HISTOIRE DES
OUVRAGES
Qui ont paru pour et contre la Comédie, depuis le
e la Comédie, depuis le 17e Siècle. En Italie, il y a eu plusieurs
Ouvrages
imprimés contre la Comédie. A Padoue, en 1630, pa
(1600) qui ait osé entreprendre de justifier la Comédie : il fit deux
ouvrages
en 1657 : le premier intitulé Pratique du Théâtre
ne des preuves de son érudition dans les poésies anciennes. Le second
ouvrage
est demeuré imparfait, sans doute, parce qu’il n’
La seconde, l’infamie dont les Lois ont noté les Comédiens. Ces deux
ouvrages
d’Hédelin ne furent pas sans réponse : on donna e
comme une réponse ; car quoique l’Auteur n’y nomme ni Hédelin ni ses
ouvrages
, il se plaint cependant de la corruption de son s
’on y avait voulu justifier la Comédie. Or il n’y avait alors que les
ouvrages
d’Hédelin pour la soutenir en France. On a parlé
it d’une manière savante, élevée, et très pressante. On trouve dans l’
ouvrage
de ce Prince religieux autant de preuves de son z
de preuves, et de faits les plus solides que l’on puisse désirer. Cet
ouvrage
a pour titre, Défense du Traité de M. le Prince d
e qui pouvait leur nuire, s’élevèrent contre cette Lettre. Le premier
ouvrage
contre la Lettre du prétendu Théologien, a pour t
à tout ce que ce Prélat lui ordonnera pour édifier l’Eglise. Ces deux
ouvrages
se trouvent à la tête de celui du P. Le Brun sur
entes autorités qui font la condamnation des Spectacles. Le troisième
ouvrage
contre la Comédie qui parut après la Lettre du P.
t on a rendu compte plus haut, et qui se trouvent dans l’histoire des
Ouvrages
sur la Comédie que l’on a indiqués. Le onzième, i
es du P. Croizet, Jésuite, chez Couterot, 1707. Indépendamment de ces
Ouvrages
particuliers, on trouve dans ceux de différents a
vril 1684, page 201. Toutes les preuves répandues dans ces différents
Ouvrages
se réduisent aux endroits de l’Ecriture sainte, d
dans son Traité des Spectacles. Saint Basile, dans son Tome IV. sur l’
ouvrage
des six jours. Saint Jean Chrysostome, dans plusi
ns le 33 chap. de la 3 part. de son Introduction. On peut ajouter aux
Ouvrages
de ces saints Personnages, le Mandement de M. l’E
on a parlé, on n’a point vu d’Apologie publique de la Comédie, que l’
ouvrage
de M.F. on ne pense pas qu’il ait plus de succès
SIECLE, SUR LA COMÉDIE. Parce que ce Siècle a été le plus fécond en
Ouvrages
pour et contre la Comédie, et parce que c’est cel
eprendre de justifier le Comédie proscrite de tout temps. Il fit deux
Ouvrages
en 1657. Le premier intitulé, Pratique du Théâtre
ne des preuves de son érudition dans les Poésies anciennes. Le second
Ouvrage
est demeuré imparfait, parce qu’il n’a pas pu exé
. La second, l’infamie dont les Lois ont noté les Comédiens. Ces deux
Ouvrages
d’Hédelin ne furent pas sans Réponse ; car on don
comme une Réponse ; car quoique l’Auteur n’y nomme ni Hédelin ni ses
Ouvrages
, il se plaint pourtant de la corruption de son si
’on y avait voulu justifier la Comédie. Or il n’y avait alors que les
Ouvrages
d’Hédelin pour la Comédie qui avaient paru en 165
ent : L’on verra cette décision dans la Section 6. du Chap. 4. de cet
Ouvrage
. Monsieur le Prince de Conti, qui avait fréquenté
ne manière savante, élevée et très pressante. On trouve encore dans l’
Ouvrage
de ce pieux Prince autant de preuves de son zèle
de preuves et de faits les plus solides que l’on puisse désirer. Cet
Ouvrage
a pour titre, Défense du Traité de M. le Prince d
qu’à cause de la seule idolâtrie. Je ferai voir le contraire dans cet
Ouvrage
. La Lettre de ce prétendu Théologien ayant paru à
Auteurs ne sont pas demeurés dans le silence ; car on a vu plusieurs
Ouvrages
contre cette Lettre. Il y a eu deux autres Traité
ite Italien. Je vais donner l’Abrégé et le caractère de chacun de ces
Ouvrages
, avec toute l’exactitude que l’on peut souhaiter,
tre ; & cela suffit pour déterminer les autres à ne remplir leurs
ouvrages
que de vers, & à ne meubler leur tête que de
l’autre. On demande laquelle de ces deux parties fait la destinée des
ouvrages
d’esprit. La question est, je crois, décidée en f
La question est, je crois, décidée en faveur de la premiere, dans les
ouvrages
sérieux ; c’est-à-dire, dans les traités de scien
gante même à ne la considérer que par le style, n’en est pas moins un
ouvrage
utile & même estimé dans son genre : c’est un
ue savants pensent au contraire, que le style est préférable dans les
ouvrages
d’agrément. Nous allons prouver que leurs raisonn
d’instruction ; est-ce dans celle-ci que consiste toute l’utilité des
ouvrages
d’agrément ? S’il n’y avoit que ceux qui voulusse
ables. La troisieme enfin, pour former son goût, pour puiser dans des
ouvrages
solides des exemples & des préceptes qui éten
Ces trois espéces de lecteurs tirent-elles un véritable avantage des
ouvrages
agréables ? On ne peut le nier, du moins à l’égar
t pour d’autres celle qui naît de l’instruction ; il s’ensuit que les
ouvrages
d’agrément ont, pour ceux-là, un mérite égal à ce
s lecteurs. Ceux qui ont celui de s’instruire, le satisferont dans un
ouvrage
dogmatique, indépendamment de l’expression ; pour
aire y peuvent réussir, en préférant la Poësie de style, au fond d’un
ouvrage
; nous verrons ensuite si l’expression peut plair
e lecteurs sensibles aux idées qu’aux expressions ; si nous avons des
ouvrages
bien écrits, qui n’ont pas réussi ; si quelques-u
roit pas la moindre idée d’une Langue, puisse goûter & admirer un
ouvrage
dans cette Langue. Mais avec une notion superfici
le de l’idiôme, avec de l’application, il y aura peu d’idées dans cet
ouvrage
, qu’on ne parvienne à connoître. Les Langues anci
tes, & nous n’en avons que des notions imparfaites. Cependant les
ouvrages
qui nous restent dans ces Langues, nous enlevent,
ais sa traduction sera bonne, parce que les pensées sont le fond de l’
ouvrage
, & que celui-ci sera parfaitement rendu, si t
Langue ; il en résulte que le plaisir que nous ressentons à lire les
ouvrages
anciens & étrangers, ne peut venir que des id
çu de l’éducation, il n’y en a pas dix en état de juger du style d’un
ouvrage
. Si les quatre-vingt-dix autres n’en connoissent,
aître. La Poësie de style n’acquiert donc pas seule l’immortalité aux
ouvrages
en vers. Examinons maintenant si l’expression peu
ns les idées, c’est supposer les dimensions sans un corps. Il y a des
ouvrages
où l’on voit beaucoup d’idées, & peu de mots.
nfante. Le plus mauvais usage des figures, c’est de les semer dans un
ouvrage
, à dessein de le rendre plus éclatant. C’est au g
Préface de l'Editeur. L’
ouvrage
qu’on donne au Public, avait déjà paru anonyme en
e ce Religieux, que pour amuser son loisir, il avait composé un petit
ouvrage
en faveur du Théâtre, mais sans aucun dessein de
ait lui-même d’un écrit dont on vante le mérite imaginaire. Quoique l’
ouvrage
du P. le Brun fut très court, il fut bien reçu du
n avait lui-même indiqué ce Recueil dans un Exemplaire de son premier
ouvrage
, et marqué la place de ces extraits ; on s’est co
ctacles, usités dans chaque sièclea. Pour bien juger du mérite de cet
ouvrage
, il faut saisir le but principal de l’Auteur, qui
uves supérieures, aux raisonnements purement spéculatifs. Quoique cet
ouvrage
soit posthume, on ose espérer qu’on ne le trouver
pas indigne de la réputation de l’Auteur ; on n’a encore donné aucun
ouvrage
en notre langue, sur les Jeux de Théâtre, où il y
historique du Père le Brun. Mais on a cru devoir le réserver pour un
ouvrage
plus considérable qui est actuellement sous press
e des augmentations considérables, l’Auteur a refondu entièrement son
ouvrage
, et l’a rendu plus méthodique et plus exact. V.
s Pères sur la Comédie, in-12, 1694. a. [NDE] L'annotation dans cet
ouvrage
est un mélange de marginalia sans renvoi à un end
pentir d’un grand Roi, b, 353 Amelot, a, 328 Aménités littéraires ;
ouvrage
cité en preuve de la Lettre d’un Anglois, rapport
u’il pensoit des Comédiens, b, 122. Baral (l’Abbé). Sa critique de l’
Ouvrage
intitulé : Querelles Littéraires, b, 346 Barillo
nce des Poëtes dramatiques, b, 324 Bergier (l’Abbé). Citation de ses
Ouvrages
pour la défense de la Religion, b, 537. Abus qu’o
r les dangers des Spectacles, b, 325 Berthier (le P.) Son Eloge de l’
Ouvrage
de D. Ramire contre les Spectacles, b, 213 Berto
que à son sujet, & sur Jérôme Bignon, a, 721. Son jugement sur un
Ouvrage
dont on a rapporté un passage sur les Spectacles,
Bucer (Martin), Protestant, b, 281 Bullet (l’Abbé). Citation de ses
Ouvrages
sur la Religion, b, 538 Bure (de), Auteur de la
, b, 185. Autre sur la Dumesnil, 555 Chapuseau (Samuel), Auteur d’un
Ouvrage
contre les Théatres, b, 347 Charlemagne. Ce qu’i
pectacles, b, 464 Dictionnaire Anti-Philosophique. Notice sur ce bon
Ouvrage
, b, 528 Dictionnaire des Anecdotes dramatiques.
its contre les Duels, b, 138 Duguet (l’Abbé), b, 203. Notice sur son
Ouvrage
intitulé : La Conduite d’une Dame chrétienne, a,
la rend plus ou moins énergique, a, 19, 256 Emile. Caractere de cet
Ouvrage
, a, 192 Ennius, Poëte Mimographe. On en indique
échal de Saxe, a, 116 Esprit (de l’) par Helvetius. Caractere de cet
Ouvrage
, a, 153, 258 Esprits-Forts. Exemples de leur fau
bé d’), b, 160 Essai sur la Comédie moderne, b, 259. Citation de cet
Ouvrage
, où est réfutée l’opinion de M. Fagan sur l’état
ur les Spectacles, a, 178 François (l’Abbé le). Citation d’un de ses
Ouvrages
, b, 527 Fréron. Témoignage rendu à la piété de J
Lettres qui ont paru sous son nom. Garnier (l’Abbé). Citation de son
Ouvrage
intitulé : Education civile, b, 357. Son sentimen
e sur la séduction de la volupté, b, 97 Gérard (l’Abbé). Idée de son
Ouvrage
intitulé : Le Comte de Valmont, b, 411 Gerbois (
ait de notre siecle, 474. Sa Lettre pour annoncer son renoncement aux
Ouvrages
dramatiques, 477. Caractere des bons Ouvrages de
cer son renoncement aux Ouvrages dramatiques, 477. Caractere des bons
Ouvrages
de Poésie, 485 Grosley. Sa réflexion sur l’état
lexions sur les Courtisans, 249 Guidi (l’Abbé). Citation d’un de ses
Ouvrages
, b, 527. Jugement qui en a été porté par M. l’Abb
ations dramatiques, a, 496 Heinsius, b, 186 Helvetius. Idée, de son
Ouvrage
intitulé : De l’Esprit, a, 153, 258 Hénault (le
e Théatre. A quoi se réduit leur prétendue vertu, a, 48 Histoire des
Ouvrages
pour & contre la Comédie, b, 101 Histrions.
Tragédie & sur la Comédie Romaine, 28 & 29. Son idée sur les
Ouvrages
dangereux, 69. Inutilité des loix sans les mœurs,
86. Utilité de l’ironie, 552 Huerne de la Mothe. Condamnation de son
Ouvrage
en faveur des Comédiens, a, 114, 473. Critique de
de son Ouvrage en faveur des Comédiens, a, 114, 473. Critique de son
Ouvrage
, 196, & b, 356 Huet, Evêque d’Avranches. Sa
p; leur foiblesse, b, 521. Leur mauvaise foi, 519. Caractere de leurs
Ouvrages
, 523. Ils sont les échos des anciens Athées, 529.
oésie, b, 12 Lancelot du Lac, b, 57 Land (Jean le). Citation de son
Ouvrage
intitulé : Nouvelle Démonstration Evangélique, a,
Laval (Henri de), Evêque de Luçon, b, 258 Lauriso. Citation de son
Ouvrage
sur les Théatres, a, 431 ; b, 422 Law (Guillaume
Théatres, a, 431 ; b, 422 Law (Guillaume), Anglois. Citation de son
Ouvrage
sur les Spectacles, b, 302 Lenglet Dufresnoi. Ci
&c. 356 Lettre de M. Gresset, où il annonce son renoncement aux
Ouvrages
dramatiques, a, 477 Lettre d’un Anglois menacé d
bert, sur les Spectacles, a, 195-221 ; b, 269-283, 278 Lettres sur l’
Ouvrage
intitulé : Querelles littéraires, b, 346 Lettres
à Eugénie, b, 424 Lettres sur les Spectacles, avec une Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, b, 277 Lettres-P
ttéraire des Troubadours, a, 166 Mimographe (le). Idée de ce mauvais
Ouvrage
, b, 407 Ministres d’Etat. Caractere de leur dign
t de ses Drames, b, 265 Monacho (François Marie del). Extrait de son
Ouvrage
contre les Spectacles, & à la suite se trouve
de France. Réflexion relative à la publication du premier tome de son
Ouvrage
intitulé : Devoirs du Prince réduits à un même pr
, a, 327 Ottonelli (Jean-Dominique), Jésuite Italien. Notice sur son
Ouvrage
contre les Théatres, b, 124 Ovide. Dangers du fo
VIII par Mezerai, a, 112. Son Arrêt du 22 Avril 1761, qui condamne l’
Ouvrage
du sieur Huerne de la Mothe, en faveur de la Comé
ion de Jean-Baptiste Rousseau, b, 548 Pineault. Citation d’un de ses
Ouvrages
pour la défense de la Religion, b, 541 Pizzi (Jo
rétendue Philosophie des Incrédules modernes, a, 132. Citation de ses
Ouvrages
sur la Religion, b, 527 Pompignan (le Franc, Mar
Lettres à Eugénie, 424. Ses réflexions judicieuses à l’occasion d’un
Ouvrage
du P. Richard, 429. Ses idées sur le Concert Spir
admettre leurs Pieces par les Comédiens, 492. Son témoignage sur les
Ouvrages
des Incrédules modernes qu’il déclare avoir presq
ligion, & notice sur sa Vie, 533 Radier (Dreux du). Extrait d’un
Ouvrage
de Rivet contre les Spectacles, b, 282 Radonvill
on, b, 507. L’empire des sens la dégrade, 543 Ramire. Extrait de son
Ouvrage
sur les Spectacles, b, 213 Ramsai (de). Témoigna
228-230 Richard (le P.), Dominicain. Citation de quelques-uns de ses
Ouvrages
, a, 122 ; b, 357, 428, 606 Richardson, b, 61 Ri
. Abus de la Musique, b, 402 Romans. Notice historique de ce genre d’
Ouvrages
, b, 45-72, 327-340 Roque (l’Abbé de la). Son élo
, 544 Rousseau vengé, b, 550 Rousseau (Jean-Jacques). Caractere des
Ouvrages
de cet Auteur, a, 190, 306. Son hommage rendu à l
à M. Dalembert, b, 279 Rubin (le Comte Diego). Citation d’un de ses
Ouvrages
sur les Spectacles, b, 421 Rulfo (Paul). Notice
es Ouvrages sur les Spectacles, b, 421 Rulfo (Paul). Notice d’un bon
Ouvrage
Latin qu’il a donné sur les Théatres modernes b,
res modernes b, 242 S Sabatier de Castres (l’Abbé). Citation de son
Ouvrage
intitulé : Les trois Siecles de notre Littérature
jet pour la réforme des Théatres, b, 425 Systême social. Idée de cet
Ouvrage
, b, 428. Ce qui y est dit contre les Spectacles,
dieux d’un Pere mourant à ses enfans, a, 606 Théatres. Caractere des
Ouvrages
de Théatre, & l’incertitude de leurs succes,
Nuits d’Young, b, 507 Tracy (le P.), Théatin. Cité à l’occasion de l’
Ouvrage
de François-Marie del Monaco, b, 123 Tragédies G
menti di S. Filippo de Neri intorno al Teatro, b, 228. Notice sur cet
Ouvrage
, a, 431. Citation qui établit l’exactitude des bo
ur la Comédie, b, 145 Voltaire (de), b, 182, 195, 541. Caractere des
Ouvrages
de la Marquise de Lambert, a, 35. Définition des
es Spectacles de Rome, b, 227 Zurlauben (le Baron de). Citation d’un
Ouvrage
qu’il a donné à l’occasion du mariage de Louis XV
tions, et donnant, au moins une fois par mois, la preuve qu’en fait d’
ouvrages
mis au théâtre, la quantité l’emporte sur la qual
ertoire du genre ; rien n’était plus comique que leur conversation. L’
ouvrage
, négligé par suite de ce malheureux goût, attirai
se permettaient de joindre à leurs exercices des scènes extraites des
ouvrages
courus, affublées d’un grand titre, vinrent s’ins
et le frère en devint fou de chagrin ! Influence funeste ! voilà ton
ouvrage
! Ce couple honnête pouvait un jour faire deux bo
ise aux honneurs de la représentation ? La lecture de cet extravagant
ouvrage
avait assez fait peur aux petites filles, sans qu
fait, par le bien qu’ils font ; et le personnage obligé de plusieurs
ouvrages
de l’Ambigu-Comique n’en est pas moins condamnabl
t point aiguisé leurs poignards à cette école du crime ? Et voilà les
ouvrages
qui obtiennent cent représentations !… Nos sensat
au scandale !… Eh ! bien, oui, monsieur le rigoriste, tous ces petits
ouvrages
de Quétant18 fet du sieur de Debannoir19, sauf qu
premier appareil de supplice parut en opposition aux gracieux petits
ouvrages
de Gabiot25. Comminge 26, l’Autodafé 27, Dorothée
u quartier. Comme on se lasse de tout, et surtout aux Boulevards, les
ouvrages
exotiques disparurent, et la pantomime dialoguée
nsible sur les nouveaux. Autre exemple de l’influence de ces sortes d’
ouvrages
. Les différends d’atelier ne se vident plus que l
ase, en placardant ses annonces dans la petite banlieue. Trois de ses
ouvrages
favoris formaient le spectacle. Je tire mon calep
eignes, qui promettent tout et ne tiennent rien, comme la plupart des
ouvrages
de nos jours, demandez plutôt à…. Lazarille50. J’
onner sur cette entreprise. Ce que je trouvai de plus original dans l’
ouvrage
de messieurs du Marais, c’est l’idée d’avoir mis
connaissances auront présidé au choix des acteurs, à la réception des
ouvrages
, à la mise en scène et surtout à la bonne adminis
ion, qui fait souvent tout le mérite de ce qu’on veut bien appeler un
ouvrage
, les premiers talents de notre scène tragique. Je
acceptions. Paris sauvé 67, le Manteau 68 et l’Artisan philosophe 69,
ouvrages
du temps dont vous parlez, ont cédé le pas aux dé
] Marie Stuart, mélodrame de la Porte Saint-Martin. 13. [NDA] Petit
ouvrage
du vieux répertoire de la Gaîté. 14. [NDA] Peti
NDA] Petit ouvrage du vieux répertoire de la Gaîté. 14. [NDA] Petit
ouvrage
du vieux répertoire de la Gaîté. 15. [NDA] Peti
NDA] Petit ouvrage du vieux répertoire de la Gaîté. 15. [NDA] Petit
ouvrage
du vieux répertoire de la Gaîté. 16. [NDA] Peti
NDA] Petit ouvrage du vieux répertoire de la Gaîté. 16. [NDA] Petit
ouvrage
du vieux répertoire de la Gaîté. 17. [NDA] Peti
NDA] Petit ouvrage du vieux répertoire de la Gaîté. 17. [NDA] Petit
ouvrage
du vieux répertoire de la Gaîté. 18. [NDA] Aute
a Gaîté. 22. [NDA] Pantomime de la Gaîté. 23. [NDA] C’est le même
ouvrage
que la Jeanne d’Arc, pantomime. 24. [NDA] Panto
NDA] Acteur en tous genres et qui ne fut pas sans mérite. 40. [NDA]
Ouvrage
de l’Ambigu. C’est ce genre de pièce qui depuis a
on venait faire la digestion aux jeux de nuit de Nicolet. 61. [NDA]
Ouvrage
d’un comique propre aux jeux de nuit. 62. [NDA]
61. [NDA] Ouvrage d’un comique propre aux jeux de nuit. 62. [NDA]
Ouvrage
d’un comique propre aux jeux de nuit. 63. [NDA]
62. [NDA] Ouvrage d’un comique propre aux jeux de nuit. 63. [NDA]
Ouvrage
d’un comique propre aux jeux de nuit. 64. [NDA]
63. [NDA] Ouvrage d’un comique propre aux jeux de nuit. 64. [NDA]
Ouvrage
d’un comique propre aux jeux de nuit. 65. [NDA]
veur duquel Audinot devint directeur de l’Ambigu-Comique. 67. [NDA]
Ouvrage
dont le succès peut être regardé comme le fondeme
e regardé comme le fondement de la fortune de ce théâtre. 68. [NDA]
Ouvrage
dont le succès peut être regardé comme le fondeme
e regardé comme le fondement de la fortune de ce théâtre. 69. [NDA]
Ouvrage
dont le succès peut être regardé comme le fondeme
Discours préliminaire. CEt
Ouvrage
va peut-être éssuyer bien des critiques. Mais que
plus de peine, & qui éxciteront le plus la mauvaise humeur ? Quel
Ouvrage
ne me préparerais-je pas, si je voulais éxcuser t
e ? Le dessein que je me propose est découvert au commencement de mon
Ouvrage
; je dirai seulement ici, que je serais charmé d’
’a déjà reproché, est directement ce qui donnera quelque mérite à mon
Ouvrage
. N’ai-je pas rencontré le secret de le distinguer
cle moderne me fournit tout ce que je pouvais désirer pour rendre mon
Ouvrage
singulier, & pour faire des remarques sur le
peut-être l’ennui, la monotonie qu’on éprouve toujours en lisant des
Ouvrages
didactiques. Les longueurs où je suis quelquefois
uveau pour nous. Si j’ai osé plaisanter dans quelques endroits de cet
Ouvrage
, je l’ai fait afin de distraire le Lecteur. Une a
iers. Ai-je besoin d’avertir le Lecteur, que quelques endroits de cet
Ouvrage
ne sont qu’ironiques ? il les connaîtra aisément
e demande d’abord, si l’on peut donner le nom de Poème dramatique à l’
Ouvrage
informe qui ne contient que des Scènes mal-cousue
ait exposer qu’il désireroit faire imprimer & donner au Public un
Ouvrage
qui a pour titre L’Art du Théatre en général. S’i
ns permis & permettons par ces présentes, de faire imprimer ledit
Ouvrage
autant de fois que bon lui semblera, & de la
ou faire imprimer, vendre, faire vendre, débiter ni contrefaire ledit
Ouvrage
, ni d’en faire aucun extrait, sous quelque prétex
Paris, dans trois mois de la date d’icelles ; que l’impression dudit
ouvrage
sera faite dans notre Royaume & non ailleurs,
oser en vente, l’Imprimé qui aura servi de copie à l’impression dudit
Ouvrage
, sera remis dans le même état ou l’Approbation y
ntes qui sera imprimée tout au long au commencement ou à la fin dudit
Ouvrage
, soit tenue pour duement signifiée, & qu’aux
ames de tous les Théâtres de l’Europe peuvent se ranger. Si, dans les
ouvrages
de belles Lettres, les Savants ont soin de laisse
rité, en adoptant, en souhaitant qu’on corrigeât, ou en rejettant les
ouvrages
de Théâtres que j’ai examinés. N’en donnant qu’un
oute, mieux que moi ; j’évite par là l’inconvénient de leur donner un
ouvrage
immense à faire, s’ils voulaient critiquer les ju
de ces Pièces doit être placée ; et si, par hasard, j’avais arrangé l’
Ouvrage
de quelque Auteur vivant sous la classe de Pièces
ible de ne pas relever des défauts que j’ai cru apercevoir dans leurs
Ouvrages
; et c’est sur cela que je crois devoir prévenir
aindre de parler. Quoique je me sois scrupuleusement attaché dans mes
Ouvrages
aux règles d’Aristote, et que j’en ai même fait l
et un entre autres qui, depuis le commencement jusqu’à la fin de son
ouvrage
, fait sentir le faux des préceptes d’Aristote.10
e aux fers comme des esclaves. La matière est vaste et demanderait un
ouvrage
complet : le jugement que les gens d’esprit et co
Chapitre prémier. Déssein de cet
Ouvrage
. LEs Spectacles sont trop précieux aux hommes
voudraient marcher sur les traces de Sophocle & d’Aristophane ; l’
ouvrage
qu’il composa à ce sujet est aussi célébre que se
a lieu d’être surpris qu’on n’ait point encore rassemblé dans un même
ouvrage
tout ce qui concerne les différens genres des piè
l n’appartient ni à mon âge ni à mes talens de composer en entier cet
ouvrage
important, tel que je le conçois, qui manque à no
dont elles sont remplies, & ceux à qui elles doivent le jour. Cet
ouvrage
contiendra donc tout ce qu’on peut dire de plus i
pport à la Musique. Il doit être question de cet art agréable dans un
ouvrage
où l’on voudra renfermer tout ce qui regarde les
e dessein qui me fait prendre la plume : ceux qui daigneront lire cet
ouvrage
, comprendront assez quelles sont mes vues, &
AVERTISSEMENT DU LIBRAIRE. Lorsque la sixieme Édition de cet
Ouvrage
parut, quelques personnes nous observerent qu’ell
ur répondre que notre Auteur, par égard pour le titre primitif de son
Ouvrage
, a cru devoir le conserver à ce qui en étoit une
qu’il y a entre les Lettres sur les Spectacles, & l’Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, ne permettent pas
séparer. Notre Avertissement du premier Tome a fait connoître que l’
Ouvrage
dont nous donnons une nouvelle Édition, a été hon
it par la maniere obligeante dont vous me l’annoncez. J’ai relu votre
Ouvrage
avec un très-grand plaisir. La raison & la Re
sent que vous avez bien voulu me faire de la sixieme Édition de votre
Ouvrage
sur les Spectacles. Elle ne sera point assurément
ur indisposé contre moi sur le seul titre de mon Livre. Si un pareil
Ouvrage
avait pour Auteur un homme grave et respectable p
ais Comédien, pour les raisons que l’on trouvera dans le corps de mon
Ouvrage
. Au reste je proteste avec la même sincérité que,
ère b : On a paru n’être pas mécontent des réflexions semées dans cet
Ouvrage
, et on a bien voulu me tenir compte d’avoir chois
j’ose y donner. Ce n’était pas là pourtant le motif principal de mon
Ouvrage
; si on le lit relativement à l’intention que j’a
ements m’avaient paru nécessaires ; mais enfin je donnais mon dernier
Ouvrage
qui a pour titre, Réflexions historiques et criti
u’ont tous les Théâtres d’être réformés, et en promettant au Public l’
Ouvrage
que je donne aujourd’hui. Voilà de quelle manière
en aurait pas éprouvé les funestes effets. Je fais donc voir dans cet
Ouvrage
la nécessité de réformer le Théâtre : en conséque
atralle. L es beautés d’un Poëme brillent d’un feu qui passe de l’
Ouvrage
à l’Auteur, comme il est passé de l’Auteur à l’Ou
qui passe de l’Ouvrage à l’Auteur, comme il est passé de l’Auteur à l’
Ouvrage
. Les mouvemens sont le fruit de ce beau feu ; &am
ecevoir, & que son ame s’embrase des flammes qui petillent dans l’
ouvrage
. L’art de bien rendre les idées d’un Auteur, est
es qu’ils jouent. Ce sont des Ouvriers méchaniques qui font bien leur
ouvrage
, parce qu’ils n’en font que d’une espèce ; ou par
r ouvrage, parce qu’ils n’en font que d’une espèce ; ou parce que cet
ouvrage
ne différe que dans la forme. La routine supplée
raux, dont les maîtres travaillent comme le Comédien, à représenter l’
ouvrage
des autres. Telles est la gravûre, qui dépose sur
elles, une nouvelle forme. De même le Graveur en travaillant sur des
ouvrages
peints, leur imprime une autre apparence, un autr
lit, que l’Auteur ne l’entendroit s’il ne se débitoit à soi-même son
ouvrage
en le composant. Nous répondrons que la déclamat
ession de Comédien ? De même que le Mécanicien ne paroît que dans ses
ouvrages
, de même aussi le poëte dramatique seroit presque
nté leur poëmes. Le piéces des anciens sont, à notre égard, comme des
ouvrages
modernes, qui ne se jouent point ; qu’on suppose
mens du parterre ? Enfin, insistera-t-on, si le comédien représente l’
ouvrage
du Poête, celui-ci ne retrace dans son Poëme qu’u
ands, de Héros, de Potentats, dont les triomphes ou la chûte soient l’
ouvrage
d’un jour. A l’égard des sujets pris dans d’autre
sulter. Ainsi quoiqu’il ait imité Euripide, on peut dire que c’est un
ouvrage
nouveau : Et il en est ainsi des autres Auteurs.
aisée. UN Drame qui réunit tant de perfections ne doit pas être l’
ouvrage
d’un jour à composer ; il éxige même dans ses Aut
ceux qui cachent modestement leur mérite, & donnent au Public des
Ouvrages
agréables sous une forme frivole & trompeuse.
omposent, s’éxemptent même quelquefois de mettre du bon sens dans les
Ouvrages
un peu relevés que leur plume ose enfanter. Beauc
genre ayent plus de facilité à composer du frivole qu’à produire des
ouvrages
sublimes ; mais quand même ils écriraient plus vo
as des longueurs du travail. Vingt fois sur le Métier remettez votre
Ouvrage
, Polissez-le sans cesse & le repolissez. Re
Drame en général. Apprenez que le tems seul met la dernière main aux
Ouvrages
d’esprit.
a fait exposer qu’il désirerait faire imprimer et donner au Public un
Ouvrage
qui a pour titre, Essai sur la Comédie moderne, o
avons permis et permettons par ces Présentes de faire imprimer ledit
Ouvrage
en un ou plusieurs Volumes, et autant de fois que
Paris, dans trois mois de la date d’icelles ; que l’impression dudit
Ouvrage
sera faite dans notre Royaume, et non ailleurs, e
r en vente, le manuscrit qui aura servi de copie à l’impression dudit
Ouvrage
sera remis, dans le même état, où l’approbation y
ntes qui sera imprimée tout au long au commencement ou à la fin dudit
Ouvrage
, foi y soit ajoutée comme à l’original. Commandon
bien dégradés à leurs propres yeux, pour se soumettre eux & leurs
ouvrages
à de vils histrions. Dans tous les Journaux écono
artenoit aux magistrats de prononcer sur les convenances morales d’un
ouvrage
. (Comme si, sans attendre la censure des magistra
jugé très-décentes. Les journaux ont fait une mention honorable de l’
ouvrage
indécent. Voici l’idée qu’en donne M. Castillon d
us l’avons décidé. Nos plus purs sentimens ne sont-ils pas toujours l’
ouvrage
de nos sens ? Le moral n’est qu’un mot, tenons-no
us l’avons décidé. Nos plus purs sentimens ne sont-ils pas toujours l’
ouvrage
de nos sens ? Pourquoi chercher ailleurs un bonhe
Journal parle d’un certain Georges Silléi, dont la conduite & les
ouvrages
qu’on a donné au public, forment un contraste sin
ine de bonne morale : en cela bien différente du Tartuffe de Moliere,
ouvrage
licentieux & impie. Cet ami véritable ne prêc
e, ainsi que celles de l’Homme dangereux & des Courtisannes ; ses
ouvrages
en prose ne le sont pas moins, rien n’en a dû emp
citations, on a rompu avec lui, & on a pris pour prétexte quelque
ouvrage
qui attaque les comédiens. Il invoque la voie jur
tations, si elle avoit la foiblesse de mollir & de se charger des
ouvrages
de ce calomniateur, même de les entendre, jusqu’à
pieces, la liberté d’entacher, flétrir les auteurs, de refuser leurs
ouvrages
, de leur fermer la carriere, de décourager les ta
ont mis de fort mauvaise humeur : dans ce même temps il a paru divers
ouvrages
où on ne les ménage pas. Lettre à Eugénie. M. Des
vé un Tribunal qui s’arroge le droit de juger les Auteurs & leurs
Ouvrages
, qui ouvre & ferme à son gré la carriere du T
ait été la victime ; plusieurs ont consigné leurs plaintes dans leurs
ouvrages
. Le sieur Mercier auroit gardé le silence que sa
l point ils peuvent insulter aux Lettres. Après avoir donné différens
Ouvrages
au public, le sieur Mercier s’essaya, vers l’anné
ectement la Comédie Française ; que M. Mercier n’a point désavoué cet
ouvrage
injurieux, & que la Comédie ne peut avoir rie
de cet Auteur ; & qu’enfin elle ne peut se charger d’aucun de ses
ouvrages
, ni les recevoir, ni même les entendre, qu’il ne
, ou nouvel Essai sur le Théatre. Le sieur Mercier n’a point publié d’
ouvrage
sous titre, il n’en connoît même pas. Au surplus,
belle, il n’en fera jamais : personne n’a plus en horreur que lui les
ouvrages
de cette espece ; il aimeroit mille fois mieux en
s Comédiens d’en prendre, étoit de se corriger. Quoiqu’il en soit, un
ouvrage
qu’il ne connoît pas, qu’il n’a jamais avoué, qui
ien de commun avec cet Auteur… Elle ne peut se charger d’aucun de ses
ouvrages
, ni les recevoir, ni même les entendre… La gloir
lle ; elle prononce que le sieur Mercier en est l’Auteur, quoique cet
ouvrage
ne porte pas son nom ; &, tout à la fois juge
s, c’est le comble de l’indécence. A la vérité, la délibération est l’
ouvrage
d’une Assemblée en quelque sorte sans conséquence
e pour les autres. Trop jaloux peut-être d’ajouter au mérite de leurs
ouvrages
l’illusion brillante de la Scène, les Auteurs dra
é tous mes soins, & que je regarde comme un de mes plus importans
ouvrages
; mais je voudrois bien n’employer auprès de vous
rtenoit qu’au Magistrat de prononcer sur les convenances morales d’un
Ouvrage
. Cette judicieuse observation devient aujourd’hui
s de l’art : regle à laquelle je me suis conformé, de manière que mon
ouvrage
a été jugé, non-seulement utile, mais nécessaire,
la Baronne ? La comédie de Turcaret n’en est pas moins un excellent
ouvrage
, un de ceux que vous représentez le plus souvent,
étoient-elles pas pour la plupart* déclarées hautement en faveur de l’
ouvrage
? Elles ont vu, avec la finesse naturelle de leur
parfaitement honnête-homme. En voilà sans doute beaucoup trop sur un
ouvrage
que vous connoissez & qui vous est encore si
i cru remarquer qu’en général on la regardoit, non-seulement comme un
ouvrage
d’une morale très-pure, mais je vous l’ai déjà di
ouvrage d’une morale très-pure, mais je vous l’ai déjà dit, comme un
ouvrage
nécessaire. C’est infailliblement le fruit des pr
olice : elle doit donc être soumise à la décision des Magistrats. Les
ouvrages
dramatiques ont sur les mœurs & sur l’opinion
rincipaux appuis de la gloire nationale. D’ailleurs, la propriété des
ouvrages
de génie, la plus recommandable de toutes peut-êt
ges qui auroient pu résulter pour les mœurs de la représentation d’un
ouvrage
devenu si nécessaire ? Quoi ! des Comédiens, par
’usage où ils sont de prononcer sur les convenances théatrales de ces
ouvrages
, il ne pourroit leur être permis de porter leur v
terdit évidemment aux Comédiens toutes discussions sur la décence des
ouvrages
qui leur sont présentés. Il n’est pas à croire qu
ssot l’indécence prétendue de son sujet ; & du moins, lorsque son
ouvrage
a été revêtu de l’approbation du Censeur, ils ne
mes Comédiens de prononcer à l’avenir sur les convenances morales des
ouvrages
dramatiques, attendu leur incompétence. Les moyen
i l’on considere que la comédie des Courtisannes est véritablement un
ouvrage
d’une morale très-pure, & digne à tous égards
u Public, de la honte d’avoir proscrit, sous prétexte d’indécence, un
ouvrage
aussi utile. Mais ce n’est pas assez du châtiment
Avocat au Parlement : il en a abusé pour parvenir à faire imprimer un
Ouvrage
scandaleux, dont l’approbation & la permissio
idées à sa propre Lettre, font connoître évidemment que le tout est l’
Ouvrage
du même homme, suivant qu’il en a été convaincu d
s impiétés : j’en citerai seulement quelques traits. On annonce que l’
Ouvrage
est fait pour tous les Citoyens qui en ont besoi
amp; injurieuse, qu’on entend faire de ce qui sera établi dans tout l’
Ouvrage
au sujet de l’Excommunication contre les Comédien
mers que la charité ne connut jamais . On invite le public à lire cet
Ouvrage
, en assurant que les gens instruits seront charm
ystême confus & odieux adopté par la Consultation. Le tout est un
ouvrage
de ténébres, qui part de la même plume. La conclu
ché du nombre des Avocats, l’Auteur, & m’a chargé de dénoncer son
Ouvrage
à la Cour, dont le zéle en matiere de Religion, d
ssembler tout ce qui est nécessaire à la composition de cette sorte d’
ouvrages
, d’autant plus qu’il y a peu de modèles dans ce g
raît de plus rebutant et de plus épineux, c’est que pour donner à ces
ouvrages
les ornements qu’ils demandent, il faut se rempli
qu’on me demande, on aurait à reprocher ce défaut presque à tous les
Ouvrages
de Théâtre. Si Monsieur de Corneille se fût impos
himene quand il la va trouver chez elle ? Que s’il faut justifier mon
Ouvrage
en particulier, il me suffit du moins pour établi
rs cette unité de Scène se doit expliquer plus favorablement pour mon
Ouvrage
, puisque la proximité du Camp et de la Ville étai
ne Muse plus forte que la mienne, voudront entreprendre de semblables
ouvrages
, et leur donner tous les ornements de la Scène. P
iculo et c. Patavii 1630 On trouve dans la Bibliothèque du Roi cet
Ouvrage
Latin, dont le titre signifie en Français, Averti
peuvent se représenter sans péché mortel. » La troisième partie de l’
Ouvrage
de del Monaco, propose les raisons apparentes des
issent l’opiniâtreté des hommes. La quatrième et dernière partie de l’
Ouvrage
de del Monaco, se réduit à trois remèdes qu’il pr
i préférera son salut à un plaisir si dangereux. SECTION SECONDE.
Ouvrages
Italiens du Père Ottonelli Jésuite. Il y a au
Jésuite de la Ville de Tagnane en Italie. Le premier volume, est un
Ouvrage
séparé des deux autres, intitulé, De la modératio
Théâtre, imprimé à Florence en 1645w. Le Père Ottonelli y répond à l’
Ouvrage
d’un fameux Comédien Italien, appelé Nicolo Barbi
Comédiens Italiens, nommés Cecchinoy et Andreinoz, surnommé Lelio. L’
Ouvrage
de ce Jésuite est divisé en deux parties. La prem
des Comédies de notre siècle, que de celles de leur temps. Le second
Ouvrage
du Père Ottonelli Jésuite, qu’il a aussi intitulé
n sentiment en plusieurs endroits par celui de del Monaco : il loue l’
Ouvrage
de ce savant Sicilien, et la solidité de ses sent
1655) est un prêtre et théologien jésuite italien, auteur de nombreux
ouvrages
. v. [NDE] Giovanni Domenico Ottonelli (1584-1670
éateur de personnages de la Commedia dell’arte (Beltrame, Scapino). L’
ouvrage
en question est : La supplica. Discorso famigliar
ésies. aa. [NDE] Adam Contzen (1571-1635), jésuite allemand dont les
ouvrages
traitent essentiellement les controverses théolog
ureur de dire des horreurs sous le nom d’un bon mot, ne dégrade pas l’
ouvrage
de Bachaumont. Continuons. Ce bon homme très-peu
littéraire, s’il n’intéressoit la vertu, dans la préface & dans l’
ouvrage
. Il est des sujets dont nous privent la délicate
a mis en effet dans son style toute la virilité de la débauche : son
ouvrage
est une explosion de libertinage. En voici des tr
rdins, & dont il blâmé la grossiere obscénité. Quel juge ! Si les
ouvrages
les plus obscenes sont precieux, les ouvrages ver
ité. Quel juge ! Si les ouvrages les plus obscenes sont precieux, les
ouvrages
vertueux sont donc bien méprisables. L’obscenité
ssemblance ; que le temps me laisse mes jeux, & qu’il emporte mes
ouvrages
. Lafontaine faisoit de lui-même un pareil portra
sans le savoir. Jamais il n’a cherché les fleurs dont il a semé ses
ouvrages
; elles se présentoient à lui, il n’avoit que la
it jamais la peine de les arranger. Il y a bien du désordre dans ses
ouvrages
. Voilà qui justifie tous les traits de sa vie, qu
a à l’adopter, ni Boileau, qui étoit lié avec lui, & avoit vu ses
ouvrages
, ne le crut digne ni de ses satyres, ni de ses él
-on pas nos jolies femmes qui toutes sont si près de la nature ? Les
Ouvrages
de Lafontaine n’ont que trois objets : ses fables
Il en eut toujours la chaleur, mais non jamais le recueillement. Ses
ouvrages
sont des éclairs ; les émotions qu’il donne sont
décorent des Nains. Il s’est chargé de ce soin dans la plupart de ses
ouvrages
fugitifs. Heureux s’il n’avoit pas porté trop loi
ne société de beaux esprits philosophes. Le sieur Dorat qui, dans ses
ouvrages
, parle comme lui & enchérit même sur lui, se
e, L’Histoire universelle, Roman ! de sa façon, Mahomet, la Henriade,
ouvrage
où il a le moins menagé la Religion & l’Etat,
ens, des connoissances, un style agréable, & avoit donné d’autres
ouvrages
qui méritoient la préférence ; on a sans doute vo
découvrant l’endroit foible. Voici un correctif bien plus violent, un
ouvrage
dans le goût de Philotanus de Grécour. C’est une
des termes bien radoucis. Ses amis ne sont pas mieux traités dans les
ouvrages
qu’il leur adresse, il les suppose libertins &
de la Pucelle ? Et c’est à l’yvresse des sens que l’on reconnoit tes
ouvrages
. Je t’attens le verre à la main, & je t’atten
qu’en font Mrs. Castillon dans le Journal, si même cet éloge n’est l’
ouvrage
de Mr. Dorat que l’amitié aveugle a eu la foibles
ubert, quoique peu difficile dans ses extraits & dans ses propres
ouvrages
, tels que Psiche, n’a pas osé en transcrire les i
que bien dire. » Pourquoi donc passer la moitié de sa vie à limer un
ouvrage
? Si les premiers efforts ne le rendent pas bon,
à la décadence du goût, abondent en principes, & manquent de bons
ouvrages
. C’est que la gloire des beaux siécles a inspiré
t, contre l’expérience, qu’avec une grande théorie on ne peut faire d’
ouvrages
pitoyables : que ceux qui ont un peu plus de tale
oline tapissée de verdure, les défectuosités le sont pour moi dans un
ouvrage
de génie. Malgré tant de raisons, qui me paroisse
chitecte à élever l’édifice. Nous ne dirons rien de l’utilité de cet
Ouvrage
. Si l’un est bien fait, l’autre est démontrée. No
rouveront que juste. Ils diront que nous avons eu tort de publier cet
ouvrage
. Nous serons de leur avis, si tous nos lecteurs s
nt cru que tourner en plaisanteries les endroits les plus sérieux des
Ouvrages
estimés, c’était produire une éxcellente Parodie.
s turlupinades, les indécences, les jeux de mots, sont bannis de tout
ouvrage
de goût. On cherche à faire rire dans une Parodie
’il me reste à faire. Il est essentiel qu’une Parodie, ainsi que tout
ouvrage
satirique, n’ait aucun défaut. Celui qui tourne l
sent-ils, nous estimerions un genre destiné à tourner en ridicule les
Ouvrages
des plus fameux Auteurs ! Que les Poètes qui s’y
re des lettres, loin de vous èfforcer à faire rire de leurs meilleurs
Ouvrages
. Parodiez les mauvais Drames, pour empêcher qu’on
mais ils ne les copient pas si fidèlement qu’on puisse dire que leurs
Ouvrages
soient trop ressemblans : ils font agir des Perso
Avertissement Les passages des Pères qu'on emploie dans cet
ouvrage
pour montrer que la Comédie est un divertissement
dentes qu'elles n'ont pas besoin de preuves; et que le dessein de cet
ouvrage
a été principalement de montrer que la Comédie mo
e peine à les remarquer lorsqu'ils les trouveront répandus dans leurs
Ouvrages
. TatienTatien défend la Comédie aux Chrétiens, pa
l'occupation à des choses inutiles est un péché : que le monde est l'
ouvrage
de Dieu; mais que les œuvres du monde sont l'ouvr
e le monde est l'ouvrage de Dieu; mais que les œuvres du monde sont l'
ouvrage
du Diable, et que la Comédie doit être mise au no
a n’est pas tout-à-fait vrai au Phisique, il l’est du moins en fait d’
ouvrage
d’esprit. La Comédie a donc dû faire naître la Tr
ble à l’Opéra-bouffon, comme on le verra dans un autre endroit de cet
Ouvrage
. En voila assez pour autoriser mon systême ; la m
rvint pas tout-à-coup au mérite éclatant où nous l’avons vue dans les
ouvrages
d’Aristophane & de Ménandre. Thespis, barboui
die-moyenne. Aristophane travailla dans les deux genres. Ses derniers
ouvrages
sont, dit-on, de la seconde espèce ; mais l’on y
édie-nouvelle, qui brilla sans le secours des chœurs, fut en partie l’
ouvrage
de Ménandre, & des Magistrats qui bannirent a
toujours ignoré : souvent les vices & les vertus des Rois sont l’
ouvrage
de leurs Ministres. L’excellent Comique en Fr
t peindre avec finesse un ridicule. Les applaudissemens prodigués aux
ouvrages
de Rotrou, aux essais du grand Corneille, firent
ue le seul Homère pour conçevoir & produire le Poème épique ; son
ouvrage
est non-seulement admirable ; mais le chef-d’œuvr
nt à la Comédie l’enjouement & les graces qu’elle doit avoir. Les
ouvrages
d’esprit, en un mot, parviennent tout-à-coup dans
sième y travaille encore à son tour, ainsi du reste ; au lieu que les
ouvrages
d’esprit, chacun dans leur genre n’ont eu besoin
e les rendre plus parfaits ; & par conséquent ils deviendraient l’
ouvrage
de plusieurs. L’on peut tirer de ce que je viens
t de quelques Historiens. 3. Voyez le Chapitre 6. du Livre 4. de cet
Ouvrage
. 4. Elle fut jouée en 1470, elle avait alors pou
fin du dernier siecle un Livre intitulé : Histoire & Abrégé des
Ouvrages
Latins, Italiens & François, pour & contr
nçois, pour & contre la Comédie & l’Opéra, Orléans, 1697. Cet
Ouvrage
, qui a pour Auteur M. Lalouette, est dogmatique &
qui ont été faites pour & contre les Théatres. Il y a beaucoup d’
Ouvrages
où cette matiere n’a été traitée qu’incidemment,
artie littéraire que pour la partie morale. Enfin dans le nombre des
Ouvrages
qui ont été faits ex professo pour ou contre les
dans des Recueils que des Bibliophiles ont formés. Au reste, tous les
Ouvrages
pour & contre les Théatres, sont établis sur
iecle eût osé entreprendre de justifier les Théatres publics par deux
Ouvrages
qui parurent en 1657 ; Le premier intitulé : Pra
Dramaturges qui ait écrit en faveur des Théatres. Il parut en 1639 un
Ouvrage
intitulé : Apologie du Théatre par George de Scu
Hedelin, c’est à tort que tu te plains de moi ; N’ai-je pas loué ton
Ouvrage
? Pouvois-je plus faire pour toi, Que de rendre u
mporis Parænesis, Patavii, 1630. François del Monacho, Auteur de cet
Ouvrage
, étoit Sicilien, d’une illustre famille dont il e
el Monacho pour combattre les trois Comédiens incurseurs. Il donna un
Ouvrage
en 4 Tomes in-4° qui parurent successivement à Fl
nt eu de bonnes raisons pour les condamner. Des trois Livres dont son
Ouvrage
est composé, il auroit pu en retrancher le premie
folâtrer sur le Théatre, &c. Cet aveu doit prévenir en faveur des
Ouvrages
que nous allons opposer aux apologies des Théatre
pour & contre les Spectacles. On ne négligea pas d’y indiquer les
Ouvrages
, dont l’objet est de démontrer combien l’usage de
se en 1662, & elle fut dédiée à Madame la Princesse de Conti. Les
Ouvrages
que nous venons d’indiquer, sont d’un style un pe
es de la Danse & de la Musique voluptueuse. Voici le titre de cet
Ouvrage
: Traité contre les Danses & les mauvaises C
« Ce n’est point là attaquer, c’est fuir : ce n’est point détruire un
ouvrage
; c’est convenir que l’on n’a rien à y opposer :
age ; c’est convenir que l’on n’a rien à y opposer : c’est dire : Cet
ouvrage
n’est pas bon, parce qu’il est contraire à mes se
in, Prêtre, Docteur en Théologie, Conseiller du Roi. Paris, 1672. Cet
Ouvrage
est dédié à M. le Prince de Conti, fils de M. le
s de M. le Prince de Conti, l’Auteur du Traité contre la Comédie. Cet
Ouvrage
de M. Voisin est un Volume in-4° de 500 pages. Il
s des Théatres publics ne seroient pas fondés à réclamer pour eux cet
Ouvrage
. Réponse a la Lettre d’un Théologien, défenseur
u Théologien touchant la Comédie. Paris, 1694. L’Auteur de ce solide
Ouvrage
déclare [page 133] avoir été amateur des Spectacl
Le prétendu Théologien, Défenseur de la Comédie, est réfuté dans cet
Ouvrage
par les sentimens des Docteurs de l’Eglise depuis
qui lui avoient été proposées sur ses deux Discours. Il y a eu de cet
Ouvrage
plusieurs éditions. Il en fut donné une en 1731.
voilà une bonne Piece, en parlant d’une Comédie qui plaît ; c’est un
Ouvrage
d’esprit qui est bon en ce genre ; mais souvent t
le Catalogue de la Bibliotheque du Roi, n° D. 4540 : on attribue cet
Ouvrage
à M. Coutel. L’Auteur y établit l’uniformité des
ée à la suite de nos Lettres sur les Spectacles, avec un Extrait de l’
Ouvrage
suivant : Maximes et Réflexions sur la Comédie,
leçons pour se former à l’action oratoire ; qu’on peut opposer à cet
Ouvrage
l’Eloge que ce même Prélat a fait de Térence, dan
il se seroit estimé heureux d’avoir imprimé un opprobre éternel à des
Ouvrages
si contraires aux bonnes mœurs ». Mais, sans remo
a des loix d’un ordre supérieur qui me défendent de louer un genre d’
ouvrages
si dangereux ». On fut également satisfait d’ente
p; dans le cœur ». L’Auteur de ce Journal eut alors à rendre compte d’
Ouvrages
fort opposés les uns aux autres sur la matiere de
ites subitement & pour des cas particuliers, à ces Loix modernes,
ouvrages
de Législateurs qui n’ont pas toujours vécu selon
ques-Bernard, autre sçavant Calviniste, eut occasion de parler de cet
Ouvrage
de Vossius, dans le mois d’Août 1702 des Nouvelle
elle ne justifie en rien l’Opéra ni la Comédie. On voit par tous ces
Ouvrages
, que dans le dernier siecle, les défenseurs des T
les Comédiens, une Consultation dont il eut lieu de se repentir. Son
Ouvrage
a pour titre : Libertés de la France contre le p
mp; ils ont combattu tous ces Apologistes des Jeux scéniques, par des
Ouvrages
qu’on va indiquer dans leur ordre chronologique.
oit surpris de ce qu’on n’avoit pas traduit en François cet excellent
Ouvrage
Espagnol. C’est pour y suppléer, que cet estimabl
Ramire est une réponse à trois questions qui font tout le plan de son
Ouvrage
. 1°. Dans le Spectacle dramatique, qu’y a-t-il en
dit le P. Berthier, en terminant cet Extrait, on nous assure que cet
Ouvrage
de Dom Ramire a suffi pour engager les Magistrats
52. Ce fut le Pape Benoît XIV qui engagea ce Religieux à composer cet
Ouvrage
. Veri sentimenti di San Carlo Borromeo intorno a
S. Philippo Neri intorno al Teatro ; in Roma, 1755. Ces sept derniers
Ouvrages
imprimés à Rome, prouvent 1°. Que c’est sans fond
abus dans son Voyage d’Italie, imprimé en 1775, en 2 volumes in-12 ;
ouvrage
très-superficiel. Voici l’idée que M. Fréron en a
ssi de construire jamais des Théatres dans aucune de ses maisons. Les
Ouvrages
qu’on a vu assez fréquemment paroître en Italie c
t civil. Ces principes se trouvent très-bien soutenus dans un sçavant
Ouvrage
latin qui parut en 1770 à Milan, sous ce titre :
um. Superiorum permissu ; in-8°. 416 pages. L’Auteur de cet excellent
Ouvrage
est M. Paul Rulfo, Docteur & Professeur en Th
essité de s’élever contre les Spectacles108, nonobstant la quantité d’
Ouvrages
qui ont paru sur cet objet ; & la raison qu’i
à lever le bandeau qui étoit un voile impénétrable à la lumiere ! Cet
Ouvrage
fut annoncé en France avec beaucoup d’éloges, dan
ole. Nous ne donnerons pas ici une analyse détaillée de cet excellent
Ouvrage
; il perdroit trop à n’être connu que par extrait
t de leur composition. Mais ce souverain Pontife a manifesté dans ses
Ouvrages
son sentiment sur ce genre d’amusemens. Il y a dé
r de plusieurs Prélats à l’occasion des précédentes Editions de notre
Ouvrage
. Mais nous nous bornerons à celui de M. Marc Aure
ttres furent réimprimées en 1769 & en 1771, avec une Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres. Le tout fut ensui
7, sous ce titre : Lettres sur les Spectacles, avec une Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, par M. Desprez de
us frappant. On en trouve aussi un extrait dans le second volume d’un
Ouvrage
qui parut à Paris en 1774, sous ce titre : Antilo
u’un Auteur Protestant, M. Antoine-Jacques Roustant, en a dit dans un
Ouvrage
imprimé en 1769 sous ce titre : Offrande aux Aute
rassembler ici en preuves de cette assertion les notices de quelques
Ouvrages
faits sur cette matiere par les Ecrivains de cett
du Radier en a donné un extrait dans le troisieme Volume d’un de ses
Ouvrages
, intitulé : Bibliotheque historique & critiqu
êt qu’il prend aux bonnes mœurs. Voici l’extrait qu’il en a donné : L’
Ouvrage
de Rivet sur les Spectacles publics est divisé en
ait, qu’on en a sçu au P. Berthier, lorsqu’il nous a donné celui de l’
Ouvrage
de D. Ramire, que nous avons rapporté page 213 de
ibue aux Théatres pour la correction des mœurs. Il y rend compte d’un
Ouvrage
Italien de Paul-Matthias Doria, intitulé : la Vit
s, célebre Protestant, Professeur d’Eloquence, mort à Bâle en 1740. L’
Ouvrage
qui donne lieu de parler ici de ce Rhéteur, est u
suppression de la Comédie. En voici quelques traits rapportés dans l’
Ouvrage
de Collier : « Plusieurs pieux Bourgeois & au
entiérement détruites. » On a de Charles Powei, Ecrivain Anglois, un
Ouvrage
politique qu’il donna en 1701, sous ce titre : Th
la débauche mis en honneur, &c. ». En 1772, il parut à Londres un
Ouvrage
intitulé : The absolute unlawfulness of the Stage
ntiquités sacrées & profanes, il a enrichi sa Nation de plusieurs
Ouvrages
estimables, dont deux Critiques du Théatre Angloi
. Le P. de Courbeville, Jésuite, nous a donné la traduction d’un des
Ouvrages
de Collier contre les Théatres. Elle parut en 171
que l’Angloise, pour ce qui regarde les mœurs ». Mais quand on a lu l’
Ouvrage
de M. Collier, on est forcé de reconnoître avec s
corrompu que celui des Anglois. Mais comme l’a dit le Traducteur de l’
Ouvrage
de Collier, « Quelle triste ressource pour des co
toire Littéraire. Les Auteurs ont bien avancé dans le Prospectus de l’
Ouvrage
« qu’ils ne se proposoient de n’extraire des Roma
s miniatures, en n’offrant que les sentimens propres à caractériser l’
Ouvrage
. Que ces miniatures enfin ne contiendroient aucun
onnes intentions, mais bien difficiles à remplir à l’égard de pareils
Ouvrages
. Les Auteurs de cette Bibliotheque « voyoient, di
e l’assujettit, en dit toujours assez pour faire connoître ce que les
Ouvrages
nouveaux ont d’honnête & d’utile, de vicieux
es de ces Lettres, sont entre autres, « pour s’être distingué par des
Ouvrages
qui lui ont acquis une célébrité d’autant mieux m
e M. Gresset, annoncent ses justes préventions contre les Auteurs des
Ouvrages
impies & licencieux. Quel heureux présage pou
e du Code de la Religion & des Mœurs, page 383, que l’Auteur de l’
Ouvrage
intitulé : Querelles Littéraires, auroit dû y dir
r juste repentir. Mais on a beaucoup d’autres erreurs à reprocher à l’
Ouvrage
intitulé : Querelles Littéraires. Elles ont été r
s sous une forme différente, dans le troisieme tome d’un autre de ses
Ouvrages
, qui a pour titre : Conférences sur les principau
amp; Belles-Lettres ; Paris, 1765. Le troisieme Chapitre de ce solide
Ouvrage
contient les réflexions les plus justes contre la
iere édit. in-8°. parut en 1768 ; la 2e en 1774, en 2 vol. in-12. Cet
Ouvrage
[dont il a déjà été parlé page 172 de nos Lett.]
suite, eut occasion de discuter la cause des Théatres dans son fameux
Ouvrage
[De Rege & de institutione Regis]. On sçait q
ques Clément & les Ravaillac contre Henri III & Henri IV. Cet
Ouvrage
n’auroit mérité que des éloges, si l’Auteur avoit
596, à Laon, où il étoit Procureur du Roi. Il paroît que c’est de ses
Ouvrages
, & sur-tout de sa Méthode pour étudier l’Hist
omme des spéculations vaines & impraticables. Néanmoins comme ces
ouvrages
, qu’il reste à indiquer, ont été composés par des
**. Paris, 1767. Cet Ecrit se trouve joint à la derniere édition de l’
Ouvrage
précédent. L’Auteur soutient que toutes nos Coméd
dence du goût sur le Théatre. Paris, 1768. Il n’est question dans cet
Ouvrage
que d’observations Littéraires ; néanmoins elles
adaptée au Théatre. Paris, 1769. M. Nougaret, à qui l’on attribue cet
Ouvrage
didactique, paroît très-amateur des Spectacles. I
fisamment établi par la témérité avec laquelle on offre au Public les
Ouvrages
les plus scandaleux & les plus impies. En voi
man Epistolaire, dont le principal personnage est une Comédienne. Cet
Ouvrage
est aussi ridicule, bizarre & ennuyeux dans s
ar la licence des idées, & par leur contradiction. C’est enfin un
Ouvrage
digne d’une foule d’Ecrivains obscurs, qui ne pou
Sainte y est profanée & tournée en ridicule. Il parut en 1774 un
Ouvrage
intitulé : Du Théatre, ou nouvel Essai sur l’Art
ome de l’Année Littéraire, 1774. Il y est donné avec raison, comme un
Ouvrage
fait dans le plus grand délire. L’Auteur prétend
mes du siecle de Louis XIV, & qu’on a relevé avec justice dans un
Ouvrage
intéressant qui a paru en 1774 sous ce titre : le
on qu’on a cité quelques-unes des assertions du Mimographe & de l’
Ouvrage
de M. Mercier, que M. Freron appelle le Dramaturg
e. Epît. IX. *** Que votre ame & vos mœurs peintes dans vos
Ouvrages
, N’offrent jamais de vous que de nobles images. …
Lorsque le P. Concina, par exemple, eut donné contre les Spectacles l’
Ouvrage
dont le Pape Benoît XIV l’avoit chargé, & que
ndo Thalia, Melpomene luctu, Terpsicore choreis. Qu’on lise les
Ouvrages
didactiques de cet Art, tant pour ce qui regarde
ernement bien dirigé. En voici quelques preuves : Il parut en 1773 un
Ouvrage
sous le titre de Systême Social, dont le but est
les puissances qui la gouvernent dans l’ordre civil ou religieux. Cet
Ouvrage
pernicieux a été combattu avec zele dans un Écrit
e parviendront jamais à détruire une tradition de six mille ans, ni l’
ouvrage
de dix-huit siecles. La Religion révélée & le
ienne, ne sçauroit, sous quelque prétexte que ce soit, ni par quelque
ouvrage
que ce puisse être, concourir au soutien du Théat
retiens regarde le Théatre, & il y est donné comme le résumé d’un
Ouvrage
intitulé : Réflexions morales, politiques, histor
ues & littéraires sur le Théatre, en 5 volumes in-8°. Ce dernier
Ouvrage
a pour Auteur un Sçavant respectable, M. l’Abbé d
ncore que 7 volumes, a fait connoître tout le mérite de cet important
Ouvrage
, dans l’une des trois Lettres insérées dans l’Ave
se répandit dans la noblesse & dans le peuple, de maniere que cet
Ouvrage
devint le Livre de la Nation. « Nous étions perdu
s ans & des barbares, aux ruines de leurs monumens & de leurs
Ouvrages
, qui disputent avec le temps, ou plutôt à leur id
o erat 230 ». La plupart de ces grands hommes nous ont laissé de bons
Ouvrages
, où l’on trouve les motifs nobles qui les dirigeo
de M. Gresset. Elle fut accueillie par les Auditeurs sensés, comme l’
ouvrage
d’un véritable homme de Lettres, d’un Auteur plei
je vous en dois compte, & je viens vous le rendre sur un genre d’
ouvrages
auquel j’ai cru devoir renoncer pour toujours. In
crés & vénérables dont on abuse pour justifier la composition des
Ouvrages
Dramatiques & le danger des Spectacles, les t
z effacer le scandale que j’ai pu donner à la Religion par ce genre d’
Ouvrage
, & de n’être point à portée de réparer le mal
la sévérité de ses regards ; la même balance me réglera dans d’autres
Ouvrages
qui n’ont point encore vu le jour. Pour mes nouve
fermes principes de la saine raison ? Comment immoler nos jours à des
Ouvrages
rarement applaudis, souvent dangereux, toujours i
chemin dans son cœur. L’amour, par la main du Sage239, Encense le fol
ouvrage
Du mensonge & de l’erreur. Mais quel sang
e double examen qu’essuient dans le Sénat comique la personne & l’
ouvrage
d’un Auteur débutant ? Qui n’est pas un peu décon
es Provinces, du 12 Décembre 1753. Elle a aussi été rapportée dans un
Ouvrage
qui parut en 1773, sous le titre d’Aménités litté
vertu comme par sa fermeté, de poursuivre & de consommer ce grand
ouvrage
, & de devenir le restaurateur des mœurs milit
e même donner d’infames leçons sur les Théatres & dans les autres
ouvrages
de fictions. La Puissance civile fut aussi invité
Evêques à instruire les Fideles, & à défendre la Religion par des
Ouvrages
qui joignent à la solidité des choses un style qu
fuyez-vous ? *** Vous êtes d’un Dieu Créateur Et l’essence & l’
ouvrage
. Habiteriez-vous dans un cœur Criminel & vol
tions que nous avons de plusieurs Ecrits des Peres de l’Eglise. Leurs
Ouvrages
sont en effet d’autant plus intéressans, qu’en le
l’esprit, ou par l’abus qu’ils en faisoient. J’ai presque lu tous les
ouvrages
des Incrédules ou des Philosophes du siecle. Là,
n opposer de solide aux Défenseurs de la Religion, ils décrient leurs
Ouvrages
sans les lire, & l’Auteur encore plus volonti
s Ouvrages sans les lire, & l’Auteur encore plus volontiers que l’
Ouvrage
. Cette mauvaise ruse de guerre manque rarement so
de M. Pascal ; le célebre Poëme de Louis Racine sur la Religion259 ;
ouvrage
immortel, où la poésie se soutient par une force
n. La lecture de ce Poëme doit préparer à lire utilement les solides
Ouvrages
des défenseurs modernes de notre Religion, tels q
hiques sur la Religion, par M. l’Abbé Guidi, &c. &c. Tous ces
Ouvrages
sont remplis d’une bonne & saine métaphysique
s, selon une espece de Poétique qui parut en 1741264. L’Auteur de cet
Ouvrage
didactique lui a donné un caractere d’autorité, e
ts périodiques qui ont rendu compte des précédentes éditions de notre
Ouvrage
, ont observé que le sujet avoit exigé de nombreus
0. 63. Voyez notre premiere Lettre, page 96 & suiv. 64. Dans un
Ouvrage
qu’il a donné en 1774, sous le titre de Vies des
s avec la seconde Race de nos Rois. On en trouve l’historique dans un
Ouvrage
intéressant que M. le Baron de Zurlauben à donné
z la Vie de ce Prince par M. l’Abbé de Villiers. Paris 1769 ; & l’
Ouvrage
intitulé : Gallerie Françoise. Paris, 1770. 82.
gt-quatre ans, le 25 Octobre 1733. On a de lui un très-grand nombre d’
Ouvrages
, tels que des Commentaires sur plusieurs Livres d
les de notre Littérature, depuis François I jusqu’à l’année 1772. Cet
Ouvrage
imprimé en 1772, en 3 vol. in-8°, & réimprimé
’Isle-Bel, le 14 Mars 1744. 133. Mois d’Août 1699, de l’Histoire des
Ouvrages
des Sçavans. 134. M. de Querlon, Feuille Hebdoma
année 1709. 152. Dans l’Avant-prop. des Sacrifices de l’Amour. 153.
Ouvrage
périodique dont le premier volume a paru au mois
donna dans le temps une Critique sous ce titre : Lettres à M*** sur l’
Ouvrage
intitulé, Querelles Littéraires. 158. Dans la Fr
esquieu sur l’influence des climats, sont très-bien combattus dans un
Ouvrage
que M. l’Abbé Floris a donné en 1774 sous ce titr
Jérusalem délivrée du Tasse. 195. Auteur de quelques Lettres sur un
Ouvrage
intitulé : Bibliographie instructive, par M. de B
delle antiche. Dissert. Teatri del Conte Diego Rubin. 197. Dans un
Ouvrage
intitulé : Della publica Felicita, 1749. in-8°. L
Louis-Antoine Muratori, mort en 1750, est ce célebre Sçavant dont les
Ouvrages
montent à 46 volumes in-folio, 34 volumes in-4°.
édie de Mérope, par sa Verona illustrata, & par un grand nombre d’
Ouvrages
dont un sur les Usages des Anciens, pour terminer
igion, au bon sens, & à l’intérêt de la vie civile. 199. Dans un
Ouvrage
intitulé : De i Teatri Dissertazione del Conte Di
rtazione del Conte Diego Rubin, in Milano, 1754. in-4°. 200. Dans un
Ouvrage
intitulé : De i vizi e de i difetti del moderno T
Tonneau, autre Roman traduit en François par Van-Effen, & autres
Ouvrages
qu’on a imprimés à Londres en 1762, en 9 volumes
s opinions ? Ils pourront s’instruire sur cet objet, en lisant le bon
Ouvrage
que nous avons annoncé p. 132, sous le titre de T
à là lettre, en pratiquant ce qu’il y a d’extérieur ». 218. Dans son
Ouvrage
des Causes du Bonheur public. 219. Douzieme Feui
t rapporté un extrait à la fin de notre premier volume. 229. Dans un
Ouvrage
intéressant, intitulé : Londres, qui a paru en 17
1774 en 4 volumes in-12. Le même Auteur a aussi donné sur l’Italie un
Ouvrage
dont nous avons eu occasion de parler page 233 de
ons critiques sur divers sujets de Littérature. Il y démontre que cet
Ouvrage
d’Young n’a proprement dans sa totalité aucun car
onneur à la Poésie. Sincérement modeste ; jamais il ne parloit de ses
Ouvrages
; il avouoit plus volontiers ce qu’il ignoroit, q
Avertissement est suivi de la condamnation prononcée contre plusieurs
Ouvrages
impies, ayant pour titres : L’Antiquité dévoilée
, tout leur sçavoir & tout leur esprit. On sçait que cet horrible
Ouvrage
fut brûlé en 1764 à Paris, par Arrêt du Parlement
in sous celui de Questions sur l’Encyclopédie. On lui a opposé un bon
Ouvrage
, intitulé : Anti-Dictionnaire Philosophique, pour
a Marquise de P… sur l’Opéra, 1741. La France Littéraire attribue cet
Ouvrage
à M. Mably. 265. … Quoniam dociles imitandis
267. Dans l’Avant-Propos des Malheurs de l’Inconstance. 268. Dans un
Ouvrage
intitulé : The absolute unlawfulness of the Stage
rve poëtique des Allemands. M. Huber, Auteur peu connu, a traduit les
ouvrages
assez bien, quoique peut-être avec trop de fidéli
Il avance de bonne foi qu’un poëte médiocre pourroit, par des pareils
ouvrages
, plutôt nuire à la Religion de la servir : cet av
urs & aux acteurs d’y porter leurs mains sacriléges. Le reste des
ouvrages
de Gesner sont de longues idilles, qu’il appelle
on toujours le même carreau de fleurs ? La variété fait le mérite des
ouvrages
d’esprit ; l’uniformité monotone est d’une fadeur
n : il tombe à tous momens dans quelque hérésie. Il y a dans tous ces
ouvrages
une indécence choquante qui se renouvelle presque
it fait plus d’honneur. Il n’est pas moins vrai qu’on trouve dans son
ouvrage
, 1°. la licence de la galanterie ; 2°. la fadeur
libertinage, routes ces choses réunies dans sa personne, ont fait un
ouvrage
plein de beautés & de défauts, plus dramatiqu
caractere doux & honnête dans la société. Il a fait deux sortes d’
ouvrages
, des Recueils d’Anecdotes & de notices innomb
Anecdotes. Ces recueils d’Anecdotes, Bons mots, Ana, &c. sont des
ouvrages
très-faciles ; il ne faut que copier des livres.
enon, on trouve une épigramme en prose très-vraie. Le style & les
ouvrages
de cet auteur en sont pleins. Après avoir rapport
tragiques & comiques, seroient aussi scandaleux que ridicules. Un
ouvrage
de marqueterie de pieces rapportées de Crebillon,
tudier l’histoire dans l’Esprit des Loix du Président de Montesquieu.
Ouvrage
de génie plein de grandes idées, de vues utiles,
parage) ils se sont arrogé le droit de juger les auteurs & leurs
ouvrages
. Moliere indigné ne peut s’empêcher de s’écrier,
oujours le même refrain, les étranges animaux que les Comédiens ! Cet
ouvrage
est encore rempli d’épigrammes satyriques contre
r doit tous ses avantages ; C’est son bonheur qui fait le prix de ses
ouvrages
, Je sai que son Tartuffe a passé son espoir, Que
se succédant directement l’un à l’autre, ne croyent trouver, dans les
Ouvrages
des premiers, que des objets d’imitation. C’est u
ujets rebattus, des faces nouvelles, & capables de donner à leurs
ouvrages
, cet air de fraîcheur qu’on exige même de nos jou
Grecs eux-mêmes, en composant des corps de règles sur les plus beaux
ouvrages
qui avoient paru chez eux, perdirent cette force,
, ce sublime, qui avoient brillé dans leurs compositions. Ces règles,
ouvrages
de froids méditatifs, donnerent des entraves au g
s en homme, celui du Grec paroît un Dieu. Rome connoissoit à fond les
ouvrages
des Grecs ; elle instruisoit la jeunesse dans leu
cesse sous les yeux, en composant la sienne, je suis persuadé que son
Ouvrage
eût été inférieur, non-seulement à la premiere He
s Tragédies. Le génie qui a une marche uniforme, dans un même genie d’
ouvrages
, change cette marche, quand il change d’objet. Le
raison du peu de progrès qu’ils firent dans cet art. Le goût pour les
ouvrages
dramatiques, n’éclata à Rome, qu’après les guerre
uelques personnes de nom, ont fait des pièces de Théatre, ou même des
ouvrages
de sience, de politique, de morale & de litté
Des scènes, des actes à coudre, de beaux vers, qu’est-ce que cela ! l’
ouvrage
de quelque mois tout au plus. « On prend une His
les nuits à consulter les Anciens, à se nourrir des beautés de leurs
ouvrages
; quand ils ont puisé les plus grands traits de l
eurs Auteurs qui ne méritent point ces reproches, & dont même les
ouvrages
ont été goûtés. Ainsi les choses ne sont pas tell
tems n’est pas encore assez grande pour que nous ayons pu oublier ses
ouvrages
, ne peut-on pas sans s’aveugler sur le mérite de
le public sçût qu’il doit à vos égards & à vos complaisances, des
ouvrages
que l’Auteur découragé ou rebuté par les difficul
AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR. L’
Ouvrage
dont je donne ici la Traduction est fameux en Ang
ême pour le fonds, mais plus convenable à notre manière d’annoncer un
ouvrage
au Public. Quoiqu’il en soit, dès que le Livre de
de cette guerre littéraire, j’eus une impatiente curiosité de lire l’
ouvrage
qui l’avait causée : je l’attendis longtemps, et
désormais au fait sur le goût Anglais, en matière de composition et d’
ouvrage
purement de belles lettres. On sait que ce genre
pas déjà assez de traits dans leurs Poèmes auxquels peut convenir cet
ouvrage
, au défaut d’une critique particulière du Théâtre
rce qu’ils sont inévitables, et qu’ils n’altèrent point le fonds d’un
ouvrage
: j’ai même eu la précaution de les citer à la ma
presque à une suppression entiere des spectacles. Cependant comme cet
ouvrage
a ses partisans, & qu’il contient réellement
J’ai cru que le public ne seroit pas fâché de voir à la suite de cet
ouvrage
, un Traité intitulé, Essai sur les moyens de rend
oboni & moi ; mais nous proposons des moyens différens : ces deux
ouvrages
réunis dans le même volume, pourront être aisémen
ncer à l’écrire. Autrefois le stile n’était que la moindre partie des
Ouvrages
de Théâtre, maintenant il en fait le principal mé
e ; la simplicité du stile lui parait à désirer dans la plus-part des
Ouvrages
; il est persuadé que l’arrangement naturel des m
d’après la plus saine Partie du Public tombent presque toutes sur les
ouvrages
d’un seul Auteur. C’est que le genre que cet Aute
fautes qu’il fait quelquefois, par les beautés qu’il répand dans ses
Ouvrages
. De tous ceux qui courent dans la carrière du Spe
faut au moins qu’ils soient intelligibles ; il faut proportionner ses
Ouvrages
à ceux qui les entendent ou les lisent. Mal q
ifs bonne ou mauvaise : Mais c’en est assez : respectons le reste des
ouvrages
de ce grand-Homme. En osant me jouer de mon Maîtr
qu’est le grand Rousseau, il est aisé de trouver des fautes dans ses
ouvrages
. Un Poète doué d’un génie vaste & profond, ne
e l’Opéra-Bouffon sont plus éxcusables que celles qu’on voit dans les
Ouvrages
des grands hommes. Ne cherchons pas davantage
s Drames burlesques de ne contenir rien d’essentiel ; au lieu que les
ouvrages
que j’ai cité doivent parler au cœur comme à l’es
e leurs Pièces toute éxpression triviale, mauvaise ou douteuse. Aucun
ouvrage
ne nous plaît parfaitement, s’il est dénué des ch
? Ne dirait-on pas que plusieurs de nos Tragédies nouvelles, soient l’
ouvrage
de quelques jeunes Ecoliers ? 36. Voyez encore l
de quelques Auteurs, sur le même sujet, au Chap. I. du Liv. 2. de cet
Ouvrage
. 37. Poet. Chap. 25. 38. Poet. Chap. 13. 39. P
e LIII. De remercîment à M. l’Abbé Menard. Il y est parlé de quelques
Ouvrages
dont ont porte le jugement. Les fonctions des P
lutôt du soin que vous avez pris de m’écrire et de m’envoyer quelques
ouvrages
qui paraissent depuis peu sur la scène. Le manife
vous serai obligé si vous m’envoyez ce qui le méritera de ces petits
ouvrages
qui courent. J’ai été fort aise que l’Académie ai
mp; comme Voltaire lui-même, qui par des éditions innombrables de ses
ouvrages
, a cent fois noblement vendu sa muse en gros &
une quête pour l’illustre Voltaire. Le fameux Pigalle espére par cet
ouvrage
de donner un nouveau lustre à son ciseau, il part
de ; encore faut-il, pour que leur argent soit de poids, que par des
ouvrages
avoués du public, ils fassent preuve de noblesse
de noblesse qu’il n’en exige de la plupart des académiciens, dont les
ouvrages
encore dans le porte-feuille, n’ont été ni avoués
bien équivoques, ils peuvent n’être, & ne sont très-souvent que l’
ouvrage
de la flatterie, de l’intérêt, de la crainte, de
& un éloge de toutes les productions de ce grand littérateur. Cet
ouvrage
seroit digne de M. de la Harpe. Je ne désespere p
s loix en souverain, il pese le mérite des auteurs, il apprécie leurs
ouvrages
, il distribue l’immortalité, il sourit aux jolies
hez vous, Ma gloire en dépit des jaloux, Fut dans tous les tems votre
ouvrage
. De ces vers & de cette prose, aussi mauvais
être elle-même fort étonnée : Ma gloire fut dans tous les tems votre
ouvrage
. Que Voltaire est humble dans ce moment, il dépo
Clairon. La Henriade, Charles XII, Louis XIV, &c. tout cela est l’
ouvrage
de Fretillon. Cet homme, qui, lui seul, comme Her
ant que la créature de Fretillon, sa gloire fut dans tous les tems, l’
ouvrage
de Fretillon. Que de contradictions, que de haut
a même pensée répétée, un thême fait en deux façons. Tout est plein d’
ouvrages
galants, aussi bons que ceux de Petrarque ; il ne
olitique de la sage Angleterre ? Ont-ils donné une infinité de petits
ouvrages
dictés par les graces, sur-tout ? Ce qui est le v
nt la poésie est plus correcte, quoiqu’encore assez médiocre. C’est l’
ouvrage
d’un chanoine d’Embrun. Tout nous conduit à cette
retenir, ne prévoyant pas l’occasion qui l’a engagé à faire ce petit
ouvrage
: ce qu’on ne dit point pour le louer de bonne mé
ccommodés; mais il a cru devoir ce respect au Poète dont il raconte l’
ouvrage
, quoiqu’il ne l’ait jamais vu que sur le théâtre,
teur a usé dans cette matière, et de remarquer que dans tout ce petit
Ouvrage
il ne se trouvera pas qu’il juge en aucune manièr
action des gens sages, et pour prévenir la pensée que le titre de cet
Ouvrage
leur pourrait donner, qu’on manque au respect qui
e un mot susceptible d’être tourné en ridicule, il le releve, voilà l’
ouvrage
tombé. Je me rappelle à ce propos d’avoir lu dans
l’assemblée, & fit cesser la représentation. Un Auteur a fait un
ouvrage
qui lui mérite d’abord une approbation universell
ourner le nom de l’Auteur en ridicule, & voilà l’Auteur & son
ouvrage
devenus l’objet du mépris universel. Un homme de
umes, quelque laborieux qu’ils soient. Il faut voir maintenant si les
ouvrages
de nos Auteurs comiques se ressentent de ce faux
rivaux, & je crois que la preuve qui résultera de l’examen de ses
ouvrages
, en sera d’autant plus forte. Je laisse à part to
t qu’à en affoiblir l’horreur. Moliere nous a bien fait voir dans cet
ouvrage
qu’il connoissoit le vrai but de la Comédie ; &am
se donc à la troisieme partie du plan que je me suis proposé dans cet
ouvrage
. J’ai fait voir quelle est la nature & l’esse
s ignorants et fanatiques. Ne pouvant espérer de faire insérer dans l’
ouvrage
périodique que je viens de citer, ma réponse à M.
ues, jouaient également la comédie, ainsi que je l’ai démontré dans l’
ouvrage
que j’ai fait imprimer. Ce n’est pas tout, ce cha
umé de l’histoire des traditions morales et religieuses. En 1828, cet
ouvrage
a valu à Sénancour, une condamnation pour outrage
Théâtre. III. Les mœurs d’une Nation forment d’abord l’esprit de ses
ouvrages
dramatiques. Bientôt ses ouvrages dramatiques for
ion forment d’abord l’esprit de ses ouvrages dramatiques. Bientôt ses
ouvrages
dramatiques forment son esprit. L’influence du Th
nes rassemblées au Théâtre François, la représentation d’un excellent
ouvrage
dramatique, est rapide, ardente, unanime. Elle se
les de France, dans toutes les Capitales de l’Europe ; &, quand l’
ouvrage
est imprimé, il unit à ce grand effet qui lui est
effet qui lui est particulier, le seul effet que peut produire un bon
ouvrage
d’un autre genre. IV. Un Gouvernement équitable e
u fanatisme, cette passion pour la tolérance qui fait aimer ses beaux
ouvrages
autant qu’on les admire. Combien il auroit donné
ais par un choix médité, par une persuasion intime que nulle espèce d’
ouvrage
ne peut avoir autant d’influence sur l’esprit pub
lic me permette de l’entretenir un moment, non pas précisément de cet
ouvrage
qui n’a pas encore été soumis à son jugement, mai
t écrit, s’il se trouve des personnes bien convaincues que ce genre d’
ouvrages
ne seroit pas moins utile qu’il seroit intéressan
leur fausse dialectique ne séduit plus personne. Non, sans doute, un
ouvrage
où le fanatisme est peint des couleurs les plus n
s noires, c’est-à-dire de ses véritables couleurs, non sans doute, un
ouvrage
où la tolérance est prêchée sans cesse, ne sauroi
ue je m’adresse. Prêtres, ne soyez point effrayés par le sujet de cet
ouvrage
. Ne soyez pas plus scrupuleux que le Pape Léon X
x devroit-on poser ? cette question n’entre point dans le plan de mon
ouvrage
, & feroit seule la matière d’un écrit plus co
ens que l’on dise de moi ; cet homme écrit mal ; il a fait un mauvais
ouvrage
: pourvu qu’on soit obligé de dire ; cet homme à
r des familles entières. Mais je ne concevrai jamais comment dans les
ouvrages
qui ont pour objet la correction des mœurs &
ce vient tôt ou tard, & sur la question que j’ai traitée dans cet
ouvrage
, le temps de la justice n’est pas, je crois, fort
enfans ; de son insensibilité pour les succès, & pour ses propres
Ouvrages
qu’il avoit presque oubliés ; en un mot, du spect
, a toujours condamné les spectacles, s’occupera-t-il à commenter des
Ouvrages
que son Père s’est reproché d’avoir faits ? &
s, aux actions les plus héroïques : dira-t-on que l’Auteur de pareils
Ouvrages
s’en doive accuser comme de péchés capitaux ? Il
tre pourroit être une Ecole de vertu ; mais il ajoutoit, dans le même
Ouvrage
, que par notre faute il étoit une Ecole de vice ;
Il n’est pas étonnant que des Acteurs employés à la représentation d’
Ouvrages
si scandaleux soient retranchés de la Communion d
étienne, ne sauroit sous quelque prétexte que ce soit, ni par quelque
Ouvrage
que ce puisse être, concourir au soutien du Théat
ou renoncer à toute justesse de raisonnement. M. Bossuet a composé un
Ouvrage
exprès sur cette question. Il la traite en Evêque
ls toujours de proscrire, comme péchés graves, & la composition d’
Ouvrages
pour le Spectacle, & l’assistance à leurs rep
oit mieux qu’un autre ce qu’elles pouvoient avoir de dangereux, comme
ouvrages
de Théatre. Comme productions de son esprit, on s
conseillât aujourd’hui de désobéir à cet ordre injuste. Outre que les
ouvrages
de cette nature, quelque repentir qu’ils ayent ca
tion particulière dans de certains momens de l’action. Nous avons des
Ouvrages
dramatiques, foibles de sentiment & de versif
, l’émeut, l’attendrit. S’il ne produit pas les mêmes effets dans les
Ouvrages
de Corneille, cet Auteur en est moins excusable,
œurs par les écrits, n’ont pas craint d’introduire l’amour dans leurs
Ouvrages
; mais il y est si insensé, si furieux, si miséra
en rigide se déclara publiquement l’approbateur, avouant même que des
ouvrages
dramatiques de cette nature n’avoient rien que de
e, dont Moliere faisoit tant de cas, ne sera point mise au nombre des
ouvrages
dangereux pour les mœurs. On s’y amuse, & on
Je censure sans ménagement un de ces hommes dont on ne doit lire les
Ouvrages
, ni prononcer le nom qu’avec respect, & j’adr
de l’esprit humain. Et qu’on ne croye pas que par cette préférence d’
Ouvrages
je veuille m’élever contre la supériorité personn
e à concevoir ; non que j’en estime moins Esther, qui est un fort bel
Ouvrage
; mais à la versification près, la différence est
rs. Je ne m’arrêterai qu’aux leçons importantes qu’elle renferme. Cet
Ouvrage
est fait pour corriger & rendre meilleurs les
a grandeur & les vengeances de l’Etre souverain éclatent dans les
Ouvrages
dont nous parlons ; Poëmes d’autant plus instruct
s goût combattent quelquefois, étouffent même le succès des meilleurs
ouvrages
, & la réputation des Ecrivains du premier ord
contient l’Histoire & la défense du Théatre, & c’est dans cet
Ouvrage
que j’ai lû des choses qui m’ont surpris de la pa
pense qu’il est de la justice de n’en porter son jugement que sur les
Ouvrages
des meilleurs Artistes. Nous pourrions avoir ving
rtels. Vous voyez, Monsieur, où m’a mené le desir de vous arracher un
Ouvrage
que je vous ai demandé si souvent, & avec tan
LETTRE A MLLE. CL****,ACTRICE DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un
Ouvrage
écrit pour la défense du Théâtre. MADEMOISELLE
us les Juges les plus sévères. Sans se donner la peine de composer un
Ouvrage
nouveau, sur un sujet qui n’a été déjà que trop d
ur la défense du Théâtre, par le Père Caffaro, Théatin de Parisb. Son
Ouvrage
, devenu fort rare, traite la matière à fond ; et
s également dignes de l’approbation des honnêtes gens ? Examinons les
Ouvrages
de Monfleury, de Dancourt et de quelques autres q
incipes lui ont appris à détester ? Vous connaissez mieux que moi les
Ouvrages
dont je parle, et vous vous rappelez déjà les tra
eprésenter, je voudrais que l’on soumît à une exacte censure tous les
Ouvrages
de Théâtre, tant anciens que modernes. On défendr
a toujours été depuis son origine. Si la Nation se glorifie des beaux
Ouvrages
de Théâtre que ses Auteurs ont produit, le Recuei
qui ils ont à vivre. Mais pour diriger les Poètes eux-mêmes, et leurs
ouvrages
vers la plus grande utilité publique, je crois qu
, c’est qu’il est bien plus facile au même Auteur de perfectionner un
ouvrage
qui a déjà plusieurs beautés et d’en faire un exc
l fait au public, de donner son temps et son talent à perfectionner l’
ouvrage
d’autrui et à préférer ainsi l’utilité publique à
réformée quelques années après sa mort ; il est aisé de voir que les
ouvrages
excellents ne périraient pas faute de quelques re
ers la perfection, c’est de se servir de ce qu’il y a de bon dans les
ouvrages
des morts, en diminuant ou corrigeant ce qu’il y
crois même qu’ils eussent aperçu et qu’ils eussent condamné dans les
ouvrages
de Molière un grand nombre d’endroits où quelques
uera aux Poètes qui plairont le plus et qui dirigeront le mieux leurs
ouvrages
vers la bonne morale, il arrivera avant trente an
même Pièce ? Me fera-t-on croire qu’on aille rire si long-tems à des
ouvrages
qui ne seraient que burlesques ? L’agréable lasse
construit de manière qu’il est difficile de trouver des fautes dans l’
ouvrage
le plus mauvais, tant il offre d’excuses, & d
ce Spectacle nous fait tant de plaisir. L’énnemi juré des mauvais
ouvrages
, le fléau des sots Auteurs, le dur & l’élégan
persuader que le stile est très peu nécessaire pour faire valoir les
ouvrages
d’esprit. Voici ce que dit le fameux Rhéteur Long
bien d’hommes de génie se sont toujours fait une gloire de voir leurs
ouvrages
goûtés par les ignorans ? Ils ne croyaient leurs
es membres de l’Académie Française s’abaisser à composer pour lui des
ouvrages
? Aurions-nous vu des Auteurs distingués dans la
’immortaliser en fesant une espèce d’Opéra Bouffon qu’en écrivant ces
ouvrages
qui charmeront aussi bien la postérité que son si
nre pour lequel j’écris : « une farce éxcellente, dit-il, n’est pas l’
ouvrage
d’un homme ordinaire ». Dernières objections
que celles que j’ai déjà rapportées. Après avoir soutenu qu’il est l’
ouvrage
du caprice & de la légéreté, « son regne dit-
ons mots sont remplis de ce qu’on appelle la grosse plaisanterie. Ses
Ouvrages
modernes sont semés de traits piquans, de quolibe
sent de travailler en sa faveur, à ne rien laisser glisser dans leurs
Ouvrages
qui ne soit digne de charmer tous les honnêtes ge
vant un drame, n’importe pour quel Théâtre il soit destiné, que votre
Ouvrage
doit être vu par une grande partie du Royaume. Or
lques égards pour la faiblesse humaine, en ne mettant rien dans leurs
Ouvrages
qui puisse l’ébranler ni la porter au mal. L’
le faux & le ridicule de ces deux Vers. On a toujours pensé qu’un
Ouvrage
licencieux, écrit avec art, avec ménagement, étai
urs du nouveau Spectacle : l’amour, dit-il, fait un bel éffet dans un
Ouvrage
; Et de cette passion la sensible peinture Est p
son triomphe. Mais combien d’indécences ne découvre-t-on pas dans cet
Ouvrage
? La Scène V. est une peinture qui passe un peu l
héâtre. Il faut se garder de choisir le sujet d’un Drame dans des
Ouvrages
connus par leur indécence ; parce qu’il est bien
s qu’on mit un nom différent aux Drames qui nous sont inspirés par un
Ouvrage
licencieux, & malheureusement trop public. Ce
eille : Elle m’aimera, Quand elle verra Avec quel courage Je vais à l’
ouvrage
. Quand il faut bécher, Quand il faut piocher, Rie
ilà ce qu’on appelle une fin proportionnée au commencement ; & un
Ouvrage
indécent d’un bout à l’autre. Sancho-pança.
s’en faut de beaucoup que les Poèmes du Spectacle moderne soient des
ouvrages
vertueux, faits pour corriger les mœurs. J’ai mon
ge, autant que la bienséance, qu’on ne mette rien d’équivoque dans un
ouvrage
, rien qui puisse laisser une mauvaise idée dans l
’un des plus grands et des plus habiles Magistrats de France, dans un
ouvrage
célèbre, où il explique toute la discipline du Pa
ent de Paris, il mourut enfin Conseiller d’Etat. Il a laisse un autre
ouvrage
qu’on cite tous les jours au barreau. C’est un re
ngulier. Les Procureurs au Parlement, qui d’abord faisaient tout leur
ouvrage
, ne pouvant y suffire, prirent des Clercs, pour l
rlements, etc. En 1761 il parut en faveur du théâtre un fort mauvais
ouvrage
, qui fit du bruit. Un Avocat du Parlement de Pari
éférèrent au Parlement, demandèrent sa punition, et y dénoncèrent son
ouvrage
. Le Parlement, toujours plein de zèle pour les bo
’Avocat au Parlement. Il en a abusé pour parvenir à faire imprimer un
ouvrage
scandaleux dont l’approbation et la permission lu
ées, et sa propre lettre, font connaître évidemment que le tout est l’
ouvrage
du même homme, suivant qu’il en a été convaincu d
es impiétés. J’en citerai seulement quelques traits. On annonce que l’
ouvrage
est fait pour tous les citoyens qui en ont besoin
se et injurieuse qu’on entend faire de ce qui sera établi dans tout l’
ouvrage
au sujet de l’excommunication contre les Comédien
amers que la charité ne connut jamais. On invite le public à lire cet
ouvrage
, en assurant que les gens instruits seront charmé
système confus et odieux adopté par la consultation : le tout est un
ouvrage
de ténèbres qui part de la même plume. La conclus
retranché l’Auteur du nombre des Avocats, et m’a chargé de dénoncer l’
ouvrage
à la Cour, dont le zèle pour la religion, les bon
ter à un arrêt si sage ; il confirme tout ce que nous disons dans cet
ouvrage
, nous n’en avons même jamais tant dit. e. [NDE]
Plusieurs embarras survenus à l’Auteur pendant l’impression de cet
Ouvrage
, ne lui ayant pas permis d’en voir les Epreuves,
n des soins & des ménagemens ; il serait sûr au moins de voir ses
Ouvrages
se distinguer de la foule, en poursuivant un vice
de la Scène. pag. 288. avant dernière lig. de la note 35 ; soient l’
Ouvrage
; lis. sont l’Ouvrage. pag. 336. lig. 3. un Spec
8. avant dernière lig. de la note 35 ; soient l’Ouvrage ; lis. sont l’
Ouvrage
. pag. 336. lig. 3. un Spectateur ; lis. au Spect
ui vous jugerez à propos. Au reste, quand on ne ferait paraître aucun
ouvrage
sur ce sujet, la Lettre du R.P. Caffaro suffit ce
euses. Un jugement si avantageux a fait croire à ceux qui avaient cet
ouvrage
entre les mains qu’ils devaient le donner au Publ
de l’Auteur dût en empêcher l’impression. S’il se plaint de ce que l’
ouvrage
paraît sans son consentement, on le prie de consi
La raison veut qu’on fasse les premiers efforts pour composer un bon
ouvrage
, & on remplira toute l’attente du public. Mai
elle sera celle d’un Drame fait pour un Acteur ? Dès qu’il est mort l’
ouvrage
tombe dans l’oubli, & quelquefois ne reparoît
ées qui nous éloignent de l’idée principale, doivent être exclues des
ouvrages
d’esprit. On ne peut être à la fois rempli de son
us les yeux pour juger par son jeu des effets de chaque partie de son
ouvrage
. Je conviens que l’unité de discours doit se rapp
issent l’intérêt, ralentissent l’action, & énervent le corps de l’
ouvrage
? Tant pis. Combien de grands traits, de beautés
la des bornes de la vérité : peut-on appeler tout à fait honnêtes des
ouvrages
, dans lesquels on voit les filles les plus sévère
aussi celle du Poète, qui après avoir répandu son venin dans tout un
Ouvrage
d’une manière agréable, délicate et conforme à la
ien de plus sec et de moins agréable que ce qui est de saint dans cet
Ouvrage
? Y a-t-il rien de plus délicat et de plus passio
e de la défaite des Maures y est fort ennuyeux, et peu nécessaire à l’
Ouvrage
, étant certain qu’il n’y avait nulle rigueur en c
s. A Paris, Chez N. Pepingué, au bout du Pont S. Michel, 1666. Cet
Ouvrage
parut la même année que le Traité de Monsieur le
te ; pourquoi il cite saint Thomas. Mais il se plaint à la fin de cet
Ouvrage
par ces paroles : « Il est certain que depuis que
er que les faibles et les ignorants ne fussent surpris par ce mauvais
Ouvrage
; et il s’applique à faire voir que les Comédies
s morceaux des Comédies les plus fréquentées. Cette Réfutation est un
Ouvrage
in 4° de 500. pages : il y a beaucoup d’érudition
orité de saint Ambroise qui les a condamnés dans deux endroits de ses
Ouvrages
, premièrement dans son Traité de la Fuite du sièc
os, ne videant vanitatem. » J’aurais fait un plus long extrait de cet
Ouvrage
, qui renferme tout ce que les Auteurs postérieurs
Desprez de Boissy, Lettres sur les spectacles. Avec une histoire des
ouvrages
pour et contre les théâtres. Septième édition
cles vol.1 LETTRES SUR LES SPECTACLES ; avec Une Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres. Par M. DESPRE
premiere. L’Auteur ajouta dans la troisieme Edition, une Histoire des
Ouvrages
faits pour & contre les Théatres publics. M.
des prix. Ce fut un motif de plus pour engager l’Auteur à rendre son
Ouvrage
encore plus intéressant par des augmentations qu’
essivement été élevés au Rectorat, ont continué le même accueil à cet
Ouvrage
. M. Lebel, ancien Recteur & Receveur de l’Uni
inces, ont pareillement adopté ce Livre comme utile à distribuer. Cet
Ouvrage
a pénétré dans les Pays étrangers, & il y a é
ons représenté pouvoir être publiés, moins comme des apologies de son
Ouvrage
, ambitiosa ornamenta, que comme des autorités fav
u 8 Juin 1772. J’ai, Monsieur, reçu par le canal de M. Gresset, votre
Ouvrage
sur les Spectacles : je l’ai lu moi-même, malgré
inue à les aimer & à les vouloir justifier, nous avons dans votre
Ouvrage
de quoi les convaincre de faux raisonnement &
le est du 26 Juin 1772. J’ai, Monsieur, lu avec bien du plaisir votre
Ouvrage
sur les Spectacles : je gémis devant Dieu sur la
espece de fureur pour ces coupables amusemens. Je me flatte que votre
Ouvrage
, comme provenant d’un homme séculier, fera plus d
pareils témoignages, ainsi que d’autres, sur les bons effets que cet
Ouvrage
a produits, sont bien capables d’encouragerun Aut
s que l’Auteur a recueillies pour fortifier le principal objet de son
Ouvrage
, il en a choisi quelques-unes qu’il a réunies pou
pléé par un Extrait qui précede l’Ecrit Latin. Quant à l’Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, elle fut aussi au
leurs dangers pour l’esprit & pour le cœur. Enfin l’Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, contient dans la
ù il devroit moins en être question. Notre Auteur a pensé que dans un
Ouvrage
qui n’avoit été entrepris, public & accueilli
it en entier, soit en extrait. Tel est le caractere distinctif de cet
Ouvrage
. L’Auteur ne voulut point lui-même l’annoncer ; m
rieme & cinquieme Editions, par des Extraits des jugemens que les
Ouvrages
périodiques en avoient portés. Nous continuerons
mp; de l’autorité des Peres de l’Eglise, l’ont proscrit. Mais, dans l’
Ouvrage
de M. Desprez de Boissy, c’est un homme du monde
rapports avec le bon ordre & le bien de la société, a produit cet
Ouvrage
, dans le temps de la plus grande fureur pour les
fureur déchaînée pour les Spectacles de tout genre, n’empêche pas cet
Ouvrage
de se reproduire & d’être lu ; parce que la r
deux Lettres encore plus intéressantes, en y ajoutant l’Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, & en l’enrich
il a faites sur cette matiere, il est parvenu à rendre maintenant cet
Ouvrage
aussi complet dans son genre que l’on pouvoit le
l’on pouvoit le desirer. Ce Livre sera toujours mis au nombre de ces
Ouvrages
solides qui seront souvent reproduits, parce que
en donnant dans sa seconde Lettre un assez long extrait de l’éloquent
Ouvrage
de M. J.J. Rousseau, sur les Spectacles. Enfin on
Ecrits pour & contre les Théatres. Le tout forme présentement un
Ouvrage
qui pourroit être regardé comme un Livre classiqu
du Journal Ecclésiast. de Mai 1769, Août 1771, & Juillet 1774. L’
Ouvrage
de M. Desprez de Boissy, malgré tout ce qu’on a é
celle des Auteurs profanes…. Le débit des fréquentes Editions de cet
Ouvrage
, prouve que le goût des futilités n’empêche pas e
ous les Journaux ont parlé avec éloge des précédentes éditions de cet
Ouvrage
…. Il n’a rien qui puisse le rendre suspect aux pa
pour remplir l’idée que les Ecrits périodiques avoient donnée de son
Ouvrage
, en l’annonçant comme un arsenal où l’on trouve d
la Religion, mais même contre la raison. On ne peut trop répandre cet
Ouvrage
entre les mains de la jeunesse. Aussi est-il du n
s. C’est une sorte de phénomene que dans un siecle aussi corrompu, un
Ouvrage
de cette nature soit aujourd’hui [en 1777] à la s
les Spectacles ; c’est par la Philosophie même…. On trouvera dans cet
Ouvrage
d’excellens principes, & des raisonnemens trè
autorité ne sçauroit être récusée. L’empressement du Public pour cet
Ouvrage
, a engagé l’Auteur à réunir ses deux Lettres, à l
défense des Théatres…. On a porté sur les précédentes Editions de cet
Ouvrage
le jugement le plus avantageux. Ce Livre a été re
te derniere Edition est encore plus intéressante par une Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres. On y trouve de pl
entes petites Pieces qui forment une variété agréable…. Tout dans cet
Ouvrage
annonce que M. Desprez de Boissy n’a eu en vue qu
u égard au caractere des autorités qui les appuient. Son Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, qui y a été joint
un zélé Partisan des Théatres avoit hazardée sur la 6e Edition de cet
Ouvrage
, dans le Journal de Paris de l’année 1778, a donn
ré jusqu’au Lundi 16 Février 1778, d’annoncer la sixieme Edition de l’
Ouvrage
de M. Desprez de Boissy, sur les Spectacles. Vous
admis une notice aussi peu convenable à la bonne réputation dont cet
Ouvrage
a toujours joui. Il fut même loué dès son origine
comment il termina l’extrait qu’il donna de la seconde Edition de cet
Ouvrage
, dans la Feuille Hebd. des Provinces du 15 Décemb
. Le siecle d’ailleurs nous rassure. Voilà ce qui s’appelle juger un
Ouvrage
avec impartialité. Mais M. de Querlon n’eut pas l
au Bal. Cette maxime est une des assertions de la notice donnée sur l’
Ouvrage
de M. Desprez de Boissy, dans la Feuille du Lundi
s avez, Messieurs, annoncé dans votre Feuille du Lundi 16 Février, un
Ouvrage
intitulé : Lettres sur les Spectacles, avec une H
Ouvrage intitulé : Lettres sur les Spectacles, avec une Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, par M. Desprez de
à présent. L’Auteur du Mercure qui annonça la premiere édition de cet
Ouvrage
, dans le volume du mois de Mars de l’année 1756,
justes, nous ajouterons à la louange de M. Desprez de Boissy, que son
Ouvrage
nous a paru très-bien écrit, & que cet Ecriva
ures plutôt sur l’abus du genre dramatique que sur le genre même. Cet
Ouvrage
, en croissant dans ses différentes éditions, augm
autre a avancé que raison assaisonnée pourroit être la devise de cet
Ouvrage
. Et tous sont convenus que ce livre faisoit autan
l’esprit qu’aux mœurs & aux sentimens de l’Auteur. L’objet de cet
Ouvrage
exigeoit que la théorie des principes y fût forti
dit ce même Journaliste, ce livre sera toujours mis au nombre de ces
Ouvrages
solides, qui sont souvent reproduits, parce que l
nt, renaîtra toujours. Les Approbations motivées des Censeurs que cet
Ouvrage
a eus successivement, & les suffrages honorab
oissy, & qui est rapportée au commencement du deuxieme volume. Un
Ouvrage
parvenu à six éditions, & comblé de tant d’él
ssent émanés du sentiment des Lecteurs ; ce qui prouve l’énergie de l’
Ouvrage
. Ce livre a été également bien accueilli dans les
ette du 11 Avril 1777, a dit que M. Desprez de Boissy avoit, dans cet
Ouvrage
, donné des preuves de son bon goût, de son érudit
détruire les idées défavorables que vous avez essayé de donner de cet
Ouvrage
. Elles se ressentent de l’opinion où vous êtes, q
outenir ce Livre, que celui que les Gens de Lettres prennent aux bons
Ouvrages
. Il faut bien que celui-ci soit de ce nombre, pui
fortifier mes deux Lettres pour la défense de la sixieme Edition de l’
Ouvrage
de M. Desprez de Boissy. Les réflexions qu’elles
, page 78 : « M. Desprez de Boissy, y est-il dit, ne cherche dans son
Ouvrage
, qu’à rétablir la pureté des mœurs, le vrai fonde
me il fut observé dans le Journal Chrétien du mois d’Avril 1758, où l’
Ouvrage
de M. Desprez de Boissy fut annoncé avec éloge, «
t toujours triompher la vertu. Racine, c’est ainsi que tes doctes
ouvrages
N’offrirent de ton cœur que de nobles images. L’a
uis également persuadé, que s’il avoit eu connoissance d’un excellent
Ouvrage
, dont il n’a annoncé que le titre à la page 458 d
page 458 de son second Volume, il en auroit donné un extrait. Ce bon
Ouvrage
a pour Auteur M. l’Abbé de la Tour, Secrétaire Pe
s réponses qu’il y a faites, peuvent également militer en faveur de l’
Ouvrage
de M. Desprez de Boissy. « On m’objectera peut-ê
ecture avec un tel intérêt, qu’on voit arriver trop tôt la fin de cet
Ouvrage
, qu’on pourroit appeller Histrio-Mastix, c’est-à-
de l’année 1632. Enfin, la franchise & le zele qui regnent dans l’
Ouvrage
de M. de la Tour, pouvoient le mettre dans le cas
Maffei fut-elle supérieurement combattue. Mais dans le nombre de ses
Ouvrages
, dont le Catalogue, comme l’a dit M. le Beau, sem
es vices, comme l’a démontré M. Desprez de Boissy. Les éloges que son
Ouvrage
a reçus, sont une preuve que ce qui est conforme
ator suave clamat esse quod verum est 15. Voilà ce qui a attiré à cet
Ouvrage
un accueil si favorable, jusque dans les Pays étr
; mais il n’a point parlé des louanges dont M. Rulfo avoit comblé son
Ouvrage
. Elles ont été d’autant plus sinceres, que M. Rul
ement. Elles sont en effet relatives à l’historique des Éditions de l’
Ouvrage
de M. Desprez de Boissy. On y trouve des preuves
’ont honoré de Lettres, qui expriment l’intérêt qu’ils prennent à cet
Ouvrage
. Nous pouvons citer dans ce nombre M. le Clerc de
e de M. Tinseau, Evêque de Nevers ; elle est du 23 Avril 1777. Votre
Ouvrage
, Monsieur sur les Spectacles, ne pouvoit paroître
3 Juin 1777. J’ai lu, Monsieur, avec un vrai plaisir votre excellent
Ouvrage
sur les Spectacles. Il doit être d’une grande uti
du 8 Décembre 1777. Il y a long-temps, Monsieur, que je connois votre
Ouvrage
sur les Spectacles. J’ai relu avec un très-grand
exemple & autorité en faveur des Spectacles, on verra dans votre
Ouvrage
, que la raison, la Religion & l’expérience vo
illet 1778. J’ai lu, Monsieur, avec la plus grande satisfaction votre
Ouvrage
sur les Spectacles. Mes sentimens à son égard son
en place, Monsieur, qui ne doive vous tenir compte de votre excellent
Ouvrage
sur les Spectacles, comme d’un bienfait public. E
d’un nouveau Confrere, avantageusement connu dans la Littérature. Un
Ouvrage
plein de recherches, élégamment écrit, & dont
otif d’encouragement pour les défenseurs des mœurs. Les succès de cet
Ouvrage
sont une ratification du jugement que les Censeur
s de M. Desprez de Boissy, sur les Spectacles ; avec une Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres publics ; & n’
& son zele pour la régularité des mœurs, dans un siecle fécond en
Ouvrages
où l’on paroît si peu la respecter. A Paris, le 1
PROBATION. J’ai lu, par ordre de Monseigneur le Garde des Sceaux, un
Ouvrage
imprimé, qui a pour titre : Lettres sur les Spect
qui a pour titre : Lettres sur les Spectacles ; avec une Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, par M. Desprez de
t exposer qu’il desireroit faire réimprimer & donner au Public un
Ouvrage
, qui a pour titre : Lettres sur les Spectacles, a
qui a pour titre : Lettres sur les Spectacles, avec une Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres ; s’il Nous plaiso
permis & permettons par ces Présentes, de faire réimprimer ledit
Ouvrage
, &c. Faisons défenses à tous Imprimeurs, Libr
r en vente, le manuscrit qui aura servi de copie à l’impression dudit
Ouvrage
, sera remis dans le même état où l’Approbation y
es, qui sera imprimée tout au long, au commencement ou à la fin dudit
Ouvrage
, soit tenue pour duement signifiée, &c. Comma
présentée le 23 Février 1775, & qui a été ensuite imprimée. « Les
Ouvrages
de Théatre, (dit-il dans cette Lettre) sont comme
lus grand regret a été de ne devoir l’immortalité de son nom qu’à ces
Ouvrages
que le Théatre François s’estime si heureux de po
’amour a été érigé en qualité héroïque qui doit dominer dans tous les
Ouvrages
dramatiques. C’est une opinion que les partisans
e me prévienne contre tout ce qui est fiction. Je sçais qu’il y a des
Ouvrages
de ce genre, qui doivent être regardés comme des
eroit renoncer à une source de plaisirs honnêtes, que de rejetter ces
Ouvrages
de génie. Mais les inconvéniens inséparables des
ortrait sur lui-même formé. Desp. Bayle, cet Ecrivain dont les
Ouvrages
seroient utiles, si, pour leur donner plus de cou
lui ai fait tant d’honneur. La morale licencieuse, qui regne dans ses
Ouvrages
, est tellement uniforme, que les vers que je vous
n fasse jamais usage69. Le célebre Mariana 70 prouve, dans un de ses
Ouvrages
, que les Spectacles devroient être abolis ; &
ron de Bielfeld ne s’est pas fait une peine d’en faire l’aveu dans un
Ouvrage
qu’il a donné en 1768, sous le titre de l’Eruditi
s102. Et après les avoir précédemment combattus dans plusieurs de ses
Ouvrages
, dont la collection est précieuse, il engagea le
s moins connues. Ainsi, comme il a été judicieusement observé dans un
Ouvrage
moderne de Jurisprudence106 : « La distinction qu
sent d’autant plus méprisables, que leur avilissement est leur propre
ouvrage
; puisque rien ne peut nous dégrader que nous-mêm
communiquée, ont pensé qu’elle pourroit servir de seconde Partie à l’
Ouvrage
de M. Desprez de Boissy. Pourquoi hésiterois-je à
désaveu public à votre Réponse. La Lettre que vous critiquez, est un
Ouvrage
philosophique qui ne m’a jamais paru capable d’of
ction de voir le Public ratifier le jugement que j’avois porté de cet
Ouvrage
. Tous les Journalistes129 l’ont annoncé avantageu
onner un démenti public, & se contenter d’annoncer de nouveau les
Ouvrages
qui ont détruit ces fausses imputations131. Qu’on
ces fausses imputations131. Qu’on lise les Discours du P. le Brun, l’
Ouvrage
de M. le Prince de Conti, les Réflexions de M. Ni
rd d’une grande régularité. Si, dit un Auteur Luthérien, cité dans un
Ouvrage
du P. Concina, quelques Princes Evangéliques tole
crés & vénérables dont on abuse pour justifier la composition des
Ouvrages
dramatiques & le danger des Spectacles ; les
ede tous les germes. M. Fréron ne s’est pas montré bon connoisseur en
Ouvrages
de Casuistes, lorsqu’il a donné pour un Ecrit jud
sions sur les Spectateurs. Mais quoique cet Ecrivain insinue dans cet
Ouvrage
le poison de la volupté, en paroissant le proscri
! Se peut-il qu’un Livre à la fois si sublime & si simple, soit l’
ouvrage
des hommes ? Se peut-il que celui dont il fait l’
ur davantage, que Moliere est le plus parfait Auteur comique dont les
ouvrages
nous soient connus. Mais qui peut disconvenir aus
e joignoit à ces qualités, une adresse singuliere de la main pour les
ouvrages
les plus difficiles, beaucoup de talent pour la p
s vous rapporter des conseils de cette Dame : ils se trouvent dans un
ouvrage
qu’elle avoit fait, & qui fut donné au Public
oids des impôts. Eh ! malheureux que nous sommes, ces maux sont notre
ouvrage
. C’est nous autres. Courtisans, devroient-ils dir
x Gens de Lettres, si l’on ne peut mériter d’y être admis que par des
Ouvrages
utiles & des mœurs irreprochables. Celles de
peu de votre art séducteur ; Si vous charmez l’esprit par vos sçavans
Ouvrages
, L’action parle mieux au cœur. Après tous vos ef
toujours la premiere à parodier son rôle, & à détruire son propre
ouvrage
…. Elle quitte, en atteignant la coulisse, la mora
e furtivement ses erreurs…. Les demi-Sçavans croyant trouver dans ses
Ouvrages
des preuves invincibles contre la Religion, mépri
nserver la pureté & l’innocence de ceux qui ne cherchent dans les
Ouvrages
des Anciens que ce qu’on y doit chercher, qui est
re Chancelier conçut des Spectacles, sont déposées dans ses excellens
Ouvrages
, où il sera toujours lex loquens 234 ; c’est-à-di
la nouvelle édition des Œuvres de M. Bossuet. On ne connoissoit que l’
Ouvrage
que ce Prélat donna ensuite sous le titre de Maxi
p; Réflexions sur la Comédie. Il en est parlé dans notre Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, p. 158, où il est
éologien, &c. & voir en même temps le scandale qu’a donné cet
Ouvrage
, sans en être sensiblement affligé ; & j’ai c
Discours, n’accorderent au défunt Académicien aucune louange sur ses
Ouvrages
littéraires. Le silence à cet égard leur parut un
propre à justifier les Théatres publics ; & il l’employa dans son
Ouvrage
intitulé : De i Vizi de’ Teatri 291, &c. Mais
& 18 Août 1770, dont il est parlé page 414 de notre Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres. La licence des ma
tend de tous côtés les Ministres de l’Eglise gémir à la vue de tant d’
Ouvrages
que l’on ne peut affecter de répandre & de mu
jugement que la postérité portera de notre siecle, en parlant de ces
Ouvrages
qu’il produit !…. Telle est la philosophie des fa
egle & le terme de ses actions ?…. Dieu est visible dans tous ses
Ouvrages
…. La lumiere de son visage est gravée sur nous [P
présenté. Tantôt ils ont fait de l’irreligion le fonds même de leurs
Ouvrages
; tantôt ils l’ont mêlée dans des Ecrits obscenes
uvent remplir, elles passent une vie oisive dans la méditation de ces
Ouvrages
scandaleux. A peine sont-ils devenus publics dans
Avocat au Parlement : il en a abusé pour parvenir a faire imprimer un
Ouvrage
scandaleux, dont l’approbation & la permissio
idées à sa propre Lettre, font connoître évidemment que le tout est l’
ouvrage
du même homme, suivant qu’il en a été convaincu d
s impiétés : j’en citerai seulement quelques traits. On annonce que l’
Ouvrage
est fait313 pour tous les Citoyens qui en ont bes
& injurieuse qu’on entend faire de ce qui sera établi dans tout l’
Ouvrage
au sujet de l’excommunication contre les Comédien
rs que la charité ne connut jamais. On invite le Public323 à lire cet
Ouvrage
, en assurant que les gens instruits seront charmé
ystême confus & odieux adopté par la Consultation. Le tout est un
ouvrage
de ténebres, qui part de la même plume. La conclu
ché du nombre des Avocats, l’Auteur, & m’a chargé de dénoncer son
Ouvrage
à la Cour, dont le zele, en matiere de Religion,
pés pendant plusieurs mois de la composition & du succès de leurs
ouvrages
; mais encore plus conformes à la Religion, qui a
us a donné sur le même objet les Réflexions les plus solides dans son
Ouvrage
intitulé : Principes de la Littérature. C’est a
annis de la Ville de Venise. Ce fait se trouve rapporté dans un petit
Ouvrage
Latin qui fut imprimé à Padoue en 1630, sous ce t
res. Nous devons à la Bibliotheque du Roi la connoissance de ce petit
Ouvrage
Latin, dont un Exemplaire de l’édition originale
n sont comme les Magistrats pour distribuer le travail ; assigner aux
Ouvrages
le rang qu’ils doivent occuper ; les enregistrer,
contient les principes essentiels. François del Monaco a divisé son
Ouvrage
en trois parties, dont la premiere contient sept
peuvent se représenter sans péché mortel ». La troisieme partie de l’
Ouvrage
de Del Monaco, propose les raisons apparentes don
ent l’opiniâtreté des hommes. La quatrieme & derniere partie de l’
Ouvrage
de Del Monaco, se réduit à trois remedes qu’il pr
ar le P. Ottonelli, Jésuite, qui donna sur ce même point de morale un
Ouvrage
en 3 vol. in 4°., dont nous parlons pag. 124 de n
ge en 3 vol. in 4°., dont nous parlons pag. 124 de notre Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres. Les principes que
ire des Provinces, du 16 Août 1776, où il a annoncé comme un très-bon
Ouvrage
bien pensé & bien écrit le Testament spiritue
la Congrégation de S. Vannes, fit imprimer en 1747, à Charleville, un
Ouvrage
intéressant, dédié à S.A.M. le Prince de Condé ;
1778, où l’on trouve la Notice suivante sur cet Auteur. « Une foule d’
Ouvrages
de toute espece, que M. de Voltaire a publiés dep
oujours sur la solidité des raisons. On sçait que dans plusieurs bons
Ouvrages
, tels que les Lettres de quelques Juifs Portugais
à ceux de Mars. Il fut reçu à l’Académie Françoise en 1665 ; mais ses
ouvrages
satyriques & licencieux lui attirerent des di
donner. M. de Voltaire, dans le Siecle de Louis XIV, a dit qu’un seul
Ouvrage
auroit suffi pour assurer à ce Prélat l’immortali
at. Maj. 57. Cette Lettre sera imprimée à la suite de l’Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres. 58. Nulla capit
à Paris le 9 Janvier 1757. Sa mere étoit sœur de Pierre Corneille. L’
Ouvrage
qui fera toujours le plus d’honneur à Fontenelle,
s du Parlement, &c. Voici sur la même matiere quelques idées d’un
Ouvrage
Latin, peu commun en France, intitulé : Thesaurus
egardoit la discipline & les décisions des Conciles. Histoire des
Ouvrages
sur la Comédie. 102. Voyez le Dictionnaire des
ittéraire 1757. 131. Voyez à la suite de ces Lettres, l’Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres. 132. In omni eo
74 une Histoire littéraire des Troubadours en 3 vol. in- 12. C’est un
Ouvrage
formé des matériaux qui avoient été rassemblés pa
. Les Causes du bonheur public. Il en sera parlé dans l’Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres. 144. Principes
. 151. Voyez la premiere Lettre, page 61, 63 ; & l’Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, à l’article des M
jà citée pag. 67, & qui est imprimée à la suite de l’Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres. 155. Esprit de l
éclairée, & de la charité la plus tendre. On a d’elle deux petits
Ouvrages
qui font l’éloge de son esprit, comme de son cœur
. Cet impromptu, dit M. Linguet, fit rire assez haut. 200. Dans son
Ouvrage
intitulé : Considérations sur les causes de la gr
te anecdote se trouve ainsi rapportée à la fin du troisieme tome d’un
Ouvrage
qui a paru en 1773, sous le titre de nouvelle Dém
l y est dit : « Ayant vu nous-mêmes plusieurs Représentations desdits
Ouvrages
dont nous avons été satisfaits, nous avons donné
d’édification qui autorisent la vertu & la piété. 244. Dans son
Ouvrage
intitulé : Mes Souvenirs. 245. C’est-à-dire, la
ur public. On sçait que M. Bossuet composa par ordre de Louis XIV, un
Ouvrage
intitulé : Politique tirée des paroles de l’Ecrit
récédens du même Evêque, se trouvent indiqués dans notre Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, p. 183 ; de même
euple doit à son Souverain. 290. On trouvera dans notre Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, pages 160-162, qu
irconstances. 291. Il est parlé de cet Ecrit dans notre Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres, page 422. 292. I
atres, page 422. 292. Il en est parlé page 228 de notre Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres. 293. Sempre vi s
est imprimé avec l’Arrêt du 23 Janvier 1759, pour la condamnation des
Ouvrages
suivans, intitulés : De l’Esprit, le Pyrrhonisme
ontre Théophile, Bertelot, &c. 309. Pour la condamnation de sept
Ouvrages
impies ; sçavoir, La Contagion sacrée, Dieu &
nt intervenu sur ce Requisitoire le 18 Août 1770, a condamné tous ces
Ouvrages
à être brûlés. 310. Dans la Feuille du 10 Septem
bitur qui penitùs naturam ingenii humani perspexerit. 328. Dans son
Ouvrage
intitulé : Défense du Traité de M. le Prince de C
jura ses travaux couronnés, & déclara les maximes de ces sortes d’
Ouvrages
diamétralement opposées aux maximes du Christiani
s lui fit honneur. Il se félicitoit, avec raison, de la pureté de ses
Ouvrages
, & il disoit souvent sur la fin de sa vie : C
otice que nous donnons sur cet Auteur, page 123 de notre Histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres. 364. Jean-Paul
sulta Patrum, qui leges juraque servat. Lib. I, ep. XVI. 383. Cet
Ouvrage
se vend à Paris chez Vincent. Nos jeux scéniques
point servi non plus. Donat est le plus ancien Commentateur dans les
ouvrages
duquel on le trouve. Sans doute quelques Sçavans
its Poèmes séparés, il est nécessaire qu’elles tiennent au reste de l’
ouvrage
, & qu’on ne puisse les en détacher sans le ro
, s’il est permis de s’éxprimer de la sorte, donnent le mouvement à l’
ouvrage
entier. Tout leur mérite dépend de faire entr
nombre d’avantages, & de grandes ressources dans le cours de son
ouvrage
. Quand quelques Acteurs sont amenés à propos dès
t-il obligé d’observer des loix dont on s’écarte chaque jour dans des
Ouvrages
d’un genre encore plus relevé ? d’ailleurs, il ra
e ses Auteurs démentir les belles choses qu’ils avançaient dans leurs
ouvrages
: il me semble, par éxemple, que la marche des Sc
sance au proverbe, cela est beau comme le Cid. Quelques Scènes de cet
Ouvrage
admirable n’ont guères d’union entr’elles, témoin
icence des habits & des décorations, la sublimité des talens, des
ouvrages
, de la danse, de la musique, la noblesse de la co
e galant Ovide est plus mesuré que l’Opera de Mericour. L’Editeur des
Ouvrages
& l’Auteur de la vie d’Alexis Piron, célebre
’est convertit & a terminé sa vie en chrétien. Un de ses premiers
ouvrages
, est une Ode impie & grossierement obscene, s
us l’avons décidé, nos plus purs sentimens Ne sont-ils pas toujours l’
ouvrage
de nos sens ? Pourquoi chercher ailleurs un pouvo
ber. On disoit d’elle dans le temps, les Médecins ont voulu faire un
ouvrage
méchant, & ils n’ont fait qu’un méchant ouvra
nt voulu faire un ouvrage méchant, & ils n’ont fait qu’un méchant
ouvrage
. Antithese triviale & jeu de mots, comme ceu
honnête homme, homme honnête, &c. Les Médecins supprimerent leur
ouvrage
, on n’en a plus parlé : mais Moliere s’en vengea
tout. On ajoute cependant que lui-même faisoit fort peu de cas de son
ouvrage
, qui n’étoit qu’une traduction en prose fort mauv
teur, tant de travail pour mettre entre les mains de tout le monde un
ouvrage
dangereux, fait-il l’éloge de la religion, de la
son auteur ? Le Cardinal de Polignac a fait pour combattre Lucrece un
ouvrage
immortel qui vaut mieux lui seul que sa traductio
ujourd’hui sans rien apprendre ? A quoi sert donc de tant méditer les
ouvrages
d’autrui ? Corneille, Racine, Crébillon, Voltaire
onnement ? Que produit-il ? Des Auteurs sans forces, sans idées ; des
Ouvrages
sans goût, sans moële, sans sauce, pleins de long
nerfs, sans substance, sans ame. Nous définirons le jugement dans les
Ouvrages
d’esprit, l’art de connoître les objets sous tout
fouiller dans les sources ? De Littérature ? On a sa cabale, dont les
ouvrages
sont toujours bons, & ceux de la cabale contr
ent en général est donc un fardeau inutile à nos beaux esprits. Leurs
Ouvrages
sont marqués au coin du mépris qu’ils en font ; &
tres, à qui cette partie si essentielle à échappé dans leurs premiers
Ouvrages
, faute des connoissances suffisantes ; on ne peut
pourvû de lumieres suffisantes, se trompe si rarement à apprécier les
ouvrages
d’esprit, leur juste valeur ; tandis que les Aute
e par les génies qui le professoient, on rendit justice à leurs beaux
Ouvrages
. Le goût du Théatre devint-il général ? Il peupla
compromettent. Ou ils en feront en faveur de l’Acteur, pour que leur
ouvrage
ait au moins cette espéce de mérite. Ici ils sacr
que autant de soin de gagner les spectateurs, que de composer de bons
ouvrages
? Ils n’en portent que de jugemens hazardés. Il e
le tromper que de bien faire ? Il est pourtant dans ce cas. Aussi les
ouvrages
sont foibles, parce qu’on ne daigne pas les trava
asme. 5. Ce Chapitre, égaré pendant le cours de l’impression de cet
Ouvrage
, ne s’est retrouvé que quand il n’étoit plus tems
IV. & Sully, Drame en 4 Actes, en Prose, disoit à la tête de cet
Ouvrage
dans son Avertissement. « Un Public bien intenti
ux. L’Homme de Lettres essuye mille désagrémens, dont le refus de son
Ouvrage
est le moindre : ce qui décourage un galant homme
ique de Louis XIV. » Voici comme M. Kerlon, en rendant compte de cet
Ouvrage
, s’exprimoit dans la Feuille 19e. 1755. « L’événe
che cette réflexion. Maintenant écoutons parler M. Cailhava, dans son
Ouvrage
intitulé, Cause de la décadence du Théâtre, &
ns aux autres. Vous avez beau faire voir combien il est absurde qu’un
Ouvrage
de génie, sur lequel les Gens de l’Art peuvent à
leurs lumieres & leur honnêteté, à qui seroit confié l’examen des
Ouvrages
Dramatiques, & le droit de prononcer sur leur
ques moyens, qui ne furent goûtés que des Spéculateurs. L’Auteur de l’
Ouvrage
que je publie, plus sévère que Riccoboni, voit le
gédie. 390 Dans la Note [D] l’on se contente de renvoyer à différens
Ouvrages
qui ont traité de notre Opéra ; parce que ce Spec
, dit un mot des Baladins & des curiosités spectaculeuses. 446 L’
Ouvrage
est terminé, 1. par un nouveau Projet, pour l’éta
eur a mieux aimé taire quelque chose, que de rendre la lecture de son
Ouvrage
trop laborieuse : quel que soit le sérieux &
vis-à-vis la rue Dauphine. On ne demande que trois ans pour tous ces
ouvrages
: les Comédiens-Français occuperont durant tout l
ie ordinairement un Dramatiste ; mais il designe encore l’auteur d’un
Ouvrage
sur les drames & sur les acteurs : c’est le s
ait été inconnu des Anciens. Tout nous dit qu’il n’est pas sûrement l’
ouvrage
d’un Siècle. Quoi ! l’on pourrait penser que les
és un Livre pareil à l’Encyclopédie, rien ne nous serait échappé. Cet
ouvrage
dévoilerait à nos yeux l’industrie de leurs Artis
uis ravi de leur apprendre qu’ils n’ont point encore tout vu dans des
Ouvrages
où ils s’éfforcent de trouver tant de choses.
n’est pas le seul article un tant soit peu ridicule qui soit dans cet
ouvrage
immense, & dont surement la Postérité ne se s
ne prétendons pas examiner ici. Il est du moins certain que c’est un
ouvrage
des premiers siècles, et d’une main très respecta
mpulsa ? » Il finit par une description des beautés de la nature, des
ouvrages
du Créateur : spectacle bien supérieur à toutes l
héophile, Evêque d’Antioche. Il ne nous reste d’un grand nombre d’
ouvrages
de ce savant et pieux Evêque du second siècle, qu
ciple de S. Justin, est sans doute affaiblie par son hérésie ; mais l’
ouvrage
contre les Grecs et les Gentils, qui nous reste d
toujours été estimé dans l’Eglise. A quoi me servent, dit-il dans cet
ouvrage
, un Oreste furieux, le héros d’Euripide, un Alcmé
erça pendant trente ans avec le plus grand succès, a laissé plusieurs
ouvrages
remplis d’érudition, entre autres des instruction
grand monde, qu’il connaissait parfaitement, a laissé grand nombre d’
ouvrages
excellents qui l’ont fait mettre au rang des Père
cutat. » Ces Divinités, ces Héros, ces grands exploits, ne sont que l’
ouvrage
des passions criminelles : « Divinitates fortia f
justesse, la précision, la clarté, sont les plus belles qualités d’un
ouvrage
; en quoi surtout excelle l’Ecriture sainte qui d
e. Ce saint Patriarche d’Antioche, dont il reste encore plusieurs
ouvrages
utiles, dit en parlant du théâtre (L. de sacra Si
quel son mérite lui avait attiré la confiance. Ce Saint, entre autres
ouvrages
, a fait un grand Traité de morale sous le titre d
e Louis le Jeune, et à celle du Pape Adrien VI, son ami. Entre autres
ouvrages
, il en a fait un sur la Cour, qu’il connaissait b
C’était le plus savant homme et le plus bel esprit de son siècle. Son
ouvrage
est excellent, très bien écrit, plein d’érudition
je vous en dois compte, & je viens vous le rendre sur un genre d’
Ouvrages
, auquel j’ai cru devoir renoncer pour toujours. I
crés & vénérables dont on abuse pour justifier la composition des
Ouvrages
Dramatiques & le danger des Spectacles, les T
z effacer le scandale que j’ai pu donner à la Religion par ce genre d’
Ouvrages
, & de n’être point à portée de réparer le mal
la sévérité de ses regards. La même balance me réglera dans d’autres
Ouvrages
qui n’ont point encore vu le jour. Pour mes nouve
fermes principes de la saine raison ? Comment immoler nos jours à des
Ouvrages
rarement applaudis, souvent dangereux, toujours i
incapable d’une jalousie qui m’engageroit à rabaisser injustement les
Ouvrages
de nos Voisins, & je fuis très-éloigné d’un e
toit imprimée en Espagne avec ce titre, Comedia famosa, è grande, les
Ouvrages
des autres Nations n’y étoient pas connus. Depuis
dit : Tout ce que les Italiens ont fait de mieux en 250 ans en fait d’
Ouvrages
Dramatiques, ne peut être comparé à ce que la Fra
liberté en tout, est supérieure aux Regles. Nous ne connoissons aucun
Ouvrage
généralement estimé, fait par un esprit supérieur
de concert un Homere, un Sophocle, &c. & ce sont toujours les
Ouvrages
de ces Genies qui n’ont point été supérieurs aux
n dira peut-être, qu’on ne doit point désaprouver ces choses dans les
Ouvrages
d’un Poëte qui travaille pour un Musicien, &
les siennes, qui étant celles d’un homme plein de la lecture des bons
Ouvrages
de l’Antiquité & des nôtres, sont malgré leur
e, il s’adresse en ces termes à ses Compatriotes : Voici, Anglois, un
Ouvrage
digne de votre attention. L’ancien Caton regarda
terre. Son succès & celui de la Mérope Italienne prouvent que les
Ouvrages
qui approchent le plus de la régularité, sont ceu
hoses: Celui qui a fait les belles choses, est plus beau que tous ses
ouvrages
. Celui qui a fait les choses fortes, est plus for
mez. Apprenez à aimer le Créateur en la créature, et l'ouvrier en son
ouvrage
; Il ne faut pas vous laisser occuper par les chos
t être pécheur sont deux choses bien différentes ? Etre homme c'est l'
ouvrage
de Dieu ; être pécheur, c'est l'ouvrage de l'homm
férentes ? Etre homme c'est l'ouvrage de Dieu ; être pécheur, c'est l'
ouvrage
de l'homme. Pourquoi, me direz-vous, ne m'est-il
mme. Pourquoi, me direz-vous, ne m'est-il point, permis de donner à l'
ouvrage
de l'homme. Qu'est-ce que donner à l'ouvrage de l
nt, permis de donner à l'ouvrage de l'homme. Qu'est-ce que donner à l'
ouvrage
de l'homme ? C'est donner à un pécheur à cause de
à qui ils donnent ; mais ils ne considèrent pas en eux la nature de l'
ouvrage
de Dieu ; ils ne regardent que l'iniquité de l'ou
la nature de l'ouvrage de Dieu ; ils ne regardent que l'iniquité de l'
ouvrage
de l'homme. Dans le Traité 100. Sur le 16. Cha
t-ce-pas de renoncer au Diable, à ses Pompes, à ses Spectacles, à ses
ouvrages
. Nous les suivons toutefois après le Baptême ; no
alienne bannisse le naturel & ce beau simple qui fait briller les
Ouvrages
en tout genre, pour n’être digne que de la second
res de chaque Artiste une certaine simplicité, un certain rapport aux
Ouvrages
de la Nature, qui les mettent à la portée de tout
ut point être Peintre ; il suffit d’avoir la vue juste. On admire les
Ouvrages
de M. de Voltaire, sans être né Poète, sans avoir
e en faveur du motif. Tâchant de ne rien oublier d’èssentiel dans cet
Ouvrage
, je dois parler des deux genres de musique qui di
. Je demande à ces gens délicats, qui ont tant de peine à écouter les
ouvrages
de nos Compositeurs, s’il résulte d’un langage au
r, & que les Auteurs de nos jours commencent à marquer dans leurs
Ouvrages
, en employant fréquemment les accens ou les signe
es fit les délices du siècle éclairé de Louis XIV. On admire dans ses
Ouvrages
un chant naturel & gracieux. Campra sut march
Un nombre infini de Musiciens Français ont composés de nos jours des
Ouvrages
célèbres, dans lesquels on apperçoit autant de gr
neur au goût Français ; & qu’on retient d’abord par cœur tous ses
Ouvrages
, tant ils sont simples & chantans. On s’apper
gal, avait des beautés, puisqu’il s’applique dans la plus-part de ses
Ouvrages
à saisir cette unité de Sons, cette mélodie si ch
ou de purs sophismes. « La musique Française, dit-il, dans son nouvel
Ouvrage
, aurait beaucoup plus besoin que l’Italienne d’un
èxpression, & que les Italiens ne caractérisent point assez leurs
Ouvrages
? Ils traitent de la même manière les passions di
r da-Capo. Ce passage est souvent dur ; c’est un défaut dans tous les
Ouvrages
; c’en est un grand dans les Pièces de musique de
. Foix. Je ne connois pas M. de S. Foix, je sais seulement par ses
ouvrages
que c’est un Militaire, qu’il a été à Constantino
s enthousiasmé de Dulcinée. Ce doit être un homme caustique, tous ses
ouvrages
sont pleins de traits mordans, mais amusant dans
issent le craindre, & n’ont pas tort. Il est très-délicat sur ses
ouvrages
; il fit un procès au Châtelet à l’Abbé Dinouart,
tolle, lege. Qu’ai-je à craindre ? il n’y a pas même apparence qu’un
ouvrage
obscur enfanté dans le fond d’une province, parvi
main si foible peut-elle allumer son courroux ? Je lui connois trois
ouvrages
, sur la foi de son Libraire, qui en donne le cata
s : Quelle différence de goût, d’esprit, de finesse, d’agrément ! Cet
ouvrage
est tombé dans l’oubli qu’il mérite. Je ne daigne
brodequin, c’est ainsi qu’elles auroient écrit. Ce ne sont point des
ouvrages
de génie ; point de grand dessein, d’intrigue bie
ur la vie du serrail ? Ce n’est pas mon dessein de faire l’examen des
ouvrages
de M. de S. Foix du côté littéraire. Il est homme
à six de passés ; je fis un dernier effort, & enfin j’achevai cet
ouvrage
. C’est donc ici un ouvrage de huit jours, ou plut
dernier effort, & enfin j’achevai cet ouvrage. C’est donc ici un
ouvrage
de huit jours, ou plutôt de trois ou quatre ; car
ns un serrail ? idée familiere à l’Auteur, répétée cent fois dans ses
ouvrages
. Cette maniere de maîtriser l’amour doit-elle ras
eux ces morceaux bons ou mauvais dans ces cadres, et en faisaient des
ouvrages
de marqueterie, dont l’éminent Apollon triomphait
un des cinq favoris, n’avait en naissance, en fortune, en talents, en
ouvrage
, en bonnes mœurs, d’autre mérite que d’avoir su s
eur au Cid et à l’Horace ? Cependant « rien n’est plus faible que cet
ouvrage
si vanté », pour le dessein, la conduite, le styl
antissait en quelque sorte, par l’immense disproportion de tous leurs
ouvrages
les plus estimés, qui ne paraissaient auprès de l
a pas de la critiquer publiquement, il souleva les Auteurs contre cet
ouvrage
, ce qui ne dut pas être fort difficile, et se mit
icule, non aux flammes, et faire triompher, non la religion, mais les
ouvrages
d’un rival sur les productions de Corneille. La p
ormes, et de faire proscrire juridiquement sa pièce, comme un mauvais
ouvrage
, fait contre les règles, contre le bon goût, cont
sur la langue, que serait-ce si elle entreprenait de l’exercer sur un
ouvrage
qui avait l’approbation publique ? que ce serait
travail, on nomma de nouveaux Commissaires pour polir et retoucher l’
ouvrage
, on le lut et relut, et on crut pouvoir le donner
us que les autres, il en nomma un nouveau, qui refondit tout et mit l’
ouvrage
dans l’état où nous l’avons, « fort peu différent
up travaillé, ce fut son début à la comédie. On est étonné des grands
ouvrages
qu’a faits le Cardinal de Richelieu, l’Eglise de
d'historiettes, mémoires, contes, etc. les plus futiles. Pour un bon
ouvrage
en vers ou en prose, qui peut compter les vaudevi
ameublements, habits, équipages, mignaturesy, jargon, modes, études,
ouvrages
, etc. tout s'évanouit en colifichets. On joue par
s grâces, et sèment à pleines mains sur leurs personnes et dans leurs
ouvrages
les fleurs qu'ils y ont cueillies. Pour nous qui
s'embarrasser de leur prix et de leurs droits. C'est un vice dans les
ouvrages
d'esprit : l'une des plus belles qualités du styl
Ecrivain parle au public, il doit se respecter, il se peint dans son
ouvrage
, il a intérêt de se respecter lui-même, s'il ne v
ssi nécessaire dans le commerce de la vie que dans la composition des
ouvrages
: « Quid deceat, quid non ? » Que respecte la sc
uelque cas de sa réputation : la seule idée que ses talents étaient l'
ouvrage
des Comédiens l'eût décrédité sans retour. Jamais
est peut-être pas une fausse conjecture de dire qu’en punition de cet
ouvrage
, qui ouvrant une source empoisonnée de toute sort
: « Il y a de grands exemples pour, et de grandes raisons contre. » L’
ouvrage
qu’il a composé contre, ne permet pas de douter à
hez le même Libraire l’impertinent libelle du Père le Brun à côté des
ouvrages
immortels de Corneille, Racine, Molière ? » Il y
s de l’Opéra, Voltaire croit-il que ce soit un exemple à suivre ? Les
ouvrages
du Prince de Conti, de Nicole, de Bossuet, du P.
DONATION EN FAVEUR DU PUBLIC. Je donne et lègue au public, l’
ouvrage
qui suit, intitulé : Encore des Comédiens et du C
soins gratuits, pour, de concert avec lui, revoir et corriger ce même
ouvrage
, s’il le jugeait à propos. Le Baron D’HENIN DE C
l’on y représentait. Je suis convenu dans le premier Chapitre de cet
Ouvrage
, que c’était là un des motifs de la condamnation
Paris, Chez Girard, au Palais. 1694. Cette Réponse est le premier
Ouvrage
qui a paru contre cette Lettre. L’Auteur y parle
tôme que les Comédiens ont fait paraître. Le plus beau morceau de cet
Ouvrage
, c’est la réponse à la preuve tirée de S. Françoi
Réflexions sur saint François de Sales, et veut qu’on lise les autres
Ouvrages
de ce Saint pour se convaincre qu’il en est peu e
e, le temps qu’on y perd, et la mort qui s’approche. On voit dans cet
Ouvrage
des peintures du Théâtre Italien, où l’on débite
et aux raisons du prétendu Théologien : nous les avons vues dans les
Ouvrages
précédents. SECTION ONZIEME. Réponse à la Pré
ne mémoire bien ingrate, puisqu’il ne se souvient pas de tant de bons
Ouvrages
qui ont été donnés au public l’année dernière, co
excommuniés par l’Eglise : je viens de rapporter l’Abrégé de tous ces
Ouvrages
. L’Excommunication des Comédiens a-t-elle été lev
ne dis rien de la fausseté de l’exposé de leur Requête, parce que cet
Ouvrage
la prouve assez. ag. [NDE] Ambroise Calepin (C
ropose l’Auteur du Livre qui porte pour titre, Histoire et Abrégé des
Ouvrages
Latin, Italien et Français, qui ont paru dans ce
a Faculté de Paris, et Chanoines de l’Eglise d’Orléans portons de cet
Ouvrage
, dans lequel nous n’avons rien trouvé qui ne soit
force, et incapable de causer de grandes émotions. Après avoir fini l’
ouvrage
, il faut l’aller présenter à l’assemblée des Acte
s rassasier à une bonne table, ces animaux destructeurs déchirent son
Ouvrage
, et attaquent sa personne ; le Public s’en divert
ue attention. Le sublime semble être sa nature ; la perfection de ses
ouvrages
dépend de lui ; la solitude, le travail exact, ré
urait été à désirer qu’au milieu de tant de beautés qui composent cet
Ouvrage
, M. de Voltaire se fût permis de remplir son obje
lembert. Je considère sa personne : j’admire ses talents : j’aime ses
ouvrages
: je suis sensible au bien qu’il a dit de mon pay
les Editeurs de l’Encyclopédie, que j’ai fourni quelques articles à l’
Ouvrage
, que mon nom se trouve avec ceux des auteurs ; il
ur. Le goût, le choix, la correction ne sauraient se trouver dans cet
ouvrage
. Vivant seul, je n’ai pu le montrer à personne. J
é ; j’ai la honte de me survivre. Lecteur, si vous recevez ce dernier
ouvrage
avec indulgence, vous accueillerez mon ombre : ca
tion. Il semble par ces paroles, & encore plus par la suite de l’
Ouvrage
, qu’on y veuille réduire tout ce qui nous charme
cuter, la premiere chose que je lui conseillerois de changer dans son
Ouvrage
, est le titre qu’il lui donne. Pourquoi se borner
faction dont il jouit, lorsqu’il compare les différentes parties d’un
Ouvrage
, ou les unes avec les autres, ou avec le corps qu
’unité. Outre cet avantage qui est commun à la Tragédie avec tous les
ouvrages
bien ordonnés, il y en a un qui lui est propre, o
teurs, doit être comme le fruit & la conclusion de cette espéce d’
ouvrage
. Les anciens Philosophes, peut être plus severes
bien proportionnée de variété & d’unité qui domine dans tous les
Ouvrages
dont il est justement touché ; elle le remplit d’
s autres, & qu’il se fait sentir également par rapport à tous les
Ouvrages
de l’art. Aristote a donc eu raison de dire que l
ute l’industrie de l’imitateur : mais lorsqu’il a une fois achevé son
ouvrage
, ce n’est plus lui à proprement parler qui agit s
r de l’Imitation considérée seulement comme Imitation, & comme un
Ouvrage
de l’Art, dont on examine le rapport & la con
nous avons à imiter nous-mêmes, & celle que nous prenons à voir l’
ouvrage
que l’Imitation faite par un autre a produit ? Lo
elui de comparer, de juger, d’exercer une espece de supériorité sur l’
Ouvrage
& sur l’Auteur. II. De la différence qu
nes qui voulussent revoir plusieurs fois la même piece, ou tout autre
Ouvrage
, puisqu’elles n’auroient plus rien de nouveau à y
ne manque guères de la croire supérieure. Quelque parfait que soit un
Ouvrage
, il s’y glisse toujours de ces taches légeres.
percevons, nous les aurions évitées si nous avions eu à faire le même
Ouvrage
. Nous sommes à peu près comme un Juge, pour suivr
s voir exécuté par l’Auteur, à qui il en coutera moins pour achever l’
Ouvrage
, qu’à moi pour en former le premier trait. 1°. Il
il n’est pas surprenant qu’il prenne un plaisir singulier à juger des
Ouvrages
qu’elle produit. 3°. Quoique nous aimions en géné
attention, & une espece de familiarité que l’on contracte avec l’
ouvrage
, y fait reconnoître de nouveaux rapports entre le
ie à en faire cet usage, & s’occupoit avec plaisir à revoir leurs
Ouvrages
. Ce fut à Fresnes que M. Racine mit la derniere m
oit reprendre tous ses droits. Un Auteur estimable l’a montré dans un
Ouvrage
composé à ce sujet. Il a fait voir comment la Sce
e ; telle est la substance de son Traité**. Je ne m’arrête point à l’
Ouvrage
du Prince de Conti, il défend le même sentiment*.
. aussi le P. le Brun, fort ennemi des Spectacles**. On trouve dans l’
ouvrage
de cet Écrivain beaucoup d’érudition sacrée &
le lisant, de ne point s’intéresser aux vertus de l’Auteur & à l’
Ouvrage
. Dans une nouvelle édition, Paris 1767, on a mis
. 12. ****. Voy. Bossuet ibid. *****. Voy. hist. & abr. des
Ouvrages
Latins, Italiens & François pour & contre
L a nouveauté du Théâtre dont je parle souvent dans le cours de cet
ouvrage
, le rend peut-être moins respectable aux yeux de
rands hommes l’ont démontrée beaucoup mieux que moi. Qu’on lise leurs
ouvrages
, où l’éloquence prête de nouvelles forces à la vé
éxcellens traités de morale ? Qu’ils viennent aux représentations des
Ouvrages
de nos grands Maîtres ; ils verront la licence ba
loi. Que peut-il y avoir de dèshonorant à venir réciter en public les
Ouvrages
des Hommes de génie ? On ne croira jamais que le
s proscrivez les Comédiens, méprisez donc, dèshonorez les Auteurs des
Ouvrages
qu’ils représentent. Que peut-on imaginer de plus
nt écrit sur cette matière, ne laissent pas pour cela de donner leurs
Ouvrages
au Public, sans doute parce que les raisonnements
it rien oublier pour les détruire : je me trouve engagé à joindre mon
Ouvrage
à ceux qui ont déjà paru, croyant qu’on ne peut t
; il est donc malheureux ! Des résolutions pareilles ne sont point l’
ouvrage
de la raison ; si elle les inspirait, il faudrait
la, la preuve qu’originairement cet ordre est bien, c’est qu’il est l’
ouvrage
de la nature, confirmé par nos cœurs. Si vous éti
ssent à aucun, et n’ont aucun génie. Elles peuvent réussir aux petits
ouvrages
, qui ne demandent que de la légéreté d’esprit, du
que d’un coup d’œil elles voyaient tout ce qu’il fallait ajouter à un
ouvrage
qu’eux-mêmes croyaient fini ; que lorsqu’ils ont
i, au risque de vous donner des remords, que leur seul amour pour vos
ouvrages
, leur impartialité quand vous les attaquiez, leur
ffet sur votre ame ! Vous êtes bien malheureux. Mais, dites-vous, ces
ouvrages
, quoique attribués à des femmes, ont été écrits p
Vous ne voulez pas croire que les Lettres d’une Portugaise f soient l’
ouvrage
d’une femme ? mais vous croirez bien, j’espere, q
ent l’ouvrage d’une femme ? mais vous croirez bien, j’espere, que les
ouvrages
de Saphog, les Elégies de l’amoureuse la Suzeh, l
j, Cénie k, les Lettres de la Présidente Ferrandl, etc. ne sont pas l’
ouvrage
d’un homme. Toutes ces autorités suffisent, Monsi
xaltèrent si fort sa bile, qu’il tomba dans la folie, & donna des
ouvrages
extravagans. Ses commencemens avoient été sages,
s. Ses commencemens avoient été sages, & ce fut alors que parut l’
ouvrage
raisonnable & chrétien sur la dévotion. Ce mo
s-criminels, on confond l’esprit avec son impureté ; on croit dans un
ouvrage
n’aimer que l’esprit, & on n’en aime que la c
vorise les passions. Tels sont les romans, les pièces de théatre, les
ouvrages
de galanterie, on y admire la finesse des pensées
, grand Orateur pour le temps, laborieux, Ecrivain, a fait berucoup d’
ouvrages
, & donné entr’autres un corps de morale consi
, homme d’esprit, homme aimable, fort répandu dans le monde, dont les
ouvrages
de littérature prouvent le bon goût, & le tra
d’objets dangereux, ou un mot à corrompre le cœur. Il règne dans cet
ouvrage
une monotonie dégoûtante comme dans les Mille &am
parce que le langage est devenu plus poli, il donna prise dans divers
ouvrages
, on lui fit bien des reproches, & on n’avoit
at habile, distingué par des vertus, des talens, & grand nombre d’
ouvrages
en prose & en vers, qui quoique médiocres, lu
il eut une maîtresse qu’il aimoit beaucoup, pour qui il a composé des
ouvrages
tendres ; il est vrai, mais non pas licencieux, c
arlai & de Noailles conformément à la loi générale de l’Église. L’
ouvrage
qui fit le plus de bruit & le moins d’honneur
il fut permis d’aller à la comédie. Les Curés de Paris déférerent cet
ouvrage
à l’Officialité, pour le faire condamner les chai
u’en petit nombre, devenoient plus indulgents ; en effet, quoique cet
ouvrage
ait été mis en poudre, & solemnellement rétra
. Qui s’embarrasse de Théologie au théatre ? Aussi n’étoit-ce pas son
ouvrage
. Son fils, Religieux Théatin, le lui procura. Il
s les Curés qui avoient applaudi à sa conduite, l’animerent contre un
ouvrage
si pernicieux. Il en fit les plus vifs reproches
s’appuye sur des raisons frivoles dont lui-même annonce le faux. Cet
ouvrage
bien reçu du Public, & digne de l’être, fit i
du raisonnement, & le sublime d’expression qui caractérisent ses
ouvrages
, porte au théatre un dernier coup de massue, dans
s mêmes. Le désaveu authentique du P. Caffaro, la condamnation de son
ouvrage
& de son opinion, l’autorité de M. de Harlai,
lles qui ont fait des escarmouches avec aussi peu de succès. Tels les
ouvrages
de Fagau, de Laval, de la clairon, sous le nom du
patrie, avec l’éloquence de Démosthene, & c’est un des meilleurs
ouvrages
qui ayent paru, & dont ou peut le moins récus
llérante ? Aveugles, ils détruisent-même par leur conduire & leur
ouvrage
, le fragile édifice qu’ils vouloient élever. N’es
ent, & montrerent les plus vifs regrets d’avoir composé ces mêmes
ouvrages
dont ils avoient pris dévotement la défense, d’au
cine le fils, malgré l’analise, l’éloge, l’apologie qu’il fait de ses
ouvrages
, du côté du style, du langage, de la composition,
la Vertu pour objet, votre Censeur atrabilaire trouvera que tous vos
ouvrages
sont des Romans, il le dira, il l’écrira, et ses
mon Peuple les partage : L’amour qu’il a pour moi sans doute est ton
ouvrage
. Je vois avec plaisir ce Peuple, comme moi, Recon
o Pentalide ne vous laissera pas soupçonner qu’il ait mis la main aux
ouvrages
de son épouse, qui d’ailleurs s’était déjà fait c
se-t-elle se rendre au conseil que je lui donne de faire paraître ses
ouvrages
à Paris. Que ne pouvez-vous voir au Salon du Louv
ce et l’énergie du dessin et du coloris de la peinture à l’huile. Cet
ouvrage
inestimable, traité entièrement à la pointe du pi
qu’on peut juger de la longueur et de la délicatesse du travail : cet
ouvrage
, dis-je, est déjà convoité par les amateurs Angla
dre dire que tous les Spectateurs ont participé à la composition de l’
ouvrage
qu’ils vont entendre, et qu’ils sont des imbécile
Dames ; vous leur refuserez les talents des hommes après avoir lu les
ouvrages
des Gournay, des Dacier, des Scudéry, des Villedi
icoter ; quand les femmes riches et de qualité ne s’occuperont plus d’
ouvrages
qui devraient être ceux de leurs soubrettes ou fa
ou un pinceau feront tomber de leurs mains la navette, et le sac à l’
ouvrage
, je vous proteste que nous aurons bientôt autant
que vous ne nommez point, pourquoi celles que j’ai citées et dans les
ouvrages
de qui l’on trouvera sûrement du génie, quand on
est aimer la Vertu comme on doit l’aimer : inspirer cet amour par ses
ouvrages
, c’est établir dans tous les cœurs l’amour de la
violente des mœurs, de la Réligion, de la probité, des opinions, des
ouvrages
de ce fameux poëte. Parmi bien de choses outrées
ur, courtisan & nationnal ; il vouloit plaire & il a plû. Cet
ouvrage
a eu le plus grand succès, & une foule d’imit
nes frivolités. Le théatre ne manquera pas de s’en faire honneur. Les
ouvrages
d’un homme si respectable, paraitront les archive
ans les Journaux qui ont fait très-justement son éloge, de donner ses
ouvrages
pour tout-à-fait neufs, le fond de l’idée est anc
reverteris. Le temps perdu ou les écoles publiques. L’anteur de cet
ouvrage
, où parmi des choses singulieres, on en trouve be
veront contre l’abus. Les affiches. Février 1770, font un détail des
ouvrages
sur le théatre qui ont paru depuis peu 1°. Divers
r, ce goût sauvage & atroce, nous replonge dans la barbarie : ces
ouvrages
sont licentieux, la mauvaise morale en action exc
va jusqu’à préférer les comédies de Térence, aux offices de Ciceron,
ouvrage
moral & philosophique, dit-il, que les enfans
e 1771, fait un grand éloge non seulement du mérite littéraire de cet
ouvrage
, en quoi il peut avoir raison ; mais encore du pr
e l’extrait & l’éloge, & dire de toutes ces horreurs. C’est l’
ouvrage
d’un homme d’esprit, qui met dans ses amusemens d
a plus loin encore. Tel est sur les jeunes gens l’effet ordinaire des
ouvrages
de galanterie. Le mieux seroit de n’en faire lire
Commentaire ? L’un & l’autre dans des mains destinées à d’autres
ouvrages
? Non hos quæsitum munus in usus. L’Abbé de Vili
al de Trévoux ; Novembre 1770. Art. 13, donne aussi un extrait de cet
ouvrage
, mais avec plus d’équité que le Mercure. Il fait
compagnée d’un examen, de remarques, d’une notice de la vie & des
ouvrages
de l’auteur. A la tête une belle estampe offrira
e privation, & que c’est leur rendre un service de leur offrir un
ouvrage
qui soit pour eux un théatre. Ce langage d’un Lib
oit que du mépris, comme toutes les charlatanneries. Mais c’est ici l’
ouvrage
d’un Académicien, d’un historiographe, qui nous m
; de décence il y suivra par celles qu’il suit dans l’esquisse de son
ouvrage
, qu’il donne sous le voile transparent du nom &am
maturés, ses galanteries, qui ne le sont jamais dans une Actrice, ses
ouvrages
, car on la fais auteur, l’avoient rendue célebre
t si faux, qu’il eût mieux fait pour sa gloire de se borner à quelque
ouvrage
; à l’exemple de Racine, qui plus habile & pl
st au moment d’aller rendre compte à Dieu de ses actions & de ses
ouvrages
? Le Mercure au même endroit fait l’extrait d’un
ion & l’impureté. Un homme sage devroit-il prendre ce ton dans un
ouvrage
public, par-tout repandu ? & un Censeur charg
est avisé de composer les Annales de cette ville en trois vol. in-4.°
ouvrage
inutile. On a des Annales de Toulouse, très-estim
sent inconnus à l’Ecrivain, & croyant illustrer leur regne par un
ouvrage
immortel où leurs noms sont imprimés, accepterent
des satyres ? Toutes ces folies, ces bassesses, ces ridicules sont l’
ouvrage
de l’entousiasme du théatre qui fait tourner la t
teur a la foiblesse de croire qu’il faut pour réussir leur dédier son
ouvrage
, les assembler, demander leur protection, & q
; mais que pour répandre de la variété & un goût original à leur
ouvrage
, on travestit ces comédies en contes, dont on fai
essairement de tous les principes si solidement prouvés dans tous les
Ouvrages
dont j’ai fait l’Abrégé dans celui-ci, que les Co
t faire de sérieuses réflexions sur tout ce qui est renfermé dans cet
Ouvrage
, on verra qu’on ne peut en conscience assister sa
e, touchant la Comédie. page 1. CHAPITRE II. Section i. Abrégé de l’
Ouvrage
Latin de François del Monacho Sicilien. page 18.
’Ouvrage Latin de François del Monacho Sicilien. page 18. Section ii.
Ouvrages
Italiens du Père Ottonelli Jésuite Italien. page
on voit Angle, Terre. En voici encore une autre, qu’on prétend être l’
ouvrage
d’une Dame illustre aussi distinguée par son espr
doit s’en prendre à l’éxcessive admiration qu’il ressentait pour les
ouvrages
de notre Philosophe, loin de soupçonner la justes
2. Chap. 21. 3. Expression de M. de Voltaire. 13. Voyez entr’autres
ouvrages
à ce sujet ; Apparition des Esprits, par Dom Calm
t fait de scrupule de consumer leur vie et leur esprit à composer des
ouvrages
pour l’entretien du Théâtre, que l’Eglise et les
c et d’éclatant, pour marquer qu’il se repend d’avoir travaillé à ces
ouvrages
, et que s’il les avait entre ses mains, il les su
mment le scandale public en faisant en vers ou en prose quelque petit
ouvrage
de piété.
ie, ne les engage pas à la ménager par reconnoissance, & dans les
Ouvrages
de leurs Critiques, sur tout dans ceux qui parois
t-il parlé ? C’est bien là que les personnes sages qui condamnent les
ouvrages
dangereux, peuvent dire le tant mieux de M. de Ca
rie, productions de l’ignorance, & de l’amour du Merveilleux. Ces
Ouvrages
sont si anciens, tant les ténebres avoient duré,
n si fameux, dont l’Auteur est inconnu, fut suivi d’un grand nombre d’
Ouvrages
dans le même genre, qui quoique dans un stile moi
t rendu au Théâtre son ancienne pureté. On le voit par son Athalie, l’
Ouvrage
le plus approchant de la perfection, qui soit jam
s grande majesté qu’elle puisse avoir. M. Voltaire appelle Athalie, l’
Ouvrage
le plus approchant de la perfection qui soit jama
côté qu’on l’examine, on n’y trouve que beautés admirables…. C’est un
Ouvrage
parfait, qui mérite d’être à la tête de tous les
mérite d’être à la tête de tous les Poëmes Dramatiques. Soit que cet
Ouvrage
soit parfait, comme le dit Riccoboni, soit qu’il
édification parmi les chrétiens ? Croyez-vous que la lecture de leurs
ouvrages
soit fort propre à faire mourir en nous le vieil
n en voit quelqu’un qui fait ces sortes de plaintes, on peut lire ses
ouvrages
en sûreté de conscience. Que s’il y a quelque glo
fin il n’empêche pas qu’on ne connaisse ce qu’il y a de beau dans les
ouvrages
de Sophocle, d’Euripide, de Térence, et de Cornei
endres et les plus capables de toucher, se trouvent dans ces sortes d’
ouvrages
. Mais c’est pour cela même qu’ils sont dangereux.
e horrible de profanations et d’extravagances qui paraissent dans ses
ouvrages
. Que dites-vous de ce parallèle ? Trouvez-vous qu
de votre cœur ? « Enfin, que faut-il que nous lisions si ces sortes d’
ouvrages
sont défendus ? » Il n’y a personne qui ne crût q
conserver la pureté et l’innocence de ceux qui ne cherchant dans cet
ouvrage
que ce qu’on y doit chercher, qui est d’y prendre
de ces belles idées. Vous ne concevez rien de grand que ces sortes d’
ouvrages
et leurs auteurs, et vous ne connaissez point d’a
scéniques, ces spectacles d’impureté, cette licence de vanité, sont l’
ouvrage
de vos faux Dieux. Il vaudrait mieux adorer Scipi
, etc. » Paul Orose, disciple de S. Augustin (L. 4. C. 21. Histor.),
ouvrage
utile, bien écrit, mis au nombre des livres Ecclé
ed de theatro conquerantur. » On trouve cent traits pareils dans les
ouvrages
moraux de S. Augustin (Psalm. 32.). Réjouissez-vo
si nous ne voyons pas des spectacles. En voilà dans Dieu et dans ses
ouvrages
plus dignes de vous que le théâtre et le cirque.
umône, même à l’homme pécheur. Voilà deux choses ; l’homme, qui est l’
ouvrage
de Dieu ; le pécheur, qui est l’ouvrage de l’homm
x choses ; l’homme, qui est l’ouvrage de Dieu ; le pécheur, qui est l’
ouvrage
de l’homme. Donnez à l’ouvrage de Dieu, non à cel
uvrage de Dieu ; le pécheur, qui est l’ouvrage de l’homme. Donnez à l’
ouvrage
de Dieu, non à celui de l’homme. Mais comment fai
ais. Celui qui donne aux Comédiens, aux femmes débauchées, est-ce à l’
ouvrage
de Dieu que vous donnez, ou à leur crime ? Voilà
s tous les romans, dans toutes les pièces de théâtre et dans tous les
ouvrages
où une vie idéale est substituée à la vie véritab
véritable. « Ceux-là se trompent étrangement qui s’imaginent que les
ouvrages
de ce genre ne font sur eux aucune impression fun
les plaisirs de cette vie imparfaite et passagère ! » EXTRAIT DES
OUVRAGES
DE HALE1. « Ne nous livrons point trop aux pla
centes, plus elles sont capables d’en être touchées. » EXTRAIT DES
OUVRAGES
DE WILLIAM LAW, MINISTRE DE L’EGLISE ANGLICANE.
ène terrible de la mort, au jugement, à l’éternité. » EXTRAIT DE L’
OUVRAGE
D’HANNAH MORE2, INTITULE : ESSAI SUR LE SYSTEME M
nce jusqu’alors inouïe dans les annales du plaisir. » EXTRAIT DE L’
OUVRAGE
DE WILLIAM WILBERFORCE, INTITULE : LE CHRISTIANIS
l vient de lire. D’abord, on ne peut se refuser à reconnaître que les
ouvrages
dramatiques ne renferment un grand nombre de sent
f Justice). 2. [NDA] Dame anglaise, connue par plusieurs excellents
ouvrages
sur l’éducation. 3. [NDA] Le Christianisme des
Sa Politique, son Prince, ses Discours sur Tite-Live, ne sont pas des
ouvrages
dogmatiques, malgré l’air de systême qui y regne,
achiavel n’est donc qu’une satyre des princes de son temps, comme les
ouvrages
de l’Aretin, ou plutôt une comédie de caractere,
e Roman comique, &.c. On n’auroit qu’à composer ou décomposer ces
ouvrages
, supprimer ou ajouter la division en actes &
ns les autres une histoire ou un roman. On peut faire toutes sortes d’
ouvrages
systêmatiques dans ce goût, comme l’Abbé commanda
e saint qui étoit plein de douceur & de charité, & même à ses
ouvrage
, puisque, dans son Traité du Gouvernement, il est
Politique d’Aristote, & tout le monde sait que dans ces sortes d’
ouvrages
un traducteur, un commentateur explique la doctri
erveux, il ne regne pas tant d’ordre & de suite dans ses prolixes
ouvrages
. L’auteur, apparemment homme de théatre, a suppri
e l’Éditeur, Sur les Notes suivantes. Q uel que soit le nombre des
Ouvrages
que l’on a publiés sur nos Spectacles, cette vast
quelquefois de la définition ; & renverra, pour les détails, aux
Ouvrages
d’où ces Notes ont été tirées.
La Fontaine, qui paraissait tout autre, loin de son cabinet. Que vos
Ouvrages
semblent être le fruit de la distraction des gran
lui qui se destinait à charmer son Siècle & la Postérité, par des
Ouvrages
de génie, étudiait les mœurs des hommes, non-seul
yageait, puisqu’il perdit dans une tempête la meilleure partie de ses
Ouvrages
, ce qui le fit, dit-on, mourir de chagrin. Diodor
Ivrognes12. » Si les Auteurs de Poètique n’ont pas insérés dans leurs
Ouvrages
cette condition, sans la quelle on n’écrirait que
ayer ; mais j’espère qu’on en retirera de très grands avantages : une
Ouvrage
qui traite en partie du Théâtre moderne, doit ren
a fait écrire. Il ne peut dire le contraire sans démentir ses propres
ouvrages
; et après avoir dit que le roi fait tant de chos
nt que de répondre à ces gens-là, leur enseigner ce que c’est que les
ouvrages
qu’ils veulent reprendre, et l’on devrait par cet
te quelques exemples des anciens comédiens, mais il n’étale pas leurs
ouvrages
comme il a fait ceux de Molière. Sa malice est af
ère va causer des désordres épouvantables, et le zélé réformateur des
ouvrages
de théâtre, le bras droit des tartufes, l’observa
es, l’observateur enfin qui a écrit contre lui, parle à la fin de son
ouvrage
comme un désespéré qui se prend à tout. Il menace
NOTICES PRÉLIMINAIRES. L’histoire des
Ouvrages
pour & contre les Théatres nous a paru devoir
vit éprise de combats d’athletes, de courses de chevaux, enchantée d’
ouvrages
de marbre, d’ivoire, de bronze, de tableaux ; cou
une Lettre dont il nous a honoré, & où, après avoir donné à notre
Ouvrage
le suffrage le plus flatteur, il a joint de judic
int-elle par la suite à avoir la préférence ? C’est que les meilleurs
ouvrages
de ce temps-là furent faits en cette langue, qui
étoit celle des Poëtes Provençaux. Et comme, dans tous les temps, les
Ouvrages
d’agrément sont ceux qui ont le plus de lecteurs,
emiere de ce volume. On a de M. Huet 25, Evêque d’Avranches, un petit
Ouvrage
intitulé : Origine des Romans. Ce Sçavant définit
he d’arrêter ce torrent de ces maximes empoisonnées & de tous ces
ouvrages
d’imagination : un Roman qui ne contiendroit rien
oût 1749, une Lettre intéressante de M. de Passe 32, sur ces frivoles
Ouvrages
que M. Huet, Evêque d’Avranches appelloit l’amuse
Ecrivains qui prostituent ainsi leurs plumes & leurs talens à des
ouvrages
si détestables ? Ce sont des empoisonneurs public
s le vice en action. Cet Auteur, tout consacré qu’il fut à ce genre d’
ouvrages
, duquel il avoit eu le malheur de faire dépendre
brûler35. On exceptera toujours le Télémaque. C’est dans ce genre d’
ouvrages
celui qui est le plus intéressant tant pour le st
ceux qui participent le moins à la corruption ordinaire de ce genre d’
ouvrages
, comme le disent Séneque & Martial. Il n’y a
ent. L’Empereur Charles IV ayant sollicité Pétrarque de lui dédier un
Ouvrage
: Je ne puis, lui répondit le Poëte, vous rien pr
ent seulement par tradition qu’il y avoit eu des Anciens. Aussi leurs
ouvrages
étoient-ils sans regle, sans élévation & sans
; assez agréables. On a sur cet âge de notre ancienne littérature, un
Ouvrage
intéressant, intitulé : Histoire Littéraire des T
ficile de juger la question. Nous n’avons pas la vingtieme partie des
Ouvrages
des Anciens, dont nous aurions besoin pour entend
oductions des siecles d’ignorance qui nous ont précédés. Pourquoi les
Ouvrages
ingénieux des XIIe, XIIIe & XIVe siecles nous
ux écrits qui les ont combattues ; elles n’y paroîtront que comme des
Ouvrages
dangereux dont il faut éviter l’illusion. On verr
xante-trois volumes in-4°. 26. Intitulé, Entretiens sur les Romans ;
Ouvrage
moral & critique, dans lequel on traite de l’
sont communément que des hommes très médiocres, aussi bien que leurs
ouvrages
, et souvent par leurs mœurs et leurs sentiments,
res qu’il m’a fallu lire pour en extraire ce que je rapporte dans cet
ouvrage
. Je ne le fais, à l’exemple de l’Apôtre, que pour
on en voir la représentation ? Peut-être blâmera-t-on le style de cet
ouvrage
, quelquefois monté sur le ton de la plaisanterie,
e à convertir, non à mordre, et je cite partout mes garants. Tous les
ouvrages
solides qu’on a donné contre la comédie, ont quel
S Savantes, Quand pour la première fois j’ai résolu d’étudier les
Ouvrages
de Molière, je me proposais uniquement de découvr
de quelle conséquence il était pour lui de se faire connaître par un
ouvrage
distingué et digne de la réputation de son Auteur
avait dérobé le Manuscrit. La Comédie des Précieuses Ridicules est un
ouvrage
parfait dans le genre de la farce, et un original
nne critique, et distinguer ce qui convient à la farce, on ferait des
ouvrages
fort utiles à la République. Je citerai pour uniq
it l’Auteur des Trois Siecles, que la jeunesse ne puisse pas lire ses
ouvrages
sans dangers, & les gens sages sans indignati
uvelles éditions on reproduit, on multiplie, on enrichit de notes les
ouvrages
les plus mauvais, pour en mieux répandre le poiss
iecles, ou l’entousiasme de l’Editeur. L’un contredit l’autre. Un tel
ouvrage
eût-il été si profondement oublié ? Une productio
a mal traduit, qu’on a altéré, ajouté, retranché, que ce n’est plus l’
ouvrage
de Montagne, il en promet une édition si elle &am
Montagne, il en promet une édition si elle & de plusieurs autres
ouvrages
du même auteur, qu’il a trouvé dans quelqu’autre
nitum quàm venti vestigium. Eccles. I ; (citation fausse.) De tant d’
ouvrage
de Dieu, il n’y en a pas qui soit plus connu de l
la ville de Bordeaux a entrepris l’apologie de la doctrine & des
ouvrages
de Montagne, non-seulement dans l’Histoire de Bor
de Montagne, non-seulement dans l’Histoire de Bordeaux, mais dans un
ouvrage
fait exprès, Eloge historique de Montagne. C’étoi
gré les efforts de l’historien & l’enthousiasme de l’éditeur de l’
ouvrage
nouvellement découvert, tous deux Religieux d’un
esprit & le cœur : mais le fonds, le but, le cannevas de tout son
ouvrage
n’est autre que sa personne. Ce vain & bouil
mieres amours avec une provençale dont il devint amoureux à Boulogne.
Ouvrage
frivole & fort médiocre. Il aime des Laponnes
sel, de très-bonnes plaisanteries, de l’esprit & du goût dans cet
ouvrage
qui déplaira à bien de gens. C’est le privilege d
ntéresser le Gouvernement pour faire punit l’auteur & proscrire l’
ouvrage
, mais inutilement pouvoient-elles s’attendre, que
’esprit & l’énergie de l’ancien par les sublimes beautés dont son
ouvrage
étincelle, & les affreuses vérités dont il es
qu’une piece aura calmé, une autre piece l’excitera, & détruira l’
ouvrage
de la premiere. On ne fait que rouler de passion
replique très-piquante par son fils. On demandoit au pere quel de ses
ouvrages
il croyoit le meilleur. Il éluda la réponse, &
le plus mauvais. Son fils repliqua : il est vrai que je ne suis pas l’
ouvrage
d’un Chartreux. L’Abbé de V. se défend d’avoir t
e, mais de la favoriser dans un homme d’Eglise, que ce goût & ces
ouvrages
devoient exclure. On a imprimé en deux volumes le
& ces ouvrages devoient exclure. On a imprimé en deux volumes les
ouvrages
de Madame de Montegut, Maîtresse des Jeux Floraux
s François les Odes d’Horace, assez d’Anglois pour traduire plusieurs
ouvrages
de Pope (ses traductions sont imprimées, & pa
talien & d’Espagnol pour en faire aussi des traductions de divers
ouvrages
dans ces deux langues, qui n’ont pas paru. La fla
mauvais discours ; on peut s’en convaincre dans tout le cours de cet
ouvrage
. Le théatre est une source empoisonnée de toute s
Elles ne sont venues que long-temps après dans notre Province, notre
ouvrage
étoit fort avancé, quand nous en avons eu connois
t Avocat de la Princesse Clairon, sa maîtresse, méritoient bien que l’
ouvrage
fût condamné au feu, l’Auteur chassé du corps des
es temps on peut dire : Video meliora proboque, deteriora sequor. L’
ouvrage
de M. de Boissi, quoique très-bon, ne sera pas pl
uoique moins savamment, comme la maison commode d’un bourgeois est un
ouvrage
d’architecture, sans ordre Corinthien ni Dorique,
esseurs, au-dessus desquels on le mettoit sans difficulté. Ces petits
ouvrages
tenoient lieu d’histoire, on les récitoit dans le
Ombre de Moliere d’abord après sa mort ; on la trouve à la fin de ses
ouvrages
, avec ses Epitaphes en grand nombre, quoiqu’il n’
conte de la méprise de son prétendu valet-de-chambre qui le brûla : l’
ouvrage
n’est pas plus réel que l’aventure. Il se fatiguo
tre les Spectacles & contre Moliere, en louant son talent, par un
ouvrage
admirable, qui vaut mieux lui seul que toutes les
nt. Nous allons suivre son exemple dans le détail de la vie & des
ouvrages
de divers Ecclésiastiques à qui le théatre a fait
es, la singularité de ses avantures est très-propre à représenter les
ouvrage
& la fortune de beaucoup de Poëtes Dramatique
anséniste, il dèshonora la morale severe, & dépara plusieurs bons
ouvrages
en divers genres par des Romans, des pieces de th
a bouche des acteurs. Sans fatiguer les gens du monde du récit de mes
ouvrages
dont je ne leur parle jamais, je les entretiens d
; dans un temps où l’assemblée du Clergé où il étoit député, donne un
ouvrage
contre cet Esprit philosophique ? Enfin après des
la saintete de son Etat, de ses maîtresses, de ses débauches, de ses
ouvrages
obscènes, de la profanation des revenus de ses ri
ues. On ne voit sur les Théatres protestans ni les Ministres ni leurs
ouvrages
; le Consistoire ne le souffriroit pas. Les Scène
gnes qui tiennent les trois quarts de la page & n’entendent pas l’
ouvrage
meilleur. Moliere, ce prodige, n’en a qu’une tren
ge, le coloris Britannique, c’est sur-tout le caractere de ses nuits,
ouvrage
célébre à qui rien ne ressemble, toutes ses œuvre
agat senectutem, nec cithara carentem. Voici sa conclusion & ses
ouvrages
. De grandi amirassione & de tenero ossequio,
e plusieurs pieces de Théâtre qui ont réussit, & de divers autres
ouvrages
, après avoir beaucoup voyagé, a eu le bonheur de
ien ses petits plaisirs avec les grands chagrins de la jeunesse. Cet
ouvrage
saupoudré & cette epicerie ont flatté le Pala
me pardonner les critiques que j’ai hazardée de quelques-uns de leurs
Ouvrages
. Je me suis attaché particulièrement aux Pièces q
égaré, je suis prêt à me corriger. Je suis loin de penser que dans un
ouvrage
tel que celui-ci, qui embrasse tant d’objets diff
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