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1 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « [Introduction]  » p. 2
s leçons à nos maîtres, nous recevons au contraire avec le plus grand respect toutes celles qu’ils daignent nous donner ; mais
tes celles qu’ils daignent nous donner ; mais sans blesser ce profond respect , il fut toujours permis d’écrire sur les matières
2 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE III. De la comédie et des comédiens chez les païens et chez les chrétiens. » pp. 101-112
l, et nuire à la religion. Il lui répugne que je professe moi-même du respect pour cette même religion ; car, suivant lui, ce r
e moi-même du respect pour cette même religion ; car, suivant lui, ce respect n’est qu’une vénération apparente. Il préférerait
sera sur son front ridé, qui jusqu’alors repousse la vénération et le respect qui sont dus au poste qu’il occupe. M. de Sénanco
fatal principe qui a le plus nui jusqu’à présent à la religion et au respect qu’on doit aux bons prêtres. M. de Sénancourt ne
3 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Madame de Nemours  » pp. -
et la couleur pour les rendre offrande pure et digne de l’Autel ; le respect et la crainte m’en eussent retenuea, sans l’assur
t obligée servante, M. D. B. a. [NDE] Le texte original est : « le respect et la crainte m’en ont retenue » ; la main d’un l
4 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Livre second. » pp. 2-7
nathèmes sur le théâtre, jusques dans les pièces où il semble que par respect la scène ait emprunté d’elle la matière. Nous all
ueuse, quand des étrangers apprennent cette insolence et ce manque de respect à l’autorité royale, cette barbarie gothique, qu’
ontre », que Louis XIV ne prit pas pour une insolence et un manque de respect à son autorité. Le titre de grand est bien prodig
5 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seizième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 278-281
st rien au monde, non, rien, qu’on puisse vous comparer. Je suis avec respect , &c. Un beau présent accompagnait ce Billet,
e fois ma sensible, mon adorable sœur. Votre fille vous assure de ses respects  : mon fils vous nomme ; c’est bien assez pour son
6 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « AU LECTEUR. » pp. -
 ? Qui en doute ? et; qui doit connoître mieux qu’un Comédien tout le respect qu’on doit à ce Public ? Si je n’ai pas mis la de
ouvrage, ce n’est ni par négligence, ni par caprice, ni par défaut de respect  ; il falloit arrêter promptement le poison dont j
7 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104
enfants comme devant leurs parents, le fils d’un avare qui manque de respect à son père, qui l’insulte cent fois, tâche de lui
rompu aussi : on a vu que les enfants ont manqué de soumission et de respect à leurs parents, non seulement pour cause d’avari
emportera sur la vertu, le mépris dont vous vous chargez étouffera le respect qu’ils vous doivent. Réduits à l’alternative ou d
lesquels ils doivent, à l’imitation du bon fils, jeter le manteau du respect et de l’amour ; que cette patience est l’exercice
ne résiste pas toujours aux efforts constants de la tendresse, ou du respect filial ; et que probablement leur père se souvien
eur à qui elle fait un signe de pitié au moment où on lui rappelle le respect qu’elle doit aux nœuds sacrés du mariage ; et tou
les mauvais exemples sans dangers, n’ont eu que trop de succès ; les respects , les hommages, sont prostitués, tous les égards d
ent par une grande délicatesse, par l’exacte observance des règles du respect et de la décence, et surtout par une morale très-
lière ; il était nécessaire dans les deux cas de combattre, malgré le respect qui lui est dû, la principale autorité sur laquel
la manière qu’il l’est tous les jours, avec une reconnaissance et un respect que nul partisan de la marche opposée n’inspire a
8 (1697) A Monseigneur de Harlay, Archevêque de Paris « A MONSEIGNEUR DE HARLAY, ARCHEVEQUE DE PARIS, DUC ET PAIR DE FRANCE  » pp. 394-406
n m’accusant d’infidélité. Il est vrai, Monseigneur, (et j’ai trop de respect pour vous pour rien imposer) qu’étant en Province
ur me voulait permettre de lui parler avec autant de bonne foi que de respect , je lui dirais que l’orage qui s’est élevé depuis
ance à ses Ordres lui fera connaître avec combien de soumission et de respect je suis, Monseigneur, De Votre Grandeur, Très hum
9 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE X. De la protection due aux Comédiens par le ministère public, contre les entreprises du fanatisme. » pp. 174-185
ince, doivent sans doute donner eux-mêmes les marques du plus profond respect pour la religion, et témoigner de la vénération p
ministres du culte qui, par un faux zèle de religion, manqueraient au respect qu’ils doivent au souverain, et se mettraient en
en contradiction avec la religion. C’est ainsi que serait atténué le respect inviolable, que les peuples doivent à la personne
10 (1658) L’agent de Dieu dans le monde « Des théâtres et des Romans. CHAPITRE XVIIII. » pp. 486-494
conscience, de l’honneur, qui l’emporte sur l’amour des frères, et le respect des parents, est hautement louée, comme une génér
elque choses de divin en son objet, et qui lui croit aussi rendre des respects fort innocents ; c’est cet amour qui met les soup
étonnez-vous, si vos enfants pèchent contre ce qu’ils vous doivent de respect , s’ils des déshonorent vos familles par des maria
11 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119
nt une attention particulière, ce livre divin est digne de tout notre respect . On a toujours cru dans toutes les religions que
t qui se communique à nous par ses lumières. Nous devons donc le même respect à l’adorable sacrement de l’Ecriture qu’à l’adora
e Molière ? Vous conservez avec le plus grand soin et le plus profond respect , les moindres parcelles de la sainte Hostie ; ne
ène frivole, comment lira-t-on l’Ecriture ? sera-ce avec ce religieux respect qu’inspire sa sainteté à un cœur chrétien ? Non :
nes, le Poète ne corrompe une histoire pour laquelle on doit avoir un respect singulier. Aussi a-t-on vu peu de pièces tirées d
Ecclésiastique (l’Abbé Boyer), devait moins qu’un autre s’écarter du respect dû aux livres saints. Cependant ils y sont défigu
ort altérée. Le Poète, qui était honnête homme, et qui sentait que le respect dû aux livres saints condamne ces altérations, co
12 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Avis » pp. -
gens se seraient peut-être mieux accommodés; mais il a cru devoir ce respect au Poète dont il raconte l’ouvrage, quoiqu’il ne
sée que le titre de cet Ouvrage leur pourrait donner, qu’on manque au respect qui est dû aux Puissances : mais aussi, après avo
13 (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45
remière objection. Que veut-elle dire ? A qui craint-on de manquer de respect  ? Sont-ce des Courtisans de Charles IX qui parlen
) qu’un Ecrivain Philosophe doit quelquefois dissimuler sa pensée par respect pour sa Nation, vous conviendrez du moins qu’il d
e par respect pour sa Nation, vous conviendrez du moins qu’il doit ce respect seulement à la génération qui existe, & qu’il
ffet respecter la Nation que de la tromper ? Seroit-ce lui manquer de respect que de l’éclairer ? Quel homme auroit le mieux mé
as la Nation Françoise actuelle, à qui seule je dois obéissance & respect . Vous voyez encore que si j’avois attaqué les err
erreurs de la Nation Françoise actuelle, bien loin de lui manquer de respect , j’aurois fait le devoir d’un bon Citoyen. Par co
tifes ; dans les momens où la Cour de Rome avoit besoin d’exagérer le respect qu’on doit aux Prêtres ; quand l’Eglise étoit div
é désormais à son but respectable, n’inspirera, dans ses jeux, que le respect des loix, l’amour de la liberté, la haine du fana
14 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la discipline ecclesiastique, et des obligations imposees par les saints conciles dans la vie privee des pretres.  » pp. 341-360
actère, et afin que le peuple apprenne à leur porter d’autant plus de respect qu’il les verra mener une vie plus chaste et plus
e discipline rigoureuse, de laquelle devait nécessairement dériver un respect salutaire pour la foi, et une confiance sans born
l’autorité du prince, doivent être les premiers à informer avec zèle, respect et discrétion, les évêques et les ecclésiastiques
15 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54
e rend la vertu ridicule, & par une mauvaise honte, un malheureux respect humain, elle empêche de la pratiquer ceux mêmes q
ule l’arrêt souverain en est porté, & exécuté par provision. Quel respect pour le mariage inspirent ces sentimens & ces
urs amours, complottent contre leur père, & en parlent sans aucun respect , & entr’eux, & à lui-même, le bravent, &a
onnades à l’Auteur & aux Acteurs dans l’empire de la Chine, où le respect pour les parens est un des principes fondamentaux
s, & les garçons celui de trente, après avoir fait trois actes de respect  : & chez une nation qui a des principes &
e son amour. Quels fruits vont naître d’une si mauvaise semence ! nul respect pour l’État, nulle estime des personnes, nul devo
n des enfans, du soin de son ménage, des mœurs de ses domestiques, du respect pour son beaupère & sa bellemère, de l’amitié
16 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie ? » pp. 8-25
rends. Il est du bien de l’Etat qu’on lui conserve la confiance et le respect du public ; mais il faut aussi que les Magistrats
e spectateur le plus indifférent. Ce ridicule ne peut qu’affaiblir le respect , et je ne doute pas que le dégoût des jeunes Magi
nécessaire. On devrait l’introduire parmi nous, elle maintiendrait le respect dans le peuple, et mettrait les Magistrats dans l
biller en Prêtresse de Diane, un jeune Abbé vint m’y trouver, et sans respect pour mon habit blanc, mon voile et mon bandeau, i
prononcera, comme dit Gresset, « les arrêts dictés par Cypris ». Quel respect , quelle estime peut avait le public pour un habit
17 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VII. De la frivolité et de la familiarité. » pp. 150-162
être respectueux sans savoir la langue, et manquer très élégamment au respect . Le burlesque, que Scarron mit en vogue et qui to
s art et sans détour, peuvent être respectueux. Le mensonge manque au respect plus que la simplicité. Quoiqu'on trouve au théât
métier le plus bas, plus confondus encore par le vice. L'étiquette du respect est entre eux fort bornée ; la qualité du rôle ne
le vernis du ridicule, détruit en entier les sentiments d'estime, de respect , de confiance, que nos intérêts et ceux de la soc
18 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêtres, contre des Comédiens français. » pp. 141-148
autorisent, récompensent et honorent, c’est tout à la fois manquer de respect au prince et à la loi. Ce reproche est d’autant p
st donc la véritable conservatrice d’une religion qui mérite tous nos respects  ; car il est démontré, par des faits nombreux don
19 (1836) De l’influence de la scène « De l’influence de la scène sur les mœurs en France » pp. 3-21
dait au théâtre que de saines maximes qui l’excitaient aux vertus, au respect des dieux et des lois. C’était encore l’archonte
ublic cette dangereuse instruction, mérite notre reconnaissance ; son respect pour les mœurs, nos éloges et notre admiration ;
teur n’avait eu soin de porter sur un second personnage un intérêt de respect et de vénération, capable d’effacer la terreur qu
n’y a personne qui n’aimât mieux être Zopire que Mahomet, et sans le respect de Voltaire pour les mœurs et la vertu, il aurait
20 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SEPTIEME DISCOURS. De la Magnificence des Princes dans les Habits, dans les Festins et dans les Spectacles publics. » pp. 202-209
nocents pour relever l’éclat de leur Personne, et pour en imprimer le respect dans l’âme de ceux qui les voient. De là vient qu
la Débauche qui donne de la licence aux Conviés, leur fait perdre le respect qui est dû au Souverain, que dans la chaleur du v
21 (1731) Discours sur la comédie « Lettre Française et Latine du Révérend Père François Caffaro, Théatin ; à Monseigneur L’Archevêque de Paris. Imprimée à Paris en 1694. in-quarto. » pp. -
i ne marque pas d’assez grands égards pour des Livres aussi dignes de respect que le sont des Rituels, en parlant de cette mani
vous m’ordonnerez pour édifier l’Eglise. Je suis avec un très profond respect Ab annis decem aut duodecim Latinum mihi in Co
22 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. » pp. 176-202
I. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. Quintilien compare le respect qu’imprimoient encore aux Romains de son tems, le
re aux Romains de son tems, les noms d’Ennius & de Pacuvius, à ce respect religieux qu’impriment dans les forêts ces vieux
premiers Poëtes de Théâtre, tous ces noms ne nous imprimeroient aucun respect . Notre Langue ne s’étant formée que fort tard, no
qui n’a composé que huit cent Piéces. Je me contenterai de vanter son respect pour la Rime, & celui de tous les Poëtes Fran
23 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « Au Roi » pp. -
e, manifester au Public la reconnaissance, le zèle et le très profond respect avec lesquels j’ose me dire SIRE de Votre Majest
24 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Avis au lecteur. » p. 
uent d’y aller que par foiblesse, ou par vanité, ou par un malheureux respect humain : Mais qu’on leur mette devant les yeux l’
25 (1664) Traité contre les danses et les comédies « A MADAME. MADAME LA PRINCESSE DE CONTI. » pp. -
n accorde l’honneur, avec celui de lui dire que je suis, avec tout le respect que je dois. MADAME, votre très humble, très o
26 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  résume général et comparatif du clergé de france.  » pp. 363-364
mmes de bien : la religion, le roi, la justice égale pour tous, et le respect pour toutes les professions qui ont un caractère
27 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre III. De la Fable Tragique. » pp. 39-63
nce. Néanmoins, ajoute-t-elle, cette Croix m’a quelquefois inspiré du respect & de l’effroi. Nérestan, dans ses entretiens,
t vrai qu’Orosmane dit : En tout tems, en tous lieux, sans manquer de respect , Chacun peut désormais jouir de mon aspect.7 Mai
rs de Corneille au Roi. En tout tems, en tous lieux, sans manquer de respect , Chacun peut, chaque jour, jouir de mon aspect.
28 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
ntes fonctions, sur qui le public a les yeux fixés, à qui il doit son respect et sa confiance, est sans doute plus que personne
ses grands Officiers ayant désobéi, un arrêt du 19 juillet 1477, sans respect pour sa toque royale, ses mortiers, ses drapeaux,
est vrai que les Magistrats l’avaient obligé de les jeter au feu, par respect pour le souverain Pontife ; mais il les savait pa
e licence ne sont pas aujourd’hui à craindre, l’autorité du Roi et le respect du peuple sont mieux établis ; aucun Comédien ne
eut voir, sans rire, l’Avocat aux genoux de la Clairon, lui donner du respect , et lui prodiguer l’encens, et du haut de son trô
29 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Av Roy. » pp. -
ra bien de soulager mon impatience, par ces témoignages precipitez du respect , & de la passion avec laquelle je suis, De V
30 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
aincus de la Divinité de la Révélation en général, pour recevoir avec respect & avec soumission toutes les vérités qu’elle
nce, quoique nous ne puissions pas les comprendre. Nous redoublons de respect & de soumission, lorsque l’Etre suprême parle
31 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « La tradition de l'Eglise sur la comédie et les spectacles. Les conciles » pp. 53-68
e contente de faire trois choses. La première, de demander que par le respect qui était dû à la véritable Religion, qui était a
acles, ou de les représenter à notre honneur, par la vénération et le respect qu'il doit à la Majesté Impériale, sans avoir mêm
32 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur le duc de Nemours » pp. -
un pauvre don d’un riche désir : le mien n’a rien de plus cher que le respect qu’il rend en affection à vos perfections, Monsie
33 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « A Monsieur le Comte de P***. » pp. -
t plus remplies de mensonges que de vérités. Je suis avec un profond respect . MONSIEUR, Votre très-humble & très-obéissa
34 (1759) Lettre sur la comédie pp. 1-20
us si contraire aux régles établies, à l’honnêteté publique, & au respect dû à la Raison, que je me suis cru obligé d’en co
rétentions de l’esprit. Je suis avec tous les sentiments d’un profond respect & d’un attachement inviolable, Monsieur, Votr
35 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « A MADAME LA MARQUISE DE B… » pp. 302-316
tte à ma Veine D’étaler en public leurs grands Noms sur la Scène ? Le Respect qu’on leur doit… » LA RENOMMÉE. « Leur en manqu
issent que la liberté de vous assurer qu’on ne peut être avec plus de respect que je le suis, Madame, votre très humble et très
36 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64
nce sur le spectacle. Un Auteur Dramatique dans une Monarchie doit un respect aveugle aux volontés du Prince, comme le reste de
s affaires d’Etat sur la scène, et ne fera parler ses Acteurs qu’avec respect des personnes qui en ont l’administration, dans u
et si leur inquiétude les fait parler, ce ne doit jamais être qu’avec respect , elle doit les conduire aux pieds du Trône pour y
ce, après avoir donné toute sa confiance : c’est choquer en un mot le respect imposé par les lois à tout l’Etat pour la personn
tentera d’en attaquer certains abus, il donnera toujours l’exemple du respect qu’on doit au Trône, aux Ministres, aux Magistrat
tres, aux Magistrats et autres Dépositaires de l’Autorité Royale. Ce respect habituel peut bien altérer les mœurs, en quelque
n aimé vivent dans une parfaite sécurité, fruit de la confiance et du respect qu’ils ont pour ce Monarque, que s’ils éprouvaien
grand Monarque que d’en donner ; mais pour inspirer à ses peuples le respect qu’il exigeait d’eux pour la Noblesse, il en donn
37 (1731) Discours sur la comédie « a tres-haut et tres-puissant seigneur, monseigneur louis-auguste d'albert d'ally, duc de chaulnes, pair de france. » pp. -
es à l’Eglise et à l’Etat. J’ai l’honneur d’être avec un très profond respect , MONSEIGNEUR, Vôtre très humble, et très obéissan
38 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
Maron et sa famille. Maron était Prêtre d’Apollon, et fut épargné par respect pour son ministère : il fit des présents en or en
’outrages : Œdipe conjure seulement Tirésias, mais sans lui perdre le respect , de révéler la réponse de l’oracle et la personne
et se trouve bien à dire dans sa Tragédie. Et quel autre motif que le respect pour la Religion aurait pu l’empêcher d’user d’un
des Vestales, ils ne manquaient point de baisser leurs faisceaux par respect . Le Sacerdoce fut chez eux restreint pendant quel
rait faire affront à notre créance que de balancer ici un instant les respects que méritent les premiers avec ceux que le pagani
ns lui peut devenir méprisable, et jamais le Prêtre. On doit donc par respect regarder tout Prêtre, comme la charité veut que l
39 (1824) Du danger des spectacles « INTRODUCTION. » pp. 1-3
ons et des préjugés qui ont pour eux l’autorité des temps et un vieux respect , fils de l’habitude ; de même que le résultat de
40 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — A SA MAJESTÉ IMPERIALE ELISABETH PREMIERE, IMPERATRICE DE TOUTES LES RUSSIES. » pp. -
n Ouvrage, et qu’elle recevra avec bonté les hommages du très profond respect avec lequel je suis, De Votre Majesté Impériale
41 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VII. De la Dévotion des Comédiens. » pp. 160-179
modeste gravité à une douceur majestueuse, qui donne à même temps du respect & du désir, dont l’un attire & l’autre re
l’adores, & je crois, Dieu me le pardonne, que tu as pour elle du respect  ! Tu fais la sévère à ton amant, écrit une Actric
os présens, je prends patience. Que ton Marquis est plaisant avec son respect  ! où a-t-il pris ce mot ? il doit te paroître étr
un esprit d’irréligion, ils aimeroient mieux mourir que de manquer au respect dû à la religion. On rempliroit des volumes des t
42 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
a vôtre, On ne me verra point en repousser les coups, Je dois trop de respect à qui combat pour vous, Et ravi de penser que c’e
r, et une espèce même de piété, de sa haine pour César, qui attire le respect , et qui la fasse passer pour une personne héroïqu
par vous-même ; Car vous pouvez bien plus sur ce cœur affligé, Que le respect des Dieux qui l’ont mal protégé. » Et sur la fin
on par les chants animés de la parole divine, il reçoive avec plus de respect et de douceur les vérités qu’elle renferme et s’e
43 (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325
’Eglise n’est pas capable de cette conduite bizarre, & opposée au respect qu’elle nous ordonne de rendre aux images de Jesu
t concevoir de l’horreur : & elles ne sont non plus contraires au respect que nous devons à ces images parlantes, que les b
, & du martyre des Saints. Ces bourreaux bien loin de diminuer le respect que nous devons à ces tableaux, en sont en partie
s Pieces qu’on y jouëra sont contraires à la chasteté, à la pieté, au respect qu’on doit à Dieu, à l’Eglise, aux Magistrats, au
rision & à la mocquerie du peuple. Nous leur devons une partie du respect que nous rendons à celuy qui les éleve à la parti
ils seroient la cause, pour n’avoir pas eu la consideration & le respect qu’ils luy devoient, dit ce grand Personnage. Il
ement de ces desordres, si nous eussions esté instruits comme vous du respect que Dieu merite, & de la consideration qui es
s avez l’avantage d’estre les enfans de l’Eglise, n’ayez pas moins de respect pour un Dieu qui est son Espoux, & vostre Per
44 (1825) Des comédiens et du clergé « Sommaire des matières » pp. -
clergé à ses devoirs, et lui imprimer pour la puissance séculière un respect qui est commandé, voulu, exigé et par l’Evangile
45 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Résumé et moyens de réformation. » pp. 105-200
mpartial, dont les arrêts méritent seulement alors toute confiance et respect  ; il ne manquerait plus, dis-je, que de traduire
écessairement, moins imposants. De là les impatiences, les manques de respect , d’estime et de bons procédés, l’oubli des biensé
e la société, est très-préjudiciable dans tous les cas à la foi et au respect dûs aux décrets de l’Eglise, et nuit par là génér
cle les jours que des hommes auxquels ils doivent particulièrement le respect , par exemple, outre les pères et mères, leurs sup
cette nominative et rude attaque a plus épouvanté et tiendra plus en respect les chefs de tontine que vingt comédies vagues, f
46 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95
ce que le culte a de plus auguste. N’est-ce pas saper le fondement du respect religieux qui leur est dû ? On aurait pardonné au
encore, ne jouât-on que leurs belles actions, pour ne pas blesser le respect qui leur est dû, et familiariser le peuple avec s
là une infinité. Mais il semble qu’on ait pour ces Dieux un religieux respect . Molière même, qui ne s’embarrassait ni des Dieux
plaisirs du monde, en garde contre les occasions du péché, pleins de respect pour les choses saintes, ne scandalisent-ils pas
différents des autres. C’est jusque là que ces Princes portaient leur respect pour la religion. Ils ne croyaient pas convenable
47 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XX. Exemples de pratique. » pp. 48-50
alut de nos concitoyens, nous l’a fait entreprendre. Connoissant leur respect pour l’Evangile, & leur amour pour J. C. nous
48 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340
les, que l’autorité du prince, infiniment plus portées à maintenir le respect dû à la religion et au caractère sacré de ministr
re véritable rédemption, le sujet de notre vénération, et de tous nos respects  ? un portefaix ; A quel objet servent cette croix
fête d’Aix ; et que si le clergé veut jouir de la considération et du respect , qui sont nécessairement dus à son institution, i
a Mansarde, au Gymnase ou théâtre de Madame. Sans l’opinion, sans le respect public, les institutions ne peuvent obtenir aucun
e le clergé de Mâcon se soit rendu coupable d’une telle infraction du respect dû aux choses saintes, en ouvrant les portes de l
rendaient, autant qu’il en pouvait être capable, les honneurs et les respects qui sont dus à un véritable évêque. La chose étai
et ce grand appareil en imposaient au vulgaire, et lui inspiraient du respect . Fête des fous et de l’âne à Rouen. On dressait
st donc la véritable conservatrice d’une religion qui mérite tous nos respects et toute notre ferveur ; car il est démontré par
du prince ; ils doivent eux-mêmes donner les marques du plus profond respect pour la religion, et de la plus grande vénération
49 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
En vers injurieux j’ose blâmer Venus ; Pour le Dieu des plaisirs mes respects sont connus. A Savert, son Petrone. Lettre XIV.
nnoître un Philosophe, qu’un Roi Philosophe ? qui auroit assez peu de respect pour un si grand Prince, que de le soupçonner de
rrompue, dont les eaux lui paroissent tres-pures. Mais la décence, le respect , qu’un Souverain se doit à lui-même & doit au
profession, on ne doit jamais penser de Dieu qu’avec le plus profond respect . Aucun Prince ne souffriroit qu’on parlât de lui-
50 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
 ! Eh ! non Monsieur, le fils d’Harpagon qui le vole et lui manque de respect n’est pas plus criminel que son père. Tous les cr
st odieux qu’un fils vole son père, il est odieux qu’il lui manque de respect  ; mais ne m’avouerez-vous pas que cela est mille
donnent rien aux enfants, les enfants les volent et leur manquent de respect . Soyez du parti des pères sages et raisonnables,
vos devoirs. Et si nous vous devons avec l’obéissance Des marques de respect et de reconnaissance, Vous nous devez des soins à
51 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIV. Le sentiment, juge plus sûr que le goût. Celui-ci préféré au premier. Pourquoi ? Amour du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop communs. Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on employe pour les éluder.  » pp. 129-150
avoir mis aux pieds de leurs Trônes, ce tribut d’admiration & de respect , rentrons dans notre sphère. Une injuste dispensa
nsidérement attachée à leur profession. Qui les enhardit à manquer de respect à leurs Juges ? Ces Juges qui ne sçavent pas se m
52 (1664) Traité contre les danses et les comédies « LETTRE DE L’EVEQUE D’AGNANI, Pour la défense d’une Ordonnance Synodale, par laquelle il avait défendu de danser les jours des Fêtes. Au très Saint et très Bienheureux Père Paul V. Souverain Pontife. Antoine Evêque d’Agnani, éternelle félicite. » pp. 154-176
onduisent. Il faut, dit saint Clement, que les fidèles reçoivent avec respect la connaissance des volontés de Dieu de la bouche
donc aux pieds de votre Béatitude, et les baisant avec toute sorte de respect et d’humilité : je supplie la bonté divine, de co
53 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-4
’horreur du crime & en éloigne, & une estime, un penchant, un respect pour la vertu, qui nous réunit avec ceux qui la p
54 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XI. Que les Poèmes Dramatiques n'ont point été condamnés. » pp. 230-236
ntait avec beaucoup de mépris ; il en condamne le sujet par le peu de respect qu'ils portaient à leur Religion ; mais il ne cha
55 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VI. Les spectacles produisent et favorisent l’incrédulité. » pp. 86-89
sses qui affaiblissent presque toujours dans l’âme des spectateurs le respect qu’ils doivent avoir pour elle. « Il n’y a peut-
56 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
tre fait perdre aux meilleurs cœurs, les sentimens les plus justes de respect , d’amour, de reconnoissance, aussi bien que les v
l’illustre Prélat qui lui succede , pour qui nous avons le plus grand respect . On a fait l’Abbé Tubies, Chanoine de l’Eglise de
il étoit charitable pour les pauvres, zéle pour ses brebis, plein de respect pour la Religion, aussi n’aimoit-il ni Voltaire,
seroit ridicule & insupportable. Mais les Anglois, par un ancien respect pour leur Poëte favori, ont fait représenter un g
, comme le Comédien Garik avoit composé le premier, malgré le profond respect qui est dû au pere de la Tragédie Angloise &
57 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
a vôtre, On ne me verra point en repousser les coups: Je dois trop de respect à qui combat pour vous, Et ravi de penser que c'e
r, et une espèce même de piété, de sa haine pour César, qui attire le respect , et qui la fasse passer pour une personne héroïqu
e par vous-même; Car vous pouvez bien plus sur ce cœur affligé Que le respect des dieux qui l'ont mal protégé. » Et sur la fin
58 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 7-8
le, entendant ainsi parler avec mépris des choses saintes, perdent le respect , la vénération et l’estime qu’ils en avaient ; il
59 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE I. Préjugés légitimes contre le Théatre. » pp. 4-29
eptre, & à fermer la bouche aux Ministres par la crainte & le respect  : artifice ordinaire au vice, comme à l’erreur, q
cœur. J’ai toûjours la même probité, la même horreur du vice, le même respect pour la religion ; je m’y corrige de bien des rid
cée, que le parterre, qui connoît Fretillon, & qui a pour elle le respect qu’elle mérite, s’écria par acclamation : Au cach
s. Nous vous demandons grâce, & nous tâcherons, par notre profond respect , de vous faire oublier notre saute, &c. Belco
60 (1770) Des Spectacles [Code de la religion et des mœurs, II] « Titre XXVIII. Des Spectacles. » pp. 368-381
contrevenoient à la présente Déclaration. J’ai remarqué au Titre du respect dû aux Eglises, que l’Ordonnance du 24 Juillet 17
mpereur Charles VI. Les Empereurs Romains n’avoient pas un fort grand respect pour les Comédiens ; en quoi ils furent très-diff
61 (1692) De la tragédie « De la tragédie ancienne et moderne. » pp. 148-162
s reçoivent dans les Temples avec une apparente soumission, et par le respect du lieu où elles sont dites, et par la révérence
s grands crimes sur le Théâtre des Anciens, les crimes captivaient le respect des Spectateurs, et on n’osait pas trouver mauvai
62 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V. Le but des auteurs et des acteurs dramatiques est d’exciter toutes les passions, de rendre aimables et de faire aimer les plus criminelles. » pp. 51-75
uteur n’avait eu soin de porter sur un autre personnage un intérêt de respect et de vénération, capable d’effacer ou de balance
s un plus grand encore à un fils de voler son père, de lui manquer de respect , de lui faire mille insultants reproches, et, qua
n, la religion même pour laquelle tout devrait inspirer le plus grand respect  ? Enfin est-ce pour prendre des leçons de sagesse
63 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE III. Des Pièces de Collège. » pp. 48-67
calomnie. La dissipation, l’esprit du monde, l’irréligion, le peu de respect pour les choses saintes, les lectures, les conver
les garants, de ce précieux traité. « Est-ce ainsi qu’on inspire du respect pour la religion, et qu’on en grave les principes
t de la comédie, même des collèges, combien ils la croient opposée au respect dû à la religion, à la pratique des vertus chréti
64 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48
s, qu’il s’est maintenu toujours dans la pureté de la Foi, et dans un respect inviolable de ses Mystères. Nos Rois qui surpasse
rien : le Libertin a quelque sentiment de Dieu, mais il n’a point de respect pour ses ordres, ni de crainte pour ses foudres :
essemblent pas à ceux du Théâtre : ou pour le moins s’il a perdu tout respect pour le Ciel (ce que pieusement je ne veux pas cr
65 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Remarques Angloises. » pp. 133-170
s. L’Italie a fait de pareilles folies pour le Dante, on a eu le même respect pour Aristote, l’oracle de la Philosophie, le phi
vec les insensés ; qu’en se rendant ainsi méprisable, il affoiblit le respect dû aux choses saintes dont il est la chef & l
faire une mauvaise action. Et une modestie fausse & mauvaise, le respect humain, qui rougit du bien, qui a honte des biens
du grand, se présente avec fierté, parle avec audace, est écouté avec respect . Est-il mis maussadement à l’antique ? il n’ose s
rneille, Quinault, Lulli, Racine, &c. ont à se plaindre que, sans respect pour leurs chefs-d’œuvres, on a réformé leurs pie
66 (1855) Discours sur le théatre, prononcé dans l’assemblée publique de l’Académie de Pau, où se trouvoient les Députés des Etats du Béarn et les Dames de la ville pp. 1532-1553
les étincelles et les éclairs sont de mauvais guides, et avec tout le respect qui est dû à ces astres brillants, à retrancher l
une impiété littéraire. Il faut avoir une provision bien abondante de respect pour en accorder à des poëtes dramatiques. Mais,
peut être respectueux sans savoir sa langue et manquer élégamment de respect . Le burlesque, que Scarron mit en vogue, et qui t
et sans détour, peut être respectueuse. Le mensonge manque plutôt au respect aussi bien qu’à la droiture. Le style aisé et cav
dus encore par le vice, la jalousie, le mépris mutuel, l’étiquette du respect est entre eux fort bornée. Ce n’est pas la qualit
67 (1768) Compte rendu du Monthly Review pp. 288-290
culinum? –As to the cause of the Gallican church, in particular, with respect to her treatment of his Most Christian Majesty’s
68 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
fire, relisez les lettres de St.-Augustin et vous verrez quel nom mon respect pour la divinité m’empêche d’invoquer ici, vous s
nce : puis-je espérer que vous daignerez me l’accorder ? Je suis avec respect et vénération, Monsieur le Grand-Vicaire, votre t
69 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre I. Que les Spectacles des Anciens ont fait partie de la Religion Païenne. » pp. 2-35
us institués, ils leur ont toujours été consacrés comme une marque du respect et de la piété des peuples. Les Jeux Circenses fu
ou qui flatte les oreilles au Théâtre, n'a point d'autre sujet que le respect qu'ils ont voulu rendre à quelques fausses Divini
70 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
disconvenir de la vérité de ce principe ; mais, soit dit avec tout le respect dont je suis pénétré pour ce grand homme, ne pour
nnaître cette vérité. La Reine dit à sa confidente : L’amour par le respect dans un cœur enchaîné, Devient plus violent, plus
71 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VIII. Comédie du Tartuffe. » pp. 161-179
Qu’on me traite par-tout du plus grand des faquins, S’il est aucun respect ni pouvoir qui m’arrête. Vous me feriez damner,
les, détruit le crédit, affoiblit les exhortations, & empêche par respect humain d’embrasser les exercices. Le Tartuffe n’a
délicatesse, les rigueurs de celles à qui on manque si ouvertement de respect  ? C’est bien applanir la voie aux amans que de re
72 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Cirque. » pp. 9-43
Curopal. in off. aul. Constant. termes obligeans & affectez à ce respect . Ce premier bruit de joye ou de respect estant ce
obligeans & affectez à ce respect. Ce premier bruit de joye ou de respect estant cessé, ceux qui devoient paroistre en liss
r le Vatican, & en d’autres lieux, sans scrupule & sans aucun respect des Manes, dont il viola & fit ruiner les plu
73 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE V. Du principal motif de la Réformation du Théâtre. » pp. 49-58
eillards, etc. ont un grand ascendant sur l’esprit des enfants par le respect qu’on leur inspire pour eux, et que leur faibless
74 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Faste. » pp. 154-183
Divinité & de ses mystères, instruisent, touchent, augmentent le respect , animent la dévotion, la piété s’en sert utilemen
qu’on se rende désagréable dans la société ; ainsi on se concilie le respect , parce qu’ils imposent, & l’amitié parce qu’i
négligée, échevelée va se jeter aux pieds du Seigneur, les baise avec respect , les arrose de ses larmes, les essuie avec ses ch
ent ces paroles, point d’acceptation de personne, n’agissez point par respect humain ; que la présence d’un homme puissant ne v
75 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
 :Ibid. A. 1. 2. elle dit qu’une fille ne saurait porter trop loin le respect envers son père, et que la désobéissance entraîne
tte maxime de Pinacium : jugeons par son langage de ses sentiments de respect pour son père. Le Poète fait tirer l’épée à quelq
chaque Acte ; qu’il doit se déclarer le défenseur de la vertu, et du respect dû à la Religion. De ces règles qu’il prescrit au
thode pour garder les bienséances, pour rendre à chaque condition les respects qui lui sont proportionnés, et pour s’insinuer da
76 (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351
l y avait lieu de douter si cet exercice ne serait pas avantageux. Le respect qu’on avait alors pour ceux qui venaient de visit
icences qu’ils ont accoutumé de se donner, sont incompatibles avec le respect , l’exactitude et la pureté qu’elle exige. En véri
Jésus-Christ tout entier, chaque partie de l’Ecriture exige aussi nos respects et nos hommages, parce que chaque parole est véri
apport, qu’il faut conserver pour les Ecritures tout au moins le même respect qu’on avait pour l’Agneau Pascal, puisqu’elles so
77 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Septième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 282-286
i-je plutôt vu dans monsieur D’Alzan, l’époux de celle à qui tout mon respect est dû.… de celle qui me permet de l’aimer ; qui,
78 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXI. Réflexions sur la vertu qu’Aristote et Saint Thomas après lui ont appelée Eutrapelia. Aristote est combattu par Saint Chrysostome sur un passage de Saint Paul. » pp. 117-123
Thomas des excès dot on la chargeait, à la fin il faut avouer avec le respect qui est dû à un si grand homme, qu’il semble s’êt
79 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IX. Les spectacles nuisent au bonheur et à la stabilité des gouvernements. » pp. 96-101
rançais furent heureux tant qu’ils furent unis, tant qu’ils eurent du respect pour la religion et les lois, tant qu’ils aimèren
80 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
spécialement consacré par la religion, ce qui lui fait perdre tout le respect qui lui est dû, & a fait porter les ordonnanc
ient la punition de la négligence à conserver le feu sacré, & par respect pour la Prêtresse coupable, c’étoit au grand Prêt
reté est-elle la seule vertu, & le libertinage le seul crime ? le respect le plus profond pour la Divinité n’est-il pas le
81 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Suite du Clergé Comédien, » pp. 52-67
s philosophes affectent la modération, l’impartialité, la douceur, le respect pour les souverain. Julien a composé trois ouvrag
        Je ris & saute de mon mieux.         Sous son dais, d’un respect extrême, Il faut à pas comptés affubler gravement
82 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24
ts les jeux des Païens pour faire revivre leurs abominations. Le seul respect qu’ils portent à l’Antiquité, qui les a condamnés
es Euménides en Athènes rendait frénétique celui qui n’y apportait le respect qui était dû, le vôtre a eu la même propriété : e
83 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82
LE goût des arts, l’honneur de ma patrie, l’amour du genre humain, un respect inviolable pour la vérité, voilà les motifs qui m
avoir contribué en machine aveugle à leur existence, pour exiger leur respect , il faut s’en rendre digne par ses vertus. Le fil
ards aux vieillards qui radotent, parce qu’ils sont hommes ; mais ses respects sont réservés pour cette vieillesse vénérable qui
donner un ton imposant. On n’apprend point à la Comedie à manquer de respect aux vieillards ; mais seulement à ne pas donner à
audeville est dangereux pour la jeunesse qu’il accoutume à manquer de respect aux vieillards, en se vantant de les surpasser. J
84 (1675) Lettre CII « Lettre CII. Sur une critique de son écrit contre la Comédie » pp. 317-322
Je prendrai, Madame, la liberté d’appeler de votre critique, quelque respect que j’aie d’ailleurs pour vos sentiments ; mais c
85 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre V.  » pp. 129-160
es traits, Inspire à l’œil qui le contemple, De la tendresse & du respect . La tendresse pour Moliere est plaisante. L’Aute
i affermit leur empire. Tous nos poëtes comiques ont eu pour elles le respect , (le foible, le vice de la Nation ;) on le prouve
vif qu’ailleurs, il est délayé dans des complimens & des airs de respect , qui sont le style de la France. Cette décence su
e trop fidéle. On ne trouve plus dans la Société cette politesse, ce respect pour le sexe, cette délicatesse Française qui ann
86 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264
-ils faire autre chose ? Nul n’est plus pénétré que moi d’amour et de respect pour le plus sublime de tous les Livres ; il me c
vorite du vice. C’est par elle qu’attaquant dans le fond des cœurs le respect qu’on doit à la vertu, il éteint enfin l’amour qu
teur n’avait eu soin de porter sur un second personnage un intérêt de respect et de vénération, capable d’effacer ou de balance
s un plus grand encore à un fils de voler son père, de lui manquer de respect , de lui faire mille insultants reproches, et, qua
els dont on n’a pas tort de rire, on sent pourtant au fond du cœur un respect pour lui dont on ne peut se défendre. En cette oc
une espèce de problème. Les Anciens avaient en général un très grand respect pour les femmes21 ; mais ils marquaient ce respec
éral un très grand respect pour les femmes21 ; mais ils marquaient ce respect en s’abstenant de les exposer au jugement du publ
le plus honorable aux femmes, et rend le mieux à leur sexe les vrais respects qui lui sont dus ? La même cause qui donne, dans
quel honorable aspect on montre la vieillesse au Théâtre, voilà quel respect on inspire pour elle aux jeunes gens. Remercions
une tête chenue et des cheveux blancs n’impriment-ils pas toujours du respect  ? On me dira qu’à Paris les vieillards contribuen
l’instruisaient sans cesse, et il ne pouvait se défendre d’un peu de respect pour les organes de cette instruction. 5°. La Tra
et s’en font un métier plutôt qu’une passion ; tous deux ont un grand respect pour les choses honnêtes ; tous deux aiment la pa
la dignité d’une honnête femme ; c’est là qu’elle impose vraiment du respect , et que la beauté partage avec honneur les hommag
is vu aucune de ces sociétés, sans un secret mouvement d’estime et de respect pour celles qui la composaient. Telle est, me dis
’abord, sont devenus par degrés de vils corrupteurs, sans mœurs, sans respect pour la foi conjugale, sans égards pour les droit
maison avec laquelle nous venons de traiter, et à qui nous devons du respect  ? Cinquante ans plutôt, je ne répondrais pas que
naturellement acquise. Ils ne seront point, comme ailleurs, tenus en respect par les grands dont ils recherchent la bienveilla
membres de l’association ; mais elle maintient tout le monde dans le respect qu’on doit porter aux lois, aux mœurs, à la décen
87 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. De la Dédicace de la Statue de Voltaire. » pp. 71-94
st le veau d’or, au tour duquel le peuple plein d’admiration & de respect , chantoit & dansoit ; on se prosterna devant
nner à un jeune homme plein d’entousiasme, de reconnoissance & de respect pour son Mentor, qui dit comme les écoliers de Pi
Casimo ? Il n’a fait que rassembler ce que la vanité, la douleur, le respect , la coutume mettent à tous momens sous les yeux.
88 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217
ent les queues traînantes est belle & bonne. 1° C’est un signe de respect , de soumission, d’abaissement. Le salut le plus r
ns l’Eglise que dans les appartemens du Roi. On la laisse traîner par respect . Bien loin donc que ce soit un honneur, c’est dan
qu’une queue traînante. Un Ministre des autels pourroit-il oublier le respect qu’il doit à son Dieu jusqu’à faire porter sa que
89 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31
se. Il y a encore bien des traits contraires à l’Ecriture. Le profond respect qu’on doit aux Livres saints, ne permet pas même
la Bible (nous l’avons démontré liv. I) ; parce que c’est manquer de respect pour les choses saintes & pour la Parole de D
se lui nuire. Les poëtes médiocres sont si communs sur le théatre, le respect pour la Religion y est si étranger, il est si dan
90 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142
à faire de la comédie une bonne œuvre, et à travestir l’irréligion en respect pour la religion ? Les siècles grossiers, avec pl
e que l’autre ? la décence des mœurs est-elle plus recommandée que le respect pour la religion ? 6.° La religion reçoit des cou
r arrêter cette licence, et avec raison. On ne peut trop maintenir le respect dû aux Puissances, aux lois de l’Etat : je loue i
91 (1675) Traité de la dévotion « Chapitre III. De la trop grande sensibilité aux plaisirs de la terre ; troisième source de l’indévotion. » pp. 58-65
ur existence ou leur providence, sans être Athée. Nous leur devons ce respect de ne nous pas divertir à leur dépens. J’en dis d
92 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Du Theatre. » pp. 73-99
par un renouvellement de l’ancienne severité, soit par un particulier respect pour cette Statuë de la Nourice des premiers Roma
deduites chez les Autheurs. Mais ie crois que ie puis sans perdre le respect que ie dois aux Anciens & aux Habiles, hazard
93 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIII. Que les lois civiles défendent de danser, et d’aller à la Comédie les jours des Fêtes. » pp. 67-75
me par aucun acte de justice ; et nous ordonnons que l’on conserve un respect si profond pour le jour du Dimanche, qu’on s’abst
94 (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167
ie pensé qu’on pût jamais établir aucun parallèle entre eux. Le juste respect dû à la religion, aux bonnes mœurs et aux lois, e
ssant, celui même de la religion, qui leur commande impérieusement le respect et l’obéissance4. L’illustre Bossuet professait
e lecture d’un grand nombre de nos pièces anciennes ou modernes. Quel respect et quelle vénération peut inspirer la religion, l
auquel est attachée la rémission de nos fautes31 ? Enfin, est-ce par respect pour les mœurs et la religion, que nos auteurs, o
emps désastreux de délire et d’anarchie où le maître et le valet, par respect pour l’égalité, pouvaient monter tour à tour sur
oins suspectes ; de donner à Sainte-Luce moins de légèreté et plus de respect pour l’autorité paternelle ; de donner à la fille
été civile, ont dû naturellement inspirer, dans tous les temps, et le respect et la vénération ; aussi l’histoire nous apprend-
limes, dont l’asile est le sanctuaire de la vertu ; ces hommes que le respect nous interdit de désigner autrement que par leurs
les accusés de toute la latitude de leurs droits sacrés, qu’au peu de respect et de considération qu’inspirèrent si longtemps c
lle être sitôt perdue pour nos statuaires modernes, qui abjurant tout respect pour la plus tendre jeunesse, mettent aujourd’hui
nérables, ne se sente pas l’âme agrandie, et ne s’élève pas au ton de respect et de dignité que leur aspect inspire naturelleme
95 (1846) Histoire pittoresque des passions « RELIGION » pp. 158-163
be noblesse plus propre à inspirer l’indignation et le mépris, que le respect et la vénération. – Mais comme leur caractère cha
96 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Henri IV. » pp. 121-168
ite pour le chant ; &, à l’exception des chants d’Eglise, où, par respect pour les paroles de l’Ecriture, on y emploie la p
momens malheureux où le masque tombe & le héros s’évanouït . Le respect doit l’emporter sur ce goût dépravé du peuple dra
t pas : ils sont inexcusables de la combattre par leurs mensonges. Le respect pour le premier des Bourbons, la reconnoissance p
es que l’amour de la nation pardonne, affoiblissent l’estime & le respect . L’enthousiasme va si loin que dans le Lit de Jus
dans toute la France. Il n’y a ni justice, ni bon goût, ni vérité, ni respect pour la majesté royale, de lui faire tenir des pr
97 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. Aveux importans. » pp. 83-110
; ceux qui ont des inclinations plus heureuses n’osent les suivre, le respect humain l’entraîne dans la foule, il est emporté p
us que ce sont ces belles représentations là qui produisent le peu de respect que les hommes ont pour nous. Eh le moyen qu’à la
t elles peuvent moins se débarrasser. On tâche de couvrir sous un air respect un fond de sensualité & d’imprudence qui va b
98 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrisostome. » pp. 180-195
pas encore rassasie de spectacles ? Si un jeune homme vous manque de respect , vous lui rappelez les droits de votre vieillesse
ai pas la divine parole, si je vous vois sans goût, sans estime, sans respect pour elle, & la foulant aux pieds. Selon la p
99 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre V. De la Musique ancienne & moderne, & des chœurs. De la Musique récitative & à plusieurs parties. » pp. 80-93
toit demeurée. » En portant aux décisions de ce grand homme, tout le respect qui leur est dû, nous seroit-il permis d’approfon
100 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-7
Ecclésiastiques, que n’a pas dicté la soumission à l’Eglise & le respect pour les choses saintes, mais qui renferme plusie
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