qu’on en retire, sans qu’ils aillent s’abaisser jusqu’à les traiter de camarades, jusqu’à boire avec eux. Votre répli
j’espère qu’on en retirera de très grands avantages : une Ouvrage qui traite en partie du Théâtre moderne, doit renfermer des
26 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. 13-48
bien à ceux qui vous haïssent… priez pour ceux qui vous calomnient…. Traitez les hommes de la même manière que vous voudriez q
. Traitez les hommes de la même manière que vous voudriez qu’ils vous traitassent …. » Ces différents passages se trouvent plus éten
enter en passant quelques réflexions sur cette matière si difficile à traiter avec clarté. Je répéterai d’abord qu’on doit être
e suis prescrites dans ce discours préliminaire. Peut-être un jour je traiterai ce sujet d’une manière plus complète, si toutefoi
du clergé catholique. Les théologiens qui, jusqu’à présent, ont voulu traiter cette question de la réunion des schismatiques à
27 (1731) Discours sur la comédie « Lettre Française et Latine du Révérend Père François Caffaro, Théatin ; à Monseigneur L’Archevêque de Paris. Imprimée à Paris en 1694. in-quarto. » pp. -
tre la Lettre et mon écrit au sujet des Rituels, que la Lettre semble traiter d’un air qui ne marque pas d’assez grands égards
le rendre public ; je ne m’étais pas assez instruit du sujet que j’y traitais , ni des autorités que j’apportais ou pour ou cont
28 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. Aveux importans. » pp. 83-110
eprend pas de défendre, quoiqu’on s’y livre, & les plaisirs qu’on traite d’indifférends : la danse, le jeu, la comédie, le
u’on ne peut trouver de l’eau à suffisance pour l’éteindre ! Enfin il traite fort au long tous les péchés d’impureté, & pu
ivolités dont leur cœur & leur tête sont remplies, on s’avisat de traiter des affaires de la Régale & de Boniface VIII,
s autres Dieux comme des misérables qu’on foule aux pieds. Molière ne traite guère mieux la dévotion, la Religion, c’est un am
du temps en fut jaloux, & crut voir en lui un rival, & ne le traita pas bien. Moliere lâcha quelque trait contre lui
vives sur les talens littéraires ; on fut sur-tout choqué de ce qu’il traite l’Auteur de défenseur, très-zélé de la vérité, v
29 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [E] » pp. 399-406
n’est pas attaqué par les Misomimes avec le même acharnement : ils le traitent d’amusement permis : c’est ainsi qu’à Rome, à côt
& la Débauchée des Villes. Comment croyez-vous qu’un sage Paysan traitât vos Opéras-comiques ? De sornettes, de pitoyables
timanie. Sa rustique franchise ne me déplaît pas. Des Arcis. Il traite les femmes un peu durement. Septimanie. Je l
30 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Extrait des Registres de Parlement, du 22 Avril 1761. » pp. 210-223
logien & au Jurisconsulte de donner son avis, (mais qui doit être traitée par l’un ou par l’autre avec autant de sagesse qu
, a gouverné ce Diocèse avec autant de sagesse que d’édification, est traitée avec mépris, est même calomnieusement offensée. S
31 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Réfléxions sur le plaisir qu’on ressent à la représentation d’un Poème comique, & sur la douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. » pp. 113-123
ige par dégrés & avec douceur, comme des enfants gâtés qu’il faut traiter avec ménagement. Il s’en suit que la Comédie ne s
es que l’on fréquente chaque jour. Les passions, les intérêts qu’elle traite , ne sont point non plus trop relevés, & peuve
32 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXII.  » p. 481
eunes gens leur débitent ce qu'ils ont appris dans les Romans, et les traitent en Nymphes et Déesses, s'impriment tellement dans
33 (1675) Traité de la comédie « XXII.  » p. 310
de jeunes gens leur débitent ce qu'ils ont appris des Romans, et les traitent en Nymphes et Déesses, s'impriment tellement dans
34 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XVI. Les pièces comiques et risibles rejetées par les principes du même Platon. » p. 64
jetées par les principes du même Platon. La comédie n’est pas mieux traitée par Platon que la tragédie. Si ce philosophe trou
35 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
rialisme ? Tout cela est très-peu philosophique. Il est vrai qu’il ne traite pas mieux le Luthérianisme dont il fait professio
e nos jours, ce sont les Saints Peres, c’est toute l’antiquité, qu’il traite aussi mal. Il est vrai que tous les siécles de l’
ique de l’Ecriture sainte, & d’un Prophête envoye de Dieu ? Il ne traite pas mieux le Pape, l’Eglise, le Clergé de Rome qu
C’est être veritablement sans souci, même sur sa propre reputation ; traiter tous les hommes de sots & de bêtes, & se
fait pour aimer, louer, protéger, enrichit le théatre, mépriser & traiter de Tartuffe les Ministres de Dieu qui le condamne
36 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
sur de simples probabilités ; & si, en bon Logicien, vous pouvez traiter de Sociniens les Pasteurs de Genève, sur des écri
e contenterai pas de vous rappeller notre Confession de Foi ; vous la traiteriez peut-être comme celle de Messieurs de Genève. Par
37 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIV. De l’usage de composer des Pièces, ou des Rôles pour un ou plusieurs Acteurs. » pp. 219-233
génie jaloux de l’invention de ses sujets & de la liberté de les traiter , se refuse à la moindre contrainte, & prend e
dans les Poëmes & dans les Auteurs. Nous allons dans la seconde, traiter de celles qui regardent les Comédiens.
38 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — Avis de l’Éditeur, Sur les Notes suivantes. »
stion de la Comédie en particulier sous la Note [B]. III. La Note [C] traite de la Tragédie. IV. L’article de l’Opéra se trouv
39 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — TROISIEME PARTIE. Des obstacles qui s’opposent parmi nous à la perfection de la Comédie. » pp. 57-75
a sa maniere de voir & de se représenter les choses. Une Comédie traitée sous différens points de vue, deviendroit donc d’
e des Spectateurs. Quoi donc ! un Auteur s’interdira-t-il le droit de traiter une matiere si intéressante pour l’humanité ? Non
40 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien premier. Sentiment du reverend Pere Bourdaloue de la Compagnie de Jesus, touchant les Bals & les Comedies en general. » pp. 8-16
ette maxime generale aux points particuliers, sur tout à celui que je traite . Je prétens qu’ils y a de divertissemens dans le
Dieu, qui maintenant & parmi nous eussent sur la question, que je traite , des principes moins séveres que ceux de toute l’
41 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « introduction » pp. 175-177
son opposition aux maximes de notre sainte religion, c’est ce que je traiterai dans mon premier Point, et dans le second je réfu
42 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
e la vérité & de notre salut. Saint Jean Chrysostome commençant à traiter expressément ce sujet, disoit à son Peuple : Je p
lexandrie nomment dans le détail, & dont les représentations sont traitées par Tertullien d’inventions diaboliques, auxquell
us entendrez ces héros de l’Antiquité, ces héros mêmes de la Religion traiter tout penchant de nécessité, de destinée invincibl
aire de la corruption des mœurs ? Effacez toutes les histoires, & traitez les Auteurs profanes, ainsi que les saints Peres,
s rendez-vous les plus concertés comme un délassement d’esprit ; vous traitez la liberté, la licence des conversations de gaiét
43 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168
eu plusieurs éditions. Après tout ce détail, qui répond au titre, ils traitent de toutes les maladies comme les autres Médecins.
, n’a pas eu tout le succès qu’on s’étoit promis, les questions qu’il traite après l’article de la beauté, sont trop sérieuses
amp; des couleurs, soit des cheveux, soit de la peau, y est amplement traitée , & qu’il enseigne une multitude de recettes,
é de leur conduite ? Jean Baptiste Porta, & tous les auteurs qui traitent de la phisionomie, s’arrêtent beaucoup sur la cou
t jamais de produire ; sur quoi Benoît Sinibalde, fameux Médecin, qui traite cette matiere, fait une réflexion judicieuse : l
44 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VIII. Comédie du Tartuffe. » pp. 161-179
and éclat. Que la foudre sur l’heure achève mes destins. Qu’on me traite par-tout du plus grand des faquins, S’il est au
-il qu’une mère devant Marianne sa fille, sa servante & son mari, traite de cagoterie & tourne en ridicule le zèle, la
. Finissons par quelques réflexions littéraires sur le style. Vous le traitez d’un semblable langage : traiter d’un langage ! Q
ns littéraires sur le style. Vous le traitez d’un semblable langage : traiter d’un langage ! Qui brûlant & priant demandent
45 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IV. Des Personnages. » pp. 239-251
n siflerait, je crois, un Drame aussi singulier. Or on ne devrait pas traiter les autres dénouemens avec moins de rigueur.
in de donner un pareil avis, si le préjugé ne nous défendait point de traiter plusieurs fois les mêmes Drames. Si l’on choisit
46 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Privilege du Roy. » pp. -
t nos Lettres à ce necessaires : A ces causes, desirant favorablement traiter l’Exposant : Nous luy avons permis & octroyé,
47 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXII. On vient à saint Thomas : exposition de la doctrine de ce Saint. » pp. 79-81
s d’abord il est bien certain, que ce n’est pas ce qu’il a dessein de traiter . La question qu’il propose dans l’article second
48 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre X. Les spectacles ne sont propres qu’à rendre romanesques ceux qui les fréquentent. » pp. 102-104
adorations qu’on rend à leur sexe sur le théâtre, s’habituent à être traitées en nymphes et en déesses. Qu’en arrive-t-il ? Ell
49 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [B] » pp. 380-390
vanité, qui a pris dans la Bourgeoisie un ton plus haut qu’autrefois, traite de grossier tout ce qui n’a pas l’air du beau-mon
re d’Harpagon avec son fils, lorsque, sans se connaître, ils viennent traiter ensemble, l’un comme usurier, l’autre comme dissi
de la Comédie. Des Arcis. Voyons si la Tragédie sera aussi-bien traitée .
50 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre II. Est-il du bien de l’Etat que les Militaires aillent à la Comédie ? » pp. 20-34
plus temps : « Populo venustate attonito, ecce Persæ. » Carthage fut traitée par les Vandales comme Antioche l’avait été par l
le, S. Chrysostome (Hom. 14. Thimot. C. 5.) porte la sévérité jusqu’à traiter de déserteur de la milice, un Soldat qui fréquent
euvent plus nous résister ; aveugles, ils prennent pour humanité, ils traitent de politesse ce qui fait leur servitude. Si on ne
51 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. L’Arétin, le Tasse, l’Arioste. » pp. 38-79
voit les autres sans défiance, & la modestie qui s’en allarme est traitée de vain scrupule. Bien loin d’éviter le crime don
ant en duël dans sa colere ; pratiquant des exercices de piété, & traitée d’athée, de philosophe platonicien, & y donna
s foux, ses amours insensés furent la véritable folie qu’on prétendit traiter  : ce qui pourtant en causa une très-réelle, par l
& se disoient leurs vérités chacun selon son caractere. Le Tasse traita fort mal le bouffon, celui-ci irrité l’examina de
à le faire réelement Berger à l’honneur de sa Silvie, & le firent traiter avec raison comme un insensé. Le théatre perdit u
voit pas tort dans le fonds, quoique la maniere injurieuse dont on le traita fût une faute encore plus grossiere contre la déc
que ceux qu’on nomme : c’est une vengeance puerile. Le Duc de Ferrare traita plus sèverement l’amant de sa sœur : il le fit en
52 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Privilége du Roi. » pp. 369-370
de Privilège pour ce nécessaires. A ces causes, voulant favorablement traiter l’Exposant, nous lui avons permis & permetton
53 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre II. Utilité des Spectacles. » pp. 8-21
, qui ne peuvent souffrir le moindre établissement moderne, & qui traitent d’innovations dangereuses les choses utiles qu’on
 ; mais ils n’ont qu’à redoubler de soins & de travail, qu’à bien traiter les Auteurs sur-tout, s’ils veulent balancer les
54 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE V. En quoi consiste le Plaisir de la Comédie, & de ce Sel qui assaisonnoit les Comédies Grecques. » pp. 131-144
ubtilités. Jamais Poëte ne fut si extravaguant en apparence, & ne traita des Sujets si sérieux : mais jamais Poëte ne put
nce, & ne traita des Sujets si sérieux : mais jamais Poëte ne put traiter de pareils Sujets, que dans une Ville où toute cr
55 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Mêlanges Dramatiques. » pp. 8-39
se que vous venez de dire . Les esprits-forts souffriroient-ils qu’on traitât leur philosophie de sottise ? Ils s’en font honne
sont fort analogues. Personne depuis Pradon & Racine n’avoit osé traiter un sujet tragique dans le goût de Phedre. La diff
tes les plumes dramatiques. Un sujet si scandaleux, une maniere de le traiter si scandaleuse, jusqu’à faire admirer & aimer
pect. Il n’en a pas du moins pour les pasteurs du second ordre, qu’il traite avec le dernier mépris, d’un ton d’importance &am
ù l’homme n’a point de voix (car il se confesse sans parler), jusqu’à traiter au nom de Dieu cette récréation si nécessaire &am
56 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104
& de Marseille, qu’on fit brûler, & dans tous les livres qui traitent des Sorciers & Magiciens, que dans le sabbat
peuple fait au-tour des feux de la S. Jean, qu’il veut à toute force traiter de cérémonie religieuse. Que disons-nous de plus 
e qui favorise les passions & multiplie les péchés. Cet Auteur ne traite pas mieux la danse profane, publique & partic
ent l’exil de Pilade produisit un mauvais effet, on en murmura, on le traita de tyrannie, on censura le gouvernement ; les deu
rince. Je ne sais comment Cahusac en fait un crime à Trajan, & le traite d’homme médiocre que Pline a loué en courtisan, &
57 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « PRÉFACE. » pp. 3-6
PRÉFACE. Depuis qu’on a quitté la manière toute simple de traiter les matières de Théologie par l’Ecriture Sainte e
58 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XI. Les pères et mères perdent leurs enfants en les conduisant ou en leur permettant d’aller aux spectacles. » pp. 105-107
oit toujours ignorer le libertinage. Mais, quand cette passion serait traitée avec plus de réserve sur le théâtre, il n’y aurai
59 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PRIVILEGE DU ROI. » pp. -
permission pour ce nécessaires : A ces causes, voulant favorablement traiter l’Exposant, Nous lui avons permis et permettons p
60 (1761) Les spectacles [Querelles littéraires, II, 4] « Les spectacles. » pp. 394-420
l’Oratoire, vint les allarmer ; il réfuta le P. Caffaro. L’Oratorien traita le Théatin de faux frère, de prévaricateur, de mi
l discuta cette matière en théologien, & les deux religieux l’ont traitée en gens de lettres. S’ils l’eussent envisagée aut
hauteurs déplacées, de leurs intrigues, de leurs rivalités. Il ne les traite pas mieux que les habitans des caffés. Il appelle
61 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
e9, s’emporte fort contre les Comédies et les Opéra d’aujourd’hui. Il traite Molière d’Auteur pernicieux, lequel, dit-il, ne t
u’on accomplit dans sa plus étroite obligation ? Il est vrai que vous traitez le duel d’usage barbare ; c’est quelque chose. J’
laçaient leur honneur à défendre leurs Compatriotes, et non pas à les traiter en ennemis déclarés. Le premier16, attaqué par un
62 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  AVERTISSEMENT DE. L’ÉDITEUR. » pp. -
ir cet illustre Ecrivain, autrefois néanmoins si injustement outragé, traiter avec autant de goût & de lumière, que d’aisan
63 (1707) Lettres sur la comédie « LETTRE, de Monsieur Despreaux. sur la Comédie. » pp. 272-275
a Tragédie et sur la Comédie, que je vous ai avoué néanmoins que vous traitiez avec beaucoup d’esprit. Car puisqu’il faut vous d
64 (1823) Instruction sur les spectacles « Préface. » pp. -
it qui serait, en quelque façon, la quintessence des meilleurs qui en traitent . C’est le but que nous nous proposons en donnant
65 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXIII. Impossibilité de réformer entièrement les spectacles. » pp. 191-194
ile de séparer le plaisant de l’illicite. La comédie, entreprenant de traiter les grandes passions, ne peut en quelque sorte se
66 (1731) Discours sur la comédie « PRIVILEGE DU ROI. »
e et attachée sous le contrescel des présentes. A ces Causes, voulant traiter favorablement ladite Exposante, Nous lui avons pe
67 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 3-4
ongtemps considéré devant Dieu et balancé en mon esprit si je pouvais traiter ce sujet, et que plusieurs raisons, très bonnes e
68 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « JUGEMENT DE M. DE VOLTAIRE, SUR LES SPECTACLES. » pp. 78-81
ion et de son seing. Qui seront après cela les Wisigoths qui voudront traiter d’empoisonneurs Rodrigue et Chimène ? plût au Cie
69 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31
, ce sont les hérésies qu’il y seme, non à dessein, mais pour vouloir traiter poëtiquement des vérités sublimes, bien supérieur
lez-vous, dit-il, les histoires des grands hommes de tous les siecles traitées avec goût ? Choisissez dans nos bons tragiques le
, mais il est reconnu. Les Médecins n’en témoignent rien, & ne le traitent pas moins bien : mais ils lui sont mille railleri
, mais il est reconnu. Les Médecins n’en témoignent rien, & ne le traitent pas moins bien : mais ils lui sont mille railleri
70 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81
circonspects dans tous leurs gestes et leurs postures ; la manière de traiter les passions, et de tâcher de les allumer dans le
et sur l’idée qu’on aura de ce faux dévot, on prendra occasion de les traiter impitoyablement pour la moindre faute qu’on leur
s. Et pour un petit tort qu’elles ne nous font pas, Prennent droit de traiter les gens du haut en bas. » Pour peu que l’on s’op
es conquêtes. » Outre cela, l’Ecole des Maris leur fera voir, qu’on traite en cette Ecole de loups garoux, et de bêtes farou
71 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
s d’un Roman avec l’esprit de la Grâce, et pour s’imaginer qu’il peut traiter les mystères de la Grâce avec une imagination de
rez pas non plus dans leurs livres cette manière méprisante dont vous traitez les Saints que l’Eglise honore. Mais vous croyez
e plus savant homme de son siècle, tant qu’il a été son ami, et qu’il traita le même Rufin comme le plus ignorant homme de son
à Desmarets de manquer à la fois de révérence et d’humilité lorsqu’il traite des « saintes vérités ». ab. [NDE] Le P.Maillar
72 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
ustice, les vues les plus sages pour le bien public. Ce grand homme y traite de tout ce qui regarde l’état, l’institution, les
e Princesse lui donner de la considération ? Qui peut voir sans pitié traiter d’héroïsme digne des panégyriques de l’Eglise les
Théologien et au Jurisconsulte de donner son avis, mais qui doit être traitée par l’un et par l’autre avec autant de sagesse qu
s a gouverné ce diocèse avec autant de sagesse que d’édification, est traitée avec mépris, et même calomnieusement offensée, so
73 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199
ception même secrète. Je vais plus loin, l’excommunication en un sens traite avec moins de rigueur que la notoriété du péché.
nt pas respecté la religion, ont osé, non pas révoquer en doute, mais traiter d’injuste ou de nulle, une peine dont ils reconna
, des ruses, des chicanes sur cette recette, l’Hôpital a été forcé de traiter avec eux à la somme de quarante mille livres par
abandonnant (par charité) l’intérêt des pauvres, les Acteurs forains traitèrent avec la Comédie Française, et en obtinrent la per
74 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — SECONDE PARTIE. Si les Comédies Françoises ont atteint le vrai but que se propose la Comédie. » pp. 34-56
eaucoup & instruisent peu. Je ne vois dans Moliere qu’une Comédie traitée selon les vrais principes, c’est celle de l’Impos
rer l’un & l’autre du fond de son sujet. C’est à cette maniere de traiter la Comédie qu’on pourroit peut-être appliquer la
75 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des caractères & des Mœurs Tragiques. » pp. 131-152
, qui est-ce qui connoît ce faux ? Oh ! bel esprit, tu suffis à tout. Traite-t -on de Philosophie dans ce qu’on appelle un cercle
ement sain indiqueront assez aux Auteurs la maniere la plus propre de traiter les mœurs, pour faire sortir les caractères, &
76 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Actes ou des divisions nécessaires au Poème dramatique. » pp. 90-106
de prescrire à ses Poèmes. Cette question importante ne sçaurait être traitée avec assez de soin. Si je l’avais oubliée, ou si
notre Théâtre favori que l’étendue d’un Acte. Quand le sujet que vous traitez s’agrandit sous vos mains ou que ses différentes
77 (1698) Caractères tirés de l’Ecriture sainte « [Chapitre 1] — DU SEXE DEVOT. » pp. 138-158
ne femme qui a le cœur de son mari, toutes les autres sont à peu près traitées comme des esclaves dont on se sert sans amitié ;
qu’on puisse employer à cette réformation ; parce que j’ai dessein de traiter une autre fois cette importante matière : C’est d
78 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
ents de ma Satirec. Or, Monsieur, puisqu’il est presque impossible de traiter cette matière sans appeler le christianisme au se
essor d’une Poésie amoureuse, quelque chastement que vous la puissiez traiter . Je vous sais bon gré de m’abandonner le Comédien
79 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7
appréhendiez toujours le jugement de Dieu pour eux. La Science était traitée comme la Vertu. Ce n’était pas assez pour être sa
e plus savant homme de son Siècle, tant qu’il a été son ami, et qu’il traita le même Rufin comme le plus ignorant homme de son
80 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
’il y a de meilleur » ; comment « le maître de la maison et lui ne se traitent que de frère ». Enfin, comme elle est en beau che
utumés aux choses spirituelles, et si peu à celles du monde, que pour traiter celles-ci ils sont contraints d’emprunter les ter
ments, par la présence d’une femme bien faite, qu’il adore, et qui le traite avec beaucoup de civilité, et par les douceurs at
grand des pécheurs, un méchant, un scélérat ; qu’ils ont raison de le traiter de la sorte ; qu’il doit être chassé de la maison
plus clair le jour, quand vous voudrez : car comme il faut pour cela traiter à fond du Ridicule, qui est une des plus sublimes
être pour cette raison que, comme il arrive souvent, nous ne saurions traiter sérieusement de certaines choses, pour les avoir
le remarquer, il ne faut point dire que ce soient des affaires à être traitées en riant, n’y ayant rien de plus sérieux que ces
ence, j’en vois tant d’autres de cette sorte aujourd’hui, qui sont ou traitées de bagatelles, ou réglées par des principes tout
81 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  AVERTISSEMENT. DU LIBRAIRE. » pp. -
s le 39me Volume des Mémoires de cette Académie. Cette question y est traitée & discutée d’une maniere d’autant plus intére
82 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-4
ces de Racine, & par conséquent une des plus dangereuses, quoique traitée avec décence, si la décence se borne à ne rien di
83 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIII. Première et seconde réflexion sur la doctrine de Saint Thomas. » pp. 82-84
a) 1].  ; et dans cet endroit non plus que dans tous les autres où il traite des jeux de son temps, les théâtres ne sont pas s
84 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VI. Les spectacles produisent et favorisent l’incrédulité. » pp. 86-89
éâtres est d’embellir les aventures romanesques : la religion n’y est traitée qu’avec indécence. Les dieux, les autels, les pro
85 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. Nos Dramatiques traitent les gens d’Eglise d’une manière bien étrange ! il
e un Aumônier d’armée, le Chevalier de Gravité,Dans l’Orphelin. et le traite de tu et toi. L’Aumônier oubliant son caractère r
a parole au Tyran par l’ordre du Roi : Œdipe dans le feu de la colère traite durement Tirésias ; celui-ci réplique avec résolu
n’aurait que trop sujet de croire que sa personne est méprisée, qu’on traite son autorité de fantôme ; et que ses peuples sont
de mauvais sens et d’abus ? Est-ce celui de la Religion burlesquement traitée par l’Athéisme, et des choses les plus respectabl
86 (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « De Paris ce 10. Mai 1666. » pp. 193-204
nt de hardiesse, il possède assez bien le caractère de Port-Royal, il traite le Pape familièrement, il parle aux Docteurs avec
voir défendu M. Pascal, il est vrai que j’ai eu quelque pitié de voir traiter l’Auteur des Chamillardes avec tant d’inhumanité,
87 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIII. Si les Comédiens doivent prendre le titre de Compagnie. » pp. 122-128
oëme dramatique. Enfin, pour achever cette démonstration, nous allons traiter dans ce Chapitre d’une nouvelle prérogative que l
88 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  PRÉFACE. » pp. -
laisse aller à l’attrait de mon penchant. Si cette Brochure est bien traitée , le Public judicieux à qui seul je cherche à plai
89 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXV. Quatrième, cinquième et sixième réflexion : passage exprès de Saint Thomas, et conciliation de ses sentiments. » pp. 88-92
de qui regarde les bouffonneries, et la troisième paraîtra quand nous traiterons des circonstances du temps par rapport aux fêtes
90 (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191
uisse faire de Comédie sans y mêler les Dieux de la Fable. Tertullien traitait d’idolâtres les Chrétiens qui prononçaient seulem
91 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109
de la plupart des peuples, & sur-tout par la loi de Dieu, qui les traite d’abominables. Bien des circonstances en augmente
u le diminuer, Navar. Enchirid. C. 23. & tous les bons Casuistes, traitent en général ce péché de mortel. Le Prophète Sophon
r en préserver son peuple sont très-sages. On peut voir Seldenus, qui traite savamment cette matiere, & les Auteurs qu’il
de toute espèce est prodiguée à pure perte, on trouve l’Arrêt 42. qui traite burlesquement la matiere de masquerie, suivie d’u
92 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125
istrats, par exemple, d’épouser des personnes si méprisables. Nous ne traitons pas ainsi les pauvres, dit la loi : la pauvreté n
ationem matris sint natæ, non subjacent legibus. » Il est défendu de traiter en légitimes les enfants nés d’une Comédienne, ni
matris iter. » Que si quelque Magistrat s’oublie jusqu’à avouer et à traiter en légitimes de pareils enfants, il devient infâm
e sans bruit dans le cachot une correction paternelle. A Paris on les traite souvent en Princes, on les enferme dans les maiso
93 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IX. Défauts que les Etrangers ont coutume de reprocher à notre Tragédie. » pp. 231-259
ardé comme le Peintre de l’Amour. Il est très attentif, dit Longin, à traiter d’une maniere Tragique ces deux Passions, la Fure
peint seulement les fureurs de l’Amour : c’est ce que Longin appelle traiter cette Passion d’une maniere Tragique εκτραγῳδησαι
ante Tragédie. Il osa faire plus, il osa comme Euripide εκτραγῳδῆσαι, traiter l’Amour d’une maniere tragique, & peindre dan
94 (1855) Discours sur le théatre, prononcé dans l’assemblée publique de l’Académie de Pau, où se trouvoient les Députés des Etats du Béarn et les Dames de la ville pp. 1532-1553
la toise, comme ce riche ridicule, qui pour se donner un air savant, traitait avec un libraire, et se faisait fournir des livre
attentat héroïque. Corneille s’offensera-t-il d’être traité comme il traite les dieux ? Nous ne blasphémons qu’à son exemple.
emblablement profité dans le dixième livre de ses Institutions, où il traite au long cette matière. Sanlec que, dans son poëme
élévation, la matière est au-dessus de notre portée. A voir cet homme traiter légèrement de tout, d’un air tranchant et décisif
attaquer Attila. Et, si le roi des Huns ne lui charme l’oreille, Traiter de Visigoths tous les vers de Corneille. L’arti
95 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228
iraient la matière d’une discussion importante, qui mériterait d’être traitée avec une certaine étendue : mais ce sujet est ent
96 (1731) Discours sur la comédie « Préface de l'Editeur. » pp. -
mai 1694. Ce fut par ordre de M. de Harlay Archevêque de Paris, qu’il traita cette matière ; voici ce qui donna occasion à ces
97 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
igeaient à la fois et son caractère sacré, et le sujet que je voulais traiter , et les lecteurs auxquels je m’adressais. Dans vo
l’abbé Desmares, je commence par le théâtre. Mon intention a été de. traiter la question suivante : Une personne qui va au spe
98 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
gique de cette nature (malgré la supériorité avec laquelle Racine l’a traitée ) ne peut inspirer que des maximes dangereuses, po
du siècle qui ait pû faire tolérer, sur la Scène, la passion d’amour traitée de la manière dont elle l’est dans Mithridate. De
99 (1751) Nouvelles observations pp. 393-429
ens par l’Eglise ; & de l’autre, les trois quarts des Spectateurs traitent de ridicule, le soin que l’on prend de justifier
exposées avec assez de soin. 2°. Que la Comédie, telle qu’elle a été traitée par Moliere, est suffisamment bonne pour les mœur
ature. Il est des matieres qu’il n’est pas permis à tout le monde de traiter  ; mais on croit, au sujet du rapport des actions
100 (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325
plus délicates, des plus embarrassées, & des plus agitées, je la traitera y avec tout ce qui me sera possible d’éclaircisse
es qu’on represente dans le monde, est si evidente, qu’on ne peut les traiter de la mesme maniere, que par la plus injuste &
s, que celuy que les loix leur donnent de l’impression des Livres qui traitent des choses les plus saintes. Lact. sub Leo. 10.
ess 10. de Imp. Le Concile de Latran défend d’imprimer les Livres qui traitent des choses saintes, s’ils ne sont examinez &
oncile de Trente renouvelle cette Ordonnance dans la Session 4. où il traite de l’edition & de l’usage des Livres sacrez.
es ordonnent de revoir & de confronter les ouvrages ? L’Auteur ne traite le sujet que par divertissement. Les Peres ne nou
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