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1 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
lle décrit d’une merveilleuse sorte ; et comme son Petit-fils ose lui répondre , elle s’emporte contre lui et lui fait son portra
ouche la Vieille de fort près, elle entreprend avec grande chaleur de répondre , sans pourtant témoigner se l’appliquer en aucune
répliquer, il continue : « Et Panulphe ? » La Suivante, contrainte de répondre , lui dit brusquement que « Panulphe se porte bien
’incommodité de sa Maîtresse, par trois fois est interrompue de même, répond de même, et revient de même, ce qui est la manièr
Suivante ayant dit que « Madame n’a point soupé », et Monsieur ayant répondu , comme j’ai dit : « Et Panulphe », elle réplique
ressé par les raisonnements de son Beau-frère, auxquels il n’a rien à répondre , bien qu’il les croie mauvais, lui dit adieu brus
tient pour lui parler de l’affaire du mariage, sur laquelle il ne lui répond qu’obliquement sans se déclarer, et enfin à la ma
au-frère lui demande « un oui ou un non » ; à quoi lui ne voulant pas répondre , le quitte enfin brutalement, comme il avait déjà
isposée à lui obéir toujours » et à se conformer à ses volontés. Elle répond fort élégamment qu’oui. Il continue, et lui deman
on lui fait cette question, hésite : enfin, pressée et encouragée de répondre , dit, « Tout ce que vous voudrez ». Le Père lui d
s de son père et la surprise où ces nouveaux desseins l’ont jetée, ne répondant que faiblement et comme en tremblant, Valère cont
du doute où il témoigne en quelque façon être de son amour, elle lui répond « qu’elle fera ce qu’il lui conseillera ». Il rép
ont blessées, et que cela fait venir de coupables pensées ». Elle lui répond « qu’il est donc bien fragile à la tentation », e
ire « que ce qu’il en fait soit par haine qu’il ait pour elle ». Elle répond qu’elle est persuadée que « c’est le soin de son
le est contrainte de lui dire « que vous me serrez fort » : à quoi il répond soudain à propos de ce qu’il disait, se recueilla
le lui dit, confuse de cette liberté, « ce que fait là sa main » : il répond , aussi surpris que la première fois, qu’« il trou
fait sa déclaration dans les termes ci-dessus examinés ; à quoi elle répond , que « bien qu’un tel aveu ait droit de la surpre
, « s’il n’acceptera pas l’offre qu’il lui propose ». À quoi le Dévot répond fort chrétiennement : « La volonté du Ciel soit f
e ne l’obliger plus à avoir aucun commerce avec elle : à quoi l’autre répond , donnant dans piège que lui tend l’Hypocrite, qu’
e pardonner à Damis », bien loin de le faire déshériter. Panulphe lui répond que, « quant à lui, il lui pardonne de bon cœur,
e don extravagant que son père lui veut faire de son bien ». Le Bigot répond à cela que « s’il se rend facile à ses pieux dess
st ici qu’il dit que Panulphe « est fort gentilhomme ». A quoi Dorine répond  : « Il le dit ». Et sur cela, le Frère lui représ
euvent s’imaginer que personne ait plus de modération qu’eux. La Dame répond excellemment que « ce n’est pas en s’emportant qu
dirait s’il voyait ce qu’il ne peut croire », ils le contraignent de répondre  : « Je dirais, je dirais que… Je ne dirais rien,
i dit qu’« il a de grands sujets de défiance extrême » : mais la Dame répond divinement qu’« on est facilement trompé par ce q
errogations qui donnent lieu à la Dame de dire toutes ces choses en y répondant . Enfin, insensiblement ému par la présence d’une
réelles » et des faveurs pour gages de la vérité de ses paroles. Elle répond en biaisant : il réplique en pressant : enfin, ap
nne ou qui écoute, et si par hasard son mari ne passerait point ». Il répond , en se disposant pourtant à lui obéir, que « son
nt comme justement irrité de l’outrage qu’on fait à son innocence, il répond à ces menaces par d’autres plus fortes, et dit qu
i sont dedans ». Interrogé pourquoi il l’avait confiée à Panulphe, il répond que c’est encore « par principe de conscience » ;
d’abord « quel bruit c’est qui court d’eux par le monde ? » Son Fils répond que c’est que « Monsieur Panulphe le veut chasser
sujet ». Enfin la Vieille, forcée de prêter l’oreille pour un moment, répond en s’opiniâtrant, que « quelquefois il faut tout
par les diverses personnes qui composent la compagnie, pour le faire répondre à toutes selon son but ; même pour le faire davan
l’Hypocrite en reproches de diverses manières, à quoi étant pressé il répond que « la fidélité qu’il doit au Prince est plus f
nce ou de la justice du Ciel envers les hommes. Je sais bien qu’on me répondra , que notre religion a des occasions affectées pou
r tout ce que cette comédie y pourrait attacher de ridicule : mais je réponds à cela deux choses ; l’une, que dans l’opinion de
ent elles ne seraient pas ridicules dans cet homme comme dans lui. Je réponds à cela, que l’excès de Ridicule que ces manières
2 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
ie. Chez Mazuel 1694. Ce Docteur s’est appliqué particulièrement à répondre à l’Ordonnance de saint Charles Borromée, citée d
les Borromée avait fait composer un Livre contre la Comédie. L’Auteur répond aussi à la tolérance des Magistrats, qui souffren
regarde les Auteurs, et généralement tous ceux qui y coopèrent ; ils répondent à cette demande, que tous ceux qui coopèrent à la
mauvaise. La troisième, si on doit dire la même chose de l’Opéra. On répond que l’Opéra est d’autant plus dangereux, qu’à la
me demande, est de savoir si quelqu’un peut aller à la Comédie ; on y répond que la Comédie étant mauvaise, dans la pratique o
de tendresse, Les prend pour des péchés commis en sa jeunesse. » Il répond à la prétendue correction des mœurs par les Pièce
l les instruments de la Passion de Notre Seigneur. On n’oublie pas de répondre à l’argument tiré des Tragédies des Collèges, par
On voit ensuite les Réponses à plusieurs questions : entre autres on répond que le Cardinal Tolet et Navarre condamnent les A
rement qu’à la tête, et à la faveur des Comédies. » Enfin il finit en répondant à ceux qui voudraient ménager à la faveur du plai
combien les leçons du Théâtre sont funestes aux jeunes gens. L’Auteur répond aux autorités et aux raisons du prétendu Théologi
uve serait coupable même selon le monde réglé, de l’écouter et de lui répondre après l’avoir remercié. SECTION DOUZIEME Requ
r pour le vice et de l’amour pour la vertu ; et ils prient le Pape de répondre si les Evêques ont droit de les excommunier. Cett
3 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  PRÉFACE. » pp. -
n audace, mon ame s’est éveillée pour repousser l’imposture ; je n’ai répondu qu’à une partie de ses raisonnemens paralogiques.
n pourra soupçonner trop d’orgueil dans l’aveu que j’en fais, mais je répondrai que je ne la détaille pas pour en être loué : tan
e fit voir la Brochure du Genevois ; elle parut desirer que quelqu’un répondît à tant d’impertinences ; je m’offris, & dans
4 (1749) Maximes pour se conduire chrestiennement « Des Plaisirs, et en particulier des Spectacles. » pp. 233-248
sion de péché, du moins une occasion prochaine. 1°. Saint Chrysostome répond  : Que vous êtes heureux de pouvoir marcher au mil
jeux que leur Grand Prêtre faisait représenter sur la place. On croit répondre à tout, en disant que les spectacles, aujourd’hui
ns savoir ce que c’est. On ne prétend pas s’en faire une habitude. Je réponds que si le spectacle est mauvais en soi, il n’est
ment, et prit la liberté de lui en demander la raison. Je vous avoue, répondit la Princesse, que quelque gaie que je sois en all
5 (1760) Lettre à M. Fréron pp. 3-54
a pas de me nier que le Théâtre inspire la probité. Qu’aura-t-il à me répondre , si je lui dis que ses sermons ne font pas des sa
on avec la vertu et que l’image du vice est toujours scandaleuse ; je réponds à cela qu’il faudrait donc bannir de l’éloquence
soit puissamment affectée par les images oratoires. Qu’aura-t-on à me répondre lorsque l’on aura remarqué dans l’Evangile, que J
mienne était hermétiquement fermée à tous sentiments d’humanité ; je répondais avec aigreur à leurs impertinentes railleries, il
Employés, Prêtres, Séculiers, Réguliers, interrogez votre cœur et ne répondez que d’après lui, on verra si j’ai tort. Si toutes
me résolution d’être un Saint, dès que je le pourrai devenir. Je puis répondre de la ferveur de ma foi, de mon attachement à la
bles et flatteuses, ce qui est absolument contraire à la Religion. Je réponds à cela non pas comme l’Auteur du Tableau du siècl
éussir, à ce qu’on croit, si cette passion ne domine dans la cœur. Je réponds à cela que j’ai malheureusement l’amour propre né
inguer ? Si ce désir est un crime, quel est le Prédicateur qui pourra répondre en conscience de la pureté de ses intentions ? Ce
e assez pour m’en dérober la justesse : je vais vous les exposer et y répondre  ; vous aurez entendu les deux parties, il vous se
l’honneur de dédier cet ouvrage, né Français je serais un traître. Je réponds à la première objection que j’aurais cru m’expose
c et que si le respect me condamne, la reconnaissance me justifie. Je réponds à la seconde objection qu’il faut que ces Messieu
es choquait moins (les Anciens) que celle de la pudeur offensée. J’ai répondu page 128. Quel galimatias est ceci ? qu’est ce qu
senti qu’en répétant tout ce qu’il avait dit, je n’aurais pas pu lui répondre . On va juger si ces Messieurs ont raison, puisque
la pudeur offensée. Je demande à présent au Public si j’ai eu tort de répondre comme j’ai fait ? j’ajoute de plus que Mr. Rousse
6 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XIV. » pp. 66-67
la louange du Héros. Les Muses formeront un chœurb de musique qui lui répondra . Ensuite il descendra sur la terre et dansera an
revenir à cela, ni des vers chantés à sa louange, ni des Muses qui y répondent en musique, ni Apollon dansant au milieu d’elles
7 (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « De Paris ce 10. Mai 1666. » pp. 193-204
tes, je pourrais vous dire qu’on vous fait beaucoup d’honneur de vous répondre  ; mais j’ai une plus haute idée de tout ce qui so
oute la grâce que je vous demande, c’est qu’il me soit permis de vous répondre en même temps à tous deux, car quoique vos Lettre
vous fasse le même traitement ? Car qui empêchera quelque autre de me répondre , et de me dire, en parlant de vous : Quoi, Monsie
, Messieurs, quand vous raisonnerez de la sorte, nous n’aurons rien à répondre , il faudra se rendre, car de me demander comme vo
NDE] C’est l’argument de Barbier d’Aucour. o. [NDE] Là encore Racine répond à Barbier d’Aucour. p. [NDE] Le premier est Goib
8 (1733) Traité contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE TRAITÉ. CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 247-261
a phrase latine ; « inter effœminationis modos ». DontIbid. vous avez répondu Amen pendant le sacrifice. Il me souvient d’avoir
nt le sacrifice. Il me souvient d’avoir lu que les premiers chrétiens répondaient amen à la fin de ces paroles corpus domini nostri
t c’est apparemment à cette coutume que Tertullien fait allusion. Ils répondaient de même amen après les paroles de la consécration
jamais. L’auteur s’est exprimé ainsi en grec « εις αιῶνας » ; à quoi répondent ces paroles latines, « in sæcula ». Notre acclama
9 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145
genre. Je cherchois à étouffer cette voix des remords…Ou je croyois y répondre par de mauvaises autorités, que je croyois bonnes
de les entendre mieux, que le grand Bossuet ? C’est précisément pour répondre à cette objection, que ce savant Prélat renvoie a
nnêtes, qui enveloppent le mal, & lui servent d’introducteur. 3°. Répondrez -vous, qu’on a lu les Peres pour vous ? mais en a-
me dire, comment il pouvoit y être question d’Idolatrie ? La Dame ne répondant pas à ma question, je lui en fis une autre. Celui
ta le Philosophe, qui puisse refuser d’aller aux spectacles. Mr., lui répondis -je, je vous avoue ingénuement mon ignorance, je n
n s’autorisoit du grand nombre de ceux qui alloient au spectacle. Que répond ce St. Docteur ? « Ah ! disoit-il, si vous avez l
leur conduite ? 4° Parceque des hommes non appellés, ou qui n’ont pas répondu à la sainteté de leur vocation, se livreroient au
cteur & le mien, c’est lui-même, qui va vous instruire & vous répondre . Quelque irréguliere que tuisse être la conduite
nt comme eux, les loix de votre Mere ? Voudriez-vous bien, Madame, me répondre à tout cela ? Dites donc tant qu’il vous plaira,
arassante, & la Marquise, qui a de l’esprit, ne cherchant pas à y répondre , mais à en éluder la force, répliqua qu’elle trou
l, aprés tout, y a-t-il d’assister aux spectacles ? Mais, Madame, lui répondis -je, parce que vous ne voyez pas pourquoi une chos
ourriture avant la Communion. Savez vous pourquoi, Madame ? Non, Mr., répondit -elle. Vous lui obéissez cependant, comme tous les
r été aux spectacles, il me demanda, si j’y avois fait du mal. Je lui répondis que non ; en conséquence, il me donna l’absolutio
t interdit la compagnie. Interrogée si elle y avoit fait du mal, elle répondit que non ; en conséquence, elle eut l’absolution.
interrogé s’il n’y a point fait de mal, & s’il n’a pas tapagé, il répond , qu’il n’y a jamais eu de dispute, & que c’es
Comédiens, & qu’il va tous les jours à la Comédie ? Oui, Mr, lui répondis -je, je vous avoue que je l’ignorois ; mais ignore
ocens, pourquoi les Papes les condamnent-ils &c &c ? Qu’on me réponde à cette question, j’ai déja répondu à la prémiere
nent-ils &c &c ? Qu’on me réponde à cette question, j’ai déja répondu à la prémiere, pag. 98, 99 & 100. Un Souverai
e, & si l’on ajoutoit que ce n’est pas pour vous, qu’on joue : ne répondriez -vous pas, qu’on joue pour vous, comme pour les au
r la conduite ? Cette objection a été proposée en 1694. Voici ce qu’y répond le grand Bossuet, dans ses Maximes & Réfléxio
e les spectacles, on ne cessera pas pour cela d’y aller. Oui, Madame, répondis -je, c’est en vain que la charité de J. C. nous pr
les représenter, est-ce donc un mal aussi d’y assister ? Madame, lui répondis -je, il y a plus de trois cens ans, que St. Antoni
’en pensez-vous vous-même ? Je ne puis vous le dissimuler, m’a-t-elle répondu , j’y ai entendu bien des équivoques, qui m’ont fa
veu. Ceci peut servir d’instruction à bien des peres & meres, qui répondront à Dieu de la perte de leurs enfans. La Dame fut a
10 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58
ses. Ecoutons maintenant M. de Voltaire ; & songeons à ce que répondit certain Prédicateur à qui l’on reprochait que sa
u Spectacle, sans paraître scandalisé de plusieurs de ses Drames ? je répondrai , que l’idée peu avantageuse qu’on s’est formée du
Pigmalion (6) ; la Statue de ce fameux Sculpteur, animée par Jupiter, répond d’abord naïvement à l’Amour que Pigmalion ressent
e s’en approche & lui demande comment il s’appelle. « Madame, lui répond celui-ci, je me nomme Caliston ; pour vous servir
du jeune Elève ? Ah, Madame, s’écrie-t-il, que faites-vous là ? Elle répond sans s’éffrayer ; « ce qu’on fait quand on aime »
r dans l’esclavage Tous les agrémens de la liberté. La bonne Jacinte répond en femme complaisante ; Ah, vous aimez l’amour b
nsport ; Le joli pied ! ah, qu’il me plaît ! Pierrot son confident répond à cette apostroffe ; Oui, mais tient-il ce qu’il
nts précieux Que la fortune enfin nous laisse. La vertueuse Lise lui répond un instant après, « ah ! ce qu’il vous plaîra ».
’attente… Allons, en beau chemin ne faut pas s’arrêter. Et Mazet lui répond très-délicatement ; Tais-toi, va, je recule afin
11 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
Monsieur, J’ai lu ce que vous répondez à l’Auteur des Hérésies Imaginaires et des Vision
res, Il est certain que le meilleur pour les Poètes c’est de ne point répondre afin qu’on ne réplique pas, et de ne point nier,
tisfait. Je ne comprends point par quelle raison vous avez voulu leur répondre et il me semble qu’un Poète un peu politique ne l
une histoire véritable, ou les ennemis de Port-Royal qui n’ont jamais répondu à cette histoire, et qui bien souvent ont fait se
ntenant que les spectateurs de vos querellesah. » On ne peut pas vous répondre plus doucement, qu’en disant qu’il est très faux
ret, on a éclairci leurs équivoques, on les a enfin réduits à ne plus répondre , et assurément vous n’avez rien à reprocher au Po
mais cet enjouement n’est point du tout votre caractère. » Je ne vous réponds pas ce que tout le monde sait, que les sujets son
vous les avez entièrement détruits, et vous croyez avoir suffisamment répondu à tous les anciens Conciles en disant seulement q
s aller à la comédie ? » (Op. cit., p. 17) Goibaud-Dubois se garde de répondre sur la question de la lecture des poètes antiques
12 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE II. » pp. 19-41
ssinat, qui ont loué et qui n’ont pas dénoncé le criminel. Del Monaco répond ensuite à l’excuse ridicule de ceux qui disent :
re est, que les Spectacles ne sont pas défendus dans le Décalogue. Il répond . 1°. Par l’explication de Tertullien sur le 1. Ps
les Comédiens ont voulu donner, pour justifier les Comédies. Mais il répond qu’on n’a jamais vu de conversion par la Comédie 
est une ignorance prétendue de la condamnation de la Comédie. Mais il répond . 1°. avec Sanchez, qu’il n’y a que l’ignorance in
rétienne du Théâtre, imprimé à Florence en 1645w. Le Père Ottonelli y répond à l’Ouvrage d’un fameux Comédien Italien, appelé
es belles passions. » Et l’humilité de Théâtre souffre aussi qu’elle réponde de cette sorte en un autre endroit : « Cette hau
13 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
icaire, pour vous adresser cette réplique : Premièrement, le Laïc qui répond à la lettre écrite à M. Desmares m’est parfaiteme
que l’autorité en laisse représenter d’autres : c’est à l’autorité à répondre . Pour moi, qui connais son activité et son zèle,
parcequ’on y joue Tartuffe qu’il fallait proscrire le théâtre : vous répondez que c’est parcequ’on joue Joconde et le mari à bo
spectables et fort instruits, ce qu’on ne rencontre pas partout, vous répondez « le clergé ne s’abuse pas au point de croire que
t abbé), je m’humilie devant votre éloquence, et les mères de famille répondront pour moi à ce beau morceau qui fournirait en véri
14 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIX. Nouvel abus de la doctrine de Saint Thomas. » pp. 102-108
utes les raisons qu’il a sues pour bannir la comédie du carême : « Je réponds à cela, dit-il, avec les propres paroles de Saint
dont l’église y fait profession publique ; et voilà ce qu’il appelle répondre « avec les propres paroles de Saint Thomas ». Le
bitable, parce qu’elle était conforme à tous les canons. Saint Thomas répond aussi « que les pleurs sont ordonnés au pénitent,
15 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
ur parloient à tous. En vain tel ou tel leur répondoit, ce qu’on nous répond encore tous les jours, et ce qu’a si bien remarqu
t ; mais de les croire bien habiles et bien avancés quand ils sçavent répondre aux mots couverts par d’autres bons mots, qu’ils
à témoin un joueur de profession, et que devant Dieu je le prie de me répondre si son jeu ne va pas trop loin, je dis trop loin
je m’en suis déclaré d’abord ; je blâme l’excès du jeu, et en vain me répondrez -vous que le jeu en soi n’est point blâmable, puis
temps que Dieu vous a donné, et une profanation dont vous aurez à lui répondre . Cependant d’un excès on tombe dans un autre ; ex
sez, n’est-ce pas allumer tout de nouveau la colere du ciel ? Vous me répondrez que vous vous retranchez en effet ; mais par où c
andonner son esprit à des idées dangereuses. Beau prétexte, à quoi je réponds qu’il ne faut, ni parler mal du prochain, ni form
ieu se servît de cet exemple du pied, de l’œil, de la main ? C’étoit, répond Saint Chrysostome, pour nous faire entendre que l
ssession ! Si je vous faisois parler là-dessus, et si vous vouliez me répondre de bonne foi, que ne pourriez-vous pas m’en appre
er en celles qui vous appartiennent de plus près, en celles dont vous répondrez spécialement à Dieu, puisqu’il les a soumises à v
récipiter ? Mais faut-il se priver de tout divertissement ? A cela je réponds deux choses. Car en premier lieu, si tout diverti
16 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
titie ; sur quoi celui-là demande « si on a pourvu à tout ; et on lui répond  : A tout, Monsieur, à tout ; au large chapeau de
la porte du Chapelain : « Mr. Rend-grâce, Mr. Rend-grâce ! » celui-ci répond  : « Mon cher Mr. je n’ai plus que le dernier vers
mander. Avez-vous pensé à un habit pour Mellifont ? » « J’y ai pensé, répond le Chapelain. Ce qui suit est trop énorme pour ne
a menace son grand Patriarche de l’appliquer à la question ; le Musti répond à cette menace avec beaucoup de gravité et de cou
se hâter d’aller trouver le Chevalier Ventre-de-tonne ; le Chapelain répond d’une manière peu conforme à son état : « Je fend
argent, de bénéfices, de vin, etc. Procurez-lui tout cela, et je vous réponds qu’il dira la vérité comme un oracle. » Quelques
é, la vertu pratiquée et le vice craint ? Les effets, il est vrai, ne répondent pas tout à fait à la noirceur de leur volonté ; i
dre son Prince à prix d’argent : le Prêtre soutient alors sa dignité, répond d’un air grave et majestueux à l’injuste accusati
personnes de marque : ils se comportaient toujours d’une manière qui répondait à leur dignité, sans se démentir en quoi que ce f
d’hommes à gages et de domestiques, sans y garder tant de mesures. Je réponds en premier lieu, ainsi que je l’ai fait voir, que
que ce soit, ni à aucune fonction. Mais quand cela ne serait pas ; je réponds en second lieu que l’idée qu’on se forme des Chap
17 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
ue : P. 60.« Qu’allons-nous devenir ? »«  Nous mourrons de compagnie, répond Iacynte, rien ne me fâche davantage que de n’être
de punir le vice ». Mais M. Dryden se tire mal de ce mauvais pas. Il répond qu’il « ne connaît point de règle semblable, cons
x Comiques quelques exemples qui peuvent lui être favorables. Mais je réponds en premier lieu, que la Religion de ces Poètes le
e, etc. Et lorsque son père l’avertit de se garder de la rechute ; il répond avec sagesse : « Dieu aidant, j’aurai toujours ho
eux, que comme le Ciel laisse heureux les pécheurs etc. » Si le reste répond à ce début, tout ira bien. Mais le Ciel ne pardon
oir été corrompu par argent pour une affaire nullement honorable, lui répond  : « Hé, oui PèreLa pointe roule sur le mot Angel
pris le merveilleux talent qu’il a de dire des injures ? » « Madame, répond cet homme de bon sens ; c’est un talent né avec m
d’éviter les femmes et de les haïr autant qu’il est haï d’elles ». Il répond  : « Parce que je les hais et que je voudrais enco
u’« il n’a jamais été tenté de faire tort à personne » ; et Manly lui répond  : « Quoi donc ? Vous aviez peur ?…. Je ne voudrai
de : « Quelles bonnes qualités a-t-il ? » « Quelles bonnes qualités ? répond Mustapha. Il est d’une illustre et riche maison :
18 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Livre second. » pp. 2-7
heures leur gravité, ne pourraient-ils pas paraître au spectacle ? Je réponds que le nombre n’en est pas si grand que l’on pens
suet, interrogé par Louis XIV sur ce qu’il pensait de la comédie, lui répondit  : « Il y a de grands exemples pour, et de grandes
XIV, dont cet habile courtisan ne voulait pas blesser la délicatesse, répond à toutes les objections dans l’esprit d’un homme
19 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
ent des infamies diaboliques »2, comme s’exprime M. de Voltaire. Pour répondre à tant de prétextes, sans remettre sous les yeux
rs le germe de la rébellion et de la discorde. Or je vous le demande, répondez -moi sans détours, vous Courtisans assidus qui ne
vait eu la même pensée. Sur ce pied-là nous sommes d’accord. Mais, me répondit froidement quelqu’un à qui je proposais ce point
l dit, semble avoir prescrit contre la bienséance de leur état ; nous répondrons , 1°. que la Lettre du Père Caffaro Théatin, qui s
ne opinion inhérente au principe fondamental de la Monarchie ? Et que répondront à leur autorité et à leurs exemples ces hommes de
ag. 562. 12. [NDA] L’Auteur de l’Essai sur la Comédie moderne, pour répondre à M. Fagan, pag. 161, parle de plusieurs Ouvrages
20 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
ette jeune Fille, qui appartenait à Jesus-Christ par son Baptême ? Il répondit , qu’il y était entré, parce qu’il l’avait trouvée
on charge ensuite le corps de rubans, dont la diversité des couleurs répond à la diversité des passions. On met enfin mille a
le feu qu’avec de très grandes difficultés. Vous ne manquerez pas de répondre , qu’on prend bien garde à ces excès, et qu’on ne
i un objet si éloigné avait fait sur David une si vive impression. Il répond qu’il ne faut pas avoir tant d’égard à l’éloignem
b. C. 31. v. 1., de ne jeter jamais un regard sur aucune Fille. Mais, répondrez -vous, il faut donc dire adieu à la joie, et au pl
hrist n’a trouvé que des amertumes, des peines et des douleurs. Mais, répondrez -vous, toujours vivre sans plaisir, ce n’est pas v
rsonne de sa gravité passait le temps à un tel divertissement. Il lui répondit , que son arc ne pouvait être toujours bandé, sans
me de les excommunier, s’ils persévéraient dans cet exercice. Vous me répondrez sans doute que vous êtes présentement convaincus
21 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  AVERTISSEMENT. DU LIBRAIRE. » pp. -
ortoit le titre de Lettres sur les Spectacles. Mais nous avons à leur répondre que notre Auteur, par égard pour le titre primiti
Amiens, le 30 Mai 1772. Une indisposition, Monsieur, m’a empêché de répondre plutôt à la Lettre que vous m’avez fait l’honneur
22 (1694) Lettre d’un théologien « Lettre d'un théologien » pp. 1-62
ces deux difficultés, voulant bien m’exposer en votre faveur à ne pas répondre à la haute idée que vous avez conçue de mon peu d
es ce que l’on doit croire des jeux et des divertissements ; et il se répond lui-même que quand ils sont modérés, non seulemen
par une objection qu’il se fait à lui-même, et vous verrez comme il y répond . L’objection est forte et délicate, et contient p
ndre, et de ne vous rien dérober de leur beauté. « Le divertissement, répond cet excellent Docteur« Quod sicus dictum est, etc
jusqu’ici ce sont les propres paroles de saint Thomas : peut-on mieux répondre qu’il le fait à cette grande Objection ? Et ne vo
nstances que l’on y doit apporter ». C’est sur ce principe que devons répondre aux autorités des Pères de l’Eglise, puisque, sel
outume, appliquant à tous les Pères la réponse qu’il donne à un seul, répond de cette manière à S. Chrysostome. Cette bouche d
nt a Deo, etc. »liber De spectaculis, chapitre 10. Et ce grand homme répond  : « qu’il est vrai que toutes choses ont été inst
e la moindre chose qui ait l’apparence du mal. » Mais Albert le Grand répond à tous ces Passages que les danses, etc., « qui,
ements aux Comédiens, ce qu’ils confirment par plusieurs Conciles. Je réponds à cela qu’il est constant que ces Rituels et les
édie paraissent peu propres et devraient ce semble, être défendus. Je réponds à cela avec les propres paroles de saint Thomas«
trahir la vérité, et sans croire blesser ma conscience, je puis vous répondre pour mettre la vôtre dans un plein repos. Tant qu
sprit de la rendre plus courte : mais souffrez, Monsieur, que je vous réponde avec un AncienPline lib. 5. épître., que ce n’est
paraissent peu propres et devraient être défendus. Tout ce qu’on peut répondre à cela, c’est que, dans un temps si saint, aussi
23 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques « [Traité] » pp. 3-62
s Poètes, alléguant de leurs vers, et entre autres d’un Comiquew : je réponds , que cette permission de les savoir, n’infère pas
 ; que ces choses se représentent, pour en détourner la jeunesse : Je réponds avec tous les anciens, dont je produirai les témo
e sauver sa vie, s’offrant moyen de ce faire en se déguisant. Je leur réponds  ; qu’ils doivent savoir, que vraiment tous moyens
n pas contre ceux, qui ne le font que deux ou trois fois l’année : Je réponds  ; Qu’entre les Commandements de Dieu, les uns son
Que si on dit, que les Chrétiens en peuvent user à une autre fin ; je réponds , qu’on s’en peut bien proposer une autre, mais el
ce à la jeunesse, lui faire acquérir dextérité, et assurance, etc. Je réponds  ; puisque les habitudes sont toujours semblables
doit-on jamais rien reprocher à aucun, qu’en lui donnant le moyen d’y répondre , et de s’en défendre en jugement. Au reste, quand
Scenici, nisi in rebus Divinis ? Aug. de civi. Lib. 6 ca. 6 cq  ; Je réponds , que cette distinction n’est aussi recevable, que
’il y a de mauvais ; réformer les abus, non pas rejeter la chose ; Je réponds , qu’après avoir montré, que ni l’auteur, ni la ma
s, ne les pouvant du tout bannir. Mais j’entends que déjà quelqu’un a répondu en gros, à tous ces témoignages, pris des Païens 
t interrogé, pourquoi il était entré au corps d’une personne fidèle ; répondit , qu’il avait justement fait, l’ayant trouvée sur
; enquis, dis-je, s’il devait être admis à la communion de l’Eglise ; répond  : « Qu’il n’est pas convenable, ni à la majesté D
, qui par un effort forcené tâchent d ’assaillir les cieux. » eu Item répondant à ceux qui criaient qu ’on les voulait empêcher d
rime, ce sont les exécrables ornements dont on recouvre le sujet pour répondre au goût du public. ak. [NDE] en outre. al. [N
24 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82
présentée avec une requête au lieutenant criminel qui ne leur a voulu répondre . Au moyen de quoi, ils se sont retirés au lieuten
Au moyen de quoi, ils se sont retirés au lieutenant civil, qui leur a répondu leur requête. Et pour ce que, par lesdites lettre
les maîtres entrepreneurs qui prétendent avoir obtenu son aval, pour répondre de leur mensonge. by. [NDE] Ryant a dit que si
nsonge en lisant la requête présentée au Prévôt à laquelle celui-ci a répondu en la contresignant. Voisin transcrit « De Mesmes
ndre que J.-J. de Mesmes, en tant que lieutenant civil au Châtelet, a répondu à la requête des maîtres entrepreneurs et authent
25 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
partisans du théâtre, pourquoi le Pape les souffre-t-il à Rome ? Nous répondrons que si les théâtres sont tolérés à Rome ils n’en
ous dit-on encore, pourquoi y voit-on tant de bonnes personnes ? Nous répondrons que ce n’est point d’après ces exemples, mais d’a
ux spectacles pour trouver compagnie, ou pour la musique. Mais que répondre à une personne qui vous dit : Je vais au spectacl
ége* ! Tout y est sacrifié au jeu des passions. Il ne sert de rien de répondre qu’on n’est occupé que des spectacles sans songer
nt tous les jours qu’ils ne sentent point ce danger. (Nous venons d’y répondre .) Poussez-les un peu plus avant, ils vous en diro
d ayant reproché à Racine d’avoir travaillé en ce sens ; celui-ci lui répondit . « Eh ! monsieur, sans cela qu’auraient dit les p
, dont nous avons parlé plus haut, renonça à travailler au théâtre et répondit , par une lettre imprimée, à ceux qui l’accusaient
écrire pour apprendre de lui ce qui en était. Monseigneur de La Motte répondit au roi « qu’à la vérité il aimait les pauvres, ma
26 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
pu leur servir de maître dans tous les genres. Leurs progrès ont bien répondu à votre zèle, et à votre habileté ; aujourd’hui q
us vous adressez pour que je fixe, dites-vous, votre opinion. Je dois répondre de mon mieux à votre confiance. D’abord, je m’éto
Olive, à qui elle prend le menton, à qui elle promet de l’argent s’il répond à ses feux. Les deux françois, à la faveur de leu
part, à son valet : laisse là tes raisonnemens saugrenus , le valet répond  : sot cornu vous-même  ; et en montrant la petit
econnoître ce vaurien dit qu’il l’a vu quelque part, à quoi le forçat répond  : j’y vais quelquefois  ; il ne s’agit dans cet
ivrer des obstacles que leur oppose certain personnage, et l’un d’eux répond de sang froid : la riviere coule pour tout le mon
savez, Monsieur, sur quoi roule le sujet de toutes ces pièces, le jeu répond au sujet ; la volupté, pour mieux séduire, met se
t-être, se jette parmi cent prostituées, les attaque de conversation, répond à leurs apostrophes, leur donne le bras, les prom
27 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « A MADAME LA MARQUISE DE B… » pp. 302-316
re que vous m’avez fait la grâce de m’écrire, je n’ai autre chose à y répondre que ce que je pris la liberté de vous dire à Sain
de ta Voix Pour tourner tous mes Vœux du côté des François : Mais me répondras -tu qu’on permette à ma Veine D’étaler en public l
ur lui faire un sort aussi beau que le sien Prête lui ton secours, et réponds -lui du mien. Comme j’ai de Racine assuré la Mémoi
28 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE IV. Détail des péchés qu'on commet en allant aux Spectacles. Réponse à ceux qui demandent s'il y a péché mortel, et si tous ceux qui y vont, sont également coupables. » pp. 76-81
avec confiance sur le bord du précipice, il y tombera. D. Que doit-on répondre à ceux qui disent qu'ils y vont sans aucune mauva
u'il y a d'honnête, et de conforme aux bonnes mœurs ? R. Il faut leur répondre qu'il n'est pas possible de séparer dans les spec
29 (1768) Instructions sur les principales vérités de la religion « CHAPITRE LII. De la Comédie et des Spectacles ? » pp. 142-146
es, ni vous passer de ces sortes de divertissements. S. Augustin vous répondra que bien d’autres, plus distingués et meilleurs q
d’un Chrétien, est un raisonnement insensé, qui ne mérite pas qu’on y réponde  : « Ne respondeas stulto, dit le Sage, juxta stul
30 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « [Lettre] » pp. 4-32
Molière par une confession générale. Si cela est, je n’ai rien à vous répondre , sinon qu’il est encore plus criminel. Mais enfin
ance. Je n’en dirai pas davantage sur ce sujet, croyant y avoir assez répondu quand j’ai fait voir que Le Festin de Pierre avai
vices du libertin, mais je ne crois pas avoir beaucoup de choses à y répondre , quand j’aurai dit, après le plus grand monarque
 deux et deux sont quatre et quatre et quatre sont huit », et je leur répondrai que leur esprit est aussi fort que ce raisonnemen
31 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
é davantage en affectant moins de le montrer. Je ne me propose pas de répondre précisément à votre Lettre, mais de m’entretenir
e à ceux qui en sont l’objet. On ne craindrait point de s’avilir en y répondant  ; on ne songerait qu’à s’éclairer avec une candeu
on peut faire contre vos paradoxes, vous prévenez ces objections en y répondant par des paradoxes nouveaux. Il me semble voir en
urs les plus fameux combien ils font de conversions par an ; ils vous répondront qu’on en fait une ou deux par siècle, encore faut
dangereux. Permettez-moi de vous faire une question avant que de vous répondre . Voudriez-vous bannir l’amour de la société ? Ce
t que la morale est bientôt oubliée. Je prendrai, Monsieur, pour vous répondre , l’exemple même que vous apportez de la Tragédie
ccueil, et donne par là beaucoup d’avantage au Misanthrope. Il devait répondre au contraire, que ce qu’Alceste avait pris pour u
atitude et de la dureté de ses anciens amis ; « Et les femmes ? » lui répond le valet, qui ne veut que faire rire le parterre 
n’osant vous la faire, et à laquelle vous avez indirectement tâché de répondre . Les Spectacles, selon vous, sont nécessaires dan
sardé la proposition qui vous alarme. Cela supposé, il serait aisé de répondre en deux mots à vos autres objections. Je n’ai poi
t pour l’adapter au contexte d’énonciation, le propos du vieil Horace répondant à Curiace : « Faites votre devoir, et laissez fai
32 (1765) De l’éducation civile « De l’éducation civile » pp. 76-113
t devenu meilleur en les lisant ? Nous avons triomphé de la barbarie, répondront -ils ; nous avons adouci les mœurs publiques. C’es
giques François, quittez pour un moment le cothurne, & daignez me répondre  : Ne vous vantez-vous pas d’être les Précepteurs
enir en rentrant dans le sein de leurs familles ? Tragiques François, répondez enfin ; ou, si vous vous obstinez à garder un sil
rler des matieres de sa profession : Les choses que je pourrois dire, répondit -il, seroient aujourd’hui hors de saison ; & c
oient dit nos petits Maîtres ? Mais que dirent nos Neveux, eût pu lui répondre le Docteur, si jamais ils reviennent au bon sens 
33 (1783) La vraie philosophie « La vraie philosophie » pp. 229-251
& que le Chef de l’Eglise la tolere à Rome. A cette objection, je réponds qu’il y avoit à Rome des spectacles avant que la
des vivans. N’ont-ils donc ni femmes, ni enfans, ni amis, ni pauvres, répondit un barbare, à qui l’on vantoit les jeux publics d
un ouvrage digne de la plume la plus éloquente. Un Ecrivain pour lui répondre a rempli plusieurs Mercures de l’éloge, des grace
persuadé les coureurs de spectacles ? le croit-il lui-même ? Scarron répond pour lui, oh, non ! Quelle idée peut-on se forme
mp; prit la liberté de lui en demander la raison ; je vous avoue (lui répondit cette excellente Princesse) que quelque gaie que
oix des remords à laquelle on n’impose point silence, ou je croyois y répondre par de mauvaises autorités qu’elle me donnoit pou
34 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien second. De la vanité des Bals & Comedies en general tiré des Sermons du R. Pere Claude la Colombiere de la Compagnie de Jesus. » pp. 17-25
p; nous avons encore les eloquentes Apologies, qu’ils publioient pour répondre à ces glorieuses accusations. En verité avons-nou
lle part ni les bals, ni les comedies, ni les mascarades, l’Ecriture ( répond ce grand Saint) a plus dit en se taisant, que si
mis au monde que pour les danner ? Je sai bien ce que vous avez à me répondre , pour colorer un si étrange dereglement. Qui pens
35 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IX. Du Dialogue. » pp. 320-335
e de voir un Acteur attendre pendant long-tems que son tour vienne de répondre , ou discourir avec gravité & sans prendre hal
eur, vint avec son épouse consulter l’Oracle de Delphes. L’Oracle lui répondit , que le prémier qu’il rencontrerait en sortant du
C’est bien galant au moins ce que vous me dites là, je voudrais vous répondre sur le même ton ; mais, par malheur, je ne fais p
36 (1664) Traité contre les danses et les comédies « INSTRUCTION, et avis charitable sur le sujet des Danses. » pp. 177-198
que visibles, montrent qu’il y a quelque chose dans l’intérieur, qui répond au dérèglement extérieur : ceux qui font état de
mmes d’enfer, Math. 5 et demandant un peu de soulagement, il lui fut répondu qu’il avait vécu dans les délices pendant sa vie,
e regarder les autres danser ? S. Jean Chrysostome ci-dessus allégué répond , qu’encore qu’en ces spectacles on ne soit ému à
37 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168
55. Et Couvretout pour montrer combien il profite sous un tel Maître, répond à Bellami qui voudrait tirer de lui un mensonge :
e à Belmour :P. 19. « Seriez-vous content d’aller au Ciel ? » Belmour répond  : « Hom ! non pas tout à l’heure, en ma conscienc
orthodoxe ? »  Diable et orthodoxe joints ensemble font un effet qui répond assez au caractère de l’Auteur : car rien n’a plu
est pas épuisé, Cynthie, Personne de haut parage devient pensive ; et répond à la question qu’on lui fait sur sa rêverie. P. 1
ge ne causeraient-ils pas dans Israël, si la grandeur de leur stature répondait à celle de leur malice ? Des hommes faibles et im
uel est enfin le fondement de cette audace démesuré ? Le Saint-Esprit répondra mieux que nous sur cela : Eccles. 8.11.« Parce qu
es injustes, les avares mourussent fort jeunes. »Ibid. Périplectimene répond à Pleuside d’un air sévère : « C’est une grande i
ère la perte de Capanée coupable de mille blasphèmes ; et l’événement répond à son attente.P. 92. D’une autre part ; comme Amp
lui recommande d’être brave, mais d’avoir aussi de la religion ; Ajax répond orgueilleusement qu’il n’appartient qu’aux âmes l
38 (1675) Entretien sur les tragédies de ce temps pp. 1-152
hoses, ce n’est pas la coutume qu’on doit suivre, mais la raison ; et répondre comme vous faites, c’est de même que si un Généra
mée qui combattrait maintenant sans prendre son temps et ses mesures, répondait à ceux qui voudraient l’instruire par l’exemple d
ar l’exemple des Anciens Grecs et Romains ; c’est, dis-je, comme s’il répondait , que les Anciens avaient d’autres coutumes que no
TE. Vous m’obligez de recourir, malgré moi, à la religion, pour vous répondre  ; néanmoins pour ne vous pas faire croire que je
avantage, et tout le monde a droit de se plaindre, quand un Auteur ne répond pas à ce qu’on s’était promis de son travail. Vou
eut éviter l’entretien de Clytemnestrec. TIMANTE. Il faut donc vous répondre autrement. Un galant, tel qu’Euripide représente
u tout d’amour ? CLEARQUE. Je n’en sais rien, et je ne voudrais pas répondre que l’Iphigénie n’eût été ennuyeuse, sans le rôle
ce me semble, le caractère de son Iphigénie ; ne lui auriez-vous pas répondu que cela aurait été contre la coutume ; ne lui au
Comédiens les femmes sont celles qui déclament le mieux. Les Savants répondront que la Tragédie étant la représentation d’une act
39 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381
iles Comédiens la promptitude avec laquelle leurs mains sont prêtes à répondre aux sentimens dont ils sont affectés, & la ma
r sur le Théâtre parloit & faisoit les gestes, il seroit forcé de répondre que le partage du geste & de la voix entre de
ien rapportant la même chose se sert de cette expression υπαδειν, qui répond à celle-ci ad manum cantari : le Danseur imitant
cause de leurs chaussures qu’ils traînoient comme des entraves. Solon répond gravement, Ce qui attristoit & faisoit pitié,
e ses Chœurs, & qu’on parle d’apporter une lyre, Aristophane fait répondre satyriquement, qu’on n’a pas besoin d’une lyre, &
pourquoi Cicéron a mis per hosce dies, & non pas per hos dies, il répond qu’il est plus aisé d’en sentir la raison que de
amp; la même quantité, entendez-vous les mêmes sons ? L’interlocuteur répond non, sans doute, j’entens un son très-différent.
40 (1640) Lettre apologétique pp. 2-42
plut me commander de faire quelque chose en faveur de la Comédie, et répondre au libelle du Père Augustin, ce que j’ai fait ave
s considérons l’histoire Romaine, nous trouverons que les Oracles, ne répondaient autrement qu’en vers. PolycarpeDisciple des Apôt
res Orphelins, si quelqu’un me dit que c’est pour une bonne œuvre, je réponds que le prétexte n’efface pas le vice s’il y en am
et de mauvaise édification qui fait que l’on condamne la Comédie, je réponds que c’est être ignorant Logicien, en ce que l’une
de laquelle l’Eglise se sert pour appeler le pécheur à repentance, je réponds qu’il y a différence, entre corriger le vice des
41 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « L. H. Dancourt, Arlequin de Berlin, à Mr. J. J. Rousseau, citoyen de Genève. » pp. 1-12
l’un ou de l’autre soit le fruit d’une discussion bien réfléchie. Je réponds à votre ouvrage, beaucoup plus pour vous porter à
contre les Comédiens. Entrons en matière, et trouvez bon que je vous réponde  ; parlez Monsieur, je vous écoute. « Je n’aime p
i quelque Barbare à qui l’on ferait la description de nos spectacles, répondait  : « les Français n’ont-ils donc ni femmes ni enfa
42 (1695) Preface [Judith, tragedie] pp. -
digne de l’approbation qu’il a eue, si je voulais la justifier. Je ne répondrai point aux objections qu’on m’a faites par un juge
iné ce qui précède, et ce qui suit les endroits qu’on a condamnés. Je répondrai encore moins à la critique qui est fondée sur le
43 (1675) Lettre CII « Lettre CII. Sur une critique de son écrit contre la Comédie » pp. 317-322
avec raison pourquoi je ne les faisais pas plutôt, et je n’ai rien à répondre , sinon que ces écrits n’ayant jamais été faits po
ide défense concernant les fautes d’impression, Nicole refuse donc de répondre aux remarques que sa correspondante aurait faites
44 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I. Des Parfums. » pp. 7-32
Bernoulli n’avoit jamais pensé, qu’il y a sept saveurs primitives qui répondent aux sept tons de la Musique, sur lesquelles il a
sique, sur lesquelles il a formé sa gamme & son clavier ; l’acide répond à l’ut, le fade au re, le doux au mi, l’amer au f
au sol, l’austère au la, le piquant au si. La combinaison des saveurs répond à celles des sons, & forme aussi des tierces,
ferme selon qu’on lève ou qu’on baisse les touches du clavecin qui y répondent à la place des vents que donnent les soufflets de
alogie ; il a composé l’échelle ou la gamme odorante, l’odeur de rose répond à l’ut, le jasmin au mi, la tubereuse au sol, &am
cord forme une harmonie délicieuse. Au lieu de phiole à chaque touche répond une cassolette qui exhale ou retient son parfum à
45 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31
athieu, fit la liste des principaux Critiques de Voltaire : ce qui ne répond à rien & ne signifie rien. Zoïlus genuit Mæv
fontaines autem genuit Freron, Freron autem genuit Clement. Voltaire répondit à Clément & à Voisenon : voici sa réponse en
Clément Marot, il auroit eu de mes nouvelles. Il n’a point en effet répondu à sept à huit Lettres du sieur Clément, & il
t à huit Lettres du sieur Clément, & il seroit bien difficile d’y répondre rien de satisfaisant. Pour Marot, il n’est pas su
fait courir une brochute contre un Spectacle si déplacé, le Collége y répondit sur le ton du Théatre de la Foire, avec les sarca
r un joueur de marionnettes qui montre au peuple Polichinelle. On n’y répondit rien : une pareille défense est la meilleure répo
46 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
m’emparer à mon tour du Tribunal, interroger le Public, et le laisser répondre avec toute la naïveté qui lui est propre. Public 
e laisser répondre avec toute la naïveté qui lui est propre. Public : répondez -moi ; qu’est-ce que M. Jourdaincn ? « C’est un so
e crois vous devoir dire avec franchise ce que je pense, autrement je répondrais mal, sans doute, à l’honneur que vous me faites d
justifier la Pièce à vos yeux ? Rassurez-vous donc Monsieur, je vous réponds qu’aucun Faussaire ne s’y prendra jamais aussi ma
j’ai attaqués, et si vous vous imaginez que j’ai évité prudemment d’y répondre , désabusez-vous : ils m’ont paru tous également f
ourquoi il ne s’appelait pas plutôt Boivin. Et vous, Monseigneur, lui répondit Boileau, pourquoi ne vous appelez-vous pas plutôt
47 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IX. Défauts que les Etrangers ont coutume de reprocher à notre Tragédie. » pp. 231-259
Dissimulato in vano Soffre, di febre assalto. Voici ce que lui répond M. Maffei. Il est vrai que ce Vers rendu ainsi da
ques Piéces Italiennes : mais les Italiens sont toujours prêts à nous répondre , que nous n’entendons pas les finesses de leur La
ans la Préface de sa Traduction du premier Livre de l’Iliade) je puis répondre que nos Vers ont toutes ces graces dans la bouche
eur Mere, & qu’un des deux l’appelle une ame cruelle, l’autre lui répond , Plaignons-nous sans blasphême : Il faut plu
tesse, après la mort de son Amant, & de montrer du courage ; elle répond que l’Amour ne prend point de loix   De ces cru
48 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V. Le but des auteurs et des acteurs dramatiques est d’exciter toutes les passions, de rendre aimables et de faire aimer les plus criminelles. » pp. 51-75
es fréquentent : N’ont-ils donc ni femmes, ni enfants, ni amis, comme répondit un barbare, à qui l’on vantait les jeux publics d
âtre, le crime est toujours puni et la vertu toujours récompensée. Je réponds que, quand cela serait, la plupart des actions tr
n du poète, ne font pas une grande impression sur les spectateurs. Je réponds encore que ces punitions et ces récompenses s’opè
d rien de pareil dans le cours naturel des choses humaines. Enfin, je réponds en niant le fait. Il n’est ni ne peut être généra
ants reproches, et, quand ce père irrité lui donne sa malédiction, de répondre d’un air goguenard qu’il n’a que faire de ses don
49 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — PREMIERE PARTIE. Quelle est l’essence de la Comédie. » pp. 11-33
’on me fait une grande objection : écoutons, & nous tâcherons d’y répondre . En excluant, me dit-on, de la Comédie le ridicul
canal du plaisir d’utiles vérités dans l’ame du Spectateur. Avant de répondre à cette objection, il est à propos que je m’expli
is que fera la Comédie, si on la travaille d’après mes principes ; je réponds qu’elle tiendra dans l’esprit des gens raisonnabl
50 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXX. Profanation du dimanche : étrange explication du précepte de la sanctification des fêtes. » pp. 109-116
t tellement en ignorer la constitution et les coutumes, qu’on ne doit répondre que par le mépris à de si pitoyables conséquences
’abandonner à l’inutilité et au plaisir. Après cela, je ne daignerais répondre à la vaine excuse qu’on fournit à la comédie dans
51 (1807) Préface pour une édition des deux lettres à l'auteur des Imaginaires « [Chapitre 2] » pp. 78-82
moindre pensée. Je savais que le Port-Royal n’avait pas accoutumé de répondre à tout le monde. Ils se vantaient assez souvent d
es personnes ont voulu égaler ses Lettres aux Provinciales ». Il leur répond modestement, à la vérité ; mais on trouve qu’il y
52 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE II. Anecdotes de Théatre.  » pp. 41-71
de chambre. On va la saisir dans son lit, interrogée sur ce vol, elle répond , je ne suis plus chez vous depuis quelques jours,
e répond, je ne suis plus chez vous depuis quelques jours, je ne puis répondre de ce qui s’y passe ; il y a apparence que MM. de
plus naturalisé avec la scéne, chacun félicite le nouveau marié, qui répond à son compliment sur le ton de gravité que compor
versel, & menaça de le déferer aux mercuriales ; je le veux bien, répondit -il, Mais à condition que je déférerai à mon tour
population & contre les Moines. M. de Languet Archevêque de Sens, répondant en qualité de Directeur à M. Marivaux, lors de sa
e, il demanda à sa mere ce qu’elle en pensoit : elle est à merveille, répondit cette mere, elle joue avec beaucoup de vérité, un
leurs talens supérieurs, le goût & l’équité de cette Princesse en répondent . Ils en seroient jaloux.
53 (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132
ps, il paraît au contraire qu’il en ait voulu blâmer l’usage : car en répondant à l’objection qu’il se fait, que la curiosité n’e
s’en servir tant pour condamner les Comédies d’aujourd’hui, que pour répondre aux raisons de ceux qui en entreprendraient la dé
arlé dans la Vie de saint Paphnuce qui devint Saint ; Saint Thomas ne répond rien de particulier à ce fait : mais si l’on juge
ls font en y assistant, ne les exempte point de péché devant Dieu. On répond donc premièrement, que la distinction que l’on fa
e qu’avec une subtilité pareille, ceux qu’ils condamnaient, pouvaient répondre qu’ils ne prenaient de plaisir que par rapport à
e peut produire, d’avec celui de la représentation, une personne peut répondre que ce dernier la touche et non pas le premier.
e son Introduction à la vie dévote, semble favoriser la Comédie. L’on répond que saint François de Sales considère la Comédie
rysostome dans son Homélie 38 sur le 11e Chapitre de Saint Matthieu a répondu à la première Partie de cette objection101 : « Lo
Auteur. Quant à l’exemple que donnent ceux qui vont à la Comédie ; on répond qu’il ne peut rendre légitime ce que l’Eglise a t
ie, c’est par prudence et pour éviter un plus grand mal. C’est ce que répondit autrefois Isidore de Damiete104, quand il dit que
e soit mauvaise et qu’elle ne soit toujours défendue par l’Eglise. On répond à la seconde demande de l’exposé, que si la Coméd
manière déterminée à une chose mauvaise. A la troisième demande, on répond que l’Opéra est d’autant plus dangereux, qu’à la
ue vous fuiriez une chose très honteuse ». A la quatrième demande, on répond que si la Comédie est mauvaise dans la pratique,
54 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [K] » pp. 421-424
s traits sont justes & réguliers, leur forme est naturelle, & répond parfaitement au sujet. Les masques les plus ordin
quinze toises du Comédien qui récitair. Enfin les Masques des Anciens répondaient au reste de l’habillement des Acteurs, qu’il fala
55 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIII. L’Opéra est le plus dangereux de tous les spectacles. » pp. 111-117
on cœur excités, Sentira-t-elle alors tous ses sens agités ? Je ne te réponds pas, qu’au retour moins timide, Digne écolière en
rce qu’elle prend d’abord l’oreille et le cœur. Il ne sert de rien de répondre qu’on n’est occupé que du chant et du spectacle,
56 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
onsacrer vos veilles à l’Opéra-Bouffon ? Le dessein est louable. Mais répondez . Pourquoi ne travaillez-vous pas plutôt pour le T
llent aux grandes choses ? êtes-vous né Poète, en un mot ? Daignez me répondre , & me dépeindre ce qui se passe dans votre in
ont il n’aurait qu’une faible idée ? Les Poètes de notre Spectacle me répondront peut-être qu’ils n’ont besoin que de jetter les y
57 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatorzième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 260-274
mes. Pour les hommes, leurs continuels éloges me fatiguaient ; je n’y répondais que par quelques révérences, qui me donnaient un
ui ne m’offrît en particulier tout ce qui pouvait dépendre de lui. Je répondis que je m’en tiendrais aux bontés de Mademoiselle 
la *** ? L’avantage est tout du côté de celle que vous venez de voir, répondit il. Alors cette aimable & vertueuse épouse se
58 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « APOSTILLE » pp. 33-57
ien pour le mal. L'on est en vérité bien embarrassé lorsque l’on veut répondre à des gens qui se mêlent de parler de choses qu’i
u’ils veulent dire, on a de la peine à le deviner, et plus encore à y répondre , puisqu’on ne peut que difficilement repartir à d
e rien, n’étant pas dites dans les formes. L'on devrait, avant que de répondre à ces gens-là, leur enseigner ce que c’est que le
59 (1694) Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de Qualité, sur le sujet de la Comédie « letter » pp. 3-127
qu’ainsi rien ne devait empêcher que l’on n’en usât. Tertullien leur répond ce que je répondrai bientôt à notre Docteur, qui
devait empêcher que l’on n’en usât. Tertullien leur répond ce que je répondrai bientôt à notre Docteur, qui se sert aussi de cet
pectacles fussent interdits aux Serviteurs de Dieu. A quoi Tertullien répond deux choses : Premièrement, il demeure d’accord q
d encore ici de travers. Saint Cyprien dans son Livre des Spectacles, répond aussi bien que Tertullien à certains libertins, q
s, ce que l’on doit croire des jeux et des divertissements ; et il se répond lui-même, que quand ils sont modérés, non seuleme
pour manger et pour boire, et qu’il se leva pour jouer». Saint Thomas répond à ce passage de saint Chrysostome, qu’il doit s’e
sont donc celles dont il n’est pas permis d’user ? Et ce grand Homme répond , qu’il est vrai que toutes choses ont été institu
principe de la Comédie aussi bien que de l’homicide ? « Oui certes, répond Tertullien, et nous le connaissons nous autres Ch
des gens qui tenaient ce même langage, et voici ce que lui-même leur répond  : « Ne sait-on pas, leur dit-il, que l’on ne donn
melius fuisse nullas litteras nosse quam sic litteras legere.» Et en répondant à l’exemple de David qui a dansé devant l’Arche ;
oi donc n’étendrons-nous pas cet adoucissement aux Spectacles ? » Je réponds au Docteur que son raisonnement pèche dans la mat
ans scandale représentent des personnages dans les Comédies ? » Nous répondrons à notre Docteur : mais qu’il nous dise, s’il lui
s plus sérieuses ; et quand on pense dire son sentiment là-dessus, on répond que sans tout cela les Acteurs et les Spectateurs
r plusieurs Conciles. » Voilà l’objection ; et voici la réponse. « Je réponds à cela, dit-il, qu’il est constant que ces Rituel
s les Magistrats ne s’y opposent pas », dit le Docteur. A cela je lui répondrai ce que me dit un jour un célèbre Magistrat, qui v
les Spectacles et la Comédie, ce semble, devraient être défendus. Je réponds à cela avec les propres paroles de saint Thomas,
60 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
médie et les plus solides fondements de la Morale Chrétienne, je dois répondre à deux objections que les défenseurs de la Comédi
e. Je ne puis mieux faire voir la faiblesse de cette objection, qu’en répondant avec un savant Prélat de notre siècle « Le remède
s et passionnées qu’il dit à Emilie, et sur toutes celles qu’elle lui répond  ; que sur la clémence d’Auguste à laquelle on pen
haque siècle, qui ont condamné la Comédie et les Spectacles. L’Auteur répond aux passages de saint Thomas et de saint François
s demandant au démon comment il avait osé attaquer une Chrétienne, il répondit qu’il l’avait fait sans crainte, parce qu’il l’av
61 (1807) Préface pour une édition des deux lettres à l'auteur des Imaginaires « [EN-TETE]. PREFACE. Pour une édition des deux Lettres à, l’auteur des Imaginaires , etc. » p. 77
ux deux lettres attribuées à Barbier d’Aucour et à Goibaud-Dubois qui répondaient elles-mêmes à son attaque contre l’auteur des Hér
62 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XV. » p. 68
x s’absenter et ne point paraître. Apollon qui n’a rien à ménager, ne répondra qu’en présentant le portrait du Héros. Nous venon
63 (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32
austère et la plus jalouse de toutes les divinités. L'auteur à qui je réponds est un de ces sages réformateurs, mais comme il e
uire toutes les autres. On a beau lui dire que, puisqu’il ne doit pas répondre à la candeur publique, il devrait laisser à nos é
é d’une âme par le nombre des auteurs que sa plume aurait décriés, je réponds , de l’humeur dont je le connais, qu’on n’attendra
64 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « II. Point. » pp. 201-218
ne raconte que comme passé, et d’une manière morte et sans action. Je réponds que les choses morales ne se doivent pas ainsi co
? La loi du Prince la permettrait-elle jamais ainsi qu’elle fait ? Je réponds que saint Louis chassa les comédiens de ses Etats
n qui la fasse rougir, ni dont ses oreilles puissent être offensées ? Répondons par ordre, que veulent donc dire ces paroles de J
65 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
se Sérénissime Monseigneur le Duc de Bourbon . Santeuil sans lui rien répondre , leva les mains & les yeux au ciel, dit avec
oir toutes les langues, & ne sait pas l’Italien, est embarrassé à répondre à la Lettre italienne de l’Abbé Pezzana, & s’
ès la pensée du Poëte. Cet à-peu-près est admirable dans un si habile Répondant à l’Editeur d’Arioste ; il continue : Je n’ose v
habile Répondant à l’Editeur d’Arioste ; il continue : Je n’ose vous répondre dans votre belle langue ; pourquoi non, s’il la s
’œuvre dramatique, c’est la meilleure de vos Tragédies. Eh bien , lui répondit Voltaire, les Comédiens l’ont refusé. A ces mots
r se reconcilier avec lui, tout fut inutile. Je n’attaque personne , répondit cet illustre Vieillard, mais je suis inexorable c
êtes donc bien difficile à amuser , lui dit-elle ; est-ce pour rien répond-t -il, que je suis un grand Seigneur , ce qui n’est
66 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Avis au lecteur. » p. 
proposent, leurs effets & leurs suites : Qu’on ait la patience de répondre aux faits controuvés & aux pitoyables subtili
67 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « [EN-TETE] »
qui était une réplique aux attaques de Desmarets par Nicole. L’auteur répond ici à Racine en reprenant une bonne partie de ses
68 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129
échanceté. Si on dit que les Grecs et les Romains le permettaient, je réponds que c’était par superstition pour leurs Dieux ; m
! La loi permet de tuer un Magistrat ivre, Vespasien approuvait qu’on répondît injurieusement à un Sénateur agresseur : « Non op
tis ne comode personam nostram in hac theatro egimus ?» Parfaitement, répondirent -ils. Adieu donc, mes amis, battez des mains : « V
avait été tué. Sur les plaintes qu’on en porta à Théodoric, ce Prince répondit  : Il faut distinguer le genre d’insulte ; qu’on p
à un révérendissime Sénateur, reverendissimo Senatori ; mais qui peut répondre de ce qui se passe au théâtre ? peut-on y espérer
69 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
sque nous en sommes sur le sujet de ces lieux profanes, il est bon de répondre à une objection que font quelques-uns. Quoi, dise
nouvelles raisons, le sujet qui est en question ; ne fût-ce que pour répondre à quelques-uns, qui se prévalent de ce qu’il ne p
té inventées pour apprendre la politesse, et la science du monde ; je réponds , que nous devons mépriser cette science mondaine,
le, pour mériter d’être si rigoureusement puni. D’ailleurs peut-on me répondre , qu’on n’expose aux bêtes féroces, ou qu’on ne pu
ides. Au reste, je n’ai fait jusqu’ici tout ce détail, que comme pour répondre à des païens : car à Dieu ne plaise, qu’un chréti
ns-leur, s’il est permis aux chrétiens d’assister aux spectacles, que répondront -ils ? Infailliblement, disent-ils, cet homme est
après, pour applaudir à un bouffon : de la même bouche donc vous avez répondu amen pendant le sacrifice, vous rendez témoignage
s. Comme l’on exorcisait l’esprit immonde, et qu’on lui commandait de répondre , pourquoi il avait osé s’emparer de cette femme ?
70 (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Comédie. » pp. 765766-806
s ; il paraît au contraire qu’il en ait voulu blâmer l’usage : car en répondant à l’objection qu’il se fait, que la curiosité n’e
en servir tant pour condamner les Comédies du temps présent, que pour répondre aux raisons de ceux qui en entreprendraient la dé
onde disent de la vie Religieuse, qui n’est à leur avis qu’un jeu. Il répond S. Bernard. Epist. 87. n. 12. « Non est hic ludus
parlé dans la vie de Saint Paphnuce qui devint Saint. Saint Thomas ne répond rien de particulier à ce fait ; mais si l’on juge
ls font en y assistant, ne les exempte point de péché devant Dieu. On répond donc, 1°. Que la distinction que l’on fait de la
servant d’une subtilité pareille, ceux qu’ils condamnaient pouvaient répondre qu’ils ne prenaient de plaisir que par rapport à
e peut produire, d’avec celui de la représentation, une personne peut répondre que ce dernier la touche, et non pas le premier.
e son Introduction à la vie dévote, semble favoriser la Comédie. L’on répond que Saint François de Sales considère la Comédie
hrysostome dans son Homélie 38. sur le chap. 11. de Saint Matthieu, a répondu à la première partie de cette objection S. Chryso
uteur. » Quant à l’exemple que donnent ceux qui vont à la Comédie, on répond qu’il ne peut rendre légitime ce que l’Eglise a t
ie, c’est par prudence et pour éviter un plus grand mal. C’est ce que répondit autrefois Saint Isidore de Peluse Isidor. Pelus.
soit mauvaise, et qu’elle ne soit toujours défendue par l’Eglise. On répond à la seconde question, ou demande de l’exposé ; q
ne manière déterminée à une chose mauvaise. A la troisième demande on répond , que l’Opéra est d’autant plus dangereux, qu’à la
que vous fuiriez une chose très honteuse. » A la quatrième demande on répond , que si la Comédie est mauvaise dans la pratique,
71 (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238
tre ne l’est pas assez. Quoiqu’il en soit, d’autres imiteront, en lui répondant , l’amertume de son style, et croiront être aussi
permettent par intervalles cet oubli mutuel et passager ; s’ils vous répondent enfin qu’ils ne vivent ensemble que pour être heu
mon Gouverneur, ai-je bien du plaisir ? M. Rousseau mérite qu’on lui réponde plus sérieusement ; mais faut-il aussi nous rédui
ère l’attache ? l’a-t-il confondue avec l’effet ? M. Rousseau peut me répondre , que le public ne fait pas ces distinctions philo
ants reproches ; et quand ce père irrité lui donne sa malédiction, de répondre d’un air goguenard, qu’il n’a que faire de ses do
mande jusqu’où peuvent aller les ménagements d’un homme vrai ? Je lui réponds , exclusivement jusqu’à l’équivoque. Suivant ces p
mais il a soin de la choisir facile à détruire. Il suppose qu’on lui répond que la pudeur n’est rien, et il s’attache à prouv
tions glorieuses pour les uns, et humiliantes pour les autres : j’ose répondre que les hommes ne seront pas retenus, ne seront p
imprudemment aux caprices aveugles de l’amour ? Non, sans doute, lui répondrai -je ; mais supposons que votre fils ne soit pas na
, dans l’émotion physique des sens ? Si telle est son idée, j’ose lui répondre , qu’aucune des pièces où l’amour est peint vertue
croit toujours se fonder sur l’estime. » J’ai dit comment le théâtre répond à ces vues ; mais dans les principes de M. Rousse
ue les femmes sauvages n’ont point de pudeur, car elles vont nues, il répond que « les nôtres en ont encore moins, car elles s
montrer pour de l’argent, conviendrait à d’honnêtes femmes » ? Je ne réponds point au premier article : j’ai fait voir que dan
tateurs, que ne l’étaient Corneille et M. Rousseau lui-même ? S’il me répond qu’elle leur vend sa présence, son action, sa voi
ommes libres, et leur état n’avait rien de honteux ; M. Rousseau nous répond qu’ils représentaient les actions des héros ; que
s, tom. 17, p. 210. a. [NDE] Après D’Alembert et Dancourt, Marmontel répond en 1759 à la Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alem
arlât avec tant de hardiesse "Pourquoi ne le trouverais-je pas bon ?" répondit le Duc; "on a droit d’être hardi quand on dit la
pe : on cherchait à l’irriter contre l’Auteur de cette pièce, mais il répondit toujours: "je n’ai garde de vouloir du mal à Moli
72 (1774) L’homme du monde éclairé « L’homme du monde éclairé » pp. 150-171
da au Duc de Montausier ce qu’il pensoit de ces prologues ? Je pense, répondit -il, que votre majesté mérite tous les éloges qu’o
en présence d’une foule d’ecclésiastiques & de dames. Le C. Je réponds d’abord que les représentations théâtrales des co
une condamnation si juste & si méritée. Le Chevalier ne sut que répondre  ; mais, en homme qui ne se déconcertoit pas, il f
73 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES DISCOURS. » pp. -1
es jusqu’à nos jours. 187 LETTRE. Où l’Auteur des Discours précédents répond à quelques difficultés qu’on lui avait proposées.
74 (1675) Traité de la comédie « XIV.  » pp. 294-295
ant les belles passions. » Et l'humilité de théâtre souffre qu'elle réponde de cette sorte en un autre endroit : « Cette hau
75 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
Je viens de lire la lettre que vous avez adressée à M. Rousseau, pour répondre à celle que ce savant a publiée au sujet de l’art
e Genève ; vos ouvrages parviendront jusqu’à eux, & ils sauront y répondre , s’ils le jugent à propos. Ce qui m’intéresse plu
76 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « La tradition de l'Eglise sur la comédie et les spectacles. Les conciles » pp. 53-68
lles les obligent à se conduire vertueusement, et sans reproche, pour répondre à la sainteté de la Religion dont ils font profes
xhorte tous les Chrétiens de se conduire de telle sorte, que leur vie réponde à la dignité, et à l'honneur du nom de Jésus-Chri
77 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre VI [V]. Élizabeth d’Angleterre. » pp. 142-187
s le choix de ses maîtres, & dans la maniere de l’instruire. Elle répondit mieux que d’autres, parce qu’elle avoit de l’espr
ré l’excès de leur flatterie, les Anglois les ont laissé perdre. Elle répondit quelque mot Latin à des Ambassadeurs Polonois, qu
r, quoiqu’il ne l’eût jamais appris. L’en écorchoit quelquun pour lui répondre sur le même ton. C’étoit une conversation macaron
ot grossier à la bouche, preuve d’une éducation négligés. Madame, lui répondit -il, il est de la meme espece que le vôtre ; je pa
mander l’aumône, elle dit avec mépris : Pauper ubique jacet. Il lui répondit sur le même ton : In thalamis Regina tuis hac no
es Mémoires au public, quel ajustement lui convenoit le mieux. Je lui répondis que c’étoit la mode Italienne. Je savois que cett
ssadeur n’a pas d’instructions par écrit sur ces matieres-là. Comment répondre , sans déplaire à l’une ou à l’autre ? Acte III.
vorable qui répandez sur moi vos douces influences, &c. La Reine répondit  : Si vous m’aimez autant que vous le faites paro
r au-devant de lui . Ce Prince, sur le ton de la politesse Françoise, répondit qu’il avoit trop de soin de la santé de la Reine
78 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIV.  » p. 469
sant les belles passions. » Et l'humilité de théâtre souffre qu'elle réponde de cette sorte en un autre endroit : « Cette hau
79 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128
tir de la bouche d’un Sectateur de Spinosa. J’aurai l’avantage de lui répondre à cet égard que nos Auteurs modernes,3 guidés par
n trouver à aliéner la réputation & défigurer des faits ? Bon, me répondra un de ces idolâtres de l’imposture, êtes-vous ass
t compâtir en elles avec la modestie & les bonnes mœurs. » Je lui répondrai qu’il faut que le Public en ait,27 c’est lui qui
ouve. La Comédie est donc le refuge des infâmes, me dira-t-on ? mais, répondrai -je, les cloîtres, lieux consacrés à la piété &
hi par l’arrière-change) tenus à lui sur notre étroite amitié. Je lui répondis  : Méprise les propos dont ici l’on te berce, Et
fait appercevoir de son absence, & lui demande à quoi il rêvait, répond le plus souvent [à rien.] L’Interrogateur lui rip
e enfermé, il lui demanda ce qu’était devenu son Frère, ce Prince lui répondit froidement qu’il l’avait perdu de vue dans la pou
e premier, & qu’il n’avait sauvé sa vie que par sa mort. Non, lui répondit son Père enflammé de colère, faible excuse : il f
nécessaire à ma santé, comme tout galant Homme, j’aurai l’honneur de répondre à cette impudence (dussai-je me brouiller avec le
nt que pour troubler les Spectacles, ou pour s’y faire voir ? mais je répondrai , combien est-il de personnes qui ne vont au Servi
différence d’un Pasteur à un Comédien, direz-vous ! Je n’en vois pas, répondrai -je. Sur un Comédien vicieux, il est cent Prêtres
ule de hoquets bachiques, (qu’il travestit en tressaillement) peut-il répondre des actions des autres ? tandis qu’il était atten
, A l’épreuve à tout venant. « ensuite venaient les enfans qui leur répondaient en chantant de toute leur force. « Et nous bien
cette imposture, dictée par la noirceur, je m’arme de la mienne pour répondre à cette impudence atroce. Le mot d’Histrion est d
80 (1757) Article dixiéme. Sur les Spectacles [Dictionnaire apostolique] « Article dixiéme. Sur les Spectacles. » pp. 584-662
des choses innocentes, honnêtes & agréables, il est aisé de leur répondre avec Tertullien qui se fait la même objection, qu
ssant, de dessein prémédité, la convoitise qui en est le principe. On répond que pour prévenir le péché, le théâtre purifie l’
: on charge ensuite le corps de rubans dont la diversité des couleurs répond à la diversité des passions ; on met enfin mille
us bien dire que c’est par l’amour de Dieu que vous y allez ? Laissez répondre votre cœur, c’est lui que j’interroge. Aller aux
parlent aux oreilles, qui trouvent dans les cœurs une sensibilité qui répond aux mouvemens qu’ils ont taché d’y produire, jett
a Religion & aux mœurs, il semble que je pourrois me dispenser de répondre aux vains raisonnemens par lesquels on le justifi
ne représente que des inclinations honnêtes.Je fais bien ce que vous répondez , que pour prévenir le péché l’on ne représente qu
r dans la suite pour produire des fruits de mort. Voilà ce qu’on peut répondre à ceux qui prétendent pouvoir assister aux specta
lui siéroit pas de goûter ; si c’étoit un Pere de l’Eglise, vous lui répondriez comme les disciples de Jesus-Christ à leur Maître
mp; nous avons encore les éloquentes apologies qu’ils publioient pour répondre à ces accusations glorieuses : Quelle différence
pectacles. Ils sont persuadés que vous y avez renoncé, & ils nous répondront en nous citant les premiers écrits de nos Docteur
lien, que les spectacles ne sont point défendus dans l’Ecriture. Non, répond le saint Docteur, ils n’y sont pas expressément n
toujours grand soin de nous le dire : mais depuis qu’on le dit, on a répondu , & je le réponds encore, que si le théâtre pu
de nous le dire : mais depuis qu’on le dit, on a répondu, & je le réponds encore, que si le théâtre purge les passions, for
ner, le monde ne se rend gueres à de pareils raisonnemens : sans rien répondre , il se retranche sur son expérience ; j’y consens
81 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
e plaindre, s’il le faisait. Ils ont souffert avec patience qu’on ait répondu à M. Desmarets, et je ne m’en étonne pas : un Pro
e revancher ; mais il faut qu’ils prennent quelque autre voie. Car de répondre comme un écho qui répète les mots qu’on lui dit,
oint quelque réception extraordinaire à cause de M. de Bagnols ; elle répondit qu’on ne devait rien ajouter pour cela à la maniè
e procès au premier qui se présente, on le fait à tous. Voudriez-vous répondre comme cela pour tous vos confrères, et n’auriez-v
82 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — Avis de l’Éditeur, Sur les Notes suivantes. »
ttre d’essenciel, qu’elle y joint des Notes, dont l’objet sera, I. De répondre aux Misomimes ; de prévenir les Objections ; de d
83 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XII. Du Dimanche et des jours des Fêtes. » pp. 54-66
émoire des Martyrs ; car ils n’ont pas besoin de nos louanges, qui ne répondent jamais à leur mérite ; et ils ont une entière fél
est si important dans la Religion Chrétienne. Le Pape Nicolas premier répondant aux Bulgares, marque distinctement les exercices,
84 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
our l’instruction des Spectateurs et pour la correction des mœurs. On répondra , peut-être, que l’amour dans les Tragédies, qui e
, et qu’ainsi il n’y aura que l’amour de la Comédie à réformer. Je ne répondrai pas à cette objection pour le présent ; parce que
85 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189
DE GENÈVE. Faut-il avoir autant d’esprit que vous, Monsieur, pour répondre à l’Ouvrage que vous venez de donner au Public av
s qualités absolues. » Pourquoi, Monsieur, trouvez-vous qu’on ne peut répondre si les Spectacles sont bons ou mauvais en eux-mêm
Cette barbare fille entendant sa mere demander la vie à son fils, lui répond  : Mais auriez-vous donc eu pitié de lui, et; eûte
bon esprit de rire du ridicule qu’on donne à la simple vertu. Je vous réponds d’abord que c’est pointiller sur le Spectacle ave
et; transporte ; ô vous zelé défenseur des droits de la simple vertu, répondez  : Est-ce de bonne foi et; en suivant les lumieres
Et quoi qu’amis enfin, je suis tout des premiers. Le Misantrope lui répond durement : Moi votre ami ! Rayez cela de vos pa
pour quelqu’un, qu’est-ce autre chose que se mettre à sa place ? Que répondre à cela ? Lecteur, j’en ris. Vous convenez, Monsie
les Comédiens et; les femmes, je ne me donnerois pas la peine de vous répondre . Ces sortes d’ouvrages ne sont point dangereux, p
n puissante ; mais s’il est facile de le prévenir, qu’aurez-vous à me répondre  ? Vous regardez comme une chose impossible d’avoi
t d’amour pour le libertinage, ne désirent pas en sortir ? Qui vous a répondu qu’ils n’en donneroient pas les preuves les moins
é de donner matiere à la solidité de mes observations. On pourroit me répondre à l’objection que je fais sur cette conduite, que
changer d’une main à l’autre. Voilà l’effet du Commerce. S’il falloit répondre à toutes les infamies que vous vomissez contre le
ns les autres villes du Royaume, m’y autoriseroient. Qu’auriez-vous à répondre  ? La remarque que vous faites sur cette fameuse A
minie et; aux affronts qu’on achette le droit de lui faire. » Je vous répondrai moi que le métier du Comédien est l’art de faire
l faire augmente avec la facilité. » Il est trop au dessous de moi de répondre à des grossiéretés de cette nature. Tous ceux qui
ns y meurent de faim, ou que les habitans se ruinent. Je vous ai déja répondu à cette objection en vous faisant voir qu’un État
obligé ; et; que tout au plus on apperçoit le germe du vice, je vous répondrai moi : Principiis obsta, serò medicina paratur
re salaire de vos talens que celui de vous faire haïr ? La vérité, me répondrez -vous, fait des ennemis. Cette maxime auroit besoi
86 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
ter aux spectacles ; ils sont persuadés que vous y avez renoncé ; ils répondront en nous citant les premiers écrits de nos Docteur
lien, que les spectacles ne sont point défendus dans l’Ecriture. Non, répond ce Docteur, ils n’y sont pas expressément nommés 
toujours grand soin de nous le dire ; & depuis qu’on le dit, on a répondu , je le réponds encore, que si le théâtre purge le
soin de nous le dire ; & depuis qu’on le dit, on a répondu, je le réponds encore, que si le théâtre purge les passions, for
er ; le monde ne se rend guere à de pareils raisonnements ; sans rien répondre , il se retranche sur son expérience. J’y consens,
87 (1700) IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, etc. [Sermons sur tous les sujets de la morale chrétienne. Cinquiéme partie] « IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, &c. » pp. 95-126
gerer le desordre qui s’y trouve, je n’en apporteray pas moins à vous répondre sur ce chapitre ; car je dis qu’il n’en est pas d
ns. Je pretends donc satisfaire suffisamment à vôtre demande, en vous répondant que c’est peché, & même peché mortel à l’égar
oiblesse des premiers, ni l’obligation des seconds, & qui n’ont à répondre que d’eux-mêmes ? Je dis, Messieurs, que parmy ce
des disgraces d’un Amant maltraité d’une personne fiere, qui n’a pas répondu aux vœux ni aux soins de celuy qui luy a marqué u
trouva pris & arrêté, lorsqu’il s’y attendoit le moins. Qui vous répondra que le poison que vous avez pris sans y penser, n
88 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Autres Anecdotes du Théatre. » pp. 43-70
salue, quelqu’un lui demanda s’il connoissoit cette jolie actrice, il répondit des obcénités sur le commerce qu’il disoit avoir
-tems ; l’Arioste l’écoutoit avec la plus grande attention, sans rien répondre pour se justifier : son frere lui demanda, quand
lui demanda, quand son pere se fut éloigné, pourquoi il n’avoit rien répondu pour sa défense ; c’est , lui dit-il, que je tra
harmes, & la route qu’il faut tenir pour y parvenir. L’oracle lui répondit  : Apprens à mèsurer tes pas en cadence, à monter
lui ressembloit extrêmement : votre mere est-elle venue à Rome ? Non, répondit -il, mais mon pere y est venu souvent. Ce plagiat
89 (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30
été le germe de la scélératesse, ou en affermir la résolution. Qui me répondra que les grands coupables, dont nos lois ont fait
dans une querelle d’enfants pour de pures vétilles, le plus jeune me répondit avec la gravité du Cid : on ne transige point ave
ore la légende : Sicut infantes audinos. k — « D’où venez-vous ? » me répondit -il. « Cette légende modeste convenait autrefois ;
. Je demandai pourquoi tant de monde ? — « Ça vous étonne, papa », me répond un jeune homme, porteur d’une médaille, que j’ai
chez tous les marchands de nouveautés », il a écrit son opuscule pour répondre à un concours de l'Académie de Lyon : De l'Influe
90 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VIII. Comédie du Tartuffe. » pp. 161-179
lent d’un feu discret. Ce soin que nous prenons de notre renommée Répond de toute chose à la personne aimée. De l’amour
ont qu’un épouventail, dit Elmire, la prétendue honête femme). On lui répond  : Je puis vous dissiper ces craintes ridicules
ur la religion & les mœurs ! Je prends le mal sur moi, je vous réponds de tout. N’y a-t-il que les dévots qui tiennen
a raison de représenter qu’elle devroit être plus modeste, & qui répond avec une impudence cynique (théatrale) : Vous
91 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VII. De la Dévotion des Comédiens. » pp. 160-179
e piece sainte (le Martyre de Sainte Cécile), jouée devant le Roi. Je répondis que la Cour & la comédie étoient deux théatre
e toute sorte d’Ecclésiastiques & de Religieux s’y trouvoient. Je répondis que les Ecclésiastiques & les Religieux n’avo
tissage : il commence par être duppe, il finita par être fripon. Elle répond  : J’ai employé toutes les ressources, j’ai rallum
li tout en colère, c’est vous qui l’avez enivré le dernier. Tais-toi, répond Lulli, si j’en réchappe, ce sera lui qui m’enivre
92 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VIII. Sentiment de S. Thomas. » pp. 178-198
e de tous les biens, & en particulier des choses mal acquises. Il répond que les choses dont l’acquisition est un crime, c
nt à voir peindre & représenter, comme le dit Aristote. A quoi il répond que sans doute en général, regarder la représenta
prévenir le mal que ces écrits pourroient faire, le Pape chargea d’y répondre le P. Concina, qu’il honoroit de sa confiance. Ce
des Casuistes, qui n’y trouvent qu’un péché véniel dans plusieurs. Il répond ensuite aux objections, aux autorités, aux prétex
93 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE II. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Grecs. » pp. 17-48
es, & qui cherchoient un azile. Quand les gens du Vaisseau eurent répondu qu’ils savoient des Vers d’Euripide, on leur perm
ulurent le faire interdire, sous prétexte qu’il étoit en démence : il répondit à cette accusation en lisant aux Juges son Oedipe
uve le fragment d’une Comédie, où la Musique toute déchirée de coups, répondant à celui qui lui demande quels ont été ses bourrea
pas, lui dit, Seigneur, ne me connoissez-vous pas ? N’es-tu pas, lui répondit froidement Agesilas, Callipidas le farceur ? Cet
94 (1758) Réponse pour M. le Chevalier de ***, à la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles [Essais sur divers sujets par M. de C***] « Réponse pour M. le Chevalier de***, A la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles. » pp. 128-142
 : je vous avoue même que plusieurs des pièces de ce grand Comique ne répondent point à la pureté du théâtre ; d’autres auteurs l
des plus grandes objections que vous puissiez me faire ; je peux vous répondre , à la vérité, que vous êtes tous les jours exposé
95 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien quatrieme. Sur la vanité & le danger des Bals, & des Danses en particulier, Tiré de la Bibliotheque des Predicateurs, composé par le Reverend Pere Vincent Houdry de la Compagnie de Jesus. » pp. 57-66
dans ses sortes d’assemblées, & de divertissemens ?… Mon âge, me répondez vous, mon rang, ma dignité m’obligent d’avoir une
que risibles, montrent qu’il y a quelque chose dans l’interieur, qui répond au dereglement exterieur. Veritablement, si l’ext
96 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
ire, et place l’autorité dans une situation difficile, car enfin, que répondra le magistrat au pasteur qui lui dit en substance 
l atteste une instruction solide, et je ne sais trop ce que l’on peut répondre aux faits que l’auteur a réunis pour appuyer son
97 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIV. Réponse a l’objection qu’il faut trouver du relâchement à l’esprit humain : que celui qu’on lui veut donner par la représentation des passions est réprouvé même par les philosophes : beaux principes de Platon. » pp. 58-60
e, Commentaires sur l’Evangile selon saint Matthieu, « Homélie 38 »]. répond , que sans courir au théâtre, nous trouverons la n
98 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXII. On vient à saint Thomas : exposition de la doctrine de ce Saint. » pp. 79-81
e la vie, et néanmoins la profession n’en est pas blâmable. A quoi il répond , qu’en effet elle n’est pas blâmable pourvu qu’el
99 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE V. Du Mensonge. » pp. 100-113
s : N’as-tu-pas honte de mentir devant tout le monde ? Le bouffon lui répondit ce qu’on répond encore : Ce n’est qu’un jeu sans
nte de mentir devant tout le monde ? Le bouffon lui répondit ce qu’on répond encore : Ce n’est qu’un jeu sans conséquence. Le
à l’école d’un Dieu, qui dit, Je suis là voie, la vérité, la vie ; ne répondez que par un oui ou par un non, tout ce qui est au-
100 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Madame de Longueville. » pp. 40-83
eut de si grandes liaisons. Lorsqu’il fut exilé dans son diocèse, il répondit à la Princesse, qui lui avoit écrit : Quand on n
étes née grande sur la terre, faites vous sainte dans le ciel, & répondez à la grace extraordinaire que Dieu a répandue dan
it prier la Reine de l’inviter. La Reine qui n’en avoit aucune envie, répondit froidement : Je crains de l’incommoder. La Prin
se des plus grands guerriers : mais la place étoit prise. Au lieu d’y répondre , on en plaisanta : elle étoit ridicule. Le Maréch
réparé ; que jusqu’alors il ne falloit pas s’y attendre. La Reine ne répondit à tous ces écrits que par un Edit qui déclare le
ites écrivirent à cette occasion des lettres très-sages, la Princesse répondit sur le même ton : elle rappelle son ancienne voca
turelle de son mari, Abbesse de Maubuisson ; quoique même sa conduite répondit mieux à sa naissance qu’à sa dignité. Il faut san
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