x ouvrages d’Hédelin ne furent pas sans réponse : on donna en 1659 un
Traité
contre la Comédie, qui se trouve dans le troisièm
ans le troisième volume des Essais de Morale ; et on peut regarder ce
Traité
comme une réponse ; car quoique l’Auteur n’y nomm
’Hédelin pour la soutenir en France. On a parlé plus haut de quelques
Traités
faits en Italie contre les Spectacles. En 1657, l
ordre, peu de mois avant sa mort, à M. de Voisin de faire imprimer ce
Traité
, ce que ce Docteur exécuta en 1666, à Paris, chez
dont on crut Hédelin encore l’auteur. M. de Voisin voulut défendre le
Traité
de M. le Prince de Conti contre la Comédie qu’il
solides que l’on puisse désirer. Cet ouvrage a pour titre, Défense du
Traité
de M. le Prince de Conti touchant la Comédie, ou
iture et les instructions des saints Pères de l’Eglise, avec un petit
Traité
contre les chansons mondaines, qui sont d’autant
u P. Le Brun sur les Spectacles, intitulé Discours sur la Comédie, ou
Traité
historique et dogmatique des Jeux de Théâtre, et
de Saint Victor, qui cite entre autres ce passage de saint Augustin,
traité
100. sur saint Jean : Donner son bien aux Comédie
e Brun les a rapportés et détaillés ; on peut là-dessus consulter son
Traité
. Mais comme on ne trouve pas qu’il ait indiqué gé
son livre des Spectacles, chap. 4. 25. et 27. Saint Cyprien, dans son
Traité
des Spectacles. Saint Basile, dans son Tome IV. s
ül, et dans l’homélie 38 sur saint Matthieu. Saint Ambroise, dans son
Traité
de la Fuite du siècle, chap. 1er. Saint Augustin,
ntre les Spectacles, du 8 Septembre 1708, qui est imprimé à la fin du
Traité
du P. Le Brun. Depuis la Lettre du P. Caffaro, si
rages d’Hédelin ne furent pas sans Réponse ; car on donna en 1659. un
Traité
contre la Comédie, qui se trouve dans le troisièm
dans le troisième Volume des Essais de Morale, et on peut regarder ce
Traité
comme une Réponse ; car quoique l’Auteur n’y nomm
re, peu de mois avant son décès, à M. de Voisin, de faire imprimer ce
Traité
; ce que ce Docteur exécuta en 1666. Le public fu
lin était encore l’Auteur. M. de Voisin se crut obligé de défendre le
Traité
de Monsieur le Prince de Conti contre la Comédie,
solides que l’on puisse désirer. Cet Ouvrage a pour titre, Défense du
Traité
de M. le Prince de Conti, touchant la Comédie, Ou
iture et les Instructions des saints Pères de l’Eglise, avec un petit
traité
contre les Chansons. Monsieur l’Abbé Fleury a aus
on a vu plusieurs Ouvrages contre cette Lettre. Il y a eu deux autres
Traités
faits en ce siècle contre la Comédie, savoir celu
esar déploya ses grandes vues ; à force de violence, de surprises, de
traités
faits & rompus, de paroles données & manq
que Sans souci après avoir acheté cherement le titre de Roi, signa un
traité
à Hanovre, le 3 septembre 1725, avec la France &a
, la Czarine, le Roi d’Espagne ; mais il joue la comédie, il tient le
traité
caché, fait semblant de persister dans l’alliance
réussirent ni à l’un ni a l’autre. Ce Machiavélisme est excusable. Le
traité
contre Machiavel n’avoit pas encore paru. Comme l
ns & les plus odieuses, est sur-tout remarquable par une foule de
traités
pour & contre de ce fameux adversaire du Mach
p; peu d’acteurs sur le Théatre qui aient joué tant de rôles, En 1741
traité
avec la Baviere, la France & la Pologne, cont
iere, la France & la Pologne, contre la Reine de Hongrie. En 1742
traité
avec la Reine de Hongrie, contre la Pologne, la F
vec la Reine de Hongrie, contre la Pologne, la France, la Baviere. Ce
traité
fût tenu caché comme celui de son pere. L’acteur
er de part & d’autre. On espéroit de grands avantages de tous les
traités
qui ne servoient qu’à montrer la mauvaise foi. P
écrivit en ces termes : Je viens d’apprendre qu’il est question d’un
traité
de normalité pour l’Electorat d’Hanovre. Auriez-v
emens que la Prussienne. Le Monarque Britannique, après avoir fait un
traité
fait avec la France, corrompt ses alliés par des
soient une ancienne dépendance de leurs Royaumes, & que tous les
traités
passés avec la Pologne n’ont pu détruire ; je me
à la gauche du Roi dans les diettes & les assemblées, &c. Ce
traité
fut observé pendant soixante ans. Cette clause de
religion, & terminé de même dans les Diettes de l’Empire & le
traité
de Vestphalie. Ce traité à mi-parti le Christiani
e même dans les Diettes de l’Empire & le traité de Vestphalie. Ce
traité
à mi-parti le Christianisme en Allemagne. Le rest
résens à la Cour de Rodolphe, l’a fait ériger en Royaume. Dans divers
traités
avec la Pologne où elle a reconnu ses droits, ell
-delà des bornes qu’elle-même a fait semblant de se prescrire dans le
traité
de démembrement que la violence a arraché à la Ré
ique, ni dans ses drames. Un Philosophe Sans-souci se soucie-t-il des
traités
, de la bonne foi, de la justice, de la religion.
ire que c’est une injustice, & craindre l’enfer. Y a-t-il quelque
traité
à faire, si nous nous souvenons seulement que nou
rapprocher & concilier toutes les sectes, avoit fait composer un
Traité
où l’on prenoit & retranchoit quelque chose d
oit toutes, pour en venir à ce mélange. Ce projet ne réussit pas ; ce
Traité
fut méprisé de toutes, chacune persista dans son
Royaume de Pologne, dont il a usurpé plusieurs provinces, malgré les
traités
; la ville de Dantzick, dont il a détruit le comm
-peu philosophe de l’infidélité à ses paroles, de la violation de ses
traité
& de ses alliances, en déclarant la guerre, t
sprit qui rédige mes idées. Vous avez vu avec quelle distinction j’ai
traité
d’Alembert : vous en avez été surpris. Vous ne sa
ges Italiens du Père Ottonelli Jésuite Italien. page 31. Section iii.
Traité
contre la Comédie, qui se trouve dans le 3eme Vol
3eme Volume des Essais de Morale. page 38. CHAPITRE III. Section i.
Traité
de Monsieur le Prince de Conti, de la Comédie et
n sur la condamnation des Spectacles. page 60 Section iii. Défense du
Traité
de M. le Prince de Conti, par M. de Voisin. page
le Prince de Conti, par M. de Voisin. page 62. Section iv. Extrait du
Traité
contre la Comédie, qui se trouve dans L’Education
N.-B. Sont inclus les traductions ou adaptations françaises de
traités
et pamphlets étrangers (au nom de l’auteur et éve
Saillant et Nyon, Dessaint, 1771 [4e éd.]. L. Thirouin, éd. = Nicole,
Traité
de la comédie et autres pièces d’un procès du thé
es, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 2010, 2 vol.
Traités
, pamphlets, textes littéraires Anonyme, Car
lettre. Cf. Journal des savans, 25 janvier 1700, p. 70. Bosquet,
Traité
contre les danses et les comédies, 1664 • Bosq
les danses et les comédies, 1664 • Bosquet, François (1605-1676) :
Traité
contre les danses et les comédies composé par sai
DF : Google. Corpus OBVIL. N.-B. Traduction de l’édition latine du
traité
de saint Charles Borromée, qu’il avait édité : C
cclesiae Principi Jacobo Benigno Bossuet, s. d. [1694]. Bossuet,
Traité
de la concupiscence, éd. 1731 • Bossuet, Jacqu
a concupiscence, éd. 1731 • Bossuet, Jacques-Bénigne (1627-1704) :
Traité
de la concupiscence ou exposition de ces paroles
oncupiscence, Paris, Barthélemy Alix, 1731, 155 p. ff. 218 p. ff. (2e
traité
= pagination séparée). [Nombreuses rééditions.] P
hat, Paris, Louis Vivès, 1862, vol. vii, p. 412-484. PDF : Gallica. •
Traité
de la concupiscence, texte présenté et établi par
(1625-1721) : Le Théâtre françois, divisé en trois livres, où il est
traité
: I. de l’Usage de la comédie ; II. des Auteurs q
662, (4 ff.) 82 p. PDF : Google. Traduction française • Bosquet ,
Traité
contre les danses et les comédies, 1664. Cha
« Comedie » du Dictionnaire des cas de conscience, 1736. Conti,
Traité
de la Comédie et des spectacles, 1666 • Conti,
ctacles, 1666 • Conti, Armand de Bourbon (1629-1666 ; prince de) :
Traité
de la Comédie et des spectacles. Selon la traditi
oma, per A. Fulgoni, 1753, 80 p. N.-B. Voir Voisin , La Défense du
traité
de Mgr le Prince de Conti, 1671. Cordier, La
845 • Debreyne, Pierre Jean Corneille (1786-1867), Moechialogie ou
Traité
des Péchés contre les Sixième et Neuvième Command
rléans et Paris, Louis Josse, 1697. • Anonyme [Pierre Nicole], « XIV.
Traité
. Pensées sur les Spectacles », p. 345-356, in Ess
ur les Spectacles », p. 345-356, in Essais de morale contenant divers
traités
sur differens sujets, cinquième volume, Paris, Gu
J. Lecoffre, 2 vol. in-8°, t. I, xii-580 p. PDF : Gallica. → Texte :
Traité
du Décalogue, 6e partie, chap. Ier : « Des péchés
, Paris, 1865, t. I, xii-580 p. PDF : Google. Corpus OBVIL. → Texte :
Traité
du Décalogue, 6e partie, chap. Ier : « Des péchés
ustification des lumières du dix-huitième siècle. Pour faire suite au
Traité
des Causes de l’Indigence et de l’Immoralité,et m
m, Paris, Lacombe, 1767, LII-540 p. (1 f.). PDF : Google. Jurieu,
Traité
de la dévotion, 1675 • Jurieu, Pierre (1637-17
Jurieu, Traité de la dévotion, 1675 • Jurieu, Pierre (1637-1713) :
Traité
de la dévotion, Quevilly, Jean Lucas, 1675, in-12
697, in-12, (1 f) 114 p. (3 ff.de table). PDF : Google. La Mare,
Traité
de la police, 1705 • La Mare, Nicolas de (1639
are, Traité de la police, 1705 • La Mare, Nicolas de (1639-1723) :
Traité
de la police, où l’on trouvera l’histoire de son
de (1639-1718) : Réflexions chrétiennes sur divers sujets. Où il est
traité
. I. De la Sécurité. II. Du bien et du mal qu’il y
VIL. Réédition • 2e édition augmentée : Discours sur la Comédie ou
Traité
Historique et Dogmatique des Jeux de Théâtre &
onde Edition augmentée de plus de la moitiéDiscours sur la comédie ou
traité
historique et dogmatique des Jeux de théâtre […]
ouis Racine, Remarques sur les tragédies de Jean Racine, suivies d’un
Traité
sur la poésie dramatique ancienne et moderne, t.
ottin, 1755-1759, 13 vol. → Texte : « Spectacles » [= 91e et dernier
traité
], t. XII (Paris, Auguste-Martin Lottin, 1757), p.
stacle du salut. Les spectacles publiques », p. 286-325. Nicole,
Traité
de la comédie, 1667 et 1675 • Nicole, Pierre (
Traité de la comédie, 1667 et 1675 • Nicole, Pierre (1625-1695) :
Traité
de la comédie, 2 versions successives : 1) « L’
Adolphe Beyers, 1667, in-12, vol. 2, 495 p. (→ Texte : 1re version du
Traité
de la Comédie, vol. 2, p. 452-495). PDF : Google.
evue et corrigée, 1714, in-12, tables + 340 p. (→ Texte : « Quatrième
Traité
. De la Comedie », p. 201-246). PDF : Google. • Éd
e Traité. De la Comedie », p. 201-246). PDF : Google. • Éd. moderne :
Traité
de la comédie ; présenté par Georges Couton, Pari
Boileau sur la comédie, voir Boileau-Despréaux . Racine, Louis,
Traité
sur la poésie dramatique, 1752 • Racine, Louis
raité sur la poésie dramatique, 1752 • Racine, Louis (1692-1763) :
Traité
sur la poésie dramatique ancienne et moderne, in
moderne, in Remarques sur les tragédies de Jean Racine, suivies d’un
Traité
sur la poésie dramatique ancienne et moderne, Ams
3 vol. ; t. III, (1 f.) 415 p. PDF : Google. Corpus OBVIL. → Texte :
Traité
au tome III, p. 1-390 [= totalité du volume, sauf
• 3e éd. : Paris, A. Perier, 1611, in-8º, 53 p. PDF : Google. N.-B.
Traité
contre les déguisements, mascarades et spectacles
1, in-4º, [34]-514-[2] p. PDF : Gallica. Corpus OBVIL. → Textes : 4e
traité
, « Des devoirs du Roi envers soy-mesme » (p. 183-
section, « Des mœurs des héros », t. I, p. 143-262. Tertullien,
Traité
contre les spectacles, éd. 1733 • Tertullien (
Traité contre les spectacles, éd. 1733 • Tertullien (150?-220?) :
Traité
contre les spectacles [=De spectaculis] trad. fr.
tacles [=De spectaculis] trad. fr. de Mathieu Caubère, p. 143-261, in
Traités
de Tertullien sur l’ornement des femmes, les spec
p. + table. PDF : Google. Corpus OBVIL. N.-B. L’ouvrage comprend :
Traité
du bateme, p. 1-88 ; Traité de l’ornement des fem
rpus OBVIL. N.-B. L’ouvrage comprend : Traité du bateme, p. 1-88 ;
Traité
de l’ornement des femmes, p. 89-142 ; Traité cont
ité du bateme, p. 1-88 ; Traité de l’ornement des femmes, p. 89-142 ;
Traité
contre les spectacles, p. 143-261, avec les Remar
; Traité contre les spectacles, p. 143-261, avec les Remarques sur le
traité
contre les spectacles, p. 247-261 ; Traité de la
avec les Remarques sur le traité contre les spectacles, p. 247-261 ;
Traité
de la patience, p. 262-345 ; Epitre aux Martyrs,
e, p. 262-345 ; Epitre aux Martyrs, p. 346-377 ; tables. Thiers,
Traité
des jeux et des divertissements, 1686 • Thiers
ivertissements, 1686 • Thiers, Jean-Baptiste (1636-1703 ; abbé) :
Traité
des jeux et des divertissements qui peuvent être
bouffonneries et autres Marionnettes […] », p. 299-346. Tilenus,
Traité
des jeux comiques et tragiques, 1600 • [Tilenu
jeux comiques et tragiques, 1600 • [Tilenus, Daniel (1563-1633)] :
Traité
des jeux comiques et tragiques, contenant instruc
585-1643, Genève Droz, 1985, p. 101) mentionne un exemplaire à Caen :
Traité
des Jeux Comiques et Tragiques. Contenant instruc
ppin, 1647, in-8º, viii-72 p. Corpus OBVIL. Voisin, La Défense du
traité
de Mgr le Prince de Conti, 1671 • Voisin, Jose
e Conti, 1671 • Voisin, Joseph (1610?-1685 ; abbé) : La Défense du
traité
de Mgr le Prince de Conti touchant la comédie et
Billaine, 1671, in-8º, xl-491 p. PDF : Google. N.-B. Voir Conti ,
Traité
de la Comédie et des spectacles, 1666. Volta
III », p. 511-519. N.-B. Ouvrage divisé en 4 tomes : I. Où il est
traité
des devoirs de l’homme en la vie particulière et
1). N.-B. Le texte est donné par l’abbé Joseph Voisin , Défense du
traité
de Mgr le Prince de Conti touchant la comédie et
1771, 1re partie, p. 618-619. Ouvrages ultérieurs Simonet,
Traité
de la police administrative des théâtres, 1850
olice administrative des théâtres, 1850 • Simonet, Claude-Hubert :
Traité
de la police administrative des théâtres de la vi
choses que de mots, c’est-à-dire, où les vices & les vertus sont
traités
le plus à fond, sont aussi suivies que des Comédi
nt comme une espece de honte de travailler sur des sujets qui ont été
traités
. Quant à l’opinion où sont nos Auteurs, que la Co
nt comme une espece de honte de travailler sur des sujets qui ont été
traités
: l’amour-propre est la cause de ce préjugé ; on
uit un très-grand mal, en ce qu’elle empêche que les sujets ne soient
traités
sous toutes les faces possibles. Tel qui a bien c
’il est vrai que les principaux sujets propres à la Comédie ayent été
traités
, & si nos Auteurs se font un scrupule d’y tra
oin de mériter du blâme pour avoir fait une Comédie sur un sujet déjà
traité
, ils auroient la gloire au-contraire d’avoir su t
TRAITÉ
DE LA POËSIE DRAMATIQUE ANCIENNE ET MODERNE. Plan
TRAITÉ DE LA POËSIE DRAMATIQUE ANCIENNE ET MODERNE. Plan de ce
Traité
. Le Poëte François dont j’ai examiné les Ouvra
dans la Tragédie ? Je ne ferai que proposer cette Question. Ce petit
Traité
où il est si souvent parlé du Théâtre des Anciens
suet lui-même, il excluroit les plaisirs les plus innocents. Nicole a
traité
le même Sujet, & de la même maniere. Il a com
s compatible avec les jeux du Théâtre ; telle est la substance de son
Traité
**. Je ne m’arrête point à l’Ouvrage du Prince de
de Conti, il défend le même sentiment*. Il a ajouté à la suite de son
Traité
, la Tradition de l’Église & des Peres, en sui
Dans une nouvelle édition, Paris 1767, on a mis à la suite, un petit
Traité
sur les moyens de rendre la Comédie utile aux mœu
to. 2. in-12. pag. 251-354. **. V. T. 3. des Essais de Morale 4e.
Traité
, pag. 217-265. *. Traité de la Com. & des
**. V. T. 3. des Essais de Morale 4e. Traité, pag. 217-265. *.
Traité
de la Com. & des Spect. Paris, 1667. **. D
qu'il n'y a rien dans toute la doctrine des mœurs que les Pères aient
traité
plus à fond, ni où ils se soient mieux précaution
e aux Chrétiens ; mais surtout dans les chapitres 28, 29 et 30 de son
traité
contre les spectacles, il établit merveilleusemen
, et pour ouïr chanter ses louanges. Saint Ambroise Saint Ambroise au
Traité
de la suite du siècle, et sur le 37 verset du Psa
ns l'Epistola Ad Donatum. Chap. 12 des Spectaculis. Saint Ambroise au
Traité
de la suite du siècle, et sur le 37 verset du Psa
7 et 1675, puisqu’elle est manifestement antérieure à la réédition du
Traité
de la comédie (1675). Elle fut publiée en 1715 da
ez, 1733, p. 317-322) et, pour les notes, l’édition Thirouin (Nicole,
Traité
de la Comédie, éd. L. Thirouin, Paris, Champion,
ces deux vers ne peuvent pas être les vers cités par Nicole dans son
Traité
de la Comédie, puisque le personnage « piqué de j
nage « piqué de jalousie » doit être le Comte et que les citations du
Traité
ne sont pas prononcées par ce personnage. Pour lu
[FRONTISPICE]
TRAITÉ
DES JEUX COMIQUES ET TRAGIQUES. CONTENANT INS
büttel. Merci à Marie-Thérèse Mourey qui a trouvé cet exemplaire d’un
traité
jusqu’ici inconnu. Nous avons respecté la ponctua
, des sentimens des souverains Pontifes touchant les théâtres, que le
traité
latin des spectacles, imprimé à Rome en 1752, par
ain. Ce savant Religieux nous apprend trois choses dans cet excellent
traité
. La premiere, qu’il l’a composé à la persuasion d
es Borromée, dans ses instructions pour les Confesseurs ; M. Bossuet,
traité
de la comédie ; M. Nicole, traité de la comédie ;
pour les Confesseurs ; M. Bossuet, traité de la comédie ; M. Nicole,
traité
de la comédie ; Mgr. le Prince de Conti, traité d
comédie ; M. Nicole, traité de la comédie ; Mgr. le Prince de Conti,
traité
de la comédie ; Le Pere le Brun, de l’Oratoire, t
ince de Conti, traité de la comédie ; Le Pere le Brun, de l’Oratoire,
traité
de la comédie ; M. Dupin, biblioth. eccl. dix-sep
. Pontas, de Lamet & Fromageau, au mot Comédie ; le Pere Concina,
traité
latin des spectacles ; lettre de M. DES P. DEB. A
e plus à lire ou à entendre une bonne piéce, qu’à étudier le meilleur
traité
d’éloquence. Les vrais génies ont moins besoin d’
me paroissent de la derniere évidence, la littérature est innondée de
traités
sur les principes. Il n’y a guère d’année où on n
aux plus célèbres Poétes ; cette rare découverte mérite bien un long
traité
, & on nous en fera un présent. Le même Auteur
ié & la terreur. L’Auteur peut donc se dispenser de travailler au
traité
qu’il nous a promis, à moins qu’il ne nous prouve
quelque chose à désirer, malgré le grand nombre de volumes où il est
traité
des règles dramatiques. On a lieu d’être surpris
ue à notre Littérature, & qu’on lui souhaite depuis long tems. Le
Traité
de l’Art du Théâtre, que je présente au Public, e
int de s’égarer en adoptant mes principes ; les Grands-Hommes qui ont
traité
des règles du Théâtre, seront presque toujours me
CHAPITRE III SECTION PREMIERE.
Traité
de la Comédie et des Spectacles. A Paris, Chez Pi
rince pénitent. » J’ai seulement retranché les premières pages de ce
Traité
, mais j’ai copié mot à mot tout le resteab. « Si
ses circonstances, soit pour ses effets ; n’est-il pas vrai qu’elle a
traité
presque toujours des sujets peu honnêtes, ou acco
plissement de toute la Loi Chrétienne. « Ne voyez-vous pas l’amour
traité
de cette manière si impie dans les plus belles Tr
ut du Pont S. Michel, 1666. Cet Ouvrage parut la même année que le
Traité
de Monsieur le Prince de Conti ; c’est un petit L
t bientôt la Justice de nos Rois. » SECTION TROISIEME. Défense du
Traité
de M. le Prince de Conti, touchant la Comédie et
ns la Préface, l’Auteur déclare qu’il se trouve engagé de défendre le
Traité
contre la Comédie, fait par Mr. le Prince de Cont
a condamnés dans deux endroits de ses Ouvrages, premièrement dans son
Traité
de la Fuite du siècle Chapitre 1. où il dit que l
is il aurait fallu user de redites. SECTION QUATRIEME. Extrait du
Traité
de la Comédie, qui se trouve dans L’Education Chr
it suivre. Monsieur Riccoboni fit imprimer il y a plusieurs années un
Traité
intitulé de la Réformation du Théâtre. Ses idées
e le public ne seroit pas fâché de voir à la suite de cet ouvrage, un
Traité
intitulé, Essai sur les moyens de rendre la Coméd
pour la faire sentir. Ce fut apparemment pour le prouver qu’il fit un
Traité
de la comparaison de l’art théâtral avec l’éloque
it un Traité de la comparaison de l’art théâtral avec l’éloquence. Ce
traité
n’est pas venu jusqu’à nous. Au reste, ce fameux
nitence, 199. Mesure qu’il prend pour abolir les Spectacles, 234. Son
Traité
contre la Comédie imprimé en France, 302 Chœur, c
tère de ses Comédies, 92. Son Epitaphe, 95 Tertullien, Analyse de son
Traité
des Spectacles, 80 et suiv. Théâtre Grec et Romai
i lu par ordre de Monseigneur le Garde des Sceaux, un Livré intitulé,
Traité
Historique et Dogmatique des Jeux de Théâtre etc.
entin Delaulne, Imprimeur et Libraire, d’imprimer un Livre intitulé :
Traité
Historique et Dogmatique des Jeux de Théâtre, etc
e de rechercher. HERACLIUS. L’Amour d’Eudoxe et d’Héraclius est
traité
dans cette Tragédie avec un ménagement extraordin
t une espèce d’amour que ni les Anciens, ni les Modernes n’ont jamais
traité
avant Corneille. On voit bien des incestes de fai
s s’il aurait mieux réussi que dans celle de Stilicon ; l’amour y est
traité
avec la plus grande précaution ; tout y est instr
peu près pareil. Pierre Corneille se fait une gloire de ne pas avoir
traité
l’amour, comme à l’ordinaire, dans sa Tragédie de
tte malheureuse passion, la base de tous les sujets tragiques qu’il a
traités
. La Thébaïde est écrite dans le goût des Tragédie
E, de M. de la Grande Chancel. Le sujet d’Iphigénie en Tauride,
traité
d’abord par Euripide, l’a été depuis par deux Poè
de aime Iphigénie ; mais cet amour n’est connu que par un mot, et est
traité
avec la plus grande circonspection. Quant à la pa
ge de leurs pieces. Celles de Corneille réunies feroient un assez bon
traité
: il avoit de l’étude & des connoissances. Mo
nt réunis. Aristophane, Plaute, Terence, Regnard, n’ont point fait de
Traité
. Aristote, Horace, Vida, Scaliger, Boileau, n’ont
tragiques, de comédies & de bonnes comédies que de tragédies. Les
traités
dramatiques, les règles, les unités, les observat
prétendus mystères de l’art, qu’on y croit renfermés, on formeroit un
traité
complet de l’art dramatique. On en feroit de même
ard, mais de Destouches, Dancourt, Monfleuri, du Théatre Italien. Ces
traités
seroient dans le goût de Mathanasius ou Chef-d’œu
e des sciences profondes qui chaque jour font gémir la presse par des
traités
pompeusement annoncés dans le Mercure. On se cont
a des signaux, des cartes marines, des boussoles, des ingénieurs, des
traités
de pilotage. Les magasins de la comédie sont comm
oise, est-il douteux que sur les scenes de Moliere elle ne compose un
traité
parfait de l’art du Théatre qui nous manque aussi
ues, historico-politiques ? Ne pourroit-on par mettre sur la scene le
Traité
de Westphalie ? Quel spectacle auguste pour un êt
fait parler quelque grand, ce n’est qu’en bourgeois gentilhomme. Il a
traité
quantité de sujets. Ce n’est qu’une abondance sté
tere à ses ouvrages. De là vient la variété infinie des discours, des
traités
, des images sur le même sujet. Des milliers de Pr
a du péché. Le Seconde objection. Pros. Si je n’obéis, je serai mal
traité
, si je ne veux suivre ma mère, dira la fille, je
i châtiée, elle ne me caressera plus. Le Réponse. 1. Neoph. Etre mal
traité
pour ce sujet, c’est souffrir un bien glorieux ma
. et il l’a partagé en deux Volumes. Le premier Volume contient trois
Traités
. Le premier regarde les Comédiens mercenaires, qu
principe de la condamnation des Comédiens mercenaires. Dans le second
Traité
, il étend les réponses qu’il avait déjà faites à
ertu de nos Pères. Voici les paroles de Tertullien au Chap 25. de son
Traité
des Spectacles : « In omni Spectaculo nullum magi
nnêtes, mais très criminels et très dangereux. SECTION TROISIEME.
Traité
de la Comédie ; du troisième Volume des Essais de
alement un auteur dramatique prolifique. Son œuvre comporte aussi des
traités
sur le théâtre et des poésies. aa. [NDE] Adam Co
ce de soi-même, c. 60.) : M. Rollin ; savant et judicieux Professeur (
Traité
des Etud. Tom. 4. liv. 3. art. 2. c. 2.) : Enfin
. liv. 3. art. 2. c. 2.) : Enfin la Discipline des Eglises Réformées (
Traité
de divers Synod. impr. à Geneve en 1661. Chap. de
différent des spectacles publics. Le Ministre Vincent, qui a fait un
traité
contre la comédie, approuvé par douze Ministres,
ne fût représentée par les écoliers du collège. » Le P. Brumoy, qui a
traité
le même sujet, et l’a fait jouer en divers collèg
qu’on n’a jamais parlé d’amour sur leur théâtre ; qu’on n’y a jamais
traité
que des sujets pieux ; que jamais aucun Acteur n’
nes élèves, qui deviennent les témoins et les garants, de ce précieux
traité
. « Est-ce ainsi qu’on inspire du respect pour l
ône dramatique, & à transformer leurs actes & leurs scènes en
traités
complets de poésie, on les laisseroit s’applaudir
& transformer des drames dont la vertu suit la représentation, en
traités
parfaits de morale. Des hommes l’ont tenté en Fra
puisse faire de pareils centons, de pareilles analyses, d’aussi bons
traités
, Scaron, Rabelais, Arioste, Bocace, Pétrone, Plau
des amateurs ? La Miladi théologienne, qui trouve dans Shakespear un
traité
complet de morale, prétend avec raison que l’exe
un médecin de la mort de ses patiens (ses malades), parce qu’il les a
traités
suivant les regles ? Terence, dans l’apologie de
n donna dans l’extrémité opposé, la moindre apparence de religion fut
traité
de puritanisme. Les libertins qui eurent la vogue
la dévotion de nos peres avec les couleurs les plus outrées. Tout est
traité
de fanatisme, & ce ne sont pourtant que les i
Gentilhomme, il veut que la danse soit la perfection de la nature, un
traité
de morale, un cours complet d’éducation. Un bon d
n perfectionne l’art de siffler, que la Société Royale n’a pas encore
traité
: il perfectionneroit la musique, les sifflemens
ans les hommes & les animaux : ce seroit la matiere d’un fort bon
traité
qui nous manque. Nous avons en Angleterre bien d’
uple, ont eu en grande détestation tels jeux, comme il appert par des
traités
faits spécialement contre iceux par saint Cyprien
pectaculis, texte établi et traduit par A. Boulanger, Paris, 1933. Ce
traité
, d’attribution douteuse, a été également attribué
son, théologien et chancelier de l’Eglise de Paris, publia en 1402 un
Traité
contre le Roman de la Rose (Tractatus contra Roma
avait quelque rapport aux Jeux de Théâtre. C’est ce qui a produit le
Traité
qu’on donne aujourd’hui. A l’exception du premier
ouvrage plus considérable qui est actuellement sous presse. C’est un
Traité
du Discernement des effets naturels d’avec ceux q
eur : On amuse les enfans avec des jouets, & les hommes avec des
traités
& des sermens. Cette philosophie de Berlin é
qui y regne, mais une satyre déguisée sur le ton de conseil & de
traité
. Je ne doute pas même que l’histoire qu’il avoit
r de la religion, de la probité, de la conscience, des promesses, des
traités
; 3°. en arborer cependant les apparences, en fai
douceur & de charité, & même à ses ouvrage, puisque, dans son
Traité
du Gouvernement, il est bien plus favorable à la
ns de la Grece en grand nombre. Ces moyens sont épars dans son livre,
traités
au long & appuyés par des exemples & des
et Approbateurs. Enfin un grand Prince poussé d’un bon zèle a fait un
Traité
pour condamner nos Comédies ordinairesb, et il s’
qui est juste. a. [NDE] Cette section se trouve dans le troisième
traité
, « De la Poésie française, de ses différentes esp
s espèces, et principalement de la Comédie. » b. [NDE] Il s'agit du
traité
du Prince de Conti, voir le corpus Haine du théât
. (Voy. Biblioth. canoniq. verb. Théâtre.) Le savant Pape Benoît XIV (
Traité
des Synodes, L. 8. C. 61. N. 11. et dans ses Lett
re sacrilegium. » Qu’on parcoure tous les Auteurs sans nombre qui ont
traité
des devoirs des Ecclésiastiques, Denys le Chartre
t leur est assez favorable, et d’un certain Squillante, qui a fait un
Traité
de obligat. Cleric. part. 2. n. 45. Il ajoute que
ec spectaculis intersint. » Le Jésuite Pelissarius, dans son immense
Traité
sur l’état Religieux, en deux très gros volumes i
ent d’après Sanchez autre Jésuite, de Matrim. L. 9. Disp. 46. n. 41. (
traité
où on n’irait pas chercher cette question), et qu
plus terrible, ne subsiste plus. Ce Sujet n’a jamais été parfaitement
traité
que par Sophocle : cependant de quelque maniere q
traité que par Sophocle : cependant de quelque maniere qu’il ait été
traité
, il a ému ; par conséquent il a plu : & dans
s. Œdippe a paru. Le Sujet de Merope a de même été bien reçu, quoique
traité
sans vraisemblance, parce que les circonstances d
à l’égard des Comédiens Italiens, 121 & 432, b, 229-259 Comédie (
Traités
sur la), par Nicole, b, 127. Par le Prince de Con
aités sur la), par Nicole, b, 127. Par le Prince de Conti, 133. Autre
traité
, 144 Comedias (Trattado de las) en el qual se dec
Comédiens, a, 518 Conti (Armand Bourbon, Prince de). Extrait de son
Traité
sur la Comédie, b, 133 Corneille. Dangers de l’i
b, 278, 596 Dancour, b, 607 Danse. Ses dangers, b, 445-458 Danses (
Traité
des), b, 131 Danses (Traité) contre les Danses,
Danse. Ses dangers, b, 445-458 Danses (Traité des), b, 131 Danses (
Traité
) contre les Danses, les Comédies & les mauvai
elle de l’Orateur. Citation de Quintilien à ce sujet, 493 Défense du
Traité
de M. le Prince de Conti sur la Comédie, b, 143
sentations domestiques, 404 Gauthier, Curé de Savigny-sur-Orges. Son
Traité
contre les Danses, b, 132 & 463 Gédouin. Sa
, a, 94 Horace. Effets d’une bonne éducation, a, 65. Que la Poésie a
traité
presque tous les genres, 99. Caractere des bons M
uvrage sur les Spectacles, b, 302 Lenglet Dufresnoi. Citation de son
Traité
sur l’usage des Romans, b, 67 Léon X. Son caract
t, Evêque de Meaux, sur l’Histoire Universelle, a, 61 Citation de son
Traité
de la Comédie, b, 127. Caractere de ce Philosophe
mp; M. de Roquelaure, Evêque de Senlis, a, 429 Voisin. Sa défense du
Traité
de M. le Prince de Conti sur la Comédie, b, 145
main, et tous les Solitaires voulurent voir l’endroit où ils étaient
traités
d’illustres. Ne lui a-t-on pas même rendu ses lou
t manger leur pain blanc le premier. Voilà, Monsieur, comme vous avez
traité
Desmarets, et comme vous avez toujours traité tou
nsieur, comme vous avez traité Desmarets, et comme vous avez toujours
traité
tout le monde. Qu’une femme fût dans le désordre,
Dieux ; je dirois plutôt que c’est l’amour des femmes, tel qu’il est
traité
dans les romans & sur le théatre, où cette fo
liberté de ses censures contre son propre Corps, Mariana a composé un
traité
contre les spectacles. La force de la vérité lui
vant & éloquent Jésuite, & très-bon Casuiste, a fait un grand
traité
contre les spectacles, & un très-bon abrégé d
un grand traité contre les spectacles, & un très-bon abrégé de ce
traité
, Resol. Moral. L. 5. C. 11. Dans ces deux ouvrage
une réputation de relâchement qui a passé en proverbe, parce qu’il a
traité
d’une maniere problématique les questions de mora
au long & avec zèle. Le P. le Brun, M. de Voisin en ont fait des
traités
. Tous les catéchismes & les rituels enseignen
justes éloges l’autorité respectable du Prince de Conti, qui dans son
traité
contre la comédie, dont nous avons souvent parlé,
[FRONTISPICE]
Traités
de Tertullien sur l’ornement des femmes, les Sp
. II. De la Danse, 29. Chap. III. Théatre de S. Foix, 51. Chap. IV.
Traité
de la Danse de Cahusac, 75. Chap. V. Suite du Th
[FRONTISPICE] Discours sur la comédie ou
Traité
historique et dogmatique des Jeux de Théâtre et
atieres ecclésiastiques, & Pourceaugnac, Scapin, Sganarelle ; des
Traités
de piété, & l’Amphitrion, l’Education des Fil
rands services à l’Église, à l’État, en a rendu un très-grand par son
Traité
contre la Comédie. Son éloge méritoit plus que ce
loge méritoit plus que celui de Moliere, d’être le sujet du prix. Son
Traité
ne lui auroit-il pas donné l’exclusion ? Il contr
ridicule à la vertu. Ses défenseurs ne manqueront pas de dire qu’il a
traité
avec honneur la vraie probité, qu’il n’a attaqué
De là il passe à la comédie, dont il propose à l’Académie de faire un
traité
, examine les beautés, les défauts de Terence, Ari
uvaise morale, & cependant il propose à l’Académie le projet d’un
traité
de la tragédie & de la comédie, & en trac
sées à l’irréligion. Le quiétisme s’allie-t-il avec l’incrédulité, le
Traité
de l’existence & des attributs de Dieu avec l
iere Philosophe ! Sans doute il l’est si bien, que ses farces sont un
traité
complet de philosophie morale, & de la plus s
. C’est la chimère du siecle, on n’est jamais bien loué qu’on ne soit
traité
de Philosophe. C’est le faux goût des hommes, la
à son honneur & gloire, sous le double titre, Art de la Comédie,
Traité
de l’Imitation. Moliere en fournit toute la matie
666, 4°, 12 p.), ainsi que l’édition Thirouin pour les notes (Nicole,
Traité
de la Comédie, éd. L. Thirouin, Paris, Champion,
que d’excellens comédiens. Ils sont à plaindre sans doute d’avoir été
traités
durement par quelques-unes de nos loix, par les r
condamne la comédie, Dont il seroit un beau sujet. Riccoboni a
traité
son art plus mal encore que La Mothe n’a traité c
u sujet. Riccoboni a traité son art plus mal encore que La Mothe n’a
traité
celui des vers. Le talent d’acteur & d’auteur
de Voltaire, en parlant de la comédie & des comédiens, n’a point
traité
pleinement le fond de la question ; il s’est éten
qui est toujours prêt à recevoir des soufflets, suivant un Passage du
Traité
de Tertulien sur les Spectacles, faciem suam cont
ne fut pas non plus l’inventeur de l’Opera, puisque Muratori dans son
Traité
de la parfaite Poësie, nomme un Poëte Musicien de
oser une Tragédie. Le même malheur arriva à Dryden, qui avoit fait un
Traité
sur la Poësie Dramatique, pour montrer la supério
a supériorité des Poëtes Anglois sur les François. Il fit voir par ce
Traité
, ainsi que par ses Piéces de Théâtre, qu’il ne co
s les personnes illustres de naissance ou de condition ne les ont pas
traités
de même sorte ; car les premiers étaient estimés
ent ? Et si les Acteurs des Fables Atellanes ont été si favorablement
traités
, nous peut-il rester quelque scrupule pour les Co
Esope cet incomparable Tragédien ne fussent pour le moins aussi bien
traités
que des Cochers et des Valets d'étable. Où je pui
texte du précédent, je ne coterair que selon les lieux où ils en ont
traité
. Le premier est Antonius Artesius Florentin en la
spondants (op. cit., p. 8-11). Cecchini complète le volume d’un petit
traité
de sa façon. Dans sa Supplica (rééd. Bologne, G.
(rééd. Bologne, G. Monti et B. Cavallieri, 1636), Barbieri intègre le
traité
comme avant-dernier chapitre (chap. 59, p. 238-25
t. IV, p. 193-204), et, pour les notes, à l’édition Thirouin (Nicole,
Traité
de la Comédie, éd. L. Thirouin Paris, Champion, 1
666, 4°, 12 p.), ainsi que l’édition Thirouin pour les notes (Nicole,
Traité
de la Comédie, éd. L. Thirouin, Paris, Champion,
es convaincus du mal qu'il y a dans la comédie. » Essais de mor[ale].
Traité
de la coméd[ie]. chap. 10. D. Pourquoi les spect
Rat. Stud. Societ. Jes. Tit. reg. Rect. art. 13. Essais de mor[ale].
Traité
de la coméd[ie]. chap. 10. « Omne quod est in mu
moyens pour le gagner, ou pour lui marquer sa satisfaction, après le
traité
, que de lui donner la comédie. On en fit de même
time, le Prince de Vaudemont. Ce Prince vint à Paris conclure quelque
traité
avec Louis XIII. Le Cardinal de Richelieu fit ren
rance, par des infidélités sans nombre, & des promesses & des
traités
, mais encore par la cession authentique de ses Du
céda certaines places. Il s’en repentit, & refusa d’exécuter son
traité
. Il fut dépossédé par un Prince plus puissant que
artiennent à l’histoire. Voici ce qui appartient au théatre. Quand le
traité
, signé par le Duc, fut porté à Louis XIV, on le t
la comédie. Surtout il composa au commencement du troisième siècle un
traité
complet contre les spectacles qui est un des beau
e cultu fœminarum, de velandis virginibus, il faudrait transcrire ces
traités
en entier ; ils ne sont faits que pour montrer le
se font un mérite et une étude de les imiter. Nous ne parlons pas des
traités
que fit cet Auteur depuis sa chute contre l'impur
oignage suspect ; mais rien ne peut affaiblir ce qu'il a dit dans son
traité
contre les spectacles, que tous les siècles ont a
siècles ont admiré. Nous en allons donner une traduction abrégée.
Traité
de Tertullien contre les Spectacles. « 1.° C
leur père ! Je ne m’arrête pas au mérite de l’Auteur, pour avoir bien
traité
un sujet si épineux ; je ne regarde que le sujet
on est indécis, si on doit plutôt le plaindre que le blâmer. L’amour,
traité
avec cette espèce d’inaction, ne fera jamais une
lus glorieux de ses exploits : c’est ce point historique que Racine a
traité
dans sa Tragédie. On ne s’imaginerait jamais que
6. SIECLE. S. ANASTASE SINAITE PATRIARCHE D'ANTIOCHE, dans le
Traité
de la sacrée Communion. Notre aveuglement est
Analyse et sommaire du présent
Traité
I. Arguments pris de la Matière des Comédies
d’autres. S’il eût vu couronner l’éloge de Moliere, il ne les eût pas
traités
de Cagots. Madame la Marquise du Chatelet, qui av
t, & sur-tout le pieux Prince de Conti, qui a composé un très-bon
Traité
contre la comedie. Quel étrange parallele ! d’un
frages ; d’un côté le Prince de Conti adversaire du théatre, avec son
Traité
; de l’autre le Philosophe de sans souci amateur
rpre, grand Dieu, paroissoient ennoblis. Sans doute il a cru que les
traités
pour & contre dans l’acquisition de la Silesi
pieux, Et Julien passa pour un monstre odieux. Aucun Protestant n’a
traité
si mal S. Basile, S. Gregoire de Nazianze, S. Chr
tières de politique. Il en est dans les bibliothèques une infinité de
traités
; ce siècle plus que d’autres est fertile en Ecri
s.l., 1666, 4°, 7 p.) et, pour les notes, l’édition Thirouin (Nicole,
Traité
de la Comédie, éd. L. Thirouin, Paris, Champion,
eucippé. Encore si dans la Comédie moderne les propos d’amour étaient
traités
avec la même modestie ; ce serait, à la vérité, u
èces de caractère ; mais, en supposant même que ces caractères soient
traités
d’une manière propre à la correction des mœurs, i
I. Occasion et dessein de ce
Traité
: nouvelle Dissertation en faveur de la Comédie.
n tacite de Monseigneur de Paris, et l’air méprisant avec lequel on a
traité
les Rituels dans la Lettre du Théologien ; il reç
stres du Parlement de Paris, où l’on verra comme les Comédiens y sont
traités
; qu’on y trouvera plusieurs Arrêts qui leur défe
ane.» Donner son bien aux Comédiens, c’est un vice énorme. S. August.
Traité
. 100. sur S. Jean. A Paris, Chez Jean Couterot, r
s se défend de la faire imprimer, en disant qu’il se contente d’avoir
traité
la matière des Comédies dans ses Conférences, ave
donne pour nouveaux, ont une certaine analogie avec ceux qu’on à déja
traités
. Les caractères de ses contes moraux ne sont pas
de modes pourrait être une jolie pièce. Le Boucher mérite bien d’être
traité
. Le Chaircuitier ferait un Drame fort agréable. L
e Voltaire ne se fit point un scrupule de donner au Public Œdipe déjà
traité
par le grand Corneille. La Mothe ne se contenta p
rent deux choses avec passion, le pain et les jeux ». On remarque aux
traités
des spectacles, l’honneur que fit Roscius étant T
lui du monde, et vont encore mieux que lui. d. [NDE] Il s’agit du
Traité
des Jeux Comiques et Tragiques, publié à Sedan pa
[NDE] Cette référence confirme que Mlle de Beaulieu se réfère bien au
traité
de Tilenus. Celui-ci invoque en effet, p. 6, le D
aux, sous prétexte d’un bien apparent ? Mais il est temps de finir ce
traité
, et de ne penser plus qu’à gémir, et à prier la b
e rapporte des passages du Livre de Tertullien sur les Spectacles, du
Traité
de Saint Cyprien sur le même sujet, de la quatrie
p; David. On cite encore de Saint Ambroise le premier chapitre de son
Traité
de la fuite du siecle, le troisieme Livre des Con
nétré. En voici quelques exemples. On imprima en 1618, à Barcelone un
Traité
en langue espagnole, où l’on démontre que la fréq
nita’, e da ogni altro eccesso nel recitare. Le résultat de cet ample
Traité
est de prouver qu’il seroit plus sûr & plus u
rement d’un pareil motif. Le P. Ottonelli a épuisé son sujet ; il l’a
traité
dans le plus grand détail & avec la plus vast
le tout y est décidé par les Auteurs les plus respectables. Quant au
Traité
de François Marie del Monacho, qui est aussi à la
rit suivant : Le Théatre François, divisé en trois Livres, où il est
traité
1°. de l’usage de la Comédie ; 2°. des Auteurs qu
eur des Ouvrages que nous allons opposer aux apologies des Théatres.
Traité
de la Comédie. M. Nicole [né à Chartres le 13 Oc
re 1625, & mort à Paris le 16 Novembre 1695], en est l’Auteur. Ce
Traité
se trouve dans le troisieme Tome de ses Essais de
dans le cinquieme Tome de ses Essais de Morale. On sçait que tous ses
Traités
de Morale ont produit des biens innombrables. On
arrache le consentement, & on est bientôt confondu. Le début du
Traité
de la Comédie fait connoître que ce n’est guere q
e est nuisible aux mœurs. Nous allons en réunir ici les indications.
Traité
des Danses, auquel est démontré qu’elles ne doive
en usage parmi les Chrétiens ; par M. Thomas Chesnot, 1574 ; in-12.
Traité
des Danses, auquel est amplement résolue la quest
les maisons particulieres ; par M. Bourdelot, Avocat, 1660 ; in-12.
Traité
contre les Danses & les Comédies, composé par
nse & de la Musique voluptueuse. Voici le titre de cet Ouvrage :
Traité
contre les Danses & les mauvaises Chansons, d
plus grande réputation. Paris, Boudet 1769, & réimprimé en 1771.
Traité
de la Comédie & des Spectacles, par M. le Pri
aveur des Comédiens, s’empêcher de témoigner de la vénération pour ce
Traité
de M. le Prince de Conti 66. Cependant il a essay
rit, pourroit-il respirer le goût du monde » ? Quoi qu’il en soit, ce
Traité
est très-décisif pour la condamnation des Spectac
de sa clémence même. IVe Piece sur la déf. des Duels. Défense du
Traité
de M. le Prince de Conti sur la Comédie & les
é à M. le Prince de Conti, fils de M. le Prince de Conti, l’Auteur du
Traité
contre la Comédie. Cet Ouvrage de M. Voisin est u
çois de Sales, dont on a prétendu se servir en faveur de la Comédie.
Traité
de la Comédie, inséré dans l’Education Chrétienne
te & Bonnet. Cette décision, qui contient 132 pages in-12, est un
Traité
intéressant sur la matiere qui en est l’objet. R
de l’appeller le Matamore de Clugny. M. le Prince de Conti, dans son
Traité
sur la Comédie, convient que Heinsius avoit réuss
ard-Jean Vossius, célebre Ecrivain Protestant mort en 1669, a fait un
Traité
sur l’Art Poétique. Il y demande si l’Histoire Sa
lacette. Amsterdam, 1707. On sçait que cet Auteur est célebre par ses
Traités
de Morale ; & qu’à cet égard on le regarde co
e D. Ramire. On a cru devoir donner ici une partie de cet Extrait. Ce
Traité
de D. Ramire est une réponse à trois questions qu
Roma, 1754. Lo Specchio del disinganno, autore Zucchino Stefani. Ce
Traité
de morale, dit M. l’Abbé Richard 96, dévoile avec
rs 1551, avoit attaqué vivement les Spectacles de son temps, dans son
Traité
de Regno Christi. Cependant ce Ministre, qui étab
y parle dans le premier, de la nécessité qu’il y avoit de publier son
Traité
contre la Comédie, dans un temps où l’on va jusqu
ps sans la profaner. Il cite le sentiment du Jésuite Mariana dans son
Traité
des Spectacles, sur l’indécence de l’usage où l’o
pitre à prouver que la dépravation des mœurs ne justifie que trop son
Traité
». On doit sçavoir autant de gré à M. Dreux du Ra
Docteurs les condamne. Il sçavoit sans doute qu’en 1581, il y eut un
Traité
imprimé contre ces divertissemens dangereux, au n
ur Protestant, Professeur en Théologie à Heidelberg, a donné un petit
Traité
sur les Jeux scéniques, intitulé : de Ludis sceni
r l’épée, & des irrégularités des Théatres. Ce dernier objet est
traité
de maniere qu’on y trouve le Théatre Anglois char
un impie, un mauvais cœur, un fils dénaturé ; & cependant il est
traité
en homme vertueux ; tout lui réussit à son gré, s
commodité de la rime, & par haine pour Quinault, que Despréaux a
traité
de lubrique cette morale. Un sçavant Académicien
fidélité due aux Rois, que sur les Théatres publics. Il y a très-bien
traité
ce dernier objet, non seulement en Ministre de l’
des dangers des Représentations théatrales. Hoc est argumentum rei.
Traité
de la Réformation du Théatre, par Louis Riccoboni
lides Ouvrages des défenseurs modernes de notre Religion, tels que le
Traité
de la Vérité de la Religion Chrétienne, par Groti
ue le Traité de la Vérité de la Religion Chrétienne, par Grotius ; le
Traité
de la Vérité de la Religion Chrétienne & de l
bservation de leurs devoirs ! Il y est ordonné que les Soldats soient
traités
avec la plus grande humanité & la plus grande
s que des Commentaires sur plusieurs Livres de l’Ecriture Sainte ; le
Traité
de l’éducation d’un Prince, les Conférences sur l
ce genre de Musique, asservi aux objets des passions. 188. Dans son
Traité
de l’Education civile. 189. Dans son Traité de l
passions. 188. Dans son Traité de l’Education civile. 189. Dans son
Traité
de l’Education civile. 190. Dans son Sermon sur
ivois, Barnabite, en a donné une traduction Françoise sous ce titre :
Traité
du Bonheur public. Louis-Antoine Muratori, mort e
lisant le bon Ouvrage que nous avons annoncé p. 132, sous le titre de
Traité
contre les Danses, &c. C’est en faisant conno
le introduire une pratique nouvelle, en vous offrant conjointement ce
Traité
, je crois y être fondé en bonne raison. De vrai,
r. Lorsqu’on était sur le point de tirer la dernière feuille de ce
Traité
, Monsieur de Champvernon, très excellent serviteu
si je le laisse aller, et avertis seulement le Lecteur, que cet autre
Traité
a été imprimé à La Haye, chez Théodore Le Maire,
ais pas remarqué qu’il y maniât ce sujet, jusques à ce que ce dernier
Traité
m’en a averti. Ceux qui liront ce qu’il y a couch
les autoriser de ces noms célèbres. Préface Touchant le but de ce
Traité
, avec la division d’icelui. Nous nous proposo
raité, avec la division d’icelui. Nous nous proposons en ce court
Traité
, sous le bon plaisir de Dieu, de tâcher à désabus
ns nous étendre ès exagérations, et amplifications, qui regardent les
Traités
oratoires. CHAP. I. De quels Théâtres il s’agi
les Traités oratoires. CHAP. I. De quels Théâtres il s’agit en ce
Traité
. Sans nous arrêter pour cette heure à la rech
êtée, ce qui le rend dangereux au double. En effet le sujet qui y est
traité
le plus ordinairement : Ce sont des passions d’am
orte que leurs livres en sont tous pleins. Tertullien en a composé un
traité
entierMarg.] Tertullien, De Spectaculis., qui se
c’est tout notoirement celui qui mène en l’Enfer. Conclusion de ce
Traité
. Jusques ici nous croyons avoir satisfait à la
s croyons avoir satisfait à la tâche que nous avions entreprise en ce
Traité
. Car 1. Nous avons montré le mal qu’il y a ès Thé
saiæ “vidi Dominum, etc”. fs FIN. Approbation. L’Auteur de ce
Traité
, a eu des raisons particulières, pour lesquelles
« An possit esse qui spectat integer vel pudicus ? » Dans les fameux
Traités
de bono Pudicitio, de disciplina Virginum, de Ope
s. Il est encore dans toutes les éditions des œuvres de S. Cyprien un
Traité
entier contre les spectacles, que toute l’antiqui
ns l’image des nôtres (L. 6. C. 20. Distinct. Divinat.) ? Après avoir
traité
au long des affections de l’âme et des plaisirs d
attiré la confiance. Ce Saint, entre autres ouvrages, a fait un grand
Traité
de morale sous le titre de Parallèles, où il comp
t, ont fait appeler le maître des Evêques, S. Salvien a fait un grand
traité
de gubernat. Mundi, pour justifier la providence
tre pas obligé d’expliquer souvent les termes dont on se sert dans ce
traité
, il est nécessaire de donner d’abord une idée des
contrefaire toute sorte de choses se nommaient Pantomimes. Lucien au
Traité
de la Danse donne ce nom aux Danseurs de Ballet,
sur le Théâtre, et ayant pris Gélasin ils le lapidèrent. Ainsi furent
traités
les Comédiens avec plus ou moins d’infamie durant
rbis. » Scaliger, M. d’Aubignac, M. Despréaux, et les autres qui ont
traité
depuis peu des pratiques du Théâtre, ont-ils donn
Conti, qui a fait éclater son zèle contre la Tragédie moderne par le
traité
qu’il en a fait, aurait peut-être souffert l’anci
t profanes que sacrés depuis Auguste jusqu’à Justinien. Après avait
traité
historiquement de ce qui regarde les spectacles d
r aux spectacles et ce fut ce qui engagea Tertullien à en composer un
Traité
qu’on peut placer l’an 200 ; car il est cité dans
mposer un Traité qu’on peut placer l’an 200 ; car il est cité dans le
traité
de Corona militis, fait encore dans le temps de p
ieu seul. Mais pouvait-il dire d’une manière plus précise, et dans ce
traité
et dans celui de l’habit des femmes, que si cela
excommuniés, suppose qu’ils sont infâmes. Mais achevons l’Analyse du
Traité
de Tertullien. En cinquième lieu, le grand scanda
iture n’a pas expressément interdit aux Chrétiens le Théâtre. Tout le
traité
de Tertullien est employé à réfuter ces deux obje
voir au long les raisons dont nous ne faisons ici qu’une Analyse. Ce
traité
a toujours passé pour un des plus beaux de cet Au
ir été à la Comédie et qui mourut cinq jours après. Tertullien fit ce
traité
en Grec et en Latin, et l’on a lieu de croire qu’
e confirma le sentiment de Tertullien dans la Lettre à Donat. Pour le
traité
des spectacles, que le Théologien cite sous le no
en cite sous le nom de Saint Cyprien, on sait depuis longtemps que ce
traité
n’est pas de ce Père. Je ne m’étonne pourtant poi
e chez lui pour le Concile des Apôtres. Page 35. Mais pour revenir au
traité
des spectacles, de quelque Auteur qu’il soit, si
nce, qui est regardé comme le Cicéron des Chrétiens, établit dans son
traité
du vrai culte L. 6. Instit[utiones]. c. 20. [Divi
1172, ne manqua pas d’en montrer les pernicieuses suites dans le beau
Traité
qu’il composa des vains amusements de la Cour. C’
r celui de Reims en la même année au Canon 29. Saint Charles, dans le
Traité
qu’il fit composer contre les danses et la Comédi
dans la pratique, ils veulent qu’on les traite comme les ont toujours
traités
les Conciles dans tous les siècles, et les Rituel
es sortes de divertissements. VIII. Des Auteurs de ce siècle, qui ont
traité
la question des divertissements comiques, princip
Théâtres, et parle de plusieurs Auteurs habiles de sa nation, qui ont
traité
la même matière. « Plural etiam congerunt, dit-il
lement Chrétienne, éloquente et persuasive. XI. Conclusion de tout ce
Traité
Il s’ensuit de tout ce que nous avons dit, 1°. Qu
qui vous satisfera, si vous vous donnez la peine de lire le quatrième
Traité
du Monarque, Discours 7. Quelque grâce et quelque
encore l’endroit qui m’a fait dire que saint Charles fit composer le
Traité
contre les Danses et la Comédie. C’est de la Vie
trouve pas dans Giuffano. On voit au 4. de Novembre page 115. que le
Traité
dont il s’agit fut composé par un des Domestiques
[ue] du Théâtre. pag. 499 Pag. 509. Pag. 244. 304. [NDE 1731] On a
traité
encore plus sévèrement la célèbre le Couvreur, mo
sieur de la Colombiere est plein de ces divertissemens, & il en a
traité
avec toute l’intelligence, & toute l’exactitu
tent Hélene ! « Communément jusqu’à l’age de dix ans, dit Riccoboni (
Traité
de la réformat. du théatr.), les enfans sont bien
rages ; il engagea le célebre Pere Concina, Dominicain, à composer un
Traité
latin contre les spectacles, qui fut imprimé à Ro
; & Saint Cyprien, comme un lieu d’apostasie. Tertulien a fait un
Traité
contre tous les Spectacles. Dans presque tous les
m in aliquo spectaculo desidere. Epist. ad Lucil. 3. Préface de son
Traité
de la réformation du Théatre. 4. Le grand Bossue
uvelle dérision. Le sujet de cette Comédie, et la manière dont il est
traité
, sont détestables. Il est vrai que l’Athée y est
Pédagogue ch. 11. Saint Cyprien dans son Epître à Donat, et dans son
traité
des spectacles. Minutius Felix, et Saint Chrysost
e, chapitre VIII, verset 5]. e. [NDE] Nicole, « De la Comédie », in
Traité
de la comédie (1ère version) = Les Visionnaires,
atte par le plaisir des yeux et des oreilles. Voir l’annotation au 4.
traité
qui est, que les Idoles, ne sont point dieux.Romu
l’Eglise, de quoi les hérétiques se moquent. Voir l’annotation au 4.
traité
qui est, que les Idoles, ne sont point dieux. Gra
sents dans cette phrase, et généralement ailleurs dans ce texte, sont
traités
comme des adjectifs. d. [NDE] écoulée = oubliée
fants) je vous ferais voir que tout ce que S. Cyprien, ou l’auteur du
traité
des spectacles, qui est entre ses ouvrages ; tout
a communié, et en y portant, pour ainsi dire, l’Eucharistie L’Aut. du
Traité
des spectacles parmi les œuvres de S. Cyprien. e
Chap. 29. Chap. 22. Chap. 23. Chap. 25. Chap. 25. Ibid. L’Aut. du
Traité
des spectacles parmi les œuvres de S. Cyprien. G
it dieu du soleil. Vois Macro[be] li. 1. Satur[nales]. c. 20. Vois le
Traité
de Isis et Osiris en Plut[arque] [Traité des Mora
Satur[nales]. c. 20. Vois le Traité de Isis et Osiris en Plut[arque] [
Traité
des Moralia] où ceci est amplement déchiffré. et
it dieu du soleil. Vois Macro[be] li. 1. Satur[nales]. c. 20. Vois le
Traité
de Isis et Osiris en Plut[arque] [Traité des Mora
Satur[nales]. c. 20. Vois le Traité de Isis et Osiris en Plut[arque] [
Traité
des Moralia] où ceci est amplement déchiffré. Dio
à son Jeu & à son dessein. Par exemple, le ravissement d’Helene,
traité
en Carosel, fera paroistre ces Amants dans un Cha
s de grands Auteurs que de grands Comédiens. Malgré cela, ils ont été
traités
très-durement par quelques-unes de nos Loix. [
candale causé par cette Lettre, je ne crus plus nécessaire ce présent
Traité
, qui avait été fait dès auparavant. Etant d’aille
érard, op. cit, pp. 121-122. Gèrard cite ici la préface de Riccoboni,
Traité
de la réformation du théâtre. ar. [NDE], Gérard,
i précise, si étendue, si développée ; plusieurs même en ont fait des
traités
exprès, comme Tertullien & S. Cyprien ; d’aut
ntre Jovin. St. Augustin L. 2 de ses confessions C. 3. & dans son
traité
de la cité de Dieu L. 6. C. 7. &c. &c. No
l’Eglise Gallicane, dont les Evêques firent imprimer en leur nom, un
traité
contre les spectacles en 1581. Est-il un fait mie
ie en 1715. Cet Académicien , ajoute-t il, est Auteur d’un excellent
traité
de l’Éducation des filles. tom. X pag 340. 341. 3
filles. tom. X pag 340. 341. 342. Or, que lit-on au chapitre 13 de ce
traité
? le voici : Les Comédies corrompent les bonnes
s qu’a regarder ces objets dangéreux ? &c. » Tertullien, dans son
traité
contre les spectacles, au chap. 22. 27. St. Cypri
ais encore d’en avoir fait ; & à ce dernier égard, vous nous avez
traités
comme ces animaux expirans, qu’on acheve dans leu
uter à celles de M. Rousseau, et de tant d’autres 1 qui avant lui ont
traité
cette matière, et dans quelques remarques que je
s remettre sous les yeux ces excellentes répliques que présentent les
Traités
connus sur cette matière, je me borne à une simpl
. Qu’on nous oppose donc maintenant, si l’on veut, avec le Théologien
traité
d’illustre par sa qualité et son mérite dans le R
emps d’Eschyle par un Peintre nommé Agatharcus, qui en laissa même un
Traité
. Parmi les Décorations Théâtrales, les unes sont
t des leçons très dangereuses sur un point qui ne devrait jamais être
traité
devant les jeunes gens, et moins encore sur le Th
sur les joues, sur les épaules ; que sais-je ? c’est la matiere d’un
traité
immense, & le travail d’un ouvrier habile, qu
nconnue dans toutes les liturgies Orientales. Le P. le Brun, dans son
Traité
des Cérémonies de la Messe, fait la description &
on les multiplie souvent à l’exces. Le vertueux S. Charles, dans son
Traité
des Eglises, des Fabriques, des Sacristies, entre
onnent leur robe aux jeux des zephirs. La queue est un grand objet de
traité
de paix entre les nations belligérantes Hausser,
nêtes, ne sont pas moins que les autres de mauvais exemple ; ils sont
traités
sur la scène sans bienséance, & en dépit des
fait que nous amuser par des intrigues, encore si ces amours étoient
traités
chastement, comme ceux de Théagène & Cariclée
a été la dupe de la droiture du cœur. M. l’Abbé de Besplas, dans son
Traité
du bonheur public, parle beaucoup de la réforme d
en conservé que dans les Plaideurs. Malheureusement il y a de l’amour
traité
de façon à faire de mauvaises impressions. Pour y
re leurs intentions suspectes. Il prétend que « Nicole ne composa son
traité
que pour se venger du grand Corneille, qui se déc
ette comédie est très pernicieuse, le sujet et la manière dont il est
traité
sont détestables ; elle est remplie d’obscénités
le théâtre. Plusieurs Auteurs en ont parlé au long, et même fait des
traités
exprès. Danéus, célèbre et habile Protestant (Eth
e chose. Voetius (de excess. mundi, 6. command.) en fait un fort long
traité
. Vincent, Ministre de la Rochelle, a fait approuv
e cet ouvrage. Gregorius Tholosanus, Jurisconsulte célèbre, a fait un
traité
contre les spectacles. (Syntagma Juris L. 39. C.
on, son habileté, ses vertus et ses malheurs, a composé une espèce de
traité
contre la comédie, dans son savant commentaire su
la police du théâtre, on en trouvera beaucoup d’articles dans le beau
traité
du Commissaire Lamarre (Tom. 1. L. 3.), où il par
de Police, pour le règlement des spectacles, que l’on trouve dans le
Traité
de la Police de Lamarre, et cités en divers endro
sions les plus dangereuses ». Et c’est ce qui l’obligea de publier un
traité
exprés qu’il composa lui-même Contre les danses &
pas séantes ou permises ni aux Laïques ni aux Ecclesiastiques. a.
Traité
contre les Danses & les Comédies. a. Des bie
ravail, en Espagnol, Discours 6. b. Respons. Moral. l. 5. q. 11. c.
Traité
de la Comédie & des Spectacles. d. Défence d
11. c. Traité de la Comédie & des Spectacles. d. Défence de ce
Traité
. e. Traité de la Comédie. f. Traité de la Coméd
ité de la Comédie & des Spectacles. d. Défence de ce Traité. e.
Traité
de la Comédie. f. Traité de la Comédie. g. In
s Spectacles. d. Défence de ce Traité. e. Traité de la Comédie. f.
Traité
de la Comédie. g. In Solon vit. h. De gloria
u’en disent Clément Alexandrin, S. Ambroise, et S. Augustin en divers
traités
: il y a encore Tertullien et S. Cyprien, Cyprien
t des gens sans honneur. Les Princes séculiers les ont-ils ainsi mal
traités
? Il y paraît par ce que l’Empereur Théodose L.
uniant les Comédiens, et en tolérant ceux qui vont aux spectacles. Le
Traité
suivant en forme de Discours n’a été composé que
5. [NDA] Du Cange Dissert[ation] 7. sur Joinville p. 166. 6. [NDA]
Traité
des Chevaliers de la Table ronde. 7. [NDA] Henr
t glisser dans l'âme par les yeux et par les oreilles : ils n'ont pas
traité
de la même sorte la représentation des Poèmes Dra
12. SIECLE. SAINT BERNARD Dans le
Traité
de la conversion des Mœurs, Chap. II. Quant à
damnation des théâtres, p. 249 et 250) et Jos. de Voisin, (Défense du
traité
de Monseigneur le prince de Conti, p. 363 et suiv
rniere piéce, les Pelopides ou Atrée & Theste, sujet heureusement
traité
par Crebillon, & mieux que par Voltaire ; cet
décadence du goût sur le théatre, dont le détail forme une espece de
traité
de l’art dramatique, l’auteur en rapporte deux qu
a plus sombre pour tous ceux qui ne suivent point le soleil. Tous les
traités
de l’art dramatique doivent se borner à déveloper
ochin, & dans toutes les siences, par des tables méthodiques, des
traités
: ainsi se formoient les auteurs dramatiques, par
rs ouvrages, commencent par donner des regles sur le genre qu’ils ont
traité
: ces regles auxquelles leurs écrits ne peuvent m
ens que le Monde. Je n’adopte point l’opinion des Auteurs qui ont
traité
de la Comédie ; voici comme ils racontent son ori
e plus ancienne que la Comédie. Il était naturel que ceux qui ont
traité
de l’origine de la Comédie se trompassent, &
ouveau de Spectacle qu’on se fait une gloire d’estimer, mérite d’être
traité
comme les autres Théâtres. Il est trop précieux à
Traité
de la comédie et des spectacles La critique ord
pelle Pastorale: je laisse la dérivation de leurs noms à ceux qui ont
traité
de la Poétique, on la peut voir dans Jules-César
accomplissement de toute la Loi Chrétienne. Ne voyez-vous pas l'amour
traité
de cette manière si impie dans les plus belles Tr
., vol. 1, p. 67, qui renvoie à cette lettre. bs. [NDE] Il s’agit du
Traité
de la Comédie et des spectacles (1666).Voir le si
ces derniers siècles. Mais que direz-vous de S. Charles qui a fait un
Traité
exprès contre les danses pour en détourner les Ch
ute, l’une des choses qui font perdre le plus de temps. Mais comme le
Traité
qui suit celui-ci ne doit avoir que ce seul sujet
a dans la Méthode de la Réformation, que je donnerai à la suite de ce
Traité
. 5. [NDA] Histoire du Théâtre Italien. Paris 17
assé que du choix : mais commençons. 36Denis d’Halicarnasse dans son
Traité
de l’arrangement des mots, dit qu’il y a trois ca
une diction enflée & trop recherchée. » Longin dans son éxcellent
Traité
du sublime, s’est beaucoup élevé contre le stile
éral, dans la plus-part de nos Opéras, le Français n’est guères mieux
traité
que la justesse des pensées & que la raison.
de la France. Philippe le Bel fit jouer Boniface VIII ; après l’avoir
traité
de fat dans ses lettres, il le tourna en ridicule
gmatique sanction, etc. (Menagiana, Tom. 7.). Il fut joué lui-même et
traité
d’avare. Il ne faisait qu’en rire, pourvu qu’on n
te historiette est dans le goût de celles de M. Cahusac, qui dans son
Traité
de la Danse, nous apprend que le Concile de Trent
Parallèle du Poème épique avec les Pièces du nouveau genre. J’ ai
traité
de tout ce qui concerne le Drame du nouveau Théât
de suppléer à leur défaut par leur zèle et par leur autorité. Fin du
Traité
de saint Charles. Exemplum affertur ex C. Anim
ur de la premiere, dans les ouvrages sérieux ; c’est-à-dire, dans les
traités
de sciences ou d’arts ; parce qu’on y cherche que
ent ont, pour ceux-là, un mérite égal à celui qu’ont pour ceux-ci des
traités
de sciences. Il s’ensuit encore que ce n’est pas
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