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1 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVI. Sentiment de Saint Antonin. » pp. 93-96
’abord on le falsifie en lui faisant dire ces paroles dans sa seconde partie  : Saint Anton, 2.p.tit.I. cap. 23. § 1. [saint A
int Anton, 2.p.tit.I. cap. 23. § 1. [saint Antonin, Summa theologica, partie II, tit. I, chapitre XXIII, §1].« La comédie est
seul mot de la comédie . Il est vrai qu’en cet endroit de sa seconde partie , après un fort long discours où il condamne ample
me partie3. p. tit. 8. cap. 4. §12. [saint Antonin, Summa theologica, partie III, tit VIII, chapitre IV, § 12]. il parle expre
bid. et 2. p. tit. I. cap. 23. §14. [saint Antonin, Summa theologica, partie II, tit. I, chapitre XXIII, § 14]. , et encore a
int Anton, 2.p.tit.I. cap. 23. § 1. [saint Antonin, Summa theologica, partie II, tit. I, chapitre XXIII, §1]. Ibid., § 14. 3.
., § 14. 3. p. tit. 8. cap. 4. §12. [saint Antonin, Summa theologica, partie III, tit VIII, chapitre IV, § 12]. Ibid. Ibid.
bid. et 2. p. tit. I. cap. 23. §14. [saint Antonin, Summa theologica, partie II, tit. I, chapitre XXIII, § 14]. Ibid. §1 et
2 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Des Duo, Trio & Quatuor. » pp. 329-339
nheur d’être aimés les trouble, les enflamme. Le Duo & les autres parties de Chant a plusieurs voix, ne sont supportables q
er encore. « Les règles du Duo, & en général de la Musique à deux parties , sont les plus rigoureuses pour l’harmonie ; ces
, ou du moins sans altérer le mouvement, passe dans son progrès d’une partie à l’autre, sans cesser d’être une & sans enja
sser d’être une & sans enjamber. Ce n’est pas à dire que les deux parties doivent être éxactement semblables. Quand on les
eptible d’une marche par Tierce ou par Sixtes, dans lequel la seconde partie fasse son éffet sans distraire de la prémière. Il
l’image de gens qui crient ensemble, le Musicien devrait disposer ses parties avec tant d’art que l’une n’empêchat pas d’entend
conseil que je donne ici au Compositeur à propos du chant a plusieurs parties , doit s’étendre aussi à l’Ariette même ; car souv
ouffrir les chœurs de l’Opéra-Sérieux ; parce que la multiplicité des parties les empêche souvent de rien démêler. Il est proba
qu’ils entendaient, leur retraçait une image qu’on n’éloignait qu’en partie de leurs regards ; ils se reposaient comme ces vo
plus naturels ? Si l’on veut rejetter absolument le chant à plusieurs parties adopté dans les Drames du nouveau Théâtre, il fau
3 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre XI. Du Balet. » pp. 209-318
le Poëte peut avoir conceuë, qui communique les esprits aux diverses parties , & qui leur donne enfin & la nourriture &
nt pas une Ame parfaite qui soit toute, & toute entiere en châque partie . C’est plûtost une feve materielle & interieu
que des chimeres. Un bon fonds soulage ou dispense le Laboureur d’une partie du travail & des soins, & s’il ne laisse
les desire. SECTION III. Du Titre. L E Titre n’est pas une partie de si peu d’importance que peuvent se l’estre ima
& quel parmy les superflues. C’est sans doute une des principales parties du tout, qui a un effet imperceptible, mais singu
ncer absolument par-là, pour faire regner plus uniformement en chaque Partie , la premiere & principale Idée du Balet : Tou
s. Le Titre doit estre juste & convenant au Tout, & mesme aux Parties quoy que differemment. Il doit faire le premier P
general le dessein & l’execution ; c’est à-dire le tout & ses parties . Consultons nos yeux, & faisons leur dire ce
cer le Balet : Voilà qui est beau. Quand on s’atache à tant loüer les Parties , c’est en quelque façon mépriser le tout. Ce n’es
daigne dire mot. Section V. De la division du Balet ou de ses Parties . N ous ne voulons pas icy étaler les diverse
ont restez. Nous nous arrétons à la division naturelle du Tout en ses Parties , & aux moyens d’en faire une bien juste &
que la memoire retienne les diverses choses & le nombre infiny de Parties qui entrent dans une longue Harangue, si elle n’e
st encore plus importante ; car comme il doit estre un Tout reel, ses Parties doivent estre reellement & par soy distinguée
nnable & selon l’Art, il faut en premier lieu qu’elle se fasse en Parties principales, qui comprennent en soy celles de moi
esoin de les specifier. Car comme une Anatomie trop-exacte reduit les Parties en parcelles imperceptibles & superfluës, la
bscurité. Secondement, il faut que la division se reduise en moins de Parties que faire se peut. Les Maistres n’en permettent a
rfaits. Quelque division qu’il fasse ; elle doit estre fondée sur des Parties réelles qui sortent naturellement de leur tout, &
uze Entrées. Ces Points generaux doivent si bien enveloper toutes les Parties , qu’un seul aspect découvre le tout. Par exemple,
fais le Balet des Fatigues de la journée, je puis le diviser en trois Parties . La premiere, contiendra les Peines de la matinée
s Entrées. Section VI. Des Entrées. L es Entrées sont les Parties naturelles du Balet, & comme le juste nombre
ne espece de tumeur & d’excroissance, & qu’un amas vitieux de Parties superfluës. Celles-cy, ne le grossissent que par
theur, de la violence faite au Tout, & de l’imperfection de cette Partie . De quelque façon que l’on repare les membres rom
le chagrin, ou la joye peuvent causer sur le visage ou sur les autres parties qui semblent plus s’interesser aux ressentiments
nt l’honneur d’y paroistre, seulement pour se décharger sur eux d’une partie de la dépense. Tout ce qu’ont pû faire les intell
ime commune au Balet & à la Musique. Il faut que chacun tienne sa Partie sans avoir aucun égard à son Compagnon. Il faut p
esse & la convenance. Toutefois suposant aussi que la plus grande partie de ceux qui entreprenent les Balets, ne sont ni M
pourroit faire à la cadence. Pour ce qui est de la longueur des deux parties de l’Air, il est indifferent qu’elles soient égal
plus belles veuës, & nous ne regardons pas si scrupuleusement les Parties qui le composent, que nous n’osions jetter les ye
& il semble que le Tout ne se pouvoit presque pas passer de cette Partie . Le Sujet pareillement en peut estre rendu plus i
lles voix sont ordinairement chargées des Recits, c’est à dire, d’une Partie du Motet de l’Hymne ou du Pseaume, ou de quelque
u-monde, & de l’agreable societé. Qu’elle est une des plus belles Parties d’un honeste-homme ; un des principaux ornemens e
e la constitution, de l’habitude, de l’oreille, & de mille autres Parties , qui sont absolument necessaires pour bien dancer
ais il faut aussi poser pour un fondement certain, que la plus grande partie de nos Ouvriers sont des ignorans & des volon
nsommation de l’Ouvrage. Section XVI. Des Vers. C’ est la Partie ordinairement, la plus foible, & la moins imp
g-temps, on y a travaillé avec tant de succez, & on a rendu cette Partie , si belle que la joye des Spectateurs semble estr
rfaite, selon que les Vers ont reussi ou échoüé. Sans doute que cette partie a paru souvent agreable & curieuse, sur tout
ent. La brieveté dont nous venons de parler, sert de beaucoup à cette partie  ; & garantit du moins de legereté. Mais le pl
une apliquation sans exemple. Le Corps de la Sale est partagé en deux parties inegales. La premiere comprend le Theatre & s
n, & le troisiéme le corps du Palais des Thuileries. La premiere Partie , ou le Theatre qui s’ouvre par une façade égaleme
eils dangers, quoy que sur la foy de toute la Philosophie. La seconde Partie , ou celle du Parterre, qui est du costé de l’apar
4 (1751) Avertissement (Les Leçons de Thalie) pp. -
Ce n’est pas qu’on prétende ici justifier la Comédie dans toutes ses parties  : il est un juste milieu entre deux excès égaleme
onnes mœurs. Les autres prennent hautement sa défense dans toutes ses parties  : enfin des gens plus raisonnables prétendent qu’
résentation où l’intrigue, le jeu de théâtre, les situations sont les parties qui forment l’ensemble d’une pièce, parties néces
, les situations sont les parties qui forment l’ensemble d’une pièce, parties nécessaires à la vérité, mais qui n’en sont que l
5 (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325
la Comedie, qui est un des plus agreables divertissemens de ces deux parties dont nous sommes composez. Les yeux s’y plaisent
r que les Pieces de theatre sont ou innocentes, ou criminelles, ou en partie innocentes, & en partie criminelles. Si la po
sont ou innocentes, ou criminelles, ou en partie innocentes, & en partie criminelles. Si la poësie est bien nommée une pei
divines, quelquefois des sujets contraires, quelquefois des sujets en partie conformes, & en partie contraires à ces loix.
jets contraires, quelquefois des sujets en partie conformes, & en partie contraires à ces loix. Nous pouvons remarquer la
oin de diminuer le respect que nous devons à ces tableaux, en sont en partie , les causes, & nous honorons ces representati
ont en partie, les causes, & nous honorons ces representations en partie , parceque nous y voyons crucifier Jesus-Christ, o
 : Comme les Pieces de theatre sont ou entierement criminelles, ou en partie innocentes, en partie criminelles, & qu’il n’
theatre sont ou entierement criminelles, ou en partie innocentes, en partie criminelles, & qu’il n’y a point d’Auteur qui
aut fuïr & interdire les criminelles, reformer celles qui sont en partie innocentes, en partie criminelles ; empescher de
re les criminelles, reformer celles qui sont en partie innocentes, en partie criminelles ; empescher de paroistre celles qui p
le mal qu’elles sont ou par elles-mesmes, ou par quelqu’une de leurs parties  ; ce sont les moyens de prévenir le mal que les P
échans livres. Comme cette proposition est la principale de cette Partie , je la prouve en premier lieu par l’obligation de
peuvent estre arrestez que par une autorité qu’il a receuë de Dieu en partie pour y mettre ordre ? Ce Magistrat manque à une d
artie pour y mettre ordre ? Ce Magistrat manque à une des principales parties de son devoir : c’est beaucoup, mais c’est peu en
er à la derision & à la mocquerie du peuple. Nous leur devons une partie du respect que nous rendons à celuy qui les éleve
n, que la religion, qui me doit des honneurs souverains, en rende une partie à mon autorité & à mon nom dans vos personnes
a est détruit ; malheur à leurs ames, parce que Dieu leur a rendu une partie des maux qu’ils ont merité par leurs pechez, que
rité par leurs pechez, que par les mains d’un tyran il s’est vangé en partie de la revolte & des outrages de ce peuple inf
s par leurs pechez. L’Asie & l’Afrique, plusieurs des plus belles parties de l’Europe sont devenuës la proye des Infidelles
ux qui avoient le front de se nommer Chretiens, & que ces grandes parties du monde ne sont tombées sous un joug si pesant,
nel, comme les pompes ne pressent l’eau que pour la faire monter. Une partie de l’Europe, la Grece, la Macedoine, plusieurs de
partie de l’Europe, la Grece, la Macedoine, plusieurs des plus belles Parties du Septentrion ne sont tombées dans le mesme malh
; faites reformer aussi celles qui doivent estre suspectes, c’est une partie considerable de cette obligation. Second poin
ces malheurs, avec les précautions que j’explique dans cette derniere Partie de ce Discours. Troisiéme point. Prévenir
ues-unes d’innocentes, mais parce qu’ils sçavoient que la plus grande partie estoit contraire à la Religion, & aux bonnes
Joan. 16. la joüissance du bonheur eternel dont il s’est acquis une partie en les souffrant. Tertullien explique ce passage
ayens établirent des Prefets du plaisir, ou plutost détacherent cette partie la plus negligée de l’office des Ediles ; & c
, les Pieces de theatre sont courtes en comparaison de la plus grande partie de ces Livres ; les Pieces de theatre ne demanden
illent pour soûlever son peuple. Vous sçavez que ces revoltes sont en partie les sources des calamitez qui affligent les famil
erez ce que vous devez au souverain des Rois qui vous a honorez d’une partie de son autorité, afin que vous en usiez pour sa d
6 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [G] » pp. 408-415
se divisait en trois principaux départemens, sous lesquels toutes les parties étaient comprises ; celui des Acteurs appelé la S
tre, La Scène, chez les Grecs & les Romains, se divisait en trois parties  : la première & la plus considérable était pr
à ses extrémités, deux petites aîles en retour, qui terminaient cette partie  ; de l’une à l’autre de ces aîles s’étendait une
raire de ce que nous entendons aujourd’hui par ces termes. La seconde partie de la Scène se nommait indifféremment par les Gre
des maisons, comme la plupart des nôtres. La troisième & dernière partie , était un espace ménagé derrière la Scène, qui lu
les Acteurs, où l’on serrait les Décorations & les Machines. Les Parties qui composaient le Théâtre, s’appelaient le Conis
Scène sur laquelle la toile portait, n’avançaient que de la huitième partie de sa longueur, les Décorations qui tournaient de
p; toute l’étendue qu’elle pouvait admettre. Il y avait à Athènes une partie considérable des fonds publics destinée pour l’or
ats sur l’eau), & autres Jeux. L’Amphithéâtre, parmi nous, est la partie du fond d’une petite Salle de Spectacle, ronde ou
7 (2019) Haine du théâtre: Bibliographie France (traités, pamphlets, documents, etc.)
re touchant la comédie, reprise in Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re  partie , p. 595-604.   N.-B. Publié en réponse à Bossue
des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes », p. 274-320. [La partie sur les spectacles n’occupe que les pages 280-284
eil de plusieurs Instructions sur diverses Matieres. Divisé en quatre parties . Utiles aux Curez & autres Ecclesiastiques, p
, imprinted by E. Allde and are to be sold by Arthur Johnson, 1607, 2  parties en 1 vol. in-4º, sign. A-B [la 2e partie a pour t
by Arthur Johnson, 1607, 2 parties en 1 vol. in-4º, sign. A-B [la 2e  partie a pour titre propre : Récit touchant la comédie j
SJ] : Sermons sur tous les sujets de la morale chrétienne. Cinquième partie . Contenant les sujets particuliers. Tome premier.
de Toulouse, en l’année 1748 », in Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re  partie , p. 622-631. Arnal, Les Acteurs et les Prêtre
onnoye, Amsterdam, aux dépens de la compagnie, 1725, tome IV, seconde partie . PDF : Google. Balzac, « Réponse à deux quest
Corpus OBVIL.   N.-B. Résumé par Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re  partie , p. 468-482. Besplas Voir Gros de Bespl
: Continuations des Mémoires de Litérature et d’Histoire, t. VII, 1re  partie , Paris, Nyon fils, 1749, 478 p. (1 f.). PDF : Goo
. Bordelon, Paris, 1699 (citée par Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re  partie , p. 459).   N.-B. = Histoire critique des person
50 (cf. Notice).   Réédition • in Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re  partie , p. 583-591. Édition moderne • « Le P. Caffaro
eil de plusieurs Instructions sur diverses Matieres. Divisé en quatre parties . Utiles aux Curez & autres Ecclesiastiques, p
es à l’art dramatique, Au Parnasse français et Paris, Dufour, 1768, 2  parties , (1 f.) XIV-233 p. + (2 ff.) 150 p. PDF : Gallica
é des Conciles & des Saints Pères, Paris, Louys Billaine, 1666, 3 parties en 1 vol. in-8º et table. PDF : Google. Corpus OB
51 p. non ch de tables. PDF : Gallica. • Id., Paris, P. Romé, 1667, 3  parties en 1 vol. in-8º et table. • Id., Paris, Louis Bil
ris, Guillaume de Luyne, 1664, 2 vol. in-fol. PDF : Gallica (première partie  ; seconde partie). → Textes : « Discours de l’uti
Luyne, 1664, 2 vol. in-fol. PDF : Gallica (première partie ; seconde partie ). → Textes : « Discours de l’utilité et des parti
e partie ; seconde partie). → Textes : « Discours de l’utilité et des parties du Poëme Dramatique », 1re partie, p. VII-XXVII (
s : « Discours de l’utilité et des parties du Poëme Dramatique », 1re partie , p. VII-XXVII (Gallica) ; « Discours de la Traged
s moyens de la traiter selon le vray-semblable et le nécessaire », 2e  partie , p. III-XXX (Gallica) ; « Discours des trois unit
a) ; « Discours des trois unitez, d’action, de jour, et de lieu », 2e  partie , p. I-XV (Gallica). Éditions modernes • in Pier
s, Poussielgue-Rusand, 1845, viii-532 p. PDF : Google. → Texte : 1re  partie , chap. ii, art. VII : « Des spectacles ou des rep
pectacles ou des représentations scéniques », p. 246-276. N.-B. 1re partie  : « De la luxure consommée et non consommée » ; c
ssaint, 1771, 2 vol. in-12, XVI-694 p. (2 ff.) PDF : Google (première partie , deuxième partie). Corpus OBVIL (vol. 1, vol. 2).
ol. in-12, XVI-694 p. (2 ff.) PDF : Google (première partie, deuxième partie ). Corpus OBVIL (vol. 1, vol. 2).   Autres édition
saint, 1774, 2 vol. in-12, XX-838 p. PDF : Internet Archive (première partie ) ; Google (deuxième partie). • 6e éd. : Lettres s
XX-838 p. PDF : Internet Archive (première partie) ; Google (deuxième partie ). • 6e éd. : Lettres sur les spectacles, avec une
°, t. I, xii-580 p. PDF : Gallica. → Texte : Traité du Décalogue, 6e partie , chap. Ier : « Des péchés de luxure non consommée
-580 p. PDF : Google. Corpus OBVIL. → Texte : Traité du Décalogue, 6e partie , chap. Ier : « Des péchés de luxure non consommée
édition, augmentée de pièces inédites, Paris, Bleuet jeune, 1805, 3e  partie . PDF : Google. • « Lettre sur la comédie à M. ***
», p. 291-306 ; « Note IX. Sur le Théâtre », p. 331-344 (in « Seconde Partie . La Religion », p. 217-344). Guilloré, « Ent
e Michallet, 1684, (6 ff.) 380 p. (1 f.). PDF : Google. → Texte : 3e  partie , « Entretien X. Sur la Comédie », p. 363-380.
teur Capucin, Paris, Edme Couterot, 1684-1686, 4 vol. in-8º. Premiere partie . Des Plaisirs, 1684, (12 ff.) 644 p. + tables. PD
é à] : Sermons sur tous les sujets de la morale chrétienne. Cinquième partie . Contenant les sujets particuliers. Tome second.
, in-12, (ff.) 219 p. PDF : Gallica. Corpus OBVIL. → Texte : Seconde partie  : « Des sources de l’indévotion », chap. 3 : « De
ard, 1668 [= 1678], (8 ff.) 245 p. PDF : Gallica. → Textes : Seconde Partie , chap. X, « Les Comedies et les Tragedies corromp
s de la Compagnie de Jesus, touchant les Bals et Comedies », première partie , p. 7-79. Entretiens I (Bourdaloue), II (La Colom
, in-12, 373 p. + (tables). PDF : Google. Corpus OBVIL. → Texte : 3e  partie , chap. XII, « Du temps que l’on perd à la Comédie
s de la ville », p. 60-97, in Œuvres de M. l’abbé de La Tour. Seconde partie . Tome I. Discours Académiques, Cologne, Jean-Fréd
l’Ecriture Sainte, des Conciles, & des Saints Peres. […] Seconde Partie . Par le P. le Jeune, dit le Pere aveugle, Prétre
431-435, « Quels sont les divertissemens ordinaires de la plus grande partie des Chrêtiens pendant les Dimanches et les Fêtes 
, Par le R. P. F. Piere Marchant, F. Mineur Recollect Divisé en trois Parties pour la commodité des Lecteur, Gand, Alexander Se
e la Passion. Sur le petit nombre des Elûs », p. 198-263, « Troisième partie  », p. 244-263 (passage p. 244-249 : « vous avez r
é à la chair… ») [passage cité par Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re  partie , p. 446-448 : « vous avez renoncé à la chair… »].
I, p. 368-381. N.-B. Analysé par Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re  partie , p. 639-642. Mézières, Critique d’un livre c
vol. 1, (14 ff.) 430 p. PDF : Gallica. • Les Visionnaires, ou seconde partie des lettres sur l’Hérésie Imaginaire, contenant l
 I, tome II).   N.-B. Attaqué par Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re  partie , p. 539-549. Nolivos de Saint-Cyr Noliv
trine et enseignement du prince chrestien…, Paris, C. Micard, 1584, 2  parties en 1 vol. in-16, pièces limin. et 259 ff.Ex. BnF
Jean-Baptiste Coignard, 1694, in-12, (4 ff.) 132 p. (2 ff.) 190 p. (2  parties à pagination séparée pour la Décision et pour la
actes, par M. R., Amsterdam, Marc-Michel Rey, 1769, in-8º, 101 p., 2  parties . PDF : Gallica.   N.-B. Attaqué par Desprez de
DF : Gallica.   N.-B. Attaqué par Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re  partie , p. 549-554. Racine, Jean, Lettre à l’auteur
e Sales, Evesque et Prelat de Geneve, Lyon, Pierre Rigaud, 1609 (en 3  parties ).   Rééditions • Réédition augmentée (en 5 parti
igaud, 1609 (en 3 parties).   Rééditions • Réédition augmentée (en 5  parties ), Paris, Imprimerie Royale, 1641, (ff.) 467 p. +
ie Royale, 1641, (ff.) 467 p. + tables. PDF : Gallica. → Textes : 1re partie , chap. 23 (éd. 1641, p. 70-71), 3e partie, chap. 
F : Gallica. → Textes : 1re partie, chap. 23 (éd. 1641, p. 70-71), 3e  partie , chap. 31 à 34 (p. 310-319). • Nombreuses rééditi
1642. PDF : Google. → Texte : « Second Discours : Que la plus grande partie des Arts seduit l’homme par le moyen de ses Passi
II). → Textes : en particulier : Introduction, t. I, p. i-lxxii ; 3e  partie , « Des mœurs et des caractères de l’Iliade », pre
épertoire chronologique des éditions de textes littéraires. Quatrième partie  : Supplément 1585-1643, Genève Droz, 1985, p. 101
s Achard, Histoire des hommes illustres de la Provence, Marseille, 2e  partie , 1787, p. 287. Varet, De l’éducation chrétie
º, (6 ff.) 591 p. + tables. PDF : Google. Corpus OBVIL. → Texte : [2e  partie ] « Les divertissemens de l’homme particulier », p
’y trouvent », p. 43-48 [repris in Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re  partie , p. 604-610, sous le titre « Raisons qui condamne
2, contre les spectacles, cité par Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re  partie , p. 463. → Texte : « Des Bals et Comedies », p. 
rs de la distribution des prix, in Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re  partie , p. 674.   N.-B. Cité par La Tour , X, 2, p. 42
plusieurs morts]. N.-B. Cité par Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re  partie , p. 618-619. Ouvrages ultérieurs Simon
8 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [M] » pp. 426-430
iens, & devint successivement chez les Grecs & les Romains la partie la plus considérable du culte. Les Gaulois, les E
e Jérusalem, de Garisim ou de Samarie, & d’Alexandrie, qu’une des parties de ces Temples était formée en espèce de Théâtre,
espèce de Théâtre, auquel les Juifs donnaient le nom de Chœur : cette partie était occupée par le Chant & la Danse, qu’on
a ces Temples relativement aux différentes cérémonies, qui étaient la partie extérieure du culte reçu. Ainsi dans toutes les E
Portugal, en Espagne, & dans le Roussillon, la Danse fait encore partie des cérémonies de l’Eglise : on exécute dans ces
jusqu’à la combinaison des Spectacles réguliers, la Danse fit une des parties principales qui entrèrent dans cette grande compo
moins utile & moins louable, a son degré de mérite, comme fesant partie du Comédisme : il est une troisième sorte de Dans
9 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE X. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces six parties dans Athalie. » pp. 260-315
CHAPITRE X. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces s
. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces six parties dans Athalie. Dans le passage d’Aristote que j
ge 81, ce Philosophe après avoir défini la Tragédie, la divise en six Parties  : L’Action ou Fable, les Mœurs, les Sentimens, la
s Hommes, mais de leurs Actions, la premiere & la plus importante Partie de la Tragédie est l’Action. Comme toute action s
œurs, telles inclinations, tels caracteres, ces Mœurs sont la seconde Partie  : les hommes agissent parce qu’ils sont dans une
sont ces Sentimens exprimés par leurs paroles, qui font la troisieme Partie . Ils expriment leurs sentimens, dans un tel style
ement de paroles : c’est la Diction. Voilà le Poëme : les deux autres Parties , la Décoration & la Musique, sont nécessaires
comme un Commentateur d’Aristote, tout ce qu’on peut dire sur ces six Parties , je ne veux qu’examiner chacune séparément, dans
 III. Des Sentimens. Aristote ne s’arrête point à cette troisiéme partie de la Tragédie, parce qu’il renvoye à ce qu’il a
stoit plus à faire que les Vers. On pourroit dire que cette quatriéme Partie n’est pas essentielle, puisque nous avons quelque
ur être représentée. Voilà ce qu’on pourroit dire pour prouver que la Partie de la Versification n’est pas essentielle à la Tr
mmes heureux & si rares, il ne pechera jamais contre la quatriéme Partie de son Poëme, qui est pour lui la plus facile ; s
ëte, & il est certain qu’il n’a pas bien exécuté les trois autres Parties , qui sont plus difficiles. Le Spectateur emporté
le, parce qu’ils le refroidissent, s’apperçoit des défauts des autres Parties , méprise la Piéce, & ne la reprend pas pour l
ies ? Un Grand homme n’excelle pas toujours également dans toutes les Parties de son Art ; mais il les exécute toutes bien &
e. Soyons donc persuadés que ces Tragédies qui sont mauvaises dans la Partie de la Versification, ne sont jamais bien bonnes d
artie de la Versification, ne sont jamais bien bonnes dans les autres Parties . Elles ne sont jamais non plus comptées par la vo
on nom, en est le Coriphée : ainsi cette Tragédie est dans toutes ses Parties , la Danse seule exceptée, dans la forme de celle
ression, & non les paroles chantées dont nous perdons souvent une partie . C’est pour cela qu’il faut que la voix sorte par
graves sujets de l’Histoire, admettre la Danse, devenue pour nous une partie si importante de ce Spectacle, qu’en sa faveur on
10 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XV. La tragédie ancienne, quoique plus grave que la nôtre, condamnée par les principes de ce philosophe.  » pp. 61-63
en fait le plaisir, c’est-à-dire, le jeu des passions. On rejette en partie sur les libertés et les indécences de l’ancien th
ns des théâtres qui « excitaient, dit-il, et flattaient en nous cette partie faible et plaintive, qui s’épanche en gémissement
nt de larmes. Il ne trouve pas moins mauvais qu’on flatte cette autre partie plus emportée de notre âme, où règnent l’indignat
11 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Du Theatre. » pp. 73-99
combatre, ou les bestes qu’on devoit chasser. Le theatre prenoit une partie de cette Ovale : les uns la moitié, les autres pl
nouvelle espece de Magnificence, il en faut expliquer les principales parties , & faire voir la difference & le raport q
cette élevation de bois ou de pierre, que l’on fit dans une certaine partie de ce grand tout du Theatre, fut apellée Scene. N
nous attacherons icy à tracer quelque crayon de ce tout, & de ses parties . L’endroit le plus ordinairement choisi pour la c
ire) du lieu. Quelque forme qu’il eût on le reduisoit en ovale, ou en partie dovale, d’ont l’une estoit destinée pour les rega
mesme avoir desia dit quelque chose. Section III. Des diverses Parties détachées du Theatre. N ous avons sujet de p
randeur de leur tour, soit en ce qui peut regarder le détail de cette partie appellée la Scene. Mais crainte de quelque redite
lée la Scene. Mais crainte de quelque redite, je ne toucheray que les parties detachées & subalternes, qui veritablement co
nt dequoy satisfaire plus pleinement ses yeux & la curiosité. Ces Parties moins principales, & qui neantmoins sont des
12 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE II. » pp. 19-41
es Clercs Réguliers, imprimé à Padoue en 1630. Il est divisé en trois parties , dont la première contient sept Classes. La premi
Nous en dirons quelque chose dans le Chapitre 3. Sect. 4. La seconde partie de cet Avertissement de François del Monaco, est
Comédies ne peuvent se représenter sans péché mortel. » La troisième partie de l’Ouvrage de del Monaco, propose les raisons a
qu’ils connaissent l’opiniâtreté des hommes. La quatrième et dernière partie de l’Ouvrage de del Monaco, se réduit à trois rem
t Charles Borromée, qui dit la même chose en son 1. Concile de Milan, partie 2. Le troisième remède, est de Mariana Jésuite, a
Andreinoz, surnommé Lelio. L’Ouvrage de ce Jésuite est divisé en deux parties . La première Partie contient quatre Chapitres, et
elio. L’Ouvrage de ce Jésuite est divisé en deux parties. La première Partie contient quatre Chapitres, et chaque Chapitre plu
i y assistent, et la source de beaucoup de désordres. Dans la seconde Partie , il parle des Comédies peu modestes, et il les co
um Cassianum typographum episcopalem. 1618. Il y a aussi une 2e et 3e parties , et je ne trouve pas d’abrégé. r. [NDE] Richard
13 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre II. Regrèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. » pp. 94-100
lle ; c’est-à-dire, qu’il faut rencontrer un sens complet dans chaque partie d’un mot de plusieurs sillabes. Un éxemple me fer
ainsi en forme de question un mot de plusieurs sillabes. Ma prémière partie est un terme de Mathématique, ma seconde, ce que
de Mathématique, ma seconde, ce que nous habitons & mon tout, une partie de l’Europe. Le mot de l’Énigme est Angleterre, d
inguée par son esprit que par les charmes de sa personne. Ma prémière partie est l’Immensité, ma seconde, la Lumière, & mo
14 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
s pas. S. Examinons de plus près la chose, & considerons si cette Partie de notre ame avec laquelle la Poësie imitative a
sent ainsi tirailler de deux côtés, il s’ensuit qu’il y a en lui deux Parties tout opposées. G. Il le faut bien. S. L’une qui n
rs que la Fortune nous envoye. S. Et c’est aussi à quoi la plus saine Partie de notre Ame n’a nulle peine à obéir. G. Sans dou
à obéir. G. Sans doute. S. Comment donc appellerons-nous cette autre Partie qui ne cesse de nous attendrir sur nous-mêmes &am
are à la vérité, & de songer à plaire à toute autre chose qu’à la Partie saine & solide de notre ame. Nous ne recevons
la faut regarder. G. De quel côté ? S. Si nous considérons que cette Partie de notre Ame contre laquelle la Raison veut que n
laquelle la Raison veut que nous combattions dans l’adversité, cette Partie dis-je laquelle est affamée de pleurer & de s
p; qui est naturellement insatiable de lamentations, c’est cette même Partie que la Poësie flatte & qu’elle cherche à rass
flatte & qu’elle cherche à rassasier, & qu’alors cette autre Partie de notre Ame qui est la plus excellente, ne se tr
tude & par la Raison, devient plus négligente à tenir en bride la Partie pleureuse, supposant que ces malheurs qu’elle voi
liblement en eux-mêmes : étant bien clair qu’après avoir nourri cette Partie foible par la contemplation des malheurs des autr
amp; on peut les rendre meilleurs, en frappant à propos en eux, cette Partie de leur ame, que Platon apelle la partie foible,
ppant à propos en eux, cette Partie de leur ame, que Platon apelle la partie foible, cette partie qui aime à s’attendrir &
, cette Partie de leur ame, que Platon apelle la partie foible, cette partie qui aime à s’attendrir & à pleurer, parce que
urs [ou stile] composé par le Plaisir, de telle sorte que chacune des parties qui le composent subsiste & agisse séparément
c cadence, harmonie & mesure : & quand je dis que chacune des parties doit agir séparément, je veux dire qu’il y a des
sant que se fait l’imitation, il faut d’abord poser qu’il y a une des parties de la Tragédie qui n’est que pour les yeux [comme
sentiment nous sommes. « Il faut donc nécessairement qu’il y ait six parties à la Tragédie, lesquelles constituent sa nature &
les mœurs & les sentimens.] » J’examinerai dans la suite les six parties dans lesquelles Aristote divise la Tragédie, je m
er de grandes douleurs, on ne doit point flatter en nous cette foible Partie de nous-mêmes, cette Partie plaintive qui aime à
e doit point flatter en nous cette foible Partie de nous-mêmes, cette Partie plaintive qui aime à s’épancher en gémissemens. M
st point à moi à combattre une opinion qui fait rejaillir sur lui une partie de la gloire de nos conquêtes. Quand je fais cepe
15 (1590) De l’institution de la république « QUATORZIEME TITRE. Du Théâtre et Scène. » pp. 507-508
r l’avis et expérience d’un Architecte, pour bien accommoder chacunes parties . Car il était bien requis de regarder soigneuseme
n la quantité des Joueurs : ce néanmoins tous ces Spectacles et leurs parties avaient ceci de commun, que les parois n’étaient
s de corniches et larmiers avancés. Car la voix étant enfoncée en une partie , demeurait quelque peu de temps, avant que elle f
16 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [H] » pp. 416-417
usement observées qu’à celui de l’Opéra, les a trop négligées dans la partie des Décorations. Le Poête a beau vouloir transpor
n ; le peu de ressource qu’a le Poète du côté du Spectacle, en est en partie la cause. La parole est souvent une expression fa
les oreilles, ce qu’on ne peut offrir aux yeux. *. On l’éxécute en partie aujourd’hui.
17 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VI. Des Sçènes. » pp. 257-276
ernes, signifie proprement le lieu de l’action, & les différentes parties d’un Acte où l’on voit agir les Acteurs. C’est à
t des Latins. Ils se contentaient peut-être de mettre à la tête de la partie du Drame que nous appellons Sçène, le nom des per
açant dans les Drames qu’ils commentaient, afin de mieux désigner les parties du Poème dont ils avaient occasion de parler. Nou
sent les Actes, & non du lieu de l’action. J’ai déja traité cette partie éssentielle du Drame ; ainsi je n’en dirai rien i
our faire arriver à propos ses personnages. Je vais rapporter une partie des moyens dont on peut se servir pour l’entrée d
aussi parfaite que la Comédie, vous devez lui donner les différentes parties qui constituent le Drame. Que dirait-on d’un horl
efois la liberté que l’on prend dans l’arrangement des Scènes, ou des parties du Drame, jusqu’à composer des Actes qui n’ont au
18 (1807) Préface pour une édition des deux lettres à l'auteur des Imaginaires « [Chapitre 2] » pp. 78-82
uitième ; sans nécessité, et il avait impatience de servir de seconde partie à M. Pascal. Il dit déjà dans l’une de ses Préfac
cette ressemblance affectée ; et l’on commence à dire que la seconde partie de M. Pascal sera aussi peu lue que la suite du C
s’imprimaient avec privilège. b. [NDE] Les Visionnaires, ou seconde partie des lettres sur l’Hérésie Imaginaire, contenant l
e du comte de Gormas et La Mort du Cid, Chillac, 1639, fait également partie de cette suite du Cid. d. [Note de l’éditeur de
19 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — DEUXIEME PARTIE. — Méthode et règlement pour réformer le Théâtre. Avant Propos. » pp. 87-98
ctacles modernes aux Chrétiens. Le Théâtre ne fait plus, il est vrai, partie du culte de la Religion Payenne ; mais la corrupt
e pas moins que sur les Théâtres de Rome et d’Athènes. La plus grande partie de tout ce que les premiers Pères de l’Eglise ont
es Spectacles des Grecs et des Romains subsistent encore, du moins en partie , parmi les Chrétiens. Je conviens qu’ils n’ont pa
dire de plus que les Modernes ont surpassé leurs modèles en bien des parties  ; principalement dans l’économie de l’action et d
20 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Triomphe. » pp. 112-160
clamations du Peuple, que quelques Couronnes de Mirthes, & qu’une partie de son Armée qui le precedoit, au son des flutes,
ez. Le Senat reprenoit le chemin de la Ville, & comme faisant une partie de la Pompe, il alloit en bon ordre, & accomp
ve. Il estoit revestu de lames d’or ou dorées, soit par tout, soit en partie . Et pour mesler toûiours quelque chose de belliqu
amp; rien plus. Toutefois, comme le Senat & le Peuple faisoit une partie du Spectacle, les enfans s’y pouvoient bien trouv
ectacle, les enfans s’y pouvoient bien trouver comme témoins ou comme Partie civiles. Mais l’honneur de monter dans le Char n’
ombat Naval, l’on en portoit au Triomphe, les Mats, les Antennes, les Parties les plus considerables d’un Vaisseau, & qui e
au Triomphateur. L’argent monnoyé pris sur l’ennemy faisoit bien une partie de la Pompe, & il avoit ses Chariots avec des
te de celuy qui l’avoit abusée. Ce ne fut pas une des moins illustres parties du Triomphe de Pompée de faire paroistre Tigrane,
nt fût assez precieux, on ne laissoit pas de l’accompagner de quelque partie des depoüilles de l’ennemy comme de quelques Arme
honneur. Le lieu n’est guere plus certain. Neantmoins la plus grande partie des Autheurs demeurent d’accord que ce Festin se
es deux cent Amphores de vin vieil, & exquis, ne feroient pas une partie considerable pour la soif de toute la Populace. A
mp; Cadus (qui ne sont qu’une mesme chose) ne faisant que la huitiéme partie d’un muid de Paris, c’est à dire, environ 35. pin
a liberalité du Vainqueur. Le docte Lipse nous a délivré d’une grande partie de toutes ces difficultez, selon sa supputation,
21 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVII. Accidents arrivés dans les spectacles. » pp. 150-153
ficelle aboutissait, et embrasa dans le moment les toiles et toute la partie supérieure du théâtre. L’incendie devint bientôt
-dessus, et mit le feu à la couverture, qui, en tombant, renversa une partie des murs et embrasa le théâtre ; la plupart des s
que de réprobation de mourir sur un théâtre : ne passons donc pas une partie de notre vie où nous aurions horreur de mourir. S
22 (1764) De l’Imitation théatrale ; essai tiré des dialogues de Platon : par M. J. J. Rousseau, de Genéve pp. -47
es bornes à la licence des Poëtes, & de leur interdire toutes les parties de leur art qui se rapportent à l’imitation. Nous
ns. Mais vous, Homere, s’il est vrai que vous ayez excellé en tant de parties  ; s’il est vrai que vous puissiez instruire les h
par de fausses analogies, tâchons de voir plus distinctement à quelle partie , à quelle faculté de notre ame se rapportent les
erce ses opérations loin de la vérité des choses, en s’unissant à une partie de notre ame dépourvue de prudence & de raiso
par la constance ; une juste honte lui fera renfermer en lui-même une partie de ses peines ; &, contraint de paroître aux
deuil, les larmes, le désespoir, les gémissemens appartiennent à une partie de l’ame opposée à l’autre, plus débile, plus lâc
plus lâche, & beaucoup inférieure en dignité. Or c’est de cette partie sensible & foible que se tirent les imitation
de la vérité, soit parce que l’un & l’autre flattant également la partie sensible de l’ame, & négligeant la rationnell
ure sur le ton d’un tableau, sur l’accord des couleurs, sur certaines parties du dessein où il entre peut-être plus d’arbitrair
mme Orateur que comme Poëte. *. Il ne faut pas prendre ici ce mot de partie dans un sens exact, comme si Platon supposoit l’a
osée. La division qu’il suppose & qui lui fait employer le mot de parties , ne tombe que sur les divers genres d’opérations
23 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  RECAPITULATION. » pp. 382-390
erveilles qui la tiennent dans l’admiration, ou frapper en elle cette partie pleureuse, dont parle Socrate [p. 67] qui est ins
st insatiable de larmes, ou, ce qui est plus difficile, satisfaire la partie gaye, qui ne veut que rire. La Poësie Dramatique
, qui ne veut que rire. La Poësie Dramatique s’attacha à contenter la partie curieuse qui veut des merveilles. Delà tant de fi
mp; dans nos Romans de Chevalerie. La Tragédie s’attacha à frapper la Partie pleureuse, & comme ce ne sont point les plain
24 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [C] » pp. 391-398
de malheurs, dont la plupart des hommes ont éprouvé au moins quelque partie ou quelque degré. Ainsi, en voyant ce Prince, l’h
craint, tremble pour lui-même, & pleure sur Œdipe : c’est l’autre partie du Tragique, la pitié qui accompagne nécessaireme
gueuse, c’était la Tragédie naissante, bien conformée dans toutes ses parties , mais encore destituée de cette politesse que l’a
e Théâtrale, si elle ne l’eût pas été avant lui. Il réunit toutes les parties  ; le tendre, le touchant, le terrible, le grand,
passions utiles à la Société, telles que sont l’amour, l’amour de la partie , l’amour de la gloire, la crainte du deshonneur,
même des Princes vivans : ils se proposaient par-là de plaire à leur Partie , en rendant odieux le gouvernement d’un seul ; &a
25 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  PRÉFACE. » pp. -
FACE. Le motif qui me fait écrire n’est pas celui de contrarier par partie de plaisir : cette soif méprisable ne m’a point g
s’est éveillée pour repousser l’imposture ; je n’ai répondu qu’à une partie de ses raisonnemens paralogiques. Si je l’eusse s
es. Je n’ai travaillé que sur le plan qui regarde les Spectacles, une partie de sa Brochure étant coupée de dissertations étra
26 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XIII. S’il est nécessaire qu’une Pièce de Théâtre plaise autant à la lecture qu’à la représentation. » pp. 359-363
les espèces de Drames quelconque. En un mot, l’action est la prémière partie d’un Drame, & le stile en est la seconde. Le
le en est la seconde. Le Poème qui ne réunit qu’une seule de ces deux parties essentielles, ne mérite aucun nom, & ne peut
ur, & je méprise le Théâtre, qui ne sauraient rassembler ces deux parties importantes, dont l’union seule compose un tout p
27 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. Que le Musicien doit seconder le Poète, & que le Poète doit s’entendre avec le Musicien. » pp. 292-296
ames chantans, développons maintenant ce qu’éxigent leurs différentes parties musicales, afin de rendre mes observations plus u
ns de celles qui le confient ? La Musique fesait chez les Anciens partie de l’éducation. Les Poètes chez les Anciens é
té difficile d’ignorer cet Art agréable, puisque la musique était une partie de l’Education. Mais ils ne méritent pas moins d’
28 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre V. De la Musique ancienne & moderne, & des chœurs. De la Musique récitative & à plusieurs parties. » pp. 80-93
moderne, & des chœurs. De la Musique récitative & à plusieurs parties . U ne bonne musique réveille l’imagination, é
re sur le Théâtre, n’usoient point de celle qu’on appelle à plusieurs parties . La multitude des voix, le bruit confus de tant d
erveilleux, une pareille musique ne répandoit-elle pas sur toutes les parties de la Tragédie ? Les instrumens identifiés, pour
es pauses mêmes qui établissent une division fort naturelle entre les parties d’une action. C’est donc l’ordre universel qui pr
29 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre prémier. Déssein de cet Ouvrage. » pp. 2-7
Spectacle, on les apprendra toutes, en paraissant n’en étudier qu’une partie . Ainsi les règles rapprochées s’éclairciront mutu
er d’avantage à mon Livre un air de nouveauté, je ferai rapporter une partie de mes raisonnemens au Spectacle moderne. En ache
de prèsque tous leurs succès. La Musique est devenue de nos jours une partie éssentielle du Drame. Ce que j’en dirai achevera
30 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Avis » pp. -
Avis Cette Lettre est composée de deux parties  : la première est une relation de la représentati
et excusables à tous. Des deux réflexions qui composent la dernière partie , on n’aurait point vu la plupart de la dernière,
question, sur la Comédie qui en est le sujet : car, pour la première partie , ce n’est, comme on l’a déjà dit, qu’une relation
31 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre II. Des Amphitheatres. » pp. 44-72
Car l’Amphitheatre estoit un espace presque rond, distribué en trois parties principales. La premiere qui estoit comme le Thea
il eut aussi le nom d’Arene, qui en Latin signifie sable. La seconde partie estoit l’enceinte de cette Arene & de cette C
si un Amphitheatre, parce que quand on vouloit on le separoit en deux parties , & quand on changeoit de dessein & qu’on
it point incommodé du bruit de l’autre : Et que le lendemain ces deux parties reunies par l’abatement de quelques separations,
es chasses de l’Amphitheatre. L es jeux du Cirque estant apuyez, partie sur la Religion, partie sur la Coustume, subsiste
atre. L es jeux du Cirque estant apuyez, partie sur la Religion, partie sur la Coustume, subsisterent malgré le changemen
ll. lib. 5. c. 7.. Ie sçay bien que ce mot de Visceration faisoit une partie des ceremonies funebres, où la liberalité estoit
32 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VII. De la Dévotion des Comédiens. » pp. 160-179
les plus saintes, un mariage, un Te Deum. Aller à la comédie est une partie de l’office, & comme le couronnement de la dé
ienne convertie, du P. Marin Minime, est un petit roman pieux en deux parties . La premiere renferme la vie d’une Comédienne jus
établit avantageusement ; elle meurt enfin saintement. Cette seconde partie est très-bien rendue, d’une très-bonne morale, to
familles, c’est une bonne leçon à ceux qui les composent. La premiere partie est manquée ; l’Auteur sans doute craignant de se
volumes. Cette stérilité dans un si vaste champ lui a fait manquer en partie son but & son succès. Ce livre, composé à Avi
il lui fait tenir sont très-bien filés, & il est vrai qu’en cette partie l’Auteur a un art singulier. Je sens, dit l’Actri
viagère de quinze cents livres que lui fournit la femme de son amant, partie par générosité, partie pour se débarrasser d’une
livres que lui fournit la femme de son amant, partie par générosité, partie pour se débarrasser d’une rivale dangereuse, &
33 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VI. De la Poésie de style. Si elle fait seule la destinée des Poëmes. » pp. 94-121
e, pour que nous ne faisions nos efforts pour le détruire. Toutes les parties d’un Poëme se rapportent à deux principales ; au
es sont comme les membres de l’autre. On demande laquelle de ces deux parties fait la destinée des ouvrages d’esprit. La questi
nos Auteurs se sont acquis une haute réputation, sans s’attacher à la partie du style ; enfin, si l’expression ne fait un gran
rapport qu’elles ont avec les nôtres. La draperie nous cache quelques parties de ces beaux corps ; mais notre imagination y sup
les trois quarts de la Nation, il ne reste donc plus que la quatrieme partie sur laquelle la Poësie de style puisse avoir quel
34 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « Discours préliminaire. » pp. -
, il est facile de l’entrevoir ; la vérité, que j’essaye de cacher en partie , m’échappe souvent, & perce le faible nuage d
véritables sentimens. Voilà dans quel esprit on doit lire une grande partie de ce qui concerne la Comédie-mêlée-d’Ariettes ou
de l’allégorie que j’ai faites du Théâtre qui plaît à la plus grande partie de la Nation. « Que nous importe, s’écrieront-ils
35 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. » pp. 297-328
Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. Le mot Fra
udrait qu’on employât une èxpression plus relevée pour désigner cette partie du chant de l’Opéra-Sérieux, si différente du réc
e ne doivent point être prodigués ; il perdraient peut-être alors une partie de leurs agrémens. Il suffit de placer deux Roman
ors tout-à-fait èxtravagant. Je n’adopte pourtant pas dans toutes ses parties l’opinion du Philosophe de Genève, qui soutient q
ttre le Poète dans un morceau chantant ? Il faut qu’il ne s’occupe en partie que du Musicien ; & celui-ci ne sait que fair
le chant approchait trop de la parole, il serait bientôt privé d’une partie de ses charmes. Que deviendrait sur-tout la musiq
as laisser toute la gloire au Musicien. Il parviendra à détourner une partie des applaudissemens sur lui seul, si sa Poèsie es
36 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre X. Des entrées faites aux Rois & aux Reines. » pp. 205-208
si precisement au sujet, & s’étende si naturellément à toutes les parties qui le composent, qu’il ne puisse estre appliqué
pour conserver toûjours le tout, & le dessein en son entier. Les parties doivent estre variées, differentes, mais sans per
37 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des Sentences mélées à l’action Théatrale, chez les Anciens & les Modernes. » pp. 153-158
ur la Scene Françoise, & dont les talens supérieurs dans d’autres parties de Littérature, lui ont mérité une place à l’Acad
iées au sujet ou au caractère de ces Acteurs, qu’elles sembloient des parties mêmes de l’édifice Dramatique. Elles avoient une
38 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XII. Des Spectateurs. » pp. 355-358
ectateurs. CE n’est pas le tout de bien connaître les différentes parties d’un Drame ; il faut savoir encore que l’action,
chacun l’avait adoptée ; au moins il a la gloire de l’avoir connue en partie . On conclura aisément de ce que je viens de dire,
39 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
flambeau Qui devrait avoir mis l’original en cendre. » La seconde partie de l’infamie canonique regarde les laïques. L’Egl
mes : « Tout est de droit public dans cette cause, par la qualité des parties (Comédiens). On sait à quel excès on porte tous l
priser les lois de l’Eglise et de l’Etat. » C’était plaider contre sa partie . M. Laverdi, fameux Avocat, qui à en juger par so
ou leur liberté, extrait baptistaire, mortuaire, ou consentement des parties , attestations des Curés des lieux ; et enfin il f
tielle à sa validité, il ordonne la séparation et rend la liberté aux parties . Mais le bien public prescrit aux Tribunaux extér
es faits de la cause il n’y avait de bien certain que la débauche des parties . Scaramouche était un concubinaire avec Izabelle,
légitimés par le mariage subséquent, même avec la bonne foi d’une des parties , ce qui n’était pas ici, puisque les deux se conn
ur le refus des sacrements qui a agité l’Eglise de France, toutes les parties ont unanimement reconnu que les Comédiens étaient
40 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-4
ans la suite ; encore même dans la Préface de Phedre reconnoît-il une partie de la vérité ; & son fils, élêve de ses derni
& ce n’est qu’après avoir examiné les preuves, & entendu les Parties , que le Juge prononce. Il est juste que le préven
41 (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44
Mr. Silvestre a pris la peine de me le faire tenir. , contient trois Parties , dont la I. est intitulée Le prémier volume des C
euillets cinq livres des Actes des Apôtres. Voions le Titre de la II. Partie  : le second volume du Magnificque Mystere des Act
uillets, & finit au neuvieme livre des Actes des Apôtres. La III. Partie est l’Apocalypse Saint Jehan Zebedee, ou sont com
io. Louïs Chocquet n’a mis son nom qu’au commencement de la troisieme Partie . Il l’y a mis en deux manieres, prémiérement par
42 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
se. Térence voyageait, puisqu’il perdit dans une tempête la meilleure partie de ses Ouvrages, ce qui le fit, dit-on, mourir de
urs de tous les Théâtres. Je présume qu’ils étaient dèja instruits en partie de cet Article important ; leurs Drames sont trop
u’on en retirera de très grands avantages : une Ouvrage qui traite en partie du Théâtre moderne, doit renfermer des règles Bis
ra-Bouffon & à la Comédie-Mêlée d’Ariette. Ce Chapitre, & une partie des deux Livres qu’on vient de lire ne sont qu’un
43 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
tre l’admiration et le mépris. C’est une chose bien singulière qu’une partie de la Nation enchantée du mérite des Comédiens, l
é prononcée par M. le Cardinal de Noailles ; ce fait n’est vrai qu’en partie . Le respectable Prélat dont il parle, n’a pas pro
a Danse. Chacun après avoir reçu ces instructions, s’attacherait à la partie pour laquelle il serait le mieux disposé. Des Act
n ne condamnera jamais ceux qui conserveront la décence en toutes ses parties . Qu’ils ont aujourd’hui quelques défauts, qu’on n
44 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VI. Des Poèmes Dramatiques représentés aux Jeux Scéniques. » pp. 135-144
ni si ces choses entraient séparément ou conjointement en tout ou en partie en leurs représentations. Ces Fables néanmoins fu
quelques endroits où le chant de quelques vers pouvait faire quelque partie agréable et comme nécessaire de la représentation
45 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [N] » pp. 431-435
llanes. Les Nations modernes, ont encore imité les Anciens dans cette partie du Dramatisme : dès l’année 1662, on vit à Paris,
vers. Ce Spectacle était un Opéra ordinaire, avec la diférence que la partie de l’action s’exécutait par une grande Marionnett
fans. Messieurs Arnould & Nougaret sont Auteurs de la plus grande partie des Scènes automatiques]. 1. C’était Laër, surn
46 (1620) L’Honneur du théâtre « Prologue » pp. 39-42
es bornes, établi l’état d’un admirable empire, subjugué la meilleure partie de la terre, conservé l’excellente dignité d’un n
é de ceux qui n’ont redouté les dangers pour la conservation de leurs parties , retire les méchants de leur impiétés par la crai
47 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [E] » pp. 399-406
ainsi le Monstre qu’élevèrent Sénèque & Burrhus, ne voyant aucune partie de son corps qui ne fût souillée, ne pouvait envi
voila du plaisir, mais du plus vrai, pour un siècle-bagatelle, où la partie aisée de la Nation est en enfance, & la parti
e-bagatelle, où la partie aisée de la Nation est en enfance, & la partie peuple… je me tais. Eh rougissez, si c’en est la
esirs effrénés, qu’une belle Courtisane, demi-vétue, qui ne cache une partie de ses charmes que pour la faire soupçonner plus
48 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre V. Autres Mêlanges. » pp. 121-140
hez tous les peuples, même les plus civilisés, dans toutes les quatre parties du monde, les mines, les pantomimes, farceurs, ba
dées, décide tous les interêts. La foule qui va aux boulevards est la partie la plus dérangée, la plus grossiere, qui a plus b
ds enchaînés dans la sottise & le vice. Les Censeurs, juges & parties , ne souffrent aucune piece réguliere & décent
e menaça de lui faire son procès. Il promit tout, il a tenu parole en partie . Il a toujours respecté la religion ; mais les mœ
it personne, & ses. Opera comiques sont fort libres. Il quitta sa partie où il avoit à craindre la sévérité du Magistrat,
agistrature qu’il avoit attaquée au Palais. Cette comédie, qui est en partie son procès, fut d’abord défendue par honneur pour
49 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre V [IV]. De la Chaussure du Théâtre. » pp. 115-141
eur chaussure. Elles y fondent les plus hautes prétentions. C’est une partie essentielle de lerus armes. La maniere dont les A
uve des traits séduisans. La vanité & l’impureté y ont établi une partie brillante de la parure, & sur le théatre leur
ilité, leur situation, leur arrangemeut symétrique sont une si grande partie des graces de la danse, que Riccoboni dans so réf
nne de Marquis. Quand on étoit assis, la noblesse étoit cachée par la partie du corps la plus roturiere. Le devant de l’habit
peu rebelle : en l’ouvrant il partageoit l’écu. Dans les armoiries mi parties par les alliances on voyoit la femme d’un côté, &
sa legereté donnoient du jeu au danseur. Les femmes ont conservé une partie de cette chaussure théatrale. Elles n’ont que les
lio lætatur. Ces puérilités subsistent encore. La jarretiere est une partie essentielle de la toilette de Terpsicore, que les
50 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre III. Du Cardinal de Richelieu. » pp. 35-59
1.° Les pièces composées dans le bureau de l’Eminence, et par elle en partie , étaient, comme de raison, pleine d’éloges flatte
r Corneille, le plus petit moineau lui donne son coup de bec : jamais partie plus redoutable, un premier Ministre, et un Minis
. « Afin que l’Académie pût juger, ses statuts voulaient que l’autre partie , c’est-à-dire Corneille y consentît. » Ce consent
Ce consentement ne fut pas aisé à obtenir. Corneille avait trop forte partie pour espérer de gagner le procès, sa gloire ne po
s se rendre odieuse par un jugement qui peut-être déplairait aux deux parties , et ne pouvait manquer d’en désobliger au moins u
es, et ne pouvait manquer d’en désobliger au moins une, et une grande partie de la France ; qu’à peine pouvait-on souffrir sur
s ne cessaient de cabaler contre lui. Cette diversion cachait même en partie ses projets, il agissait d’autant plus sûrement q
51 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — [Introduction] » pp. -1
auteurs particuliers, qui par zèle, ont transmis à la postérité, une partie des grands événemens de ces fameux Empires. Il fa
les faits du théatre à ceux de la Monarchie, dont le théatre est une partie si essentielle ; soit parce qu’un historien gagé
52 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IV. » pp. 17-22
ommence la période dont votre Avocat a affecté de ne rapporter qu’une partie . « Ce n’est pas que j’approuve, en un sujet Chr
stum patronum, deinde mihi neminem." De grâce donnez cet Avocat à mes parties , et puis ne m’en donnez aucun. » 3. [NDA] Ci
53 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
esque tous, ou impurs et défendus dans leur nature, c’est la première partie  ; ou excessifs dans leur étendue, c’est la second
la première partie ; ou excessifs dans leur étendue, c’est la seconde partie  ; ou enfin scandaleux dans leurs effets, c’est la
enfin scandaleux dans leurs effets, c’est la troisième et la dernière partie . Appliquez-vous, s’il vous plaît, à ces trois pen
rincipes étoient généralement et constamment suivis par la plus saine partie des chrétiens, peut-être seroit-il plus supportab
pour vous, peres et meres, c’est par-là que je conclus cette premiere partie  ; et plaise au Ciel que vous en compreniez toute
xcessifs, comme je vais vous le montrer. C’est le sujet de la seconde Partie . II. Part. Tout excès, Chrétiens, est un
jamais bien expliqué, et qui va faire tout le fonds de cette seconde partie  : c’est le jeu. Principe de mille malheurs, et pa
ouvoir en quelque sorte se supporter ni souffrir personne, dès qu’une partie de jeu vient à lui manquer ; qui n’a d’autre entr
, parce qu’ils sont scandaleux dans leurs effets : c’est la troisieme Partie . III. Part. C’est une chose bien surprenan
54 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Du Législateur de Sans–souci. » pp. 93-109
lage suspect. Il ne souffre point l’oisiveté, la molesse, le jeu, les parties du plaisir, en liant à des enfans qu’il faut élev
s même impossibles ou déshonnetes sont censees accomplies lorsque les parties ont eu un commerce charnel. Le commerce charnel
e leurs femmes. Voilà des dénouemens tragiques bien faciles. Si les parties demandent la dissolution d’un commun accord, on f
t la dissolution ; les effets en sont à peu près les mêmes, & les parties n’ont qu’à persister dans leurs mésintelligences
e n’est qu’un embarras de plus pour le Code, pour les Juges, pour les parties , une multiplication & allongement de proces.
55 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Cirque. » pp. 9-43
laçoit les Dames qui avoient paru dans la Pompe, pour leur rendre une partie du plaisir qu’elles avoient donné : & pour re
es cinq prix. Ils en eurent des *Noms glorieux, & dont on fit une partie de leur recompense. Ces manieres de jeux ont esté
e de la force ou de l’adresse de deux hommes, est devenuë ensuite une partie d’ambition dangereuse & funeste, où l’on a pa
& assembla exprez son Armée & luy abandonna le pillage d’vne partie de la ville. Section III. Des Prisons, des
chevaux dont on se servoit dans les Ieux, car une des plus illustres parties du spectacle a esté cette varieté d’attellages qu
que la coûtume & le devoir pouvoit desirer d’un Gladiateur . Vne partie de ces devoirs est deduite dans Petrone, Petr. i
56 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre IX. Des Exercices, ou Reveuës Militaires. » pp. 197-204
mp; on faisoit des attaquants, & des soûtenans. On en postoit une partie dans un lieu de défence, & on la faisoit forc
oster avantageusement. 3. Qu’ils cherchassent certains defilez où une partie des Troupes attaquast l’autre, pour leur apprendr
57 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PRÉFACE. » pp. -
se une méthode et des règles pour exécuter la réforme dans toutes ses parties  : on y trouvera une espèce de Catalogue raisonné
ne espèce de Catalogue raisonné d’un petit nombre de Pièces, dont une partie peuvent subsister telles qu’elles sont, d’autres
58 (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351
ole sainte, et qui oserait condamner des Jeux, où Dieu même est de la partie  ? Vous voyez sans doute, Messieurs, que nous ne b
orrompue. C’est ce que nous vous voulions prouver dans cette première partie . SECONDE PARTIE. Après tout ce qui fut dit
que nous vous voulions prouver dans cette première partie. SECONDE PARTIE . Après tout ce qui fut dit avant-hier, il est
être altérée ; supposons-le néanmoins, Messieurs, dans cette seconde partie pour y prouver simplement que quand on ferait que
es dans l’Eglise, que Photius Epist[ola]. 54. p. 107. appelle chaque partie de l’Ecriture ou prêchée, ou écrite, des perles s
nos adorations, parce qu’il contient Jésus-Christ tout entier, chaque partie de l’Ecriture exige aussi nos respects et nos hom
ui voulant vivre en Chrétiens, ne laissent pas de se trouver dans les parties de plaisir, où les chants agréables entretiennent
rs ou Bateleurs ; que les assemblées de ces jeux donnaient lieu à des parties ou assignations d’adultère et de fornication, et
59 (1758) Réponse pour M. le Chevalier de ***, à la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles [Essais sur divers sujets par M. de C***] « Réponse pour M. le Chevalier de***, A la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles. » pp. 128-142
x d’entr’eux qui liront votre brochure vous plaindront de négliger la partie la plus brillante de notre littérature, & por
nte au théâtre, & je finirai par le jeu des acteurs : la première partie décidera de la seconde ; car la déclamation n’est
J’aurois tort cependant d’en conclure que toutes sont bonnes ; car la partie ne doit point ici décider du tout. Je dois vous d
60 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXII. De l’usage du Théatre relativement au Comédien. » pp. 104-121
que. Pendant la lecture, peut-il faire assez d’attention à toutes ses parties pour décider du premier coup-d’œil, des effets qu
u. Les Poëtes anciens, & ceux du dernier siécle, ont parcouru une partie de ces regions fertiles ; mais dans cette partie
le, ont parcouru une partie de ces regions fertiles ; mais dans cette partie même il est encore une multitude de sources à déc
61 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE V. Remarques sur L’Amphitryon, Le Roi Arthur, Don Quichotte et Le Relaps. » pp. 302-493
bizarre n’est-il pas inventé pour rendre ridicule le tout, et chaque partie réciproquement aussi peu croyable que l’autre ? T
nde bien que notre maligne bête ne vienne à parler. » Dans la seconde partie  ; le diable paraît en qualité d’Acteur et s’écrie
illes Ibid. n’eurent jamais un succès plus étrange. Dans la troisième partie , Marie de la belle-humeur n’ouvre la bouche que p
; et est encore là beaucoup plus scandaleuse que dans les deux autres parties . Aussi les Dames s’offensèrent-elles de ces excès
fey. Il fut « sensiblement touché que les Dames qui font la meilleure partie de l’assemblée trouvassent sa Comédie ennuyeuse,
de la même solidité et de la même beauté d’esprit. Dans la troisième Partie , paraît une troupe de Marionnettes. C’est heureus
t ici ou jamais que doit paraître le génie, le talent du Poète. Cette partie du Poème Dramatique demande certains traits de co
tels ? pourquoi leur caractère est-il comme un monstrueux composé de parties qui ne se rapportent point ? Qu’on les prenne don
C’est apparemment pour soutenir l’allégorie languissante. La seconde partie de la harangue de M. le Digne est encore plus mis
aminer les sentiments et l’expression du Relaps, qui sont deux autres parties du Théâtre. « La Pensé ou les sentiments sont les
un jour est employé pour le premier Acte, pour le second et pour une partie du troisième, avant que Lord-Fat parte, afin de s
Il y a de la perte à cette division : l’augmentation du nombre et des parties fait la diminution de la beauté et du prix. Sur c
Spectacles. Après avoir montré dans les chapitres précédents, une partie des désordres du Théâtre Anglais ; je vais apport
tus et à Eucratius, lesquelles sont indubitablement de lui. Voici une partie de celle qu’il écrit à Eucratius après en avoir é
erte de tous ceux qui se sont corrompus par les spectacles retombe en partie sur vous : chaque témoin participe au mal qui se
condamnable que l’était celle des anciens. Je ne décide pas que cette partie du Théâtre porte directement au crime : car je ne
e de l’Action, de suivre l’ordre du Poème, et d’ajuster au tout cette partie . Ainsi, conformément à l’esprit de nos spectacles
quel extrême danger du salut n’est-on point ? Or, c’est au Théâtre en partie que nous devons attribuer cette situation malheur
Absalon et Achitopel, poème allégorique et satirique, publié en deux parties (1681 et 1682). Seule la première partie est cert
t satirique, publié en deux parties (1681 et 1682). Seule la première partie est certainement de Dryden. ba. [NDE] Thomas D'
62 (1759) Remarques sur le Discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie « Remarques sur le discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie. » pp. 350-387
inion, par l’idée qu’il y donne de la Tragédie, & des différentes parties qui n’en forment qu’un seul tout. Quest-ce que la
d ces différentes dispositions de notre ame ; & c’est peutêtre en partie par cette raison que l’on voit plusieurs pieces d
t du Poëte Tragique, par lequel il construit si habilement toutes les parties de son Poëme, qu’elles se tiennent comme par la m
structure d’un bel édifice, & la perfection égale de chacune des parties semblables produisent dans l’Architecture. Il rés
par la satisfaction dont il jouit, lorsqu’il compare les différentes parties d’un Ouvrage, ou les unes avec les autres, ou ave
sans embarras, sans confusion, sans obscurité, & dont toutes les parties , se succedent l’une à l’autre, avec une liaison s
rs ou les instruments de l’imitation, & dont il fait la troisiéme partie de sa division générale ; je veux parler ici de l
plus vive & plus animée, qu’elle en lie & en unit toutes les parties , & qu’elle y ajoute un nouvel ornement. Tout
un nouvel ornement. Tout ce que je viens de distinguer soit dans les parties principales de la Tragédie, soit dans celles qui
e, c’est le sujet même, c’est l’union & le concours de toutes les parties de l’événement, qui excitent en moi cette agitati
facile. Ainsi le goût qu’il trouve à juger des rapports est fondé en partie sur ce qu’il fait moins d’efforts dans cette espe
63 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
fit, & comment il parvint jusqu’à nous. Parcourons rapidement une partie des causes qui purent le faire naître. Commençons
si attentive à leur ramage, qu’elle parvint enfin à le contrefaire en partie . Elle allait doucement dans le fond des bosquets 
u commença la musique. Il serait difficile de marquer dans quelle partie du monde la musique fut d’abord inventée. La Natu
s y penser ; car le véritable Mercure vivait en Egypte, où une grande partie des sciences fleurissait lorsque Athènes était à
ns le Temple pour les grandes cérémonies. Athènes perfectionna en partie la Musique. Les Grecs recevaient les Sciences
p; dénué de l’accord de divers tons. L’on présume que le chant à deux parties nous vient des Italiens. Il y a pourtant toute ap
ersans se contentent de donner des noms de villes de leur pays ou des parties du corps humain, aux quarante-huit sons de leur m
outes les vertus civiles & morales. Elle était regardée comme une partie essentielle de l’éducation. Le fameux Epaminondas
i le ridicule de tant de louanges outrées ; aussi pour en éffacer une partie , les défenseurs de la musique veulent nous faire
64 (1640) L'année chrétienne « De la nature, nécessité, et utilité des ébats, jeux, et semblables divertissements. » pp. 852-877
s m’arrêter davantage à la preuve de cette vérité ; car en la sixième Partie de ce premier Tome, j’en parlerai plus amplement,
e toujours celui qui vit bien, de laquelle je traiterai en la sixième Partie de ce premier Tome ; je ne m’arrête ici qu’à la s
avait jamais manié ni bille, ni billard, gagnait à chaque coup, et la partie finie, le vaincu se mit entre les bras de ce Sain
n seulement pour n’employer pas à cela tout le temps, ou la meilleure partie d’icelui ; car il y a des occupations plus import
omme j'ai déclaré plus amplement au Chapitre sixième de cette seconde Partie , quand j'ai parlé des occupations : et en la prem
seconde Partie, quand j'ai parlé des occupations : et en la première Partie , au Chapitre second, parlant de l’intention. Je n
emps qu’il faut ouïr la Messe : lorsqu’un Juge doit aller écouter les parties , et faire justice à ceux qui l’en requièrent ; ou
s bien le procès qui doit plaider ; le Juge renvoie à tout propos les parties , èsquelles il devait donner audience ; les Ecclés
Monsieur François de Sales, Evêque de Genève, en sa Philotée en la 3. Partie , Chap. 3. 1. En même temps que vous étiez au bal,
65 (1788) Sermons sur les spectacles (2) « Sermons sur les spectacles (2) » pp. 6-50
acles pour la piété & pour les mœurs sera le sujet de ma première partie  ; la réponse aux raisonnemens, par lesquels on en
ous les arts ; qu’il ose avancer que la gloire de son théâtre est une partie essentielle de la gloire nationale. Disons mieux,
’y être vues que celui de voir ; qu’elles y deviennent elles-mêmes la partie la plus dangereuse du Spectacle ; qu’une infinité
théâtre s’efforcent de le justifier : ce sera le sujet de ma seconde partie . SECONDE PARTIE. Lorsque nous opposons aux
t de le justifier : ce sera le sujet de ma seconde partie. SECONDE PARTIE . Lorsque nous opposons aux partisans du théâtr
rement, mes Frères, je veux bien supposer avec vous que dans quelques parties de l’Eglise Catholique, les comédiens sont traité
Pourquoi d’ailleurs cette différence de discipline entre les diverses parties de l’Eglise Chrétienne ? Est ce de la part de cel
66 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109
gue, à moins que l’Orateur n’ait voulu lui-même plaisanter. C’est une partie de la mascarade, & un reste du goût de l’anci
l’égard des Ecclésiastiques qui se masquent, qui se trouvent dans des parties de masques, ou les souffrent, s’ils peuvent les e
ent semblables, quoique chacun dans son espèce soit composé des mêmes parties , arrangées dans le même ordre & pour les même
dum in foro ambulans, aut uti veste muliebri. Il raconte que dans une partie de débauche Denys le tyran ayant voulu faire masq
personnage qu’on joue. Le théatre a fait de l’art du déguisement une partie considérable de l’art dramatique, pour bien suivr
Cour, après mûre délibération, prononce gravement son arrêt, met les parties hors de cour & de procès, confirme les privil
odieuses amoindries ; qu’on leur seroit souvent fraude par les maris parties adverses & infestes, & seroient obligés d
67 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381
e sur la Prononciation, où traitant de l’Action, qu’il divise en deux parties , le geste & la voix, & demandant l’accord
parties, le geste & la voix, & demandant l’accord de ces deux parties dans l’Orateur, il lui étoit naturel d’observer q
ne les en chargeoit-on pas, si la Déclamation étoit partagée en deux Parties  ? Dans laquelle de ces deux Parties excelloit Ros
éclamation étoit partagée en deux Parties ? Dans laquelle de ces deux Parties excelloit Roscius ? Il est certain qu’il excelloi
ue d’en parler ainsi. S’il est si aisé à un homme d’accorder ces deux parties de la Déclamation, les gestes & la voix, pour
p; dansoit en même tems, & que pour le soulager on établit qu’une partie danseroit pendant que l’autre chanteroit. La même
oient la Déclamation comme la premiére, la seconde & la troisiéme partie de l’Eloquence, auroient-ils été en demander des
68 (1640) Lettre apologétique pp. 2-42
eunes hommes, auxquels il enseigna ses tours de passe-passe et autres parties de son métier, et furent appelés Histrions, du no
ir dire assez, et j’ai de trop faibles Eloges, pour la moindre de ses parties  : Et quoique ce Pédant l’attaque par les plus rud
que celui (dis-je) qui doit donner un calme et une tranquillité à la partie imaginative de son âme, et régler ses écrits à la
ruiné l’harmonie de l’amitié des hommes, qu’elle a pris l’innocence à partie , qu’elle a essayé de corrompre toute la terre, br
on de ceux qui la professent, et comme la médisance est la plus belle partie de son âme, ses injures sont aussi le plus riche
69 (1639) Instruction chrétienne pp. -132
l, et ainsi s’endorment par les charmes de ceux qui en disputent sans parties ouïesd, ou sans contendants qui leur répondent ;
ême abandon de dissolution  ». Mais, comme la plupart sont encore en partie enfants de ce siècle, il advient aussi qu’ils ne
rce que si on ne s’en garde, elles prennent le dessus, sur toutes les parties du corps et de l’âme, énervent les vertus, et ren
’est à dire les Démons, ont exigé ces jeux de leurs adorateurs, comme partie de leur servicead : tellement qu’ils ont été tenu
onorés. Ce qui est dit contre les Acteurs de ces jeux, tombe aussi en partie sur les spectateurs et auditeurs : Car combien qu
eront en état de faire ce qui convient à des hommes ? Il faut donc en partie par persuasion, en partie par contrainte les déto
qui convient à des hommes ? Il faut donc en partie par persuasion, en partie par contrainte les détourner de cette indécence e
ent, et apprennent. Premièrement, les arguments des Tragédies sont en partie atroces, méchants, et impies : en partie abominab
uments des Tragédies sont en partie atroces, méchants, et impies : en partie abominables, incestueux, partie incroyables et ab
tie atroces, méchants, et impies : en partie abominables, incestueux, partie incroyables et absurdes. Pour exemple, des mères
ent les oreilles : tellement que s’il y a de l’erreur en l’une de ces parties , les autres peuvent être sans péché : Mais ès Thé
r maux, et accumulons péchés sur péchés ; et après que la plus grande partie de nous est périe, nous faisons encore ce qu’il f
ardre nos voisins, mais nous-mêmes sommes embrasés en la plus grande partie de nos corps. Et quel mal est ceci (ô méchanceté 
nt par le désert pour avoir désiré de la chair accoutumée, perdit une partie de son peuplegw. Et cependant il n’avait point en
uvrir le sac, c’est-à-dire sans rien connaître de l’affaire. d. Sans parties ouïes : sans ouïr les parties, c’est-à-dire sans
s rien connaître de l’affaire. d. Sans parties ouïes : sans ouïr les parties , c’est-à-dire sans entendre les arguments et part
être ordonné clerc »). Il est recueilli dans le Décret de Gratien, 1e partie , distinctio 33, cap. 2, « Duarum matronarum marit
n adultère avec elle dans son cœur » (trad. L. Segond). gn. Membre : partie d’un corps politique. go. Badin : qui s’amuse à
70 (1757) Article dixiéme. Sur les Spectacles [Dictionnaire apostolique] « Article dixiéme. Sur les Spectacles. » pp. 584-662
re, qu’on lui applaudit sur tous les théâtres, qu’elle doit faire une partie si essentielle des plaisirs publics, qu’on ne peu
pour ne les pas condamner ; ainsi je vous ferai voir dans ma premiere Partie combien les spectacles sont mauvais ; & dans
raisons qui les justifient sont frivoles. Introduction à la premiere Partie .Qu’il est triste d’être obligé de prouver à des C
a foi & à l’espérance chrétienne. Soudivisions de cette premiere Partie . Preuves de la premiere Soudivision. Les spectacl
tte passion qu’il a voulu dépeindre ? Et on regarde l’effet comme une partie si essentielle à la piece, que si elle manque par
raisons qu’on allégue pour les justifier. Introduction à la seconde Partie .Après la peinture que je viens de vous faire des
es mondains pour essayer de les confondre. Soudivision de la seconde Partie . Justifications des spectacles.On justifie ordina
on le prétend, indifférent en soi ? Je l’examinerai dans la premiere partie  ; & quand même il seroit indifférent en soi,
l’innocence n’y coure aucun risque ? Nous le verrons dans la seconde partie . Introduction à la premiere Partie, & Soudiv
? Nous le verrons dans la seconde partie. Introduction à la premiere Partie , & Soudivisions.Pour qu’une chose puisse être
risque où se trouve toujours l’innocence. Introduction à la seconde Partie .Vous aimez le péril ; malheureux, vous y périrez 
sécurité présomptueuse qui va te perdre. Soudivisions de la seconde Partie .Voilà une image fidele du mondain dans les specta
iser les spectacles. Division du Discours. Introduction à la premiere Partie . Soudivisions de cette premiere Partie. Preuves d
rs. Introduction à la premiere Partie. Soudivisions de cette premiere Partie . Preuves de la premiere Soudivision. Les spectacl
tacles sont interdits aux enfans de la Foi. Introduction à la seconde Partie . Soudivision de la seconde Partie. Justifications
e la Foi. Introduction à la seconde Partie. Soudivision de la seconde Partie . Justifications des spectacles. Preuves de la pre
ment des spectacles. Division du Discours. Introduction à la premiere Partie , & Soudivisions. Preuves de la premiere Soudi
mner tous les amusemens & les plaisirs. Introduction à la seconde Partie . Soudivisions de la seconde Partie. Preuves de la
laisirs. Introduction à la seconde Partie. Soudivisions de la seconde Partie . Preuves de la premiere Soudivision. Le théâtre e
71 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82
humanité. Dans la Tragedie de Mahomet, que vous approuvez du moins en partie , vous appréhendez que la grandeur d’ame qu’il éta
s ? Où en seroit la raison humaine, si après avoir été la plus grande partie de sa vie le jouet de mille erreurs ; si en multi
parfaite législation ? Un Peuple, où sans égard pour l’humanité, une partie des habitans, sous le nom d’Islotes, gémissoit so
plus soigneux & plus adroits ; c’est-à-dire, qu’il falloit qu’une partie des citoyens commît de mauvaises actions pour l’é
’énerver le courage. De l’Antiquité, dont le gouvernement en bien des parties est pour nous une énigme difficile à éclaircir, d
onsulter la raison dans leurs jugemens. Aussi inconséquent dans cette partie de votre discours que dans tout le reste, permett
tation des effets de la nature. Beaucoup sont consacrés en tout ou en partie à peindre les passions. Un Poete, un Orateur, un
la personne. Un Orateur à Rome gratifié pour soutenir le droit de ses parties , par conséquent aussi peu desintéressé que le Com
écision du peuple Romain, il étoit d’une certitude absolue qu’une des parties avoit tort ; cependant celle qui soutenoit une pr
ltés, ces secours n’humilient jamais l’objet de leur générosité : une partie du produit de leurs travaux est destiné au soulag
72 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre prémier. De la Comédie-Bourgeoise, ou Comique-Larmoyant. » pp. 6-13
e-Héroïque furent fort en usage du tems de Louis XIII, & sous une partie du règne de son Successeur. On y voit des Princes
r à plusieurs, c’est risquer de faire un ouvrage monstrueux, dont les parties n’auront aucun rapport les unes avec les autres.
73 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
[...] Quels sont les divertissements ordinaires de la plus grande partie des chrétiens pendant les Dimanches et les Fêtes.
t les Chrétiens d’aujourd’hui, et à quoi ils emploient la plus grande partie des Fêtes et des Dimanches. J'ai marqué ci-devant
74 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Henri IV. » pp. 121-168
ction de cette conduite sont-elles vraisemblables ? M. Collé, dans sa Partie de Chasse de Henri IV, a osé faire manger & c
eces contre lui, elle n’en auroit point eu de plus insultantes. Cette Partie de Chasse de Henri IV, disent les Affiches Janvie
aujourd’hui toute Protestante. Mais il faut tirer le rideau sur cette partie de sa vie, qui d’ailleurs seroit peu propre au th
, son esprit, sa physionomie, ses sentimens. On ne doit traiter cette partie qu’avec beaucoup de circonspection, & ne jama
usson. Cette plaisanterie, si elle est vraie, est dans le goût de la Partie de Chasse d’Henri IV. du sieur Collé ; mais moins
etite poëtique sur l’objet le plus mince, contient une critique de la Partie de Chasse du sieur Collé, & la Bataille d’Ivr
vive Henri IV, tous les cœurs sont à l’unisson. Sur quoi il cite la Partie de Chasse de Collé, où il y a quelque vaudeville
e, pour le combler de ses bienfaits , &c. Il cite pour exemple la Partie de Chasse, & cela même le condamne. Henri n’a
à on alla jouer les pieces de théatre dont ce Prince est le sujet, la Partie de Chasse & la Bataille d’Ivri, très-appropri
i n’a pas même la finesse du patois du Languedoc. Il passa une grande partie de sa vie à la tête des troupes protestantes tout
est aussi grand qu’un Roi . Ce repas est plus décent que celui de la Partie de Chasse. Ce Maire lui érigea une statue dans la
75 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217
pocalipse, qui en tombant du ciel entraîne avec sa queue la troisieme partie des étoiles, c’est-à-dire, les Anges qu’il a sédu
i portent la queue de Madame méritent bien celui de Hochequeue. Cette partie du corps non seulement orne les animaux, mais enc
en étoit bien éloigné. Moïse par ordre de Dieu en explique toutes les parties dans le moindre détail, & le fit exécuter sou
’a toujours fait devant Dieu. La queue traînante en est un reste, une partie de la prosternation ; aussi ne se fait on jamais
une robe de Palais, & la longue queue n’est pas une des moindres parties de la farce. C’est que dans le monde, où tout n’e
vant le pavillon fierement levé d’une Puissance supérieure, c’est une partie de l’étiquette maritime, qui quelquefois occasion
76 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I. Des Parfums. » pp. 7-32
in harmonique, savoureux & odorant ; quelque Médecin a composé la partie didactique, & le Marchand a donné le recueil
r faire venir de tous côtés les plus précieuses ; elles faisoient une partie essentielle de sa cuisine, il falloit que tout ce
tels Prêtres, les choses saintes seroient en mauvaises mains. Cette partie du luxe a toujours été condamnée par les sages co
e ; depuis la Palestine jusqu’à la Chine il y a des cantons comme une partie de l’Arabie qui en a pris le nom d’heureuse où to
ervoient leurs maîtres que parfumés, il n’y eut plus de fête & de partie de plaisir où les odeurs ne fussent prodiguées ;
propos chasser la puanteur qu’elle y répand ; ce n’est pas la moindre partie de la toilette, on n’employe pas moins de temps à
77 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58
héâtre au commencement du siècle où nous sommes, & la plus grande partie des Pièces qui nous enchantent maintenant, ne son
héâtre il soit destiné, que votre Ouvrage doit être vu par une grande partie du Royaume. Or est-il probable qu’elle ne soit co
semblable moyen : heureusement que la musique le met à couvert d’une partie du soupçon. Le Philosophe même peut se laisse
nières enjouées & libres, parce qu’elles sont une des principales parties de lui-même ; & que sans elles il n’éxisterai
amp; font presque tomber la gaze légère qui cache aux Spectateurs une partie de la vérité La manière dont s’èxprime Isabelle,
ion qui adopte de pareilles Pièces. Tâchons de nous dire au moins une partie de ce que nous pensons charitablement sur le comp
78 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VIII. Du Stile. » pp. 287-319
ourra commencer à l’écrire. Autrefois le stile n’était que la moindre partie des Ouvrages de Théâtre, maintenant il en fait le
e dèssein ; je fais trop qu’il est facile de le disculper au moins en partie  : qu’on en juge par ce que j’ai déjà dit, & p
? J’observe que les critiques que j’ai répétées d’après la plus saine Partie du Public tombent presque toutes sur les ouvrages
ou des petits Maîtres qui les chantent partout : or le goût de cette partie de la Société n’est pas fort difficile : il cesse
e parlait par ma main55. Despréaux se plaisait à prêter à plusieurs parties du corps des facultés qu’elles n’ont point. Tout-
79 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
Sales ; car l’Auteur rapporte le chapitre 33. entier de la troisième Partie de l’Introduction à la Vie dévote, où sont toutes
cité comme approbateur de la Comédie. Il en tire la preuve de la 3me Partie de sa Somme Tit. 8. Chap. 4. Sect. 12. et il cite
ta tolerat quæ non probat. » Le deuxième Discours est divise en trois Parties . La première est un Abrégé des Poètes et des Hist
, que celles de Molière pour le nôtre. Je ne dirai rien de la seconde partie , qui contient des passages des Pères ; j’en ai as
t les Comédiens Italiens à Paris, peuvent être permises, ayant vu une partie des Affiches qui leur ont été communiquées, savoi
80 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Actes ou des divisions nécessaires au Poème dramatique. » pp. 90-106
strophe ; il ne faut pourtant pas croire qu’elles n’eussent que trois parties . Elles en ont davantage si l’on commence à les co
re, ou qui font naufrage au Port. Ils ont déjà franchi la plus grande partie du chemin. Ce dernier pas fait, ils pourraient bi
jet que vous traitez s’agrandit sous vos mains ou que ses différentes parties demandent un champ vaste, alors composez trois Ac
81 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16
ttre, ou suite de l’Intrigue qui n’est plus interrompue. 242 SECONDE PARTIE . Contenant les Notes, en Dialogues & en Lectu
r l’emplacement actuel de l’Hôtel-des-Monnaies ; le troisième sur une partie du terrein de l’Hôtel Condé ; le quatrième dans l
e National ne pourrait-il pas être plus avantageusement placé dans la partie du triangle de la Place-Dauphine qui borde la rue
82 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXX. Profanation du dimanche : étrange explication du précepte de la sanctification des fêtes. » pp. 109-116
où les sens sont si émus, comme une imitation du repos de Dieu et une partie du repos qu’il a établi. Mais laissons les raison
avoir droit d’occuper le jour du Seigneur, ou de s’en approprier une partie  ? est-ce un art plus libéral ou plus favorable qu
83 (1667) Traité de la comédie « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] LES VISIONNAIRES,ouSeconde partie des lettressurL'HERESIE IMAGINAIRE contenant les
84 (1694) Lettre à l’abbé Menard « [FRONTISPICE] »
DE NISMES, et l'un des quarante de l'Academie francaise [...]TOME V. PARTIE II. A NISMESChez Pierre BEAUME, Imprimeur-Librair
85 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IV. Le Peuple doit-il aller à la Comédie ? » pp. 60-74
ches (que personne n’a le pouvoir de supprimer) emportent la septième partie de l’année. Si on ajoute une douzaine de fêtes, à
rt des Evêques ont eu la condescendance d’y faire, ce sera la sixième partie . Sans doute que le temps donné au culte d’un Dieu
d’un ouvrier, sans compter le temps employé à s’y préparer, à lier la partie , les conversations, jeux, repas, promenades, qui
on ne compte pas des milliers d’acteurs et d’amateurs qui passent une partie de leur vie à sentir, à goûter, à peindre, à insp
86 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre V. De la Dépense des Spectacles. » pp. 75-88
hat, et deux cent mille livres à bâtir, dont le Roi a payé une grande partie . Les augmentations et embellissements vont au dou
ans la débauche, ce qu’ils gagnent au jeu, ce qu’ils font consumer en parties de plaisir, dépenser à enseigner des chansons et
luxe, de la dissipation qu’il inspire, les débauches, les repas, les parties de plaisir qu’il occasionne, non seulement avec l
ul à la comédie, rarement on en revient seul ; le jeu, les repas, les parties de plaisir la suivent, on y fait des connaissance
87 (1707) Lettres sur la comédie « [frontispice] »
Mémoires de Litérature et d'Histoire Par le P. Desmolets Tome sept, partie premiere A PARISChez Nyon fils, Quai des August
88 (1638) L’Image du Vray Chrestien. Chapitre IV « [frontispice] »
ar le R. P. F. Piere Marchant, F. Mineur Recollect. Divisee en trois Parties pour la commoditè des Lecteurs[...] A Gand, chez
89 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre X. Des Décorations. » pp. 336-344
ressemblent au monstre dont Horace fait la peinture ; aucune de leurs Parties ne se rapportent entre-elles. Il n’est rien de si
enrichir à l’aide des Ariettes, se flattèrent au moins de ramener une partie de leurs Spectateurs, en ajoutant à leurs Drames
90 (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172
s faire sentir la force de ces deux véritez importantes dans les deux Parties de mon Discours. Ecoutez-les sans prévention, &am
, peut-estre serez-vous assez sages pour changer de sentiments. Il I. Partie faut convenir d’abord, que la Religion n’est pas
en jour l’univers à nos yeux, & comme si c’estoit trop peu qu’une partie des hommes perît, nous contraignons le Ciel par n
le monde justifiera toujours vainement : & c’est icy la derniére Partie de mon Discours. L’EgliseII. Partie a toujours r
ent : & c’est icy la derniére Partie de mon Discours. L’EgliseII. Partie a toujours regardé les spectacles comme une des
plein de malignité.1. Jean. 5. 19. Ailleurs elle ne se répand que par parties . Sur le théatre elle est dans sa plénitude. Tous
1. 90. Cypr. de spect. Salv. de Gub. Dri. Libr. 6. Sap. 5. 6. I. Partie Cypr. contr. Histr. ad Eucrat. Art. 1. Indece
ass. de Gub. Dei. Libr. 6. Eccli. 22. 6. Tert. 1. Cor. 15. 16. II. Partie Tert. libr de spect. cap. 10. Art. 1. Les spec
91 (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « [FRONTISPICE] »
eil de plusieurs Instructions sur diverses Matieres. Divisé en quatre parties . Utiles aux Curez et autres Ecclesiastiques, pou
92 (1700) IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, etc. [Sermons sur tous les sujets de la morale chrétienne. Cinquiéme partie] « IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, &c. » pp. 95-126
que de se trouver aux spectacles, ausquels les Chrétiens passent une partie du Carnaval ; mais aprés vous avoir déja fait voi
, & contre lesquels ils invectivent avec tant de zele, étoient en partie sanguinaires & cruels, & en partie infame
c tant de zele, étoient en partie sanguinaires & cruels, & en partie infames & honteux ; en sorte que les personne
exe, qui passent les nuits dans une sale de bal, & la plus grande partie du jour dans les assemblées du beau monde, qui se
e demande, Messieurs, à quoy j’ay dessein de satisfaire en ma seconde Partie , où j’ay à vous faire voir, que ces spectacles qu
t le monde. Renouvelez, s’il vous plaît, vôtre attention. Seconde Partie . SI l’on ne peut dire absolument, que les spe
93 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Autres Anecdotes du Théatre. » pp. 43-70
ours d’un procès un Avocat ne connoisse le nom & les qualités des parties , & ne s’apperçoive qu’il plaide contre sa maî
énouement de ruiner la personne qu’il aime, ou se rendre suspect à sa partie , si elle vient à connoître l’intrigue. Un plaideu
pour s’en bien assurer, il s’enfuit aussi-tôt, & courut chez ses parties accepter les propositions qu’il avoit refusées, &
nseurs pour les mœurs & la doctrine, mais comme critiques pour la partie littéraire.) Ils choisissoient les meilleures, &a
propre à toute sorte de représentations, qui réunisse les différences parties de la distribution, & décoration antérieure &
tte cause ridicule, qui pouvoit devenir funeste, étoit de mettre les parties hors de cour & de procès . Il se trompe sur c
94 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142
passe les bornes de la tolérance. Cet usage est devenu un devoir, une partie de l’éducation ecclésiastique. Le grand Vicaire n
r une demi-lune. Il a ses Ingénieurs, nous sommes Ingénieurs en cette partie , avec un croissant avantageusement placé, il est
nrégistrement fait au Parlement, toutes ces charges furent levées aux parties casuelles ; chaque maître a bien cinq ou six garç
ttres avare du tems, qui regardent une heure comme la vingt-quatrieme partie d’un jour, & la huitieme du tems qu’on passe
a tête, un autre les sourcils ; il y en avoit pour chacune des autres parties de l’habillement ; les souliers, les bas, les jar
rsions tous les mois, ou de tems en tems, selon le besoin ? Est-ce la partie qu’on coupoit qui pesoit 200 sicles, ou la totali
95 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE III. Réformation de l’Abbé de Blesplas. » pp. 55-81
que des particuliers (des grands, des nobles) en font la plus grande partie . Ils suppléèrent à Rome à ceux que le Prince avoi
sa conservation, de sa réformation, quoiqu’il y traite de toutes les parties du gouvernement, de tous les objets de l’ordre pu
es Grecs, qui l’avoient en si grand honneur, le regardoient comme une partie essentielle de l’administration publique, y avoie
s Grands, chez qui la danse des femmes & avec les femmes fait une partie si essentielle de la belle éducation. A dieu donc
out genre : témoin les comédies d’Aristophane, dont il nous reste une partie  ; témoin ce même Socrate qui fut bien payé de son
soupers fins qui vont bien avant dans la nuit, où les Dames & la partie élégante du Clergé sont invités. Jeliotte y déplo
96 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Sommaire »
doit lui être préférée. On finit par donner des règles sur toutes les parties du chant théâtral à une & à plusieurs voix. O
97 (1640) Traité des Spectacles des Gentils « SAINCT CYPRIAN DES SPECTACLES. » pp. 155-193
e donnent eux mesme en spectacle ; & ceux qui lient entre eux vne partie de manger auec excés, & qui en disputent publ
duersaire, la victoire est bien honteuse puisque la honte en fait vne partie , & que la déshonnesteté y est en triomphe. On
n vers le Ciel, & qu’en suitte d’vn tout si accõply il décẽde aux parties . Il verra le Soleil, cet Astre lumineux qui diuis
ien oublier de ce qui peut estre à son soulagement. Bref il verra les parties du mõde frequentées par diuer habitans, les homme
98 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 11. SIECLE. » p. 186
. Apprenez par-là que vous en devez user du même à l'égard des autres parties de votre corps. Certes ceux qui ont les pieds net
99 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XX. Suite des prétendus talents du Comédien & de la Déclamation théatralle. » pp. 63-85
t, dont elle est le fondement principal. Enfin, la Déclamation, cette partie essentielle de l’Art oratoire, donne au discours
peinture, que plusieurs Peintres sont devenus fameux par cette seule partie . Le bon déclamateur excelle dans ce genre, d’où o
que la déclamation est un art distingué. Si le coloris est une grande partie de la peinture, s’ensuit-il que tout ce qu’on peu
100 (1777) Des divertissements du Carnaval « Des divertissements du Carnaval. » pp. 92-109
xposer à tous les dangers sans crainte. Quel mal il y a de passer une partie du jour au jeu, presque toute la nuit au bal ; ne
ue, le cœur sans garde, l’esprit sans modération ; être de toutes les parties de divertissements, éternellement avec tout ce qu
Religieux se rendrait infâme en se divertissant comme la plus grande partie des Chrétiens ; et un Chrétien se persuade qu’il
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