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1 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre prémier. Le sujet. » pp. 160-182
les ou compliqués, comme ceux de l’Etourdi & d’Héraclius, mais de simples & de naturels. Il faut que les événemens se r
e jour qu’il est de mon avis ; il fait bien plus d’accueil aux Pièces simples de son aimable Théâtre, qu’aux Poèmes intrigués q
N’offrez point un sujet d’incidens trop chargé. Plus son action sera simple & commune, plus elle fera d’èffet sur le Théâ
Ceci achève de prouver qu’il faut que leur intrigue soit éxtrêmement simple  : Fuyez de ces Auteurs l’abondance stérile, Et n
Théâtres sembleront renaître. Les sujets de notre Opéra sont tous simples . Mais reprenons le fil de mon discours. J’ai
ils ne sauraient subsister. Qu’on ait donc soin de choisir des sujets simples . Ceux que présentent les principales sources ou l
e Poétiques soutiennent tous, qu’il faut que l’action des Drames soit simple . Les Anciens nous ont dictés cette loi si sage. L
loi si sage. Leurs Pièces n’ont presque point d’intrigue. Rien de si simples que les Tragédies d’Éschyle, telles que le Promet
ut les faire en jouant, & les accompagner d’une grace naive & simple , non pas d’un appareil de grand éclat. » Scaliger
rand éclat. » Scaliger encourage les Poètes du Théâtre moderne à être simples  : « En un mot, dit-il, les petits sujets entre le
remarquer aussi que le Poète doit toujours rendre son action la plus simple qu’il lui sera possible17. » En voilà assez pour
s ornemens ; il est d’autant plus beau qu’il se pique toujours d’être simple . Que les Spectateurs ressemblent aux personna
2 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77
prémiers âges du monde, du bruit des chansons rustiques. Ces chansons simples & naïves célèbraient le Dieu qu’on adorait, o
Les Italiens dans le quinzième siècle donnèrent à la Pastorale l’air simple qui lui convient. Une étude réfléchie des Idyles
ens étrangers, toujours désagréables, parce qu’ils ternissent ce beau simple , qui en fait le seul mérite. Les Bergers parlent
Opéra la rendra digne de charmer tous les Spectateurs par une parure simple & champêtre, qui lui convient mieux que de po
n genre n’a parmi nous qu’un petit nombre de Partisans. L’image de la simple Nature ne sçaurait arrêter des esprits aussi vifs
rme dans les hameaux. De même qu’un Prince s’èxprime autrement que de simples Bergers, tâchons que la musique usitée dans les D
r un air à prétention, rempli de roulades. On veut que son chant soit simple , & proportionné à sa manière de s’èxprimer, d
3 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286
pelle petits-airs. Peu de Notes nous suffisent pour attraper ce chant simple & gracieux, qui peint au naturel un sentiment
chant Français. Il est sensible que notre mélodie est tout-à-fait simple  ; elle approche beaucoup de la Nature : elle adop
& de maniéré, corrigé par une lenteur aimable, & par un beau simple . C’est à cet heureux mêlange qu’est dû le nom de
savant & ingénieux de la musique Italienne au goût naturel & simple de la musique Française ? Qu’on peut discerne
résumé de tout ce que j’ai dit : la Mélodie Française est tout-à-fait simple  ; sa marche est égale ; elle est très-chantante,
& qu’on retient d’abord par cœur tous ses Ouvrages, tant ils sont simples & chantans. On s’appercevra d’une chose singu
se ; puisqu’elle n’est composée que de petits Airs légers, d’un chant simple & très-aisé à retenir. Je m’en rapporte à tou
ifficile de prouver qu’un morceau de musique Italien dont le mode est simple & chantant, n’est qu’une imitation du genre F
ir d’un ou de deux chef-d’œuvres de nos rivaux, dans le genre le plus simple & le plus chantant qu’il sera possible de tro
n’est point aussi sensible que celle du chant. La raison en est toute simple . Le même genre de mélodie ne saurait être univers
strumens. On prétend, par éxemple, que leurs accompagnemens sont plus simples , plus délicats que les nôtres ; nous les chargeon
4 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. Si la Musique Française est plus agréable que la Musique Italienne. » pp. 287-291
Française vaut beaucoup mieux que l’Italienne, parce qu’elle est plus simple & plus chantante, ainsi que je crois l’avoir
fit-il pas que la musique Italienne bannisse le naturel & ce beau simple qui fait briller les Ouvrages en tout genre, pour
eau. Enfin tant que la musique du Spectacle que nous chérissons, sera simple , enjouée & chantante, elle l’emportera sur sa
5 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Parallèle du Poème épique avec les Pièces du nouveau genre. » pp. 107-112
ce qu’on avance. Le commencement des Poèmes épiques est toujours simple  ; celui des Drames modernes est d’une simplicité
aux nues ; il se souvient de ces Vers de Boileau : Que le début soit simple & n’ait rien d’affecté. N’allez pas dès l’abo
nium. » M. de Voltaire, le Poète épique des Français, n’est pas moins simple au commencement de la Henriade : Je chante ce Hè
6 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre II. L’Exposition, le Nœud & le Dénouement. » pp. 183-210
reur ou de joye, en éxcitant la surprise. Le Nœud n’est pas aussi simple qu’il devrait être. Le Nœud chez les Anciens
ple qu’il devrait être. Le Nœud chez les Anciens étaient toujours simple . Les Peuples modernes loin de les imiter, font en
s principaux personnages. Le Nœud de nos Pièces était autrefois assez simple . Depuis quelques années nous commençons à nous éc
un instant, & de ne causer qu’une surprise momentanée. Le goût du simple s’éteindrait enfin parmi nous, sans le nouveau Th
des Drames des autres Théâtres. L’intrigue en est ordinairement fort simple  ; maison fait naître de petits incidens qui tienn
il n’est pas difficile d’imaginer ce que ses Poètes ont à faire. Une simple opposition de la part du Héros de la Pièce au des
me de la savoir ; le Devin la donne aux deux Personnages de la Pièce, simples Paysans, qui n’auraient pu chanter une Chanson au
e garde, recommande Corneille, que le dénouement ne vienne pas par un simple changement de volonté, mais par quelque incident
7 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre VIII. De la Mascarade. » p. 196
C’ est un genre de Spectacle, qui ne consiste qu’en une seule & simple representation. Il n’est pas question de mouvemen
igence, que la notion de l’Idée generale, & dans le détail que la simple operation des sens.
8 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre IV. Il faut que le nouveau Théâtre se fonde sur la Vérité & sur la Nature. » pp. 133-138
Pourquoi l’Opéra-Bouffon doit imiter la Nature. La raison en est simple . Le genre qui lui convient ne renfermant aucune a
lever au dessus des autres Spectacles. En éffet, de nos jours le Beau simple & le naturel ne se trouvent gueres au Théâtre
vons nous pas faire de notre Opéra qui veut bien conserver le goût du simple & du vrai, au milieu de la dépravation généra
9 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [F] »
des Salles, de peu d’étendue, telles que pouvaient se les procurer de simples particuliers, dont l’établissement n’était pas st
arurent sur la Scène dans leurs proportions naturelles ; leur jeu fut simple  ; faute d’art & de moyens, ils nous indiquère
10 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XI. Du jeu des Acteurs. » pp. 345-354
te. La coèffure des Actrices en général mérite le même reproche ; une simple Paysanne a-t-elle ses cheveux bouclés avec art, &
onduire ; on doit devenir presque original, tandis qu’on n’est qu’une simple copie. Tous ceux qui s’étonnent que des gens de L
igation nous aura le Public ? Il nous accusera de lui faire passer un simple cannevas de Pièce, ou une Pantomime, pour un Dram
11 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XX. Silence de l’Ecriture sur les spectacles : il n’y en avait point parmi les Juifs : comment ils sont condamnés dans les saintes Ecritures : passages de saint Jean et de saint Paul. » pp. 72-75
ir que leurs fêtes, leurs sacrifices, leurs saintes cérémonies : gens simples et naturels par leur institution primitive ; ils
’y a point de ces dangereuses représentations : ce peuple innocent et simple trouve un assez agréable divertissement dans sa f
12 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
ique, à cet homme insensible aux attraits de la Musique & du beau simple . Les provinces ont le même amour pour l’Opéra-Bou
u nous importe d’ailleurs de voir la Scène occupée par un Roi, par un simple particulier, ou par un vil artisan. Tout ce qui n
les plus augustes ; eux se font gloire de nous montrer un rustaut, un simple pécheur, un Boulanger. C’est un mérite qui leur e
s’exprime ainsi ; « Il n’y a rien quelquefois de plus sublime que le simple même4. » Qu’on ose encore après cela faire le pro
ue attire une si grande foule de curieux, dira-t-on, & non pas la simple envie de contempler des artisans. En vérité, les
13 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Du Theatre. » pp. 73-99
, ou de quelque illustre Mortel. Les Comiques avoient des habits plus simples , & n’avoient que des * souliers bas & com
oufons du païs d’Hetrurie, qui commancerent ces Ieux Sceniques par de simples mommeries sans art & sans raison, mais qui ne
, & à tous les Ieux où l’on en usa de cette forte. Ainsi les plus simples au cõmencement ne furent composées que d’arbres a
ais enfin, le goust solicitant l’invention, on en fit tantost avec de simples voiles, tantost avec des aix informes, jusques à
doient par flutes pareilles ou differentesPares, impares.. Ma réponse simple & de bonne foy tiendra lieu de ce grand &
14 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [B] » pp. 380-390
en action ; en quoi elle diffère du Poème Didactique-Moral, & du simple Dialogue. Elle diffère particulièrement de la Tra
mita celle de Ménandre, dont il ne fut pas, comme on se l’imagine, le simple traducteur : de même qu’aujourd’hui, un Auteur An
pas sociale. Telle est la source du Comique Anglais, d’ailleurs plus simple , plus naturel, plus philosophique que les deux au
ile d’y éviter le double écueil d’être froid ou romanesque ; c’est la simple nature qu’il faut saisir, & c’est le dernier
qu’il faut saisir, & c’est le dernier effort de l’art d’imiter la simple nature. Quant à l’origine du comique attendrissan
15 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Lettre premiere. » pp. 2-17
x Juges dont le caractere est émané du thrône & de Dieu même ; un simple Avocat étant un homme isolé, ses avis ne sont nul
nt toutefois soumis à ce Pontife Œcuménique. Sa Primatie n’est pas un simple titre d’honneur, comme votre Avocat l’insinue, el
ctrine, elle n’est point obligée de rendre compte de son jugement aux simples fidéles ; ceux-ci doivent se soumettre aveuglemen
16 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Cirque. » pp. 9-43
n choisis. Les Acteurs se presentoient ensuite, & si c’estoit une simple chasse, les honnestes gens en étoient, & il y
rs secrets, d’armer les poings de gantelets, au commencement faits de simple * cuir, & ensuite de fer. Ainsi la course qui
apparence que cette derniere sorte de course ne se faisoit que sur la simple longueur qui estoit au moins de δολὶχος δίαυλον.
t ou de l’adresse. Les Courses à cheval n’estoient pas tout à fait si simples , car non-seulement on devoit fournir sa carriere
irement leurs robes, les Lanistes, furent obligez de n’user que d’une simple tunique & mesme sans ceinture, ce qui les fit
onie qui se pratiquoit on l’accordant estoit de leur donner un baston simple , ou une verge à peu pres semblable à celle dont o
17 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre II. Regrèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. » pp. 94-100
nous fait tant de plaisir. La raison qui me le fait croire ést toute simple , c’est qu’ordinairement les Auteurs ne traitent q
e même mot Théodore, que notre Philosophe soutient ne signifier qu’un simple nom d’homme. Je trouve d’abord Théo ou Théos qui
18 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Corrections et additions. » pp. 364-368
lig. 1. où l’on trouve ; lis. où l’on entend. pag. 183. lig. 5. tous simples  ; lis. tout simple. pag. 204. avant dernière lig
ve ; lis. où l’on entend. pag. 183. lig. 5. tous simples ; lis. tout simple . pag. 204. avant dernière ligne ; où tout est me
19 (1845) Des spectacles ou des représentations scéniques [Moechialogie, I, II, 7] pp. 246-276
es qui s’élèvent au-dessus de la vertu des idiots, de la religion des simples et de l’humanité du commun peuple. Cette littérat
souscription ou abonnement, soit par applaudissement, ou même par la simple assistance aux spectacles notablement obscènes, o
s par Mgr Gousset en ces termes : « Il y aurait péché mortel pour les simples spectateurs qui assisteraient à une représentatio
grand nombre d’autres, donnent pour raison que, dans l’espèce, cette simple assistance n’est point une grave coopération à l’
cer à sa profession, il est prudent, à notre avis, de n’exiger que la simple déclaration que, s’il recouvre la santé, il s’en
du les comédiens sous le nom d’histrions. Il prétend que c’étaient de simples joueurs, joculatores, des jongleurs, des baladins
20 (1762) Apologie du théâtre adressée à Mlle. Cl… Célébre Actrice de la Comédie Française pp. 3-143
les secours de l’art, tout frappe au contraire & tout étonne. Une simple description affecte, un détail animé saisit, une
Disons plus : où les objets sont plus sensibles, les instruments plus simples , & les traits plus éloquents. Le Peintre ne p
n Apologiste* moderne du Théâtre, au tableau chetif & mesquin de simples Copistes, qui n’ont besoin pour rendre leurs roll
cher sans doute à en faire des Auteurs dans leur genre ; & non de simples Copistes dont le rolle n’est jamais qu’emprunté,
à une imitation exacte, vous réduisés les facultés qui l’inspirent au simple sens froid, à l’esprit, à l’intelligence, & s
être fort sans dureté, doux sans mollesse, gracieux sans prétention, simple sans art, & noble sans étude : y a-t-il rien
Public universel. Qu’est-ce donc maintenant qu’un Acteur ? Est-ce un simple automate, un instrument actif, un organe animé ?
te d’enthousiasme. La Lecture en général a un effet trop vif, pour le simple amusement, mais il ne l’est pas assez pour une ré
pour une récréation utile : car enfin que peut-elle vous offrir ? de simple idées, des images imparfaites, des tableaux muets
init communément par ennuyer. Eh pourquoi ? C’est qu’elle n’est qu’un simple délassement & non un objet de récréation ; ce
e la nature, à distinguer ses traits qui sont toujours modestes & simples , d’avec ceux de l’art, qui sont toujours au contr
21 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. De l’Opéra-Sérieux. » pp. 184-251
en récits, tant sérieux que comiques, fit abandonner l’Opéra, ou les simples représentations en chant. On n’y renonça pourtant
nde naturel & fabuleux s’y découvrent à nos regards. On y voit de simples mortels & des Hèros ; des Guerriers & des
ise. Formé sur le modèle de nos deux principaux Théâtres, il est tout simple qu’il les imite dans ce qu’ils ont de mieux. Il e
sur la Scène sont supposés avoir la puissance en partage, il est tout simple qu’ils se distinguent du commun des mortels, en f
p; dans les sentimens de ses Personnages. La marche de ses Drames est simple , unie, les événemens qui tiennent du prodige, y s
x qui ont écrit que l’Opéra-Sérieux était énnemi du possible & du simple , se sont furieusement trompés, puisqu’il renferme
ppelle Pastorale-héroïque le Drame dont le sujet est plutôt grave que simple , & dont la catastrophe est quelquefois tragiq
rages de Quinault, & quon s’éfforce d’imiter la manière élégante, simple & sublime dont ils sont écrits. Je sais qu’il
s naturellement que dans le séjour de la Comédie récitée. Il est tout simple de mettre la musique avec la musique ; on formera
22 (1753) Compte rendu de Ramire « Compte rendu de Ramire » pp. 842-864
les développant, il se livre à un zèle dont les expressions sont plus simples qu’élégantes, les images plus vraies que délicate
amittere. Tertullien va plus loin : quelque gracieux, dit-il, quelque simples , quelque honnêtes que paroissent ces chants, ces
dans le Christianisme la Comédie est un spectacle indifférent, où les simples ne risquent rien, les sages gagnent, & les fo
23 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « EXTRAIT Du Journal de Trevoux ; Mois d’Avril 1753. Art. XXXIX. » pp. 59-70
les développant, il se livre à un zéle dont les expressions sont plus simples qu’élégantes, les images plus vraies que délicate
mittere . Tertullien va plus loin : quelque gracieux, dit-il, quelque simples , quelque honnêtes que paroissent ces accords, ces
dans le Christianisme la Comédie est un spectacle indifférent, où les simples ne risquent rien, les sages gagnent, & les fo
24 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre III. But que le Spectacle moderne doit se proposer. » pp. 123-132
encore trompé. La Scène ne passe point tout d’un coup des Princes aux simples Bourgeois, & ceux-ci ne doivent pas tous être
, même à l’ombre du dais. La Comédie, plus douce dans son stile, plus simple dans sa marche, fait agir l’humble habitant des V
25 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Triomphe. » pp. 112-160
en passant que dans les disgraces ils m’ettoient sur leurs Letres une simple plume au lieu de laurier, pour signifier le besoi
la porte, & du moment qu’il estoit entré, il n’estoit plus qu’un simple particulier sous la puissance des Consuls & d
ues iours apres à celuy de Fabius, d’autres representations faites de simple bois, il dit assez ingenieusemen, que celles-cy e
s & à ses Soldats. On y observoit quelque proportion. Car pour la simple part d’un Soldat, l’Officier avoit le double, &am
es Palais avoient beau changer de proprietaire, & appartenir à de simples Citoyens ; ils ne laissoient pas de conserver les
miers qui furent eslevez par ex. à Romulus, car ils n’estoient que de simple brique. On devint un peu plus splendide, & on
26 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-7
foiblesse d’esprit, souvent corruption & malice, pour séduire les simples , comme les retours des esprits dans les maisons,
dans son principe, utile même à des peuples dont la piété pure & simple s’en nourrissoit avec fruit ; il l’est encore, po
27 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VII. De la Vraisemblance. » pp. 277-286
heureux ? Qu’on vienne au contraire nous apprendre une avanture toute simple , qui paraisse probable, nous l’écoutons attentive
& des actions qui répugnent au bon sens. Un Spectacle si naïf, si simple , devrait-il tomber dans de pareilles fautes ? Les
28 (1844) Théologie morale « CHAPITRE I. Des Péchés de luxure non consommée, sections 644-651. » pp. 291-296
tion, ni par applaudissement. Il y aurait aussi péché mortel pour les simples spectateurs qui assisteraient à une représentatio
cer à sa profession, il est prudent, à notre avis, de n’exiger que la simple déclaration que, s’il recouvre la santé, il s’en
29 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64
n’ose mettre sur la scène tel que celui d’un homme droit, vertueux, « simple et sans galanterie, [qui ne] fait point de belles
ous dites qu’on n’ose mettre sur la scène « un homme droit, vertueux, simple , grossier et sans galanterie, qui ne dit point de
’est un homme dont le rôle est si bien soutenu, qui dit des choses si simples et si peu galantes, si analogues à la situation d
s de la science et de l’esprit, il a donc fait parler un homme sensé, simple , sans amour et sans galanterie, enfin un homme te
mes, de la galanterie ? Non sans doute ; on n’y peut voir qu’un style simple , uni, et ce que tout homme sensé dirait à la plac
: il ne se sert pour expliquer sa pensée que des expressions les plus simples et les plus communes au lieu d’employer de belles
selon vous, avoir trop d’esprit que de ne dire que des choses vraies, simples et raisonnables. Le troisième reproche de votre o
, pour voir, sur la Scène Française, un homme droit et vertueux, mais simple et grossier, sans amour, sans galanterie, et qui
64-65 : « Lelio - Arlequin n’est qu’un Sauvage ; mais sa raison toute simple lui suggère un conseil digne de sortir de la bouc
30 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXI.  » p. 480
her dans le divertissement. Car le Chrétien n'y peut rechercher qu'un simple délassement d'esprit, qui le rende plus capable d
31 (1675) Traité de la comédie « XXI.  » p. 309
'il est permis d'y chercher. Car le Chrétien ne peut rechercher qu'un simple délassement d'esprit, qui le rende plus capable d
32 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXIV.  » pp. 482-483
. Ceux qui sont occupés aux travaux extérieurs n'ont besoin que d'une simple cessation de leur travail. Ceux qui sont employés
33 (1675) Traité de la comédie « XXIV.  » pp. 312-313
. Ceux qui sont occupés aux travaux extérieurs n'ont besoin que d'une simple cessation de leur travail. Ceux qui sont employés
34 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
s une matière aussi grave, il est permis d’asseoir un jugement sur de simples probabilités ; & si, en bon Logicien, vous po
uses & fausses qu’ils désavouent ? Pourquoi les jugez-vous sur la simple opinion de quelques uns de leurs concitoyens ? Po
35 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « EXTRAIT DE QUELQUES PENSEES SAINES. Qui se rencontrent dans le livre de J.J. Rousseau contre le Théâtre, ou condamnation de son système par lui-même. » pp. 66-77
de leur continuelle élévation, et nous attendrir quelquefois pour la simple humanité souffrante, de peur que, n’ayant de la p
me souviens d’avoir été frappé dans mon enfance d’un spectacle assez simple , et dont pourtant l’impression m’est toujours res
36 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre IV. Des Feux de-Ioye. » pp. 184-185
joye causée par un grand Succez : Mais les Européens ont ajoûté à ce simple & naturel témoignage, mile artifices ingenieu
37 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « I. Occasion et dessein de ce Traité : nouvelle Dissertation en faveur de la Comédie. » pp. 1-3
eur à une mauvaise cause. Il n’en faut pas davantage pour tromper les simples et pour flatter la faiblesse humaine trop penchée
38 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. » pp. 297-328
tre Langue, ne désigne, comme je l’ai remarqué plus haut, qu’un chant simple , presque toujours sur le même mode, enfin qu’une
rincipal en le mettant dans la bouche de leurs Acteurs, non comme une simple chanson, mais comme une suite de ce qu’ils devaie
enu par l’harmonie, ne peut sans peine entendre ensuite un chant trop simple , qui lui paraît d’une froideur èxtrême. J’éxamine
rlé plus haut, & j’ai cité pour éxemple du mauvais éffet de l’air simple mis auprès de l’Ariette, ce que le Spectateur épr
39 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 21-65
rsion pour les choses communes, qui les ramène quelquefois aux choses simples . » Page 22. « Il s’ensuit de ces premières obse
tte pour voir sur la Scène Française un homme droit et vertueux, mais simple et grossier, sans amour, sans galanterie, et qui
le principal moyen exigé, et c’est l’essence d’une bonne Pièce. V. La simple nature plaît dans Arlequin Sauvage e, parce que n
40 (1715) La critique du théâtre anglais « DESSEIN DE L’OUVRAGE. » pp. -
sorte ? Non : et je puis prouver combien ma plainte est juste par une simple exposition de la conduite de nos Poètes, eu égard
41 (1667) Traité de la comédie « Préface » pp. 452-454
i se pouvait allier avec la dévotion. Les autres siècles étaient plus simples dans le bien et dans le mal : ceux qui y faisaien
42 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXV.  » p. 484
de l'esprit à Dieu, et qu'il suffit qu'il demeure quelquefois dans un simple désir que Dieu y connaît ; mais il est certain qu
43 (1675) Traité de la comédie « I. » pp. 272-274
ement qui se pouvait allier avec la dévotion. Les autres étaient plus simples dans le bien et dans le mal. Ceux qui y faisaient
44 (1675) Traité de la comédie « XXV.  » pp. 314-316
l'esprit à Dieu, et qu'il suffit qu'elle demeure quelquefois dans un simple désir que Dieu y connaît: mais il est certain que
45 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
e heure. Mais quoi ? le divertissement innocent d’une joie pure & simple ne peut-il vous suffire ? Quelle fureur ! l’excès
qui sait que le glaive suspendu sur sa tête ne tient qu’à un fil, un simple fil prêt à se rompre, un Chrétien qui sait que so
Oui, je consens, disoit Tertullien, que tout soit dans vos spectacles simple , charmant, même honnête. Remarquez que les Peres
z tous les jours sur le feu sans vous brûler. Tandis que nous par une simple lecture de ce que vous voyez représenter, malgré
ntions, nous nous trouvons presque toujours coupables ; tandis qu’une simple lecture encore plus innocente fit trouver au gran
46 (1751) Nouvelles observations pp. 393-429
s de magnificence, que peuvent faire les Souverains, ne valent pas un simple boccage que nous offre la Nature. Il est des mat
on qui paroît n’avoir plus de fondement. Conclusion, & Moyens simples de Réforme. Des raisons que l’on vient d’expo
pandue, que l’on ne croit pas qu’il y ait au monde une personne assez simple , ou environnée de gens assez simples, pour prendr
y ait au monde une personne assez simple, ou environnée de gens assez simples , pour prendre des Chansons pour des vérités, que
47 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien second. De la vanité des Bals & Comedies en general tiré des Sermons du R. Pere Claude la Colombiere de la Compagnie de Jesus. » pp. 17-25
fans de Dieu par adoption ? Un Prince n’oseroit faire le Comedien, un simple Bourgeois croit qu’il y a des divertissemens indi
aux heretiques pour se separer de l’Eglise, & persuadent aux ames simples & peu êclairées, que la verité ne se peut ren
48 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre V. Il n’est point de Drame sans Mœurs. » pp. 139-141
re du Savetier a une autre nuance que celui du maître Cordonnier ; le simple Laboureur a une autre manière d’agir que le riche
49 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIV. Réponse a l’objection qu’il faut trouver du relâchement à l’esprit humain : que celui qu’on lui veut donner par la représentation des passions est réprouvé même par les philosophes : beaux principes de Platon. » pp. 58-60
eil. Mais si notre goût corrompu ne peut plus s’accommoder des choses simples , et qu’il faille réveiller les hommes gâtés par q
50 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
rés : or lorsque tout concourt à nous porter à une chose, il est tout simple , qu’on la découvre. Qui avertit l’homme d’invente
u’elle est maintenant. Elle n’était composée autrefois que d’un chant simple , sans Intonations, & dénué de l’accord de div
scrupule de les élever aux emplois les plus considérables. Isménias, simple joueur de flûte, fut envoyé Ambassadeur en Perse.
urgue. Voici comme il s’èxprime : « L’harmonie n’est pas seulement un simple agrément que la Nature a mis dans la voix de l’ho
sa gloire ? éssayons de m’èxcuser. Mes moyens de défense seront tous simples . Je ne hais point tant la musique qu’on pourrait
musique, je prescris des bornes à mon estime. Je la regarde comme un simple amusement, qui cesserait d’être agréable, s’il ét
51 (1702) Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour. Lettre de Lettres curieuses de littérature et de morale « LETTRE. de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour, qui lui avait demandé quelques réflexions sur les pièces de Théâtre. » pp. 312-410
ente quelque action, et il est différent des autres qui se passent en simples récits. La Tragédie tire son nom de deux mots Gre
ne peut être préparé avec trop d’artifice, ni être trop court ni trop simple . Catastrophe, c’est l’événement heureux, ou fune
on génie, lorsqu’il produit dans les esprits, les mêmes effets par de simples récits, que par des spectacles réels. Le récit qu
Poète entreprend de travailler, est fort important. Il y a des sujets simples , c’est-à-dire, dont le Héros est toujours heureux
ints ont toléré, ou approuvé la Comédie, c’est qu’elle était alors si simple , si informe et si grossière, qu’il fallait plutôt
s : De même la Comédie dans de certains temps, ne consistait qu’en de simples récits, dont les sujets étaient pris de la vie, o
52 (1775) Voyage en Italie pp. 206-208
enfin à tous les vrais besoins, amusé alors, délassé par des plaisirs simples , il n’aurait pas eu besoin de l’art pour son bonh
53 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XII. La représentation des pièces de théâtre est plus dangereuse que la lecture. » pp. 108-110
nat de Melpomène et de Thalie ne se chargerait pas d’une pièce sur la simple lecture. Il faut qu’elle soit déclamée dans le sa
54 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre VII. Des Carozels. » pp. 191-195
Carosel, ny Masquarade faite de Chariots, & de Masques, mais une simple Cavalle. Le souvenir neantmoins de celuy qui fut
55 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre X. Des entrées faites aux Rois & aux Reines. » pp. 205-208
a plus de merite dans son succez. Un Gustave pouvoit se passer de la simple peinture de ses belles actions ; ses victoires po
56 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « I. » pp. 6-8
devant lui que de la joie. Les vrais Chrétiens ont toujours été plus simples , et la dissimulation n’a jamais été leur caractèr
57 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIX. Autre principe de Platon sur cette matière. » pp. 69-71
t les mauvaises maximes ; et que sans se soucier de la vérité qui est simple et une, ils ne travaillent qu’à flatter le goût e
58 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « PRÉFACE. » pp. 3-6
PRÉFACE. Depuis qu’on a quitté la manière toute simple de traiter les matières de Théologie par l’Ecritu
59 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre II. Des Amphitheatres. » pp. 44-72
les Theatres n’ayent esté devant les Amphitheatres, & que le plus simple des deux n’ait precedé le plus grand & le plu
ourdie, qui se faisoit, un plaisir du peril ; & l’autre estoit un simple amusement d’adresse & de dexterité, à tirer l
rdinaire dans les Païs les plus éloignez. Plin. l. 8. c. 16.Un Sevole simple Ædile introduisit les combats de plusieurs Lyons.
60 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [H] » pp. 416-417
ques représentaient des édifices particuliers avec des toîts & de simples croisées, comme on en voit communément dans les V
61 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « JUGEMENT DE M. DE VOLTAIRE, SUR LES SPECTACLES. » pp. 78-81
s Spectacles. J’ai toujours pensé que la Tragédie ne doit pas être un simple spectacle, qui touche le cœur sans le corriger :
62 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à rejeter. » pp. 313-318
aux mœurs, qu’à imiter par rapport au talent. GEORGE DANDIN. La simple lecture de cette Pièce fait sentir qu’elle ne peu
63 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE III. Théatre de S. Foix. » pp. 52-75
d’innocence qui rassure & invite. Combien, sous le style le plus simple , est plus décent & plus sage le récit de l’Ec
mérite, qu’il est plus difficile qu’on ne pense de traiter une action simple sans écart, sans remplissage, avec les seuls Acte
p; de tout le Nord de l’Europe (il se trompe encore). Ses dogmes sont simples , naturels & raisonnables (la métempsicose est
veut faire honneur au théatre, n’est qu’un piege pour surprendre les simples , & un libertinage qui se joue effrontément de
64 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre X. Des Incidens & des Episodes. » pp. 159-164
rs n’ayant point en eux-mêmes assez de force pour conduire une action simple jusq’au cinquiéme Acte, la remplissent d’épisodes
65 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIII. Première et seconde réflexion sur la doctrine de Saint Thomas. » pp. 82-84
égalait en vertu. Or constammentw ce n’était pas un comédien, mais un simple « joueur de flûte, qui gagnait sa vie à cet exerc
66 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VI. De l’Iconomanie théatrale. » pp. 141-158
qui détruit les saintes images, à raison du danger qu’y trouvent les simples  ; combien doit-il anathématiser les images indéce
ères de la Réligon à la faveur de ces pieuses images, à la portée des simples  ; la séduction dévoile les mystères de l’impureté
es regards, à ses meubles & à ses livres. On fait une comparaison simple , mais juste & frappante ; si J.C. vivoit enco
67 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49
nse furent inventés lorsque les hommes étaient encore grossiers & simples  ; mais c’est en se polissant qu’ils eurent la pré
ques que les autres monumens qu’ils ont élevés ? Ma réponse est toute simple . L’usage était peut-être de jouer l’espèce de Com
re, surnommée Tabernaria parce qu’elle n’était décorée que de maisons simples de pauvres gens, a quelque ressemblance avec notr
68 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
on une espèce de religion de son immodestie. Si l'on veut regarder la simple Comédie dans son progrès et dans sa perfection, s
euples d'une manière qui fût capable de les frapper davantage, que la simple exposition des choses qu'ils leur voulaient insin
les instructions qu'ils eussent pu recevoir d'une autre manière plus simple et moins vive. La plupart des tragédies de Sophoc
69 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre I. Du Théâtre des Anciens. » pp. 2-24
la mériter. Quelques Auteurs Latins ont fait des Tragédies, mais par simple curiosité. Ce motif n’a rien inspiré de grand ; d
motifs, & aux moyens qui les ont produits, la gradation est toute simple . Avant de s’informer du caractère & des mœurs
70 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
la profession du Théâtre. Je ne ferai là-dessus qu’une réflexion fort simple . Les Rois ont le pouvoir législatif, personne n’e
et qu’on ne devrait pas souffrir. Je vous propose les moyens les plus simples de les rendre en même temps, honnêtes, utiles et
71 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVII. Du gouvernement & de la Police intérieure du Théâtre. » pp. 12-18
opriété & de seigneurie, furent pris pour des vassaux, ou pour de simples cultivateurs, qui ne devoient jouir du bénéfice d
72 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Que le Compositeur doit chercher à peindre. » pp. 340-344
es pour elle que les éffets de la Nature, il me semble qu’il est tout simple de lui accorder aussi le privilège de peindre ce
73 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre III. Du Bal. » pp. 178-183
ste, & si elle paroist s’attendre à quelque chose de plus qu’à la simple aprobation des yeux. Comme cette affeterie dont i
74 (1802) Sur les spectacles « RÉFLEXIONS DE MARMONTEL SUR LE MEME SUJET. » pp. 13-16
ssier qu’il y prend sans réflexion, émousse en lui le goût des choses simples et décentes. On perd l’habitude de réfléchir, com
75 (1777) Des divertissements du Carnaval « Des divertissements du Carnaval. » pp. 92-109
ants de Dieu par adoption ? Un Prince n’oserait faire le Comédien, un simple Bourgeois croit qu’il y a des divertissements ind
res singularités, et qui aiment à se faire un nom aux dépens des âmes simples et trop crédules. Quelle secrète aversion, si que
76 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VIII. Du Stile. » pp. 287-319
Auteur montre bien le ridicule du stile recherché, & le mérite du simple & du naturel, dans son petit discours sur les
’épines ? il faut au moins que le composé ait quelque rapport avec le simple auquel on le joint. Je ne crois pas qu’il soit po
je leur compare. Les prémïers travaillent ordinairement dans un genre simple & naïf ; les autres n’ont composés que dans l
77 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IX. Défauts que les Etrangers ont coutume de reprocher à notre Tragédie. » pp. 231-259
s Vers d’Eschyle, des Vers raboteux. Euripide prit un ton encore plus simple , & son Stile est une noble imitation du Langa
lit. En voici un exemple. Mettre une barriere est une expression fort simple , & nous ne nous en servons pas pour dire qu’o
ur unique objet étoit d’exciter une grande émotion ; & une Action simple , mais terrible leur suffisoit. Ajax se jettant su
78 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — CHAPITRE IV.  » pp. 109-114
u Créateur. Ils voyent que rien n’est inutile dans la Nature ; qu’une simple fleur a des propriétés qui relèvent encore l’écla
79 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Onzième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 244-249
ce n’est pas à vous qu’il faut dire, qu’un éclat, des reproches, une simple indiscrétion pourraient tout perdre. J’espère don
80 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [P] » pp. 441-443
nnes Comédies, (dont on a parlé Note Comédie, nombre 8.) composées de simples Dialogues, & presque sans action, dont les Pe
81 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228
en droit d’anathématiser la profession de comédien, la raison en est simple  ; la comédie a souvent contribuée à démasquer l’h
82 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre III. De la Fable Tragique. » pp. 39-63
urprise où elle est, de voir Zaïre si changée, étoit une raison toute simple d’entrer en matiere, sans parler d’absence. D’un
qui l’anime, qui l’a vivifie d’un bout à l’autre. Il est formé sur de simples incidents, comme dans Œdipe, sur l’oracle ambigu
83 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VI. De la Poésie de style. Si elle fait seule la destinée des Poëmes. » pp. 94-121
n Poëme est rempli, sont nobles ou sublimes, brillantes ou délicates, simples ou naïves. Toutes ont leur beauté, & un empir
us admirons une belle pensée, un sentiment noble, dans une expression simple  ; & c’est quelquefois le caractère du sublime
84 (1705) Pour le Vendredy de la Semaine de la Passion. Sur le petit nombre des Elûs. Troisiéme partie [extrait] [Sermons sur les Evangiles du Carême] pp. 244-263
Christ & à son Eglise dans vôtre Baptême. Ce ne sont point ici de simples conseils, mes Freres, ce sont des obligations, le
t à lui, est l’œuvre de Satan, & par consequent criminelle, qu’un simple regard qui ne tend pas à lui & à sa gloire, l
85 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264
nt de soi-même, c’est le poids de l’oisiveté, c’est l’oubli des goûts simples et naturels, qui rendent si nécessaire un amuseme
rsion pour les choses communes, qui les ramène quelquefois aux choses simples . Il s’ensuit de ces premières observations, que l
, que des forfaits qu’il leur fait commettre ? Est-il bien sûr que le simple récit de ces forfaits nous en donnerait moins d’h
re : Dieu vous assiste. On peut, il est vrai, donner un appareil plus simple à la Scène, et rapprocher dans la Comédie le ton
dre de la supériorité qui lui est propre, est pourtant éclipsé par le simple bon sens et l’intrépide vertu de Zopire15. Il fal
u de leur continuelle élévation et nous attendrir quelquefois pour la simple humanité souffrante, de peur que, n’ayant de la p
intérêts d’Etat qu’on ne connaît plus, et aux sentiments naturels et simples qui ne touchent plus personne. Les Auteurs concou
de la jeunesse, et que faisant les galants à son exemple, il est très simple qu’on la leur préfère dans son métier ; mais c’es
s dans leurs plaisirs que dans leurs affaires. Mais laissez un peuple simple et laborieux se délasser de ses travaux, quand et
ans l’inaction, loin de fomenter en eux l’oisiveté à laquelle une vie simple et facile ne les porte déjà que trop, il faut la
on du Monarque dans la colère. Ce prix, qui devait être un signe très simple , mais visible, porté par le Roi durant toute sa v
parva licet componere magnis » p, je reviens à des applications plus simples . Un des infaillibles effets d’un Théâtre établi d
épourvus de plaisir et de gaieté, ces amusements ont quelque chose de simple et d’innocent qui convient à des mœurs républicai
ux occupations qui leur conviennent, ou à des amusements innocents et simples , très propres à toucher un cœur honnête et à donn
n ne doit ni tout rejeter ni tout admettre. La règle pour choisir est simple . Quand le bien surpasse le mal, la chose doit êtr
e admiration des vertus de Théâtre nous dédommagera-t-elle des vertus simples et modestes qui font le bon citoyen ? Au lieu de
stère n’habitèrent longtemps ensemble. Pour moi, loin de blâmer de si simples amusements, je voudrais au contraire qu’ils fusse
, pour voir, sur la Scène Française, un homme droit et vertueux, mais simple et grossier, sans amour, sans galanterie, et qui
fet théâtral et vraiment effrayant. Je n’imagine qu’un Spectacle plus simple et plus terrible encore ; c’est celui de la main
me souviens d’avoir été frappé dans mon enfance d’un spectacle assez simple , et dont pourtant l’impression m’est toujours res
86 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379
ges d’un vil intriguant, & rejetter les sages conseils d’un homme simple & droit : j’y découvre, qu’on ne peut jamais
eur excès étant trop au-dessus du ton que peuvent prendre celles d’un simple Spectateur, il les laisse s’élever, s’y intéresse
embler. Honorine. On peut, il est vrai, donner un appareil plus simple à la Scène, & rapprocher, dans la Comédie, le
Farces sont reléguées dans la onzième Classe, ainsi que les Pièces de simple amusement, & généralement presque toutes cell
amp; le berceau de la Dramatique aux pieds des Autels. Les Religions, simples d’abord, comme la Divinité unique qui en était l’
fraper de loin les membres épars : l’appareil augmente : les notions simples d’un Dieu père des hommes, parlant à tous le même
tière daigna se communiquer, & parler le langage des hommes. Trop simples pour examiner, trop respectueux pour contredire,
s, lorsqu’elles paraissaient extraordinaires ; au lieu, dis-je, de ce simple Deolo * qu’on me passe le terme, les Prêtres mire
eu & de ses semblables. Les Danses du Père-de-famille avaient été simples , comme sa Musique : celles des Prêtres, que le lo
Dramatisme parmi eux, avec sa renaissance chez les Modernes. Dans le simple coup-d’œil que nous jetons ici sur l’etat des Act
s’y livre tout entier. Les divertissemens, les courses, les Comédies simples & sans art, telles que les Atellanes, restent
ence dans la manière dont ce goût se manifeste : chez nous, c’est une simple affluence, un vif empressement ; on reconnaît un
orsqu’il fut devenu la Religion des Empereurs, abandonna son appareil simple , & prit, comme les autres, une pompe extérieu
87 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VI. Les obstacles qu’on peut rencontrer pour parvenir à la Réformation du Théâtre. » pp. 59-68
mais la réformation du Théâtre ne demande pas le moindre effort : une simple Ordonnance suffirait, non seulement pour le réfor
88 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Résumé et moyens de réformation. » pp. 105-200
alité impossible, je veux dire absolue, qui a récemment agité tant de simples . Néanmoins, malgré l’ancienneté de leur origine e
de tous les états, puissé je ne pas vous flétrir même par cet énoncé simple et naturel, dépouillé de jeu magique ! Je reconna
ent qui doit les y condamner. Oui, un épisode, une scène, et même une simple citation, un trait lancé à-propos, en un mot, un
uvoir conserver aussi aux théâtres le droit de poursuivre en masse de simples ridicules ; c’est-à-dire, de gloser et s’égayer s
89 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VII. De la Diction. De la Poësie dans la Tragédie. » pp. 122-130
r ses défauts. On fait donc des vers ronflans. Les sentimens les plus simples sont rendus avec esprit, avec emphase. On perd de
90 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Suite du Clergé Comédien, » pp. 52-67
uitter son collet & son bénéfice, il osa solliciter des bénéfices simples , mais si simples , disoit-il, qu’il ne faille qu
& son bénéfice, il osa solliciter des bénéfices simples, mais si simples , disoit-il, qu’il ne faille que croire en Dieu p
91 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre XI. Du Balet. » pp. 209-318
purgé, non seulement de toute ambiguité des termes, mais encore de la simple odeur d’un mauvais sens ; Que toute l’étenduë qu’
rême d’extravaguer dans ses imaginations. Ce qui ne roule que sur une simple Idée est toûjours fluet, delicat & tendre : m
anter ce qu’il n’oseroit dire, & pour lever tout l’embaras que la simple Dance pourroit causer à l’intelligence du Sujet.
ul mot en passant, Que la Dance qu’on nomme la belle, qui consiste en simples demarches, à bien observer le pas, & à garder
dans les Bals, & par tout où il s’agit d’un pas majestueux & simple , qui cependant ne sont point propres au Balet. La
s avoit laissé usurper à des Entrepreneurs sans caractere, & à de simples Baladins ou à des Violons. Neanmoins depuis long-
iculier au Tout. Autrement ce n’est pas une Machine de Balet, mais un simple Spectacle de Machines. Elles ont deux beautez : L
92 (1675) Lettre CII « Lettre CII. Sur une critique de son écrit contre la Comédie » pp. 317-322
fère quelqu’un à cause de son mérite. Il fallait donc des expressions simples et grossières où l’orgueil parût tout pur, et san
93 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104
nécessaire pour servir de correctif à celle de l’Avare. Cette méthode simple qui aurait pu avoir dans cette rencontre au moins
ul rapport elle a déjà été très-nuisible à la société : cette méthode simple , dis-je, susceptible de contrepoids ou de correct
l’égard des hommes pervers, on tourne impitoyablement en ridicule les simples torts de l’exacte probité, on accable de chagrin
leurs loisirs entre les colifichets, les chiffons, les papillons, les simples ou les plantes et les fleurs ; mais les grands ju
94 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
e, par exemple, d’être attaché au service d’un Prince qu’à celui d’un simple particulier. Faisons et l’analyse et l’applicatio
nos Statuts appellent les Evêques, Cette distinction est au-dessus du simple Gentilhomme, et n’a lieu qu’en Angleterre.Nobles,
les Berkeleysal, les Comptons, les Montages etc. Pour ce qui est des simples Gentilshommes, il est très peu de familles en Ang
Puffend. Introduct. à l’histoire. Cette distinction est au-dessus du simple Gentilhomme, et n’a lieu qu’en Angleterre. Luc. 1
95 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Troisieme suite du Fard. » pp. 171-194
e dépense pour vous graisser le museau  ; elles se moquent d’un homme simple , mais très-bon parti qui les demande en mariage :
anchise Gauloise ; pour la sœur, sa parure & sa beauté sont aussi simples que son cœur, c’est la Reine qu’il nous faut. »
eveux longs & des cheveux courts. La premiere mode, & la plus simple fut de réunir avec une rosette les cheveux qui fl
96 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58
genre, loin d’être si méprisable, est de former une espèce de Comédie simple , dont l’action & les personnages n’ayent rien
t, « que les filles de Pantin & de Bagnolet n’ont besoin que d’un simple flageolet pour danser, tandis que celles de je ne
re Chevalier errant qui offre vingt écus, son unique fortune, pour un simple baiser, nous donne lieu de soupçonner qu’il désir
97 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
orrompue par un autre, ne fût-ce qu’une fois. L’application est toute simple , on n’a pas à craindre de s’y méprendre, le mari
vation de tout privilège clérical est une plus grande punition que la simple exclusion, qu’on exclut pour de simples défauts d
ne plus grande punition que la simple exclusion, qu’on exclut pour de simples défauts de corps ou d’esprit, qui ne sont point d
98 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199
tous les pécheurs publics, arceantur ab hac mensa, etc. Mais comme le simple refus des sacrements ne suppose pas l’excommunica
it bonne contenance. Ils disaient qu’ils n’étaient ni Comédiens, mais simples farceurs ; ni Français, mais un ramassis de toute
rce ; et que les Comédiens n’ayant point de lettres patentes, mais un simple brevet non enregistré, ils n’étaient pas personne
99 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre III. Recherches nécessaires pour s’éclaircir si les Anciens ont connus l’Opéra-Bouffon. » pp. 101-108
er sans retour. Ce qui me fait naître cètte idée singulière, est tout simple  ; on voit du Chant tantôt grave & tantôt plai
100 (1759) Remarques sur le Discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie « Remarques sur le discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie. » pp. 350-387
tacle d’un événement singulier & d’une révolution surprenante. Le simple récit d’un fait de cette nature exciteroit agréab
on peut y entrer pour quelque chose : mais n’y en a-t-il pas une plus simple , & qui convient plus généralement au commun d
tacle d’un événement singulier & d’une révolution surprenante. Le simple récit d’un fait de cette nature exciteroit agréab
on peut y entrer pour quelque chose : mais n’y en a-t-il pas une plus simple , & qui convient plus généralement au commun d
raisons qui font voir que le sentiment nous affecte bien plus que la simple perception ou la seule intelligence. Les Poëtes q
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