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1 (1641) Déclaration du roi
double entente, qui puissent blesser l’honnêteté publique : Et ce fut peine d’être déclarés infâmes, et autres peines qu’il y
nnêteté publique : Et ce fut peine d’être déclarés infâmes, et autres peines qu’il y échera. Enjoignons à nos Juges, chacun en
lité de Faction ; sans néanmoins qu’ils puissent ordonner plus grande peine que l’amende, ou le bannissement. Et au cas que l
evoir aux représentations publiques qu’ils seront, que la crainte des peines qui leur seraient inévitables, s’ils contrevenaie
2 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE III. » pp. 29-67
pas qu’il réussisse, au moins par cette voie. Toute censure étant une peine ecclésiastique suppose toujours un délit : Or, on
a priere, les Sacremens. La question ne roule pas sur l’existence des peines ecclésiastiques : Saint Augustin la prouveroit1 p
iens : n’ont-ils pas été suffisamment avertis ? Ils n’ignorent pas la peine canonique inséparable de leur état, ainsi dès qu’
n n’étant pas entre mes mains, je n’ai pas jugé que la chose valût la peine que j’allasse la vérifier dans une Bibliothéque p
être converti en aumônes. Un Concile de Tours, en 1583, défend, sous peine d’Excommunication, les Comédies, Jeux de Théatre,
lle est abusive, les Conciles n’ayant eu aucun droit d’infliger cette peine , sans être autorisés par les Loix, (pag. 20) &
er contre les autres : la connoissance des délits subordonnés à cette peine canonique n’appartenant qu’à l’Eglise. Le Saint C
s circonstances. Il y a deux choses dans le péché, la coulpe & la peine  ; celle-là est ordinairement remise au Sacrement
re la satisfaction que nous devons à Dieu dans toute son étendue. Les peines canoniques ne datent guères que du II. siécle, el
ans les premiers siécles n’entroient pour rien dans la discussion des peines ecclésiastiques ; aujourd’hui qu’ils en jugent dè
uel inconvénient trouvez-vous, Mademoiselle, qu’il attire sur soi les peines civiles & les peines ecclésiastiques ? La cho
vous, Mademoiselle, qu’il attire sur soi les peines civiles & les peines ecclésiastiques ? La chose doit être ainsi, lorsq
es, parce qu’aussi-tôt elle est bien connue, on la suit avec moins de peine que l’on ne se l’imagine. Je souhaite de tout mon
3 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIX. Si un Evêque peut défendre qu’on ne danse les jours des Fêtes, ou même en quelque temps de l’année que ce soit. » pp. 146-153
ion des danses. La première est, s’ils ont droit de défendre sous des peines Ecclésiastiques, qu’on ne danse point pendant les
’année. Pour le premier point, il est évident qu’ils peuvent sous des peines Ecclésiastiques défendre la danse les jours des D
eurs Ordonnances, aux jours et aux temps que nous avons marqués, sous peine d’excommunication, ou sous quelqu’autre peine arb
ous avons marqués, sous peine d’excommunication, ou sous quelqu’autre peine arbitraire. Exemplum affertur ex C. Animarum, de
4 (1770) Des Spectacles [Code de la religion et des mœurs, II] « Titre XXVIII. Des Spectacles. » pp. 368-381
uvent diriger, les récompenses encourager, les menaces intimider, les peines arrêter ; mais un exercice qui, éclairant l’espri
double-entente, qui puissent blesser l’honnêteté publique, & sur peines d’être déclarés infâmes, & autres peines qu’i
teté publique, & sur peines d’être déclarés infâmes, & autres peines qu’il écheoira : enjoignons à nos Juges, chacun e
ité de l’action, sans néanmoins qu’ils puissent ordonner plus grandes peines que l’amende ou le bannissement : & en cas qu
evoir des représentations publiques qu’ils feront, que la crainte des peines qui leur seroient inévitables, s’ils contrevenoie
oient sur le Théâtre, étoient chassés de leur Tribu ; ce qui étoit la peine la plus infamante dont les Censeurs punissoient l
ux jours à des filles de théâtre nées dans le libertinage ? De quelle peine ne devroit-on pas punir les insultes qu’elles fon
5 (1686) La Comédie défendue aux chrétiens pour diverses raisons [Traité des jeux et des divertissemens] « Chapitre XXV » pp. 299-346
aux femmes & aux filles Chrétiennes d’épouser des Comédiens sous peine d’excommunication ; que le premierg & le seco
e Concile du Dôme de Constantinoplei en 692. défend aux Laiques, sous peine d’excommunication, de se déguiser ni en Comédiens
ergé d’un si pernicieux scandale, Nous défendons sous de tres-grandes peines à tous les Ecclesiastiques, qui sont obligez ou à
uvoit entrer dans le Roïaume du Ciel & dans la vie éternelle sans peine & sans travail, ceux qui se divertissent aux
st dans ce chemin rude qu’il faut marcher, & souffrir beaucoup de peines & d’afflictions pour entrer dans la vie étern
eurs, les bâteleurs, ni les boufons, sous peine de prison & autre peine arbitraire. » Des Statuts & Ordonnances Syno
« Nous défendons aux Ecclesiastiques sous peine de prison & autre peine arbitraire, de se trouver aux representations de
compagnie, masquez, ne déguisez, sous quelque cause que ce soit, sur peine de confiscation de corps & de biens, sans auc
de logis & hosteleries, en leurs maisons privées, sur les autres peines  : ainsi nous le viennent dire, ou à nos Lieutenan
p; Officiers plus prochains des lieux, où ils auront été trouvez, sur peine d’être dits complices & fauteurs & punis
ur peine d’être dits complices & fauteurs & punis de pareille peine . » « Voulons que la moitié des confiscations so
hose improperée à ceux qui auront ce fait, ne qu’ils encourent aucune peine corporelle ou pecuniaire, d’obtenir grace, remiss
our & de nuit dedans la ville de Lyon ni Fauxbourgs d’icelle, sur peine à chacun des delinquans, ensemble de ceux qui les
s & sepultures, qu’ils appellent de Carnaval. Nous défendons sous peine d’excommunication, de plus faire tels & sembl
mais nous le défendons aussi à tous les Fidéles de nôtre Diocese sous peine d’excommunication & de dix livres d’amende ap
écrit de ces sortes de récréationsc. Mais s’ils veulent se donner la peine d’examiner de bonne foi & sans aucune prevent
ent servir d’exemple aux Laïques, nous leur défendons sous de grandes peines de lutter, ni de danser. » Des Statuts Synodaux
Godeau Evêque de Vencef : « Nous défendons aux Ecclesiastiques, sous peine d’amende, applicable à œuvres pies, d’assister au
6 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SEPTIEME DISCOURS. De la Magnificence des Princes dans les Habits, dans les Festins et dans les Spectacles publics. » pp. 202-209
Car il paraissait dans une lumière si éclatante, que les yeux avaient peine à le souffrir : Il était porté dans un char de fl
e cette cérémonie, ils doivent se ressouvenir que les habits sont les peines du péché, que dans l'état d’innocence, l’homme n’
Prince qui ne mange que quand la nécessité l’y oblige, n’a pas grand peine à modérer sa colère, ni à garder sa chasteté. Les
sister à tant d’appas, et j’avoue que les plus grands Saints auraient peine à conserver leur liberté au milieu de tant d’agré
7 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXV. Conclusion de tout ce discours. » pp. 138-152
aminer les sentiments des autres docteurs. Après tout j’avouerai sans peine , qu’après s’être longtemps élevé contre les spect
. Que si sous les yeux et la discipline de maîtres pieux on a tant de peine à régler le théâtre, que sera-ce dans la licence
idicule, n’en est pas plus chaste pour cela ; et on aura toujours une peine extrême à séparer le plaisant d’avec l’illicite e
s et nos tristesses sont très véritables, puisqu’elles sont de justes peines de notre péché : mais nous n’avons point sur la t
la vérité éternelle manifestée dans notre nature, en a pu prendre les peines qui sont réelles ; mais n’en a pas voulu prendre
8 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152
r décoration, leur habitation, leurs honneurs, leurs amitiés, etc. La peine de l’infamie se fait sentir partout, et les Coméd
Mais les personnes libres ont toujours pu s’y livrer, en subissant la peine de l’infamie. Ce n’est donc qu’à raison de la bas
les Conférences de Paris (Ibid. §. 3. p. 14.) ne nous laissent pas la peine de la faire, elles disent en termes exprès : « Te
moins libre ; les lois réprouvent le serment d’une chose illicite, la peine du parjure ne pourrait tomber que sur celui qui e
u à double entente, qui puissent blesser l’honnêteté publique, et sur peine d’être déclarés infâmes, et autres peines qu’il y
l’honnêteté publique, et sur peine d’être déclarés infâmes, et autres peines qu’il y écherra. Enjoignons à nos Juges, chacun d
ité de l’Acteur, sans néanmoins qu’ils puissent ordonner plus grandes peines que l’amende et le bannissement. Et en cas que le
de leur devoir, des représentations qu’ils feront, que la crainte des peines qui leur seraient inévitables, s’ils contrevenaie
es, leur interdire le théâtre et les punir. Aux menaces on ajoute des peines inévitables, de belles promesses pour les mieux c
imposée par la loi. Dans la jurisprudence Française la loi ordonne la peine , mais elle ne doit être subie que par l’arrêt qui
xécutée que par l’ordre du Juge. C’est une règle commune à toutes les peines  : le voleur, l’assassin, quoique infâme et pendab
n crime, n’est pendu qu’après la condamnation. Il n’y a que certaines peines ecclésiastiques, comme les censures, les irrégula
9 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 4. SIÈCLE. » pp. 120-146
vait    entrer dans le Royaume du Ciel, et dans la vie éternelle sans peine , et sans travail, ceux qui se divertissent aux Sp
c'est dans ce chemin rude qu'il faut marcher, et souffrir beaucoup de peines et d'afflictions pour entrer dans la vie éternell
vertissement, n'est qu'un dérèglement pernicieux qui n'attire que des peines et des supplices. Que sert à l'homme de jouir d'u
iens les récitent devant vous, non seulement vous n'en avez pas de la peine , mais vous en riez, vous vous en divertissez, bie
stez si fort dans vos maisons ; non seulement vous n'en avez point de peine , mais vous vous en divertissez et vous louez ceux
si lors même qu'on est le plus éloigné de ces infamies, on a tant de peine à se conserver dans toute la pureté que Dieu nous
10 (1588) Remontrances au roi Henri III « [Chapitre 2] » pp. 128-135
st un grand désordre certainement, que l’on a journellement si grande peine à obtenir vos lettres pour choses de justice, et
es pour choses de justice, et quand on les a obtenues, la plus grande peine est en la vérificationLettres du Roi sont aisémen
auquel il est oisif, et que après avoir travaillé toute la semaine en peine et tristesseRéfutation desdites raisons., cela lu
11 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XII. Que la représentation des Comédies et Tragédies ne doit point être condamnée tant qu'elle sera modeste et honnête. » pp. 237-250
i donc il est arrivé que le libertinage des Acteurs ait donné quelque peine à la pudeur des Ames Chrétiennes, il ne faut en c
ions, et qui se sont contentés d'en réformer l'abus, et d'imposer des peines rigoureuses contre ceux qui par leurs désordres c
t exposées justement à l'indignation des personnes d'honneur, et à la peine des Lois. Il y a cinquante ans qu'une honnête fem
12 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VIII. Erreurs des Modernes sur ce sujet. » pp. 165-186
on est ce que Valère Maxime ajoute que ce Poète s'étant délivré de la peine de chanter « Et cum vocem obtudisset, adhibito pu
qu'on nommait Embola ou Intermèdes ; et si cet Apologiste eût pris la peine de lire les termes de Pline, ou qu'il en eût cher
où vient que Justinien par ses nouvelles Lois, condamne en de grosses peines ceux qui faisaient jurer ces femmes de ne point q
d'une infinité d'autres bévues qui ne sont pas seulement dignes de la peine qu'on prendrait à les censurer. Mais je ne puis o
13 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54
e tout le reste par les Comédiens & les amateurs, on auroit de la peine à dire avec Boileau (Sat. des Femmes) : Il en
er aux séparations, dont l’usage parmi les amateurs est journalier. A peine dans ce monde comédien, qui s’appelle le beau mon
suffisent pour autoriser le divorce au tribunal de Thalie, & sous peine du ridicule l’arrêt souverain en est porté, &
le est le théatre de Moliere. 4.° On n’y est pas plus consolé sur les peines du mariage & animé à en remplir les devoirs.
& les maux, les devoirs & les travaux, qui consolât dans les peines , soulageât dans les infirmités, aidât dans les af
hiques qu’on n’oseroit sur la scène seulement laisser entrevoir, sous peine d’être déclaré imbécille ou tartuffe, & régal
uer de son incommode mari. On charge même le portrait, on exagère les peines , on grossit les fautes, on multiplie à l’infini l
s dégoûte d’un établissement légitime, & leur en fait trouver les peines insupportables. 5.° Il est de la derniere importa
au prix de ses plus chers intérêts en être volontairement la duppe. A peine cet aveu est-il ou extorqué ou surpris de ce malh
14 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre III. De l’Unité de lieu, de Tems & de Personne. » pp. 211-238
par quelqu’événément surnaturel ? Corneille parait avoir eu de la peine à s’y soumettre. Corneille, le grand Corneill
soumettre. Corneille, le grand Corneille lui-même eut bien de la peine à s’y soumettre. « Quand à l’Unité de lieu, dit-i
re tout au plus. Usage singulier des Chinois. On conçoit sans peine que je ne parle point de la durée de la représent
de Théâtre, en suivant le conseil que je donne ici, se démontre sans peine . Plus on peut faciliter au Spectateur les moyens
ses troupes, & en prèsence des énnemis, l’an 1671 ; or il a de la peine à se figurer qu’une femme de cet âge soit celle q
de personne. Mais le Lecteur sensé n’a pas besoin que je prenne cette peine  : & voulant donner des règles pour la composi
15 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 3-4
d lieu, c’est entreprendre l’impossible, c’est perdre mon temps et ma peine , c’est voguer contre vent et marée ; les gens du
ix heures à jouer tous les jours. S. Augustin a été autrefois en même peine  ; il disait à ses auditeurs (homil. 25. ex 50. ci
16 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Extrait des Registres de Parlement, du 22 Avril 1761. » pp. 210-223
eur sont infâmes, dit-on , dans l’ordre des Loix, il resulte de cette peine d’infamie, que la peine de la Loi contre un délit
, dans l’ordre des Loix, il resulte de cette peine d’infamie, que la peine de la Loi contre un délit, détruit toute autre pe
’infamie, que la peine de la Loi contre un délit, détruit toute autre peine  ; parce que la régle est certaine, qu’on ne doit
17 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. De la Parodie. » pp. 78-89
r un sens burlesque à une pensée noble & sublime. Aura-t-on de la peine à croire, que long-tems avant cet Auteur, on ne s
par les critiques agréables qui les précèdent ou les suivent ! A peine les Français ont-ils une seule Parodie passable.
le genre de la Parodie ; peut-être ne voudra-t-on pas s’en donner la peine . La meilleure que nous ayons en France est, sans
18 (1698) Caractères tirés de l’Ecriture sainte « [Chapitre 1] — DU SEXE DEVOT. » pp. 138-158
s femmes sages et honnêtes, par une fausse accusation ; au hasard des peines portées contre eux par la même loi ; et qui n’all
des terres qu’ils n’ont plus ? Je vous avoue, Agathon, que j’ai de la peine à décider : Car outre que j’ai un penchant nature
blées de charité : Et ces jours-là elles se donnent charitablement la peine de se décorer par merveille ; pour exciter la com
jamais tant de force, que les Lois Civiles portées sous de certaines peines  : J’approuverais fort l’expédient du P.S. qui pro
19 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 12. SIECLE. » pp. 187-190
i vous appellent heureux, vous trompent. C'est de là que viennent les peines fâcheuses    des soupçons, et les cruels tourment
Communion aux Comédiens e aux Farceurs; d'où vous pouvez juger quelle peine méritent ceux qui les favorisent, Si vous vous re
20 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « AU LECTEUR. » pp. -
-t-on, vous être si fort précipité ? Le Public ne vaut-il pas bien la peine que vous limiez ce que vous osez lui présenter ?
ndalisé que ceux qui servent un Dieu clément rejettent l’Eternité des peines , s’ils la trouvent incompatible avec sa justice.
21 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
présente des laurier que je puis cueillir sans me donner beaucoup de peines . Les Opéras-Bouffons, ou les Comédies-mêlées d’Ar
qu’il est aisé de mettre à profit mes leçons. Je démêle pourtant sans peine que l’amour propre livre dans son cœur un furieux
oyait être contraint de respecter toute sa vie. Je parviens, non sans peine , à modérer ses transports ; il se résout à m’écou
urs de l’Encyclopédie, de cet énorme colosse que le tems aura tant de peines à détruire, ont senti la nécessité de s’approcher
22 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatrième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 28-32
e. De quel théâtre ?… Marque-le moi, ma bonne amie. Ursule, voila les peines du mariage, dans les conditions où les richesses
occupations que de fades amourettes : il est homme ; il en prend les peines  ; il en a la dignité* : son bras fait tout. Il fa
23 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre III. Du Bal. » pp. 178-183
tres ; & quelquefois mesme avec toutes ces aydes, on a bien de la peine à la bien concevoir, & encore plus à l’execut
a pas tousiours, & ceux qui le suivront ne l’attraperont pas sans peine , & peut-estre point du tout.
24 (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191
itiquer, non pas pour les suivre. C’est pourquoi ce Docteur est si en peine de savoir comment on peut accorder les commandeme
gien qui a une juste idée de la Religion de Jésus-Christ, trouve sans peine . Il ne sue point dans une longue Dissertation, po
25 (1646) Science du chrétien « Des comédies. » pp. 638-643
et des gestes tout à fait impudiques, je dirai hardiment qu’à grande peine se trouve-t-il chose plus scandaleuse à l’honneur
ou un phénix du siècle ; de croire que ce soit un phénix, j’ai de la peine , dites donc que c’est un trompeur ; mais non, je
26 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
mp; le futile, dont sans cesse il fait ses délices. Je repondrai sans peine à notre malin Critique, à cet homme insensible au
il semble conseiller aux Auteurs Dramatiques de ne se point donner la peine de bien écrire leurs Poèmes, parce que le Sublime
? Je laisse résoudre la question à ceux qui daigneront s’en donner la peine  ; ils seront plus flattés de la décider eux-mêmes
les titres mêmes des Opéras-Bouffons les révolte, & qu’elles ont peine à se résoudre d’aller voir représenter des Pièces
alors, chacun veut avoir la gloire d’y travailler ; il coute moins de peine qu’une Tragédie, rapporte autant d’honneur &
27 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [B] » pp. 380-390
happent a la sévérité des Loix : la Comédie satyrique y attachait une peine d’autant plus terrible, qu’il falait la subir en
plupart des ridicules des Grands sont si bien composés, qu’ils sont a peine visibles : leurs vices sur-tout, ont je ne sais q
éâtre. Georges-Dandin, où sont peintes avec tant de… sagesse [J’avais peine à le lire] les mœurs les plus licencieuses, est u
esse, l’orgueil sont les esclaves, & dont la vertu même a tant de peine a s’affranchir. Les hommes, dit-on, ne se reconna
re, à travers laquelle l’œil clairvoyant des autres les découvre sans peine . Personne ne se corrige, dit-on encore. Malheur à
28 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Lettre premiere. » pp. 2-17
eux objets dans la contestation présente : l’excommunication & la peine d’infamie ; celle-ci sera traitée en une seule Le
x simples fidéles ; ceux-ci doivent se soumettre aveuglement, sous la peine portée dans l’Evangile, d’être considérés comme d
es Spectacles ; mais en parcourant les délits qui sont atteints de la peine d’infamie, comme il a rencontré celui-ci en route
29 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre XI. Du Balet. » pp. 209-318
it du bon sens, ny si emporté dans la debauche, qui ne soûfre quelque peine des choses trop libres & méseantes. Que le Su
chir le Proprietaire. Un Sujet plein & substantiel donne moins de peine à l’imagination, égaye l’ouvrage, & accelere
née, je puis le diviser en trois Parties. La premiere, contiendra les Peines de la matinée ; des Maistres d’Hostel qui vont à
Hyver, &c. Sans doute que ces trois membres que ie n’ay point de peine à retenir, me serviroient à ne pas si-tost confon
sir à ces divertissemens, se delasser ces bagatelles, & flater la peine que les grands emplois luy peuvent couster, de la
trepris, soit pour faire bien faire ce qu’on ne veut pas se donner la peine d’entreprendre. Quel soulagement seroit-ce aux Ve
emandent des soins, du temps, du concert & de l’étude ; & une peine si obligeante, ne sçauroit estre sans quelque sor
riques abstractions de son essence, qui ne nous donneroient que de la peine & de l’embaras. Le Recit est donc un ornement
e nous avons d’aussi habiles François, s’ils vouloient s’en donner la peine ) qu’ils s’apliquent tout autrement que nous à fai
les plus capables de répondre à nôtre fin. Il n’est personne qui ait peine à s’imaginer qu’il est des gens de qualité, &
oyer au Balet. Le Danceu de son costé doit estre intelligent, prendre peine pour entrer dans le sens du Sujet, dans l’esprit
nts, de s’instruire parmy les plaisirs, & de se delasser de leurs peine & de leurs veilles, agreablement & vtilem
horreur : & je ne puis trouver du plaisir en ce qui me fait de la peine . Il est une perfection parmy les Danceus, qui est
nsée, qui frape l’esprit sans effort, & qui donne du plaisir sans peine . Il n’y faut point de la majesté des grands Vers,
loin que les objets visibles, & qui prendront pour une corvée la peine de penser au moyen dont les choses se font, &
30 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Cinquième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 33-39
s pour vos desirs seulement, mais pour ma faiblesse ?… O Ciel !… j’ai peine à me l’avouer… j’ai porté dans une âme innocente,
, c’est assez que vous m’ayiez rendu malheureuse, sans associer à mes peines une victime, dont la vue me ferait mourir de hont
31 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Septième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 282-286
le seul homme au monde digne de ce nom envers moi. P.S. Je sens une peine , dont je ne démêle pas trop bien la cause.… Il me
mienne, je crois, vaut mieux encore. Adieu, courageuse héroïne : j’ai peine à me persuader que tout ceci n’est pas un songe :
32 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE X. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces six parties dans Athalie. » pp. 260-315
ue plusieurs fois, & même l’ont vue représenter, ont encore de la peine à l’entendre, & qu’on se lasse à la fin, D
p; de la vertu de son Fils, pourvu que ce Fils la laisse gouverner. A peine Achille est entré sur la Scene, qu’on connoît ses
oit tout ce qu’elle disoit, J’entendois tout & plaignois votre peine . Ces Lévites & moi, prêts à vous secourir,
t ce qu’on éprouve lorsqu’on a rompu la mesure des Vers. On a quelque peine à la rompre quand les Vers sont écrits dans un st
e, trempé de son sang. Jesabel immolée près de ce champ fatal ; cette Peine foulée sous les pieds des chevaux, les chiens dés
ue ; les Vers les plus pompeux de Phedre ont peut-être couté moins de peine à l’Auteur. Joas parle souvent de Dieu, & ne
, parce que quand Armide est absente, tout l’ennuie, tout augmente sa peine . Puisque dans la douleur, & dans le trouble d
le Musicien, également gênés l’un par l’autre, se donnent bien de la peine à faire un méchant ouvrage. Pour qu’il fût encore
me est immortelle.   Est-ce périr   Que de mourir ? &c. J’ai peine à croire que Caton paroisse jamais sur notre Théâ
33 (1675) Entretien sur les tragédies de ce temps pp. 1-152
oïques, des passions si tendres, et des pensées si nobles, j’ai de la peine à comprendre comment un même Auteur aurait pu pro
Sacrifice auquel Agamemnon se dispose ; et cependant Achille a de la peine à demeurer seul avec elle. Sophocle n’est pas moi
i ont pu vous rebuter. J’en ai trouvé moi-même qui me faisaient de la peine , mais je n’ai pas été si délicat que vous ; je le
pas pour ces Pièces, je m’en tiens là, et je ne veux pas me donner la peine d’examiner, si ces sujets ont quelque chose d’inc
gédies : mais quelque heureux que fussent ces sujets, on aurait de la peine à les faire réussir dans un autre pays que celui-
e monde. TIMANTE. Ce n’est donc plus que le nom qui vous fait de la peine , j’approuve votre délicatesse, et je veux bien av
nt les meilleures de nos Tragédies qui sont en ce genre. On a tant de peine à trouver de nouveaux sujets, parce qu’on veut to
er à ces Auteurs, serait de travailler sur un autre sujet. J’ai de la peine à croire que leur Iphigénie soit jouée durant tro
ue. Quand une fois le Public s’est déclaré pour une Pièce, il a de la peine à changer. Au reste, ne croyez pas que des Auteur
34 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre II. Utilité des Spectacles. » pp. 8-21
le Théâtre est heureusement très-médiocre ; leurs vaines clameurs ont peine à se faire entendre. Ils pourraient se vanter d’a
éffet, l’intérêt d’un Etat le porte à le maintenir. La Police aurait peine à conserver le bon ordre dans les Villes, si chaq
ombien ils sont dans l’erreur. Je ne veux pourtant pas m’en donner la peine  ; j’ai dessein d’éclairer ici des gens un peu plu
35 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
s l’apparence du plaisir. Non seulement on a voulu distraire de leurs peines ces enfants adultes ; on a voulu que ce Théâtre,
vre avec les vôtres que pour y penser toujours ? Vous avez bien de la peine , ajoutez-vous, à concevoir cette règle de la Poét
ier leurs pleurs. Si quelque chose au contraire adoucit à nos yeux la peine de Titus, c’est le spectacle de tout un peuple de
ont point cette ressource à nous offrir ; ils sont l’image fidèle des peines qui nous affligent ou qui nous menacent ; un Roi
ont propres à nous distraire de nos maux, et à nous consoler dans nos peines  : pourquoi refuser à la plus aimable moitié du ge
ce de corps, sans talents, sans étude qui puisse les arracher à leurs peines , et les leur faire oublier quelques moments, elle
ts et moins vifs que les nôtres ? Ils ne le devraient pas être. Leurs peines viennent ordinairement du cœur, les nôtres n’ont
ue j’ai proposé l’établissement d’un Théâtre dans leur Ville, et j’ai peine à croire qu’ils se livrent avec autant de plaisir
cette ville, qui désireraient d’y avoir un Théâtre, fourniraient sans peine à une partie de la dépense ; c’est du moins la di
rs de la campagne, et aux exercices militaires dont vous parlez. J’ai peine à croire aussi qu’on ne pût remédier par des lois
36 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE II. » pp. 18-28
favorise son opinion touchant la Comédie Françoise. Il prétend que la peine d’infamie dont les Histrions ou Farceurs sont flé
eprésentation, quiconque y paroît se donnant en spectacle, encourt la peine d’infamie. Scena est, ut Labeo definit, quæ ludo
37 (1675) Lettre CII « Lettre CII. Sur une critique de son écrit contre la Comédie » pp. 317-322
nos œuvres, et qu’il nous reproche nos péchés, nous avons même de la peine à le voir, parce que sa vie est différente de la
tout le livre à la plus injuste censure, plutôt que de prendre de la peine à le défendre. Sap. 2. 12. a. [NDE] : Cette let
38 (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325
, & cette patience inspirée par le Demon sera chastiée des mesmes peines que celuy dont elle favorise les interests par sa
s ne se sont pas opposez à cette persidie ; il leur fera souffrir des peines eternelles, parce qu’ils ont endure des offenses
er à l’honneur, & à la bien-séance, & de ne se mettre plus en peine d’estre en execration à tout ce qu’il y a de rais
ntenter, & que les bons, à moins d’estre bien éclairez, ont de la peine à y découvrir ce qui merite la censure, & son
’attachent ny à la vertu, ny au vice ; & il n’auroit pas moins de peine à se reconnoistre luy-mesme, s’il avoit le loisir
la Comedie ; & pourquoy. Quelques-uns des Fideles ayant de la peine à se priver de ces divertissements demandoient au
s causeroient-ils tant de chagrins secrets ; nous causeroient-ils ces peines que nous avons à nous souffrir nous-mesmes, ces m
purifiez par les rigueurs de la penitence, ou d’estre condamnez à des peines eternelles ? Les plaisirs du Chrestien sont des p
e estoit informée de ces desordres ; ce soin ne causeroit pas plus de peines aux Magistrats, que celuy que les loix leur donne
 ; que la connoissance, que les commandemens, que les bienfaits, j’ay peine d’ajoûter que les promesses, que les menaces d’un
l’Eglise, & de l’Estat avec un succés si glorieux, égaleroit sans peine les precedens par un établissement si raisonnable
39 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54
n doive être estimée honnête. L’excommunication et l’infamie sont des peines qui n’ont jamais été infligées que pour des péché
vivre honnêtement employer son esprit et mettre tout son temps et sa peine aux jours mêmes qui sont consacrés au service div
ur procurer leur salut ; et vous vous donnez toutes vos sueurs et vos peines pour les souiller de plus en plus, et pour procur
Chrétiennes d’épouser des Comédiens, ou autres gens de Théâtre, sous peine d’être retranchés de la Communion de l’Eglise. Le
ant soit peu raisonnable, que de consacrer son esprit, ses soins, ses peines , et sa vie au divertissement de quelques fainéant
ints jours des Dimanches et des Fêtes, comme aussi d’y assister, sous peine d’excommunication, c’est une contravention formel
40 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199
On n’y exige rien des fidèles, comme dans l’excommunication, où sous peine d’excommunication mineure, on leur défend de comm
rt peu connus des amateurs du théâtre. Une censure en général est une peine par laquelle un Pasteur prive sa brebis de quelqu
e quelque bien spirituel. L’excommunication est la plus grande de ces peines , qui prive de tous les biens spirituels communs a
en parlent assez négligemment, comme d’un objet qui ne valait pas la peine de porter des censures, et se contentent de dire
tous leurs défenseurs, qui en se récriant contre la rigueur de cette peine , ou tâchant de l’éluder, de la faire lever, en on
é, non pas révoquer en doute, mais traiter d’injuste ou de nulle, une peine dont ils reconnaissaient la vérité : « Quid de Hi
41 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre III. Autre continuation des Mêlanges. » pp. 45-87
quand on les voit dans un être qu’on adore. En eût-il d’abord quelque peine , en répétant ces pieux exercices, il se familiari
foiblie de cette affection barbare. C’est la satisfaction maligne des peines d’autrui, la méchanceté brouillonne & folâtre
au travail, tandis que d’autres dans l’abondance s’engraissent de la peine & de la sueur des premiers. Si ces opulens ne
s négligences sans nombre ; sa mollesse voluptueuse ne prit jamais la peine de rien corriger. Le Dieu du Goût, dans le Temple
une troisieme édition très-soignée, avec des notes. C’est bien de la peine perdue. M de la Harpe, qui en parle dans le Mercu
amp; faire avec lui bonne-chere : c’est-là toute la lettre. Est-ce la peine d’écrire & de faire gémir la Presse. Puisqu
une foule de lacunes, se confirma dans ses idées, & la livre sans peine à l’officieux historien qui veut la donner au pub
ngularités instructives qui m’ont frappés. Ce voyageur monta avec des peines & des dangers infinis jusques sur le sommet d
de notre hemisphere se réunit comme dans un point. Nous revînmes avec peine de notre extase, & nous crûmes pendant long-t
42 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des caractères & des Mœurs Tragiques. » pp. 131-152
ure suffisent pour qu’on s’en contente. A-t-on besoin de se donner la peine de l’appuyer du jugement ? Non, sans doute, il fa
tête, & ce sont des oracles. Acquiereroit-il des connoissances ? Peine inutile ! On lui suppose tout. Le bel esprit n’a
l’autre. Preuve que, quand une idée nous plaît, nous avons bien de la peine à la rejetter, quelque fausse qu’elle puisse être
43 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401
res juges du royaume, qui ne peuvent, qui ne doivent qu’appliquer des peines dictées par nos codes, et bien exprimées pour cha
le autre autorité que la sienne ne peut infliger à ses sujets quelque peine que ce soit, surtout lorsque ces peines deviennen
infliger à ses sujets quelque peine que ce soit, surtout lorsque ces peines deviennent infamantes, et attirent sur ces mêmes
44 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. » pp. 32-50
i font gémir les fidèles, même au milieu des remèdes. La peinture des peines qui accompagnent les passions ne suffisent pas to
ien propres à modérer nos sentiments au besoin ? Pourquoi l’image des peines qui naissent des passions effacerait-elle celle d
e l’enfer vous vous condamnez vous-mêmes ici-bas aux plus rigoureuses peines . Et quelles plus grandes peines, je vous le deman
us-mêmes ici-bas aux plus rigoureuses peines. Et quelles plus grandes peines , je vous le demande, peut-on imaginer, que de nou
45 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  RECAPITULATION. » pp. 382-390
isemblance d’une Action, ces trois Unités, dont nous avons eu tant de peine à comprendre la nécessité. On peut, dans le Prome
r, & soutenez ma haine, O cendres, mon espoir aussi bien que ma peine . Cinna, Rhodogune, ne nous coutent point de la
46 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [K] » pp. 421-424
ent que les Acteurs s’y méprissent eux-mêmes. Il se livrait donc sans peine à la supposition sur laquelle les incidens de la
incidens de la Pièce sont fondés, au lieu que nous avons beaucoup de peine à nous prêter à cette supposition, dans la Représ
47 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXII. Passages de Saint Ambroise et de Saint Jérôme sur les discours qui font rire. » pp. 124-131
oins sévères. Saint Thomas cite un passage de Saint Ambroise, qu’il a peine à concilier avec Aristote. Il est tiré de son liv
outent : que si Saint Thomas par l’autorité d’Aristote, dont on avait peine à se départir en son temps, semble peut-être pous
48 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « APOSTILLE » pp. 33-57
Comme ils ne savent pas eux-mêmes ce qu’ils veulent dire, on a de la peine à le deviner, et plus encore à y répondre, puisqu
e foule du peuple, que fort peu de gens qui se soient voulu donner la peine de la regarder. Il n’en est pas arrivé de même au
ue Dieu doit bien punir d’autres crimes avant que nous faire payer la peine de ceux qui se sont glissés dans les comédies, en
49 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17
ïque, qu’il soit excommunié. On voit que ce Concile ordonne les mêmes peines que les précédents ; cependant il est certain que
nces, de Bayeux, de Reims ; mais tous ces Rituels ordonnent les mêmes peines contre les Comédiens. Il y a des Rituels particul
très grands désordres, puisqu’elle emploie contre les Comédiens, les peines les plus rigoureuses, savoir, l’excommunication,
50 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286
musique. On a vu dans le Chapitre du grand-Opéra combien l’on eut de peines à sortir de cette erreur. Dès qu’on se fut apperç
sieurs mots de suite. Je demande à ces gens délicats, qui ont tant de peine à écouter les ouvrages de nos Compositeurs, s’il
aux accens naturels de la voix ; on ne le retient qu’avec beaucoup de peine  ; on ne peut le faire valoir qu’après une pénible
nir : les Italiens tombent dans ce défaut plus que les Français. On a peine à s’accoutumer aux intervales fantasques de leurs
ent quelquefois l’étendue de l’octave, & que les plus habiles ont peine à entonner juste. Les Tenues sur-tout impatienten
51 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 19-42
nt. Je le voudrois aussi pour ces Dames : car elles auront bien de la peine de surmonter le respét humain pour satisfaire à l
d de corruption, une opposition à la pieté : de là vient cette grande peine , qu’il a à goûter les choses divines. Quelle espe
lieu de la Terre Sainte, où tout inspira de la pieté, sentit toute la peine du monde pour se recueillir ; & il avoue lui
doles , cela n’est pas mauvais en soi : … ne vous faites donc pas une peine de ne pouvoir user de la liberté que vous avez de
e l’aversion. Je finis, Madame, & s’il y a encore quelqu’un qui a peine à souffrir, qu’on lui dise, qu’il ne lui est pas
52 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Extrait du Privilège du Roi. »
te Réponse, à peine d’amende, confiscation des Exemplaires, et autres peines portées par ledit Privilège. Registré sur le Livr
53 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Parfums. » pp. 112-137
oient l’ivresse à quelque excès qu’on se livrât, ce que je crois sans peine . Les odeurs ont donc deux belles qualités, de fav
mauvaises, il ne s’en plaint nullement, n’en témoigne pas la moiudre peine , quelque aversion naturelle qu’il en ait. Il visi
ppellé épitimium, nom vague qui peut s’appliquer à diverses sortes de peines , mais qu’on croit assez communément être la suspe
ndale qui a l’odeur contagieuse du péché ; le péché mérite toutes les peines  ; elles servent à l’expier. Il y a plus à souffri
s de l’amour. Toute la Théologie reconnoît que dans l’enfer, outre la peine du dam, on souffre la peine des sens, & que d
ogie reconnoît que dans l’enfer, outre la peine du dam, on souffre la peine des sens, & que dans le Paradis outre la visi
54 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
anathèmes. Vous pleurerez, vous vivrez dans la souffrance et dans la peine  ; voilà le sort des prédestinés : Plorabitis et f
lus en détail : car sans cela, Chrétiens, peut-être auriez-vous de la peine à bien concevoir ma proposition, et peut-être dan
vêtement ; ce jeu tres-commun prive des domestiques du fruit de leurs peines , et ruine toutes leurs espérances ; ce jeu très-c
’on dise après cela que les temps sont difficiles, qu’on a bien de la peine à se maintenir dans son état, qu’on est obligé de
est-il moins violent dans le cœur ? et n’est-ce pas alors une double peine que de la ressentir toute entiere au dedans, et d
temps, aux lieux, à bien des circonstances dont elle n’a guere été en peine jusqu’à présent, c’est ce qu’on traitera d’exagér
tôt, et qu’elles seront suivies d’un malheur éternel, au lieu que vos peines passageres se changeront dans une félicité parfai
55 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — IV. La Comédie considérée en elle-mesme. » p. 8
jette sur les piéces réprésentées sur le Théâtre, on s’apperçoit sans peine qu’elles ne tendent qu’à accréditer le vice &
56 (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Extrait du privilège du Roi. »
* * * d’imprimer, vendre, ni débiter ladite Réfutation, etc. sur les peines portées à l’Original dudit Privilège. Registré su
57 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Réfléxions sur le plaisir qu’on ressent à la représentation d’un Poème comique, & sur la douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. » pp. 113-123
à plaindre les infortunés, que jamais au Théâtre on n’a éprouvé avec peine ces sentimens, tout douloureux, tout déchirant qu
éresser au sort de l’innocence persécutée ? La douleur n’est plus une peine alors, elle est un plaisir. Que les larmes qu’on
58 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VIII. » pp. 131-157
eut été pire que le mal : on se contenta d’infliger aux Comédiens1 la peine d’infamie un Chevalier Romain fut dégradé pour av
nt point l’azile de la sagesse, la vertu d’un Caton auroit bien de la peine à s’y soutenir. Cur in Theatrum2 severe Catone,
; que la seule raison les ait convaincus d’une maxime qu’on a tant de peine à faire saisir à des personnes qui se disent écla
59 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XI. Les Grecs ont-ils porté plus loin que nous la perfection de la Tragédie ? » pp. 316-335
à tous les Principes établis pour la Tragédie par Aristote. Il auroit peine cependant à l’appeller Tragédie, il ne la mettroi
ritannicus eût-elle été couronnée à Athenes, puisqu’elle a eu tant de peine à plaire à des Spectateurs qui n’étoient point Pe
’observent point du tout, & parce qu’ils veulent être Poëtes sans peine , veulent nous faire accroire que cet usage est ba
60 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 6. SIECLE. » pp. 180-181
a malice et aux voluptés ; et il arrive souvent que nous passons sans peine les journées entières au Théâtre dans les convers
61 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE VIII. Dans quelle Nation la Poësie Dramatique Moderne fit-elle les plus heureux progrès ? » pp. 203-230
t nombre, au lieu qu’en ne les suivant pas j’aurois beaucoup moins de peine , & je plairois aux ignorans qui sont en très
afin de ne la point perdre pour toujours, fait cette reflexion sur sa peine , la Vigne coupée à propos en devient plus belle,
les des Italiens, à l’égard de leurs Tragédies elles ne valent pas la peine qu’on en parle : les nommer seulement c’est inspi
t est curieux. Dans le tems, dit-il, que je marchois avec beaucoup de peine , mais aussi avec beaucoup d’honneur par le beau c
62 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27
out pour les Ecclésiastiques, qu’il déclare encourir les plus grandes peines , s’ils y assistent. Entre autres autorités, il ci
e cette loi, et dans la Novel. 123. il renouvelle cette défense, sous peine d’être interdit, et renfermé pendant trois ans da
ient sévèrement défendus aux Ecclésiastiques, et dans la plupart sous peine de suspense encourue par le seul fait, comme Narb
nistres des autels sont-ils faits pour de pareils travaux ? est-ce la peine de quitter le monde pour en étaler les pompes et
63 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
eprésentations Dramatiques, en même-temps qu’on interdirait, sous les peines les plus sévères, cette occupation à tous les Cit
ue ravage parmi les Spectateurs. Ensuite, il prononcera tout-haut les peines que ces fautes méritent ; à chaque sentence, le s
s mains, de la part du Public, signifiera grâce ou justice. XVI. Les peines qu’on infligera aux Comédiens, selon la gravité d
ins, pour un temps. 2. Pour désobéissance, révolte, le fouet ; (cette peine sera infligée derrière la toile) ensuite aux Bala
sement punis à la seconde, & renfermés. A l’égard des femmes, les peines qu’on leur infligera, seront très-humiliantes : o
64 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
ue infini de péchés, qui composent une longue chaine, dont on a de la peine à voir la fin. Il y en a qui précèdent la danse,
hui votre passion, elle se révoltera demain ; et vous aurez autant de peine à vaincre cette nouvelle attaque, que la première
paradis de délices, où Jésus-Christ n’a trouvé que des amertumes, des peines et des douleurs. Mais, répondrez-vous, toujours v
assent revenir dans votre premier état. J’avoue que vous sentirez des peines par les respects humains, et par la contradiction
s la liberté des Enfants de Dieu mérite bien que vous souffriez cette peine pour l’obtenir : le Ciel ne se donne pas pour rie
65 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Av Roy. » pp. -
soin de ses delassemens ; & que pour tant & de si glorieuses peines , nous luy preparions quelques plaisirs. Voicy les
66 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Le Comte de Chavagnac & le Marquis de… » pp. 188-216
çurent, la jalousie excita une révolte générale, que j’eus bien de la peine à appaiser. Enfin nous arrivames au terme. Il fal
ar le récit que je lui en fis à mon retour à Versailles, n’eut pas de peine de l’attirer dans son parti contre les Alliés, da
ut à feu & à sang. Il fut entierement ruiné, & eut bien de le peine à se retablir : Ignis usque ad consummationem de
qu’elle lui remit, afin d’en obtenir un rendez-vous. Il l’obtint sans peine . On en fit avertir l’Electeur, qui les prit sur l
qui la trahit. Mais n’en voilà que trop. Ces folies ne valent pas la peine qu’on en parle. Nous avons seulement voulu faire
te de nudités : abus infame de l’art, dont les plus libertins avoient peine à soutenir la détestable indécence. Le théatre es
67 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
rotestante en général. J’ai examiné ce jugement ; & j’ai vu, avec peine , qu’il semble que vous soyez le premier à transgr
ne plus croire ni à la Divinité de Jésus-Christ, ni à l’éternité des peines de l’Enfer ; mais vous rendez ensuite la proposit
68 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE III. De la comédie et des comédiens chez les païens et chez les chrétiens. » pp. 101-112
rt était un juge, son opinion serait homicide, elle constituerait une peine , une punition plus ou moins grave. Cette opinion
s ses supérieurs. En attendant il doit s’éloigner de son emploi, sous peine d’être violemment soupçonné du crime de faux ; te
69 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PENSEES SUR LES SPECTACLES. » pp. 1-12
dangereuses, que le plaisir qu’elles causent, n’est point mêlé de ces peines et de ces chagrins qui suivent les autres passion
épandre, et on la fait sortir de son cœur, où elle avait déjà tant de peine à rentrer. On lui cache son véritable bonheur, on
70 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies a corriger. » pp. 295-312
odant à l’amiable pour ne pas se ruiner et pour ne pas se charger des peines et des inquiétudes d’esprit qu’ils apportent : ce
rné ces deux passions en ridicule ; en forte que depuis Molière, j’ai peine à croire que le vrai style de la Comédie se soit
71 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Madame de Longueville. » pp. 40-83
reste des princes que les marques de l’infirmité humaine, & de la peine du péché ; du lit des noces on va au tombeau, &am
érite pas qu’on la compte au rang des choses que l’on peut aimer. A peine fut-elle rétablie qu’il fut déclaré une guerre ou
indifférence une querelle de femme, qui, selon lui, ne valoit pas la peine qu’il montât sur le théatre. Il ne fut pas si tra
e à cet élément, elle pensa être noyée, on la retira avec beaucoup de peine , enfin la barque la transporta dans un vaisseau a
er chef ; défend d’avoir avec eux aucune communication sous les mêmes peines . On l’envoie au Parlement ; & ce même Sénat,
ceux pour qui ils avoient levé des troupes ; ils n’eurent pas plus de peine à les rétablir peu de temps après. Une nouvelle D
mis entre ses mains sacrées les rênes du gouvernement : le Roi avoit peine à passer dans les rues, par la foule innombrable
mari avoit beau se rendre son garant, il n’obtint qu’avec beaucoup de peine pour elle la permission d’aller à Moulins auprès
72 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « Réfutation des sentiments relachés d'un nouveau Théologien touchant la Comédie. » pp. 1-190
logien prendre un parti pour lequel un homme du monde aurait eu de la peine à se déterminer. J'en connais même un, distingué
es, et les donnent à représenter à des Comédiens, on les souffre avec peine , et l’on attribue leur conduite ou à l’intérêt qu
lains votre Ordre, je suis persuadé que votre Lettre lui a fait de la peine , on en ressentirait à moins : peut-être même lui
our vous des sentiments aussi favorables que moi : cela me fait de la peine . Votre ami devait se contenter de vous faire pass
voulaient assouvir leurs sales passions. Pour vaincre entièrement la peine que vous pourriez avoir de vous laisser persuader
point d’honneur que pour la sûreté de leur conscience, je n’ai pas de peine à croire qu’ils vous pardonneront facilement, ce
presque partout, comme tout autre que vous en demeurera d’accord sans peine . En vérité pour des gens qui conviennent dans cer
suspect. Comme je ne l’ai jamais lu, et que je ne me mets pas fort en peine de le lire, je veux bien vous en croire sur votre
lu, ni vu représenter ces Pièces ; tous les autres conviendront sans peine avec moi de ce que j’en dirai. Car peut-on, par e
ût, le reste ne coûte plus rien au corrupteur, il s’est épargné de la peine  ; les Acteurs ont soin de parler pour lui, et d’i
sait que trop que je n’avance rien de faux ; mais si vous avez de la peine à m’en croire, peut-être ajouterez-vous plus de f
mais, comme j’ai déjà dit, dans celle du Public que vous aurez de la peine à faire changer. Les Comédiens en sont assez pers
it soin ou de renvoyer ou de supprimer. Elle se faisait une véritable peine dans le monde de dire avec qui elle était logée,
es, quoiqu’ils soient exempts des excès des Anciens. Je pourrais sans peine vous faire voir que Saint Chrysostome, Saint Augu
ux dont j’ai rapportés les sentiments. Mais quand je le pourrais sans peine , je ne le pourrais pas sans être encore bien long
tre Docteurs, surtout s’ils le sont de Sorbonne. Il en coûte assez de peine , de veilles et d’argent, pour pouvoir mériter et
l’indignation que ce grand Prélat a témoignée de votre Lettre, et les peines qu’il vous en a fait ressentir, vous doivent main
i ne sont pas opposés à cet esprit de pénitence. On pardonnerait avec peine à un homme du monde d’ignorer ces premiers princi
e ce fût là votre unique occupation. Je n’aurais pas sans doute eu la peine de réfuter vos sentiments. Arrêtez-vous donc à ce
73 (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303
s deux Auteurs pour expliquer divers endroits qu’on avait beaucoup de peine à entendre dans les Homélies que S. Chrysostome f
Sénateurs à y assister toujours, et Dion rapporte que pour adoucir la peine qu’ils avaient d’être si longtemps aux spectacles
surmonte pas facilement, parce qu’en effet il eut lui-même bien de la peine à faire cesser la superstition des Lupercales. « 
ont peu à peu si fort altérées. Et si jusqu’ici nous avons eu tant de peine à conserver par des exercices honnêtes, un peu de
s dictu, visu, auditu cum insania Circi, cum impudicitia Theatri. » A peine le relâchement assez naturel à l’homme allait fai
quelque Auteur qu’il soit, si le prétendu Théologien s’était donné la peine de le lire, il n’aurait pas eu la hardiesse de di
ise, ils en seront chassés. Et au Canon 67213, le Concile défend sous peine d’excommunication aux femmes Chrétiennes ou Catéc
Laïques d’y assister, aux premiers, sous peine de déposition, et sous peine d’excommunication aux Laïques. On vit au milieu d
s cette faute ; et que s’ils ne se corrigent point, ils encourent les peines qui ont été autrefois prescrites. La peine est pr
point, ils encourent les peines qui ont été autrefois prescrites. La peine est principalement marquée au Concile de Laodicée
ment et bannis : mais le Concile général, qui ne prescrit ici que des peines Ecclésiastiques, ordonne seulement trois ans de p
qu’une telle profanation serait punie par le bannissement et par des peines corporelles. Théganus dans sa Chronique depuis 81
en des gens s’y trompent ou veulent s’y tromper, ne se donnant pas la peine de discerner les décisions absolues des Scholasti
Parlement ne pouvait tolérer. Il l’interdit en effet sous de grièves peines par le même Arrêt dont quelques-uns des motifs, s
ystère de la Passion de Notre Sauveur, ne autres Mystères sacrés, sur peine d’amende arbitraire, leur permettant néanmoins de
aire publier à son de trompe le présent Arrêt dans la huitaine, « sur peine , dit l’Arrêt, de s’en prendre à eux, en cas de dé
et non pas en 1260. comme le veut le P. Hardouin, avait défendu sous peine d’excommunication, les danses qui se faisaient ce
cile de la Province de Tours tenu en 1448. défend ces Spectacles sous peine d’excommunication. Un Concile de Paris assemblé e
sées de Prêtres, de femmes et de bouffons ; le Synode les défend sous peine d’excommunication et d’une amende arbitraire, ord
thum indigne contaminant, districte prohibeantur  » ; il ordonne sous peine d’excommunication, qu’on ne danse, ni qu’on chant
Provincial de Reims de 1583. celui de Tours tenu en 1585. défend sous peine d’excommunication, les Comédies, les jeux scéniqu
zèle et par son savoir aux Evêques des premiers siècles, défend sous peine d’excommunication dans ses Ordonnances et instruc
Pères, les plus Saints Prélats. » Il défend d’aller à la Comédie sous peine d’excommunication, et ordonne aux Confesseurs de
rlement une Déclaration du Roi par laquelle après avoir renouvelé les peines ordinaires contre les Comédiens, « qui usèrent d’
pour les secourir. Je finis, Messieurs ; mais si vous vous donnez la peine de lire un Sermon du P. Cheminais Serm[on]. sur l
xaminée. Mais de peur que vous ne m’accusiez de vouloir m’épargner la peine de vous répondre ; voici ce que je pense sur ces
s auront témoigné. Voyez, Monsieur, si cela a quelque rapport avec la peine toujours décernée contre les Comédiens. Troisième
parle aussi d’une manière qui vous satisfera, si vous vous donnez la peine de lire le quatrième Traité du Monarque, Discours
très grand péché. Les Pères et les Conciles défendent sous de grièves peines d’avoir aucune part aux courses des chevaux dans
74 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre V. Des Ioustes. » pp. 186-187
Mer, soit sur les Rivieres, pour les accoustumer au peril & à la peine , & pour oster, ou du moins diminuer la surpri
75 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. » pp. 297-328
it plus au genre ni au sens des paroles ; il cesserait de peindre les peines ou les plaisirs de l’amour ; il ne ferait plus na
être gai, léger, & faire assez d’impression pour être retenu sans peine . Pourquoi les Poètes l’ont placés à la fin de
s’est faite à un chant vif & soutenu par l’harmonie, ne peut sans peine entendre ensuite un chant trop simple, qui lui pa
sont d’une mesure égale ; il est alors à supposer qu il a eu plus de peine à rendre sa pensée. Il faut encore que le Rithme
76 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
ayez beaucoup en autre chose. D'ailleurs, je crois qu’on aurait de la peine à vous faire entendre raison sur le sujet de l’au
e lire le reste où le secours de cette traduction leur manque, par la peine qu’ils auraient à l’entendre ? Que peut-on donc d
u’on le ramène. N'est-il pas vrai, Monsieur, que vous avez bien de la peine à comprendre comment il peut y avoir des gens de
isque de faire insensiblement l’éloge de la Calprenède1. Cela vaut la peine que vous y songiez. Cependant, Monsieur, je crois
77 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
x, et surtout les plus réformés ; et je vous avoue que j’aurais de la peine à les sauver du péché mortel, aussi bien que les
se vie, et de défendre aux Hôteliers et à tous autres sous de grièves peines , de les recevoir chez eux. » Dans le troisième Sy
rs intrigues. Qu’ils se plaignent plutôt d’eux-mêmes : c’est la juste peine de les avoir menées dans ces Ecoles infâmes, où l
21. Et l’autre défend aux Clercs d’assister aux Jeux du Théâtre, sous peine d’être interdits de toute fonction Ecclésiastique
78 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
uisse blesser la pureté des mœurs ; ce que je ne me suis pas donné la peine de rechercher. HERACLIUS. L’Amour d’Eudoxe
l’ennemi déclaré de la passion d’amour sur la Scène ; et j’avoue sans peine qu’il aura raison : cependant, autant que je suis
Je ne sais si je me suis trompé ; mais, en tout cas, je soumets sans peine mon jugement à la décision de mon Lecteur, à laqu
treprise ne pourrait réussir de nos jours. Si pourtant on se donne la peine de lire avec attention la mort de César, de M. de
79 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre prémier. Le sujet. » pp. 160-182
; le Spectacle moderne n’en est point susceptible ; on l’avouera sans peine si l’on connait bien son genre & sa nature ;
nt moins difficile, puisque les sujets sérieux viennent s’offrir sans peine . Il est vrai que son stile arrête, embarrasse que
es Poètes qui se consacrent au Théâtre moderne ont peut-être certaine peine à rencontrer des Sujets. Je vais leur en proposer
80 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264
os Pasteurs que vous prétendez être Sociniens parfaits et rejeter les peines éternelles, qu’ils vous ont confié là-dessus leur
dalisé que ceux qui servent un Dieu clément, rejettent l’éternité des peines , s’ils la trouvent incompatible avec sa justice.
tout le contraire, et purger les passions en les excitant : mais j’ai peine à bien concevoir cette règle. Serait-ce que pour
à l’art. Ils disent enfin que la peinture fidèle des passions et des peines qui les accompagnent, suffit seule pour nous les
ien propres à modérer nos sentiments au besoin ? Pourquoi l’image des peines qui naissent des passions, effacerait-elle celle
s n’ont nul accès au Théâtre, dont la moindre contrainte11 ferait une peine et non pas un amusement. L’opinion n’en dépend po
s, des consolations, des travaux qui pourraient nous associer à leurs peines , qui coûteraient du moins à notre indolence, et d
ce au Spectacle et n’en trouvait point ; de jeunes gens, le voyant en peine , lui firent signe de loin ; il vint, mais ils se
lles commodes suppositions, on les rend permis, ou pardonnables. On a peine à ne pas excuser Phèdre incestueuse et versant le
point-là le Misanthrope : c’est un honnête homme du monde qui se fait peine de tromper celui qui le consulte. La force du car
donc, traître ?m qu’avait-il à répliquer ? En vérité, ce n’est pas la peine de rester Misanthrope pour ne l’être qu’à demi :
u’il paraîtrait aux yeux du Public, s’il était tout à fait sage. On a peine à quitter cette admirable Pièce, quand on a comme
ruction pour la jeunesse que celle où les hommes faits ont bien de la peine à se garantir de la séduction du vice ! Est-ce à
r par exemple sensible que ces instruments ne sont ni des lois ni des peines , ni nulle espèce de moyens coactifs. Cet exemple
des offenses, et sur les occasions où un brave homme est obligé, sous peine d’infamie, de tirer raison d’un affront l’épée à
on, jusqu’à l’infamie inclusivement qu’on aurait pu regarder comme la peine capitale décernée par la Cour d’honneur ; que tou
mme la peine capitale décernée par la Cour d’honneur ; que toutes ces peines eussent eu par le concours de l’autorité suprême
pouvoir de les changer, à moins qu’il ne change, il a même bien de la peine à les maintenir contre les accidents inévitables
leurs yeux ce regard timide et tendre auquel on résiste avec tant de peine  ? N’est-ce pas elle qui donne à leur teint plus d
r était pas même permis d’assister à tous, et l’on sait qu’il y avait peine de mort contre celles qui s’oseraient montrer aux
s, une femme honnête et sage, exposée au moindre danger, a bien de la peine encore à se conserver un cœur à l’épreuve ; et ce
, pensionnés du Roi, et propriétaires de leur Théâtre, ont bien de la peine à se soutenir à Paris avec une assemblée de trois
ntiments, ils ont pour tout mérite ce tour facile qu’on n’a pas grand peine à donner à des riens. Ces foules d’ouvrages éphém
e la galanterie étouffe à la fois le génie et l’amour. Pour moi, j’ai peine à concevoir comment on rend assez peu d’honneur a
dans ses abus, quand les abus peuvent être prévenus sans beaucoup de peine , ou tolérés sans grand préjudice, ils peuvent ser
ie 38. 8. [NDA] Pour peu qu’il anticipât, ce Molière lui-même avait peine à se soutenir ; le plus parfait de ses ouvrages t
s familièrement avec les femmes, ils ont trouvé que ce n’était pas la peine de se battre pour elles. L’ivresse et l’amour ôté
nature lui impose également l’exercice et le repos, le plaisir et la peine . Le dégoût du travail accable plus les malheureux
81 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « A MADAME LA MARQUISE DE B… » pp. 302-316
s. » MELPOMÈNE. « Le Ciel à peu de Gens fait de pareilles grâces. A peine en tout un Siècle en voit-on deux ou trois Dignes
loin pour vous y laisser : deux de mes Amis, que vous n’aurez pas de peine à reconnaître quand vous saurez qu’ils me viennen
82 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « [Introduction] » pp. 1-9
es habits, de l’entretien, s’imposent sans difficulté, se lèvent sans peine  ; on ne trouve pas un sol pour les pauvres. On me
Il a fallu pour cela parcourir bien des livres qui n’en valent pas la peine , pour trouver une perle dans le fumier. C’est un
83 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — DEUXIEME PARTIE. — REGLEMENTS. Pour la Réformation du Théâtre. » pp. 99-116
es gens trouveraient le Théâtre réformé, et s’en accommoderaient sans peine  ; les principes d’honneur et de vertu, dans lesqu
de se plaindre de ce qu’on ne les jouerait plus, ils auraient plutôt peine à comprendre que leurs pères eussent pû goûter la
84 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Premiere lettre de Mr. *** à Madame *** sur les spectacles » pp. 3-59
l, qui est le quatrieme de Latran, tenu en 1215, renouvelle les mêmes peines . 1 Un Concile de Bude en Hongrie tenu en 1279, 2
néraux. Le Concile de Tours en 1585, défend les Comedies &c. Sous peine d’excommunication. Comœdias, Ludos Theatrales sub
diens… Seront apprèhendés, réputés fripons… Et encourront toutes les peines & punitions ordonnées à ce sujet, à moins qu’
& à défendre aux hôtelliers & à tous autres, sous de grieves peines , de les recevoir chez eux. Ce Saint composa un ou
les loix civiles, l’Eglise ne pouvoit plus justement les punir de la peine de l’excommunication. Pour appuyer sa décision, i
it-il, l’Acteur est infame dans l’ordre des Loix, il résulte de cette peine d’infamie, que la peine de la Loi contre un délit
me dans l’ordre des Loix, il résulte de cette peine d’infamie, que la peine de la Loi contre un délit, détruit tout autre pei
d’infamie, que la peine de la Loi contre un délit, détruit tout autre peine , parce qu’on ne doit jamais punir deux fois pour
85 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — X.  » pp. 464-465
, non seulement d'estime, mais de tendresse ; et elles souffrent sans peine qu'on le leur témoigne par ce langage profane que
86 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVII.  » pp. 471-473
le faire. » C'est par la même corruption d'esprit qu'on entend sans peine ces horribles sentiments d'une personne qui veut
87 (1675) Traité de la comédie « XI.  » pp. 288-289
s non seulement d'estime, mais de tendresse ; et elles souffrent sans peine qu'on la leur témoigne par ce langage profane que
88 (1675) Traité de la comédie « XVII.  » pp. 297-299
le faire. » C'est par la même corruption d'esprit qu'on entend sans peine ces horribles sentiments d'une personne qui veut
89 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381
de sentiment ne peut altérer l’estime ni l’amitié. Je n’aurai pas de peine à détruire dabord une opinion singuliere, que l’A
sopus en montrant les Senateurs & les Chevaliers, prononçoit avec peine à cause de l’abondance de ses larmes, cùm omnes O
nnes aux Orateurs ? Et pourquoi les Poëtes ne se donnoient-ils pas la peine de noter eux-mêmes leurs Piéces ? Etoient-ils obl
qui sont certaines. Celle de la Danse des Pantomimes, que nous avons peine à comprendre, & celle d’une Déclamation si be
e souviennent d’avoir vu cet usage, & nous ne devons pas avoir de peine à les croire, puisqu’encore aujourd’hui, si quelq
90 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
colet. En effet, la foule étoit grande aux portes et j’eus bien de la peine à obtenir un billet. Dans la salle, tous mes vois
e d’Orneval ou des associés de d’Orneval, qui a vécu et est mort à la peine  ? Lisent-ils le Magotin, la Queue de Vérité accom
au lieu d’amour, des sensations sans objet. Ici ma plume hésite. J’ai peine à achever un tableau qu’il faut finir, pour vous
e la Loterie du coq de village, de la rose que M. Hérault eut tant de peine à laisser représenter ; des discours de la tête d
, le jugement & le goût, à perdre leurs mœurs, à subir toutes les peines et tous les malheurs attachés à une vie déréglée,
91 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 2 : Livre VI, chap. 7] » p. 590
tre consolés ou pour leur apporter allégeance et consolation en leurs peines . Elles ne nous soufflent point une rage et une ha
92 (1783) La vraie philosophie « La vraie philosophie » pp. 229-251
produiroit la suppression entiere du théatre, & je conviens sans peine de tout ce que tant de personnes graves & d’u
sur le Théatre, une action à laquelle toutes les loix ont attaché des peines infamantes ? Les victoires du vice sont assurées
uelle instruction pour vos enfans, où les hommes faits ont bien de la peine à se défendre de la séduction du vice ! Quel juge
des passions amoureuses, qui sont toujours une source intarissable de peines  ? Que n’ont pas à craindre les gouvernemens, qui
93 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE V. Des Jésuites. » pp. 108-127
nds progrès, il y date de bien plus haut. Il y a commencé avec eux. A peine s'étaient-ils établis, au milieu des plus violent
a représentation ; mais le jeune Régent ne voulant pas avoir perdu sa peine , la fit jouer peu de temps après devant Charles D
nt plus de quarante ans ; que Racine, alors converti, eut beaucoup de peine à se charger de les composer, et s'en repentit ;
n que le Pape avait le pouvoir de déposer les rois et de les punir de peines temporelles, et de dispenser, pour de justes caus
94 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-10
n actes & en scènes, & supprimer les liaisons, on auroit sans peine vingt drames tout faits. Mais ce sont deux foux,
fondus. Si, comme un habile chymiste, quelque bon écrivain prenoit la peine de décomposer cet ouvrage, & d’en séparer les
95 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre II. De la Comedie. » pp. 163-177
vieilles Idées, & des efforts des anciens Poëtes. Ie croiray sans peine tout ce que m’en diront les habiles ; ie suis pre
Ie suppose que la chose soit possible, & que l’ouvrage en vale la peine . Il faudroit ramasser tous les bons, & en fai
96 (1671) De la connaissance des bons livres « DE LA COMEDIE  » pp. 232-248
un des plus honnêtes hommes de la Ville, et que Cicéron ayant pris la peine de le défendre en une Cause, avait parlé de lui f
aire au public ; Et pour ce qui est du reste, qu’au lieu de donner la peine à un Magistrat d’examiner les Comédies dignes d’ê
97 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — V. La Comédie donne des leçons de l’amour impur. » pp. 9-11
incipes d’une bonne éducation ne permettent pas même d’envisager sans peine dans le secret. Les piéces de Théâtre ne respiren
98 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre dernier. Conclusion. » pp. 345-347
t ce que j’ai dit au sujet du Spectacle moderne, on s’appercevra sans peine que la plus-part de ses Poèmes, fondés sur les rè
99 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre X. Les spectacles ne sont propres qu’à rendre romanesques ceux qui les fréquentent. » pp. 102-104
dangereuses, que le plaisir qu’elles causent n’est point mêlé de ces peines et de ces chagrins qui suivent les autres passion
100 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139
nt aucune offrande. Il n’y a pas un demi-siecle qu’on auroit eu de la peine à compter dans Paris cinquante ou soixante filles
toit plus digne de sentir l’amour que Catherine de Médicis. On auroit peine à comprendre son déchaînement contre le mariage,
êtes des impies que les démons attendent pour leur faire souffrir des peines éternelles au fond des enfers. Ces expressions Ch
erc, quelque crime qu’il eût commis, n’étoit jamais condamné qu’à des peines canoniques, aucune puissance n’avoit droit sur sa
ente, & n’en mendient pas moins, &c. Tout cela ne vaut pas la peine qu’on se mette en frais pour le réfuter. Tom. 4.
arti, & n’en a-t-il pas diminué les impôts ? il en valoit bien la peine . Continuons. Dans trois ou quatre mille ans, à pe
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