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1 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre prémier. Déssein de cet Ouvrage. » pp. 2-7
e contiennent rien dont il soit nécessaire de charger sa mémoire ? On oublie , aussitôt qu’on les a lus, & les fadaises don
dit au sujet du Théâtre ? Quand il serait vrai qu’ils n’eussent rien oublié d’éssentiel, il me resterait toujours de quoi piq
Poètes dramatiques en général, les principes qu’ils ne doivent jamais oublier . Puisque le plan que je me propose, me conduira à
Poète, le Comédien, & les amateurs du Théâtre, je n’aurai garde d’ oublier ce qui a rapport à la Musique. Il doit être quest
2 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IX. Les spectacles nuisent au bonheur et à la stabilité des gouvernements. » pp. 96-101
els et toujours dangereux ? Ne peut-on pas dire que cette multitude a oublié et apostasié son Dieu ? Mais quand on a oublié et
que cette multitude a oublié et apostasié son Dieu ? Mais quand on a oublié et abandonné son Dieu, on n’est pas éloigné d’oub
Mais quand on a oublié et abandonné son Dieu, on n’est pas éloigné d’ oublier et d’abandonner son roi qui en est le représentan
3 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XVI. » pp. 69-70
flatter votre Héros vous transporte de telle sorte, qu’elle vous fait oublier qu’il s’agissait de rendre des honneurs à un Pont
on lui mit sur la tête sa couronne de laurier. Est-ce que vous l’avez oublié  ? ou que vous avez appréhendé de n’en être pas av
4 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XII. De l’autorité des Pères.  » pp. 49-51
op grande occupation à des choses vaines, les éclats de rire qui font oublier et la présence de Dieu et le compte qu’il lui fau
res maux qui les accompagnent, l’on ne cherche qu’à s’étourdir et à s’ oublier soi-même, pour calmer la persécution de cet inexo
5 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « II. » pp. 9-11
de sa mort un assez grand sujet de deuil pour n’être pas tout à fait oublié à la réception de son successeur ? Il n’avait à l
de ces sortes de joies profanes, qu’elles enivrent, et qu’elles font oublier le bon sens et la raison ? C’est quelque chose. M
6 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre III. De la Fable Tragique. » pp. 39-63
p; Orosmane, que le reste est pour elle un vain songe. Vous avez donc oublié aussi Nérestan, reprend Fatime ; la gloire qu’il
chérir ; mais j’aime Orosmane, il règne seul sur mon cœur. J’ai tout oublié . Elle peint à Fatime la bonne grace, les exploits
e ses enfans entre les mains de son Dieu ; & tout-à-coup ce Héros oublie son intrépidité, succombe à sa joie, & expire
ne comme à la Ville ? Le Peuple qui, dans le récit de ses malheurs, n’ oublie jamais les auteurs vrais ou faux, qu’il en soupco
7 (1765) De l’éducation civile « De l’éducation civile » pp. 76-113
r faire place au délire de l’imagination. Les François parurent avoir oublié qu’ils étoient des êtres pensans, obligés de cult
ule nomenclature formeroit un gros Volume ; mais dont les productions oubliées , pour la plûpart, ne méritent de tenir place que
des secrets qu’elle rougit de s’avouer à elle même ; mais auriez-vous oublié cette maxime d’un Ancien, que les choses honteuse
armer leur cœur contre des impressions funestes à leur repos, & d’ oublier si parfaitement ce qu’ils viennent d’apprendre, q
its dans la saison ? Il n’y auroit presque point à craindre qu’on les oubliât promptement : les détails de la vie y rameneroien
8 (1574) Second livre. Seconde épître. Cécile Cyprien à Donat [extrait] « letter » pp. 40-41
 : de peur que ce qui a été une fois commis et perpétré, ne se puisse oublier . Et par ainsi on montre à toute personne en oyant
jamais le crime ne s’efface par le temps, jamais une méchanceté ne s’ oublie . On propose pour exemples, ce qui a jàd cessé d’ê
9 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 21-65
bler au Spectacle, et c’est là que chacun s’isole : c’est là qu’on va oublier ses amis, ses voisins, ses proches, pour s’intére
l-faisants ; pour distraire le peuple de ses misères ; pour lui faire oublier ses Chefs en voyant ses Baladins ; pour maintenir
ni l’à propos, ni le but : M. Rousseau met ces Montagnons, dont il a oublié les mœurs, la société et le caractère, au-dessus
ns comme aux hommes, voilà la ressemblance que l’on veut établir ; il oublie le démenti qu’il vient de donner. Qui dispute que
10 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. L’Arétin, le Tasse, l’Arioste. » pp. 38-79
ut pas quitter l’Italie, & les malheurs de François I. lui firent oublier un libertin qui n’eut point fait l’éloge de ses m
trigue suivie. Cent autres pieces italiennes plus régulieres ont fait oublier les siennes, qu’on ne joue plus. La versification
, qui les condamna comme hérétiques. Heureusement ils sont absolument oubliés . Ce mélange monstrueux n’est pas rare au théatre.
ge de sa facilité incroyable à composer ces ouvrages divins : il ne s’ oublie pas. J’ai fait 40 stances dans une matinée ; je
ceux qui le mettoit en jeu, &c. Aujourd’hui ce commerce n’est pas oublié . D’abord après sa mort, cet homme divin, cet homm
e la religion pour accréditer les passions : ce fut un chrétien qui s’ oublia , & que le Dieu de miséricorde eut la bonté de
a parure, la fourberie, les sermens, les présens, les honneurs ; il n’ oublie pas les obstacles prudemment ménagés, la jalousie
d’ouvrages pour élever la jeunesse, que ce siecle a vu éclorre, on n’ oubliera pas un des plus instructifs, & on en fera un
u’il y ait dans le clergé séculier & régulier bien des gens qui s’ oublient , il n’y en a pas plus, il y en a moins que dans l
11 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IX. » pp. 158-170
lui qui nourrit les animaux, qui habille les fleurs de la Campagne, n’ oublie pas une créature qu’il a faite à son image &
neront pas tous ; ils en ont suscité d’autres que l’Exjurisconsulte a oubliées , & la bonne foi dont je fais profession, ne m
12 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Sommaire »
op souvent question de l’Opéra-sérieux dans cet Ouvrage, pour l’avoir oublié  ; aussi n’omet-on rien d’essentiel sur ce genre b
13 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77
e des objets de la campagne ; ils n’avaient point encore eu le tems d’ oublier la vie que leurs Pères y menaient. Il est naturel
lles auraient bien de la peine à soutenir une seule représentation. N’ oublions pas que le Berger fidèle, tout agréable, tout cél
primer, de même qu’il paraît naturel que les paroles soient de lui. N’ oublions pas, encore une fois, que la musique, lorsqu’elle
14 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. -
r ses poisons : et c’est doubler ses maux que de les communiquer. Qui oublie plus essentiellement la vertu et ses devoirs, que
: S’ils remarquent (les hommes) que l’amour de la réputation me fasse oublier celui de la vertu, je les prie de m’en avertir, e
15 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « AVERTISSEMENT »
raisonnements de la Lettre subsistent toujours, et qu’on ne doit rien oublier pour les détruire : je me trouve engagé à joindre
16 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
convient entre gens bien élevés, et je n’en serai pas moins disposé à oublier l’âpreté du vôtre : il est permis, je le conçois,
e pour qu’il n’y ait point de péché mortel à aller au bal), avez-vous oublié l’antiquité de la danse ? N’avez-vous pas lu dans
lais du Roi de France très-chrétien, les devoirs du catholique soient oubliés au point d’y permettre ce que la morale défend :
17 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VIII. » pp. 131-157
erstititons orientales, parmi lesquelles les Spectacles ne furent pas oubliés . Les Romains qui copioient les vices des peuples,
re, la musique & les transports d’une joie effrenée, les femmes s’ oublient de leur devoir, les hommes sont saisis d’un espri
voisin tel que lui. La Lettre qui m’annonce cette anecdotte, n’a pas oublié la pieuse éducation qu’il va donner à la jeune ni
18 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre VIII. De la Mascarade. » p. 196
nous rebatons si souvent. Car si la justesse & le déssein y sont oubliez  ; si le raport des parties avec le tout n’y est e
19 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « I. Occasion et dessein de ce Traité : nouvelle Dissertation en faveur de la Comédie. » pp. 1-3
 : on affaiblit les censures et l’autorité des Rituels, et enfin on n’ oublie rien dans un petit livre dont la lecture est faci
20 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. » pp. 297-328
’aujourd’hui, le Vaudeville, qui doit réunir toutes ces qualités, fut oublié pendant plusieurs siècles. Un certain Olivier Bas
on s’en sert encore afin d’allonger un peu le Drame, & pour faire oublier la petitesse de son action. Que le Vaudeville
nger la durée jusqu’à l’infini ? D’ailleurs les Musiciens peuvent-ils oublier que le chant est presque l’imitation fidelle de l
urs ordinaire ; or suppose-t-on qu’un homme qui èxprime ses passions, oublie tout-à-coup les principes les plus connus de sa L
21 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
de vivre avec soi et de penser à soi ; ainsi, tout son soin est de s’ oublier soi-même et de laisser couler ce temps, si court
sement introduits parmi nous. Nous les appelons des plaisirs, et nous oublions qu’ils consomment l’œuvre de l’idolâtrie et de l’
énervent et n’y puisent que des sentiments frivoles ou romanesques. N’ oublions pas, d’ailleurs, combien de temps se perd dans ce
ayer d’en détourner les hommes par tous les moyens en leur pouvoir. N’ oublions pas surtout que le christianisme nous apprend que
22 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
e leur patrie, que lorsqu’ils auront joint l’utile à l’agréable. Je n’ oublierai pas que j’écris à un philosophe1 ; je tâcherai do
Poètes dramatiques, celle de Cinna y est manifestement parvenue. Je n’ oublierais pas assurément Dom Sanche, si l’Auteur, comme vou
quelque jour, cette matière plus amplement. Mais je n’ai pas envie d’ oublier l’Alceste (de M. de la Grange-Chancel), (composit
ils ne sont plus applaudis ; et le vice ne paraît plus sans masque. N’ oublions pas le Dissipateur (de feu M. Néricaut Destouches
23 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [F] »
âme au ton des sentimens qu’il avait à exprimer ; il paraissait ; on oubliait l’Acteur & le Poète : il parlait ; c’était Mi
24 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXI. Réflexion sur le Cantique des cantiques et sur le chant de l’Eglise. » pp. 76-78
fait encore le fond du service divin : je me plains qu’on ait si fort oublié ces saintes délicatesses des Pères, et que l’on p
25 (1694) Lettre à l’abbé Menard « Lettre LIII. De remercîment à M. l’Abbé Menard. Il y est parlé de quelques Ouvrages dont ont porte le jugement. » pp. 62-63
étranger. Mais son opinion est bien expliquée et bien soutenue ; il n’ oublie rien de ce qui peut servir à sa cause, et à quelq
26 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre IV. De l’illusion Théâtrale. » pp. 64-79
ux rôles qu’elles représentent. » Dès qu’on ne voit que L’Actrice, on oublie le personnage, & la Pièce manque son but. C’e
e s’accorde pas avec sa conduite ; cette dissonance lui fait aussitôt oublier le personnage, pour ne s’occuper que du Comédien.
27 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Lettre premiere. » pp. 2-17
bis placentia, videte nobis errores. Votre conseil, Mademoiselle, n’ oublie rien pour vous rassurer, il prélude par un étalag
buer au défaut de mémoire l’omission que je vous reproche : vous avez oublié une partie du Cathéchisme que vos parens chrétien
28 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V bis. Le caractère de la plus grande partie des spectateurs force les auteurs dramatiques à composer licencieusement, et les acteurs à y conformer leur jeu. » pp. 76-85
à de vaines fictions, où l’ombre qu’ils poursuivent puisse leur faire oublier la réalité ; où on les intéresse par le spectacle
aît, quelque danger qui s’y trouve. La douceur du poison leur en fait oublier les suites funestes ; ils ne voient plus rien de
29 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE V. Des Comédiens. » pp. 156-210
alfaisants ; pour distraire le peuple de ses misères ; pour lui faire oublier ses chefs en voyant ses baladins ; pour maintenir
dre moins malfaisants. Si les « Baladins » avaient le talent de faire oublier au Peuple ses misères ; si une Nation, accablée d
que le Peuple est heureux. Si l’intention des Auteurs était de faire oublier ses Chefs au Peuple : si ces Chefs secondaient ce
hefs au Peuple : si ces Chefs secondaient cette intention, pour faire oublier leurs manœuvres, ils seraient, les uns et les aut
cela n’est pas propre, je crois, à aveugler le Peuple et à lui faire oublier ses Chefs, s’il a lieu de s’en plaindre : ne dira
à tous les bons citoyens. Les Dames Romaines, les jeunes Sénateurs s’ oublièrent jusqu’à rendre l’hommage le plus éclatant aux Act
qu’on pense aussi naturellement que si on le pensait réellement, et d’ oublier enfin sa propre place […]. »fl Qu’est-ce que le
s pensent aussi naturellement que s’ils le pensaient réellement, et d’ oublier enfin leur propre place. C’est le talent d’un Pré
30 (1697) Satire à Mgr Bossuet « SATIRE A MONSEIGNEUR JAQUES BENIGNE BOSSUET. EVEQUE DE MEAUX. » pp. 46-48
umble, sans fiel, et dont la vertu pure Se fasse un point d’honneur d’ oublier une injure, Et préfère de voir ses passions aux f
31 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IV. De la Médisance. » pp. 80-99
s ne lasse ; qui fatiguée des vains honneurs, met toute sa gloire à s’ oublier elle-même ; qui dans la retraite s’occupe à culti
ait au Roi, de présenter sur un théatre l’idée qu’on ne pourroit trop oublier de sa passion criminelle pour Madame de Montespan
lvinisme. Comment a-t-on pû se flatter que quelques louanges feroient oublier ces traits injurieux ? Cette espérance même est u
i les multiplie, les perpétue, les rend dominans & irréparables ? Oublions , si l’on veut, tous les autres désordres ; celui-
32 (1758) Réponse pour M. le Chevalier de ***, à la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles [Essais sur divers sujets par M. de C***] « Réponse pour M. le Chevalier de***, A la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles. » pp. 128-142
re sans péril, on triomphe sans gloire. Corneille. Aviez-vous donc oublié l’utilité de l’expérience ? & pouviez-vous pe
me du nombre des mauvaises pièces Athalie & Esther. Mais pourquoi oubliez -vous les Machabées, par M. de la Mothe ; le Polia
33 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — I. Fin principale de l’Incarnation du Verbe. » pp. 5-6
dée que les saintes Ecritures nous donnent d’un Juste : & qu’on n’ oublie pas qu’il faut l’être dans un degré plus ou moins
34 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IX. » pp. 44-46
Dieu. Cependant S. Paul n’a pas cru que ce fussent des vertus à être oubliées dans le caractère d’un Evêque. Il en fait même le
35 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XI. » pp. 55-57
ond trait du caractère du Prélat. Il semble, mes Pères, que vous ayez oublié ici la promesse que vous avez faite de représente
36 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre X. Les spectacles ne sont propres qu’à rendre romanesques ceux qui les fréquentent. » pp. 102-104
st le sujet dont elles s’amusent le plus. Et les maris sont négligés, oubliés et souvent méprisés, parce qu’il n’est ni de la d
37 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
nt ; il n’y court avec transport qu’afin de s’en réjouir & de les oublier aussitôt ! Une pareille idée tombe d’elle même. S
’Allemagne en fait ses délices, peu s’en faut que l’on y sois tenté d’ oublier , ainsi qu’en France, tous les autres Spectacles.
toujours de son origine, malgré le soin qu’il se donne pour la faire oublier . Ceux qui vont chaque jour l’admirer, ont des sen
38 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
ance, ainsi que je l’ai démontré ; mais ils devraient du moins ne pas oublier eux-mêmes, ce qui leur est propre et obligatoire
e dans chaque page et pour ainsi dire à chaque ligne de son livre. Il oublie que les Pygmées ne savaient faire la guerre qu’à
x obsèques de Louis xviii, de glorieuse mémoire ? Il sera difficile d’ oublier la conduite de ces prêtres orgueilleux, qui, sous
39 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IV. Le Peuple doit-il aller à la Comédie ? » pp. 60-74
fois renouvelé, ne doit être compté pour rien. Ces grands politiques oublient -ils que ces intervalles de délassement, indépenda
de religion, en substituant le spectacle aux offices, et lui faisant oublier dans ses bouffonneries le peu qu’il sait de catéc
, l’amusement les absorbe ; la frivolité, la dissipation le leur fait oublier  ; les railleries sur le mariage les dégoûtent ; l
40 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  dénombrement du clergé de france avant et depuis la révolution.  » pp. 346-350
roi, et soumis comme les autres à la loi commune, mais il ne faut pas oublier qu’ils tiennent aussi à un autre chef suprême, au
41 (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45
us la ligne. Mais laissons dans ce moment les Peuples qui n’ont point oublié la dignité de l’homme. Je vous dirai qu’au commen
, revenons à la matière que je traite aujourd’hui. Tâchons de ne rien oublier qui puisse augmenter l’évidence, & convaincre
Gens de Lettres l’ont retirée insensiblement de l’abîme. On n’a rien oublié sans doute pour les rendre aussi souples, aussi r
tution politique, on s’occupe de quelques détails seulement ; si l’on oublie un instant que les loix doivent également protége
des mœurs & la peinture de la société, l’on peut raisonnablement oublier certaines professions, ou traiter ces professions
42 (1640) Traité des Spectacles des Gentils « SAINCT CYPRIAN DES SPECTACLES. » pp. 155-193
struction bien qu’elles soient défenduës, & d’autres qui semblent oubliées , bien qu’elles soient escrites. La raison doit su
s conduire, & elle dicte assez ce que la sainte Escriture pouroit oublier . Il faut seulement rentrer en nous mesme, & p
lle sa premiere serenité pour luy donner le beau-temps, & ne rien oublier de ce qui peut estre à son soulagement. Bref il v
43 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIX. Les Spectacles condamnés par les saintes Ecritures. » pp. 164-167
sentations théâtrales et les tableaux immodestes. Saint Jean n’a rien oublié , lorsqu’il a dit : « N’aimez point le monde, ni c
44 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des caractères & des Mœurs Tragiques. » pp. 131-152
t des nuances de ces manieres. Il seroit donc nécessaire que le Poëte oubliât son pays, & se dépouillât de lui-même pour pe
tte Princesse avec un dévouement pour le bien de l’Etat, qui lui fait oublier ses ressentimens propres, & sacrifier ses int
45 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIV. Le sentiment, juge plus sûr que le goût. Celui-ci préféré au premier. Pourquoi ? Amour du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop communs. Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on employe pour les éluder.  » pp. 129-150
stribués, les préviennent contre les juges. Ils plaignent les Poëtes, oublient l’Acteur, sont peu frappés du spectacle, & fi
s sur la scène ? Un bruit terrible les arrête plusieurs minutes : ils oublient l’esprit de leur rôle : ils sortent de l’état où
46 (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « Instruction chrétienne sur la Comédie. » pp. 443-453
eurent de la peine à les souffrir, et ils ne se seront peut-être pas oubliés à les décrier ou à les châtier ? Il y en a assez
ruisent ce que les premiers y avaient établi à bonne intention. J’ai oublié à vous demander si d’aller à la Comédie était péc
47 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — IX. La Comédie donne des leçons de toutes les passions. » pp. 18-21
conséquent celles qu’on y reçoit ne font aucune impression. Auroit-on oublié combien sont profondes les racines que les passio
48 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre V. Du nombre des Acteurs. » pp. 252-256
images en les rendant confuses. Il sait qu’un morceau de Musique fait oublier bien des fautes. Un seul éxemple me suffira. Dans
49 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XX. Silence de l’Ecriture sur les spectacles : il n’y en avait point parmi les Juifs : comment ils sont condamnés dans les saintes Ecritures : passages de saint Jean et de saint Paul. » pp. 72-75
il en est de même des représentations du théâtre. Saint Jean n’a rien oublié , lorsqu’il a dit : I. Jo. II. 15 [1e épître de s
50 (1695) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras contre la Comédie [4 décembre 1695] « Mandement  » pp. 34-37
nfâme et scandaleux, elle les prive publiquement des Sacrements, et n’ oublie rien pour marquer en toutes rencontres son aversi
51 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre IV. Histoire de l’Opéra-Bouffon, autrefois Opéra-Comique & ses progrès. » pp. 50-66
sortis de la fange, qui s’élèvent bientôt par leur mérite, & font oublier ce que leur origine a de vil & de bas. Plus u
profonde nuit dont ce Spectacle était environné. Illustre M*** ! si j’ oubliais de t’accorder les éloges qui te sont dus, la Fran
52 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent. » pp. 15-28
u’on pense, aussi naturellement que si on le pensait réellement, et d’ oublier enfin sa propre place à force de prendre celle d’
rît quelquefois des leçons de vertu sur la scène, on va bien vite les oublier dans les foyers. « Quelle mère, s’écrie Bossuet
53 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Que le Compositeur doit chercher à peindre. » pp. 340-344
le passé, qui vous décrivaient tout un Palais & ses Jardins, sans oublier le moindre fronton, ni le moindre arbuste. Quoi,
54 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatrième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 28-32
e qui lui a trop plu… Elle veut s’immoler… Elle n’est donc pas… Tu as oublié de me la nommer : mais je la crois une Actrice. D
55 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
rme dans nos âmes. On va, selon vous, s’isoler au spectacle, on y va oublier ses proches, ses concitoyens et ses amis. Le spec
entraîne ? Combien de moments dans la vie où l’homme le plus vertueux oublie ses compatriotes et ses amis sans les aimer moins
ir, que l’impression du sentiment reste, et que la morale est bientôt oubliée . Je prendrai, Monsieur, pour vous répondre, l’exe
nonce à faire du bien aux hommes, et qui va dans les bras d’une femme oublier leurs pleurs. Si quelque chose au contraire adouc
pour les apprécier avec justice, sans adulation comme sans humeur, d’ oublier en ce moment combien leur société est aimable et
sans étude qui puisse les arracher à leurs peines, et les leur faire oublier quelques moments, elles les supportent néanmoins,
56 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Conclusions générales. » pp. 371-378
instituée, prétexte la rigueur des anciens canons des conciles, et il oublie lui-même, en ce qui lui est propre et absolument
57 (1833) Discours sur les spectacles « [Discours sur les spectacles] » pp. 3-16
Église, et c’était le cas de faire usage de votre puissance. Mais, j’ oubliais qu’« il est avec le ciel des accommodements ». Ai
tres. Voilà le motif de leurs lois de catégorie ; lois qu’ils avaient oubliées tandis qu’ils commandaient en maîtres à la scène
58 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Treizième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 254-259
 ! puis-je me l’avouer… en nous jurant de ne plus nous aimer… de nous oublier mutuellement… nous oubliames, moi, mon devoir ; e
59 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IV. » pp. 17-22
s des Ecoliers qui étudient les belles Lettres et la fable. Et vous n’ oublierez pas de nous alléguer encore, comme a fait cet Avo
60 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228
arme, dont on peut à peine se faire une idée. Je ne dois pas non plus oublier ceux qui se dévouent au culte de la musique et de
61 (1579) De l’Imposture et Tromperie « Livre premier. Des jeux et autres observations séculières retenues de l’ancien Paganisme. Chapitre 22. » pp. 101-107
ues-unes qu’aucuns Chrétiens retenaient de son temps, et ne pouvaient oublier du paganisme. Or combien que lui et tous les autr
s la Saint Martin, les Rois, et carême prenant. Auxquels jours nous n’ oublions rien de tous jeux et ébats séculiers jadis invent
62 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286
qu’on èxcusera mon entreprise en faveur du motif. Tâchant de ne rien oublier d’èssentiel dans cet Ouvrage, je dois parler des
tante, qui distingue tous les genres de notre musique. Je ne dois pas oublier de faire ici une remarque digne de la curiosité d
s nous pardonner d’avoir un mérite égal au leur ; & pourrons-nous oublier qu’ils nous ravissent la moitié de nos succès ?
63 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99
sagréables ; au sein des Ris & des Jeux, ils se trouvent forcés d’ oublier jusqu’à leurs calamités : par-là l’on fait aimer
l’Etat, fronde le Ministère, & souscrit pour Wilkes ; le Germain oublie tout à force de rasades ; le Français existe par
 ; son âme abusée ; s’est élancée vers l’Actrice ; la personne a fait oublier le rôle : dès le lendemain, il court revoir son e
64 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE V. Des Jésuites. » pp. 108-127
Régent : quels fruits en vont éclore sous ces saints auspices ? on n' oublie pas qu'un grave Religieux distribuait, faisait ap
ion pour l'asservir, et de l'amuser par des frivolités pour lui faire oublier le joug du despotisme ? Richelieu n'en a jamais f
Polonais, Espagnols, dont personne ne soupçonnait l'existence, et il oublie les Auteurs les plus agréables, qui sont entre le
65 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre IV. Il faut que le nouveau Théâtre se fonde sur la Vérité & sur la Nature. » pp. 133-138
du Satirique Français, & qui ont besoin sut-tout de ne les jamais oublier  : Jamais de la Nature il ne faut s’écarter. …………
66 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. Des différens genres qu’embrasse le nouveau Théâtre. » pp. 14-20
d ne leur glissera plus ; mais cédant doucement à la tentation, elles oublient bientôt leurs sermens.
67 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Cinquième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 33-39
est cruelle, n’est-il pas vrai, ma sœur ?…… Adieu, mon amie. P.S. J’ oubliais de vous dire, qu’il est décidé que monsieur D’Alz
68 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PRÉFACE. » pp. -
sur mes Lecteurs. Je me rappelle au surplus que le Public n’aura pas oublié que, dans mon Histoire du Théâtre Italien imprimé
69 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE V. Du principal motif de la Réformation du Théâtre. » pp. 49-58
 ; et ce qu’ils auront entendu, ils le répéteront sans cesse, et ne l’ oublieront jamais. Si donc ce qu’ils ont entendu tend à la c
70 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VI. Dorat. » pp. 141-175
nt la representation d’une piece au gain d’une bataille, ils auroient oublié les maux que leur fit la guerre, si en l’avoir mi
aire. Le Philosophe Platonicien a bien des choses estimables qui sont oublier cette honteuse tache ; cette tache revient souven
e revient souvent & trop vivement dans l’Auteur moderne pour être oubliée . Dorat ressemble à Lafontaine par le libertinage
lle, pour lui dresser des Autels,) a fait des contes ; la posterité n’ oubliera jamais Joconde, l’Oraison de St. Julien, les Cord
71 (1834) Discours sur les plaisirs populaires « Discours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles » pp. 1-33
surde intolérance, fruits de mystiques élucubrations, et qui, faisant oublier la morale de l’Evangile, l’ont remplacée par des
l’on peut dire aussi des prêtres toujours romains, qu’ils n’ont rien oublié , qu’ils n’ont rien appris b. Cependant, sous le r
e inexorable de ces prêtres rigides, et sans doute de leur dépit. Ils oublient que celui qu’ils disent être leur maître a consac
d, qui a dit, en parlant des nobles: « Ils n'ont rien appris, ni rien oublié . » c. [NDE] Louis XVIII. d. [NDE] Charles X.
72 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95
réjudice de cette même piété qui les avait inspirées. Les Confrères s’ oublièrent . Ils tournèrent en amusement pour le peuple ce qu
re quelquefois un masque de religion. L’un est un homme de bien qui s’ oublie , l’autre un scélérat qui se contrefait. Mais le t
peuvent avoir édifié quelques bonnes âmes, mais sont depuis longtemps oubliées . Un Minime d’Avignon a donné depuis peu de pareil
rtifier ses sens, les satisfaire, s’occuper de la présence de Dieu, l’ oublier  ; veiller sur soi, se dissiper ; penser aux fins
73 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 4-42
ormeront une jolie scéne, qu’ouvrira un bedeau avec sa masse ; on n’y oubliera pas les écolieres & les régentes des actrices
n exclusive des rangs. Pour les tragédies, on ne nomme que Racine, on oublie Corneille, Voltaire & Crebillon, qui n’en ser
singulierement au Pape. Ce ne fut pas le seul spectacle où le Pontife oublia la Sainteté de la Thiare, ce fut une tâche dans u
rapella. Il lui fit un bon accueil à l’ordinaire, il parut avoir tout oublié  ; il l’invita à dîner, & voulut le servir de
u d’exemples ; on croit bien que ces brillantes dédicaces ne sont pas oubliées dans le Récueil de ses œuvres. Une Actrice poëte
74 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Christine de Suede. » pp. 111-153
Reine même en présence de toute une Cour n’y peut pas tenir, elle en oublie les loix de la décence, & n’est plus sa maîtr
uveauté ont attiré la foule, & des applaudissemens, tombent, sont oubliées , & ne paroissent plus ; le théatre lui-même s
p; après quelques éclairs de grandeur, elle tomba dans le mépris, fut oubliée , & mourut dans l’obscurité. On voudroit aujou
prit, de décence, de politesse ; Ninon eût su être Reine. Christine n’ oublia jamais la définition que Ninon lui donna des prud
er. Voltaire & ceux qui en font une Savante du premier ordre, ont oublié de remarquer que sa grande érudition étoit de sav
75 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VII. De la Diction. De la Poësie dans la Tragédie. » pp. 122-130
l n’y ait une description de ruine ou de saccagement de Ville. On n’y oublie point les morts entassés, les ruisseaux de sang,
76 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre II. Regrèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. » pp. 94-100
les langues recues, dans les mœurs, dans le goût, ne l’ont point fait oublier . Elle semble acquérir chaque siècle un nouvel écl
77 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
Pontife, pere d’Ericie, est un autre imbécille. Se peut-il qu’il ait oublié que sa fille est parmi les Vestales, puisqu’il l’
nature. Mais le devoit-on, en dégradant l’homme & le Pontife ? Il oublie même son devoir de Juge, il laisse impuni le comp
t pourtant vrai qu’il y a peu de Religieuses forcées, & peu qui s’ oublient sur le vœu de chasteté ; que les railleries &
78 (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238
ur moi, je suppose qu’il a voulu effrayer ses concitoyens, et qu’il a oublié Paris pour ne s’occuper que de Genève. Je vais do
vous, pour qui l’humanité et la patrie sont les premières affections, oubliez -vous que nous sommes des hommes ? Il y aurait de
’il devait répandre sur le vice, il se fût contredit lui-même, il eût oublié son dessein ; c’est donc pour rendre sa pièce mor
tendresse. Ils ont beau se souvenir que vous êtes leur père, si vous oubliez qu’ils sont vos enfants, le vice l’emportera sur
 ; et si l’on interrogeait les cœurs, on verrait qu’elles ne sont pas oubliées dans la harangue intérieure qu’un jeune guerrier
une âme froide et légère ne tient à rien, et cède à un souffle ; elle oublie la vertu qu’elle n’aime pas, pour un vice qu’elle
d, les yeux mouillés de larmes, je viens de voir Zaïre ou Bérénice, j’ oublie qu’elles étaient vertueuses, qu’elles ont sacrifi
 ? Quand je viens d’entendre et d’admirer Lise, Constance ou Cénie, j’ oublie la cause, la seule cause de l’intérêt vif et tend
tueuse amante : voilà donc les circonstances que vous prétendez qu’il oublie , pour ne conserver que l’impression : de quoi ? D
ont M. Rousseau fait aux Comédiens un reproche plus humiliant, a-t-il oublié que rien n’est plus honnête que de gagner sa vie 
e qu’on pense, aussi naturellement que si on le pensait réellement, d’ oublier enfin sa propre place, à force de prendre celle d
79 (1772) Spectacles [article du Dictionnaire des sciences ecclésiastiques] « Spectacles. » pp. 150-153
dans un éternel oubli. Il semble qu’on craint que les hommes venant à oublier ces forfaits ne fussent plus tentés de les commet
Glorium, Eleusium, nov. edit.) ne tolera-t-il pas la multitude qui s’ oublia jusqu’au point de demander une idole, de la fabri
80 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
’être jaloux du pouvoir que Dieu leur a décerné. Ils ne doivent point oublier qu’ils sont destinés à faire le bonheur des peupl
is, comme les autres citoyens, à la loi commune ; mais il ne faut pas oublier qu’ils tiennent aussi à un autre chef suprême, au
81 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — Avertissement » pp. 72-80
trent dans le détail des différentes sortes de Spectacles, et ils n'y oublient jamais la Comédie, ou bien ils sont particulièrem
82 (1731) Discours sur la comédie « MANDEMENT DE MONSEIGNEUR L’EVEQUE DE NIMES, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 352-360
souvenez que trop de vos lois et de vos coutumes passées. N’avez-vous oublié de votre ancienne discipline que la privation des
83 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE III. Extrait de quelques Livres.  » pp. 72-105
avoit composé il y a plus de 50 ans, que le public avoit heureusement oubliées , & qu’il se devoit à lui-même doublier aussi,
es à leurs tragiques avantures, & déplorant leurs destinées, nous oublions la nôtre. Cette réflexion dont l’objet est commun
e piece où la mort ne soit cent & cent fois rappellée, & vous oubliez qu’une loi commune à tout ce qui respire, vous pr
tourné à la Réligion & à la Morale ; mais il est bien difficile d’ oublier ce qu’on aime. Il a consacré son loisir à la trad
84 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre I. De la Pudeur. » pp. 4-35
r ; oseroit-on en sa présence, je ne dis pas commettre le crime, mais oublier les loix de la décence & de la pudeur ? Le se
us avez mis trop de soin à vous parer pour venir à la nôce. Vous avez oublié l’huile de vos lampes. Ce ne sont pas là mes coul
e, s’échappe, & franchit aisément la barriere qui l’avoit arrêté, oublie les égards & les loix, qu’il auroit respectée
roit d’abuser de leur autorité pour faire perdre l’innocence, & s’ oublier , se deshonorer, s’outrager eux-mêmes par leurs pr
85 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
fait. N’es-tu point de ces Ministres-là ? » Le Vieux Bachelier C. n’ oublie pas de lancer aussi son trait contre le Clergé. O
petit rabat de Docteur sévère, au long manteau de Père en Dieu ; sans oublier l’emplâtre que j’ai ouï dire que le Tartuffe File
ttribue rien qui ne soit dans les règles. J’avouerai pourtant qu’il s’ oublie bien en quelques rencontres. Le Prêtre Evans, par
’on lui confie, ni qu’il se dépose du pouvoir dont il est revêtu pour oublier son devoir. Hé ! quoi ? l’autorité que l’on reçoi
86 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31
pera. Cette réflexion est juste, ce contraste est frappant : mais il oublie de dire, & on compose des comédies, & on
ourtisannes de Palissot. Les Médecins l’abandonnerent, & elle est oubliée  : ils auroient mieux fait de ne pas la faire comp
ourtisannes de Palissot. Les Médecins l’abandonnerent, & elle est oubliée  : ils auroient mieux fait de ne pas la faire comp
87 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
es Poètes n’ont point accoutumé de s’en offenser. Peut-être avez-vous oublié en écrivant votre lettre que la Comédie n’a point
eurs cœurs des passions qui les empoisonnent de telle sorte, qu’ils s’ oublient eux-mêmes, et qu’ils prennent un intérêt sensible
passage de la première lettre aux Thessaloniciens : « Vous n’avez pas oublié , mes frères, quelle peine et quelle fatigue nous
88 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
user des affranchis ; mais une fille de la plus haute naissance qui s’ oubliait jusqu’à se rendre Comédienne ou femme publique (c
aïens et aux fidèles les mauvais Chrétiens des premiers siècles qui s’ oubliaient jusqu’à fréquenter la comédie. Ils passaient pour
de l’état, il s’est trouvé dans tous les temps des Magistrats qui en oublient la dignité. Le fameux Libanius, quoique païen, dé
89 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100
un mérite, si s’élevant au-dessus de leur naissance, ils la faisaient oublier par leurs vertus, et la rachetaient par des talen
re l’excès de l’infamie d’une femme de qualité qui s’était absolument oubliée , il dit qu’elle en était venue à ce comble de bas
dent prodigue. Cet éclat, aussi honteux que frivole, au lieu de faire oublier l’obscurité de la source, la met plus en jour, et
90 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre X. Que l'extrême impudence des Jeux Scéniques et des Histrions fut condamnée. » pp. 217-229
t-ils point pour faire rire le peuple ? » Et ce que l'on ne doit pas oublier en ce discours est que les Hébreux n'avaient poin
91 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXX. Profanation du dimanche : étrange explication du précepte de la sanctification des fêtes. » pp. 109-116
n particulier celui qui regarde la sanctification des fêtes sont trop oubliés , et bientôt le jour du Seigneur sera moins à lui
92 (1698) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras au sujet des Tragédies qui se représentent dans les Collèges de son Diocèse [25 septembre 1698] « Mandement  » pp. 37-43
ces sortes d’ouvrages, de ne pas y donner si fort leur temps, qu’ils oublient le soin qu’ils doivent prendre de leurs Ecoliers 
93 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE V. Remarques sur L’Amphitryon, Le Roi Arthur, Don Quichotte et Le Relaps. » pp. 302-493
aut avouer qu’Homère s’était ici engagé dans un mauvais pas ; aussi n’ oublie-t -il rien pour s’y soutenir avec toute la bienséanc
sante sur sa Grandeur, et tient des discours infâmes. Si Mercure ne s’ oubliait à ce point que sous la figure de Sosie, ses gross
a étudié les bienséances et les belles manières,Réf. de sa 3. P. les oublie-t -il à ce point ? Non, le travail infatigable, les
comme la clef pour entrer au Château de Ventre-de-Tonne, le Lord l’a oubliée , et vient dire après cela froidement, qu’il faut
de sa garde armée de faulx, de fourches, de pertuisanes. Mais pour n’ oublier aucune des sûretés qui se peuvent prendre, il fau
En effet ce dameret dans un entretien qu’il a avec le jeune La Mode, oublie que Lord-Fat est son nom ; il lui échappe des cho
n le loge au Galetas, la plaisanterie est assez en son lieu. J’allais oublier une autre pensée ingénieuse du jeune La Mode : « 
fâme et scandaleux ; elle les prive publiquement des Sacrements, et n’ oublie rien pour marquer en toutes rencontres son aversi
menter les caprices et les erreurs des hommes. Cependant nos Poètes n’ oublient rien pour entretenir la méchanceté du siècle, et
94 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Du Theatre. » pp. 73-99
-vingt mille Spectateurs. Mais helas ! sa durée fut courte, & est oubliée dans tous les Autheurs. Curion ne fut pas moins a
entoient quelque chose de la Fable qui se joüoit ; & pour ne rien oublier de ce qui a esté mis en question par les Doctes,
95 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. » pp. 32-50
ésente. On se sent attendrir, on verse des pleurs en dépit de soi, on oublie tout, on oublie sa raison et son propre cœur. On
nt attendrir, on verse des pleurs en dépit de soi, on oublie tout, on oublie sa raison et son propre cœur. On est séduit sans
96 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE II. » pp. 19-41
siècle sont dangereuses pour la pureté. Les Franciscains ne sont pas oubliés  : Gabriel Bieln, savant Cordelier, in 4. dist. 15
saint Jean Chrysostome, cité dans le Chapitre précèdent. Del Monaco n’ oublie pas le danger où s’expose les Spectateurs des Com
97 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « Discours préliminaire. » pp. -
as plus vivement sous les yeux les principes qu’ils ne doivent jamais oublier  ? En voyant alternativement ce que la Nature pres
98 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIII. L’Opéra est le plus dangereux de tous les spectacles. » pp. 111-117
lus terrible embrasement ; que des larmes coulent pour le vice, qu’on oublie ses vertus, et que, privé de toute réflexion, réd
99 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SEPTIEME DISCOURS. De la Magnificence des Princes dans les Habits, dans les Festins et dans les Spectacles publics. » pp. 202-209
et des Diamants pour éblouir les yeux des Spectateurs, et de ne rien oublier de tout ce qui peut entretenir la Majesté de leur
100 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Remarques Angloises. » pp. 133-170
du mépris. Statues, estampes, éditions, fêtes, dédicaces, rien n’est oublié . Il ne manque que d’établir des chaires de profes
jouer après midi & au grand jour. Mais depuis que les magistrats oublient leur dignité jusqu’à peupler le théatre & les
jusqu’à peupler le théatre & les loges, ces sages réglemens sont oubliés  ; &, par une suite nécessaire, on s’éveille,
ants, dont les anglois sont enthousiasmés, qui font, selon eux-mêmes, oublier les défauts de bienséance, de vraisemblance, d’ir
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