ieuses. Page 14 De l’intolérance politique et religieuse. Page 15 Les
prêtres
abusent de leur influence religieuse pour augment
issent corrompre en adoptant en politique l’immoralité religieuse des
prêtres
. Page 21 L’alliance du gouvernement avec le sacer
s s’opposèrent à l’ambition, et déjouèrent les prétendus miracles des
prêtres
des païens. Page 23 Des assassinats judiciaires c
aïens. Page 23 Des assassinats judiciaires commis à l’instigation des
prêtres
. Page 24 Intrigues et manœuvres des jésuites pour
nt exclusivement de l’instruction de la jeunesse. Page 25 Efforts des
prêtres
des fausses religions, pour fatiguer l’esprit hum
Causes qui ont produit et produiront encore la puissance occulte des
prêtres
et des jésuites. Page 29 Les prêtres s’efforcent
encore la puissance occulte des prêtres et des jésuites. Page 29 Les
prêtres
s’efforcent de persuader aux hommes et aux gouver
e l’enseignement mutuel. Page 34 Réflexion sur l’autorité occulte des
prêtres
. Page 35 La faction religieuse veut être déposita
pect terrible, mais qu’on peut aisément fléchir par la soumission aux
prêtres
et en comblant ceux-ci d’offrandes. Page 38 De l’
de l’intolérance et du fanatisme. Page 39 L’autorité spirituelle des
prêtres
toujours rivale de la souveraineté temporelle. Pa
81 Les plus grands ennemis des souverains sont les adulateurs et les
prêtres
, qui conseillent aux rois d’exercer le pouvoir ab
pruntaient de la mythologie, le sujet de leurs comédies. Page 102 Les
prêtres
du christianisme se montrent en spectacle sur les
des païens, pour émouvoir puissamment leurs spectateurs. Page 106 Les
prêtres
faisaient intervenir, dans leurs farces, dans leu
ails insérés dans le livre des Comédiens et du Clergé, concernant les
prêtres
qui jouèrent la comédie. Page 107 M. de Sénancou
rnicieux qui consiste à ne point divulguer les actes d’immoralité des
prêtres
, est inscrit positivement, dans les constitutions
nstitutions de l’infâme société des jésuites. Page 111 Eloge des bons
prêtres
depuis le rétablissement du culte et surtout depu
’Etat. Page 132 Les comédiens ne doivent plus éprouver de la part des
prêtres
une spécialité outrageante pour avoir exercé la p
rs de comédie. Page 133 CHAPITRE VII. De l’inconséquence de quelques
prêtres
ignorants envers les comédiens, et de leur fanati
rin, directeur de l’Opéra, à Paris. Page 138 Des théâtres à Rome. Des
prêtres
et des prélats assistent aux représentations qui
0 CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies, exercés par quelques
prêtres
contre des comédiens français. Page 141 Les prêtr
rcés par quelques prêtres contre des comédiens français. Page 141 Les
prêtres
fanatiques comparés aux murailles blanchies dont
dont parlent saint Paul et saint Luc. Page 142 Faux zèle de certains
prêtres
fanatiques peu instruits dans les matières théolo
gnant. Page 153 Les souverains, par trop de condescendance envers les
prêtres
, avilissent leur autorité. Page 154 Efforts des j
ppui de cette assertion. Page 170 Réflexions sur l’obéissance que les
prêtres
accorderont toujours de préférence aux souverains
séditieuse et irréligieuse. Page 171 Du respect qu’inspirent les bons
prêtres
qui pratiquent la charité. Page 172 Protestation
, de toute excommunication de l’Eglise. Page 174 Délit de la part des
prêtres
, d’exiger des acteurs, l’abjuration de leur profe
nduite que les employés du gouvernement, doivent tenir, à l’égard des
prêtres
fanatiques. Page 176 De l’obligation, imposée à M
MM. les procureurs du roi, de dénoncer aux tribunaux, les délits des
prêtres
fanatiques. Page 177 MM. les procureurs du roi,
urpation, contre l’autorité légitime du prince. Page 178 Le refus des
prêtres
, de recevoir à l’Eglise le cadavre des comédiens
iques sur les refus de sépulture. Page 179 Les actes de fanatisme des
prêtres
, tendent à exciter l’anarchie et le mépris contre
ion considérée comme injuste, et par conséquent nulle, de la part des
prêtres
, qui anathématisent les comédiens, morts sans les
s affranchis de l’excommunication du canon. Page 189 Le fanatisme des
prêtres
dans leur refus de sépulture aux comédiens, consi
comme un délit sous le rapport de la charité chrétienne. Page 189 Les
prêtres
fanatiques semblent ignorer, qu’une seule pensée
utant moins fondé à frapper d’anathème les comédiens, que ce sont les
prêtres
qui ont créé les comédiens du troisième âge et qu
our la prospérité des théâtres. Page 192 Contraste frappant entre les
prêtres
qui prient Dieu pour la prospérité du théâtre, re
béni, les enterrent dans les églises et les cimetières, et entre les
prêtres
fanatiques qui les anathématisent et leur refusen
93 L’ambition et la soif des richesses est la source du fanatisme des
prêtres
. Page 194 Les principes anarchiques du fanatisme
de S.M. Louis XVIII. Page 211 Le clergé aurait dû donner l’exemple de
prêtres
chrétiens pratiquant l’humilité évangélique en su
son auteur. Page 211 CHAPITRE XII. Réflexions sur les évêques et les
prêtres
de la primitive église, suivies de réponses aux r
t. Page 212 M. de Sénancourt blâme la surveillance contre les mauvais
prêtres
. Page 212 Origine de l’usurpation de la puissance
t a dit : Mon royaume n’est pas de ce monde. Page 214 Prétentions des
prêtres
de vouloir juger les rois, non seulement au tribu
ais encore par-devant les conciles. Page 214 Prétentions erronées des
prêtres
au sacre des rois. Page 215 Conséquences funestes
ge 215 Conséquences funestes de cette prétention. Page 215 Crimes des
prêtres
pour soutenir leurs prétentions. Page 216 Noms de
au sujet des dangers de la profession de comédien. Page 224 C’est aux
prêtres
à redoubler de zèle pour exhorter les comédiens à
225 Des avantages et de l’utilité de la comédie. Page 226 Les mauvais
prêtres
sont les détracteurs de Molière, auteur du Tartuf
out de la compensation : tant d’argent pour tant de probité. Ainsi le
Prêtre
vous vendra-t-il à beaux deniers les lois de l’Eg
’en retourne triomphant : ce n’est point le vice, mais précisément le
Prêtre
qu’il corrige. Que M. Dryden suit rarement les rè
le plus habile Profès de tout l’Ordre ; avoue-le moi : car je te dis,
Prêtre
, que je veux le savoir. » Le reste de la page est
vice ; de tromper aussi, de mentir et de prêcher la vérité comme tout
Prêtre
fait. N’es-tu point de ces Ministres-là ? » Le V
est attentif à y mettre les moins clairvoyants : car selon lui, « Les
Prêtres
de toutes les Religions sont de même acabit. » Ma
r la terre. Maudit soit votre temple ! Encore plus maudits soient vos
Prêtres
! » Elle continue dans son emportement et accuse
libertins et aux Athées. L’Œdipe a de pareilles boutades contre les
Prêtres
: P. 38.« A quoi bon te demander la vérité ? les
affliction d’un riche héritier sont des vérités au prix de ce que nos
Prêtres
disent. Oh ! oh ! leur Sacerdoce est-il donc un p
n inspire du Sacerdoce revient naturellement à l’esprit, si tôt qu’un
Prêtre
s’offre à nos yeux. Mais sur quelles autorités no
on générale de son siècle touchant le Sacerdoce. Et sur quel pied les
Prêtres
sont-ils dans ses Poèmes ? Chrysès Prêtre d’Apoll
intrigue Idœus après un mauvais succès dans le combat. Dolopion était
Prêtre
du Scamandre et respecté comme le Dieu à qui il a
aut, et pilla toute la ville excepté Maron et sa famille. Maron était
Prêtre
d’Apollon, et fut épargné par respect pour son mi
Maron ; de sa naissance, de sa vertu et de sa sagesse. Voilà tous les
Prêtres
dont Homère fait mention : quels égards n’a-t-il
maître de l’art, cet homme si judicieux et si sensé ne parle d’aucun
Prêtre
sans le revêtir de quelque marque d’honneur. En v
nunc stares, Priamique arx alta maneres.Æneïd. 2. Ce Laocoon était
Prêtre
de Neptune et fils de Priam ou frère d’Anchise qu
mouille l’ancre à Délos : Anius dans son plus magnifique appareil de
Prêtre
vient au-devant de lui, l’aborde gracieusement et
es choses avantageuses. En ce même Livre, nous voyons encore un autre
Prêtre
d’Apollon ; c’est Hélénus fils de Priam et Roi de
e, et aperçoit dans les Champs Elysées Orphée que le Poète appelle le
Prêtre
de la Thrace. Nous ne nous étendrons point ici su
Sacerdos Archippi Regis missu fortissimus Vmbro. » Le Poète loue ce
Prêtre
et pour son courage, et pour ses belles connaissa
rs emplois considérables dans l’armée. Peut-être qu’ils n’étaient pas
Prêtres
, à proprement parler, mais seulement Augures : c’
er. Pontif. Aussi les Romains les mettaient-ils au même degré que les
Prêtres
. Il est donc certain qu’Homère et Virgile, ces de
omère et Virgile, ces deux grands personnages respectent toujours les
Prêtres
, et les représentent avec toutes les qualités qui
t ici fiction ou bien réalité : ce qu’il y a de sûr, c’est que si les
Prêtres
eussent été des gens aussi méprisables que notre
ais Homère et Virgile pensaient autrement que nos Poètes au sujet des
Prêtres
: ils suivaient pour règles et la nature et l’usa
oid à la gloire d’hommes savants et sages s’ils eussent maltraité les
Prêtres
; ils auraient foulé aux pieds la Religion, et l’
de ses Pièces les Ministres des Dieux : l’un est les Euménides, où la
Prêtresse
d’Apollon ouvre le Théâtre, et ne paraît plus apr
montre de bravoure. Dans l’Œdipe de Sophocle,Œdip. Tyran. p. 148. le
Prêtre
de Jupiter a peu de part à ce qui se passe. Il pa
et d’avoir formé le dessein de vendre son Prince à prix d’argent : le
Prêtre
soutient alors sa dignité, répond d’un air grave
i pour son impiété. Iphigénie fille d’Agamemnon est choisie pour être
Prêtresse
de Diane ; et son père s’estime honoré d’un tel c
nte des Dieux retombe sur Créon.Troad. p. 193. Si Calchas n’était pas
Prêtre
en toute rigueur, il était pour le moins Augure e
u de choses sur la matière présente, et dans le peu qu’il en dit, les
Prêtres
ne sont pas plus ménagés que les Dieux. Pour Tére
pas plus ménagés que les Dieux. Pour Térence, il ne produit point de
Prêtres
sur le Théâtre ; il ne fait pas même mention d’eu
ntion d’eux dans ses Comédies. Chrysale dans Plaute définit Thestime,
Prêtre
de Diane, un homme d’honneur et de distinction. C
e Diane, un homme d’honneur et de distinction. Ce Poète introduit une
Prêtresse
dans Le Rudens, qui est le seul exemple que je sa
est le seul exemple que je sache en ce genre dans ses ouvrages. Cette
Prêtresse
retire chez elle deux femmes sauvées d’un naufrag
Religion. Telle était donc la conduite des anciens Dramatiques : les
Prêtres
paraissaient rarement dans leurs Poèmes ; et quan
es, le célèbre Corneille et l’inimitable Molière n’emploient point de
Prêtres
dans leurs ouvrages. Le premier exclut Tirésias m
Europe que le Théâtre Anglais qui se fasse un amusement d’exposer des
Prêtres
sur la Scène. Au reste, il vaudrait toujours mie
la Scène. Au reste, il vaudrait toujours mieux qu’on retranchât tout
Prêtre
de la poésie Dramatique : cette suppression ne po
e au peuple. Ainsi, il est moins étonnant qu’il y eût quelquefois des
Prêtres
sur le Théâtre de ces Païens : le sujet de la piè
s imaginables et toutes les bienséances possibles ; après tout, aucun
Prêtre
chrétien ne doit être mis sur le Théâtre. Puisqu’
xception de ce que j’ai avancé touchant le Théâtre Français. Le Grand
Prêtre
Joad est l’un des premiers rôles de son Athalie :
r, et lui conserve jusqu’à la fin un caractère éclatant. Mathan autre
Prêtre
de cette Tragédie devient idolâtre et quitte le D
s. J’avouerai pourtant qu’il s’oublie bien en quelques rencontres. Le
Prêtre
Evans, par exemple, a des manières trop mondaines
r de l’un et de l’autre caractère. Il y a encore au troisième Acte un
Prêtre
que Cutber et Morose maltraitent ; mais l’injusti
er dans La Bergère fidèle, dans Le Chevalier de Malte etc. ah ont des
Prêtres
et des Prélats d’un caractère assorti à leur dign
atteintes. Dans La Femme dédaigneuse et dans Le Curé Espagnol ai deux
Prêtres
sont outragés ; l’un est un insensé, et l’autre u
. Premièrement. Le Sacerdoce est tout consacré au culte divin ; et un
Prêtre
a spécialement l’honneur de n’appartenir point à
culier. Faisons et l’analyse et l’application de ce raisonnement. Les
Prêtres
du Christianisme sont les principaux Ministres du
président aux hommages publics qui lui sont dus. Se moquer donc d’un
Prêtre
, et encore plus de son caractère, quel crime n’es
et les vérités de l’autre vie comme des impostures inventées par les
Prêtres
: c’est s’être dit à soi-même, je suis désormais
urement humaine devraient nous porter à ménager le Sacerdoce. Car les
Prêtres
et la Religion sont comme deux choses l’une de l’
de l’autre inséparables : la Religion se conserve si on maintient les
Prêtres
, et elle tombe s’ils viennent à manquer. Oui, la
oseph, que la race d’Aaron était l’une des plus illustres, et que les
Prêtres
en général étaient comptés parmi la principale No
lesse. L’ancien TestamentDeuter. 17. 9. 10. nous apprend que le Grand
Prêtre
était la seconde personne du Royaume.2. Chron. 19
n. 19. 8. Le corps de cet ordre avait une juridiction civile : et les
Prêtres
faisaient encore partie de la Magistrature au tem
la Magistrature au temps de Jésus-Christ.Matth. 27. Act. 4. Le Grand
Prêtre
Joïada fut jugé une alliance digne de la famille
issement du légitime Monarque. Dans la race Assamonéenne, ils étaient
Prêtres
et Rois. La Monarchie d’Egypte était une des plus
. Or, dans cette Monarchie si célèbre par tant de beaux endroits, les
Prêtres
n’étaient point confondus avec le vulgaire. C’éta
int de sa grandeur et de son crédit fut marié à la fille de Potiphar,
Prêtre
d’Héliopolis. Le Texte sacré dit que Pharaon la l
ept corps ; dont le premier est la Caste des Brahmanesaj qui sont les
Prêtres
et les Philosophes du pays. « Cette Caste est la
s révère et qu’on leur fait quantité de présents. » On avait pour les
Prêtresses
d’Argos une telle considération que l’on datait l
ait sur cela un HistorienDion. Halic. montrent assez que le corps des
Prêtres
dont quelques-uns avaient part à la cérémonie, pa
On ne saurait comparer sans crime les Ministres du vrai Dieu avec les
Prêtres
des Idoles. Ce serait faire affront à notre créan
Car Jésus-Christ n’est-il pas plus grand que Moïse ? Le Ciel que les
Prêtres
ouvrent aux Chrétiens, ne vaut-il pas mieux que l
n dans l’Eglise. En un mot, le Sacerdoce est un état noble. Le nom de
Prêtre
, malgré l’ignorance orgueilleuse de quelques peti
ficier, et non sur son poste qui n’en est pas moins bon pour cela. Le
Prêtre
est capable de faire des fautes aussi bien que le
t sans tache : l’homme dans lui peut devenir méprisable, et jamais le
Prêtre
. On doit donc par respect regarder tout Prêtre, c
prisable, et jamais le Prêtre. On doit donc par respect regarder tout
Prêtre
, comme la charité veut que l’on regarde tout homm
teurs ecclésiastiques ont bien préjugé que s’ils n’imposaient pas aux
prêtres
de donner l’exemple de la chasteté, de la tempéra
et anéantie. Les législateurs ecclésiastiques sont les évêques et les
prêtres
qui ont composé nos premiers conciles, ces concil
L’évêque aura sa chambre ; et pour les services les plus secrets, des
prêtres
de bonne réputation, qui le voient continuellemen
avec des femmes ; « 2° Aucune femme ne doit demeurer avec aucun des
prêtres
, mais seulement la mère, l’aïeule, les tantes, le
t leur ordination. 3e Conc. de Carthage, an 397, can. 17 ; « 3° Les
prêtres
doivent s’abstenir des grands repas, de la bonne
souhaiter qu’ils n’assistassent pas même aux noces. « On défend aux
prêtres
d’avoir des femmes chez eux, si ce n’est leur mèr
nts canons, ou par les statuts particuliers des Eglises ; « 5° Tout
prêtre
, diacre ou sous-diacre qui, depuis la constitutio
s ou des vierges, qu’avec l’ordre ou la permission des évêques ou des
prêtres
, encore ne faudra-t-il pas qu’ils le fassent sans
és de quelques-uns de leurs confrères, ou de ceux que l’évêque, ou un
prêtre
en sa place, leur donnera pour adjoints. L’évêque
tre en sa place, leur donnera pour adjoints. L’évêque lui-même ou les
prêtres
n’iront pas, sans avoir en leur compagnie d’autre
e Carthage, an 397, can. 25 ; « 8° Défense d’entendre la messe d’un
prêtre
que l’on sait certainement avoir une concubine. C
« 12° Le saint Concile, jaloux de soutenir la dignité du caractère du
prêtre
, sachant bien qu’on dit souvent à table beaucoup
souvent à table beaucoup d’inutilités, veut, qu’à tous les repas des
prêtres
, on fasse la lecture de l’Ecriture sainte. C’est
lut ; car ce serait une chose tout à fait indigne d’un évêque ou d’un
prêtre
, de refuser de suivre les règles que l’Eglise, où
écrie que ce serait une chose tout à fait indigne d’un évêque ou d’un
prêtre
de refuser de suivre les règles de l’Eglise ; Or,
de l’Eglise ; Or, il est manifeste, cependant, que les évêques et les
prêtres
ont enfreint ces lois et ces règles, et que le ch
des autres fidèles. L’équité a ses lois immuables, grands et petits,
prêtres
et paroissiens, tous doivent s’y soumettre, s’ils
tion considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des
prêtres
qui anathématisent les Comédiens, morts sans les
t de vue politique et celui de la législation, le délit que commet un
prêtre
, qui anathématise la profession de comédien, qui
te catégorie, et je l’ai démontré précédemment. Il en résulte que les
prêtres
qui, en matière d’excommunication, violent les sa
Je me bornerai ici, à distinguer l’espèce d’excommunication, que des
prêtres
semblent vouloir appliquer aux comédiens morts su
ans les secours spirituels de l’église : mais je fais observer que le
prêtre
déclare implicitement, par cette excommunication,
me tous les autres citoyens qui professent la religion chrétienne. Le
prêtre
qui refuse les prières de l’église et la sépultur
i, dont le devoir est de s’opposer à de pareils abus. Ainsi donc, les
prêtres
feraient non seulement ce qui ne leur est pas per
e et même coupable, est contraire à la charité chrétienne, puisque le
prêtre
en rejetant avec dédain et avec anathème, ce cada
les prières de l’église lui seraient inutiles dans l’autre monde. Les
prêtres
ne doivent-ils pas savoir qu’une seule pensée, qu
’âme brillera d’un éclat céleste à côté du Dieu des chrétiens ! …. Le
prêtre
sera plus terrible que son maître suprême, il aur
n aura placé l’âme dans le ciel ! …. Par cette conduite téméraire, le
prêtre
se met également au-dessus de Dieu et au-dessus d
e dans le principe de la création des comédiens du troisième âge, les
prêtres
ont rempli des rôles, dans les mystères que ces m
fait nuisible à la religion. L’autorité séculière défendit enfin aux
prêtres
, de remplir désormais des rôles de comédiens, et
et impolitique, de la part d’un corps aussi respectable que celui des
prêtres
. Je répéterai ici, qu’on a vu des papes et des ca
recevoir de nos comédiens bienfaisants : on a vu des religieux et des
prêtres
de l’église apostolique et romaine, prier Dieu po
rgé, auquel je renvoie pour les détails. On se demandera, comment des
prêtres
peuvent-ils prier Dieu pour des comédiens, que d’
t des prêtres peuvent-ils prier Dieu pour des comédiens, que d’autres
prêtres
anathématisent et proscrivent ? Voilà ce que des
saient volontairement avec des excommuniés ? C’est donc de la part du
prêtre
, une usurpation sur l’autorité séculière, que de
r la profession de comédien, que le prince a créée, et instituée. Les
prêtres
qui, en invoquant les saints canons, veulent désh
ui a fait naître l’ambition et la soif des richesses dans le cœur des
prêtres
, et a causé, par leurs intrigues et leurs entrepr
lumineux, que les moines, que les jésuites ultramontains et tous les
prêtres
fanatiques, puisent leur haine implacable contre
de glorieuse mémoire ? Il sera difficile d’oublier la conduite de ces
prêtres
orgueilleux, qui, sous prétexte de vaines préséan
sans prendre un rang contesté ? Ils auraient alors donné l’exemple de
prêtres
chrétiens, pratiquant l’humilité évangélique, et
des hommes, des dieux, et des êtres fantastiques ou allégoriques. Des
prêtres
du christianisme, pendant plusieurs siècles, n’en
xercé la profession. Ce qui a été dit plus haut sur la corruption des
prêtres
comédiens, est prouvé par les canons des conciles
erie fanatique et ignorante. Il est donc prouvé que des moines et des
prêtres
, ainsi que des évêques et des archevêques, exercè
l partageait la profession. C’est alors qu’à l’exemple des païens les
prêtres
employaient les mêmes ressorts pour émouvoir puis
les les plus profanes. Ce que je viens d’exposer sommairement sur les
prêtres
qui ont joué la comédie, dont on trouve la preuve
fait donc un reproche sérieux de raconter historiquement les excès de
prêtres
ignorants, fanatiques et superstitieux, qui autre
e sacré dont ils étaient revêtus. Cette publication ne déplaît qu’aux
prêtres
corrompus, qui veulent imposer silence à leurs su
re, d’imposture et de mensonge. Son accusateur prétend prouver que ce
prêtre
a spéculé sur les malheurs d’une auguste victime
e encore que c’est nuire à la religion et exciter la haine contre les
prêtres
, que de dévoiler leur inconduite et leur corrupti
s nui jusqu’à présent à la religion et au respect qu’on doit aux bons
prêtres
. M. de Sénancourt ne sait donc pas que ce princip
éligieuse ? Cette surveillance ne peut réellement faire tort aux bons
prêtres
qui professent la charité évangélique en dépit de
ation, le zèle des chrétiens, ranimé par les pieuses exhortations des
prêtres
, s’est tellement accru, qu’on voit les fidèles re
ies pieuses, y joignaient des farces obscènes. On voyait en effet des
prêtres
, malgré leur caractère sacré et respectable, part
s infâmes, tandis que les autres conciles plus modernes défendent aux
prêtres
de jouer la comédie, ainsi que nous l’avons déjà
Or, on trouve ici la preuve, s’il était nécessaire, qu’il y avait des
prêtres
comédiens, et de l’autre, que les pèlerins et les
t premièrement de concert avec les saints canons, qui défendaient aux
prêtres
de jouer la comédie, et ensuite ils s’appliquèren
talie, l’art théâtral y est autorisé, protégé, salarié et honoré. Les
prêtres
n’y exigent point des acteurs l’abjuration de la
risme injuste et non fondé qu’on est en droit de reprocher à quelques
prêtres
fanatiques et ignorants, qui, en France, tourment
mesures fixes et efficaces pour servir à empêcher qu’à l’avenir, des
prêtres
, animés d’un zèle indiscret, ne puissent, de leur
s aussi excessives, cette secte impie et régicide, accorde encore aux
prêtres
le droit d’employer des anathèmes et des excommun
en matière de dogme, de mystères et de croyances : elle autorise les
prêtres
de chaque religion à refuser, s’ils le jugent à p
prières et aux honneurs de l’église. On doit encore considérer que le
prêtre
qui exige d’un acteur l’abjuration de la professi
hommes ignorants sont portés naturellement vers la superstition. Les
prêtres
s’en servirent pour augmenter leur influence, leu
aux pieds par ceux-là même qui s’annonçaient pour la prêcher, par des
prêtres
hypocrites et prévaricateurs, devenus corrupteurs
iculière. Les gouvernements se sont en effet laissé corrompre par les
prêtres
, en adoptant l’immoralité politique, appelée auss
troubleront à jamais la paix intérieure des Etats. De tout temps les
prêtres
, dans leur intérêt, s’efforcèrent toujours de rep
tout temps les maximes détestables, l’ambition et les absurdités des
prêtres
des païens ; ils démasquèrent leurs jongleries, l
maintenant l’origine et les motifs de la haine implacable de quelques
prêtres
contre les philosophes anciens et modernes ? Les
vaines terreurs de la superstition. Qui ne connaît les manœuvres des
prêtres
, pour priver les hommes des bienfaits de l’instru
nt évidemment à les désabuser sur les erreurs de tous les genres. Les
prêtres
sentent donc toute la nécessité de s’emparer de l
arnée de l’instruction et des lumières de la philosophie. Les mauvais
prêtres
n’ignorent donc pas que la servitude et le manque
des de la superstition, si contraires au bon sens et à la raison. Les
prêtres
des anciennes religions firent en conséquence tou
d’intérêts qui a toujours produit cet ascendant inconcevable dont les
prêtres
abusèrent en tout temps. Il a donc toujours été d
qu’à en faire de vraies machines essentiellement obéissantes, et les
prêtres
se réservent à eux seuls le droit d’en régler les
avec ce qui est de fait. Quoi qu’il en soit de cette proposition, les
prêtres
l’ont proclamée uniquement dans leur intérêt. Si
ur font adopter des opinions aussi injustes. C’est ainsi que tous les
prêtres
, dans l’antiquité, faisaient également tous leurs
t utile sans doute d’indiquer l’origine de l’autorité occulte que des
prêtres
exercèrent dans tous les temps sur les souverains
moralité particulière. Pour réussir dans leurs projets ambitieux, les
prêtres
sentirent que non seulement ils devaient s’entour
le premier rôle en se rendant dépositaire des sciences humaines, les
prêtres
s’en servirent pour abuser de la stupidité du vul
nfluence sur les gouvernements, que ceux-ci obéissaient à la voix des
prêtres
, et devenaient les exécuteurs des vengeances sace
ents et des victimes. On pouvait donc, au moyen de l’intercession des
prêtres
, apaiser un dieu si effrayant, et se le rendre pr
leau de la Divinité chez les païens, qui ne reconnaît le portrait des
prêtres
eux-mêmes ? Ils se sont ainsi dépeints d’après na
contre les vices, l’immoralité et les exorbitantes prétentions de nos
prêtres
, et non pour nuire à la vraie religion et offense
de l’intolérance et du fanatisme qui dérive du système adopté par les
prêtres
sur l’origine du bon et du mauvais génie. Je donn
seignent que le crime est permis dans l’intérêt de la religion, à des
prêtres
hypocrites pour lesquels la perfidie est une acti
ulte, que de faire connaître l’immoralité et le fanatisme des mauvais
prêtres
. Il est temps que le souverain pontife, dont les
. Il est temps de réformer les mœurs, le langage et les principes des
prêtres
fanatiques qui, en divers pays, et principalement
CHAPITRE VII.De l’inconséquence de quelques
prêtres
ignorants envers les Comédiens, et de leur fanati
du haut clergé et des ecclésiastiques sensés en France. Puisque des
prêtres
ont rempli eux-mêmes des rôles de comédien et qu’
pas possible que l’église ferme les yeux sur la conduite de quelques
prêtres
fanatiques et ignorants ; elle ne peut pas autori
es Comédiens et du Clergé. Molière est persécuté et proscrit par des
prêtres
et des jésuites, et ce sont des jésuites et des p
scrit par des prêtres et des jésuites, et ce sont des jésuites et des
prêtres
et des évêques qui lui font les plus belles épita
u monde, et le censeur le plus utile des ridicules de ses sujets. Des
prêtres
proscrivent les théâtres et les comédiens, et c’e
France persiste à vouloir excommunier les gens de théâtre, et si des
prêtres
leur refusent les prières et la sépulture en terr
les spectacles, mais il les institue, mais il les protège ; mais les
prêtres
, les prélats et toute la population de la cité en
ue, de divin, de charitable et de conciliant ; elle n’a point mis les
prêtres
au-dessus des autres citoyens, elle les a rangés
les plus réelles, les plus terribles ; et si le prince permettait aux
prêtres
d’en faire l’application, selon les catégories qu
e 154 de cet ouvrage, les diverses espèces d’excommunications que les
prêtres
voudraient fulminer contre les fidèles ; et aux p
t non pour la dépasser et aller au-delà. S’il en était autrement, les
prêtres
seraient privilégiés, au-dessus même de la monarc
e à elle seule, ne pourrait plus résister à l’autorité du clergé. Les
prêtres
ayant ainsi acquis sur l’esprit faible du peuple
Cette conduite de l’archevêque de Rouen prouve, à l’évidence, que les
prêtres
mal conseillés ne veulent reconnaître et consulte
ue comme un instrument de gouvernement, qu’il n’appartiendrait qu’aux
prêtres
seulement de mettre en jeu, en leur accordant une
ce. Si une religion est intolérante, il est impossible d’empêcher les
prêtres
de ce culte de s’en faire un dogme, et mon intent
ensanglanté les gouvernements dominés par le fanatisme. On y voit des
prêtres
audacieux animés par un esprit de domination et a
nfernal principe qu’est née la doctrine impie du régicide que tant de
prêtres
et tant de moines prêchèrent avec audace et persé
sa confiance, continuaient à se laisser asservir sous l’influence des
prêtres
et à subir le joug anarchique du Clergé, leur cou
eporterait inévitablement à ces temps de calamité, où des moines, des
prêtres
et des prélats, sollicitaient, et provoquaient de
me servir des propres expressions du pape Jules, à un évêque, ou à un
prêtre
, de refuser de suivre les règles canoniques de l’
haumont, en Bassigny (la diablerie de), pag. 322. Clement (Jacques),
prêtre
et dominicain, assassine le roi de France Henri I
anisent, pag. 168 ; les cordeliers, les capucins, les augustins, tous
prêtres
de l’Eglise romaine, présentent des placets aux c
uniés dénoncés ne sont point soumis aux anathèmes de l’Eglise, et les
prêtres
qui les leur appliqueraient devraient être, selon
et le clergé d’Autun conduisent un âne en procession, pag. 312 ; les
prêtres
, les diacres et sous-diacres d’Amiens dansent et
jon, qui sont dignes des Ribauds les plus caractérisés, pag. 323. Les
prêtres
qui commettent des délits et des crimes sont suje
aucune exception en leur faveur, pag. 337 et 360 ; les évêques et les
prêtres
manquent eux-mêmes à la discipline qui leur est i
, 348 et 350 ; on en donne la raison plausible, pag. 351 et 352 ; les
prêtres
qui faussent leurs serments envers les souverains
d’Henri III et d’Henri IV, pag. 333*. D. Danses pratiquées par les
prêtres
et les chanoines dans les diverses cathédrales de
libidineuses, pag. 269. Discipline ecclesiastique, négligée par les
prêtres
et les évêques, on les y rappelle en leur citant
emmes, ni servantes ne doivent habiter dans les presbytères, avec les
prêtres
ou curés, pag. 347, 348 et 350 ; on en donne la r
nons de l’Eglise, a une surveillance et une autorité spéciale sur les
prêtres
, pag. 338, 357, 359 et 360 ; elle a la suprématie
e sur la puissance ecclésiastique, et les conciles anathématisent les
prêtres
qui faussent leurs serments envers les souverains
aucune servante ou femme ne peut habiter dans un presbytère, avec les
prêtres
ou curés, pag. 347, 348 et 350 ; on en donne les
aidé à leur institution, et que dans le principe de leur création les
prêtres
ont rempli des rôles dans les mystères que les co
ait nuisibles à la religion, l’autorité séculière a fait défendre aux
prêtres
de remplir désormais des rôles de comédiens, et à
cevoir de nos comédiens ; on a vu les lettres où ces mêmes religieux,
prêtres
de l’Eglise apostolique et romaine, promettaient
er Dieu pour la prospérité de la compagnie des comédiens. Comment des
prêtres
peuvent-ils prier Dieu pour une compagnie que d’a
nt des prêtres peuvent-ils prier Dieu pour une compagnie que d’autres
prêtres
anathématisent et proscrivent ? Voilà ce que des
, avec tous les procédés convenables en pareils cas, faire sentir aux
prêtres
qu’ils ont sur eux une suprématie d’action, qui e
ce et la mère tutélaire de la religion, sait en même temps forcer les
prêtres
et les peuples à observer ses rites et ses dogmes
la loi de Jésus, mais seulement la religion de ces anachorètes et des
prêtres
. Et en effet : comment ces prêtres fanatiques ont
religion de ces anachorètes et des prêtres. Et en effet : comment ces
prêtres
fanatiques ont-ils pu s’emparer de l’esprit et de
sa justice, n’a pas dû laisser impunis. Le succès, le triomphe de ces
prêtres
ambitieux a réveillé leur fanatisme : du fanatism
rve pour les conférences que nous avons entreprises l’histoire de ces
prêtres
qui, de persécutés, sont devenus persécuteurs. No
à l’homme sa dignité. Ils pensaient, ces amis de la religion, que les
prêtres
auraient suivi, au moins de loin, les progrès que
es…. Rien n’est changé dans le sacerdoce, et l’on peut dire aussi des
prêtres
toujours romains, qu’ils n’ont rien oublié, qu’il
seurd, d’abord accueilli par le peuple, est tombé entre les mains des
prêtres
, ceux-ci, profitant de son âge et de sa faiblesse
rds poursuit, dévore, et qui ne reconnaît d’autre recours que dans le
prêtre
qui l’a soumis à sa loi par la menace et la terre
soleil de Waterloo pour se revêtir d’une écaille plus brillante. Les
prêtres
, les prêtres romains se sont cependant soumis au
terloo pour se revêtir d’une écaille plus brillante. Les prêtres, les
prêtres
romains se sont cependant soumis au nouveau princ
travail n’est pas aussi terrible que, dans son intérêt personnel, le
prêtre
veut nous le représenter. Le repos du septième jo
leurs habitants, exigent d’autres amusements, et ici l’irruption d’un
prêtre
intolérant n’est pas à redouter. Arrêtons-nous d’
les de ce qui paraîtrait excès de la part de leurs victimes. Et vous,
prêtres
aveugles et impolitiques, laissez le peuple se li
en expiation de ces excès auxquels se porte toute la population. Ses
prêtres
gémissent dans leurs temples déserts ; ils se fra
" Ce ne sont pas les seuls artisans, ouvriers, prolétaires, que le
prêtre
de la secte romaine veut arrêter, troubler dans s
peu plus que de la gaîté, est l’objet de la censure inexorable de ces
prêtres
rigides, et sans doute de leur dépit. Ils oublien
nocentes, et de quel autre coloris oserais-je essayer de l’embellir ?
Prêtres
romains, quelle est votre réponse ? La voici : Un
ences que vous tirez des prédications menaçantes et des anathèmes des
prêtres
romains. Non, ces conséquences sont parfaitement
rouver combien les doctrines, les exigences, les commandements de ces
prêtres
sont subversifs de toute société humaine et contr
age de la liberté, et que nous voudrions voir affranchie du joug d’un
prêtre
dont le royaume ne doit pas être de ce mondew. De
autel pour y être sacrifiée à l’ambition de son père par la main d’un
prêtre
… Que peut avoir de coupable aux yeux de la divini
es, si on veut l’en croire, ne sont que les Propylées de l’enfer. Ses
prêtres
, s’ils le pouvaient, graveraient sur leur fronton
t avoir reçu de lier dans le ciel ce qu’ils ont lié sur la terre, les
prêtres
veuillent par leur malédiction anticipée, usurpat
omaines, et ne trouveraient point place dans le champ du repos si les
prêtres
en étaient toujours les maîtres. Mais le peuple r
ux intervient, il a ouvert les portes et prononcé les prières que les
prêtres
ont refusées. Et toi, Talma, ton convoi tout prof
e Dieu les prières banales et dont chaque ligne est tarifiée, que les
prêtres
auraient, par métier, débitées sur ton cercueil.
ien, descendant presque mourant de la scène, aurait appelé en vain un
prêtre
auprès de son fauteuil de mort. Sa cendre n’a pas
néant de la prétendue souveraineté du pontife de Rome. Parce que les
prêtres
soumis à sonac souverain étranger abdiquent volon
, assis dans un fauteuil à roulette dont le dossier était tenu par un
prêtre
. La légende disait : « Va comme je te pousse ».
rneille élevée à Rouen en 1834. ac. [NDE] Accord par le sens, chaque
prêtre
soumis à son souverain. ad. [NDE] Mathieu 11:28.
n y a habillé les Vestales en Religieuses Bernardines, & le Grand
Prêtre
en Evêque, ce qui est absolument contre le costum
si sa fille est impliquée dans ces soupçons, qu’il parle à la grande
Prêtresse
& à toutes les autres, sans s’appercevoir que
plus étalées que les femmes du monde, jamais voilées devant le grand
Prêtre
leur supérieur. Le Poëte ne connoît pas mieux les
de la négligence à conserver le feu sacré, & par respect pour la
Prêtresse
coupable, c’étoit au grand Prêtre à la frapper. J
sacré, & par respect pour la Prêtresse coupable, c’étoit au grand
Prêtre
à la frapper. Je m’étonne que l’Auteur de la piec
rt, & à ses yeux est un sacrilege profanateur du Temple & des
Prêtresses
de Vesta. Voltaire, dans son Brutus, dont les Ves
contre la vérité de l’histoire. 1.° Le Roi Numa, dont parle la grande
Prêtresse
, n’institua que quatre Vestales : on en ajouta de
t pas ce soin à des esclaves, c’étoit la plus importante fonction des
Prêtresses
; les flambeaux n’étoient pas connus, on ne se se
découvre par hasard, fait lever toute la maison, on avertit le Grand
Prêtre
, on le fait lever, il vient au Temple, parle à la
-tout sur une Vestale, comme si parmi nous on vouloit faire mourir un
Prêtre
le jour de Pâques, & que cette fête se célébr
ence avoit été prononcée, après les plus grandes formalités, le grand
Prêtre
à la tête du College des Pontifes venoit solemnel
l des Evêques prescrit qu’on fasse la dégradation d’un Evêque ou d’un
Prêtre
. Jamais il n’a été question de lui mettre un voil
portoit dans cet état comme on porte les morts au tombeau, suivie des
Prêtres
, des Prêtresses & du peuple, à travers toute
cet état comme on porte les morts au tombeau, suivie des Prêtres, des
Prêtresses
& du peuple, à travers toute la ville, depuis
ou de douleur, il ne fût pas dit que personne eût mis la main sur une
Prêtresse
. On fermoit aussi-tôt la tombe avec de grosses pi
ore : Il la laisse sans connoissance & sans secours au milieu des
Prêtres
& du peuple, bien assuré qu’ayant manqué son
er une longue tirade de 92 vers. Le Pere d’Ericie, ses compagnes, les
Prêtres
, le peuple, aussi tranquilles, s’amusent à l’écou
, qui n’exista jamais). Il y en a eu quatorze ou quinze. Cet ordre de
Prêtresses
, établi depuis long-temps à Albe avant la fondati
cées par les passions, séduites par les Religieuses, trompées par les
Prêtres
, gémissant accablées sous le joug, sur-tour (car
laves dispersés cherchent par-tout avec des flambeaux par ordre de la
Prêtresse
pour le découvrir ? comment de si bon matin, à la
nnu, devant eux je pleurois en silence. (c’est un Chartreux, non un
Prêtre
Payen) Au rang de grand Pontife élevé malgré mo
ce feu sacré les flammes vengeresses De l’injuste Vesta consument les
Prêtresses
. Je n’écoute plus rien, & mon cœur furieux Os
est donc ici que je vais cesser d’être, d’aimer ! Ce discours de la
Prêtresse
n’est-il pas le pur matérialisme ? cesser d’être
iés, pensionnés et honorés par les souverains et par les papes, aucun
prêtre
en France, n’a le droit de son autorité privée, d
r le crédit du clergé, ni se laisser effrayer par l’ascendant que les
prêtres
n’usurpent que trop souvent sur le gouvernement ;
ger d’un acteur l’abjuration de la profession de comédien ; et si les
prêtres
persistaient dans cette prétention, ils se mettra
rit de parti, viendraient à tolérer ou à seconder les entreprises des
prêtres
malveillants et ambitieux, qui nuisent essentiell
veraient frappés d’anathème et de déshonneur, par la réprobation d’un
prêtre
qui leur dirait : « Ce que vous avez voulu, ce qu
us osez prendre la défense est frappé d’une damnation éternelle. » Le
prêtre
alors, ne serait-il pas dans l’état, beaucoup plu
âmer et mépriser le prince et la loi, qui, d’après les allégations du
prêtre
, se trouveraient en contradiction avec la religio
naîtraient des pensées, des discours et des actes séditieux ; car le
prêtre
par sa conduite, semble dire publiquement, le pri
ignard, qui fut pendu et brûlé comme régicide, en place de Grève. Les
prêtres
, non seulement naissent sujets du roi, et soumis
u-dessous de la tiare ; d’entretenir dans tous les Etats une foule de
prêtres
et de moines qui si souvent dans les affaires tem
ut pas douter, à condamner le zèle indiscret et fanatique de certains
prêtres
séculiers et réguliers qui, plus ultramontains qu
ns. Sa sainteté n’approuverait pas, également, que des évêques et des
prêtres
, aient la prétention de se soustraire, pour le te
de condescendance, se laisseraient tromper, dominer et avilir par des
prêtres
et par des moines factieux et entreprenants, comp
specter la religion, non seulement par le peuple, mais encore par les
prêtres
eux-mêmes, qui, si souvent, se sont livrés à des
ordre tout à la fois monastique et politique. Est-ce là le langage de
prêtres
chrétiens ? Mais ne sait-on pas que cette société
les emplois ; il faut qu’il surveille autant qu’il est possible, les
prêtres
et les jésuites qui entourent les grands, exciten
est en effet bien distinct du droit divin. Où en serions-nous, si les
prêtres
devenant maîtres absolus, de l’expédition des act
cès, que par la persuasion, la douceur, l’humilité et la charité. Les
prêtres
, une fois devenus les maîtres, se croiraient auto
, et que les actes de naissance et de mort soient enregistrés par des
prêtres
. L’ordre actuellement établi ne blesse en aucune
d’annoncer aux ignorants, et de faire accroire aux imbéciles que les
prêtres
, étant les ministres de la Divinité, sont au-dess
pas le Grand-Turc à Constantinople pour y faire siéger le pape ? Les
prêtres
se trouvent perpétuellement dans une fausse posit
qu’il n’y va rien moins que du mépris et de la haine, de la part des
prêtres
, contre les puissances séculières, et ceux-là pré
gélique. Il prétendra que j’ai voulu exciter la haine contre les bons
prêtres
, néanmoins si respectables à mes yeux, lorsqu’ils
Si, comme dans les siècles de barbarie du moyen âge, et lorsque les
prêtres
eux-mêmes étaient comédiens, le spectacle se comp
nne et de Juditha , dont les principaux rôles étaient remplis par des
prêtres
, ont-ils la décence des pièces jouées sur nos thé
était ce que le font en chaire ces jeunes écervelés de séminaire, ces
prêtres
ignorants et fanatiques qui parlent de tout en ma
rection de l’Opérad. Mais, qu’était-ce que la comédie dirigée par les
prêtres
? Un hideux assemblage de bouffonneries où la rel
enne dans le rôle de la belle-mère d’Hippolytef ! Quel est le mauvais
prêtre
qui n’ait pas senti sa conscience l’accuser en en
uand M. son curé la lui donne ? A Milan, à Turin, à Rome, a Naples un
prêtre
ne peut-il pas sans encourir les censures, se mon
soutane et en chapeau à trois cornes ? Encore une fois, messieurs les
prêtres
romains, tâchez de vous entendre ; car, ce n’est
n’est pas assez de vous avoir prouvé par les aveux et la conduite des
prêtres
, que le spectacle n’était point un péché, il faut
sortir du lieu saint, tous les fidèles y pussent assister. Ainsi, le
prêtre
de ce temps-là était tout à la fois prêtre et com
ussent assister. Ainsi, le prêtre de ce temps-là était tout à la fois
prêtre
et comédien. Se dédommageant sur les tréteaux de
yp. La morale et la religion ont beaucoup gagné à ce changement ; les
prêtres
seuls y ont perdu de leur influence. Jusque là, i
e despote devant qui tout s’humilie, s’incline devant la volonté d’un
prêtre
, et les portes de Saint Eustache sont impitoyable
utifs de la discipline ecclésiastique qui imposent aux évêques et aux
prêtres
, dans leur vie privée, des devoirs qui ne sont pl
n institution ; L’oubli qui a eu lieu, de la part des évêques et des
prêtres
, de ces lois canoniques sur la discipline qu’ils
urveiller l’exécution et se servir de son autorité pour y ramener les
prêtres
qui s’en écartent. Sa personne est sacrée, et nul
urir les anathèmes prononcés par les lois ecclésiastiques, contre les
prêtres
et les laïques qui se rendraient coupables d’un c
droits comme déléguées du prince, et conduira à leur instruction les
prêtres
qui peuvent méconnaître les obligations qui leur
ergé, auquel je renvoie le lecteur qui désirerait les y vérifier. Les
prêtres
et les évêques voudraient-ils aujourd’hui appeler
sion de comédien est approuvée par les souverains et par le pape, des
prêtres
rigoristes par ignorance, et entêtés par fanatism
est prononcé d’une manière non équivoque en faveur de ceux-là, et les
prêtres
rigoristes en France ne sont nullement fondés à é
me concile de Carthage de l’an 397. Si un saint concile a défendu aux
prêtres
de jouer la comédie, donc ils s’étaient permis de
médie, donc ils s’étaient permis de se faire comédiens. En effet, des
prêtres
, au mépris de la discipline ecclésiastique, non s
sous peine de suspension et d’être mis en pénitence, aux évêques, aux
prêtres
et aux autres ecclésiastiques, d’assister à ces s
age 130 Chapitre VII. De l’inconséquence et du fanatisme de quelques
prêtres
ignorants, envers les Comédiens, mis en oppositio
34 Chapitre VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques
prêtres
, contre les Comédiens français. Page 141 Chapitr
tion considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des
prêtres
qui se croient en droit d’anathématiser les Coméd
e l’Eglise. Page 186 Chapitre XII. Réflexions sur les Evêques et les
Prêtres
de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, s
rimes du clergé et des anathèmes fulminés par les conciles contre les
prêtres
et les séculiers qui attentent à l’autorité et à
ont mis plus d’une fois l’Etat dans le plus grand péril. Lorsque les
prêtres
sont parvenus à augmenter leur action sur les cit
onnée fut cruellement assassiné l’année d’ensuite par Jacques Clément
prêtre
et dominicain !… Henri III, frappé d’un coup mort
ait eu de ses propres devoirs, et de sa faiblesse à consentir que les
prêtres
se mêlassent des affaires de l’Etat, en abandonna
trième concile de Tolède, an 634, can. dern. 6° « Les évêques et les
prêtres
qui auront violé les serments faits pour la sûret
ais hors de l’Eglise, il lui appartient de surveiller la conduite des
prêtres
, et de savoir s’ils se conforment eux-mêmes aux p
, n’ont cessé de faire pour s’opposer constamment aux usurpations des
prêtres
, et notre histoire leur paie à cette occasion un
ces de religion pour honorer la Divinité, et les Acteurs une sorte de
Prêtres
chargés de ce culte. En effet, s’il s’agissait de
irque, celui d’Hercule à l’amphithéâtre, de Vénus au théâtre. Quelque
Prêtre
de la Divinité devait y présider, et sur la fête,
e Prêtre de la Divinité devait y présider, et sur la fête, et sur les
Prêtres
inférieurs (les Comédiens). Un collège de Prêtres
la fête, et sur les Prêtres inférieurs (les Comédiens). Un collège de
Prêtres
du premier ordre était chargé d’ordonner l’appare
n’est que plus méritée, puisqu’ils osent se dire Chrétiens. Ils sont
Prêtres
des mêmes Dieux ; même culte, mêmes objets, mêmes
théâtre ; les jeux sacerdotaux, où devait toujours se trouver quelque
Prêtre
qui offrît des sacrifices, et où il était défendu
rouver, et les jeux profanes, auxquels Julien l’Apostat défendait aux
Prêtres
d’assister, pour imiter, disait-il, la retenue et
res d’assister, pour imiter, disait-il, la retenue et la modestie des
Prêtres
Galiléens (c’est-à-dire Chrétiens). Ce qui nous a
son char. Voyez cette Actrice, si la pudeur ose la regarder. Voilà la
Prêtresse
de Vénus : sa parure sacerdotale est bien conform
ix, sa mollesse, annoncent sa dévotion. Quel tendre enthousiasme ! la
Prêtresse
d’Apollon sur son trépied, saisie de son Dieu, se
répied, saisie de son Dieu, se livre à des convulsions insensées. Les
Prêtresses
de Bacchus, couronnées de pampre, courent les cam
couronnées de pampre, courent les campagnes le thyrse à la main. Les
Prêtresses
de Cythere, enivrées de délices, dans une douce l
n. La première chose que j’y reprends, c’est qu’un homme qui se dit
Prêtre
ait pu avancer, que la comédie, telle qu’« elle e
on ait jamais infecté les oreilles des Chrétiens. Qui que vous soyez,
Prêtre
ou Religieux, quoi qu’il en soit, Chrétien qui av
s minces. Songez encore, si vous jugez digne du nom de Chrétien et de
Prêtre
, de trouver honnête la corruption réduite en maxi
arce qu’elle vient la première à mon esprit ; et vous, qui vous dites
Prêtre
, vous le ramenez à ses premières erreurs. Pag. 3
CHAPITRE VIII.Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques
prêtres
, contre des Comédiens français. Par quel délire
s, qui mettent le peuple en émotion et troublent l’ordre public ? Ces
prêtres
orgueilleux frappent de réprobation des comédiens
l et l’évangéliste saint Luc qui ont prononcé votre condamnation. Les
prêtres
devraient savoir enfin que la police des théâtres
à la loi. Ce reproche est d’autant plus fondé, que la conduite de ces
prêtres
si mal conseillés, est en contradiction manifeste
e histoire, ainsi que celle de tous les peuples chrétiens, que si les
prêtres
n’avaient pas toujours rencontré dans la force et
proposé d’éclaircir. Je n’ai voulu prouver autre chose, sinon que les
prêtres
ne sont plus en droit d’anathématiser ni les comé
profession de comédien, ne peuvent justifier les rigueurs de certains
prêtres
fanatiques, qui par ignorance des lois ecclésiast
aître de l’exercice de l’art théâtral. Que d’un autre côté, c’est aux
prêtres
à redoubler de zèle, pour exhorter les comédiens
elle a aussi rencontré des détracteurs implacables, parmi les mauvais
prêtres
, hypocrites ou tartufes. Il n’est pas surprenant
pièces de Théâtre soient jointes à l’ouvrage d’un Théologien ! qu’un
Prêtre
se montre à la tête de plusieurs Acteurs : Qu’un
ligieux se charge du Prologue de la Comédie, et que ce Théologien, ce
Prêtre
, et ce Religieux tout ensemble fasse l’Apologie d
t ! Il n’est certainement pas possible qu’on ne trouve étrange, qu’un
Prêtre
obligé par son état à inspirer aux fidèles la fui
p. 22 et 23. qui voulait faire bénir ses Armées par un Prophète ou un
Prêtre
du Dieu vivant. Balaam fut celui qu’il choisit po
dans la malédiction ; et il a conduit encore aujourd’hui la plume du
Prêtre
consulté par des Comédiens pour lui faire énoncer
ment que l’Eglise n’a jamais cessé d’anathématiser les spectacles. Ce
Prêtre
a beau faire ensuite quelques efforts pour montre
respuenda percenseant. » Anno 813. et il verra qu’il est enjoint aux
Prêtres
d’inspirer aux Fidèles de l’horreur pour les spec
out ce qui altérait la Tradition de l’Eglise, il est surprenant qu’un
Prêtre
ait cru pouvoir impunément attaquer ce qu’on prêc
ise sainte, où est le respect qui vous est dû, et la fidélité que les
Prêtres
vous ont jurée ? Les Statuts Synodaux de vos Evêq
s seront détournés des Spectacles par les pressantes exhortations des
Prêtres
. Et en voici un, qui la tête levée engage les Com
e, et qui n’a nulle solidité. Epoux de l’Eglise ouvrez les yeux de ce
Prêtre
, et faites-lui voir son égarement, afin qu’il le
CHAPITRE XII.Réflexions sur les Evêques et les
Prêtres
de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, s
s injustes qui m’ont été adressés, au sujet de mes réflexions sur les
prêtres
et les évêques de la primitive église, et sur ceu
veillance, qu’on voudrait exercer sur la conduite de quelques mauvais
prêtres
de nos jours. Il ne veut pas qu’on examine, si le
canons de plusieurs saints conciles, pour rappeler aux évêques et aux
prêtres
, qu’ils devraient montrer l’exemple en pratiquant
après ses opinions jésuitiques, de justifier le fanatisme de quelques
prêtres
qui prétendent encore, contre toute justice, pouv
utorité ecclésiastique. Voilà donc les comédiens sortis du cercle des
prêtres
et de l’enceinte des églises et des couvents, dan
le droit d’établir et de maintenir la discipline civile, et c’est aux
prêtres
et aux évêques à s’y conformer et y obéir. En lis
profession spécialement et uniquement frappée de l’animadversion des
prêtres
; il aura un sort commun avec tous les autres inf
le Cirque ; où les Pontifes et les Augures suivis de tous les autres
Prêtres
faisaient des sacrifices, en suite desquels on do
r. Et cette prophétie ayant été bien examinée par le Sénat et par les
Prêtres
, on ordonna douze mille écus au Préteur pour en f
ordonna douze mille écus au Préteur pour en faire la dépense, et aux
Prêtres
d'y garder toutes les saintes cérémonies des Grec
de refaire les Jeux Romains. » Il n'était donc pas étrange que leurs
Prêtres
y fussent toujours présents et qu'ils en donnasse
cus donna la charge des Jeux et des Sacrifices qui s'y faisaient, aux
Prêtres
conjointement avec les Gymnasiarques ; et Néron y
les Gymnasiarques ; et Néron y invita les Vierges Vestales, comme les
Prêtresses
de Cérès assistaient à tous les Jeux Olympiques.
s Spectacles, ayant écrit, que « tous les corps des Magistrats et des
Prêtres
s'y trouvent présents, les grands Pontifes, et ce
e, quelle déférence, quelle crainte religieuse peut-on avoir pour des
Prêtres
qu’on vient de voir au spectacle, écoutant, regar
es canons de l’Eglise. L’Empereur Honorius défend à tous les Evêques,
Prêtres
, Diacres, Sous-diacre et Clercs, de venir à aucun
udient.) ? En voici l’abrégé. Persuadé que, la sainteté de la vie des
Prêtres
et la ferveur de leurs prières fait la prospérité
ris avec douleur, et ce qui paraît incroyable, que des Diacres et des
Prêtres
, et ce que nous rougissons bien plus de dire, mêm
ffligé, au malade ; ils sont débiteurs de tout le monde. La bouche du
Prêtre
est dépositaire de la science sacrée, on lui dema
sacrifier à la complaisance ou à la curiosité. Est-il décent que des
Prêtres
assistent à des pièces exécutées par des filles ?
(Surius, dans la vie, 25 février). Le Père Bernard, appelé le pauvre
Prêtre
, mort à Paris en odeur de sainteté, le 23 mars 16
« Surgere de convivio et abire. » 2.° Il est défendu aux enfants des
Prêtres
de représenter la comédie ou d’y assister, soit a
les pièces ; c’est pis qu’en donner la représentation. 4.° Gennadius,
Prêtre
de Marseille, dans le sixième siècle (De Ecclesia
règnent dans toutes les familles, et cette discorde, soufflée par les
prêtres
et les jésuites, se propage malheureusement jusqu
ble de malheur, on y voit des fanatiques soutenus par des moines, des
prêtres
, des chanoines et des évêques, et armés au nom d’
ouvernement, on met en ligne de compte tout ce que les évêques et les
prêtres
dans les départements, reçoivent des communes et
ogressivement toutes les années. Ah ! quel malheur, si on rendait aux
prêtres
et aux moines, les biens corrupteurs dont ils fir
r cette source d’abus qui mit de si grands biens à la disposition des
prêtres
, et qui fit jadis tant de mal à l’Etat et à la re
’Etat et à la religion ? Qu’on réfléchisse donc aux désordres que les
prêtres
et les moines produisent aujourd’hui en Espagne,
r mieux déguiser son ambition démesurée. Pouvait-il jamais devenir le
prêtre
fidèle du culte de cette divinité chérie de tous
à bout et l’obligèrent à secouer le joug absurde et inhumain de leurs
prêtres
souverains. Cependant jamais siècle ne fut plus f
e mémoire, on se souvient encore des atrocités du saint office où des
prêtres
sanguinaires, juges et parties, condamnaient des
es. Les plus grands ennemis des souverains sont les adulateurs et les
prêtres
qui leur souhaitent le pouvoir absolu, qui leur c
ères et les Conciles lui sont contraires, 3. Que les Religieux et les
Prêtres
pécheraient mortellement en allant à la Comédie,
mot selon Suétone, 60. Selon S. Thomas, 189. leurs Jeux défendus aux
Prêtres
, 133. Empereurs loués pour ne les avoir pas admis
lle, 136 Justinien Empereur, défend les Spectacles aux Evêques et aux
Prêtres
, 135. Permet aux Comédiennes de quitter le Théâtr
Autre approbation. JESUS † MARlA. Nous Pierre-François De la Tour,
Prêtre
, Supérieur Général de la Congrégation de l’Oratoi
tique des Jeux de Théâtre, etc. Composé par le feu P. Pierre le Brun,
Prêtre
de notre Congrégation, conformément au Privilège
ux ; et ces récits s'éloignant peu à peu des louanges de Bacchus, ses
Prêtres
en firent de grandes plaintes, n'ayant pu retenir
en l'honneur duquel on faisait les Jeux ce jour-là. Ainsi, comme les
Prêtres
en avaient un soin particulier, qu'ils y étaient
ant de notre temps, que les Païens ont eu trois Théologies, celle des
Prêtres
dans leurs Temples, celle des Philosophes dans le
phes dans les Écoles, et celle des Poètes sur les Théâtres. Aussi les
Prêtres
et les Magistrats prenaient grand soin que toutes
le commandement qu'il a fait à tous les chrétiens en la personne des
Prêtres
de l'ancienne loi, auxquels il ordonne d'entreten
s dies. » Cet autel est le cœur de l'homme, et chaque chrétien est le
Prêtre
qui doit avoir soin de nourrir sur l'autel de son
le commandement qu'il a fait à tous les Chrétiens en la personne des
Prêtres
de l'ancienne loi, auxquels il ordonne d'entreten
s dies. » Cet autel est le cœur de l'homme: et chaque Chrétien est le
Prêtre
qui doit avoir soin de nourrir sur l'autel de son
e, direz-vous, peuvent servir le sac des Pénitens, & des aubes de
Prêtres
? Le voici : admirez l’industrie théatrâle des ha
sacs de Pénitent, avec leur capuchon . Dans Athalie, il y a un Grand
Prêtre
, des Prêtres & des Lévites. Les aubes du Chap
itent, avec leur capuchon . Dans Athalie, il y a un Grand Prêtre, des
Prêtres
& des Lévites. Les aubes du Chapitre leur ont
tribuées, & la belle aube au Grand-Prêtre Joad. Il n’y a point de
Prêtre
dans Esther, mais on a cru que Mardochée étoit Lé
es qui embélissent la fête de Saint-Pons : le Secretaire de l’Evêque,
saint Prêtre
, & homme intelligent, fut choisi pour souffle
es. Il est du bon ordre en effet, que Venus,dans son Temple, ait ses
Prêtres
& ses Prêtresses, & ses adorateurs. L’Ecc
ordre en effet, que Venus,dans son Temple, ait ses Prêtres & ses
Prêtresses
, & ses adorateurs. L’Ecclésiastique ex Jesuit
eurent leurs Danses sacrées. Dans toutes les Religions anciennes, les
Prêtres
furent Danseurs par état. On voit dans les descri
de Saint-Clément & de Saint-Pancrace. C’est-là qu’à l’exemple des
Prêtres
& des Lévites de l’ancienne Loi, le Sacerdoce
s Danses sacrées… Chaque Fête avait ses Hymnes & ses Danses ; les
Prêtres
, les Laïcs, tous les Fidèles dansaient pour honor
ps : dans le milieu du dernier siècle, on voyait encore à Limoges les
Prêtres
& tout le Peuple danser en rond dans le Chœur
le torrent de l'exemple, c'est l'empire du respect humain. Mais qu'un
Prêtre
et un Religieux, à qui tout l'interdit, qu'un Cor
t un Religieux, à qui tout l'interdit, qu'un Corps de Religieux et de
Prêtres
, que tout en éloigne, se fasse une affaire sérieu
, ne pouvant l'interdire à tout le monde, il voulait du moins que les
Prêtres
Païens s'en abstinssent, pour donner du crédit au
véritablement. Il ne suffit pas que vous soyiez tel, obligez tous les
Prêtres
de votre province de l'être. Un sacrificateur ne
chaque ville, etc. Ne faites point la cour aux Gouverneurs, qu'aucun
Prêtre
n'aille au-devant d'eux à leur entrée dans les vi
abits magnifiques, mais être chez eux vêtus fort simplement. Qu'aucun
Prêtre
n'approche en aucune manière des spectacles, et n
gné le reproche aux Galiléens, et les eût-il donnés pour modèle à ses
Prêtres
?). Je voudrais les bannir entièrement des théâtr
aucun d'eux n'ait pour ami un Comédien ou un Danseur. Les enfants des
Prêtres
doivent même s'en abstenir. » M. de Fleury ajoute
t un Censeur raisonnable ; il faut vaincre la froide obstination d’un
Prêtre
octogénaire & de quelques autres Ministres, à
forte & plus directe, Molière déchiré, calomnié par la cabale des
Prêtres
, Molière insulté en pleine Eglise par Bourdaloue,
l’exécration publique. XV. N’est-il pas indécent de représenter des
Prêtres
chrétiens sur le Théâtre ? N’est-ce pas un moyen
stres ; & l’on sait qu’un Ministre de Dieu peut être coupable. Le
Prêtre
convaincu d’un crime est puni comme un autre homm
où la Cour de Rome avoit besoin d’exagérer le respect qu’on doit aux
Prêtres
; quand l’Eglise étoit divisée par une foule d’hé
s pièces nationales, les Rois, les Princes, les Pairs du Royaume, les
Prêtres
, les Prélats de l’Eglise Romaine & ceux de l’
scission, & qui voulez être de la Nation Françoise ; & vous,
Prêtres
, qui ne dédaignez point le nom de Citoyens Franço
nom de Citoyens François ; c’est à vous maintenant que je m’adresse.
Prêtres
, ne soyez point effrayés par le sujet de cet ouvr
blique. L’instruction publique est importante pour tous les Citoyens.
Prêtres
qui siégez parmi les Représentans de la Nation, v
de nos Annales. Je ne concevrai jamais comment la représentation d’un
Prêtre
fanatique, peut être préjudiciable à la tolérante
les périls publics. Si les hommes ne les apperçoivent pas, c’est aux
Prêtres
à les instruire, & non pas à les flatter. « D
iens, elles leur auroient été favorables : tout ce que nous sommes de
Prêtres
, nous devrions imiter l’exemple des Chrisostôme C
) exista dès qu’il y eut une Société. Les premiers Acteurs furent nos
Prêtres
; nos premiers Théâtres, les Temples sacrés ; c’e
es. Un Vieillard respectable par les seuls droits de la nature, était
Prêtre
& Roi de la Peuplade sortie de lui. Les devoi
réjouissance des vendanges, le Père-de-famille, le Prince, le Roi, le
Prêtre
de la peuplade, assemble toute sa maison ; &
t aux Temples, & non pas à la Divinité, à qui vous assignates des
Prêtres
: vous crutes vous décharger sur eux de ce que vo
doit pour lui-même ?… Ce fut-là le comble de l’absurdité. Dès que le
Prêtre
se crut plus qu’un homme ordinaire, il inventa le
partie : le reste passait soit au Théocrate au nom de Dieu, soit aux
Prêtres
comme un droit sur toutes les choses saintes. Au
; au lieu, dis-je, de ce simple Deolo * qu’on me passe le terme, les
Prêtres
mirent en usage des Hymnes élégantes, c’est-à-dir
du Père-de-famille avaient été simples, comme sa Musique : celles des
Prêtres
, que le loisir rendait propres à perfectionner le
entement les chaînes du genre humain. L’admiration qu’on eut pour les
Prêtres
, seuls Acteurs, inspirait la soumission, la confi
ujourd’hui, d’une manière diffêrente. Les enfans qui n’ont vu que des
Prêtres
, desirent d’entrer dans le Sacerdoce jusqu’à ce q
le Théâtre, mettent la profession de Comédien au-dessus de tout*. Les
Prêtres
seuls représentaient en public. Dans les Fêtes de
e, & ne laissent au Sacerdoce que le soin des choses saintes : le
Prêtre
ne sera plus que Prêtre & Comédien : encore l
Sacerdoce que le soin des choses saintes : le Prêtre ne sera plus que
Prêtre
& Comédien : encore les Rois partagèrent-ils
du seul ministère des Autels, & de l’appareil des Sacrifices, le
Prêtre
(au moins chez les Nations civilisées) n’a plus d
: la vanité, l’orgueil trouvèrent leur compte à se le persuader : les
Prêtres
, auxquels on laissait l’administration des Temple
s passions, des vices : nouvel & grand objet d’imitation pour les
Prêtres
. Aussi ne tarda-t-on pas à voir aux pieds des Aut
que entre les mains des Jeunes-gens, qui sont toujours guidés par les
Prêtres
. Les Peuples gouvernés par deux Puissances, la Th
de cette expression. Mais le respect pour les Choses saintes, que les
Prêtres
tâchent chaque jour d’éloigner des communes ou pr
mmes d’Etat, aussi dignes de sa considération, de son estime, que ses
Prêtres
eux-mêmes. Tel fut l’état des Tragédiens & de
Amautas du Pérou. Ces Peuples avaient des Fêtes spectaculeuses : les
Prêtres
les célébraient, quant à la partie religieuse ; d
ans son origine, d’abord les Acteurs furent plutôt regardés comme des
Prêtres
, que comme des Baladins. » Mais chez les Romains,
t digne d’être grand homme ; mais pouvait-il l’être ? conduit par les
Prêtres
, au lieu d’épurer les Farces qu’il trouva établie
. L’imbécille Louis I lui succède : quel règne ! quels Sujets ! quels
Prêtres
! quels Enfans ! ô pauvres Peuples, qu’aviez-vous
yrique1. Antoine Faydit donna une Pièce intitulée : Les Egaremens des
Prêtres
2. Dans le xiv siècle, on trouve Parasols, Limosi
ère dont on jouait les Moralités & la Passion, & sur-tout les
Prêtres
sentirent qu’ils ne devaient pas laisser partager
ragique : un Tribunal odieux met chez elle des entraves au génie : le
Prêtre
veut bien qu’on se donne en spectacle ; mais sous
ra toujours entre le Sacerdoce & le Comédisme : Mais pourquoi les
Prêtres
& les Comédiens font-ils des états a part dan
ue dis-je ? au-dessus de leurs propres Pères ? Pourquoi voir dans nos
Prêtres
, autre chose que des Citoyens estimables, qui se
re desirer avec modération, & par les seules voies légitimes ? Le
Prêtre
est d’un Corps qui a des intérêts particuliers !
Fêtes publiques : ils exécutaient aussi des Danses, à la manière des
Prêtres
de Mars. On dit que l’origine de ces Jeux venait
i souvent foudroyée ? Ajoutez que Faydit, qui attaquait les mœurs des
Prêtres
, avait enlevé d’un Monastère une Fille de qualité
ge, comme d’un acte héroïque de religion. Il le met sur le compte des
Prêtres
, par ordre du souverain Pontife Joad (le Pape des
at. Le Poète suppose une inspiration de Dieu, et fait parler le grand
Prêtre
en Prophète. Rien de tout cela dans l’Ecriture, p
é du lieu, ou plutôt le consacrer ? On fait dire un mensonge au grand
Prêtre
pour attirer Athalie dans le Temple, l’y renferme
ès avoir appris par le bruit public que Joas était couronné. Le grand
Prêtre
entreprend artificieusement de détacher par princ
pez, rompez tout pacte avec l’impiété. » Supercherie indigne du grand
Prêtre
, qu’on lui prête gratuitement contre la vérité, e
n’en fait qu’un lâche et un malhonnête homme. Racine dit que ce grand
Prêtre
agit par ordre du Roi. Autre ridicule. Quel ordre
que le Roi fût reconnu : haine et mépris comblé d’éloges par le grand
Prêtre
qui en donne l’exemple : « … Sa mémoire est fi
e impie. Voilà donc quels vengeurs s’arment pour ta querelle, Des
Prêtres
, des enfants, ô Sagesse éternelle ! Puisse péri
esse éternelle ! Puisse périr comme eux quiconque leur ressemble.
Prêtres
saints, c’est à vous de prévenir sa rage : Il f
sonnages. On y débite les plus détestables maximes. Eh qui ? le grand
Prêtre
, qui allume le feu de la révolte et s’efforce de
la seule faveur. » La pièce elle-même fait foi que sur un mauvais
Prêtre
il y a cent mauvais laïques. A quel titre donc, p
e monde les lui inspire ? Voici des traits du beau sermon de ce grand
Prêtre
. C’est d’abord un portrait du Sénat, aussi flatte
huit ans, n’est que le spectateur du meurtre de sa mère, qu’un grand
Prêtre
, son Gouverneur, exécute sans le consulter, s’en
èges et traîtres, Qui doit couler, grands Dieux, sous le fer de vos
Prêtres
. Nos vœux sont exaucés quand l’Autel en est tei
nservateur et le protecteur des canons des conciles, a su ramener les
prêtres
par la force de sa volonté et de ses ordonnances,
u’on y célèbre encore parfois de nos jours. Dans cette solennité, les
prêtres
permettent que les diables et que toutes les divi
as seulement les fêtes, on les représentait ; le jour des rois, trois
prêtres
habillés en rois, conduits par une figure d’étoil
uites, qui étaient suivis du sieur Bazam, curé de Saint-Etienne, seul
prêtre
de toute cette troupe ; une cinquantaine d’écolie
nt assistés d’un clergé aussi licencieux. On voyait les clercs et les
prêtres
faire en cette fête un mélange affreux de folies
plaisir à manger des boudins et des saucisses sur l’autel, au nez du
prêtre
célébrant : ils jouaient à ses yeux aux cartes et
ait quatre danses dans l’église, savoir : des lévites ou diacres, des
prêtres
, des enfants ou clercs, et des sous-diacres. Il y
ice de la messe est du même genre que celui de la veille de Noël ; le
prêtre
disait à l’introït : puer natus est ; cantate evo
cri, hin, han, qui imite celui de l’âne ; et à la fin de la messe, le
prêtre
se tournant vers le peuple, au lieu de dire l’ite
de Saint-Paul et de Sainte-Madeleine, pendant les fêtes de Noël ; les
prêtres
, le jour de la Saint-Jean, les diacres et les sou
re troupe de ces danseurs était composée des diacres ; la seconde des
prêtres
, la troisième des enfants de chœur, et la quatriè
séculière était absolument nécessaire pour empêcher les moines et les
prêtres
de corrompre, par des suppositions de miracles ou
e histoire, ainsi que celle de tous les peuples chrétiens, que si les
prêtres
n’avaient pas toujours rencontré dans la sagesse
aux autres classes de la société. N’avons-nous pas vu de nos jours un
prêtre
condamné à mort par la Cour criminelle de Grenobl
atroce qu’il avait commis sur une femme de sa paroisse ? donc que les
prêtres
n’ont de sacré que leur caractère, et que, du mom
religion, et par les peuples soumis à son administration, et par les
prêtres
eux-mêmes qui peuvent s’égarer parfois dans un sy
eur quelconque. Nous allons examiner dans le chapitre suivant, si les
prêtres
qui agissent avec tant de rigueur contre des cito
les périls publics : si les hommes ne les aperçoivent pas, c’est aux
prêtres
à les instruire, et non pas à les flatter : dès l
iens, elles leur auraient été favorables : tout ce que nous sommes de
prêtres
, nous devrions imiter l’exemple des Chrysostomes
tuts Synodaux du Diocese de Troïese en 1529. « Il ne faut pas que les
Prêtres
, ni les autres Ecclesiastiques assistent aux Spec
Ecclesiastique. » Le Synode d’Orleansf en 1664. « Nous défendons aux
Prêtres
& aux autres Ecclesiastiques qui sont dans le
nsieur d’Arenton d’Alés, Evêques de Genevea : « Nous défendons à tous
Prêtres
, sous peine de suspension, d’assister à la Comédi
ce que dit ainsi le second Concile de Châlon sur Sône en 813. a « Les
Prêtres
doivent s’éloigner de tous les objets qui ne font
cese de saint Maloi en 1618. « Les Loix Ecclesiastiques défendent aux
Prêtres
d’aller en mascarades, representer aucun personna
e de Roüenc en 1245. « Comme les Ecclesiastiques, les Curez & les
Prêtres
doivent servir d’exemple aux Laïques, nous leur d
de Milon Evêque d’Orleansd en 1314. « Nous défendons expressément aux
Prêtres
d’assister aux spectacles ni aux danses. » « Du
ues, à ceux qui sont dans les Ordres sacrez, & principalement aux
Prêtres
, de sauter ni danser. » Du Synode de Sensa en 15
Diocese de S. Maloe en 1618. « Les Loix Ecclesiastiques défendent aux
Prêtres
de hanter les danses, soulles ou brelans. » Des
ine de prison. » Du Synode d’Orleansg en 1664. « Nous enjoignons aux
Prêtres
& à tous les autres Ecclesiastiques qui sont
d’Arenton d’Alez, Evêques de Genéved : « Nous faisons défense à tous
Prêtres
, sous peine de prison, de danser en quel temps, q
ours, Rheims, Châlons-sur-Saône, tenus en 813, défendent aux Evêques,
Prêtres
& autres Clercs, à peine de suspense & d’
ie scandaleuse. Je pourrois imputer ces préjugés aux déclamations des
Prêtres
, si je ne les trouvois établis chez les Romains a
ble & parfaite, plus son effet est funeste aux mœurs ». Où est le
Prêtre
, dont Rousseau voudroit badiner en passant, qui e
descendre, & par d’autres mocqueries ; & le plus souvent les
Prêtres
des Paroisses, pour avoir leurs passe-temps d’all
taient de la retrousser, et de mettre un habit modeste par-dessus. Un
Prêtre
grave présidait sur le théâtre, et se promenait d
ins dangereux que plusieurs pièces de collège. Il imitait en cela les
Prêtres
et Religieux du pays, les Talapoins, auxquels dit
même en donnent rarement. Finissons par l’exemple des Romains. Leurs
Prêtres
et leurs Prêtresses, les Vestales, qui étaient le
rarement. Finissons par l’exemple des Romains. Leurs Prêtres et leurs
Prêtresses
, les Vestales, qui étaient les Religieuses de leu
ics étaient alors des exercices de religion : est-il étonnant que les
Prêtres
et les Prêtresses y assistassent ? La même raison
rs des exercices de religion : est-il étonnant que les Prêtres et les
Prêtresses
y assistassent ? La même raison doit exclure notr
cesse de les respecter. Dieu l’avait expressément ordonné ; le Grand
Prêtre
avait seul droit d’entrer dans le Saint des Saint
és de voir cet étranger se glisser parmi eux, et parler religion. Les
Prêtres
et Prêtresses de Bacchus et de Vénus ne sont pas
cet étranger se glisser parmi eux, et parler religion. Les Prêtres et
Prêtresses
de Bacchus et de Vénus ne sont pas moins surpris
s moins surpris de trouver dans leurs temples les Lévites et le grand
Prêtre
du vrai Dieu. Mais l’Abbé auteur donne prudemment
ujet pieux. Faut-il qu’un homme si bigarré de sacré et de profane fût
Prêtre
et Religieux ! Il fut interdit par le Cardinal de
iastiques et religieux, en faisant paraître des Abbés déguisés et des
Prêtres
juifs ou Païens habillés à peu près comme les nôt
de la foire, et les Acteurs récompensés pour la jouer. Cet Abbé, tout
Prêtre
qu’il était, homme de condition et de probité, pa
t quelquefois les plus qualifiées, les Princes mêmes et les Rois, les
Prêtres
et les Religieux, qui tous pour se divertir et sa
, s’il lui plaît, auparavant, où il a vu des Rois et des Princes, des
Prêtres
et des Religieux, et enfin des personnes les plus
s qui se soient piqués de l’imiter. On a peine aussi à croire que des
Prêtres
et des Religieux aient jamais prostitué la Sainte
décisions contre les jeux : nous voyons que ce qu’il y a d’Abbés, de
Prêtres
, d’Evêques et d’Ecclésiastiques, ne font point de
ile, mais une Académie de Joueurs, « de tout ce qu’il y a d’Abbés, de
Prêtres
, d’Evêques et d’Ecclésiastiques ». S’il n’avait p
jugement bien décisif, puisque je n’y suis jamais allé ; et qu’étant
Prêtre
, et que devant l’exemple aux Fidèles, je ferais a
gement ne doit pas passer pour décisif : et il avoue de même qu’étant
Prêtre
et que devant l’exemple aux Fidèles, il n’a jamai
rupule. Il nous faut profiter de tout : il y a donc enfin au moins un
Prêtre
dans l’Eglise de Dieu qui fait scrupule d’aller à
qu’il veut être suivi : mais ce qui est de merveilleux, c’est que ce
Prêtre
est le Docteur même, qui faisait il n’y a qu’un m
ésentement scrupule d’assister à la Comédie, à cause de sa qualité de
Prêtre
qui l’oblige de donner l’exemple aux Fidèles, et
nêtes qu’il se le persuade, et dont la lecture ne convient guère à un
Prêtre
, qui doit éviter jusqu’aux lectures inutiles. Or
uche d’un Séculier, ne sont que des bagatelles ; mais dans celle d’un
Prêtre
ou d’un Religieux, ce sont des blasphèmes. Ceux d
t consacrées ni vouées au Seigneur, c’est-à-dire, qu’elles ne sont ni
Prêtres
ni Religieux ; et si cela était, il les condamner
Séculier, deviennent des blasphèmes dans celle d’un Religieux ou d’un
Prêtre
. » Mais je demanderais volontiers à notre Docteur
les qui, selon saint Bernard, sont des blasphèmes dans la bouche d’un
Prêtre
ou d’un Religieux, ne sont pas au moins des pecca
il fait consister toute cette bienséance en ce que les Religieux, les
Prêtres
, les Abbés et les Evêques, ne doivent pas y assis
ques, ne doivent pas y assister. Il ne dit pas que les Religieux, les
Prêtres
, les Abbés et les Evêques n’y assistent pas, ce q
ue le Docteur a dit plus haut, il y a aussi beaucoup de Religieux, de
Prêtres
, d’Abbés et d’Evêques qui ne font point de scrupu
l’innocence des Comédies d’aujourd’hui, parce que les Religieux, les
Prêtres
, les Abbés et les Evêques, ne font point de scrup
présentement il en prouve la bienséance, parce que les Religieux, les
Prêtres
, les Abbés et les Evêques n’y assistent pas ; et
daient amen à la fin de ces paroles corpus domini nostri, etc. que le
Prêtre
dit avant que de donner la communion ; et c’est a
ber ce reproche de Tertullien, non sur les laïques, mais sur certains
prêtres
qui n’avaient pas honte d’assister aux spectacles
otuleris, gladiatori testimonium reddere. » Je doute pourtant que les
prêtres
de ce temps-là fussent assez effrontés pour cause
e le clergé se dèshonore. Pour éluder cette loi, on fait paroître des
Prêtres
de fausse religion. On a tâché sous ce masque de
Prêtres de fausse religion. On a tâché sous ce masque de désigner les
Prêtres
catholiques ; tels sont les drames d’Ericis, d’Eu
ndale, ou plutôt il a prévenu le scandale véritable en démasquant les
Prêtres
de son temps, les Scribes & les Pharisiens, &
ilerie, son grand ami, cet homme peu fait pour être l’ami intime d’un
Prêtre
que la débauche mit au tombeau dans la fleur de s
t gueres en effet à des Prélats à les louer & à les louer dans un
Prêtre
. Ils n’ont pas eu le courage de les blâmer comme
nt dû même sentir que les éloges littéraires ne suffisent pas pour un
Prêtre
& un Abbé, ni dans la bouche des deux Prélats
ar les mains de ses Ministres. Percez la muraille, dit-elle, aux bons
Prêtres
, & aux Evêques pieux, vous y verrez des abomi
tiones ; des femmes qui pleurent la mort d’Adonis ; des Lévites, des
Prêtres
qui tournent le dos à l’Autel & encensent les
. Moliere, ce prodige, n’en a qu’une trentaine en huit Tomes. Young,
Prêtre
& Curé Anglois ; est un Ecrivain singulier da
ens de Théâtre ont toujours été réputés infâmes : et si les Rois, les
Prêtres
et les Religieux Ibid. qu’on suppose ici sur la S
condamnent-ils point les jeux de hasard ? Ou parce que des Abbés, des
Prêtres
, des Evêques, s’il en faut croire le Théologien,
bien d’assister à la Comédie, d’où vient qu’il dit de lui, « qu’étant
Prêtre
, et devant l’exemple aux Fidèles il ferait autant
particulièrement consacrés à Dieu : celles des personnes sont que des
Prêtres
ou des Religieux ne montent point sur le théâtre
n compte. Mais s’il faisait réflexion que tous les Chrétiens sont des
Prêtres
qui conjointement avec Jésus-Christ, le Prêtre ét
es Chrétiens sont des Prêtres qui conjointement avec Jésus-Christ, le
Prêtre
éternel et le Souverain Pontife des vrais biens,
ime que Dieu demande de chacun de nous. Qu’un homme quitte l’habit de
Prêtre
, ou de Religieux pour prendre celui d’un Bateleur
de Jésus-Christ, c’est l’excès de l’abomination. On sait bien que les
Prêtres
et les Religieux ont des obligations particulière
nter des Hymnes à l’honneur des Dieux ; que par complaisance pour les
Prêtres
de Bacchus, qui murmuroient tout haut qu’on eût d
s Héros & les Dieux, l’avoient connue comme lui. Les murmures des
Prêtres
de Bacchus ne tomboient point sur la Poésie de se
tile au public ? Parmi vingt malheureux emprisonnés, il fut trouvé un
prêtre
florentin, qui se mêle de faire des operas, comme
l’Abbé Pelegrin faisoit à Paris (ce qui n’est pas trop le métier d’un
prêtre
) & un musicien son disciple, qui l’aidoit à f
ux le sont en France. C’étoit donc à ce tribunal à faire le procès au
prêtre
florentin, tout au plus au Sacré Collége, comme e
lon les canons de l’Eglise, celui qui met sans pouvoir la main sur un
prêtre
, encourt ipso facto l’excommunication majeure rés
capucins & les oratoriens entrerent dans ce pieux complot. Trois
prêtres
de l’Oratoire de Saint Philippe de Neri, couverts
cieux & de plus séduisant pour se faire aimer des hommes. Et moi,
Prêtre
, moi, Evêque, quel soin prens-je de mon ame pour
lés, qui marchoient nuds pieds & nue tête, sont masqués comme des
prêtres
élégans. Une étoffe fine & d’une couleur bril
s ses Sentences Cléricales, en a fait un long chapitre sous le nom de
Prêtres
déguisés. L’habit Ecclésiastique est déterminé pa
quelques traits de cet homme singulier, d’une sainteté éminente. Les
Prêtres
qui se mettent en habit de cour & chevelure,
autres traits de ce caractère. Mais c’en est assez pour connoître ce
saint Prêtre
, qui dans son style familier disoit de très-bonne
lanètes de Vénus & de Mars. C’étoit l’habit de cérémonie de leurs
Prêtres
& Prêtresses. Les statues de ces Divinités ét
us & de Mars. C’étoit l’habit de cérémonie de leurs Prêtres &
Prêtresses
. Les statues de ces Divinités étoient ainsi dégui
& fœmina. Macrob. Saturn. L. 3. C. 8. Pour les représenter, leurs
Prêtres
jouoient ce double rôle d’homme & de femme pa
lâcheté. Julius Firmitus, de profan. Religion. errorib. p. 6. dit des
Prêtres
efféminés de Vénus ; ils dégradent leur sexe par
le Parnasse & l’Olympe ; on avoit habillé plusieurs personnes en
prêtres
& prétresses de différents Dieux, dont chacun
tes, une multitude d’Anglois, de Prussiens, de Russes ; un collége de
Prêtres
& de Prétresses d’Apollon : il paroissoit con
& de Prétresses d’Apollon : il paroissoit convenable que le grand
Prêtre
de ce Dieu, à la tête de tout, eût fait les honne
pour être malade ; je vais pourtant me secouer, & écrire au grand
Prêtre
& à la grande Pretresse. Du même, à l’Aute
lle maison le grand Voltaire doit sa gloire ; il n’a paru aucun grand
Prêtre
à la cérémonie, à qui donc Voltaire écrit-il sous
rs du génie, & les lys de la virginité l’ont couvert : cette même
Prêtresse
, dont la maison est le temple de la gloire, &
t-il de cœur qui ne leur rende un religieux hommage ? Elles ont leurs
Prêtres
et leurs Prêtresses qui entretiennent leur culte
ne leur rende un religieux hommage ? Elles ont leurs Prêtres et leurs
Prêtresses
qui entretiennent leur culte avec le plus grand z
tion : elle n'est interrompue que pour entrer dans les sentiments des
Prêtres
et des Prêtresses, rire ou pleurer avec eux. Il s
st interrompue que pour entrer dans les sentiments des Prêtres et des
Prêtresses
, rire ou pleurer avec eux. Il s'en faut bien que
des, et publiques à la porte, et particulières dans les chapelles des
Prêtresses
, les pensions, etc. qui peut les apprécier ? Ce C
s est l'île de Paphos, le théâtre en est le temple, on en connaît les
Prêtresses
. Les horreurs du théâtre Anglais sont assorties a
Edition, augmentée de plus de la moitié Par le R. P. Pierre Le Brun,
Prêtre
de l'Oratoire. A PARIS, Chez la Veuve Delaune, ru
se universelle. Je pourrais imputer ces préjugés aux déclamations des
prêtres
, si je ne les trouvais établis chez les Romains a
tre raison manque hors celle qui se tire de la nature des choses. Les
prêtres
païens, plus favorables que contraires à des spec
ans son origine, d’abord ces acteurs furent regardés plutôt comme des
prêtres
que comme des baladins. 3°. Tous les sujets des p
mœurs, mais contre la vrai-semblante. Depuis dix ans Religieux &
Prêtre
estime pour ses lumieres & ses vertus, appelé
çon, que de louer comme une conversion parfaite dans un Religieux, un
Prêtre
, ce tas d’impiétés & d’extravagances ? Le rôl
t toi dont j’adorois l’image. J’ai voulte t’enlever. Un Religieux, un
Prêtre
, si scélérat, si hyppocrite, qui parle ainsi à de
me dans l’Œdipe de Voltaire (on pourroit en citer mille autres) : Les
Prêtres
ne sont pas ce qu’un vain peuple pense ; notre cr
termes de la religion pour son intérêt, & que (dans l’Œdipe) les
Prêtres
de Jocaste soient reconnus pour des imposteurs, c
des plus célèbres Théologiens et Canonistes. Par Messire Jean Pontas,
Prêtre
, Docteur en Droit-Canon de la Faculte de Paris, e
s efficace, fut d’établir à Jérusalem les spectacles de la Grèce. Les
Prêtres
eux-mêmes, dit l’Ecriture, abandonnèrent le soin
èrent les sacrifices, pour aller prendre part aux jeux que leur Grand
Prêtre
faisait représenter sur la place. On croit répond
pensé que les mystères pussent être des amusemens. Dans l’Afrique les
Prêtres
firent moins de mal que par-tout ailleurs, parce
leurs, parce qu’ils intriguoient moins & dansoient davantage. Les
Prêtres
font donc du mal par-tout, par-tout ils sont intr
Eglise. C’étoient des foux ou des enfans qui faisoient ces fêtes. Les
Prêtres
ou les Religieux imbécilles qui se prêtoient à ce
aroissent jamais, & les laïques ne s’y mêlent point ; ce sont des
Prêtres
& les Dervis, leurs Religieux, qui dansent à
er beaucoup une Dame, nous allons entendre l’oracle, dit-il, voilà la
Prêtresse
en fureur sur le trépied. Ayant une fois dansé pa
, nous faisons éclater notre indignation, et notre impatience : Si le
Prêtre
fait des prières un peu longues, nous sommes sans
sure céleste. Il la prend pour un présent du ciel, & consulte les
Prêtres
de Memphis pour savoir à quelle divinité bienfais
pas bien dévot sur les autels, sur les missels, sur les ornemens des
Prêtres
; & quand la Papesse Elisabeth faisoit de l’E
re, communément sale, sur tout à la campagne, & parmi les pauvres
Prêtres
. Il falloit en changer à la Sacristie, où l’on en
changer. Ils ont tourné en dignité ce qui pour eux est superflu. Les
Prêtres
pourroient sans difficulté en changer à la Sacris
de Milan ; mais se faire chausser en cérémonie devant le public, les
Prêtres
ne le pouvoient pas, ni même les Evêques. Ils se
des aumônes, etc. »p. 57. Réponse. Est-ce un Religieux, est-ce un
Prêtre
et un Professeur en Théologie, qui parle et qui n
feu, comme nous dit l’Evangile. Ils peuvent donc bien surprendre les
Prêtres
(qui ne les connaissent pas pour tels qu’ils sont
tion modérée. » O aveuglement déplorable ! ô illusion grossière ; un
Prêtre
, un Religieux, un Professeur en Théologie, croit
te qu’est la Comédie. » O la jolie pensée ! peut-on s’imaginer qu’un
Prêtre
ait pu croire que Dieu ait institué le Dimanche,
e n’est pas permise aux Chrétiens. SalvienSalv. l. 6. Prov. ce savant
Prêtre
de Marseille, dont j’ai déjà parlé ci-devant, con
cesser de fréquenter la Comédie et l'Opéra, et Nous défendons à tous
Prêtres
, Bénéficiers, et ecclesiastiques de ce Diocèse, o
ront. Ces cas ne sont pas moins singuliers que le rôle qu’il joue. Un
Prêtre
ayant fait des propositions déshonnêtes à une Dam
1. On voit à nos promenades & autres lieux publics deux sortes de
Prêtresses
de Vénus, les filles entretenues, & celles qu
nt pas le fruit d’un bon arbre. C’est l’ennemi déclaré du célibat des
Prêtres
& des Moines, ou plutôt de toute continence.
’Eglise appelle œuvre de miséricorde d’épouser une fille déréglée. Un
Prêtre
au mariage de son frère, fut interdit par son Evê
art faux ou malignement défigurés, contre les Papes, les Evêques, les
Prêtres
, les Moines, & contre tous les Princes &
é des Ministres de la religion n’est qu’usurpation. Tom. 1. P. 4. Les
Prêtres
Gaulois (c’est-à-dire François) userent avec tant
utorité sous le despotisme de la superstition. Les Gaulois sous leurs
Prêtres
furent subjugués par les Romains ; César dût ses
uite, les rois catholiques, et chrétiens : d’autre part les Turcs, le
prêtre
Jeanp, les mécréants et hérétiques. Au dessous ét
en fonction de l’importance du rôle joué par leur enfant. p. [NDE]
Prêtre
Jean = figure mythique, roi d’un hypothétique roy
re à Aix qui n’est pas moins indigne de Chrétiens, de Religieux et de
Prêtres
. Si vous aviez consulté vos Pères de Paris, on ne
on s’est servi de la confession pour attester son innocence. C’est un
Prêtre
, c’est un Confesseur qu’on introduit pour nous as
t qu’un l’athée n’en veut aucun, Julien les adoroit tous, étoit grand
prêtre
de Jupiter, en faisoit les fonctions, & fit t
ongue barbe, vêtement grossier, abstinence, proposant pour modèle aux
prêtres
des idoles la régularité du clergé chrétien. Il f
’église, où il se fait dresser un trône plus élevé que les siéges des
prêtres
, d’où il prononce des oracles & des sentences
nce des Lettres en Europe, les Comédiens, toujours contredits par les
Prêtres
, tour-à-tour tolérés & chassés par les Gouver
nels, ni aux combats sacrés ; vous avez en horreur les viandes où les
prêtres
ont touché, et le vin qu’on a emporté des Autels.
s préside au conseil, Mars à la guerre, les Lares aux assemblées. Les
prêtres
publics y célèbrent des sacrifices le 7. de Juill
res publics y célèbrent des sacrifices le 7. de Juillet ; et le grand
prêtre
du mont Quirinal avec les vestales en offre le 21
s précèdent, accompagnent, terminent ces jeux : que d’augures, que de
prêtres
, que d’Officiers sont en mouvement ! J’en prends
pas médiocrement fait réussir les affaires de ceux dont elle était la
prêtresse
; je veux dire des démons, et de leurs ministres.
s couronnes profanes dont on y récompense les vainqueurs : témoin les
prêtres
qui y président : témoin les ministres qui y sont
veux dire, à celui des questeurs, des magistrats, des pontifes et des
prêtres
, il faut avouer, que si ces dignités ont du rappo
royez-vous fort agréable au ciel, lorsque couronné de fleurs comme un
prêtre
des gentils, ou couvert d’un vêtement aussi bigar
Le Dieu le fit conduire au Temple de Delphes, où il fut élevé par la
Prêtresse
, & mis au rang des Ministres du Temple. Cepen
instant qu’ils forment ensemble le Dialogue que je vais rapporter. La
Prêtresse
découvre par la suite le mistère, en montrant par
divertissement de la Comedie ; lors qu’il sçait que Salvien ce grand
Prêtre
de Marseille se servît de toute son eloquence à f
eur intention, & d’y assister à la Chrêtienne ; cependant le zelé
Prêtre
les traita encore comme des Apostats de la Foi :
ouvernement de l’Etat, et l’existence des citoyens, que le nombre des
prêtres
est tellement considérable, qu’ils forment, à eux
CHAPITRE IX. Sentiments de Tertullien. Tertullien,
Prêtre
de Carthage, serait un des plus grands hommes qu'
i d'idoles, de tableaux, de chariots, de couronnes, de sacrifices, de
Prêtres
, d'Augures, dans cette grande ville où les Démons
er, les Pythiens à Apollon, etc. les couronnes qu'on y distribue, les
Prêtres
qui y président, les victimes qu'on y immole, les
cause tant de troubles, excite tant de fureurs, qui couronné comme un
Prêtre
d'idoles, bigarré comme un Marchand d'esclaves, s
omédie, s’est servi mal à propos du nom ou du moins des qualités d’un
Prêtre
et d’un Religieux tel que le R. P. Caffaro. Je s
té infâme, tant de rois, tant de princes, tant de magistrats, tant de
prêtres
, tant de religieux qui l’ont jouée, ou qui la jou
eur, ou à la rigueur de l’opinion, mais uniquement à la vérité. » Un
prêtre
, un religieux, qui entreprend de laver le théâtre
ques, au contraire, ont toujours beaucoup aimé la comédie. Combien de
prêtres
eux-mêmes ont-ils travaillé pour elle ? Léon X es
ens te reproduire à nos yeux, Viens confondre Rome Chrétienne, Et ses
Prêtres
ambitieux, Du sein de la vertu féconde, Oppose ce
u sein de la vertu féconde, Oppose ces vainqueurs du monde A tous ces
Prêtres
imposteurs, A tous ces frauduleux Pontifes, Qui s
l homme de tout temps fut le jouet honteux Des grossieres erreurs des
Prêtres
frauduleux. Lisbonne & Archangel sont Chréti
omme, & qui n’ait été le jouet honteux des grossieres erreurs des
Prêtres
frauduleux . Avec de tels sentimens on est fait p
des volontés de Dieu de la bouche de leur Evêque, qu’ils demandent au
Prêtre
les avis nécessaires pour parvenir un jour à l’ét
s de la discipline de l’Eglise, et afin que ce que les Prélats et les
Prêtres
ne pourront pas gagner sur les peuples par la for
mage éternel de la reconnaissance publique. En rendant à l’église ses
prêtres
et ses lévites, il a rendu à la patrie ses défens
monde, et que l’éternité n’est qu’une invention due au fanatisme des
prêtres
, comme à la politique des souverains ! Je sais qu
rbarie1. Quelle haine ne devait pas naturellement inspirer contre les
prêtres
cette vive apostrophe que fait Montalban, à la ci
ers s’allument, Qu’on livre la victime aux feux qui la consument. Des
prêtres
ont ouvert ces horribles tombeaux ; L’encensoir e
scènes précédentes, établit ainsi le vrai caractère qui distingue le
prêtre
digne de ce nom, du misérable fanatique qui le dé
avé répète : « Barbare ! de quel nom faut-il que je te nomme ! Toi,
prêtre
, toi braminer ! et tu n’es pas même homme ! La do
ique au théâtre français. Le langage du fanatisme dans la bouche d’un
prêtre
voué au culte des idoles, n’était pas assez fort
De l’immortelle église humble et docile enfant Et créé par ses mains
prêtre
du Dieu vivant, Je puis interpréter ses volontés
imes du Saint-Siège ont produit l’hérésie : L’évangile a-t-il dit ? «
Prêtres
, écoutez-moi, Soyez intéressés, soyez cruels, san
, soyez cruels, sans foi, Soyez ambitieux ; soyez rois sur la terre ;
Prêtres
d’un Dieu de paix, ne prêchez que la guerre ; Arm
» S’ils s’étaient écartés de cette loi, ce n’était donc plus comme
prêtres
et comme attachés à l’Evangile, dont ils auraient
dirais des choses effroyables. »Liv. 24, chap. 2. Qu’importait aux
prêtres
catholiques que dans les siècles d’ignorance ou d
enne, et ne pouvaient influer, après tant de siècles révolus, sur des
prêtres
innocents et étrangers à toutes ces intrigues du
ant que celui qui veut l’être ; L’erreur avait fondé la puissance du
prêtre
; Mais sur l’homme crédule un empire usurpé Doit
, tragédie de M. Le Mierre (1770). r. NDE Ou brahmane. Nom donné aux
prêtres
formant la première des quatre grandes castes che
se fait Moine & devient Directeur ; dans l’autre le père se fait
Prêtre
& devient Supérieur du Couvent, ailleurs la m
nt & injuste, fait entrer dans l’Église un cadet qui sera mauvais
Prêtre
, dans le service un débauché. Il y a cent fois pl
e amère du Pape & de la constitution, des Évêques, des Abbés, des
Prêtres
, des Jesuites, des Religieux & Religieuses, u
er, passe la nuit seule avec lui, contre les règles de la décence. Le
Prêtre
qui a perdu toute espérance de la convertir, se r
ent, d’une manière indécente : langage surprenant dans la bouche d’un
Prêtre
. Il ne parle ni en Prêtre, ni en Théologien, ni e
te : langage surprenant dans la bouche d’un Prêtre. Il ne parle ni en
Prêtre
, ni en Théologien, ni en Curé ; il défend le vice
, contente d’avoir insulté son mari, décrié les Religieuses & les
Prêtres
, après tant de bruit se rend avec le plus de lâch
t quelquefois les plus qualifiées, les Princes mêmes et les Rois, les
Prêtres
et les Religieux, qui tous pour se divertir, et s
s décisions contre les Jeux. Nous voyons que ce qu’il y a d’Abbés, de
Prêtres
, d’Evêques et d’Ecclésiastiques, ne font point de
n jugement bien décisif, puisque je n’y suis jamais allé, et qu’étant
Prêtre
et devant l’exemple aux fidèles, je ferais autant
eté des lieux consacrés à la sainteté même. Il était beau de voir les
Prêtres
, les Diacres et les Ministres des Autels représen
12 cit. I. cum decorem domus Dei. du Saint Siège, qui défendait aux
Prêtres
, Diacres, etc. de se plus émanciper à représenter
ouche d’un Séculier ne sont que des bagatelles, mais, dans celle d’un
Prêtre
ou d’un Religieux, ce sont des blasphèmes.w. » C
és au baptême par des personnes de haute naissance, et l’un d’eux fut
prêtre
habitué à Saint-Sauveur. Floridor quitta le théât
t traitée qu’avec indécence. Les dieux, les autels, les prodiges, les
prêtres
n’y paraissent que pour être la matière d’un indi
ce temple. Elle fut refusée par sa propre sœur, qui en étoit une des
Prêtresses
. Choquée peut-être de cette mésalliance, elle fut
degradé la vertu Romaine, on fut moins délicat dans la reception des
Prêtresses
de la pudicité. Les Poëtes s’en moquent ; & P
r sacerdoce. Elles devoient être & demeurer toujours vierges. Les
Prêtresses
de la pudicité étoient libres, pouvoient être mar
pourtant pas moins d’honneur à leur sexe que les Vestales, & les
Prêtresses
de la Pudicité. Les Philosophes Romains n’en fure
amp;c. le leur rappellent à chaque instant. Leurs amans même sont les
Prêtres
impies qui les immolent. Elles arment leur main,
gistrature est une sorte de sacerdoce, et chez plusieurs nations, les
Prêtres
étaient les juges nés de tous les différends. Il
’Opéra. Il y a sept à huit mois qu’étant dans ma loge à m’habiller en
Prêtresse
de Diane, un jeune Abbé vint m’y trouver, et sans
, et eux-mêmes les premiers ; les lois ne les appellent-elles pas les
Prêtres
de la justice, justitiæ Antistites ? Le Préfet du
utions latines imprimées à Ferrare, avec la Critique ; Par M. Collet,
Prêtre
de la Congrégation de la Mission et Docteur en Th
rûler sur l’autel de notre cœur, et dont chaque chrétien doit être le
prêtre
, comment ne s’éteindrait-il pas dans des lieux où
la Chapelle de S. Medard) ni celui qui couronne la Rosiere (c’est un
Prêtre
, non le Seigneur). Les choses saintes sont si étr
cérémonie est la chapelle de S. Medard, celui qui la couronne est un
Prêtre
qu’on n’ose nommer), ensuite on forme un bal cha
illage, se rend à l’Eglise, se met à genoux, fait sa priere, & le
Prêtre
, après un petit discours, bénit la couronne &
Medard voulut que la Rosiere allât recevoir à l’église, de la main du
Prêtre
, cette couronne glorieuse, avec la bénédiction, a
elque chose de plus propre pour le Théâtre. Mais il me semble que les
Prêtres
ne manqueraient pas de crier contre la profanatio
nt voulu descendre, et par d’autres moqueries. Et le plus souvent les
Prêtres
des Paroisses pour avoir leur passe-temps d’aller
le doigt de Dieu se manifeste davantage. Il n’y veut employer que ses
Prêtres
& ses Levites dont il a redoublé le nombre, &
et, sans attendre Abner. Il découvre à Joas ce qu’il est, appelle les
Prêtres
, leur montre leur Roi, & leur fait prêter ser
s par l’Ecriture Sainte. Mathan n’est point un Personnage épisodique.
Prêtre
du Dieu d’Athalie, il est aussi le Ministre &
ouvrage. Il ne voit plus pour le secourir que des Enfans & des
Prêtres
, il en remercie Dieu, Voilà donc quels vengeur
ie Dieu, Voilà donc quels vengeurs s’arment pour ta querelle Des
Prêtres
, des Enfans ! Quand on va ouvrir les portes du
scénes ni les actes. En Egypte, & chez bien d’autres peuples, les
Prêtres
étoient chargés de tenir un régistre fidele des a
bien, Mes Pères, n’être point des Ecoliers, mais des Religieux et des
Prêtres
, pouvaient-ils être plus follement idolâtres, au
occasions qui y engagent. Si les mondains ne les aperçoivent pas, les
Prêtres
les doivent instruire. Malheur à ceux qui les fla
au c. 38. Il n’est pas bien séant, et il ne faut pas que les yeux des
Prêtres
du Seigneur soient souillés par de semblables spe
ffaro se plaignit. Tout le monde fut dans la derniere surprise, qu’un
Prêtre
, un Religieux recommandable par son zéle, sa scie
acontés même avec horreur. La confession de certains péchés faite aux
Prêtres
, la découverte de ses blessures, de ses infirmité
ommément pour Auguste, sa vraie divinité, où il établir un college de
Prêtres
, pour lui offrir des sacrifices. Ce Prince faisoi
du Judaisme, l’impiété d’élever un temple à Auguste, d’y établir des
prêtres
, d’y faire offrir des sacrifices, & célébrer
st le temple du Démon, ce sont ses fêtes & son culte, ce sont ses
Prêtres
& ses Prêtresses, & tous ses dévôts, ses
mon, ce sont ses fêtes & son culte, ce sont ses Prêtres & ses
Prêtresses
, & tous ses dévôts, ses sectateurs & ses
e ; jamais autel n’a été paré avec autant de soin que sa tête, jamais
Prêtre
n’a montré plus de zèle que la femme de chambre &
la Forteresse où le mariage devoit être béni par le plus petit Papa (
Prêtre
Grec) qu’on avoit pu trouver dans l’Empire : un M
puisa toutes les autres ; que dans toutes les anciennes religions les
prêtres
furent danseurs par état, parce que la danse étoi
ni celle des Juifs qui l’a suivie, n’ont eu des danses sacrées ni des
prêtres
danseurs, Adam, Abel, Caïn, Henoch, Noé, Abraham,
du tout. Dans le nombre infinis de cérémonies prescrites à Aaron, aux
prêtres
, aux lévites, on chercheroit vainement la danse,
n’étoit pas prescrite par la loi ; David, qui dansa seul, n’étoit pas
prêtre
& danseur par état : n’eût-il pas dansé, le c
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