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1 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SEPTIEME DISCOURS. De la Magnificence des Princes dans les Habits, dans les Festins et dans les Spectacles publics. » pp. 202-209
ques occasions extraordinaires, ils doivent prendre ces ornements qui semblent être consacrés aux cérémonies publiques ; Ils son
enir la Majesté de leur Personne, et l’admiration de leurs Sujets. Il semble que Dieu même, dont ils ne sont que les ombres, e
ps et par la coutume, seront un peu plus difficiles à régler : Car il semble que c’est en ces occasions que le Prince fait par
urs maltraité, et que celle-là y est toujours couronnée. Voilà, ce me semble , en peu de paroles la défense du Théâtre, et le P
rmante, plus elle est dangereuse ; Et j’ajouterais même que plus elle semble honnête, plus je la tiens criminelle. Le plaisir
2 (1675) Entretien sur les tragédies de ce temps pp. 1-152
’y règne pas, comme dans le Bajazet ou la Bérénice. CLEARQUE. Il me semble néanmoins que l’amour joue dans la pièce dont vou
igénie, et la jalousie d’Eriphile. Car il serait bien ennuyeux, ce me semble , d’entendre toujours Agamemnon et sa femme, se pl
venue, et nous examinerons ensemble si j’ai raison. CLEARQUE. Il me semble qu’il faudrait voir si quelqu’un a réussi en fais
différente là-dessus de celle du nôtre ; et c’est pour cela qu’il me semble qu’un Poète est assez justifié aujourd’hui, quand
plus tempérant de tous les Poètes de la Grèce. Et ce Poète néanmoins semble avoir plus de modestie que nous….. CLEARQUE. Je
uteurs de la Tragédie Suidas., de paraître en public, parce qu’il lui semblait que le mensonge pourrait s’autoriser par un métie
e qu’on ne puisse goûter en conscience un plaisir si agréable, et qui semble si innocent. TIMANTE. Si vous ne m’eussiez pas
qu’on se réjouit de leur malheur. CLEARQUE. Mais ces caractères me semblent bien peu capables de plaire, et je ne comprends p
sentiments, quand il suit ce que sa gloire lui inspire, que quand il semble s’abandonner à l’amour ; et ne m’avouerez-vous pa
dresse serait pour un Père et non pas pour un Amant, car voilà, ce me semble , le caractère de son Iphigénie ; ne lui auriez-vo
ché de voir le premier tomber dans un malheur effroyable, parce qu’il semble n’avoir point mérité ce malheur ; au contraire la
ez de génie pour en soutenir toute la Majesté. CLEARQUE. Mais il me semble que je vous ai ouï dire autrefois que c’était abu
e représenter l’Histoire des Saints sur un Théâtre profane ; et il me semble encore que vous approuviez l’Edit que l’on fit le
n fût un homme si parfait qu’il n’eût aucunes faiblesses. Cette vertu semblerait tenir du miracle, et rien n’est moins supportable
Héros Chrétiens pouvaient plaire sur le Théâtre, et je voulais, ce me semble , vous le prouver par quelques exemples ; je ne vo
ant luiai ; Et si j’ose ajouter quelque chose à cette remarque, il me semble que ce n’est pas s’y prendre comme il faut, pour
lecture des Anciens. Cependant j’ai lu depuis peu une Histoire qui me semble propre pour le Théâtre, si elle était conduite de
quand tout ce qu’elle représente est inconnu. Car ce qui est inconnu semble fabuleux ; et quoi qu’une Tragédie puisse être to
hommes. Pour moi qui ne veux point d’amour dans les Tragédies, il me semble que l’on peut n’y mettre point de femmes ; car, e
e de ce que vous ne citez pas l’exemple des Auteurs Grecs : car il me semble que Sophocle a fait une Tragédie sans femmeap ; e
3 (1824) Du danger des spectacles « INTRODUCTION. » pp. 1-3
e affaire si importante, que tous les raffinements de la civilisation semblent n’avoir que ce seul but, on ne manquera pas, peut
s et des plaisirs de la société, que l’empire d’une longue indulgence semble avoir consacrés. La nécessité de cet examen est d
qu’ont pensé quelques écrivains vertueux au sujet de ces plaisirs que semble aujourd’hui sanctionner une approbation presque u
4 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre II. Du Théâtre Moderne, & de celui des François. Celui-ci comparé au Théâtre Grec. » pp. 25-38
rnier & Hardy, se contenterent de marcher sur ses traces. Le beau semble ne pouvoir naître que de l’imperfection : Il fit
s n’étoient remués ni par les symphonies, ni par l’éclat du lieu. Ils sembloient n’assister qu’à des démêlés domestiques. Qui n’eû
amp; de l’Histoire ont fait de plus grand, ont pensé de plus sublime, sembla plus grand & plus sublime encore dans ses ver
les Grecs. Ces obstacles, dont plusieurs subsistent encore, & qui sembloient devoir anéantir le Théâtre dans sa naissance, rép
ues étincelles ; mais la suite n’a pas répondu à ces commencemens. Il semble que le Théâtre ne puisse plus se soutenir que par
5 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
c’est sacrifier à cet amour de la vérité, l’amour-propre même. Il me semble , Monsieur, que vous avez invinciblement prouvé qu
ux, ni à réprimer leurs passions : mais vous auriez dû ajouter, ce me semble , avec la vérité sévère et impartiale dont vous fa
rterres qui se succèdent depuis un siècle, mais monument immortel qui semble sorti des mains de la vertu même, pour fixer à ja
es, que des Rois doivent acquérir à la représentation de Britannicus, semblent plus appartenir à la méditation qu’au sentiment,
cette tragédie peut être utile aux Sujets comme aux Rois ; car il me semble qu’il n’est point de spectateur qui, frappé de la
, à quelques égards ; mais dans le point, dont il s’agit ici, elle me semble contredite par l’expérience à laquelle seule, en
essions que fait la force de l’exemple, lui manquait. » Voilà, ce me semble , un précepte constant, dont je crois que j’ai mon
résentation du préjugé à la mode ? Les larmes des spectateurs ne vous semblent -elles pas l’éloge de leurs mœurs et de celles du
mble vertu est-elle peinte, dans ce tableau, sous des traits qui vous semblent peu dignes d’elle ? Et demanderez-vous aux specta
e, l’Avare même, que vous avez condamné, sans avoir bien saisi, ce me semble , l’esprit de Molière. Ce ne sont point les tours
6 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
venez ces objections en y répondant par des paradoxes nouveaux. Il me semble voir en vous (la comparaison ne vous offensera pa
si on peut parler de la sorte, appelé de trop loin. Il a fallu, ce me semble , pour imaginer un pareil genre de divertissement,
de faire des sabots, et celui de tourner les Jésuites en ridicule. Il semble donc que les spectacles, à ne les considérer enco
s, que le Théâtre purge les passions en les excitant. La règle, ce me semble , est vraie, mais elle a le défaut d’être mal énon
ements que le Théâtre excite, parce que la vivacité de ces mouvements semble ne durer que le temps de la pièce ; mais leur eff
tres Tragédies qui vous paraissent si dangereuses. Il n’en est, ce me semble , aucune qui ne laisse dans notre âme après la rep
nt théâtrale, secondée par une musique effrayante, eût produit, ce me semble , un des plus heureux dénouements qu’on puisse ima
ssent bien propres à nous rassurer à cet égard. Ce qui devrait, ce me semble , vous déplaire le plus dans l’amour que nous mett
ns Corneille, est encore plus languissant et plus déplacé : son génie semble s’être épuisé dans Le Cid à peindre cette passion
s, a eu dessein dans cette Comédie de rendre la vertu ridicule. Il me semble que le sujet et les détails de la pièce, que le s
u’il doit lever le masque et lui rompre en visière. Rien n’est, ce me semble , mieux ménagé et gradué plus adroitement que cett
mais ne cherchez pas à lui enlever le droit de nous attendrir ; il me semble au contraire qu’aucun genre de pièces n’y est plu
ve ; et dans le temps même où nous les plaignons, un sentiment confus semble nous dire pour nous consoler, que ces infortunes
trois mots, qui ne sont là que pour défigurer un chef-d’œuvre. Il me semble qu’ils doivent produire sur tous les gens de goût
ur et le tyran du plus faible. Je ne sais si je me trompe, mais il me semble que l’éloignement où nous tenons les femmes de to
en conclurez qu’elle le serait encore plus à celle des femmes. Il me semble au contraire que les hommes devant être plus vert
sont jugés ni par les richesses, ni par les habits. Enfin rien, ce me semble , ne souffrirait dans votre patrie de l’établissem
votre mollesse à les défendre leur plaira plus que ma franchise. Vous semblez m’accuser presque uniquement d’imprudence à leur
7 (1620) L’Honneur du théâtre « Prologue » pp. 39-42
longueur du temps pouvait ensevelir dans un injuste oubli. Et ce qui semble prodigieux, les antiquités se consomment par la s
abhorre les méchants, et se rend tellement utile aux humains, qu’elle semble servir d’une sage maîtresse pour les former à l’h
n était si naïf en ses personnages, et si violent en ses actions, qui semblaient requérir quelque affection, qu’il tua d’un coup d
8 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVII. Profanation de la sainteté des fêtes et du jeûne introduite par l’auteur : ses paroles sur le jeûne. » p. 97
el le spectacle et la comédie paraissent peu propres, et devraient ce semble être défendus. » Malgré toutes ces raisons, qu’il
devraient ce semble être défendus. » Malgré toutes ces raisons, qu’il semble n’avoir proposées que pour passer par-dessus, mal
9 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XI. De l’amour & de ses impressions dans le Poéme Tragique. » pp. 165-178
l’amour dans les Tragédies. Les mouvemens de cette passion molle leur sembloient peu dignes de la grandeur du Théatre. En effet, e
ssion. Achille ne dit à Agammemnon que des fadeurs ou des injures. Il semble qu’on ait été obligé de dérober aux bienséances,
la nouveauté, qui pénétrent l’ame de desirs & d’impatience. On y semble , dit Scaliger, plus attentif à endormir nos sens
sité. 10 Il est une autre classe de Spectateurs sur lesquels l’amour semble avoir épuisé tous ses traits. Ses douceurs anéant
10 (1768) Observations sur la nécessité de la réforme du Théatre [Des Causes du bonheur public] «  Observations sur la nécessité de la réforme du Théâtre. » pp. 367-379
e sa victoire. Vous n’éviterez pas le piége qui vous est tendu. Il me semble qu’on peut ajouter pour la réformation du Théâtre
Je me suis plus arrêté à la Tragédie qu’à la Comédie, parce qu’il me semble que le goût de la Nation & des Auteurs est to
sente les passions corrompues que pour les allumer… Il ajoute : il me semble qu’on pourroit donner aux Tragédies une merveille
tant de ravages ***. Fénelon ne paroît pas exclure l’autre amour ; il semble ne pas le désapprouver dans Térence ; il parle en
on, il deviendroit superflus d’écrire davantage sur cette matiere. Il semble par quelques Piéces mises sur les différens Théât
11 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre IV. Des Feux de-Ioye. » pp. 184-185
emin faisant. Enfin, les corps de soy immobiles en sont agitez, & semblent en recevoir un suplément d’esprit & d’ame, qu
p; spirituelles inventions, & cette surprenante varieté d’effets, semblent ne dépendre que d’un beau feu, d’une subtile &
12 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VIII. Du Stile. » pp. 287-319
teurs prennent des licences singulieres dans leur versification ; ils semblent vouloir insensiblement secouer le joug de la rime
lles par sa dureté. Ceci confirmerait le sentiment de d’Aubignac, qui semble soutenir qu’on ne doit point s’attacher au stile
est-à-dire bas & commun, n’aura pas besoin d’ornemens. D’Aubignac semble déclarer en termes éxprès, que c’est avec raison
qu’on fasse attention à cette Ariette. Une Fille est un oiseau, Qui semble aimer l’esclavage, Et ne chérir que la cage Qui l
ongueur affreuse, on ne sait où elle finit : les quatre prémiers Vers semblent d’abord la terminer, mais le mot ramage qui vient
Autre remarque sur Tom Jones. Je continue mes citations. Il me semble que Blifil fait un singulier compliment à l’aimab
e Mère ni Père ait daigné me sourire45. Je vais citer un Vers qui me semble tout-à-fait comique. Trouverai-je l’Amant glacé
u mot Lion ; Il affronte avec courage La dent du Lion sauvage54. Il semble qu’il y ait différente classe de Lions, des sauva
13 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. » pp. 297-328
e s’applique qu’à peindre un sentiment. Le célèbre Rousseau de Genève semble dire, que le terme Ariette n’est propre qu’aux Dr
, considérons en particulier les Ariettes du Spectacle moderne. Il me semble qu’elles refroidissent l’intérêt ; car il est bie
eville ! Je sais qu’on propose de l’associer à l’Ariette ; mais il me semble qu’il ne se soutiendrait point à côté d’un morcea
du nouveau genre. La Simphonie qui précède le chant & le termine, semble lui donner trop de dignité & de noblesse ; el
’images que de pensées fines & spirituelles. C’est pourquoi il me semble que l’Auteur de la Fée Urgèle se trompe lorsqu’il
hanger souvent le mode convenu ; il conserve mieux l’air primitif. Il semble d’ailleurs que le travail du Poète a plus de méri
es des syllabes longues, place un repos sur la moitié d’un mot, & semble quelquefois diviser en deux une seule lettre. De
auvé que par un accroissement dans la passion, ou dans l’intérêt, qui semble appeller de lui-même une èxpression nouvelle &
14 (1640) Traité des Spectacles des Gentils « SAINCT CYPRIAN DES SPECTACLES. » pp. 155-193
on Euangelique ; & que si elle a des lieux & des passages qui semblent en quelque façon s’accorder à leurs sentiments, o
uent d’instruction bien qu’elles soient défenduës, & d’autres qui semblent oubliées, bien qu’elles soient escrites. La raiso
témoigne du ressentiment, qui ne se treuue au Spectacle, & qui ce semble ne tiene à gloire d’y estre ioüé par des insolent
près s’y estre disposez par vne diette extréme, & qui surpasse ce semble les forces de nostre nature ; sont-ils dignes de
& mobiles, il verra les fixes, il verra tous ces beaux astres qui semblent amener vn nouueau iour. Qu’il admire en suitte la
sleué les autres, dont les embellissemens & la structure qui nous semble prodigieuse, ne sont autre chose qu’vn assemblage
sons, & les fleuues suspendre leur cours rapide & remonter ce semble vers leur source, pour donner le passage libre su
15 (1579) Petit fragment catechistic « Que les jeux des théâtres et les danses sont une suite de la science diabolique, opérante par philaphtie et amour de soi-même contraire à la foi opérante par charité, fondement de la Cité de Dieu. » pp. 20-26
lus grands maux : mais toutefois s’il fallait permettre le mal, il me semble du tout intolérable que ce soit sous le titre de
s, en conscience je dirais sous correction de meilleur avis, qu’il me semble avec monsieur Gerson, que ceux qui ne s’opposent
ls scandales, et blasphèmes de la religion Chrétienne pèchent : Et me semble que l’Evêque est tenu d’ôter la confrérie, plutôt
telles gens à l’offrande, ni à la sainte Communion. Voilà ce que m’en semble , sans avoir en intention d’offenser, diffamer ou
16 (1733) Traité contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE TRAITÉ. CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 247-261
espèce de mouchoir pour faire commencer le combat. Martial et Juvenal semblent appuyer ce dernier sentiment. Par Chap. 17. l’aid
honte d’assister aux spectacles. Les paroles latines de notre auteur semblent favoriser ce sentiment : « Ex ore quo Amen in san
r avènement de Jésus-Christ. Entre les pères de l’église quelques-uns semblent avoir cru la même chose. Nous savons que cette op
non pas puæstuariæ, qui signifie quelque chose d’ignominieux ; il me semble néanmoins qu’on peut donner à ce dernier terme la
17 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IV. Des Personnages. » pp. 239-251
uverait à l’instant de la catastrophe dans une situation délicate qui semblerait le contraindre d’agir de la sorte ? On siflerait,
fesaient sortir avec force le principal caractère mis en action ; il semble qu’on en sentait un peu plus le ridicule ou le mé
ci paraîtra peut-être une étrange nouveauté à notre Spectacle ; il me semble au moins qu’elle lui est assez inconnue. Ai-je ra
anchise, l’aimable simplicité des habitans de la campagne. Mais il me semble que le tutoyement entre gens qui s’aiment, annonc
18 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre dernier. Conclusion. » pp. 345-347
rment seules un Drame parfait. En louant à outrance la méthode qu’ils semblent avoir le plus généralement adoptée, j’ai cherché
Poètes & aux Musiciens des différens Spectacles, qui de nos jours semblent trop souvent vouloir négliger les règles, en cher
19 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
s le nouveau Théâtre. La plus-part des Auteurs Anciens & Modernes semblent avoir écrits en sa faveur. Je citerai, quand l’oc
en5. » Je terminerai cet article par une remarque du Père Brumoy ; il semble conseiller aux Auteurs Dramatiques de ne se point
aisément, & que je me repose sur les lumiéres de mes Lecteurs. Il semble (ce sont les énnemis de l’Opéra-Bouffon qui vont
l semble (ce sont les énnemis de l’Opéra-Bouffon qui vont parler.) Il semble que d’Aubignac ait prophétisé ce qui se passerait
ue seule l’anime, dès qu’il en est dénué, il languit, il tombe, & semble un corps sans ame. Que trouvera-t-on de plus comp
aient guères à leurs Drames des titres plus relevés. Ajax porte fouet semble annoncer un cocher ; Œdipe ne promet qu’un homme
20 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « Discours préliminaire. » pp. -
lorsqu’on ne peut faire autrement, on dénigre jusqu’au mérite. Il me semble que les Auteurs n’ont pas tout-à-fait lieu d’être
e, & tantôt notre Opéra, la Comédie-mêlée-d’Ariettes ; Mais il me semble que le nom qui lui convienne le mieux ; est celui
qu’on ne pût rien m’objecter que je n’eusse déjà prévu ; & il m’a semblé que l’ironie me mettait plus à mon aise. Au reste
21 (1825) Encore des comédiens et du clergé « NOTICE SUR LE MINISTERE FRANÇAIS EN 1825. » pp. 87-100
ervis ? Ne sont-ils pas obligés d’obéir à cette puissance occulte qui semble ne siéger nulle part et domine partout, à cette s
en est de même du grand mouvement de l’Amérique, auquel nos ministres semblent craindre de prendre une part active et utile pour
e part sur son ministère. La vengeance, si facile à l’homme puissant, semble n’être jamais entrée dans son cœur, car elle n’es
tels les mots, jamais, et arbitraire ? En politique, personne, ce me semble , n’a encore deviné le premier ministre comme étan
22 (1731) Discours sur la comédie « Lettre à Monsieur *** » pp. -
e qu’on en a dit ne saurait me déterminer à les faire imprimer. Il me semble que quand on réfute des opinions qui plaisent aux
re aucun ouvrage sur ce sujet, la Lettre du R.P. Caffaro suffit ce me semble pour détruire celle qu’on lui attribuait. Je ne p
23 (1644) Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. Discours quatriesme « Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. » pp. 100-132
e la Nature n’est jamais si grande que dans les petites choses, il me semble qu’on pourroit dire icy le mesme de l’Art, &
lebrer d’vne autre façon. Il y a eu des images de quelques Dieux, qui sembloient plustost venir de la main d’vn Charpentier que de
atyres de l’autre, qui luy prestent vne attention merueilleuse, & semblent escouter auidement toutes les choses qu’il semble
rueilleuse, & semblent escouter auidement toutes les choses qu’il semble dire. On y voit de plus, Monsievr, cinq ou six h
emens qui n’ont pas esté faits pour les personnes qui les portent. Il semble ou qu’on les a achetez à la Fripperie, ou qu’on l
gesse ; & ils le deuroient estre comme Menandre & Alexis, qui semblent faire toute autre chose. Vous auez bien oüy parle
24 (1823) Instruction sur les spectacles « Préface. » pp. -
ts. Nous avons cru que dans un temps où la fureur pour les spectacles semble être parvenue à son comble, il ne serait pas inut
dément enraciné, que la raison s’efforce de justifier, que la coutume semble autoriser, et qui a autant d’apologistes qu’il y
25 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 3-4
rtissements mondains qui sont en usage depuis tant de siècles, et qui semblent avoir acquis un juste droit de prescription, c’es
es auditeurs (homil. 25. ex 50. circa medium.) : Il n’y a rien qui me semble si doux que d’être retiré en ma petite chambre, y
26 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Des Duo, Trio & Quatuor. » pp. 329-339
stre pour des instants de désordre & de transports où les Acteurs semblent s’oublier eux-mêmes ; il faut, par une musique do
qu’on ait ôté les chœurs à la Comédie, ainsi qu’à la Tragédie : il me semble que nos Poèmes sont privés par là de grandes beau
 » ; affirme Scaliger dans plusieurs endroits de sa Poètique. « Il me semble que l’ouverture doit être éclatante » ; dit encor
27 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
de se passer de pousser l’autre sur le chapitre de son Panulphe. Cela semble affecté, non nécessaire et hors de propos à quelq
son Panulphe, commence à dire que « c’est un homme », de sorte qu’il semble qu’il aille faire un long dénombrement de ses bon
fort élégamment qu’oui. Il continue, et lui demande encore, « que lui semble de Monsieur Panulphe » : elle, bien empêchée pour
ait voulu lui prouver cela), « il peut l’épouser lui-même, si bon lui semble  ». Sur ce discours, Valère amant de cette fille à
quand ils avaient voulu s’en aller un peu devant. Ce dépit amoureux a semblé hors de propos à quelques-uns dans cette pièce ;
e qui surprend terriblement cette femme ; parce que d’une part il lui semble étrange que cet homme la cajole ; et d’ailleurs i
Cagot s’approchant toujours de la Dame, même sans y penser à ce qu’il semble , à mesure qu’elle s’éloigne ; enfin il lui prend
idérer son ajustement, et s’attaque « à son collet, dont le point lui semble admirable ». Il y porte la main encore pour le ma
ue… Je ne dirais rien, car cela ne se peut ». Trait inimitable, ce me semble , pour représenter l’effet de la pensée d’une chos
borde la compagnie, soi-disant venir de la part de Monsieur Panulphe, semble être là pour demander pardon, et accommoder toute
que moins on y pense, des bonnes actions donne la récompense ». Il me semble que si dans tout le reste de la pièce l’Auteur a
es Puissances sont plus épurés que ceux du vulgaire : si cela est, il semble qu’il est encore de la charité des religieux pers
r cette Lettre, je ne pense pas devoir l’entreprendre ici. Mais il me semble que je vous vois plaindre de ma circonspection à
e je viens de dire, que les raisonnements et les manières de Panulphe semblent ridicules, mais qu’il ne s’ensuit pas qu’elles le
se présenteront au Spectateur dans quelque autre occasion, elles lui sembleront assurément ridicules, quoique peut-être elles ne
fît, pour ne pas trouver ces raisons aussi ridicules qu’elles lui ont semblé , quand elles les a vu proposer à Panulphe. La rai
28 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouvrage intitulé : Des Comédiens et du Clergé, et sur les charlataneries littéraires, politiques et religieuses. » pp. 52-86
e nécessité condamne au joug avilissant de la morale des intérêts. Il semble aujourd’hui qu’on ne fasse plus attention au cont
es et Henri IV, hurlent d’effroi de se trouver ensemble. Les jésuites semblent impatients de commencer en France des scènes trag
riés, tous d’après le principe d’hypocrisie dont ils sont prédominés, semblent avoir épuisé les dénominations et les expressions
venin de leurs plumes empoisonnées, et en produisant des ouvrages qui semblent écrits sous la dictée des furies ! Ils n’y respir
en possession d’une souveraineté de fait. L’usurpateur du directoire, semblait ne pas avoir de plan fixe ni de but déterminé. On
and jour. Je l’envisagerai sous différents aspects qui ont été, ce me semble , négligés. Je vais, en attendant, terminer mon es
ion publique, pour ainsi dire pervertie par l’influence de Bonaparte, semblait , sous son règne, admettre aussi que la monarchie
29 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
s réflexion, prennent injustement des personnes de votre état, vous a semblé insupportable ; et votre âme n’a pu sans douleur
e qu’il a cité mal à propos ne lui est pas bien présent à ce qu’il me semble . Il est fâcheux de mettre sa cause entre les main
amusement à sa Fille ? Vos Tragédies mêmes, surtout les modernes, qui semblent être seules en droit d’attirer la foule, et d’êtr
dont ils sont. Mais un corps auquel on accorde des Privilèges qui ne semblent faits que pour autoriser la mauvaise conduite, n’
30 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Que le Compositeur doit chercher à peindre. » pp. 340-344
beaucoup plus difficiles pour elle que les éffets de la Nature, il me semble qu’il est tout simple de lui accorder aussi le pr
e Ouverture faire mal augurer de la musique de toute une Pièce. Il me semble qu’on pourrait se dispenser de placer une Ouvertu
31 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIII. De l’éducation des jeunes Poëtes, de leurs talents & de leurs sociétés. » pp. 204-218
communément pour avoir beaucoup perdu de son ancien éclat. Mais il me semble que ce jugement qu’on en porte est bien peu reflé
est une seconde classe de jeunes gens, qui, dans une moindre fortune, semblent obligés d’y suppléer en embrassant la profession
e suffit à soi-même. La nature proportionne si bien les êtres, qu’ils semblent tous faits l’un pour l’autre. Le siécle passé éto
32 (1590) De l’institution de la république « SIXIEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut lire et quels on doit rejeter des Théâtres. » pp. 117-127
ommunément les humains, et qu’il contemplait la nature des astres, il semblait lorsqu’il touchât de la tête au ciel : lorsqu’il
t pour la conjonction grande, que l’air a avec le ciel, comme si elle semblait être femme à Jupiter, pour sa mollesse : et quant
Glaucopis, non pas qu’elle ait les yeux pers, ains pour autant qu’il semble que l’air soit de couleur azurée, quand on regard
t. C’est pourquoi Ennius appelle les Poètes saints, pour autant qu’il semble que les Poètes nous soient recommandés par quelqu
γις, qui signifie en François, Bouc, lequel au seul regard premier ne semble point laid, mais quand il se départ, il laisse un
vertueusement vivre. Toutefois on les prise moins, pour autant qu’ils semblent être par trop libres à parler, et que bien souven
nce que j’ay d’eux, m’ont contraint d’être plus long : et mêmes ne me semblait raisonnable de ne les point soutenir et protéger,
33 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109
ieu ceux qui prennent l’habit des nations étrangères, déguisement qui semble indifférent : Visitabo super eos qui induuntur ve
aise pensées que l’habit d’un sexe différent dont on est couvert, qui semble peindre le crime & l’offrir : Refricat memori
mes, & puissent se départir des compagnies à l’heure que bon leur semble , & fermer leur porte quand l’ombrage & la
oiselles, y amener tabourin, de choisir telle damoiselle que bon leur semble , de disputer avec elle de l’art d’aimer, circonst
& de tous autres ombrageux, tant & si long-temps que bon leur semble , sans que le mari leur puisse ni doive donner auc
elles, pour les mener danser & deviser à part, ainsi que bon leur semblera . Pendant que les Masques danseront ou entretiendr
les remercier de leur visitation & honneur qu’ils ont fait. Et a semblé à la Cour le temps d’une heure suffisant pour don
ur est permis contrefaire leur langue, & mentir tant que bon leur semblera . Est expressément défendu à tous Maris de n’aller
34 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. De l’Opéra-Sérieux. » pp. 184-251
que : il est aisé de comprendre que je désigne l’Opéra-Sérieux. Il me semble qu’on trouvera naturellement placé dans ce sixièm
aient ridicules sur d’autres Théâtres ; mais le genre de ce Spectacle semble les éxiger, & veut en même-tems que ses Pièce
ute, de donner trop de prise à la critique contre les Italiens, qu’il semble avoir fait vœu de défendre en tout. Mais tirant d
e trouvassent tantôt sur la terre, tantôt dans les cieux. Enfin il me semble que la mythologie met le Poète lyrique bien plus
assez vaste. Le goût des Italiens ne doit pas décider du nôtre. Il me semble donc que la Fâble, la Magie & le systême des
écouvert mon erreur, & celle d’un grand nombre d’Ecrivains. Il me semble que le possible-vraisemblable est l’âme de l’Opér
péra. Qu’ils disposent leurs trapes de manières qu’en s’ouvrant elles semblent former un gouffre ; que des toiles peintes trompe
is conseiller aux Lyriques de négliger de même l’unité de tems. Il me semble cependant qu’elle ne se rencontre guères dans la
r. De quelle manière on doit écrire les Opéras-Sérieux. Il me semble que le stile des Drames lyques doit être d’une do
st point ici le lieu d’éxaminer ce raisonnement peu approfondi. Il me semble qu’il ne prouve rien ; s’il prouvait quelque chos
ée de déclamation, ainsi que les anciens Opéras d’Italie ; mais il me semble pourtant que ce Poème & l’Andromède, doivent
35 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168
aurait de l’éducation saurait alors se commander. Cet usage du monde semble assez naître de ce préjugé ; que les femmes sont
ces profanations auxquelles nos Poètes joignent mille blasphèmes qui semblent ne leur coûter rien : j’en dirais néanmoins assez
de Providence revient encore trois autres fois très mal à propos. Il semble que le Poète veuille insinuer que la Providence e
e des ombres sur certains portraits indécents ? Il se dit déjà, ce me semble , assez de saletés chez nous sans y en apporter d’
onforme à la Religion. Ces exemples, excepté les serments, sont ce me semble , tous les endroits le plus à reprendre dans Téren
œur dans Œdipe Œdip. Tyran. p. 187. condamne l’audace de Jocaste, qui semblait rejeter une faute sur l’Oracle ; quoique après to
la véhémence à ses discours. Quoique à parler franchement, Hercule me semble avoir encore plus d’éloquence que d’héroïsme. Apr
r comme de contrepoison au mal. Dans Cléomène au contraire, Cléonidas semble l’emporter contre son père en faveur de l’Athéism
. » Portrait achevé d’un enfant qui tète ! Description si naïve qu’il semble que le Poète ne vienne que d’être sevré ! Sérieus
cates, et exténuent l’iniquité de ses plaintes. Bien plus, Philoctète semble ensuite se repentir ; il s’assure que les Dieux l
36 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VI. Des Sçènes. » pp. 257-276
ts. « Il faut rendre raison de l’entrée de chaque Acteur30. Qu’ils ne semblent pas tomber des nues ; que la chaîne des événemens
recommande, ils choquent furieusement la vraisemblance ; parce qu’il semble alors que les personnages d’une Pièce sont aveugl
entir les belles choses qu’ils avançaient dans leurs ouvrages : il me semble , par éxemple, que la marche des Scènes de la Berg
rand tort. Il n’est que trop de Pièces, dont les Scènes mal liées semblent éxcuser l’Opéra-Bouffon. Il est vrai que les
37 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
pensée à peu près neuve ou de quelque vérité encore contestée. Il me semble effectivement qu’un but réel et utile, si faire s
abord quelques doutes au lecteur sur le mérite de l’ouvrage. Le sujet semble , en effet, au premier aperçu, beaucoup mieux conv
e délit lorsqu’il refuse les prières publiques à un comédien. Mais il semble qu’au dix-septième siècle on était loin d’avoir s
38 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre II. Regrèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. » pp. 94-100
cues, dans les mœurs, dans le goût, ne l’ont point fait oublier. Elle semble acquérir chaque siècle un nouvel éclat. Les Empir
rivaient ses Dieux & la probité, ne valait-il pas ce Chrétien qui semble se faire un plaisir de se moquer de la Religion,
39 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Septième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 282-286
re, & cette idée de rouge, dont la teinte anime ses traits, & semble leur prêter plus de vivacité… Tu vois où je veux
. Je sens une peine, dont je ne démêle pas trop bien la cause.… Il me semble que cette belle Actrice n’est pas à sa place ; l’
40 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXI. Réflexions sur la vertu qu’Aristote et Saint Thomas après lui ont appelée Eutrapelia. Aristote est combattu par Saint Chrysostome sur un passage de Saint Paul. » pp. 117-123
il faut avouer avec le respect qui est dû à un si grand homme, qu’il semble s’être un peu éloigné, je ne dirai pas des sentim
de répéter, que les discours « qui font rire », quelque polis qu’ils semblent d’ailleurs, asteia, sont indignes des chrétiens,
41 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre prémier. Le sujet. » pp. 160-182
ent trop l’attention du Spectateur de ce qui devrait l’occuper, & semblent former deux petites Pièces dans une, ainsi que je
vouera sans peine si l’on connait bien son genre & sa nature ; il semble dire ce Vers à tous les Auteurs dont il enflamme
qu’à l’heureux choix de son sujet, pris au milieu de la Nation. Il me semble que nos Poètes Tragiques, encouragés par les appl
angereuse aux progrès des Arts & des Sciences, & nos Théâtres sembleront renaître. Les sujets de notre Opéra sont tous
42 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
n même temps bannir les Parfumeurs, les Musiciens, et les Poètes, qui semblent aussi peu nécessaires ; et même il arrive ordinai
et en ce sens elle n’a aucune difformité : au contraire elle peut ce semble , autant exciter à la vertu les esprits bien faits
pette guerrière émouvait le courage d’Alexandre. Que si quelques lois semblent avoir été un peu sévères à ceux qui exercent cet
sent les livres de L’Astrée, les discours sérieux d’un Sylvandre leur sembleraient -ils pas dégoûtants sans les naïvetés d’un Hylas ?
43 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre prémier. De la Comédie-Bourgeoise, ou Comique-Larmoyant. » pp. 6-13
Vers sont toujours d’une force & d’une élégance qui ravit. Il me semble que c’est avec un art infini qu’il mêle des Perso
tateurs ; faites leur éprouver ou la douleur ou le plaisir. La Nature semble nous en faire une loi. Lorsque nous sommes témoin
44 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
nde partie des chrétiens pendant les Dimanches et les Fêtes. Il me semble qu’on peut réduire ces divertissements à cinq pri
e Religion ? de sorte qu’on pourrait à bon droit nous objecter, qu’il semble que nous ne recevions le Sacrement de salut, que
45 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
quelquefois avec plaisir, quelquefois avec dégoût, selon qu’elles me semblaient bien ou mal écrites. » C’est-à-dire selon que vou
ipes de la Religion Chrétienne et les règles de l’Évangile g» ? Il me semble que la vérité et la Politique devaient vous oblig
s aventures d’amour qui forment les plus belles idées des Poètes ? ne semble-t -il pas aussi que l’on sorte du Christianisme, qua
mystères de la Grâce avec une imagination de Roman. Vous deviez ce me semble penser à cela, et prendre garde aussi à qui vous
prends point par quelle raison vous avez voulu leur répondre et il me semble qu’un Poète un peu politique ne les aurait pas se
ité avec laquelle on y a reçu les Jésuites mêmes, dans un temps où il semblait qu’ils n’y étaient venus que pour voir les marque
46 (1639) Instruction chrétienne pp. -132
, farces, et bouffonneries. Car il se trouve plusieurs personnes, qui semblent bien instruites d’ailleursk, lesquelles exercent
de mesure. Mais pource que les Philosophes qui traitent de la morale, semblent n’accuser d’incontinence et intempérance, sinon c
eprésentées, et éveillées ; afin que par ces feintes, les spectateurs semblent se trouver présents, où les choses se font en eff
le n’en est que trop susceptible sans allumettes. Que siz la Tragédie semble plus sérieuse, et ne souffre pas la licence des C
ins et avisés, et se garderont bien de l’événement, contre lequel ils semblent être prémunis. Et certes, quand on examinera bien
cours, avec les farces, par lesquelles ils essuient les larmes qu’ils semblaient avoir attirées, pour renvoyer les spectateurs en
des discours forgés à plaisir, et si ineptement et lourdement, qu’ils semblent avoir voulu se moquer de Dieu et des hommes. Et t
bateleurs, et comédiens de son Royaume. Et combien que la Tragédie semble avoir quelque chose plus sévère et de plus august
l’arracher étant enracinée. Ce qui ès uns est difficiledl, ès autres semble impossible. » Et à un autre70, « Si les amateurs
nne visée : et semblables inventions. En cette occasion, où le mal ne semble pas si grossier, la subtilité des excuses trouve
es jours nous viennent nouvelles de pertes nouvelles. Et cependant il semble que nous soyons au milieu de nos plus grandes pro
it obtenir quelque victoire contre nos ennemis. Et qu’est-ce que nous semblons faire en cela, sinon ce que ferait un homme injur
rons tout ensemble le don de salut. Où est donc notre Chrétienté, qui semblons n’avoir reçu le sacrement de salut, qu’afin que n
it. Et de là, est venu, que nous lisons en la loi, que ceux mêmes qui semblent avoir fait quelque faute légère contre le command
i appartient à Dieu, ne doit être tenu pour léger : pource que ce qui semblait être petit en la faute, était rendu grand par l’i
endant sitôt qu’il la voulut soutenir, il tomba mortgt. Non, comme il semblerait en apparence, qu’il avait commis quelque chose pa
s petits, mais d’autant plus dignes de punition, pource que quand ils semblent en apparence être petits, ils sont très pestilent
47 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
es-vous, tantôt avec plaisir, tantôt avec dégoût, selon qu’elles vous semblaient bien ou mal écrites ». Je vois bien ce que vous v
omme, à éteindre les passions, et à les soumettre à la raison ? Il me semble qu’eux-mêmes s’en expliquent assez, et qu’ils fon
; la lecture des romans et des comédies. Mon Dieu, Monsieur, qu’il me semble que vous auriez de choses à faire avant que de so
de l’antiquité », qui vous est tombée en partage. Mais, Monsieur, il semble qu’un homme aussi tendre et aussi sensible que vo
re ressentiment contre tous ceux qui ont quelque liaison avec lui. Il semble qu’ils soient en communauté de péchés, et qu’en f
48 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIV. Le sentiment, juge plus sûr que le goût. Celui-ci préféré au premier. Pourquoi ? Amour du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop communs. Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on employe pour les éluder.  » pp. 129-150
hines d’un Drame, affecte plus distinctement que la lecture ; il nous semble que le public est, dans son état naturel, éclairé
les chef-d’œuvres de la scène ne sont pas épargnés. Le mécontentement semble retomber sur eux. N’est-ce pas une véritable prof
os intérêts dans la conduite que nous tenons avec les Comédiens. Nous semblons n’aller au spectacle que pour eux. Presque seuls,
49 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre XI. Du Balet. » pp. 209-318
s Romains qui les ont suivis & imitez l’ont conservé, quoy qu’ils semblent s’en estre servy seulement dans vn sens particuli
é de la voix & des paroles. Section II. Du Sujet. I L semble aux Poëtes ou aux Autheurs, Inventeurs, Dessinate
u Balet (de tous ces noms je n’useray que de celuy de Poëte.) Il leur semble , dis-je, que pour faire ou choisir un Sujet, ils
aré, charme ou choque. Section VIII. Du Pas de Balet. I L semble que le pas de Balet ne tombe pas sous la jurisdic
ou la joye peuvent causer sur le visage ou sur les autres parties qui semblent plus s’interesser aux ressentiments interieurs, &
us, ou par les Machines, & par mille autres accessoires, & il semble que le Tout ne se pouvoit presque pas passer de c
n des plaisirs. Section XII. Des Instrumens. C e Chapitre semble inutile après ce que nous avons dit des Airs &
lus parfaits : & sont capables de toutes choses. Mais la premiere semble consacrée aux Temples, & la seconde aux Cabin
antes & dans les Sarabandes. Le Branle veut plus de gayeté, & semble estre plus propre pour les hõmes que pour les fem
le d’une ame ignorante. La notion & l’intelligence subtilisent ce semble les Instruments & asseurent les mains de l’Ou
, & on a rendu cette Partie, si belle que la joye des Spectateurs semble estre pleine ou imparfaite, selon que les Vers on
mbé en de bonnes mains, & telles qu’il faut, ou du moins qu’il me semble qu’il faut en telles occasions. Car il ne s’agit
Troncs quoy que morts, & de racinez paroissent transplantez & semblent prendre un nouveau suc de l’esprit du lieu &
50 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
ine, qui paraissait tout autre, loin de son cabinet. Que vos Ouvrages semblent être le fruit de la distraction des grands hommes
ors d’après elle, seront des traits vifs & animés8. » Ces paroles semblent avoir été faites en faveur des Poètes qui se dest
armé d’un si noble enthousiasme ! L’un, en récitant certaine Ariette, semblerait être autour d’une Forge ; l’autre, se promenant à
51 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [C] » pp. 391-398
lesquels il écrivait. Corneille avait cependant connu ce genre, & sembla ne vouloir pas y donner son attache : mais Racine
nemens touchans, qui peuvent être l’objet de l’imitation poétique. Il semble même que le grand nombre des Spectateurs étant da
déclat à leur chute. L’espace qu’ils remplissaient par leur grandeur, semble laisser un plus grand vide dans le monde. Enfin l
52 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent. » pp. 15-28
leur donnât cette fierté de courage et ce noble désintéressement qui semblent quelquefois élever l’acteur à son personnage. Ave
’est pour être le jouet des spectateurs. « Que dirai-je de ceux qui semblent avoir peur de valoir trop par eux-mêmes, et se dé
et parler des gens qu’on ne peut écouter ni voir sans souffrir. Il me semble qu’on devrait souffrir d’être condamné à un trava
53 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92
é du métier invite apparemment tant de personnes à s’en mêler. Car il semble en effet que les Poètes modernes recourent à la s
m s’entretient à double entente avec Stratophane.Trucul. Voilà ce me semble tous les endroits le plus à blâmer dans Plaute eu
de pointes et la pensée vide d’esprit. De sorte que son génie heureux semble l’abandonner dès qu’il veut en faire un indigne u
anmoins vivait dans un siècle qui n’était pas encore bien raffiné, et semble ajuster souvent ses Comédies à la portée du vulga
htegme, et elles seront comme d’honnêtes conversations, à ce qu’il me semble . Je ne parle pourtant ici que des termes qui font
sement et ne parle plus du tout. Mr. Dryden dans sa Poésie Dramatique semble en vouloir à cette conduite de Térence. Il critiq
y parut le premier avec réputation : il a du grand, il est hardi ; et semble vouloir transmettre aux Spectateurs la noble auda
onde ! sujet de honte ou peu s’en faut !L’Homme sans façon. p. 21. Ne semblerait -il pas que le genre humain n’est plus genre humai
nt au-dessus de tous les éloges : mais s’il n’en est pas ainsi, il me semble qu’on devrait traiter ces ouvrages tout autrement
54 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre III. But que le Spectacle moderne doit se proposer. » pp. 123-132
es propres à la Comédie. D’Aubignac aurait dû voir que le Théâtre qui semble n’être consacré qu’à une espèce de Poème, en reço
ste étendue. »** Quoique St Evremont n’en ait point voulu parler, il semble pourtant le définir assez, tel qu’il parait au pr
55 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DONATION EN FAVEUR DU PUBLIC. » p. 11
des Comédiens et du Clergé. Chacun pourra le réimprimer comme bon lui semblera , à ses risques, et en se conformant aux lois et o
56 (1765) De l’éducation civile « De l’éducation civile » pp. 76-113
amp; particuliere de leurs Concitoyens : c’est là l’unique but qu’ils semblent s’être proposés dans leurs Compositions. Ecrivant
amp; des Confidentes, que je n’oserois nommer par leur nom, & qui semblent n’avoir d’autres fonctions que de corrompre ceux
lusieurs Savans, d’un mérite distingué, se mesurant avec leur siecle, semblent avoir adopté la réponse d’un Philosophe qu’on eng
naires, pour qui toutes les matieres sont également bonnes, & qui semblent n’avoir d’autre but en écrivant que de noircir de
57 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre III. De l’Unité de lieu, de Tems & de Personne. » pp. 211-238
ne n’en doute : or, en fesant changer souvent le lieu de la Scène, on semble ajouter une nouvelle action. Donc si l’on veut co
ne durée sont défectueuses, en ne renfermant aucune Unité de lieu. Il semble qu’on soit convenu de s’en écarter dans tous les
On la fait commencer en plein jour, quelquefois dès le matin ; il me semble que c’est oter à l’illusion. Ne ferait-on pas mie
Théâtre par de jeunes Auteurs, une faute assez considérable, qu’il me semble qu’on doit particulièrement relever, afin qu’on l
58 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « II. A quoi il faut réduire cette question. » p. 4
II. A quoi il faut réduire cette question. Il semble que pour ôter la prévention que le nom de Saint T
59 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XII. Des Machines & du merveilleux. » pp. 179-203
e sa chute, déchire les entrailles. Dans Sophocle, la scène d’Electre semble se borner aux douceurs tranquilles de l’espérance
te, que pour venger la mort de son pere ; ce qu’elle attend pour elle semble un larcin à ce qu’elle doit aux mânes d’Agamemnon
urs lettres jettent dans les personnanges de leurs piéces. Mais il me semble que M. de Voltaire n’est pas plus exempt de faute
60 (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32
j’ai lu dans votre critique, que ses termes sont trop hardis et qu’il semble se moquer quand il parle de Dieu. Mais quoi ! ign
torsions qui sentent plutôt le possédé que l’agréable bouffon ? Il me semble que vous pouviez souffrir de semblables défauts s
rnit elle seule toutes les raisons qu’il faut pour la soutenir, il me semble qu’il est plus à propos d’en laisser le soin au p
61 (1607) Prologue de La Porte, Comédien
r dire de rares exemples, et enfin le concluent si subtilement qu’ils semblent en être sortis sans qu’on s’en soit aperçu. Mais
visant (mod. « à vue de nez »). o. [NDE] Boyer ajoute le « eis » qui semble judicieux. p. [NDE] S. Thomas d’Aquin, Summa the
références à un servite, le R.P. Hippolito da Pistoia O.S.M., qui ne semble pas avoir rien publié. Cecchini fait défiler les
62 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Avertissement. » pp. -
les causes de la décadence des Sciences & des Arts. Mais il nous semble que pour les découvrir on a fait beaucoup d’incur
Crébillon épouvante & déchire nos cœurs. L’Auteur de Mérope, qui semble avoir hérité de Racine le grand art d’intéresser,
63 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Réfléxions sur le plaisir qu’on ressent à la représentation d’un Poème comique, & sur la douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. » pp. 113-123
u la femme célèbre qui nous subjuguent & nous étonnent. Quoiqu’il semble que la plus-part des Spectateurs d’une Tragédie d
oient vraisemblables. Je rappelle ici cette réfléxion, parce qu’il me semble qu’elle donne une solution satisfaisante de la di
64 (1749) Maximes pour se conduire chrestiennement « Des Plaisirs, et en particulier des Spectacles. » pp. 233-248
ux que vous aurez fait tomber. De si grandes autorités portent, ce me semble , leur preuve avec elles. Par rapport aux Comédies
ien peu de scrupule ; j’ajouterai cependant encore une preuve, qui me semble démonstrative. C’est un principe constant dans la
65 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
rimitive. Ce critique paraît si peu instruit sur cette matière, qu’il semble ignorer l’origine des prétentions de l’autorité s
ni contredire. La grande colère et l’indignation de M. de Sénancourt sembleraient annoncer, qu’il n’a jamais entendu parler de ces
66 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. -
chauffa mon cœur, qui y fit éclore une autre forme de sentiments : il semblait que j’acquérais un nouvel être : il ne s’est pas
ayant travaillé, ainsi que M. Rousseau, pour le Théâtre, doit, ce me semble , être écouté dans cette cause, du moins autant qu
67 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « FRAGMENT D’UNE LETTRE A ME. DE ****. SUR LES SPECTACLES. » pp. 82-92
on pas à nous donner pour exciter en nous une noble émulation ! Il me semble qu’il serait aussi naturel et plus touchant encor
sion, il sera peut-être tenté d’y faire quelque attention. Le sublime semble être sa nature ; la perfection de ses ouvrages dé
68 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PREFACE. » pp. -
a Comédie, ni des Comédiens. Il y en a même parmi ces derniers qui me semblent dignes à tous égards de l’estime et de l’amitié d
69 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « AVERTISSEMENT »
l’a désavouée, et j’étais aussi de ce sentiment sur des préjugés qui semblaient assez forts ; mais je ressentis une véritable joi
70 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre III. De la Fable Tragique. » pp. 39-63
la France, où le beau sexe jouit de la plus brillante destinée, & semble lui préférer la prison & l’esclavage. Zaïre r
l y a de plus facheux, c’est que le succès éclatant de cette Piece, a semblé autoriser le mépris de l’art, & l’oubli de l’
qué sans longueurs & avec netteté. On y voit l’action en gros qui semble se terminer, mais dont un incident bien amené ret
71 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « [Lettre] » pp. 4-32
dire impunément, et quand celui qui s’en sert n’aurait pas raison, il semble qu’il y ait une espèce de crime à le combattre. Q
dans Paris toutes les pernicieuses coutumes des pays étrangers ? » Il semble , à l’entendre, que les méchants livres soient per
urieuse et à la qualité et au caractère de Monsieur le Légat, qu’« il semble qu’il ne soit venu en France que pour approuver l
72 (1664) Traité contre les danses et les comédies « EXTRAIT du Privilège du Roi. » pp. -
rimer, vendre et débiter par tels Imprimeurs ou Libraires que bon lui semblera , la traduction du Latin en Français du petit Livr
73 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE III. Suite du Mariage. » pp. 55-79
l’École des Mères, des Filles, des Garçons, des Jaloux, des, &c. semblent par leur titre promettre de sages leçons & un
onne foi, le bal, la comédie, les compagnies, & voir qui bon leur semble , comme la Léonor, dont cette conduite indulgente
ont coups de hasard, dont on n’est point garant, Et bien sot, ce me semble , est le soin qu’on en prend. Voit-on pas des ma
vice. Auprès de lui les plus relâchés Casuistes sont des novices. Il semble même que pendant les quatorze ou quinze ans du rè
révoquer en doute ni sa piété, ni ses exercices de piété ; mais il me semble que l’union de ces circonstances est fort peu con
74 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 11
nt cause que voyant d’autres femmes qui ont meilleure grâce, qui vous semblent mieux faites, mieux parées et plus agréables que
75 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIV. De l’usage de composer des Pièces, ou des Rôles pour un ou plusieurs Acteurs. » pp. 219-233
er l’essor à son esprit, appeller à son secours son propre génie ; il semble que ce génie jaloux de l’invention de ses sujets
rien qui ne prouve l’entiere dépendance de celle-ci à celle-là. Il me semble que l’idée de l’Auteur auroit été plus juste, s’i
76 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 3. SIECLE. » pp. 107-119
t les parricides et les incestes exécrables des siècles passés, qu'il semble aux spectateurs qu'ils voient encore commettre él
is, s'il doit être reçu dans notre communion: Je vous dirai, qu'il me semble , que le respect que nous devons à la majesté de D
77 (1658) L’agent de Dieu dans le monde « Des théâtres et des Romans. CHAPITRE XVIIII. » pp. 486-494
a trouvé l’art d’ajuster aux désirs humains, ces deux mouvements qui semblent contraires et en deux heures représenter aux yeux
t ceux de ces personnages où vous vous voyez comme dans un miroir, Il semble même qu’ils soient les objets, et que vous en rep
78 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82
mme. Ils avoient des Héros sans doute ; mais en dépit du vœu que vous semblez avoir formé d’être æternus laudator temporis act
n se consume en efforts inutiles pour faire triompher le siécle qu’il semble avoir pris sous sa protection, n’étoit la plus fr
les armes. Pour nous prouver que certaines passions satisfaites nous semblent préférables à la vertu , vous enfantez un nouveau
sur la scene. Peut-être que déterminé par cette façon de penser, qui semble vous être particuliere, vous ne vous êtes attaché
ont ravi le feu céleste pour éclairer la terre. Le flambeau des arts semble donner une seconde existence à tout ce qui l’appr
ndez qu’ils ne peuvent être réprimés par les loix, & M. Dalembert semble vouloir insinuer, qu’il seroit à propos de redoub
ue, si je n’étois encore rempli de vos maximes, dont l’austere morale semble contredire une présomption si injurieuse à la vie
ue votre ville peut fournir journellement ; mais par une fatalité qui semble attachée à toutes vos preuves, il faut qu’il y ai
79 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174
les plus chers, la vie d’un amant. « Est-il perte à ce prix qui ne semble légère ? Qui méprise la vie est maître de la si
rreur et en fasse croire la légitimité ? « Quand les Dieux étonnés semblaient se partager, Pharsale a décidé ce qu’ils n’osai
uger. Il dédaigne de voir le ciel qui le trahit, De peur qu’il ne semblât par une telle offense Implorer d’un coup d’œil
ient être plus modérées que les saillies d’une fougueuse jeunesse. Il semble au contraire que ce vieillard forcené, aigri par
es Dieux est fait pour chanter les vertus, et non les forfaits. Il me semble voir le fameux réservoir de Montezumax, dans l’hi
mieux d’en être. Et vous sans redouter l’exemple de la mort, Vous semblez n’envier que son funeste sort. Mais les Républi
, Rome sera contente. César était au Temple, et cette fière idole Semblait être le Dieu qui tonne au Capitole. Si Caton m’
u ? peut-on élever l’un que sur les débris de l’autre ? Quel des deux semble plus condamnable, l’Auteur qui fait une telle apo
plus insolente, et toujours impunie. Des crimes des Tyrans le ciel semble complice : Il oublie, ou du moins il suspend la
80 (1685) Dixiéme sermon. Troisiéme obstacle du salut. Les spectacles publiques [Pharaon reprouvé] « La volonté patiente de Dieu envers Pharaon rebelle. Dixiéme sermon. » pp. 286-325
& à se rendre bon ou méchant par imitation. C’est pourquoy il me semble qu’Aristote n’a pas mal rencontré à ce propos, lo
r, & pour les instruire. Ave Maria.   COmme l’esprit de l’homme semble estre infini dans ses pensées, puis qu’il ne form
pour tous les siecles, & des entreprises que pour l’eternité, il semble aussi qu’il affecte par une vaine imitation de l’
un Canon exprésCan.95. de consecrat. dest. 3.. Aprés cela que vous en semble Messieurs & mes Dames, je vous fais juges &am
ont renoncez solemnellement par les vœux du Baptême ; cependant il me semble que pour peu qu’ils veulent entendre raison, &
fessions, je n’en vois point aussi entre leurs personnes, ainsi il me semble que les loix, selon la veritable intention des Le
ue contre la foy donnée, vous ne renonciés à Jesus-Christ. Mais il me semble qu’il y a long-tems que vous murmurés tous bas, q
eritable difficulté, mais il faut expliquer & la resoudre : Il me semble donc, si j’ay bien penetré vôtre pensée, que vous
mp; de manger en suite le pain celeste à la table du Seigneur : il me semble que ce procedé vous paroit si contraire à la foy
s , il n’y a rien de plus ignominieux que cette peinture. Que vous en semble , M. S. Augustin ne nous auroit-il pas fait le por
81 (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238
à Genève sans le spectacle, à moins que boire, jouer et fumer ne lui semblent des occupations utiles. 2. Un amusement qui délas
est l’école des citoyens, et non celle de la République. Voilà, ce me semble , quelle est la distinction réelle entre les mœurs
fait M. Rousseau, sur la Tragédie de Mahomet, devaient suffire, ce me semble , pour déterminer dans son esprit les vrais princi
aux crimes dont elle veut nous éloigner. Les Mœurs de la Comédie lui semblent encore plus dangereuses, en ce qu’elles ont avec
composer un caractère à la fois respectable et risible, qualités qui semblent s’exclure, et que Molière a su concilier. Tel a é
n causé par la surprise ; mais sans que le mépris s’en mêle ; et l’on semble dire au Misanthrope : hé bien, censeur, qui vous
bas, et d’un si mauvais goût, que n’ayant rien de séduisant, elles me semblent peu dangereuses ; quoique je sois très éloigné de
u, si Titus sacrifiait l’orgueil des Romains, tout injuste qu’il nous semble , au tendre et vertueux amour que nous ressentons
it, qui parle le plus, qu’on voit le plus dans le monde, etc. » Il me semble que M. Rousseau n’a ni compté ni pesé les voix ;
s ? Voilà ce que je nie, et ce que M. Rousseau ne prouvera jamais. Il semble que pour elles, vivre avec les hommes, ou s’aband
u’une pudeur farouche ; il leur ôtait même cette bonne réputation qui semble être attachée à l’honnêteté de leur sexe ; et les
enfin avec lui-même, et qu’il nous dise, si un naturel passionné lui semble préférable à un caractère moins susceptible de mo
cœur humain, et son objet eût été mal rempli. L’obstacle apparent qui semble éloigner cet objet, est au fond ce qui le rapproc
u Théâtre produisent les mêmes effets, le Théâtre devrait donc, ce me semble partager les éloges que M. Rousseau donne à la pu
mu ? Voilà une façon de sentir dont je n’avais pas même l’idée. Il me semble au contraire, que le souvenir des circonstances q
tomates multipliants. A moins de métamorphoser ainsi la nature, il me semble que le lien le plus doux, le plus vertueux qui pu
st exposée, il en est qui, dans la situation actuelle des choses ; me semblent comme inévitables. On ne doit pas s’attendre à vo
82 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
dans Hermione, qu’elle produit tous les excès que nous voyons. Il me semble donc que l’on pourrait laisser Andromaque telle q
et je veux bien, pour un moment, me ranger de leur parti. Rien ne me semble , en effet, plus capable d’alarmer les consciences
à l’ordinaire, dans sa Tragédie de Sertorius : Racine, au contraire, semble vouloir s’excuser d’avoir donné très peu de part
glément. LA MORT DE CESAR, de M. de Voltaire. Cette Tragédie semble avoir été faite pour un Collège : elle est sans f
83 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-9
remiers temps, & le petit nombre qui fréquentoit le spectacle. Il semble les faire dépendre l’un de l’autre, & ils en
résor des choses anciennes & nouvelles : c’est l’Evangile. Horace semble parler d’après lui, verbaque prævisam rem non in
84 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « A MADAME LA MARQUISE DE B… » pp. 302-316
de quoi tomber naturellement dans des Scènes qu’on a déja vues, il me semble que je ne vois rien qui n’ait du rapport à ce que
gurés depuis que Corneille et Racine ne les font plus parler. Il vous semble que les Auteurs qui ne peuvent faire tenir le mêm
85 (1677) L’Octavius « Paragraphe XII du texte latin » pp. 42-46
es prêtres ont touché, et le vin qu’on a emporté des Autels. Ainsi il semble que vous craigniez même les Dieux que vous ne cro
86 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
amment à le suivre ? et selon nos vues humaines, ne devait-il pas, ce semble , renverser la proposition, et dire aux justes ; v
j’eusse comme vous à prendre parti là-dessus et à me résoudre, il me semble d’abord que pour m’y faire renoncer, il ne faudro
ite du siecle. On n’entend parler que de calamités et de miseres : il semble que le ciel irrité ait fait descendre tous ses fl
s plus nécessaires, celles qui nous touchent de plus près, et dont il semble que nous puissions moins nous passer dans l’usage
uver à reprendre, et sur quoi les loix de la conscience ont moins, ce semble , à réformer ? Or je prétends néanmoins, et vous e
es qui redresseroient bien vos idées touchant ces promenades qui vous semblent des plaisirs si convenables et si légitimes. Ils
87 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VII. Le mariage dans les Comédies n’est que le voile de ce vice. » pp. 13-14
ptiale qu’on allégue ne remédieroit à rien. Il n’est pas possible, ce semble , de se refuser à ces conséquences. Or est-ce ain
88 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Avertissement. » pp. -
voir eu dèssein de rendre un mauvais office au Théâtre Italien, il me semble que j’ai travaillé à lui acquérir par la suite un
89 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168
es bouches, L’éventail de la mort chassera bien ces mouches, Que vous semblez garder pour en faire un tribut, A l’idôle enfumé
les traits. Telle est l’imprudence des femmes qui s’enluminent, elles semblent des furies, & des personnes noyées dans le pl
e des excès du luxe : His tu semper eris nostro gratissima visu. Ne semble-t -il pas que c’est un Chrétien qui parle ? Non, c’e
tur ad axem. Il est des hommes aussi insensés, qui, dans leur parure semblent des femmes ; ils enferment leurs cheveux dans une
e aux femmes. L’étoffe en est travaillée & brodée en festons, qui semblent de petits boucliers : Cæruleâ indutus rosâ scuti
90 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VIII. » pp. 42-43
par les règles de l’une et de l’autre, comme nous allons faire, il ne semble pas qu’il soit fort digne d’un Prélat Chrétien.
91 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE PREMIER. Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre l’auteur du livre intitulé : Des Comédiens et du Clergé. » pp. 49-51
re pures qu’en apparence ; puis me prêtant des opinions perverses, il semble qualifier d’hypocrisie, le langage respectueux do
92 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 2 : Livre VI, chap. 7] » p. 590
Dieu à ceux des hommes qu’il lui plaît. Et jusques ici j’aurai, ce me semble , soutenu assez bien le choc de Lavatier, résisté
93 (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132
des cinq premiers siècles. Lactance1, S. Chrysostome2 et Salvien3 qui semblent condamner davantage la Comédie même d’à présent,
la fréquentation de la Comédie d’à présent ; saint François de Sales semble y donner les mains en parlant des Bals et de ceux
est le mauvais usage de sa condition ; et au pis aller on pourrait ce semble les réduire à en juger de même que d’un valet don
er de leurs peines. Saint Thomas au lieu déjà cité de la question 168 semble admettre cette espèce de pacte, lorsque parlant d
e aux Comédiens. Sylvestre83 a suivi ce sentiment, et il ajoute qu’il semble que c’est un péché mortel, parce qu’on les entret
fice du démon de faire jouer quelques Comédies, où il n’y ait rien ce semble contre les bonnes mœurs, afin d’accoutumer les ho
e l’horreur : au lieu que l’état présent de la Comédie, ne faisant ce semble aucune peine à la pudeur, on ne se défend pas d’u
s, lequel dans quelques endroits de son Introduction à la vie dévote, semble favoriser la Comédie. L’on répond que saint Franç
ui y est de vicieux ; puisque les Comédiens quelque soin qu’ils aient semblé avoir voulu apporter, n’ont point satisfait à la
le est un des divertissements qui le délassent davantage. De plus, il semble qu’après l’exemple de tant de personnes distingué
94 (1759) Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles. Avec un Postcriptum à toutes les Nations pp. 3-84
est celui de voir dans peu renverser tous nos Théâtres : la cognée me semble déjà mise à la racine de l’arbre : quel nouveau s
it le commerce par l’inaction des Ouvriers , des Ouvriers d’iniquité, semblent redoubler d’action en ces saints jours pour nous
ainte, si nos Peres vous ont joué sur leurs théâtres, leur simplicité semble les mettre à l’abri de tout reproche : mais comme
t-elle encore pû se faire entendre parmi nous ? Seroit-ce parce qu’il semble avoir adressé la parole aux Russes en dédiant son
une infinité de véritables Lazares en faveur desquels de vils animaux semblent nous reprocher une insensibilité qu’ils n’ont pas
ombien de fois, sans égard pour des têtes respectables d’ailleurs qui sembloient demander grace, ne s’est-il pas appésanti déja su
al que je hais. » J’en appelle encore à témoin ce héros citoyen, qui semble ne vivre parmi nous que pour s’élever en témoigna
personne (Thren. 1. v. 9.) se mette en peine de la consoler…. Il me semble entendre un de ces morts s’écrier du fond de son
plus nécessaire ? Non sans doute : aussi déjà, Vérité sainte, vous me semblez avoir dit qu’il ne faut que polir ces pierres bru
95 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XIX. Des Talens mal-à-propos attribués aux Comédiens. » pp. 45-62
s abîmes. Elle fait choix, par un discernement exquis, des moyens qui semblent aux yeux du vulgaire promettre un effet tout cont
emandera beaucoup plus de chaleur & de force que le premier ? Il semble que le Comédien ne puisse atteindre la perfection
96 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXII. De l’usage du Théatre relativement au Comédien. » pp. 104-121
trouve des fleurs jusques dans les déserts. Le beau est un Protée qui semble ne changer de forme que pour dérober son éclat. M
ne tend qu’a asservir le génie sous le joug pésant des régles, & semble n’être le partage que de froids observateurs. Ces
97 (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325
ion des vers ; le nombre & l’accord des instrumens & des voix semblent s’y disputer la gloire de la ravir. L’esprit est
ux qu’ils font paroistre. Les foiblesses que chacun reconnoist en soy semblent plus excusables dans la multitude des complices ;
soy semblent plus excusables dans la multitude des complices ; elles semblent legeres en comparaison de celles qui éclatent sur
nt pas d’aposter des domestiques, des confidens, des Conseillers, qui semblent détourner les principaux personnages des crimes q
t public. Je me suis peut-estre trop éloigné de mon sujet, mais il me semble que je ne pouvois rien expliquer qui fist mieux c
arence ; on ne peut pas les condamner comme mauvaises, parce qu’elles semblent soûtenir & relever la vertu : elles se metten
e, parce qu’on n’y enseigne pas seulement à offenser Dieu, mais qu’il semble qu’on l’ordonne. Saint Jean Chrysostome ne pouvoi
nt souvent, afin que ce qui a esté inventé pour recréer le peuple, ne semble pas avoir esté permis pour le corrompre, & qu
98 (1762) Apologie du théâtre adressée à Mlle. Cl… Célébre Actrice de la Comédie Française pp. 3-143
aussi grand préjugé : ils fournissent suffisamment d’eux-mêmes, & semblent ne demander dans la plume qui leur sort d’interpr
u Tableau que de l’objet, de l’image que de l’idée. On fait plus : il semble qu’on rejette en tout la nature*, comme quelque c
sublime que nous ayons de la nature : accoutumés à ses merveilles, il semble que nous soyons prevenus des beautés qu’elle renf
r peu qu’il soit rendu, n’est-il pas aussitôt développé, ou plûtôt ne semble-t -il pas se placer de soi-même sous les yeux. Voilà
e vue ordinaire, le Spectateur d’ailleurs asservi par l’habitude ; il semble que ce mensonge merveilleux devroit avoir, à l’ex
avec lui, on se prête insensiblement au ton ; loin que cela coûte, il semble que ce soit une marche naturelle. C’est à l’Auteu
fendu d’essayer adroitement d’y pour voir ? Au défaut de la nature il semble que l’Art nous tend les bras ; & de-là ne sor
mp; varié. Tout s’y empresse à nous divertir, tout fait ressort & semble même se disputer l’avantage sur la façon de nous
99 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Privilege du Roy. » pp. -
r l’un de nos Imprimeurs par nous choisis & reservez, que bon luy semblera , en tel marge, volume & caractere, & auta
100 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Douzième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 250-253
mes. C’est de notre premier aspect que dépend l’illusion ; si l’amour semble croître par l’habitude à se voir, dans la vérité,
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