disgracié vostre personne. Ainsi le Bal merite bien quelque sorte de
soins
, & qu’un galant homme s’aplique à se bien tir
bien tirer d’un pas si dangereux. Ie ne voudrois pourtant pas que ce
soin
fût ou trop grand, ou trop affecté, ou trop manif
s avantages du bel art & de la galanterie. Ainsi non-seulement le
soin
, mais un peu d’affeterie leur sied bien, & ce
mp; la continuation du Bal dure de cette maniere, & avec ce petit
soin
de rendre & de reprendre ceux qui nous ont pr
que le don précieux qu'il nous a fait de son amour, et que nous ayons
soin
de l'entretenir en lui donnant de la nourriture.
quels il ordonne d'entretenir toujours le feu sur l'autel, et d'avoir
soin
d'y mettre tous les jours du bois le matin: « Ign
t le cœur de l'homme, et chaque chrétien est le Prêtre qui doit avoir
soin
de nourrir sur l'autel de son cœur le feu de la c
que le don précieux qu'il nous a fait de son amour, et que nous ayons
soin
de l'entretenir en lui donnant de la nourriture.
uels il ordonne d'entretenir toujoursg le feu sur l'autel, et d'avoir
soin
d'y mettre tous les jours du bois le matin. « Ig
t le cœur de l'homme: et chaque Chrétien est le Prêtre qui doit avoir
soin
de nourrir sur l'autel de son cœur le feu de la c
t ; mais il est certain que ce désir s'éteint facilement, si l'on n'a
soin
de le nourrir par les prières actuelles et par la
toujours dans le fond de leur cœur, ils doivent éviter avec un grand
soin
tout ce qui peut rendre leurs prières indignes d'
'appliquer à Dieu. Cela suffit pour obliger tous ceux qui ont quelque
soin
de leur salut de fuir les Comédies, le Bal et les
ît: mais il est certain que ce désir s'éteint facilement, si l'on n'a
soin
de le nourrir par des prières actuelles, et par l
toujours dans le fond de leur cœur; ils doivent éviter avec un grand
soin
tout ce qui peut rendre ces prières indignes d'êt
'appliquer à Dieu. Cela suffit pour obliger tous ceux qui ont quelque
soin
de leur salut de fuir les Comédies, le Bal et les
ux Génies que Jupiter a jeté la Pomme, mais qu’il laisse à Apollon le
soin
de la donner au plus digne. Comme il n’y a en Fra
oulu désigner par Apollon, à qui Jupiter laisse comme à son Agent, le
soin
de donner au plus digne l’Archevêché d’Aix. Il fa
end. Afin sans doute que chacun de ces Génies s’applique avec plus de
soin
à faire valoir ses prétentions, lorsqu’on sera su
mp; les tributs D’un Citoyen de l’autre Monde. Mes succès, par vos
soins
, surpassent mes desirs. C’est par vous que Monime
de mon ame : Je disois qu’Apollon & l’amour de concert Prenoient
soin
de venger ma flamme : Que ces Dieux pour punir s
. Ce Dieu découvre à nos regards Un portrait que lui-même avoit pris
soin
de faire. D’un transport ravissant je me sentis a
reraient de leur bon gré, ou qui seraient congédiées ; on aurait donc
soin
de les placer dans des Communautés, et par préfér
tre à la même Réforme ; ceux qui voudront suivre la Profession auront
soin
de se conformer en tout au Théâtre de la Capitale
e filles ; une ancienne Comédienne, et un ancien Comédien auraient le
soin
de les former dans des logements séparés ; on leu
grandes obligations aux Comédiens, comme tout le monde fait. Sans les
soins
qu’ils prennent de faire valoir bien des Drames,
me paraît qu’ils conviennent devoir beaucoup à la représentation. Le
soin
, peut-être minutieux, qu’ils ont de marquer la pa
me par éxemple, il pose sa canne, il tousse, il crache, il faut avoir
soin
de piquer l’éguille en-dessus, en-dessous ; &
Pantomime. Lorsque M. Diderot a soutenu qu’on devait marquer avec
soin
la Pantomime, il a entendu sans doute qu’il falla
elle ne contribuë pas moins à les produire, qu’il y contribuë par les
soins
qu’il prend pour les faire commettre. Patientiam
ils ont quelque raison d’en apprehender les suites ; ils n’ont pas le
soin
& la vigilance qu’ils sont obligez d’avoir po
dans les allées & dans les parterres, quand le Jardinier n’a pas
soin
de les nettoyer. Iudices terræ velut inane feci
at, pourquoy y ajoûter la surchage du spirituel, dont Dieu a donné le
soin
aux Ecclesiastiques ? Je sçay bien que tout ce qu
tez point vous-mesme par le defaut de vigilance, de courage, & de
soin
, des crimes qui affoiblissent les plus braves sol
grands Capitaines, qui rendent inutiles la science, le zele & les
soins
des Pasteurs, & qui font que les prieres les
es agitations si differentes, n’abandonne ceux qui n’ont pas assez de
soin
de le garder, qu’après avoir esté nous-mesmes agi
ayent fait examiner, & corriger ; ils ne doivent pas avoir moins
soin
des peuples, en tout ce qui regarde le bien publi
p; reformer, à moins qu’ils ne croyent que la vertu merite moins leur
soin
que la santé, que le bien, que le repos, à moins
ls ne donnent des ordres pour reformer ces Pieces, que s’il n’ont pas
soin
d’empescher qu’on n’en jouë de criminelles ; &
s les theatres estoient dressez avec les intentions, conduits par les
soins
, & avec les precautions de ces hommes égaleme
gligée de l’office des Ediles ; & ces Prefets estoient chargez du
soin
d’examiner & de corriger les Pieces de theatr
eodose estoit trop Chrestien pour dégenerer de la vigilance & des
soins
de ses predecesseurs ou Payens, ou Chrestiens. Le
ances, il commet à des personnes de sçavoir, de pieté, d’autorité, le
soin
de revoir, d’approuver, de défendre, de corriger
surpasse en tant d’avantages extraordinaires, ne les imitast dans le
soin
de l’innocence publique, si ce qui la blesse avoi
evant sa Majesté, & si elle estoit informée de ces desordres ; ce
soin
ne causeroit pas plus de peines aux Magistrats, q
onservation de l’Estat, & que vous ne pouvez vous exempter de ces
soins
sans manquer à une des principales obligations do
que les Comedies peuvent causer à l’Estat. Avec quel zele, avec quel
soin
, n’eussions-nous pas travaillé à la reforme, &
stre servy pour le seul honneur de luy plaire, obtiennent de vous les
soins
& les reglemens que la seule raison a obtenu
ouvaient dire dans leur cabinet, ou bien ailleurs. Le Poète aura donc
soin
d’amener ses personnages le plus naturellement qu
nous en ont donnés des éxemples qu’on ne sçaurait suivre avec trop de
soin
. L’ouverture de la Comédie du Tartuffe est faite
e plus relevé ? d’ailleurs, il rachète bien de légers déffauts par le
soin
qu’il a eu de marquer le motif qui engage M. Wers
; je crois qu’elle est intitulée, la jeune Grecque. En général, ayez
soin
que vos Acteurs ne paraissent pas sans avoir quel
oncerne la sortie des Acteurs ; elle n’est pas moins importante. Ayez
soin
que l’on sache pourquoi tel personnage se retire
e suite sans les voir & sans en être apperçu. M. de Voltaire a eû
soin
de marquer dans une note de la nouvelle Edition d
fait de sa sœur Isabelle une intrigante & une effrontée ; que le
soin
& l’attention à éloigner les jeunes gens des
Ma foi, je l’enverrois au diable avec sa fraize. En effet, tous ces
soins
sont des choses infames ; Sommes-nous chez les
? Et c’est nous inspirer le désir de pécher, Que montrer tant de
soin
de nous en empêcher. C’est conscience à ceux qu
résenté comme un parfaitement honnête homme, qui a eu les plus grands
soins
de sa pupille, y va de la meilleure foi, jusqu’à
sard, dont on n’est point garant, Et bien sot, ce me semble, est le
soin
qu’on en prend. Voit-on pas des maris de toutes
ame, Voit faire tous les jours des présens à sa femme, Et d’aucun
soin
jaloux n’a l’esprit combattu, Parce qu’elle lui
Qui dort en sûreté sur de pareils appas, Et le plaint ce galant des
soins
qu’il ne perd pas. L’autre, pour se purger de s
ous le nom de la fausse, on la tourne en ridicule, voilà Tartuffe. Le
soin
économique de son bien met obstacle à la vanité,
, la soûmission à ses parens, toutes les vertus que son père avoit eu
soin
de lui enseigner dès le berceau : Quem ab infanti
’éloignement parfait des illicites, la modération avec la liberté, le
soin
des biens au détachement du cœur : aimer tendreme
mier aspect on reconnoisse ce que vous voulez representer. Cet unique
soin
ne laisse pas de dépendre également de ces genera
ment ne regne par tout, quelque beauté que la rencontre, le temps, le
soin
, & la dépense, puissent aporter à ces diverti
de toutes les obscenitez, qui vont à corrompre les mœurs, que l’on a
soin
dans les bals & dans les danses, que l’immode
soient toûjours innocens ; & je veux vous faire voir, que quelque
soin
qu’on ait apporté à en ôter le scandale, & à
la maniere ordinaire qu’ils se passent ; & j’ajoûte que le peu de
soin
que la plûpart des gens du monde apportent à évit
rences de la vertu & de la probité n’ont été menagez avec plus de
soin
; & comme l’on apporte toutes les précautions
st-il pas capable d’inspirer une passion, que l’on cache avec tant de
soin
, & que l’on déguise sous des noms spécieux, p
ertissement, ni de spectacle plus agreable aux gens du monde, quelque
soin
qu’on ait pris de la rendre plus honnête, n’y voi
asile à leur innocence, & qu’ils ne chargent point les autres du
soin
de leur salut ; mais ceux qui n’ont rien à craind
e leur famille. Car, qui peut douter qu’on ne peche en abandonnant le
soin
de ses affaires, & les obligations de sa Char
i y donnent le temps qui seroit necessaire à leurs affaires, & au
soin
de leur domestique ? Deplus, comme ces spectacles
t maltraité d’une personne fiere, qui n’a pas répondu aux vœux ni aux
soins
de celuy qui luy a marqué une fidelité, & un
emps, de même que peut-être vôtre esprit occupé presentement d’autres
soins
, ces passions dangereuses ne se font point sentir
de toutes les obscenitez, qui vont à corrompre les mœurs, que l’on a
soin
dans les bals & dans les danses, que l’immode
soient toûjours innocens ; & je veux vous faire voir, que quelque
soin
qu’on ait apporté à en ôter le scandale, & à
a maniere ordinaire qu’ils se passent ; & j’adjoûte que le peu de
soin
que la plûpart des gens du monde apportent à évit
rences de la vertu & de la probité n’ont été menagez avec plus de
soin
; & comme l’on apporte toutes les précautions
st-il pas capable d’inspirer une passion, que l’on cache avec tant de
soin
, & que l’on déguise sous des noms specieux, p
ertissement, ni de spectacle plus agreable aux gens du monde, quelque
soin
qu’on ait prit de la rendre plus honnête, n’y voi
asile à leur innocence, & qu’ils ne chargent point les autres du
soin
de leur salut ; mais ceux qui n’on rien à craindr
e leur famille. Car, qui peut douter qu’on ne peche en abandonnant le
soin
de ses affaires, & les obligations de sa Char
ui y donnent le tems qui seroit necessaire à leurs affaires, & au
soin
de leur domestique ? Deplus, comme ces spectacles
t maltraité d’une personne fiere, qui n’a pas répondu aux vœux ni aux
soins
de celuy qui luy a marqué une fidelité, & un
tems, de même que peut-être vôtre esprit occupé presentement d’autres
soins
, ces passions dangereuses ne se font point sentir
omédiens et contre ceux qui assistaient à ces Spectacles, et le grand
soin
qu'elle prend pour empêcher qu'on ne contraigne l
qu'il y a des canons qui la condamnent en particulier, l'Eglise ayant
soin
d'expliquer en de certains temps plus expressémen
où sont ceux qui sont du corps de ces personnes qui sont chargées du
soin
des Jeux publics, qu'on contraint par la terreur
s les passions les plus dangereuses: Enfin ils emploieront tous leurs
soins
à représenter avec un zèle pieux, et avec autant
nt à l’intelligence, pour ainsi dire, que des civilitez & que des
soins
de bien recevoir ce qu’ils luy presentent au lieu
r sans peril sous les severitez des regles. Enfin, s’il est digne des
soins
de l’Artisan, & s’il peut donner du plaisir a
ions, ou par la confusion de ses pensées. Il doit faire son principal
soin
de rendre le total, & le detail de son ouvrag
ds soulage ou dispense le Laboureur d’une partie du travail & des
soins
, & s’il ne laisse pas d’enrichir le Proprieta
& sur l’étenduë d’un si beau divertissement, a fait abandonner ce
soin
à Messieurs les Violons, & en a soustrait l’i
ils s’en instruisent pour s’en divertir, qu’ils y donnent les seconds
soins
, & les momens de relâche, autant toutefois, &
mp; la diligence sont alors des devoirs primitifs, à qui les premiers
soins
sont deûs. L’honneste-homme doit tourner tous ses
es, sont des deffauts quand ils dominent & prevalent aux premiers
soins
, mais ce sont des qualitez de Heros, qui rendent
ar outre la beauté de l’effet, ces changemens de figure demandent des
soins
, du temps, du concert & de l’étude ; & un
re, & le sujet & l’entrée. Quand un Prince paroistra, on aura
soin
d’y observer de la Majesté. S’il s’agit d’un Aman
ispensé de faire de beaux chants, de garder la melodie, & d’avoir
soin
des oreilles qui l’écoutent. Pour reüssir à cela,
sous le nom de chanter de Methode, que cette exactitude, & que ce
soin
de conserver les paroles dans le chant, & d’e
dence. Le Poëte ou celuy qui a la direction du Balet, doit prendre un
soin
exact de faire joûer note pour note l’Air du Bale
lus aux pieds du Danceur, ny au pas de Balet. C’est un des principaux
soins
de l’Entrepreneur ou du Poëte, & sur lequel i
ceEpaminondas., ne crut pas ny la Dance ny la Musique indignes de ses
soins
, & incompatibles avec la profession des Armes
t dé-ja les Idées de ce qu’il veut faire, & dont l’étude & le
soin
le dispence de consulter les vieilles Peintures,
uvent agreable & curieuse, sur tout depuis quelques années que le
soin
en est tombé en de bonnes mains, & telles qu’
& les bizareries de la saison. Tous ces perils desirent de grands
soins
, beaucoup d’industrie, & nous avons veu, à Ve
le lieu Fixe, les choses doivent estre plus regulieres. Parce que les
soins
du Poëte n’y sont point contraints ni contrariez,
es pensées jusques dans les petites choses, en donna l’ordre & le
soin
au sieur Gaspar Vigarani. Le lieu fut mal aisé à
ruction des grilles de fer bien dorées & apropriées avec tous les
soins
, toute l’intelligence & toute la magnificence
que quatre cens ans après qu’ils prirent une nouvelle forme, par les
soins
de Thespis ou d’Eschyle, qui jettèrent dans les c
éduisans à Louis XIV, afin, sans doute, de parvenir à le détourner du
soin
des affaires. Il prévoyait déjà, malgré la jeunes
rance l’Opéra-Sérieux, tel qu’on le représentait en Italie. C’est aux
soins
de ce Cardinal que nous en sommes redevables. On
tte importante question, qui agita autrefois toute la France. Des
soins
avec lesquels ce Théâtre est conduit. Le Roi,
Ville de Paris ; ainsi dit un Auteur45, les Ediles avaient à Rome le
soin
des Spectacles. MM. Rébel & Francœur dont les
ne preuve de leur goût, & ne devaient souvent leurs succès qu’aux
soins
qu’ils prenaient de les former. La protection qu’
-Sérieux est une vraie Tragédie, qui doit être composée avec tous les
soins
de l’Art. Ses Drames, de quelque genre qu’ils soi
& les Spectateurs soient instruits en peu de mots. Le Poète aura
soin
ensuite que les Scènes & les Actes soient bie
une Tragédie en récit, ou dans une Comédie. Sur-tout qu’on ait grand
soin
que l’intrigue ne languisse jamais, & que les
tion, puisqu’elle protège quelques-uns des Personnages, & qu’on a
soin
de le faire savoir dans le cours du Drame fait av
s de dire, que le Théâtre lyrique rejette l’incroyable avec autant de
soin
que les autres Spectacles. Il serait loin de s’éc
sont obligés d’être vrais & d’éviter l’incroyable, avec autant de
soin
que dans le genre de Thalie & de Melpomène. S
és que je viens de lui découvrir. Je le prie encore de remarquer avec
soin
le reste de mes observations, que je vais lui pré
oux de se distinguer & de perfectionner les Poèmes lyriques, aura
soin
de n’y faire intervenir des danses qu’à propos. I
pire, cet Auguste Prince ne songea pas à y établir un Spectacle : les
soins
qu’il prit, soins si dignes d’un vrai Monarque, n
Prince ne songea pas à y établir un Spectacle : les soins qu’il prit,
soins
si dignes d’un vrai Monarque, n’eurent pour objet
es des Lettres qu’on n’avait pas voulu lire en deux feuilles. Il a eu
soin
de les faire imprimer en même caractère que les d
me caractère que les dix-huit Lettres provinciales, comme il avait eu
soin
de les pousser jusqu’à la dix-huitième ; sans néc
que chose d’utile à l’Eglise. Enfin, il est aisé de connaître, par le
soin
qu’ils ont pris d’immortaliser ces Réponses, qu’i
Que le Dialogue soit vraisemblable. Quand je recommande qu’on ait
soin
de faire paraître le Dialogue vraisemblable, je v
s’attachent à le connaître ; ils y parviendront, s’ils étudient avec
soin
la Nature. L’art qu’il éxige ne saurait trop se c
algré que nous ne nous piquions guères de travailler le Dialogue avec
soin
, nous nous plaisons à le placer par-tout. Le naïf
aiter qu’il en fut aussi à couvert dans ses différentes parties. Il a
soin
d’être concis, vif & serré. Ses Dialogues son
Ce n’est pas en vain, dit S. Bernard, 16 que Jésus Christ confiant le
soin
de ses brebis à S. Pierre, il lui a dit trois foi
lir le nombre de cette triple répétition, ne vous chargez point de ce
soin
, et n’entreprenez point de gouverner mes brebis,
’écris en faveur des Poètes ; & non pour ceux qui sont chargés du
soin
de décorer le Théâtre. Avis important donné au
s soient amenées naturellement des événemens. Que le Poète ait encore
soin
que la beauté du Spectacle aille toujours en augm
’un Drame. Je voudrais que les Auteurs du nouveau Théâtre eussent
soin
de faire dire à leurs personnages un mot au sujet
nt licencieuses et de mauvais goût, mais que les gouvernements eurent
soin
de réformer et d’épurer. Ce soin en effet les reg
t, mais que les gouvernements eurent soin de réformer et d’épurer. Ce
soin
en effet les regardait, parce qu’au prince seul a
ue des pleurs ; au lieu que les objets imités exigeraient de nous des
soins
, des soulagements, des consolations dont on veut
s malheureux encore, et nous fait payer, aux dépens de nous-mêmes, le
soin
qu’on y prend de nous plaire et de nous flatter.
us grand que celui-ci a bien un autre coloris, si l’auteur n’avait eu
soin
de porter sur un autre personnage un intérêt de r
ndre quelquefois de livrer un cœur vertueux à un objet indigne de ses
soins
. « Heureusement la tragédie, telle qu’elle exis
ivres mêmes où l’on fait profession de les enseigner ? Son plus grand
soin
est de tourner la bonté et la simplicité en ridic
eu, l’honnête homme de la pièce, s’occupe, avec son digne cortège, de
soins
que les lois paient de la corde. Faux acte, suppo
e s’en ressent, et souvent la plaie devient incurable. Qu’on ait donc
soin
d’inculquer de bonne heure aux jeunes gens qu’ils
Grans Hommes, quand ils ont voulu se donner quelque relasche dans les
soins
qui les ôcupent incessamment pour le bien & l
aires de S.A.R. & la felicité de son regne sont, MONSEIGNEVR, les
soins
glorieux qui vous ocupent vniquement ; vous aurie
t, MONSEIGNEVR, à ce Nom fameux, & que d’ailleurs l’Histoire aura
soin
de conseruer, que ie prens la hardiesse de consac
attirer de bien loin les Etrangers : mais, MONSEIGNEVR, ces Illustres
soins
n’empeschent pas que SON ALTESSE ROYALE ne jette
s dans l’exposition de leurs ouurages. VI. Le Theâtre redeuable aux
soins
de l’Academie Françoise. VII. Eloge de cette ce
VI. Leurs aumômes. VII. L’Education ds leurs enfans. VIII. Leur
soin
à ne receuoir entre eux que des gens qui viuent b
res fâcheuses de deux Troupes de Prouince en méme Ville. XXI. Grand
soin
des Comediens à faire leur Cour au Roy & aux
, quand il se veut donner quelques momens de relasche dans les grands
soins
qui l’ocupent incessamment pour la gloire de son
& ausquels le nôtre s’est aussi quelquefois laissé aller. Par les
soins
du Cardinal de Richelieu elle fut remise en Franc
s vnes des moins considerables, qui ont échapé à ma memoire, & au
soin
que i’ay pris de les rechercher, à quoy vne secon
estre quite le premier. VI. Le Theâtre redeuable de sa gloire aux
soins
de l’Academie Françoise. C’est donc aux nobles
de l’Academie Françoise. C’est donc aux nobles trauaux, & aux
soins
infatigables de l’Illustre Academie Françoise que
ue les Etrangers s’empressent de l’aprendre, & comme ray veu auec
soin
toutes les parties de la Chrestienté, il m’a esté
dans les familles des autres Bourgeois qui viuent bien. Ils ont grand
soin
les Dimanches & les Festes d’assister aux exe
les de Comediens que i’ay connües à Paris ont esté eleuées auec grand
soin
; l’ordre en toutes choses estoit obserué, les ga
leurs maisons & celle d’vn Bourgeois la mieux reglée. 8. Leur
soin
à ne receuoir entre eux que des gens qui viuent b
es, les Princesses, & les Grands Seigneurs ; & c’est dans ces
soins
& les respects qu’ils leur rendent qu’ils ápr
tes gens, qui furent edifiez de leur bonne intelligence. 21. Grand
soin
des Comediens à faire leur Cour au Roy & aux
soin des Comediens à faire leur Cour au Roy & aux Princes. Le
soin
principal des Comediens est de bien faire leur Co
i s’obserue dans leur Hostel est aussi vne chose à remarquer. Ils ont
soin
de le tenir toûjours propre, & que rien ne ch
epart du Roy, sa Majesté ordonna à Monsieur Colbert d’auoir egalement
soin
de la Troupe du Marais, & du debris de celle
es de sa reconnoissance, & de luy faire gouster les fruits de ses
soins
dans ses plaisirs qu’elle luy prepare. 42. Est
pres des Grands. Quand cela se rencontre, la Troupe se repose sur ses
soins
, elle luy confie ses interests, & il trouue d
ts au Bureau, & qui áporte l’argent à l’issue de la Comedie. Il a
soin
aussi d’écrire les noms des personnes qui entrent
as necessaire d’aller jusqu’au detail de leurs gages. Le Concierge a
soin
d’ouurir l’Hostel & de le fermer, de le tenir
llets qu’ils áportent du Bureau, où ils les ont esté prendre. Ils ont
soin
aussi que les Portiers facent leur deuoir, qu’ils
œil que le feu ne prenne aux toiles. Pour preuenir cet accident, on a
soin
de tenir toûjours des muids pleins d’eau, & n
uertissemens publics, la mesme seureté qui se trouue establie par les
soins
& par la bonté de sa Majesté dans tous les au
tante de la reconnoissance des Atheniens, qui luy sceurent bon gré du
soin
& de l’affection qu’il auoit pour la liberté
admirable d’vn Genie que n’ont point eu ses Ayeux, mais aussi par vn
soin
particulier qu’il a pris de faire cultiuer les be
à Moliere dans la fonction d’Orateur, il luy a succedé aussi dans le
soin
& le zele qu’il auoit pour les interests comm
yens connaisseurs, qui sous la direction du Magistrat de Police aient
soin
de rendre les spectacles plus utiles aux bonnes m
bonheur de cette même société. Quand les poètes comiques auront pris
soin
de jeter de la haine, du mépris, ou du ridicule s
oi il faut une compagnie de Censeurs moralistes et politiques qui ait
soin
de diriger suffisamment le Poète vers le but de l
composés de vices et de bonnes qualités ; mais il n’a pas eu assez de
soin
de peindre toujours en estimable ce qu’ils avaien
Magistrats municipaux d’alors, ne penserent pas que le spectacle, le
soin
d’en préparer & d’en orner la Scène, étoient
ment de plus à la Capitale. Les besoins du Citoyen exigent le premier
soin
des Magistrats municipaux ; son bonheur est le tr
is en le foudroyant ce serait t’avilir ; Laisse aux Filles d’Enfer le
soin
de le punir. Qui périt par tes coups périt moins
satisfaction, Mais me venger est au-dessous de moi. je laisse ce
soin
au tems. Presque tous ceux qui m’ont fait du mal,
andeur publique, il devrait laisser à nos évêques et à nos prélats le
soin
de sanctifier nos mœurs, il soutient que c’est le
lée et qui soit toujours insensible aux bons mouvements, lui dont les
soins
ne butent qu’àb la conversion universelle nous ré
our la soutenir, il me semble qu’il est plus à propos d’en laisser le
soin
au plus jeune avocat du barreau qu’au plus célèbr
ort que fût le raisonnement qu’ils produiraient, ils en ont laissé le
soin
aux plumes moins intéressées que les leurs. J'ai
r les choses : il est bon de les lui faire remarquer. Vous avez grand
soin
pour vous mettre bien dans l’esprit du lecteur, d
arets de visionnaire, parce qu’il est reconnu pour tel, et qu’il a eu
soin
d’en donner d’assez belles marques. Ses amis voud
chose, et vous allez être fort bien partagé. Il est vrai, car j’ai eu
soin
de m’en informer, que deux Capucins, dont l’un ét
a bon gré de vous être avisé de cette comparaison ? Il faut qu’il ait
soin
de se tenir toujours dans cette élévation de l’or
arquée. Vous vous êtes souvenu qu’on avait dit quelque part, que « le
soin
qu’on prend de couvrir des passions d’un voile d’
r le monde ; et que comme il aime les choses nouvelles, on doit avoir
soin
de n’y rien dire que de nouveau. Il y a d’autres
l’imitent que Racine, c’est peut-être qu’on s’y attache avec moins de
soin
; et si j’avais l’Eloge de Racine à faire, les ef
Scène N’offre plus à mes yeux d’Action qui surprenne. On a vu par mes
soins
en Vers doux et pompeux Ce que Rome et la Grèce o
Mémoire, Et placé son Génie au Temple de la Gloire, J’offre les mêmes
soins
aux esprits délicats Qui dans la même Route iront
de profession, dont l’unique affaire est de ne rien faire ; l’unique
soin
, celui de n’en point prendre ; l’unique occupatio
trop coupables vérités. » Le théâtre ne leur plaît qu’autant qu’on a
soin
de ne pas contrarier, jusqu’à un certain point, l
résenter des actions pour lesquelles on a de l’horreur, ils ont grand
soin
de dérober à la vue des spectateurs tout ce qui p
e gouverner leur Diocèse à un Evêque qui n’est pas encore déchargé du
soin
qu’il est obligé de prendre du sien. Et quand ils
he et plus considérable. Je ne sais pas ce que sa Sainteté chargée du
soin
de faire observer les Canons fera en cette rencon
x, par les augmentations considérables, l’Auteur ayant recueilli avec
soin
, ce qu’il a trouvé sur cette matière, depuis Augu
ui-même cité, s’ils s’étaient offerts à sa mémoire ; j’ai encore pris
soin
d’extraire tout ce qui se trouve contre les diver
rouva un terrain sauvage & inculte, il fallut donner ses premiers
soins
à le défricher, & attendre que le temps &
, & de les faire parler conformément à leur caractere, ils eurent
soin
de prémunir l’esprit des Spectateurs contre le po
e tenter la réforme que l’on se propose d’introduire. Si l’on prenoit
soin
d’inculquer de bonne heure, aux jeunes gens, qu’i
, ils sauront s’en préserver à l’aide des principes dont on aura pris
soin
de les prémunir. Ils imiteront la conduite des ab
dé dans une Isle où les Dames prodiguoient leurs caresses & leurs
soins
à de petits chiens & à des singes, demanda de
es que dit d’Aubignac à ce sujet ne sçauraient être lues avec trop de
soin
. Pour moi, s’il m’est permis de dire mon sentimen
oble émulation, & nous engager à n’épargner ni nos veilles ni nos
soins
. Combien il est peu naturel de s’en écarter.
r. M. Sédaine n’ignorait pas sans doute la règle que je propose. Il a
soin
de faire avertir, par un de ses Acteurs, de l’ins
durée qu’il est possible. Le nouveau Théâtre la suit avec plus de
soin
qu’aucun Spectacle. Je ne recommande point l’
e semble qu’on doit particulièrement relever, afin qu’on l’évite avec
soin
: on la voit principalement dans les Ouvrages de
ua les Places selon le rang, & la condition des particuliers. Ses
soins
s’etendirent mesme à quelque sorte de molesse, &a
mp; des Tigres irritez. Auguste pour encherir encore sur ces nouveaux
soins
, regla les Seances, acheva les endroits differez,
onsuls, les Dictateurs, Preteurs, & enfin les Ædiles prenoient le
soin
de preparer les lieux où ils avoient resolu de ce
u des plaisirs de prix & qui coûtassent également de l’argent, du
soin
& du sang. Ils ont affecté le combat des anim
; l’ordre de leur course. On le tiroit ou dans un casque, ou selon le
soin
des Preteurs ou des Ædiles, dans une Vrne. Les no
ntierement inconnuës. Ils estoient donc sous la ferule & sous les
soins
de certains Maistres publics, qui s’en pour voyoi
epuis plusieurs années fut extrêmement célébre dans son tems, par les
soins
& le goût de Louis XIV ; & la reputat on
ictées. D’abord il exorte fort pathétiquement les Dames d’avoir grand
soin
de leur beauté, par l’exemple touchant d’un arbre
ines, (nous disons des véritables Chrétiennes,) elles avoient plus de
soins
de cultiver leur champs que d’enluminer leurs jou
ic potius nos uret amor quam fortibus herbis. Malgré l’art & les
soins
de la toillette, la beauté est quelque chose de b
’expérience en est la démonstration ; on ne voit donner des si grands
soins
à la parure, qu’à ceux qui ont des prétentions su
elles se fardent, leurs graces sont perdues, elles évitent avec grand
soin
ces facheuses rencontres où elles sont désarmées
, non semet in stamocho nulla facta meo ; enfin, dit-il, évitez avec
soin
le théatre ; ut tibi sit tanti non indulgere the
ure, & se mirent au-dessous des bêtes. La vraie sagesse fuit avec
soin
tout péché, & les occasions de péché. La sage
és tels qu’ils doivent être. Il est donc important de mettre tous ses
soins
à ce qui les regarde. Quand je dis les personnage
n ne reproche point à ce grand Poète d’avoir fait une faute : il a eu
soin
d’avertir de ce qu’il se proposait, en intitulant
n désirerait que le Poète intelligent observat. Il faudrait qu’il eut
soin
de ne faire rencontre qu’une seule fois ses amans
fût beaucoup plus réservé que Molière, & qu’il employât bien des
soins
& des ménagemens ; il serait sûr au moins de
amp; qu’on n’y rencontre que quatre ou cinq Ariettes travaillées avec
soin
, qui sont même les seuls morceaux que l’on écoute
e, parce qu’elles n’en font qu’une dans un Poème bien constitué. On a
soin
de les lier ensemble avec des fils imperceptibles
devrait être un plaisir. Le Poète est donc obligé de mettre tous ses
soins
à l’Exposition d’un Drame. Selon moi, elle n’est
ouveau genre, & qui veut se distinguer de la foule, aura pourtant
soin
dans la prémière Scène d’exposer le sujet. Il le
mp; faire perdre un instant de vue l’action principale ; qu’ils ayent
soin
que les événemens se rapportent au Héros de la Pi
haite plus rien, & s’ennuie de tout. » Si l’on réfléchissait avec
soin
sur cette observation d’un grand homme, on ne ver
nt un sujet rempli d’incidens ; elles éxigent même qu’on ait toujours
soin
d’en faire naître plusieurs les uns des autres ;
ts. Je vais leur en proposer quelques uns. S’ils les travaillent avec
soin
, ils auront sûrement la gloire de réussir. En leu
tacle, & que sans elle ils ne sauraient subsister. Qu’on ait donc
soin
de choisir des sujets simples. Ceux que présenten
s & aux sentimens des Spectateurs, il ne réussira jamais, quelque
soin
que le Poète y employe, & de quelques ornemen
u’il n’y a rien qui répugne à l’honnêteté et aux bonnes mœurs dans le
soin
de l’entretenir ; ou que le feu n’échauffe qu’ind
ce que celles qui succombent à cette faiblesse y cachent avec tant de
soin
, une jeune fille le viendra apprendre à la comédi
t se ranger. Si, dans les ouvrages de belles Lettres, les Savants ont
soin
de laisser au Lecteur intelligent le moyen d’occu
haine de tous les amis des Auteurs. Je laisse donc aux Poètes même le
soin
de se rendre justice, et à leurs amis celui de le
Monarque du Monde : cependant que ce généreux Prince occupe tous ses
soins
à maintenir la Religion, Molière travaille à la d
sons funestes, qui étouffent la pudeur et la honte ; après avoir pris
soin
de former des Coquettes, et de donner aux filles
es Auditeurs des Idées du Libertinage et de l’Athéisme, sans avoir eu
soin
d’en effacer les impressions. Et où a-t-il trouvé
ttentats contre la Souveraineté de Dieu. Nous avons l’obligation aux
soins
de notre glorieux et invincible Monarque, d’avoir
les Enfers où elle a pris son origine. Et néanmoins, malgré tous les
soins
de ce grand Prince, elle retourne aujourd’hui com
ceux qui s’adonnent à ce genre périlleux, prennent presque autant de
soin
de gagner les spectateurs, que de composer de bon
autant d’accusations sans replique, autant d’outrages que nous avons
soin
d’écarter, ou même de ne pas appercevoir. Quand
rel de les employer. Quelques commodes qu’ils soient, ils exigent des
soins
& des complaisances, & c’est autant de pe
fait attention au mal que l’Église aperçoit dans les spectacles, aux
soins
qu’elle prend d’éloigner ses enfants de tout ce q
ans. Au onzième siècle5 les Tournois devinrent fort célèbres par les
soins
du Seigneur Geoffroy de Preuilly. Tout le monde s
tre du Seigneur doit planter et arroser, abandonnant le succès de ses
soins
à celui qui seul peut donner l’accroissement. On
ais, comment les rappeler à leurs sages dispositions ? Qui prendra ce
soin
honorable et dangereux de montrer aux princes le
rs plaisirs même qu’il a fallu rendre l’objet des taxes publiques. Ce
soin
paternel, sans doute, est digne de notre reconnai
de la débauche ou de la prostitution, qu’on s’occuperait en France du
soin
si important de soulager la misère publique ? Ave
elons-les tous à l’aide du gouvernement, et laissons-leur l’honorable
soin
d’attirer sur l’indigence et le malheur, les rega
vraiment utile à la patrie ! combien donc nous devons nous occuper du
soin
d’en augmenter l’éclat et d’en perpétuer la durée
estera-t-il de ces hommes précieux à l’état, si l’on ne s’y occupe du
soin
de les régénérer, en rétablissant ces écoles illu
future, la plupart des hommes ne s’occupent guères aujourd’hui que du
soin
d’amasser des trésors pour celle-ci. Et d’ailleur
u, l’honnête homme de la pièce, s’occupe, avec son digne cortège, des
soins
que les lois paient de la corde, et qui, au lieu
ue cet ordre soit sans inconvénient, et qu’en augmentant avec tant de
soin
l’ascendant des femmes, les hommes en soient mieu
nce sociale ; qu’un colonel est excusable de quitter son poste et les
soins
de son régiment pour venir, déguisé sous le nom e
eur hôpital. Ne pouvions-nous donc laisser aux tribunaux criminels le
soin
de punir ces monstres qui déshonorent jusqu’au no
plena et perfecta utitur eloquentia45 », il ne saurait avoir d’autre
soin
, d’autre but que de terrasser le crime et d’assur
victorieuse du ministre appelé spécialement par la loi à l’honorable
soin
d’en réclamer aux pieds des tribunaux la force et
même des ministres de l’autel, avec lesquels, en récompense de leurs
soins
généreux, ils les appelaient au partage de la dîm
nait sur lui tout le péril, et si très fréquemment il était chargé du
soin
de conduire lui-même à la guerre les vassaux des
pereur, pour y prendre la défense de ceux qui étaient opprimés ». Ce
soin
honorable est sans doute un des premiers devoirs
paternel, et c’est pour lui le bonheur suprême de voir réunis par ses
soins
, des frères prêts à dissiper en contestations amè
rcher avec confiance et sécurité, puisqu’il est préposé à l’honorable
soin
de déjouer les ruses et les projets du dol et de
rères ; ce code enfin, qui, conçu, achevé au milieu même des pénibles
soins
d’une guerre formidable, doit servir de règle et
rospérité ». Dans l’étude de nos anciennes lois, que de travail et de
soins
ne fallait-il pas pour en entendre jusqu’à la let
que ; que conséquemment le succès des orateurs chargés de l’honorable
soin
d’en proclamer la sagesse, intéresse puissamment
de tant de mortels à toute heure empressés A nous faire valoir leurs
soins
intéressés, Il ne s’en trouve point qui, touchés
ême qui le condamne, le hait si peu, qu’elle s’occupe sans relâche du
soin
de le rappeler dans son sein. Quand d’ailleurs a-
1e épître aux Corinthiens, chapitre IX, verset 9].« Est-ce que Dieu a
soin
des bœufs ? Numquid de bobus cura est Deo ? » Non
œufs ? Numquid de bobus cura est Deo ? » Non sans doute il n’en a pas
soin
pour faire un précepte exprès de leur repos : mai
d’ouvrages, de ne pas y donner si fort leur temps, qu’ils oublient le
soin
qu’ils doivent prendre de leurs Ecoliers ; et de
ans la suite ils ne puissent nous être garants. Qu’ils y évitent avec
soin
toute immodestie, et tout excès dans la dépense q
tre, on a parfaitement réussi. C’est une terre féconde, cultivée avec
soin
par un grand nombre d’ouvriers et d’ouvrières, ad
fournissent un supplément si facile et si doux, sans être chargé des
soins
embarrassants d’une famille ! Marmontel dans son
t la plupart, ne peuvent ni ne veulent avoir des enfants, n’ont aucun
soin
de ceux que le hasard leur donne ; ils ne savent
amais ! Ceux qui se marient, qui respectent le lien conjugal, qui ont
soin
de leur famille, sont-ils bien ceux qui fréquente
[Gravure] Instruction, lumiere de la Vie, Ah ! par tes
soins
l’Homme fut éclairé ; Viens diriger les efforts d
[Gravure] Instruction, lumiere de la Vie, Ah ! par tes
soins
l’Homme fut éclairé ; Viens diriger les efforts d
l Grimaldi ait été de ces Pasteurs négligents et lâches qui n’ont nul
soin
de faire la guerre aux vices, et qui au lieu de f
de se réconcilier avec Dieu. Le 3. Principe est directement opposé au
soin
qu’a pris M. le Cardinal Grimaldi, de faire obser
al est dans tous les cœurs. Mais, ajoutez-vous, si le Peintre n’avoit
soin
de flatter ces passions, les Spectateurs seroient
l étoit du tems de Moliere. Mais qui a opéré ce changement ? C’est le
soin
qu’on a apporté dans les spectacles de n’exposer
euse sur l’esprit des Spectateurs, elle s’évanouiroit bientôt par les
soins
qu’on les voit prendre pour sauver la République
t prendre pour sauver la République et; par les succès dont ces mêmes
soins
sont suivis. Il n’y a jamais qu’un Acteur qui pré
ns appel ? J’ajouterai encore que nos Auteurs François ont très-grand
soin
de dérober autant qu’ils peuvent la vuë et; le ré
ans son sein, c’est qu’il y a un ridicule à Orgon de s’inquiéter avec
soin
des nouvelles de Tartufe gros et; gras, tandis qu
rodigieuse quantité des plus excellents fruitiers ? Je vous laisse le
soin
d’appliquer cette comparaison, et; d’apprécier la
le me semble d’autant plus dangereuse qu’avant de l’entamer vous avez
soin
de faire parade d’un esprit de modération, et; de
ses droits ? Si tous les hommes étoient tels qu’ils doivent être, ces
soins
seroient superflus ; mais malheureusement on sait
’en entend que de mauvais. Quoiqu’il en soit, laissez au Comédiens le
soin
de se plaindre que les Auteurs modernes les font
même pouvoir qu’elles ont sur leurs amans. En augmentant avec tant de
soin
l’ascendant des femmes, les hommes en seront-ils
s plaisirs, de les éloigner de tout ce qui auroit pu les distraire du
soin
que nous avons voulu qu’elles prissent uniquement
et; de la société que pour nous amuser, et; tout au plus veiller aux
soins
grossiers et; nécessaires d’un ménage ; après cel
ur un effet nécessitant de leurs charmes. En ce cas, la nature a pris
soin
de les dédommager de notre humeur altiere. Avec c
solument méprisable dans l’un et; l’autre sexe, il faut l’éviter avec
soin
de part et; d’autre. Après cette disgression dont
ient mériter cette considération. Je suis certain que quelques petits
soins
de la part des Magistrats suffiroient pour les so
s frippons, ou que du moins on doit le présumer : Surtout lorsqu’on a
soin
de joindre à cette apostrophe : « Par tout la ten
ù elles sont de cacher absolument leurs foiblesses, l’aggrave, et; le
soin
de leurs amans à les divulguer, y met le comble.
stinement, et; qui ne doit son triomphe qu’à des assiduités et; à des
soins
multipliés, se fait un devoir de décrier sa maîtr
fait presque celui de tout le monde, on ne doit point désespérer des
soins
qu’on pourroit prendre pour se procurer un Specta
mes, elles en voyent en rentrant dans leurs maisons, et; leur premier
soin
sera de réjouir leurs maris des bons mots que l’h
rs, de l’inutilité de cette tentative, quelque variété même qu’on eut
soin
d’y apporter. Il n’est pas surprenant que dans la
té lui !… Après la Pièce, Mademoiselle *** prévint mes desirs, par le
soin
qu’elle prit de me dérober aux empressemens de me
Mle *** ; d’où je me rendis chez moi sur-le-champ. J’étais occupée du
soin
de ma maison, lorsque monsieur D’Alzan rentra ; j
tout lorsqu’on eut agrée son hommage : un Amant rebuté par la *** eut
soin
de faire instruire l’épouse trahie. Quelle dut êt
chapitre quatrième des Proverbes v. 23. « Appliquez-vous avec tout le
soin
possible à la garde de votre cœur, parce qu’il es
poser son cœur au péril de la tentation, au lieu de le conserver avec
soin
; on y regarde avec une entière liberté, des femm
en de plus scandaleux dans tous les Spectacles, que de voir avec quel
soin
et quel agrément, les hommes et les femmes y sont
airement une pièce en Musique ; c’est aussi une Comédie composée avec
soin
, & apprise entierement par cœur. On trouve Op
ourir en foule à ses Représentations, en ne se montrant occupé que du
soin
de charmer & d’attirer chez lui la plus vile
’il en soit, s’il se présentait un éditeur, je lui offre de plus, mes
soins
gratuits, pour, de concert avec lui, revoir et co
rédicateurs plusieurs instructions à ce sujet. Le succès couronna ses
soins
, et dans toute l’étendue de son diocèse une infin
e des faiblesses presque pardonnables, presque louables, et dont on a
soin
de doter généreusement le héros ou l’héroïne. L’o
nte Communion ; toute votre attention doit être de l’y conserver avec
soin
comme la source de toutes les grâces nécessaires
mployez tout ce que vous avez d’autorité pour les en détourner ; ayez
soin
qu’ils conservent la pureté de la foi et des mœur
u’à leur apprendre les manières et l’usage du monde, où ils ont grand
soin
de les produire. C’est là qu’ils entendent tout c
etc. **. Grâce à l’infâme répertoire de la scène française, on a eu
soin
de se mettre au courant de la pièce par la lectur
d’exprimer la ioye que ie ressens, quand ie vous puis tesmoigner mes
soins
, & vous faire auoüer que pour estre separés d
habiles à déchirer les hommes ; & les cruels maistres qui ont le
soin
de ces animaux, & qui les dressent pour le pl
urées, & en la somptuosité des chariots. Ils attachent tous leurs
soins
aux haras ; ils sont rauis quand vn cheual a esté
l’air auec ses regions, qui eschauffe & vegete la terre, qui a vn
soin
particulier de sa nourriture & de ses product
’importe ? si, fixé pour toujours, il ne devait plus s’occuper que du
soin
de plaire à une femme si parfaite ? Mais son rôle
il me paraît nécessaire d’en dire encore un mot. On doit étudier avec
soin
tout ce qui la regarde, il est d’une importance é
, depuis son commencement jusqu’à sa fin. Que le Poète ait donc grand
soin
de ne pas s’en écarter un instant, il courrait ri
incère épanchement de deux cœurs que l’amour rassemble. Il faut avoir
soin
de n’employer le Duo que lorsque les Personnages
niers tems où tout le monde s’est mis à composer. Que le Musicien ait
soin
que chacun des Interlocuteurs parlant à son tour,
. Je ne quitterai pas, dit-il, mes méchantes habitudes ; mais j’aurai
soin
de me bien cacher. Ainsi je me divertirai à petit
e entend quelque chose qui lui cause des scrupules, le diable a grand
soin
de les lui ôter promptement de l’esprit. Il lui f
se marier, elle est tellement occupée d’elle-même, qu’elle néglige le
soin
de sa famille et l’éducation de ses enfants. Elle
pour les pouvoir tromper, et ils se souviendront toujours « Que les
soins
défiants, les verrous et les grilles,Dans l’Ecole
e ceux qui ont traduit quelques Comédies de Terence ont pris un grand
soin
d’en retrancher les endroits qui pouvaient choque
e acquisition de quelque bénéfice. Ainsi sous les auspices et par les
soins
du Clergé s’introduisit parmi nous un nouveau gen
décent qu’elle en a reçu. 1.° La composition des pièces. « Le premier
soin
du Cardinal (dit le Père le Brun, Histoire du Thé
ui ne croirait qu’une pièce pour qui un premier Ministre n’épargna ni
soin
, ni attention, ni les plus grandes dépenses, ne f
t toutes celles de l’Europe dans la tête », le lut avec le plus grand
soin
et l’apostilla de sa main, et le renvoyant, dit q
t à Charonne. Quand il eût vu les premières feuilles, qu’on eut grand
soin
de lui envoyer, il trouva qu’« on donnait dans un
y a rien de contraire au Christianisme & aux bonnes mœurs dans le
soin
qu’on prend pour l’entretenir. Mais si on n’osero
le Monde. Leur naïveté peint leur candeur ; mais les hommes ont grand
soin
de ridiculiser cette naïveté. Les gens sages ne v
un père en toi. Fais cesser ses chagrins ; je laisse à ta sagesse Le
soin
de le calmer, de bannir sa tristesse. Moi-même je
ible : Les Dieux ont secondé mes généreux projets, Et la paix par mes
soins
règne sur mes sujets. Est-ce à toi d’adopter leur
istinguer ne leur eussent manqué, et si les hommes n’avaient eu grand
soin
de les en éloigner. Rien de plus aisé que de prou
t comme Constance, c’est que les hommes qui les environnent ont grand
soin
de les distraire et de les empêcher de prêter tro
es Spectateurs vont bonnement apprendre des femmes ce qu’ils ont pris
soin
de leur dicter »eh : à prendre vos mots à la let
riles sur des systêmes frivoles ; où les maîtres bornoient tous leurs
soins
à l’étude du latin, & des cathégories. Telle
mp; où elle veut jouer un rôle. Deux objets l’occupent également ; le
soin
d’attirer les regards, & celui de se procurer
que ces piéces ; parce qu’on y tourne perpétuellement en ridicule les
soins
que les peres & meres prennent de s’opposer a
se son venin dans l’ame par les yeux & par les oreilles qu’elle a
soin
de chatouiller par le plaisir des représentations
n faisait les Jeux ce jour-là. Ainsi, comme les Prêtres en avaient un
soin
particulier, qu'ils y étaient présents, et qu'ils
sur les Théâtres. Aussi les Prêtres et les Magistrats prenaient grand
soin
que toutes les choses y fussent faites avec la po
nature pour qu’ils plaisent : & l’art n’a pas plûtôt déployé ses
soins
sur le moindre, qu’on le croit embelli. Dans le P
finesse particuliere & son goût est de s’envelopper avec plus de
soin
. Mais si c’est un plaisir réel dans le Spectacle
ge n’est point obscur, son idiôme emprunté : loin d’attendre rien des
soins
du Spectateur, il met sa gloire & son triomph
Théâtre pour l’honneur, comme les plus minces sortir, éclater par ses
soins
? Enfin on peut dire que le ressort le plus préci
rs, de fabriquer des ressorts, de préparer des Piéces ; mais quand au
soin
de rassembler tout cela, d’en faire un tout régul
difinitions les plus heureuses ; on me pardonnera si je lui laisse le
soin
de vous peindre & de vous développer. On peut
ser a plus l’air, au contraire, d’un travail & d’une étude : quel
soin
pour prévenir les coups : quelle attention pour l
e & on finit par en détester l’objet. Il faut éviter avec le même
soin
& ce ton ridicule de frivolité qui est toujou
t. Les choses importantes ont cela de particulier, qu’en attirant nos
soins
elles sçavent les mériter : on le sent d’avance p
dont l’original est dans tous les cœurs : mais si le Peintre n’avait
soin
de flatter ces passions, les Spectateurs seraient
ut Auteur qui veut nous peindre des mœurs étrangères a pourtant grand
soin
d’approprier sa Pièce aux nôtres. Sans cette préc
es accompagnent, suffit seule pour nous les faire éviter avec tout le
soin
dont nous sommes capables. Il ne faut, pour senti
plaisir et de joie qu’on en voit aussi naître, et que les Auteurs ont
soin
d’embellir encore pour rendre leurs Pièces plus a
ôtre ; au lieu que les infortunés en personne exigeraient de nous des
soins
, des soulagements, des consolations, des travaux
us grand que celui-ci a bien un autre coloris, si l’Auteur n’avait eu
soin
de porter sur un second personnage un intérêt de
re au peuple à le connaître et s’en défendre. Par malheur, de pareils
soins
sont très inutiles, et ne sont pas toujours sans
ivres mêmes où l’on fait profession de les enseigner ? Son plus grand
soin
est de tourner la bonté et la simplicité en ridic
veu, l’honnête homme de la Pièce, s’occupe avec son digne cortège, de
soins
que les lois paient de la corde ; et qu’au lieu d
ue cet ordre soit sans inconvénient, et qu’en augmentant avec tant de
soin
l’ascendant des femmes, les hommes en seront mieu
es Spectateurs vont bonnement apprendre des femmes ce qu’ils ont pris
soin
de leur dicter. Tout cela, dans le vrai, c’est se
ndre quelquefois de livrer un cœur vertueux à un objet indigne de ses
soins
. Je ne sache guère que Le Misanthrope où le héros
istractions relâchantes à l’âpre intérêt qui fait ses plaisirs de ses
soins
, et enrichit le Prince de l’avarice des sujets. S
ailles, d’impôts, de subdélégués, de corvées, cultivent, avec tout le
soin
possible, des biens dont le produit est pour eux,
aucun pouvoir sur les esprits, il fallait écarter avec le plus grand
soin
tout vestige de violence du Tribunal établi pour
on publique n’a nullement changé sur ce point, c’est qu’après tant de
soins
mal entendus, tout Gentilhomme qui ne tire pas ra
que vous nous exhortez à leur donner, et qu’ils deviendraient par nos
soins
autant de modèles de vertu. Cependant par égard a
es hors d’une vie retirée et domestique ; si je dis que les paisibles
soins
de la famille et du ménage sont leur partage, que
de fuir, s’empresser d’en couvrir les vestiges. Que manque-t-il à ces
soins
pour avoir un air de décence et d’honnêteté, sino
pour les deux sexes ; ils ne passaient point la journée ensemble. Ce
soin
de ne pas se rassasier les uns des autres faisait
e laisse jamais tenter de satisfaire des désirs qu’elle prend tant de
soin
d’exciter ? Quoi ! malgré mille timides précautio
ous avons appris à le mépriser en lui obéissant, à l’outrager par nos
soins
railleurs ; et chaque femme de Paris rassemble da
ein air et respirer à leur aise ; au lieu qu’ici les femmes ont grand
soin
d’étouffer leurs amis dans de bonnes chambres bie
te. La femme se rendait robuste, et l’homme ne s’énervait pas. Si ce
soin
de contrarier la Nature est nuisible au corps, il
les retenir auprès des femmes qu’ils sont destinés à désennuyer, on a
soin
de les élever précisément comme elles : on les ga
toutes leurs facultés, on les rend ineptes à tout autre usage qu’aux
soins
auxquels ils sont destinés ; et la seule chose qu
forcent à la réserve, à la modestie, à s’observer avec le plus grand
soin
? En quoi Dieu est-il offensé par un exercice agr
iproquement n’emporte-t-il pas celui de se plaire, et n’est-ce pas un
soin
digne de deux personnes vertueuses et chrétiennes
la ressource d’un spectacle agréable, surtout aux pères et mères. Les
soins
pour la parure de leurs filles seraient pour les
solennel. L’autorité Ecclésiastique s’est fait reconnaître : par ses
soins
la vérité a été vengée, la saine doctrine est en
ui est leur idole, que comme une chimère et une folie ; si l'on avait
soin
de ne former jamais d'image de la vengeance que c
ui est leur idole, que comme une chimère et une folie ; si l'on avait
soin
de ne former jamais d'image de la vengeance que c
urroient faire un des plus agreables Spectacles, pour peu qu’on prist
soin
de les élever & de les affranchir de la basse
s favoris, & des Ariettes en particulier. Il faut écrire avec
soin
les Ariettes des Poèmes modernes. On ne s’app
bout de la plume. Le Poète qui sera jaloux de se distinguer aura donc
soin
de ne point écrire ses morceaux chantans avec tro
mbellir. Des raisons bien plus fortes l’engagent encore à suivre avec
soin
la Prosodie, ou la manière de prononcer les mots.
qu’il est nécessaire d’amener le chant à propos, autant faut il avoir
soin
que la ligne de Prose qui précède l’ariette, ou t
i m’ont occupé jusques ici, m’ont empêché de vous remercier plutôt du
soin
que vous avez pris de m’écrire et de m’envoyer qu
de la gayeté tumultueuse des foyers, il sembleroit affecté des mêmes
soins
, des mêmes vûes, dont les personnages étoient eux
médiens Italiens ne pensent pas de même. Ils n’épargnent ni peine, ni
soins
, ni frais pour attirer le public. « C’est assez l
éface Une des grandes marques de la corruption de ce siècle est le
soin
que l'on a pris de justifier la Comédie, et de la
ie les fêtes, les jeux, les spectacles qui lui conviennent ; c’est un
soin
que nous lui laissons. Nous applaudissons à son z
dont l’original est dans tous les cœurs ; mais si le Peintre n’avait
soin
de flatter ces passions, les spectateurs seraient
er sa fille, Oreste égorger sa mère. 2°. Au lieu de prendre l’inutile
soin
de cacher au Peuple la possibilité des actions at
r leurs enfants à la plus pernicieuse école du vice. « Son plus grand
soin
, dit M. Rousseau en parlant de Molière, est de to
Lui qui savait si bien nuancer les caractères, a-t-il seulement pris
soin
de rendre cette coquette séduisante, et son compl
l’absurde inconséquence de regarder comme des inclinations basses le
soin
de son honneur, de sa renommée, de son repos, de
s pénibles du gouvernement élèvent l’orgueil des hommes au-dessus des
soins
de la galanterie et des inquiétudes de l’amour. C
e au gouvernement, ou aspire y participer, notre sexe y conserve avec
soin
son ancienne prérogative. Mais dans un pays où le
s semblables, selon ses affections plus ou moins étendues, sans autre
soin
que de contribuer, autant qu’il est en lui, aux d
ue cet ordre soit sans inconvénient, et qu’en augmentant avec tant de
soin
l’ascendant des femmes, les hommes en soient mieu
e croit pas ses arguments sans réplique ; il s’en fait une, mais il a
soin
de la choisir facile à détruire. Il suppose qu’on
les spectateurs vont, dites-vous apprendre d’elles ce qu’ils ont pris
soin
de leur dicter. » Et à qui, Monsieur, n’a-t-on pa
e n’est jamais si fort que dans une âme où il règne seul. Grâce à vos
soins
, son âme endurcie ne sera capable d’aucune affect
diriger sa sensibilité vers des objets qui en soient dignes ? Un tel
soin
, je l’avoue, exige une attention vigilante et ass
aisie et à ses plaisirs ; qui ne connaît dans son amant de devoir, de
soin
, d’intérêt que celui de lui complaire ; qui se fa
us les hommes des Stoïciens, ou des marbres ; les élever au-dessus du
soin
de perpétuer leur espèce, ou les réduire à n’être
ront-ils devant Dieu d’avoir exposé eux-mêmes des enfants élevés avec
soin
, à perdre dans une telle école le précieux trésor
s étude, sans connaissance, sans attention à leur salut, dont tout le
soin
est de charmer le temps et de se tenir en garde c
qu’à leur apprendre les manières et l’usage du monde où ils ont grand
soin
de les produire. C’est là qu’ils entendent tout c
de ce Comique ; parce qu’on y tourne continuellement en ridicule les
soins
que les pères et mères prennent de s’opposer aux
ts de joie et de plaisir qu’on en voit naître, et que les auteurs ont
soin
d’embellir encore pour rendre leurs pièces plus a
livres même où l’on fait profession de les enseigner ? Son plus grand
soin
est de tourner la bonté et la simplicité en ridic
le est la plus foible ; elle lui est soumise ; elle est confiée à ses
soins
; c’est à lui à la ménager, à la soutenir, à la d
nous étions nés dans un pays froid comme le votre, n’aurions-nous pas
soin
de nous couvrir le corps ? Nous nous contentons d
folles, je ne vous connois pas : Nescio vos. Vous avez mis trop de
soin
à vous parer pour venir à la nôce. Vous avez oubl
alage des trésors ; on doit tout à la finesse des nuances. Le dernier
soin
d’une ame pieuse est de parer son corps. C’est le
st de parer son corps. C’est le premier, le grand, ou plutôt l’unique
soin
d’une ame corrompue : Probæ fœminæ ultima cura e
mp; nuditas testis est morientis castitatis. Mais pourquoi tant de
soin
, de dépense, de recherche ? Il faut être bien pau
sions : donc on peut se préparer des objets exquis et recherchés avec
soin
, pour les exciter et les rendre plus agréables en
ui dans la vérité est une sacrilège idolâtrie. C'est pourquoi quelque
soin
que l'on prenne de séparer de la Comédie et des R
e langage profane que l'on appelle cajolerie. C'est pourquoi, quelque
soin
que l'on prenne de séparer de la Comédie et des R
’à jouer des comédies composées de Chrétiens, où on auroit évité avec
soin
de parler de religion chrétienne ; d’autres où de
plus inviolables sermens ! On s’élève partout avec aigreur contre le
soin
que peuvent prendre les maris pour empêcher le cr
viroient nos veroux & nos serrures ? Quand nous redoublerions nos
soins
, rien ne pourroit plus les retenir, & les emp
onnes, nul devoir à remplir, nulle bénédiction du ciel à espérer, nul
soin
de la demander par la prière, nul zèle pour l’édu
ses sages leçons de la nourriture & de l’éducation des enfans, du
soin
de son ménage, des mœurs de ses domestiques, du r
er une basse barriere. Ces deux malices obligeront le Cavalier à deux
soins
: le premier, à faire gayement & hardiment fr
, qu’on la voit toujours avec un nouveau plaisir. Nous éloignons avec
soin
les mêmes chûtes de phrases, les mêmes sons. Notr
Sillabes longues & brèves, que les personnes qui parlent bien ont
soin
de faire sentir, & que les Auteurs de nos jou
chacune les qualités qui la différencie. Les habiles gens que j’ai eu
soin
de consulter, m’ont tous répondu, qu’on sentait b
compagnemens ne couvrent pas les voix autant que les nôtres ; ils ont
soin
que la voix soit toujours de beaucoup au-dessus d
cinquante fois par jour étudié au miroir montrent, qu’elle n’a aucun
soin
de son salut, aille à la Comedie : elle ne sera c
que Mademoiselle vit ? sçait-elle ce que c’est qu’oraison ? A-t-elle
soin
de prier Dieu le matin & le soir ? Dieu par s
e sa bouche quelque sacrifice, & être le depositaire des premiers
soins
de chaque jour : tourne-t-elle aussi le cœur vers
! quelles sont ordinairement ses premieres pensées, & son premier
soin
? De quelle maniere elle se fera coeffer ; quel h
s au lieu d’Aigles, Et que ce triste objet porte à leur souvenir, Les
soins
de me venger, et ceux de te punir. » « On ne peu
ar dans nos Comédies ? Contre les Chansons mondaines. Ayez un
soin
tout particulier d’empêcher vos Enfants d’apprend
boliques, il s’en trouverait plusieurs qui les auraient apprises avec
soin
, et qui les réciteraient avec plaisir. Ne pensez
Livres saints lui découvrent et qui condamnent ses dérèglements. Quel
soin
les pères et les mères ne doivent-ils donc pas av
blement quelques heures, elle fait succeder la joye & les ris aux
soins
épineux & desagréables qu’on trouve chez lui
rent aux spectacles que les paiens avoient inventés ; mais ils eurent
soin
de rectifier leur intention, & d’y assister à
e fruit des précautions d’un grand ministre qui a daigné employer ses
soins
à purger le théâtre, c’est qu’on y présente aux â
n de corriger la comédie, en perdit bientôt l’espérance ; et dans les
soins
qu’il prit de mettre à couvert des corruptions du
, considérez-les comme vos armes, afin que par leur secours et par le
soin
que vous prendrez de les avoir toujours devant le
autorité, toute leur surveillance pour que l’Eglise, commise à leurs
soins
, ne tombe pas dans l’anéantissement, par l’effet
mis si formidables, que les Livres saints lui découvrent avec tant de
soin
les ruses, les profondeurs de Satan, & les mo
. A Près avoir prouvé que les Poèmes du nouveau genre éxigent des
soins
de la part de ceux qui travaillent à leur composi
leurs Pièces ayent des mœurs, il ne veut point recommander qu’on ait
soin
de les rendre sages, vertueux ; mais qu’on les fa
en arrive-t-il ? Elles dédaignent de s’abaisser jusqu’à s’occuper des
soins
de leurs maisons. Elles abandonnent aux femmes du
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