issent être, de ne juger l’ouvrage qu’après l’avoir lu en son entier.
Page
5 Table des chapitres et articles, contenus dans
5 Table des chapitres et articles, contenus dans le présent ouvrage.
Page
7 Avis au lecteur, pour le prévenir que la table
s le présent ouvrage, lui épargnera l’ennui de le lire en son entier.
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10 Donation en faveur du public. Page 11 Discou
nnui de le lire en son entier. Page 10 Donation en faveur du public.
Page
11 Discours préliminaire. Motifs de l’auteur en
réquisitoire du 30 juillet 1825, de M. le Procureur Général Bellart.
Page
13 La condamnation de ces deux journaux paraît à
probable, par la nature même de la loi de tendance, du 17 mars 1822.
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14 Le but de l’auteur est de déjouer, s’il est po
ocrisies et de charlataneries littéraires, politiques et religieuses.
Page
14 De l’intolérance politique et religieuse. Page
ues et religieuses. Page 14 De l’intolérance politique et religieuse.
Page
15 Les prêtres abusent de leur influence religieu
religieuse pour augmenter leurs richesses et leur autorité sur terre.
Page
16 L’apôtre saint Paul place la charité avant la
sur terre. Page 16 L’apôtre saint Paul place la charité avant la foi.
Page
17 Morale chrétienne d’après les quatre évangélis
nt la foi. Page 17 Morale chrétienne d’après les quatre évangélistes.
Page
18 Une foule de théologiens étouffent la morale c
dans leurs énormes traités remplis de subtilités et de mauvaise foi.
Page
20 Les gouvernements se laissent corrompre en ado
rrompre en adoptant en politique l’immoralité religieuse des prêtres.
Page
21 L’alliance du gouvernement avec le sacerdoce e
est la source inévitable de tous les maux qui affligeront les Etats.
Page
21 Origine de l’aversion du fanatisme religieux c
de l’aversion du fanatisme religieux contre le progrès des lumières.
Page
22 Les philosophes de tout temps s’opposèrent à l
mbition, et déjouèrent les prétendus miracles des prêtres des païens.
Page
23 Des assassinats judiciaires commis à l’instiga
ge 23 Des assassinats judiciaires commis à l’instigation des prêtres.
Page
24 Intrigues et manœuvres des jésuites pour démor
ommes, en se chargeant exclusivement de l’instruction de la jeunesse.
Page
25 Efforts des prêtres des fausses religions, pou
ogiques les plus incohérentes, et par les mystères les plus absurdes.
Page
28 Causes qui ont produit et produiront encore la
t produiront encore la puissance occulte des prêtres et des jésuites.
Page
29 Les prêtres s’efforcent de persuader aux homme
profondie. Que moins il est éclairé plus il est aisé de le gouverner.
Page
31 Dangers du pouvoir absolu. Page 32 Haine du fa
plus il est aisé de le gouverner. Page 31 Dangers du pouvoir absolu.
Page
32 Haine du fanatisme jésuitique contre l’enseign
. Page 32 Haine du fanatisme jésuitique contre l’enseignement mutuel.
Page
34 Réflexion sur l’autorité occulte des prêtres.
gnement mutuel. Page 34 Réflexion sur l’autorité occulte des prêtres.
Page
35 La faction religieuse veut être dépositaire de
es humaines, et se rendre redoutable par la terreur et les supplices.
Page
37 La faction religieuse présente la Divinité sou
hir par la soumission aux prêtres et en comblant ceux-ci d’offrandes.
Page
38 De l’origine de l’intolérance et du fanatisme.
i d’offrandes. Page 38 De l’origine de l’intolérance et du fanatisme.
Page
39 L’autorité spirituelle des prêtres toujours ri
pirituelle des prêtres toujours rivale de la souveraineté temporelle.
Page
40 La secte anarchique des jésuites ne rêve que l
donne aux souverains le conseil perfide d’exercer le pouvoir absolu.
Page
41 Le salut des Etats, la sûreté des souverains e
té des souverains et le bonheur des peuples résident dans la justice.
Page
42 Pour être heureux et faire le bonheur des peup
s d’état doivent eux-mêmes prêcher d’exemple en pratiquant la morale.
Page
43 Conseils aux tribunaux qui s’opposeraient à la
ils aux tribunaux qui s’opposeraient à la manifestation de la vérité.
Page
44 Désordres et ravages causés en Espagne, par le
ons monachiques et jésuitiques ultramontaines, malgré le Saint-Siège.
Page
45 Le silence du pape sur les désordres du fanati
sur les désordres du fanatisme en Espagne, compromet le Saint-Siège.
Page
46 Déclaration franche et loyale proposée au pape
par l’effroi que leur ont causé les prétentions de l’ultramontanisme.
Page
46 Les bûchers de l’horrible inquisition produisi
le saint-siège ne s’oppose aux excès et à l’immoralité du jésuitisme.
Page
47 Le pape rendra la paix à l’Eglise et à tous le
, s’il chasse et détruit les jésuites, définitivement et sans retour.
Page
48 CHAPITRE PREMIER. Allégations de M. de Sénanc
igées contre l’auteur du livre intitulé : des Comédiens et du Clergé.
Page
49 M. de Sénancourt reproche le titre même de l’
s et évangéliques invoquées dans le livre des Comédiens et du Clergé.
Page
50 CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouv
gé, et sur les Charlataneries littéraires, politiques et religieuses.
Page
52 Fontenelle, et après lui Mirabeau, ont dit qu
que certaines expressions hurlaient d’effroi de se trouver ensemble.
Page
52 Les comédiens ne sont pas dans le monde les se
comédiens ne sont pas dans le monde les seuls qui jouent la comédie.
Page
53 C’est tout à la fois se rendre utile à la reli
asquer les hypocrites et les tartufes en religion comme en politique.
Page
54 L’auteur justifie le titre du livre des Comédi
ge 54 L’auteur justifie le titre du livre des Comédiens et du Clergé.
Page
55 Réflexions sur les qualifications respectables
ualifications respectables de Pères de la Foi …, Missionnaires…, etc.
Page
55 Des jésuites, dans les Pays-Bas, en Irlande et
n France. Viles ut canes. — Astuti ut vulpes. — Terribiles ut leones.
Page
56 Critique de la brochure intitulée, les Jésuite
Critique de la brochure intitulée, les Jésuites, peints par Henri IV.
Page
57 Efforts du jésuitisme, pour amener en France l
ce les mêmes troubles et les mêmes désordres qu’il commet en Espagne.
Page
59 Le fanatisme monacal et jésuitique, comprimé e
acal et jésuitique, comprimé en Portugal par le gouvernement anglais.
Page
60 Réflexions sur la position politique de la sai
. Page 60 Réflexions sur la position politique de la sainte alliance.
Page
61 Eloge de Canning, premier ministre de la puiss
ge 61 Eloge de Canning, premier ministre de la puissance britannique.
Page
62 Réflexions sur la protection impuissante accor
age 62 Réflexions sur la protection impuissante accordée à l’Espagne.
Page
62 Réflexions contre l’aveuglement acharné de ceu
voudraient aujourd’hui renverser le personnel du ministère en France.
Page
63 Réflexions sur les Congréganistes, considérés
ons obligés de la société des jésuites non encore reconnue en France.
Page
64 Espionnage du jésuitisme, au moyen de confesse
nent adroitement les maris et les épouses, les enfants et les valets.
Page
65 Rapports généraux de l’espionnage jésuitique d
les pays. Ils sont transmis au général des jésuites résidant à Rome.
Page
66 De l’influence et de la corruption exercées su
, par la société monastico-politique des jésuites ou pères de la foi.
Page
67 De la corruption des écrivains soudoyés et des
n des écrivains soudoyés et des gazetiers salariés par le jésuitisme.
Page
68 Réflexions sur les mots atroces rigueurs salut
ifier et à préconiser les Saint-Barthélemy religieuses et politiques.
Page
68 Tous les écrivains jésuitisés appellent à gran
ous les fléaux qui sont la conséquence de l’intolérance théocratique.
Page
69 Jugement porté contre les écrits de M. l’abbé
Mennais, auteur de l’Essai sur l’indifférence en matière de religion.
Page
70 Voyages de l’abbé de La Mennais en Suisse et à
eligion. Page 70 Voyages de l’abbé de La Mennais en Suisse et à Rome.
Page
71 L’abbé de La Mennais réclame avec humeur les
is réclame avec humeur les biens de ce bas monde en faveur du clergé.
Page
72 Le clergé en France y reçoit plus de cent mill
é. Page 72 Le clergé en France y reçoit plus de cent millions par an.
Page
72 Bonaparte jugé par M. le vicomte de Châteaubr
s par an. Page 72 Bonaparte jugé par M. le vicomte de Châteaubriand.
Page
73 Bonaparte considéré comme usurpateur du direc
ubriand. Page 73 Bonaparte considéré comme usurpateur du directoire.
Page
74 Bonaparte oppresseur de la liberté et partisa
74 Bonaparte oppresseur de la liberté et partisan du pouvoir absolu.
Page
75 Bonaparte, médiocre dans l’adversité. Page 75
san du pouvoir absolu. Page 75 Bonaparte, médiocre dans l’adversité.
Page
75 Bonaparte, eu égard à ses grandes qualités, s
rte, eu égard à ses grandes qualités, sera à jamais un homme célèbre.
Page
76 Le moral de Bonaparte modifié par son physique
omme célèbre. Page 76 Le moral de Bonaparte modifié par son physique.
Page
77 Bonaparte mis en parallèle avec Alexandre-le-
parte mis en parallèle avec Alexandre-le-Grand, César et Charles XII.
Page
77 Du pouvoir absolu, considéré comme l’ennemi ir
a liberté et des droits imprescriptibles et inaliénables des peuples.
Page
78 Du gouvernement théocratique, considéré comme
atique, considéré comme le plus détestable de tous les gouvernements.
Page
79 De la théocratie du gouvernement des Hébreux,
ie du gouvernement des Hébreux, et de la théocratie de l’inquisition.
Page
80 Du gouvernement absolu entre les mains d’un gr
Page 80 Du gouvernement absolu entre les mains d’un grand conquérant.
Page
81 Les grands conquérants, considérés comme des c
des comédiens remplissant des rôles d’acteurs sur la scène du monde.
Page
81 Les plus grands ennemis des souverains sont le
et les prêtres, qui conseillent aux rois d’exercer le pouvoir absolu.
Page
82 Petitesses et méchancetés exercées contre l’il
e 82 Petitesses et méchancetés exercées contre l’illustre La Fayette.
Page
82 Réflexions sur Washington libérateur, sur Napo
bérateur, sur Napoléon conquérant, et sur Iturbide empereur éphémère.
Page
83 Le beau nom de libérateur fera désormais pâlir
libérateur fera désormais pâlir les noms d’empereur et de conquérant.
Page
83 Parallèle entre Washington et Napoléon. Page 8
eur et de conquérant. Page 83 Parallèle entre Washington et Napoléon.
Page
84 Napoléon, suivant M. de Châteaubriand, gagnait
suivant M. de Châteaubriand, gagnait ses victoires à coups d’hommes.
Page
84 Suivant M. le comte de Bonald, l’armée françai
s un tombeau de cinq cent lieues, après une agonie de soixante jours.
Page
85 Rapport officiel du ministère russe sur le nom
e sur le nombre des soldats qui périrent dans l’expédition de Moscou.
Page
85 Le nombre des militaires français qui périrent
, pendant le règne de Bonaparte, est évalué à onze millions d’hommes.
Page
86 NOTICE sur le ministère français en l’année 18
s d’hommes. Page 86 NOTICE sur le ministère français en l’année 1825.
Page
87 Le ministère français est subjugué par l’influ
istère français est subjugué par l’influence anarchique des jésuites.
Page
87 La faction jésuitique fait tous ses efforts po
aire taire l’opposition, en envahissant l’imprimerie et la librairie.
Page
88 L’auteur désapprouve l’acharnement de tous les
ve l’acharnement de tous les partis contre le personnel du ministère.
Page
88 Les ministres ne sont pas plus libres aujourd’
ériel en France, que Ferdinand VII ne l’est sur son trône en Espagne.
Page
89 De la responsabilité ministérielle en France.
ône en Espagne. Page 89 De la responsabilité ministérielle en France.
Page
90 La France ne peut qu’y perdre en changeant de
tres, tant que durera l’influence pestilentielle des pères de la foi.
Page
90 Le ministère, une fois délivré du joug honteux
is délivré du joug honteux des jésuites, sera libre de faire le bien.
Page
91 Réflexions sur les entraves et sur les écueils
ions sur les entraves et sur les écueils qui entourent les ministres.
Page
92 Les gouvernements et les ministres commettent
ministres commettent une grande faute en se livrant à un seul parti.
Page
93 La responsabilité ministérielle est impossible
érielle est impossible sous un gouvernement subjugué par une faction.
Page
94 L’absence de la responsabilité ministérielle f
a responsabilité ministérielle fait naître des désordres inévitables.
Page
95 Des bonnes qualités du ministère actuel, neutr
nes qualités du ministère actuel, neutralisées par l’esprit de parti.
Page
96 Regrets du ministère français, d’être dans l’i
d’arrêter les désordres affreux qui semblent se perpétuer en Espagne.
Page
97 Qui le sait, la France possède peut-être un Ca
Espagne. Page 97 Qui le sait, la France possède peut-être un Canning.
Page
97 Le premier ministre de France salué du nom de
nning. Page 97 Le premier ministre de France salué du nom de Canning.
Page
98 Ce n’est point ni le ministère ni le premier m
de la presse, ni l’envahissement de l’imprimerie et de la librairie.
Page
98 Eloge du premier ministre de France. Page 99 R
erie et de la librairie. Page 98 Eloge du premier ministre de France.
Page
99 Réflexions sur les opérations financières du p
lexions sur les opérations financières du premier ministre de France.
Page
99 CHAPITRE III. De la Comédie et des Comédiens
De la Comédie et des Comédiens chez les païens et chez les chrétiens.
Page
101 Des comédiens à la fois auteurs et acteurs. P
z les chrétiens. Page 101 Des comédiens à la fois auteurs et acteurs.
Page
101 Chez les païens, les comédiens empruntaient d
comédiens empruntaient de la mythologie, le sujet de leurs comédies.
Page
102 Les prêtres du christianisme se montrent en s
s prêtres du christianisme se montrent en spectacle sur les théâtres.
Page
102 Les Jésuites, grands comédiens de religion et
comédiens de religion et de vertu, s’adonnèrent également au théâtre.
Page
103 Les jésuites inspirent à leurs écoliers le go
Page 103 Les jésuites inspirent à leurs écoliers le goût du théâtre.
Page
103 Processions, farces et représentations indéce
en ridicule saint Augustin et ses disciples, défenseurs de la grâce.
Page
103 Les anciens conciles contre les gens de théât
les gens de théâtre, ne sont plus applicables aux comédiens français.
Page
104 Des clercs de la Basoche, constitués en vrais
de la Basoche, constitués en vrais comédiens, sans être excommuniés.
Page
104 Les nobles ou gentilshommes, dans l’antiquité
té comme chez les modernes, s’adonnèrent à la profession de comédien.
Page
104 Les troubadours, pour la plupart gentilshomme
urs, pour la plupart gentilshommes, étaient aussi de vrais comédiens.
Page
105 La profession de comédien ne dérogeait point
Page 105 La profession de comédien ne dérogeait point à la noblesse.
Page
105 Le clergé, à des époques plus ou moins reculé
à l’exemple des païens, pour émouvoir puissamment leurs spectateurs.
Page
106 Les prêtres faisaient intervenir, dans leurs
anses, les personnages les plus sacrés, sans en excepter la divinité.
Page
107 Opinion de M. de Sénancourt sur les détails i
médiens et du Clergé, concernant les prêtres qui jouèrent la comédie.
Page
107 M. de Sénancourt éprouverait une jouissance
ssait à faire condamner l’auteur du livre des Comédiens et du Clergé.
Page
108 Réflexions sur le scandale, qui depuis trop l
t il serait indigne, s’il était coupable du crime dont il est accusé.
Page
109 Indication des imprimés contenant les accusat
dirigées contre M. Magnin, curé actuel de Saint-Germain l’Auxerrois.
Page
109 M. de Sénancourt blâmera sans doute la publi
l’accusation de faux et d’imposture dirigée contre M. le curé Magnin.
Page
111 Le principe pernicieux qui consiste à ne poin
ositivement, dans les constitutions de l’infâme société des jésuites.
Page
111 Eloge des bons prêtres depuis le rétablisseme
depuis le rétablissement du culte et surtout depuis la restauration.
Page
112 CHAPITRE IV. Du Clergé considéré comme prote
ième âge, en France, et comme en ayant lui-même exercé la profession.
Page
113 Les Pèlerins revenant de la Terre-Sainte, pre
ins revenant de la Terre-Sainte, premiers comédiens du troisième âge.
Page
114 La profession de comédien autorisée et approu
de comédien autorisée et approuvée par les souverains et par le pape.
Page
115 Les anciens conciles concernant les théâtres
cernant les théâtres ne sont plus applicables aux comédiens français.
Page
116 Des conciles d’Elvire et d’Arles, concernant
Elvire et d’Arles, concernant les histrions et les cochers de cirque.
Page
117 Du concile de Carthage, qui défend aux ecclés
cile de Carthage, qui défend aux ecclésiastiques de jouer la comédie.
Page
118 Des conciles de Mayence, de Tours, de Reims e
r-Saône, qui défendent aux ecclésiastiques d’assister aux spectacles.
Page
119 CHAPITRE V. De la protection spéciale, sanct
oisième âge, par l’autorité spirituelle et par l’autorité temporelle.
Page
120 Ordonnances de Charlemagne, concernant les hi
relle. Page 120 Ordonnances de Charlemagne, concernant les histrions.
Page
120 Les pèlerins, comédiens du troisième âge, n’e
erins, comédiens du troisième âge, n’encourent pas l’excommunication.
Page
121 L’autorité séculière en protégeant les comédi
ne doit pas éprouver une résistance anarchique de la part du clergé.
Page
122 Les souverains français transfèrent les théât
églises, et soumettent les comédiens à de sages règlements de police.
Page
123 Les papes adoptent de pareilles mesures. Page
glements de police. Page 123 Les papes adoptent de pareilles mesures.
Page
124 Les vexations du clergé de France contre les
France contre les comédiens sont injurieuses envers le gouvernement.
Page
125 Jésus-Christ a dit : Mon royaume n’est pas d
nt. Page 125 Jésus-Christ a dit : Mon royaume n’est pas de ce monde.
Page
126 De l’intolérance en matière de dogmes, de mys
6 De l’intolérance en matière de dogmes, de mystères et de croyances.
Page
127 Les comédiens, eu égard à la religion, doiven
à la religion, doivent être considérés à l’égal des autres citoyens.
Page
128 CHAPITRE VI. Des comédiens français rétablis
èrement affranchis des anathèmes et des excommunications de l’église.
Page
130 De la soumission des ecclésiastiques envers l
Page 130 De la soumission des ecclésiastiques envers les souverains.
Page
131 L’art théâtral devenu légalement une professi
Page 131 L’art théâtral devenu légalement une profession dans l’Etat.
Page
132 Les comédiens ne doivent plus éprouver de la
ité outrageante pour avoir exercé la profession d’acteurs de comédie.
Page
133 CHAPITRE VII. De l’inconséquence de quelques
uite éclairée du haut clergé et des ecclésiastiques sensés en France.
Page
134 L’église ne peut s’exposer au reproche d’agir
roche d’agir à l’égard des comédiens avec deux poids et deux mesures.
Page
134 Un jeune acteur de la Gaîté qui se suicida, r
éanmoins les prières de l’église par ordre de l’évêque de Versailles.
Page
135 La sépulture est refusée à Molière par le cur
é de Saint-Eustache, et lui est accordée par le curé de Saint-Joseph.
Page
135 Plusieurs fameux acteurs sont enterrés dans l
s dans les églises de Saint-Sauveur et des Grands-Augustins, à Paris.
Page
136 Epitaphe et éloge de Molière par le père Bouh
et éloge de Molière par le père Bouhours et par l’évêque d’Avranches.
Page
137 Louis xiv appelle Molière le législateur des
7 Louis xiv appelle Molière le législateur des bienséances du monde.
Page
137 Le cardinal Lemoine achète l’hôtel de Bourgog
rdinal Lemoine achète l’hôtel de Bourgogne et le donne aux comédiens.
Page
138 Le cardinal de Richelieu protège les comédien
x comédiens. Page 138 Le cardinal de Richelieu protège les comédiens.
Page
138 L’abbé Perrin, directeur de l’Opéra, à Paris.
les comédiens. Page 138 L’abbé Perrin, directeur de l’Opéra, à Paris.
Page
138 Des théâtres à Rome. Des prêtres et des préla
prêtres et des prélats assistent aux représentations qui s’y donnent.
Page
139 De la défense qui empêche les actrices à Rome
e théâtre, et veut qu’elles soient remplacées par de jeunes castrats.
Page
139 Réflexions sur ce sujet. Page 140 CHAPITRE V
remplacées par de jeunes castrats. Page 139 Réflexions sur ce sujet.
Page
140 CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies
avanies, exercés par quelques prêtres contre des comédiens français.
Page
141 Les prêtres fanatiques comparés aux murailles
omparés aux murailles blanchies dont parlent saint Paul et saint Luc.
Page
142 Faux zèle de certains prêtres fanatiques peu
ains prêtres fanatiques peu instruits dans les matières théologiques.
Page
143 La publication du livre intitulé des Comédien
s et du Clergé, a eu lieu à l’occasion du décès de l’acteur Philippe.
Page
143 Notice sur l’acteur Philippe, artiste du théâ
e sur l’acteur Philippe, artiste du théâtre de la Porte Saint-Martin.
Page
144 Troubles causés par le refus que fit M. Marti
t, de faire à l’église la présentation du corps de l’acteur Philippe.
Page
145 Eloge de la police de Paris, à l’occasion des
ubles excités par l’acte de rigorisme de M. le curé de Saint-Laurent.
Page
145 Réflexions sur l’autorité des rois de France,
nsidérée-comme entièrement indépendante de l’autorité ecclésiastique.
Page
146 De l’autorité temporelle, considérée comme pr
e l’autorité temporelle, considérée comme protectrice de la religion.
Page
147 De la corruption du clergé à diverses époques
la religion. Page 147 De la corruption du clergé à diverses époques.
Page
148 CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance
spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière.
Page
149 Les ministres des autels, qui affichent l’ind
ndépendance envers les souverains, sont rebelles à la parole de Dieu.
Page
150 Efforts des jésuites pour dénaturer et anéant
des jésuites pour dénaturer et anéantir la vraie religion chrétienne.
Page
151 Origine de la doctrine infâme des régicides.
ion chrétienne. Page 151 Origine de la doctrine infâme des régicides.
Page
152 Eloge du souverain pontife actuellement régna
régicides. Page 152 Eloge du souverain pontife actuellement régnant.
Page
153 Les souverains, par trop de condescendance en
trop de condescendance envers les prêtres, avilissent leur autorité.
Page
154 Efforts des jésuites pour se faire reconnaîtr
Efforts des jésuites pour se faire reconnaître légalement en France.
Page
155 Les jésuites s’annoncent ouvertement comme me
ment comme membres d’un ordre tout à la fois monastique et politique.
Page
156 La société des Jésuites anti-chrétienne se mo
anti-chrétienne se moque également de la religion comme de la morale.
Page
156 Caractère odieux de la religion jésuitique. P
me de la morale. Page 156 Caractère odieux de la religion jésuitique.
Page
157 De l’ultramontanisme des anciens papes. Page
religion jésuitique. Page 157 De l’ultramontanisme des anciens papes.
Page
158 Deuxième Eloge du pape actuellement régnant.
anciens papes. Page 158 Deuxième Eloge du pape actuellement régnant.
Page
158 Cordon sanitaire religieux à établir entre l’
58 Cordon sanitaire religieux à établir entre l’Espagne et la France.
Page
159 Des congrégations, des coteries et des confré
et des confréries jésuites, et des moyens d’en comprimer l’influence.
Page
159 Du danger de permettre à l’autorité ecclésias
ecclésiastique l’exercice de la moindre portion d’autorité séculière.
Page
160 Réflexions sur la tenue des registres de l’ét
Réflexions sur la tenue des registres de l’état civil par le clergé.
Page
161 Des vexations du parti religieux. Page 162 De
’état civil par le clergé. Page 161 Des vexations du parti religieux.
Page
162 Des exigences du parti religieux, toujours af
ences du parti religieux, toujours affamé de richesses et d’autorité.
Page
163 L’ordre actuellement établi pour la tenue des
lésiastique, ni l’efficacité des sacrements de mariage et de baptême.
Page
163 Réflexions sur les nouvelles lois inquisitori
ur les nouvelles lois inquisitoriales, sollicitées par le jésuitisme.
Page
164 Des journaux courbés sous la loi de tendance
age 164 Des journaux courbés sous la loi de tendance du 17 mars 1822.
Page
165 Réflexions sur l’effet que produirait une loi
ns sur l’effet que produirait une loi de tendance contre les auteurs.
Page
165 La loi de tendance ferait condamner celui-là
e qu’on voudrait accuser d’avoir voulu voler les tours de Notre-Dame.
Page
166 Les lois de tendance, semblables à la loi des
sont en jurisprudence ce que les agents provocateurs sont en police.
Page
166 De la censure, considérée comme préférable au
e, considérée comme préférable aux lois de tendance et moins odieuse.
Page
166 Les deux journaux, le Constitutionnel et le C
merci de l’opinion de leurs juges, et probablement seront condamnés.
Page
167 La loi de tendance du 17 mars 1822, considéré
sé de juges inamovibles, dont on connaît les opinions de longue main.
Page
167 Réflexions sur les juges de la cour royale, c
s conseillers au Parlement, et considérés comme des juges ordinaires.
Page
167 De la nécessité d’annuler la chambre des dépu
l’immoralité et l’illégitimité de la plupart des dernières élections.
Page
168 Le ministère actuel a désapprouvé lui-même le
8 Le ministère actuel a désapprouvé lui-même les dernières élections.
Page
168 La France sans cesse menacée du retour des in
cesse menacée du retour des institutions et des lois inquisitoriales.
Page
168 Ce ne sont point de vaines craintes, que de p
terre l’autorité spirituelle au-dessus de l’autorité des souverains.
Page
169 Le clergé considéré comme se trouvant perpétu
sition, entre l’autorité du pape et l’autorité du souverain légitime.
Page
170 Citations tirées de Saint-Mathieu et de Saint
irées de Saint-Mathieu et de Saint-Luc, à l’appui de cette assertion.
Page
170 Réflexions sur l’obéissance que les prêtres a
s prêtres accorderont toujours de préférence aux souverains pontifes.
Page
171 Les vérités que l’auteur a proclamées, seront
es par le jésuitisme d’avoir une tendance séditieuse et irréligieuse.
Page
171 Du respect qu’inspirent les bons prêtres qui
1 Du respect qu’inspirent les bons prêtres qui pratiquent la charité.
Page
172 Protestation contre les attaques et les accus
testation contre les attaques et les accusations de M. de Sénancourt.
Page
172 Eloge des magistrats français. Page 172 CHAP
usations de M. de Sénancourt. Page 172 Eloge des magistrats français.
Page
172 CHAPITRE X. De la protection due aux Comédie
édiens, par le Ministère public, contre les entreprises du fanatisme.
Page
174 Affranchissement des Comédiens du troisième â
des Comédiens du troisième âge, de toute excommunication de l’Eglise.
Page
174 Délit de la part des prêtres, d’exiger des ac
s, d’exiger des acteurs, l’abjuration de leur profession de comédien.
Page
175 L’outrage fait à la personne et à la professi
t à la profession de comédien, rejaillit sur l’autorité du souverain.
Page
175 Du respect et de la vénération, qui sont dus,
n, qui sont dus, envers la religion et envers les ministres du culte.
Page
176 De la conduite que les employés du gouverneme
yés du gouvernement, doivent tenir, à l’égard des prêtres fanatiques.
Page
176 De l’obligation, imposée à MM. les procureurs
du roi, de dénoncer aux tribunaux, les délits des prêtres fanatiques.
Page
177 MM. les procureurs du roi, se rendraient cou
les de souffrir une usurpation, contre l’autorité légitime du prince.
Page
178 Le refus des prêtres, de recevoir à l’Eglise
nt pour le prince et pour les lois, que pour les comédiens eux-mêmes.
Page
178 Réflexions politiques sur les refus de sépult
eux-mêmes. Page 178 Réflexions politiques sur les refus de sépulture.
Page
179 Les actes de fanatisme des prêtres, tendent à
êtres, tendent à exciter l’anarchie et le mépris contre le souverain.
Page
180 La religion est dans l’Etat, et non l’Etat da
Page 180 La religion est dans l’Etat, et non l’Etat dans la religion.
Page
181 Article VI de la Charte, concernant la religi
. Page 181 Article VI de la Charte, concernant la religion de l’Etat.
Page
181 Le Clergé institué dans l’Etat, par l’autorit
ière du jésuite Guignard, régicide, pendu et brûlé en place de Grève.
Page
182 Anathèmes de l’intolérance religieuse, contre
athèmes de l’intolérance religieuse, contre la Charte de Louis XVIII.
Page
182 Trait de fanatisme d’un curé de Blois, contre
ouis XVIII, et contre Charles X, à l’occasion du sacre de ce dernier.
Page
183 De l’indifférence du clergé français, à répar
t à Louis XVIII, et à son successeur Charles X, par le curé de Blois.
Page
183 La sortie virulente de ce scélérat, curé ou d
uites proscrivaient les Bourbons, et appelaient l’étranger en France.
Page
184 Avant, et depuis l’époque de la ligue, et auj
quelle les jésuites n’aient figuré, comme conspirateurs ou complices.
Page
185 CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée
atisent les comédiens, morts sans les secours spirituels de l’église.
Page
186 Du refus de sépulture fait aux comédiens, con
ommunication soit appliquée aux excommuniés dénoncés dans les formes.
Page
187 Exception en faveur de l’anathème dit excommu
e 187 Exception en faveur de l’anathème dit excommunication du canon.
Page
188 Les comédiens affranchis de l’excommunication
non. Page 188 Les comédiens affranchis de l’excommunication du canon.
Page
189 Le fanatisme des prêtres dans leur refus de s
s, considéré comme un délit sous le rapport de la charité chrétienne.
Page
189 Les prêtres fanatiques semblent ignorer, qu’u
eu de l’âme du pécheur, à l’article de la mort, peut opérer le salut.
Page
190 Réflexions au sujet du repentir des pécheurs
Réflexions au sujet du repentir des pécheurs à l’article de la mort.
Page
190 Le clergé de France est d’autant moins fondé
les comédiens du troisième âge et qui ont joué eux-mêmes la comédie.
Page
191 Théâtres institués à Rome, en Italie et en Fr
titués à Rome, en Italie et en France par des papes et des cardinaux.
Page
192 Un abbé directeur de l’Opéra, à Paris. Page 1
pes et des cardinaux. Page 192 Un abbé directeur de l’Opéra, à Paris.
Page
192 Des capucins, des cordeliers et des Augustins
diens en France, et font des prières pour la prospérité des théâtres.
Page
192 Contraste frappant entre les prêtres qui prie
tres fanatiques qui les anathématisent et leur refusent la sépulture.
Page
193 L’ambition et la soif des richesses est la so
tion et la soif des richesses est la source du fanatisme des prêtres.
Page
194 Les principes anarchiques du fanatisme religi
es à Montrouge, à Saint-Acheul, etc., etc., pour subjuguer la France.
Page
195 Critique d’un livre intitulé, des Crimes de l
livre intitulé, des Crimes de la presse, dédié à la Sainte-Alliance.
Page
195 L’auteur anonyme de ce livre honteux cache so
ie dont cette espèce de manifeste de Montrouge sera à jamais flétrie.
Page
196 Les jésuites, poussés à bout, ont recours à d
sures inquisitoriales en persécutant les imprimeurs et les libraires.
Page
197 L’auteur du livre des Crimes de la presse, pr
, un conseil inquisitorial, fondé sur l’injustice la plus tyrannique.
Page
198 Les jacobinières de Montrouge, de Saint-Acheu
urs efforts pour replonger le peuple dans l’ignorance et la barbarie.
Page
199 Attaque virulente de l’auteur des Crimes de l
la presse contre M. Royer-Collard, membre de la Chambre des députés.
Page
199 Comparaison entre l’auteur du livre des Crime
resse et les Pygmées, qui ne savaient faire la guerre qu’à des grues.
Page
200 L’auteur Pygmée du livre des Crimes de la pre
teur Pygmée du livre des Crimes de la presse ose attaquer un Hercule.
Page
200 Toute la dialectique de cet auteur Pygmée se
n soutenant que telle vérité n’est vraie que parce qu’elle est vraie.
Page
200 Réflexions sur les vérités légales en matière
. Page 200 Réflexions sur les vérités légales en matière de religion.
Page
201 Les vérités légales en matière de religion de
is d’Etat, condamnent à mort quiconque ose nier de pareilles vérités.
Page
201 L’auteur du livre des Crimes de la presse pro
e la presse professe les affreux principes de l’horrible inquisition.
Page
202 A l’exemple de la révocation de l’édit de Nan
de Nantes, le jésuitisme voudrait obtenir la révocation de la charte.
Page
202 La France menacée de nouvelles dragonnades, j
ir les protestants, les juifs et tous les mécréants à coups de sabre.
Page
202 De pareilles craintes ne sont point puériles
ires, témoin la triste situation de nos voisins au-delà des Pyrénées.
Page
203 Le ministère français, impuissant pour rétabl
rétablir le bon ordre en Espagne, n’est point complice des jésuites.
Page
203 Le fanatique auteur du livre des Crimes de la
es de la religion, s’il était possible, par une pétition de principe.
Page
204 L’auteur du livre des Crimes de la presse par
de la presse paraît ignorer ce que c’est qu’une pétition de principe.
Page
204 Définition d’une pétition de principe. Page 2
pétition de principe. Page 204 Définition d’une pétition de principe.
Page
205 L’auteur du livre des Crimes de la presse, à
ique, se moque également de la religion, comme de l’art de raisonner.
Page
206 Principes de la secte ultramontaine, qui cons
a religion chrétienne doit être maintenue par la force et la terreur.
Page
206 Des calomnies présumées de la part de l’auteu
es présumées de la part de l’auteur du livre des Crimes de la presse.
Page
206 Calomnies et citations du livre des Crimes de
la presse contre M. Royer-Collard, membre de la Chambre des députés.
Page
207 Injures lancées contre l’auteur du livre des
s de la presse, considéré comme un jésuite hydrophobe et lycanthrope.
Page
208 Caractères de l’hydrophobie. Page 209 M. l’a
uite hydrophobe et lycanthrope. Page 208 Caractères de l’hydrophobie.
Page
209 M. l’abbé de La Mennais mordu par l’auteur h
nnais mordu par l’auteur hydrophobe du livre des Crimes de la presse.
Page
209 M. l’abbé de La Mennais convient du mérite i
ntestable et de la rare habileté de raisonnement de M. Royer-Collard.
Page
210 Il était inutile d’inoculer l’hydrophobie à M
Il était inutile d’inoculer l’hydrophobie à M. l’abbé de La Mennais.
Page
210 Le livre des Crimes de la presse considéré co
comme l’avant-coureur de l’anéantissement de la liberté de la presse.
Page
210 Le ministère public doit dénoncer des réalité
réalités criminelles plutôt que de poursuivre des tendances idéales.
Page
211 Les ministres d’état et le ministère public a
fus scandaleux du clergé d’assister aux obsèques de S.M. Louis XVIII.
Page
211 Le clergé aurait dû donner l’exemple de prêtr
royal, sans montrer de rancune contre la charte et contre son auteur.
Page
211 CHAPITRE XII. Réflexions sur les évêques et
vies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt sur le même sujet.
Page
212 M. de Sénancourt blâme la surveillance contre
12 M. de Sénancourt blâme la surveillance contre les mauvais prêtres.
Page
212 Origine de l’usurpation de la puissance ecclé
usurpation de la puissance ecclésiastique sur la puissance séculière.
Page
213 La puissance temporelle du pape ne doit pas s
ssance temporelle du pape ne doit pas s’étendre au-delà de ses Etats.
Page
214 Jésus-Christ a dit : Mon royaume n’est pas d
ts. Page 214 Jésus-Christ a dit : Mon royaume n’est pas de ce monde.
Page
214 Prétentions des prêtres de vouloir juger les
ent au tribunal de la pénitence, mais encore par-devant les conciles.
Page
214 Prétentions erronées des prêtres au sacre des
onciles. Page 214 Prétentions erronées des prêtres au sacre des rois.
Page
215 Conséquences funestes de cette prétention. Pa
u sacre des rois. Page 215 Conséquences funestes de cette prétention.
Page
215 Crimes des prêtres pour soutenir leurs préten
tention. Page 215 Crimes des prêtres pour soutenir leurs prétentions.
Page
216 Noms des saints conciles cités dans le livre
s des saints conciles cités dans le livre des Comédiens et du Clergé.
Page
217 M. de Sénancourt reproche à l’auteur d’avoir
son petit logis. — Sa table sera pauvre et ses meubles de vil prix ».
Page
217 M. de Sénancourt regarde comme une bassesse
des pauvres, serait tout aussi respecté qu’à la table d’un ministre.
Page
217 Grande colère et indignation de M. de Sénanco
fois des prélats pratiquant la pauvreté et la simplicité évangélique.
Page
218 Si le premier pape saint Pierre revenait sur
reté, il serait à craindre qu’il ne fût méconnu par M. de Sénancourt.
Page
218 M. de Sénancourt n’est point soupçonné d’êtr
218 M. de Sénancourt n’est point soupçonné d’être un écrivain vénal.
Page
219 Notice sur un autre M. de Sénancourt, dont il
, dont il est fait mention dans la biographie de M. Michaud, en 1819.
Page
219 M. de Sénancourt n’a point saisi le vrai but
t saisi le vrai but de l’ouvrage intitulé des Comédiens et du Clergé.
Page
220 M. de Sénancourt divulgue lui-même, pour son
ropre compte, les farces religieuses et les processions licencieuses.
Page
221 Mariage mystique entre une dévote et Jésus-Ch
ncieuses. Page 221 Mariage mystique entre une dévote et Jésus-Christ.
Page
221 M. de Sénancourt a attaqué l’auteur pour pla
M. de Sénancourt a attaqué l’auteur pour plaire aux Pères de la foi.
Page
222 CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’
gers attachés a la profession de comédien, sous le rapport des mœurs.
Page
223 L’utilité de l’art théâtral et les dangers de
, sont étrangers à la question que l’auteur s’est proposé de traiter.
Page
223 Mesures du gouvernement au sujet des dangers
es du gouvernement au sujet des dangers de la profession de comédien.
Page
224 C’est aux prêtres à redoubler de zèle pour ex
exhorter les comédiens à éviter les périls dont ils sont environnés.
Page
225 Sentiments du père Bouhours, jésuite, sur la
onnés. Page 225 Sentiments du père Bouhours, jésuite, sur la comédie.
Page
225 Idem, de M. Boursault. Page 225 Idem, du pè
e Bouhours, jésuite, sur la comédie. Page 225 Idem, de M. Boursault.
Page
225 Idem, du père Nicole. Page 225 Saint August
die. Page 225 Idem, de M. Boursault. Page 225 Idem, du père Nicole.
Page
225 Saint Augustin allait à la comédie. Page 225
Idem, du père Nicole. Page 225 Saint Augustin allait à la comédie.
Page
225 Des avantages et de l’utilité de la comédie.
t à la comédie. Page 225 Des avantages et de l’utilité de la comédie.
Page
226 Les mauvais prêtres sont les détracteurs de M
mauvais prêtres sont les détracteurs de Molière, auteur du Tartuffe.
Page
226 Eloge du talent des acteurs. Page 227 Eloge d
de Molière, auteur du Tartuffe. Page 226 Eloge du talent des acteurs.
Page
227 Eloge du talent des musiciens et des danseurs
des acteurs. Page 227 Eloge du talent des musiciens et des danseurs.
Page
227 La belle Aspasie enseigne la danse à Socrate.
des danseurs. Page 227 La belle Aspasie enseigne la danse à Socrate.
Page
227 Le roi David dansa devant l’arche. Page 227 L
eigne la danse à Socrate. Page 227 Le roi David dansa devant l’arche.
Page
227 Le grand Talma, les Mars, les Duchesnois, les
acteurs et actrices, illustrent notre siècle par leurs rares talents.
Page
228 Tout mortel qui excelle dans un art aussi dif
i difficile que celui du théâtre, est appelé à jouir de la célébrité.
Page
228 fin de la table des matières.
e Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie.
page
1. CHAPITRE II. Section i. Abrégé de l’Ouvrage
ection i. Abrégé de l’Ouvrage Latin de François del Monacho Sicilien.
page
18. Section ii. Ouvrages Italiens du Père Ottonel
18. Section ii. Ouvrages Italiens du Père Ottonelli Jésuite Italien.
page
31. Section iii. Traité contre la Comédie, qui se
e la Comédie, qui se trouve dans le 3eme Volume des Essais de Morale.
page
38. CHAPITRE III. Section i. Traité de Monsieur
aité de Monsieur le Prince de Conti, de la Comédie et des Spectacles.
page
41. Section ii. Dissertation sur la condamnation
page 41. Section ii. Dissertation sur la condamnation des Spectacles.
page
60 Section iii. Défense du Traité de M. le Prince
on iii. Défense du Traité de M. le Prince de Conti, par M. de Voisin.
page
62. Section iv. Extrait du Traité contre la Coméd
re la Comédie, qui se trouve dans L’Education Chrétienne des Enfants.
page
65. Section v. Idée que M. l’Abbé Fleury a donnée
. l’Abbé Fleury a donnée de la Comédie, dans Les Mœurs des Chrétiens.
page
66. CHAPITRE IV. Section i. Lettre d’un Théolog
i. Lettre d’un Théologien illustre par sa qualité et par son mérite.
page
77. Section ii. Réponse à la Lettre du Théologien
ection ii. Réponse à la Lettre du Théologien défenseur de la Comédie.
page
80. Section iii. Lettre Française et Latine du Pè
aise et Latine du Père François Caffaro, A Mr. l’Archevêque de Paris.
page
80 Section iv. Lettre d’un Docteur de Sorbonne, à
ction iv. Lettre d’un Docteur de Sorbonne, à une Personne de qualité.
page
81. Section v. Réfutation d’un Ecrit favorisant l
omédie. p. 83 Section vi. Décision faite en Sorbonne, sur la Comédie.
page
86 Section vii. Réfutation des Sentiments relâché
la Comédie. page 86 Section vii. Réfutation des Sentiments relâchés.
page
89 Section viii. Discours sur la Comédie. page 94
s Sentiments relâchés. page 89 Section viii. Discours sur la Comédie.
page
94 Section ix. Maximes et Réflexions sur la Coméd
n ix. Maximes et Réflexions sur la Comédie, par Mr l’Evêque de Meaux.
page
99. Section x. Sentiments de l’Eglise. page 104 S
par Mr l’Evêque de Meaux. page 99. Section x. Sentiments de l’Eglise.
page
104 Section xi. Réponse à la Préface de la Tragéd
. page 104 Section xi. Réponse à la Préface de la Tragédie de Judith.
page
109. Section xii. Requête des Comédiens de France
s Comédiens de France, présentée au Pape Innocent XII. et sa Réponse.
page
111. Conclusion. page 113. Fin de la Table
présentée au Pape Innocent XII. et sa Réponse. page 111. Conclusion.
page
113. Fin de la Table
ES CHAPITRES ET ARTICLES CONTENUS DANS LE PRESENT VOLUME. Préface.
Page
5 Table des Chapitres et Articles contenus dans
tres et Articles contenus dans le présent volume. 7 Avis au lecteur.
Page
10 Donation en faveur du public. Page 11 Discou
nt volume. 7 Avis au lecteur. Page 10 Donation en faveur du public.
Page
11 Discours préliminaire. Page 13 Chapitre prem
age 10 Donation en faveur du public. Page 11 Discours préliminaire.
Page
13 Chapitre premier. Allégations de M. de Sénanc
gées contre l’auteur du livre, intitulé : Des Comédiens et du Clergé.
Page
49 Chapitre II. Réflexions. sur le titre de l’ou
ns. sur le titre de l’ouvrage, intitulé : Des Comédiens et du Clergé.
Page
52 Notice sur le Ministère français en 1825. Pag
iens et du Clergé. Page 52 Notice sur le Ministère français en 1825.
Page
87 Chapitre III. De la comédie et des comédiens
De la comédie et des comédiens chez les païens et chez les chrétiens.
Page
101 Chapitre IV. Du Clergé, considéré comme fond
sième âge en France, et comme en ayant lui-même exercé la profession.
Page
113 Chapitre V. De la protection spéciale, sanct
diens du troisième âge, par les autorités, temporelle et spirituelle.
Page
120 Chapitre VI. Des Comédiens français rétablis
èrement affranchis des anathèmes et des excommunications de l’Eglise.
Page
130 Chapitre VII. De l’inconséquence et du fanat
autorité du Pape, et à la conduite éclairée du haut clergé en France.
Page
134 Chapitre VIII. Actes de fanatisme et avanies
avanies exercés par quelques prêtres, contre les Comédiens français.
Page
141 Chapitre IX. Des entreprises de la puissance
spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière.
Page
159 Chapitre X. De la protection due aux Comédie
médiens par le ministère public, contre les entreprises du fanatisme.
Page
174 Chapitre XI. De l’excommunication considérée
ématiser les Comédiens morts sans les secours spirituels de l’Eglise.
Page
186 Chapitre XII. Réflexions sur les Evêques et
ponses aux reproches injustes de M. de Sénancourt, sur le même sujet.
Page
212 Chapitre XIII et dernier. De l’utilité de l’
gers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs.
Page
225 fin de la table des chapitres.
R LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLESd. Texte.
Page
13. « Vous serez sûrement le premier Philosophe
etite Ville, et un Etat pauvre à se charger d’un Spectacle public. »
Page
14. « Tout amusement inutile est un mal pour un
al pour un être dont la vie est si courte et le temps si précieux. »
Pages
15 et 16. « L’on croit s’assembler au Spectacle,
dans notre siècle. Tâchons d’en prendre un qui soit mieux entendu. »
Page
17. « Quand à l’espèce des Spectacles, c’est néc
les détermine9 ; si l’utilité peut s’y trouver, à la bonne heure. »
Pages
21 et 22. « Quand Arlequin Sauvage est si bien a
es choses communes, qui les ramène quelquefois aux choses simples. »
Page
22. « Il s’ensuit de ces premières observations,
turelles, et de donner une nouvelle énergie à toutes les passions. »
Page
23. « Le Théâtre purge les passions qu’on n’a pa
qu’on a. Ne voilà-t-il pas un remède bien administré ? » Note de la
Page
24. « Qu’on mette pour voir sur la Scène Françai
fasse pas de belles phrases ; [...] j’aurai tort si l’on réussit. »
Page
26. « L’opinion n’en dépend point (du Théâtre),
qu’au lieu de faire la loi au Public, le Théâtre la reçoit de lui. »
Page
30. « Que va-t-il voir au Spectacle (le Méchant)
gens immolant tout à leur devoir tandis qu’on n’exige rien de lui. »
Pages
35 et 36. « Ces productions d’esprit, comme la p
comme celui-ci n’est point douteux, la question me paraît décidée. »
Page
49. « Tout en est mauvais et pernicieux (de la C
ie est agréable et parfaite, plus son effet est funeste aux mœurs. »
Page
73. « Je ne ferai pas à Dancourt l’honneur de pa
Page 73. « Je ne ferai pas à Dancourt l’honneur de parler de lui. »
Page
75. « Nos Auteurs modernes, guidés par de meille
guidés par de meilleures intentions, font des Pièces plus épurées. »
Page
86. « Quand il serait vrai qu’on ne peint au Thé
xemple de corruption : voilà l’effet des amours permis au Théâtre. »
Page
93. « Pour moi je crois entendre chaque Spectate
u’on me donne une Zaïre, je ferai bien en sorte de ne la pas tuer. »
Page
97. « Je crois qu’on peut conclure de ces consid
des Théâtres ne saurait jamais être bon ni salutaire en lui-même. »
Page
100. « Dans une grande ville pleine de gens intr
vice, sauvent la douzième partie des crimes qui se commettraient. »
Page
108. « Je n’ai rien retenu de leurs mœurs, de le
revoir plus cet heureux pays ? Hélas il est sur la route du mien ! »
Page
110. « Dieu veuille qu’on n’y mette pas des lant
veuille qu’on n’y mette pas des lanternes, (chez les Montagnons.) »
Page
112. « En certains lieux les Spectacles seront u
r, en un mot, que les mauvaises mœurs ne dégénèrent en brigandage. »
Page
113. « De ces nouvelles réflexions il résulte un
équence directement contraire à celle que je tirais des premières. »
Page
115. « Des Spectacles et des mœurs ! Voilà ce qu
t des mœurs ! Voilà ce qui formerait vraiment un spectacle à voir. »
Page
118. « Quant au choix des instruments propres à
us, et que ce n’est pas ici le lieu de résoudre pour la multitude. »
Page
133. « Le hasard, mille causes fortuites, mille
s imprévues, font ce que la force et la raison ne sauraient faire. »
Page
135. « L’état des Comédiens est un état de licen
sont livrés au désordre ; les femmes y mènent une vie scandaleuse. »
Page
136. Note. « Si les Anglais ont inhumé la célèbr
n’était pas son métier, mais son talent qu’ils voulaient honorer. »
Page
141. « La Tragédie chez les Grecs n’étant d’abor
de femmes, qui fait des nôtres autant d’Ecoles de mauvaises mœurs. »
Page
144. « Quel est l’esprit que le Comédien reçoit
nnages, hors le plus noble de tous, celui d’homme qu’il abandonne. »
Page
147. « Y a-t-il rien de plus odieux, de plus cho
loir de criminelles maximes, dont lui-même est pénétré d’horreur ? »
Page
147. « Dans ce siècle, où règnent si fièrement l
esprit à la voix de la raison, et leur cœur à celle de la nature. »
Page
148. « Les Anglaises sont douces et timides. »
e la nature. » Page 148. « Les Anglaises sont douces et timides. »
Page
148. Les Anglais et les Anglaises « ont tous deu
glaises « ont tous deux un grand respect pour les choses honnêtes. »
Page
149. « Les Dames Anglaises errent aussi volontie
Note. (t) « Ils sont, comme les hommes, sublimes ou détestables. »
Page
150. « La honte et la pudeur sont dans les femme
nte et la pudeur sont dans les femmes inséparables de l’honnêteté. »
Page
150. « A l’instant va s’élever contre moi cette
fer de là le cri de la nature, et la voix unanime du genre humain. »
Pages
151 et 152. « Préjugés populaires ! me crie-t-on
nt pas pourquoi l’homme est existant, devraient nier qu’il existe. »
Page
153. « Les désirs sont égaux ! Qu’est-ce à dire
oursuivi sans relâche, quand il serait trop faible pour succomber. »
Pages
158. et 159. « L’argument tiré de l’exemple des
l’honnête et du beau, n’entra jamais que dans le cœur de l’homme. »
Page
165. « Par le progrès de la politesse elle a dû
es mœurs des vivandières se sont transmises aux femmes de qualité. »
Page
171. « Je n’aurais rempli qu’imparfaitement ma t
ce qui résultera de l’établissement d’un Théâtre dans notre ville. »
Page
188. « Qu’un Monarque gouverne des hommes ou des
rvu qu’il soit obéi ; mais dans une République il faut des hommes. »
Page
194. Note. « Les écrits des femmes sont tous fro
que passionnés. Elles ne savent ni décrire ni sentir l’amour même. »
Pages
206 et 207. « Le vin tente moins la jeunesse et
s mœurs corrompues […] Il vaudrait mieux qu’il n’eût point existé. »
Page
227. « Qu’est-ce au fond que ce goût si vanté ?
nd que ce goût si vanté ? L’art de se connaître en petites choses. »
Page
248. « Je voudrais qu’en général, dans les bals
le fin honnête pourrait-elle se donner ainsi en montre au public ? »
Page
257. « A Sparte, dans une laborieuse oisiveté, t
te, dans une laborieuse oisiveté, tout était plaisir et spectacle. »
Page
258. « Pense-t-on qu’au fond l’adroite parure de
entôt les premiers effets en indifférence et peut-être en dégoût ? »
Pages
258 et 259. « Ne sait-on pas que les statues et
uteurs. d. [NDE] Dans cette partie du livre, l'auteur place sur les
pages
paires les citations de la lettre de Rousseau qu'
ires les citations de la lettre de Rousseau qu'il conteste et sur les
pages
impaires ses réponses en vis-à-vis. Cette disposi
adopté pour le site ne facilite pas. Nous présentons donc d'abord les
pages
paires qui contiennent le texte de Rousseau, suiv
rd les pages paires qui contiennent le texte de Rousseau, suivies des
pages
impaires. e. [NDE] Comédie de Delisle de Drevet
le Théâtre, ou condamnation de son système par lui-même. « L’effet
Page
21. général du Spectacle est de renforcer le cara
rces. Et nous bientôt le serons, Qui tous vous surpasserons. »
Page
21. Page 27. Page 28. Page 32. Page 40. Page 42.
Et nous bientôt le serons, Qui tous vous surpasserons. » Page 21.
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27. Page 28. Page 32. Page 40. Page 42. Page 44.
ientôt le serons, Qui tous vous surpasserons. » Page 21. Page 27.
Page
28. Page 32. Page 40. Page 42. Page 44. 17. [ND
serons, Qui tous vous surpasserons. » Page 21. Page 27. Page 28.
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Qui tous vous surpasserons. » Page 21. Page 27. Page 28. Page 32.
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vous surpasserons. » Page 21. Page 27. Page 28. Page 32. Page 40.
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42. Page 44. 17. [NDA] La preuve de cela, c’est
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44. 17. [NDA] La preuve de cela, c’est qu’il in
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La preuve de cela, c’est qu’il intéresse. Page 45. Page 46. Page 79.
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237. Pages 241. et 242. 32. [NDA] M. Rousseau a
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Pages
241. et 242. 32. [NDA] M. Rousseau a dit à la p
222. Page 237. Pages 241. et 242. 32. [NDA] M. Rousseau a dit à la
page
14. « Tout amusement inutile est un mal pour un ê
sirer pour lui qu’il se dédît pareillement de presque tout son livre.
Page
256. 34. [NDA] Pourquoi tout ceci se trouve-t-i
dans un mauvais livre ? Quel mélange d’humanité et de monstruosité !
Pages
260. 261. et 262. Page 263. h. [NDE] Ce verbe s
Quel mélange d’humanité et de monstruosité ! Pages 260. 261. et 262.
Page
263. h. [NDE] Ce verbe s'accordait aussi avec a
’auteur de la dissertation fréquentent les comédies « sans scrupule »
Page
38. [« Lettre d’un théologien », page 38]., que j
les comédies « sans scrupule » Page 38. [« Lettre d’un théologien »,
page
38]., que je crains que leur probité ne soit de c
rs cupidités. Mais ce sont gens, dit l’auteur,« d’une éminente vertu »
Page
35. [« Lettre d’un théologien », page 35]. , et
’auteur,« d’une éminente vertu »Page 35. [« Lettre d’un théologien »,
page
35]. , et il les compte par milliers. Qu’il est
mode, qui croient pouvoir être ensemble au monde et à Jésus-Christ.
Page
38. [« Lettre d’un théologien », page 38]. Mat,
le au monde et à Jésus-Christ. Page 38. [« Lettre d’un théologien »,
page
38]. Mat, XI, 25. [Matthieu, chapitre XI, verset
logien », page 38]. Mat, XI, 25. [Matthieu, chapitre XI, verset 25].
Page
35. [« Lettre d’un théologien », page 35]. I. Co
thieu, chapitre XI, verset 25]. Page 35. [« Lettre d’un théologien »,
page
35]. I. Cor. X. 12 [1e épître aux Corinthiens, c
eu, chapitre XIII, verset 24]. i. [NDE] « Lettre d’un théologien »,
page
38. j. [NDUL] Couler, filtrer.
itations qu’il est savant : Mais enfin tout ce qu’il dit en plusieurs
pages
se réduit làPage 13.. « Que si les Pères se sont
de nos jours, aussi bien que de leur temps ? « J’ai remarqué, dit-il,
Page
23. que plus les Pères s’approchent de nous, plu
ion. Donc il faut lui permettre la Comédie. Monsieur « vit à son aise
Page
25. ». Donc il ne doit pas condamner la Comédie.
aucune autre assemblée de grand monde dont son état le doit éloigner
Page
37. ». Doit-il plus l’exemple aux Fidèles qu’un E
eur qu’elles ont du péché, ne laissent pas d’assister aux Spectacles.
Page
38. » C’est apparemment une horreur qui ne les re
t en quelque manière blesser le Christianisme, ou la pureté des mœurs
Page
42. ». Elles n’ont servi qu’à le « faire rire ».
’aille jamais à l’Eglise de peur d’y exciter la passion d’un libertin
Page
46. » ? Ou ce raisonnement ne signifie rien, ou i
. Que celui qui s’est trouvé en danger à la Comédie n’y retourne pas.
Page
48. » Mais un équitable Théologien comme lui doit
avail ce n’est pas trop qu’une heure ou deux de plaisir ou de relâche
Page
52. ». Ce ne sont donc que des personnes laborieu
nt sur la masse de leur gain de quoi faire des aumônes considérables.
Page
52 » Le Panégyriste se tourmente fort inutilement
ce qu’il pouvait y avoir de favorable ou de contraire aux Spectacles.
Page
61. » Il n’a pas bien lu, il faut qu’il recommenc
la rigueur ou à la douceur de l’opinion, mais uniquement à la vérité
Page
61. ». Il le faut croire puisqu’il jure. Mais il
usement il se trompe et qui pis est : qu’il semble aimer son erreur.
Page
10. Ibid. Page 13. Page 18. Page 22. Page 23. Pag
rompe et qui pis est : qu’il semble aimer son erreur. Page 10. Ibid.
Page
13. Page 18. Page 22. Page 23. Page 24. Page 25.
qui pis est : qu’il semble aimer son erreur. Page 10. Ibid. Page 13.
Page
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st : qu’il semble aimer son erreur. Page 10. Ibid. Page 13. Page 18.
Page
22. Page 23. Page 24. Page 25. Page 16. Ibid. Pag
l semble aimer son erreur. Page 10. Ibid. Page 13. Page 18. Page 22.
Page
23. Page 24. Page 25. Page 16. Ibid. Page 27. Ib
aimer son erreur. Page 10. Ibid. Page 13. Page 18. Page 22. Page 23.
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24. Page 25. Page 16. Ibid. Page 27. Ibid. Page
erreur. Page 10. Ibid. Page 13. Page 18. Page 22. Page 23. Page 24.
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46. Page 48. Page 52. Page 57. Page 52 Page 55. P
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48. Page 52. Page 57. Page 52 Page 55. Page 54. «
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Page
52. Page 57. Page 52 Page 55. Page 54. « Castigat
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57. Page 52 Page 55. Page 54. « Castigat ridendo
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Page
55. Page 54. « Castigat ridendo mores. » Page 61.
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54. « Castigat ridendo mores. » Page 61. Page 61.
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Page
61. Page 61. a. [NDE] Cette page est numérotée
ge 57. Page 52 Page 55. Page 54. « Castigat ridendo mores. » Page 61.
Page
61. a. [NDE] Cette page est numérotée 43. b.
ge 54. « Castigat ridendo mores. » Page 61. Page 61. a. [NDE] Cette
page
est numérotée 43. b. [NDE] Cette page est numér
61. Page 61. a. [NDE] Cette page est numérotée 43. b. [NDE] Cette
page
est numérotée 48.
et à tous les Conciles ? « Je me sens accablé, dit-il dès la deuxième
page
, par un torrent de passages, de Conciles et de Pè
fin « les Pères ne condamnaient pas absolument les danses, les chants
Page
18., les Opéra et les Comédies Page 20. , mais se
absolument les danses, les chants Page 18., les Opéra et les Comédies
Page
20. , mais seulement les spectacles qui représent
t qui se célébraient en l’honneur des Idoles ? » L’aveu de la seconde
page
ne détruit-il pas toutes ces prétentions et ces r
tous les arguments qu’il avait proposés. « A l’égard de ceux, dit- il
Page
58. , qui vont à la Comédie, il y en a quelques-u
°, Que l’Auteur s’est écarté du sens commun lorsqu’il a écrit à la 39
page
, que « des Prélats de la Cour étant allés à la Co
tre, ces paroles du Fils de Dieu, « ma doctrine n’est pas ma doctrine
Page
61. » et assurer qu’il n’a suivi que la doctrine
nt donc ces manières de parler si modestes ? « Je dis que selon moi,
page
20. J’ai fait une réflexion qui me paraît assez j
, page 20. J’ai fait une réflexion qui me paraît assez judicieuse »,
page
39. et cette note marginale d’une franchise si ex
re en toute sûreté à la marge, Cela est de moi ? II. Quand il assure,
page
54 et 55, « que les Comédiens qui jouent tous les
prêche passe chez lui pour « de belles paroles d’un Orateur austère
Page
35. » qui n’entend point la Théologie, et qui n’a
sé dire que la Comédie est « moins l’école du vice que de la vertu »,
page
33. IV. Lorsqu’après avoir examiné un très grand
shonnête qui puisse blesser en quelque manière la pureté des mœurs »,
page
41 « et qu’on n’en imprime aucune, où l’on puisse
ivoque, ni la moindre parole sous laquelle on pût cacher du poison »,
page
44. De qui peut être un tel langage, que d’un ami
igné touchant la Comédie depuis le premier siècle jusqu’à présent.
Page
18. Page 20. 2 Timoth[ée] 4. 5. Numer. [Nombr
ant la Comédie depuis le premier siècle jusqu’à présent. Page 18.
Page
20. 2 Timoth[ée] 4. 5. Numer. [Nombres] cap. 2
18. Page 20. 2 Timoth[ée] 4. 5. Numer. [Nombres] cap. 22 et 23.
Page
58. 18. [NDA] Page 37. 19. [NDA] Page 57. «
moth[ée] 4. 5. Numer. [Nombres] cap. 22 et 23. Page 58. 18. [NDA]
Page
37. 19. [NDA] Page 57. « Et histrionem sive sc
. [Nombres] cap. 22 et 23. Page 58. 18. [NDA] Page 37. 19. [NDA]
Page
57. « Et histrionem sive scurronum et turpium se
part[ie] 4. Pag. 483. M. de Harlay Archevêque de Paris. 23. [NDA]
Page
2 et 3. 24. [NDA] Page 53. 25. [NDA] Page 19
. de Harlay Archevêque de Paris. 23. [NDA] Page 2 et 3. 24. [NDA]
Page
53. 25. [NDA] Page 19 et 23. Page 62. Page 61
e de Paris. 23. [NDA] Page 2 et 3. 24. [NDA] Page 53. 25. [NDA]
Page
19 et 23. Page 62. Page 61. Page 35. 29. [ND
[NDA] Page 2 et 3. 24. [NDA] Page 53. 25. [NDA] Page 19 et 23.
Page
62. Page 61. Page 35. 29. [NDA] « Ludos Theat
ge 2 et 3. 24. [NDA] Page 53. 25. [NDA] Page 19 et 23. Page 62.
Page
61. Page 35. 29. [NDA] « Ludos Theatrales, eti
24. [NDA] Page 53. 25. [NDA] Page 19 et 23. Page 62. Page 61.
Page
35. 29. [NDA] « Ludos Theatrales, etiam prætext
n ce Livre I. Que les Danses ne sont pas mauvaises de leur nature.
page
1. II. De deux sortes de Danses, dont il est parl
lieux Saints. p. 22. V. De ceux qui vont danser avec mauvais dessein.
page
25. VI. De ceux qui dansent avec quelque danger d
de faire des assemblées pour la danse, ni pour toute sorte de sujet.
page
33. IX. Des mouvements déréglés du corps qui se f
rd’hui. p. 98. XVI. Des périls auxquels on s’expose en allant au bal.
page
97. XVII. Que les danses sont condamnées dans l’E
ynodale, par laquelle il avait défendu de danser les jours des Fêtes.
page
154. Instruction et avis charitable sur le sujet
es. page 154. Instruction et avis charitable sur le sujet des danses.
page
177. Fin de la Table.
de Dieu, mais encore pour prendre du repos à l’exemple de Dieu même »
Page
55. [« Lettre d’un théologien », page 55]. : d’o
repos à l’exemple de Dieu même »Page 55. [« Lettre d’un théologien »,
page
55]. : d’où il conclut « que le plaisir étant le
che encore de tirer Saint ThomasPage 55. [« Lettre d’un théologien »,
page
55]., qui premièrement ne dit rien de ce qu’il lu
et comme dit notre auteur, Pag. 53. 56. [« Lettre d’un théologien »,
pages
53 et 56].« lorsque les églises sont fermées ». Q
t du christianisme, et assister sérieusement à l’office de l’église.
Page
55. [« Lettre d’un théologien », page 55]. Page 5
sement à l’office de l’église. Page 55. [« Lettre d’un théologien »,
page
55]. Page 55. [« Lettre d’un théologien », page 5
’office de l’église. Page 55. [« Lettre d’un théologien », page 55].
Page
55. [« Lettre d’un théologien », page 55]. Exod.
re d’un théologien », page 55]. Page 55. [« Lettre d’un théologien »,
page
55]. Exod. XXIII. 12. [Exode, chapitre XXIII, ver
I, verset 13]. Ibid. V.14. Pag. 53. 56. [« Lettre d’un théologien »,
pages
53 et 56]. 2. 2. q. 168. art. 2. [saint Thomas d’
ité de la comédie, ni les crimes dont on veut qu’elle soit la source »
page
40. [« Lettre d’un théologien », page 40]. . Appa
on veut qu’elle soit la source »page 40. [« Lettre d’un théologien »,
page
40]. . Apparemment il ne songe pas à ceux des cha
que les pauvres qui n’y vont pasPage 40. [« Lettre d’un théologien »,
page
40]. : Vous n’avez encore qu’à dire, que le luxe,
eur de leur imagination blessée, que leur amour-propre leur cachent.
page
40. [« Lettre d’un théologien », page 40]. Prov.
eur amour-propre leur cachent. page 40. [« Lettre d’un théologien »,
page
40]. Prov. VII. 10. 21. 23. 25 [Proverbes, chapit
5 [Ibid, verset 25]. Is, XIII, 22. [Isaïe, chapitre XIII, verset 22].
Page
40. [« Lettre d’un théologien », page 40]. Conf.
aïe, chapitre XIII, verset 22]. Page 40. [« Lettre d’un théologien »,
page
40]. Conf. III [saint Augustin, Confessions, liv
ans les comédies, à ceux qu’on ne peut éviter « qu’en fuyant, dit-il,
Page
46. [« Lettre d’un théologien », page 46]. dans
éviter « qu’en fuyant, dit-il, Page 46. [« Lettre d’un théologien »,
page
46]. dans les déserts. On ne peut, continue-t-il
essité, mais : « celui qui l’aime » et qui le cherche, « y périra ».
Page
46. [« Lettre d’un théologien », page 46]. Sap.
qui le cherche, « y périra ». Page 46. [« Lettre d’un théologien »,
page
46]. Sap. XIV. 4. [Sagesse, chapitre XIV, verse
et je le leur ai rappelé dans le livre des Comédiens et du Clergé aux
pages
344 et 347. C’est l’oubli de ces lois canoniques,
e cesse de déraisonner avec âcreté, et sa fureur s’exhale dans chaque
page
et pour ainsi dire à chaque ligne de son livre. I
l’auteur, en parlant du savant député, s’exprime ainsi qu’il suit : (
Page
131), « Il y a de la démence à force d’y avoir de
e 131), « Il y a de la démence à force d’y avoir de la déraiso ».. — (
Page
132), « Il y a créé de sottes attaques, pour se d
réé de sottes attaques, pour se donner les honneurs du triomphe. » — (
Page
135), Il lui reproche « un horrible blasphème ; i
he « un horrible blasphème ; il a nié Dieu, il a été athée. » — (Même
page
), « Il a appuyé son horrible doctrine par des sop
me page), « Il a appuyé son horrible doctrine par des sophismes ». — (
Page
137), « Son discours est un monument à jamais mém
démocratie, d’impiété, d’orgueil, et en même temps d’hypocrisie. » — (
Page
138), Il le nomme, « cet homme d’orgueil », etc.,
s y poussez, y retentissent dans chaque chapitre, et presque à chaque
page
. » Cet ouvrage immodéré, assez mal écrit, dicté a
llard. Ma citation est textuelle, c’est ce qu’on pourra vérifier à la
page
139 du fameux livre des Crimes de la presse. Hé !
e virus hydrophobique. On peut voir ce que j’en ai dit plus haut à la
page
70, du deuxième chapitre précédent. Quoi qu’il en
Charte. 11. [NDA] M. Royer-Collard. 12. [NDA] Voyez ci-dessus,
page
183. r. [NDE] L’ouvrage Des crimes de la presse
XII, verset 6]. , il permet les comédies « dans tout le carême »Diss.
Page
54. [« Lettre d’un théologien », page 54]. . Il
es « dans tout le carême »Diss. Page 54. [« Lettre d’un théologien »,
page
54]. . Il ne mériterait pas d’être seulement éco
t le carême » (ce sont ses mots)Pag. 54. [« Lettre d’un théologien »,
page
54]., sans que cela répugne à l’esprit de gémisse
ême. Eccl. XXII. 6. [Ecclésiastique, chapitre XXII, verset 6]. Diss.
Page
54. [« Lettre d’un théologien », page 54]. In 4.
chapitre XXII, verset 6]. Diss. Page 54. [« Lettre d’un théologien »,
page
54]. In 4. dist. 16. q. 4. art.2 in corp. [saint
, livre IV, distinction 16].ag Pag. 54. [« Lettre d’un théologien »,
page
54]. 2. 2. q. 168. art. 4. [saint Thomas d’Aquin,
un est celui où l’auteur approuvePage 54 [« Lettre d’un théologien »,
page
54]. que la comédie partage avec Dieu et avec l’o
ent, il autorise l’abus de jouer les comédies durant ce saint temps.
Page
54 [« Lettre d’un théologien », page 54].
comédies durant ce saint temps. Page 54 [« Lettre d’un théologien »,
page
54].
hentique est consigné dans les gazettes du temps, et il est cité à la
page
163 du supplément de la grande Biographie dramati
nnées. Si on veut apprendre le nom de ces acteurs on les trouvera aux
pages
161 et 162 du livre des Comédiens et du Clergé.
er des injustices qu’il éprouve. J’ai rapporté dans le livre précité,
page
162, l’épitaphe de Molière par le père Bouhours 8
ion que je me suis proposée, et je n’en ai dit que quelques mots à la
page
170 du livre des Comédiens et du Clergé. J’y renv
tie extérieure, et on ditPage 4 et suiv. [« Lettre d’un théologien »,
pages
4 et suivantes]. qu’il n’y a rien de si exprès qu
’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, articles 2 et 3].
Page
4 et suiv. [« Lettre d’un théologien », pages 4 e
168, articles 2 et 3]. Page 4 et suiv. [« Lettre d’un théologien »,
pages
4 et suivantes]. De mor. 4. 14. [Aristote, Ethiqu
en prendre connaissance dans le livre des Comédiens et du Clergé, aux
pages
136, 142, 143 et 144. On y remarquera, entre autr
xemplaire. 6. [NDA] Des Comédiens et du Clergé, etc., in-12 de 427
pages
. Paris, 1825, chez Dupont, libraire, rue du Boulo
communion de la Reine, soutenue au moyen d’un faux, etc., in-8° de 24
pages
. Paris, 1824, chez Pichard, libraire, quai Conti,
l’imposture et le faux matériel de la conciergerie, etc., in-8° de 30
pages
. Paris, 1825, chez Pichard et Pélicier. 3°. Mémoi
oire de madame de Maintenon, et de la cour de Louis XIV, in-8° de 432
pages
. Paris, 1825, chez Petit, libraire, au Palais-Roy
s leur nature de les exciter »Pag. 46-47 [« Lettre d’un théologien »,
page
47]. : mais au contraire, il n’y a rien de plus
roles qui excitent les passions »Pag.47 [« Lettre d’un théologien »,
page
47]. , et qu’aussi vive à sa manière que la coméd
issement de tout le théâtre. Pag. 46-47 [« Lettre d’un théologien »,
page
47]. Hor. de. art. Poët. versu 105 [Horace, Art P
[Horace, Art Poétique, vers 105]. Pag.47 [« Lettre d’un théologien »,
page
47]. Confess. 3. 2. [saint Augustin, Confessions,
irrésolution que vous faites paraître au commencement de votre Lettre
page
2 « du parti que vous devez prendre dans l’opposi
tacles des anciens, pour la condamnation desquelles, comme vous dites
page
19, « on n’a besoin que des lumières de la raison
. Je vous prie pourtant de remarquer que Valère Maxime que vous citez
page
17 et Lampridius page 18, sont des Historiens qui
t de remarquer que Valère Maxime que vous citez page 17 et Lampridius
page
18, sont des Historiens qui ne font que rapporter
e paraissez l’avoir cru, par la traduction outrée que vous avez faite
page
14 d’un passage de Tertullien, tiré du Chapitre 1
Saint Augustin, Saint Chrysostome, Alexander Alexandro que vous citez
pages
16 et 17, en parlant des infamies des Spectacles
soin pour nous y soumettre, de toutes les Bulles que vous avez citées
page
5, ni des témoignages des savants page 6, après a
es Bulles que vous avez citées page 5, ni des témoignages des savants
page
6, après avoir fait, si je ne me trompe, votre ex
e de Saint Thomas. J’ajoute que les autres Théologiens que vous citez
pages
22 et 23, Albert le Grand, S. Bonaventure, et Sai
aussi favorables que vous vous l’êtes imaginé. Vous aviez déjà conclu
page
4, sur les simples paroles de Saint Thomas que vo
tions que Saint Thomas exige. Vous tirez une conséquence plus précise
page
20, où après avoir rapporté les passages les plus
nt de Tertullien. Mais voici comme vous le faites raisonner et parler
page
21. « Dieu, dit Tertullien, a établi toutes chose
l’autorité de Saint Bonaventure, de Saint Antonin, d’Albert le Grand,
page
22. Mais comme je conviens avec vous que ces Théo
triompher, et où vous vous congratulez de votre triomphe. Vous dites
page
17 que « la Comédie est un tableau où sont représ
et en les délassant de leurs occupations sérieuses ». Et vous ajoutez
page
28, que « vous ne trouvez rien que de fort bon da
ent dont vous ne vous êtes pas servi, comme moi. « Il y a, dites-vous
page
8, trois moyens fort aisés de savoir ce qui se pa
pable de vous éclaircir que le premier. « Le second moyen, dites-vous
page
38, est encore plus sûr, c’est de juger par les C
vous croyez être à couvert de blâme et d’insulte, lorsque vous dites
page
44, « qu’il y a des Lois terribles dans ce Royaum
’est ce que fait la Comédie de notre temps. Vous en demeurez d’accord
page
46, en ajoutant pourtant que tout cela n’arrive q
ntummodo ad nocendum comparata ». Ceux que vous appelez réformateurs,
page
45, par une raillerie qui leur est fort agréable
s vous tirerez de ce pas glissant en homme d’esprit, et vous me direz
page
45, « que ce sont de belles paroles pour un Orate
i gardez pour une autre occasion les exemples que vous avez rapportés
page
46, pour nous persuader que l’on ne doit pas défe
ation de la Comédie. Vous auriez pu vous dispenser aussi de rapporter
page
49, « l’exemple de la Bible, dont on défend, dite
ions et que votre Comédie les excite et les émeut. « Mais, dites-vous
page
48, mille gens y assistent sans éprouver la moind
onner la mort. C’est pour cela qu’il est inutile que vous nous disiez
page
48, que « quand quelqu’un s’apercevra du méchant
s aussi, que ce Poète le doit être mieux que moi ; lisez ce qu’il dit
page
6, de la dernière Satyre qu’il vient de donner au
les, cela n’est que trop public. Vous connaissez pourtant, dites-vous
page
54, de « fort honnêtes gens de cette profession »
ce que je viens de dire, pouvez-vous faire paraître tant de surprise
pages
30, 31 et 32, de ce que le Digeste de Justinien n
quoique le Pape assiste à Rome aux Jeux de Collège, comme vous dites
page
28, quoique tout le monde indifféremment y coure
n’aille pas contre le Commandement de Dieu et de l’Eglise. Vous dites
page
3, que vous auriez « bientôt décidé la question d
quait de quelque manière que ce pût être ». Et quelques lignes après,
page
4, vous dites « qu’on lise et relise l’Ecriture,
entiment sur celui de Tertullien. Vous faites parler Albert le Grand,
page
26, et lui faites dire, que « l’Ecriture sainte n
dispensé de les citer contre vous ; parce que vous demeurez d’accord
page
4, qu’ils ne vous sont pas favorables. Mais afin
médiens. Vous allez voir que c’est inutilement que vous avez remarqué
page
23, qu’on s’est adouci en faveur de la Comédie da
ous l’avez fait vous-même. Cependant parce que vous avez cité Salvien
page
15, et Lactance page 16.et que je n’en ai point e
même. Cependant parce que vous avez cité Salvien page 15, et Lactance
page
16.et que je n’en ai point encore parlé, souffrez
vous étaient entièrement et directement opposés. « Mais, dites-vous,
pages
24 et 25, toutes les déclamations des saints Père
it de la difficulté dans ce point : car vous faites dire à votre ami,
page
35, que « des Docteurs, ou du moins qui se piquen
Jean Chrysostome et de Saint Jean de Damas, dont vous vous êtes servi
page
53, pour la justifier, et que vous ne citez que p
ble que vous ayez reconnu une partie de la vérité, lorsque vous dites
page
54, que les Chrétiens doivent moins fréquenter le
davantage, illustre Théologien, c’est la comparaison que vous faites
page
55, du repos que l’on prend les Dimanches à la Co
e que Saint Charles dit dans son 3e Synode de Milan, dans la première
page
des Actes au titre F, du Culte des Fêtes. C’est p
ombez dans une contradiction manifeste : car vous vous montrez sévère
page
58, à l’égard des Evêques, des Abbés et des Relig
er de péché mortel. Mais c’est trop tôt oublier ce que vous aviez dit
page
39, que « tous les jours à la Cour les Nonces du
i est sans difficulté bien meilleure que celle que vous aviez dans la
page
39, et en cela votre sentiment sera conforme à ce
trouvé place dans la dissertationPage 3. [« Lettre d’un théologien »,
page
3]. : si la comédie est si dangereuse, pourquoi J
ter les sens par des joies que le peuple charnel ne connaissait pas.
Page
3. [« Lettre d’un théologien », page 3]. I. Jo. I
ple charnel ne connaissait pas. Page 3. [« Lettre d’un théologien »,
page
3]. I. Jo. II. 15 [1e épître de saint Jean, chapi
pas, on ne la fréquenterait pasPage 39. [« Lettre d’un théologien »,
page
39]. : sans songer que saint Thomas, dont il abus
e les lois de la cité sainte et celles du monde étaient différentes.
Page
39. [« Lettre d’un théologien », page 39]. I. 2.
du monde étaient différentes. Page 39. [« Lettre d’un théologien »,
page
39]. I. 2. q. 39. 3. ad. 3. q. 96. 2. c. [saint T
docteur qu’on nous oppose le plusPage 23 [« Lettre d’un théologien »,
page
23]., c’est Saint Antonin ; mais d’abord on le fa
ra pas appuyée, mais encore elle y sera condamnée en tous ses chefs.
Page
23 [« Lettre d’un théologien », page 23]. Saint A
ra condamnée en tous ses chefs. Page 23 [« Lettre d’un théologien »,
page
23]. Saint Anton, 2.p.tit.I. cap. 23. § 1. [saint
mais fait aucun Edit contre les Comédiens, 203. 300. Il n’avait qu’un
Page
qui lui chantait des chansons de piété, ibid. Lo
Roi d’Italie, ce qu’il écrit au sujet des Spectacles, 128. envoie un
Page
à Clovis, 131. Théodose le Grand, son zèle contre
re de notre Révérend Père Général, L. Batterei. Secrétaire. ERRATA.
Page
28. Fusco, lisez Tuscoc Page 74. Phenicie, lise
al, L. Batterei. Secrétaire. ERRATA. Page 28. Fusco, lisez Tuscoc
Page
74. Phenicie, lisez la Phénicie. Page 118. faisa
Page 28. Fusco, lisez Tuscoc Page 74. Phenicie, lisez la Phénicie.
Page
118. faisait lisez sautait. c. [NDE] En fait, p
par expérience. « Il y a, dit-il, p. 38 [« Lettre d’un théologien »,
page
38]. trois moyens aisés de savoir ce qui se passe
a plus chaste ne pût entendre. » p. 38 [« Lettre d’un théologien »,
page
38].
s opprimer ? J’ai l’honneur d’être, &c. 1. Mélanges, Tome II,
page
460. 2. Idem, Tome IV, page 323. 3. Idem, Tome
’être, &c. 1. Mélanges, Tome II, page 460. 2. Idem, Tome IV,
page
323. 3. Idem, Tome IV, page 324. 4. Idem, Tome
s, Tome II, page 460. 2. Idem, Tome IV, page 323. 3. Idem, Tome IV,
page
324. 4. Idem, Tome IV, page 362. 5. Mél. Tom. I
m, Tome IV, page 323. 3. Idem, Tome IV, page 324. 4. Idem, Tome IV,
page
362. 5. Mél. Tom. II. pag. 324. 6. Tome, IV, p.
Fautes à corriger.
page
68, ligne 9 : Citoyens ; lisez, Citoyennes. — 78,
— 145, ligne 2, après le mot Comédie, mettez un (*), & au bas de
page
, ajoutez en note : (*) Il vient de paraître un se
les Bateleurs, les Comédiens ». Le Rituel d’Orléans de l’année 1642,
page
340, exclut des saints Ordres les Comédiens, Bate
nt sur le Théâtre ». Le Rituel de Châlons-sur-Marne, de l’année 1649,
page
12, défend de recevoir pour parrains du baptême l
emmes de mauvaise vie, les Concubinaires, les Comédiens, etc. Et à la
page
139, il prive de la Communion ces derniers, comme
39, il prive de la Communion ces derniers, comme pécheurs publics. Et
page
224, en parlant de ceux qui sont exclus des Ordre
médiens, les Farceurs. Dans le Rituel de Paris, imprimé en l’an 1654,
page
108, il est ordonné qu’on rejettera de la Communi
les Femmes débauchées, les Concubinaires, les Comédiens, etc. Et à la
page
291, on exclut des saints Ordres les Bouffons, le
t excommuniés. Le Rituel de Sens au Titre de la Communion des malades
page
90, parle des Comédiens en ces termes : Mais il f
et des gens notoirement criminels. Le Rituel d’Alet de l’année 1667,
page
74, rejette de la Communion ceux que l’on sait pu
ils aient fait pénitence et réparé le scandale. Le Rituel de Langres,
page
73, exclut aussi de la Communion ceux qui sont ma
nt infâmes, comme sont les Comédiens. Celui de Senez de l’année 1678,
page
372. « Nous déclarons pour excommuniés, ceux qui
Titre du Sacrement de l’Eucharistie et de la Communion des infirmes,
page
14796. « Il faut prendre garde, dit ce Rituel, de
, et les excommuniés nommément. » Et au Titre du Sacrement de l’Ordre
page
343 et 34497. « Voici quels sont ceux qui ont des
, Comédiens, les Infâmes, etc. » Le Rituel de Bayeux de l’année 1687,
page
1687, compte parmi les pécheurs publics et infâme
mes, ceux qui s’appellent Comédiens et Bateleurs. Le Rituel de Reims,
page
119, met entre ceux à qui il faut refuser la Comm
ommunion, les Pécheurs publics, les Bateleurs, les Farceurs ; et à la
page
619, il les prive de la sépulture. Le Catéchisme
les prive de la sépulture. Le Catéchisme de Montpellier de l’an 1687,
page
230, met entre les choses qu’il faut éviter pour
dies, les mauvais livres, etc. Le Catéchisme de Bourges de l’an 1693,
page
437, sur le sixième Commandement, marque les chos
al, la danse, la Comédie et les Romans. La Morale de Grenoble tome 3,
page
175, déclare infâmes et incapables d’être Parrain
tome 3, page 175, déclare infâmes et incapables d’être Parrains ; et
page
290, elle déclare incapables de la sainte Communi
t diaboli. » 43. [NDA] Sermo 2 de Symb. ad Cathecum. Cap. 1, tome 6
page
569. edit. ult. [S. Augustin, De Symbolo ad catae
depuis S. Loys jusques à present , Paris, 1611 (1e éd. 1580), tome 4
page
436]. « Ut omnis occasio tollatur scholasticos a
ion de l’Ouvrage. 319 Plan du Théâtre, etc. 329 Fautes à corriger.
Page
25. ligne 19. dans ma seconde, lisez dans ma troi
rriger. Page 25. ligne 19. dans ma seconde, lisez dans ma troisième.
Page
273. ligne seconde, on drait, lisez on dirait.
ous osons donc espérer qu’on voudra bien parcourir avec attention ces
pages
où nous avons présenté l’opinion de plusieurs écr
nous nous sommes imposées, nous ne doutons pas que ce petit nombre de
pages
n’appelle la plus sérieuse attention. Nous soumet
es s....… Conc. de Mayence, an 888, canon 105, in conc. Germ. Tom. 2.
page
372, et Dictionnaire des conciles, page 721 ; «
n 105, in conc. Germ. Tom. 2. page 372, et Dictionnaire des conciles,
page
721 ; « Ut clericis interdicatur mulieres in do
Nous lisons encore dans l’Histoire du droit canonique, 1 vol. in-12,
pages
385 et 393, au chapitre de la puissance des rois
, comme protecteur des saints canons, doit veiller à leur exécution ;
pages
400, 401 ; « Que cette même qualité de protecteu
parlé, un pareil témoignage que nous avons rapporté ci-devant Tome I,
page
323. Ces deux grands Ministres & plusieurs de
ontre les Spectacles publics, que nous avons citées dans nos Lettres,
pages
121 & 122. Voilà ce qui concerne la partie do
toient pas en effet les Comédiens. Il est dit dans le troisieme Ecrit
page
17, que leur état est de vivre de la fange des vi
tre famille dont il est parlé dans le Dictionnaire de Moreri, tom. 7,
page
514, édition de 1759, à l’occasion de Thomas del
acles qui n’ait été cent fois réfuté ». Néanmoins Chapuzeau convient,
pages
40 & 131, que depuis la mort du Cardinal de R
ontre la Comédie. Cet Ouvrage de M. Voisin est un Volume in-4° de 500
pages
. Il y a beaucoup d’érudition sur les Jeux & l
’Huillier, de la Coste & Bonnet. Cette décision, qui contient 132
pages
in-12, est un Traité intéressant sur la matiere q
hant la Comédie. Paris, 1694. L’Auteur de ce solide Ouvrage déclare [
page
133] avoir été amateur des Spectacles. « Je ne co
vêque de Meaux, fit à Louis XIV, & qui a été ci-devant rapportée [
page
61], lisent les maximes & les réflexions de c
refois aux Spectacles de la Cour, & dont il a été ci-devant parlé
pages
159 & 182. Il est vrai qu’il est rapporté dan
d’Août 1702 des Nouvelles de la République des Lettres. Il y adopte,
page
189, le sentiment de ce Sçavant. « En effet, dit-
conclusion de sa Réponse. Ce qu’on a ci-devant rapporté de Despréaux,
page
160, prouve que s’il avoit vécu, il auroit désavo
enès, 1758. Laval, Comédien, à M. J.J. Rousseau, 1758, in-8°, de 189
pages
. Dancourt, Arlequin de Berlin, à M. J.J. Roussea
Dancourt, Arlequin de Berlin, à M. J.J. Rousseau, 1749, in-8°. de 225
pages
. Considérations sur l’art du Théatre, D***. à M.
Porée n’étoit pas le défenseur de nos Théatres. Nous avons ci-dessus,
page
127, indiqué un Ecrit, intitulé : Pensées sur les
Rome, prouvent 1°. Que c’est sans fondement, comme nous l’avons dit, [
pages
171-179 de nos Lett.] qu’on s’autorise de S. Char
jus est ementes quietem & securitatem, comme on l’a ci-devant dit
page
166. La Description de l’Italie, que M. l’Abbé Ri
llent les bonnes regles. Nous en avons rapporté un exemple ci-dessus,
page
166. En voici un autre qui n’est pas ancien, &
oseph Galeatium, regium Typographum. Superiorum permissu ; in-8°. 416
pages
. L’Auteur de cet excellent Ouvrage est M. Paul Ru
sous ce titre : Offrande aux Autels & à la Patrie ; in-8° de 245
pages
. « Je suis témoin, dit-il, p. 8, que la Lettre de
rté, pourvu qu’on ait des Comédiens » ! Comme nous avons eu occasion [
page
59 de nos Lettres] d’avancer que les Ministres Pr
nous a donné celui de l’Ouvrage de D. Ramire, que nous avons rapporté
page
213 de ce vol. Ces deux extraits établissent, que
on pour les Théatres étoit un scandale public, comme nous l’avons dit
page
165 de ce vol. Le P. d’Estrade ne manqua point de
les de la République des Lettres, du mois de Juillet 1684, y déclare,
page
478, que « Fabrice n’a eu en vue que les Poésies
es rafinemens de coquetterie & de médisance ». On a vu ci-devant,
page
74 de nos Lett. que Bayle pensoit sensément sur c
e Gerard-Jean Vossius, Jacques Bernard que nous avons cités ci-dessus
page
188 & 189. On a aussi vu assez souvent en Ang
’impureté & de l’impiété du Théatre Anglois, 1698 ; in-8°. de 288
pages
. L’autre fut donnée en 1699, sous ce titre : The
s sur la Comédie ancienne & moderne, &c. 1699 ; in-8°. de 367
pages
. Le P. de Courbeville, Jésuite, nous a donné la
cles ; traduit de l’Anglois de M. Collier. Paris, 1715 ; in-12 de 493
pages
. Cette critique du Théatre Anglois n’est pas une
d’Orléans, premiere Princesse du Sang. Paris, 1718, vol. in-12 de 509
pages
. Voici ce que le Journaliste en a cité sur la mat
ec raison dans le second tome du Code de la Religion & des Mœurs,
page
383, que l’Auteur de l’Ouvrage intitulé : Querell
Baral, & une de D. Clémencet, Bénédictin. Celle-ci commence à la
page
42. Il est parlé de ces Lettres dans l’Histoire L
la 2e en 1774, en 2 vol. in-12. Cet Ouvrage [dont il a déjà été parlé
page
172 de nos Lett.] est composé de bonnes spéculati
ment on en voit qui sont les premiers à ces jeux. » On a ci-devant vu
page
112 de nos Lettres, que sous Charles VIII les Mag
& l’administration politique du pays, comme on l’a ci-devant dit
page
97. C’est par cette considération que les Magistr
Mais cette réformation est-elle moralement possible ? On a rapporté [
page
84 de nos Lettres] une opinion motivée qui décide
Cette peinture du Théatre Italien justifie ce qui a été ci-devant dit
page
86. On sçait que ce Théatre fut dès son origine f
cupidités & affections déshonnêtes ». Au reste on s’est expliqué
page
81 de nos Lettres, sur l’hommage que l’on doit à
le bonheur des peuples, sont niés & insultés dans le Mimographe,
pages
362 & 365. On y donne comme des établissemens
gion, comme à la base sur laquelle tout doit porter. Il y expose à la
page
230 du deuxieme volume, la temérité avec laquelle
sai n’a pas craint d’y insérer. Telle est celle-ci qui se trouve à la
page
75 : Les adversaires du Théatre sont des charlata
M. l’Abbé Clément, M. Gresset, &c, &c. Cependant il convient [
page
373] qu’un Chrétien ne peut se dissimuler que la
core de ce funeste enchantement, lorsque dans des notes de son Poëme [
pages
86 & 168, &c.] il soutient que les Specta
dont le Pape Benoît XIV l’avoit chargé, & que nous avons indiqué [
page
227 de ce vol.] on vit plusieurs Auteurs estimabl
e de Considérations sur l’Art du Théatre. Ce Vaudeville, y est-il dit
page
80, est dangereux pour la jeunesse, qu’elle accou
itutis judicentur. La Danse fut d’abord, comme nous l’avons déjà dit,
page
18 de ce volume, l’expression de l’enthousiasme d
s eu occasion de parler dans notre seconde Lettre sur les Spectacles,
page
230, donnoit cet avis à Madame la Princesse de Ma
u corps cette noblesse, cette bienséance, comme nous l’avons déjà dit
page
19 de ce volume, que les Grecs appelloient Ἐμμελε
trois Lettres insérées dans l’Avertissement de notre premier Volume,
page
lxvij & suiv. M. l’Abbé de la Tour n’a pas om
nte, que M. Gresset 234 publia en 1759, & que nous avons annoncée
page
67 de notre premier Tome : nous l’avons réservée,
ccidens de cette nature, dont nous avons rapporté différens exemples,
pages
449-455 de notre T.I, ne sont pas les seuls qu’on
e, rapportée dans le Dictionnaire des Anecdotes dramatiques, tome II,
page
175, peut contribuer à prouver que le Public sçai
eloutées, & qui répandent un parfum exquis. Nous avons rapporté,
page
256 de nos Lettres, le reproche que M. l’Abbé Clé
s & armamentarium Ecclesiæ. Compend. mor. nov. Testam. tom. VIII,
page
241. 61. In maxima fortuna minima licentia est.
minima licentia est. Sall. 62. Voyez notre seconde Lettre depuis la
page
161 jusqu’à la page 180. 63. Voyez notre premier
Sall. 62. Voyez notre seconde Lettre depuis la page 161 jusqu’à la
page
180. 63. Voyez notre premiere Lettre, page 96 &a
is la page 161 jusqu’à la page 180. 63. Voyez notre premiere Lettre,
page
96 & suiv. 64. Dans un Ouvrage qu’il a donné
ux de la, Congrégation des Théatins. 65. Bibliot. Franç. tom. VIII,
page
358. 66. Armand de Bourbon, mort en 1666, âgé d
bon, mort en 1666, âgé de trente-sept ans. 67. Dans notre Lettre II,
pages
226 & 229. 68. Nous les avons citées page 22
Dans notre Lettre II, pages 226 & 229. 68. Nous les avons citées
page
226 de nos Lett. 69. Profana & vaniloquia d
nonça à sa profession. 88. Dans l’Histoire de l’Académie Françoise,
page
361. 89. Isaïe, chap. 5, ℣. 20. 90. Pages 316
de l’Académie Françoise, page 361. 89. Isaïe, chap. 5, ℣. 20. 90.
Pages
316 & 337 de nos Lettres sur les Spectacles.
nelli) imprimée en 1775. 105. Lettres du Pape Clément XIV, part. II,
page
306. 106. Journ. Ecclésiast. Hebd. Feuille du 26
II, page 306. 106. Journ. Ecclésiast. Hebd. Feuille du 26 Juin 1762,
page
101. 107. Feuille du 6 Février 1768, page 21. 1
. Feuille du 26 Juin 1762, page 101. 107. Feuille du 6 Février 1768,
page
21. 108. Quæcumque nempè ea de re in lucem prod
, & cura negotiorum sæcularium. Compend. Mor. Ev. Tom. II. 117.
Page
149 du tome II du Recueil de ses Lettres. M. de C
6. Dans le Tome II de ses Sermons sur les Dimanches de l’année. 127.
Page
87 de nos Lettres. 128. J.J. Rousseau mourut à
gé ce Vers : Et l’heureux Financier, dispensé des soupirs. 141.
Pages
227-249 de nos Lettres. 142. Pages 107-113, &
r, dispensé des soupirs. 141. Pages 227-249 de nos Lettres. 142.
Pages
107-113, & 330-333 de nos Lettres. 143. On
tome du Recueil des Historiens de France, donné par les Bénédictins,
page
621. 161. Dans ses Réflexions sur la Critique, t
emond, tome III, d’où l’on a aussi tiré ce qui a été dit sur l’Opéra,
page
76 de nos Lett. afin de confirmer l’idée que nous
ge 76 de nos Lett. afin de confirmer l’idée que nous en avions donnée
page
77. 184. Il a été ci-devant parlé de cette purga
ns donnée page 77. 184. Il a été ci-devant parlé de cette purgation,
pages
41 & 94 de nos Lettres. 185. Flere commissa
point d’honneur & le duel dont nous avons eu occasion de parler,
page
225 de nos Lettres, sont opposées à la Religion,
. Cic. ep. XI ad Attic. lib. VIII. 207. Œuvres de Plutarque, tome I,
pages
567 à 585 & 587, édit. de Vascosan, in-8°. 2
ttre à Louis Racine. 210. Dans une Dissertation que nous avons citée
page
19 de ce volume. 211. Réglement donné par une Da
du 26 Avril 1775. 214. Elle est imprimée à la suite de nos Lettres,
page
425. 215. De quel Public M. du Coudrai parle-t-
i donné sur l’Italie un Ouvrage dont nous avons eu occasion de parler
page
233 de ce volume. Nous l’avons cité sous le titre
ron & de Lucullus. 232. Dans ses Observations sur les Euménides,
page
504 de sa traduction des Tragédies d’Eschyle. 23
Lambert, Auteur du Poëme des Saisons, dont nous avons ci devant parlé
pages
416, 417 & 447. Mais M. de Saint-Lambert la d
ux & tres-integre. 262. Auteur du Livre de l’Esprit, caractérisé
page
453 de nos Lettres sur les Spectacles. 263. Cett
Mars 1741, avec les sentimens dont nous avons eu occasion de parler,
page
486. La réputation de cet illustre Poëte est fixé
fruit les Lettres de M. Clément à M. de Voltaire : non (y est-il dit
page
9 de la premiere de ces Lettres, imprimées en 177
conferunt quærere, publicæ utilitati consulere. S. Chrysost, Tome X,
page
223. 278. Article I du Titre VI. 279. Pylades
m nobis intentum tempus consumere ». Dion. Cassii, Histor. lib. LIII,
page
747. 280. Civile rebatur misceri voluptatibus V
à les soutenir. a. [NDE] Dans la version utilisée, il manquait les
pages
3 à 5, qui ont donc été prises dans une version d
ifférent. C’est la raison pour laquelle la pagination manque pour ces
pages
.
vérifier les citations dans le livre des Comédiens et du Clergé, aux
pages
67, 69, 127, 128, 201, 344, 345, 347, 349, 350 et
ivants, in-8°, par M. Michaud ; Paris, 1819 ? On y lit en effet, à la
page
355, qu’un M. de Sénancourt est auteur de plusieu
fait remarquer ces derniers mots, imprimés en lettres italiques, à la
page
265 du Mercure du dix-neuvième siècle, que j’ai i
oile lui-même, quand il dit dans ce même Livre contre les Spectacles,
page
223 : « Le plus méchant homme est celui qui s’iso
du Sage, §. 114. 4. [NDA] Dans sa Lettre sur la Musique Française.
Page
91. 5. [NDA] Dans le Livre objet de la présente
[NDA] Dans le Livre objet de la présente Critique. 6. [NDA] Il dit,
page
31 de la Préface de sa Comédie de Narcisse : S’il
veloppe au Projet. Le Plan de Réforme s’ouvre à la sixième Lettre,
page
45 par une définition du Munisme ; ou de l’Art de
entrant presque pour rien dans le Plan de Réforme, ce qu’on en a dit,
page
145, a paru suffisant. 398 La Note [E] est sur l
lopédie dont il a tiré cette observation, que la Mimographe rapporte,
page
322. *. Le véritable esprit de notre Religion ne
trop décharné. » Apol. de la Rel. par Bergier, Tome I. seconde édit.
page
420. Dès que le Spectacle est légitime, la Relig
nt victime de sa condescendance pour le Clergé. Voyez ci-dessus, à la
page
154 de cet ouvrage, les diverses espèces d’excomm
tions que les prêtres voudraient fulminer contre les fidèles ; et aux
pages
189 et 191, les conséquences funestes de ces sent
rêche pas d’exemple, nous renverrons MM. les évêques à la lecture des
pages
344 à 355 du présent ouvrageai, et en attendant n
e Montholon, fut créé cardinal en 1350. ai. [NDE] Il s’agit bien des
pages
qui précèdent celles marquées par un astérisque
du », in Pièces de théâtre de Boursault, Paris : Jean Guignard, 1694,
pages
38, 40 etc. Il faudra donc que nous passions pou
du », in Pièces de théâtre de Boursault, Paris : Jean Guignard, 1694,
pages
38, 40 etc. b. [NDUL] [= Note de Urbain et Leves
el on trouvera en outre quelques Additions importantes. Tome I.
Page
29, ligne 25, certaines ; lisez, certains. pag.
d’un Acte, l’èxposition doit être renfermée dans la prémière Scène.
page
189. au sommaire ; préarés, lis. préparés. pag.
utorités auxiliaires qui produisirent un accroissement de plus de 500
pages
. Comme ce Livre est destiné aux jeunes gens prêts
. Les Notices préliminaires ne contenoient précédemment qu’environ 24
pages
, & se bornoient à une courte esquisse histori
y rendre un hommage à la Religion, & de lui en consacrer quelques
pages
. C’est dans cette vue, que vers la fin du second
raisemblablement ce qui vous l’a fait réduire à un si petit nombre de
pages
. Je suis persuadé qu’une seconde lecture faite av
me rappelle avoir été faite dans le Mercure du mois de Juillet 1777,
page
78 : « M. Desprez de Boissy, y est-il dit, ne che
issance d’un excellent Ouvrage, dont il n’a annoncé que le titre à la
page
458 de son second Volume, il en auroit donné un e
être produit sous le titre d’une petite brochure assez récente, de 62
pages
in-8°, intitulée : La Vérité sur la Comédie, les
e, du 21 Avril 1777, dont M. Desprez de Boissy a rapporté un Extrait,
page
563 de son 2e Volume. Il a aussi cité quelques au
cité quelques autres exemples d’actes de vigueur contre les Théatres,
pages
227 & 240 de son 2e Volume. En voici un qu’on
modernum. Il fut imprimé à Milan en 1770, en un Volume in-8°, de 416
pages
, dont il se trouve des Exemplaires à Paris, chez
brairie, de l’année 1778. M. Desprez de Boissy en a donné une Notice,
page
242 de son 2e Volume ; mais il n’a point parlé de
n’en connoissoit alors qu’une des précédentes. Voici ce qu’il en dit,
page
120, après avoir parlé du fameux Traité de M. le
a donné en 1768, sous le titre de l’Erudition universelle. Il y dit,
page
375 du tome III : « Le Théatre François perd aujo
é faite, empêcha l’exécution. Cette anecdote se trouve rapportée à la
page
109 d’un Ecrit qui parut sur la fin du dernier si
, dans son Journal de Politique & de Littérature de l’année 1775,
pages
73 & 127, cite comme une action repréhensible
ntentement par une Lettre anonyme qui se trouve dans le même Journal,
page
127. Or, se seroient-ils crus humiliés par cette
s les deux Lettres précédentes. AVERTISSEMENT. Nous avons promis [
pages
67, 115, 189, &c. de ce vol.] de donner à la
Evêque d’Arras. Et plus bas. Par Monseigneur. Caron. On a rapporté [
page
445 de notre IIe vol.] ce que M. le Comte de Buss
supprimées en 1745. Il est rapporté dans une Gazette du 5 Mars 1776,
page
37, qu’il y eut aussi à Rome une pareille réforme
ontraires à la morale chrétienne. L’Ecrit Italien que nous avons cité
page
431, en donne pour preuve une Lettre du P. Marian
lles se trouvent constatées par un témoignage que nous avons rapporté
page
183. L’Auteur de la Consultation Italienne que no
us aurons occasion de parler. RAISONS Qui condamnent les Théatres,
page
43 du Recueil des Ordonnances & Mandemens de
nt de Paris a donné l’Arrêt qui suit, & dont on a ci-devant parlé
page
115. Il sera précédé des extraits des Requisitoir
; Séguier, des 25 Janvier 1759, & 18 Août 1770, dont il est parlé
page
414 de notre Histoire des Ouvrages pour & con
ieces où il n’y ait du venin ; nous oserions même assurer qu’à chaque
page
, pour ainsi dire, il y a des propos indécens, ou
re l’analyse du second Mémoire à consulter, contenant deux cens vingt
pages
. C’est une critique indécente de tout ce qui cond
ressée à Mlle Clairon, Actrice de la Comédie Françoise. Il s’y donne [
page
5] pour un Ecrivain obscur ; il auroit dû ajouter
le Jugement qui intervint. L’Arrêt du 9 Décembre 1541, ci-devant cité
page
131, fut aussi rendu contradictoirement. On y voi
s de quelques mots libres qui sentissent la volupté338. Nous citons [
page
430 de notre second Tome], quelques bonnes réflex
sion donnée en Sorbone, le 30 Mai 1694, & qui est aussi indiquée,
page
146 de notre IIe Tome. Mais comme nous avons omis
l’Ordonnance pastorale qui suit. Nous l’aurions placée dans son rang,
page
412, si nous en avions eu connoissance plutôt.
er du Journal de Théatre, de l’année 1776. « En général (y est-il dit
page
134) la peinture des ridicules, [sur laquelle on
adressa au célebre Bossuet, & que nous avons rapportée ci-devant
page
395. Les réflexions que nous y avons ajoutées, pe
p; ce sentiment naturel, dit l’Auteur d’un Roman que nous avons cité,
page
599, ne sçauroit être étouffé que par la corrupti
& dont nous avons eu occasion de parler dans notre second Volume,
pages
409 & 413. De pareils écarts sont de la plus
servé dans un de ses Requisitoires, dont nous avons donné un extrait,
page
469 ; & son observation a sa preuve dans les
dans le troisieme Tome des Trois Siecles de la Littérature Françoise,
page
460 de la deuxieme Edition. On y prévoit le jugem
7 Mars 1680. 42. De Boissy, Poëte dramatique, Mercure de Mars 1756,
page
108. 43. Mort à Paris en 1731, âgé de près de 60
III, l. 89. Dans l’Esprit des Loix. 90. Abrégé de Mézerai, tome 4,
page
48, édit. d’Amsterdam, de 1723. 91. M. Huerne de
la France Littéraire, tom. 1, pag. 205, édition de 1769 ; & à la
page
208 du tome 1 des trois Siecles de notre Littérat
de notre Littérature, édit. de 1772. 123. Voyez la premiere Lettre,
page
13. 124. De l’Esprit. 125. Ecclesiast. cap. 3,
it. 125. Ecclesiast. cap. 3, ℣. 27. 126. Voyez la premiere Lettre,
pages
17, 18 & suiv. 127. Voyez la premiere Lettr
ere Lettre, pages 17, 18 & suiv. 127. Voyez la premiere Lettre,
pages
44, 76, 90, &c. 128. Polyeucte & Zaïre,
nandæ sint, quàm maximè poterit Religione contendet. Actor. Part. IV,
page
483. 145. Ecclesia multa tolerat quæ non proba
sæcularibus hominibus. Concin. Ibid. 151. Voyez la premiere Lettre,
page
61, 63 ; & l’Histoire des Ouvrages pour &
164. Ces Edits devinrent le suiet d’un prix académ. dont il est parlé
page
138 de notre Tome II. 165. Vie du Comte de la No
erselle, tome XI. 167. Frere de S. François de Sales. 168. Tome VI,
page
290, édit. de 1759. 169. Sous le titre de Réglem
oileau, qui en a été l’Editeur, a mis en tête un Avertissement de 100
pages
, qui contient la vie de cette illustre Dame. On n
i firent des prodiges de valeur. 171. Dont il a été ci-devant parlé,
page
35. 172. Daguesseau de Guerchois. Elle étoit sœ
ntation de bile. On en a relevé de pareilles dans la premiere Lettre,
pages
106 & 130, &c. 189. M. Arcere fit sur ce
XI, cap. III. Cette citation justifie ce qui a été rapporté ci-devant
page
25, de ce Rhéteur sur les effets de la déclamatio
minio nepote. 197. Dans la préface de la table du Journal de Verdun,
page
13. 198. Ci-devant caractérisées, pages 115 &
a table du Journal de Verdun, page 13. 198. Ci-devant caractérisées,
pages
115 & 117. 199. L’Avocat qui y jouoit le rô
inguet annonce ces Eloges, dont on a eu occasion de parler ci-devant,
pages
115, 117, 242, &c. 214. Les foiblesses repro
et en contient plusieurs adressées à cette Dame. Voyez les tomes VII,
page
243 ; VIII, p. 391 ; IX, page 24, &c. Ce fut
sées à cette Dame. Voyez les tomes VII, page 243 ; VIII, p. 391 ; IX,
page
24, &c. Ce fut pour cette Dame que l’Abbé Dug
clopédique de l’année 1770. M. Barbeau de la Bruyere les a indiquées,
page
780 du troisieme Tome de la Bibliotheque Historiq
os ; Christiani autem & vobiscum oves sumus propter nos. Tome IV,
pages
226 & 248. 229. Marie-François de Paule Le
l. VIII. 235. Voyez le tome I de ses Œuvres. 236. Dans la Lettre I,
pages
107, 108 & suiv. 237. M. le Chancelier Dague
s, est le code des Rois ; c’est le Livre du gouvernement de l’Etat ».
Page
211, des Causes du Bonheur public. On sçait que M
r. Ev. 276. Dans son Sermon contre les Spectacles, Il en est parlé [
page
274 de notre IIe vol.] Voici au sujet du P. Soane
des Ouvrages pour & contre les Théatres, p. 183 ; de même qu’aux
pages
199 & 216 nous avons indiqué le Mandement de
que de Nîmes, & celui du Chapitre d’Auxerre, rapportés ci-dessus,
pages
412, 419. 289. Ce Prélat prononça le Discours de
vera dans notre Histoire des Ouvrages pour & contre les Théatres,
pages
160-162, quelques exemples de la prudence avec la
crit dans notre Histoire des Ouvrages pour & contre les Théatres,
page
422. 292. Il en est parlé page 228 de notre Hist
rages pour & contre les Théatres, page 422. 292. Il en est parlé
page
228 de notre Histoire des Ouvrages pour & con
reille décision dans l’explication du Pater, par M. Floriot, tome II,
page
48, édition de 1740. 297. Non v’ è potestà alcun
Ce Sermon se trouve dans le second Tome pour le Carême. 302. Tome V,
page
201. 303. Il a déjà été parlé page 443, de M. Go
ome pour le Carême. 302. Tome V, page 201. 303. Il a déjà été parlé
page
443, de M. Godeau, comme Evêque de Grasse. L’Evêc
ns le premier Livre de son Traité de l’Opinion, chap. V de la Poésie,
page
219. 307. Ce Requisitoire est imprimé avec l’Arr
stianus, & invenit & ostendit. Tertul. Apolog. c. XLVI. 312.
Page
premiere du Mémoire à consulter. 313. Page premi
l. Apolog. c. XLVI. 312. Page premiere du Mémoire à consulter. 313.
Page
premiere de l’Avis de l’Editeur. 314. Page 25 du
émoire à consulter. 313. Page premiere de l’Avis de l’Editeur. 314.
Page
25 du second Mémoire. 315. Page 12 de l’Avis de
emiere de l’Avis de l’Editeur. 314. Page 25 du second Mémoire. 315.
Page
12 de l’Avis de l’Editeur. 316. Page 13. 317.
age 25 du second Mémoire. 315. Page 12 de l’Avis de l’Editeur. 316.
Page
13. 317. Ibid. 318. Page 54. Ibid. 319. Pag
5. Page 12 de l’Avis de l’Editeur. 316. Page 13. 317. Ibid. 318.
Page
54. Ibid. 319. Page 21 du premier Mémoire, &
e l’Editeur. 316. Page 13. 317. Ibid. 318. Page 54. Ibid. 319.
Page
21 du premier Mémoire, & 196 du second Mémoir
319. Page 21 du premier Mémoire, & 196 du second Mémoire. 320.
Page
33. 321. Page 31. 322. Ibid. 323. Page 53.
du premier Mémoire, & 196 du second Mémoire. 320. Page 33. 321.
Page
31. 322. Ibid. 323. Page 53. 324. Jusgo con
du second Mémoire. 320. Page 33. 321. Page 31. 322. Ibid. 323.
Page
53. 324. Jusgo convenir mas desterrar estas Com
polluuntur. Annal. lib. 14. 330. En 1616. 331. Ce fait est rapporté
page
286 du Livre de M. de Voisin, ci-devant cité. 33
ire, 1773. 357. Nouvelles des Républiques des Lettres Décembre 1684,
page
531. 358. Page 353 du Recueil des Lettres de Boi
Nouvelles des Républiques des Lettres Décembre 1684, page 531. 358.
Page
353 du Recueil des Lettres de Boileau & de Ra
58. Page 353 du Recueil des Lettres de Boileau & de Racine. 359.
Page
260 du Recueil des Lettres de Boileau & de Je
age 260 du Recueil des Lettres de Boileau & de Jean Racine. 360.
Pages
110, 115, &c. des Lettres de Boileau & de
fut élu Doge. 363. Voyez la Notice que nous donnons sur cet Auteur,
page
123 de notre Histoire des Ouvrages pour & con
constatées avoir été opérées par cet art. Le volume de l’année 1702,
page
16, contient les observations de M. Geoffroi, sur
entule, guéries par le son des instrumens. Le volume de l’année 1707,
page
7, expose la guérison d’un Musicien qui, étant to
bre, & où l’on chanta les Cantates de Bernier. Le volume de 1708,
page
22, donne aussi l’exemple d’un Maître à danser de
ge se vend à Paris chez Vincent. Nos jeux scéniques y sont réprouvés,
page
107, comme des plaisirs qui ne peuvent qu’irriter
TABLE DES CHAPITRES. Chapitre I. Réformation de Moliere,
page
3. Chap. II. Melanie, 28 Chap. III. L’Esprit de
communione manifeste infames, ut meretrices, concubinarii, comœdi. »
page
108. an 1654. imprimé depuis quarante ans ne défe
n pas qu’elles fussent mauvaises, parce qu’elles étaient défendues »,
page
28. Est-ce que nous ne ferons point de scrupule d
e Sosibius avait prescrits, Scéniques, Thyméliques, Tragiques Malela
page
320 and 321.. Néron successeur de Claude, quoiqu’
on, comme Lampridius le dit plusieurs fois, « id totum domi agebat ».
page
800. « id que totum domi exercuit », page 868. Il
, « id totum domi agebat ». page 800. « id que totum domi exercuit »,
page
868. Il honora les Comédiens, leur donna des habi
a au peuple le plaisir de la représentation de plusieurs jeux Vopisc.
page
220.. Ludorum Scenicorum, Circensium, venationum,
imis et balatronibus deputarent. » Après la mort de Constance Malela,
page
416. les soldats reconnurent dans l’Orient Maxime
e insolente ; deux mille personnes furent tués dans le Cirque Malela,
page
417 et 418.. Ce fut sous cet Empereur que Gélasin
sceniis ut conlocetur non vetamus. » Cependant Malela raconte Malela,
page
. 45. Chronograph, parte 2. que Théodose assista a
able au plus saint de nos Rois, qui comme nous verrons, n’avait qu’un
Page
qui lui chantait quelquefois des airs de piété. L
vons penser des spectacles, comme l’a osé dire le prétendu Théologien
page
3. Il faudrait être bien étranger dans le nouveau
’on appelle Apostoliques, passe chez lui pour le Concile des Apôtres.
Page
35. Mais pour revenir au traité des spectacles, d
l ne condamne que les jeux qui se célébraient en l’honneur des Idoles
Page
. 22.. Car il aurait vu bien expressément le contr
. 22.. Car il aurait vu bien expressément le contraire à la troisième
page
en ces termes « Quid loquar comicas et inutiles c
es plus fameuses Courtisanes, en souffrit quelques-unes Vie de Pie V.
page
84., qu’il les relégua dans un même quartier aupr
able, on les en repoussera comme des personnes manifestement infâmes
Page
108.. A l’heure même de la mort où l’Eglise use
ils y verront que le Curé ne fait qu’une admonition en cette manière
Page
476.. L’on vous avertis de la part de Monseigneur
fournit une réponse qui mérite quelque attention Pratique du Théâtre,
page
8.. « Comme il y a toujours, dit-il, dans un Etat
d’autres qu’on ne trouve pas dans Giuffano. On voit au 4. de Novembre
page
115. que le Traité dont il s’agit fut composé par
communione manifeste infames, ut meretrices, concubinarii, comœdi. »
page
108. an 1654. 38. [NDA] De arte Poet[ica]. 39.
ments du peuple à la fin d’une Comédie était quelquefois un Musicien.
pages
238. et suiv. 40. [NDA] Liber. I. in Symmac[hu
istriones Italia. 77. [NDA] L. 59. P. 645. Chron. Antioch. Malela
page
320 and 321. 80. [NDA] « Non aliud remedium rep
ci acciperent, ita tamen ut nullus editor decem aureos egrederetur. »
Page
332. 97. [NDA] « Fuit enim populo hic sermo ; q
, conjux, nisi somnus est, inquit, En Persæ. » Amm[ien]. L. 23. c. 5.
Page
359. Hegesip[pius]. L. 3. De exod. Jerosol. c. 5.
p. 176. [voir emplacement] Pag. 38. Chronograp[h]. parte I. Vopisc.
page
220. Pag. 397. Chronici. Vopisc. pag. 254. Mal
. Vopisc. page 220. Pag. 397. Chronici. Vopisc. pag. 254. Malela,
page
416. Malela, page 417 et 418. Satyr. [Satura, S
. Pag. 397. Chronici. Vopisc. pag. 254. Malela, page 416. Malela,
page
417 et 418. Satyr. [Satura, Satire] 8. v. 198.
. Tit. VII. L. 11. p. 373. Tit. VII. L. 12. p. 375. Ibid. Malela,
page
. 45. Chronograph, parte 2. Tit. VI. L. 1. pag. 3
omne vanum verbum judicatum iri a Deo sciamus. » Cap. 12. Cap. 38.
Page
. 22. « Quid loquar comicas et inutiles curas ? H
tit. 65. 318. [NDA] Sauval. Antiquit[és] de Paris. Vie de Pie V.
page
84. Eloge des Evêques p. 545. Page 108. « Cave
uit[és] de Paris. Vie de Pie V. page 84. Eloge des Evêques p. 545.
Page
108. « Cavendum in primis ne Viaticum, ad indign
criminosi.... nisi publice offensioni prout de jure satisfecerint. »
Page
476. « Quod si legitimo cessante impedimento abs
emptus vel offensæ puniantur. » Ibid. pag. 461. Pratique du Théâtre,
page
8. « Denique populus intelligat histriones non p
sne, T. v. 396. la Chaise 180. Orig[ine]. des Rom[ans]. b. [NDE] La
page
est numérotée 189.
ns, les Bateleurs, les Comédiens. » Le Rituel d’Orléans de l’an 1642.
page
340. exclut des saints Ordres les Comédiens, Bate
ontent sur le Théâtre. » Le Rituel de Châlons-sur-Marne de l’an 1649.
page
12. défend de recevoir pour Parrains au Baptême l
les femmes de mauvaise vie, les Concubinaires, les Comédiens, etc. Et
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139. il prive de la Communion ces derniers, comme
e 139. il prive de la Communion ces derniers, comme pécheurs publics.
Page
224. en parlant de ceux qui sont exclus des Ordre
excommuniés. Le Rituel de Sens au titre de la Communion des Malades,
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90. parle des Comédiens en ces termes : « Mais il
’ils aient fait pénitence et réparé le scandale. Le Rituel de Langres
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73. exclut aussi de la Communion ceux qui sont ma
stement infâmes, comme les Comédiens. Celui de Senez de l’année 1678.
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372. « Nous déclarons pour excommuniés ceux qui v
u titre du Sacrement de l’Eucharistie et de la Communion des Infirmes
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147 « Cavendum in primis ne ad indignos cum alior
rs, Comédiens, les infâmes, etc. Le Rituel de Bayeux de l’année 1687.
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251. compte parmi les pécheurs publics et infâmes
fâmes ceux qui s’appellent Comédiens et Bateleurs. Le Rituel de Reims
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119. met entre ceux à qui il faut refuser la Comm
ommunion, les pécheurs publics, les Bateleurs, les Farceurs ; et à la
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619. il les prive de la sépulture Ecclésiastique.
sépulture Ecclésiastique. Le Catéchisme de Montpellier de l’an 1687.
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230. met entre les choses qu’il faut éviter pour
dies, les mauvais livres, etc. Le Catéchisme de Bourges de l’an 1693.
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437. sur le sixième Commandement, marque les chos
bal, la danse, la Comédie, les Romans. La Morale de Grenoble tome 3.
page
175. déclare infâmes et incapables d’être Parrain
e tome 3. page 175. déclare infâmes et incapables d’être Parrains, et
page
290. incapables de la sainte Communion les Farceu
E DES CHAPITRES. Chapitre I. Préjugés légitimes contre le Théatre,
page
. 3 Chap. II. Du Mariage, 29 Chap. III. Suite du
E DES CHAPITRES. Chapitre I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie,
page
9 Chap. II. Spectacles des Communautés Religieus
. Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie,
page
7 Chap. II. Discipline du Palais, 25 Chap. III.
avons intégré les cinq lignes de corrections indiquées à la dernière
page
de l’édition originale avec la mention « Fautes à
où il n’y ait du venin ; nous oserions même vous assurer qu’à chaque
page
, pour ainsi dire, il a des propos indécens, ou de
re l’analyse du second Mémoire à consulter, contenant deux cens vingt
pages
. C’est une critique indecente de tout ce qui cond
acta apost. et in epist. can. in ep. 1. Pet. c. 2. ah. [NDE] Cette
page
est numérotée 331 au lieu de 361, et cette nouvel
jusqu’à la fin du texte. Pour éviter toute confusion, les numéros de
pages
jusqu’à la fin sont suivis d’un astérisque.
tations qui y seront données au Public, à peine de prison ; et à tous
Pages
et Laquais, d’y faire ni exciter aucun bruit ni d
ent tenus des violences et désordres qui auront été faits par lesdits
Pages
et Laquais. Faisons pareillement défenses, et sou
quillité publique. Comme aussi faisons très expresses défenses à tous
Pages
et Laquais de s’y attrouper, d’y faire aucun brui
enus de tous les désordres qui auront été faits ou causés par lesdits
Pages
et Laquais. Et en cas de contravention, mandons a
ui y seront données au Public, à peine de prison ; et à eux et à tous
Pages
et Laquais d’y faire ni exciter aucun bruit ni dé
. I. DISCOURS. Sur la Lettre du Théologien Défenseur de la Comédie.
Page
1. II. DISC. Où l’on fait l’Histoire des Jeux de
aire dans ce genre de critique. 2. [NDA] Voyez le Tome IX, n° 110,
page
262, du Mercure du dix-neuvième siècle, in-8°. Pa
egistre N°. 3. de la Communauté des Libraires et Imprimeurs de Paris,
page
823. n°. 1011. conformément aux Règlements, et no
ion ecclésiastique en matière d’excommunication, car on trouvera à la
page
154 du livre intitulé des Comédiens et du Clergé,
livrées, dépenses si excessives, que le moindre justaucorps de leurs
Pages
coûtoit trente louis, (ducats sans doute). L’Empe
-grandes sommes. Ainsi chacun joue son rôle sur la scene du monde. Un
Page
du nouveau Roi joua la sienne en Page. Il alla vo
rôle sur la scene du monde. Un Page du nouveau Roi joua la sienne en
Page
. Il alla voir ces rats, & porta un chat sous
appeler avec son flageolet, il trouva le moyen de les rassembler. Le
Page
s’évada, & fit fort bien. On lui auroit fait
hasse son Allemande. Celle-ci, ayant tout découvert par le moyen d’un
Page
, amant de la Danseuse, qui s’étoit brouillé avec
ute grace excellente & tout don parfait descend . Nota pour la
page
30. On convient assez que chaque Représentation p
ou sur Palefrois, ou sur des Chariots avec leurs Escuyers & leurs
Pages
, & les autres accompagnemens dont elles pouuo
premières éditions, en donnant leur pagination. Nous donnons donc les
pages
de l'édition de référence de P. Villey et V.L. Sa
icien donna au Public en 1759, & qui est rapportée toute entiere,
page
477 de ce Volume, comme un monument précieux, &am
le Tome II. A Académiciens ; devoirs des gens de Lettres, Tome a,
Page
260 Adélaïde (Madame) de France. Actes mémorable
eur d’un Ecrit de la Duchesse de Liancourt, dont il est parlé tome 1,
page
231 ; & tome 2, 449 Boileau (Despréaux). Que
éra. Paris, 1765. in-12. L’une de ces vues nouvelles est de proposer,
page
371, la suppression de ce qu’on nomme le quart de
t-Cyr (Maison Royale de). Il en a déjà été question dans cette Table,
page
579 ; mais on a omis d’y indiquer la page 326 du
question dans cette Table, page 579 ; mais on a omis d’y indiquer la
page
326 du premier Volume, où il en est aussi parlé.
vêché de Lodeve en 1732, & mort en 1750. Rectifier à cet égard la
page
596 du premier volume, & les pages 596 &
1750. Rectifier à cet égard la page 596 du premier volume, & les
pages
596 & 598 de cette Table, où cet Evêque se tr
EATRE et autres Règlements, Qui sont la suite de ce qu’on a déjà vu,
page
106 de l’Ouvrage. Il faudrait construire un Th
e faute grossière contre le bon sens, qui est après qu’il dit dans la
page
38. « Tous les jours à la Cour, les Evêques, les
a voulu justifier la Comédie par cet exemple, il se contredit dans la
page
58. où il décide le contraire par ces paroles : «
rte un peu fâcheuse dans la Lettre du nouveau Théologien. C’est en la
page
38. de la première Edition de cette Lettre, où sa
pour autoriser une chose qu’il a expressément condamnée dans la même
page
d’où les Vers que je viens de rapporter sont tiré
la religion. Le Père Bouhours, jésuite que nous avons déjà cité à la
page
136 du Chapitre VII, qui précède, a dit que « la
ls de note (alphabétiques, astérisques) placées en marge ou en bas de
page
. La raison de cette differenciation n'est pas évi
maux. Les Marseillois, comme nous l’avons dit d’après Valere Maxime,
page
86 de nos Lettres, sçutent se préserver de la con
ce genre de productions la notice historique que nous avons annoncée
page
premiere de ce volume. On a de M. Huet 25, Evêque
de consentir à leur établissement. Nous en avons rapporté les motifs,
page
114 de nos Lettres sur les Spectacles. Ce ne fut
6 Avril 1641, dont les Comédiens s’autorisent tant. Il en a été parlé
page
294 de nos Lett. sur les Spect. Les drames de Rac
ugienda prædicare debent. Tome I des Capitulaires des Rois de France,
page
1170. 43. Histoire de France, par M. le Présiden
copos coerceantur. Conc. Trid. 48. Dans la Vie de l’Empereur Julien,
page
28. 49. Dans son Abrégé de l’Histoire de France.
es Mémoires de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres. 51.
Page
4 ; lisez-y ligne 28, 1772, au lieu de 1770. 52.
pécheur un Prince pénitent. » J’ai seulement retranché les premières
pages
de ce Traité, mais j’ai copié mot à mot tout le r
s les plus fréquentées. Cette Réfutation est un Ouvrage in 4° de 500.
pages
: il y a beaucoup d’érudition sur les Jeux et les
ainsi que des différences de ponctuation, d’orthographe et de mise en
page
, et occasionnellement de mots. ac. [NDE] Daniel
ouvera naturellement porté à dire avec M. Godeau Poésie Chret[ienne].
page
464.. « Que pour changer leurs mœurs, et régler
pos coerceantur. » chap. 14. art. 28. p. 301. Poésie Chret[ienne].
page
464. Aug[ustin]. de Doct[rina]. Chr[istiana]. L.
lat[iones]. 14. Chap. 5. 2 Corinth[iens]. 2. 17. 4. 2. 372. [NDA]
page
28. 373. [NDA] Page 38. Judith ch. 8. v. 33. P
5. 2 Corinth[iens]. 2. 17. 4. 2. 372. [NDA] page 28. 373. [NDA]
Page
38. Judith ch. 8. v. 33. Pag. 79. Chap. 13. v.
Chapitre Premier. L’Obscénité du Théâtre Anglais dans le langage,
page
1 Suite de cette licence de nos Poètes modernes,
ne telle bassesse d’expression ? Que l’on poursuive, et, dans la même
page
, on verra l’auteur insinuer qu’un évêque dînant a
hùc usque velut excommunicati habiti sunt saltem in Galliâ. Voyez la
page
275. C’est donc une profession incompatible avec
uvera probablement ces décisions un peu rigides. Continuons. Quelques
pages
plus haut, l’auteur avait dit : « On doit refuser
nstructions sur le Rituel de Toulon, t. i, du Sacrement de pénitence,
page
741.) D’après tout ce que nous avons dit jusqu’à
i déplairait à l’infâme société de Loyola. En effet, il n’est pas une
page
, une ligne, et même un mot, dans la plupart des é
st au-dessus de la foi, ainsi que l’a dit saint Paul (voyez ci-dessus
page
17). De quelque manière que M. de Sénancourt et s
à Bethléem, et suivant l’étoile qui les y conduit ; ils ont chacun un
page
, et la figure couverte d’une têtière, portant une
siste dans un mouvement vif et successif du derrière que font MM. les
pages
de droite à gauche et de gauche à droite, en donn
in-8°, déposé à la bibliothèque royale, sous la lettre D., N°. 2898,
page
61 ; on trouve encore dans le même ouvrage, page
lettre D., N°. 2898, page 61 ; on trouve encore dans le même ouvrage,
page
58, la description de ce qui se passa dans l’égli
rtaient cet âne comme une relique. (Misson, Voyage d’Italie, tome Ier
page
164, et Dict. de l’Italie tome Ier, page 56.) La
n, Voyage d’Italie, tome Ier page 164, et Dict. de l’Italie tome Ier,
page
56.) La procession du rosaire à Venise est une d
rs. 9. [NDA] Voyez les Vies des Saints par Baillet, in-4°. tome 1er
page
295. 10. [NDA] Il y avait alors deux cathédrale
religieuse. Etant très-mal, le Duc de Bourbon qui l’aimoit, envoya un
Page
pour s’informer de son état ; ce Page lui dit, se
Bourbon qui l’aimoit, envoya un Page pour s’informer de son état ; ce
Page
lui dit, selon le langage de la Cour, je viens d
pes, des marges, des entre-lignes qui tiennent les trois quarts de la
page
& n’entendent pas l’ouvrage meilleur. Moliere
as, le trivial aussi fréquent que le sublime, sont retrouvés à chaque
page
, le coloris Britannique, c’est sur-tout le caract
t son œuvre réduite à sa juste valeur seroit à peine une vingtaine de
pages
. Ces images plaisent un moment ; mais à force de
s ouvrages une indécence choquante qui se renouvelle presque à chaque
page
: ce sont les baisers & les embrassades des p
ormer des précepteurs. Auroient-ils même la constance d’en lire trois
pages
? Les Affiches de septembre 1776 donnent sur l’A
rapporté dans la vie de Dona Olimpia, belle-sœur du Pape Innocent X. (
page
91.) « Il fut joué à Londres devant Cromveln, une
morale et de bouffonnerie » (Histoire du Théâtre, tome 9. année 1665.
page
345.). Je croirai, si l’on veut, que Molière avai
premier Ange de se dire égal au Très-Haut. Milton l’enchâsse à chaque
page
dans son Paradis perdu. Il faut penser comme l’An
locutions plates et des définitions louches qu’on y remarque à chaque
page
. D’ailleurs, étant fait par racines et non par or
Lettres en différents endroits, principalement au mois d’Avril 1684,
page
201. Toutes les preuves répandues dans ces différ
CRUAUTÉ DES PARENS QUI DESTINENT LEURS ENFANS AU THÉATRE. Avril 1781,
page
560 et Mai 1781, page 9. (Les dangers des spectac
DESTINENT LEURS ENFANS AU THÉATRE. Avril 1781, page 560 et Mai 1781,
page
9. (Les dangers des spectacles, ou les mémoires d
s ce journal. Incendie du théâtre de St. Benoît à Venise, Avril 1774,
page
290 : de celui de Milan, 1 Avril 1776, p. 528. Tu
plus haute antiquité. Josephe nous apprend que les Ecuyers & les
Pages
de Salomon se poudroient tous les jours avec de l
ssé amollir par les délices, rassembla pour le servir une centaine de
Pages
les mieux faits, qui tous les jours frisoient, pa
e toilette par les Empereurs Romains, très-propres à figurer avec les
Pages
& les Concubines d’un Prince perdu de débauch
es couleurs à un tableau ? (14). Voyez le Chapitre III. du Livre I
page
34. (15). Voyez au Chap. VI. du Livre VI.
répète les mêmes paroles dans son Dictionnaire. (73). Tome prémier,
page
187. (74). Tragédie de Racine.
vous affranchir de mille devoirs pareils, qui vous gênent ? Tous les
Pages
de Nabuchodonosor étaient obligés de manger les v
mort. Cet Ecrivain n’en parle qu’avec enthousiasme dans plus de vingt
pages
; mais comme tout à l’humeur gasconne en un Aute
recs, Latins ou François, des Poëtes de son temps, dont il remplit 92
pages
de son Livre, sous le nom pompeux d’Approbation d
nt que ds facteurs triviales que tout le monde sait par cœur ; quatre
pages
de Virgile ou d’Horace satisferont plus un homme
ou d’Horace satisferont plus un homme raisonnable que les quatre cens
pages
& les mille vers de ce recueil. Toutes ces fê
prophane, & allusion qui ne l’étoit pas moins : Duplaix, Tome 3,
page
749. La Princesse de Toscane étoit au bal le 11 m
it au théatre de la foire. Voici un autre trait qui tient sept à huit
pages
; c’est une conversation de table, du Roi avec Cr
ous voir de si bonne humeur, vivons, je vous prie, toujours de même .
page
130. Ce livre est terminé par les lettres d’Henr
âge, leurs talens, leurs graces, leurs faveurs remplissent toutes les
pages
. Les leçons de son poëme ne sont qu’un cadre pour
ines, &c. tout est un jeu pour lui ; l’irréligion éclate à chaque
page
. Il ne connoît de Dieu que l’Amour : l’adorer, s’
lui & enchérit même sur lui, se donne ce bel air, & quelques
pages
après dément son panégyrique par des portraits af
p. 30 et suiv. édit. de Charles Osmont en 1715. 5. [NDA] Corneille,
page
31. de l’édition citée ci-dessus. 6. [NDA] Voic
l’édition citée ci-dessus. 6. [NDA] Voici les paroles de Corneille,
page
33. « Je n’y puis découvrir (dans Thyeste) cette
ont chassés du sein de l’Eglise. Conc. Elib. can. 62 ; Labbe, tom. I,
page
978. Saint Augustin, qui écrivait son Traité de l
ons historiques et critiques sur les différents Théâtres de l’Europe,
page
196. 9. [NDA] Voyez à la fin de l’ouvrage le pla
des traits ingénieux & vrais, par exemple ce portrait du théatre,
page
56 : on remettra cent mille livres entre les main
e un écran en attendant le caffé ou les cartes, qui en parcourez deux
pages
en donnant une gimblette à un petit chien, puis l
Une jeune personne, en lisant des avantures galantes, se dit à chaque
page
, c’est moi : elle croît ne pouvoir vivre sans amo
18. MM. les comédiens François, après avoir avancé dans leur adresse,
page
7, qu’une seconde troupe nuiroit aux progrès de l
nu. 23. Adresse de MM. les comédiens François à la commune de Paris,
page
10, l. 19. 24. On lit dans un article du Journa
en, ni publiciste. Rousseau, Dict. de musique, édition in-8°, tome 2,
page
11, lui auroit appris « que nome signifioit chez
ne puisse être attaqué correctionnellement ou criminellement à chaque
page
ou à chaque ligne. Du reste mon but est en outre
tème et de la doctrine mystique des magnétistes, 1 vol. in-8°, de 424
pages
. Paris, 1822, chez Barrois aîné, et Delaunay, lib
ustre écrivain, homme d’état et homme de lettres, que j’ai déjà cité (
page
74), a donc eu raison de dire avec une sorte d’él
fets du pouvoir absolu !!… 3. [NDA] Voyez le Nain, in-8°, N° XXII,
page
131. Paris, 1825. 4. [NDA] Mon intention n’est
cile de Milan dans la quatrième partie des Actes de l’Eglise de Milan
page
485. qui s’exprime en ces termes : « Que le Prédi
étruit. Ce ne sont pas les Dieux de la sable, il les célebre à chaque
page
; c’est donc le Dieu véritable qu’il outrage. Les
t insérer dans le Mercure d’Octobre 1772, une lettre de six mortelles
pages
, d’un caractère très-menu, à eux prétendue écrite
orceaux ; cela n’est pas impossible. Il n’avoit signé que la derniere
page
, & il est très possible, en décousant les cay
parties dans Athalie. Dans le passage d’Aristote que j’ai rapporté
page
81, ce Philosophe après avoir défini la Tragédie,
er. J’en donne pour preuve la Reflexion de Platon que j’ai rapportée,
page
67. Une ame ferme & paisible, étant toujours
pera ? Et qu’en diroit Socrate, qui dans le Passage que j’ai rapporté
page
75, interdit la Poësie Dramatique à tout homme qu
Ibid. *. P. 340. **. Voy. nouveau choix des Mercures, to. 25.
page
83-98.
les écrivains de désirer, à la fin de son règne, pouvoir déchirer les
pages
où ils en auraient trop loué le commencement trom
. Carolet, obscène comique, ne doit jamais être cité (on le cite deux
pages
après). Vade est l’inventeur, du moins le coriphé
nt l’écho de Moliere, & sans penser, non plus que lui, que quatre
pages
après, dans les mêmes pieces qu’il a cru justifie
e premier soin du Cardinal (dit le Père le Brun, Histoire du Théâtre,
page
299.), fut de faire chercher (à grands frais) dan
ste plusieurs de ces pièces, dont assurément on ne peut pas lire deux
pages
, mais qui pour le temps étaient des chefs-d’œuvre
▲