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1 (1607) Prologue de La Porte, Comédien
[TITRE] Prologue de La Porte Comedien prononcé à Bourges, le neuf de Septembre
ront-ils, honorables exactions, et non pas de mendier cinq sols à une porte . Leurs effets sont donc tellement répugnants à le
s légèrement pour faciliter la lecture. b. [NDE] En bon orateur, La Porte pratique l’excusatio propter debilitatem, figure
m Antonius Artesius est une mauvaise lecture : dans l’opuscule que La Porte suit (voir infra, n. 25), la référence est présen
(p. 9) qui signifie « Antoninus Archiepiscopus Florentinus » mais La Porte invente un nom propre (Artesius, ou Artephius, es
e « Histrio ». L’ouvrage est dédié au cardinal Cajetan. y. [NDE] La Porte tire cette science d’un recueil publié sous diffé
C’est Michaël Desprez qui a signalé ce recueil comme la source de La Porte dans « Un témoignage de la première querelle du t
nage de la première querelle du théâtre en France – Le Prologue de La Porte , comédien, à Bourges, contre les Jésuites (9 sept
rôle le demande), comme ils le font sur cette scène de théâtre où La Porte parle : tirer l’épée est un privilège de la noble
E] Outrages, injures (latin contumelia). ar. [NDE] Concrètement. La Porte passe à la menace voilée : les comédiens sauront
2 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217
mais queue n’a embelli de visage. Que dans les pays chauds un esclave porte un parasol contre les ardeurs du soleil, un évent
’air, ces services ont leur utilité ; mais à quoi sert un poliçon qui porte un morceau d’étoffe derriere son maître ? Il est
, si on la laisse traîner, à moins d’entretenir un caudataire, qui la porte , & suive son maître comme une ombre, le gêne,
es, vers l’isle d’Amboise, un petit poisson bleu très-joli aussi, qui porte le même nom, parce que tous les deux sont éveillé
ans une scene : Allons petit garçon, qu’on prenne ma queue, qu’on la porte noblement & avec esprit, sans quoi vous aurez
rté pendant plusieurs années Ils leur donnoient un volume énorme. Les portes des chambres étoient trop étroites, il falloit en
tion élégante du Clergé se pique de suivre ces beaux modeles. Elle ne porte qu’à regret la soutane dans les cérémonies, encor
les égale aux Empereurs, ont pris les ornemens Impériaux. Le Pape le porte , non comme Pontife, mais comme Souverain dans ses
blement, & quelquefois un troisieme au milieu, comme chez nous se porte un drap mortuaire aux funérailles. Cette grande p
anciens gueriers des crêtes, des plumes, des griffes, des queues ; ne porte-t -on pas encore des plumes autour du chapeau, &
ions du monde. De Constantinople à Pekin, pas une queue, quoique tout porte l’habit long ; & chez les Catholiques d’Europ
bit long ; & chez les Catholiques d’Europe, quoique tout le monde porte l’habit court, tout ce qui prélatise allonge sa g
dans le lieu saint, quand le saint Sacrement est exposé, quand on le porte en procession ? La queue levée est d’étiquette. L
3 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340
tre des Israélites, revêtu du pectoral et de la tiare ; un autre Juif porte le veau d’or, et un camarade fait sauter en l’air
estement habillé ; il a nombre de petits grelots aux jarretières ; il porte une épée nue à la main, au bout de laquelle il y
leur jeu devant l’image de la Vierge, qui est au milieu de la grande porte de l’église. » Ici le clergé avouera bien qu’il
est fort ensanglanté ; il est courbé sous le poids de la croix qu’il porte . S. Pierre est caractérisé par les clefs du parad
en toile blanche ; ses deux bras sont étendus en croix. Le bras droit porte la figure d’un Jésus, attachée par-dessus ; le to
les abbés de même façon, qui ont été élus les années précédentes ; il porte à la main un très gros et très beau bouquet. Il a
7. La basoche ; elle entre ainsi que l’abbé de la ville par la grande porte de l’église et celle du chœur. « Les bâtonniers,
es tambours et symphonie, elle borde la haie au parlement, jusqu’à la porte du chœur, après quoi elle se retire ; « 38. Le pr
concile d’Augsbourg dans son dix-neuvième règlement de l’année 1548, porte qu’on retranchera des processions, tout ce qui es
la dévotion. Le concile tenu in trullo, (à Constantinople) l’an 692, porte , dans son soixante-deuxième canon, que les danses
cts ? un portefaix ; A quel objet servent cette croix et celui qui la porte  ? à être en butte à la tourmente d’une autre foul
une telle infraction du respect dû aux choses saintes, en ouvrant les portes de la cathédrale de S. Vincent, de la collégiale
le 4 août à six heures du matin. On étendait à cette heure, devant la porte du maître de la confrérie de l’Assomption, une gr
chœur de Saint-Jacques portant chacun un cierge, et se rendaient à la porte du maître en exercice, en chantant des hymnes, et
s magistrats de la ville. Les apôtres dînaient dans la rue, devant la porte du maître : vraisemblablement pour désigner que S
mblablement pour désigner que Saint Pierre avait pleuré sa faute à la porte de Caïphe ; et que les autres Apôtres avaient aba
urs qui pour la garder y avaient leur logement ; ils s’emparèrent des portes et des clefs pendant les quatre jours de la cérém
en a même qui vont faire briller leur adresse aux côtés du prélat qui porte le Saint-Sacrement. La procession de la Fête-Dieu
able la fraîcheur et les agréments de la jeunesse. Derrière elles, on porte en cérémonie, sur un brancard, une jeune et belle
, une jeune et belle fille, remarquable par son éclatante parure, qui porte en main un sceptre, et sur la tête une couronne r
rsité de Paris écrivit aux prélats et aux églises de France, en 1444, porte que dans le temps même de la célébration de l’off
les ecclésiastiques créaient tous les ans sur un théâtre dressé à la porte de l’église (un théâtre dressé a la porte de l’ég
sur un théâtre dressé à la porte de l’église (un théâtre dressé a la porte de l’église ! n’est-ce pas compléter tout à fait
des vêpres, le clergé se rendait processionnellement à la principale porte de l’église, et deux chantres à grosse voix chant
art. A Beauvais, le 14 janvier, l’âne portait sur son dos, jusqu’à la porte , une jeune et jolie fille, qui figurait la vierge
s Hé, sire âne, hé ! » Voici ce beau fils aux grandes oreilles, qui porte le joug ; âne superbe, et seigneur des ânes. Hé,
s, précédé d’une clochette, dans le palais épiscopal, dont toutes les portes s’ouvraient à son arrivée, soit que l’évêque véri
ants de notre redoutable dame et mère, attendu la qualité d’homme que porte ledit seigneur, laquelle est toujours accompagnée
4 (1846) Histoire pittoresque des passions « RELIGION » pp. 158-163
cause, et on ne recherche plus l’exercice de la sainte vertu qui nous porte à faire le bien, pour s’appliquer à fuir les moye
e richesses, d’honneurs et de vénération servile ; l’égoïsme, qui les porte à tout faire pour eux-mêmes et à ne rien rapporte
évots. » Et chacun sait, de notre temps encore, jusqu’a quel point on porte ces abus et cette usure. L’on pourrait ajouter qu
LITESSE. c. [NDE] Le nuit de sa mort, Pier Soderini se présenta à la porte de l’Enfer ; mais Pluton lui cria, Comment, l’Enf
5 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXIV. Conséquences de la doctrine précédente. » pp. 136-137
mélie VI”]. : c’est pour vous qu’il renonce à la dignité du nom qu’il porte : « ôtez les auditeurs, vous ôterez les acteurs17.
est si beau « d’être plaisant sur un théâtre, que n’ouvrez-vous cette porte aux gens libres ? » Nous dirions maintenant aux h
6 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [G] » pp. 408-415
s de Machines dans leurs Théâtres : outre celles qui étaient sous les portes des retours pour introduire d’un côté les Dieux d
s cordes, des roues & des contrepoids. Celles qui étaient sur les portes des retours, étaient des machines tournantes sur
dire en tournant toutes les dix sur cinq pivots placés sous les trois portes de la Scène, & dans les deux angles de ses re
héâtre a peu d’étendue, & n’offre qu’un édifice mesquin, dont les portes ressemblent parmi nous, aux portes d’une prison,
re qu’un édifice mesquin, dont les portes ressemblent parmi nous, aux portes d’une prison, devant laquelle on a mis des Gardes
7 (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30
Chevalier Dubois, colonel du guet, demeurait rue Mêléed et avait une porte de sortie sur le boulevard, vis-à-vis le coin de
mité duquel fut bâti le corps de garde qui existe au carrefour appelé porte du Temple, pour rassembler son régiment, distribu
ait sur le boulevard Neuf, que je vis une voiture s’arrêter devant la porte et en descendre une jeune élégante, accompagnée p
n arrivant par celui des Filles du Calvaire. Installé vis-à-vis, à la porte d’un modeste cabinet littéraire, je considérais l
cérone, et j’arrivai devant l’ancien Opéra, aujourd’hui théâtre de la Porte Saint-Martin. Il y avait affluence, comme dans ma
1. [NDA] Vaudeville grivois des Variétés. 2. [NDA] Mélodrame de la Porte Saint-Martin. 3. [NDA] Vaudeville de la Gaîté.
Saint-Martin. 3. [NDA] Vaudeville de la Gaîté. 4. [NDA] Drame de Porte Saint-Martin, espèce de suite de la Paméla de Fra
teau. 5. [NDA] Vaudeville des Variétés. 6. [NDA] Vaudeville de la Porte Saint-Martin. 7. [NDA] Pantomime de la Gaîté.
de la Gaîté. 8. [NDA] Opéra de Feydeau. 9. [NDA] Mélodrame de la Porte Saint-Martin. 10. [NDA] Mélodrame de la Gaîté.
age, mélodrame de la Gaîté. 12. [NDA] Marie Stuart, mélodrame de la Porte Saint-Martin. 13. [NDA] Petit ouvrage du vieux
8 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VIII. Comédie du Tartuffe. » pp. 161-179
& de condition, comme on le dit : Des carosses sans cesse à la porte plantés. Les cent plus beaux louis de ce qui me
Les cent plus beaux louis de ce qui me demeure. Mon carosse à la porte , avec mille louis. Des gens de cet état ne se
toute sûreté, dire qu’on se rend, qu’on lui accorde tout, fermer les portes , regarder de tous côtés pour commettre l’adultère
r dans une famille composée de gens sages & vertueux. 9.° Moliere porte la maladresse jusqu’à joindre à tous les traits q
Il faut que je consente à vous tout accorder. Si ce consentement porte en soi quelque offense, Tant pis pour qui me fo
ntredit un moment après : De vos biens désormais il est maître. Orgon porte à Marianne un contrat de mariage tout passé sans
sans elle, comme si on pouvoit la marier sans qu’elle y soit : Je porte ici de quoi vous faire rire (le contrat). Appar
, on y fait descendre Tartuffe ; cependant Elmire veut qu’il ouvre la porte , pour voir si son mari n’est pas dans la galerie.
9 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Réfléxions sur le plaisir qu’on ressent à la représentation d’un Poème comique, & sur la douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. » pp. 113-123
e qu’on a tout-à-coup de ses vices ; ce n’est qu’insensiblement qu’il porte la lumière dans notre cœur ; il nous corrige par
farces des baladins. D’ailleurs, la conviction de notre misère, nous porte à rechercher les amusemens, afin de nous distrair
ous en donne. Les grandes vertus sont aussi de son ressort. Elle nous porte à les admirer, à frémir des malheurs qui les acca
10 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIV. La comédie considérée dans ses Spectateurs. » pp. 30-33
précepte du Sage qui leur prescrit de fuir les femmes dont la parure porte à la licence, qui enlévent les cœurs des jeunes g
st ce qui donne le vif & le piquant au Spectacle ; c’est ce qui y porte avec tant d’ardeur. Or quelles sont les passions
11 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIII. De l’éducation des jeunes Poëtes, de leurs talents & de leurs sociétés. » pp. 204-218
perdu de son ancien éclat. Mais il me semble que ce jugement qu’on en porte est bien peu refléchi. Dans quel tems a-t-elle le
portion d’hommes qui fait leur état. « Ouvrez, Comédiens, ouvrez vos portes & vos Théatres à ces essains de jeunes athlét
» N’est-il pas ridicule que des Auteurs se presentent vingt fois à la porte d’un Comédien ? S’il est humiliant à ceux qui fon
12 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
it-elle ouvrir le sanctuaire et livrer les choses saintes à celui qui porte sur le front la tache légale du déshonneur ? sa s
Cette délicatesse d’un Clergé si respectable lui fait honneur, on la porte jusqu’à ne pas recevoir le pain béni de la main d
de dignité à prononcer contre eux ; mais elle peut leur en fermer les portes , elle peut les priver des sacrements. Nous venons
alibus lusis dat operam, desistat vel rejiciatur. » (L. 8. C. 38.) On porte la sévérité jusqu’à exclure les Cochers, les Dans
ause, par la qualité des parties (Comédiens). On sait à quel excès on porte tous les jours la révolte contre des lois si sage
du mariage, si elles n’ont été observées. Une autre condition qui ne porte pas sur la validité, c’est un renoncement sincère
assez indifférente : les Imprimeurs font afficher tous les jours à la porte de la Comédie, aussi bien qu’aux portes de l’Arch
13 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
ont peut-être qu’assoupis, ou dont les germes, que tout homme bien né porte au dedans de lui-même, sont toujours prêts à éclo
cette malheureuse passion, sous la forme que lui donnent les Poètes, porte très rarement les hommes à la vertu ; et qu’au co
rte très rarement les hommes à la vertu ; et qu’au contraire elle les porte presque toujours au vice. Les meurtres, les usurp
14 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre I. De la Pudeur. » pp. 4-35
t-être de cette mésalliance, elle fut la premiere à lui en fermer les portes . Ce refus fit grand bruit. Virginie eut beau se p
intérêts dans sa conduite auprès du sexe ! mais la passion aveugle se porte à elle-même le coup mortel. Il avance ailleurs un
n prend au théatre le ton & l’habitude de la fatuité, & on la porte par-tout. Le parterre est un vrai despote. Ses ju
u’à lui plaire, & mendient bassement son suffrage. Il achête à la porte le droit de prononcer, & il l’a toujours fait
oquentes ! quels peintres ! que d’accusateurs ou de panégyristes ? Je porte mon cœur sur la main. C’est une espece de proverb
ur sur la main. C’est une espece de proverbe. Il ne dit pas assez. Je porte mon cœur sur mon visage, sur toute ma personne ;
ssez. Je porte mon cœur sur mon visage, sur toute ma personne ; je le porte sur mon rouge ; le rouge peint mon cœur plus que
id, pour avoir besoin de tant d’embellissemens. C’est le jugement que porte d’elle-même à sa toilette une femme qui se farde.
tables, si la chair qui se revolte contre l’esprit ne leur ouvroit la porte , & ne leur prêtoit des armes. L’ennemi le plu
15 (1768) Des Grands dans la Capitale [Des Causes du bonheur public] « Des Grands dans la Capitale. » pp. 354-367
, l’exemple fait partie de leur autorité. La crainte, l’intérêt, tout porte à imiter l’homme d’un rang élevé. Suivez-le dans
rd mourant ; celui-ci croit qu’un Envoyé du Ciel vient lui ouvrir les portes de l’Éternité : & tous ceux qui contemplent t
u arriveroient-elles pures dans les ames, tandis que l’organe qui les porte jusqu’aux oreilles sera vicié ? tandis que le gén
16 (1825) De quelques naïves coutumes « De quelques naïves coutumes. » pp. 262-266
... « Je maudis, j’anathématise ; Mais sous l’habit pour ma devise, Porte l’habit de Mère Sotte, Bien fait qu’est dit que j
re saint Joseph, et de toute ma cour : l’an de grâce 1650. » La pièce porte que cet accord a été ratifié par la Très Sainte T
17 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109
que les habits d’un différent sexe, quand on les manie, quand on les porte dans des dispositions criminelles, influent même
able. En se retirant il manqua sa maison, & frappa rudement à une porte . Il faisoit grand froid. Une grosse servante vint
lui ouvrir à demi-endormie ; mais dès qu’elle le vit, elle referma la porte au plus vîte, & s’enfuit criant de toute sa f
le long de la rue, il apperçut de la lumiere dans une maison dont la porte n’étoit pas fermée. Il vit en entrant un cercueil
comique. On introduit devant la Cour d’Amour le Syndic des Maris, qui porte juridiquement sa plainte contre les Masques, qui
artir des compagnies à l’heure que bon leur semble, & fermer leur porte quand l’ombrage & la fantaisie les prend, &am
à tous les Masques, leur ouvrir la maison, sans les faire songer à la porte , sans faire dire qu’on n’y est pas, qu’on est cou
18 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « MANDEMENT  du Chapitre d’Auxerre, Touchant la Comédie. » pp. 51-58
dre le poison dont ils sont infectés. Ils n’ont pas même respecté les portes de nos Eglises. Ils ont osé y afficher le jour &a
biens spirituels, de ses priéres & de ses Sacremens. C’est ce que porte expressément le Rituel de ce Diocèse. Après avoir
19 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
oint entrer en tentation, imaginez-vous que l’ennemi est toujours aux portes  ; ce qui est, ce me semble, une manière d’avis au
antôt grossier, s’insinue à la faveur de ses agréments, et que si les portes de l’Enfer pouvaient prévaloir contre la morale d
ries : mais il se déchaîne aussi contre le torrent de la coutume, qui porte à lire des choses si chatouilleuses pour les bonn
20 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « [FRONTISPICE] »
A PARISChez Theodore Girard, dans la grand'Salle du Palais, près la porte de la Salle Dauphine, à l'EnvieM DC XCIV Avec Pri
21 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230
sa mort, à celui qu’elle avoit méprisé pendant sa vie ; jugement qui porte atteinte aux bonnes mœurs en donnant lieu d’en es
na à l’Eglise avec celle qui avoit l’accessit : le Curé la reçut à la porte de l’Eglise & lui fit ce petit discours : Vo
soldat alla avec son épée graver ces mots avec attendrissement sur la porte de la Rosiere : ci git la vertu, comme on en vit
nter marchoit le dernier, après lui, les musiciens qui resterent à la porte  : les garçons entrerent, firent un cercle autour
22 (1705) Traité de la police « Chapitre II. De l’origine des Histrions, des Troubadours, des Jongleurs, et des autres petits spectacles qui ont précédé en France l’établissement des grandes pièces de Théâtre, et des Règlements qui les ont disciplinés. » p. 436
yaient à l’entrée de Paris sous le Petit Châtelet ; l’un des articles porte , que le « Marchand qui apporterait un Singe pour
e populaire, payer en monnaie de singe, en gambades. Un autre article porte qu’à l’égard des Jongleurs, ils seraient aussi qu
23 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17
onciles de l’Eglise. Le Canon 62. du Concile d’Elvire, tenu l’an 305. porte  : « Si les Comédiens veulent embrasser la Foi Chr
Paris l’a fait imprimer en 1674. Le Rituel de Paris, imprime en 1654. porte la même défense. Je ne rapporterai point les term
n tout ce qui se fait dans toutes ces représentations malheureuses ne porte qu’au mal ; les paroles, les habits, le marcher,
24 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — III. Et c’est l’effet propre de la Comédie. »
e du Prince des ténébres ; qu’elle souléve les passions ; qu’elle les porte à la révolte ; & que parconséquent elle est d
25 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VIII. Sentiment de S. Thomas. » pp. 178-198
éatre doivent être très-embarrassés à parer le coup mortel qu’il leur porte  : Meretricium & histrionatus. Au reste, il ne
ns gaies, tout cela devient bon ou mauvais, selon l’intention qu’on y porte , l’usage qu’on en fait, les circonstances qui les
mérite & une vertu. Je ne pense pas que la plus rafinée mysticité porte jamais la comédie à ce degré de perfection. Je co
a sint. Alexandre de Hales croit aussi que s’il y a quelque chose qui porte à l’impureté, qui nuise à la piété, on doit absol
es y chantent : La douceur de leur voix, dit-il, est dangereuse & porte à l’impureté : Audire mulierum cantus periculosum
26 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — VI.  » p. 460
e de gaieté de cœur, ce qui éloigne bien plus la grâce de Dieu, et le porte davantage à nous abandonner à notre propre corrup
27 (1675) Traité de la comédie « VII.  »
e de gaieté de cœur; ce qui éloigne bien plus la grâce de Dieu, et le porte davantage à nous abandonner à notre propre corrup
28 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Parfums. » pp. 112-137
Non sunt ultra allata tanta aromata quantum Regina Saba detulit. On porte ses goûts dans la dévotion comme dans tout le res
nt l’ame efféminée : Ad libidinem impellunt mores effeminant . Il ne porte ni gans, ni linge, ni habits, ni autre chose parf
tis attigerit . Lactan Instit. Liv. 7. chap. 10. Il ne cueille, ni ne porte aucune fleur pour le plaisir de la flairer, il ne
és, les besoins, les foiblesses, les rides, les cheveux blancs, il en porte par-tout les traits lugubres & ineffaçables.
ne espece de momie, un cadavre embaumé qui court au tombeau, & en porte déja les avant-coureurs. On flaire en lui la pour
viennent que dans des petits cantons de la terre, tout le reste n’en porte point. Aucune odeur sur les mers, sur les riviere
29 (1640) Traité des Spectacles des Gentils « SAINCT CYPRIAN DES SPECTACLES. » pp. 155-193
s. Romvle qui ietta les premiers fondemens de céte pompeuse cité, qui porte encor son nom, consacra les premiers leux du cirq
esté tesmoin de beaucoup de méchancetés : & ces mesmes yeux qu’il porte au Spectacle des Idolatres, sont les yeux qu’il a
dans la scene : C’est de céte façon que nôtre nature defectueuse nous porte à l’amour des choses illicites ; & que les ho
vaste machine du monde, qui est remplie de tant de merueilles. Qu’il porte donc ses yeux & son admiration vers le Ciel,
30 (1761) Les spectacles [Querelles littéraires, II, 4] « Les spectacles. » pp. 394-420
ance du monde, beaucoup d’érudition mais peu de philosophie. Quand il porte une vue générale sur la comédie ancienne & mo
tous ces écrits polémiques. Arrêtons-nous à un seul, dans lequel tout porte l’empreinte du génie de l’auteur. Le panégyriste
t pas, convaincue de tes principes. Si elle avoit vu seulement, à ses portes , des acteurs ; si elle y avoit vu les Sophocle &a
pris l’allarme & cru voir déjà l’ennemi dans ses murs. *. Elle porte , qu’en cas que « les comédiens règlent tellement
31 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « Sonnet à la Seignore Isabelle, sur son voyage à Monceaux »
Qui se calme au Soleil de vos divinités. FIN. ac. [NDE] L’originale porte « Mouceaux ».
32 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « Approbation des Docteurs »
obation des Docteurs Le but que s’est propose l’Auteur du Livre qui porte pour titre, Histoire et Abrégé des Ouvrages Latin
33 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Neuvième Lettre. De la même. » pp. 233-241
épétait ce qu’on m’avait déja dit. On m’a montré ton portrait ; on le porte sur son cœur ; on a presque pleuré. On voulait s’
à 300 le nombre des Spectateurs du Théâtre national, & moi je le porte à 806 ; ce qui fait presque le triple. Mais pour
34 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VI. » pp. 27-35
vêché, que de se jeter après et de s’en saisir, comme votre allégorie porte à croire que votre Prélat a fait, c’est selon l’E
sans qu’il y songe, sans qu’il s’y attende. La nouvelle qu’on lui en porte le surprend, il ne l’accepte point d’abord, il de
35 (1705) Traité de la police « Chapitre IV. De la Comédie Française ; son origine, son progrès, et les Règlements qui ont été faits pour en permettre, corriger et discipliner les représentations, ou pour en assurer la tranquillité. » pp. 439-445
’il y aura à deux heures après midi, et finir à ladite heure ; que la porte soit ouverte à une heure précise, pour éviter la
e ou autrement, tant au parterre, montée et galeries, que dessous les portes à la sortie, le tout à peine de cent livres d’ame
ec la dernière témérité et un grand scandale, entrepris de forcer les portes de l’Hôtel de Bourgogne, se seraient attroupés po
t été aussi informée, même de ce que depuis on n’avait osé ouvrir les portes de l’Hôtel de Bourgogne ; et ne voulant souffrir
ns de livrée, sous quelque prétexte que ce soit, de se présenter à la porte de l’Académie pour y entrer, même en payant, à pe
36 (1674) Le Theâtre François pp. -284
ceux méme qui condannent les spectacles, que le titre de mon Liure ne porte à lire ce qu’il promet. Mais MONSEIGNEVR, ie suis
riez fait scrupule de les partager auec les pensées où la Nature nous porte pour des enfans, & ne seroit-ce point par cet
o, & que cette suite de magnifiques Hostels qui regnent depuis la porte du Valentin iusques au Palais Ducal, le projet de
vsage de la Comedie, & combatre doucement l’erreur populaire, qui porte bien des gens à la condanner sans la connêtre. Ap
qu’elle s’y pourra conseruer long-temps. Car de pretendre qu’elle se porte plus loin, & qu’elle puisse aquerir d’autres
eruer son affection pour la Troupe. Cette generosité des Comediens se porte si loin, qu’vn Autheur des plus celebres & de
x partis, & chacun des autres suit alors celuy où son interest le porte . Mais ce qui arriue entre les Comediens, arriue d
les soúfrent amiablement, & ne prennent point de leur argent à la porte  ; & il y a d’autres gens à qui ils font la mé
loient faire coûtume d’entrer sans payer, ce qui causoit souuent à la porte & au parterre d’etranges desordres ; qui dego
sonnes de quelque qualité qu’elles pussent estre de se presenter à la porte sans argent, & permit aux Comediens de prendr
comme pour deux ou pour trois. Mais ce n’est pas le Theâtre seul qui porte les Comediens à de grans frais ; hors des jours d
graué en lettres d’or dans vne pierre de marbre noir au dessus de la porte de son Hostel. Cette Troupe est asseurement belle
, le Copiste, les Violons, le Receueur au Bureau, les Contrôleurs des portes , les Portiers, les Decorateurs, les Assistans ; l
dit, la doit faire bonne, & on la luy rend. Les Contrôleurs des portes , qui sont, l’vn à l’entrée du Parterre, & l’a
violence. L’Hostel de Bourgogne ne s’en sert plus, à la reserue de la porte du Theâtre, & en vertu de la Declaration du R
era. Il y a aussi vn homme établi pour tenir nette la place deuant la porte de chaque Hostel, il en va à peu pres de la méme
a derniere temerité, & vn grand scandale, entrepris de forcer les portes de l’Hostel de Bourgogne, se seroient attroupez p
esté aussi informée, mesme de ce que depuis on n’auoit ozé ouurir les portes de l’Hostel de Bourgone ; Et ne voulant souffrir
pretendu cause d’ignorance, sera la presente Ordonnance affichée aux portes & principales entrées, tant dudit Ien de Paul
r à la Comedie sans payer, il arriuoit souuent de grandes quelles aux portes , & jusques dans le Parterre ; & en quelqu
37 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Troisieme suite du Fard. » pp. 171-194
propreté qui coute tant aux autres femmes, lui est naturelle, elle ne porte jamais d’odeur, quoiqu’elle les aime beaucoup , &
éternelle ? Les anciens faisoient vendre à Cythere, des suaires à la porte du Temple de Venus, quelle leçon ! Vous êtes deva
le suivent, dussent-ils se rompre le cou. Une Reine pleine de vanité porte des habits tout massifs d’or, & en changera q
dit l’Apôtre, par la mortification, le travail, la modestie. Le corps porte & glorifie son Dieu, la modestie regle ses mo
s yeux, si l’on est si foible, dira cette actrice ; faut-il que je ne porte pas des diamans, parce que des yeux malades ne pe
38 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 11
es, vous allumez en votre cœur un feu infernal et diabolique qui vous porte à des actions honteuses et dénaturées ; vous dite
39 (1608) Traitté contre les masques pp. 3-36
le Canon par deux fois enjoinct aux clercs de ne permettre que l’on porte masques en leur presence d’autant que c’est chose
eruerses actions des hommes. Aristanet. Epist. 26.Que ce traité qui porte au front vn masque te soit la Déesse Polyhynnia q
onstres, des Satires, des Diables, on les debite publicquement on les porte Petrus Chrisologus sermon. 155. ceux-là n’ont-i
e reuolte contre Dieu, celuy n’a pas voulu porter l’image de Dieu qui porte celle d’vn Idole, qui vouldra gaudir auec le Diab
14.Considerez mes concitoyens, ie vous coniure où l’aueuglement vous porte de masquer aux festes de Noel & de vous attro
aux festes de Noel & de vous attrouper audeuant de la principale porte de l’Eglise Cathedrale où vous desployez tous les
21.. Arriere fols, arriere masques, ce lieu est S. & sacré, & porte au frontispice l’image d’vne vierge tenant son fi
40 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « La tradition de l'Eglise sur la comédie et les spectacles. Les conciles » pp. 53-68
dît les approuver et les permettre les autres jours. La raison qui le porte à demander cette défense aux Empereurs en est une
de l'Epiphanie, les jours de Pasques, et de la Pentecôte, tant qu'on porte les habits blancs, qui par leur blancheur, comme
41 (1705) Traité de la police « Chapitre III. Du Théâtre Français, son origine, et qu’il n’a été occupé pendant plus d’un siècle, qu’à la représentation de pièces spirituelles, sous le titre de Moralités. » pp. 437-438
ol et Jean de la Passée, avaient acheté deux arpents de terre hors la Porte de Paris, du côté de S. Denis, et y avaient fait
oyageurs qui arrivaient trop tard pour entrer dans la Ville, dont les portes se fermaient en ce temps. Entre autres édifices i
42 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « EXTRAIT DE QUELQUES PENSEES SAINES. Qui se rencontrent dans le livre de J.J. Rousseau contre le Théâtre, ou condamnation de son système par lui-même. » pp. 66-77
oi-même : il n’y naît pas d’un arrangement de Scènes, l’Auteur ne l’y porte pas, il l’y trouve ; et de ce pur sentiment qu’il
blique est l’objet, il faut auparavant changer les jugements qu’on en porte . » « LaPage 150. vie des femmes est un développem
43 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197
enfans de Jacob, qui seul prouveroit qu’il n’est pas de celui dont il porte le nom. On ne connoissoit pas le théatre du temps
cription pour en faire les frais, & reçoivent quelque argent à la porte de ceux qui veulent y venir, à l’exception des da
ans foi, les militaires sans honneur, les magistrats sans équité ; la porte du juge inaccessible à la veuve & à l’orpheli
ngent ou rehaussent le teint des femmes, & que le désir de plaire porte dans le monde à un excès dégoûtant & pernicie
ement sur la scène, dans la farce du sieur du Rosoi, ces hommes qu’on porte mourans sur la théatre, comme dans Alzire & t
eux habits dont il avoit paré le devant, & se tenoit assis sur la porte , avec un tablier devant lui, comme pour attendre
ttre aux comédiens pour leur offrir sa piece, il prétend encore qu’on porte au milieu de la piece le buste de l’Apollon de ci
é & tâché de remplir cette idée, par de petits contes dont chacun porte agréablement sa morale. Il a beau faire, c’est la
que de lui, il ne fait aucun cas d’une instruction si frivole, qui ne porte que sur une fausseté palpable ; il les apprend co
44 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224
s, & les ont mises à leur profit. Autre chicanne. Le sieur Lonvai porte son affaire au Châtelet. les Comédiens la font év
on n’a rien changé à la justice ordinaire. C’est ici la maison à deux portes  : de l’une ils sortent en furieux, & vont aux
disent les comédiens, ne doit s’entendre que de ce qui se reçoit à la porte . Ils ont fait des abonnemens à tant par an à bien
n part. Non, disent les comédiens ; cette somme ne se reçoit pas à la porte , notre caissier la reçoit dans son bureau : elle
ls de Veronese, comédien italien, se dit voué à Saint François, & porte l’habit de Capucin. Il n’a que quatre ans : il a
a été publique. » Conforme à l’original, ce 7 Mars 1775. Signé, de la Porte , Secrétaire de la Comédie Française. Le sieur Mer
soit, un ouvrage qu’il ne connoît pas, qu’il n’a jamais avoué, qui ne porte pas son nom, a-t-il pu autoriser les Comédiens à
regardé comme la loi constitutive de la Comédie Française. L’art. 38 porte  : Il sera incessamment pourvu au surplus de l’ad
morale la plus honnête & la plus pure. La délibération du 6 mars porte un troisieme caractere d’injustice, qui n’est pas
prononce que le sieur Mercier en est l’Auteur, quoique cet ouvrage ne porte pas son nom ; &, tout à la fois juges & p
45 (1638) L’Image du Vray Chrestien. Chapitre IV « Chapitre 4. » pp. 106-108
les débats des casuistes, de l'attention que le pécheur, en péchant, porte à son péché (Littré). b. [NDE] On corrige "auqu
46 (1772) Spectacles [article du Dictionnaire des sciences ecclésiastiques] « Spectacles. » pp. 150-153
t de guerres intestines ? on rentre chez soi avec un cœur blessé, qui porte encore le trait empoisonné ; on a perdu le goût d
e pour les rendre agréables & piquans ; on méprise tout ce qui ne porte pas écrit sur le front le caractere du vice, tout
za, quæst. 9 quodlib. &c. Escobar, qui écrivoit aussi en Espagne, porte l’horreur des comedies jusqu’à ne point approuver
47 (1694) Lettre à l’abbé Menard « Lettre LIII. De remercîment à M. l’Abbé Menard. Il y est parlé de quelques Ouvrages dont ont porte le jugement. » pp. 62-63
ment à M. l’Abbé Menard. Il y est parlé de quelques Ouvrages dont ont porte le jugement. Les fonctions des Pâques et du Jub
48 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [M] » pp. 426-430
Chrétiens d’ailleurs les plus zélés, s’assemblaient la nuit devant la porte des Temples la veille des grandes Fêtes, & là
illes des Fêtes de Vierges, les Jeunes-filles s’assemblent devant les portes des Eglises qui lui sont consacrées, & passen
49 (1579) Petit fragment catechistic « Que les jeux des théâtres et les danses sont une suite de la science diabolique, opérante par philaphtie et amour de soi-même contraire à la foi opérante par charité, fondement de la Cité de Dieu. » pp. 20-26
sans reproche. » c. [NDE] Lévitique, XXIII, 29. d. [NDE] Le texte porte Exode 22, qu’il faut corriger en 32 pour trouver
ontre quels sont les moeurs pratiquées au théâtre. k. [NDE] Le texte porte 499, ce qui est manifestement une erreur d’impres
50 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIV. Que les danses sont aussi défendues les jours des Fêtes par les lois Canoniques. » pp. 76-93
’est le sentiment d’Angélus. Mais Sylvestre ouvre encore davantage la porte au relâchement de la discipline Ecclésiastique, q
sorte d’exercices. Pour moi je suis bien éloigné du jugement qu’il en porte  ; car non seulement je ne crois point qu’Angélus
51 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
ire ou qu’on lui entendît dire ? G. Qui en doute ? S. Ainsi ce qui le porte à combattre sa douleur, c’est la Loi & la Rai
à combattre sa douleur, c’est la Loi & la Raison, & ce qui le porte au contraire à s’y livrer, c’est la Passion ? G.
s attendrir sur nous-mêmes & sur notre mauvaise fortune, qui nous porte aux plaintes, & qui ne peut se rassasier de l
u commun des hommes. Tout au contraire il excelle, & son génie le porte naturellement à peindre une Ame troublée & pl
tié d’un malheur, où nous voyons, dit-il, tomber nos semblables, nous porte à la crainte d’un pareil pour nous, cette crainte
un cœur compatissant à tous les maux de nos semblables : ce qui nous porte à nous secourir les uns les autres. Les personnes
endant qu’ils le pleurent, à partager l’argent qu’ils ont laissé à la porte , pour être attendris. Quelque puérile que soit ce
passion de la misere des autres, qui s’éleve en notre cœur & nous porte à les secourir quand nous le pouvons. Quid est mi
52 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre III. Autre continuation des Mêlanges. » pp. 45-87
il en donne : Sans s’arrêter aux coups que cette frenesie de l’amour porte à la vigueur des membres & à la santé du corp
oire de l’imiter, & meritent de l’obtenir ; mais lui fermerent la porte de l’Académie Françoise, où il eut la présomption
en est fait plus de gloire. Ce voyage lui-même en est une preuve ; il porte partout des marques ridicules de sa vanité. A ch
rts de mer ; le magistrats, avec les pieces du procès qu’il va juger, porte dans son sac la facture de quelque marchandise qu
filles en communauté ; on entre dans une espece de dortoir où sur la porte de chaque cellule est le portrait & le prix d
ville entretient les comédiens, & tout l’argent qu’on reçoit à la porte est distribué aux pauvres. A Paris les Comediens
t aux frais du spectacle qui se prend uniquement sur la recette de la porte , & diminuent d’autant la portion des auteurs.
53 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. De l’Éducation. » pp. 60-92
isent les jeunes gens, leur fournissent les moyens. Leur ouvrir cette porte à la corruption du cœur, c’est être leur meurtrie
abitude, dont on se fait un mérite, on ne la conserve, & qu’on ne porte le théatre dans la société. Il en est ainsi de la
chée aussi, & ne passeroit pas seule la nuit avec son amant, à la porte de sa maison, à invoquer avec lui le Dieu des am
seroit bien surpris de trouver sa maison ouverte, & sa fille à la porte avec son amant. Mais pourquoi une fille si sage c
lter, & arracher le drapeau & la guirlande qui étoient sur sa porte (avant le jugement des vieillards), ce qui est ab
ouve une riviere, je ne sais pourquoi : tout doit se passer devant la porte de l’Eglise & du Château, qui ne sont point s
54 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Avertissement. » pp. -
ouveau Spectacle, révoltera peut-être bien des personnes dont tout me porte à désirer l’estime, leur donnera lieu de m’accuse
55 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142
nante. Au peuple près & aux gens de la campagne, tout le monde en porte , & plusieurs à l’excès, & il y en a grand
térêt, pour prendre des leçons de leurs bonnes amies, car personne ne porte plus loin la finesse de l’art, & les coups de
ur crédit, pour établir les Quakers en Amérique, dans la Province qui porte le nom de Pensilvanie ; ils y fonderent une Eglis
derriere qu’on a rendu plus commode par des perruques à reseau, qu’on porte par-tout, aulieu que les anciens masques ne pouvo
commode, la moitié de la toilette se fait chez le baigneur, d’où l’on porte une très-belle tête toute faite, qu’on adapte au
56 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168
ppas, mais d’une telle sorte, Qu’il vous faudra sortir par une fausse porte . Voici l’extrait d’une Ode sur le Rouge, de M. S
s les compagnies, pour se ménager un jour favorable. Une fenêtre, une porte , une cheminée, un lieu sombre ou éclairé, devant
bles, qui n’agissent pas de si près, ni si continuellement, puisqu’on porte partout ses habits, & plus que les rubans, qu
Des actrices voulant entrer dans une Eglise dont on avoit consigné la porte , le garde voyant le rouge épais dont leur visage
é par tout où l’on respecte la vertu. Le voilà, continue Juvenal, qui porte sa glorieuse & pesante armure, le miroir de l
57 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54
s le bâton du beaupère, vieux gentilhomme ridicule, qui avec sa femme porte l’entêtement de sa noblesse à un excès sans vrai-
l’objet de nos réflexions, c’est que c’est une piece scandaleuse qui porte les coups les plus mortels à la sainteté du maria
mp; le fils qui le prennent pour arbitre. Il les éloigne un peu, leur porte tour à tour la parole, les trompe tous les deux p
autre perquisition, au moyen d’un rubis & d’un brasselet qu’elle porte  : Deus in machina. Ressource ordinaire à Moliere,
e les ridicules de l’avarice, fussent-ils poussés aux excès où on les porte , aussi peu vrais que vraisemblables. L’usure énor
58 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE III. Réformation de l’Abbé de Blesplas. » pp. 55-81
Nous sommes roturiers ; les Comédiens les donnent, & on paye à la porte . Les Grands procuroient des spectacles honnêtes &
u arriveroient-elles pures dans les ames, tandis que l’organe qui les porte jusqu’à l’oreille est vicié ? L’organe qui porte
que l’organe qui les porte jusqu’à l’oreille est vicié ? L’organe qui porte à l’oreille est la voix ; la voix des Comédiens n
s sacrifices, ont réformé bien des abus. On les voit tour-à-tour à la porte de la comédie veiller sur le Receveur, afin que p
f de fournir des Comédiens à une grande ville ! Que cette croix qu’il porte sur la poitrine donnoit un air pathétique à ses d
59 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Triomphe. » pp. 112-160
e nouvel Empereur perdoit son authorité, si-tost qu’il avoit passé la porte , & du moment qu’il estoit entré, il n’estoit
iour arrivé, le Senat en Corps alloit au devant du Vainqueur hors la porte de la Ville par où le Triomphateur devoit entrer.
hors la porte de la Ville par où le Triomphateur devoit entrer. Cette porte s’apelloit vulgairement Capene, ou Appie, à cause
ceremonie, car ils ne purent pas entrer ensemble, ny passer sous les Portes , ou sous les Arcs TriumphauxIc. 16.. Marc Antoine
queurs & de Vaincus, alloient en cet ordre, & passoient de la Porte Triomphale par *le Marché couvert, & le long
60 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
belles choses, « je vous entens, la demeure de votre ami est dans la porte cochere du troisième, près d’un carrefour qui com
déterminai à aller chez Nicolet. En effet, la foule étoit grande aux portes et j’eus bien de la peine à obtenir un billet. Da
dant plusieurs heures quantité de mauvais sujets, que le désœuvrement porte à toutes sortes de désordres, ne me paroît pas so
on plus, à l’Opéra, aux François, aux Italiens ; mais leur censure ne porte point sur la perte de temps ; ils trouvent qu’il
les amours, le dieu du vin, le dieu du jeu, le dieu de la table. A la porte de sortie veillent dans un coin la pauvreté, la h
61 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-3
s connoîtrez l’arbre par les fruits, dit l’Evangile ; un bon arbre ne porte pas de mauvais fruits, ni un mauvais arbre de bon
62 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Fêtes de Théatre. » pp. 95-114
nt pas se donner la peine d’apprendre les pieces nouvelles dont leurs porte feuiles sont remplis, à moins que les auteurs ne
cusson annonce, qui se fait honneur des attributs d’une vertu. Le Roi porte le sceptre de la Justice, jamais la Justice n’a p
s l’année où l’on choisit une femme flétrie par ses débauches ; on la porte sur un brancard, dans toute la ville, au son des
es jeux qu’on faisoit autour de la statue de l’Imperatrice, devant la porte de la Cathedrale de Constantinoble. L’Evêque de S
63 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — V. La Comédie donne des leçons de l’amour impur. » pp. 9-11
les moyens de se dérober aux yeux des surveillans. Par-là il ouvre la porte à cette foule de désordres qui font le sujet de n
64 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VIII. Les intrigues sont la vraie fin de la comédie. » pp. 15-17
rendre aimable une servitude qui est l’effet Pag. 617.du péché, qui porte au péché. On flatte une passion qu’on ne peut met
65 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seconde Lettre. De madame Des Tianges, À sa Sœur. » pp. 21-24
m’ouvrir ton cœur. Ursule ! ô ma sœur, ma fille ; fille chérie que je porte dans mon sein… Mais que veulent dire ces terreurs
66 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VI. Ce que c’est que les mariages du théâtre.  » pp. 25-27
qu’on veut rendre aimable une servitude qui est l’effet du péché, qui porte au péché ; et on flatte une passion qu’on ne peut
67 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VII. Les spectacles favorisent les suicides. » pp. 90-92
s se délivrer de la vie, ne se retrace dans son imagination, et ne le porte à cette fatale extrémitéan », suivant cette maxim
68 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. » pp. 32-50
u’on veut rendre aimable une servitude, qui est l’effet du péché, qui porte au péché ; et on flatte une passion qu’on ne peut
it pas ces pernicieux effets tout à coup, mais il les prépare ; il ne porte pas sur-le-champ des défaites et des chutes, mais
tiens le tabernacle de Dieu avec les hommes, la maison du salut et la porte du ciel ; mais la profanation que les gens du mon
69 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IV. Le Peuple doit-il aller à la Comédie ? » pp. 60-74
vence en sont des restes, ainsi que le Mai qu’on va planter devant la porte des Seigneurs, ce qui peut être vrai en quelques
et au voile (et au ridicule de la pudeur). Il faut donc en ouvrir les portes à la jeunesse, aux Religieux, au Clergé. Je convi
les villes où il est établi. Quelle raison frappante pour fermer les portes au poison le plus dangereux de la population ! Le
70 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre V. De la Dépense des Spectacles. » pp. 75-88
leur donner des pensions, le public n’en est pas moins rançonné à la porte . Tout cela paraît peu de chose en détail, la tota
qui même y entraient gratuitement, sans avoir de péages à payer à la porte  ; on ne vendait pas le plaisir, on ne le faisait
nte ans, et tout a doublé depuis, même la fureur d’y aller. Le peuple porte ce poids insensé ; les riches ne font pas le gran
71 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Remarques Angloises. » pp. 133-170
n viatique. On communie à l’église, & non dans son cabinet, on ne porte point l’hostie dans sa poche, mais dans un ciboir
revêtu des ornemens sacerdotaux, même aux malades, & le prince se porte bien, il est en affaire, ne pense pas à la commun
cru que l’un dût dispenser de l’autre. C’est une femme fort laide qui porte des diamants, un desert aride où l’on trouve des
ear. Ce n’est pas, dit-elle, un homme qui compose, c’est un arbre qui porte du fruit, un fablier qui produit des fables comme
ui porte du fruit, un fablier qui produit des fables comme un prunier porte des prunes. S’il étoit permis de composer des mot
mposer des mots, on pourroit dire de même, Moliere est un farcier qui porte des farces, Shakespear un tragédier qui produit d
72 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129
stote eût bien mieux dit qu’il faut raser les théâtres, et fermer les portes de la ville aux Comédiens. » Aristote dit la même
ent au Parlement en 1615. « Le chef de cette troupe est un Prince qui porte la ruine des poêles et des marmites, il est né et
qualité de beaux esprits, si c’est là le seul titre qui en ouvre les portes , le méritaient mieux que bien d’autres. Aussi que
de traiter également un Conseiller rempli de mérite, et un autre qui porte les habits d’un saltimbanque, un Magistrat enfari
73 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre II. Utilité des Spectacles. » pp. 8-21
and mal, pour qu’on doive l’estimer. En éffet, l’intérêt d’un Etat le porte à le maintenir. La Police aurait peine à conserve
e est méprisé. Je crois découvrir une des principales raisons qui porte le vulgaire à mépriser la Comédie. Elle n’est que
74 (1705) Traité de la police « Chapitre premier. Des Spectacles anciens, leur origine, leur division, leurs dérèglements, et les Lois qui ont été faites pour les réformer. » pp. 434-435
urgs et des Villages. Le nom de Comédie qui lui fut donné, et qu’elle porte encore aujourd’hui, nous marque assez cette origi
à une Loi de Théodose le Jeune, et de Valentinien de l’an 425. « Elle porte de nouvelles défenses, de représenter aucuns jeux
75 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104
s maladies de l’ame, comme elle chasse le venin de la tarentule. Elle porte dans le cœur une confiance fiere qui le ranime, d
tout ce qui nous occupe dans cet ouvrage, tout cela peut porter & porte en effet très-dangereusement sur les mœurs, ces a
ne petite piece après la grande. Mais dans tous ces états divers elle porte par-tout un poison d’autant plus pernicieux sur l
hant quel nom lui donner ; il a commencé à Londres dans un jardin qui porte ce nom. Au milieu d’un carré formé par quatre all
de Londres s’y opposa, & le Roi le refusa. Pour éluder la loi, on porte dans sa poche un faux nez qu’on s’applique en ent
76 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XX. Exemples de pratique. » pp. 48-50
ie & celles de leur Libérateur ; qu’elle réveille, nourrit, & porte à la révolte des passions qu’il est venu dompter.
77 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « I. » pp. 6-8
se qu’il a fondée lui-même, et contre laquelle, selon sa promesse les portes de l’Enfer ne prévaudront jamais. » Et afin que l
78 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Fêtes de Théatre. » pp. 169-185
r attribue, où on fait un grand éloge de leur saint habit, & l’on porte plainte à l’Evêque de Saint-Pons, à qui elles son
erent sur les spectateurs qui étoient en très-grand nombre. La petite porte étoit fermée, & on ferma la grande, parce que
stoit pour sortir, les domestiques qui étoient dehors enfoncerent les portes pour aller sauver leur maître, plusieurs périrent
79 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XII. Des Spectateurs. » pp. 355-358
es choses tout à fait impossibles, qu’il est facile d’éviter. Elle me porte à me figurer qu’un Turc, qu’un Grec, qu’un Romain
80 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [H] » pp. 416-417
cipal Acteur : ainsi dans la Scène Tragique, c’était ordinairement la porte d’un Palais : celles qui étaient à droite ou à ga
81 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 16-18
& elle s’en pique, quand, disoit-elle, quelque chose de la nature porte au peché, on ne peut pas en user librement sans p
82 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre III. L’amour profane est la plus dangereuse de toutes les passions. » pp. 29-31
es par le torrent des scandales qui tombent de si haut. L’attrait qui porte les deux sexes à s’unir l’un à l’autre, depuis la
83 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I. Des Parfums. » pp. 7-32
es rubans, le linge, les habits, les meubles par-tout des odeurs ; on porte sur soi des boëtes, des phioles pleines de parfum
nsible quand elle dure long-temps. On se familiarise avec elle, on ne porte plus de parfums pour soi, on les porte pour les a
e familiarise avec elle, on ne porte plus de parfums pour soi, on les porte pour les autres qui n’en savent aucun gré, souven
fin d’avoir toujours la cassolette sous le nez ; aujourd’hui qu’on ne porte plus de moustaches, le tabac produit le même effe
84 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Théatre de Pologne. » pp. 80-105
erver la Religion & la liberté, conformément à la garantie que la Porte avoit promise, ainsi que bien d’autres princes, m
slas, évêque de Cracovie & martyr, patron du Royaume, dont le Roi porte le nom, comme le portoit Stanislas Leczinski, Roi
ebauches. Ce prince plus cruel qu’Hérode le tua de sa propre main. On porte aujourd’hui à sa mémoire & à son culte une at
e ménétriers, de danseurs, courant, chantant, dansant, s’arrêtant aux portes des maisons qui lui étoient attachées ; & qui
85 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199
capacité d’ester en droit, etc. Il est dans l’ordre que son exécution porte le même caractère légal, et qu’elle n’oblige, com
striones ». S. Charles (Act. Eccles. Mediol. L. 3. tit. de Histrion.) porte l’excommunication bien plus loin ; il veut qu’on
t canonique, comme une loi générale et constante de l’Eglise. Ce Père porte la sévérité jusqu’à priver de la communion ecclés
our la Comédie en faveur des pauvres. Une ordonnance du 10 avril 1721 porte qu’après que les intéressés au privilège de l’Opé
86 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IV. Suite des effets des Passions. » pp. 84-107
y fasse observer la même police pour les offrandes, et publiques à la porte , et particulières dans les chapelles des Prêtress
répandent partout, ne se sont pas encore avisés d'aller demander à la porte de l'Hôtel ; ils auraient beau s'offrir à la piti
orce, à s'exposer sans défense à leurs coups, à aider la main qui les porte  ? Que de blessures, que de morts trop méritées !
pourpre ! Le théâtre de chaque siècle, comme celui de chaque nation, porte l'empreinte du caractère régnant. Il fallait des
87 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 36-74
; des adulteres, parce qu’elles sont l’attrait le plus puissant qui y porte les hommes, & l’effet ordinaire du péché comm
sont pas les seuls objets de l’idolatrie, & que l’idolatrie ne se porte pas sur le sein & sur le visage, le Saint-Esp
poison du plaisir qu’il répand dans le cœur, est un vrai serpent qui porte le coup mortel dans l’ame. C’est la comparaison d
e en a ménagé le succès. Minerve l’applique sur sa poitrine, & la porte partout. Ainsi faut-il avoir présente l’horreur d
lles qui ont servi quelque temps sur le Teatre, il n’en est point qui porte un visage vierge, la virginité s’en est depui lon
e veut toucher à rien de ce qu’on sert sur la table du Général, & porte avec elle, pour se nourrit, du pain, du fromage &
88 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16
atue du bon Roi ; au lieu de l’entrée de la Place percée vis-à-vis la porte du Palais, il y aurait deux passages suffisans po
re du Dauphin, l’entrée du côté du Pont-Neuf : on ouvrirait plusieurs portes de côté sur les deux quais, dont celles du milieu
89 (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « Instruction chrétienne sur la Comédie. » pp. 443-453
rtout où il cherche les injustes passe-temps, et que la corruption le porte à ce qui est plus défendu. En quoi est-on trompé
de Notre Seigneur, dont la figure est encore restée en relief sur la porte de cet Hôtel, et il appartenait à des Confrères,
90 (1802) Sur les spectacles « FUITE DES MUSES ET DU BON GOUT : Peut-on compter sur leur retour ? » pp. 3-11
gnification d’un mot. Cependant la gaîté, naturelle aux Français, les porte à redire et à entendre les mêmes choses que du te
es asseoir en payant ; et cette politesse mal entendue les a mis à la porte . Faut-il donc un sofa au jeune homme qui va voir
91 (1576) De la Censure. pp. 611-613
il eût encore mieux dit, qu'il faut raser les théâtres, et fermer les portes de la ville aux joueurs : « quia, dit Sénèque, ni
92 (1666) La famille sainte « DES DIVERTISSEMENTS » pp. 409-504
ieux, ou les personnes. Un bâtard qui n’entre en cette vie que par la porte du déshonneur, n’est pas moins homme qu’un enfant
soi qu’elle coupe et qu’elle tranche : elle voit de ses yeux où elle porte son ciseau, elle sait jusqu’où elle le doit pique
avance : Hé bien à quelle heure est-il mort ? on lui répond qu’il se porte mieux ; il le peut bien faire, dit-il, car je sui
l a déclaré que la Danse était très dangereuse, et qu’elle ouvrait la porte à plusieurs péchés ? fallait-il qu’il mît un Démo
rait la porte à plusieurs péchés ? fallait-il qu’il mît un Démon à la porte de chaque salle où se fait le bal, qui tordît le
Peu en échappent, et tel pense retourner bien sain en son logis, qui porte le poison dans le cœur. Si ce n’est point le Démo
st contraint de céder à la bure. N’est-ce point cette raison qui nous porte délicieusement à nous trouver en ces actions publ
ition n’empêche pas que leur liberté de tout faire et de tout dire ne porte son coup, et ne perde la jeunesse qui les voit et
il fit les Juifs, qui depuis ce temps-là n’ont point encore trouvé de porte pour y rentrer. S’il Lipsius monit. polit. l. 2.
es ? Notre curiosité qui est toujours affamée de choses nouvelles s’y porte avec la même passion qu’un famélique sur une bonn
de lecture, il se donne un esprit plus délié, et qui d’un plein saut porte jusqu’à la dernière difficulté.« Ille sapit solus
s ; on les a ainsi appelés d’un fameux ouvrage de la même nature, qui porte pour titre le Roman de la Rose. Il est comme le p
d’un jeune homme toutes les aventures d’un amant ou d’une amante, qui porte le dard dans le cœur (car tout ce que nous avons
mmé dans le Jeu : Ce sont de ces gueux volontaires, à qui personne ne porte de compassion, qui ne vivent que de mendicité, et
bre de dépit, et pour donner air à sa mélancolie, descendit devant la porte de son Palais : D’abord qu’il y fut, voilà deux d
urage efféminé, et d’un cœur qui n’aime que l’ordure : Pour peu qu’on porte l’habit d’un autre sexe, on se sent changé. Le vê
mauvaise à cause qu’un détestable s’est voulu servir de ce Calice qui porte la vie, pour donner la mort. On ajoute que la Cha
si le prennent-ils par la plus forte de ses inclinations. Le Chasseur porte des mules de couleur d’écarlate ; pour lui donner
attentif, se les met aux pieds, et les lie de longues courroies, les porte un tour ou deux de promenade, et s’en va ; il en
emble beau, et c’est sa perte : Comme on a reconnu que son naturel le porte à imiter, on lui prépare un vase plein d’une liqu
93 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174
ire de grands mots, aux dépens de la sagesse et des mœurs. « César porte en ses flancs de quoi nous en laver. C’est là q
ns-nous, Madame, et rompons le silence. Fermons-lui dès ce jour les portes de Byzance : Le conseil le plus prompt est le p
ns, n’en accusez que vous. Du serail, s’il le faut, venez forcer la porte , Entrez accompagné de leur vaillante escorte.
xte ordinaire des meurtriers des Rois ? On fait égorger la Reine à la porte du Temple, et l’Ecriture dit que ce fut à la port
rger la Reine à la porte du Temple, et l’Ecriture dit que ce fut à la porte des écuries du Palais, Porta introïtûs equorum. P
lus atroce. Brutus, reconnu fils de César, déterminément et par choix porte les premiers coups à son père. Du moins Joas, un
de leur gloire un instrument servile. Je suis fils de Brutus, et je porte en mon cœur La liberté gravée et les Rois en ho
94 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — IX. La Comédie donne des leçons de toutes les passions. » pp. 18-21
nformes à ses penchans, & de l’yvresse qu’elles lui causent. A la porte il est insulté. Qui se persuadera qu’il ne sentir
95 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XIII. » pp. 62-65
est-ce pour guérir les maladies du corps ou les vices de l’âme qu’il porte le nom et la qualité de Médecin ? Est-ce pour la
96 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120
n, est un Fablier, il produit des Fables ; Moliere est un Farcier, il porte des Farces, encore en est-il de bien véreuses. Le
n effet que le Théatre laisse encore quelque légere décence, & ne porte pas aux derniers excès. Avec quels applaudissemen
oique, dit-on, la piece fût annoncée, & que la foule assiégeât la porte de la Comédie. La stérilité a imaginé des épisode
st pas juste, & ne doit pas l’être. Lafontaine parle, raconte, il porte par-tout sa physionomie ; Moliere fait parler &am
habit, le même visage. C’est dans la vérité un Fablier, un arbre qui porte des fables ; son fruit est toujours de la même es
97 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
plus fier par la basse complaisance du Chapelain redouble d’audace et porte l’insulte au dernier excès. « N’y a-t-il donc pas
; sans oublier l’emplâtre que j’ai ouï dire que le Tartuffe Filetexte porte sur l’œil pour toute marque de pénitence des iniq
que soit particulière n’irait son chemin. » Bienmasqué crie donc à la porte du Chapelain : « Mr. Rend-grâce, Mr. Rend-grâce !
uit est trop énorme pour ne le pas omettre. L’Auteur de Don Sébastien porte des coups aux Evêques à l’aide du Musti, et badin
x revêtu de la dépouille de Ben Jonson ; à cela près que le plagiaire porte plus haut l’impiété que l’original, et transfère
98 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VI. De l’Iconomanie théatrale. » pp. 141-158
truit elle-même en se déguisant ; ce déguisement est un crime qui lui porte le coup mortel. Il n’y a point deux avis là-dessu
, il les voit ; les condamne, & les défend ? On voit que quand on porte le Saint Viatique dans les maisons, s’il se trouv
r en ôtant du temple ces sacrileges ornements ; mais il laissa sur la porte du Temple les aigles Romaines qu’il y avoit arbor
99 (1753) Compte rendu de Ramire « Compte rendu de Ramire » pp. 842-864
mais à S. Jérome qui proteste qu’il n’ajoute point foi à quiconque se porte pour n’avoir point été blessé de ces Spectacles :
’être avare : sola temporis avaritia laudabilis est. Quel désordre ne porte pas dans une Ville l’arrivée & le séjour d’un
100 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « EXTRAIT Du Journal de Trevoux ; Mois d’Avril 1753. Art. XXXIX. » pp. 59-70
mais à S. Jérome qui proteste qu’il n’ajoute point foi à quiconque se porte pour n’avoir point été blessé de ces Spectacles :
tre avare : Sola temporis avaritia laudabilis est. Quel désordre ne porte pas dans une Ville l’arrivée & le séjour d’un
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