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1 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
ire des choses comme un aveugle des couleurs, croit beaucoup plus à l’ opinion qu’à la raison ; d’où il conclut que selon les na
’où il conclut que selon les nations différentes, et la diversité des opinions , telle action est blâmée en un pays qui est honor
t de sa Philosophie. Il y a ainsi beaucoup de choses difformes dans l’ opinion , qui sont tout autres en effet et fort éloignées
JU objectent, peut avoir perdu sa vertu et sa force. D’alléguer ici l’ opinion de Platon, GUILLOT-GORJU qui a lu ses livres auss
ant introduire la communauté des femmes dans sa République ; laquelle opinion a été condamnée universellement de tous les Magis
e au bien public. Qui pourrait maintenant prendre pied sur ses autres opinions après une si monstrueuse proposition ? aussi tout
euses. Il n’appartient qu’aux renfrognés Stoïciens à défendre l’autre opinion , encore faudrait-il qu’ils fussent entourés des o
it excité à travailler s’il n’est alléché par le profit ? Et si cette opinion avait lieu, y a-t-il condition qui pût s’exempter
lle, voyant les merveilles de leur Théâtre. Il paraît aussi que cette opinion est seulement dans l’esprit du vulgaire comme une
ntent ? Aussi ceux qui tiennent l’affirmative n’ont pu persuader leur opinion qu’à quelques intéressés, qui dans la foule ou le
RJU estime que l’ayant vu vous perdrez la mémoire du défunt, et cette opinion plutôt que les Dames ne perdront leurs amours, et
2 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614
90 B Bacon. Citation de ce Sçavant sur la Philosophie, a, 472. Son opinion sur les fictions fabuleuses du Paganisme, b, 17.
Bastide, b, 195. Bathyle. Acteur Pantomime, b, 32, 561 Batteux. Son opinion sur les exercices dramatiques des Colleges, a, 49
ivement aux Spectacles, 257 Besplas (Gros de). Interprétation de son opinion sur M. de Fénelon & M. Languet, relativement
bservation sur la corruption de la Musique & de la Danse, 89. Son opinion sur les mots Bal & Ballet, b, 449 Bussy-Rabu
temps aussi dangereux que le furent ceux du temps de Varron, 499. Son opinion contre la Poésie, b, 12 Dacier (André). Sa réfle
s Empires, b, 167 Desprez de Boissy, b, 277 Denizart. Fausseté de l’ opinion sur la distinction entre les Comédiens François &
tent les foyers des Spectacles, & réflexions à ce sujet, 316. Son opinion sur les Romans, 327. Belle pensée sur les influen
la Comédie moderne, b, 259. Citation de cet Ouvrage, où est réfutée l’ opinion de M. Fagan sur l’état de Comédien, a, 295 Essai
Evremond (de Saint-). Son idée sur l’Opéra, b, 176. Critique de son opinion sur les mœurs du Théatre de Londres, 305. Son sen
avoir avancé dans une de ses Pieces une pensée dangereuse, a, 48. Son opinion sur l’existence d’une autre vie après la mort, b,
ifficulté de bien juger le Théatre Grec, b, 91 Gélase (le Pape). Son opinion sur la tolérance de certains abus, a, 120 Geller
été porté par M. l’Abbé Riballier, 538 Gusman (le P.), Jésuite. Son opinion sur les Spectacles, a, 180 & 484 H Harlai
casion de son Eloge du Maréchal de Catinat, a, 303. Réfutation de son opinion sur le motif du renoncement de Jean Racine au Thé
d on commença à Rome à s’occuper de la Littérature des Grecs, 27. Son opinion sur la Tragédie & sur la Comédie Romaine, 28
son Poëme des Saisons, b, 416. Ses idées sur les bals, 447 Lami. Son opinion contre la Poésie, b, 12 Lancelot du Lac, b, 57
tation d’une pensée de ce Ministre sur le Public, b, 461 Mallet. Son opinion sur l’état de Comédien, a, 289 Mandement de M. d
Quel est le sort de ceux contractés sans réflexion, 41 Mariana. Son opinion sur les Spectacles, a, 84, 180, 484 ; b, 365. Idé
ontel. Sa critique de la Lettre de Jean-Jacques Rousseau, a, 223. Son opinion sur le duel, 224 Martial. Dangers des Théatres p
tablis, a. 601 Mericourt (Le Fuel de), a, 595 Massieu (l’Abbé). Son opinion en faveur de la Poésie, b, 18 Massillon, Evêque
1709, sur la Crainte de Dieu, 137. Effets de la Déclamation, 265. Son opinion contre l’utilité morale de la Poésie, b, 15. Idée
corrompit la jeunesse de Rome, a, 491 Neufchâteau (François de). Son opinion sur l’état de Comédien, a, 289 Neufvy, b, 467 N
Ode de M. Arcere, sur le danger des Spectacles, 503 Oldemburge. Son opinion sur les Parlemens de France, a, 109 Olivet (l’Ab
tatores Comædiarum nostri temporis, a, lxxxj. & 535 Parfait. Son opinion sur nos Comédies, b, 380 Parlemens de France. Op
Parfait. Son opinion sur nos Comédies, b, 380 Parlemens de France. Opinions de Montesquieu, d’Otman, & d’Oldemburge, a, 1
dans leur choix qu’on fait connoître son naturel, b, 548 Platon. Son opinion contre la Poésie, b, 12. Sur la Musique & la
Musique, 81. Ce qu’il reprochoit aux Comédies d’Aristophane, 88. Son opinion sur les dangers des Spectacles, a, 95. Ce qu’il p
Poëte est de se conformer au goût du public pour la licence, 89. Son opinion sur le suicide, 92. Ses fausses idées sur l’éloig
s Magistrats ont pour la fréquentation des Théatres, 106. Sa ridicule opinion contre les ennemis des Spectacles, 130. Son fanat
Epître à M. Turgot, ancien Contrôleur-Général des Finances, 461. Son opinion sur la nécessité des Spectacles pour empêcher des
jets sont tirés de l’Ecriture Sainte, b, 188 W Wallius (Jean). Son opinion sur la cause du retard de l’emploi de la Langue F
3 (1824) Du danger des spectacles « INTRODUCTION. » pp. 1-3
temps où une discussion libre et un examen de bonne foi de toutes les opinions ne manquent pas d’être accueillis, lorsqu’ils son
udra bien parcourir avec attention ces pages où nous avons présenté l’ opinion de plusieurs écrivains illustres et moraux, touch
qu’il est beau quelquefois d’attaquer avec une vertueuse liberté, des opinions et des préjugés qui ont pour eux l’autorité des t
4 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381
mp; j’avoue que dans cette matiere, il est plus aisé de combattre les opinions des autres, que de bien établir la sienne. Il est
r l’estime ni l’amitié. Je n’aurai pas de peine à détruire dabord une opinion singuliere, que l’Abbé du Bos a soutenue avec une
é le premier. Ces Ecrivains n’ont pas apparemment daigné parler d’une opinion si singuliere qui se trouve dans Isidore de Sevil
matieres de Théâtre. Polydore Virgile [de inv. l. 3.] attribue cette opinion à l’ignorance de quelques personnes, qui s’imagin
tur. Voilà donc Esopus prononçant & faisant les gestes. Quoique l’ opinion de l’Abbé du Bos soit contraire à toute vraisembl
os a t-il traduit Lucien très-différemment ? Parce que l’amour de son opinion l’aveugloit : ce qui me dispense d’expliquer plus
bien imiter la Nature. Si l’on accabloit de passages un homme dans l’ opinion de l’Abbé du Bos, pour lui prouver qu’un Acteur s
mp; chantoit ad manum. C’est s’arrêter trop long-tems à combattre une opinion qui n’a eû pour fondement que l’erreur de quelque
ligation à d’autres qu’aux Comédiens. Mais c’est trop s’arrêter à une opinion singuliere de l’Abbé du Bos. §. III. Nous ne p
ès-naturelle. Je me suis attaché dans ce Chapitre à détruire quelques opinions de l’Abbé du Bos, parce que par la maniere dont i
prete avec tous les Ambassadeurs. Ce seul mot prouve la fausseté de l’ opinion de l’Abbé du Bos : il est étonnant qu’il veuille
pinion de l’Abbé du Bos : il est étonnant qu’il veuille persuader une opinion si inconcevable, & encore plus étonnant qu’il
5 (1590) De l’institution de la république « SIXIEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut lire et quels on doit rejeter des Théâtres. » pp. 117-127
aux jeunes gens, et principalement pour autant ou qu’ils ont mauvaise opinion des dieux, ou bien ils en parlent mal.Il excuse l
de ce qu’ils ont par la raillerie de leurs fables méprisé les sottes opinions qu’avaient les Païens touchant les dieux, et touc
s qu’aucun d’eux échappât. Les Poètes donnant quelque couleur à cette opinion , pour éterniser la mémoire du Roi, qui avait fait
t merveilleusement dolente, et éplorée de la mort de son mary. Telles opinions n’ont-elles pas souventefois séduit plusieurs peu
laquelle les ténèbres d’erreur ont été abolies, et aussi toute fausse opinion . Il ne sera donc pas raisonnable de bannir de la
tes, qui ont dit le même : et en premier lieu Orphée, lequel (selon l’ opinion d’aucuns) fut de Libethraville de Thrace, fils d’
rs lieux, et Quintilian au livre sixième de l’art Oratoire, suivent l’ opinion des Poètes, l’appelant Esprit, lequel est mêlé pa
avis de jouer publiquement la Comédie sur échafauds laquelle [selon l’ opinion de quelques-uns] fut premièrement inventée en Sic
t, qu’il faut user de sa diction et phrase. Si ne suis-je toutefois d’ opinion , que le populaire s’amuse à les lire. Car entre l
ent être retenus en la Repub.Touchant les Poètes héroïques, je suis d’ opinion , non seulement qu’on les lise,Quintil. li. 10. ch
6 (1825) Encore des comédiens et du clergé « NOTICE SUR LE MINISTERE FRANÇAIS EN 1825. » pp. 87-100
c pénétrant. On jugera avec certitude de leurs inclinations, de leurs opinions et de leurs talents personnels. Chacun alors pour
ils sont de plus obligés de respecter, jusqu’à l’adulation même, les opinions du prince qui leur accorde sa confiance et qui se
i ; ils doivent au contraire les comprimer et profiter du conflit des opinions pour les diriger tous et s’en éclairer. Quant un
ment qui lui sont le plus dévoués obtiennent la préférence. Alors les opinions de ce parti prévalent sur les opinions et la cons
nnent la préférence. Alors les opinions de ce parti prévalent sur les opinions et la conscience d’un chacun ; c’est de là qu’est
7 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE III. De la comédie et des comédiens chez les païens et chez les chrétiens. » pp. 101-112
une tendance coupable. Il lui est bien libre, sans doute, d’avoir une opinion à cet égard, mais son opinion ne peut jamais cons
est bien libre, sans doute, d’avoir une opinion à cet égard, mais son opinion ne peut jamais constituer un crime, un délit ; ce
n crime, un délit ; cependant, si M. de Sénancourt était un juge, son opinion serait homicide, elle constituerait une peine, un
elle constituerait une peine, une punition plus ou moins grave. Cette opinion sur la tendance est donc purement inquisitoriale,
8 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVIII.  » p. 474
en est que les passions s'excitent par les objets et par les fausses opinions dont l'esprit est prévenu. L'opinion, que la chim
r les objets et par les fausses opinions dont l'esprit est prévenu. L' opinion , que la chimère de l'honneur est un si grand bien
9 (1675) Traité de la comédie « XVIII.  » pp. 300-301
e s'excitent pas seulement par les objets, mais aussi par les fausses opinions dont l'esprit est prévenu. L'opinion que la chimè
ets, mais aussi par les fausses opinions dont l'esprit est prévenu. L' opinion que la chimère de l'honneur est un si grand bien
10 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
usation, dont ils seraient sans cesse menacés, les paralyserait, et l’ opinion déjà connue d’un juge inamovible, pèserait sans c
rès la loi de tendance précitée du 17 mars 1822, sont à la merci de l’ opinion de leurs juges. Chacun, il est vrai, peut avoir s
erci de l’opinion de leurs juges. Chacun, il est vrai, peut avoir son opinion  ; mais une opinion en matière politique ou religi
e leurs juges. Chacun, il est vrai, peut avoir son opinion ; mais une opinion en matière politique ou religieuse, ne peut const
uement composé de juges inamovibles, dont on connaît de longue main l’ opinion . Quoique ces juges soient en apparence indépendan
peuple. La cour royale, en obtenant le privilège de juger d’après son opinion , va se trouver transformée, pour ainsi dire, en c
11 (1694) Lettre à l’abbé Menard « Lettre LIII. De remercîment à M. l’Abbé Menard. Il y est parlé de quelques Ouvrages dont ont porte le jugement. » pp. 62-63
est assez bon et meilleur qu’il n’appartient à un étranger. Mais son opinion est bien expliquée et bien soutenue ; il n’oublie
ez sages pour s’arrêter à ce qu’il y a de juste et de permis dans une opinion indulgente, et pour observer toute la modération
12 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VIII. Les spectacles favorisent les duels. » pp. 93-95
ge plus ridicule, dit Jean-Jacques Rousseau, que celui qui présente l’ opinion la plus extravagante et la plus barbare qui jamai
s, armés de toute la force publique, ne peuvent détruire, parce que l’ opinion , reine du monde, n’est point soumise au pouvoir d
13 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54
morale Chrétienne cette pernicieuse maxime : Que l’on peut suivre une opinion moins probable et moins sûre en faisant ce qui es
nion moins probable et moins sûre en faisant ce qui est péché selon l’ opinion contraire qui nous paraît plus probable. Le 2. Pr
tend que l’on se met à couvert de cette obligation en souscrivant à l’ opinion contraire. D’où il s’ensuit que selon cette moell
14 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  dénombrement du clergé de france avant et depuis la révolution.  » pp. 346-350
ue usurpation par les princes qui possèdent des souverainetés, mais l’ opinion de la corporation est toujours là, les prétention
ué dans le clergé, le nombre, les richesses, et même l’influence de l’ opinion  ; il faut encore ajouter que les lois constitutio
15 (1845) Des spectacles ou des représentations scéniques [Moechialogie, I, II, 7] pp. 246-276
as concurrunt. » Suivant le même auteur, saint Liguori, Sanchez et l’ opinion commune des théologiens au moins étrangers, il n’
anmoins tout danger particulier et tout scandale. Mais voici d’autres opinions qui nous paraissent trop graves ou plutôt trop ha
les de saint Liguori et de Mgr Gousset, nous ne pouvons partager leur opinion , pour les raisons que le lecteur a dû voir et app
les théologiens français. Il ne faut donc prendre sur ce point leurs opinions qu’avec mesure et reserve. Mgr Bouvier en avait d
s tout danger particulier et tout scandale. Ces théologiens, contre l’ opinion d’un grand nombre d’autres, donnent pour raison q
et surtout depuis cent ans, il s’est opéré quelque changement dans l’ opinion des théologiens et dans la conduite des confesseu
tre. D’où vient donc ce dissentiment ou cette divergence de vues ou d’ opinions  ? Est-ce le résultat d’une amélioration ou d’un p
ouvissables. Faudra-t-il conclure, du changement et de la diversité d’ opinions des théologiens et même de la différence de condu
16 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
l’espérance d’une autre vie qui l’en doit entièrement délivrer. " OPINION DU PRINCE DE CONTI SUR LES PIECES DE THEATRE.
-ce qui produit en France cette fureur brutale appelée duel ? C’est l’ opinion où l’on est que la chimère de l’honneur est un bi
exaspérer les esprits et à les rendre enclins à la vengeance, c’est l’ opinion accréditée qu’il y a de la lâcheté à supporter un
a de la lâcheté à supporter un affront. Or, on ne peut nier que cette opinion ne soit accréditée en grande partie par les pièce
ec une religion qui fait une obligation de la pureté du cœur ? « Nos opinions peuvent être influencées par les préjugés, par la
ette question, ce serait me rendre coupable d’une lâche déférence aux opinions et aux mœurs du siècle. Il y a longtemps qu’on di
doit être évident, pour tout homme sage et dégagé de préjugés, que l’ opinion de ces personnages éclairés et vertueux, touchant
17 (1846) Histoire pittoresque des passions « RELIGION » pp. 158-163
et de la tragédie, surtout au liv. II, chap. VIII, De Civit., où son opinion est si clairement exprimée dans ce peu de mots :
il n’aurait aucune gloire de les posséder. Machiavel, entrant dans l’ opinion du Dante, a fait le panégyrique de Pierre Soderin
t onéreux ne paraîtra pas déplacé, si on prend en considération cette opinion de La Bruyère: « Il y a dans les paroisses, dit-i
18 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
prendre beaucoup d’intérêt à la Trinité ni à l’Enfer, enfin d’après l’ opinion de leurs Concitoyens & des autres Eglises Réf
mp; fausses qu’ils désavouent ? Pourquoi les jugez-vous sur la simple opinion de quelques uns de leurs concitoyens ? Pourquoi e
rendre beaucoup d’intérêt à la spiritualité de l’ame, enfin d’après l’ opinion de vos concitoyens & de la Sorbonne même ; qu
19 (1607) Prologue de La Porte, Comédien
t dernier Summa Tabiena sur le même sujetx. Ce sont ceux qui contre l’ opinion de nos docteurs fantastiques, et suivant celle de
ui voulussent recevoir la doctrine ecclésiastique pour règle de leurs opinions . Mais à des machiavélistes qui moulent la piété à
ageusement repoussera vos médisants assauts. Siat vous ne changez les opinions erronées que vous avez conçues de nous et de notr
transcrit « Et, si ». au. [NDE] Comprendre : et en me fiant à leur opinion , je me résoudrai à continuer. av. [NDE] Boyer t
20 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIV. Que les danses sont aussi défendues les jours des Fêtes par les lois Canoniques. » pp. 76-93
combattre en cet endroit la manière d’interpréter ces Canons, et les opinions relâchées des Casuistes, qui en ont voulu altérer
é que désirent ceux qui ne cherchent que leur plaisir ; il condamne l’ opinion d’Angélus d’une excessive sévérité, pour avoir mi
et les danses sont illicites, au moins en ces saints jours, et que l’ opinion de ceux qui restreignent la prohibition de ces ch
21 (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238
sur la scène, et pourquoi il y est protégé. Il en est des goûts, des opinions , des ridicules nationaux, qui ne sont en eux-même
consulté les mœurs et le goût ; c’est-à-dire, qu’ils ont pris dans l’ opinion de leur siècle les moyens de l’affecter, de l’int
oi Corneille a respecté dans les Espagnols et devant les Français une opinion adhérente au principe fondamental de la monarchie
sur les mœurs d’un peuple ; savoir, la force des lois, l’empire de l’ opinion , et l’attrait du plaisir : or, les lois n’ont nul
et l’attrait du plaisir : or, les lois n’ont nul accès au théâtre… L’ opinion n’en dépend point… Et quant au plaisir qu’on y pe
Cela posé, qu’est-il besoin de la force des lois, et de l’empire de l’ opinion , pour lui faire goûter des peintures consolantes
que la grèveb. Mais ce méchant est plus juste que M. Rousseau dans l’ opinion qu’il a du public, puisqu’il jouit au spectacle d
in point : il y a du préjugé, de la fantaisie, du caprice même dans l’ opinion qu’on en peut avoir. Mais en est-il ainsi des vic
ose de pire encore, c’est l’honnête homme de la pièce ! Est-ce dans l’ opinion de Molière ? Il est évident que non. Est-ce dans
-ce dans l’opinion de Molière ? Il est évident que non. Est-ce dans l’ opinion des spectateurs ? En est-il un seul qui ne conçoi
oive le plus profond mépris pour cet infâme caractère ? Est-ce dans l’ opinion de M. Rousseau lui-même ? Je ne révoque pas en do
xamen de L’Avare et du Misanthrope va rendre plus sensible encore mon opinion sur les mœurs du théâtre de Molière. « C’est un g
il a fait dans le Misanthrope. » Il est évident que l’une de ces deux opinions est fausse ; car si Molière, pour plaire à son si
e monde pardonne le moins. Que M. Rousseau accorde, s’il le peut, son opinion avec l’autorité que je lui ai opposée ; son contr
il y a des gens de bien dans le monde, il est naturel qu’il ait cette opinion de ses juges, de ses amis, de sa maîtresse ; et l
mirant l’amour honnête, on se livre à l’amour criminel. » Telle est l’ opinion de M. Rousseau. Voyons comment il la développe. «
’une femme, c’est avilir notre sexe ! Il est donc bien établi, dans l’ opinion d’un Philosophe, que la supériorité nous est acqu
t les lieux et les temps. Voici ce que pense un Orateur chrétien de l’ opinion que M. Rousseau renouvelle. « Un ancien disait au
tirer à conséquence. Que M. Rousseau nous dise donc s’il a pris cette opinion dans l’étude de l’organisation physique, ou dans
s, et l’ordre politique de la société, l’empire de la coutume et de l’ opinion . La société exige dans les alliances certains rap
t que le cœur doit prendre parti pour un sentiment naturel contre une opinion nationale. Que le Cid sacrifiât son père à Chimèn
eau vouloir vous concilier avec vous-même, il n’y a pas moyen ; votre opinion est un Protée, et je ne suis pas un Ulysse. Je co
qui n’est pas d’institution naturelle, les bienséances dépendent de l’ opinion . Dans la Grèce, une honnête femme ne se montrait
ni de briller à ses dépens ; mais de réduire au point de la vérité l’ opinion de ses lecteurs sur l’article des spectacles. Je
22 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
Dans cette lettre j’ai exposé les motifs qui m’ont fait embrasser une opinion contraire à celle de ce digne missionnaire sur le
de répliquer, tant il me semblait doux d’être détrompé et ramené à l’ opinion d’un homme aussi éclairé que M. le missionnaire D
vec reconnaissance l’instruction que vous me donnez. A l’appui de mon opinion sur le théâtre, j’ai parlé dans ma lettre à M. De
çaise, qui s’est prononcé contre les bals. J’ai voulu vérifier si son opinion , la seule que vous ayez rapportée, était bien res
23 (1671) De la connaissance des bons livres « DE LA COMEDIE  » pp. 232-248
e : Ils tiennent tout cela pour folie ou pour vanité ; mais c’est une opinion trop chagrine et trop sévère. La Poésie étant ple
s sont si bien représentées, ont offensé tous les Dévots ; Selon leur opinion on y emploie des paroles trop tendres qui réveill
des plus fameux Poètes du Théâtre, et des plus discrets qui selon son opinion ont des paroles trop touchantes. En ce qui est de
24 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE V. Des Comédiens. » pp. 156-210
de le prendre, si l’association de pareils Confrères ne justifiait l’ opinion que bien des gens ont conçue contre tous les gens
us. Qu’on se garde bien, en même temps, de leur donner une trop haute opinion d’eux-mêmes ; qu’on les considère, qu’on les esti
loi prescrite contre les Duels. Il est bien difficile de détruire une opinion universellement reçue comme un sentiment de vertu
ruire une opinion universellement reçue comme un sentiment de vertu ; opinion si enracinée qu’on rougirait de ne pas la suivre,
s fait présumer que tous leur ressemblent, vous m’autorisez par cette opinion à conclure que la mauvaise foi d’un grand -nombre
ogène était Philosophe mais Philosophe Cynique et, suivant la commune opinion , orgueilleux autant qu’insolent : on voyait son o
ait son orgueil à travers les trous de son Manteau ; et quelque bonne opinion que M. De la Mothe le Vayer en ait conçue sur que
à laquelle le Roi vient d’accorder les honneurs militaires, que leurs opinions les empêchaient ci-devant de partager : tout cela
Ministère public un Auteur dans les écrits duquel je découvrirais des opinions nouvelles, contraires au repos de la foi, et par
, il leur montre le chemin de la Vertu et s’en tient là : mais quelle opinion n’est-il pas permis d’avoir d’un homme qui quitte
ue description que vous faites de Genève en donne cette idée), quelle opinion , dis-je, n’est-il pas permis d’avoir d’un petit A
25 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
tion ? Fort de la pureté de mes intentions et de la certitude que mon opinion nouvelle, en cas d’erreur, et du reproche imminen
des sociétés ou des cercles et coteries, en un mot, le mouvement de l’ opinion et des mœurs. C’est d’après ces documents certain
. C’est pourquoi je prie mes juges impartiaux de ne prononcer sur mon opinion nouvelle qu’après avoir lu attentivement cet essa
26 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE III. En quoi consiste le Plaisir de la Tragédie, & de la grande émotion que causoient les Tragédies Grecques. » pp. 49-62
ai toujours celui-ci. Les Poëtes Tragiques n’avoient pas répandu ces opinions  : elles étoient beaucoup plus anciennes qu’eux, o
le tonneau d’amertume. Il faut chercher l’origine de ces monstrueuses opinions . 1°. Dans la corruption de notre cœur. L’Homme co
é, exhortoient à la vertu. Nous ne pouvons concilier entre elles, les opinions des Anciens, ni comprendre leur Religion. Je n’ai
27 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XI. Qu’on ne peut danser sans péché les jours qui sont particulièrement destinés à l’exercice de la piété Chrétienne. » pp. 41-53
beaucoup écarté de la vérité, et qu’il se soit laissé aller dans des opinions fort accommodantes. Il croit donc que ceux qui da
et qui par conséquent ne peut que les conduire au précipice, par des opinions nouvelles, qui n’ont aucun fondement dans la doct
28 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver sur le Théâtre de la Réformation. Avant Propos. » pp. 118-127
et, dans la crainte qu’on ne m’accusât de présomption en combattant l’ opinion générale, j’ai soutenu les règles tant que j’ai p
s pour lors aucun Ecrivain qui pût m’aider à rectifier ou appuyer mes opinions  ; mais, comme on acquiert de nouvelles lumières p
29 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
qui se sont constitués les héritiers directs et fidèles de toutes les opinions séditieuses, anarchiques et régicides de l’infâme
ges et leur autorité doivent fixer à jamais, sur ce sujet, toutes les opinions et éteindre toutes les dissensions en matière de
30 (1825) Encore des comédiens et du clergé « PREFACE. » p. 6
PREFACE. Je prie le lecteur, de telle opinion qu’il puisse être, de lire le présent ouvrage en
31 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64
mœurs, c’est pour les réformer. Mais il y a chez tous les peuples des opinions respectables et utiles au Gouvernement que les Au
t ne pas confondre avec les vices qu’on critique sans ménagement, les opinions qu’on respecte vu leur utilité, quoique ces opini
ménagement, les opinions qu’on respecte vu leur utilité, quoique ces opinions puissent quelquefois introduire certains abus dan
osé prévoir comme lui, en attaquant des vices, des ridicules, et des opinions du jour qu’on avait trop ménagées avant eux. Cec
pable de se peindre les originaux. Je ne sais si la bonne ou mauvaise opinion qu’on prendrait du cœur d’un Peuple ne serait pas
ur le spectacle seraient généralement adoptées, et pour réfuter votre opinion il suffirait sans doute de vous montrer le peu de
ants, puisque tous applaudissent alors, et c’est attaquer vous-même l’ opinion que vous dites avoir de la bonté naturelle des ho
pée qu’il donne au Comte de Gormas. Vous n’affectez apparemment cette opinion que pour faire croire que la bravoure gâte les mœ
qu’il ne soit pas mortel. Si l’on a déjà secoué à moitié le joug de l’ opinion , espérons que la raison achèvera l’ouvrage, en fo
be : cette apostrophe au plus affreux des Tyrans ne justifie ni votre opinion à l’égard de la faiblesse des lois contre les abu
32 (1715) La critique du théâtre anglais «  [frontispice] »
E ANGLOIS compare au theatre d’athenes, de rome et de france. et l' opinion des auteurs tant profanes que sacrez, touchant
33 (1761) Les spectacles [Querelles littéraires, II, 4] « Les spectacles. » pp. 394-420
aire terminer en leur faveur. Pour être au fait de la contrariété des opinions sur ce point, il suffit de remonter à la fameuse
on : « D’autres que vous me feront peut-être un crime d’avoir suivi l’ opinion la plus favorable, & m’appelleront casuiste r
ieur, que je ne me suis pas arrêté à la douceur, ou à la rigueur de l’ opinion , mais uniquement à la vérité. » Un prêtre, un re
voit donné sujet ; mais enfin il rompit le silence & défendit son opinion . Si, sur le théâtre, on a voulu quelquefois, dit-
34 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES MATIERES. » pp. 229-258
TABLE DES MATIERES. Préface. Invitation aux lecteurs de telle opinion qu’ils puissent être, de ne juger l’ouvrage qu’ap
s personnages les plus sacrés, sans en excepter la divinité. Page 107 Opinion de M. de Sénancourt sur les détails insérés dans
eux journaux, le Constitutionnel et le Courrier, sont à la merci de l’ opinion de leurs juges, et probablement seront condamnés.
de jury, uniquement composé de juges inamovibles, dont on connaît les opinions de longue main. Page 167 Réflexions sur les juges
35 (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45
Paris & à la Cour, quand il est avéré qu’elle ne contrarie aucune opinion particulière d’aucun des arbitres ; mais on doit
François n’auroit pas coulé sur les échafauds du Languedoc, pour des opinions théologiques. XXI. Si je réclamois la liberté du
. Du moment que vous admettez une seule partie de l’Ordre public où l’ opinion du Magistrat fait la loi, vous violez le droit na
d’esclaves ; & les Magistrats sont législateurs par-tout où leur opinion particulière décide. Mais ne sentez-vous pas les
es sens, & je veux des limites, puisque je veux des loix. Quand l’ opinion des Magistrats décide, il n’y a point de limites.
éâtre, du Théâtre qui change insensiblement les mœurs Nationales. Les opinions les plus certaines sont traitées de chimères quan
36 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
ion de jouer le Tartuffe à Paris. Dissertation Spectacles. L’ opinion & le préjugé sur les Spectacles, tous deux co
amais de l’espoir du bonheur d’y contempler quelquefois son Maître. L’ opinion qui veut avec raison trouver un plaisir innocent
amp; sans s’en douter, il a trouvé le moyen de parvenir à concilier l’ opinion & le préjugé. Des salles somptueuses dans les
ssentie plus que les autres de la contradiction entre le systême de l’ opinion & le sentiment du préjugé, quoiqu’avec beauco
ont plus l’émulation de leur état. Enfin l’esprit d’indépendance, les opinions particulieres & à foi, les écrits contre les
tations de ces mêmes pièces ; c’est la diversité de sentimens & d’ opinions sur cette matiere. Les premieres Tragédies de Rac
mulation deviendra générale ; & le préjugé, d’accord enfin avec l’ opinion , ne retiendra plus les productions du génie. Cet
37 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « A Monsieur le Comte de P***. » pp. -
lui dont les sentimens ne sont pas les vôtres : c’est par le choc des opinions diverses que naissent les vérités, ou que l’on év
38 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
ts. Que résultera-t-il de cette opposition dans les faits et dans nos opinions  ? Que chacun de nous restera dans la sienne ? Non
es Fables, née de l’orgueil, nourrie par la flatterie, défendue par l’ opinion , et couverte du voile épais des siècles, ne pouva
arfaite, et avant de chercher de nouveaux exemples qui confirment mon opinion , je vais prévenir vos objections (autant qu’il se
pas moins certain que le Poète a souvent ramené les spectateurs à une opinion qui n’était pas la leur : et en ce cas, c’est le
39 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — TROISIEME PARTIE. Des obstacles qui s’opposent parmi nous à la perfection de la Comédie. » pp. 57-75
cle qui s’oppose parmi nous à la perfection de la Comédie, vient de l’ opinion où sont nos Auteurs, que les caracteres propres à
de honte de travailler sur des sujets qui ont été traités. Quant à l’ opinion où sont nos Auteurs, que la Comédie ne trouve plu
40 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VI. » pp. 98-114
digne de moi, s’il peut l’assassiner. La fureur des Duels vient de l’ opinion fausse que l’on doit conserver son honneur aux dé
le réparer, qu’il est indispensable de tuer un agresseur : or, cette opinion , aussi contraire à la raison qu’à l’Evangile, est
41 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « [Lettre] » pp. 1-4
ardonnez-moi si je me sers de vos propres expressions.) Je n’ai pas l’ opinion flateuse, si vous le voulez, que la sincérité &am
42 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189
sentiment dans lequel vous êtes sur l’inutilité des Spectacles, de l’ opinion du grave Murat, qui dit que nous voyons toujours
de l’espece de celui dont nous parlons, si je me trompe dans ma bonne opinion , elle trouvera en vous un second Ciceron. Soyez d
idé peut fort bien tenir cette conduite, elle prouve même la mauvaise opinion qu’il a des hommes ; Philinte a donc pu donner à
and de tous les vices. » Commencez par vous rétracter sur la mauvaise opinion que vous avez de nos Spectateurs ; et; par un eff
ences qu’ils prennent, mais vous composez un volume pour détruire les opinions justes et; sages d’un homme respectable à tous ég
que dans l’autre sexe ; j’ajoûte même, en tirant une conséquence de l’ opinion que nous avons de la femme, qu’il devroit être pl
s pourroient faire rougir de les outrager. Voilà l’effet de l’injuste opinion des sots. Que chez vous, au contraire, Monsieur,
tes gens qui savent se distinguer dans cet état, malgré la force de l’ opinion , ambitionneront l’avantage d’aller vivre parmi de
en imposer aux Comédiens, changeront l’opinion publique, car si cette opinion subsiste toujours ils resteront donc tels qu’ils
en France, elle n’a jamais imaginé réussir tout d’un coup à changer l’ opinion , et; à persuader qu’un homme qui se battroit en d
oi a arrêté cette fureur, mais il a même forcé en partie de changer l’ opinion . Un homme qui autrefois n’auroit pas accepté un c
lui-même la résolution de se battre, il n’aura à se plaindre que de l’ opinion qu’il a attaché à l’affront qu’il a reçu, mais si
le diminuer, puisque si l’Edit du Prince n’a pas changé totalement l’ opinion qu’on avoit des duels, il l’a beaucoup rectifié.
e concluant pour prouver la difficulté de faire prendre au public une opinion contraire à celle qu’il a des Comédiens. Je crois
re regardés sur un bien meilleur ton. J’ajouterai, pour prouver que l’ opinion qu’on auroit à Genève des Comédiens seroit telle
et; prévenus, qui le liront, et; qui s’affermiront dans leurs fausses opinions par l’exposition artificieuse des vôtres. Il faut
tituent, qui voudroient par leurs exemples faire revenir de l’injuste opinion qu’on a si déraisonnablement conçu d’elles, qui p
St. Nicolas de Tolentin. C’étoit alors une œuvre si méritoire dans l’ opinion commune, que l’Eglise de Lyon avoit assigné une s
43 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVII.  » pp. 471-473
rale poétique et romanesque, parce que ce n'est qu'un amas de fausses opinions qui naissent de ces trois sources, et qui ne sont
44 (1675) Traité de la comédie « XVII.  » pp. 297-299
ale Poétique et Romanesque, parce que ce n'est qu'un amas des fausses opinions qui naissent de ces trois sources, et qui ne sont
45 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE PREMIER. Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre l’auteur du livre intitulé : Des Comédiens et du Clergé. » pp. 49-51
peuvent de ma part, être pures qu’en apparence ; puis me prêtant des opinions perverses, il semble qualifier d’hypocrisie, le l
46 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouvrage intitulé : Des Comédiens et du Clergé, et sur les charlataneries littéraires, politiques et religieuses. » pp. 52-86
es gouvernements. Quoi qu’il en soit, personne ne peut nier que cette opinion ne soit celle du jésuitisme. Cette opinion, cepen
nne ne peut nier que cette opinion ne soit celle du jésuitisme. Cette opinion , cependant, est erronée, malgré les avantages qu’
avantages qu’on attribue au pouvoir absolu. Avant de combattre cette opinion je dirai que les conséquences qui en résultent ne
été déjà prouvé. Cette manière de penser et d’agir est précisément l’ opinion de la théocratie et par conséquent des jésuites,
47 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
la foi du Spectateur. Le Beau-frère plus pleinement confirmé dans son opinion qu’auparavant, prend occasion sur ce sujet de fai
la volonté des passions par la Tragédie, et guérir l’entendement des opinions erronées par la Comédie : que pour arriver à ce b
ue, et sur qui les paroles peuvent tout, se préviendra toujours d’une opinion de sainteté et de vertu, pour les gens qu’il verr
rêt, ne veulent jamais agir que par l’autorité seule que leur donne l’ opinion qu’on a de leur vertu. Le Frère demeuré seul, sa
’elle dédaigne de paraître dans ces lieux, et qu’elle ait si mauvaise opinion d’elle-même, que de penser qu’elle puisse être av
de ridicule : mais je réponds à cela deux choses ; l’une, que dans l’ opinion de tous les gens qui connaissent le monde, ce péc
n font de la reprendre. Le désordre ne procède d’autre cause que de l’ opinion impie où la plupart des gens du monde sont aujour
trarie directement la Raison naturelle. Or pouvait-on combattre cette opinion perverse plus fortement, qu’en découvrant la turp
histoire que je vous ai contée, et de prendre pour l’effet de quelque opinion préméditée, l’effort que j’ai fait pour vous plai
48 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82
uelle vous soumettez tous les autres. Il faut, je pense, ranger cette opinion au nombre de vos suppositions, dont le fréquent u
plus faux raisonnemens, en adoptant comme des dogmes merveilleux, les opinions les plus outrées ; parvenu enfin par une longue h
er de respect aux vieillards ; mais seulement à ne pas donner à leurs opinions un consentement sans examen. Les spectacles ne di
sent, des ressources contre l’anéantissement où devroit les plonger l’ opinion de la multitude : organes journaliers des plus su
g des loix. Que ne puis-je, pour l’honneur de ma patrie, anéantir une opinion que la raison désavoue ! Avoir recours au préjugé
Si l’on doit rougir, c’est de s’asservir sans examen à l’empire de l’ opinion , lorsqu’elle n’a que le prejugé pour fondement. I
en lui faisant comprendre l’impossibilité de donner des entraves à l’ opinion  : il me crut, & fit grace au public, en lui é
49 (1715) La critique du théâtre anglais « privilège du roi. » pp. 502-504
re Anglais comparé au Théâtre d’Athènes ; de Rome et de France ; et l’ Opinion des Auteurs tant profanes que sacrés touchant les
50 (1768) Observations sur la nécessité de la réforme du Théatre [Des Causes du bonheur public] «  Observations sur la nécessité de la réforme du Théâtre. » pp. 367-379
oit aussi inutile que difficile de parler de tous, de rapporter leurs opinions & leurs disputes. On a fait un volume du seul
les scandales mêlés aux représentations du Théâtre ; il ramene à son opinion les Peres, les Philosophes anciens, Platon, &
51 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [I] » p. 418
la Raison & de la Philosophie, il serait injuste de concevoir une opinion aussi desavantageuse de nos Comédiens. Notre Juri
52 (1731) Discours sur la comédie « Lettre à Monsieur *** » pp. -
déterminer à les faire imprimer. Il me semble que quand on réfute des opinions qui plaisent aux gens du monde il faudrait étudie
53 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE III. Réflexions sur le renouvellement du Théâtre. » pp. 36-41
comme une école pour la correction des mœurs : c’est une différence d’ opinion qui dure encore. Pendant cette altercation le Pub
54 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « La criticomanie — Autres raisons à l’appui de ce sentiment, et les réponses aux objections. » pp. 154-206
t, tiré d’un ancien auteur latin très-souvent cité, confirme bien mon opinion sur les effets irritants de l’action théâtrale :
ées ont fait ainsi tomber dans le mépris et conspuer. L’exemple ou l’ opinion des anciens ne peut pas servir d’argument contre
es pour amollir les cœurs et égarer l’imagination. Certes, voilà deux opinions fort opposées ! Quoique je tienne beaucoup à la d
55 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XII. Des Spectateurs. » pp. 355-358
suppose présens. M. Dacier & l’Abbé d’Aubignac soutiennent cette opinion de laquelle résulteraient de grandes beautés, si
56 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « JUGEMENT DE M. DE VOLTAIRE, SUR LES SPECTACLES. » pp. 78-81
prit. Les mêmes esprits qui bouleverseraient un Etat pour établir une opinion souvent absurde, anathématisent les plaisirs inno
57 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — PREMIERE PARTIE. Quelle est l’essence de la Comédie. » pp. 11-33
si je ne me trompe, ce qu’on peut dire de plus fort pour réfuter mon opinion  : examinons si cette objection est aussi solide q
e, j’espere après cela, que la plupart de mes lecteurs trouveront mon opinion moins extraordinaire. Reprenons l’autre partie de
58 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — SECONDE PARTIE. Si les Comédies Françoises ont atteint le vrai but que se propose la Comédie. » pp. 34-56
le fond de la chose. (Quand je dis ridicule, j’entends un ridicule d’ opinion , & nullement un ridicule essentiel.) Il s’en
teurs comiques ; mais je pense que l’examen du Tartuffe a donné à mon opinion toute la certitude dont elle est susceptible. Je
59 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Actes ou des divisions nécessaires au Poème dramatique. » pp. 90-106
repos que nous appellons entre-Acte. Au reste, ce ne sont ici que des opinions particulières, qui ne tirent point à conséquence,
oème leur serait entièrement consacré. Mais je ne crois pas que cette opinion soit recevable : l’intrigue peut aussi-bien conte
60 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  AVERTISSEMENT. DU LIBRAIRE. » pp. -
, & le goût soutenu de vos Lecteurs. Rien n’est moins fondé que l’ opinion de ceux qui prétendent que l’art dramatique, Fict
61 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-4
i nia que cela fût possible, on voulut le tourner en ridicule sur une opinion si extraordinaire : il entreprit, pour la prouver
62 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « AU LECTEUR. » pp. -
eil cas ils interprétent de leur mieux les Passages contraires à leur opinion , plutôt que de l’abandonner, que peuvent-ils fair
63 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49
les comiques sont aussi anciens que le Monde. Je n’adopte point l’ opinion des Auteurs qui ont traité de la Comédie ; voici
amp; tous leurs commentateurs. En faut-il d’avantage pour appuyer mon opinion  ? S’il paraît que le genre tragique se soit plutô
riera d’une commune voix, que la Grèce les connut la prémière ; cette opinion me paraît très-mal fondée : je ne vois pas pourqu
64 (1574) Livre premier. Epître dixième. Cyprien à Eucratius son frère « Epître dixième. » pp. 30-31
tre, très cher frère, tu t’es voulu enquérir de moi, quelle était mon opinion et avis, touchant un bateleur, qui demeure entre
65 (1620) L’Honneur du théâtre « Prologue » pp. 39-42
ner que notre plus ardent désir est de vous contenter, et laisser une opinion dedans vos cœurs que nous ayons essayé tous les m
66 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
’est à moi que vous vous adressez pour que je fixe, dites-vous, votre opinion . Je dois répondre de mon mieux à votre confiance.
doute il croit peu de talent. Celui-ci, pour lui ôter cette mauvaise opinion , prend successivement & à l’insçu de l’autre,
une révolution comme notre langue. Une des principales sources de ces opinions nouvelles est à la foire, aux boulevards & au
santé cruellement compromise. Ils ne peuvent que concevoir une haute opinion d’eux-mêmes et se former une fausse idée de ce qu
67 (1692) De la tragédie « De la tragédie ancienne et moderne. » pp. 148-162
e choses surnaturelles, rien ne paraissait fabuleux au Peuple, dans l’ opinion qu’il avait d’une société entre les Dieux et les
oses saintes, et les choses saintes perdent beaucoup de la religieuse opinion qu’on leur doit, quand on les représente sur le T
68 (1698) Théologie du cœur et de l’esprit « Théologie du cœur et de l’esprit » pp. 252-267
la morale des Comedies & des Romans ? Elle est un amas de fausses opinions , qui naissent de la concupiscence, & qui ne s
rend violens, & ce qui les porte à la vengeance, c’est la fausse opinion que donnent les Comedies & les Romans, qu’il
69 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
près d’une femme, il semble que cela ne s’accorde point avec la haute opinion que nous avons de ce Héros ; Alexandre n’est conn
ns et a employé tous les expédiens possibles pour détruire la commune opinion , qu’il ne se passe, en fait d’amour au Serrail, q
70 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264
ées à bonne intention, n’en blessent pas moins l’état, l’intérêt, les opinions , ou les préjugés de ceux qui en sont l’objet. Ign
eil cas ils interprètent de leur mieux les passages contraires à leur opinion , plutôt que de l’abandonner, que peuvent-ils fair
isir ; mais ayant à parler du même article où vous leur attribuez des opinions que nous ne leur connaissons point, me taire sur
sur les mœurs d’un peuple ; savoir, la force des lois, l’empire de l’ opinion , et l’attrait du plaisir. Or les lois n’ont nul a
t la moindre contrainte11 ferait une peine et non pas un amusement. L’ opinion n’en dépend point, puisqu’au lieu de faire la loi
fait : parce que l’esprit humain, moins étendu, moins noyé parmi les opinions vulgaires, s’élabore et fermente mieux dans la tr
ssent de nos propres sentiments dans la retraite, elles naissent de l’ opinion d’autrui dans la Société. Quand on ne vit pas en
rmées, et autres punitions de ce genre qui tiennent immédiatement à l’ opinion , ou en sont un effet nécessaire. Il s’ensuit, en
te ? A mesure que la Cour d’honneur aurait acquis de l’autorité sur l’ opinion du peuple, par la sagesse et le poids de ses déci
d’autres punitions semblables, nulles par elles-mêmes, grièves par l’ opinion , jusqu’à l’infamie inclusivement qu’on aurait pu
t en quoi consistait ce préjugé qu’il s’agissait de détruire ? Dans l’ opinion la plus extravagante et la plus barbare qui jamai
e France, armés de toute la force publique, ont vainement attaqués. L’ opinion , reine du monde, n’est point soumise au pouvoir d
re, sera de changer nos maximes, ou si l’on veut, nos préjugés et nos opinions publiques ; ce qui changera nécessairement nos mœ
s qui les attaquent, et contre la pente naturelle qui les altère. Les opinions publiques, quoique si difficiles à gouverner, son
de peur de nous faire horreur. Pour moi, je n’en aurai pas meilleure opinion des femmes, quand elles seront plus circonspectes
et simples, très propres à toucher un cœur honnête et à donner bonne opinion d’elles. Je ne sais ce qu’elles ont dit, mais ell
t mieux séante dans les cercles que dans les maisons particulières. L’ opinion peut beaucoup encore en ce point ; et sitôt qu’on
mais on pouvait établir la paix où règnent l’intérêt, l’orgueil, et l’ opinion , c’est par là qu’on terminerait à la fin les diss
et je prenais cela pour un défaut. En y pensant mieux, j’ai changé d’ opinion . Omar emporté par son fanatisme ne doit parler de
r là qu’on puisse être vertueux sans Religion ; j’eus longtemps cette opinion trompeuse, dont je suis trop désabusé. Mais j’ent
71 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. 13-48
nir, que des juges dévoués, entraînés par l’esprit de parti, dont les opinions sont connues d’avance, séduits d’ailleurs par les
, des lois véritablement inquisitoriales uniquement fondées sur leurs opinions , et faisaient taire les lois équitables dont ils
et savants auteurs. Telles sont les raisons qui leur font adopter des opinions aussi injustes. C’est ainsi que tous les prêtres,
72 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VI. Les obstacles qu’on peut rencontrer pour parvenir à la Réformation du Théâtre. » pp. 59-68
anché et qu’on n’y souffre plus les grossièretés ; et la plus commune opinion des hommes est que, parmi les amusements qui sont
73 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CONCLUSION, de l’Ouvrage. » pp. 319-328
représentations Théâtrales ; peut-être serviront-elles à défendre mon opinion , et en même temps à fortifier les raisons qui m’o
74 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VII. Du Père Porée. » pp. 149-177
e mauvais livres, par la beauté de son style & la témérité de ses opinions , par la liberté de ses censures contre son propre
parce qu’on est libre d’y résister. Guimenius rejette avec raison une opinion si relâchée, qui même ne sauveroit pas la comédie
’il doit prendre, Diana a fait une espèce de répertoire de toutes les opinions des Théologiens, même les plus relâchés, & de
bilité, & décide en conséquence contre son propre sentiment sur l’ opinion de quelque Docteur. Sa doctrine sur la comédie se
75 (1760) Lettre à M. Fréron pp. 3-54
r et le Comédien sont également inutiles. En laissant subsister cette opinion d’inutilité du Théâtre, ce serait autoriser en qu
pre un cœur bien fait ; c’est Mr. de Crébillon, osera-t-on rejetter l’ opinion de ce Grand homme. Un Auteur de dix sept à dix hu
s qu’il avait entendus. Voilà donc un exemple frappant qui confirme l’ opinion d’un grand homme sur l’utilité du spectacle ; mai
leur Commerce avec leurs subordonnés, qu’il faudrait aller chercher l’ opinion qu’ils méritent et saisir leurs traits caractéris
rouvé toujours un bon nombre de sujets capables de justifier la bonne opinion que j’ai de ma profession. Quoiqu’en dise Mr. Rou
76 (1715) La critique du théâtre anglais « TABLE DES PRINCIPALES matières. Contenues dans ce Volume. » pp. 494-500
uatrième. Examen du Relaps ou de la Vertu en danger, de M.V. 357 L’ OPINION DES auteurs tant profanes que sacrés, touchant le
77 (1764) De l’Imitation théatrale ; essai tiré des dialogues de Platon : par M. J. J. Rousseau, de Genéve pp. -47
; au lieu que l’apparence nous offre le tout à la fois, &, sous l’ opinion d’une plus grande capacité d’esprit, flatte le se
l’apparence & la réalité des objets sensibles lui en donnent des opinions contraires, de même il apprécie différemment les
t ce qui les rend dignes de mépris ; & ce renversement des saines opinions est l’infaillible effet des leçons qu’on va prend
78 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
part au salut de Venise. Je vous avouerai à cette occasion (contre l’ opinion assez généralement établie) que le sujet de Venis
remèdes même serviraient de poison ; aussi suis-je persuadé, malgré l’ opinion contraire où vous êtes, que les représentations t
aire sans cesse, à n’avoir pas un sentiment qu’elles n’étouffent, une opinion qu’elles ne cachent, une pensée qu’elles ne dégui
exe, je serai plus favorable à leur conservation ; et malgré la bonne opinion que vous avez de la bravoure d’un régiment de fem
rend‌re beaucoup d’intérêt à la Trinité ni à l’Enfer, enfin d’après l’ opinion de leurs concitoyens, et des autres Eglises réfor
79 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE II. » pp. 18-28
dans les termes qui l’expriment, je n’ai rien trouvé qui favorise son opinion touchant la Comédie Françoise. Il prétend que la
80 (1695) Preface [Judith, tragedie] pp. -
de l’Ecriture Sainte, et de l’Histoire Chrétienne. Indigné contre une opinion si fausse et si pernicieuse, je crus d’abord qu’e
81 (1675) Lettre CII « Lettre CII. Sur une critique de son écrit contre la Comédie » pp. 317-322
 » est très probablement Madame de La Fayette, qui ne cachait pas son opinion sur la pensée de Nicole. L. Thirouin note qu’en u
82 (1790) Sur la liberté du théatre pp. 3-42
mpte de sa pensée qu’à la loi. La censure ne peut être établie sans l’ opinion d’un homme, et l’opinion d’un homme n’est pas la
loi. La censure ne peut être établie sans l’opinion d’un homme, et l’ opinion d’un homme n’est pas la loi. Si l’on créoit un co
où les magistrats sont législateurs ; et ils le sont partout où leur opinion particuliere peut décider. La censure ne sera don
sera donc pas exercée sur le théâtre, puisqu’elle mettroit toujours l’ opinion d’un homme, ou de plusieurs hommes à la place de
83 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. De la Dédicace de la Statue de Voltaire. » pp. 71-94
tres, Egal à vingt hommes illustres, En a seul rempli les destins. Opinion , bisarre idole, Dont l’Univers subit la loi, Moin
 ; il a été pourtant trente ans à paroître sur l’horison. Ce Roi de l’ opinion , dont l’éloquence a persuadé le genre humain. C’e
dont l’éloquence a persuadé le genre humain. C’est une absurdité, les opinions de Voltaire ne sont adoptées de personne. Cet apô
84 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
. Les Papistes sont-ils donc plus sacrileges que les Impies ? & l’ opinion de la présence réelle plus monstrueuse que le mat
de, source où l’imagination puise le systeme où se fonde la populaire opinion . Qu’un fanatique ridicule y place son plus doux e
que, si l’objet étoit moins important, il veut faire un mérite de ces opinions , un titre de sainteté supérieur à toute la perfec
85 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VI. De l’indécence du Théatre. » pp. 114-137
i le premier aura le plaisir d’annoncer la fin de nos erreurs sur nos opinions par rapport à l’art du théatre ! Tout est faux d
séquence ? L’Auteur finit par ces mots, la fin de nos erreurs sur nos opinions  : expression louche, qui ne rend pas ce qu’il veu
l veut dire. Par rapport à l’art du théatre, c’est une erreur sur une opinion . L’art de faire des poëmes dramatiques, l’art de
86 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [B] » pp. 380-390
qu’il nous propose nous touchent plus sensiblement. C’est du moins l’ opinion de Corneille. Mais comme ce genre ne peut être ni
e, tant la légèreté & l’indifférence d’un certain Public, sur les opinions littéraires, donne beau jeu à l’ignorance & à
87 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « Discours préliminaire. » pp. -
ur ce qu’éprouvent les hommes. On pourrait avancer, sans soutenir une opinion bisare, qu’il n’y a que l’observation des règles
88 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XII. Que la représentation des Comédies et Tragédies ne doit point être condamnée tant qu'elle sera modeste et honnête. » pp. 237-250
le plus ordinaire et le plus beau des divertissements publics ; Car l' opinion des doctes Chrétiens, est que la représentation d
89 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXII. Passages de Saint Ambroise et de Saint Jérôme sur les discours qui font rire. » pp. 124-131
stote voulait toujours raffiner sur lui, et accommoder les vertus aux opinions communes et à la coutume. Encore que les saints p
90 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SEPTIEME DISCOURS. De la Magnificence des Princes dans les Habits, dans les Festins et dans les Spectacles publics. » pp. 202-209
am eximiam corporis vestem. » Philosophes les confirmeront dans cette opinion , s’ils veulent les écouter : Car ils leur conseil
91 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IX. » pp. 158-170
oins très-sincérement de le voir rétabli, après qu’il aura abjuré ses opinions erronnées. Personne ne devoit être plus prévenu d
92 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques « [Traité] » pp. 3-62
arence de raison, ce qu’il s’est imprimé en son cerveau par une folle opinion  ; plus il se trouvera d’absurdité en la chose, de
u Scoliastiques, de l’Eglise Romaine, ou de la Réformée : Aussi cette opinion ne peut tomber, qu’en un faible cerveau, en une é
ir, voire de toute société : Faudra-t-il donc, disent-ils, que pour l’ opinion de quelque renfrogné acariâtre, nous soyons privé
re sens, etc., faut voir, si nous sommes les premier auteurs de cette opinion , prétendue nouvelle, ou si nous sommes seuls en l
si opiniâtrement ? Laissons donc les Païens, et voyons quelle a été l’ opinion des anciens Chrétiens. Théophile Evêque d’Antioch
93 (1644) Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. Discours quatriesme « Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. » pp. 100-132
gnifique soit icy le meilleur, & le plus loüable ? Ce n’est pas l’ opinion de celuy à qui vous la demandez auec tant de defe
Sales du Commun ; dans les Boutiques des Artisans. Ils donnent leurs opinions , leurs dogmes & leur genie à Chremes & à
94 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
de vos entretiens les plus familiers ? Eh non, eh non. J’ai meilleure opinion de vous que vous-mêmes. Assurément vous ne commet
t excuser un usage dont vous avouez, Monsieur, la barbarie, comme une opinion inhérente au principe fondamental de la Monarchie
95 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Réfléxions sur le plaisir qu’on ressent à la représentation d’un Poème comique, & sur la douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. » pp. 113-123
s & très-ingénieuses17. Sans nous arrêter à discuter les diverses opinions de ces trois Auteurs, disons en peu de mots quel
96 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
tise pas la profession de comédien. Il était libre enfin, d’après ses opinions jésuitiques, de justifier le fanatisme de quelque
97 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. -
et fait comme une espèce d’amende honorable à l’humanité. J’ajoute l’ opinion de M. de Voltaire qui, ayant travaillé, ainsi que
98 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE III. » pp. 29-67
cieux de la foi, à moins que vous n’y renonciez en vous livrant à des opinions hétérodoxes. L’Excommunication, selon l’éthimolog
pertinences, sur la foi de son Maître, sans y entendre malice : Or, l’ opinion d’un tel homme doit-elle balancer celle de tous l
99 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Résumé et moyens de réformation. » pp. 105-200
oyens de réformation. A toutes les raisons données à l’appui de mon opinion , je puis en ajouter encore une plus décisive ; ce
passions, leurs goûts, leurs vices, leurs préjugés différents, leurs opinions , leurs systèmes et préventions diverses, tous les
ice intermédiaire qui n’aurait d’action que sur les justiciables de l’ opinion , qui n’appellerait sur eux que la peine intermédi
100 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VII. Histoire des Cas de Conscience. » pp. 159-189
nt : Le langage en est meilleur qu’il n’appartient aux étrangers. Son opinion y est bien expliquée & bien soutenue, & à
uthentique du P. Caffaro, la condamnation de son ouvrage & de son opinion , l’autorité de M. de Harlai, Prélat habile &
us dans les intérêts du libertinage, leur autorité formeroit-elle une opinion probable dans le probabilisme le plus relâché &am
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