Port-Royal et qui n’ai de part à tout ceci qu’autant que j’y en veux
prendre
, je crois que sans vous faire d’affaire avec le P
ns l’esprit du lecteur, de l’avertir avant toutes choses, que vous ne
prenez
point le parti de M. Desmarets. C'est fort prudem
n’en avez pas vu les conséquences. Vous avez cru qu’il n’y avait qu’à
prendre
un tour de raillerie, et que par là on mettait sû
marques. Ses amis voudraient bien se revancher ; mais il faut qu’ils
prennent
quelque autre voie. Car de répondre comme un écho
parlerez comme cela, vous ne vous compromettrez point. Toutefois vous
prenez
courage ; et pour faire voir que vous êtes homme
raper ce genre d’écrire », comme vous lui reprochez à perte de vue, a
pris
une manière plus grave et plus sérieuse. Cependan
mbe quelque chose entre les mains qui mérite d’être joué, peut-on s’y
prendre
plus finement, et y donner un meilleur tour ? Et
oses. Voilà donc les bons Poètes hors d’intérêt. Les autres devraient
prendre
peu de part à cette injure. Car ils n’empoisonnen
juste ; et toute votre lettre se ressent de cette émotion qui vous a
pris
dès le commencement. Car, dites-moi, Monsieur, à
audrait aussi conclure, de ce que le même saint s’accuse d’avoir trop
pris
de plaisir aux chants de l’église, qu’il ne faut
nstitution du Pape Innocent X contre les cinq Propositions, on eût pu
prendre
un Capucin pour cet homme-là. Mais vous n’y regar
on envoya ce livre de Parish, et le plaisir que vous supposez qu’ils
prirent
à se voir « traiter d’illustres », à la complaisa
choses à faire avant que de songer à lire des romans. Mais vous avez
pris
votre parti, et il y a grande apparence que vous
que vous n’avez pas mieux aimé dissimuler la part que vous auriez pu
prendre
à l’injure commune, que de vous mettre au hasard
e, que de dire qu’ils ont tâché d’y apporter le remède, et qu’ils ont
pris
pour cela la meilleure voie qu’on pouvait prendre
remède, et qu’ils ont pris pour cela la meilleure voie qu’on pouvait
prendre
? Les comédies de Térence sont entre les mains de
ères ? S'il y en a qui s’attachent à ce livre par le plaisir qu’ils y
prennent
, sans se mettre en peine du péril où ils s’expose
cherchant dans cet ouvrage que ce qu’on y doit chercher, qui est d’y
prendre
une teinture de l’air et du style de cet auteur,
er de prévenir la réponse qu’on vous pourrait faire. Mais vous vous y
prenez
d’une manière qui mérite d’être remarquée. Vous v
s vous êtes souvenu qu’on avait dit quelque part, que « le soin qu’on
prend
de couvrir des passions d’un voile d’honnêteté ne
rnières nous émeuvent d’ordinaire tout autrement, parce qu’elles sont
prises
sur notre air et sur notre tour ; que les personn
tomberions insensiblement sur un sujet qui vous importune, et vous ne
prenez
pas plaisir qu’on parle contre les comédies et le
e feriez pas mal de vous en défaire. Mais au moins tant qu’il durera,
prenez
bien garde qui vous louerez : autrement en pensan
s jours de divertissement, pour tempérer le dégoût que nous pourrions
prendre
de la continuation du travail. Il a fait comme un
nt, qui dans son indifférence même est toujours louable, quand il est
pris
selon les lois de l’Eutrapélie. On appelle ainsi
illons pour lui. Aussi les grandes âmes ne s’abaissent jamais jusqu’à
prendre
leur divertissement pour s’arrêter au plaisir, il
jusqu’à prendre leur divertissement pour s’arrêter au plaisir, ils le
prennent
, comme ils feraient une médecine dans la vue de l
, sinon qu’il préparait son esprit à quelque chose de meilleur, qu’il
prenait
des forces pour mieux vaquer à la prière, qu’il s
st malaisé de ne rien gâter en une matière si délicate, et de si bien
prendre
ses mesures, que la vertu n’en souffre, et que le
elque beau qu’en soit le crayon, une ombre mal appliquée, un jour mal
pris
, une ligne hors d’œuvre fera une image que les bo
lle il ne se peut rien faire qui soit digne d’un homme d’honneur. Ils
prennent
pour guide la licence, qui est une pauvre aveugle
étuelle ? De plus c’est abuser du nom de divertissement de le vouloir
prendre
avec péché, tant s’en faut qu’il ait été institué
loir prendre avec péché, tant s’en faut qu’il ait été institué pour y
prendre
un plaisir criminel, qu’il n’est proprement que p
e, et se persuader qu’il y a autant à craindre des médecines à qui en
prend
sans nécessité, que des maladies mêmes : Elles ru
e de sommeil, qui répare les faiblesses de notre nature, lequel étant
pris
sans mesure, nous charge de mauvaises humeurs, et
i ne voudrait vivre que de médecines et de bolusc, ou qui en voudrait
prendre
à toutes les heures du jour : comme on dirait qu’
foires ou des pèlerinages, où les passants peuvent boire un coup, et
prendre
le frais pour une demie-heure, afin d’arriver plu
rait agir contre la nature du lieu qui n’est que pour passer. Si nous
prenons
le divertissement, comme un petit secours contre
ssif ; il ne doit point faire de déshonneur à la personne qui le veut
prendre
: Les conditions des hommes ont je ne sais quelle
a même liberté, ni d’actions, ni de paroles qu’un homme laïc pourrait
prendre
sans déshonorer sa condition. Personne ne dira qu
'état, à l’âge et à la condition d’un chacun : C’est de là qu’il faut
prendre
ses mesures pour ne se rien permettre, que le bie
en humeur ; mais c’était avec tant de réflexion, que s'étant une fois
pris
garde qu’elle enflait les joues en jouant de la f
s, était une suffisante excuse pour justifier le divertissement qu’il
prenait
dans son cabinet à la chasse des chats et des sou
sir de parer au coup, on les tourne, on les retourne, et on leur fait
prendre
tant de nouveaux jours qu’on peut dire qu’elles n
nage de la bonne opinion que nous avons de quelqu’un, se diminue : On
prend
par après des libertés, qui sont peu respectueuse
l n’en est point de plus innocent, qu’il ne coûte rien, qu’il se peut
prendre
à toute heure, qu’il ne lui faut aucun appareil,
qu’il fît, cette honnête exercice ne manquât point à qui le voudrait
prendre
. Pompée dont l’esprit populaire et magnifique che
asser leurs mauvaises pensées : Ce remède est très utile quand il est
pris
en saison, et qu’on ne fait point un lieu d’insol
s loin que nous n’avons de forces et de loisir pour marcher ; nous en
prenons
tant que nous voulons sans en être obligés à pers
t une fontaine, si bien qu’il faut ne se toucherl de rien, ou il faut
prendre
plaisir à la rare diversité que la campagne nous
le lieu de notre dernier rendez-vous, et nous inspire fortement d’en
prendre
le chemin. On disait du temps des Païens que de t
vec la santé ; elle peut être recherchée à toutes les heures du jour.
Prenez
-la le matin, prenez-la le soir ; faites-la longue
peut être recherchée à toutes les heures du jour. Prenez-la le matin,
prenez
-la le soir ; faites-la longue, faites-la courte ;
pied : Si vous aimez l’air sortez, si vous le craignez ne sortez pas,
prenez
la promenade dans une salle, prenez-la au jardin,
i vous le craignez ne sortez pas, prenez la promenade dans une salle,
prenez
-la au jardin, prenez-la à la campagne, elle est u
sortez pas, prenez la promenade dans une salle, prenez-la au jardin,
prenez
-la à la campagne, elle est utile partout. Elle n’
e ces remèdes chagrins, comme la diète et la purgation, qu’on ne peut
prendre
utilement qu’avec des précautions fâcheuses, des
aisse l’usage des choses comme la nature les a produites ; si vous en
prenez
peu, ce peu vous profite ; si vous en prenez beau
a produites ; si vous en prenez peu, ce peu vous profite ; si vous en
prenez
beaucoup, cela fait encore mieux ; il n’y a point
fait encore mieux ; il n’y a point de dose certaine qu’on n’en puisse
prendre
davantage sans se faire mal : Il ne faut ni balan
; le matin est le temps le plus favorable, le soir n’est pas mauvais.
Prenez
votre heure, c’est la sienne : Votre loisir sera
sienne : Votre loisir sera le sien ; en quelque quantité que vous la
preniez
, pourvu que vos forces la puissent souffrir avec
aimer la Musique ce nous devrait être assez que la sagesse de Dieu y
prend
plaisir. Le jeu dont elle dit qu’elle fait son di
ur de ses charmes, ou par l’impression de son pouvoir, elle leur fait
prendre
les mouvements et les passions qu’elle se propose
qui ne sont qu’une masse de chair, sont sensibles aux fanfares, et en
prennent
une chaleur qui les pique et les pousse dans la m
orter le coup dans la muraille. Dans le plus fort de son mal, un Page
prenait
le luth, le premier fredon qui frappait l’oreille
ondamné, qu’ils ne lui donnaient plus aucune visite ; il n’avait rien
pris
depuis trente-six heures, qu’il empirait visiblem
et lui fit ouvrir les yeux ; on lui donne une cuillerée de vin, il la
prend
; on redouble la chanson, il jette un petit souri
èvre, on retourne à sa première santé ; mais il arrive que quand on a
pris
du poison, quoiqu’on en guérisse, il nous en deme
si admirables effets ? Dieu nous a accordé la Musique pour nous faire
prendre
goût à ses louanges, et nous faciliter le moyen d
nous usions de vin fort et précieux. C’est-à-dire qu’il faut aussitôt
prendre
un contre-poison pour faire mourir un ennemi, que
ses impressions qui vous en pourraient rester. Après tous les remèdes
pris
et à prendre croyez que vous y avez plus perdu qu
sions qui vous en pourraient rester. Après tous les remèdes pris et à
prendre
croyez que vous y avez plus perdu que vous n’y av
us brutal et le plus violent y est comme dans un plein pouvoir. On se
prend
par la main, on se baise, on s’embrasse. Se peut-
que rien. La charité n’y est point, la médisance et la jalousie y ont
pris
sa place. L’humilité n’y fut jamais qu’en fantôme
nnaissent que l’éclat de leurs compagnes les met en éclipse, elles en
prennent
tant de chagrin, que toutes leurs influences sont
e la douceur du repos. Cet exercice ne fait tort à personne, chacun y
prend
telle part qu’il veut ; la dépense en est si libr
sincères amitiés, c’est où on met basy les vieilles défiances qu’on a
prises
l’un pour l’autre, et où on prend les sentiments
asy les vieilles défiances qu’on a prises l’un pour l’autre, et où on
prend
les sentiments d’humanité. Enfin s’il y a quelque
intention que les plus sages y apportent les purgera. A moins que de
prendre
toutes ces raisons une à une la réponse n’en sera
apprendre à sauter ? Cela leur donne une honnête hardiesse ; elles en
prennent
souvent trop, et l’assurance qu’on prétend leur d
ce qu’elles ont vu. Au lieu d’un relâche d’esprit qu’elles voulaient
prendre
, elles remportent un bourreau intérieur qui leur
. 34. 14. cette vilaine figure, à ce qu’ils pensaient, devait faire
prendre
horreur de la Danse et de l’impureté : L’autre ét
ne âme de bête sous le corps d’un homme, ils ne refusèrent point d’en
prendre
la figure, pourvu qu’ils pussent jouir de leurs p
cette exclusion ce qu’elle désirait, mais ne le pouvant espérer, elle
prend
une partie pour ne point perdre le tout. Qui Anno
es personnes dans le précipice. Ce n’est point dans le bal où on peut
prendre
les véritables connaissances qui doivent servir a
it ; ses yeux ne portent pas jusque là : Elle ne la détournera pas de
prendre
de l’amour ni d’en donner. C’est encore une excus
faisons tous les jours ? Certainement l’amour de nous-mêmes nous fait
prendre
plaisir à nous voir, quand ce ne serait que dans
de Jupiter, à qui ils donnaient les figures des bêtes qu’ils avaient
prises
pour jouir plus librement de leurs plaisirs :« Do
une pluie d’or pour avoir entrée dans la chambre de Danaé. Demain il
prenait
la forme d’un Aigle pour enlever Ganymède et se j
lever Ganymède et se jouer avec lui. Une autre fois ils lui faisaient
prendre
la figure d’un Taureau blanc pour passer sur son
nt comptés que pour des divertissements, que les Dieux et les Déesses
prenaient
tous les jours : Cette grande Ville, qui était la
sur le théâtre à l’enseigne de la Lune, dans la créance que les Dieux
prenaient
plaisir à ses démarches et à ses riches invention
Il est bien temps de conclure et de revenir à notre demande : Peut-on
prendre
le divertissement de la Comédie sans blesser sa c
ruit en courait si favorablement par la Ville, qu’un de ses Aumôniers
prit
envie de s’y trouver : Pour le faire avec bienséa
de relâche : Peut-être ajoutera-t-on que si les plus pénibles emplois
prennent
la place et le nom de divertissement, il faudra d
faudra désormais que pour faire la partie égale ; les divertissements
prennent
le nom et la place des emplois, où on ne peut ven
re un agréable mélange de l’Histoire et de la Géographie, il n’a qu’à
prendre
un livre de voyages ; cela l’emportera doucement
’est vu par après. Le monde n’y paraît que comme un petit enfant, qui
prend
ses forces et ses accroissements avec l’âge. On y
espire en les lisant, et le Lecteur en est plutôt infecté qu’il n’y a
pris
garde : Ce qui cause la tromperie, c’est que le v
le papier sous des noms et des personnes empruntées, à qui il a fait
prendre
tous les sentiments de son cœur ; il ne se peut d
ra-t-on ? mais ceux qui les liront en feront-ils profit ? mais ne les
prendra-t
-on point pour les songes d’un vieil radoteux ? Qu
t à découvrir et à aimer les intrigues de l’amour : C’est là où elles
prennent
le premier feu qui les brûle ; car comme elles on
ntrainte de lui faire signe qu’il s’approche, il est de son devoir de
prendre
les armes pour la secourir. Encore doit-elle bien
des personnes : car quelque honnête que soit le Jeu, il ne doit être
pris
que comme un petit rafraîchissement pour couper c
ement ne choque ni l’état, ni la condition de la personne qui le veut
prendre
: Je ne crois point qu’elle pût voir sans se fâch
Après que ce Prince avait donné le matin aux affaires de son Etat, il
prenait
son repas sur le midi ; si parfois il se sentait
r attentif au Jeu, vous eussiez dit qu’il y allait de son Royaume, il
prenait
le Jeu d’une si belle main et d’un si bon biais,
ns se pouvaient divertir dans la continuation de leurs peines, ils ne
prendraient
point d’autres réjouissances ; parce qu’il n’en e
ui les y attire, et dont ils ne se peuvent dépêtrer, quand ils y sont
pris
: Ils ne peuvent ignorer qu’ils y perdent leur te
tite faute, où il y a danger d’une mauvaise habitude ? L’ardeur qu’on
prend
pour le Jeu est une peau qui ne se quitte point q
suggérer, que c’était un beau moyen de réparer sa perte : Aussitôt il
prit
feu, les fit saisir au collet, et sur un crime im
Qu’on appelle cela comme on voudra ; mais il ne vaut pas mieux que de
prendre
la bourse de son voisin. Entrons dans le Jeu, voy
nvaincus de faux ; la mauvaise habitude ne laissera pas de leur faire
prendre
Dieu à témoin de ce qu’ils assurent contre leur c
l préside aux événements : ceux qui ne les ont point à leur gré, s’en
prennent
à lui, et au lieu d’accuser leur brutalité, qui l
depuis changé en Ange du Paradis, ayant joué et perdu ce qu’il avait,
prit
son arc et en décocha vers le Ciel, comme s’il eû
ié et si inutilement, que tu n’auras plus un mot de moi, et là-dessus
prend
son poignard et en frappe les deux Images de Notr
même reconnut sa faute, et se soumit au châtiment que Dieu en voulait
prendre
; il assurait du depuis que dans plusieurs années
ns, où il n’y a rien à craindre, il n’y a rien à cacher ; sitôt qu’on
prend
un voile quel qu’il soit, on témoigne ou qu’on se
plus grand nombre, et dont l’opinion est reçue plus universellement,
prennent
la défense de Dieu, qui est faite par la bouche d
ies n’auraient point donné occasion à Dieu, de défendre aux hommes de
prendre
des robes de femmes, ou aux femmes de prendre des
défendre aux hommes de prendre des robes de femmes, ou aux femmes de
prendre
des habits d’hommes, il y avait assez d’autres mo
n’y devait avoir que des femmes, mais rien n’est assuré quand le loup
prend
la peau de la brebis. L’EmpereurHerodian. l. 1. D
masques, dont le meilleur ne vaut guère.Lipsius monita polit. Sanctia
prit
l’habit de son mari, mais ce fut pour le couvrir
pour n’en point tant rougir. Au défaut du châtiment des hommes, Dieu
prend
quelquefois les verges, et en frappe si rudement,
jusqu’à se lasser, comme tout allait à la fin, un de leurs vêtements
prit
feu. Cet Elément se trouvant attaché à une matièr
ourtant quelques enquêtes qu’on en fit. Comme on ne savait à qui s’en
prendre
, on chargea la maison où cela s’était passé de to
ovidence, n’a-t-on pas reconnu que plusieurs personnes impudiques ont
pris
prétexte des mascarades pour jouir de leurs infâm
façon renoncer à Dieu de nous voiler la face où reluit son image pour
prendre
la figure d’un Lutin ?« Nonne isti amiserunt imag
e ? Peut-on appeler recréation, où on quitte les livrées de Dieu pour
prendre
celles de son ennemi ? MomonLucianus in Hermotimo
é à être d’une Momerie, il ne s’y voulut point engager qu’il n’en eut
pris
avis de Menedemusas, dont il prisait beaucoup le
es animaux, autant y a-t-il de Chasses différentes. Les oiseaux ne se
prennent
pas comme les poissons, et les bêtes fauves donne
ient pour les Apôtres, qui étaient du métier de Pécheurs, leur a fait
prendre
quelque plus grande estime de la Pèche que de la
us Rex Daniæ. Attilus II. Suecorum Rex. Plusieurs mauvais sujets ont
pris
occasion de la Chasse pour faire des parricides,
erdissent la tendresse qu’ils doivent avoir pour leurs sujets, et n’y
prissent
trop d’amour pour la guerre, dont la Chasse est l
lle hommes qui ne sont que pour la Chasse : Quand leur maître en veut
prendre
le plaisir, il faut que ces vingt mille hommes ma
mme ils savent que cet animal contrefait tout ce qu’il voit, aussi le
prennent
-ils par la plus forte de ses inclinations. Le Cha
le pied, il donne de la tête à tout ce qu’il rencontre, et se laisse
prendre
à qui le veut. L’une et l’autre chasse est bien p
Monsieur, Je vous déclare que je ne
prends
point de parti entre Monsieur Desmarets et Vous.
me semblaient bien ou mal écrites. Je remarquais que vous prétendiez
prendre
la place de l’Auteur des Petites lettres b, mais
? Et j’admirais en secret la conduite de ces Pères qui vous ont fait
prendre
le change, et qui ne sont plus maintenant que les
ce que Desmarets a fait autrefois un Roman, et des Comédies, que vous
preniez
en aversion tous ceux qui se sont mêlés d’en fair
ces maximes sévères que toujours quelque passion vous inspire, il ose
prendre
la liberté de considérer toutes les personnes en
ible parmi les Chrétiens. Je ne suis pas un Théologien comme Vous. Je
prendrai
pourtant la liberté de vous dire, que l’Eglise ne
plus aller à la Comédie ? Mais Saint Augustin s’accuse aussi d’avoir
pris
trop de plaisir aux chants de l’Égliseg. Est-ce à
retranché quelques libertés. Mais vous dites aussi que le soin qu’on
prend
de « couvrir les passions d’un voile d’honnêteté
qui avaient bu chacun un coup sont bien étonnés de ce changement. Ils
prennent
pourtant la chose en patience et se couchent, non
t la chose en patience et se couchent, non sans admirer le soin qu’on
prenait
de leur faire faire pénitence. Le lendemain ils d
de trouver le visage d’un Capucin de ses parents dans celui que l’on
prenait
pour le Père Maillard. M. de Bagnols avertit la M
Analyse et sommaire du présent Traité I. Arguments
pris
de la Matière des Comédies et Tragédies. Ce qu
ne doivent donc être tolérés en l’Eglise Chrétienne. II. Arguments
pris
de leur Forme. Ce que Dieu appelle abomination
t Dieu : Donc il ne doit être permis aux Chrétiens. III. Arguments
pris
de leur cause Efficiente. Le service que le Di
Ils ne doivent donc avoir lieu entre les Chrétiens. IV. Arguments
pris
de leur cause Finale. Ce que les Païens suivai
t un rapprochement entre cette pièce et d’autres du même genre. J’en
prends
pour exemples deux ou trois du même auteur : le M
t qu’ils s’en moquent comme de vous ; alors vous ne pourrez plus être
pris
pour un misantrope. Redoutez-vous la réputation
diverses circonstances, et comment on se comporta afin de ne pas être
pris
pour un tartufe, et traduit comme tel au tribunal
partis, en fuyant également les disciples des écoles qui étaient aux
prises
, et leurs errements, ou leurs exercices et habitu
prise alors, que beaucoup d’autres sans doute auraient désiré pouvoir
prendre
, était impraticable pour le plus grand nombre ; s
libertins et les fripons habiles ont profité les premiers, et qui ont
pris
vogue ensuite parmi les fripons ineptes et peu in
ladroit que s’il leur disait qu’il ne faut pas aller dans tel endroit
prendre
son trésor qui y est caché. On ne doit pas plus d
s tableaux hideux bordés de vertus. Pour en revenir au tartufe, je le
prends
encore pour exemple. Les honnêtes gens avaient-il
oulin à vent. Comme l’erreur que j’attaque est si ancienne qu’elle a
pris
, pour beaucoup de monde, nature de vérité, je cro
lorsque notre plus grand intérêt est la garantie de notre attention,
prend
-on le moyen de nous irriter le plus violemment, p
e ou le costume dont il s’est servi, l’attitude, les manières qu’il a
prises
, les gestes qu’il a faits, toutes ses expressions
eu de précautions aussi sages qu’il eût été plus convenable encore de
prendre
en faveur des braves gens que l’auteur de la sati
s déclarés de l’ordre ; qu’ils étaient des loups eux-mêmes, qui n’ont
pris
les armes qu’on leur a offertes que pour en abuse
des coupables vêtus de l’habit de leurs juges. La sage précaution que
prend
la politique de dégrader et dépouiller de toutes
et ce que nous deviendrons sans doute aussi prématurément, si nous ne
prenons
une autre marche qu’eux. Dailleurs, les anciens n
MONSIEUR, Il n’y a personne qui ne
prît
la Lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écr
t tout à fait étouffée, elle lui donnera toujours de la crainte de le
prendre
, et de l’inquiétude de l’avoir pris. D’où il est
a toujours de la crainte de le prendre, et de l’inquiétude de l’avoir
pris
. D’où il est facile de conclure qu’on ne peut s’y
s celles qui sont défendues, pour le péril qu’il y a d’en user. C’est
prendre
plaisir à s’aveugler et à se tromper soi-même, de
unes sont inventées à plaisir, et tirées des Romans : les autres sont
prises
dans les livres de ceux qui ont écrit ce qui s’es
ns lui donner de rival. L’opiniâtreté dans le vice et l’impénitence y
prennent
le nom d’une constance invincible, et en usurpent
ttirail de lubricité, sont des filets où les plus résolus se trouvent
pris
; Ce sont des pièges ou tombent les âmes les plus
e dans ces sujets de condescendance, celle qui oblige les forts de ne
prendre
pas le divertissement de la Comédie, pour ôter le
ndre pas le divertissement de la Comédie, pour ôter le scandale qu’en
prennent
les autres fidèles, est plus pressante et moins e
les plus opposés à la superstition : Et les Pères ont été obligés de
prendre
leur défense, comme un des points principaux de n
ne s’est point atteste dans le chemin des pécheurs, et qui m’a point
pris
séancem dans la chaire de pestilencen : Soutenant
mprendre : défende le théâtre et fuir les divertissements. m. [NDE]
prendre
séance = prendre siège. n. [NDE] Vulgate : « Bea
e le théâtre et fuir les divertissements. m. [NDE] prendre séance =
prendre
siège. n. [NDE] Vulgate : « Beatus vir qui non a
amatique ; je vais tâcher de découvrir les causes de l’intérêt qu’ils
prennent
aux aventures fabuleuses représentées sur la Scèn
, aux malheurs réels, que nous voyons arriver sous nos yeux, que nous
prenons
vivement part ; dès qu’on nous peint avec des cou
nité humaine est encore une des principales causes de l’intérêt qu’on
prend
à une Comédie. Les Personnages qu’on y voit agir
de plaîre. Est il difficile de démêler les causes de l’intérêt qu’on
prend
à une Tragédie ? elle nous affecte par la peintur
stoire. Mais quelque raison que l’on puisse donner de l’intérêt qu’on
prend
aux Poèmes tragiques, le Philosophe s’étonnera to
mporte, pourvu qu’elles le retirent du désœuvrement. M. de Fontenelle
prend
un autre chemin ; il pense qu’on pleure avec plai
est inutile de parler des autres Spectacles. Le faible intérêt qu’on
prend
aux Poèmes lyriques, ne mérite aucune attention :
èglement manifeste de danser fréquemment. Quoiqu’il soit permis de
prendre
quelque recréation après le travail, et de donner
ncante. Que ceux qui dansent ainsi fréquemment, par le plaisir qu’ils
prennent
à danser, s’attachent avec tant de passion à cet
par pure condescendance dans cet exercice ; si par le plaisir qu’il y
prend
il s’y attache, et s’y accoutume ; parce que quan
cher pas mortellement ; néanmoins parce que ce plaisir sensible qu’on
prend
si souvent, dispose peu à peu les âmes à violer l
l avait déjà fait un Livre de la Pratique du Théâtre : Néanmoins on a
pris
sujet de là d’attaquer son dernier Livre. Un autr
haque Articled. Il prétend que plusieurs Auteurs allegués ne sont pas
pris
dans leur vrai sens, et qu’il y en a beaucoup d’a
l était un des plus honnêtes hommes de la Ville, et que Cicéron ayant
pris
la peine de le défendre en une Cause, avait parlé
s’imaginera donc que ceux qui sont aujourd’hui de la même Profession
prennent
une licence pareille ; Que cela se voit dans leur
s Livre contre ces belles Représentations, a donné plusieurs exemples
pris
des plus fameux Poètes du Théâtre, et des plus di
ntes Ecritures : Mais s’il faut représenter une Histoire où une fille
prenne
l’habit d’homme, comme de la Pucelle d’Orléans, c
cuirasse sur le dos, et des armes à la main, cela n’est pas toujours
pris
pour l’équipage d’un homme, parce qu’on tient qu’
nage ; En ce cas il n’y aurait donc eu que la qualité de fille qu’ils
prenaient
, qui nous eût offensé, et non pas l’habit. Les no
J’avoue que tout ce que dit un Prédicateur ne doit pas toujours être
pris
à la lettre ; il n’a pas la précisions de l’école
les vertus s’y cachent, tous les vices s’y déploient. La vengeance y
prend
le nom de magnanimité, l’orgueil de dignité, l’am
uver l’autre. Ce n’est pas à nous, c’est à l’Evangile qu’il faut s’en
prendre
. Un Payen, un Mahométan, pourroient faire l’apolo
e vous avez fréquenté le théatre plus que mon temple, que vous y avez
pris
les manieres du monde que j’ai maudit, & eniv
inutile. Le démon vous joue, vos excuses même prouvent que vous êtes
pris
dans ses filets. S. Augustin s’accuse d’avoir ple
lui. Si Satan veut vous tenter, quelle forme plus séduisante peut-il
prendre
? on le voit, on l’entend, il se trouve à chaque
e de l’Evangile est renversée ; péché dans la complaisance que vous y
prenez
, quand vous seriez exempt de passion ; péché dans
ne s’apprend que trop d’elle-même ; les jeunes gens s’y accoutument à
prendre
des libertés avec les femmes, & les filles au
ut le monde. Ceux là, pour conduire à la perfection les ames pieuses,
prennent
un plus grand essor dans la pratique des conseils
e réflexions chrétiennes, d’actes de vertu à former, de résolutions à
prendre
, renferment parmi les devoirs essentiels celui d’
question que votre délicatesse a fait naître ; & tout le monde a
pris
part à la chose : les plumes ont déployé leurs zè
s mériter un applaudissement : on n’assiste point au Spectacle sans y
prendre
plaisir. Il ne s’agit que d’examiner le prix, en
, quelque disposition locale : est-ce dans la nature que l’Artiste va
prendre
son modéle ? Non : c’est dans le feu du génie, da
urs ordinaire des choses, s’ensévelit ainsi, entre les mains de l’art
prend
une forme nouvelle : la vertu devient lumineuse ;
des voiles transparents de la fiction, la réalité perce ; c’est qu’on
prend
tout dans nos usages, nos maximes & nos mœurs
frappés, une harmonie touchante : rien de si facile que de se laisser
prendre
à tout cela. Chacun en effet prévenu par un coup
élicate. Ce badinage étudié dont l’objet & le tableau est l’homme
pris
dans ses ridicules, a ses situations, son intrigu
ouvent humble & modeste. Ce sont autant de tons divers qu’il faut
prendre
de coup d’œils différens à offrir, de masques qui
s caractéres seront bien dessinés, frappés même ; le quadre sera bien
pris
, la disposition sage ; l’ordonnance entendue ; qu
chauffe vivement de cette idée, qu’il se frappe de l’action, qu’il en
prenne
les motifs, qu’il en conçoive les passions : quel
t faire un rolle, il faut nécessairement que cette habitude étrangere
prenne
le ton de notre ame, le tour de notre génie, qu’e
nce, & ne trouver de lustre qu’à Paris. L’intérêt que les Acteurs
prennent
au succès des Piéces, contribue encore beaucoup à
lus ou moins de justesse & de précision dans l’idée. Mais pour le
prendre
, ce caractére, sur son compte, s’en revêtir pour
uit : c’est à la lumiere à paroître ; c’est là que tout s’anime &
prend
vigueur : l’idée parle, le sentiment éclate ; ges
les héros bouffis, que la marche est trop rapide pour que l’illusion
prenne
en même-tems dans tous les esprits. Et comme tout
autres. C’est une erreur : il est vrai que la nature ne laisse pas de
prendre
en général du volume sur le Théâtre ; mais dès qu
ns à leur égard des erreurs dangéreuses : c’est que pour le vice nous
prendrons
infailliblement son excès, & pour la vertu so
cun sçait combien elle aime l’obscurité. D’ailleurs, se laissa-t-elle
prendre
sur le fait ? Le coup est si rare qu’on ne doit p
e l’une, ni de se perdre dans le détours artificieux de l’autre. Tout
prend
en un mot le grand jour ; & le vice & la
tournent plus à la gloire de l’Orateur, qu’au profit de la vertu. On
prend
cela dans le point riant d’une agréable spéculati
Philosophe vante ; mais je crois que pour les y trouver, il faut s’y
prendre
de bonne heure. Quand il avance de même que ces
& commode utilité. Le plaisir que nous offrent les Spectacles est
pris
chez les beaux Arts. Tout le monde sçait la natur
a un ton piquant de variété : il est touchant enfin, parce qu’il nous
prend
par un endroit sensible, la partie du goût. Quand
outrés, les caractéres enflés. Je le veux : à la bonne heure qu’on ne
prenne
pas les choses à la lettre ; qu’on en retranche m
absolument s’ensuivre. Est-il un Spectateur assez absurde pour aller
prendre
des incidens pour des principes, des traits détac
Chacun rempli de cette idée, va-t-il complaisamment la déposer pour y
prendre
des vues d’utilité, substituer ainsi par un intér
uelle est la personne qui en fait de choses aussi graves, se laissera
prendre
à un coup d’œil, à un geste, un mouvement, une dé
le avec adresse, c’est une tentation pour moi, & les moyens qu’il
prend
, une sorte de facilité ? Parce qu’un fils est pro
calculer gravement ses mouvemens sur ceux dont il a été témoin, &
prendre
enfin pour régle, dans ce projet important, les l
p; dans le monde ce sont eux qui président. Toutes ces idées que l’on
prend
aux Spectacles, à les bien apprécier, ne sont en
nnent à ce dernier argument. J’ai l’honneur d’être, &c. *. On
prend
ici la nature par opposition à l’art. *. M. De
cène, un assemblage de circonstances, une suite de rapports, qui fait
prendre
l’image pour la chose même, la vraisemblance pour
que l’on ne s’y rend guère que comme à un jeu auquel on sait qu’on ne
prendra
nulle part. A des obstacles qui seuls suffiroient
vant le spectacle, pour se raffermir ensemble dans leurs rôles, &
prendre
l’état qui leur est propre. Ces courts instans de
e de Dieu, dans le camp d’Alexandre. Si je vois toujours la salle, je
prends
peu d’intérêt à la représentation. On ne peut don
ois. On ne connoît point les Acteurs, & il est plus facile de les
prendre
pour les personnages mêmes. Si je ne craignois d’
ons qui s’y donnent. Tous les ressorts de l’illusion sont usés. On ne
prend
plus d’intérêt aux Pièces, qui ne paroissent sur
parler en Héros, en bergers, en pères de famille, en marquis, ne les
prennent
plus que pour des Comédiens, & ne voient plus
ait la faire voltiger à propos ! Tantôt s’enflant comme une voile, il
prend
au plus près le nord-est ou le sud-est, qui souff
p de génie lui fait dire dans une scene : Allons petit garçon, qu’on
prenne
ma queue, qu’on la porte noblement & avec esp
eu qu’elles l’habit long. A peine & par force un jeune Conseiller
prend
la robe en entrant au Palais, & ne l’a jamais
, en fait connoître l’origine. Ce ne fut d’abord qu’un habit de femme
pris
du théatre par vanité. On croyoit y voir un air d
luxe. On doit ces métamorphoses au théatre, où il est ordinaire d’en
prendre
mutuellement les habits, la parure, les mœurs, le
n passer, le Parterre n’en exige-t-il point ? Les Dames peuvent-elles
prendre
de plus parfaits modeles de coquetterie, les Peti
Electeurs, comme associés à l’Empire à qui ils donnent un chef, l’ont
pris
aussi. Les Rois pour marquer que leur souveraine
ur marquer que leur souveraine puissance les égale aux Empereurs, ont
pris
les ornemens Impériaux. Le Pape le porte, non com
ailleurs, parlant de l’enfleure d’un mauvais Orateur, vous avez beau
prendre
le ton de la déclamation tragique, chercher les p
ontraire embarrassent, qui ont un air puétile & effeminé, qu’on a
pris
des femmes, & que ces femmes ont pris du théa
ile & effeminé, qu’on a pris des femmes, & que ces femmes ont
pris
du théatre, il est singulier, dis-je, que non seu
ffe, aussi embarrassante qu’indécente & ridicule. Les queues sont
prises
dans l’Ecriture sainte en deux sens différens ; t
offre la queue des victimes, caudam integram ; ce que les interprêtes
prennent
pour une figure de la persévérance, qui est la fi
lité On nous dira peut-être comme Moliere dans les Précieuses : C’est
prendre
le roman par la queue ; on se trompera ; la moral
des conquêtes qu’elles peuvent faire. Cette raison de modestie a fait
prendre
l’habit long aux femmes dans tous les pays du mon
, c’est de faire traîner sur l’eau les queues du pavillon du vaisseau
pris
; comme dans les armées de gagner les drapeaux de
elque imposteur qui fait réussir, & quelque honnête homme qui est
pris
pour duppe. Voilà la ressource ordinaire & pr
dans le même ouvrage l’Etre suprême & les Dieux de la fable, qui
prend
les histoires pour des contes, & les contes p
t est masqué, tout est faux en lui. C’est un Caméléon, un Protée, qui
prend
toute sorte de couleurs, de formes, de passions,
e pas plus de confiance dans ce qu’il fait & ce qu’il dit ; il en
prend
l’esprit & le ton, & devient une espèce d
infiniment à l’histoire, soit dans le style des Historiens qui l’ont
pris
, soit dans la crédulité des lecteurs ou des spect
oire que celle qu’ils ont puisée dans des romans & des tragédies,
prennent
pour des vérités ce que dit un Acteur, d’autant p
à réaliser tout ce qui plaît, former des espèces de Don Quichotte qui
prennent
tout à la lettre. Ne nous moquons point tant de c
d’Amida, de Xaca, chez les Japonnois, &c. ne sont que des romans
pris
pour des vérités, & dont la crédule simplicit
re aux bonnes gens, & douter de tout aux beaux esprits. Le peuple
prend
pour des histoires tous ces contes dialogués ; le
ple prend pour des histoires tous ces contes dialogués ; les notables
prennent
les histoires pour des contes, à commencer par le
qu’impureté. De quoi s’occupera donc un homme pétri de mensonges ? Il
prend
au théatre ce vice comme les autres : il y devien
fin lorsque les diacres, et ceux qu’alors on appelait sous-diacres, «
prenaient
plaisir a manger des boudins sur un coin de l’aut
; le peuple de Lyon appelait ce théâtre le Paradis, et François Ier y
prit
un grand plaisir. Louis XII étant indisposé contr
t en toutes lettres), fils du Dieu vivant, et époux des âmes fidèles,
prends
ma fille Madeleine Gasselin pour mon épouse, et l
ausséc. Et voici l’engagement de l’épouse. « Je, Madeline Gasselin...
prends
mon aimable J... pour mon époux, et lui promets..
amènent que dans l’ombre, les bouffonneries que des millions d’hommes
prennent
en dégout. Peut-être n’a-t-on pas renoncé au fond
uite les ténèbres de l’ignorance. La connoissance des régles que nous
prenons
ici pour exemple, nous convaincra de cette vérité
un beau discours, on essaye ses forces. On se compare à l’Orateur, on
prend
la plume, on ajoute, on retranche, on fait une ha
un présent. Le même Auteur nous assure, qu’aucun Poéte avant lui n’a
pris
son sujet dans l’Histoire nationale. Il s’est tro
pposant les sentimens aux passions, ou celles-ci à ceux-là. On a donc
pris
pour une découverte, ce qui se pratique depuis lo
rs & des Comédiens, ne peut être attribué qu’à l’intérêt que nous
prenons
à l’Art Dramatique. Nous respectons les talens en
. Ceux-ci nous reprocheront peut-être une critique trop dure ; qu’ils
prennent
le vrai point de vue, ils ne la trouveront que ju
ponse, & je vous la transcrirai dès qu’on me l’aura remise : j’ai
pris
des mesures avec Mademoiselle ***, pour que tout
votre retour. Cette visite qu’on exige rompt les mesures que j’avais
prises
pour retarder. ……………………………………………………………………………… Mar
inq heures, suivant l’ordre que j’en avais donné, Agathe est venue me
prendre
chez monsieur de Longepierre. Elle m’apportait un
qu’Agathe a été sortie, mon mari qui ne me quittait pas, qui m’avait
pris
la main, & qui la pressait faiblement, m’a mo
comme vous même… Vous allez la voir —. J’ai cessé de l’écouter ; j’ai
pris
mon fils dans mes bras ; & plus clairvoyant p
er ingrat, si tu voyais comme il m’adore… Il ne me cache pas que j’ai
pris
le moyen le plus propre… Il ne se rappelle qu’ave
isconsulte rapporte l’exemple d’un Sénateur qui avoit la foiblesse de
prendre
des habits de femme quand il se mettoit à table :
s, les femmes, les esclaves, &c. & dit qu’il étoit honteux de
prendre
ceux d’un autre sexe : Quod nisi turpiter non pot
ui feroit deux ou trois jolies scènes sur le théatre de la Foire, est
pris
du Dictionn. Prat. de Ferriere, v. Basoche. Est-i
ues une chose monstrueuse, monstra larvarum. Le Chap. Nullus dist. 44
pris
du concile de Gangres les nomme les œuvres du dém
rchard de Vormes, qui rapportent ce Canon, ajoutent que les femmes ne
prennent
l’habit d’homme que parce qu’étant plus dégagé &a
de invariable. Il lui est même défendu de se conformer au monde, d’en
prendre
l’esprit, d’en suivre les usages, d’entretenir av
bienséance du siecle, qu’étant engagés à hanter le beau monde, on les
prendroit
pour des dévots. A ces puissantes raisons il n’y
vérités. La loi de Dieu est expresse & terrible : Que la femme ne
prenne
point un habit d’homme, ni l’homme un habit de fe
tel. Le Prophète Sophonie, C. 1. menace de la colère de Dieu ceux qui
prennent
l’habit des nations étrangères, déguisement qui s
les Grecs & les Romains ont imité. Ainsi les précautions que Dieu
prit
pour en préserver son peuple sont très-sages. On
que de théatre, c’est persona, personatus, qui marque le visage qu’on
prend
pour jouer un rôle, & tendre la personne, le
mme guerriere est un phénomène. L’Abbé Rupert, & quelques autres,
prennent
cette loi dans un sens moral. Ne pas porter les h
& voyant cet homme, il crut que c’étoit le diable qui étoit venu
prendre
le mort. Il fit des cris si horribles, que le Mag
emble, & fermer leur porte quand l’ombrage & la fantaisie les
prend
, & disposer de leurs femmes, comme chacun est
arachever dans l’heure les propos, pourront remettre au lendemain, ou
prendre
autre assignation. Tous Masqués doivent pour l’ho
rin ou haut bois, ou pour le moins vielle. Est défendu aux Masques de
prendre
le nom d’autrui, mais leur est permis contrefaire
nnance, sans l’enfreindre en aucune maniere. Permis à tous Masqués de
prendre
toutes les libertés qu’ils pourront, sauf aux Dam
eau. Nous allons nous convaincre, que non-seulement les Comédiens ont
pris
pour des chef-d’œuvres des Pièces qui n’ont pu av
d’entrer & de se présenter sur la scène, d’y venir à propos, d’y
prendre
la place qui lui convient. Outre qu’il n’y a rien
t les Poëtes qui ont paru avant nous, nous indiquent la seule route à
prendre
en cette carriere. Quelques modernes, en petit no
épuisés à une espéce d’engourdissement. Dans cet état ces Poëtes ont
pris
les suggestions de l’amour propre, pour des élans
cier. La critique, si susceptible de prévention, si facile à séduire,
prend
trop souvent le faux merveilleux pour le beau. C’
x merveilleux pour le beau. C’est pourtant à son tribunal que l’usage
pris
dans le sens dont il s’agit ici, fait gloire d’ap
’il n’y a pas un Acteur, tant ils sont excèdés de leur état, qui n’en
prit
tout à l’heure un autre moins lucratif, pourvu qu
que son tour vienne de répondre, ou discourir avec gravité & sans
prendre
haleine, comme s’il prononçait une harangue. Ce d
u’elles représentent ; c’est l’ouvrage de l’art le plus recherché qui
prend
la forme & les traits de la Nature même. Il f
s piquons pas d’éxceller dans le Dialogue. Les tragiques Français
prennent
assez communément Sénéque pour modèle. Dancourt p
e tous nos Romans ; par ce moyen l’action se ranime ; les Personnages
prennent
une nouvelle vie. Le Dialogue est ordinairement p
agédies grecques. Je vais comparer une des Scènes du Théâtre moderne,
prises
au hazard, avec la prémière du Théâtre Grec qui m
, dois-je être privé de l’héritage paternel ? Creuse. Il est à toi ;
prend
son épée & son bouclier ; voilà son héritage.
us en avez tout l’air. Guillot. Oui, nous le guettons… & nous le
prendrons
, j’en suis sûr. La rencontre que je fais d’un si
r la comédie, en perdit bientôt l’espérance ; et dans les soins qu’il
prit
de mettre à couvert des corruptions du théâtre, a
les chrétiens. Quelquefois à l’exemple des anciens canons, dont il a
pris
tout l’esprit, il se contente de les appeler « de
l’auteur et le consommateur de notre foi : ce Jésus, qui ayant voulu
prendre
toutes nos faiblesses à cause de la ressemblance,
se de la ressemblance, à la réserve du péché » Ibid, IV, 15. , a bien
pris
nos larmes, nos tristesses, nos douleurs et jusqu
armes, nos tristesses, nos douleurs et jusqu’à nos frayeurs, mais n’a
pris
ni nos joies ni nos ris, et n’a pas voulu que ses
fait chair, la vérité éternelle manifestée dans notre nature, en a pu
prendre
les peines qui sont réelles ; mais n’en a pas vou
, en a pu prendre les peines qui sont réelles ; mais n’en a pas voulu
prendre
le ris et la joie qui ont trop d’affinité avec la
crivain de le détruire que dangereux de le combattre. J’ose cependant
prendre
les armes, dûssai-je être accusé de chercher à en
accusé de chercher à entretenir le courroux de l’Eglise ? Mais je les
prends
moins en Théologien et en Casuiste qu’en homme ra
ls oseraient y assister. Molière, et les Auteurs qui l’ont suivi, ont
pris
un autre tour. Le vice est toujours l’âme et le m
tié et la compassion ; tantôt il se déguise avec tant d’art, qu’on le
prend
pour la vertu ; souvent il croit se rendre ridicu
ns visible, des routes agréables y conduisent ; on est séduit, on les
prend
, bientôt l’on s’égare ; enfin l’on échoue. Plus l
re ce que l’usage y fait de changement. Mon sentiment n’est pas qu’on
prenne
la méthode De ceux qu’on voit toujours renchérir
galant homme ait toujours grand empire Sur les démangeaisons qui nous
prennent
d’écrire ; Qu’il doit tenir la bride aux grands e
n vous somme, Le nom que dans la Cour vous avez d’honnête homme, Pour
prendre
de la main d’un avide Imprimeur Celui de ridicule
ain pour attaquer son stupide silence, De tous les lieux communs vous
prenez
l’assistance, Le beau temps, et la pluie, et le f
u des Cieux ? Le sentiment d’autrui n’est jamais pour lui plaire ; Il
prend
toujours en main l’opinion contraire, Et penserai
quelqu’un. L’honneur de contredire a pour lui tant de charmes, Qu’il
prend
contre lui-même assez souvent les armes ; Et ses
algré lui-même, sur des idées sur lesquelles il n’est pas possible de
prendre
le change. Dans la troisième scène du premier act
aisait-il point aussi quelques caresses ? Agnès. Oh, tant ! Il me
prenait
et les mains et les bras, Et de me les baiser il
les baiser il n’était jamais las. Arnolphe. Ne vous a-t-il point
pris
, Agnès, quelqu’autre chose ? (la voyant interdite
rdite.) Ouf. Agnès. Eh, il m’a !… Arnolphe. Quoi ? Agnès.
pris
… Arnolphe. Euh ! Agnès. Le… Arnolphe.
Jurez donc votre foi. Arnolphe. Ma foi. Soit. Agnès. Il m’a
pris
… Vous serez en colère. Arnolphe. Non. Agnè
Non, non, non, non ; diantre, que de mystère ? Qu’est-ce qu’il vous a
pris
? Agnès. Il… Arnolphe à part. Je souffre e
gnès. Il… Arnolphe à part. Je souffre en damné. Agnès. Il m’a
pris
… le ruban que vous m’aviez donné. A vous dire le
2. Tartuffe. « ….Ah, mon Dieu, je vous prie, Avant que de parler
prenez
-moi ce mouchoir ! …. Couvrez ce sein que je ne sa
y tourne perpétuellement en ridicule les soins que les pères et mères
prennent
de s’opposer aux engagements amoureux de leurs en
ffre, il hait, et lui-même est Acteur. D’un Héros soupirant là chacun
prend
la place ; Et c’est dans tous les cœurs que la sc
e qui leur en a développé tous les mystères ; que c’est là qu’ils ont
pris
leurs premières leçons de galanterie, et qu’ils y
s mêmes peines à craindre, elles ont du moins les mêmes précautions à
prendre
, et surtout le même bonheur à espérer. Comment ne
que le cœur est affecté dès les premières scènes ; l’intérêt qu’on y
prend
est si vif, qu’il peut être très funeste, et qu’e
n sait qu’en fait de compliments, la Rhétorique, ainsi que la Poésie,
prend
souvent certaines licences. D’ailleurs personne n
ar lui-même les Pièces qui en étaient l’objet. Au surplus, on ne s’en
prend
pas directement à M. de la Chaussée du danger qu’
il, introduits, et qu’elle autorise. Mais pourquoi, ajoute-t-il, s’en
prendre
à la Comédie ? Est-ce par sa nature, ou n’est-ce
st-ce pas plutôt par la malice d’autrui qu’elle s’est pervertie ? Ah,
prenons
-nous en à ceux qui, pouvant la rendre bonne et ut
onne et utile, l’ont rendue nuisible et pernicieuse ! Oui, j’ose m’en
prendre
d’abord au Chef même des Auteurs et des Acteurs d
t-on un Apologiste ? Le P. Porée peut-il être cité comme tel ? M.F. a
pris
le change. S’il eût écrit contre la Comédie, aura
n au mal que l’Eglise aperçoit dans les spectacles, aux soins qu’elle
prend
d’éloigner ses enfants de tout ce qui peut nourri
raie aux Fidèles, et à leur en donner de l’horreur, de peur qu’ils ne
prennent
pour bonne nourriture ce qui gâterait leur esprit
nos jours. Celles-ci font toujours plus d’effet, parce qu’elles sont
prises
sur notre air et sur nos manières ; que les perso
condamnation des spectacles ; mais on n’imaginerait pas comme il s’y
prend
pour en diminuer la force. On y aperçoit, dit-il,
. Il ne croit pas qu’il y ait au monde une personne assez simple pour
prendre
des chansons pour des vérités. Il n’est cependant
ipes voluptueux ; et que le dérèglement qu’elles inspirent, leur fait
prendre
aussi souvent des chansons pour des vérités, que
res pour justifier leurs Pièces. Que les précautions qu’on propose de
prendre
pour rendre le Théâtre moins digne de censure, so
je vantai sa générosité ; je me flatai que sans en être connue, elle
prendrait
mes intérêts, voudrait bien essayer mes talens, m
rce qu’heureusement Mademoiselle *** avait annoncé, que je ne pouvais
prendre
que ses Rôles : elle me conciliait par-là toutes
me fut pas difficile de m’en excuser. Depuis que je m’étais décidée à
prendre
ce nouveau moyen de regagner le cœur de mon mari,
ire indispensable m’oblige à sortir, & je ne pourrai revenir vous
prendre
—. Nous en restames-là. A trois heures, je me ren
e tumulte cesse, & l’on me dit : Ah Constance ! est-ce à vous de
prendre
ma défense Et celle de l’hymen ? Vous… — Ce dout
drie, je ne me suis plus crue sur la Scène : j’ai vu mon époux : j’ai
pris
un ton conforme à l’agitation de mon cœur : je m’
ès la Pièce, Mademoiselle *** prévint mes desirs, par le soin qu’elle
prit
de me dérober aux empressemens de mes admirateurs
& les grâces de la ***, pour en faire usage dans le particulier,
prend
sur le champ un parti plus hardi ; elle va trouve
. Et quand on commença à les connaître, l’opinion publique avait déjà
pris
son pli. 2°. Comme la tragédie avait quelque chos
le pensait réellement, et d’oublier enfin sa propre place à force de
prendre
celle d’autrui. Qu’est-ce que la profession du co
endieux que lucratif, n’auront-ils jamais de distractions utiles ? ne
prendront
-ils jamais la bourse d’un fils prodigue ou d’un p
e le même reproche ? Je n’ai jamais pu concevoir quel plaisir on peut
prendre
à imaginer et à composer le personnage d’un scélé
sonne, et ne se laisse jamais tenter de satisfaire des désirs qu’elle
prend
tant de soin d’exciter ? Quoi ! malgré mille préc
u’il n’y en a pas une qui ne se crût ridicule de feindre, au moins de
prendre
pour elle les discours de sagesse et d’honneur qu
ale du théâtre, aussi bien que la dignité ; et, s’il était vrai qu’on
prît
quelquefois des leçons de vertu sur la scène, on
se damnent de propos délibéré pour me divertirn. » Quand même on ne
prendrait
aucun mal à la représentation des pièces théâtral
tition au théatre Aliberti, vit que l’Ambassadeur de l’Empereur avoit
pris
deux loges ; sur l’une il avoit mis les armes d’E
les rues. Un malheur déconcerta sa pruderie & sa dignité, le feu
prit
à sa maison pendant la nuit, & troubla fort m
à la grande place, où Garrik la couronna de laurier. Les Dames avoit
pris
les habits de Reines, Princesses, Soubretes, &
s autres chambres notifier l’arrêt, les inviter à la cérémonie, &
prendre
le jour & l’heure de la reception ; le jour v
influences du Capricorne, suspendu sur sa tête. Le Procureur-général
prend
la parole, lui fait un discours éloquent sur la d
& l’exhorte pathétiquement à fermer les yeux, ne rien dire, &
prendre
patience. Tout cela est émaillé de bons mots, pri
ien dire, & prendre patience. Tout cela est émaillé de bons mots,
pris
de tous les théatres ; car on a soin de choisir c
s de la grand-chambre, la plupart vieux maris, ou vieux célibataires,
prennent
peu d’intérêt à ces fêtes comiques, qui sont pour
re donne un repas, ce qui est mieux assorti à la fête ; tout cela est
pris
de Moliere, le Bourgeois Gentilhomme se fait rece
l’éteindre, de quelque précepte qu’on l’assaisonne. Un jeune homme y
prendra
plus de goût pour le vice, que vos morales ne lui
e refuser l’absolution ; il ne savoit pas que les Religieuses avoient
pris
leur précaution, & obtenu la permission de la
amp; petites filles, quoi qu’elles n’en fissent pas la profession. Il
prit
pour prétexte que le palfrenier des spectacles n’
de communion avec les Evêques Eutichéens, par l’ascendant qu’elle sut
prendre
sur l’esprit du foible Justinien, & ternit la
elquefois à la comédie, dont on n’avoit aucune idée en Moscovie. Il y
prit
goût, non pour des pieces régulieres, & bien
avisés d’un autre ; c’est de faire une lotterie de bijoux, qu’on peut
prendre
en argent, si l’on veut, selon leur valeur : quan
ur : quand on gagne un lot ; on en distribue à chacun de ceux qui ont
pris
des billets d’entrée, on met en lots le dixieme d
pereur fut frappé de cette réponse : on le vit rougir & pâlir, il
prit
enfin son parti en homme d’esprit : vous avez rai
du sacré & du profane, des plaisanteries jusques dans les pieces
prises
de l’Ecriture, défaut qui se corrige difficilemen
qui sont la suite inséparable de l’assistance au Spectacle. N’eût-on
pris
aucune part aux passions dangéreuses qui y sont r
s j’aimois à aimer . Il cherchoit, continue-t-il, quelque piége où il
prît
, & où il fût pris : & il trouvoit ennuyeu
l cherchoit, continue-t-il, quelque piége où il prît, & où il fût
pris
: & il trouvoit ennuyeuse & insuportable
lacets ; VIAM SINE MUSCIPULA. Tout en est semé dans le monde. Il fut
pris
selon son souhait ; & c’est alors qu’il fut e
: vous n’avez jamais peut-être réfléchi ni sur la Religion dont vous
prenez
l’étiquette, ni sur votre situation présente : je
& la théorie de tous les crimes. Là, dit S. Cyprien2, un Chrétien
prend
plaisir à contempler des choses qui souillent la
t, ajoute ce Saint Pere1, que les cruautés du Cirque devoient bientôt
prendre
fin, qu’on se lasseroit du combat des Gladiateurs
est à la vie de l’ame que l’on en veut ; les Auteurs dramatiques s’en
prennent
à l’innocence des mœurs, ils jettent dans tous le
vec mépris, & l’on choisit en sa place des maximes agréables ; on
prend
pour guides des maîtres dont les idées sont plus
tur. Ces autorités ne vous persuaderont pas, Mademoiselle, vous les
prendrez
pour des déclamations vagues, qui ne portent poin
érer que lorsque nous avons une extrême horreur pour une action on ne
prend
point de plaisir à la voir représenter : et c'est
s autres dérèglements que l'on représente dans les Comédies, et qu'on
prend
plaisir à les envisager, c'est une marque qu'on n
entes, c'est une marque qu'on ne haït pas ces dérèglements, puisqu'on
prend
plaisir à les voir représenter. 1. [NDA] Théod
er, que lorsque nous avons une extrême horreur pour une action, on ne
prend
point de plaisir à la voir représenter : et c'est
les autres dérèglements qu'on représente dans les Comédies, et qu'on
prend
plaisir à les regarder, c'est une marque qu'on ne
entes, c'est une marque qu'on ne hait pas ces dérèglements, puisqu'on
prend
plaisir à les voir représenter.
r l’expérience. Un homme déjà formé, chez qui toutes les passions ont
pris
le degré d’empire que la négligence de ses parent
mauvaises dispositions, les défauts de son éducation leur ont laissé
prendre
, ne sera pas plus touché de la Morale de nos pièc
istère, avait fait une pièce intitulée l’Ecole de la Raison, il avait
pris
jour pour en faire la lecture aux Comédiens Itali
it pris jour pour en faire la lecture aux Comédiens Italiens. Le jour
pris
Mr. de Crébillon se trouva par hasard à l’assembl
ui en sortant du Collège pour entrer dans le monde, ont le bonheur de
prendre
du goût pour le spectacle et de le préferer à tou
ait-on pas pour une assemblée dont ils feraient partie ? quel goût ne
prendrait
-on pas pour la vertu, en voyant ces Personnes vén
se et paternelle s’est privée du nécessaire pour me mettre en état de
prendre
un parti, qui me rendit plus heureux qu’ils ne l’
e de ses intentions. J’aurais été trop heureux si le goût que j’avais
pris
pour les lettres et qu’il m’avait inspiré lui mêm
je me résignais à ses vues. J’allai dans une petite Ville de Province
prendre
les premiers errements de la Finance, chez un anc
faisait la moindre partie de mes lectures. Il s’agissait cependant de
prendre
un parti, j’étais à charge à mon Pere et quoique
es gens les plus respectables, que je fus convaincu que je ne pouvais
prendre
un meilleur parti que de l’imiter : mais les circ
jet superflu surtout pour le genre que je me promettais d’adopter. Je
pris
le parti de m’engager dans une troupe de Province
que je ne gagnerais rien à quitter la profession de Comédien pour en
prendre
une autre n’en connaissant aucun où la probité ne
laisir innocent qui puisse vous en distraire, je vous conseille de le
prendre
. L’oisiveté serait mille fais plus dangereuse pou
de nos voraces Financiers. On me dira peut être encore que je pouvais
prendre
une profession subalterne mais pure aux yeux du C
sa Religion lui défende les gains excessifs et usuraires ? Osera-t on
prendre
le parti du Commerce, pour peu qu’on ait la consc
les inconvénients de cette profession, doit donc bien se garder de la
prendre
, puisqu’elle expose à des tentations auxquelles i
es lumineuses qui ne lui laissent aucun doute sur le parti qu’il doit
prendre
, qu’il lui est permis de se déterminer. J’attends
que j’ai connu tous les dangers des différents partis que j’aurais pu
prendre
, de choisir l’état le moins périlleux pour moi. L
née qu’à réprimer le goût que la Noblesse la plus distinguée pourrait
prendre
pour les Comédiennes, ce qui occasionnerait des m
utilité de leur Profession. Ce n’est pas que je veuille conseiller de
prendre
subitement le parti de de confier le Théâtre qu’à
axe qui voulut la refuser : le Public applaudit avec ardeur en criant
prenez
la, Monseigneur, vous la meritez bien. On ne voul
mesure dans le goût & l’odorat ? Le P. Castel & tout le monde
prit
alors ces idées pour des plaisanteries & des
es les liqueurs. Mais comment se contenir dans ces bornes quand on en
prend
l’habitude ? Des nations entières usent de liqueu
les livres, soit en les reliant, soit après qu’ils sont reliés ; ils
prennent
aisément l’odeur comme le linge, puisque le papie
, qui en les ouvrant donnoient une odeur de musc ; c’est celle qui se
prend
le plus vîte & se conserve le mieux, plus les
avant de les coudre, dans un armoire où il y ait des odeurs : ils la
prennent
moins quand ils sont reliés ; cet usage est assez
p; ses cassolettes. Attaqué & vaincu de nouveau, il fut obligé de
prendre
la fuite, il fut poursuivi ; il eut beau se dégui
trace comme le gibier dont le chien de chasse suit la piste ; il fut
pris
& mis à mort. Plotinus Sénateur Romain eut le
ravant les habits d’Esau étoient parfumés ; Isaac y fut trompé, &
prit
à l’odeur son fils Jacob pour son fils aîné, ut
; car chaque pays a les siennes, chaque femme son goût, & chacun
prend
ce qui le flatte, comme il mange ce qui lui plaît
on ne porte plus de moustaches, le tabac produit le même effet, on en
prend
à tout moment sans aucune nécessité ; on en est q
nd Mogol Scah Jean le faisoit baigner dans l’eau rose ; Saladin ayant
pris
la ville de Jérusalem changea le Temple en mosqué
u’à la Chine il y a des cantons comme une partie de l’Arabie qui en a
pris
le nom d’heureuse où tout est parfumé & aroma
inuellement des Déesses, des Princesses Asiatiques. Ne faut-il pas en
prendre
les odeurs comme les habits pour les mieux imiter
er ses démarches, employa cet artifice pour séduire Holopherne ; elle
prit
ses plus beaux habits, ses plus riches pierreries
ect qu’on doit aux Livres saints, ne permet pas même aux Poëtes qui y
prennent
des sujets, d’y rien altérer, pour l’ajuster à le
traducteur, amateur du Théatre comme lui, pour excuser sa hardiesse à
prendre
dans la Bible le sujet d’un poëme épique, avance
avec les comédies. On n’a jamais condamné les poésies sur des sujets
pris
de l’Ecriture, il y en a une infinité : mais on a
nce, de l’avoir quelquefois tolère. Gesner, apparemment peu instruit,
prend
son pöeme pour un drame : en effet, ce n’est qu’u
faut que ces libertés y soient bien fréquentes, pour en avoir si fort
pris
l’habitude, & les multiplier dans tous ses ch
n est point parlé dans les premiers chapitres de la Genese, d’où on a
pris
le poëme d’Abel, & il faut convenir qu’avec l
contre lui-même, avec un air de confiance & d’amitié, afin qu’il
prit
des mesures pour en empêcher l’impression. Il la
aire historique, ou plutôt l’éloge des Œuvres de Voltaire, d’où a été
pris
le trait de l’Abbé de Voisenon, on trouve une épi
e la profondeur du caractere , jusqu’à tourner en vice ce qu’on avoit
pris
pour vertu ; & en démasquant les hommes, les
ien en mal. Autre paradoxe : il veut, malgré toutes les regles, qu’on
prenne
dans la Tragédie les leçons & les exemples de
lui chez qui Monsieur de Baron & la Princesse Champmélé venoient
prendre
des leçons. Les acteurs sont-ils donc aujourd’hui
rtis du College, & j’en sortis savant, Puis venu d’Orléans, où je
pris
mes licences, Je me fis Avocat au retour des vaca
ont je charme aujourd’hui les yeux & les oreilles. Ces vers sont
pris
du Divorce comique, petite farce où l’on suppose
: ils auroient mieux fait de ne pas la faire composer. Ces vers sont
pris
du Divorce comique, petite farce où l’on suppose
r, de parler & d’agir, propre à chaque personnage. Les caractères
pris
de l’Histoire ou de la Fable, sont au moins ébauc
iennent qu’à soi. Si sa Nation goûte les descriptions empoulées, tout
prendra
dans sa bouche l’emphase de l’affectation & d
étueux ; de deux manieres. Ainsi le Peintre ou le Poëte (car nous les
prenons
ici l’un pour l’autre) n’a à se mettre en garde q
de ces causes qui sont particulieres aux Poëtes de la seconde classe,
prennent
leur source dans leur amour-propre, dans leur ina
ffit pour en faire agir & parler. Les caracteres ! les mœurs ! ne
prend
-en pas de soi-même ceux qui conviennent ; pourquo
e approche le plus du bel esprit, qui lui-même amuse davantage, &
prend
le mieux dans un certain monde. On confond ces de
es, nobles, Financiers, Bourgeois ; tout veut paroître instruit, tout
prend
un ton de connoisseur. Ceux qui font profession d
me avec un adversaire aussi redoutable que vous l’êtes, il est bon de
prendre
ses avantages, et de faire armes de tout au besoi
mais seulement à s’unir de cœur à leur affliction ; il s’ensuit qu’on
prend
tout le mauvais de la Tragédie, et que le bon éch
ur ce fameux Père de l’Eglise, je dirais que la douleur honnête qu’on
prend
dans les Tragédies, accoutume à une douleur vicie
tant qu’il m’est possible de faire le Prédicateur dans une Lettre qui
prend
toutefois assez la forme d’une Dissertation : san
e souviens bien encore de vous avoir ouï soutenir que M. Nicole avait
pris
le change sur la fureur de Camille, dans la Tragé
s furieux dans un rôle tendre, et qu’on en détache l’odieux pour n’en
prendre
que le sensible, comme je pense l’avoir avancé da
je ne négligerais aucun de mes avantages : mais sur le ton dont je le
prends
, dites-vous, il ne faudra plus non seulement voir
s termes, des figures, des gestes, des tons qu’il n’entend pas, qu’il
prend
dans un autre sens, ou qu’il attribue à quelqu’au
ertir, &c. ; mais persifler ne s’applique qu’à la moquerie, il se
prend
toujours en mauvaise part, on ne s’y sert pas de
convexe ou concave, qui represente tout en grotesque, un Cameleon qui
prend
toutes les couleurs des objets qui l’environnent,
ire le sujet d’une comédie : Il n’a , dit il, aucune consistance, il
prend
tous les caractères qu’il imagine pour se diverti
p; l’immoler à la risée ; (n’est-ce pas le caractère du comédien. Il
prend
tous les caractères dans les divers rôles qu’il j
par une figure naturelle. Toutes les comédies sont des masques qu’on
prend
pour rendre un caractère personnel. Grand nombre
Méchant, le Medisant, &c. sont aussi volatils que le Persiffleur,
prennent
toutes sortes de masques, s’accommodent à tous le
pointes, & l’ Orateur en chaire en seme l’Evangile . Le théatre a
pris
la place du burlesque, & ne vaut pas mieux :
r, chassa Manlius du Sénat parce qu’en présence de sa fille, il avoit
pris
des libertés avec sa femme. Il semble qu’aujourd’
avenir n’est pas encore, le present ne fait que passer. On ne peut le
prendre
à la volée ; desqu’on croiroit le saisir, il n’es
omper, pour nous mieux séduire, & de cacher le piége, pour nous y
prendre
. Cette apologie est très juste, mais mal adroite
nséquent celui du vice ; & les hommes sont des idolâtres, jusqu’à
prendre
hautement parti pour les femmes ; chacun est un D
enfermées dans une maison, jalouses les unes des autres, toujours aux
prises
avec leurs compagnes, toujours en guerre pour se
s Juifs une eau de jalousie, qu’une femme soupçonnée étoit obligée de
prendre
; épreuve délicate si elle n’étoit pas innocente
s maris accoutumés à mépriser leurs maîtresses, ne savent comment s’y
prendre
, pour estimer leurs épouses ; & l’estime est
mp; joue le sage sur la comédie. Au lieu d’un vain hochet elle a
pris
la sérule, Par elle maintenant le vice est combat
nt chassé du Barreau un Avocat téméraire, qui s’étoit dégradé jusqu’à
prendre
la défense de la comédie, & à combattre les f
e tolére la vente des poisons, est-on excusable de le servir ou de le
prendre
? Le Prince tolére une mauvaise réligion ; est-on
fait cause commune avec l’Auteur. Qui sait même si ce panégyriste ne
prend
pas un intérêt de parti à ces sentimens peu chrét
bles mariages que la passion fait faire malgré les familles. L’Eglise
prend
tant de précautions pour conserver la liberté, &a
y en a quelques uns, où abandonnant le sérieux de la controverse, on
prend
le ton du libertinage pour tourner en ridicule se
n peut pécher dans le plus saint état sans doute ; mais du moins on a
pris
tous les moyens d’assurer la persévérance ; le vœ
rance ; le vœu lui-même en est un. Dans le monde au contraire on n’en
prend
aucun, on se met dans un danger évident de périr.
e serment de fidélité au Prince, celui de remplir son devoir quand on
prend
une charge, le ferme propos dans un acte de contr
la passion, les excès étoient préparés. Ici c’est un imbécile qui ne
prend
aucun moyen, ni pour instruire, ni pour sauver sa
ofession il vit dans un sommeil létargique. Ignoroit-il qu’elle avoit
pris
l’habit, qu’elle faisoit son noviciat, qu’elle al
’en aller aux isles ensevelir son chagrin chez les Topinambous : J’ai
pris
mon parti, vous ne me verrez plus, Le lieu de mon
p; de la vraisemblance. On diroit que stérile de son fonds l’Auteur a
pris
dans Crebillon tout ce qu’il a trouvé de plus tra
grands mouvemens. Elle est trop petite, vole trop terre à terre pour
prendre
l’essor & chausser le cothurne. Une ame élevé
la scélératesse réfléchie & soutenue de préparer du poison, de le
prendre
, de venir mourir au milieu de sa famille, sans se
Aubert, gai, galant, ami des Poëtes, Poëte lui-même très-agréable, a
pris
ici un ton de sévérité, quoique toujours avec jus
eigneur, Qui de l’amoureuse foiblesse, Est le sensible protecteur, Et
prend
pour défendre l’erreur Le langage de la sagesse.
n pour un jeune homme ; mais volontairement, sans être forcée, elle a
pris
généreusement son parti, renoncé sincérement à to
son enfance, ni dans le couvent, où elle a été si heureuse qu’elle a
pris
d’elle-même la résolution de s’y consacrer, &
il donne pour de la violence une éducation douce, pieuse, honnête. Il
prend
le change & détruit ses propres vues. Le Curé
vent faire de mauvais Religieux, presque jamais la violence. L’Eglise
prend
les plus grandes précautions pour l’empêcher. Six
ré. Cependant cette Héroïne, ce bel esprit, est une imbécille. Elle a
pris
l’habit bien librement : Moi-même par mon choix j
nger ni à son habit ni ni à son habit, ni à sa ferveur. Quel essor ne
prend
pas son cœur ? Tout rempli de Monval, il s’élance
rs tranquille, une piété marquée jusqu’à vouloir se consacrer à Dieu,
prendre
en effet l’habit, & faire deux années de novi
injures, en présence de sa mere, de son Curé, de son amant, qui tous
prennent
son parti, aime mieux mourir que de dire un non,
, y a-t-elle mis sa fille pensionnaire ? Pourquoi lui a-t-elle laissé
prendre
l’habit, & faire son noviciat, pour la rendre
ure ? précisément le contraire de ce qu’on a prétendu, que les enfans
prennent
le plus grand travers dans le choix de leur état,
pouillés va chercher l’indigence. Qu’est-ce qu’un toit dépouillé ? Il
prend
sur ses besoins pour aider ceux d’autrui. On soul
als & dans les danses, comme le Monde le prétend, le Saint Esprit
prendroit
-il tant de soin pour nous en détourner ? Examinon
de l’impudicité, où l’on n’approuve que les libertés qu’on n’oseroit
prendre
ailleurs : Tertul. l. de spectacul. c.17. Est p
uivi. L. de spectac. c. 26.Tertullien en rapporte un exemple dont il
prend
Dieu à témoin. Il raconte qu’une femme chrétienne
t, religionem doceat, non saltationem. Dem. Il faut bien, dit-on,
prendre
un peu de récréation, les Dimanches & les Fêt
que la religion chrétienne. Dem. Je suis invité à des noces où l’on
prend
ce divertissement ; mon parent se marie ; ne me s
ise, les chansons malhonnêtes, & les libertés criminelles qu’on y
prend
, rendent presque toujours coupables ceux qui s’y
user de péché ceux qui se masquent pendant le carnaval, quoiqu’ils ne
prennent
que des habits conformes à leur sexe, mais qui ne
onvenables à leur état ; parce qu’étant masqués, on peut toujours les
prendre
pour des infames & des bouffons, comme nous l
re si vive, & si naturelle, qu’on le crut du rôle, & qu’on le
prit
dévotement pour un anathême lancé contre Athalie.
cette idée de femme & de comédie le révolta, il ne voulut pas la
prendre
qu’elle n’eût été blanchie & bénite, comme ay
on commençoit une piéce fort devote, en faveur des Chevaliers, le feu
prit
derrieres le théatre, dans la chambre des acteurs
pion mit le feu à un cordon qui pendoit le long de lacou’isse, le feu
prit
à la coulisse même, & delà à tout le théatre
mbre, il dépend de ceux qui viennent au Vauxhal, & qui veulent en
prendre
. Ce tour de passe passe est un nouveau spectacle,
es jours, si on ne prenoit les plus grandes précautions ; mais on les
prend
, dit-on, ces sages précautions, le Magistrat y ve
ux ! que ces précautions sont deshonorantes ! que la nécessité de les
prendre
, & souvent leur inutilité est honteuse : elle
ons & des crimes. Telles sont les précautions qu’on est obligé de
prendre
contre la Peste ; l’expériance de mille accidens
er nécessaire un divertissement, où il est au contraire nécessaire de
prendre
les plus grandes précautions, pour prévenir les e
avoit sifflé un acteur ; elle en a décreté plusieurs autres, qui ont
pris
la fuite, & sont allez voir & siffler à l
vous réplique point, la dévotion me rend sotte. Voici quelques traits
pris
au hasard qui feront juger de ce livre. (p. 50.)
onde, la bourse. Ce n’est plus une foiblesse excusable, quoiqu’à tout
prendre
, les folies qu’on fait dans l’ivresse soient plus
r tous les traits qu’il lance sur les Actrices. En voici quelques-uns
pris
au hasard, qui suffiront pour le faire connoître.
e la fille honnête, & fait son métier ; elle fait à quel filet se
prennent
les bonnes gens. Familiarise-toi avec elle, sois
ute la décence que tu voudras, mais accepte, accepte, c’est autant de
pris
. Je suis au désespoir de ne pouvoir t’envoyer ce
tyrannique, ennuyeux, maussade ; mais il me fait de gros présens, je
prends
patience. Que ton Marquis est plaisant avec son r
s patience. Que ton Marquis est plaisant avec son respect ! où a-t-il
pris
ce mot ? il doit te paroître étrange. Le pauvre g
ssions, chanté des grand’messes, exposé le S. Sacrement (mais non pas
pris
la discipline) pour M. le Dauphin & pour le R
’Armide, de Roland, d’Hypolite, chantèrent le Miserere, sans pourtant
prendre
la discipline, non plus que nos saints Pénitens.
statuts dressés par le Roi Henri III, qui étoit Pénitent, ils doivent
prendre
la discipline, ce qui aujourd’hui ne s’observe pl
la porte avec la plus grande inquiétude la résolution que le Chapitre
prendra
. On se détermine avec peine à le refuser. Là dess
amp; le vice jusque dans le sanctuaire ; dégrade les Ministres qui en
prennent
le goût, fait mépriser les mysteres, les cérémoni
une Tragédie, ait donné lieu de demander, si on peut approuver qu’on
prenne
des Histoires de l’Ecriture Sainte pour en faire
, Messieurs, que nous ne balancerons pas sur le parti que nous devons
prendre
. Le Théâtre des Comédiens est trop disproportionn
qu’on veuille les joindre. Les prétextes que quelques-uns pourraient
prendre
, de porter au bien ceux qui vont à la Comédie, pa
ité de Dieu et du prochain, vous n’entendez pas l’Ecriture, vous n’en
prenez
pas bien le sens. « Quisquis igitur scripturas di
us consolants, soit l’Histoire de Judith, ou telle autre qu’on voudra
prendre
, il n’en est aucun où Dieu ne paraisse seul grand
n veut des sujets qui excitent les passions, et on ne manquera pas de
prendre
des endroits366 que l’Eglise ne permettait autref
pratiquent pas ; mais qu’il est à craindre que les hommes charnels ne
prennent
mal ces sortes d’Histoires. C’est pourquoi ce Sai
encontrent, étaient interdits à la jeunesse. Voilà cependant ce qu’on
prendra
pour le Théâtre. L’Histoire de Judith plaira, par
es font tout une autre impression. Combien de précautions faudrait-il
prendre
, pour proposer utilement l’Histoire de Judith à c
« Que la tête de ce superbe soit coupée de sa propre épée, qu’il soit
pris
par ses propres yeux comme par un piège, et que j
ésordres ; car c’est ainsi qu’on la fait parler. « Quel chemin ai-je
pris
pour entrer dans son cœur, Et pour y faire naître
, qui est propre à faire avaler sans défiance ce qui doit enivrer. On
prend
ce vase, dit Origène, et charmé de sa beauté, on
peut-on attendre que des altérations, de la part des personnes qui ne
prennent
l’Ecriture que pour en divertir le monde, au lieu
s ! avec quelle adresse trompe-t-il les hommes, et sait-il leur faire
prendre
pour un bien, ce qui est un mal véritable ? On vo
out cela peut être joint à présent, et si on ne craint pas de laisser
prendre
ce que nous avons de plus saint, à ceux qui font
de temps en temps des sujets saints. Saints, dans le lieu où l’on les
prend
, et profanes par les changements qu’on y fait. Ce
l aveuglement faut-il qu’il y ait parmi les chrétiens ! et fallait-il
prendre
le nom de Prêtre pour achever d’ôter aux fidèles
III, chapitre I]. : il cherchait, continue-t-il, quelque piège où il
prît
et où il fût pris : et il trouvait ennuyeuse et i
: il cherchait, continue-t-il, quelque piège où il prît et où il fût
pris
: et il trouvait ennuyeuse et insupportable une v
cets : viam sine muscipula h. Tout en est semé dans le monde : il fut
pris
selon son souhait, et c’est alors qu’il fut enivr
, la mort des vertus : les cinq sens sont cinq ouvertures par où elle
prend
son cours sur ses objets et par où elle en reçoit
désert. Un Chasseur survint et les surprit dans la récréation qu’ils
prenaient
. Il en parut scandalisé. Le Saint s’en aperçut. B
, sous prétexte que déjà quelquefois vous avez vu des pestiférés sans
prendre
le mal, voudriez-vous, dis-je, pour cela vous fam
prétend, si bien loin d’y courir aucun risque pour l’innocence, on y
prend
au contraire, les plus belles leçons de vertu, po
Alype ferma constamment les yeux pendant le spectacle, et au lieu d’y
prendre
aucune part, il ne s’occupa que de ses réflexions
lle parlait ainsi, ne put s’empêcher d’en marquer de l’étonnement, et
prit
la liberté de lui en demander la raison. Je vous
limes. La mauvaise opinion que des hommes prévenus et sans réflexion,
prennent
injustement des personnes de votre état, vous a s
cation qu’il avait méritée, croiront que c’est précisément pour avoir
pris
la défense du Théâtre, que le Livre et l’Auteur o
our vous mettre en état de plaider vous-même votre cause, que je vais
prendre
la liberté de vous détailler des vérités constant
porté par des raisons que personne n’ignore, pour MM. de Port-Royal,
prit
leur parti dans cette dispute. Pour leur donner g
e un homme tel que Roscius pendant qu’il parlait. Le Consul aurait-il
pris
de la sorte le parti d’un homme vil et déshonoré
s l’ont perdu, et sont à présent soumis à un pouvoir arbitraire qui a
pris
force peu à peu. A l’égard des Pièces qu’on devra
é. Des Acteurs élevés de la sorte seraient bien supérieurs à ceux qui
prennent
le parti du Théâtre sans avoir rien appris de ce
pas que vous demeuriez toujours dans les bornes de votre partage, il
prend
quelquefois envie au plaisant de se fâcher, et au
Messieurs, si je supposais que vous êtes deux grands Docteurs, si je
prenais
mes mesures là-dessus, et qu’ensuite (car il arri
que je confonds les Chamillardes avec les Visionnaires » : et que je
prends
des hommes fort communs pour de grands hommes ; a
nd Ecrit qui a mérité d’être brûlég. Mais cela serait plaisant que je
prisse
contre vous le parti de tous vos Auteurs ; c’est
ue ce n’est pas une petite entreprise, car que dire à un homme qui ne
prend
rien en raillerie, et qui trouve partout des suje
vous la croyez véritable. L’un de vous me reproche seulement d’avoir
pris
des Capucins pour des Cordeliers. L’autre me veut
circonstancielle de temps. k. [NDE] Guillaume Wendrock : pseudonyme
pris
par Nicole pour sa traduction latine des Provinci
tion que son merite extraordinaire m’a dû inspirer, ie m’y serois mal
pris
en luy offrant auec mes profonds respects vn ouur
lire ce qu’il promet. Mais MONSEIGNEVR, ie suis tres persuadé qu’ils
prendront
infiniment plus de plaisir à contempler le portra
le discernement excellent pour toutes les belles productions, Elle ne
prenne
plaisir à la representation d’vn Poëme Dramatique
que sur le Theâtre par l’agrément que luy donne le Comedien. Ainsi à
prendre
les choses dans l’ordre, j’ay creu qu’il me fallo
ebauche de jeunes gens. L’autheur qui est leur garent n’aura pas bien
pris
la chose, & ce qu’il raporte est vn incident
es sagement auisez de donner aux Peuples quelques diuertissemens pour
prendre
haleine dans les affaires, dont sans cela l’espri
r à la vertu, & luy donner de l’horreur du vice. Comme on peut se
prendre
de deux manieres pour paruenir à ce but, & s’
aîtassent les choses d’vn air graue & serieux, les autres qui les
prissent
d’vne maniere enjoüée, pour s’accommoder à tous l
u’il y entre heuresement ? Des deux routes que j’ay dit que l’on peut
prendre
pour paruenir à cette loüable fin, les vns ont fa
die, dont il connoist parfaitement toutes les beautez, & qu’il la
prend
pour vn de ses plus doux diuertissemens, quand il
s’il est moins blâmable de voir des hommes trauestis en femmes &
prendre
l’habit d’vn autre sexe que le leur, ce qui hors
ttre au iour, & le Libraire qui oze les debiter : mais on ne s’en
prend
pas à ceux qui sont innocens du crime, & l’in
ntrer dans la ruë, ou il faut comme vn Tartufe tendre à la tentation,
prendre
vn mouchoir à la main, & baisser la veüe à to
l’effet. On pourroit se tromper, de croire que l’Auditeur raisonnable
prenne
vn plaisir infini à ces representations qui passe
oit encore bon qu’on pust jnsensiblement accoûtumer les Spectateurs à
prendre
goust à des representations Comiques, où il y eus
de quoy redeuables aux Italiens & aux Espagnols. Les Espagnols
prennent
le contrepied des Italiens, & selon le genie
cela qu’ils soient defendus à tout le Monde ? Les esprits chagrins ne
prennent
plaisir à rien, & blâment tous les diuertisse
voudroit suiure pour l’executer ; Mais de la maniere que ie vais m’y
prendre
, j’ay la temerité de croire que j’y pourray reüss
’il est conuaincu en sa conscience qu’il y en a de plus belles, il ne
prend
pas plaisir à les entendre loüer ; parce qu’il lu
gler le pas, & de causer des jalousies entre les Maisons, ils les
prennent
confusement & sans ordre, ou les placent selo
ns considerables, qui ont échapé à ma memoire, & au soin que i’ay
pris
de les rechercher, à quoy vne seconde edition peu
XI. Coûtume obseruée dans la lecture des pieces. Sur cet áuis on
prend
iour & heure, on s’assemble ou au Theâtre, ou
e matiere que le Poëte. A la fin de chaque Acte, tandisque le Lecteur
prend
haleine, les Comediens disent ce qu’ils ont remar
les, ny nous peindre vn sot plus sot qu’aucun sot ne le peut étre. On
prend
plus de plaisir à vne peinture naturelle, & t
emiers rôles feroient toutefois bien de s’y rencontrer toûjours, pour
prendre
le sens des vers de la bouche de l’Autheur, &
force & le talent de chacun, (ce qu’il est bon qu’il sçache pour
prendre
mieux ses mesures) les Comediens se dechargent su
hargent sur luy auec plaisir de la distribution des rôles, en quoy il
prend
aussi quelquefois le conseil d’vn de la Troupe. M
ions, & releue le Comedien, s’il tombe en quelque defaut, s’il ne
prend
pas bien le sens, s’il sort du naturel dans la vo
ux autres partagent entre eux les rôles selon leur capacité. Celuy-cy
prend
les Roys, celuy-là les Amoureux, & les plus h
celuy-là les Amoureux, & les plus habiles ne dedaignent point de
prendre
vn Suiuant, s’il est necessaire. S’ils en vsent a
le Poëte font de la sorte vn excellent Composé, & sont, à le bien
prendre
, le corps & l’ame de la Comedie. Le Poëte est
er quelques diuertissemens honnestes. Que si on trouue mauuais qu’ils
prennent
cette licence, il n’est pas iuste de crier contre
mônes & particulieres & generales, & les Troupes de Paris
prennent
de leur moument des boistes de plusieurs hospitau
a Troupe Royale, & que celle que le Roy a établie depuis peu veut
prendre
pour vne forte base de son affermissement. Ainsi
me ; & autant qu’il est possible, vn habile Comedien qui se marie
prend
vne femme qui puisse comme luy meriter sa part. E
naturellement les Comediens aiment le plaisir, estant juste qu’ils en
prennent
, puis qu’ils en donnent aux autres, & que dan
es ouurages font peu de bruit, ils les soúfrent amiablement, & ne
prennent
point de leur argent à la porte ; & il y a d’
de se presenter à la porte sans argent, & permit aux Comediens de
prendre
des Gardes pour s’óposer aux violences qu’on leur
; de son Cocu Imaginaire, donna son Ecole des Maris. Il sceut si bien
prendre
le goust du siecle & s’acommoder de sorte à l
Estats qu’ils composent aujourd’huy peuuent dans le sens que je l’ay
pris
entrer fort bien en paralelle auec les Villes de
lequel on ne va guere à la Comedie dans les Prouinces ; tant, pour y
prendre
de bonnes leçons aupres des Maîtres de l’art, que
mme entre les Etrangers elle aime particulierement les François, elle
prend
plaisir de s’entretenir souuent auec vn des plus
à moins que par vne faueur singuliere on ne les en veuille decharger.
Prenons
chacun de ces Officiers à part, & voyons quel
oy qu’elle pust leur manquer. Aussi faut il que celuy qui suggere s’y
prenne
d’vne voix, qui ne soit, s’il est possible, enten
la qualité des billets qu’ils áportent du Bureau, où ils les ont esté
prendre
. Ils ont soin aussi que les Portiers facent leur
voudroient passer outre sans billet, & les áuertissent d’en aller
prendre
au Bureau ; ce qu’ils font auec ciuilité, ayant o
de la porte du Theâtre, & en vertu de la Declaration du Roy elle
prend
des soldats du Regiment de ses Gardes autant qu’i
re, & l’autre le fond, & sur tout ils ont l’œil que le feu ne
prenne
aux toiles. Pour preuenir cet accident, on a soin
aginer qu’ils sont grands, & c’est ce qui oblige les Comediens de
prendre
le double, parce qu’il y a pour eux le double de
le luy a enuoyées sur le Theâtre François. M onsievr, Ie me suis
pris
trop tard à exposer cet ouurage à vôtre censure,
n’ont point eu ses Ayeux, mais aussi par vn soin particulier qu’il a
pris
de faire cultiuer les belles lettres en France, &
e cinquante mille personnes, qui ne songeant qu’à se divertir, furent
prises
comme dans un filet. Dans les guerres de notre te
avoir ravagé l’Afrique, assiégèrent en 349 cette grande ville, et la
prirent
d’assaut. Croira-t-on l’excès du désordre que rap
u’à demi-chemin, où un pareil détachement de l’autre armée venait les
prendre
et les conduire. A son retour à Paris, après la g
èrement qu’à Paris. Dans les anciens tournois les Chevaliers allaient
prendre
l’ordre, la devise, les couleurs de leurs maîtres
ines rudes et belle faciles per voluptate assuescerent. » Il leur fit
prendre
de beaux habits, faire de grands repas, construir
repas, construire de belles maisons, des bains, des portiques, et les
prit
par les amorces du vice : « Paulatim discessum ad
. » Ils sont à nous, et ne peuvent plus nous résister ; aveugles, ils
prennent
pour humanité, ils traitent de politesse ce qui f
s de Zama, où il fut vaincu par Scipion. Peut-on ajouter des exemples
pris
des livres saints ? Tel fut le conseil trop juste
gne ; il ne forme pas à la vérité des armées bien fortes, ses traits,
pris
dans le carquois de l’amour, ne blessent que les
qu’il y a des jeux et des divertissements permis, et que l’on en peut
prendre
, comme on prend une médecine pour purger le corps
et des divertissements permis, et que l’on en peut prendre, comme on
prend
une médecine pour purger le corps de ses mauvaise
étiens n’ont pour but dans le jeu, et dans les divertissements qu’ils
prennent
, que de laisser passer le temps sans le sentir, o
uleur, de briser les tables de la Loi, et de commander aux Lévites de
prendre
les armes, de les mettre à mort, et de les tuer s
à objecter contre la danse, cette considération seule vous doit faire
prendre
la résolution de ne danser jamais, puisque la dan
elle se préfère à toutes les autres Filles ; elle se tient fière, et
prend
un air de grandeur pour survendre ses appas, et s
son image, que ce miroir lui représente, lui plaît infiniment ; elle
prend
en elle-même un repos orgueilleux ; cherchant à l
eau armés de poignards : vous voyez bien qu’il n’y a point de fuite à
prendre
: il faut nécessairement que l’un des deux périss
tres indécences qui s’y commettent, aux attouchements du feu. Si vous
prenez
à main nue un fer bien chaud, vous voyez sur le c
de très grandes difficultés. Vous ne manquerez pas de répondre, qu’on
prend
bien garde à ces excès, et qu’on ne souffre pas d
gréables, bien mises, bien parées, qui ne songent qu’a se divertir, à
prendre
leurs plaisirs, et à contribuer au plaisir commun
anmoins d’honnêtes divertissements, qui sont permis, et que l’on peut
prendre
sans crime ; et il y a, dit l’Apôtre aux Philippi
se rompre. Ce qui est défendu dans les divertissements ; c’est de les
prendre
avec trop d’affection, trop d’attache, et d’y met
es Imaginaires et des Visionnaires. Vous déclarez d’abord que vous ne
prenez
point de parti entre lui et Desmarets. Je vous dé
de parti entre lui et Desmarets. Je vous déclare aussi que je n’y en
prends
point, mais je ne veux pas dire, comme vous, que
ue je prends parti, puisque c’est au contraire une preuve que je n’en
prends
point, et que je suis seulement pour la vérité. J
ment, et non pas la Poésie. Croyez-vous que ce soit la même chose, et
prenez
-vous ainsi l’espèce pour le genre ? On voit bien
s empoisonnent de telle sorte, qu’ils s’oublient eux-mêmes, et qu’ils
prennent
un intérêt sensible dans des aventures imaginaire
point aller à la Comédie ? Mais saint Augustin s’accuse aussi d’avoir
pris
trop de plaisir au chant de l’Eglise, est-ce à di
l attribue au Saint Esprit tous les égarements de son imagination. Il
prend
pour des grâces divines, les corruptions, les pro
tantôt homme, tantôt femme ; et il ne quitte une passion que pour en
prendre
une autre. De l’amour il tombe dans la haine, de
re « J’admirais en secret la conduite de ces Pères, qui vous ont fait
prendre
le change, et qui ne sont plus maintenant que les
ucement, qu’en disant qu’il est très faux que les Jésuites aient fait
prendre
le change à Port-Royal, et qu’au contraire le P.R
que vous finissez votre lettre. « Vous prétendiez, lui dites-vous,ai
prendre
la place de l’Auteur des petites lettres. Je vois
rce que Desmarets a fait autrefois un roman et des comédies, que vous
preniez
en aversion tous ceux qui se sont mêlés d’en fair
fut informé de son élévation au consulat alors qu’il labourait, qu’il
prit
la tête de l’armée engagée contre les Volsques, v
nt ordinaire entre les femmes ; chacune avoit une cour nombreuse, qui
prit
hautement son parti. Cette comedie partagea toute
re son amante & sa femme, qui n’étoit point amoureuse de lui : il
prit
sagement le parti de la neutralité, & ne vit
mme le général de l’armée : la Reine embarrassée ne savoit quel parti
prendre
. Le désordre fut si grand, qu’il fallut y renonce
singulier & aussi théatral, c’est l’empire que la Princesse avoit
pris
sur le Duc de Longueville son mari, l’homme le pl
tation, va faire ses dévotions aux Carmélites, où la Duchesse vouloit
prendre
l’habit, pour lui reprocher son changement. Que d
à un simple gentilhomme qui ne la demandoit pas, & à qui il fait
prendre
son nom. La vie de cette niece, héroïne de roman,
bien céder aux caprices de la Princesse. L’Amour cet habile astronome
prend
la hauteur des astres : deux beaux yeux sont l’ét
usieurs volumes au Theatre de la Foire. Un premier Ministre obligé de
prendre
la fuite, dont on met la tête à prix, & qu’on
pelle une barque de pêcheur qu’elle voit sur le rivage ; le patron la
prend
entre ses bras pour la porter dans sa barque, &am
se trouvoit près de la côte. Le capitaine, qui se fit bien payer, la
prit
par grace, comme un gentil-homme françois qui fuy
& vous conduire au port, même par un naufrage, & semble avoir
pris
à tache d’humilier les Princes : les foudres ne t
nés à l’excès, embrassent les prisonniers, leur accordent tout, &
prennent
des mesures pour les arrêter. Le Grand Condé qui
Prince étoit Gouverneur de Bourges ; il quitta pourtant le Berri pour
prendre
le Gouvernement de Bordeaux qui l’avoit mieux ser
s occupoient la campagne ; le Prince & la Princesse alloient être
pris
. Celle-ci redevenue dévote, s’enferma, non chez l
se refugia à Bruxelles. Tout changea dans cette nouvelle piece, &
prit
un rôle différent ; M. de Turenne devint Royalist
re de ridicule. Je lui rends plus de justice ; &, quoiqu’elle eût
pris
quelques couches de vernis de Port-Royal, où elle
famille, son mari, tout le monde, accoutumés à ses grandes aventures,
prirent
son changement pour un coup de théatre, & s’e
rtés par le frere contre Turenne. Ces deux grands hommes toujours aux
prises
avoit fait un échange de commandement : Turenne e
; dans ses malheurs, donna comme elle dans une grande dévotion, &
prit
aussi la plume,. & même fit imprimer des livr
ices passera pour un rêve aux yeux du monde. Elle avoit deux fils qui
prirent
l’Etat ecclésiastique, & tous deux le quitter
ent pour plus de cinquante mille écus de Bénéfices. Dés qu’ils eurent
pris
l’épée, leur mere alla porter au Roi leur démissi
de se recréer, et se débander l’esprit, et vivre toujours en joie. Je
prends
la preuve de cette vérité, de la parole de Dieu m
plaît à celui qui avec joie se donne à lui. »21 La raison de ceci se
prend
: 1. Du côté de Dieu,Raisons de cette joie. Du cô
ons en sont évidentes :Raisons pourquoi l’Ame Chrétienne peut et doit
prendre
des récréations corporelles et extérieures. 1. L
jet, afin de l’égayer un peu, et de le débander. La seconde raison se
prend
de l'état et condition de la nature humaine ;Seco
ssance, et amour des choses Divines. L’extérieure et corporelle qu’on
prend
en quelque chose de la terre. Les oiseaux de Para
e des Saints,Troisième raison, les Saints les ont pratiquées. qui ont
pris
ces divertissements aux jeux et récréations. Sain
’y a sujet aucun de défendre telles récréations, parce qu’on les peut
prendre
sans aucun dérèglement, en gardant les pratiques
ai dit en l’article précédent, il a été si bon, que de vous obliger à
prendre
quelque divertissement et récréation ; comme il a
ns, on dit que l’herbe Sardonique fait mourir en riant ; les plaisirs
pris
en telles assemblées, vous chatouillent, et vous
t attentive à penser à quelque chose, ou à l’écouter, vous n’avez pas
pris
garde ni au bruit qui se faisait, ni à voir ceux
s’en peut retirer. de façon que tout en riant, et vous recréant, vous
preniez
dextrement occasion de dire quelque chose qui soi
des récréations, comme des viandes, du sommeil, et de la médecine, en
prendre
trop, c’est détruire sa santé et ses forces, non
deux ; le gain sert de prix, ou de récompense d’icelle : mais il faut
prendre
bien garde que ce prix ne soit pas trop grand, il
tionner bien plus relevés que celui-là : ce n’est pas qu’il ne faille
prendre
plaisir à jouer pendant que l’on joue, car autrem
s à la personne, ou si elles sont l’occasion prochaine du péché. Pour
prendre
ces récréations, sans endommager la conscience ;
auxquelles, selon leur état et condition, il est permis de danser, ne
prennent
pas cette récréation avec une trop grande affecti
vile et basse, est fort dangereuse, comme maintenant on la pratique ;
prenez
donc cette action, comme un exercice du corps, un
ieures et corporelles. Raisons pourquoi l’Ame Chrétienne peut et doit
prendre
des récréations corporelles et extérieures. Premi
oquette, Jebu ayant fait mourir le Roi pour monter sur son trone vînt
prendre
possession de son palais, & quoique dans cett
esse, de galanterie, des noms agréables qui annoncent leur beauté. On
prend
les noms de tous les êtres qui ont quelque grace.
g. 2. Tùm casiâ, atque aliis inlexent suavibus herbis. Plusieurs la
prennent
pour la canelle, la cinnamome, le gingembre. Dans
, une belle noire ; la Baronne est le pôt au noir : Cornustibii. A le
prendre
du côté du vase, cornu, la corne, c’étoit le pôt
pays de Job, & passoient pour un éloge. Quelques traducteurs ont
pris
ce cornustibi pour la corne d’Amalthée, la corne
l y avoit une troupe de Comédiens qui suivoient la biere. Ils avoient
pris
des habits pareils à ceux du Prince & de sa C
is de sa présence. Le mensonge l’emporte, l’artifice & l’intrigue
prennent
sa place. Ce n’est pas seulement dans les palais
du fard en divers endroits, toujours pour le condamner. En voici deux
pris
des loix de Lacedemone : Propos de table & di
nd très-suspectes d’adultere celles qui y sont attachées. C’est alors
prendre
la ceinture de Venus, & on ne la prend guere
t attachées. C’est alors prendre la ceinture de Venus, & on ne la
prend
guere que quand on veut faire comme elle. Montag
s se voient, les autres se sentent. Il est établi que votre sexe doit
prendre
au nez comme aux yeux. Il y a plus, les odeurs as
e je fus appelée pour être interrogée par les Commissaires du Roi, je
pris
la précaution de mettre du rouge, quoique je ne f
son visage s’enluminoit comme une femme : Vous n’aviez pas besoin de
prendre
ces précautions, l’air de férocité qui vous est n
r du rouge à la livrée de la pudeur ; mais le Senat s’y laisseroit-il
prendre
? Il la connoîtroit. Elle gâteroit toutes les aff
s éloigné d’imiter les mœurs, ou plutôt ce n’est que parce qu’on en a
pris
les mœurs, qu’on en arbore la parure. Nous n’entr
et. La loi 5. (C. de Scenicis) condamne à une grosse amende celui qui
prend
chez soi ou amène ailleurs une Comédienne, comme
is dans le choix d’un état un homme sage n’a mis en délibération s’il
prendrait
celui-là. La première règle de la vocation est de
il prendrait celui-là. La première règle de la vocation est de ne pas
prendre
un état mauvais par lui-même, et personne qui ne
ême ton. Leur piété, leur sagesse, si l’on pouvait en avoir, quand on
prend
ce parti, seraient bientôt évanouies. Si on daign
par Yves de Chartres (P. 11. C. 14), comme faisant loi en France, est
pris
de S. Augustin. Il fut suivi par Philippe Auguste
r la glu et l’hameçon de la volupté, les filets de la représentation,
prennent
les stupides oiseaux qui viennent à eux : « Sicut
dans la crainte qu’abusant de l’amour et de l’empire qu’ils auraient
pris
l’un sur l’autre, ils ne se dépouillassent de leu
it mérité que les autres Actrices vinssent recevoir ses leçons, et la
prendre
pour modèle ; cette fée, dis-je, comme l’Auteur l
oncer à leur métier, qu’un esclave se dérober à son maître ; et s’ils
prenaient
la fuite, on les obligeait de revenir à leur serv
tatis infregit, minuit, elusit ». La loi, toujours grave et sérieuse,
prend
ici le ton de la plaisanterie, en parlant de la c
eté des Actrices, elle montre le cas qu’elle en fait. Il est juste de
prendre
ce ton avec des gens qui font métier de se moquer
i un témoignage non suspect de l’intérêt que l’Etat et le Roi doivent
prendre
à retenir dans les troupes des Comédiens des pers
dans aucun Historien du Cardinal de Richelieu ou de Louis XIII. Je la
prends
, sans chicaner, telle qu’elle est rapportée dans
nnés, les gens de bien en gémirent ; la plûpart s’en moquerent, &
prirent
occasion de jeter des brocards contre les couvens
auvreté, les mortifications d’un bon Religieux ? Quel intérêt peut-on
prendre
dans les démêlés ou intrigues monastiques, si on
, pleure comme un enfant, s’appuie, chancelle, tombe comme une femme,
prend
les mains de l’amant de sa fille, qui la déshonor
sang de sa fille. Il le souffre, il lui applaudit, il le caresse, lui
prend
les mains, l’appelle son fils. Quel rôle méprisab
oint nommé : Un petit moment plus tard j’étois, j’étois perdue. Il la
prend
lestement au pied levé & à brasse-corps. Sans
ossible ; il n’avoit pas le poignard à la main, puisqu’il vient de la
prendre
à brasse-corps, mais dans un fourreau. Et cet imb
été punies pour avoir manqué à la loi de la continence (on pouvoit en
prendre
un, sans aller fabriquer celui d’Ericie, qui n’ex
iecle, & jamais il n’a pu y avoir de Vestale qui ait été forcée à
prendre
, non le voile, mais les bande lettes, malgré une
roient-elles formée avant dix ans ? Et peut-on dire qu’on est forcé à
prendre
l’état le plus brillant & le plus agréable ?
e qui est impossible & commun à tous les états, du moins l’Eglise
prend
les plus grandes précautions pour les prévenir, &
lle le proverbe : Si le ciel tomboit, il y auroit bien des oiseaux de
pris
. Elmire & Olvide sont des noms François, &
le idée cependant donne-t-on du mariage, pour en dégoûter ? Il faut
prendre
un époux par devoir, non par choix, Ramper sous s
en gagnant les volontés du peuple par ce moyen. Aussi la Comédie à la
prendre
dans les bornes de l’innocence et de l’honnêteté
e ces lois en ont voulu condamner l’abus et non pas l’usage : et à le
prendre
à la rigueur le mot de Comédien n’est point expri
omme pernicieuse et contraire au bien public. Qui pourrait maintenant
prendre
pied sur ses autres opinions après une si monstru
s sans l’autre. Sur ce fondement qui doutera que le Gros-Guillaume ne
prenne
une incroyable volupté mêlée d’utilité à vider un
U désespérés de pouvoir mordre là-dessus non plus que sur le verre se
prendront
à l’argent que les Comédiens reçoivent, comme un
ntraire, il faudrait avouer que les Comédiens seraient infâmes, s’ils
prenaient
votre argent sans vous donner du plaisir, ou s’il
médecins : pouvez-vous trop payer cette médecine si agréable que vous
prenez
sans dégoût et sans peine ? Mais on commence à dé
que les oreilles. Mais comme ces hypocondriaques ne savent à quoi se
prendre
ni de quel bois faire flèche, ils estiment que la
un divertissement que les gens de bien n’approuvaient point, il en a
pris
une en particulier, où son adresse a supposé mill
meilleur soutien de la vertu. Mais ne m’avouera-t-on point qu’il s’y
prend
bien mal pour nous persuader que la véritable dév
’une raillerie que le foudre qui tombe sur ce débauché. C'est le bien
prendre
, en effet. Vous avez tort, M. de Molière : il fal
ination ? Et ne devraient-ils point se contenter que les vertueux n’y
prennent
point des mœurs pernicieuses, et qu’ils en sorten
ui eût jamais paru, et comme cet éloge nous aurait persuadés que vous
preniez
plaisir de découvrir à tout le monde ses perfecti
ateurs. Il est si fort ordinaire à ces messieurs les beaux esprits de
prendre
le méchant parti pour exercer la facilité qu’ils
son sentiment, lorsqu’il prétend que vous soyez impie, qu’il va vous
prendre
par un endroit où je vous trouve bien faible : il
transtulit. » Val. Max. l. 2. c. 4. dit que l'art de bouffonner ayant
pris
la forme des Satires, Andronicus le fit passer de
te femme ou une Nymphe, et en jouer si bien le personnage qu'on l'eût
pris
pour une femme, et non pas pour un homme déguisé.
ant, ce qu'on nommait Embola ou Intermèdes ; et si cet Apologiste eût
pris
la peine de lire les termes de Pline, ou qu'il en
té d'autres bévues qui ne sont pas seulement dignes de la peine qu'on
prendrait
à les censurer. Mais je ne puis omettre l'erreur
os ludos Republica sua ejecerunt. » Val. Max. l. 2. c. 6. Maxime, qui
prend
les Mimes pour les Comédiens, comme a fait cet Ap
mes et Pantomimes, mais il n'est pas vrai que le nom d'Histrion qu'il
prend
pour un Acteur de Drames, ne comprenait point cet
es Théologiens, la Sorbonne, prononcerent des censures, les Ecrivains
prirent
la plume, les Confesseurs redoublérent l’exactitu
uver que la comédie étoit permise. Aucun comédien devant lui, n’avoit
pris
le ton de Casuiste. Qui s’embarrasse de Théologie
écrit sur la comédie ; où, sans avoir murement examiné la matiere, il
prit
le parti de la justifier, de la maniere qu’il se
ur Huerne, & enfin du sieur Marmontel. Ces nouveaux athlétes, ont
pris
un ton dévot, un langage de Théologien, de casuis
objets obscénes. Qu’en général il est permis & même nécessaire de
prendre
des divertissemens honêtes ; mais qu’il faut être
s’embarrassant fort peu de leur conscience, ils rient des soins qu’on
prend
de la justifier. Le théatre a donc toujours eu co
t les comédies sont les plus licentieuses ; n’est-ce pas bien à lui à
prendre
le ton de dévot dans la Préface de son Tartuffe,
dévotion, en tâchant de la rendre ridicule ? Etoit-ce à la Fontaine à
prendre
un air de piété & de modestie, dans les tems
plus vifs regrets d’avoir composé ces mêmes ouvrages dont ils avoient
pris
dévotement la défense, d’autant plus croyable, qu
rieur n’avoit pas fait tant de mal, & n’en devoit plus faire, s’y
prit
avec plus d’adresse & de décence ; il ne se d
Poëte Victorin, comme on le voit dans le Santoliana que Dominique fit
prendre
pour enseigne à sa troupe. La comédie est allée e
t-on à la comédie la plus châtiée, sans avoir jetté quelques regards,
pris
quelque liberté, entendu quelques discours, formé
même ? N’est-on pas dupe d’une passion aveugle, si on le pense ; nous
prend-t
-on pour dupes, si on veut nous le faire penser ?
pions d’Hérode découvrirent le complot, & l’en avertirent. Il fit
prendre
les conjurés, & leur générosité, dit cet Aute
semore ejus, donec veniat qui mittendus est. De quelque maniere qu’on
prenne
le mot de sceptrum, par une autorité quelconque,
dans ces Spectacles, s'il fuit l'Idolâtrie ? Que dira-t-il ? Peut-il
prendre
plaisir à des choses criminelles, lui qui est déj
pas même permis d'avoir une pensée d'impureté : Comment donc peut-il
prendre
plaisir aux représentations de l'impureté, et com
sses, les éternelles, aux passagères, et les utiles aux agréables. Ne
prenez
point de plaisir à regarder d'autres actions que
à regarder d'autres actions que celles qui sont justes et pieuses. Ne
prenez
point de plaisir à entendre autre chose que ce qu
ignements de Dieu. Si vous vous plaisez donc aux chants et aux vers ;
prenez
plaisir à chanter, et à entendre chanter les loua
rit de la religion ? On a beau les déguiser par la sainteté du sujet,
pris
dans l’Écriture, & la piété des sentimens de
s les jours les pieces de Moliere & de ses contemporains ? ne les
prend
-on pas pour des modelles achevés, dont il est glo
s Acteurs portoient les habits de ceux qu’ils jouoient, comme Moliere
prit
ceux de M. Pourceaugnac. Ils firent des masques q
its. Ce sont des espèces & des branches de la médisance. Elles en
prirent
, dit Horace, jusqu’à la mesure des vers : Archilo
at cynique, monté sur le ton de la causticité, par l’esprit qu’il y a
pris
. Qu’il est habile & fécond à saisir, à invent
prêcher, l’Évangile aura beau enseigner la charité, tandis qu’on ira
prendre
au théatre des leçons de moquerie, des modelles d
té ; mais ils font des plaies profondes à la plûpart des hommes. Sans
prendre
ici le ton de Prédicateur, est-il douteux que la
étrit ; un tyran, s’il opprime le foible ; un insolent, s’il ose s’en
prendre
à son supérieur. Ce sont les motifs les plus crim
Ce ton de causticité, qui est le ton du siecle, & que le siecle a
pris
au théatre, est celui de l’impiété regnante. La r
ns des Écritures, en un mot toute la religion. Voilà la tournure qu’a
pris
l’irréligion dans tous les esprits depuis que l’é
aiguiser leur langue & tailler leur plume, puiser le fiel, &
prendre
la tournure qu’ils vont follement mettre en œuvre
e critique de son écrit contre la Comédie a A Madame de La F.b Je
prendrai
, Madame, la liberté d’appeler de votre critique,
non que ces écrits n’ayant jamais été faits pour être imprimés, on en
prit
le dessein à la hâte par les raisons que l’on a m
ons qui pourraient dissiper cette impression. Ainsi je n’hésite pas à
prendre
le parti du retranchement, et je ne vous ai marqu
j’abandonnerai tout le livre à la plus injuste censure, plutôt que de
prendre
de la peine à le défendre. Sap. 2. 12. a. [NDE]
r : je m’addresserai à lui, pour le remercier, qu’il vous a inspiré à
prendre
ce soin pour mon salut : & puisque vous m’ave
i le plaisir de vous annoncer, que vôtre Lettre à eu bon effét : j’ai
pris
la liberté, de la faire voir à mes amies Mesdames
lement touchées. L’Auteur de la lettre nous auroit obligées, s’il eut
pris
la peine de nous dire, si les personnes, tels qu’
à abandonner la résolution qu’elles avaient formée d’y aller, feront
prendre
à quelques autres la résolution de ne jamais y al
i redoutable, nous aurions la consolation de ne pas avoir inutilement
pris
en main les foudres dont Jésus-Christ arme ses mi
ns la version utilisée, il manquait les pages 3 à 5, qui ont donc été
prises
dans une version d’un format différent. C’est la
oi. Il avoit reçu du Pape ce glorieux titre. Les Rois d’Angleterre le
prennent
, quoique ennemis de l’Eglise qui le leur a donné.
ermie sur le trône par la mort de Cathérine d’Aragon, dont elle avoit
pris
la place, qu’elle en fut honteusement précipitée.
ce, qu’elle en fut honteusement précipitée. L’inconstance du Roi, qui
prit
du goût pour une autre, prépara sa disgrace. Il v
qu’Elizabeth appeloit divin, s’est envolé avec Astrée. La débauche a
pris
sa place ; il est devenu inutile. Acte V. Son El
ndit l’énergie de ce mot, & comme elle en sentoit la vérité, elle
prit
le parti d’en plaisanter. La jalousie & l’éta
t de brillans écussons, ils se donnent des généalogies illustres, ils
prennent
des noms de terres, ou, ce qui est plus risible,
harangues de la galanterie & des éloges de ses graces. On les eût
pris
pour les messagers des amans. Ils lui faisoient l
. Le Parlement n’en étoit pas la dupe. Il faut, disoient les Milords,
prendre
des précautions. La Reine, qui aime le faste, y p
graces & ses habits superbes. Toute la Cour fut aussi obligée de
prendre
des chevaux, & de faire suivre les carosses à
us indecent, mais la peignit fort belle. Il exposa son tableau, &
prit
la fuite. Ses sujets, pleins de zele, vouloient b
n prison. Ils nierent tout sans doute dans leur interrogatoire, &
prirent
la défense l’un de l’autre avec plus de chaleur q
elle amore humano. Les Virginiens, pour faire honneur à leur nom, le
prennent
dans le premier sens. Les Européens ont la malice
, le prennent dans le premier sens. Les Européens ont la malice de le
prendre
dans le second, & de renvoyer son amour Angél
ur lui. On employa d’autres traits que les fleches de l’amour. Il fut
pris
les armes à la main par des gens qui n’étoient pa
ce qu’elle voudroit dans la Religion comme dans l’Etat . C’étoit s’y
prendre
un peu tard. Elle avoit raison de dire : Je pourr
trice, qu’il alla visiter à Londres. Elle courut au devant de lui, le
prend
dans son carosse, seule avec lui. Pendant son sej
’amante le langage qu’elle eût voulu prêter à ses levres. Elle laissa
prendre
sur l’original bien des privautés que le Prince p
’aimez autant que vous le faites paroître, soyez persuadé que je n’ai
pris
, ni ne prendrai aucune part aux affaires, que pou
t que vous le faites paroître, soyez persuadé que je n’ai pris, ni ne
prendrai
aucune part aux affaires, que pour votre gloire.
redoutables qui allarment, la mere du héros qui le traverse. Il veut
prendre
la fuite, on l’arrête ; on excite des troubles po
rain ; & aussi-tôt on lui offre son trône & son cœur. Il veut
prendre
possession de ses Etats, & ses sujets ne veul
aëton, & le laissent tomber. Ils sont si bien cachés, qu’on les a
pris
pour de l’amour, & la pruderie, pour de la vi
cru que le premier devoir d’un écrivain qui parle de Vénus, est d’en
prendre
le langage & les graces. Il est difficile de
s chanteurs, pour en faire une recrue & les amener en Saxe. Il en
prit
à Venise, à Rome ? à Naples, à Milan, & fit d
xécuter, ni aucune musique de sa façon, dans les églises. Le musicien
prit
condamnation pour son chœur qui ne parut plus : m
ste scène. D’une action scandaleuse, donne une scène au public, il se
prend
toujours en mauvaise part. Il y a une opposition
nce du public. Le mot farce n’a pas une si brillante origine : il est
pris
d’un terme de cuisine. La farce, dit Ménage, est
voulu faire une antithese : le premier membre est faux, Corneille n’a
pris
ni le ciel païen, ce ne sont point les dieux qu’i
amp; de Théodore : mais en ce cas, Racine par Esther & Athalie, a
pris
aussi le ciel. Il peut se jetter dans l’enfer, le
ire bonne chere ; & ces messieurs ayant trouvé le vin bon, ils en
prirent
tant qu’ils eurent besoin d’aller reposer . C’est
istrat, en marchand, &c. Je l’ai vu déguisé en fripier : il avoit
pris
dans la rue des Fripiers une boutique pleine de v
e le crut pas, & on alloit condamner le sorcier au feu. M. Dumont
prit
alors un grand sérieux & leur-dit : Parmi ce
seront offensés. & vous seront de mauvaises affaires : on ne peut
prendre
trop de précautions pour ne se pas brouiller avec
inq ans avant Mariamne, que la cinquantaine est passée, qu’il s’y est
pris
trop tard pour la solemniser. Quel dommage ! quel
& les bons aux méchans, qu’ils corrigeroient : ils ont besoin de
prendre
une autre tournure, & repaîtrir leur caracter
cture ne leur eût appris. Ils perdent le train de leurs études, &
prennent
du goût pour la dissipation ; & cet inconvéni
acine, Baron, sont três-rares. Il faut s’identifier avec son rôle, en
prendre
fortement les motifs, les passions, les allures,
ant respecte un chien & un âne, se forme à son école, & qu’il
prenne
pour vrai ce qui n’est pas même vraisemblable, ou
contre la nature & l’état des choses qu’il connoît le mieux ! il
prendra
pour regle ce qu’a dit un âne qui ne fait que bra
de vertu à un enfant, ne l’a corrigé d’aucun vice. Un homme fait, qui
prend
les fables pour ce qu’elle sont, en rit d’abord,
e scaramouches. Moliere, qui connoissoit le théatre italien, & en
prit
des scènes entieres, crut bien peindre un hypocri
il s’est approprié, ce seroit le geai de la fable. Il peut même avoir
pris
ce mot dans le patois de Languedoc, où il est com
eux. & dans le fonds, & dans la maniere de les rendre. Il est
pris
dans les contes de Lafontaine, qui a tout puisé d
e marche qu’en carrosse avec une belle livrée. Comme Son Excellence a
pris
les plus grands airs auprès du Ministre maroquin,
Secondement, l’appareil ou la manière dont on les joue. La matière se
prend
, ou de l’Ecriture Sainte ; ou de quelques Auteur
émonial, il est certain, qu’il n’appartenait qu’aux Juifs, et qu’il a
pris
fin par la venue de Jésus Christ, et que les Chré
ont appert, que la défense est encore plus rigoureuse, que nous ne la
prenons
, la restreignant seulement aux vêtements ; au lie
ce qu’elle avait, que Dieu l’y préserverait de toute souillure ; elle
prit
les habits d’un soldat en ce lieu-là, pour en sor
ne Pelagia d’AntiocheVolaterran. bj , que quelques-uns écrivent avoir
pris
l’habit d’un homme, pour s’enfermer dans des Mona
et monstrueuses conséquences, que l’on en pourrait tirer, s’il était
pris
pour Cérémonial ; Aussi n’y eut-il jamais homme d
our Cérémonial ; Aussi n’y eut-il jamais homme de bon sens, qui l’ait
pris
pour tel : Et les anciens qui cherchent des allég
e, qu’en l’accoutrement de l’un et de l’autre : Sur quoi quelques-uns
prennent
occasion de blâmer les Amazones, et les femmes d’
la raison se laisse aller à la sensualité ; et au contraire, la femme
prend
l’habit d’homme, quand la sensualité est surmonté
raison : Mais par ce moyen, il serait seulement défendu à l’homme, de
prendre
l’habit de femme ; et non à la femme, de prendre
éfendu à l’homme, de prendre l’habit de femme ; et non à la femme, de
prendre
celui d’homme, contre l’intention du Législateur,
les Avocats des Bateleurs : Si, disent-ils, ce Commandement doit être
pris
à la lettre ; Il ne serait donc pas permis, en ca
e s’ensuit pas, qu’on le doive faire sans cesse (comme les Euchitesbv
prenaient
ce dernierbw,) mais quand l’occasion le requiert
de la cuisine infernale. Je m’en rapporte à leur conscience, s’ils ne
prennent
mille fois plus de plaisir à voir une farce, qu’à
ntrée, ne lui feront jamais une telle ouverture, quelque masque qu’il
prenne
, en quelque façon qu’il se déguise. Si quelqu’un
les vices se glissent plus aisément ès esprits par le plaisir qu’on y
prend
; et que l’on ne revient jamais avec les mêmes mœ
entends que déjà quelqu’un a répondu en gros, à tous ces témoignages,
pris
des Païens ; Puisque les Païens condamnaient ces
lis d’oubliance ; ce ne sont plus crimes, ils deviennent exemples. On
prend
plaisir par les vilains enseignements de ces joue
xécration ; et que tout ainsi, qu ’il y est offens é, que le Diable y
prend
aussi plaisir : Que nul ne peut vanter de servir
it généralement tous hypocrites, et toute hypocrisie ; (car ces mots,
pris
en leur propre et naïve signification, signifient
acteurs. m. [NDE] leur est contraire. o. [NDE] comprendre : si on
prend
le sujet de la pièce dans l’Ecriture Sainte… q.
e incertaine (entre le IXe et le XIIe s.) dont le titre a souvent été
pris
pour celui de son auteur, Trithemius (Johann von
enchantent, séduisent ; mais il est encore des gens respectables qui
prennent
le parti de la modestie outragée, qui détestent t
vicieux qu’il soit, il veut qu’on le ménage, & qu’on feigne de le
prendre
pour ce qu’il n’est pas ; il se révolte quand on
es humaines ? Je crains bien que les sévères censeurs du Théâtre n’en
prennent
occasion de crier de nouveau contre ceux qui comp
es mêmes termes d’une ancienne traduction. « La déclectation que l’on
prend
en chose lascive est vicieuse & approchante d
ans son tête-à-tête avec la douce, la commode Laurette, lorsqu’il est
pris
sur le fait. « J’éxamine sa main. — ma main ! — s
r à Alberti ces mots pleins de délicatesse ; Ne vous retenez pas, Et
prenez
vos ébats. Que penserait-on d’une jeune personne
’est ce qui ignore le Conte de la Fontaine dont le sujet de Mazet est
pris
mot-à-mot ? Or une semblable Pièce peut-elle remp
s choses ? C’est Dame Gertrude qui s’emporte contre Nuto, parce qu’il
prend
congé d’elle : Mais tu fais bien, Et tu te rends
nt, Plus j’amusais la folette ; Vous en auriez fait autant. Un baiser
pris
doucement Fâcha d’abord la pauvrette, Un second p
rlis en se glissant la nuit dans un jardin ? est-il naturel qu’on s’y
prenne
de la sorte pour venir voir une fille à qui l’on
ne, la tendre, la naïve Isabelle, tient ce discours à Dorlis, qu’elle
prend
, il est vrai, pour un esprit Aérien. « Votre imag
rrière la toile ? Aucun Spectacle Français ne s’était encore avisé de
prendre
une telle licence. Puisque on la tolère, que ne d
. 1. Annal.). Quels exemples ne verraient-ils pas, quels principes ne
prendraient
-ils pas en si mauvaise compagnie ? Qu’aurait pens
is des représentations, leur donnait chaque fois une somme notable, à
prendre
, il est vrai, sur les amendes et confiscations, p
ement, qui d’abord faisaient tout leur ouvrage, ne pouvant y suffire,
prirent
des Clercs, pour les aider, c’est-à-dire des jeun
e où ils s’instruiraient de la procédure et se rendraient capables de
prendre
dans la suite des offices. Philippe le Bel goûta
de sage et d’honnête dans ces amusements. Le Roi ni le Parlement n’en
prirent
aucun ombrage, ils avaient même quelquefois la bo
dit ses vérités, et qu’on le crût assez bon et populaire pour pouvoir
prendre
la liberté de les lui dire. Ces excès de licence
s révolutions, des séparations, des réunions avec d’autres troupes, a
pris
enfin l’état fixe où nous la voyons aujourd’hui.
ants que lui ils ne disputeront pas la préférence au beau sexe, il ne
prend
que trois Actrices, parce qu’il n’y a que trois g
ligion doivent à l’envi former l’éloge de cette femme forte qui seule
prend
en main la défense du citoyen fidèle. Elle nous f
’Actrice, qui la portent à rompre des fers que les seuls préjugés ont
pris
soin de forger. On ajoute que l’Eglise ne peut qu
rté à en faire un prompt examen avec plusieurs de nos confrères, et à
prendre
l’avis de l’Ordre dans une assemblée générale, qu
il y a plusieurs jours, s’ils n’avaient été instruits des mesures que
prenaient
à ce sujet ceux qui se dévouent sous les yeux de
on auroit confié le soin d’un malade ; & qui au lieu de lui faire
prendre
des remedes propres à le soulager, lui accorderoi
ofession de pieté, nous nous y trouvons ? Les personnes sur qui on ne
prend
point d’exemples, ne sont guéres coupables que de
pas la force de résister aux mauvais exemples. Quelque soin que l’on
prenne
de separer de la Comedie & des Romans, les im
ertissemens dangereux à notre innocence. La nécessité où l’on est de
prendre
quelque sorte de divertissement & de relâche,
e nous avons de délasser notre esprit, ne nous permet pas non plus de
prendre
des divertissemens dommageables à notre ame, &
rechercher le divertissement pour le divertissement, & ne peut en
prendre
que par nécessité ; c’est à dire, qu’il ne peut e
ne peut en prendre que par nécessité ; c’est à dire, qu’il ne peut en
prendre
que pour délasser son esprit, & reprendre ses
des grands abus du théatre ; c’est l’empire souverain qu’on a laissé
prendre
aux comédiens, sur les auteurs & sur les piéc
avec transport. Ce n’est pas tout-à-fait aux auteurs qu’il faut s’en
prendre
, si l’amour doit jouer le grand rôle dans tous no
ur soit plus libertine que sa piéce. Se familiariser, vivre avec eux,
prendre
leur ton, adopter leurs principes, imiter leurs d
diens sont des gens à talens, gens d’esprit & de goût. On ne peut
prendre
de meilleurs guides. C’est une sorte de nécessité
passion qu’un acteur peut bien rendre son rôle : Et où peut-il avoir
pris
son esprit, ces lumieres, ce goût épuré, ces sent
imens tout-à-fait opposés à l’idée qu’on a des vrais talens. Qu’on ne
prenne
pas le change, l’accueil, les caresses dont on le
jettent la dénomination de Troupe, qui leur fut toujours donnée, pour
prendre
celle de Compagnie : à ce nom avilissant, bien di
ne audience, l’inflexible Charles refuse constamment de la voir. Elle
prend
le parti de se trouver sur son chemin, dans les f
& le plus grand danger de la guerre, le Czar & Auguste, pour
prendre
de concert leurs mesures, convinrent d’une entrev
quand allant à Varsovie, il déclare à la République de Pologne, qu’il
prend
la qualité de Protecteur du Royaume, comme Cromve
urent dressés dans toutes les rues de Moscou, les pieces d’artillerie
prises
sur les Suédois y furent traînées, les drapeaux,
nitions & des milliers de soldats captifs & désarmés. Le Czar
prit
goût aux triomphes. Quelque-temps après, ayant re
bourg, suivi de la flotte victorieuse & des vaisseaux qu’il avoit
pris
. Toute l’artillerie des vaisseaux & de la vil
: il s’avisa d’envoyer à Constantinople une brillante ambassade, pour
prendre
dans les formes congé du Sultan. Mais comment fou
ont toujours de loisir à ce faire, ou rien qui vaille, ou bien ils le
prennent
très volontiers. Les fêtes de l’Eglise qui avaien
t ès jours du Sabbat. Mais au lieu desdites bonnes œuvres, les hommes
prennent
plutôt les mauvaises appartenances aux fausses re
dépendent du diable, comme dit ici monsieur Saint Pierre en ces mots
pris
de Saint ClémentSaint Clément, livre 4 des Recogn
pas obscurité et non splendeur ? Je hais et rejette vos fêtes, je ne
prendrai
point, je ne recevrai point l’odeur de vos assemb
u et récréation honnête n’est pas guère moins nécessaireab. Aucuns le
prennent
à se promener, les autres à deviser et à rire hon
ir et non pas si souvent, parce qu’il n’est pas tant nécessaire. J’ai
pris
occasion au sermon de monsieur Saint Augustin de
oncision (qui est le premier jour de l’an) les leçons de matines sont
prises
d’une Homélie de Maximeah anciennement Evêque de
puisqu’il n’y a presque plus de ridicule dans la Société. Mais qu’ils
prennent
une idée plus juste de leur art, & ils trouve
e comique ; mais j’espere que le Lecteur me pardonnera aisément de ne
prendre
que Moliere pour exemple. Car outre que l’examen
forte raison, par rapport aux autres Auteurs comiques qui l’ont tous
pris
pour leur modele. Il s’agit donc d’examiner quell
ntes, des Précieuses ridicules, du Bourgeois gentil-homme, &c. Je
prends
d’abord la Comédie de l’Avare, & je demande q
omper les hommes, toute sa conduite est un tissu d’horreurs. Orgon le
prend
chez lui & le nourrit gratuitement : que fait
tres : on y verroit la vertu, la probité, la franchise sans cesse aux
prises
avec l’air du jour, le ton & les manieres à l
lle a été la surprise de tous les gens de bien, de voir un Théologien
prendre
un parti pour lequel un homme du monde aurait eu
; la qualité ne sied pas si mal à un fauteur de la Comédie. On aurait
pris
patience ; mais on l’a perdue quand on a vu qu’il
iens Pères n’aient déclamé contre la Comédie de leur temps, vous avez
pris
le parti de les expliquer, et de faire voir que c
ître au commencement de votre Lettre page 2 « du parti que vous devez
prendre
dans l’opposition que vous trouvez entre les Conc
’en peut disconvenir. Il faut distinguer ces Spectacles, et vous avez
pris
grand soin de les confondre ; cela vous était de
son Livre De la Nature des Dieux ; cependant voyez les tours qu’il a
pris
pour combattre la pluralité des Dieux, et ses mén
rement à Saint Cyprien : (je n’examine pas ici si c’est à faux.) Il y
prend
encore plus de soin d’en distinguer les différent
l’esprit par le moyen du Jeu, et les précautions qu’il veut que l’on
prenne
en se le procurant, ou en le donnant. La première
iste, que Saint Thomas rapporte dans le corps de l’article 2. Ainsi à
prendre
cette première condition à la rigueur, il faudra
d’autre but, soit en jouant, soit en y assistant, que de donner ou de
prendre
quelque soulagement pour le corps ou pour l’espri
tables que vous avez posés, selon vous les Comédies de leur nature et
prises
en elles-mêmes indépendamment de toute circonstan
aints qu’ils sont, leur deviennent défendus par le scandale qu’ils en
prennent
mal à propos. « Diabolo artifice ex sanctis in il
marqué les paragraphes de Saint Antonin par deux § ensemble, il les a
pris
pour des sessions ou des séances, et de peur de s
spécieux. La première condition que Saint Thomas exige, est que l’on
prenne
le divertissement du Jeu ou de la Comédie, pour l
ence que la Comédie leur a souvent été une pierre d’achoppement elles
prennent
toute sorte de mesures et de précaution pour n’y
me condition que ce Docteur demande, est que dans le plaisir que l’on
prend
ou que l’on donne, on ne dise rien d’injurieux à
omas exige. La quatrième précaution est, que dans le plaisir que l’on
prend
au Jeu ou à la Comédie, on ne dissipe pas entière
lequel on est infailliblement vaincu dès que les passions dominent et
prennent
le dessus. Les Stoïciens ont travaillé inutilemen
elle les excitait quelquefois, ce n’était que par hasard : et moi je
prends
le contre-pied, et je dis que si la Comédie dans
gné son cœur, il faut qu’elle en meure : ainsi cette jeune personne a
pris
plaisir à la Comédie. En voilà assez, elle a été
uand il lui en a une fois donné l’envie, qu’elle y a été, qu’elle y a
pris
goût, le reste ne coûte plus rien au corrupteur,
uer à l’Opéra. Après avoir donc dit à son ami que la femme qu’il doit
prendre
, dont il lui vante la vertu, ne sera pas sans dou
sein. C’est pourquoi on est surpris avec raison, que quelque soin que
prennent
les Prédicateurs de détruire le Vice, ils y réuss
a Pièce sérieuse, où l’on voit souvent les hommes changer d’habit, et
prendre
celui des femmes pour les mieux contrefaire, et p
r d’habit, et prendre celui des femmes pour les mieux contrefaire, et
prendre
des libertés qui ne conviendraient pas à une femm
dans ses habits d’une Bourgeoise ? Mais dès que la Bourgeoise voudra
prendre
les habits d’une Dame de qualité, ces mêmes habit
cateurs déclament avec violence contre le luxe et l’intempérance, ils
prennent
grand soin de distinguer ce qui est luxe, et ce q
est intempérance et ce qui ne l’est pas, et vous n’en avez pas moins
pris
de le confondre. Ce n’est que dans la confusion q
Ne dites donc plus que « puisqu’on s’est radouci sur le luxe, on doit
prendre
quelque juste tempérament de la Comédie ». Vous s
ce de vos propres sentiments, et du désir que vous témoignez que l’on
prenne
à l’égard de la Comédie, le même tempérament que
égard de la Comédie, le même tempérament que vous supposez que l’on a
pris
par rapport au luxe et à l’intempérance. Mais com
ne vous est pas difficile d’en connaître. Mais combien en voit-on qui
prennent
la qualité de Docteurs, et qui se piquent de l’êt
n ; et j’ai remarqué au contraire, que ceux qui ne sont pas Docteurs,
prennent
ordinairement le parti de mépriser cette qualité,
vez voulu justifier, n’est pas un plaisir que l’on donne, ou que l’on
prenne
précisément pour procurer quelque soulagement au
sir ; il n’y aura point de lieu dans lequel on puisse le donner ou le
prendre
, et personne enfin ne pourra être excusé de l’avo
endre, et personne enfin ne pourra être excusé de l’avoir ou donné ou
pris
. Vous voyez par là, qu’il n’est pas fort nécessai
nt leurs yeux de toute sorte de Spectacles, vous êtes trop injuste de
prendre
cette manière de parler si fort à la lettre, à mo
omédie. Ainsi toutes vos précautions sont inutiles et quand on ne les
prendrait
pas, il n y aurait ni plus, ni moins de mal. Puis
gien, c’est la comparaison que vous faites page 55, du repos que l’on
prend
les Dimanches à la Comédie, avec celui que Dieu p
repos que l’on prend les Dimanches à la Comédie, avec celui que Dieu
prit
le septième jour. Qui croirait, à moins que de le
ont jamais comparé le repos que les Chrétiens de leur temps pouvaient
prendre
aux Spectacles, à celui que Dieu prit le septième
iens de leur temps pouvaient prendre aux Spectacles, à celui que Dieu
prit
le septième jour. Le Dimanche est un jour consacr
bsolument à Dieu par une application continuelle, au moins ne doit-on
prendre
que les divertissements nécessaires pour délasser
ans ces jours consacrés à Dieu vont à la Comédie, où ils ne sauraient
prendre
le repos du Seigneur : et quelque soulagement qu’
danger. On aurait trouvé ce renversement étrange. Quoi ! un Religieux
prendre
le parti de la Comédie, pendant qu’un Prince du S
re aveuglement ? Je ne vois pas quelles raisons vous ont pu engager à
prendre
un si méchant parti. Ni l’importunité d’un ami, n
leux, & mal écrits, intitulé le Philosophe amoureux, où le vice a
pris
pour texte, raconté & commenté à sa maniere,
ien avantageuse de lui-même, en rapportant la traduction de ces vers,
pris
de la tragédie de Corneille, sur la mort de Pompé
l’autorité Ecclesiastique ne suffit pas pour une défense absolue, il
prit
un tour, il profita de l’autorité que lui donnoit
déterminer. La Grace enfin opéra, le prisonnier d’abord involontaire,
prit
son parti, se condamna à la même pénitence, &
é du feu Evêque, & les intrigues de sa Cour. Le nouvel Evêque n’y
prend
aucun intérêt ; on a gagné une douzaine de Chanoi
ont toujours fait payer à l’entrée : depuis une troupe de comédiens a
pris
la place de la société, & la générosité, la n
héatres ; mais reçus avec enthousiasme, ils se sont évertués, ils ont
pris
, l’essor, par une noble émulation, & ont essa
e espece de schisme, le cri de la foi s’est fait entendre, la vertu à
pris
l’allarme, les vieillards, les gens sages, les ge
illeux, les femmes galantes, ceux qui se piquent d’être le monde, ont
pris
hautement sa défense. Les Prédicateurs ont tonné
ais d’Imprimeur à Figeac, il falut écrire ; mais malgré le soin qu’on
prit
de déguiser l’écriture, on crut connoître la main
les nations de la terre, de Pekin à Gibraltar ces femmes auroient été
prises
pour des foles, on les auroient enfermées ; mais
gouvernement ; ils ont mis la couronne sur la tête des Dames, ils ont
pris
la quenouille. On craignoit d’abord que le Chapit
ns & l’arrêt ; mais le Chapitre & le Sénéchal qui venoient de
prendre
les leçons de Thatie, ont baisé humblement la bel
forces donner une origine sacrée au théatre : La poësie dramatique a
pris
sa source dans la religion ; les Philosophes, les
r avec les Actrices, au jeu, en circulant de maison en maison. Qu’ils
prennent
une profession, qu’ils se marient, qu’ils remplis
Paris sont des gens de province qui viennent y chercher le bon air, y
prennent
la corruption, & retournent infecter leur pay
aris ; il a fait sa fortune à l’opéra. Il vient souvent dans son pays
prendre
les eaux, & voir sa famille à qui il fait du
la traiter & la combattre, & personne n’empêche un Auteur de
prendre
une action vertueuse pour le sujet de ses pieces.
les belles compagnies. Une Actrice auroit grand tort sans doute de le
prendre
sur ce ton, & un Auteur d’avoir la foiblesse
avouer davantage que d’y aller tous les jours y dépenser son bien, en
prendre
le goût, le langage, l’esprit, &c. ? Le nouve
ant de Conférences des Religieux de la Trape ; les jeunes gens vont y
prendre
l’habit ; les Grands vont se remplir de la morale
omains, vous rejetâtes avec indignation cet infortuné, lorsqu’il vint
prendre
son rang parmi vous, que diriez-vous de notre sie
pour le rehabiliter. Il monta ensuite au rang des Chevaliers, pour y
prendre
sa place. Ceux-ci, qui étoient fort serrés, &
dit poliment : Je vous ferois place, si j’étois moins serré. Laberius
prit
cette politesse pour une malice (peut-être c’en é
gnifiquement : l’Acteur y va quelquefois ramasser les bribes, mais il
prend
sa revanche sur les grâces de l’Actrice. Il faut
Le Sénéchal, peu accoutumé à prononcer sur les affaires des Princes,
prit
le parti de ne rien juger, & d’appointer à ba
s’enivrer et médire dans les cercles ; et que l’agréable vie de Paris
prendrait
à Genève la place de l’ancienne simplicité. M. Ro
ntuitu beat ; encore, selon notre faible manière de concevoir, a-t-il
pris
plaisir à se répandre. « Les spectacles sont fait
; ils en ont consulté les mœurs et le goût ; c’est-à-dire, qu’ils ont
pris
dans l’opinion de leur siècle les moyens de l’aff
héâtre… L’opinion n’en dépend point… Et quant au plaisir qu’on y peut
prendre
, tout son effet est de nous y ramener plus souven
rsqu’abandonnant les deux premiers genres, il y a substitué celui qui
prend
sa force pathétique et morale dans le combat des
r, Agamemnon immoler sa fille, Oreste égorger sa mère. 2°. Au lieu de
prendre
l’inutile soin de cacher au Peuple la possibilité
tre moins froid et plus pressant. On a vu comment M. Rousseau s’y est
pris
pour nous prouver que la Tragédie allume en nous
ent la vertu pour elle-même. Il faudrait, s’il est permis de le dire,
prendre
la fleur de l’espèce humaine pour en former une R
en former une République qui serait peu nombreuse encore. La comédie
prend
les hommes tels qu’ils sont partout, et à Genève
présent si le comique remplit son objet, et d’abord avec M. Rousseau,
prenons
pour exemple Molière. « Qui peut disconvenir que
ridicule, et de mettre la ruse et le mensonge du parti pour lequel on
prend
intérêt… Examinez le comique de cet Auteur, vous
des mœurs, Molière s’est donc attaché à la seule qui soit utile. Il a
pris
des gens de bien, faibles, crédules, entêtés, con
rer ? Lui qui savait si bien nuancer les caractères, a-t-il seulement
pris
soin de rendre cette coquette séduisante, et son
et sur ce modèle un tableau des défauts contraires, dans lequel il a
pris
ses caractères comiques, et dont il a distribué l
tous les lieux et de tous les temps, c’est-à-dire, à la malignité qui
prend
sa source dans l’amour-propre, et rendre le Cense
, un être surnaturel qui aime tous les hommes, excepté lui seul ; qui
prend
feu sur les injustices qu’ils éprouvent, et qui e
ois ; mais enfin l’homme est toujours homme. Molière a donc très bien
pris
, je ne dis pas le caractère idéal, mais le caract
si Molière eût voulu mettre un tel personnage sur la scène, il l’eût
pris
au fond des forêts. Il est inutile de donner au t
développer les vices, et à mettre le ridicule en jeu ; la comédie l’a
pris
dans la peinture de la vie commune, tantôt pour o
coutées d’un honnête homme, mais est-ce d’elles en général qu’il doit
prendre
conseil, et n’y aurait-il aucun moyen d’honorer l
’y aurait-il aucun moyen d’honorer leur sexe sans avilir le nôtre ? »
Prendre
conseil d’une femme, c’est avilir notre sexe ! Il
est facile de faire la satire de nos mœurs ; et cent exemples vicieux
pris
sur un million de citoyens, feraient un tableau é
pigeons. « La blanche colombe va suivant pas à pas son bien-aimé, et
prend
chasse elle-même aussitôt qu’il se retourne. Rest
mbéciles spectateurs vont, dites-vous apprendre d’elles ce qu’ils ont
pris
soin de leur dicter. » Et à qui, Monsieur, n’a-t-
l’air peut tirer à conséquence. Que M. Rousseau nous dise donc s’il a
pris
cette opinion dans l’étude de l’organisation phys
s ce nom sans doute vous comprenez la femme. « Ce sexe hors d’état de
prendre
notre manière de vivre trop pénible pour lui, nou
e prendre notre manière de vivre trop pénible pour lui, nous force de
prendre
la sienne trop molle pour nous. » Voilà le danger
tel, est-ce au théâtre, est-ce à la nature qu’un Philosophe doit s’en
prendre
? M. Rousseau ne leur en fait-il pas un crime ; e
pour avoir appris au spectacle à discerner le véritable ? Comment s’y
prendrait
M. Rousseau lui-même pour éclairer un jeune homme
a de force, et moins par conséquent le vice lui-même aura d’attraits.
Prenez
un jeune débauché au dénouement de l’Enfant Prodi
issez-nous désirer qu’à Paris le sentiment le plus doux de la nature,
prenne
la place de la coquetterie et du libertinage. Les
on le pensait réellement, d’oublier enfin sa propre place, à force de
prendre
celle d’autrui. » Et à votre avis, Monsieur, qu’e
nts. Cet art est honnête, selon vos principes ; mais comme je ne vous
prends
pas au mot, j’avoue qu’un bon Comédien sans mœurs
spendieux que lucratif, n’auront-ils jamais de distraction utile ? Ne
prendront
-ils jamais la bourse d’un fils prodigue, ou d’un
influe encore moins par conséquent sur son caractère habituel. L’âme
prend
, à la longue, une teinture des affections vertueu
amment plus vicieux que nous, c’est à leur état qu’on a droit de s’en
prendre
. M. Rousseau prend la chose à rebours, et de la h
ue nous, c’est à leur état qu’on a droit de s’en prendre. M. Rousseau
prend
la chose à rebours, et de la honte attachée à l’é
devant toute la Grèce assemblée. Il nous dispensera, je l’espère, de
prendre
tout cela pour des raisons ; et s’il veut bien se
secours, c’est l’abandonner à lui-même. Heureusement les Comédiens ne
prennent
pas tous à la lettre cet abandon désespérant : au
ssentiel, si j’ai pu lui persuader que ces idées affligeantes qu’il a
prises
pour la vérité, n’en étaient que de vains fantôme
eu près la même chose, lorsqu’on lui fit entendre que Molière l’avait
pris
pour modèle en faisant la fameuse Comédie du Misa
l’âme craintive Je ne veux sonder cette rive, La nature du vrai j’ai
pris
, A dépeindre et tracer l’histoire, Dont la vérité
te propose La course en un mont ou un val, Ou qu’un genêt tu veuilles
prendre
, Tu nous fais revoir Alexandre Qui redompte encor
re en prose et en vers. Puis laissant la Mathématique, Pour repos tu
prends
la Musique, Et redonnant la vie aux Airs, Aussitô
uait à Amsterdam en 1772, la Fille mal gardée et le Déserteur, le feu
prit
à une ficelle tombée sur un lampion. Cette flamme
oudres : pendant qu’on jouait la comédie dans la salle du bal, le feu
prit
à de la poudre qu’un épicier avait imprudemment m
de Boissy, op. cit., vol. 1, p. 454. bn. [NDE} Tout ce chapitre est
pris
, avec quelques modifications, de Desprez de Boiss
la grâce de m’écrire, je n’ai autre chose à y répondre que ce que je
pris
la liberté de vous dire à Saint-Cloud. Toutes les
ue sous le nom de Germanicus elle eut un succès considérable. J’avais
pris
cependant toutes les précautions possibles pour f
tant de fois pour remplir mes projets J’ai trouvé de grands Noms, et
pris
d’heureux Sujets, Comme Andromaque, Oédipe, Iphig
s quoique Bajazet justifie un tel choix Ce sont des libertés qu’on ne
prend
qu’une fois ; Et de quelques Talents dont le Ciel
aurez pas de peine à reconnaître quand vous saurez qu’ils me viennent
prendre
pour aller à Berny, m’arrachent la plume des main
que affaire est de ne rien faire ; l’unique soin, celui de n’en point
prendre
; l’unique occupation, celle de tromper leur ennu
bien plus que celui de la vertuai ? Comme les poètes savent qu’on ne
prendrait
point de plaisir à voir représenter des actions p
s passions qui triomphent sur le théâtre ; c’est toujours le cœur qui
prend
le plus de part aux spectacles ; il en est même p
ntation, si on se sent plus fortement ému par le vif intérêt que l’on
prend
à l’action ; si on se sent transporté sur le lieu
s le pathétique et la terreur dont elles sont remplies. « Le théâtre
prend
les mœurs de la nation, et contribue à son tour à
des Spectacles est directement contraire. Les hommes et les femmes y
prennent
au premier coup d’œil l’amour le plus vif l’un po
ce sont même les Héros et les Héroïnes : les Amants et les Maîtresses
prennent
, pour parvenir à s’épouser, la même route qu’ils
Maîtresses prennent, pour parvenir à s’épouser, la même route qu’ils
prendraient
, s’ils se proposaient une action criminelle. Suiv
eurs parents. Est-ce ainsi que l’on se conduit dans la Comédie ? On y
prend
tout le contrepied : les démarches les plus hasar
t sacrifiés. Les pères traversés dans leur passion par leurs enfants,
prennent
contre eux des sentiments de haine : les fils, de
ires ? Soyez moins dissipés, vous en trouverez pour tout. Un Comédien
prend
le plus grand plaisir qu’il puisse goûter en trav
toujours assez de momens de repos. D’ailleurs on sçait que vous n’en
prenez
qu’à votre aise ; que vous n’êtes pas gens à vous
tes qu’il a fait naître ; enfin tout Paris en est occupé. Si la piéce
prend
, la joie, les jugemens, les critiques, tout redou
isse soixante mille livres ; on craignit que le Contrôleur Général ne
prît
cet argent pour les besoins de l’Etat. Employons-
nocence est très-rare & tres-difficile à conserver ; il faut donc
prendre
les plus grandes précautions, fuite des occasions
rtant certain dans le christianisme que toutes les libertés qu’on ose
prendre
, toutes les pensées qu’on se permet, sont de vrai
t le mal & le rendroit incurable. Quel Médecin qui voudroit faire
prendre
toute sorte de remedes pour connoître le tempéram
’en sauroit pas pour cela danser, ni chanter, ni déclamer. Il faut en
prendre
des leçons particulieres. Les pieces de College s
fférent. Ce n’est plus le même homme, il est difficile que pour avoir
pris
cette habitude, dont on se fait un mérite, on ne
ne, coquet en France, furieux en Angleterre. Tout se naturalise &
prend
le goût du terroir. Ces passions portées à la bru
; & ce ne sont ni ces personnes, ni du moins ces temps qu’il faut
prendre
pour modele, les plus grands hommes sont alors de
gouvernement de le soupçonner de pareilles allarmes, & lui faire
prendre
de pareilles précautions. Ce n’est pas ainsi que
blic, & lui promet des merveilles, & on ne peut pas mieux s’y
prendre
pour les engager à y venir, on ne peut mieux juge
ou de voir contrefaire l’homme vicieux, l’Acteur & le spectateur
prennent
insensiblement le goût du vice, & se familiar
ui distribuer. En passant à travers le verre coloré de la scene, tout
prend
la teinte du libertinage & de la frivolité. O
in, en reçoit des baisers, & bien loin de s’en défendre, elle lui
prend
la main, la lui fait mettre sur son cœur : Ah ,
e toutes les loix de la pudeur ? Quoi de plus scandaleux que de faire
prendre
toutes ces libertés sur le théatre, aux yeux de t
mant, sans autre discussion, il prononce en faveur de la belle. Il va
prendre
son pere dans sa maison, le mene par la main, ins
t de la nature deb ces écrevisses, où il y avait plus à éplucher qu’à
prendre
, que ses arguments étaient des galimatias, et qu’
d’injures dont son libelle est rempli : Ce Casuiste semble avoir mal
pris
ses mesures, d’avoir voulu faire un parallèle, de
essions, confondent l’une avec l’autre, et sans distinction de genre,
prennent
leur condition pour une même chose ; Mais il y a
ces Libertins s’ennuyant de demeurer si longtemps dans un même lieu,
prirent
résolution de revenir à Rome pour exercer leurs j
et des siècles : Pour le regard des Mimes, ou Plaisanteurse, ils ont
pris
leur source d’un certain bouffon appelé Mimos qui
rs de Dimanche, se plaint contre ces Corrupteurs de jeunesse, d’avoir
pris
des habits Sacerdotaux en dérision des Evêques.
choses, qu’elle a ruiné l’harmonie de l’amitié des hommes, qu’elle a
pris
l’innocence à partie, qu’elle a essayé de corromp
, et le libraire qui l’a imprimé s’est trompé, en ce qu’il l’a plutôt
pris
au poids de la main qu’au jugement. Aussi n’est-i
e dit Artémidore, fut adorée par les Egyptiens, comme étant celle qui
prenait
la défense des Innocents, pour les venger de la p
ge avoit malheureusement placé de la poudre sous le théatre, le feu y
prit
, & la plupart des spectateurs périrent. Ce fu
homme, comme ceux d’Hypocrate dans la Faculté de Médecine, & on y
prend
les dégrés de licencié & de docteur de théatr
& même étaie l’un par l’autre). Platon définit que la vertu peut
prendre
une forme visible ; la représentation en donne un
entation en donne un à la vertu & au vice, les idées abstraites y
prennent
un corps, le contraste du caractere prête des for
s efforts pour démêler sur le théatre les traces de la vertu, pour en
prendre
les principes épars, les faire passer dans son cœ
, de femme, de cardinal, de ministre, de paysan, monte son visage, en
prend
les attitudes, les tons, &c. C’est un siffleu
t-on ? A quelle société se lie-t-on ? On se monte sur le même ton, on
prend
les mêmes sentimens, & cette prétendue modest
re à la piété qui y avoit toujours régné. Cromvel & ses partisans
prirent
la Religion pour prétexte de leur révolte contre
en obtint le titre de Défenseur de la Foi, que les rois d’Angleterre
prennent
encore. Son libertinage le changea si fort, qu’il
on donna dans un autre excès. La scène changea de face, la Mythologie
prit
la place de l’Evangile, la licence fut substituée
tent le nom d’une muse. L’Etat y gagneroit : aulieu d’aller en France
prendre
le goût de la parure, ou en faire venir à grand f
Que de peines on nous auroit épargnées, si Athenes & Rome avoient
pris
une si sage précaution, & avoient confié à l’
s, Amours, voici des flambeaux, des chaines, des traits ; choisissez,
prenez
& gouvernez le monde. Nous avons souvent co
génie & à son siecle. Il est vrai que ne trouvant pas ou n’osant
prendre
dans l’Histoire de France des sujets qui ouvrisse
plimens, allant poliment se couper la gorge ; ils se séparent, chacun
prend
son champ & dégaîne son sabre, ils se jettent
un objet bien curieux, & un spectacle bien réjouissant ? Peut-on
prendre
plaisir à une scène horrible qui fait frémir l’hu
c’est peché mortel, d’y aller : La verité de cette proposition ne se
prend
pas simplement du spectacle, mais encore des disp
mple, d’un temperament doux & tres-sensible ; elle a un cœur, qui
prend
aussi-tôt feu ; l’imagination en est vive & f
tez, & les Ambassadeurs du Ciel ? Et n’est-ce pas comme acheter à
pris
d’argent, ce qui est souvent le sujet, & la m
ieu, ne font aucune difficulté de se trouver avec les seculiers, pour
prendre
le divertissement de la Comedie ? Hé ! mon Dieu,
; nous n’avons qu’à baisser les yeux de honte, pour celle, qu’ils ne
prennent
pas, comme pour nous persuader, que nos yeux ne v
plus doux, & le plus empoisonné de l’amour. C’est l’apas, où sont
pris
ceux, qui au reste veulent le bien, mais qui veul
Chapitre XXIII. Si les Comédiens doivent
prendre
le titre de Compagnie. N ous avons dépouillés,
égénére en une vaine délicatesse, en un puéril rafinement. A qui s’en
prendre
? A l’abus des termes. C’est lui qui décourage le
ger, & que le sçavoir y est la premiere distinction. Si ces Corps
prennent
la qualité de Compagnies, qui pourroit la leur di
la lettre. « Je dis que selon moi, les Comédies de leur nature, et
prises
en elles-mêmes indépendamment de toute circonstan
es condamnaient ces sortes de gens à une telle ignominie, quoi qu’ils
prissent
plaisir à leur art et à leur adresse, combien doi
dit Tertullien :Tert. de Spect. c. 24. c’est pour cela que les Dames
prennent
tant de soin de se parer en y allant. « Spectatû
eposer en Dieu ? c’est à dire, s’appliquer uniquement à penser à lui,
prendre
plaisir à s’entretenir de ses bienfaits, lui en t
ce que tous les jours il se peut trouver des particuliers qui veulent
prendre
une récréation modérée. » O aveuglement déplorab
e interprétation que ce Théologien donne au repos que Dieu ordonne de
prendre
au jour du Dimanche. « Lesp. 55. Dimanches ont ét
tres jours au service de Dieu : mais ils ont aussi été institués pour
prendre
du repos ; afin qu’à l’exemple de Dieu même, qui
de porter ses enfants aux passe-temps les plus mondains, lorsqu’elle
prend
à tâche de les exciter à la pénitence, ils ne fon
fidèles quitte ses Cantiques de joie et ses beaux ornements, pour en
prendre
de tristes et de lugubres ; afin de donner à ses
ur bon sens, qu’ils ne font aucune reflexion à tout cela. Comme s’ils
prenaient
plaisir d’attirer sur leurs têtes criminelles, et
tent, et ceux qui la voient représenter. Car, lorsque les spectateurs
prennent
plaisir à regarder ce qui se passe sur le théâtre
il convient peu, dit-il, à des gens si méprisables et si corrompus de
prendre
des personnages de Saints, qu’ils sont dans l’imp
ur propre intérêt les obligeait donc à être circonspects,p. 44. « ils
prennent
bien garde, (dit l’Auteur de la Lettre) à n’emplo
crime aussi horrible, qu’on l’a toujours cru, parce que la fantaisie
prendra
à un Poète de mettre ces paroles insolentes dans
une censure inévitable, et sur l’idée qu’on aura de ce faux dévot, on
prendra
occasion de les traiter impitoyablement pour la m
Mais que dirai-je de son Festin de Pierre ? Ne semble-t-il pas avoir
pris
plaisir de faire, en la personne de Dom Juan, une
seconde, En se servant de mots les plus jolis du monde. Tantôt il lui
prenait
et les mains et les bras, Et de les lui baiser, i
resses, et d’abord, et hautement. Car, « Ce que dans la jeunesse on
prend
de liberté, Ne se retranche pas avec facilité. »
eut jouir de quelque nombre de beaux jours que lui offre sa jeunesse,
prendre
les douces libertés que l’âge lui permet ; voir u
rs belles promesses. Et pour un petit tort qu’elles ne nous font pas,
Prennent
droit de traiter les gens du haut en bas. » Pour
ur huit jours d’effroyable tempête. Elle me fait trembler dès qu’elle
prend
son ton. Je ne sais où me mettre ; et c’est un vr
vrai aussi que ceux qui ont traduit quelques Comédies de Terence ont
pris
un grand soin d’en retrancher les endroits qui po
harlatans, qui pour prouver la bonté de leur orviétan, commencent par
prendre
du poison, se faire mordre par des vipères. Voudr
ésentation du crime. L'un est pourtant plus efficace que l'autre : on
prend
aisément l'impression du vice, elle plaît, et dif
s moins. Dans ses Mémoires sur la Mothe-Houdart, il rapporte ce trait
pris
du discours de ce Poète sur la tragédie de Romulu
ons, Où par des aventures feintes, On nous fait à de fausses plaintes
Prendre
une véritable part, Où dérober l'homme à lui-même
ailleurs mettre à profit son adresse, et par une utile distraction «
prendre
la bourse de son maître pour celle de Valère ». Q
d'en sentir la vérité. « Je ne saurais concevoir quel plaisir on peut
prendre
à imaginer, à composer, à jouer le personnage d'u
cène, un Comédien doit se naturaliser avec tous les forfaits, pour en
prendre
les apparences, le ton, les sentiments, le langag
. Que ce métier doit coûter à un homme vertueux ! qu'il est infâme de
prendre
les odieuses couleurs de toutes sortes d'infamies
tions de Vaillant et de Pèlerin. Les antiquaires dans deux siècles la
prendront
pour une tête d'Impératrice, et disputeront si c'
ême, ce qui est ordinaire, la passion ne l'a totalement aveuglée ou a
pris
sur elle un ascendant auquel on ne résiste plus.
d'encens. Quel goût de luxe et de magnificence, quels grands airs ne
prend
-on pas dans ces discours pleins de hauteur et de
raisons, d'autorités et d'agréments ; mais le fondement général qu'il
prend
pour les interdire tous aux Chrétiens, est qu'ils
trouve présent ? Quel est son discours ? S'il est sanctifié, pourquoi
prend
-il plaisir à des choses criminelles ? Ne sait-il
nous à rire des choses mauvaises avec emportement, et de nous laisser
prendre
aux délicatesses des Sens, et à celles qui se fon
an, que vous avez abandonné la révérence du Carême, pour vous laisser
prendre
aux filets du Diable, et que vous courez à ces Je
ait semblait des mets, comme si l'on eût fait un festin où les Démons
prissent
quelque nourriture qui leur fût propre. Qui peut
t qu'il ne faut point avoir de société avec les Démons. Or les Démons
prennent
plaisir à ces Cantiques de vanité, à la turpitude
it le Corps de Jésus-Christ pour y communier ; car en ce temps-là ils
prenaient
ainsi l'Eucharistie. » Tertul. de Spect. c. 4.
r être vû, & nul bon Motif ne peut justifier la coûtume, que l’on
prend
d’y assister. Ce qu’on y voit, & ce qu’on y a
ienne, qui aura vecu dans la modestie, croyant qu’il lui est permi de
prendre
quelque chose extraordinaire se met au hazard de
nt Gregoire, qu’il y a des divertissemens permis, & que l’on peut
prendre
comme on prend une medicine pour purger le corps
l y a des divertissemens permis, & que l’on peut prendre comme on
prend
une medicine pour purger le corps de ses mauvaise
e personnes agréables, bien parées, qui ne songent qu’à se divertir a
prendre
leurs plaisirs ; ils y voyent des femmes, & d
où je suis sur cela présentement. C’est, Monseigneur, ce qui me fait
prendre
la liberté d’écrire à VOTRE GRANDEUR vous reconna
voir mûrement examiné la matière, et par une légèreté de Jeunesse, je
prenais
le parti de la justifier, de la manière que je me
ris. C’est ce manque d’attention et de réflexion qui m’avait engagé à
prendre
dans mon écrit particulier, et que je n’ai jamais
été difficile de changer mon premier sentiment sur la Comédie, et de
prendre
celui où je suis présentement. Je suis très conva
passions particulières en déguisent la vérité, et sont cause que l’on
prend
les circonstances pour le principal, mais les thé
ce combat de plusieurs qui prétendent une même chose, les spectateurs
prennent
le parti qui revient plus à leur jugement, avec d
que ces objets ne sont que des feintes. L’esprit qui ne laisse pas de
prendre
interêt à ce qu’on lui représente, devine les évé
e particulier qui vit dans les villes ; et je crois qu’il ne pourrait
prendre
un plaisir plus innocent, que celui où l’esprit e
ves ou ridicules, et à la charge que, pour l’entrée au théâtre, il ne
prendront
ou exigeront que deux sols tournoiscn pour chacun
s de leur part, sur peine d’amende arbitrairecr, de prison et de s’en
prendre
à euxcs. Et néanmoins, pour l’intérêt des pauvres
st peu lisible, mais il faut lire, comme le fait Floris :« et de s’en
prendre
à eux ». ct. [NDE] Runnalls transcrit par erreur
e Spectateurs de ce que les Théâtres de Paris contiennent ; on pourra
prendre
pour modèle, si on le trouve bon, le Théâtre qu’o
autant plus que les Comédiens qui se retireront, de même que ceux qui
prendront
leur place, n’en auront plus besoin et trouveront
r dans un plus grand détail de tous les arrangements qui peuvent être
pris
pour l’établissement et le bon ordre du nouveau T
& dont la galanterie en eût fait des crimes. C’est une erreur, on
prend
le change. Ce succès, ces artifices, ces frivolit
volontairement le risque, parce qu’Arlequin à la derniere scene doit
prendre
Marinette pour sa moitié. 1.° La comédie efface t
sermens ! On s’élève partout avec aigreur contre le soin que peuvent
prendre
les maris pour empêcher le crime : leurs craintes
’adresse qui ont sû tromper, on loue le haut ton que le coupable a sû
prendre
pour secouer le joug, & la patience de l’inno
y jouoit en entier un homme de Paris nommé Dandin, dont on avoit même
pris
le nom. Moliere, pour le jouer plus cruellement,
voir mis en œuvre ce que la médisance lui avoit appris. L’Amphitrion,
pris
entierement de Plaute, à quelques changemens près
nant du mariage & les rendant malheureux. Pour un jeune homme qui
prend
le froc, il y en a mille qui prennent une maîtres
alheureux. Pour un jeune homme qui prend le froc, il y en a mille qui
prennent
une maîtresse au spectacle ; pour une fille relig
es leur cocher veut mettre la paix entre le père & le fils qui le
prennent
pour arbitre. Il les éloigne un peu, leur porte t
e travail ne l’effraie pas, elle est capable des plus grandes choses,
prend
la quenouille & le fuseau, file le lin &
les fatuités. Voulez-vous une épouse si charmante ? allez au théatre,
prenez
au hasard, vous ne vous méprendrez pas ; ou menez
s qu’elle entendra, les modelles qu’elle verra, les sentimens qu’elle
prendra
, en feront un chef-d’œuvre de vertu, de décence,
ut-il assis, que la toile se lève, & la piece commence. Le Prélat
pris
au trébuchet ne put s’en dédire ; il vit jouer la
au Roi, comme avoit fait Gaston d’Orléans à Louis XIII. Ce Prince en
prit
le goût, & se seroit toujours habillé en femm
d il se vit resserré de près dans sa capitale, & au moment d’être
pris
, il fit allumer un grand bucher, & s’y jeta a
ne si fâcheuse & si juste réprimande. Mais il ne put la tenir, il
prit
le parti d’aller dans une province, où n’étant po
trouble & de la tendresse de la Reine, qui ne le haïssoit pas, il
prit
avec elle de grandes libertés. Le Roi fut instrui
& dans le même lit avec ses camarades, sans que jamais aucun ait
pris
la liberté d’examiner, ni se soit apperçu de son
cet état on court les rues, on va au spectacle, on monte à cheval, on
prend
des leçons à l’Académie, on conduit un cabriolet,
ans cet état on occasionne les rencontres les plus ridicules, on fait
prendre
les libertés, on se fait les grossieretés, les pl
eries, rubans, minauderies, comme des femmes. Au contraire les femmes
prennent
un air hardi, effronté, décidé, étourdi, sans pud
on n’a pas ; il falloit pour plaire à Néron, que les honnêtes gens en
prissent
le masque, la vertu n’osoit se montrer. Panard, I
t un vrai Prothée, un menteur achevé ; il a un masque universel qu’il
prend
& quitte dans l’instant, & qui trompe par
de goût & de vérité, pour rendre toute sorte de personnages &
prendre
sur le champ les plus légères nuances des sentime
réconiser de Jean-Jacques Rousseau. Aussi voilà le motif qui m’a fait
prendre
la plume pour en avertir mes Camarades qui pourra
’a fait prendre la plume pour en avertir mes Camarades qui pourraient
prendre
le change, & le traiter à la premiere vue com
bauchés, l’emporta sur la vertu, & l’a banni des Pièces. Le Poète
prit
cette route dangéreuse pour accroître sa faveur,
ce bien épurée, mais à cela près qu’importe. « On peut avec le Ciel
prendre
un arrangement, Et ces Messieurs ont l’art de lev
incontestable, je le crois aisément, Molière s’est trompé, mais je ne
prends
point le change, c’est de lui qu’il parle, il est
cadence, Chapitre 20, p. 250, imp. à Lauzanne 1750. « Justinien avait
pris
sur le Théâtre une Femme qui s’y était longtemps
les Temples, & le titre de Protecteur de l’Eglise que l’Empereur
prit
, ne lui fait qu’honneur. Est-ce pour avoir fait p
rrasson) que Justinien qui mérite quelques louanges par le soin qu’il
prit
de faire rassembler les anciennes loix, sacrifia
t J.J.) à force de représenter des filoux, des valets industrieux, ne
prendra-t
-il pas un jour la bourse d’un fils prodigue ? » I
e, des Samson, des Enfant prodigue, à force de les représenter ils en
prendront
les Vertus. De même que ceux qui rempliront les r
donc un scélérat, puisqu’il tourne en ridicule la Religion même. S’il
prend
la place de l’homme méprisable, menteur, irréligi
evoirs pieux, le temps des pénitences expire, les habitudes vicieuses
prennent
la place de la quinzaine d’hypocrisie : les Paste
la source est la débauche, pourquoi les Anglais durs & féroces ne
prennent
-ils pas l’esprit doux & timide de leurs compa
rs séducteurs, c’est souvent manque de sensibilité, ou qu’on s’y sera
pris
mal adroitement. « Les Femmes de nos torts empr
ur conduite dissolue les démasque. Je ne m’y suis jamais trompé, j’ai
pris
souvent plaisir à les faire connaître, ennemi jur
qu’il n’y en a pas une qui ne se crût ridicule de feindre au moins de
prendre
pour elle les discours de sagesse & d’honneur
rale la plus saine, puisque les Actrices au sortir de l’avoir débité,
prennent
un air non nuisible à leurs intérêts. En faut-il
. Le partage d’une succession a mis plus d’une fois les héritiers aux
prises
: plus d’un aîné a fait périr son cadet pour être
ais pu les faire revenir. Etant allés avec leur Père à la chasse, ils
prirent
querelle, & de concert s’éloignèrent de la su
dotes au Sr Jean-Jacques que je sais sans livres (par le soin qu’il a
pris
d’en instruire son Lecteur) que pour l’avertir ob
s responsables ? c’est à sa présomption insupportable qu’il doit s’en
prendre
. Cet emportement frénétique prouve bien la petite
pas sortis du Royaume, jeunes encore, dans le temps de l’Edit, furent
pris
dans des lieux où ils faisaient leur prêche, &
nouveautés au public ? ce serait donc aux Auteurs qu’il faudrait s’en
prendre
, mais non : le Roi ne pensionnerait pas les Spect
ement les derniers ; ils parviendront peut-être à les imiter ; ils en
prendront
les dehors : l’apparence sauvée tout est bien. p.
ouverte, ou fermée. Ne dirait-on pas que la nation entière la prie de
prendre
sa défence de l’air dont il parle, comme s’il s’a
des meilleures choses est de se corrompre malgré la précaution qu’on
prend
de les conserver dans leur intégrité ».54 Je ne
, & il se trouve insensiblement guéri par le plaisir même qu’il a
pris
à se séduire. Heureuse erreur dont l’effet est d’
plus certain que le remède naît du mal même qu’on chérit. » 14. Il
prit
la défense de ce dernier contre Fannius dans le b
éthulie, Judith, dis-je, se transporta dans sa Tente, soupa avec lui,
prit
son sabre & lui coupa la tête tandis qu’il do
ousa Achab Roi d’Israël, & l’entraîna dans l’Idolatrie ; elle fit
prendre
la fuite au Prophète Elie, & fut cause du meu
deuil public, & poussèrent plus loin les marques d’intérêt qu’ils
prenaient
à leurs affaires. Ils surent que les Romains avai
acher son jeu. & aller plus surement à ses fins. A-t-on besoin de
prendre
des précautions, quand on a la garantie d’un tel
audit. Malheureusement ce n’étoit pas un jeu : les américains avoient
pris
ce moment pour attaquer la garde, & l’avoient
garde, & l’avoient forcée. La piece ne fut point jouée, Arléquin
prit
la fuite, fit semblant de courir aux armes, au gr
temps où tout le monde étoit au théatre, entrerent sans peine, &
prirent
la ville que le théatre avoit rendue sans défense
rreurs politiques qu’il y verse à pleines mains. On a dit qu’il avoit
pris
pour son héros Cesar de Borgia, fils naturel d’Al
II, & voulut faire pape le cardinal d’Amboise son ministre. Ayant
pris
prisonnier Louis Sforce, duc de Milan, il l’enfer
s fourbes. L’ambition, l’amour, la jalousie, la colere dirigent tout,
prennent
tous les moyens, se couvrent de tous les masques.
furent détruits par les barbares ; les ruines qui en resterent furent
prises
dans la suite pour un amphithéatre ou pour quelqu
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