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1 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Actes ou des divisions nécessaires au Poème dramatique. » pp. 90-106
tre-Acte. Avant d’entrer en matière, éxaminons ce que signifie le terme d’Acte & celui d’entre-Acte considéré dans un
ent d’instant de repos. Les Poètes grecs ne se servaient point du terme d’Acte ; ils divisaient leurs Comédies & leur
t qu’après Térence que les Poètes comiques des Romains prêtèrent à ce terme une signification moins étendue. On prétend que l
il est question des Actes,16 fait pourtant croire avec raison que ce terme était en usage à Rome dès le tems même d’Auguste 
t que les Latins connaissant peu, ou ne connaissant point du tout, le terme d’Acte, devaient ignorer aussi celui d’entre-Acte
où la Scène restait vide. On présume seulement qu’ils n’avaient aucun terme pour èxprimer ce que nous entendons par Acte &
ter. Qu’on ne pense pas se sauver à l’aîde de la musique ; elle a son terme aussi-bien que tout ce qui est dans la Nature. Se
2 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIII. Si les Comédiens doivent prendre le titre de Compagnie. » pp. 122-128
langues. Les mauvaises acceptions qu’on s’est accoutumé à donner à un terme , empêchent qu’on ne lui en donne de bonnes. D’ai
urs réelles. J’ai dit en outre que la confusion opérée par l’abus des termes , étoit sans remède. On n’attache guère d’idées éq
licatesse, en un puéril rafinement. A qui s’en prendre ? A l’abus des termes . C’est lui qui décourage le Philosophe, trop séri
3 (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Jugement sur la Comédie du Festin de Pierre. CAS II. » pp. 805806-812
es des Saints Pères quelques endroits qui expliquent clairement et en termes forts les périls où s’exposent ceux qui fréquente
plaisir l’image et la représentation ? » Lactance s’explique en mêmes termes dans son livre du véritable culte : « Que dirai-j
partie des Actes de l’Eglise de Milan page 485. qui s’exprime en ces termes  : « Que le Prédicateur ne cesse de reprendre ces
’infamie publique que le Droit leur inflige. S’ils se plaignent de ce terme d’infâmes, les Confesseurs doivent répondre qu’il
vent répondre qu’ils ne parlent qu’après l’Eglise qui emploie le même terme dans le chap. Pro dilectione, sur quoi la glose d
4 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXI. Réflexions sur la vertu qu’Aristote et Saint Thomas après lui ont appelée Eutrapelia. Aristote est combattu par Saint Chrysostome sur un passage de Saint Paul. » pp. 117-123
ux dire de mots qui font rire. Car c’est ainsi qu’il s’en explique en termes formels, quand il parle de cette vertu dans ses m
te a traduit scurrilitas, qu’on peut tourner, selon les pères, par un terme plus général, plaisanterie, art de faire rire ; o
e selon saint Matthieu, “homélie VI”]., qui a bien su décider, que le terme d'eutrapelos signifie un homme qui se tourne aisé
5 (1733) Traité contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE TRAITÉ. CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 247-261
latin ; « aut spiritus ideo insitus corpori, ut, etc. » Outre que le terme entée [insitus] ne paraît pas assez noble, et que
as, apulias. Les interprètes ne sont pas tous d’accord sur ce dernier terme  : j’ai suivi Pamélius. Celui Chap. 21. qui veut q
urquoi cela ? Aux Chap. 25. airs efféminés de quelque opéra. Comme ce terme est fort connu, et qu’il exprime bien la chose do
d’ignominieux ; il me semble néanmoins qu’on peut donner à ce dernier terme la signification que je lui ai donnée. Je ne disc
6 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre X. Que l'extrême impudence des Jeux Scéniques et des Histrions fut condamnée. » pp. 217-229
s ceux qui conservaient les moindres restes de l'honnêteté. Voici ses termes . « On ne doit point recevoir à la Table des Fidèl
onner aux Histrions, on n'a regardé que les Mimes et Farceurs, et ces termes ne se peuvent étendre plus loin ; car il les nomm
et du Théâtre, et dans la suite il explique les derniers par le seul terme de Mimes, Bouffons et Musique lascive, sans rien
7 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXII. On vient à saint Thomas : exposition de la doctrine de ce Saint. » pp. 79-81
. 14. [Aristote, Ethique à Nicomaque, livre IV, chapitre 14]., par un terme qu’il nous faudra bientôt expliquer. Au troisième
elques-uns de nos auteurs, qui ne trouvent point dans notre langue de terme assez propre pour exprimer ce mot latin ; n’étant
8 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre III. But que le Spectacle moderne doit se proposer. » pp. 123-132
nt par cœur. On trouve Opéra jusques au milieu des Joueurs ; c’est un terme de piquet, qui s’employe lors qu’on est répic &am
’explication ; c’est un mot bas qui a l’audace de marcher à côté d’un terme jadis respectable. Mais laissons là les recherche
faire une association aussi bisare. Voyons quelle idée on attache au terme Opéra-Bouffon. Dans les supplémens qu’on fait de
9 (1707) Lettres sur la comédie « LETTRE, de Monsieur Despreaux. sur la Comédie. » pp. 272-275
s détachez de l’intérêt du Ramoneur,On ne sait point l’anecdote de ce terme . je ne vois pas, Monsieura, que vous ayez aucun s
’on me lise, et non qu’on me loue. On ne sait point l’anecdote de ce terme . Louis XIV. a. [NDE] Cette lettre de 1707 est a
10 (1715) La critique du théâtre anglais « PREFACE DE L’AUTEUR » pp. -
. Je dois encore avertir ici, que je n’ai point hésité à rendre les termes d’Amant et de Maîtresse en d’autres plus propres
angage : toutes les mauvaises qualités doivent être désignées par des termes capables d’en inspirer de l’horreur. Il est cer
11 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VII. Suite de l’Indécence. » pp. 138-160
on désespère d’y réussir, ou qu’on pense qu’il suffît d’interdire les termes de harangère, qui d’ailleurs n’ont aucun sel. Je
quolibets, ces propos de halles, ces expressions basses, ces vilains termes , s’en fait-on scrupule ? Est il sort utile d’appr
s dans ces discours, il y est monté sur ce ton, on le reconnoît à ces termes ordinaires, il s’en fait gloire ; il l’appelle ré
té de style. Voici une preuve singuliere de l’impression que font ces termes de jurement, sur-tout quand on y mêle le nom de D
obligée, pour n’être pas choquante, de donner un coup de rabot à ses termes , hypocryte vernis d’obscénité, dont le tartuffe s
les objets & les leçons, le goût & le sentiment du crime, les termes équivoques qui la laissent entrevoir, &c. son
éatre qui ne sont que quelqu’un de ces contes mis en action, dans les termes mêmes de l’Auteur ? C’est assurément bien reculer
ux, tout discours qui fait naître des idées impures, quoique voilé de termes équivoques, à moins que la nécessité n’oblige à l
12 (1715) La critique du théâtre anglais « AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR. » pp. -
, au moins pour l’essentiel. « Il n’y a point de Comédie (ce sont ses termes ) qui se conforme plus à celle des Anciens que l’A
sans restriction qu’il s’en faut bien que les choses en soient à ces termes . Mais nous est-ce là un si grand avantage ? et os
e d’une infinité de choses, auxquelles par conséquent une infinité de termes français doivent répondre. Je ne prétends pas néa
13 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. » pp. 297-328
Le mot Français Ariette vient de l’Italien Aria. On entend par ce terme un certain nombre de vers qui se chantent, &
indre un sentiment. Le célèbre Rousseau de Genève semble dire, que le terme Ariette n’est propre qu’aux Drames du nouveau Thé
proche qu’il nous fait ; mais comme nous n’avons point encore d’autre terme , & que les Italiens l’employent eux-mêmes dan
une èxpression plus digne de ce Spectacle. Le remplacerait-on par le terme Air ? il serait ridicule de se l’imaginer, puisqu
on par le terme Air ? il serait ridicule de se l’imaginer, puisque ce terme , en notre Langue, ne désigne, comme je l’ai remar
enre de celles qui sont tant applaudies au nouveau Théâtre. Voici ses termes  : « Les paroles de nos ariettes, toujours détaché
14 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE I. Condamnation de la Comédie par la sainte Ecriture, par les Conciles et par plusieurs raisons. » pp. 7-11
s quoique la Comédie ne soit pas condamnée dans la sainte Ecriture en termes aussi formels et aussi exprès, que nous voyons qu
é de punir très sévèrement ce qui n’était point défendu par la Loi en termes formels et précis : car, par exemple, la Loi ne d
15 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre II. Regrèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. » pp. 94-100
u Charade. L’art de bien les faire est d’appliquer à un seul nom deux termes étrangers, sans compter sa définition naturelle ;
e de question un mot de plusieurs sillabes. Ma prémière partie est un terme de Mathématique, ma seconde, ce que nous habitons
16 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VIII. Erreurs des Modernes sur ce sujet. » pp. 165-186
strument ; comme tous les autres Poètes de son temps, selon mêmes les termes de Tite-Live ; mais j'estime qu'il les fit avec p
 ; il ne faut que lire le grand Pline, qui lui donne cette qualité en termes exprès ; et Galéria était un Embolaire ou Bouffon
la ou Intermèdes ; et si cet Apologiste eût pris la peine de lire les termes de Pline, ou qu'il en eût cherché la significatio
17 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SIXIEME DISCOURS. Si le Prince peut apprendre les Arts Libéraux, comme la Peinture, la Musique, et l’Astrologie. » pp. 195-201
u’elle est plus curieuse que solide ; que quand elle demeure dans les termes de la Nature et qu’elle ne consulte que les Astre
vend que des conjectures ou des mensonges. Il demeurera donc dans les termes de la prudence ordinaire, et comme il sait bien q
18 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35
eligion, le mépris des bonnes mœurs ; & elles ont appris quelques termes de Philosophie dans plusieurs pieces modernes, &a
t ? Le mot de secours est équivoque. Ignore-t-on au Théatre jusqu’aux termes de la Religion ? Elle les reçut avec résignation
alie, les graces, les taleus, l’amour, Apollon. C’est une douzaine de termes qui reviennent toujours, comme dans les Pastorale
nt & d’admiration. Sortir d’étonnement & d’admiration est un terme qu’aucune Académie n’a encore vu. La religion s’a
ur donner l’absolution. Peut on se permettre un abus si prophane des termes de la Religion quand on n’y a pas renoncé ? Il se
idélité. Le style en est aisé, coulant, vif & agréable, à quelque terme près qui a vieilli, ou qui sent le terroir. Elles
’attende pas de lui des dissertations sur ces trois arts, ni même les termes de l’art, qui vrai-semblablement lui sont aussi p
uvent imposer ni faire des procès, ils ne savent ni les regles ni les termes . On voit bien qu’il n’ont rien appris ni étudié.
19 (1715) Dictionnaire de cas de conscience « COMEDIE. » pp. 739740-750
s au rang des personnes infâmes. « Prætoris verba dicunt, ce sont les termes d’une Loi du Digeste, Leg. prætoris. 1. ff. de hi
mpam, non dent : et si fecerint, triennio abstineantur. » Ce sont les termes de ce Concile ; et il n’y a pas lieu de s’étonner
35. in can. Scænicis. 96. cad. dist. dont le Décret est conçu en ces termes  : « Scænicis atque histrionibus, cæterisque hujus
en. in can. Pro dilectione. 95. cit. dist. 2. de consecrat. Voici ses termes . « Consulendum me existimasti, frater carissime,
n virginum Monasteria, vel virgines Comœdias, spectare. » Ce sont les termes du Concile, qui ne doivent pas moins regarder les
20 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE II. » pp. 19-41
Cordelier, in 4. dist. 15. q. 13. art. 3. dubio 3. s’explique en ces termes  : « Quisquis delectatur in peccato mortali, pecca
position que cet Auteur s’applique à bien examiner, est conçue en ces termes  : Si ceux qui assistent aux Spectacles pèchent mo
d’érudition. Il fait parler en sa place le Père Adam Contzenaa en ces termes  : « Affectum amantis numquam verbis aut gestibus
u martyre n’empêche pas la Théodore de Mr. Corneille de parler en ces termes  : « Si mon âme à mes sens était abandonnée, Et s
21 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17
. » Le Canon 5 du 1. Concile d’Arles, tenu l’an 314 s’explique en ces termes  : « Quant aux Comédiens, nous ordonnons qu’ils so
, imprime en 1654. porte la même défense. Je ne rapporterai point les termes dont se servent les Rituels de Sens, l’Alet, de L
en, dans son Livre des Spectacles, chapitre 4. où il s’exprime en ces termes  : « Peut-on dire que les Spectacles ne sont pas d
22 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE II. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Grecs. » pp. 17-48
placer la naissance de la Poësie Dramatique, qui fut ainsi nommée du terme Grec, Action, lorsqu’on eut commencé à réciter de
t ou à gauche, ou vis-à-vis les Spectateurs, qui donnerent lieu à ces termes , strophe, antistrophe, épode, étoient faits, suiv
de Crete, en mémoire du labyrinthe. L’ignorance où nous sommes de ces termes d’une Musique très-inconnue, termes dont les Roma
L’ignorance où nous sommes de ces termes d’une Musique très-inconnue, termes dont les Romains n’ont pas fait usage, fait voir
i longs, qu’il est appellé par Aristophane, Homme qui éleve de grands termes en monceaux. C’est pour cela qu’Horace lui accord
23 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques « [Traité] » pp. 3-62
si cela est permis ; il faut que la parole de Dieu le permette, ou en termes exprès, ou en conséquence nécessaire, ou par l’ap
PaïennesTit. 1. 1 Tim. 3 et 4 t  ; voire elles les défend toutes, en termes exprès ; Que si elle en défend le trop grand étud
xécrations, et invocations des Dieux Païens : Or l’Ecriture défend en termes exprès, non seulement de jurer par les noms des D
ement de S. Cyprien, que nous verrons ci-après : l’Ecriture défend en termes exprèsEph. 5 ab , de nommer la paillardise, impur
en toute âme raisonnable, nous avons d’abondantak un Commandement en termes autant exprès, et clairs, qu’aucun autre, qui soi
uille, le fuseau, et autres telles choses : Est aussi à noter, que le terme Hébreu, dont use Moïse est plus général, que ne p
r, dérober, etc. Or le Commandement dont est questionbx, est conçu en termes négatifs, et partant l’exception des contredisant
stuce des malins esprits, voyant que cette peste-là cesserait, par le terme qui lui était ordonné, mit peine, de faire entrer
iscours, qui repr ésente les maux, qui s’ensuivent, il conclut en ces termes  : « Il faut donc fuir les spectacles, non seulem
ition de rester perpétuellement sur les planches. « Echafaud » est un terme courant pour la scène de théâtre. at. [NDE] dan
24 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381
être plus instruit, 1°. Parce que nous n’entendons pas toujours leurs termes , 2°. Parce que quelquefois ils se sont servis des
leurs termes, 2°. Parce que quelquefois ils se sont servis des mêmes termes pour dire des choses différentes, 3°. Parce que c
clamation Théatrale des Anciens n’étoit pas un Chant Musical. Les termes dont les Anciens se servoient en parlant de la Dé
ntré dans le lieu où l’on représentoit une Tragédie, racontoit en ces termes à Solon, ce qu’il avoit vu : J’ai vu des Hommes é
emme qui avoit joué dans la Comédie jusqu’à cent ans, se sert du même terme  : Lucceia mima centum annis in Scenâ pronuntiavit
Un homme n’en est pas moins estimable, pour être (je rappelle ici les termes de Saint Augustin) peu instruit de toutes ces bag
25 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVII. Profanation de la sainteté des fêtes et du jeûne introduite par l’auteur : ses paroles sur le jeûne. » p. 97
et de douleurs pour les chrétiens ; un temps, où, pour me servir des termes de l’écriture, la musique doit être importune, et
26 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-7
nt les démons, en vertu du pouvoir que Jesus-Christ en avoit donné en termes exprès, in nomine meo demonia ejicient  ; que Sa
ubrique & l’école de leur culte profâne, si l’on peut employer ce terme  : sur-tout il l’a été de cette de cette partie de
27 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE III. » pp. 29-67
anon est le IV. Celui qui vient immédiatement après, est conçu en ces termes  : « Quant aux gens de Théâtre, tandis qu’ils deme
(p. 224) de votre Ecrivain, Mademoiselle ; la seconde, porte sur les termes de la censure, à Communione separari, qui n’expri
louir, qu’il vomisse du Latin à grands flots, & s’exprime en bons termes de Palais, avec un déluge de paroles : Dans ce ce
rcices du Barreau. Je prie l’Auteur du Mémoire de faire attention aux termes de ce dernier Capitulaire : il suppose dans les P
28 (1742) VIII. Conférence. De la Comédie, contraire aux promesses du Batême [Conférences théologiques et morales, IV] « X. Conference sur les sacremens. » pp. 223-247
illégitimes. Saint Clément d’Aléxandrie condamne les comédies en des termes aussi forts, quand il dit que ce sont des assembl
les à entretenir cette boutique diabolique. On ne peut guéres user de termes plus forts, & c’est un des plus saints Docteu
m. D. Th. 2.02. qu. 168. art. 3. ad 3.L’office des baladins (c’est le terme dont il se sert, Officium histrionum) n’est pas e
ions les plus déreglées, il la condamne formellement aussi. Voici ses termes & ce qu’il venoit de dire avant les paroles q
en former d’autres, & à leur apprendre son art, lui répond en ces termes  : «  Consulendum me existimasti, frater carissime
29 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199
munient les Comédiens. Le concile d’Arles de l’an 314 (C. 5.), dit en termes exprès : « Nous ordonnons que tous les Comédiens
conciliation aux Comédiens qui se convertissent sincèrement. Ces deux termes marquent l’absolution du péché et l’absolution de
nications a été réglée avec la précision qui y règne aujourd’hui, les termes ont changé pour les Comédiens, comme pour les aut
t enrichi leurs compilations. Le rituel de Paris de l’an 1654, dit en termes exprès (p. 108.) : « Arcendi sunt à comunione man
NDE] Franciscain flamand du 15e siècle. q. [NDE] réduits au silence, terme de droit.
30 (1675) Traité de la comédie « XIV.  » pp. 294-295
e n'empêche pas la Théodore de Monsieur de Corneille de parler en ces termes . « Si mon âme à mes sens était abandonnée, Et se
31 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
ord de définir ce qu’on entend par Musique 19 ; voyons quelle idée ce terme fait naître dans l’esprit. C’est la science de fo
voyons quelle idée peut faire naître, dans l’esprit du Philosophe, le terme Musique. Ce que le Philosophe conçoit par le
Philosophe, le terme Musique. Ce que le Philosophe conçoit par le terme Musique. Le Sage conçoit par ce mot un assembl
m d’Art & de Science, & qu’il était impossible de trouver des termes dignes de la désigner. Cependant comme les langue
de la musique veulent nous faire croire que les Anciens donnaient au terme musique une signification bien plus étendue que c
s souvent par musique la science des sons & du chant : lorsque ce terme èxprimait toutes les sciences, il perdait sa sign
’on aimerait le Médecin, dont les ordonnances seraient conçues en ces termes  ; pour telle maladie, recipe une heure de musique
32 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIV.  » p. 469
Martyre n'empêche pas la Théodore de M. de Corneille de parler en ces termes : « Si mon âme à mes sens était abandonnée, Et se
33 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
al de Milan, où ce saint Archevêque parle avec ses Suffragants en ces termes  : « Nous avons, dit-il, trouvé à propos d’exhorte
orporelle, quelques permissions qu’ils eussent impétrées. Ce sont les termes des Arrêts de 1584. et 1588. SECTION CINQUIEME
Lettres dans son Recueil d’Avril 1684. où il parle de Molière en ces termes  : « Il n’a corrigé que certaines qualités, qui ne
ce loué et estimé. Dans le Cid on parle d’un parricide commis, en ces termes  : « Enfin n’attendez pas de mon affection, Un lâ
34 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106
rai que nous ne trouvons pas dans la sainte Ecriture cette défense en termes exprès: vous n'irez point au Cirque, vous n'assis
urs des combats des Athlètes, ou des Gladiateurs: comme il est dit en termes formels. Vous ne tuerez point, vous n'adorerez po
du temps qui passe ; considérez l'espace de votre vie ; et au lieu du terme et du bout de la carrière, regardez la fin du mon
35 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VII. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques étaient distingués des Histrions et Bateleurs des Jeux Scéniques. » pp. 145-164
étiennes prennent des maris engagés au culte des Idoles, distingue en termes précis les Scéniques des Comiques. Et Saint Jérôm
pour l'excellence des Drames que l'on y représentait. Car il écrit en termes exprès que le Théâtre des Grecs était beaucoup mo
36 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XX. Spectacles condamnés par les saints Pères et par les saints conciles. » pp. 168-178
dans le dôme du palais à Constantinople, l’an 692, s’explique en ces termes  : « Le saint concile défend les farceurs et leurs
rne, il est d’un concile qui se tint à Paris en 829, est conçu en ces termes  : « Il convient mieux à des chrétiens de gémir su
37 (1641) Déclaration du roi
à fait jusqu’ici, leur donne autant de sujet de se contenir dans les termes de leur devoir aux représentations publiques qu’i
38 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152
mensonge. Actrice, fille de l’Opéra, femme de mauvaise vie, sont des termes synonymes. Arlequin, Scaramouche, Pierrot, sont d
3. p. 14.) ne nous laissent pas la peine de la faire, elles disent en termes exprès : « Tels sont les présents que l’on fait a
a fait jusqu’ici, leur donne autant de sujet de se contenir dans les termes de leur devoir, des représentations qu’ils feront
nes inévitables, de belles promesses pour les mieux contenir dans les termes de leur devoir ; on veut qu’alors leurs exercices
doit être subie que par l’arrêt qui y condamne. Il est donc vrai, aux termes de l’édit, que les Comédiens sont infâmes de droi
39 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VI. Euphemie. » pp. 129-148
’enferme dans le Couvent, presse son tourment, son affreux lien (quel terme dans une bouche catholique & religieuse !), s
rès-voisines, de mauvaises constructions, des inversions forcées, des termes impropres, du précieux, du galimathias, des contr
gan ajoute : Tous les sujets des pieces qui conduisent à employer des termes sacrés ou mystiques, doivent être bannis du théat
ur science. Quoique le ridicule tombe sur l’hypocrite qui emploie les termes de la religion pour son intérêt, & que (dans
40 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre V. Il n’est point de Drame sans Mœurs. » pp. 139-141
disons-nous, celle-ci a de bonnes mœurs. Mais je ne me sers ici de ce terme que pour marquer le caractère distinctif des pers
41 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
 ; car s’il avait entendu les Poèmes héroiques, se serait-il servi du terme de chanson ? J’en suis certain, le Père de notre
able, quoique son stile soit très souvent bas & commun. Voici les termes de ce Poète élégant & judicieux ; « Une Coméd
le dix-huitième siècle n’en peindrait-il pas la cause avec les mêmes termes dont se sert d’Aubignac ? Eh ! quel est donc ce g
42 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE III. L’Esprit de Moliere. » pp. 72-106
hilosophiques, où il alla s’amuser trois ou quatre fois, que quelques termes de physique dont il a formé des scenes bizarres d
s, Bartole, dont il parle dans Pourceaugnac. Il avoit retenu quelques termes de Philosophie aux conférences de Gassendi, quelq
quelques termes de Philosophie aux conférences de Gassendi, quelques termes de Médecine des ordonnances de ses Médecins dans
caractere l’abus du langage sacré ou mystique, dont on y emploie les termes , & qui uniquement réservés à la piété devroie
Ce sont les armes ordinaires du libertinage & de l’irréligion. Ce terme , inventé par Moliere, est devenu un proverbe. Les
all bourgeois, dont la gazette d’Avignon (janvier 1767), parle en ces termes  : On voit ici tous les citoyens concourir à un pr
43 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE X. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces six parties dans Athalie. » pp. 260-315
Cette grandeur n’est point determinée par un certain nombre d’Actes, terme inconnu à Aristote. Une Action ne cesse pas régul
oilà l’espece de Tragédie qui entraîne l’ame où elle veut, suivant le terme d’Aristote. La Reconnoissance a toutes les qualit
chose, se forme peu à peu d’une suite vraisemblable ; [je repete les termes d’Aristote] le Grand-Prêtre a promis un Roi aux L
s principaux Personnages, sont si marquées, & pour me servir d’un terme de Peinture dans notre Langue, si prononcées, qu’
ux, que le Soleil a trois fois chassé la nuit obscure. Josabet dit en termes très-simples,   J’ai cru devoir aux larmes, aux
rs des Anciens, des soupirs, des gémissemens, & pour me servir du terme dont les Prophétes font si souvent usage, des hur
44 (1702) Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour. Lettre de Lettres curieuses de littérature et de morale « LETTRE. de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour, qui lui avait demandé quelques réflexions sur les pièces de Théâtre. » pp. 312-410
a même ingénuité, qu’elles ne savent ce que signifient proprement les termes de Tragédie et de Comédie : Ce sont les deux espè
Harangue, ou une Comédie. J’avais oublié, Madame, à vous expliquer ce terme dont vous m’avez demandé la définition ; il vient
éances, les mœurs et les caractères ; qu’il exprime les sentiments en termes choisis, nobles, et convenables à sa matière. Il
choisis, nobles, et convenables à sa matière. Il y a encore quelques termes de l’Art dont il faut d’abord vous donner quelque
es choses ne sont pas égales ; comme on le peut voir aisément par les termes qu’ils employaient dans leurs invectives. Les ass
de commun avec les modernes, et que si les Pères les ont décriées en termes si forts et si sanglants, c’est qu’elles étaient
45 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VI. Dorat. » pp. 141-175
ien Mousquetaire ne fait pas de la vertu son objet capital. Les mêmes termes  ; les mêmes idées reviennent à tous momens ; c’es
oir vêcu que dans des guinguettes & fréquenté que la canaille. Ce terme est peu noble, mais c’est précisément celui qui l
pas moins dans les délices de la vie, quoiqu’elles se rapprochent des termes dont il ose envisager la perspective. C’est que s
égager la morale, d’intimider les méchans . Ce n’est pas entendre les termes une faculté n’est pas un scandale  ; mais employ
ête est légere , dit-il de lui-même, le courage, la légéreté sont des termes bien radoucis. Ses amis ne sont pas mieux traités
46 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVIII. Doctrine de l’écriture et de l’église sur le jeûne. » pp. 98-101
fliction, que l’écriture n’explique pas autrement le jeûne que par ce terme  : « vous affligerez vos âmes »Levit. XVI. 19 et s
47 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Premiere lettre de Mr. *** à Madame *** sur les spectacles » pp. 3-59
ux en 1300 & de Nicosée en 1353, font les mêmes défenses, en même termes . Le Concile de Bourges en 1584, ne s’éxprime pas
n’en portoient pas moins au mal, de leur nature : ex se. Ce sont les termes . Cela auroit-il besoin d’interprête ? est il plus
omédies, ni faire assemblée en quelque lieu que ce soit . Ce sont les termes de l’arrêt. Voici ceux de l’Encyclopédie pag. 671
; chaque représentation qu’ils font, en est un nouveau. » Ce sont les termes des conférences déjà citées, pag 551. 552. Tr
qu’on ne peut y aller, sans se rendre coupable. » Ce sont ses propres termes . S’en peut-il de plus clairs ? Que peut-on y répo
sa parole, le Confesseur doit lui différer l’absolution. Ce sont les termes du Rituel de Reims, 1677. Telle est la doctrine d
nt aux Ordonnances Synodales… renouvellées à cet égard. » Ce sont les termes des Rituels de Toulon en 1702, de Macon &c en
48 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IX. Spectacles de la Religion. » pp. 180-195
yez dans les révolutions des siecles une image du cirque, attendez le terme de la consommation, intéressez-vous aux triomphes
son empire, de taches dans sa sainteté, de nuages dans sa sagesse, de termes dans sa durée, qui marche sur l’aîle des vents &a
tous ceux du cirque, & plus utiles, puisqu’ils le conduisirent au terme du bonheur : Habemus nostrum aurigam Prophetam El
49 (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88
j’allais mettre la main à la plume. Dans cette Lettre il désavoue en termes si formels l’Écrit que je combats, et la mauvaise
t facile d’y répondre ! 1. Il dit que l’Écriture ne condamne point en termes formels la Comédie. 2. Qu’elles ont été inventées
hose que les commandements ou les défenses de ce qui y est exprimé en termes formels : Elle se contente souvent d’enseigner ce
Dieu, soit par rapport au prochain, dont le précepte ne se trouve en termes formels ni dans l’Ancien, ni dans le Nouveau Test
ie, on peut néanmoins y aller ; parce que l’Écriture ne défend pas en termes exprés d’aller à la Comédie. Pour raisonner mieux
res et des Conciles, en disant qu’ils ne se sont déchaînés (c’est son terme ) f il eût pu dire plus respectueusement, récriés
aines circonstances. Comme tous ces Saints ont exprimé dans les mêmes termes un sentiment qu’ils avaient pris d’Albert le Gran
istrent les Sacrements. Car c’est une règle qui leur est prescrite en termes formels dans plusieurs Rituels, et entr’autres da
arole de séduction o. Il est légitime à l’Église d’en parler en ces termes .
50 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58
e. Ecoutez ce que dit Corneille-Agrippa ; je vais me servir des mêmes termes d’une ancienne traduction. « La déclectation que
un Drame qu’en flattant les passions des cœurs corrompus ; voici ses termes  : « Peut-être même qu’en recherchant la méchaniqu
-il, sur mes paroles & non pas sur mes actions. Voici les propres termes de l’Auteur immortel de tant de Tragédies célèbre
mère, à vos droits la cour ayant égard, Vous adjuge la récréance. Ce terme est consacré au Droit, il signifie un jugement qu
51 (1686) La Comédie défendue aux chrétiens pour diverses raisons [Traité des jeux et des divertissemens] « Chapitre XXV » pp. 299-346
ques que nous appellons Pretendus Reformez. Car voici ce que porte en termes exprez un des articles de leur discipline. a « Le
e Concile du Dôme de Constantinople en 692b. les a excommuniez en ces termes . « Nous ordonnons (dit-il) qu’à l’avenir nul homm
ut donner lieu à l’impureté, & que cela est défendu par la Loi en termes exprés, à cause que les Païens se servoient de ce
es Peres se sont declarez ouvertement. Saint Augustin en parle en ces termes  : « Nous offrons (dit-il) un Sacrifice tres-agrea
s omettre ici ce que Jean Loüis Vivez dit des mascaradesb : Voici ses termes . « Il s’est introduit depuis quelque temps parmi
ils mettent les danses au nombre des dissolutions. Voici les propres termes de ce Synodea : « A cause des danses & dissol
52 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16
lus d’un Grammairien puriste. Le néologisme consiste 1. dans quelques termes de l’Art théâtral très-nécessaires, qu’elle expli
; & je sais qu’elle regarde comme autant de barbarismes, tous les termes que nous en avons empruntés. Quant aux expression
53 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
e sait comment le blâmer. Bien des gens prétendent que l’usage de ces termes de dévotion que l’Hypocrite emploie dans cette oc
cules des Comédies : qu’ainsi il faut voir l’effet que l’usage de ces termes de piété de l’Acteur peut faire sur le Spectateur
nt dans notre Hypocrite en cet endroit : car l’usage qu’il y fait des termes de piété est si horrible de soi, que quand le Poè
eux : de sorte que, cet obstacle levé, continuent-ils, l’usage de ces termes ne peut être regardé que de deux manières très in
-devant de la chose qu’il dit, pour l’insinuer sans horreur, sous des termes qui énervent toute la première impression que cet
monde, que pour traiter celles-ci ils sont contraints d’emprunter les termes de celle-là. Et c’est ici, concluent enfin ces Me
couverte d’une passion amoureuse, il lui fait sa déclaration dans les termes ci-dessus examinés ; à quoi elle répond, que « bi
é un plus rude coup contre tout ce qui s’appelle galanterie solide en termes honnêtes, que cette pièce ; et que si quelque cho
54 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 12. SIECLE. » pp. 187-190
aison que Périclès étant Préteur reprit Sophocle son collègue, en ces termes : Il faut qu'un Magistrat n'ait pas seulement les
55 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  piété et bienfaisance d’un comédien.  » pp. 365-370
bre qu’elle avait louée, parce qu’il lui était impossible de payer le terme qu’elle devait à l’hôte, elle était décidée à se
56 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XX. Silence de l’Ecriture sur les spectacles : il n’y en avait point parmi les Juifs : comment ils sont condamnés dans les saintes Ecritures : passages de saint Jean et de saint Paul. » pp. 72-75
eurs pères et de leur pays, n’étaient point sollicités à reprendre en termes exprès dans leurs écrits, des pratiques qu’ils ne
57 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIII. Première et seconde réflexion sur la doctrine de Saint Thomas. » pp. 82-84
les acteurs des poèmes dramatiques ; Car, si l’on n’entendait par ce terme que les Mimes et les Farceurs, son autorité serai
58 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXI. Les spectacles condamnés par les auteurs profanes anciens et modernes. » pp. 179-182
humain et la nature des choses, s’exprime contre les théâtres en ces termes  : « Ah ! si les dieux avaient eu une volonté malf
59 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre V.  » pp. 129-160
mot persister, d’où sont venus persiffleur & persiflage, sont de termes nouveaux que nous avons vû naître, qui se sont ac
’un, sans qu’il s’en apperçoive, par des idées, des raisonnemens, des termes , des figures, des gestes, des tons qu’il n’entend
, & on croit l’avoir bien loué, &c. ces mots sont devenus des termes Techniques, tous les Etats se forment de même leu
s des idées plus justes, qu’avantageuses : le mariage, dit-on, est le terme de tous les désirs. Comment y parvient-on ? Comme
nt un défaut. Voltaire qui fait tout, ignore-t-il l’explication de ce terme  ? 4. Ce n’est point dans le sable que le Caffé c
60 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [G] » pp. 408-415
[G] Théatre. Nous n’entendons par ce terme , qu’un lieu élevé, où l’Acteur paraît, & où s
précisément le contraire de ce que nous entendons aujourd’hui par ces termes . La seconde partie de la Scène se nommait indiffé
61 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92
conversations, à ce qu’il me semble. Je ne parle pourtant ici que des termes qui font le sujet de mon indignation contre nos A
dans son Hercules furens : et là même, Lycus dit peu de choses et en termes honnêtes à Mégare. Il s’étend assez dans sa Théba
tion des peuples.Aristoph. Ran. Aussi, décline-t-il, pour user de ses termes , la juridiction de l’amour dont il blâme hautemen
et de suivre le naturel de la conversation : il sait exprimer en des termes ordinaires des choses qui ne le sont point : c’es
qu’il se pende ou qu’il s’empoisonne, et qu’il sera bientôt rendu au terme . Cette riposte caractérise bien Hercule ; elle le
onnement est un autre Poème de lui, dont le Prologue est conçu en ces termes  : « Il n’y a point ici de ces équivoques dont on
62 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. Aveux importans. » pp. 83-110
u dernier crime. Toute cette vie n’est qu’une suite de péchés, à quel terme fatal doit-elle conduire ? Les plaisirs de l’espr
de l’esprit, de la politesse, beaucoup d’usage du monde, a évité les termes grossiers & les images obscènes ; quelle femm
orté à l’excès & à une sorte d’adoration ; l’usage a consacré ces termes , ils sont devenus de style ; c’est le protocole d
Paganisme ; je suis bien éloigné d’approuver cet abus idolatrique des termes  ; j’en ai parlé ailleurs, mais je ne comprends pa
63 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
adame Miroton, laquelle est recherchée par M. Gargotin. Il y a peu de termes de cuisine que l’auteur de cette farce y ait oubl
ns de la Paysanne déguisés en Jardiniers, se soient chanté pouille en termes convenables. Carmagnole est en vers. Carmagnole
n sens obscène. C’étoient des Elémens d’impudicité présentés sous des termes ordinaires. Au Ballet, ce fut pis encore, si pour
seconde fois. Les vrais Piliers de ces Spectacles, pour me servir du terme vulgaire, sont un composé d’hommes sans aveu, de
64 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE V. Remarques sur L’Amphitryon, Le Roi Arthur, Don Quichotte et Le Relaps. » pp. 302-493
rer d’eux en faveur du Jupiter Anglais. Ils parlent de Jupiter en des termes magnifiques, et pleins de respect, et ne font qu’
Dieu même ; se moquer de ses perfections et de son Être, ce sont deux termes qui ne signifient qu’une même chose. Et néanmoins
on n’est pas traité avec plus de respect que celui de la Création. Ce terme Rédempteur, qui parmi nous est affecté à la Perso
dicule imaginable : ensuite le conducteur de la bête s’exprime en ces termes  : « Comme on dit qu’un âne malin parla jadis, lor
Chevalier conclut sa harangue par un bonsoir donné à Bernardo en des termes qu’on ne lira point ici. Au quatrième Acte on app
és. Mannel déguisé en femme de qualité s’adresse à la Duchesse en ces termes  : « Illustre beauté je désire avec chaleur de sav
nt d’un voyage, c’est un présage qu’on pourrait bien échouer avant le terme . En second lieu, cette Comédie pèche contre les m
iée. » Le premier Concile d’Arles s’exprime sur cette matière, en ces termes . Ann. 314. Can. 5.« A l’égard des Comédiens, Nous
ier Psaume le sens de cette défense d’aller à la Comédie, quoique les termes précis n’y soient pas : "Heureux l’homme qui s’es
ose défendue ; parce que les saintes Lettres ne les condamnent pas en termes formels. « Que la pudeur toute seule supplée, d
Livre de son Commentaire sur Ezéchiel, il parle aux Chrétiens en ces termes  : « Puisque nous sommes sortis de l’Egypte, c’est
65 (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32
ois que vous m’allez dire ce que j’ai lu dans votre critique, que ses termes sont trop hardis et qu’il semble se moquer quand
s. Mais changent-elles de nature ou de condition, lorsqu’on change de terme ou de ton pour en parler ? Je ne prétends point i
66 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre IX. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques n'étaient point infâmes parmi les Romains, mais seulement les Histrions ou Bateleurs. » pp. 188-216
eurs statues sont élevées en objets de vénération ; car elle parle en termes exprès des Pantomimes, ou d'un vil Histrion, c'es
s y ont été célébrés les premiers ; et cette intelligence résulte des termes de la Novelle de Justinien qui y est conforme ; e
67 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VIII. Du Stile. » pp. 287-319
le recherché. Aristote vient encore leur prêter un nouvel appui ; ses termes sont formels & sans obscurité. « Les endroits
; commun, n’aura pas besoin d’ornemens. D’Aubignac semble déclarer en termes éxprès, que c’est avec raison que notre nouveau S
de ses yeux mortels des esprits, ou des âmes ; qu’on en juge par ses termes  ; C’est-là, ce qui fait peur aux esprits de ce t
68 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168
tte, La Femme Provoquée et le Relaps sont d’une grossièreté que leurs termes seuls peuvent exprimer. Aussi, les Poètes d’aujou
eu de le croire, ne craignent-ils pas du moins la loi qui proscrit en termes formels les jurements sur le Théâtre ? « Pour pré
une ample matière de scandale. Dés le commencement Dorax parle en ces termes  : « Je confierais au Ciel le soin de ma vengeance
t il s’agit ? Lucien ni Celse ne se seraient peut-être pas énoncés en termes plus badins et plus burlesques sur la résurrectio
uoiqu’il veuille dire, l’impiété se montre toujours au travers de son terme vague et obscur. Le Colonel Sancho apprend à Carl
69 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Parallèle du Poème épique avec les Pièces du nouveau genre. » pp. 107-112
Pièces du Théâtre de la Nation des endroits nobles & relevés, les termes d’ivrogne, âne, bœuf, pourceaux, &c. que l’on
70 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVI. Sentiment de Saint Antonin. » pp. 93-96
ssement ou pour celui d’autrui, etc. » On ajoute ici dans le texte le terme de comédie, qui n’y est pas : Saint Antonin parle
71 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VI. Des Sçènes. » pp. 257-276
es Grecs & des Latins. Les Grecs n’ont fait aucun usage de ce terme , qui nous vient directement des Latins. Ils se co
ême. Mais afin d’éviter les équivoques, on aurait dû faire choix d’un terme qui n’eut pas tant d’acceptions différentes.
72 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « [Lettre] » pp. 4-32
e son prochain ne vaut rien, et même qu’il n’a jamais rien valu ? Les termes sont significatifs, la pensée n’est point envelop
orte pas non plus d’achevé d’imprimer. b. [NDE] L’auteur reprend les termes de l’auteur des Observations. c. [NDE] Pour parl
73 (1671) La défense du traité du Prince de Conti pp. -
rticulièrement dans la Messe, comme le Concile de Trente le marque en termes exprès « Missa magnam continet populi fidelis eru
elle soit courte, finissent les uns et les autres ; et la mort est le terme de la vie de tous. » On ne peut pas donc dire, qu
les Conciles, les Saints Pères, et les Jurisconsultes, condamnent en termes exprès les Comédies, et les Tragédies avec leurs
on. Raison pour laquelle dans la suite de ce Livre, on se sert du terme de Réfutation. Dans celle-ci l’on fait voir que c
s. IV. Réfutation. Saint Chrysostome condamne les Comédies en termes formels. V. Réfutation. Saint Cyrille Evê
que Pline second représente excellemment dans son Panégyrique en ces termes « Vita Principis censura est eaque pepetua, ad ha
un livre ce qui n’y est point, et qu’on n’y voie pas ce qui y est en termes exprès. Voici les paroles de Quintilien dans l’en
rologue de l’Andrienne de Térence nous le fait assez connaître en ces termes « Poëta cum primum animum ad scribendum appulit. 
s tromperies, et par de mauvais traitements. Un débauché parle en ces termes dans cette pièce : « Que c’est une douceur d’av
s paroles de l’Auteur de la Dissertation, qui ne s’attende de voir en termes exprès dans ce qu’il va rapporter de Tertullien,
u ne saurais te dispenser de haïr les Auteurs. » Et il conclut en ces termes . Tertul. cap. 14. « Donc si toutes les choses son
cité par Burchard, et par S. Yves Evêque de Chartres, il est porté en termes exprès  « Si quis Kalendis Janvarii aliquid fecer
ans l’Apologie de la vie de ce Prince, laquelle S. Jérôme loue en ces termes « Felix Theodosius qui a tali Christi Oratore def
une Comète “funeste aux Royaume de la terre”. Socrate en parle en ces termes  : « Une Comète beaucoup plus grande qu’aucune que
même année 399. et sous le Consulat du même Manlius Théodorus en ces termes   « Ludicras artes concedimus agitari ne ex nimia
long sur chacune de ces lois. La première fut faite l’an 386. en ces termes « Ne quis in legem nostram quam dudum tulimus, co
es Empereurs Théodose, et Valentinien, de l’an 425. est conçue en ces termes « Dominico qui Septimanæ totius primus est dies,
avons parlé dans la VI. Réfutation précédente ; voici quels sont les termes de cette loi « Ut profanos ritus jam salubri lege
s Spectacles des Tournois, qui est insérée dans les Décrétales en ces termes « Felicis memoriæ Innocentii et Eugenii prædecess
confirment ce que nous venons de dire, dans la vie de S. Ubald en ces termes « Pacificato lo Imperadore col sommo Pontefice, e
t été des derniers Histrions, comme Démosthène le lui reproche en ces termes « Locata opera tua illis Histrionibus qui suspiri
avait que lui seul qui n’y dût point monter ; faisant voir par là en termes bien exprès, que le Théâtre est si infâme, que pl
s des Grecs sur ce sujet, il rapporte ensuite ceux des Romains en ces termes « Romani quamvis jam superstitione noxia premeren
été parmi les Romains. C’est aussi ce que Tertullien nous apprend en termes exprès dans son Traité des Spectacles « Ipsi auc
eurs des Poèmes Dramatiques, y comprenant les joueurs de Tragédies en termes exprès. « Puisque les hommes, dit-il « Quum igitu
e prononçait l’Acteur de Tragédie. » Et la Glose même expliquant ces termes , pour prononcer « Pronuntiandive causa ; id est,
ntent sur la Scène ? Puisque Cicéron nous l’apprend clairement, et en termes exprès, quand il dit « Roscius cum artifex ejusmo
alphabétique, lequel est à Rome dans la Bibliothèque du Pape, en ces termes -ci : Tous ceux qui entrent dans les combats pour
eurs statues sont élevées en objets de vénération ; car elle parle en termes exprès des Pantomimes, ou d’un vil Histrion « Si
toute entière telle qu’elle est dans le Code montre clairement et en termes exprès, que le Théâtre est un lieu infâme, et des
iastiques, que l’Empereur Justinien n’a point révoquées, défendent en termes exprès aux filles, et aux femmes Chrétiennes d’ép
point monté sur le Théâtre ? La loi Julia ne le déclare-t-elle pas en termes exprès, défendant aux hommes de qualité d’épouser
e il paraît encore par la définition que Sénèque nous a donnée en ces termes  : « Artes ludicræ, dit-il « Artes ludicræ sunt qu
ls y ont été célébrés les premiers. Et cette intelligence résulte des termes de la Novelle de Justinien Novell. 22. de iis qui
t ce qu’il dit en cet endroit ; Mais il faut auparavant rapporter les termes de ces lois. « Que le mari, dit la loi du Code « 
ène, dans les lieux où l’on a accoutumé de les célébrer. » Voici les termes de la Novelle de Justinien « Lex licentiam dat vi
les Poètes Comiques, lequel saint Augustin représente en ces propres termes . « Terence , dit-il « Terentius inducit nequam
des Athlètes, comme il les divise aussi dans son Apologétique en ces termes « Nihil est nobis cum insania Circi, cum impudici
, n’étaient point notés d’infamie, comme Valère Maxime le témoigne en termes exprès ; les Comédiens donc, et les Tragédiens ne
pas l’art de représenter les Jeux ; puisque Valère Maxime témoigne en termes exprès « Constat Æsopum, Rosciumque ludicræ artis
ussent les Acteurs de ces Jeux, comme Tite-Live nous l’apprend en ces termes « Quod genus ludorum (Atellanorum) ab Oscis accep
is non pas sur les paroles de Cicéron, lequel au contraire déclare en termes exprès qu’il y avait de l’infamie à monter sur le
aux Acteurs de Comédies, et de Tragédies ; car les lois déclarent en termes exprès qu’elles exemptent les Athlètes de cette p
mie de fait. » Ce qui est confirmé par le témoignage de Tacite en ces termes « Aggregabantur e plebe flagitiosa per obsequia V
sente les sentiments des plus sages de son temps sur ce sujet, en ces termes « Cæterum abolitos paulatim patrios mores, fundit
, n’étaient point notés d’infamie, comme la loi Athletas le marque en termes exprès : « Sabinus et Cassius, dit la loi « Athle
unié. » Le Concile de Bordeaux, tenu l’an 1583. n’interdit-il pas en termes exprès les Comédies aux Ecclésiastiques, comme ét
1. selon les sentiments des Grecs. Or dans le 9. Chapitre il parle en termes exprès des Acteurs de Comédies, et de Tragédies.
pitre 13. les sentiments des Romains opposés à ceux des Grecs, en ces termes « Romani quamvis jam superstitione noxia premeren
onorer scenicos homines, les Acteurs de la Scène », il paraît que ces termes , scenicos homines comprennent les Acteurs de Trag
vec attention ; car ce S. Docteur de l’Eglise dit le contraire en ces termes exprès « Et hæc sunt sceniorum tolerabilia ludoru
es Comédiens ni les Tragédiens ; puisqu’aussitôt après il condamne en termes exprès les Comédies et les Tragédies, comme étant
Tragédies ni les Comédies, dans l’endroit même où il les condamne en termes exprès. Dissertation pag. 220. « Aussi lor
s ceux qui conservaient les moindres restes de l’honnêteté. Voici ces termes  : « On ne doit point recevoir à la table des fidè
tion. Car peut-on condamner plus expressément les Tragédies qu’en ces termes de ce grand S. que Monseigneur le Prince de Conti
e faire voir au contraire que S. Chrysostome condamne les Comédies en termes formels. Car en effet S. Chrysostome représentant
la manière qu’on doit lire les livres des Gentils ? Il y condamne en termes exprès les Poèmes Dramatiques, comme étant rempli
re, ne parle que des Pantomimes ; puisque dans le Canon 67. il met en termes exprès les Comédiens au rang des Scéniques, et ne
n. in Psal. 102.  ; on n’a regardé que les Mimes et Farceurs : et ces termes ne se peuvent étendre plus loin ; car il les nomm
on donne le nom d’Histrion aux Acteurs de Comédies et de Tragédies en termes si exprès qu’il n’y a pas lieu d’en douter. Aussi
ugustin. » Quant à ce que l’Auteur de la Dissertation ajoute, que le terme d’Histrion ne s’étend qu’aux Mimes, aux Bateleurs
upposition dis-je, est évidemment fausse ; car S. Augustin déclare en termes exprès, que la Comédie est vicieuse et criminelle
tpellier. Dans le chapitre 13. de ce livre saint Charles parle en ces termes  : « Nous avons jusqu’à présent parlé des Danses,
et du Théâtre ; et dans la suite il explique les derniers par le seul terme de Mimes, Bouffons et Musique lascive « Mimos, l
ici deux fautes ; l’une pour n’avoir pas entendu la signification du terme lusoria dont Salvien se sert ; l’autre d’avoir su
uretés des Comédies, comme ses paroles le font assez entendre par les termes de représentations de choses honteuses, etc. Voic
p., j’ai fait voir que S. Augustin condamne les Poèmes Dramatiques en termes exprès, lorsqu’il dit que le Théâtre des Comédies
té notés d’infamie. A l’égard du premier point, Tertullien déclare en termes exprès que sans parler de l’idolâtrie, les specta
ques, je rapporterai ici ce qu’il en dit dans l’Epître à Donat en ces termes « Converte hinc vultus ad diversa spectaculi non
il ne devait pas omettre ; on verrait que S. Augustin nous apprend en termes formels que les Romains ont condamné les Comédies
veut faire accroire que Lactance ne condamne pas ce qu’il condamne en termes exprès. Est-ce qu’il s’est imaginé que ceux qui l
es, les incestes, et toutes sortes de crimes. » Peut-on condamner en termes plus exprès non seulement les sujets des Comédies
ations de leur ministère. C’est ce que nous enseigne S. Jérôme en ces termes « Et si quando cogimur litterarum sæcularium reco
de ne les point lire, et de n’en être point les Spectateurs. Mais les termes du Canon Sacerdotes allégué dans la Dissertation
es Comédies et des Tragédies modestes et honnêtes, puisqu’il parle en termes exprès des Comédies et des Tragédies de l’antiqui
trois années ». L’imposition de cette pénitence est insérée en mêmes termes dans le Pénitentiel Romain et dans le décret de B
donner lieu à l’impureté, et parce que cela est défendu par la loi en termes exprès, à cause que les Païens se servaient de ce
Pères Jésuites ont pourvu dans les règlements de leurs Ecoles en ces termes « Tragœdiarum et Comœdiarum, quas Latinas et rari
r qui est inséré dans le Code de Théodose, au titre de Majuma, en ces termes  : Il nous a semblé bon de rendre aux Provinciaux
it qui est aussi inséré dans le même titre du Code de Théodose en ces termes  : « Nous permettons les arts qui servent aux jeu
n même qui est allégué dans la Dissertation, Innocent III. déclare en termes exprès que c’était un abus et un dérèglement. « C
qui blessaient l’honnêteté de l’Eglise; n’est-ce pas lui enjoindre en termes exprès de chasser des Eglises ces jeux de Théâtre
ial de Cologne tenu l’an 1549. sous l’Archevêque Adolphe, condamne en termes exprès « Percepimus Comœdiarum Actores quosdam, s
causa quæstus à faire jeux ou spectacles publics… et ainsi en propres termes le déclare Parnorm. in dicto tit. cum decorem. C’
prouver dans son livre ; car dans cette Déclaration il est marqué en termes exprès, que les Comédiens avaient été notés d’inf
a fait jusqu’ici, leur donne autant de sujet de se contenir dans les termes de leur devoir aux représentations publiques qu’i
» Et elle-même découvre à son amant le transport de son amour en ces termes  :  «Tous objets près de vous me sont indifférent
lège, d’impureté, et d’imposture, que cette Comédie représente en ces termes . LELIE à Eraste son ami, et amant d’Eroxène. « Q
n d’Hyarbas Roi de Gétulie, à qui il donne avis de son dessein en ces termes  : « Vous pouvez dire au Roi qu’il ne tiendra qu’
se d’elle-même, qu’il dédie à M. le Marquis de Richelieu, il avoue en termes exprès que les ouvrages Comiques sont indignes de
; et néanmoins il obtient enfin ce qu’il souhaite ». Il répond en ces termes  : « Quant à la maxime touchant la récompense des
om les Acteurs des Poèmes Dramatiques. Car si l’on n’entendait par ce terme que les Mimes, et les Farceurs, son autorité sera
Scipion dans ces livres que Cicéron a écrits de la République en ces termes  : « Les Romains estimant que l’art de divertissem
onteuses. C’est ce que saint Cyprien déplorait dans son temps, en ces termes  : « Les hommes de quelque âge, et de quelque sex
la défense de la dernière loi du titre des Fêtes dans le Code en ces termes  : « Nous ne voulons point que ces jours de Fêtes
a faite autrefois à cette objection, qu’il propose, et réfute en ces termes  :· « Je vous montrerais, me direz-vous, des per
ainement une vierge et martyre sur un Théâtre n’est autre chose qu’un terme qui n’a ni jambes ni bras, et par conséquent poin
t, parce que encore que ces divertissements ne soient pas défendus en termes exprès dans l’Ecriture sainte, néanmoins ils ne l
u martyre n’empêche pas la Théodore de M.  Corneille de parler en ces termes  : « Si mon âme à mes sens était abandonnée, Et s
ent des choses indifférentes. Et saint François de Sales le marque en termes exprès quand il dit, que « selon l’ordinaire faço
ère, qui est ce que l’on représente. La manière qui consiste dans les termes , et les actions avec lesquelles les Acteurs expri
t aux Comédiens de quoi s’entretenir, pèchent mortellement. Voici ses termes « An peccent mortaliter suis stipendiis Histrione
74 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VIII. Comédie du Tartuffe. » pp. 161-179
de la naissance & de l’éducation, que ces injures des halles, ces termes grossiers dont toute cette piece est farcie, coqu
souffrir : quelle expression ! De ce devoir la juste violence : quel terme  ! Il a vers vous détesté son ingratitude : quelle
oute cette piece si vantée est pleine de phrases les plus louches, de termes grossiers, d’idées triviales, de répétitions, de
75 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Cirque. » pp. 9-43
ν ἁγιαν βασιλειάν σας ἐις πὸλλὰ ἔτη. Curopal. in off. aul. Constant. termes obligeans & affectez à ce respect. Ce premier
party. Il y eut ordinairement quatre Escadres ou Escadrons, ou si le terme recent & Espagnol plaist davantage, quatre Qu
ent à souffrir toutes sortes de peines, & il estoit conçeu en ces termes , que je crois estre historiques plûtost que forme
76 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IV. Du Clergé considéré comme protecteur et fondateur des Comédiens du troisième âge en France, et comme en ayant lui-même exercé la profession. » pp. 113-119
nt-sacrement. L’autorité séculière se crut enfin obligée de mettre un terme à tant de désordres scandaleux, et, d’accord avec
77 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Le Comte de Chavagnac & le Marquis de… » pp. 188-216
érale, que j’eus bien de la peine à appaiser. Enfin nous arrivames au terme . Il fallut se dire adieu. Ce ne fut pas sans vers
goût des maîtres à danser, à chanter du Bourgeois Gentilhomme, en ces termes  : Je viens présenter à Votre Majesté une nouvell
ls donc que licence d’opinion, luxe d’esprit, abus de la raison ? Ces termes dans la bouche d’un Prince de l’Eglise, parlant à
and, Seneque, Fontenelle, &c. Voilà la vraie signification de ces termes  ; mais les attentats de Vanini, les absurdités du
78 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
vienne le maître absolu, et que tout cède à la cupidité ? C’est à ces termes que nos Poètes tâchent d’en venir : et quel chemi
nent une route différente ; mais ils doivent toujours aboutir au même terme . J’ai sur cela de bons garants, outre ceux dont j
t de sens commun ; vu que c’est le Milord qui le fait lui-même en ces termes « Oh ! oh ! que lisez-vous sur mon visage qui vou
les Universités pour lesquelles il a autrefois travaillé. aq. [NDE] Terme vieilli. Action de tabarin, ou bouffonnerie (Litt
79 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
doivent absolument s’abstenir de ce que Dieu ne leur a pas défendu en termes exprès. Il est vrai, que nous ne trouvons point f
baptismaux, nous avons fait profession de la foi chrétienne dans les termes qu’elle nous prescrit. Au même temps nous avons p
use des Lydiens de qui ils venaient. Il est vrai que Varron dérive ce terme du verbe ludere, jouer, c’est-à-dire, badiner, se
ipe. Consus, comme j’ai déjà dit, demeure caché sous terre proche des Termes . Ce n’est pas tout : les limites Murtiennes tiren
uez-y la vicissitude, et la fuite précipitée du temps ; regardez-y le terme de notre consommation ; prenez-y le parti des soc
80 (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325
mp; honestatis eversionem. I. C. 33. Saint Augustin en avoit parlé en termes aussi absolus, & aussi veritables ; il les av
ils ne font parler l’impudicité, l’impieté, les autres crimes, qu’en termes conformes à leur déguisement ; ils cherchent, ils
. la delicatesse du saint Esprit, si j’ose avec luy me servir de ce terme , & qu’il ne leur est pas permis d’aller à la
n’avoir aucune pitié de vous. C’est Dieu luy-mesme qui se sert de ces termes  ; vous ne doutez point de sa sincerité. Prevenez
r les theatres. Son illustre Secretaire Cassiodore l’exprime avec ces termes dans les lettres qu’il donna de la part de ce Pri
Lib. 39. c. 5. Synt. juris. Que les Magistrats sçachent, ce sont les termes de ce fameux écrivain, que ces précautions sont n
81 (1694) Lettre d’un théologien « Lettre d'un théologien » pp. 1-62
ullien, nous n’y trouvons nulle part, que, de même qu’elle défend, en termes exprès, d’adorer les Idoles, ou de commettre des
t un scandale passif et non pas un scandale actif, (pardonnez-moi ces termes de l’Ecole) c’est une occasion prise et non pas u
que dans celui de l’esprit que les Saints Pères en ont parlé en mêmes termes que les profanes. Saint Grégoire de Nazianze, l’h
ur Créateur. » S. Jean de Damas condamnait aussi le même excès en ces termes « Civitates quaedam, etc. »3.parall.c.47.  : « Il
s de larmes et de douleurs pour les Chrétiens, ou, pour me servir des termes de l’Ecriture, temps où la Musique doit être impo
ps de larmes et de douleurs pour les Chrétiens, et pour me servir des termes de l’Ecriture, temps où la Musique doit être impo
82 (1574) Second livre. Seconde épître. Cécile Cyprien à Donat [extrait] « letter » pp. 40-41
ux personnes. Cotgreave donne pour putois, putier et putoir plusieurs termes pour de fort mauvaises odeurs, sans attribution à
83 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE II. » pp. 18-28
ce, que j’ai cherché la loi en question ; je l’ai lue, & dans les termes qui l’expriment, je n’ai rien trouvé qui favorise
84 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
ents, puisqu’il les condamne avec tant de chaleur : voici ses propres termes  : « Aller aux théâtres, dit ce Saint, est une esp
85 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver sur le Théâtre de la Réformation. Avant Propos. » pp. 118-127
e ou plutôt la raison : la nature : le bon sens : le vrai : et autres termes semblables, ainsi qu’on peut le vérifier dans mes
86 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Anecdotes de Cour. » pp. 171-202
: il ne fut jamais de nation plus théatrale, si l’on peut employer ce terme . Le théatre naquit en Grece, il y fut porté à la
en avoit accepté la dédicace : mais on y satyrise vivement, quoiqu’en termes généraux, les abus & les détours de la chican
lui : celui-ci ne s’en acquitta qu’imparfaitement ; il ne parla qu’en termes généraux, sans désigner expressément les deux pie
gible voix l’excuse qu’on lui avoit donnée par écrit, conçue dans les termes précis qu’on avoit exigés. Le public est malin :
87 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE III. Théatre de S. Foix. » pp. 52-75
liqué à tout ce qu’il y a de plus séduisant. On a beau en écarter les termes grossiers, & n’employer que des expressions i
entes couleurs, mais tout décelle la famille, & rend en différens termes la même pensée, le même esprit, le même cœur. Cor
rs regardé les secondes noces comme une fornication tolérée. Ces deux termes , si peu faits l’un pour l’autre, ont été réunis p
88 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Moliere. » pp. 4-28
rage. Mais le langage est plus poli, les obscénités plus voilées, les termes des halles plus rares. Je crois la différence lég
a servante, & que personne ne traite de sublime. C’est abuser des termes , c’est la fureur de l’enthousiaste de donner tout
es honnêtes gens ; un langage poli qui pare les idées licentieuses de termes honnêtes, lance des traits d’autant plus séduisan
89 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100
ut employé à régler la discipline des théâtres, et chaque loi par les termes les plus méprisants semble n’être faite que pour
politique contre les spectacles, semble avoir voulu ramasser tous les termes , et termine par cette péroraison sa savante Disse
au long par Tiraqueau (de Nobilitate C. 39. n. 13.). Il décide en ces termes contre les Princes des états de Thalie : « Histri
90 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre III. Recherches nécessaires pour s’éclaircir si les Anciens ont connus l’Opéra-Bouffon. » pp. 101-108
n par le nom que nous donnons au Moderne, parce que j’ignore de quels termes on se servait pour nommer celui des Grecs & d
91 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82
sa questus ak à faire jeux ou spectacles publics, et ainsi en propres termes le déclare Panormitanus In dicto titulo « Cum dec
le dictionnaire de Moréri, éd. 1759, tome 7, p. 494-495). ca. [NDE] Terme de droit et de chancellerie : ruse qui consiste à
92 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IV. Le Peuple doit-il aller à la Comédie ? » pp. 60-74
vembre 1543, rapporté par Fontanon (Tom. 1. pag. 729. art. 6.) en ces termes  : « La Cour avertie que plusieurs du peuple et ge
ione de servo corrupto. » Ce que Mornac sur cette loi applique en ces termes aux enfants de famille à qui on donne ces sentime
93 (1666) De l’éducation chrétienne des enfants « V. AVIS. Touchant les Comédies. » pp. 203-229
ainement une vierge et martyre sur un théâtre n’est autre chose qu’un terme qui n’a ni jambes ni bras, et par conséquent poin
nt, parce qu’encore que ces divertissements ne soient pas défendus en termes exprès dans l’Ecriture sainte, néanmoins ils ne l
94 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « Discours préliminaire. » pp. -
parlant de ce qui nous amuse & nous réjouit ? Afin de varier les termes , je désigne sous plusieurs noms le genre de Spect
95 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre X. Des Décorations. » pp. 336-344
acun des décorations analogues à son genre. Vitruve nous l’apprend en termes formels : « La Scène tragique était décorée de co
96 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  RECAPITULATION. » pp. 382-390
e grand Corneille nous fait rarement pleurer ; mais pour me servir du terme de Madame de Sévigné, il nous fait souvent frisso
97 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XII. Que la représentation des Comédies et Tragédies ne doit point être condamnée tant qu'elle sera modeste et honnête. » pp. 237-250
m les Acteurs des Poèmes Dramatiques ; Car si l'on n'entendait par ce terme que les Mimes et les Farceurs, son autorité serai
98 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXII. Passages de Saint Ambroise et de Saint Jérôme sur les discours qui font rire. » pp. 124-131
La thèse que soutient saint Thomas en cet article est énoncée en ces termes  : « Qui in ludo talem defectum committunt ut et i
99 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
t avec lui sur le scène, l’explique en même tems au spectateur en ces termes  : « Illustre rejetton de ce Prince qui conduisit
r de Ste. Barbe, par le Prince de Rohan, le Marquis de Rosny, Mrs. de Termes , Marcillac & autres Seigneurs. Sous Louis XII
eux qui nous ont précédé. Un voyageur qui veut arriver promptement au terme de sa course, ne s’amuse point à considérer le ch
est foulée aux pieds(a) » Le fameux Acteur Baron fut si offensé des termes de l’ordonnance de sa pension(b), qu’il balança p
100 (1694) Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de Qualité, sur le sujet de la Comédie « letter » pp. 3-127
ertullien, nous n’y trouvons nulle part que de même qu’elle défend en termes exprès d’adorer les Idoles, elle commande aussi e
t avec cela que le Théâtre ne laisse pas d’être défendu sous d’autres termes plus généraux où il se trouve enveloppé : et il a
e Histriones, il semble les tolérer, pourvu qu’ils demeurent dans les termes de la modestie, qu’ils ne jouent pas dans des tem
ire dans la République et à la vie ; ainsi elle peut être réduite aux termes de la nécessité, et en ce cas loin d’être infâme,
porelle, quelques Permissions qu’ils eussent impétrées ». Ce sont les termes des Arrêts de 1584. et de 1588. Quant à ce qu’il
qu’aux Spectateurs, pour les contenir les uns et les autres dans les termes de la modestie. Peut-être aussi que si on avait f
de larmes et de douleurs pour les Chrétiens ; ou, pour me servir des termes de l’Ecriture, temps où la Musique doit être impo
. » La seconde est la Loi dernière au Code de Feriis, dont voici les termes  : « Nous ne voulons pas que les jours de Fêtes qu
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