lle décrit d’une merveilleuse sorte ; et comme son Petit-fils ose lui
répondre
, elle s’emporte contre lui et lui fait son portra
ouche la Vieille de fort près, elle entreprend avec grande chaleur de
répondre
, sans pourtant témoigner se l’appliquer en aucune
répliquer, il continue : « Et Panulphe ? » La Suivante, contrainte de
répondre
, lui dit brusquement que « Panulphe se porte bien
’incommodité de sa Maîtresse, par trois fois est interrompue de même,
répond
de même, et revient de même, ce qui est la manièr
Suivante ayant dit que « Madame n’a point soupé », et Monsieur ayant
répondu
, comme j’ai dit : « Et Panulphe », elle réplique
ressé par les raisonnements de son Beau-frère, auxquels il n’a rien à
répondre
, bien qu’il les croie mauvais, lui dit adieu brus
tient pour lui parler de l’affaire du mariage, sur laquelle il ne lui
répond
qu’obliquement sans se déclarer, et enfin à la ma
au-frère lui demande « un oui ou un non » ; à quoi lui ne voulant pas
répondre
, le quitte enfin brutalement, comme il avait déjà
isposée à lui obéir toujours » et à se conformer à ses volontés. Elle
répond
fort élégamment qu’oui. Il continue, et lui deman
on lui fait cette question, hésite : enfin, pressée et encouragée de
répondre
, dit, « Tout ce que vous voudrez ». Le Père lui d
s de son père et la surprise où ces nouveaux desseins l’ont jetée, ne
répondant
que faiblement et comme en tremblant, Valère cont
du doute où il témoigne en quelque façon être de son amour, elle lui
répond
« qu’elle fera ce qu’il lui conseillera ». Il rép
ont blessées, et que cela fait venir de coupables pensées ». Elle lui
répond
« qu’il est donc bien fragile à la tentation », e
ire « que ce qu’il en fait soit par haine qu’il ait pour elle ». Elle
répond
qu’elle est persuadée que « c’est le soin de son
le est contrainte de lui dire « que vous me serrez fort » : à quoi il
répond
soudain à propos de ce qu’il disait, se recueilla
le lui dit, confuse de cette liberté, « ce que fait là sa main » : il
répond
, aussi surpris que la première fois, qu’« il trou
fait sa déclaration dans les termes ci-dessus examinés ; à quoi elle
répond
, que « bien qu’un tel aveu ait droit de la surpre
, « s’il n’acceptera pas l’offre qu’il lui propose ». À quoi le Dévot
répond
fort chrétiennement : « La volonté du Ciel soit f
e ne l’obliger plus à avoir aucun commerce avec elle : à quoi l’autre
répond
, donnant dans piège que lui tend l’Hypocrite, qu’
e pardonner à Damis », bien loin de le faire déshériter. Panulphe lui
répond
que, « quant à lui, il lui pardonne de bon cœur,
e don extravagant que son père lui veut faire de son bien ». Le Bigot
répond
à cela que « s’il se rend facile à ses pieux dess
st ici qu’il dit que Panulphe « est fort gentilhomme ». A quoi Dorine
répond
: « Il le dit ». Et sur cela, le Frère lui représ
euvent s’imaginer que personne ait plus de modération qu’eux. La Dame
répond
excellemment que « ce n’est pas en s’emportant qu
dirait s’il voyait ce qu’il ne peut croire », ils le contraignent de
répondre
: « Je dirais, je dirais que… Je ne dirais rien,
i dit qu’« il a de grands sujets de défiance extrême » : mais la Dame
répond
divinement qu’« on est facilement trompé par ce q
errogations qui donnent lieu à la Dame de dire toutes ces choses en y
répondant
. Enfin, insensiblement ému par la présence d’une
réelles » et des faveurs pour gages de la vérité de ses paroles. Elle
répond
en biaisant : il réplique en pressant : enfin, ap
nne ou qui écoute, et si par hasard son mari ne passerait point ». Il
répond
, en se disposant pourtant à lui obéir, que « son
nt comme justement irrité de l’outrage qu’on fait à son innocence, il
répond
à ces menaces par d’autres plus fortes, et dit qu
i sont dedans ». Interrogé pourquoi il l’avait confiée à Panulphe, il
répond
que c’est encore « par principe de conscience » ;
d’abord « quel bruit c’est qui court d’eux par le monde ? » Son Fils
répond
que c’est que « Monsieur Panulphe le veut chasser
sujet ». Enfin la Vieille, forcée de prêter l’oreille pour un moment,
répond
en s’opiniâtrant, que « quelquefois il faut tout
par les diverses personnes qui composent la compagnie, pour le faire
répondre
à toutes selon son but ; même pour le faire davan
l’Hypocrite en reproches de diverses manières, à quoi étant pressé il
répond
que « la fidélité qu’il doit au Prince est plus f
nce ou de la justice du Ciel envers les hommes. Je sais bien qu’on me
répondra
, que notre religion a des occasions affectées pou
r tout ce que cette comédie y pourrait attacher de ridicule : mais je
réponds
à cela deux choses ; l’une, que dans l’opinion de
ent elles ne seraient pas ridicules dans cet homme comme dans lui. Je
réponds
à cela, que l’excès de Ridicule que ces manières
ie. Chez Mazuel 1694. Ce Docteur s’est appliqué particulièrement à
répondre
à l’Ordonnance de saint Charles Borromée, citée d
les Borromée avait fait composer un Livre contre la Comédie. L’Auteur
répond
aussi à la tolérance des Magistrats, qui souffren
regarde les Auteurs, et généralement tous ceux qui y coopèrent ; ils
répondent
à cette demande, que tous ceux qui coopèrent à la
mauvaise. La troisième, si on doit dire la même chose de l’Opéra. On
répond
que l’Opéra est d’autant plus dangereux, qu’à la
me demande, est de savoir si quelqu’un peut aller à la Comédie ; on y
répond
que la Comédie étant mauvaise, dans la pratique o
de tendresse, Les prend pour des péchés commis en sa jeunesse. » Il
répond
à la prétendue correction des mœurs par les Pièce
l les instruments de la Passion de Notre Seigneur. On n’oublie pas de
répondre
à l’argument tiré des Tragédies des Collèges, par
On voit ensuite les Réponses à plusieurs questions : entre autres on
répond
que le Cardinal Tolet et Navarre condamnent les A
rement qu’à la tête, et à la faveur des Comédies. » Enfin il finit en
répondant
à ceux qui voudraient ménager à la faveur du plai
combien les leçons du Théâtre sont funestes aux jeunes gens. L’Auteur
répond
aux autorités et aux raisons du prétendu Théologi
uve serait coupable même selon le monde réglé, de l’écouter et de lui
répondre
après l’avoir remercié. SECTION DOUZIEME Requ
r pour le vice et de l’amour pour la vertu ; et ils prient le Pape de
répondre
si les Evêques ont droit de les excommunier. Cett
n audace, mon ame s’est éveillée pour repousser l’imposture ; je n’ai
répondu
qu’à une partie de ses raisonnemens paralogiques.
n pourra soupçonner trop d’orgueil dans l’aveu que j’en fais, mais je
répondrai
que je ne la détaille pas pour en être loué : tan
e fit voir la Brochure du Genevois ; elle parut desirer que quelqu’un
répondît
à tant d’impertinences ; je m’offris, & dans
sion de péché, du moins une occasion prochaine. 1°. Saint Chrysostome
répond
: Que vous êtes heureux de pouvoir marcher au mil
jeux que leur Grand Prêtre faisait représenter sur la place. On croit
répondre
à tout, en disant que les spectacles, aujourd’hui
ns savoir ce que c’est. On ne prétend pas s’en faire une habitude. Je
réponds
que si le spectacle est mauvais en soi, il n’est
ment, et prit la liberté de lui en demander la raison. Je vous avoue,
répondit
la Princesse, que quelque gaie que je sois en all
a pas de me nier que le Théâtre inspire la probité. Qu’aura-t-il à me
répondre
, si je lui dis que ses sermons ne font pas des sa
on avec la vertu et que l’image du vice est toujours scandaleuse ; je
réponds
à cela qu’il faudrait donc bannir de l’éloquence
soit puissamment affectée par les images oratoires. Qu’aura-t-on à me
répondre
lorsque l’on aura remarqué dans l’Evangile, que J
mienne était hermétiquement fermée à tous sentiments d’humanité ; je
répondais
avec aigreur à leurs impertinentes railleries, il
Employés, Prêtres, Séculiers, Réguliers, interrogez votre cœur et ne
répondez
que d’après lui, on verra si j’ai tort. Si toutes
me résolution d’être un Saint, dès que je le pourrai devenir. Je puis
répondre
de la ferveur de ma foi, de mon attachement à la
bles et flatteuses, ce qui est absolument contraire à la Religion. Je
réponds
à cela non pas comme l’Auteur du Tableau du siècl
éussir, à ce qu’on croit, si cette passion ne domine dans la cœur. Je
réponds
à cela que j’ai malheureusement l’amour propre né
inguer ? Si ce désir est un crime, quel est le Prédicateur qui pourra
répondre
en conscience de la pureté de ses intentions ? Ce
e assez pour m’en dérober la justesse : je vais vous les exposer et y
répondre
; vous aurez entendu les deux parties, il vous se
l’honneur de dédier cet ouvrage, né Français je serais un traître. Je
réponds
à la première objection que j’aurais cru m’expose
c et que si le respect me condamne, la reconnaissance me justifie. Je
réponds
à la seconde objection qu’il faut que ces Messieu
es choquait moins (les Anciens) que celle de la pudeur offensée. J’ai
répondu
page 128. Quel galimatias est ceci ? qu’est ce qu
senti qu’en répétant tout ce qu’il avait dit, je n’aurais pas pu lui
répondre
. On va juger si ces Messieurs ont raison, puisque
la pudeur offensée. Je demande à présent au Public si j’ai eu tort de
répondre
comme j’ai fait ? j’ajoute de plus que Mr. Rousse
la louange du Héros. Les Muses formeront un chœurb de musique qui lui
répondra
. Ensuite il descendra sur la terre et dansera an
revenir à cela, ni des vers chantés à sa louange, ni des Muses qui y
répondent
en musique, ni Apollon dansant au milieu d’elles
tes, je pourrais vous dire qu’on vous fait beaucoup d’honneur de vous
répondre
; mais j’ai une plus haute idée de tout ce qui so
oute la grâce que je vous demande, c’est qu’il me soit permis de vous
répondre
en même temps à tous deux, car quoique vos Lettre
vous fasse le même traitement ? Car qui empêchera quelque autre de me
répondre
, et de me dire, en parlant de vous : Quoi, Monsie
, Messieurs, quand vous raisonnerez de la sorte, nous n’aurons rien à
répondre
, il faudra se rendre, car de me demander comme vo
NDE] C’est l’argument de Barbier d’Aucour. o. [NDE] Là encore Racine
répond
à Barbier d’Aucour. p. [NDE] Le premier est Goib
a phrase latine ; « inter effœminationis modos ». DontIbid. vous avez
répondu
Amen pendant le sacrifice. Il me souvient d’avoir
nt le sacrifice. Il me souvient d’avoir lu que les premiers chrétiens
répondaient
amen à la fin de ces paroles corpus domini nostri
t c’est apparemment à cette coutume que Tertullien fait allusion. Ils
répondaient
de même amen après les paroles de la consécration
jamais. L’auteur s’est exprimé ainsi en grec « εις αιῶνας » ; à quoi
répondent
ces paroles latines, « in sæcula ». Notre acclama
genre. Je cherchois à étouffer cette voix des remords…Ou je croyois y
répondre
par de mauvaises autorités, que je croyois bonnes
de les entendre mieux, que le grand Bossuet ? C’est précisément pour
répondre
à cette objection, que ce savant Prélat renvoie a
nnêtes, qui enveloppent le mal, & lui servent d’introducteur. 3°.
Répondrez
-vous, qu’on a lu les Peres pour vous ? mais en a-
me dire, comment il pouvoit y être question d’Idolatrie ? La Dame ne
répondant
pas à ma question, je lui en fis une autre. Celui
ta le Philosophe, qui puisse refuser d’aller aux spectacles. Mr., lui
répondis
-je, je vous avoue ingénuement mon ignorance, je n
n s’autorisoit du grand nombre de ceux qui alloient au spectacle. Que
répond
ce St. Docteur ? « Ah ! disoit-il, si vous avez l
leur conduite ? 4° Parceque des hommes non appellés, ou qui n’ont pas
répondu
à la sainteté de leur vocation, se livreroient au
cteur & le mien, c’est lui-même, qui va vous instruire & vous
répondre
. Quelque irréguliere que tuisse être la conduite
nt comme eux, les loix de votre Mere ? Voudriez-vous bien, Madame, me
répondre
à tout cela ? Dites donc tant qu’il vous plaira,
arassante, & la Marquise, qui a de l’esprit, ne cherchant pas à y
répondre
, mais à en éluder la force, répliqua qu’elle trou
l, aprés tout, y a-t-il d’assister aux spectacles ? Mais, Madame, lui
répondis
-je, parce que vous ne voyez pas pourquoi une chos
ourriture avant la Communion. Savez vous pourquoi, Madame ? Non, Mr.,
répondit
-elle. Vous lui obéissez cependant, comme tous les
r été aux spectacles, il me demanda, si j’y avois fait du mal. Je lui
répondis
que non ; en conséquence, il me donna l’absolutio
t interdit la compagnie. Interrogée si elle y avoit fait du mal, elle
répondit
que non ; en conséquence, elle eut l’absolution.
interrogé s’il n’y a point fait de mal, & s’il n’a pas tapagé, il
répond
, qu’il n’y a jamais eu de dispute, & que c’es
Comédiens, & qu’il va tous les jours à la Comédie ? Oui, Mr, lui
répondis
-je, je vous avoue que je l’ignorois ; mais ignore
ocens, pourquoi les Papes les condamnent-ils &c &c ? Qu’on me
réponde
à cette question, j’ai déja répondu à la prémiere
nent-ils &c &c ? Qu’on me réponde à cette question, j’ai déja
répondu
à la prémiere, pag. 98, 99 & 100. Un Souverai
e, & si l’on ajoutoit que ce n’est pas pour vous, qu’on joue : ne
répondriez
-vous pas, qu’on joue pour vous, comme pour les au
r la conduite ? Cette objection a été proposée en 1694. Voici ce qu’y
répond
le grand Bossuet, dans ses Maximes & Réfléxio
e les spectacles, on ne cessera pas pour cela d’y aller. Oui, Madame,
répondis
-je, c’est en vain que la charité de J. C. nous pr
les représenter, est-ce donc un mal aussi d’y assister ? Madame, lui
répondis
-je, il y a plus de trois cens ans, que St. Antoni
’en pensez-vous vous-même ? Je ne puis vous le dissimuler, m’a-t-elle
répondu
, j’y ai entendu bien des équivoques, qui m’ont fa
veu. Ceci peut servir d’instruction à bien des peres & meres, qui
répondront
à Dieu de la perte de leurs enfans. La Dame fut a
ses. Ecoutons maintenant M. de Voltaire ; & songeons à ce que
répondit
certain Prédicateur à qui l’on reprochait que sa
u Spectacle, sans paraître scandalisé de plusieurs de ses Drames ? je
répondrai
, que l’idée peu avantageuse qu’on s’est formée du
Pigmalion (6) ; la Statue de ce fameux Sculpteur, animée par Jupiter,
répond
d’abord naïvement à l’Amour que Pigmalion ressent
e s’en approche & lui demande comment il s’appelle. « Madame, lui
répond
celui-ci, je me nomme Caliston ; pour vous servir
du jeune Elève ? Ah, Madame, s’écrie-t-il, que faites-vous là ? Elle
répond
sans s’éffrayer ; « ce qu’on fait quand on aime »
r dans l’esclavage Tous les agrémens de la liberté. La bonne Jacinte
répond
en femme complaisante ; Ah, vous aimez l’amour b
nsport ; Le joli pied ! ah, qu’il me plaît ! Pierrot son confident
répond
à cette apostroffe ; Oui, mais tient-il ce qu’il
nts précieux Que la fortune enfin nous laisse. La vertueuse Lise lui
répond
un instant après, « ah ! ce qu’il vous plaîra ».
’attente… Allons, en beau chemin ne faut pas s’arrêter. Et Mazet lui
répond
très-délicatement ; Tais-toi, va, je recule afin
Monsieur, J’ai lu ce que vous
répondez
à l’Auteur des Hérésies Imaginaires et des Vision
res, Il est certain que le meilleur pour les Poètes c’est de ne point
répondre
afin qu’on ne réplique pas, et de ne point nier,
tisfait. Je ne comprends point par quelle raison vous avez voulu leur
répondre
et il me semble qu’un Poète un peu politique ne l
une histoire véritable, ou les ennemis de Port-Royal qui n’ont jamais
répondu
à cette histoire, et qui bien souvent ont fait se
ntenant que les spectateurs de vos querellesah. » On ne peut pas vous
répondre
plus doucement, qu’en disant qu’il est très faux
ret, on a éclairci leurs équivoques, on les a enfin réduits à ne plus
répondre
, et assurément vous n’avez rien à reprocher au Po
mais cet enjouement n’est point du tout votre caractère. » Je ne vous
réponds
pas ce que tout le monde sait, que les sujets son
vous les avez entièrement détruits, et vous croyez avoir suffisamment
répondu
à tous les anciens Conciles en disant seulement q
s aller à la comédie ? » (Op. cit., p. 17) Goibaud-Dubois se garde de
répondre
sur la question de la lecture des poètes antiques
ssinat, qui ont loué et qui n’ont pas dénoncé le criminel. Del Monaco
répond
ensuite à l’excuse ridicule de ceux qui disent :
re est, que les Spectacles ne sont pas défendus dans le Décalogue. Il
répond
. 1°. Par l’explication de Tertullien sur le 1. Ps
les Comédiens ont voulu donner, pour justifier les Comédies. Mais il
répond
qu’on n’a jamais vu de conversion par la Comédie
est une ignorance prétendue de la condamnation de la Comédie. Mais il
répond
. 1°. avec Sanchez, qu’il n’y a que l’ignorance in
rétienne du Théâtre, imprimé à Florence en 1645w. Le Père Ottonelli y
répond
à l’Ouvrage d’un fameux Comédien Italien, appelé
es belles passions. » Et l’humilité de Théâtre souffre aussi qu’elle
réponde
de cette sorte en un autre endroit : « Cette hau
icaire, pour vous adresser cette réplique : Premièrement, le Laïc qui
répond
à la lettre écrite à M. Desmares m’est parfaiteme
que l’autorité en laisse représenter d’autres : c’est à l’autorité à
répondre
. Pour moi, qui connais son activité et son zèle,
parcequ’on y joue Tartuffe qu’il fallait proscrire le théâtre : vous
répondez
que c’est parcequ’on joue Joconde et le mari à bo
spectables et fort instruits, ce qu’on ne rencontre pas partout, vous
répondez
« le clergé ne s’abuse pas au point de croire que
t abbé), je m’humilie devant votre éloquence, et les mères de famille
répondront
pour moi à ce beau morceau qui fournirait en véri
utes les raisons qu’il a sues pour bannir la comédie du carême : « Je
réponds
à cela, dit-il, avec les propres paroles de Saint
dont l’église y fait profession publique ; et voilà ce qu’il appelle
répondre
« avec les propres paroles de Saint Thomas ». Le
bitable, parce qu’elle était conforme à tous les canons. Saint Thomas
répond
aussi « que les pleurs sont ordonnés au pénitent,
ur parloient à tous. En vain tel ou tel leur répondoit, ce qu’on nous
répond
encore tous les jours, et ce qu’a si bien remarqu
t ; mais de les croire bien habiles et bien avancés quand ils sçavent
répondre
aux mots couverts par d’autres bons mots, qu’ils
à témoin un joueur de profession, et que devant Dieu je le prie de me
répondre
si son jeu ne va pas trop loin, je dis trop loin
je m’en suis déclaré d’abord ; je blâme l’excès du jeu, et en vain me
répondrez
-vous que le jeu en soi n’est point blâmable, puis
temps que Dieu vous a donné, et une profanation dont vous aurez à lui
répondre
. Cependant d’un excès on tombe dans un autre ; ex
sez, n’est-ce pas allumer tout de nouveau la colere du ciel ? Vous me
répondrez
que vous vous retranchez en effet ; mais par où c
andonner son esprit à des idées dangereuses. Beau prétexte, à quoi je
réponds
qu’il ne faut, ni parler mal du prochain, ni form
ieu se servît de cet exemple du pied, de l’œil, de la main ? C’étoit,
répond
Saint Chrysostome, pour nous faire entendre que l
ssession ! Si je vous faisois parler là-dessus, et si vous vouliez me
répondre
de bonne foi, que ne pourriez-vous pas m’en appre
er en celles qui vous appartiennent de plus près, en celles dont vous
répondrez
spécialement à Dieu, puisqu’il les a soumises à v
récipiter ? Mais faut-il se priver de tout divertissement ? A cela je
réponds
deux choses. Car en premier lieu, si tout diverti
titie ; sur quoi celui-là demande « si on a pourvu à tout ; et on lui
répond
: A tout, Monsieur, à tout ; au large chapeau de
la porte du Chapelain : « Mr. Rend-grâce, Mr. Rend-grâce ! » celui-ci
répond
: « Mon cher Mr. je n’ai plus que le dernier vers
mander. Avez-vous pensé à un habit pour Mellifont ? » « J’y ai pensé,
répond
le Chapelain. Ce qui suit est trop énorme pour ne
a menace son grand Patriarche de l’appliquer à la question ; le Musti
répond
à cette menace avec beaucoup de gravité et de cou
se hâter d’aller trouver le Chevalier Ventre-de-tonne ; le Chapelain
répond
d’une manière peu conforme à son état : « Je fend
argent, de bénéfices, de vin, etc. Procurez-lui tout cela, et je vous
réponds
qu’il dira la vérité comme un oracle. » Quelques
é, la vertu pratiquée et le vice craint ? Les effets, il est vrai, ne
répondent
pas tout à fait à la noirceur de leur volonté ; i
dre son Prince à prix d’argent : le Prêtre soutient alors sa dignité,
répond
d’un air grave et majestueux à l’injuste accusati
personnes de marque : ils se comportaient toujours d’une manière qui
répondait
à leur dignité, sans se démentir en quoi que ce f
d’hommes à gages et de domestiques, sans y garder tant de mesures. Je
réponds
en premier lieu, ainsi que je l’ai fait voir, que
que ce soit, ni à aucune fonction. Mais quand cela ne serait pas ; je
réponds
en second lieu que l’idée qu’on se forme des Chap
ue : P. 60.« Qu’allons-nous devenir ? »« Nous mourrons de compagnie,
répond
Iacynte, rien ne me fâche davantage que de n’être
de punir le vice ». Mais M. Dryden se tire mal de ce mauvais pas. Il
répond
qu’il « ne connaît point de règle semblable, cons
x Comiques quelques exemples qui peuvent lui être favorables. Mais je
réponds
en premier lieu, que la Religion de ces Poètes le
e, etc. Et lorsque son père l’avertit de se garder de la rechute ; il
répond
avec sagesse : « Dieu aidant, j’aurai toujours ho
eux, que comme le Ciel laisse heureux les pécheurs etc. » Si le reste
répond
à ce début, tout ira bien. Mais le Ciel ne pardon
oir été corrompu par argent pour une affaire nullement honorable, lui
répond
: « Hé, oui PèreLa pointe roule sur le mot Angel
pris le merveilleux talent qu’il a de dire des injures ? » « Madame,
répond
cet homme de bon sens ; c’est un talent né avec m
d’éviter les femmes et de les haïr autant qu’il est haï d’elles ». Il
répond
: « Parce que je les hais et que je voudrais enco
u’« il n’a jamais été tenté de faire tort à personne » ; et Manly lui
répond
: « Quoi donc ? Vous aviez peur ?…. Je ne voudrai
de : « Quelles bonnes qualités a-t-il ? » « Quelles bonnes qualités ?
répond
Mustapha. Il est d’une illustre et riche maison :
heures leur gravité, ne pourraient-ils pas paraître au spectacle ? Je
réponds
que le nombre n’en est pas si grand que l’on pens
suet, interrogé par Louis XIV sur ce qu’il pensait de la comédie, lui
répondit
: « Il y a de grands exemples pour, et de grandes
XIV, dont cet habile courtisan ne voulait pas blesser la délicatesse,
répond
à toutes les objections dans l’esprit d’un homme
ent des infamies diaboliques »2, comme s’exprime M. de Voltaire. Pour
répondre
à tant de prétextes, sans remettre sous les yeux
rs le germe de la rébellion et de la discorde. Or je vous le demande,
répondez
-moi sans détours, vous Courtisans assidus qui ne
vait eu la même pensée. Sur ce pied-là nous sommes d’accord. Mais, me
répondit
froidement quelqu’un à qui je proposais ce point
l dit, semble avoir prescrit contre la bienséance de leur état ; nous
répondrons
, 1°. que la Lettre du Père Caffaro Théatin, qui s
ne opinion inhérente au principe fondamental de la Monarchie ? Et que
répondront
à leur autorité et à leurs exemples ces hommes de
ag. 562. 12. [NDA] L’Auteur de l’Essai sur la Comédie moderne, pour
répondre
à M. Fagan, pag. 161, parle de plusieurs Ouvrages
ette jeune Fille, qui appartenait à Jesus-Christ par son Baptême ? Il
répondit
, qu’il y était entré, parce qu’il l’avait trouvée
on charge ensuite le corps de rubans, dont la diversité des couleurs
répond
à la diversité des passions. On met enfin mille a
le feu qu’avec de très grandes difficultés. Vous ne manquerez pas de
répondre
, qu’on prend bien garde à ces excès, et qu’on ne
i un objet si éloigné avait fait sur David une si vive impression. Il
répond
qu’il ne faut pas avoir tant d’égard à l’éloignem
b. C. 31. v. 1., de ne jeter jamais un regard sur aucune Fille. Mais,
répondrez
-vous, il faut donc dire adieu à la joie, et au pl
hrist n’a trouvé que des amertumes, des peines et des douleurs. Mais,
répondrez
-vous, toujours vivre sans plaisir, ce n’est pas v
rsonne de sa gravité passait le temps à un tel divertissement. Il lui
répondit
, que son arc ne pouvait être toujours bandé, sans
me de les excommunier, s’ils persévéraient dans cet exercice. Vous me
répondrez
sans doute que vous êtes présentement convaincus
ortoit le titre de Lettres sur les Spectacles. Mais nous avons à leur
répondre
que notre Auteur, par égard pour le titre primiti
Amiens, le 30 Mai 1772. Une indisposition, Monsieur, m’a empêché de
répondre
plutôt à la Lettre que vous m’avez fait l’honneur
ces deux difficultés, voulant bien m’exposer en votre faveur à ne pas
répondre
à la haute idée que vous avez conçue de mon peu d
es ce que l’on doit croire des jeux et des divertissements ; et il se
répond
lui-même que quand ils sont modérés, non seulemen
par une objection qu’il se fait à lui-même, et vous verrez comme il y
répond
. L’objection est forte et délicate, et contient p
ndre, et de ne vous rien dérober de leur beauté. « Le divertissement,
répond
cet excellent Docteur« Quod sicus dictum est, etc
jusqu’ici ce sont les propres paroles de saint Thomas : peut-on mieux
répondre
qu’il le fait à cette grande Objection ? Et ne vo
nstances que l’on y doit apporter ». C’est sur ce principe que devons
répondre
aux autorités des Pères de l’Eglise, puisque, sel
outume, appliquant à tous les Pères la réponse qu’il donne à un seul,
répond
de cette manière à S. Chrysostome. Cette bouche d
nt a Deo, etc. »liber De spectaculis, chapitre 10. Et ce grand homme
répond
: « qu’il est vrai que toutes choses ont été inst
e la moindre chose qui ait l’apparence du mal. » Mais Albert le Grand
répond
à tous ces Passages que les danses, etc., « qui,
ements aux Comédiens, ce qu’ils confirment par plusieurs Conciles. Je
réponds
à cela qu’il est constant que ces Rituels et les
édie paraissent peu propres et devraient ce semble, être défendus. Je
réponds
à cela avec les propres paroles de saint Thomas«
trahir la vérité, et sans croire blesser ma conscience, je puis vous
répondre
pour mettre la vôtre dans un plein repos. Tant qu
sprit de la rendre plus courte : mais souffrez, Monsieur, que je vous
réponde
avec un AncienPline lib. 5. épître., que ce n’est
paraissent peu propres et devraient être défendus. Tout ce qu’on peut
répondre
à cela, c’est que, dans un temps si saint, aussi
s Poètes, alléguant de leurs vers, et entre autres d’un Comiquew : je
réponds
, que cette permission de les savoir, n’infère pas
; que ces choses se représentent, pour en détourner la jeunesse : Je
réponds
avec tous les anciens, dont je produirai les témo
e sauver sa vie, s’offrant moyen de ce faire en se déguisant. Je leur
réponds
; qu’ils doivent savoir, que vraiment tous moyens
n pas contre ceux, qui ne le font que deux ou trois fois l’année : Je
réponds
; Qu’entre les Commandements de Dieu, les uns son
Que si on dit, que les Chrétiens en peuvent user à une autre fin ; je
réponds
, qu’on s’en peut bien proposer une autre, mais el
ce à la jeunesse, lui faire acquérir dextérité, et assurance, etc. Je
réponds
; puisque les habitudes sont toujours semblables
doit-on jamais rien reprocher à aucun, qu’en lui donnant le moyen d’y
répondre
, et de s’en défendre en jugement. Au reste, quand
Scenici, nisi in rebus Divinis ? Aug. de civi. Lib. 6 ca. 6 cq ; Je
réponds
, que cette distinction n’est aussi recevable, que
’il y a de mauvais ; réformer les abus, non pas rejeter la chose ; Je
réponds
, qu’après avoir montré, que ni l’auteur, ni la ma
s, ne les pouvant du tout bannir. Mais j’entends que déjà quelqu’un a
répondu
en gros, à tous ces témoignages, pris des Païens
t interrogé, pourquoi il était entré au corps d’une personne fidèle ;
répondit
, qu’il avait justement fait, l’ayant trouvée sur
; enquis, dis-je, s’il devait être admis à la communion de l’Eglise ;
répond
: « Qu’il n’est pas convenable, ni à la majesté D
, qui par un effort forcené tâchent d ’assaillir les cieux. » eu Item
répondant
à ceux qui criaient qu ’on les voulait empêcher d
rime, ce sont les exécrables ornements dont on recouvre le sujet pour
répondre
au goût du public. ak. [NDE] en outre. al. [N
présentée avec une requête au lieutenant criminel qui ne leur a voulu
répondre
. Au moyen de quoi, ils se sont retirés au lieuten
Au moyen de quoi, ils se sont retirés au lieutenant civil, qui leur a
répondu
leur requête. Et pour ce que, par lesdites lettre
les maîtres entrepreneurs qui prétendent avoir obtenu son aval, pour
répondre
de leur mensonge. by. [NDE] Ryant a dit que si
nsonge en lisant la requête présentée au Prévôt à laquelle celui-ci a
répondu
en la contresignant. Voisin transcrit « De Mesmes
ndre que J.-J. de Mesmes, en tant que lieutenant civil au Châtelet, a
répondu
à la requête des maîtres entrepreneurs et authent
partisans du théâtre, pourquoi le Pape les souffre-t-il à Rome ? Nous
répondrons
que si les théâtres sont tolérés à Rome ils n’en
ous dit-on encore, pourquoi y voit-on tant de bonnes personnes ? Nous
répondrons
que ce n’est point d’après ces exemples, mais d’a
ux spectacles pour trouver compagnie, ou pour la musique. Mais que
répondre
à une personne qui vous dit : Je vais au spectacl
ége* ! Tout y est sacrifié au jeu des passions. Il ne sert de rien de
répondre
qu’on n’est occupé que des spectacles sans songer
nt tous les jours qu’ils ne sentent point ce danger. (Nous venons d’y
répondre
.) Poussez-les un peu plus avant, ils vous en diro
d ayant reproché à Racine d’avoir travaillé en ce sens ; celui-ci lui
répondit
. « Eh ! monsieur, sans cela qu’auraient dit les p
, dont nous avons parlé plus haut, renonça à travailler au théâtre et
répondit
, par une lettre imprimée, à ceux qui l’accusaient
écrire pour apprendre de lui ce qui en était. Monseigneur de La Motte
répondit
au roi « qu’à la vérité il aimait les pauvres, ma
pu leur servir de maître dans tous les genres. Leurs progrès ont bien
répondu
à votre zèle, et à votre habileté ; aujourd’hui q
us vous adressez pour que je fixe, dites-vous, votre opinion. Je dois
répondre
de mon mieux à votre confiance. D’abord, je m’éto
Olive, à qui elle prend le menton, à qui elle promet de l’argent s’il
répond
à ses feux. Les deux françois, à la faveur de leu
part, à son valet : laisse là tes raisonnemens saugrenus , le valet
répond
: sot cornu vous-même ; et en montrant la petit
econnoître ce vaurien dit qu’il l’a vu quelque part, à quoi le forçat
répond
: j’y vais quelquefois ; il ne s’agit dans cet
ivrer des obstacles que leur oppose certain personnage, et l’un d’eux
répond
de sang froid : la riviere coule pour tout le mon
savez, Monsieur, sur quoi roule le sujet de toutes ces pièces, le jeu
répond
au sujet ; la volupté, pour mieux séduire, met se
t-être, se jette parmi cent prostituées, les attaque de conversation,
répond
à leurs apostrophes, leur donne le bras, les prom
re que vous m’avez fait la grâce de m’écrire, je n’ai autre chose à y
répondre
que ce que je pris la liberté de vous dire à Sain
de ta Voix Pour tourner tous mes Vœux du côté des François : Mais me
répondras
-tu qu’on permette à ma Veine D’étaler en public l
ur lui faire un sort aussi beau que le sien Prête lui ton secours, et
réponds
-lui du mien. Comme j’ai de Racine assuré la Mémoi
avec confiance sur le bord du précipice, il y tombera. D. Que doit-on
répondre
à ceux qui disent qu'ils y vont sans aucune mauva
u'il y a d'honnête, et de conforme aux bonnes mœurs ? R. Il faut leur
répondre
qu'il n'est pas possible de séparer dans les spec
es, ni vous passer de ces sortes de divertissements. S. Augustin vous
répondra
que bien d’autres, plus distingués et meilleurs q
d’un Chrétien, est un raisonnement insensé, qui ne mérite pas qu’on y
réponde
: « Ne respondeas stulto, dit le Sage, juxta stul
Molière par une confession générale. Si cela est, je n’ai rien à vous
répondre
, sinon qu’il est encore plus criminel. Mais enfin
ance. Je n’en dirai pas davantage sur ce sujet, croyant y avoir assez
répondu
quand j’ai fait voir que Le Festin de Pierre avai
vices du libertin, mais je ne crois pas avoir beaucoup de choses à y
répondre
, quand j’aurai dit, après le plus grand monarque
deux et deux sont quatre et quatre et quatre sont huit », et je leur
répondrai
que leur esprit est aussi fort que ce raisonnemen
é davantage en affectant moins de le montrer. Je ne me propose pas de
répondre
précisément à votre Lettre, mais de m’entretenir
e à ceux qui en sont l’objet. On ne craindrait point de s’avilir en y
répondant
; on ne songerait qu’à s’éclairer avec une candeu
on peut faire contre vos paradoxes, vous prévenez ces objections en y
répondant
par des paradoxes nouveaux. Il me semble voir en
urs les plus fameux combien ils font de conversions par an ; ils vous
répondront
qu’on en fait une ou deux par siècle, encore faut
dangereux. Permettez-moi de vous faire une question avant que de vous
répondre
. Voudriez-vous bannir l’amour de la société ? Ce
t que la morale est bientôt oubliée. Je prendrai, Monsieur, pour vous
répondre
, l’exemple même que vous apportez de la Tragédie
ccueil, et donne par là beaucoup d’avantage au Misanthrope. Il devait
répondre
au contraire, que ce qu’Alceste avait pris pour u
atitude et de la dureté de ses anciens amis ; « Et les femmes ? » lui
répond
le valet, qui ne veut que faire rire le parterre
n’osant vous la faire, et à laquelle vous avez indirectement tâché de
répondre
. Les Spectacles, selon vous, sont nécessaires dan
sardé la proposition qui vous alarme. Cela supposé, il serait aisé de
répondre
en deux mots à vos autres objections. Je n’ai poi
t pour l’adapter au contexte d’énonciation, le propos du vieil Horace
répondant
à Curiace : « Faites votre devoir, et laissez fai
t devenu meilleur en les lisant ? Nous avons triomphé de la barbarie,
répondront
-ils ; nous avons adouci les mœurs publiques. C’es
giques François, quittez pour un moment le cothurne, & daignez me
répondre
: Ne vous vantez-vous pas d’être les Précepteurs
enir en rentrant dans le sein de leurs familles ? Tragiques François,
répondez
enfin ; ou, si vous vous obstinez à garder un sil
rler des matieres de sa profession : Les choses que je pourrois dire,
répondit
-il, seroient aujourd’hui hors de saison ; & c
oient dit nos petits Maîtres ? Mais que dirent nos Neveux, eût pu lui
répondre
le Docteur, si jamais ils reviennent au bon sens
& que le Chef de l’Eglise la tolere à Rome. A cette objection, je
réponds
qu’il y avoit à Rome des spectacles avant que la
des vivans. N’ont-ils donc ni femmes, ni enfans, ni amis, ni pauvres,
répondit
un barbare, à qui l’on vantoit les jeux publics d
un ouvrage digne de la plume la plus éloquente. Un Ecrivain pour lui
répondre
a rempli plusieurs Mercures de l’éloge, des grace
persuadé les coureurs de spectacles ? le croit-il lui-même ? Scarron
répond
pour lui, oh, non ! Quelle idée peut-on se forme
mp; prit la liberté de lui en demander la raison ; je vous avoue (lui
répondit
cette excellente Princesse) que quelque gaie que
oix des remords à laquelle on n’impose point silence, ou je croyois y
répondre
par de mauvaises autorités qu’elle me donnoit pou
p; nous avons encore les eloquentes Apologies, qu’ils publioient pour
répondre
à ces glorieuses accusations. En verité avons-nou
lle part ni les bals, ni les comedies, ni les mascarades, l’Ecriture (
répond
ce grand Saint) a plus dit en se taisant, que si
mis au monde que pour les danner ? Je sai bien ce que vous avez à me
répondre
, pour colorer un si étrange dereglement. Qui pens
e de voir un Acteur attendre pendant long-tems que son tour vienne de
répondre
, ou discourir avec gravité & sans prendre hal
eur, vint avec son épouse consulter l’Oracle de Delphes. L’Oracle lui
répondit
, que le prémier qu’il rencontrerait en sortant du
C’est bien galant au moins ce que vous me dites là, je voudrais vous
répondre
sur le même ton ; mais, par malheur, je ne fais p
que visibles, montrent qu’il y a quelque chose dans l’intérieur, qui
répond
au dérèglement extérieur : ceux qui font état de
mmes d’enfer, Math. 5 et demandant un peu de soulagement, il lui fut
répondu
qu’il avait vécu dans les délices pendant sa vie,
e regarder les autres danser ? S. Jean Chrysostome ci-dessus allégué
répond
, qu’encore qu’en ces spectacles on ne soit ému à
55. Et Couvretout pour montrer combien il profite sous un tel Maître,
répond
à Bellami qui voudrait tirer de lui un mensonge :
e à Belmour :P. 19. « Seriez-vous content d’aller au Ciel ? » Belmour
répond
: « Hom ! non pas tout à l’heure, en ma conscienc
orthodoxe ? » Diable et orthodoxe joints ensemble font un effet qui
répond
assez au caractère de l’Auteur : car rien n’a plu
est pas épuisé, Cynthie, Personne de haut parage devient pensive ; et
répond
à la question qu’on lui fait sur sa rêverie. P. 1
ge ne causeraient-ils pas dans Israël, si la grandeur de leur stature
répondait
à celle de leur malice ? Des hommes faibles et im
uel est enfin le fondement de cette audace démesuré ? Le Saint-Esprit
répondra
mieux que nous sur cela : Eccles. 8.11.« Parce qu
es injustes, les avares mourussent fort jeunes. »Ibid. Périplectimene
répond
à Pleuside d’un air sévère : « C’est une grande i
ère la perte de Capanée coupable de mille blasphèmes ; et l’événement
répond
à son attente.P. 92. D’une autre part ; comme Amp
lui recommande d’être brave, mais d’avoir aussi de la religion ; Ajax
répond
orgueilleusement qu’il n’appartient qu’aux âmes l
hoses, ce n’est pas la coutume qu’on doit suivre, mais la raison ; et
répondre
comme vous faites, c’est de même que si un Généra
mée qui combattrait maintenant sans prendre son temps et ses mesures,
répondait
à ceux qui voudraient l’instruire par l’exemple d
ar l’exemple des Anciens Grecs et Romains ; c’est, dis-je, comme s’il
répondait
, que les Anciens avaient d’autres coutumes que no
TE. Vous m’obligez de recourir, malgré moi, à la religion, pour vous
répondre
; néanmoins pour ne vous pas faire croire que je
avantage, et tout le monde a droit de se plaindre, quand un Auteur ne
répond
pas à ce qu’on s’était promis de son travail. Vou
eut éviter l’entretien de Clytemnestrec. TIMANTE. Il faut donc vous
répondre
autrement. Un galant, tel qu’Euripide représente
u tout d’amour ? CLEARQUE. Je n’en sais rien, et je ne voudrais pas
répondre
que l’Iphigénie n’eût été ennuyeuse, sans le rôle
ce me semble, le caractère de son Iphigénie ; ne lui auriez-vous pas
répondu
que cela aurait été contre la coutume ; ne lui au
Comédiens les femmes sont celles qui déclament le mieux. Les Savants
répondront
que la Tragédie étant la représentation d’une act
iles Comédiens la promptitude avec laquelle leurs mains sont prêtes à
répondre
aux sentimens dont ils sont affectés, & la ma
r sur le Théâtre parloit & faisoit les gestes, il seroit forcé de
répondre
que le partage du geste & de la voix entre de
ien rapportant la même chose se sert de cette expression υπαδειν, qui
répond
à celle-ci ad manum cantari : le Danseur imitant
cause de leurs chaussures qu’ils traînoient comme des entraves. Solon
répond
gravement, Ce qui attristoit & faisoit pitié,
e ses Chœurs, & qu’on parle d’apporter une lyre, Aristophane fait
répondre
satyriquement, qu’on n’a pas besoin d’une lyre, &
pourquoi Cicéron a mis per hosce dies, & non pas per hos dies, il
répond
qu’il est plus aisé d’en sentir la raison que de
amp; la même quantité, entendez-vous les mêmes sons ? L’interlocuteur
répond
non, sans doute, j’entens un son très-différent.
plut me commander de faire quelque chose en faveur de la Comédie, et
répondre
au libelle du Père Augustin, ce que j’ai fait ave
s considérons l’histoire Romaine, nous trouverons que les Oracles, ne
répondaient
autrement qu’en vers. PolycarpeDisciple des Apôt
res Orphelins, si quelqu’un me dit que c’est pour une bonne œuvre, je
réponds
que le prétexte n’efface pas le vice s’il y en am
et de mauvaise édification qui fait que l’on condamne la Comédie, je
réponds
que c’est être ignorant Logicien, en ce que l’une
de laquelle l’Eglise se sert pour appeler le pécheur à repentance, je
réponds
qu’il y a différence, entre corriger le vice des
l’un ou de l’autre soit le fruit d’une discussion bien réfléchie. Je
réponds
à votre ouvrage, beaucoup plus pour vous porter à
contre les Comédiens. Entrons en matière, et trouvez bon que je vous
réponde
; parlez Monsieur, je vous écoute. « Je n’aime p
i quelque Barbare à qui l’on ferait la description de nos spectacles,
répondait
: « les Français n’ont-ils donc ni femmes ni enfa
digne de l’approbation qu’il a eue, si je voulais la justifier. Je ne
répondrai
point aux objections qu’on m’a faites par un juge
iné ce qui précède, et ce qui suit les endroits qu’on a condamnés. Je
répondrai
encore moins à la critique qui est fondée sur le
avec raison pourquoi je ne les faisais pas plutôt, et je n’ai rien à
répondre
, sinon que ces écrits n’ayant jamais été faits po
ide défense concernant les fautes d’impression, Nicole refuse donc de
répondre
aux remarques que sa correspondante aurait faites
Bernoulli n’avoit jamais pensé, qu’il y a sept saveurs primitives qui
répondent
aux sept tons de la Musique, sur lesquelles il a
sique, sur lesquelles il a formé sa gamme & son clavier ; l’acide
répond
à l’ut, le fade au re, le doux au mi, l’amer au f
au sol, l’austère au la, le piquant au si. La combinaison des saveurs
répond
à celles des sons, & forme aussi des tierces,
ferme selon qu’on lève ou qu’on baisse les touches du clavecin qui y
répondent
à la place des vents que donnent les soufflets de
alogie ; il a composé l’échelle ou la gamme odorante, l’odeur de rose
répond
à l’ut, le jasmin au mi, la tubereuse au sol, &am
cord forme une harmonie délicieuse. Au lieu de phiole à chaque touche
répond
une cassolette qui exhale ou retient son parfum à
athieu, fit la liste des principaux Critiques de Voltaire : ce qui ne
répond
à rien & ne signifie rien. Zoïlus genuit Mæv
fontaines autem genuit Freron, Freron autem genuit Clement. Voltaire
répondit
à Clément & à Voisenon : voici sa réponse en
Clément Marot, il auroit eu de mes nouvelles. Il n’a point en effet
répondu
à sept à huit Lettres du sieur Clément, & il
t à huit Lettres du sieur Clément, & il seroit bien difficile d’y
répondre
rien de satisfaisant. Pour Marot, il n’est pas su
fait courir une brochute contre un Spectacle si déplacé, le Collége y
répondit
sur le ton du Théatre de la Foire, avec les sarca
r un joueur de marionnettes qui montre au peuple Polichinelle. On n’y
répondit
rien : une pareille défense est la meilleure répo
m’emparer à mon tour du Tribunal, interroger le Public, et le laisser
répondre
avec toute la naïveté qui lui est propre. Public
e laisser répondre avec toute la naïveté qui lui est propre. Public :
répondez
-moi ; qu’est-ce que M. Jourdaincn ? « C’est un so
e crois vous devoir dire avec franchise ce que je pense, autrement je
répondrais
mal, sans doute, à l’honneur que vous me faites d
justifier la Pièce à vos yeux ? Rassurez-vous donc Monsieur, je vous
réponds
qu’aucun Faussaire ne s’y prendra jamais aussi ma
j’ai attaqués, et si vous vous imaginez que j’ai évité prudemment d’y
répondre
, désabusez-vous : ils m’ont paru tous également f
ourquoi il ne s’appelait pas plutôt Boivin. Et vous, Monseigneur, lui
répondit
Boileau, pourquoi ne vous appelez-vous pas plutôt
Dissimulato in vano Soffre, di febre assalto. Voici ce que lui
répond
M. Maffei. Il est vrai que ce Vers rendu ainsi da
ques Piéces Italiennes : mais les Italiens sont toujours prêts à nous
répondre
, que nous n’entendons pas les finesses de leur La
ans la Préface de sa Traduction du premier Livre de l’Iliade) je puis
répondre
que nos Vers ont toutes ces graces dans la bouche
eur Mere, & qu’un des deux l’appelle une ame cruelle, l’autre lui
répond
, Plaignons-nous sans blasphême : Il faut plu
tesse, après la mort de son Amant, & de montrer du courage ; elle
répond
que l’Amour ne prend point de loix De ces cru
es fréquentent : N’ont-ils donc ni femmes, ni enfants, ni amis, comme
répondit
un barbare, à qui l’on vantait les jeux publics d
âtre, le crime est toujours puni et la vertu toujours récompensée. Je
réponds
que, quand cela serait, la plupart des actions tr
n du poète, ne font pas une grande impression sur les spectateurs. Je
réponds
encore que ces punitions et ces récompenses s’opè
d rien de pareil dans le cours naturel des choses humaines. Enfin, je
réponds
en niant le fait. Il n’est ni ne peut être généra
ants reproches, et, quand ce père irrité lui donne sa malédiction, de
répondre
d’un air goguenard qu’il n’a que faire de ses don
’on me fait une grande objection : écoutons, & nous tâcherons d’y
répondre
. En excluant, me dit-on, de la Comédie le ridicul
canal du plaisir d’utiles vérités dans l’ame du Spectateur. Avant de
répondre
à cette objection, il est à propos que je m’expli
is que fera la Comédie, si on la travaille d’après mes principes ; je
réponds
qu’elle tiendra dans l’esprit des gens raisonnabl
t tellement en ignorer la constitution et les coutumes, qu’on ne doit
répondre
que par le mépris à de si pitoyables conséquences
’abandonner à l’inutilité et au plaisir. Après cela, je ne daignerais
répondre
à la vaine excuse qu’on fournit à la comédie dans
moindre pensée. Je savais que le Port-Royal n’avait pas accoutumé de
répondre
à tout le monde. Ils se vantaient assez souvent d
es personnes ont voulu égaler ses Lettres aux Provinciales ». Il leur
répond
modestement, à la vérité ; mais on trouve qu’il y
de chambre. On va la saisir dans son lit, interrogée sur ce vol, elle
répond
, je ne suis plus chez vous depuis quelques jours,
e répond, je ne suis plus chez vous depuis quelques jours, je ne puis
répondre
de ce qui s’y passe ; il y a apparence que MM. de
plus naturalisé avec la scéne, chacun félicite le nouveau marié, qui
répond
à son compliment sur le ton de gravité que compor
versel, & menaça de le déferer aux mercuriales ; je le veux bien,
répondit
-il, Mais à condition que je déférerai à mon tour
population & contre les Moines. M. de Languet Archevêque de Sens,
répondant
en qualité de Directeur à M. Marivaux, lors de sa
e, il demanda à sa mere ce qu’elle en pensoit : elle est à merveille,
répondit
cette mere, elle joue avec beaucoup de vérité, un
leurs talens supérieurs, le goût & l’équité de cette Princesse en
répondent
. Ils en seroient jaloux.
ps, il paraît au contraire qu’il en ait voulu blâmer l’usage : car en
répondant
à l’objection qu’il se fait, que la curiosité n’e
s’en servir tant pour condamner les Comédies d’aujourd’hui, que pour
répondre
aux raisons de ceux qui en entreprendraient la dé
arlé dans la Vie de saint Paphnuce qui devint Saint ; Saint Thomas ne
répond
rien de particulier à ce fait : mais si l’on juge
ls font en y assistant, ne les exempte point de péché devant Dieu. On
répond
donc premièrement, que la distinction que l’on fa
e qu’avec une subtilité pareille, ceux qu’ils condamnaient, pouvaient
répondre
qu’ils ne prenaient de plaisir que par rapport à
e peut produire, d’avec celui de la représentation, une personne peut
répondre
que ce dernier la touche et non pas le premier.
e son Introduction à la vie dévote, semble favoriser la Comédie. L’on
répond
que saint François de Sales considère la Comédie
rysostome dans son Homélie 38 sur le 11e Chapitre de Saint Matthieu a
répondu
à la première Partie de cette objection101 : « Lo
Auteur. Quant à l’exemple que donnent ceux qui vont à la Comédie ; on
répond
qu’il ne peut rendre légitime ce que l’Eglise a t
ie, c’est par prudence et pour éviter un plus grand mal. C’est ce que
répondit
autrefois Isidore de Damiete104, quand il dit que
e soit mauvaise et qu’elle ne soit toujours défendue par l’Eglise. On
répond
à la seconde demande de l’exposé, que si la Coméd
manière déterminée à une chose mauvaise. A la troisième demande, on
répond
que l’Opéra est d’autant plus dangereux, qu’à la
ue vous fuiriez une chose très honteuse ». A la quatrième demande, on
répond
que si la Comédie est mauvaise dans la pratique,
s traits sont justes & réguliers, leur forme est naturelle, &
répond
parfaitement au sujet. Les masques les plus ordin
quinze toises du Comédien qui récitair. Enfin les Masques des Anciens
répondaient
au reste de l’habillement des Acteurs, qu’il fala
on cœur excités, Sentira-t-elle alors tous ses sens agités ? Je ne te
réponds
pas, qu’au retour moins timide, Digne écolière en
rce qu’elle prend d’abord l’oreille et le cœur. Il ne sert de rien de
répondre
qu’on n’est occupé que du chant et du spectacle,
onsacrer vos veilles à l’Opéra-Bouffon ? Le dessein est louable. Mais
répondez
. Pourquoi ne travaillez-vous pas plutôt pour le T
llent aux grandes choses ? êtes-vous né Poète, en un mot ? Daignez me
répondre
, & me dépeindre ce qui se passe dans votre in
ont il n’aurait qu’une faible idée ? Les Poètes de notre Spectacle me
répondront
peut-être qu’ils n’ont besoin que de jetter les y
mes. Pour les hommes, leurs continuels éloges me fatiguaient ; je n’y
répondais
que par quelques révérences, qui me donnaient un
ui ne m’offrît en particulier tout ce qui pouvait dépendre de lui. Je
répondis
que je m’en tiendrais aux bontés de Mademoiselle
la *** ? L’avantage est tout du côté de celle que vous venez de voir,
répondit
il. Alors cette aimable & vertueuse épouse se
ien pour le mal. L'on est en vérité bien embarrassé lorsque l’on veut
répondre
à des gens qui se mêlent de parler de choses qu’i
u’ils veulent dire, on a de la peine à le deviner, et plus encore à y
répondre
, puisqu’on ne peut que difficilement repartir à d
e rien, n’étant pas dites dans les formes. L'on devrait, avant que de
répondre
à ces gens-là, leur enseigner ce que c’est que le
qu’ainsi rien ne devait empêcher que l’on n’en usât. Tertullien leur
répond
ce que je répondrai bientôt à notre Docteur, qui
devait empêcher que l’on n’en usât. Tertullien leur répond ce que je
répondrai
bientôt à notre Docteur, qui se sert aussi de cet
pectacles fussent interdits aux Serviteurs de Dieu. A quoi Tertullien
répond
deux choses : Premièrement, il demeure d’accord q
d encore ici de travers. Saint Cyprien dans son Livre des Spectacles,
répond
aussi bien que Tertullien à certains libertins, q
s, ce que l’on doit croire des jeux et des divertissements ; et il se
répond
lui-même, que quand ils sont modérés, non seuleme
pour manger et pour boire, et qu’il se leva pour jouer». Saint Thomas
répond
à ce passage de saint Chrysostome, qu’il doit s’e
sont donc celles dont il n’est pas permis d’user ? Et ce grand Homme
répond
, qu’il est vrai que toutes choses ont été institu
principe de la Comédie aussi bien que de l’homicide ? « Oui certes,
répond
Tertullien, et nous le connaissons nous autres Ch
des gens qui tenaient ce même langage, et voici ce que lui-même leur
répond
: « Ne sait-on pas, leur dit-il, que l’on ne donn
melius fuisse nullas litteras nosse quam sic litteras legere.» Et en
répondant
à l’exemple de David qui a dansé devant l’Arche ;
oi donc n’étendrons-nous pas cet adoucissement aux Spectacles ? » Je
réponds
au Docteur que son raisonnement pèche dans la mat
ans scandale représentent des personnages dans les Comédies ? » Nous
répondrons
à notre Docteur : mais qu’il nous dise, s’il lui
s plus sérieuses ; et quand on pense dire son sentiment là-dessus, on
répond
que sans tout cela les Acteurs et les Spectateurs
r plusieurs Conciles. » Voilà l’objection ; et voici la réponse. « Je
réponds
à cela, dit-il, qu’il est constant que ces Rituel
s les Magistrats ne s’y opposent pas », dit le Docteur. A cela je lui
répondrai
ce que me dit un jour un célèbre Magistrat, qui v
les Spectacles et la Comédie, ce semble, devraient être défendus. Je
réponds
à cela avec les propres paroles de saint Thomas,
médie et les plus solides fondements de la Morale Chrétienne, je dois
répondre
à deux objections que les défenseurs de la Comédi
e. Je ne puis mieux faire voir la faiblesse de cette objection, qu’en
répondant
avec un savant Prélat de notre siècle « Le remède
s et passionnées qu’il dit à Emilie, et sur toutes celles qu’elle lui
répond
; que sur la clémence d’Auguste à laquelle on pen
haque siècle, qui ont condamné la Comédie et les Spectacles. L’Auteur
répond
aux passages de saint Thomas et de saint François
s demandant au démon comment il avait osé attaquer une Chrétienne, il
répondit
qu’il l’avait fait sans crainte, parce qu’il l’av
ux deux lettres attribuées à Barbier d’Aucour et à Goibaud-Dubois qui
répondaient
elles-mêmes à son attaque contre l’auteur des Hér
x s’absenter et ne point paraître. Apollon qui n’a rien à ménager, ne
répondra
qu’en présentant le portrait du Héros. Nous venon
austère et la plus jalouse de toutes les divinités. L'auteur à qui je
réponds
est un de ces sages réformateurs, mais comme il e
uire toutes les autres. On a beau lui dire que, puisqu’il ne doit pas
répondre
à la candeur publique, il devrait laisser à nos é
é d’une âme par le nombre des auteurs que sa plume aurait décriés, je
réponds
, de l’humeur dont je le connais, qu’on n’attendra
ne raconte que comme passé, et d’une manière morte et sans action. Je
réponds
que les choses morales ne se doivent pas ainsi co
? La loi du Prince la permettrait-elle jamais ainsi qu’elle fait ? Je
réponds
que saint Louis chassa les comédiens de ses Etats
n qui la fasse rougir, ni dont ses oreilles puissent être offensées ?
Répondons
par ordre, que veulent donc dire ces paroles de J
se Sérénissime Monseigneur le Duc de Bourbon . Santeuil sans lui rien
répondre
, leva les mains & les yeux au ciel, dit avec
oir toutes les langues, & ne sait pas l’Italien, est embarrassé à
répondre
à la Lettre italienne de l’Abbé Pezzana, & s’
ès la pensée du Poëte. Cet à-peu-près est admirable dans un si habile
Répondant
à l’Editeur d’Arioste ; il continue : Je n’ose v
habile Répondant à l’Editeur d’Arioste ; il continue : Je n’ose vous
répondre
dans votre belle langue ; pourquoi non, s’il la s
’œuvre dramatique, c’est la meilleure de vos Tragédies. Eh bien , lui
répondit
Voltaire, les Comédiens l’ont refusé. A ces mots
r se reconcilier avec lui, tout fut inutile. Je n’attaque personne ,
répondit
cet illustre Vieillard, mais je suis inexorable c
êtes donc bien difficile à amuser , lui dit-elle ; est-ce pour rien
répond-t
-il, que je suis un grand Seigneur , ce qui n’est
proposent, leurs effets & leurs suites : Qu’on ait la patience de
répondre
aux faits controuvés & aux pitoyables subtili
qui était une réplique aux attaques de Desmarets par Nicole. L’auteur
répond
ici à Racine en reprenant une bonne partie de ses
échanceté. Si on dit que les Grecs et les Romains le permettaient, je
réponds
que c’était par superstition pour leurs Dieux ; m
! La loi permet de tuer un Magistrat ivre, Vespasien approuvait qu’on
répondît
injurieusement à un Sénateur agresseur : « Non op
tis ne comode personam nostram in hac theatro egimus ?» Parfaitement,
répondirent
-ils. Adieu donc, mes amis, battez des mains : « V
avait été tué. Sur les plaintes qu’on en porta à Théodoric, ce Prince
répondit
: Il faut distinguer le genre d’insulte ; qu’on p
à un révérendissime Sénateur, reverendissimo Senatori ; mais qui peut
répondre
de ce qui se passe au théâtre ? peut-on y espérer
sque nous en sommes sur le sujet de ces lieux profanes, il est bon de
répondre
à une objection que font quelques-uns. Quoi, dise
nouvelles raisons, le sujet qui est en question ; ne fût-ce que pour
répondre
à quelques-uns, qui se prévalent de ce qu’il ne p
té inventées pour apprendre la politesse, et la science du monde ; je
réponds
, que nous devons mépriser cette science mondaine,
le, pour mériter d’être si rigoureusement puni. D’ailleurs peut-on me
répondre
, qu’on n’expose aux bêtes féroces, ou qu’on ne pu
ides. Au reste, je n’ai fait jusqu’ici tout ce détail, que comme pour
répondre
à des païens : car à Dieu ne plaise, qu’un chréti
ns-leur, s’il est permis aux chrétiens d’assister aux spectacles, que
répondront
-ils ? Infailliblement, disent-ils, cet homme est
après, pour applaudir à un bouffon : de la même bouche donc vous avez
répondu
amen pendant le sacrifice, vous rendez témoignage
s. Comme l’on exorcisait l’esprit immonde, et qu’on lui commandait de
répondre
, pourquoi il avait osé s’emparer de cette femme ?
s ; il paraît au contraire qu’il en ait voulu blâmer l’usage : car en
répondant
à l’objection qu’il se fait, que la curiosité n’e
en servir tant pour condamner les Comédies du temps présent, que pour
répondre
aux raisons de ceux qui en entreprendraient la dé
onde disent de la vie Religieuse, qui n’est à leur avis qu’un jeu. Il
répond
S. Bernard. Epist. 87. n. 12. « Non est hic ludus
parlé dans la vie de Saint Paphnuce qui devint Saint. Saint Thomas ne
répond
rien de particulier à ce fait ; mais si l’on juge
ls font en y assistant, ne les exempte point de péché devant Dieu. On
répond
donc, 1°. Que la distinction que l’on fait de la
servant d’une subtilité pareille, ceux qu’ils condamnaient pouvaient
répondre
qu’ils ne prenaient de plaisir que par rapport à
e peut produire, d’avec celui de la représentation, une personne peut
répondre
que ce dernier la touche, et non pas le premier.
e son Introduction à la vie dévote, semble favoriser la Comédie. L’on
répond
que Saint François de Sales considère la Comédie
hrysostome dans son Homélie 38. sur le chap. 11. de Saint Matthieu, a
répondu
à la première partie de cette objection S. Chryso
uteur. » Quant à l’exemple que donnent ceux qui vont à la Comédie, on
répond
qu’il ne peut rendre légitime ce que l’Eglise a t
ie, c’est par prudence et pour éviter un plus grand mal. C’est ce que
répondit
autrefois Saint Isidore de Peluse Isidor. Pelus.
soit mauvaise, et qu’elle ne soit toujours défendue par l’Eglise. On
répond
à la seconde question, ou demande de l’exposé ; q
ne manière déterminée à une chose mauvaise. A la troisième demande on
répond
, que l’Opéra est d’autant plus dangereux, qu’à la
que vous fuiriez une chose très honteuse. » A la quatrième demande on
répond
, que si la Comédie est mauvaise dans la pratique,
tre ne l’est pas assez. Quoiqu’il en soit, d’autres imiteront, en lui
répondant
, l’amertume de son style, et croiront être aussi
permettent par intervalles cet oubli mutuel et passager ; s’ils vous
répondent
enfin qu’ils ne vivent ensemble que pour être heu
mon Gouverneur, ai-je bien du plaisir ? M. Rousseau mérite qu’on lui
réponde
plus sérieusement ; mais faut-il aussi nous rédui
ère l’attache ? l’a-t-il confondue avec l’effet ? M. Rousseau peut me
répondre
, que le public ne fait pas ces distinctions philo
ants reproches ; et quand ce père irrité lui donne sa malédiction, de
répondre
d’un air goguenard, qu’il n’a que faire de ses do
mande jusqu’où peuvent aller les ménagements d’un homme vrai ? Je lui
réponds
, exclusivement jusqu’à l’équivoque. Suivant ces p
mais il a soin de la choisir facile à détruire. Il suppose qu’on lui
répond
que la pudeur n’est rien, et il s’attache à prouv
tions glorieuses pour les uns, et humiliantes pour les autres : j’ose
répondre
que les hommes ne seront pas retenus, ne seront p
imprudemment aux caprices aveugles de l’amour ? Non, sans doute, lui
répondrai
-je ; mais supposons que votre fils ne soit pas na
, dans l’émotion physique des sens ? Si telle est son idée, j’ose lui
répondre
, qu’aucune des pièces où l’amour est peint vertue
croit toujours se fonder sur l’estime. » J’ai dit comment le théâtre
répond
à ces vues ; mais dans les principes de M. Rousse
ue les femmes sauvages n’ont point de pudeur, car elles vont nues, il
répond
que « les nôtres en ont encore moins, car elles s
montrer pour de l’argent, conviendrait à d’honnêtes femmes » ? Je ne
réponds
point au premier article : j’ai fait voir que dan
tateurs, que ne l’étaient Corneille et M. Rousseau lui-même ? S’il me
répond
qu’elle leur vend sa présence, son action, sa voi
ommes libres, et leur état n’avait rien de honteux ; M. Rousseau nous
répond
qu’ils représentaient les actions des héros ; que
s, tom. 17, p. 210. a. [NDE] Après D’Alembert et Dancourt, Marmontel
répond
en 1759 à la Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alem
arlât avec tant de hardiesse "Pourquoi ne le trouverais-je pas bon ?"
répondit
le Duc; "on a droit d’être hardi quand on dit la
pe : on cherchait à l’irriter contre l’Auteur de cette pièce, mais il
répondit
toujours: "je n’ai garde de vouloir du mal à Moli
da au Duc de Montausier ce qu’il pensoit de ces prologues ? Je pense,
répondit
-il, que votre majesté mérite tous les éloges qu’o
en présence d’une foule d’ecclésiastiques & de dames. Le C. Je
réponds
d’abord que les représentations théâtrales des co
une condamnation si juste & si méritée. Le Chevalier ne sut que
répondre
; mais, en homme qui ne se déconcertoit pas, il f
es jusqu’à nos jours. 187 LETTRE. Où l’Auteur des Discours précédents
répond
à quelques difficultés qu’on lui avait proposées.
ant les belles passions. » Et l'humilité de théâtre souffre qu'elle
réponde
de cette sorte en un autre endroit : « Cette hau
Je viens de lire la lettre que vous avez adressée à M. Rousseau, pour
répondre
à celle que ce savant a publiée au sujet de l’art
e Genève ; vos ouvrages parviendront jusqu’à eux, & ils sauront y
répondre
, s’ils le jugent à propos. Ce qui m’intéresse plu
lles les obligent à se conduire vertueusement, et sans reproche, pour
répondre
à la sainteté de la Religion dont ils font profes
xhorte tous les Chrétiens de se conduire de telle sorte, que leur vie
réponde
à la dignité, et à l'honneur du nom de Jésus-Chri
s le choix de ses maîtres, & dans la maniere de l’instruire. Elle
répondit
mieux que d’autres, parce qu’elle avoit de l’espr
ré l’excès de leur flatterie, les Anglois les ont laissé perdre. Elle
répondit
quelque mot Latin à des Ambassadeurs Polonois, qu
r, quoiqu’il ne l’eût jamais appris. L’en écorchoit quelquun pour lui
répondre
sur le même ton. C’étoit une conversation macaron
ot grossier à la bouche, preuve d’une éducation négligés. Madame, lui
répondit
-il, il est de la meme espece que le vôtre ; je pa
mander l’aumône, elle dit avec mépris : Pauper ubique jacet. Il lui
répondit
sur le même ton : In thalamis Regina tuis hac no
es Mémoires au public, quel ajustement lui convenoit le mieux. Je lui
répondis
que c’étoit la mode Italienne. Je savois que cett
ssadeur n’a pas d’instructions par écrit sur ces matieres-là. Comment
répondre
, sans déplaire à l’une ou à l’autre ? Acte III.
vorable qui répandez sur moi vos douces influences, &c. La Reine
répondit
: Si vous m’aimez autant que vous le faites paro
r au-devant de lui . Ce Prince, sur le ton de la politesse Françoise,
répondit
qu’il avoit trop de soin de la santé de la Reine
sant les belles passions. » Et l'humilité de théâtre souffre qu'elle
réponde
de cette sorte en un autre endroit : « Cette hau
tir de la bouche d’un Sectateur de Spinosa. J’aurai l’avantage de lui
répondre
à cet égard que nos Auteurs modernes,3 guidés par
n trouver à aliéner la réputation & défigurer des faits ? Bon, me
répondra
un de ces idolâtres de l’imposture, êtes-vous ass
t compâtir en elles avec la modestie & les bonnes mœurs. » Je lui
répondrai
qu’il faut que le Public en ait,27 c’est lui qui
ouve. La Comédie est donc le refuge des infâmes, me dira-t-on ? mais,
répondrai
-je, les cloîtres, lieux consacrés à la piété &
hi par l’arrière-change) tenus à lui sur notre étroite amitié. Je lui
répondis
: Méprise les propos dont ici l’on te berce, Et
fait appercevoir de son absence, & lui demande à quoi il rêvait,
répond
le plus souvent [à rien.] L’Interrogateur lui rip
e enfermé, il lui demanda ce qu’était devenu son Frère, ce Prince lui
répondit
froidement qu’il l’avait perdu de vue dans la pou
e premier, & qu’il n’avait sauvé sa vie que par sa mort. Non, lui
répondit
son Père enflammé de colère, faible excuse : il f
nécessaire à ma santé, comme tout galant Homme, j’aurai l’honneur de
répondre
à cette impudence (dussai-je me brouiller avec le
nt que pour troubler les Spectacles, ou pour s’y faire voir ? mais je
répondrai
, combien est-il de personnes qui ne vont au Servi
différence d’un Pasteur à un Comédien, direz-vous ! Je n’en vois pas,
répondrai
-je. Sur un Comédien vicieux, il est cent Prêtres
ule de hoquets bachiques, (qu’il travestit en tressaillement) peut-il
répondre
des actions des autres ? tandis qu’il était atten
, A l’épreuve à tout venant. « ensuite venaient les enfans qui leur
répondaient
en chantant de toute leur force. « Et nous bien
cette imposture, dictée par la noirceur, je m’arme de la mienne pour
répondre
à cette impudence atroce. Le mot d’Histrion est d
des choses innocentes, honnêtes & agréables, il est aisé de leur
répondre
avec Tertullien qui se fait la même objection, qu
ssant, de dessein prémédité, la convoitise qui en est le principe. On
répond
que pour prévenir le péché, le théâtre purifie l’
: on charge ensuite le corps de rubans dont la diversité des couleurs
répond
à la diversité des passions ; on met enfin mille
us bien dire que c’est par l’amour de Dieu que vous y allez ? Laissez
répondre
votre cœur, c’est lui que j’interroge. Aller aux
parlent aux oreilles, qui trouvent dans les cœurs une sensibilité qui
répond
aux mouvemens qu’ils ont taché d’y produire, jett
a Religion & aux mœurs, il semble que je pourrois me dispenser de
répondre
aux vains raisonnemens par lesquels on le justifi
ne représente que des inclinations honnêtes.Je fais bien ce que vous
répondez
, que pour prévenir le péché l’on ne représente qu
r dans la suite pour produire des fruits de mort. Voilà ce qu’on peut
répondre
à ceux qui prétendent pouvoir assister aux specta
lui siéroit pas de goûter ; si c’étoit un Pere de l’Eglise, vous lui
répondriez
comme les disciples de Jesus-Christ à leur Maître
mp; nous avons encore les éloquentes apologies qu’ils publioient pour
répondre
à ces accusations glorieuses : Quelle différence
pectacles. Ils sont persuadés que vous y avez renoncé, & ils nous
répondront
en nous citant les premiers écrits de nos Docteur
lien, que les spectacles ne sont point défendus dans l’Ecriture. Non,
répond
le saint Docteur, ils n’y sont pas expressément n
toujours grand soin de nous le dire : mais depuis qu’on le dit, on a
répondu
, & je le réponds encore, que si le théâtre pu
de nous le dire : mais depuis qu’on le dit, on a répondu, & je le
réponds
encore, que si le théâtre purge les passions, for
ner, le monde ne se rend gueres à de pareils raisonnemens : sans rien
répondre
, il se retranche sur son expérience ; j’y consens
e plaindre, s’il le faisait. Ils ont souffert avec patience qu’on ait
répondu
à M. Desmarets, et je ne m’en étonne pas : un Pro
e revancher ; mais il faut qu’ils prennent quelque autre voie. Car de
répondre
comme un écho qui répète les mots qu’on lui dit,
oint quelque réception extraordinaire à cause de M. de Bagnols ; elle
répondit
qu’on ne devait rien ajouter pour cela à la maniè
e procès au premier qui se présente, on le fait à tous. Voudriez-vous
répondre
comme cela pour tous vos confrères, et n’auriez-v
ttre d’essenciel, qu’elle y joint des Notes, dont l’objet sera, I. De
répondre
aux Misomimes ; de prévenir les Objections ; de d
émoire des Martyrs ; car ils n’ont pas besoin de nos louanges, qui ne
répondent
jamais à leur mérite ; et ils ont une entière fél
est si important dans la Religion Chrétienne. Le Pape Nicolas premier
répondant
aux Bulgares, marque distinctement les exercices,
our l’instruction des Spectateurs et pour la correction des mœurs. On
répondra
, peut-être, que l’amour dans les Tragédies, qui e
, et qu’ainsi il n’y aura que l’amour de la Comédie à réformer. Je ne
répondrai
pas à cette objection pour le présent ; parce que
DE GENÈVE. Faut-il avoir autant d’esprit que vous, Monsieur, pour
répondre
à l’Ouvrage que vous venez de donner au Public av
s qualités absolues. » Pourquoi, Monsieur, trouvez-vous qu’on ne peut
répondre
si les Spectacles sont bons ou mauvais en eux-mêm
Cette barbare fille entendant sa mere demander la vie à son fils, lui
répond
: Mais auriez-vous donc eu pitié de lui, et; eûte
bon esprit de rire du ridicule qu’on donne à la simple vertu. Je vous
réponds
d’abord que c’est pointiller sur le Spectacle ave
et; transporte ; ô vous zelé défenseur des droits de la simple vertu,
répondez
: Est-ce de bonne foi et; en suivant les lumieres
Et quoi qu’amis enfin, je suis tout des premiers. Le Misantrope lui
répond
durement : Moi votre ami ! Rayez cela de vos pa
pour quelqu’un, qu’est-ce autre chose que se mettre à sa place ? Que
répondre
à cela ? Lecteur, j’en ris. Vous convenez, Monsie
les Comédiens et; les femmes, je ne me donnerois pas la peine de vous
répondre
. Ces sortes d’ouvrages ne sont point dangereux, p
n puissante ; mais s’il est facile de le prévenir, qu’aurez-vous à me
répondre
? Vous regardez comme une chose impossible d’avoi
t d’amour pour le libertinage, ne désirent pas en sortir ? Qui vous a
répondu
qu’ils n’en donneroient pas les preuves les moins
é de donner matiere à la solidité de mes observations. On pourroit me
répondre
à l’objection que je fais sur cette conduite, que
changer d’une main à l’autre. Voilà l’effet du Commerce. S’il falloit
répondre
à toutes les infamies que vous vomissez contre le
ns les autres villes du Royaume, m’y autoriseroient. Qu’auriez-vous à
répondre
? La remarque que vous faites sur cette fameuse A
minie et; aux affronts qu’on achette le droit de lui faire. » Je vous
répondrai
moi que le métier du Comédien est l’art de faire
l faire augmente avec la facilité. » Il est trop au dessous de moi de
répondre
à des grossiéretés de cette nature. Tous ceux qui
ns y meurent de faim, ou que les habitans se ruinent. Je vous ai déja
répondu
à cette objection en vous faisant voir qu’un État
obligé ; et; que tout au plus on apperçoit le germe du vice, je vous
répondrai
moi : Principiis obsta, serò medicina paratur
re salaire de vos talens que celui de vous faire haïr ? La vérité, me
répondrez
-vous, fait des ennemis. Cette maxime auroit besoi
ter aux spectacles ; ils sont persuadés que vous y avez renoncé ; ils
répondront
en nous citant les premiers écrits de nos Docteur
lien, que les spectacles ne sont point défendus dans l’Ecriture. Non,
répond
ce Docteur, ils n’y sont pas expressément nommés
toujours grand soin de nous le dire ; & depuis qu’on le dit, on a
répondu
, je le réponds encore, que si le théâtre purge le
soin de nous le dire ; & depuis qu’on le dit, on a répondu, je le
réponds
encore, que si le théâtre purge les passions, for
er ; le monde ne se rend guere à de pareils raisonnements ; sans rien
répondre
, il se retranche sur son expérience. J’y consens,
gerer le desordre qui s’y trouve, je n’en apporteray pas moins à vous
répondre
sur ce chapitre ; car je dis qu’il n’en est pas d
ns. Je pretends donc satisfaire suffisamment à vôtre demande, en vous
répondant
que c’est peché, & même peché mortel à l’égar
oiblesse des premiers, ni l’obligation des seconds, & qui n’ont à
répondre
que d’eux-mêmes ? Je dis, Messieurs, que parmy ce
des disgraces d’un Amant maltraité d’une personne fiere, qui n’a pas
répondu
aux vœux ni aux soins de celuy qui luy a marqué u
trouva pris & arrêté, lorsqu’il s’y attendoit le moins. Qui vous
répondra
que le poison que vous avez pris sans y penser, n
salue, quelqu’un lui demanda s’il connoissoit cette jolie actrice, il
répondit
des obcénités sur le commerce qu’il disoit avoir
-tems ; l’Arioste l’écoutoit avec la plus grande attention, sans rien
répondre
pour se justifier : son frere lui demanda, quand
lui demanda, quand son pere se fut éloigné, pourquoi il n’avoit rien
répondu
pour sa défense ; c’est , lui dit-il, que je tra
harmes, & la route qu’il faut tenir pour y parvenir. L’oracle lui
répondit
: Apprens à mèsurer tes pas en cadence, à monter
lui ressembloit extrêmement : votre mere est-elle venue à Rome ? Non,
répondit
-il, mais mon pere y est venu souvent. Ce plagiat
été le germe de la scélératesse, ou en affermir la résolution. Qui me
répondra
que les grands coupables, dont nos lois ont fait
dans une querelle d’enfants pour de pures vétilles, le plus jeune me
répondit
avec la gravité du Cid : on ne transige point ave
ore la légende : Sicut infantes audinos. k — « D’où venez-vous ? » me
répondit
-il. « Cette légende modeste convenait autrefois ;
. Je demandai pourquoi tant de monde ? — « Ça vous étonne, papa », me
répond
un jeune homme, porteur d’une médaille, que j’ai
chez tous les marchands de nouveautés », il a écrit son opuscule pour
répondre
à un concours de l'Académie de Lyon : De l'Influe
lent d’un feu discret. Ce soin que nous prenons de notre renommée
Répond
de toute chose à la personne aimée. De l’amour
ont qu’un épouventail, dit Elmire, la prétendue honête femme). On lui
répond
: Je puis vous dissiper ces craintes ridicules
ur la religion & les mœurs ! Je prends le mal sur moi, je vous
réponds
de tout. N’y a-t-il que les dévots qui tiennen
a raison de représenter qu’elle devroit être plus modeste, & qui
répond
avec une impudence cynique (théatrale) : Vous
e piece sainte (le Martyre de Sainte Cécile), jouée devant le Roi. Je
répondis
que la Cour & la comédie étoient deux théatre
e toute sorte d’Ecclésiastiques & de Religieux s’y trouvoient. Je
répondis
que les Ecclésiastiques & les Religieux n’avo
tissage : il commence par être duppe, il finita par être fripon. Elle
répond
: J’ai employé toutes les ressources, j’ai rallum
li tout en colère, c’est vous qui l’avez enivré le dernier. Tais-toi,
répond
Lulli, si j’en réchappe, ce sera lui qui m’enivre
e de tous les biens, & en particulier des choses mal acquises. Il
répond
que les choses dont l’acquisition est un crime, c
nt à voir peindre & représenter, comme le dit Aristote. A quoi il
répond
que sans doute en général, regarder la représenta
prévenir le mal que ces écrits pourroient faire, le Pape chargea d’y
répondre
le P. Concina, qu’il honoroit de sa confiance. Ce
des Casuistes, qui n’y trouvent qu’un péché véniel dans plusieurs. Il
répond
ensuite aux objections, aux autorités, aux prétex
es, & qui cherchoient un azile. Quand les gens du Vaisseau eurent
répondu
qu’ils savoient des Vers d’Euripide, on leur perm
ulurent le faire interdire, sous prétexte qu’il étoit en démence : il
répondit
à cette accusation en lisant aux Juges son Oedipe
uve le fragment d’une Comédie, où la Musique toute déchirée de coups,
répondant
à celui qui lui demande quels ont été ses bourrea
pas, lui dit, Seigneur, ne me connoissez-vous pas ? N’es-tu pas, lui
répondit
froidement Agesilas, Callipidas le farceur ? Cet
: je vous avoue même que plusieurs des pièces de ce grand Comique ne
répondent
point à la pureté du théâtre ; d’autres auteurs l
des plus grandes objections que vous puissiez me faire ; je peux vous
répondre
, à la vérité, que vous êtes tous les jours exposé
dans ses sortes d’assemblées, & de divertissemens ?… Mon âge, me
répondez
vous, mon rang, ma dignité m’obligent d’avoir une
que risibles, montrent qu’il y a quelque chose dans l’interieur, qui
répond
au dereglement exterieur. Veritablement, si l’ext
ire, et place l’autorité dans une situation difficile, car enfin, que
répondra
le magistrat au pasteur qui lui dit en substance
l atteste une instruction solide, et je ne sais trop ce que l’on peut
répondre
aux faits que l’auteur a réunis pour appuyer son
e, Commentaires sur l’Evangile selon saint Matthieu, « Homélie 38 »].
répond
, que sans courir au théâtre, nous trouverons la n
e la vie, et néanmoins la profession n’en est pas blâmable. A quoi il
répond
, qu’en effet elle n’est pas blâmable pourvu qu’el
s : N’as-tu-pas honte de mentir devant tout le monde ? Le bouffon lui
répondit
ce qu’on répond encore : Ce n’est qu’un jeu sans
nte de mentir devant tout le monde ? Le bouffon lui répondit ce qu’on
répond
encore : Ce n’est qu’un jeu sans conséquence. Le
à l’école d’un Dieu, qui dit, Je suis là voie, la vérité, la vie ; ne
répondez
que par un oui ou par un non, tout ce qui est au-
eut de si grandes liaisons. Lorsqu’il fut exilé dans son diocèse, il
répondit
à la Princesse, qui lui avoit écrit : Quand on n
étes née grande sur la terre, faites vous sainte dans le ciel, &
répondez
à la grace extraordinaire que Dieu a répandue dan
it prier la Reine de l’inviter. La Reine qui n’en avoit aucune envie,
répondit
froidement : Je crains de l’incommoder. La Prin
se des plus grands guerriers : mais la place étoit prise. Au lieu d’y
répondre
, on en plaisanta : elle étoit ridicule. Le Maréch
réparé ; que jusqu’alors il ne falloit pas s’y attendre. La Reine ne
répondit
à tous ces écrits que par un Edit qui déclare le
ites écrivirent à cette occasion des lettres très-sages, la Princesse
répondit
sur le même ton : elle rappelle son ancienne voca
turelle de son mari, Abbesse de Maubuisson ; quoique même sa conduite
répondit
mieux à sa naissance qu’à sa dignité. Il faut san
▲