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1 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « HISTOIRE DES OUVRAGES. Qui ont paru pour et contre la Comédie, depuis le 17e Siècle. » pp. 161-175
x ouvrages d’Hédelin ne furent pas sans réponse : on donna en 1659 un Traité contre la Comédie, qui se trouve dans le troisièm
ans le troisième volume des Essais de Morale ; et on peut regarder ce Traité comme une réponse ; car quoique l’Auteur n’y nomm
’Hédelin pour la soutenir en France. On a parlé plus haut de quelques Traités faits en Italie contre les Spectacles. En 1657, l
ordre, peu de mois avant sa mort, à M. de Voisin de faire imprimer ce Traité , ce que ce Docteur exécuta en 1666, à Paris, chez
dont on crut Hédelin encore l’auteur. M. de Voisin voulut défendre le Traité de M. le Prince de Conti contre la Comédie qu’il
solides que l’on puisse désirer. Cet ouvrage a pour titre, Défense du Traité de M. le Prince de Conti touchant la Comédie, ou
iture et les instructions des saints Pères de l’Eglise, avec un petit Traité contre les chansons mondaines, qui sont d’autant
u P. Le Brun sur les Spectacles, intitulé Discours sur la Comédie, ou Traité historique et dogmatique des Jeux de Théâtre, et
de Saint Victor, qui cite entre autres ce passage de saint Augustin, traité 100. sur saint Jean : Donner son bien aux Comédie
e Brun les a rapportés et détaillés ; on peut là-dessus consulter son Traité . Mais comme on ne trouve pas qu’il ait indiqué gé
son livre des Spectacles, chap. 4. 25. et 27. Saint Cyprien, dans son Traité des Spectacles. Saint Basile, dans son Tome IV. s
ül, et dans l’homélie 38 sur saint Matthieu. Saint Ambroise, dans son Traité de la Fuite du siècle, chap. 1er. Saint Augustin,
ntre les Spectacles, du 8 Septembre 1708, qui est imprimé à la fin du Traité du P. Le Brun. Depuis la Lettre du P. Caffaro, si
2 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PREFACE CONTENANT L’HISTOIRE DU DIX-SEPTIEME SIECLE, SUR LA COMÉDIE. » pp. -
rages d’Hédelin ne furent pas sans Réponse ; car on donna en 1659. un Traité contre la Comédie, qui se trouve dans le troisièm
dans le troisième Volume des Essais de Morale, et on peut regarder ce Traité comme une Réponse ; car quoique l’Auteur n’y nomm
re, peu de mois avant son décès, à M. de Voisin, de faire imprimer ce Traité  ; ce que ce Docteur exécuta en 1666. Le public fu
lin était encore l’Auteur. M. de Voisin se crut obligé de défendre le Traité de Monsieur le Prince de Conti contre la Comédie,
solides que l’on puisse désirer. Cet Ouvrage a pour titre, Défense du Traité de M. le Prince de Conti, touchant la Comédie, Ou
iture et les Instructions des saints Pères de l’Eglise, avec un petit traité contre les Chansons. Monsieur l’Abbé Fleury a aus
on a vu plusieurs Ouvrages contre cette Lettre. Il y a eu deux autres Traités faits en ce siècle contre la Comédie, savoir celu
3 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IV. Du Conquérant de Sans-souci. » pp. 88-120
esar déploya ses grandes vues ; à force de violence, de surprises, de traités faits & rompus, de paroles données & manq
que Sans souci après avoir acheté cherement le titre de Roi, signa un traité à Hanovre, le 3 septembre 1725, avec la France &a
, la Czarine, le Roi d’Espagne ; mais il joue la comédie, il tient le traité caché, fait semblant de persister dans l’alliance
réussirent ni à l’un ni a l’autre. Ce Machiavélisme est excusable. Le traité contre Machiavel n’avoit pas encore paru. Comme l
ns & les plus odieuses, est sur-tout remarquable par une foule de traités pour & contre de ce fameux adversaire du Mach
p; peu d’acteurs sur le Théatre qui aient joué tant de rôles, En 1741 traité avec la Baviere, la France & la Pologne, cont
iere, la France & la Pologne, contre la Reine de Hongrie. En 1742 traité avec la Reine de Hongrie, contre la Pologne, la F
vec la Reine de Hongrie, contre la Pologne, la France, la Baviere. Ce traité fût tenu caché comme celui de son pere. L’acteur
er de part & d’autre. On espéroit de grands avantages de tous les traités qui ne servoient qu’à montrer la mauvaise foi. P
écrivit en ces termes : Je viens d’apprendre qu’il est question d’un traité de normalité pour l’Electorat d’Hanovre. Auriez-v
emens que la Prussienne. Le Monarque Britannique, après avoir fait un traité fait avec la France, corrompt ses alliés par des
soient une ancienne dépendance de leurs Royaumes, & que tous les traités passés avec la Pologne n’ont pu détruire ; je me
à la gauche du Roi dans les diettes & les assemblées, &c. Ce traité fut observé pendant soixante ans. Cette clause de
religion, & terminé de même dans les Diettes de l’Empire & le traité de Vestphalie. Ce traité à mi-parti le Christiani
e même dans les Diettes de l’Empire & le traité de Vestphalie. Ce traité à mi-parti le Christianisme en Allemagne. Le rest
résens à la Cour de Rodolphe, l’a fait ériger en Royaume. Dans divers traités avec la Pologne où elle a reconnu ses droits, ell
-delà des bornes qu’elle-même a fait semblant de se prescrire dans le traité de démembrement que la violence a arraché à la Ré
ique, ni dans ses drames. Un Philosophe Sans-souci se soucie-t-il des traités , de la bonne foi, de la justice, de la religion.
ire que c’est une injustice, & craindre l’enfer. Y a-t-il quelque traité à faire, si nous nous souvenons seulement que nou
rapprocher & concilier toutes les sectes, avoit fait composer un Traité où l’on prenoit & retranchoit quelque chose d
oit toutes, pour en venir à ce mélange. Ce projet ne réussit pas ; ce Traité fut méprisé de toutes, chacune persista dans son
Royaume de Pologne, dont il a usurpé plusieurs provinces, malgré les traités  ; la ville de Dantzick, dont il a détruit le comm
-peu philosophe de l’infidélité à ses paroles, de la violation de ses traité & de ses alliances, en déclarant la guerre, t
sprit qui rédige mes idées. Vous avez vu avec quelle distinction j’ai traité d’Alembert : vous en avez été surpris. Vous ne sa
4 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « TABLE DES CHAPITRES ET DES SECTIONS. »
ges Italiens du Père Ottonelli Jésuite Italien. page 31. Section iii. Traité contre la Comédie, qui se trouve dans le 3eme Vol
3eme Volume des Essais de Morale. page 38.   CHAPITRE III. Section i. Traité de Monsieur le Prince de Conti, de la Comédie et
n sur la condamnation des Spectacles. page 60 Section iii. Défense du Traité de M. le Prince de Conti, par M. de Voisin. page
le Prince de Conti, par M. de Voisin. page 62. Section iv. Extrait du Traité contre la Comédie, qui se trouve dans L’Education
5 (2019) Haine du théâtre: Bibliographie France (traités, pamphlets, documents, etc.)
N.-B. Sont inclus les traductions ou adaptations françaises de traités et pamphlets étrangers (au nom de l’auteur et éve
Saillant et Nyon, Dessaint, 1771 [4e éd.]. L. Thirouin, éd. = Nicole, Traité de la comédie et autres pièces d’un procès du thé
es, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 2010, 2 vol. Traités , pamphlets, textes littéraires Anonyme, Car
lettre. Cf. Journal des savans, 25 janvier 1700, p. 70. Bosquet, Traité contre les danses et les comédies, 1664 • Bosq
les danses et les comédies, 1664 • Bosquet, François (1605-1676) : Traité contre les danses et les comédies composé par sai
DF : Google. Corpus OBVIL.   N.-B. Traduction de l’édition latine du traité de saint Charles Borromée, qu’il avait édité : C
cclesiae Principi Jacobo Benigno Bossuet, s. d. [1694]. Bossuet, Traité de la concupiscence, éd. 1731 • Bossuet, Jacqu
a concupiscence, éd. 1731 • Bossuet, Jacques-Bénigne (1627-1704) : Traité de la concupiscence ou exposition de ces paroles
oncupiscence, Paris, Barthélemy Alix, 1731, 155 p. ff. 218 p. ff. (2e  traité = pagination séparée). [Nombreuses rééditions.] P
hat, Paris, Louis Vivès, 1862, vol. vii, p. 412-484. PDF : Gallica. • Traité de la concupiscence, texte présenté et établi par
(1625-1721) : Le Théâtre françois, divisé en trois livres, où il est traité  : I. de l’Usage de la comédie ; II. des Auteurs q
662, (4 ff.) 82 p. PDF : Google.   Traduction française • Bosquet , Traité contre les danses et les comédies, 1664. Cha
« Comedie » du Dictionnaire des cas de conscience, 1736. Conti, Traité de la Comédie et des spectacles, 1666 • Conti,
ctacles, 1666 • Conti, Armand de Bourbon (1629-1666 ; prince de) : Traité de la Comédie et des spectacles. Selon la traditi
oma, per A. Fulgoni, 1753, 80 p. N.-B. Voir Voisin , La Défense du traité de Mgr le Prince de Conti, 1671. Cordier, La
845 • Debreyne, Pierre Jean Corneille (1786-1867), Moechialogie ou Traité des Péchés contre les Sixième et Neuvième Command
rléans et Paris, Louis Josse, 1697. • Anonyme [Pierre Nicole], « XIV. Traité . Pensées sur les Spectacles », p. 345-356, in Ess
ur les Spectacles », p. 345-356, in Essais de morale contenant divers traités sur differens sujets, cinquième volume, Paris, Gu
J. Lecoffre, 2 vol. in-8°, t. I, xii-580 p. PDF : Gallica. → Texte : Traité du Décalogue, 6e partie, chap. Ier : « Des péchés
, Paris, 1865, t. I, xii-580 p. PDF : Google. Corpus OBVIL. → Texte : Traité du Décalogue, 6e partie, chap. Ier : « Des péchés
ustification des lumières du dix-huitième siècle. Pour faire suite au Traité des Causes de l’Indigence et de l’Immoralité,et m
m, Paris, Lacombe, 1767, LII-540 p. (1 f.). PDF : Google. Jurieu, Traité de la dévotion, 1675 • Jurieu, Pierre (1637-17
Jurieu, Traité de la dévotion, 1675 • Jurieu, Pierre (1637-1713) : Traité de la dévotion, Quevilly, Jean Lucas, 1675, in-12
697, in-12, (1 f) 114 p. (3 ff.de table). PDF : Google. La Mare, Traité de la police, 1705 • La Mare, Nicolas de (1639
are, Traité de la police, 1705 • La Mare, Nicolas de (1639-1723) : Traité de la police, où l’on trouvera l’histoire de son
de (1639-1718) : Réflexions chrétiennes sur divers sujets. Où il est traité . I. De la Sécurité. II. Du bien et du mal qu’il y
VIL.   Réédition • 2e édition augmentée : Discours sur la Comédie ou Traité Historique et Dogmatique des Jeux de Théâtre &
onde Edition augmentée de plus de la moitiéDiscours sur la comédie ou traité historique et dogmatique des Jeux de théâtre […]
ouis Racine, Remarques sur les tragédies de Jean Racine, suivies d’un Traité sur la poésie dramatique ancienne et moderne, t. 
ottin, 1755-1759, 13 vol. → Texte : « Spectacles » [= 91e et dernier traité ], t. XII (Paris, Auguste-Martin Lottin, 1757), p.
stacle du salut. Les spectacles publiques », p. 286-325. Nicole, Traité de la comédie, 1667 et 1675 • Nicole, Pierre (
Traité de la comédie, 1667 et 1675 • Nicole, Pierre (1625-1695) : Traité de la comédie, 2 versions successives :   1) « L’
Adolphe Beyers, 1667, in-12, vol. 2, 495 p. (→ Texte : 1re version du Traité de la Comédie, vol. 2, p. 452-495). PDF : Google.
evue et corrigée, 1714, in-12, tables + 340 p. (→ Texte : « Quatrième Traité . De la Comedie », p. 201-246). PDF : Google. • Éd
e Traité. De la Comedie », p. 201-246). PDF : Google. • Éd. moderne : Traité de la comédie ; présenté par Georges Couton, Pari
Boileau sur la comédie, voir Boileau-Despréaux . Racine, Louis, Traité sur la poésie dramatique, 1752 • Racine, Louis
raité sur la poésie dramatique, 1752 • Racine, Louis (1692-1763) : Traité sur la poésie dramatique ancienne et moderne, in
moderne, in Remarques sur les tragédies de Jean Racine, suivies d’un Traité sur la poésie dramatique ancienne et moderne, Ams
3 vol. ; t. III, (1 f.) 415 p. PDF : Google. Corpus OBVIL. → Texte : Traité au tome III, p. 1-390 [= totalité du volume, sauf
• 3e éd. : Paris, A. Perier, 1611, in-8º, 53 p. PDF : Google. N.-B. Traité contre les déguisements, mascarades et spectacles
1, in-4º, [34]-514-[2] p. PDF : Gallica. Corpus OBVIL. → Textes : 4e  traité , « Des devoirs du Roi envers soy-mesme » (p. 183-
section, « Des mœurs des héros », t. I, p. 143-262. Tertullien, Traité contre les spectacles, éd. 1733 • Tertullien (
Traité contre les spectacles, éd. 1733 • Tertullien (150?-220?) : Traité contre les spectacles [=De spectaculis] trad. fr.
tacles [=De spectaculis] trad. fr. de Mathieu Caubère, p. 143-261, in Traités de Tertullien sur l’ornement des femmes, les spec
p. + table. PDF : Google. Corpus OBVIL.   N.-B. L’ouvrage comprend : Traité du bateme, p. 1-88 ; Traité de l’ornement des fem
rpus OBVIL.   N.-B. L’ouvrage comprend : Traité du bateme, p. 1-88 ; Traité de l’ornement des femmes, p. 89-142 ; Traité cont
ité du bateme, p. 1-88 ; Traité de l’ornement des femmes, p. 89-142 ; Traité contre les spectacles, p. 143-261, avec les Remar
; Traité contre les spectacles, p. 143-261, avec les Remarques sur le traité contre les spectacles, p. 247-261 ; Traité de la
avec les Remarques sur le traité contre les spectacles, p. 247-261 ; Traité de la patience, p. 262-345 ; Epitre aux Martyrs,
e, p. 262-345 ; Epitre aux Martyrs, p. 346-377 ; tables. Thiers, Traité des jeux et des divertissements, 1686 • Thiers
ivertissements, 1686 • Thiers, Jean-Baptiste (1636-1703 ; abbé) : Traité des jeux et des divertissements qui peuvent être
bouffonneries et autres Marionnettes […] », p. 299-346. Tilenus, Traité des jeux comiques et tragiques, 1600 • [Tilenu
jeux comiques et tragiques, 1600 • [Tilenus, Daniel (1563-1633)] : Traité des jeux comiques et tragiques, contenant instruc
585-1643, Genève Droz, 1985, p. 101) mentionne un exemplaire à Caen : Traité des Jeux Comiques et Tragiques. Contenant instruc
ppin, 1647, in-8º, viii-72 p. Corpus OBVIL. Voisin, La Défense du traité de Mgr le Prince de Conti, 1671 • Voisin, Jose
e Conti, 1671 • Voisin, Joseph (1610?-1685 ; abbé) : La Défense du traité de Mgr le Prince de Conti touchant la comédie et
Billaine, 1671, in-8º, xl-491 p. PDF : Google. N.-B. Voir Conti , Traité de la Comédie et des spectacles, 1666. Volta
III », p. 511-519.   N.-B. Ouvrage divisé en 4 tomes : I. Où il est traité des devoirs de l’homme en la vie particulière et
1). N.-B. Le texte est donné par l’abbé Joseph Voisin , Défense du traité de Mgr le Prince de Conti touchant la comédie et
1771, 1re partie, p. 618-619. Ouvrages ultérieurs Simonet, Traité de la police administrative des théâtres, 1850
olice administrative des théâtres, 1850 • Simonet, Claude-Hubert : Traité de la police administrative des théâtres de la vi
6 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — TROISIEME PARTIE. Des obstacles qui s’opposent parmi nous à la perfection de la Comédie. » pp. 57-75
choses que de mots, c’est-à-dire, où les vices & les vertus sont traités le plus à fond, sont aussi suivies que des Comédi
nt comme une espece de honte de travailler sur des sujets qui ont été traités . Quant à l’opinion où sont nos Auteurs, que la Co
nt comme une espece de honte de travailler sur des sujets qui ont été traités  : l’amour-propre est la cause de ce préjugé ; on
uit un très-grand mal, en ce qu’elle empêche que les sujets ne soient traités sous toutes les faces possibles. Tel qui a bien c
’il est vrai que les principaux sujets propres à la Comédie ayent été traités , & si nos Auteurs se font un scrupule d’y tra
oin de mériter du blâme pour avoir fait une Comédie sur un sujet déjà traité , ils auroient la gloire au-contraire d’avoir su t
7 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TRAITÉ. DE LA POËSIE. DRAMATIQUE. ANCIENNE ET MODERNE. Plan de ce Traité. » pp. 5-7
TRAITÉ DE LA POËSIE DRAMATIQUE ANCIENNE ET MODERNE. Plan
TRAITÉ DE LA POËSIE DRAMATIQUE ANCIENNE ET MODERNE. Plan de ce Traité . Le Poëte François dont j’ai examiné les Ouvra
dans la Tragédie ? Je ne ferai que proposer cette Question. Ce petit Traité où il est si souvent parlé du Théâtre des Anciens
8 (1768) Observations sur la nécessité de la réforme du Théatre [Des Causes du bonheur public] «  Observations sur la nécessité de la réforme du Théâtre. » pp. 367-379
suet lui-même, il excluroit les plaisirs les plus innocents. Nicole a traité le même Sujet, & de la même maniere. Il a com
s compatible avec les jeux du Théâtre ; telle est la substance de son Traité **. Je ne m’arrête point à l’Ouvrage du Prince de
de Conti, il défend le même sentiment*. Il a ajouté à la suite de son Traité , la Tradition de l’Église & des Peres, en sui
Dans une nouvelle édition, Paris 1767, on a mis à la suite, un petit Traité sur les moyens de rendre la Comédie utile aux mœu
to. 2. in-12. pag. 251-354. **. V. T. 3. des Essais de Morale 4e. Traité , pag. 217-265. *. Traité de la Com. & des
**. V. T. 3. des Essais de Morale 4e. Traité, pag. 217-265. *. Traité de la Com. & des Spect. Paris, 1667. **. D
9 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — Avertissement » pp. 72-80
qu'il n'y a rien dans toute la doctrine des mœurs que les Pères aient traité plus à fond, ni où ils se soient mieux précaution
e aux Chrétiens ; mais surtout dans les chapitres 28, 29 et 30 de son traité contre les spectacles, il établit merveilleusemen
, et pour ouïr chanter ses louanges. Saint Ambroise Saint Ambroise au Traité de la suite du siècle, et sur le 37 verset du Psa
ns l'Epistola Ad Donatum. Chap. 12 des Spectaculis. Saint Ambroise au Traité de la suite du siècle, et sur le 37 verset du Psa
10 (1675) Lettre CII « Lettre CII. Sur une critique de son écrit contre la Comédie » pp. 317-322
7 et 1675, puisqu’elle est manifestement antérieure à la réédition du Traité de la comédie (1675). Elle fut publiée en 1715 da
ez, 1733, p. 317-322) et, pour les notes, l’édition Thirouin (Nicole, Traité de la Comédie, éd. L. Thirouin, Paris, Champion,
ces deux vers ne peuvent pas être les vers cités par Nicole dans son Traité de la Comédie, puisque le personnage « piqué de j
nage « piqué de jalousie » doit être le Comte et que les citations du Traité ne sont pas prononcées par ce personnage. Pour lu
11 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] TRAITÉ DES JEUX COMIQUES ET TRAGIQUES. CONTENANT INS
büttel. Merci à Marie-Thérèse Mourey qui a trouvé cet exemplaire d’un traité jusqu’ici inconnu. Nous avons respecté la ponctua
12 (1772) Spectacles [article du Dictionnaire des sciences ecclésiastiques] « Spectacles. » pp. 150-153
, des sentimens des souverains Pontifes touchant les théâtres, que le traité latin des spectacles, imprimé à Rome en 1752, par
ain. Ce savant Religieux nous apprend trois choses dans cet excellent traité . La premiere, qu’il l’a composé à la persuasion d
es Borromée, dans ses instructions pour les Confesseurs ; M. Bossuet, traité de la comédie ; M. Nicole, traité de la comédie ;
pour les Confesseurs ; M. Bossuet, traité de la comédie ; M. Nicole, traité de la comédie ; Mgr. le Prince de Conti, traité d
comédie ; M. Nicole, traité de la comédie ; Mgr. le Prince de Conti, traité de la comédie ; Le Pere le Brun, de l’Oratoire, t
ince de Conti, traité de la comédie ; Le Pere le Brun, de l’Oratoire, traité de la comédie ; M. Dupin, biblioth. eccl. dix-sep
. Pontas, de Lamet & Fromageau, au mot Comédie ; le Pere Concina, traité latin des spectacles ; lettre de M. DES P. DEB. A
13 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Avertissement. » pp. -
e plus à lire ou à entendre une bonne piéce, qu’à étudier le meilleur traité d’éloquence. Les vrais génies ont moins besoin d’
me paroissent de la derniere évidence, la littérature est innondée de traités sur les principes. Il n’y a guère d’année où on n
aux plus célèbres Poétes ; cette rare découverte mérite bien un long traité , & on nous en fera un présent. Le même Auteur
ié & la terreur. L’Auteur peut donc se dispenser de travailler au traité qu’il nous a promis, à moins qu’il ne nous prouve
14 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre prémier. Déssein de cet Ouvrage. » pp. 2-7
quelque chose à désirer, malgré le grand nombre de volumes où il est traité des règles dramatiques. On a lieu d’être surpris
ue à notre Littérature, & qu’on lui souhaite depuis long tems. Le Traité de l’Art du Théâtre, que je présente au Public, e
int de s’égarer en adoptant mes principes ; les Grands-Hommes qui ont traité des règles du Théâtre, seront presque toujours me
15 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
CHAPITRE III SECTION PREMIERE. Traité de la Comédie et des Spectacles. A Paris, Chez Pi
rince pénitent. » J’ai seulement retranché les premières pages de ce Traité , mais j’ai copié mot à mot tout le resteab. « Si
ses circonstances, soit pour ses effets ; n’est-il pas vrai qu’elle a traité presque toujours des sujets peu honnêtes, ou acco
plissement de toute la Loi Chrétienne. « Ne voyez-vous pas l’amour traité de cette manière si impie dans les plus belles Tr
ut du Pont S. Michel, 1666. Cet Ouvrage parut la même année que le Traité de Monsieur le Prince de Conti ; c’est un petit L
t bientôt la Justice de nos Rois. » SECTION TROISIEME. Défense du Traité de M. le Prince de Conti, touchant la Comédie et
ns la Préface, l’Auteur déclare qu’il se trouve engagé de défendre le Traité contre la Comédie, fait par Mr. le Prince de Cont
a condamnés dans deux endroits de ses Ouvrages, premièrement dans son Traité de la Fuite du siècle Chapitre 1. où il dit que l
is il aurait fallu user de redites. SECTION QUATRIEME. Extrait du Traité de la Comédie, qui se trouve dans L’Education Chr
16 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — AVERTISSEMENT DE L’AUTEUR. » pp. 3-6
it suivre. Monsieur Riccoboni fit imprimer il y a plusieurs années un Traité intitulé de la Réformation du Théâtre. Ses idées
e le public ne seroit pas fâché de voir à la suite de cet ouvrage, un Traité intitulé, Essai sur les moyens de rendre la Coméd
17 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XII. La représentation des pièces de théâtre est plus dangereuse que la lecture. » pp. 108-110
pour la faire sentir. Ce fut apparemment pour le prouver qu’il fit un Traité de la comparaison de l’art théâtral avec l’éloque
it un Traité de la comparaison de l’art théâtral avec l’éloquence. Ce traité n’est pas venu jusqu’à nous. Au reste, ce fameux
18 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. »
nitence, 199. Mesure qu’il prend pour abolir les Spectacles, 234. Son Traité contre la Comédie imprimé en France, 302 Chœur, c
tère de ses Comédies, 92. Son Epitaphe, 95 Tertullien, Analyse de son Traité des Spectacles, 80 et suiv. Théâtre Grec et Romai
i lu par ordre de Monseigneur le Garde des Sceaux, un Livré intitulé, Traité Historique et Dogmatique des Jeux de Théâtre etc.
entin Delaulne, Imprimeur et Libraire, d’imprimer un Livre intitulé : Traité Historique et Dogmatique des Jeux de Théâtre, etc
19 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
e de rechercher. HERACLIUS. L’Amour d’Eudoxe et d’Héraclius est traité dans cette Tragédie avec un ménagement extraordin
t une espèce d’amour que ni les Anciens, ni les Modernes n’ont jamais traité avant Corneille. On voit bien des incestes de fai
s s’il aurait mieux réussi que dans celle de Stilicon ; l’amour y est traité avec la plus grande précaution ; tout y est instr
peu près pareil. Pierre Corneille se fait une gloire de ne pas avoir traité l’amour, comme à l’ordinaire, dans sa Tragédie de
tte malheureuse passion, la base de tous les sujets tragiques qu’il a traités . La Thébaïde est écrite dans le goût des Tragédie
E, de M. de la Grande Chancel. Le sujet d’Iphigénie en Tauride, traité d’abord par Euripide, l’a été depuis par deux Poè
de aime Iphigénie ; mais cet amour n’est connu que par un mot, et est traité avec la plus grande circonspection. Quant à la pa
20 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE III. L’Esprit de Moliere. » pp. 72-106
ge de leurs pieces. Celles de Corneille réunies feroient un assez bon traité  : il avoit de l’étude & des connoissances. Mo
nt réunis. Aristophane, Plaute, Terence, Regnard, n’ont point fait de Traité . Aristote, Horace, Vida, Scaliger, Boileau, n’ont
tragiques, de comédies & de bonnes comédies que de tragédies. Les traités dramatiques, les règles, les unités, les observat
prétendus mystères de l’art, qu’on y croit renfermés, on formeroit un traité complet de l’art dramatique. On en feroit de même
ard, mais de Destouches, Dancourt, Monfleuri, du Théatre Italien. Ces traités seroient dans le goût de Mathanasius ou Chef-d’œu
e des sciences profondes qui chaque jour font gémir la presse par des traités pompeusement annoncés dans le Mercure. On se cont
a des signaux, des cartes marines, des boussoles, des ingénieurs, des traités de pilotage. Les magasins de la comédie sont comm
oise, est-il douteux que sur les scenes de Moliere elle ne compose un traité parfait de l’art du Théatre qui nous manque aussi
ues, historico-politiques ? Ne pourroit-on par mettre sur la scene le Traité de Westphalie ? Quel spectacle auguste pour un êt
fait parler quelque grand, ce n’est qu’en bourgeois gentilhomme. Il a traité quantité de sujets. Ce n’est qu’une abondance sté
tere à ses ouvrages. De là vient la variété infinie des discours, des traités , des images sur le même sujet. Des milliers de Pr
21 (1646) Science du chrétien « Des comédies. » pp. 638-643
a du péché. Le Seconde objection. Pros. Si je n’obéis, je serai mal traité , si je ne veux suivre ma mère, dira la fille, je
i châtiée, elle ne me caressera plus. Le Réponse. 1. Neoph. Etre mal traité pour ce sujet, c’est souffrir un bien glorieux ma
22 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE II. » pp. 19-41
. et il l’a partagé en deux Volumes. Le premier Volume contient trois Traités . Le premier regarde les Comédiens mercenaires, qu
principe de la condamnation des Comédiens mercenaires. Dans le second Traité , il étend les réponses qu’il avait déjà faites à
ertu de nos Pères. Voici les paroles de Tertullien au Chap 25. de son Traité des Spectacles : « In omni Spectaculo nullum magi
nnêtes, mais très criminels et très dangereux. SECTION TROISIEME. Traité de la Comédie ; du troisième Volume des Essais de
alement un auteur dramatique prolifique. Son œuvre comporte aussi des traités sur le théâtre et des poésies. aa. [NDE] Adam Co
23 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE III. Des Pièces de Collège. » pp. 48-67
ce de soi-même, c. 60.) : M. Rollin ; savant et judicieux Professeur ( Traité des Etud. Tom. 4. liv. 3. art. 2. c. 2.) : Enfin
. liv. 3. art. 2. c. 2.) : Enfin la Discipline des Eglises Réformées ( Traité de divers Synod. impr. à Geneve en 1661. Chap. de
différent des spectacles publics. Le Ministre Vincent, qui a fait un traité contre la comédie, approuvé par douze Ministres,
ne fût représentée par les écoliers du collège. » Le P. Brumoy, qui a traité le même sujet, et l’a fait jouer en divers collèg
qu’on n’a jamais parlé d’amour sur leur théâtre ; qu’on n’y a jamais traité que des sujets pieux ; que jamais aucun Acteur n’
nes élèves, qui deviennent les témoins et les garants, de ce précieux traité . « Est-ce ainsi qu’on inspire du respect pour l
24 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Remarques Angloises. » pp. 133-170
ône dramatique, & à transformer leurs actes & leurs scènes en traités complets de poésie, on les laisseroit s’applaudir
& transformer des drames dont la vertu suit la représentation, en traités parfaits de morale. Des hommes l’ont tenté en Fra
puisse faire de pareils centons, de pareilles analyses, d’aussi bons traités , Scaron, Rabelais, Arioste, Bocace, Pétrone, Plau
des amateurs ? La Miladi théologienne, qui trouve dans Shakespear un traité complet de morale, prétend avec raison que l’exe
un médecin de la mort de ses patiens (ses malades), parce qu’il les a traités suivant les regles ? Terence, dans l’apologie de
n donna dans l’extrémité opposé, la moindre apparence de religion fut traité de puritanisme. Les libertins qui eurent la vogue
la dévotion de nos peres avec les couleurs les plus outrées. Tout est traité de fanatisme, & ce ne sont pourtant que les i
Gentilhomme, il veut que la danse soit la perfection de la nature, un traité de morale, un cours complet d’éducation. Un bon d
n perfectionne l’art de siffler, que la Société Royale n’a pas encore traité  : il perfectionneroit la musique, les sifflemens
ans les hommes & les animaux : ce seroit la matiere d’un fort bon traité qui nous manque. Nous avons en Angleterre bien d’
25 (1579) Petit fragment catechistic « Que les jeux des théâtres et les danses sont une suite de la science diabolique, opérante par philaphtie et amour de soi-même contraire à la foi opérante par charité, fondement de la Cité de Dieu. » pp. 20-26
uple, ont eu en grande détestation tels jeux, comme il appert par des traités faits spécialement contre iceux par saint Cyprien
pectaculis, texte établi et traduit par A. Boulanger, Paris, 1933. Ce traité , d’attribution douteuse, a été également attribué
son, théologien et chancelier de l’Eglise de Paris, publia en 1402 un Traité contre le Roman de la Rose (Tractatus contra Roma
26 (1731) Discours sur la comédie « Préface de l'Editeur. » pp. -
avait quelque rapport aux Jeux de Théâtre. C’est ce qui a produit le Traité qu’on donne aujourd’hui. A l’exception du premier
ouvrage plus considérable qui est actuellement sous presse. C’est un Traité du Discernement des effets naturels d’avec ceux q
27 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Machiavel. » pp. 198-214
eur : On amuse les enfans avec des jouets, & les hommes avec des traités & des sermens. Cette philosophie de Berlin é
qui y regne, mais une satyre déguisée sur le ton de conseil & de traité . Je ne doute pas même que l’histoire qu’il avoit
r de la religion, de la probité, de la conscience, des promesses, des traités  ; 3°. en arborer cependant les apparences, en fai
douceur & de charité, & même à ses ouvrage, puisque, dans son Traité du Gouvernement, il est bien plus favorable à la
ns de la Grece en grand nombre. Ces moyens sont épars dans son livre, traités au long & appuyés par des exemples & des
28 (1671) De la connaissance des bons livres « DE LA COMEDIE  » pp. 232-248
et Approbateurs. Enfin un grand Prince poussé d’un bon zèle a fait un Traité pour condamner nos Comédies ordinairesb, et il s’
qui est juste. a. [NDE] Cette section se trouve dans le troisième traité , « De la Poésie française, de ses différentes esp
s espèces, et principalement de la Comédie. » b. [NDE] Il s'agit du traité du Prince de Conti, voir le corpus Haine du théât
29 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27
. (Voy. Biblioth. canoniq. verb. Théâtre.) Le savant Pape Benoît XIV ( Traité des Synodes, L. 8. C. 61. N. 11. et dans ses Lett
re sacrilegium. » Qu’on parcoure tous les Auteurs sans nombre qui ont traité des devoirs des Ecclésiastiques, Denys le Chartre
t leur est assez favorable, et d’un certain Squillante, qui a fait un Traité de obligat. Cleric. part. 2. n. 45. Il ajoute que
ec spectaculis intersint. » Le Jésuite Pelissarius, dans son immense Traité sur l’état Religieux, en deux très gros volumes i
ent d’après Sanchez autre Jésuite, de Matrim. L. 9. Disp. 46. n. 41. ( traité où on n’irait pas chercher cette question), et qu
30 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE III. En quoi consiste le Plaisir de la Tragédie, & de la grande émotion que causoient les Tragédies Grecques. » pp. 49-62
plus terrible, ne subsiste plus. Ce Sujet n’a jamais été parfaitement traité que par Sophocle : cependant de quelque maniere q
traité que par Sophocle : cependant de quelque maniere qu’il ait été traité , il a ému ; par conséquent il a plu : & dans
s. Œdippe a paru. Le Sujet de Merope a de même été bien reçu, quoique traité sans vraisemblance, parce que les circonstances d
31 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614
à l’égard des Comédiens Italiens, 121 & 432, b, 229-259 Comédie ( Traités sur la), par Nicole, b, 127. Par le Prince de Con
aités sur la), par Nicole, b, 127. Par le Prince de Conti, 133. Autre traité , 144 Comedias (Trattado de las) en el qual se dec
Comédiens, a, 518 Conti (Armand Bourbon, Prince de). Extrait de son Traité sur la Comédie, b, 133 Corneille. Dangers de l’i
b, 278, 596 Dancour, b, 607 Danse. Ses dangers, b, 445-458 Danses ( Traité des), b, 131 Danses (Traité) contre les Danses,
Danse. Ses dangers, b, 445-458 Danses (Traité des), b, 131 Danses ( Traité ) contre les Danses, les Comédies & les mauvai
elle de l’Orateur. Citation de Quintilien à ce sujet, 493 Défense du Traité de M. le Prince de Conti sur la Comédie, b, 143
sentations domestiques, 404 Gauthier, Curé de Savigny-sur-Orges. Son Traité contre les Danses, b, 132 & 463 Gédouin. Sa
, a, 94 Horace. Effets d’une bonne éducation, a, 65. Que la Poésie a traité presque tous les genres, 99. Caractere des bons M
uvrage sur les Spectacles, b, 302 Lenglet Dufresnoi. Citation de son Traité sur l’usage des Romans, b, 67 Léon X. Son caract
t, Evêque de Meaux, sur l’Histoire Universelle, a, 61 Citation de son Traité de la Comédie, b, 127. Caractere de ce Philosophe
mp; M. de Roquelaure, Evêque de Senlis, a, 429 Voisin. Sa défense du Traité de M. le Prince de Conti sur la Comédie, b, 145
32 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7
main, et tous les Solitaires voulurent voir l’endroit où ils étaient traités d’illustres. Ne lui a-t-on pas même rendu ses lou
t manger leur pain blanc le premier. Voilà, Monsieur, comme vous avez traité Desmarets, et comme vous avez toujours traité tou
nsieur, comme vous avez traité Desmarets, et comme vous avez toujours traité tout le monde. Qu’une femme fût dans le désordre,
33 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VII. Du Père Porée. » pp. 149-177
Dieux ; je dirois plutôt que c’est l’amour des femmes, tel qu’il est traité dans les romans & sur le théatre, où cette fo
liberté de ses censures contre son propre Corps, Mariana a composé un traité contre les spectacles. La force de la vérité lui
vant & éloquent Jésuite, & très-bon Casuiste, a fait un grand traité contre les spectacles, & un très-bon abrégé d
un grand traité contre les spectacles, & un très-bon abrégé de ce traité , Resol. Moral. L. 5. C. 11. Dans ces deux ouvrage
une réputation de relâchement qui a passé en proverbe, parce qu’il a traité d’une maniere problématique les questions de mora
au long & avec zèle. Le P. le Brun, M. de Voisin en ont fait des traités . Tous les catéchismes & les rituels enseignen
justes éloges l’autorité respectable du Prince de Conti, qui dans son traité contre la comédie, dont nous avons souvent parlé,
34 (1733) Traité contre les spectacles « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] Traités de Tertullien sur l’ornement des femmes, les Sp
35 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — TABLE. DES CHAPITRES. »
. II. De la Danse, 29. Chap. III. Théatre de S. Foix, 51. Chap. IV. Traité de la Danse de Cahusac, 75. Chap. V. Suite du Th
36 (1731) Discours sur la comédie « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] Discours sur la comédie ou Traité historique et dogmatique des Jeux de Théâtre et
37 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE V. Eloge de Moliere. » pp. 154-202
atieres ecclésiastiques, & Pourceaugnac, Scapin, Sganarelle ; des Traités de piété, & l’Amphitrion, l’Education des Fil
rands services à l’Église, à l’État, en a rendu un très-grand par son Traité contre la Comédie. Son éloge méritoit plus que ce
loge méritoit plus que celui de Moliere, d’être le sujet du prix. Son Traité ne lui auroit-il pas donné l’exclusion ? Il contr
ridicule à la vertu. Ses défenseurs ne manqueront pas de dire qu’il a traité avec honneur la vraie probité, qu’il n’a attaqué
De là il passe à la comédie, dont il propose à l’Académie de faire un traité , examine les beautés, les défauts de Terence, Ari
uvaise morale, & cependant il propose à l’Académie le projet d’un traité de la tragédie & de la comédie, & en trac
sées à l’irréligion. Le quiétisme s’allie-t-il avec l’incrédulité, le Traité de l’existence & des attributs de Dieu avec l
iere Philosophe ! Sans doute il l’est si bien, que ses farces sont un traité complet de philosophie morale, & de la plus s
. C’est la chimère du siecle, on n’est jamais bien loué qu’on ne soit traité de Philosophe. C’est le faux goût des hommes, la
à son honneur & gloire, sous le double titre, Art de la Comédie, Traité de l’Imitation. Moliere en fournit toute la matie
38 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « [FRONTISPICE] »
666, 4°, 12 p.), ainsi que l’édition Thirouin pour les notes (Nicole, Traité de la Comédie, éd. L. Thirouin, Paris, Champion,
39 (1761) Les spectacles [Querelles littéraires, II, 4] « Les spectacles. » pp. 394-420
que d’excellens comédiens. Ils sont à plaindre sans doute d’avoir été traités durement par quelques-unes de nos loix, par les r
condamne la comédie,       Dont il seroit un beau sujet. Riccoboni a traité son art plus mal encore que La Mothe n’a traité c
u sujet. Riccoboni a traité son art plus mal encore que La Mothe n’a traité celui des vers. Le talent d’acteur & d’auteur
de Voltaire, en parlant de la comédie & des comédiens, n’a point traité pleinement le fond de la question ; il s’est éten
40 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. » pp. 176-202
qui est toujours prêt à recevoir des soufflets, suivant un Passage du Traité de Tertulien sur les Spectacles, faciem suam cont
ne fut pas non plus l’inventeur de l’Opera, puisque Muratori dans son Traité de la parfaite Poësie, nomme un Poëte Musicien de
oser une Tragédie. Le même malheur arriva à Dryden, qui avoit fait un Traité sur la Poësie Dramatique, pour montrer la supério
a supériorité des Poëtes Anglois sur les François. Il fit voir par ce Traité , ainsi que par ses Piéces de Théâtre, qu’il ne co
41 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre IX. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques n'étaient point infâmes parmi les Romains, mais seulement les Histrions ou Bateleurs. » pp. 188-216
s les personnes illustres de naissance ou de condition ne les ont pas traités de même sorte ; car les premiers étaient estimés
ent ? Et si les Acteurs des Fables Atellanes ont été si favorablement traités , nous peut-il rester quelque scrupule pour les Co
Esope cet incomparable Tragédien ne fussent pour le moins aussi bien traités que des Cochers et des Valets d'étable. Où je pui
42 (1607) Prologue de La Porte, Comédien
texte du précédent, je ne coterair que selon les lieux où ils en ont traité . Le premier est Antonius Artesius Florentin en la
spondants (op. cit., p. 8-11). Cecchini complète le volume d’un petit traité de sa façon. Dans sa Supplica (rééd. Bologne, G. 
(rééd. Bologne, G. Monti et B. Cavallieri, 1636), Barbieri intègre le traité comme avant-dernier chapitre (chap. 59, p. 238-25
43 (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « [EN-TETE] »
t. IV, p. 193-204), et, pour les notes, à l’édition Thirouin (Nicole, Traité de la Comédie, éd. L. Thirouin Paris, Champion, 1
44 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « [EN-TETE] »
666, 4°, 12 p.), ainsi que l’édition Thirouin pour les notes (Nicole, Traité de la Comédie, éd. L. Thirouin, Paris, Champion,
45 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE I. Que les Spectacles sont des plaisirs défendus. Preuves de cette défense tirées de l'Ecriture sainte, des Pères de l'Eglise, des Conciles, des Rituels, et des Lois civiles. » pp. 43-53
es convaincus du mal qu'il y a dans la comédie. » Essais de mor[ale]. Traité de la coméd[ie]. chap. 10. D. Pourquoi les spect
Rat. Stud. Societ. Jes. Tit. reg. Rect. art. 13. Essais de mor[ale]. Traité de la coméd[ie]. chap. 10. « Omne quod est in mu
46 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Charles IV & Charles V. » pp. 38-59
moyens pour le gagner, ou pour lui marquer sa satisfaction, après le traité , que de lui donner la comédie. On en fit de même
time, le Prince de Vaudemont. Ce Prince vint à Paris conclure quelque traité avec Louis XIII. Le Cardinal de Richelieu fit ren
rance, par des infidélités sans nombre, & des promesses & des traités , mais encore par la cession authentique de ses Du
céda certaines places. Il s’en repentit, & refusa d’exécuter son traité . Il fut dépossédé par un Prince plus puissant que
artiennent à l’histoire. Voici ce qui appartient au théatre. Quand le traité , signé par le Duc, fut porté à Louis XIV, on le t
47 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IX. Sentiments de Tertullien. » pp. 180-200
la comédie. Surtout il composa au commencement du troisième siècle un traité complet contre les spectacles qui est un des beau
e cultu fœminarum, de velandis virginibus, il faudrait transcrire ces traités en entier ; ils ne sont faits que pour montrer le
se font un mérite et une étude de les imiter. Nous ne parlons pas des traités que fit cet Auteur depuis sa chute contre l'impur
oignage suspect ; mais rien ne peut affaiblir ce qu'il a dit dans son traité contre les spectacles, que tous les siècles ont a
siècles ont admiré. Nous en allons donner une traduction abrégée. Traité de Tertullien contre les Spectacles. « 1.° C
48 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
leur père ! Je ne m’arrête pas au mérite de l’Auteur, pour avoir bien traité un sujet si épineux ; je ne regarde que le sujet
on est indécis, si on doit plutôt le plaindre que le blâmer. L’amour, traité avec cette espèce d’inaction, ne fera jamais une
lus glorieux de ses exploits : c’est ce point historique que Racine a traité dans sa Tragédie. On ne s’imaginerait jamais que
49 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 6. SIECLE. » pp. 180-181
6. SIECLE. S. ANASTASE SINAITE PATRIARCHE D'ANTIOCHE, dans le Traité de la sacrée Communion. Notre aveuglement est
50 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques «  Analyse et sommaire du présent Traité  » p. 63
Analyse et sommaire du présent Traité I. Arguments pris de la Matière des Comédies
51 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
d’autres. S’il eût vu couronner l’éloge de Moliere, il ne les eût pas traités de Cagots. Madame la Marquise du Chatelet, qui av
t, & sur-tout le pieux Prince de Conti, qui a composé un très-bon Traité contre la comedie. Quel étrange parallele ! d’un
frages ; d’un côté le Prince de Conti adversaire du théatre, avec son Traité  ; de l’autre le Philosophe de sans souci amateur
rpre, grand Dieu, paroissoient ennoblis. Sans doute il a cru que les traités pour & contre dans l’acquisition de la Silesi
pieux, Et Julien passa pour un monstre odieux. Aucun Protestant n’a traité si mal S. Basile, S. Gregoire de Nazianze, S. Chr
52 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « [Introduction]  » p. 2
tières de politique. Il en est dans les bibliothèques une infinité de traités  ; ce siècle plus que d’autres est fertile en Ecri
53 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [EN-TETE] »
s.l., 1666, 4°, 7 p.) et, pour les notes, l’édition Thirouin (Nicole, Traité de la Comédie, éd. L. Thirouin, Paris, Champion,
54 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VII. Quelle doit être la Comédie après la réformation du Théâtre. » pp. 69-85
eucippé. Encore si dans la Comédie moderne les propos d’amour étaient traités avec la même modestie ; ce serait, à la vérité, u
èces de caractère ; mais, en supposant même que ces caractères soient traités d’une manière propre à la correction des mœurs, i
55 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « I. Occasion et dessein de ce Traité : nouvelle Dissertation en faveur de la Comédie. » pp. 1-3
I. Occasion et dessein de ce Traité  : nouvelle Dissertation en faveur de la Comédie.
56 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
n tacite de Monseigneur de Paris, et l’air méprisant avec lequel on a traité les Rituels dans la Lettre du Théologien ; il reç
stres du Parlement de Paris, où l’on verra comme les Comédiens y sont traités  ; qu’on y trouvera plusieurs Arrêts qui leur défe
ane.» Donner son bien aux Comédiens, c’est un vice énorme. S. August. Traité . 100. sur S. Jean. A Paris, Chez Jean Couterot, r
s se défend de la faire imprimer, en disant qu’il se contente d’avoir traité la matière des Comédies dans ses Conférences, ave
57 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre prémier. Le sujet. » pp. 160-182
donne pour nouveaux, ont une certaine analogie avec ceux qu’on à déja traités . Les caractères de ses contes moraux ne sont pas
de modes pourrait être une jolie pièce. Le Boucher mérite bien d’être traité . Le Chaircuitier ferait un Drame fort agréable. L
e Voltaire ne se fit point un scrupule de donner au Public Œdipe déjà traité par le grand Corneille. La Mothe ne se contenta p
58 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24
rent deux choses avec passion, le pain et les jeux ». On remarque aux traités des spectacles, l’honneur que fit Roscius étant T
lui du monde, et vont encore mieux que lui. d. [NDE] Il s’agit du Traité des Jeux Comiques et Tragiques, publié à Sedan pa
[NDE] Cette référence confirme que Mlle de Beaulieu se réfère bien au traité de Tilenus. Celui-ci invoque en effet, p. 6, le D
59 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVIII. D’une excuse de laquelle se servent ordinairement les gens du monde, pour justifier la conduite des jeunes hommes, et des jeunes filles qui vont au bal. » pp. 142-145
aux, sous prétexte d’un bien apparent ? Mais il est temps de finir ce traité , et de ne penser plus qu’à gémir, et à prier la b
60 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. —  HISTOIRE. DES OUVRAGES. Pour & contre les Théatres Publics. » pp. 101-566
e rapporte des passages du Livre de Tertullien sur les Spectacles, du Traité de Saint Cyprien sur le même sujet, de la quatrie
p; David. On cite encore de Saint Ambroise le premier chapitre de son Traité de la fuite du siecle, le troisieme Livre des Con
nétré. En voici quelques exemples. On imprima en 1618, à Barcelone un Traité en langue espagnole, où l’on démontre que la fréq
nita’, e da ogni altro eccesso nel recitare. Le résultat de cet ample Traité est de prouver qu’il seroit plus sûr & plus u
rement d’un pareil motif. Le P. Ottonelli a épuisé son sujet ; il l’a traité dans le plus grand détail & avec la plus vast
le tout y est décidé par les Auteurs les plus respectables. Quant au Traité de François Marie del Monacho, qui est aussi à la
rit suivant : Le Théatre François, divisé en trois Livres, où il est traité 1°. de l’usage de la Comédie ; 2°. des Auteurs qu
eur des Ouvrages que nous allons opposer aux apologies des Théatres. Traité de la Comédie. M. Nicole [né à Chartres le 13 Oc
re 1625, & mort à Paris le 16 Novembre 1695], en est l’Auteur. Ce Traité se trouve dans le troisieme Tome de ses Essais de
dans le cinquieme Tome de ses Essais de Morale. On sçait que tous ses Traités de Morale ont produit des biens innombrables. On
arrache le consentement, & on est bientôt confondu. Le début du Traité de la Comédie fait connoître que ce n’est guere q
e est nuisible aux mœurs. Nous allons en réunir ici les indications. Traité des Danses, auquel est démontré qu’elles ne doive
en usage parmi les Chrétiens ; par M. Thomas Chesnot, 1574 ; in-12. Traité des Danses, auquel est amplement résolue la quest
les maisons particulieres ; par M. Bourdelot, Avocat, 1660 ; in-12. Traité contre les Danses & les Comédies, composé par
nse & de la Musique voluptueuse. Voici le titre de cet Ouvrage : Traité contre les Danses & les mauvaises Chansons, d
plus grande réputation. Paris, Boudet 1769, & réimprimé en 1771. Traité de la Comédie & des Spectacles, par M. le Pri
aveur des Comédiens, s’empêcher de témoigner de la vénération pour ce Traité de M. le Prince de Conti 66. Cependant il a essay
rit, pourroit-il respirer le goût du monde » ? Quoi qu’il en soit, ce Traité est très-décisif pour la condamnation des Spectac
de sa clémence même. IVe Piece sur la déf. des Duels. Défense du Traité de M. le Prince de Conti sur la Comédie & les
é à M. le Prince de Conti, fils de M. le Prince de Conti, l’Auteur du Traité contre la Comédie. Cet Ouvrage de M. Voisin est u
çois de Sales, dont on a prétendu se servir en faveur de la Comédie. Traité de la Comédie, inséré dans l’Education Chrétienne
te & Bonnet. Cette décision, qui contient 132 pages in-12, est un Traité intéressant sur la matiere qui en est l’objet. R
de l’appeller le Matamore de Clugny. M. le Prince de Conti, dans son Traité sur la Comédie, convient que Heinsius avoit réuss
ard-Jean Vossius, célebre Ecrivain Protestant mort en 1669, a fait un Traité sur l’Art Poétique. Il y demande si l’Histoire Sa
lacette. Amsterdam, 1707. On sçait que cet Auteur est célebre par ses Traités de Morale ; & qu’à cet égard on le regarde co
e D. Ramire. On a cru devoir donner ici une partie de cet Extrait. Ce Traité de D. Ramire est une réponse à trois questions qu
Roma, 1754. Lo Specchio del disinganno, autore Zucchino Stefani. Ce Traité de morale, dit M. l’Abbé Richard 96, dévoile avec
rs 1551, avoit attaqué vivement les Spectacles de son temps, dans son Traité de Regno Christi. Cependant ce Ministre, qui étab
y parle dans le premier, de la nécessité qu’il y avoit de publier son Traité contre la Comédie, dans un temps où l’on va jusqu
ps sans la profaner. Il cite le sentiment du Jésuite Mariana dans son Traité des Spectacles, sur l’indécence de l’usage où l’o
pitre à prouver que la dépravation des mœurs ne justifie que trop son Traité  ». On doit sçavoir autant de gré à M. Dreux du Ra
Docteurs les condamne. Il sçavoit sans doute qu’en 1581, il y eut un Traité imprimé contre ces divertissemens dangereux, au n
ur Protestant, Professeur en Théologie à Heidelberg, a donné un petit Traité sur les Jeux scéniques, intitulé : de Ludis sceni
r l’épée, & des irrégularités des Théatres. Ce dernier objet est traité de maniere qu’on y trouve le Théatre Anglois char
un impie, un mauvais cœur, un fils dénaturé ; & cependant il est traité en homme vertueux ; tout lui réussit à son gré, s
commodité de la rime, & par haine pour Quinault, que Despréaux a traité de lubrique cette morale. Un sçavant Académicien
fidélité due aux Rois, que sur les Théatres publics. Il y a très-bien traité ce dernier objet, non seulement en Ministre de l’
des dangers des Représentations théatrales. Hoc est argumentum rei. Traité de la Réformation du Théatre, par Louis Riccoboni
lides Ouvrages des défenseurs modernes de notre Religion, tels que le Traité de la Vérité de la Religion Chrétienne, par Groti
ue le Traité de la Vérité de la Religion Chrétienne, par Grotius ; le Traité de la Vérité de la Religion Chrétienne & de l
bservation de leurs devoirs ! Il y est ordonné que les Soldats soient traités avec la plus grande humanité & la plus grande
s que des Commentaires sur plusieurs Livres de l’Ecriture Sainte ; le Traité de l’éducation d’un Prince, les Conférences sur l
ce genre de Musique, asservi aux objets des passions. 188. Dans son Traité de l’Education civile. 189. Dans son Traité de l
passions. 188. Dans son Traité de l’Education civile. 189. Dans son Traité de l’Education civile. 190. Dans son Sermon sur
ivois, Barnabite, en a donné une traduction Françoise sous ce titre : Traité du Bonheur public. Louis-Antoine Muratori, mort e
lisant le bon Ouvrage que nous avons annoncé p. 132, sous le titre de Traité contre les Danses, &c. C’est en faisant conno
61 (1647) Traité des théâtres pp. -
le introduire une pratique nouvelle, en vous offrant conjointement ce Traité , je crois y être fondé en bonne raison. De vrai,
r. Lorsqu’on était sur le point de tirer la dernière feuille de ce Traité , Monsieur de Champvernon, très excellent serviteu
si je le laisse aller, et avertis seulement le Lecteur, que cet autre Traité a été imprimé à La Haye, chez Théodore Le Maire,
ais pas remarqué qu’il y maniât ce sujet, jusques à ce que ce dernier Traité m’en a averti. Ceux qui liront ce qu’il y a couch
les autoriser de ces noms célèbres. Préface Touchant le but de ce Traité , avec la division d’icelui. Nous nous proposo
raité, avec la division d’icelui. Nous nous proposons en ce court Traité , sous le bon plaisir de Dieu, de tâcher à désabus
ns nous étendre ès exagérations, et amplifications, qui regardent les Traités oratoires. CHAP. I. De quels Théâtres il s’agi
les Traités oratoires. CHAP. I. De quels Théâtres il s’agit en ce Traité . Sans nous arrêter pour cette heure à la rech
êtée, ce qui le rend dangereux au double. En effet le sujet qui y est traité le plus ordinairement : Ce sont des passions d’am
orte que leurs livres en sont tous pleins. Tertullien en a composé un traité entierMarg.] Tertullien, De Spectaculis., qui se
c’est tout notoirement celui qui mène en l’Enfer. Conclusion de ce Traité . Jusques ici nous croyons avoir satisfait à la
s croyons avoir satisfait à la tâche que nous avions entreprise en ce Traité . Car 1. Nous avons montré le mal qu’il y a ès Thé
saiæ “vidi Dominum, etc”. fs FIN. Approbation. L’Auteur de ce Traité , a eu des raisons particulières, pour lesquelles
62 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IX. Sentiments de S. Cyprien et de quelques autres Pères. » pp. 175-201
« An possit esse qui spectat integer vel pudicus ? » Dans les fameux Traités de bono Pudicitio, de disciplina Virginum, de Ope
s. Il est encore dans toutes les éditions des œuvres de S. Cyprien un Traité entier contre les spectacles, que toute l’antiqui
ns l’image des nôtres (L. 6. C. 20. Distinct. Divinat.) ? Après avoir traité au long des affections de l’âme et des plaisirs d
attiré la confiance. Ce Saint, entre autres ouvrages, a fait un grand Traité de morale sous le titre de Parallèles, où il comp
t, ont fait appeler le maître des Evêques, S. Salvien a fait un grand traité de gubernat. Mundi, pour justifier la providence
63 (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303
tre pas obligé d’expliquer souvent les termes dont on se sert dans ce traité , il est nécessaire de donner d’abord une idée des
contrefaire toute sorte de choses se nommaient Pantomimes. Lucien au Traité de la Danse donne ce nom aux Danseurs de Ballet,
sur le Théâtre, et ayant pris Gélasin ils le lapidèrent. Ainsi furent traités les Comédiens avec plus ou moins d’infamie durant
rbis. » Scaliger, M. d’Aubignac, M. Despréaux, et les autres qui ont traité depuis peu des pratiques du Théâtre, ont-ils donn
Conti, qui a fait éclater son zèle contre la Tragédie moderne par le traité qu’il en a fait, aurait peut-être souffert l’anci
t profanes que sacrés depuis Auguste jusqu’à Justinien. Après avait traité historiquement de ce qui regarde les spectacles d
r aux spectacles et ce fut ce qui engagea Tertullien à en composer un Traité qu’on peut placer l’an 200 ; car il est cité dans
mposer un Traité qu’on peut placer l’an 200 ; car il est cité dans le traité de Corona militis, fait encore dans le temps de p
ieu seul. Mais pouvait-il dire d’une manière plus précise, et dans ce traité et dans celui de l’habit des femmes, que si cela
excommuniés, suppose qu’ils sont infâmes. Mais achevons l’Analyse du Traité de Tertullien. En cinquième lieu, le grand scanda
iture n’a pas expressément interdit aux Chrétiens le Théâtre. Tout le traité de Tertullien est employé à réfuter ces deux obje
voir au long les raisons dont nous ne faisons ici qu’une Analyse. Ce traité a toujours passé pour un des plus beaux de cet Au
ir été à la Comédie et qui mourut cinq jours après. Tertullien fit ce traité en Grec et en Latin, et l’on a lieu de croire qu’
e confirma le sentiment de Tertullien dans la Lettre à Donat. Pour le traité des spectacles, que le Théologien cite sous le no
en cite sous le nom de Saint Cyprien, on sait depuis longtemps que ce traité n’est pas de ce Père. Je ne m’étonne pourtant poi
e chez lui pour le Concile des Apôtres. Page 35. Mais pour revenir au traité des spectacles, de quelque Auteur qu’il soit, si
nce, qui est regardé comme le Cicéron des Chrétiens, établit dans son traité du vrai culte L. 6. Instit[utiones]. c. 20. [Divi
1172, ne manqua pas d’en montrer les pernicieuses suites dans le beau Traité qu’il composa des vains amusements de la Cour. C’
r celui de Reims en la même année au Canon 29. Saint Charles, dans le Traité qu’il fit composer contre les danses et la Comédi
dans la pratique, ils veulent qu’on les traite comme les ont toujours traités les Conciles dans tous les siècles, et les Rituel
es sortes de divertissements. VIII. Des Auteurs de ce siècle, qui ont traité la question des divertissements comiques, princip
Théâtres, et parle de plusieurs Auteurs habiles de sa nation, qui ont traité la même matière. « Plural etiam congerunt, dit-il
lement Chrétienne, éloquente et persuasive. XI. Conclusion de tout ce Traité Il s’ensuit de tout ce que nous avons dit, 1°. Qu
qui vous satisfera, si vous vous donnez la peine de lire le quatrième Traité du Monarque, Discours 7. Quelque grâce et quelque
encore l’endroit qui m’a fait dire que saint Charles fit composer le Traité contre les Danses et la Comédie. C’est de la Vie
trouve pas dans Giuffano. On voit au 4. de Novembre page 115. que le Traité dont il s’agit fut composé par un des Domestiques
[ue] du Théâtre. pag. 499 Pag. 509. Pag. 244. 304. [NDE 1731] On a traité encore plus sévèrement la célèbre le Couvreur, mo
64 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre VI. Des Courses de Bague, & des Testes. » pp. 188-190
sieur de la Colombiere est plein de ces divertissemens, & il en a traité avec toute l’intelligence, & toute l’exactitu
65 (1783) La vraie philosophie « La vraie philosophie » pp. 229-251
tent Hélene ! « Communément jusqu’à l’age de dix ans, dit Riccoboni ( Traité de la réformat. du théatr.), les enfans sont bien
rages ; il engagea le célebre Pere Concina, Dominicain, à composer un Traité latin contre les spectacles, qui fut imprimé à Ro
; & Saint Cyprien, comme un lieu d’apostasie. Tertulien a fait un Traité contre tous les Spectacles. Dans presque tous les
m in aliquo spectaculo desidere. Epist. ad Lucil. 3. Préface de son Traité de la réformation du Théatre. 4. Le grand Bossue
66 (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Jugement sur la Comédie du Festin de Pierre. CAS II. » pp. 805806-812
uvelle dérision. Le sujet de cette Comédie, et la manière dont il est traité , sont détestables. Il est vrai que l’Athée y est
Pédagogue ch. 11. Saint Cyprien dans son Epître à Donat, et dans son traité des spectacles. Minutius Felix, et Saint Chrysost
67 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VI. Ce que c’est que les mariages du théâtre.  » pp. 25-27
e, chapitre VIII, verset 5]. e. [NDE] Nicole, « De la Comédie », in Traité de la comédie (1ère version) = Les Visionnaires,
68 (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426
atte par le plaisir des yeux et des oreilles. Voir l’annotation au 4. traité qui est, que les Idoles, ne sont point dieux.Romu
l’Eglise, de quoi les hérétiques se moquent. Voir l’annotation au 4. traité qui est, que les Idoles, ne sont point dieux. Gra
sents dans cette phrase, et généralement ailleurs dans ce texte, sont traités comme des adjectifs. d. [NDE] écoulée = oubliée
69 (1666) De l’éducation chrétienne des enfants « V. AVIS. Touchant les Comédies. » pp. 203-229
fants) je vous ferais voir que tout ce que S. Cyprien, ou l’auteur du traité des spectacles, qui est entre ses ouvrages ; tout
a communié, et en y portant, pour ainsi dire, l’Eucharistie L’Aut. du Traité des spectacles parmi les œuvres de S. Cyprien. e
Chap. 29. Chap. 22. Chap. 23. Chap. 25. Chap. 25. Ibid. L’Aut. du Traité des spectacles parmi les œuvres de S. Cyprien. G
70 (1590) De l’institution de la république « SIXIEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut lire et quels on doit rejeter des Théâtres. » pp. 117-127
it dieu du soleil. Vois Macro[be] li. 1. Satur[nales]. c. 20. Vois le Traité de Isis et Osiris en Plut[arque] [Traité des Mora
Satur[nales]. c. 20. Vois le Traité de Isis et Osiris en Plut[arque] [ Traité des Moralia] où ceci est amplement déchiffré. et
it dieu du soleil. Vois Macro[be] li. 1. Satur[nales]. c. 20. Vois le Traité de Isis et Osiris en Plut[arque] [Traité des Mora
Satur[nales]. c. 20. Vois le Traité de Isis et Osiris en Plut[arque] [ Traité des Moralia] où ceci est amplement déchiffré. Dio
71 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre VII. Des Carozels. » pp. 191-195
à son Jeu & à son dessein. Par exemple, le ravissement d’Helene, traité en Carosel, fera paroistre ces Amants dans un Cha
72 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [I] » p. 418
s de grands Auteurs que de grands Comédiens. Malgré cela, ils ont été traités très-durement par quelques-unes de nos Loix. [
73 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « PRÉFACE. » pp. 3-6
candale causé par cette Lettre, je ne crus plus nécessaire ce présent Traité , qui avait été fait dès auparavant. Etant d’aille
74 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XI. Les pères et mères perdent leurs enfants en les conduisant ou en leur permettant d’aller aux spectacles. » pp. 105-107
érard, op. cit, pp. 121-122. Gèrard cite ici la préface de Riccoboni, Traité de la réformation du théâtre. ar. [NDE], Gérard,
75 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Premiere lettre de Mr. *** à Madame *** sur les spectacles » pp. 3-59
i précise, si étendue, si développée ; plusieurs même en ont fait des traités exprès, comme Tertullien & S. Cyprien ; d’aut
ntre Jovin. St. Augustin L. 2 de ses confessions C. 3. & dans son traité de la cité de Dieu L. 6. C. 7. &c. &c. No
l’Eglise Gallicane, dont les Evêques firent imprimer en leur nom, un traité contre les spectacles en 1581. Est-il un fait mie
ie en 1715. Cet Académicien , ajoute-t il, est Auteur d’un excellent traité de l’Éducation des filles. tom. X pag 340. 341. 3
filles. tom. X pag 340. 341. 342. Or, que lit-on au chapitre 13 de ce traité  ? le voici : Les Comédies corrompent les bonnes
s qu’a regarder ces objets dangéreux ? &c. » Tertullien, dans son traité contre les spectacles, au chap. 22. 27. St. Cypri
ais encore d’en avoir fait ; & à ce dernier égard, vous nous avez traités comme ces animaux expirans, qu’on acheve dans leu
76 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
uter à celles de M. Rousseau, et de tant d’autres 1 qui avant lui ont traité cette matière, et dans quelques remarques que je
s remettre sous les yeux ces excellentes répliques que présentent les Traités connus sur cette matière, je me borne à une simpl
. Qu’on nous oppose donc maintenant, si l’on veut, avec le Théologien traité d’illustre par sa qualité et son mérite dans le R
77 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [H] » pp. 416-417
emps d’Eschyle par un Peintre nommé Agatharcus, qui en laissa même un Traité . Parmi les Décorations Théâtrales, les unes sont
78 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à rejeter. » pp. 313-318
t des leçons très dangereuses sur un point qui ne devrait jamais être traité devant les jeunes gens, et moins encore sur le Th
79 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217
sur les joues, sur les épaules ; que sais-je ? c’est la matiere d’un traité immense, & le travail d’un ouvrier habile, qu
nconnue dans toutes les liturgies Orientales. Le P. le Brun, dans son Traité des Cérémonies de la Messe, fait la description &
on les multiplie souvent à l’exces. Le vertueux S. Charles, dans son Traité des Eglises, des Fabriques, des Sacristies, entre
onnent leur robe aux jeux des zephirs. La queue est un grand objet de traité de paix entre les nations belligérantes Hausser,
80 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Riccoboni. » pp. 4-27
nêtes, ne sont pas moins que les autres de mauvais exemple ; ils sont traités sur la scène sans bienséance, & en dépit des
fait que nous amuser par des intrigues, encore si ces amours étoient traités chastement, comme ceux de Théagène & Cariclée
a été la dupe de la droiture du cœur. M. l’Abbé de Besplas, dans son Traité du bonheur public, parle beaucoup de la réforme d
en conservé que dans les Plaideurs. Malheureusement il y a de l’amour traité de façon à faire de mauvaises impressions. Pour y
81 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142
re leurs intentions suspectes. Il prétend que « Nicole ne composa son traité que pour se venger du grand Corneille, qui se déc
ette comédie est très pernicieuse, le sujet et la manière dont il est traité sont détestables ; elle est remplie d’obscénités
le théâtre. Plusieurs Auteurs en ont parlé au long, et même fait des traités exprès. Danéus, célèbre et habile Protestant (Eth
e chose. Voetius (de excess. mundi, 6. command.) en fait un fort long traité . Vincent, Ministre de la Rochelle, a fait approuv
82 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74
e cet ouvrage. Gregorius Tholosanus, Jurisconsulte célèbre, a fait un traité contre les spectacles. (Syntagma Juris L. 39. C. 
on, son habileté, ses vertus et ses malheurs, a composé une espèce de traité contre la comédie, dans son savant commentaire su
la police du théâtre, on en trouvera beaucoup d’articles dans le beau traité du Commissaire Lamarre (Tom. 1. L. 3.), où il par
de Police, pour le règlement des spectacles, que l’on trouve dans le Traité de la Police de Lamarre, et cités en divers endro
83 (1686) La Comédie défendue aux chrétiens pour diverses raisons [Traité des jeux et des divertissemens] « Chapitre XXV » pp. 299-346
sions les plus dangereuses ». Et c’est ce qui l’obligea de publier un traité exprés qu’il composa lui-même Contre les danses &
pas séantes ou permises ni aux Laïques ni aux Ecclesiastiques. a. Traité contre les Danses & les Comédies. a. Des bie
ravail, en Espagnol, Discours 6. b. Respons. Moral. l. 5. q. 11. c. Traité de la Comédie & des Spectacles. d. Défence d
 11. c. Traité de la Comédie & des Spectacles. d. Défence de ce Traité . e. Traité de la Comédie. f. Traité de la Coméd
ité de la Comédie & des Spectacles. d. Défence de ce Traité. e. Traité de la Comédie. f. Traité de la Comédie. g. In
s Spectacles. d. Défence de ce Traité. e. Traité de la Comédie. f. Traité de la Comédie. g. In Solon vit. h. De gloria
84 (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « Instruction chrétienne sur la Comédie. » pp. 443-453
u’en disent Clément Alexandrin, S. Ambroise, et S. Augustin en divers traités  : il y a encore Tertullien et S. Cyprien, Cyprien
t des gens sans honneur. Les Princes séculiers les ont-ils ainsi mal traités  ? Il y paraît par ce que l’Empereur Théodose L.
85 (1731) Discours sur la comédie « PREFACE » pp. -
uniant les Comédiens, et en tolérant ceux qui vont aux spectacles. Le Traité suivant en forme de Discours n’a été composé que
5. [NDA] Du Cange Dissert[ation] 7. sur Joinville p. 166. 6. [NDA] Traité des Chevaliers de la Table ronde. 7. [NDA] Henr
86 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XI. Que les Poèmes Dramatiques n'ont point été condamnés. » pp. 230-236
t glisser dans l'âme par les yeux et par les oreilles : ils n'ont pas traité de la même sorte la représentation des Poèmes Dra
87 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 12. SIECLE. » pp. 187-190
12. SIECLE. SAINT BERNARD Dans le Traité de la conversion des Mœurs, Chap. II. Quant à
88 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIII. Première et seconde réflexion sur la doctrine de Saint Thomas. » pp. 82-84
damnation des théâtres, p. 249 et 250) et Jos. de Voisin, (Défense du traité de Monseigneur le prince de Conti, p. 363 et suiv
89 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 37-67
rniere piéce, les Pelopides ou Atrée & Theste, sujet heureusement traité par Crebillon, & mieux que par Voltaire ; cet
décadence du goût sur le théatre, dont le détail forme une espece de traité de l’art dramatique, l’auteur en rapporte deux qu
a plus sombre pour tous ceux qui ne suivent point le soleil. Tous les traités de l’art dramatique doivent se borner à déveloper
ochin, & dans toutes les siences, par des tables méthodiques, des traités  : ainsi se formoient les auteurs dramatiques, par
rs ouvrages, commencent par donner des regles sur le genre qu’ils ont traité  : ces regles auxquelles leurs écrits ne peuvent m
90 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49
ens que le Monde. Je n’adopte point l’opinion des Auteurs qui ont traité de la Comédie ; voici comme ils racontent son ori
e plus ancienne que la Comédie. Il était naturel que ceux qui ont traité de l’origine de la Comédie se trompassent, &
ouveau de Spectacle qu’on se fait une gloire d’estimer, mérite d’être traité comme les autres Théâtres. Il est trop précieux à
91 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
Traité de la comédie et des spectacles La critique ord
pelle Pastorale: je laisse la dérivation de leurs noms à ceux qui ont traité de la Poétique, on la peut voir dans Jules-César
accomplissement de toute la Loi Chrétienne. Ne voyez-vous pas l'amour traité de cette manière si impie dans les plus belles Tr
92 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXII. Le repentir de quelques auteurs dramatiques d’avoir travaillé pour les théâtres doit nous engager à éviter ces divertissements. » pp. 183-186
., vol. 1, p. 67, qui renvoie à cette lettre. bs. [NDE] Il s’agit du Traité de la Comédie et des spectacles (1666).Voir le si
93 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « III. » pp. 12-16
ces derniers siècles. Mais que direz-vous de S. Charles qui a fait un Traité exprès contre les danses pour en détourner les Ch
94 (1707) Réflexions chrétiennes « Réfléxions chrétiennes, sur divers sujets. Où il est Traité. I. De la Sécurité. II. Du bien et du mal qu’il y a dans l’empressement avec lequel on recherche les Consolations. III. De l’usage que nous devons faire de notre temps. IV. Du bon et mauvais usage des Conversations. Par JEAN LA PLACETTE, Pasteur de l’Eglise de Copenhague. A AMSTERDAM, Chez PIERRE BRUNEL, Marchand. Libraire sur le Dam, à la Bible d’Or. M DCCVII — Chapitre XIII. Du temps que l’on perd au bal et à la danse. » pp. 280-284
ute, l’une des choses qui font perdre le plus de temps. Mais comme le Traité qui suit celui-ci ne doit avoir que ce seul sujet
95 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE IV. Des Femmes de Théâtre. » pp. 42-48
a dans la Méthode de la Réformation, que je donnerai à la suite de ce Traité . 5. [NDA] Histoire du Théâtre Italien. Paris 17
96 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VIII. Du Stile. » pp. 287-319
assé que du choix : mais commençons. 36Denis d’Halicarnasse dans son Traité de l’arrangement des mots, dit qu’il y a trois ca
une diction enflée & trop recherchée. » Longin dans son éxcellent Traité du sublime, s’est beaucoup élevé contre le stile
éral, dans la plus-part de nos Opéras, le Français n’est guères mieux traité que la justesse des pensées & que la raison.
97 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VI. Du Cardinal Mazarin. » pp. 89-108
de la France. Philippe le Bel fit jouer Boniface VIII ; après l’avoir traité de fat dans ses lettres, il le tourna en ridicule
gmatique sanction, etc. (Menagiana, Tom. 7.). Il fut joué lui-même et traité d’avare. Il ne faisait qu’en rire, pourvu qu’on n
te historiette est dans le goût de celles de M. Cahusac, qui dans son Traité de la Danse, nous apprend que le Concile de Trent
98 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Parallèle du Poème épique avec les Pièces du nouveau genre. » pp. 107-112
Parallèle du Poème épique avec les Pièces du nouveau genre. J’ ai traité de tout ce qui concerne le Drame du nouveau Théât
99 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIX. Si un Evêque peut défendre qu’on ne danse les jours des Fêtes, ou même en quelque temps de l’année que ce soit. » pp. 146-153
de suppléer à leur défaut par leur zèle et par leur autorité. Fin du Traité de saint Charles. Exemplum affertur ex C. Anim
100 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VI. De la Poésie de style. Si elle fait seule la destinée des Poëmes. » pp. 94-121
ur de la premiere, dans les ouvrages sérieux ; c’est-à-dire, dans les traités de sciences ou d’arts ; parce qu’on y cherche que
ent ont, pour ceux-là, un mérite égal à celui qu’ont pour ceux-ci des traités de sciences. Il s’ensuit encore que ce n’est pas
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