êler ce qui concerne la Comédie chantante, ou Opéra-Bouffon, avec les
règles
des différens Drames : on dira que j’aurais mieux
suivre mon prémier plan. En éffet, ne rapproche-je pas davantage les
règles
dont il serait à souhaiter que les Poètes du Spec
s mieux la nécessité de suivre sans cesse la Nature, c’est-à-dire les
règles
dramatiques ? Mais, me demandera-t-on sans doute,
prouvé que la Comédie-mêlée d’Ariettes est susceptible de toutes les
règles
, puisqu’on l’appelle un Drame. Cette alliance, c
vais eu quelque chose de particulier à observer, si je n’avais eu des
règles
toutes neuves à proposer, ou du moins de nouvelle
ons, & les Comédies-mêlées-d’Ariettes, péchent souvent contre les
règles
, pourvu qu’ils nous amusent ? Est-il nécessaire q
ces de Théâtre, qui nous font vraiment plaisir, renferment toutes les
règles
de l’art ? La prémière loi est de plaire ; quand
? Soyons encore assurés que ce n’est point le caprice qui établit les
règles
Théâtrales, mais l’étude réfléchie de ce qui est
, sans soutenir une opinion bisare, qu’il n’y a que l’observation des
règles
en tout genre qui promette de véritables succès.
t genre qui promette de véritables succès. Tout ce qui s’écartera des
règles
, comme, par éxemple, le Spectacle moderne, ne peu
tes du nouveau Théâtre, & à ceux des diverses Spectacles, que les
règles
sont d’une importance extrême, & que ce n’est
établi. Beaucoup d’Auteurs Dramatiques s’élevèrent jadis contre cette
règle
si sensée. Après bien des disputes, elle surmonta
douceur de pouvoir se dire à soi-même, qu’on n’a rien fait contre les
règles
, doivent nous animer d’une noble émulation, &
ne, transportent leurs Acteurs dans plusieurs endroits. Outre que les
règles
sont éxtremement violées par un pareil usage, les
s, les Anglais, les Espagnols & les Italiens, de s’asservir à des
règles
trop génantes, aussi leurs Poèmes ne craignent il
ossible de s’étendre au delà de deux Actes sans contredire toutes les
règles
. La Scène du Maréchal-ferrant ne change point ; m
ux de Spectacle. Nous devons conclure d’une si bisare coûtume que les
règles
de leurs Drames sont très différentes des notres.
fait une remarque au Théâtre, qui me conduit à proposer une nouvelle
règle
d’unité de tems. Celui de l’action de nos Pièces
de veiller au milieu de la nuit ; mais on aurait tort d’en faire une
règle
générale. Etant décidé que l’action des Drames ne
cinq heures, & sa fin à huit. Il est quelques Drames où cette
règle
nouvelle est suivie. Selon moi, cette règle a
lques Drames où cette règle nouvelle est suivie. Selon moi, cette
règle
adoptée répandrait de grandes beautés dans les Pi
itôt après l’heure du souper. M. Sédaine n’ignorait pas sans doute la
règle
que je propose. Il a soin de faire avertir, par u
durée que celle de la représentation. Si l’on s’obstine à rejetter la
règle
utile dont je suis peut-être l’inventeur, au moin
sse. Quand on s’écarte de l’Unité de tems, on renverse toutes les
règles
. Je reviens à mon sujet. S’il se trouvait que
es, je me contenterai de lui faire observer qu’il renverse toutes les
règles
reçues. En suivant son éxemple, la vrai-semblance
le & Euripide, qui dès la naissance du Théâtre pratiquaient cette
règle
, source de mille beautés. L’action du Maréchal es
ttant dans votre Pièce deux Acteurs qui partagent l’intérêt. De cette
règle
bien entendue résulte le bon ordre dans un Poeme
que je prie de bien considérer, & qui servira d’éxplication à la
règle
dont il s’agit. Divers incidens forment une grand
éffauts en jettant tout l’intérêt sur un seul Acteur. Pourquoi la
règle
de l’Unité de personne est établie. La règle
eur. Pourquoi la règle de l’Unité de personne est établie. La
règle
de l’Unité de personne est tirée de la connaissan
vaise humeur. Enfin, il est essentiel de suivre scrupuleusement cette
règle
, si l’on a quelqu’estime pour la vraisemblance &a
itôt. Les nouveaux Poèmes du Spectacle moderne contredisent autant la
règle
dont je parle que les Anciens. En général les uns
Héros amoureux ; à la bonne heure ; vous travaillerez alors selon les
règles
. Je vois dans le Roi & le Fermier trois perso
é n’a pas besoin que je prenne cette peine : & voulant donner des
règles
pour la composition des Pièces de notre Opéra, je
mon Lecteur, et lui faire connaître ce que je pense. Je fais cas des
règles
sans en être l’esclave : je suis l’admirateur de
lave : je suis l’admirateur de la nature ; et toutes les fois que les
règles
s’en éloignent il m’en coûte peu pour les abandon
sât de présomption en combattant l’opinion générale, j’ai soutenu les
règles
tant que j’ai pu ; comme on en peut juger, surtou
ler. Quoique je me sois scrupuleusement attaché dans mes Ouvrages aux
règles
d’Aristote, et que j’en ai même fait le fondement
procher d’avoir changé d’avis, si je critiquais aujourd’hui ces mêmes
règles
. En effet, pour peu qu’on veuille se rappeller qu
d’être contraire à moi-même. Je me suis, il est vrai, conformé à ces
règles
dans ce que j’ai donné ; mais il est aisé de voir
r une digue à la prévention générale : j’ajoute que je n’ai suivi ces
règles
que lorsqu’elles m’ont paru conformes aux précept
e trouvais d’abord, dans les Anciens et dans leurs Commentateurs, des
règles
qui choquèrent ma raison ; je fis bien des réflex
avenir occasion d’écrire sur cette matière. En un mot je respecte les
règles
, lorsqu’elles me paraissent dictées par la nature
Chapitre II. Que les nouveaux Drames sont susceptibles de
règles
, ainsi que les autres Poèmes. A Près avoir pr
à leur composition, il est naturel de dire qu’ils sont fondés sur des
règles
, qu’on ne doit point ignorer. L’étude en est abso
modernes sont remplis de difficultés, il est clair qu’ils éxigent des
règles
, un art inconnu du vulgaire qu’on ne peut se disp
à son esprit pour tirer cette conséquence ? La moindre Chanson a ses
règles
, ses loix particulières ; les Strophes doivent en
moins, aucun contradicteur. Le nouveau Théâtre change souvent les
règles
dramatiques. Il est bon d’avertir le Lecteur
rtir le Lecteur que si le nouveau Théâtre va quelques fois puisér des
règles
chez les Anciens, il se réserve toujours le droit
’appercevra sans peine que la plus-part de ses Poèmes, fondés sur les
règles
qui constituent les Drames en tout genre, s’écart
constituent les Drames en tout genre, s’écartent assez souvent de ces
règles
si èssentielles. J’ôse me flatter qu’on me rendra
s je n’ai point négligé de rappeller très-souvent à leurs Auteurs les
règles
sages & judicieuses, qui forment seules un Dr
enre naissant des Drames tant applaudis de nos jours s’est écarté des
règles
reçues, & soulève contre lui la critique &
ectacles, qui de nos jours semblent trop souvent vouloir négliger les
règles
, en cherchant à se distinguer par des nouveautés
nger qu’ils s’écartent alors de ce qui plaît réellement ; puisque les
règles
ne sont établies que d’après ce qui charme généra
ortir à propos les Acteurs. On sera certain de suivre toujours la
règle
dont je parle, si l’on fait attention à l’entrée
u’il sera possible. Le prémière Sçène même éxige qu’on pratique cette
règle
à la rigueur ; les plus fameux Auteurs Dramatique
résent on n’y regarde point de si près. L’observation éxacte de cette
règle
rendrait la plus-part de nos Pièces défectueuses.
e. » Où pourra-t-on rencontrer une manière plus rigide d’observer les
règles
? Suite des moyens de faire entrer naturellem
aucune raison, & afin de faire place à d’autres. « Je tiens cette
règle
indispensable, dit le grand Corneille ; & il
à dire. » La sortie de vos personnages sera naturelle & dans les
règles
, lorsqu’ils s’éloigneront pour un motif nécessair
s une faute considérable, sans même s’en douter ; ils contredisent la
règle
qu’ils ont avancée, que ce n’est souvent que pour
éclater32 ». Un avis si sage, si important, mérite de passer pour une
règle
; je n’ai pas besoin de m’éfforcer de montrer les
’entrée & la sortie de leurs Acteurs se font souvent en dépit des
règles
& du bon sens ; c’est soutenir une vérité qui
e. L’on est tenté de croire que ses Poètes affectent de manquer à une
règle
aussi généralement reçue, afin de se distinguer d
die-mêlée-d’Ariettes, ne mérite pas que l’on s’éfforce d’observer des
règles
quelquesfois gènantes. Les personnages des Pièces
toujours éxister parmi nous un Spectacle qui renverserait toutes les
règles
? Jamais un pareil ridicule ne sera reproché aux
es Drames Bouffons devront toujours être composés de Scènes selon les
règles
, & ses Acteurs ne doivent pas entrer & so
uls coupables, puisqu’ils ont donné le prémier éxemple de l’oubli des
règles
. Les Tragiques Grecs, si souvent proposés pour mo
reprends le fil de mon discours. Buchanan, Heinsius, si amateurs des
règles
, ont souvent négligé la liaison des Scènes dans l
ose à désirer, malgré le grand nombre de volumes où il est traité des
règles
dramatiques. On a lieu d’être surpris qu’on n’ait
oin de trop présumer de mes forces, en mettant au jour cet abrégé des
règles
les plus nécessaires au Théâtre, je n’ai cherché
particuliérement le Théâtre auquel son génie le porte, verra que les
règles
sont générales, du moins parmi une Nation, &
apprendra toutes, en paraissant n’en étudier qu’une partie. Ainsi les
règles
rapprochées s’éclairciront mutuellement, & de
arer en adoptant mes principes ; les Grands-Hommes qui ont traité des
règles
du Théâtre, seront presque toujours mes guides ;
n’être pas sans cesse le copiste de ceux qui ont écrit avant moi les
règles
du Poème Dramatique. Afin de donner d’avantage à
issent sur la Sçène ; ils servent à le faire sortir d’avantage. Cette
règle
ne sçaurait trop être suivie à la rigueur. Les Gr
s modernes s’attâchent à mettre dans leurs ouvrages de Théâtres cette
règle
nécessaire, qu’on ne sçaurait enfreindre sans dét
blesses, à leur erreur. Je pense même qu’une Pièce est mieux dans les
règles
lorsqu’elle finit sans que ses personnages se soi
lusieurs Sçènes, ne sçaurait être autorisé. C’est donc envain que les
règles
recommandent au Poète de ne jamais représenter se
èces enjouées. L’Opéra-Bouffon ne peut se dispenser de suivre ces
règles
. Tout ce que je viens de dire au sujet de ce
es Poètes de l’Opéra-Bouffon que les Auteurs des divers Théâtres. Les
règles
que contient ce Chapitre leur sont indispensables
de citer plus haut : Il faut que ses Acteurs badinent noblement. La
règle
que je conseille ici paraîtra peut-être une étran
soit facile de s’y tromper. On est persuadé de l’importance de cette
règle
, qui tire son origine du genre même du Théâtre-mo
IV. Le mariage
règle
la concupiscence, mais il ne la rend pas réglée ;
es cette passion, on n'imprime pas en même temps l'amour de ce qui la
règle
: les spectateurs ne reçoivent l'impression que de
rs ne reçoivent l'impression que de la passion, et peu ou point de la
règle
de la passion: l'auteur l'arrête où il veut dans
oit aussi être éclairé. C’est M. Rousseau qui va parler encore. « Les
règles
du Duo, & en général de la Musique à deux par
sique à deux parties, sont les plus rigoureuses pour l’harmonie ; ces
règles
étaient bien plus sévères autrefois ; mais on s’e
ositeurs, de la nouvelle musique sur-tout, observent-ils toujours ces
règles
judicieuses, puisées dans la Nature ? Des Tri
intimement liés au sujet, était bien plus délicat & plus dans les
règles
de l’art. Les chœurs laissaient reposer un moment
vec succès. D’ailleurs, la plus-part des Savans qui ont écrit sur les
règles
théâtrales, l’ont conseillé au Poète Dramatique.
e la laisser s’éteindre. Mais il ne s’agit point de considérer si une
règle
est difficile ; il faut seulement observer si ell
V. Le mariage
règle
la concupiscence, mais il ne la rend pas réglée.
par les Comédies, on n'imprime pas en même temps l'amour de ce qui la
règle
. Les spectateurs ne reçoivent que l'impression de
rs ne reçoivent que l'impression de la passion, et peu ou point de la
règle
de la passion. L'auteur l'arrête où il veut dans
ui servent à l’action qui se passe sur la Scène. Quand je propose des
règles
si sévères et si sublimes, je n’ai pas la présomp
ma Tragédie. J’avouerai qu’à l’examiner dans toute la sévérité de la
règle
, la critique est raisonnable ; mais s’il fallait
les Ouvrages de Théâtre. Si Monsieur de Corneille se fût imposé cette
règle
, que serait devenue cette belle Scène que Rodrigu
isemblablement dans moins de temps qu’il ne faut pour satisfaire à la
règle
de vingt-quatre heures ; et d’ailleurs cette unit
core moins à la critique qui est fondée sur le goût et non pas sur la
règle
. Mais je ne saurais me taire sur l’étrange critiq
nombre des Acteurs. L es Auteurs qui ont entrepris de donner des
règles
sur le Théâtre, ont été jusques à marquer combien
sans confusion. Quel est mon sentiment à ce sujet. Voici les
règles
que je proposerais, si ma voix était comptée pour
rande partie des Acteurs se retirent. Mais je n’ose appuyer sur cette
règle
, dans la crainte qu’elle ne soit trop contredite.
le même lieu tout un Village. Voila, je l’avoue, un oubli marqué des
règles
. Il eut été facile de reculer ces deux Scènes, &a
d’une façon moins marquée. Si les Tragiques Grecs avaient établis la
règle
des divisions des Drames, pour accorder aux Spect
uence, & qui importent fort peu au Poète qui veut s’instruire des
règles
du Drame. On n’est point d’accord sur le nomb
n homme d’esprit m’a soutenu qu’il était plus naturel & selon les
règles
de réduire les Drames en général au nombre fixe d
nous prétendons qu’une Tragédie n’ait jamais moins de cinq Actes. La
règle
sévère à laquelle nous l’assujettissons n’est poi
est pas tout-à-fait hazardé. Qu’on ne se moque pas de la nouvelle
règle
que je propose. Les Anciens nous en ont donné l’é
omposer en deux Actes. N’arrêtons jamais les progrès d’un art par des
règles
trop rigoureuses ; permettons-lui de les enfreind
sure de plaisirs, ou d’ennui, égale à celle du Poème le plus dans les
règles
. Je ne doute pas que les Poètes dont je parle ne
igine des païens, et qui sont entièrement opposés à l’Evangile et aux
règles
de la discipline chrétienne ; qu’il représente so
suffit pour montrer qu’on les doit entièrement exterminer. » Sur ces
règles
si saintement établies pour l’utilité des Chrétie
ont refusé l’absolution, ont très bien fait, puisqu’ils ont suivi les
règles
de l’Eglise, qui n’admet point à la participation
ublic qu’ils ont donné. Ceux donc qui consultent, trouvent dans cette
règle
du Rituel de Paris la conduite qu’ils doivent gar
Dieu de la grâce qu’il leur a faite de ne s’être point écartés de la
règle
de l’Eglise. Qu’ils s’en tiennent à cette règle q
e point écartés de la règle de l’Eglise. Qu’ils s’en tiennent à cette
règle
qui est celle de toute l’Eglise, puisque le Ritue
rspéctive y était observée ; car Vitruve (Lib. vij) remarque, que les
règles
en furent inventées & mises en pratique dès l
les autres de pur ornement. Les Décorations de pur ornement n’ont de
règle
que le goût. Les Décorations de décence sont une
& celle-ci borne les Auteurs à la plus rigoureuse unité de lieu ;
règle
gênante, qui leur interdit un grand nombre de bea
eu près de même. Mais il y a beaucoup à rabattre de l’accusation. Les
règles
des Jésuites y sont absolument contraires, ces rè
accusation. Les règles des Jésuites y sont absolument contraires, ces
règles
célèbres, si bien combinées pour un gouvernement
Cour le P. Caussin, Confesseur du Roi, qui voulait s’en mêler. Or ces
règles
veulent qu’on ne représente des pièces de théâtre
ue les sujets de sorte qu’il n’y entre aucun rôle de femme. Que cette
règle
est sage ! qu’elle est expresse ! langage, sujet,
l’Université de Paris. (art. 28. statut.), qui semble avoir copié la
règle
des Jésuites. Or les Jésuites sont trop soumis au
mais eu dans leurs pièces des rôles de femme. Sur la garantie de leur
règle
, de leur sagesse, de leur piété, j’ai droit de m’
it ici : « Ces Pères sont accommodants, savent adoucir la rigueur des
règles
: et pour gagner tout le monde à Dieu, se prêtent
, que sera-ce dans la licence d’une troupe de Comédiens, qui n’ont de
règle
que leur profit et le plaisir des spectateurs ? L
ui, qu’elles tomberaient d’elles-mêmes, si on les renfermait dans ces
règles
. » Je laisse à la conscience de cette savante et
multiplicité des pièces qui se représentent, on a toujours suivi les
règles
de ce vénérable Institut, à la faveur desquelles
grands et si visibles, que l’on est obligé de parler et de donner des
règles
pour en arrêter la licence. Nous n’avons que trop
une malheureuse corruption a insensiblement établi, qui doit être la
règle
de notre conduite. Ce sont les règles de l’Evangi
blement établi, qui doit être la règle de notre conduite. Ce sont les
règles
de l’Evangile et les Saints Canons que l’Eglise n
suffisait pour l’autoriser. IX. Nous avons sujet de craindre que les
règles
que nous donnons ici à notre Diocèse, et que nous
re X. Des Décorations. M on dessein n’est point de donner des
règles
aux Peintres ni aux Machinistes. L’art de la pers
on travail & mes peines. A quoi me servirait de raisonner sur des
règles
que l’on ne connaît plus ? Il est vrai que les dé
La vraisemblance serait alors mieux observée. Sophocle a suivi cette
règle
trop dédaignée, avec un art infini dans son Elect
ours des Dieux ? Racine, dans sa Tragédie d’Esther, a mis en usage la
règle
que je recommande. Il serait d’autant plus beau a
charmerait seulement que ceux qui auraient fait une longue étude des
règles
de la peinture ? Il faut que toutes les productio
ges de M. de Voltaire, sans être né Poète, sans avoir aucune idée des
règles
de la versification. Les oreilles sont enchantées
e plusieurs Musiciens Français, sans qu’elles soient dirigées par les
règles
de la musique. Il nous échappe, tout au plus, que
Madame, que j’ai lu autrefois la plupart des livres, qui donnent des
règles
pour les pièces de Théâtre ; j’ai feuilleté les A
s choses dans leur source. Aristote a été le premier, qui a donné des
règles
pour la pratique du Théâtre ; ses règles ont dans
le premier, qui a donné des règles pour la pratique du Théâtre ; ses
règles
ont dans tous les temps servi de modèle à tous ce
einsius a fait encore un beau traité sur la poétique, où il donne des
règles
pour faire une bonne Tragédie selon la méthode d’
ur porter les hommes à la vertu, et pour les détourner des vices ; la
règle
générale est que la vertu soit récompensée, et le
le Poète place cette reconnaissance à propos, en observant toutes les
règles
de la vraisemblance. La fin des pièces dramatique
; il doit se servir de tout son esprit, et mettre en œuvre toutes les
règles
de son art, pour jeter le trouble dans l’âme des
uement aux actions vertueuses, qui demeurent sans récompense. La même
règle
doit être observée pour condamner le vice, qui de
a Comédie, et vous aider à connaître celles qui sont faites selon les
règles
de l’Art ; mais pour en être mieux instruite, je
ier Tome de ses ouvrages : Il examine cette matière à fond, selon les
règles
que les Anciens nous ont laissées de la pratique
à vos réflexions ; et vous ferez vous-même aisément l’application des
Règles
que je vous envoie. Je ne déciderai point la ques
on voit à la Comédie, est réglé par la raison ; si l’on y observe les
règles
d’une exacte bienséance ; si dans la perfection o
, ni actions, qui soient contre les bonnes mœurs, ni qui choquent les
règles
d’une exacte bienséance, ce serait une sévérité o
a suite, des Comédies pernicieuses, et qui blessaient directement les
règles
de l’honnêteté, il faut s’en prendre aux Comédien
fession ; comme il faudrait punir un Médecin, qui ne se servirait des
règles
de son Art, que pour composer des poisons. C’est
ue est la principale partie. Il est peu de traité particulier sur les
règles
de notre Opéra-Sérieux. On nous a appris son hist
on n’a presque rien dit de détaillé au sujet de son genre, & des
règles
dont il est susceptible42. Après avoir parlé du
éxaminer l’Opéra-Sérieux des Français ; jettons un coup d’œil sur les
règles
qui lui sont propres, & sur celles que doiven
52 Que les Drames lyriques sont susceptibles de la plus-part des
règles
des autres Pièces de Théâtre. Ceux qui ont pr
Ceux qui ont prétendu que ses Poèmes n’étaient susceptibles d’aucune
règle
, ont montré qu’ils ne le connaissaient guères. S’
es éxiger, & veut en même-tems que ses Pièces soient soumises aux
règles
. Soyons fortement persuadés que l’Opéra-Sérieux e
n des Pièces Grecques, on peut dire que leur dénouement est selon les
règles
, puisque cette machine est à demi-prévue ; l’Opér
Il est si vrai que le Drame lyrique est composé selon les principales
règles
qu’éxigent les autres Théâtres, que si quelque Au
a-Sérieux est l’ouvrage du goût & de la connaissance parfaite des
règles
de l’Art ? Régles particulières à l’Opéra-Sér
Régles particulières à l’Opéra-Sérieux. Voyons présentement les
règles
qui lui sont particulières, & ce qu’il est im
p; après avoir réfléchi sur le genre des Poèmes sérieux, donnons pour
règle
certaine, que les Sujets du grand-Opéra doivent ê
raverser un bras de mer considérable, former un siége dans toutes les
règles
, & faire la conquête d’une Ville fortifiée ?
apperçoit que le Poète lyrique est contraint de secouer le joug d’une
règle
qui serait trop gênante. Il nous persuade d’abord
es considérables ; ce qui paraît absurde, & tout à-fait contre la
règle
, qui veut que les Pièces de Théâtre ne contiennen
e viens de dire doit montrer que le Théâtre lyrique est fondé sur des
règles
assez difficiles, contre la commune opinion : je
quelques mois, des observations très-curieuses sur le genre & les
règles
des Poèmes de l’Opéra-Sérieux ; mais il faut parc
tait chez les Anciens. Les Anciens ne la restreignait point à des
règles
aussi gènantes. Euripide est de tous les Auteurs
tastrophe ; je ne doute pas qu’il n’ait la gloire de réussir. Mais la
règle
générale, la seule que l’on suit & que l’on c
andent beaucoup plus d’action que de paroles. Avant d’entrer dans les
règles
que je vais établir, voyons d’abord de quelle nat
t, & l’on s’inquiette peu si ses Poèmes sont tout-à-fait dans les
règles
. D’ailleurs, les différents genres qu’il embrasse
ud d’une espèce différente. J’engage ses Poètes à le tenter. La seule
règle
qu’ils ayent suivis jusqu’à présent, est de ne po
. Le dernier Vaudeville du Maréchal-Ferrant, par éxemple, est dans la
règle
que je propose ; Je suis un pauvre Maréchal , &a
rs Vaudevilles, l’Auteur immortel dont je parle ici. Voilà toutes les
règles
que j’aie à prescrire sur le dénouement du Drame
Théâtre. Les Dénouemens des nouveaux Drames ne sont pas dans les
règles
. Ils diffèrent tous, selon moi, de ceux dont
nsidérable. A ucun Auteur ne peut se vanter d’avoir écrit sur les
règles
du Théâtre avec autant de succès qu’Aristote. La
ue son auteur fut doué ? Il instruisit d’un art qui n’avait guères de
règles
de son tems, & dont chaque nation vient au bo
de trois mille ans chercher dans son Livre la connaissance & les
règles
certaines. Si Aristote vivait, il eut écrit su
elles, fit de très-mauvais Drames-Bouffons, après en avoir appris les
règles
par cœur. Voyons ce qu’on est obligé de sçavoir,
certain qu’il vous suffit de savoir ce qu’on a écrit de mieux sur les
règles
Dramatiques. Lisez attentivement les Auteurs qui
e Ouvrage qui traite en partie du Théâtre moderne, doit renfermer des
règles
Bisares & singulières, quand ces règles lui s
derne, doit renfermer des règles Bisares & singulières, quand ces
règles
lui sont analogues. Voila mon jeune Éleve instrui
ns, en parlant de ce qui concerne les Drames en tout genre, & des
règles
éssentielles auxquelles ils sont assujettis. 8
ce n’est dans le froid, dans l’ennuyeux, dans le ridicule, selon les
règles
des maîtres de l’art ? « Aut dormitabo, aut rideb
plus dangereux que celui de la beauté même. C’est donc combattre les
règles
et les principes des maîtres, que de dire avec la
sont faites pour les exciter, et que si elles manquent leur coup, les
règles
de l’art sont frustrées, et les auteurs et les ac
it une grande étendue, puisqu’elle contient tous les principes et les
règles
qui doivent juger le monde, non seulement dans le
re affaibli. Elle a deux objets, les satisfactions permises dont elle
règle
l’usage, les réduisant à une juste modération, et
de la Comédie fonde ses jugements sur l'application qu'elle fait des
règles
de la poétique aux ouvrages des particuliers dont
y sont gardées: si l'action, le temps, et le lieu sont conformes aux
règles
que les Poètes se sont prescrites pour faire que
. Comme c'est la religion de Jésus-Christ qui la guide, elle suit des
règles
infaillibles, et pourvu qu'elle les applique avec
ons ne passent dans l'esprit de ceux qui ne se conduisent pas par les
règles
de l'Evangile que pour de nobles maladies de l'âm
ces cendres et mes pleurs, Je veux que de ma haine ils reçoivent des
règles
, Qu'ils suivent au combat des urnes au lieu d'Aig
péché que celui qui laboure la terre. Je ne pense pas que selon cette
règle
on puisse justifier celui qui va à la Comédie, ni
ans l'Evangile. Ils n'ont pas accoutumé d'examiner les choses par les
règles
que j'ai suivies. Car, comme dit l'Apôtre, I. Cor
méchante Morale ; il n’avait que de l’horreur pour vos maximes ; ses
règles
dans l’administration du Sacrement de Pénitence,
ût l’âme des bonnes œuvres ; qu’elle en fût la fin, le principe et la
règle
. Or quelque Saint que soit un Evêque vous ne lui
rné à un certain nombre de personnes : mais ils ne connaissent ici ni
règles
ni bornes. Ce n’est pas seulement le ridicule que
raL’Anglais dit : « Ainsi l’homme d’Eglise renversera-t-il toutes les
règles
des Echecs. Le fou noir se trouvera à la place du
précisément le Prêtre qu’il corrige. Que M. Dryden suit rarement les
règles
de l’équité dans ses Comédies ! C’est presque son
izésae ; mais pourquoi le passait-il donc à son ami ? ces verves sans
règle
sont d’un Ecolier et non d’un Maître. Pour reven
t chimériques, et sa fureur poétique ne l’entraîne jamais au-delà des
règles
. Virgile en un mot sait conserver tout ensemble e
nt autrement que nos Poètes au sujet des Prêtres : ils suivaient pour
règles
et la nature et l’usage établi ; ils savaient que
d’ordinaire la dignité, et ne leur attribue rien qui ne soit dans les
règles
. J’avouerai pourtant qu’il s’oublie bien en quelq
ons pour Monarque un Julien, et que les lois de l’Antechrist sont les
règles
que nous suivons. Dégrader de Noblesse les Minist
ugle et bien ignorant pour fouler ainsi aux pieds et la raison et les
règles
de l’art. D’un autre côté, quelle espèce de plais
rsonnes mêmes de bon goût ! Mais le Clergé n’est pas toujours dans la
règle
? et il faut bien qu’il soit averti de ses fautes
. L’Anglais dit : « Ainsi l’homme d’Eglise renversera-t-il toutes les
règles
des Echecs. Le fou noir se trouvera à la place du
de laisser à juger aux autres, et que vous n’avez point appliqué les
règles
que vous voulez qu’on établisse. Le monde entend
oit de le mépriser, ni ne se méprise soi-même, pour pécher contre des
règles
contraires à celles qu’il s’est proposé de suivre
On les reconnaît par là ; et je crois qu’on peut presque établir pour
règle
que dès qu’on en voit quelqu’un qui fait ces sort
time son prix. On peut même dire qu’il s’y connaît, et qu’il sait les
règles
par où il en faut juger. Il n’ignore pas que ce q
prophète ; à établir le nouvel ordre des victimes ; à leur donner les
règles
de sa nouvelle théologie mystique ; enfin à débit
qu’elles y soient, quoiqu’ils fussent déchargés de la preuve selon la
règle
de droit, ont prouvé cent et cent fois cette néga
vont chercher dans « Saint Bernard » et dans « Saint Augustin » des «
règles
» pour discerner ceux qui sont véritablement sage
n de ses Pièces. Les Auteurs de notre Opéra suivent souvent cette
règle
importante. Messieurs Sédaine & Quetant mérit
Acte ne saurait être vu. Je n’en serai point un crime à l’Auteur. La
règle
que je propose n’a pas encore fait fortune. Il se
lus facile de composer quelques couplets malins, qu’un Poème dans les
règles
. Origine de la Parodie. La critique fut de
mposant des Vers de plusieurs tragiques célèbres une Comédie dans les
règles
; il s’appliquait à donner un sens burlesque à un
’elles attirent des Spectateurs. La Parodie est soumise aux mêmes
règles
que les autres Drames. Je terminerai cet arti
lerons dans un autre endroit. Pour abréger. Un honnête homme dans les
règles
du Théâtre Anglais, c’est un insigne libertin, un
nnages des débauchés, et les couronner à la fin de la pièce contre la
règle
de la Comédie, qui est de récompenser la vertu et
se tire mal de ce mauvais pas. Il répond qu’il « ne connaît point de
règle
semblable, constamment observée dans la Comédie,
». Et que s’ensuit-il de là ? que les Poètes ne sont pas toujours en
règle
. Une loi peut être très bonne quoiqu’elle ne soit
arer le défenseur de la vertu, et du respect dû à la Religion. De ces
règles
qu’il prescrit au Chœur nous pouvons conclure son
Dramat. Pour venir à ce but, Ben Jonson avait été obligé de violer la
règle
de l’unité d’action : M. Dryden n’oublie pas de f
à ce qu’il tâche de croire. Il met « une différence infinie entre les
règles
de la Tragédie et celles de la Comédie : et c’est
claves, des valets, des Maîtres mêmes châtiés : et tout cela dans les
règles
de la Justice, le devoir d’un Poète étant d’instr
e seyaitar beaucoup mieux au Capitaine Thomas :P. mais le Poète a ses
règles
particulières ; tout est bon à son sens pour un M
e plus difficile à décider, comme a fait le Docteur Fabricius par ses
règles
prétendues, qui mettent l’esprit dans une plus gr
ans une plus grande incertitude, que l’Ecriture même. Car ce sont des
règles
qu’on peut appliquer comme on veut. J’ai fait cet
De la tragédie ancienne et modernea. On n’a jamais vu tant de
règles
pour faire de belles Tragédies, et on en fait si
ré à M. d’Aubignac, dit Monsieur le Prince, d’avoir si bien suivi les
règles
d’Aristote : mais je ne pardonne point aux règles
r si bien suivi les règles d’Aristote : mais je ne pardonne point aux
règles
d’Aristote d’avoir fait faire une si méchante Tra
i miscuit utile dulci » ; k ce qui ne pouvait jamais être selon les
règles
de l’ancienne Tragédie. Je finirai par un sentime
attentifs à se servir de ce moyen ? Le génie seul doit donner les
règles
du Vaudeville. C’est au Génie seul à enseigne
re de ceux que produisit l’aimable Pannard, en apprendra plus que les
règles
& les leçons. On y verra que l’enjoument &
point éffrayé de la difficulté du travail. Je vais proposer quelques
règles
qui pourront coucourir à la perfection de nos Dra
sons ; Il ne prétendait sûrement pas que sa remarque passât pour une
règle
. Je vais rapporter un Vers du Satirique Français,
différens genres de l’Ariette, parce qu’ils ne contredisent point les
règles
générales sur lesquelles je viens de jetter un co
ation étendue de ce qu’on vient de dire en abrégé. La raison de cette
règle
, c’est que souvent on n’entend pas bien les parol
enté, il nous a fait connaître combien il était exact observateur des
règles
de l’honnête homme, en respectant les égards de l
ve dans les Femmes Savantes. Clitandre aime Henriette dans toutes les
règles
de la bienséance ; il la demande en mariage à son
un mot je ne trouve rien dans cette Comédie qui ne soit conforme aux
règles
les plus sévères de la bienséance ; et par conséq
ouvement du corps, qui même en quelques endroits se fait avec plus de
règle
, et avec plus de mesure. Mais cet autre sorte d’e
’y mêlent, et le péché s’y trouve très fréquemment, et que suivant la
règle
des Jurisconsultes,L. 3. et 4. ff. de leg. il fau
pas au Théâtre ? Est-ce que les femmes laissent chez elles toutes les
règles
de l’honnêteté, lorsqu’elles viennent à la Comédi
ce point, les usages du monde et les principes de la conscience, les
règles
de la politesse et les maximes de l’Evangile sont
a moindre notion de l’honnêteté ? Ils en foulent aux pieds toutes les
règles
les plus communes. Ont-ils de la religion ? L’on
det dicere hac præsente verbum turpe. » Les esclaves chez lui sont en
règle
et sur leurs gardes :Heauton. ils fuient l’occasi
blesse Romaine, elles étaient un moyen sûr de l’offenser. De là cette
règle
d’Horace. « Non immunda crepent ignominiosaque
x qu’il leur plaît. Reprenons. Landaus prescrit à ses filles de sages
règles
de conduite : elles avaient à demeurer dans une t
n’y tombe jamais. Que nous nous sommes misérablement soustraits à ces
règles
des Maîtres de l’Art ! à ces règles qui ont pour
es misérablement soustraits à ces règles des Maîtres de l’Art ! à ces
règles
qui ont pour fondement, la raison ! Sur notre Thé
chet par M. D'Urfey. Le Théâtre d’Athènes s’est vu jusqu’ici dans la
règle
; mais je tombe d’accord qu’il n’y a pas été sans
ns de quiconque se moquerait de l’existence d’un souverain Etre ? des
règles
à nous prescrites par sa sage providence ? des di
u les manières des autres : Aristophane lui-même n’ignorait point une
règle
si essentielle, quoiqu’il pratiquât le contraire.
ons ne passent dans l’esprit de ceux qui ne se conduisent pas par les
règles
de l’Evangile, que pour de nobles maladies de l’â
ces cendres et mes pleurs ; Je veux que de ma haine ils reçoivent des
règles
, Qu’ils suivent au combat, des urnes au lieu d’Ai
péché que celui qui laboure la terre. Je ne pense pas que selon cette
règle
on puisse justifier celui qui va à la Comédie, ni
ns l’Evangile : ils n’ont pas accoutumé d’examiner les choses par les
règles
que j’ai suivies. Car, comme dit l’Apôtre, "l’hom
re aux Ephésiens, Chapitre 5 vers. 3. 4. 17. et 19 qui renferment les
règles
de la conversation des Fidèles ; « Qu’on n’entend
t. Les pères et les mères qui ne se seront pas efforcés de suivre ces
règles
de l’Apôtre dans l’Education de leurs Enfants, et
Théâtre : en conséquence de ce principe je propose une méthode et des
règles
pour exécuter la réforme dans toutes ses parties
ique de ceux qui ne se piquent pas de beaucoup de délicatesse sur les
règles
des bonnes mœurs ; étant persuadé au surplus que
sera-ce dans la licence d’une troupe de comédiens, qui n’ont point de
règle
que celles de leur profit et du plaisir des spect
u’elles tomberaient d’elles-mêmes si on les renfermait dans de telles
règles
. Qui ne voit donc que la comédie ne se pourrait s
, que de se travailler vainement à les réduire contre leur nature aux
règles
sévères de la vertu. Le génie des pièces comiques
t à fait indigne d’un évêque ou d’un prêtre, de refuser de suivre les
règles
que l’Eglise, où est le siège de Saint-Pierre, su
ut à fait indigne d’un évêque ou d’un prêtre de refuser de suivre les
règles
de l’Eglise ; Or, il est manifeste, cependant, qu
ependant, que les évêques et les prêtres ont enfreint ces lois et ces
règles
, et que le chrétien, dans l’amertume de son cœur,
étant considérés selon les principes de la Religion Chrétienne et les
règles
de l’Évangile g» ? Il me semble que la vérité et
ne patience et une humilité Evangéliquei ? La Religion Chrétienne qui
règle
jusqu’aux désirs et aux pensées, ne condamne-t-el
traire. Il dit que les Poètes de Théâtre ne travaillent pas selon les
règles
de l’Evangile, et vous soutenez qu’on leur a bâti
horribles étant considérés selon les principes de la Religion et les
règles
de l’Evangile ? Tout ce que vous dites ensuite, v
onséquence de l’un à l’autre. Le Traducteur n’a dans l’esprit que des
règles
de Grammaire qui ne sont point mauvaises par elle
ant considérées selon les principes de la religion chrétienne, et les
règles
de l’Évangile. » h. [NDE] Laurent Thirouin renv
dete, modestia vestra nota sit omnibus ». La raison même prescrit des
règles
dans le choix, et met des bornes dans l'usage des
sir unique. » Dira-t-on qu'en matière de divertissement, l'homme sans
règles
, sans bornes, sans ménagement, sans crainte, peut
ouvent les donne. Remue-t-il la passion, la pièce fût-elle contre les
règles
, ne fût-ce qu'une farce de l'Opéra comique, l'Act
nce de Condé : « Je sais fort mauvais gré à Aristote d'avoir fait des
règles
si ennuyeuses. » On pardonne tout à qui sait trou
leurs allures ? Qui prendra des leçons de chasteté d'une Actrice, des
règles
de sagesse d'un Arlequin, des principes d'éducati
me de bien qui est persuadé. Au reste, nulle maxime chrétienne, nulle
règle
évangélique, nul rapport à Dieu, nul mérite pour
té bienheureuse qu’ils espèrent, et qu’ils apprennent des Diacres les
règles
de la discipline Ecclésiastique.« Attentius eum a
n’a pas reçu ce pouvoir en vain. Dieu le lui a donné pour appuyer les
règles
de la discipline de l’Eglise, et afin que ce que
ient introduites dans son Diocèse ; et pour assujettir son peuple aux
règles
des Saints, et à la discipline de l’Eglise : et s
s à la grandeur du caractère, à l’opinion commune de son pays, et aux
règles
de la bienséance ordinaire. Aristophane même dans
angage en ce cas sera proportionné à leur élévation ? Et pourquoi ces
règles
qu’il prescrit dans une Préface, ne sont-elles pa
ns auxquelles l’usage et la bienséance doivent céder ; et alors « une
règle
doit être plutôt abandonnée qu’une beauté dans un
out ce qu’il a écrit, je ne saurais juger de son mérite que par cette
règle
: Ex pede Herculem. Je finis par un endroit de l
elle aboutit à une mauvaise fin ; le vice y est récompensé contre la
règle
fondamentale de la poésie Dramatique. On y voit l
Ville. Lorsqu’on a une fois imaginé un caractère, il doit suivant la
règle
d’Horace subsister uniforme, semblable à lui-même
ps par rapport aux trois Unités ; de Temps, de Lieu, et d’Action. Ces
règles
sont établies pour cacher la fiction, pour faire
e moins dans la même ville, où d’abord elle a été mise. Cette seconde
règle
est une suite de la première : car l’espace du te
iscours sur les trois Unités Voyons combien le Relaps s’écarte de ces
règles
. Premièrement. Sa Comédie par une exacte supputat
ion de la beauté et du prix. Sur cet examen du Relaps par rapport aux
règles
de la Poésie Dramatique, il paraît assez que cett
les lumières d’une saine raison. Nous ne saurions donc ignorer ici la
règle
de notre conduite : ces exemples nous l’apprennen
mples nous l’apprennent assez ; mais nous ne pouvons abandonner cette
règle
sans nous rabaisser au-dessous du Païen, sans ren
composa quelque temps après un autre ouvrage où il prétend donner des
règles
,De Remed. Amor. sinon de tempérance, au moins de
uerre, ne voulaient souffrir le Théâtre en aucune façon, sous quelque
règle
qu’on pût le réduire. Au regard des Romains, Cicé
e, qui sommes élevés dans le sein de la vertu, et obligés de vivre en
règle
; à Dieu ne plaise que nous salissions nos pensée
e plus court pour s’éloigner de tout ce qui choque la pudeur. Car les
règles
qu’on s’applique et qu’on se prescrit soi-même, o
, il en est d’autres capables de faire impression sur les femmes. Les
règles
de la bienséance en général, les lois étroites de
t point de quelle manière on doit traiter les Spectateurs suivant les
règles
de la vraie Poésie : le plus mauvais plat de leur
s méchants de vos principes généraux. Le 1. renverse la plus certaine
règle
de la bonne conscience reconnue par les Païens mê
posé au soin qu’a pris M. le Cardinal Grimaldi, de faire observer les
Règles
de S. Charles dans le Sacrement de Pénitence, en
licet interdum joca honesta ac suavia sint : ils sont contraires à la
règle
de l’église : ab ecclesiastica abhorrent régula :
ns les écritures, et qui dans le fond, comme il dit, est opposée à la
règle
. Saint Thomas pour adoucir ce passage si contrair
ntifie l’auteur, Jules Boll, et note un autre titre : Mimicologie, ou
Règles
du geste et de l’éloquence dramatique fondées sur
acilité merveilleuse pour l’expression, réduisit la Muse Tragique aux
règles
de la décence & du vrai ; elle apprit à se co
t que ses Ouvrages sont devenus l’exemple du beau & le modèle des
règles
. Il fut couronné 12 fois, & finit ses jours â
de naturel, de force & de fécondité, sans aucune connaissance des
règles
: on trouve dans ce grand génie le fond inépuisab
fait que de travailler vainement à les réduire contre leur nature aux
règles
sévères de la vertu. » Boss[uet]. p. 4… 141. D.
Opéra, ni la Comédie. L'amour du plaisir ne prescrit point contre les
règles
de l'Evangile. Le Théâtre pour être fréquenté n'e
es ne lancent pas sur lui moins de foudres. Etroitement liées à cette
règle
primitive, source de toutes les autres lois, qui
supérieure à tous ces nuages, n’a garde d’abandonner la sainteté des
règles
à la corruption de leurs transgresseurs. M. Bossu
& si l’Italienne doit lui être préférée. On finit par donner des
règles
sur toutes les parties du chant théâtral à une &a
ogues, quoiqu’assez semblables à la Pastorale, demandent pourtant des
règles
différentes. Elles sont, par éxemple, plus suscep
u’on veut trouver dans un Spectacle champêtre. Essayons de donner des
règles
précises de la Pastorale telle que les Nations mo
Peuple en général, & particulièrement aux Français. Quelques
règles
au sujet de la Pastorale. Il est nécessaire q
ail. L’observation éxacte de la Nature a donné naissance à toutes les
règles
, mais celle ci sur-tout est tirée de ce que nous
s afin de s’approcher de la Nature. Il aurait tort de ne suivre cette
règle
éssentielle, que dans des sujets historiques &
ux quelles le Comédien est obligé de se livrer ; ni lui éxpliquer les
règles
de son art, je ne veux parler que de la beauté de
un simple cannevas de Pièce, ou une Pantomime, pour un Drame dans les
règles
. Et quand nous oserons faire imprimer des Poèmes
saire d’avoir un génie neuf, élevé, nerveux, qui, ne reconnaissant de
règles
que son sentiment, ne bâtisse point sur le dessei
de loi que la nature : ils ont jeté les Auteurs dans un labyrinthe de
règles
embarrassantes et ridicules : ils leur ont mis de
omme il n'en faut point pour convaincre un Chartreux instruit dans sa
règle
, que ces divertissements profanes lui sont défend
omme il n'en faut point pour convaincre un Chartreux instruit dans sa
règle
, que les divertissements profanes lui sont défend
si on ne donne point de bornes au plaisir, et si l’on ne prescrit des
règles
aux hommes pour leurs divertissements ; l’inclina
n Traité de obligat. Cleric. part. 2. n. 45. Il ajoute que même cette
règle
de bienséance est abrogée par un usage contraire,
grillées), de danger de péché mortel, de défense particulière de leur
règle
, et que le sujet de la pièce soit quelque histoir
qu’en particulier elle est alors permise même aux Religieux, si leur
règle
ne le défend pas expressément, comme si les canon
ses particulières pour une chose mauvaise d’elle-même, à laquelle les
règles
n’ont pas dû penser qu’il fût nécessaire de pourv
cteurs qui les ont suivis, et Saint Thomas comme les autres, avec les
règles
sévères qu’on vient d’entendre de leur bouche, au
ettaient reconnaissaient du moins qu’ils ne suivaient pas en cela les
règles
de la religion. Mais aujourd’hui qu’on a trouvé l
Qu’ils lisent vos Ouvrages, ils y verront la manière dont on suit les
règles
si recommandées par les Partisans de la Nature &a
ce est l’impiété. » Remarque. IL faut ici remarquer qu’en la
Règle
n’est défendu au Tertiaires d’assister à toutes s
Du Stile. A prés que le Poète aura disposé son Drame, selon les
règles
qu’il vient de voir, il pourra commencer à l’écri
la chaleur d’une prémière représentation, qu’à la marche & qu’aux
règles
générales du Drame entier. Nous voyons en éffet,
angage honnête & poli. Or, comment le pourrait-il, si l’on met en
règle
, que les Drames peuvent être écrits avec négligen
l’Ecaille. Les Huitres ont donc du sang ! C’est extravaguer dans les
règles
. Il appelle Boileau, Ce Corbeau déniché des Mont
’au Tiers ordre des Cordeliers, Augustins, Jacobins, Carmes, dont les
règles
ne défendent aux Confrères d’aller à la comédie.
dont les règles ne défendent aux Confrères d’aller à la comédie. Les
règles
des Congrégations des Jésuites n’en parlent pas,
’écoliers, d’artisans, qui les composent, ne s’échappassent malgré la
règle
: il est plus prudent de se taire. Le Père Lauren
urent de Peirinis, fameux Minime, dans son Traité sur l’esprit et les
règles
de son Ordre (Q. 3. p. 4. n. 286.), croit qu’il e
ujet prêtait de mérite à un Poème ; ils l’ont même soumis à certaines
règles
, avant d’avoir la moindre notion des autres diffi
j’ose en pénétrer les Mistères, & que je m’enhardis a donner des
règles
pour la composition de ses Poèmes. Tom Jones, la
voit-on dans quelques unes de leur Comédies des Processions dans les
règles
, & tout ce qui a rapport à la piété. Je dirai
Théâtre reconnaissaient au moins qu'ils ne suivaient pas en cela les
règles
de la religion chrétienne. Mais le caractère de c
ution se fera toute entière au Public, & l’on aura soin que cette
règle
soit mieux observée qu’elle ne l’est aujourd’hui
que le vice y soit laid, il faut qu’il y soit honteux. D’après cette
règle
, que doit-on penser de quelques Pièces comiques o
en voit peu qui se contentent des succès tranquilles de Lanoue. Cette
règle
, de suivre la nature, peut s’appliquer au Tragiqu
nnies des Drames tragiques ; à plus forte raison de la Comédie. Cette
règle
importante, toujours recommandée, est aujourd’hui
tre sera leur état ; & pour le reste, les Opéradiens suivront les
règles
de conduite prescrites pour les Acteurs-citoyens
pourraient faire les amis ou les ennemis des jeunes Acteurs, une des
règles
du nouveau Théâtre sera, que les Spectateurs n’ap
lle, succèdent à la liberté de fille*. Cependant, comme il est peu de
règles
qui ne puissent avoir une exception utile, celle-
rmi ceux qui auront des dispositions plus marquées pour cet art : les
règles
prescrites pour les Acteurs, leur seront communes
s, ou même aux Directrices : le Directeur qui contreviendrait à cette
règle
, pourrait être accusé par quiconque le voudrait ;
’est pas considérable, & exclus du Théâtre à la seconde : la même
règle
aura lieu à l’égard des filles ; & cette excl
deux. Ceux ou celles qui auraient violé sur le Théâtre quelqu’une des
règles
de la décence, & manqué à l’honnêteté publiqu
ont tous les jours une récréation honnête aux Citoyens : au moyen des
règles
ci-dessus, elle sera toujours neuve, toujours var
jours quelqu’un des Directeurs ou Directrices qui feront observer les
règles
, avec la plus grande exactitude. Ainsi l’on suivr
pectateurs, & de leur apprendre qu’on s’est couché & levé. La
règle
des 24 heures est violée, si l’on donne à la Repr
s leur rendre effroyables. *. Le sieur le Kain. *. On imitera cette
règle
si sage à des Spartiates, qui donnait aux filles
qui m’ont mis la plume à la main ; je n’ai cherché qu’à défendre les
règles
trop négligées, qu’à empêcher les jeunes Auteurs
théâtre, reconnaissaient au moins qu'ils ne suivaient pas en cela les
règles
de la religion chrétienne. Mais il s'est trouvé d
ous n’en connoissons point d’autres que celles dont l’Evangile est la
règle
, dont la grace de Jésus-Christ est le principe, d
t sur la scène tragique, est-il plus sûr, mes Frères, de prendre pour
règle
de sa conduite & de ses mœurs les maximes qu’
i les en affranchissent, une preuve de relâchement & un oubli des
règles
anciennes ? Ah ! je ne crains point de le dire :
imer la représentation d’un objet odieux. Si le Poète, peu fidèle aux
règles
de son art, vous présentoit l’idée de certains dé
& de bonne odeur, que ce soit-là l’objet de vos pensées & la
règle
de vos mœurs ; & que la paix de Dieu, cette p
ent jamais dû y être. Heureuse ignorance que celle qui ne sait ni les
règles
du Théâtre, ni les criminelles beautés des pièces
enoncé ? Il n’y a pas ici moyen d’échapper ; car l’Evangile est votre
règle
, dès que vous avez été baptisés, règle que vous d
per ; car l’Evangile est votre règle, dès que vous avez été baptisés,
règle
que vous devez suivre, à moins que vous ne voulie
là qu’il domine, en foulant aux pieds les lois de l’Evangile, et les
règles
de la pénitence ; qu’il vous arrache des pleurs s
à les rejeter si tôt qu’ils ne s’accordent pas avec l’Evangile, cette
règle
toujours vivante sur laquelle nous serons tous ju
ites, du caractère qu’Apollon fait du Héros. Car à l’examiner par les
règles
de l’une et de l’autre, comme nous allons faire,
oser, à faire représenter des pieces dans leurs maisons, à donner des
règles
de l’art dramatique, dont une bonne politique dev
en France. La fable d’Euphemie est très-mal conçue, contre toutes les
règles
& les usages monastiques, dont l’Auteur n’a a
t Sacrement est en réserve, ce qui est très-indécent & contre les
règles
. On va trouver le Confesseur au parloir ou au con
n, se rend ainsi complice des injustices de la mère, & contre les
règles
est seule témoin, qui seule dans ces murs me vit
est dis-je, que le mariage présuppose la concupiscence, qui selon les
règles
de la foi est un mal auquel il faut résister : co
répond, qu’en effet elle n’est pas blâmable pourvu qu’elle garde les
règles
qu’il lui prescrit, « qui sont de ne rien dire et
nnes actions & la punition des mauvaises. Si cette maxime est une
règle
du théatre, j’ai failli. Mais cette règle imagina
es. Si cette maxime est une règle du théatre, j’ai failli. Mais cette
règle
imaginaire est entierement contre la pratique des
i-même pour une fable, combien de traits d’histoire, de sentimens, de
règles
de morale, qu’il donne pour des vérités, & ju
ce de Condé après avoir vu jouer une piece de cet Abbé, où toutes les
règles
étoient observées : Je sais bon gré à d’Aubignac,
t observées : Je sais bon gré à d’Aubignac, dit-il, d’avoir suivi les
règles
d’Aristote ; mais je ne puis pardonner aux règles
, d’avoir suivi les règles d’Aristote ; mais je ne puis pardonner aux
règles
d’Aristote d’avoir fait faire une si mauvaise pie
mp; de bonnes comédies que de tragédies. Les traités dramatiques, les
règles
, les unités, les observations roulent plus sur la
it tout étonné de se trouver si savant & si grand observateur des
règles
, auxquelles il n’a guere pensé. Quelle obligation
au n’étoient pas du ressort du Parlement, comme il est vrai en bonnes
règles
de fortification, qu’on ne doit rien souffrir sur
mes « si délicates et si scrupuleuses » ne sont point touchées de ces
règles
de la conscience. Que je crains encore une fois q
tout ce qui précède, ou plutôt nous présenterons un court exposé des
règles
de conduite qu’offrent aux confesseurs les théolo
remêlerons au besoin de quelques courtes réflexions. Voici d’abord la
règle
que suit Mgr Bouvier : nous allons citer textuell
te du décalogue.) Enfin, nous croyons devoir rapporter encore ici la
règle
de conduite à tenir à l’égard des personnes qui f
. Vouloir réformer et réduire les spectacles, contre leur nature, aux
règles
sévères de l’honnêteté et de la vertu, ce serait
. DE RIANTZ. Sagot, Greffier. Sa30. Avril 1673. Ordonnance du Roi qui
règle
le nombre de Musiciens et de Joueurs d’instrument
OUIS. Et plus bas, Colbert. Et scellé. Sa27. Juillet 1682. Ordon. qui
règle
le nombre des Musiciens et des Joueurs d’instrume
t affichée le 10. du même mois. 30. Avril 1673. Ordonnance du Roi qui
règle
le nombre de Musiciens et de Joueurs d’instrument
des deux Troupes de Comédiens Français. 27. Juillet 1682. Ordon. qui
règle
le nombre des Musiciens et des Joueurs d’instrume
tiques soutiennent le contraire. Tâchons donc de nous servir de cette
règle
de saint Cyprien » ; que la raison doit expliquer
ait si bien qu’il trouve que ce saint Docteur approuve la Comédie. La
règle
de saint Cyprien est excellente : la doctrine de
ude. Ainsi je ne désespère pas que le Père ne prouve bientôt dans les
règles
que la Comédie est semblable à un bon repas où to
pour l’Eglise : mais il ne s’ensuit pas qu’ils n’aient point d’autres
règles
à suivre que celles qu’a l’Eglise dans son gouver
remettra l’affaire à leur jugement, dans une soumission parfaite aux
règles
de la conscience et de la charité. On les écoute
ssaires, parce qu’elles sont instructives. Le voilà pour lors dans la
règle
en partie ; mais, par un aveuglement inconcevable
gnan, après avoir exposé les vices de notre Théatre actuel, donne des
règles
sûres pour l’enrichir par des beautés solides, &a
t non seulement manquer de bon sens et d’équité, et violer toutes les
règles
de la piété et de la bienséance, mais c’est comme
r en conserver mieux toute la force, et pour garder en même temps les
règles
de la langue dans laquelle j’écris. Je dois enc
plus on est obligé de le contredire ou de ne s’y prêter que selon les
règles
établies par la religion et les lois, en ne se pe
détruire la comédie que de penser à la réduire, contre sa nature, aux
règles
sévères de la vertu. César ne trouvait pas que Té
xemples qu'on y donne ? quel homme vertueux voudrait les prendre pour
règle
, et avoir des enfants, des amis, des domestiques
en règlement au-dessus de son siècle : ou qu’il torde et émousse ses
règles
: ou, ce que je lui conseille plûtot, qu’il se re
k. [NDE] Erreur de jugement. l. [NDE] Refusent. m. [NDE] = ce qui
règle
la vie de la cité. n. [NDE] = le commun peuple,
n grand Pape, qui ne veut pas que dans la morale on se serve d’autres
règles
que de celles que nous ont laissé les Saints Père
tiques soutiennent le contraire. Tâchons donc de nous servir de cette
Règle
de saint Cyprien « Praeceptorum loco, etc. » lib.
réglé selon la raison, l’on doit appeler superflu ce qui passe cette
règle
, et défectueux ce qui ne l’égale pas. « Or est-il
son : il s’y trouve donc de l’excès quand elles ne suivent plus cette
règle
et qu’elles sont outrées en elles-mêmes, ou défec
êtes, et non pas de celles où l’on ne trouve rien que de conforme aux
règles
de la sagesse et de l’honnêteté ? « Pour preuve
i s’intéressent dans leur jeu. Saint Clément d’Alexandrie donnant des
règles
pour les mœurs en bannit entièrement les Jeux de
, mais uniquement à la vérité ; souhaitant de tout mon cœur suivre la
Règle
que nous donne saint Benoit, « De former nos acti
t, par la peine qu’il y a toujours à contenir de telles gens dans les
règles
de l’honnêteté. Vit. Pat. Ruf. in Paphn.cap16. h
one, venisti42 ? » Aristote, qui, dans son Art Poétique, a donné des
règles
pour le théâtre, sur lesquels nos grands maîtres,
onnons à nos Confesseurs de traiter dans le Tribunal conformément aux
Règles
marquées par l’Eglise ceux qui contreviendront à
ille ans. Ajoutons que les Grecs eux-mêmes, en composant des corps de
règles
sur les plus beaux ouvrages qui avoient paru chez
te force, ce sublime, qui avoient brillé dans leurs compositions. Ces
règles
, ouvrages de froids méditatifs, donnerent des ent
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