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1 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre V. De l'impudence des Jeux Scéniques. » pp. 104-134
bien exécuter, selon l'intention qu'ils avaient ; et ces gens furent nommés Histrions, selon la langue des Etruriens, comme n
lon la langue des Etruriens, comme nous dirons ci-après, parce qu'ils nommaient Istres ceux que les Romains nommaient Ludions. Je
s dirons ci-après, parce qu'ils nommaient Istres ceux que les Romains nommaient Ludions. Je ne veux pas examiner si ces Jeux Scén
e ne veux pas examiner si ces Jeux Scéniques étaient les mêmes qui se nommaient Floraux sous le premiers Rois, s'ils furent de no
célébration du jour de sa naissance, pour la dépense des Jeux qu'ils nommèrent Floraux ; et parce que les Romains ne les trouvai
es pussent heureusement fleurir et fructifier ; et c'est cette Nymphe nommée Claris Epouse de Zéphire, dont parle Ovide en ses
ent par la danse des sujets, dont on faisait les Tragédies, ce qu'ils nommaient les arguments des Fables, comme ce fameux Pantomi
Suétone dit avoir sauté ou dansé les Tragédies, et que plusieurs ont nommé pour cela danseur de Tragédies, c'est-à-dire Hist
Mime, et Galéria Embolaire ou Joueuse d'intermèdes, Caramelle qui fut nommée la dixième des Muses et la quatrième des Grâces,
, qui ne représentaient ordinairement que la Magie ; Mais ceux qu'ils nommaient Pantomimes, selon même la signification de ce mot
autorisé par les Lois. Ils admettaient encore à ces Jeux ceux qu'ils nommaient Planipèdes ou Pieds plats, parce qu'ils ne portai
ps-là, comme nous en voyons encore en celui-ci. Les Apinariens, ainsi nommés d'une Ville de Grèce qui les donna, représentaien
es avec beaucoup d'art. Enfin ils y faisaient monter tous ceux qu'ils nommaient artisans du Théâtre, ou TechnitesCicer. i. off. V
r à la plus vile populace ; Et ce sont là véritablement ceux que l'on nommait Histrions, Scéniques ou Scénatiques, gens de scèn
ement fut le Chef de ceux que les Tyrrhéniens envoyèrent lors à Rome, nommé Ister, dont l'excellence communiqua son nom à tou
2 (1705) Traité de la police « Chapitre premier. Des Spectacles anciens, leur origine, leur division, leurs dérèglements, et les Lois qui ont été faites pour les réformer. » pp. 434-435
on eux sous la protection de Bacchus. Ce poème et ce sacrifice furent nommés Tragodie, et depuis par adoucissement Tragédie, d
ers l’an du Monde 3647. avant J.C. 407. qui défendit à tous Poètes de nommer les personnes dans leurs pièces comiques. Cette L
ues. Cette Loi donna naissance à l’autre espèce de Comédie que l’on a nommée moyenne ; elle consistait à représenter des actio
e moyenne ; elle consistait à représenter des actions véritables sans nommer les personnes. Ce fut le même Aristophane qui l’i
utres à son imitation prirent cet honnête milieu entre la sévérité de nommer les coupables, et la complaisance de dissimuler l
entée, ne laissaient pas de s’en offenser quoiqu’ils ne fussent point nommés . Il arrivait même souvent que la malignité qui ac
la mit en crédit par son habileté à y réussir. Ce fut celle-ci qu’ils nommèrent Comédie nouvelle, et dont ils conservèrent l’usag
ions d’une Comédie. Ceux qui excellaient dans cette Profession furent nommés Pantomimes, de ces deux mots παντὸ, tout, μϊμος,
herches curieuses d’antiq. avaient aussi des Danseurs de corde qu’ils nommaient Schœnobates, de χοίνος, corde, et βάτης, qui dans
imes sous ces mêmes noms Grecs, et celui des Danseurs de corde qu’ils nommèrent , Funambuli, de funis corde, et ambulo je marche ;
que est du nombre, parce que celui qui inventa cette sorte de jeux se nommait Hista, et qu’il fit passer son nom à tous ceux de
. de Majuma, et ibi Gothofred. les spectacles il y en avait un qu’ils nommaient Majuma, qui était rempli d’obscénités. L’Empereur
3 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VII. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques étaient distingués des Histrions et Bateleurs des Jeux Scéniques. » pp. 145-164
au discours en ses Problèmes, où il écrit que les tons ou modes qu'il nomme Soudoriens et Souphrigiens, qui étaient deux mani
rononçant des vers, étaient les Mimes et Pantomimes que ce Philosophe nomme Scéniques par opposition formelle au Chœur de la
c'est-à-dire dans l'aire, la cave ou l'espace libre de ce grand lieu nommé Théâtre, était composé de deux principales partie
tre, était composé de deux principales parties ; La première que l'on nommait proprement la scène, et que nous appelons communé
ion, selon la qualité de la pièce que l'on jouait dans l'espace libre nommé Proscenium ou avant-scène ; et l'autre était plus
libre nommé Proscenium ou avant-scène ; et l'autre était plus basse, nommée Orchestre, c'est-à-dire un lieu pour danser, où l
de parler maintenant. Or c'est un fait indubitable que ceux que l'on nommait Technites parmi les Grecs ou artisans de la Scène
alogie, et seulement parce qu'elles étaient représentées dans le lieu nommé Scène ou Théâtre, autrement il les faudrait aussi
dans le lieu nommé Scène ou Théâtre, autrement il les faudrait aussi nommer Megaliennes, Romaines, et du nom de tous les Spec
4 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [B] » pp. 380-390
s, des Satyres en action ; c’est-à-dire, des Personnages connus & nommés , dont on imitait les ridicules & les vices :
médie ancienne. Les Loix, pour réprimer cette licence, défendirent de nommer . La malignité des Poètes, ni celle des Spectateur
vêtemens, de l’action, designèrent si bien les Personages, qu’on les nommait en les voyant : telle fut la Comédie moyenne ; où
phane déchirait dans cette Pièce, non-seulement y était designé & nommé , mais le Comédien avait un masque qui le rendait
moyenne, les Poètes n’avaient fait qu’éluder la loi qui défendait de nommer  : ils en portèrent une seconde, qui bannissant du
es, relativement aux circonstances : 1. Les Comédies Atellanes, ainsi nommées d’Atella, maintenant Aversa, dans la Campanie. C’
out était en action ; tel est l’Amphytrion de Plaute. 4. Celles qu’on nommait à manteaux, ou à patins ; où le sujet & les P
, Comédies-Latines, Comédies-Italiques ; l’inventeur fut un Tatentin, nommé Rhintone. 7. Les Stataires, c’est-à-dire celles o
Afranius & Ennius se distinguèrent dans ce genre. 9. Celles qu’on nommait Togates, où les Acteurs étaient habillés de la To
. Les Trabéates. Les Acteurs y paraissaient avec l’habit de cérémonie nommé Trabée, & y jouaient des Triomphateurs, des C
es dignes des connaisseurs les plus délicats ! Le Comique bas ; ainsi nommé , parce qu’il imite les mœurs du bas-peuple, peut
passant ? c’est ce genre de plaisanterie, que Heinsius a eu raison de nommer , « L’amusement de la populace, un véritable abus
5 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE VI. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Romains. » pp. 145-175
esquels on voit des cothurnes & des masques, & par Varron qui nomme un Poëte qui avoit fait des Tragédies Toscanes ;
parce que ce mot Toscan Hister, signifioit Acteur, ces Acteurs furent nommés Histriones. Leurs Vers qui n’étoient d’abord que
de Chants, de Danses, & de Vers de toute sorte de mesures, furent nommées Satyres, du mot Latin Satura qui veut dire un mél
a Piéce sérieuse, quelques Vers badins. Ces nouvelles Satyres, furent nommées par cette raison Exodia, d’un mot Grec qui signif
ia, d’un mot Grec qui signifie fin, & furent associées aux Piéces nommées Atellanes, d’Atella Ville de Toscane. Les Atellan
ns aux Piéces de Théâtre. Celles dont les Sujets étoient Grecs furent nommées Palliatæ, à cause de l’habit Grec que les Acteurs
p; celles dont les Sujets étoient Romains, furent à cause de la toge, nommées Togatæ. Quand l’Action de celles-ci se passoit en
l’Action de celles-ci se passoit entre des Magistrats, la Piéce étoit nommée Prætextata, à cause de leur robbe bordée de pourp
le se passoit entre des Chevaliers, elle étoit à cause de leur habit, nommée Trabeata ; & elle étoit appellée Tabernaria,
s, qui habitoient ce que les Romains appelloient Tabernas. Les Piéces nommées Togatæ devoient être graves. Afranius cependant,
t étoient aussi appellés Mimes. Il y avoit encore une espece de Farce nommée Planipedia, & l’Acteur qui y jouoit s’appello
ellus. On ne négligeoit ni les Décorations, ni les Machines. Un Edile nommé Claudius inventa des Tonneres si parfaits, qu’ils
Edile nommé Claudius inventa des Tonneres si parfaits, qu’ils furent nommés les Tonneres Claudiens. Nous apprenons par Horace
Celui de pierre, dont on voit encore les ruines dans l’endroit qu’on nomme le Colisée, fut bâti par Vespasien & achevé s
6 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [M] » pp. 426-430
i peignaient au dehors ces différentes impressions : c’est ce qu’on a nommé geste. Le chant si naturel à l’homme, en se dével
ait développer une seconde expression qui était dans l’homme, qu’on a nommée Danse. On voit par ce peu de mots, que la voix &a
i l’on en croit même le témoignage de Scaliger, les Evêques ne furent nommés Præsules, dans la Langue Latine, de Præsilire (sa
les Ballets dans une fête magnifique, qu’un Gentilhomme de Lombardie nommé Bergonce de Botta, donna à Tortone pour le mariag
sont composés de vingt-un Danseurs & de vingt-un Danseuses, qu’on nomme Figurans, & la Danse entière de soixante-deux
oids ; cette Danse était connue des Grecs 1345 ans avant J. C.* ; ils nommaient les Danseurs de corde, Neurobates ; & les Rom
filles dansaient & chantaient des Hymnes, que par cette raison on nommait Parthénies (du Grec Parthenos, fille). A Mexico,
7 (1705) Traité de la police « Chapitre II. De l’origine des Histrions, des Troubadours, des Jongleurs, et des autres petits spectacles qui ont précédé en France l’établissement des grandes pièces de Théâtre, et des Règlements qui les ont disciplinés. » p. 436
ient en vers des sujets tirés de l’histoire des Grands Hommes, qu’ils nommaient leurs Gestes, du Latin, Gesta ; ils y mêlaient qu
ient de contes fabuleux, ou de Dialogues entre des Amants ; ce qu’ils nommaient Tensons, syruentes Fabliaux, ou disputes d’amours
nt simplement le nom de Joueurs, Joculatores, c’est ainsi qu’ils sont nommés dans les anciennes Ordonnances. Tous les jeux de
on voulait parler d’une chose mauvaise, folle, vaine ou fausse, on la nommait jonglerie ;Rigor. de gest. Philip. Aug. et que Ph
ts et périlleux, avec des épées et d’autres armes, on commença de les nommer Batalores, et en Français Bateleurs : ce nom a de
8 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [G] » pp. 408-415
omprises ; celui des Acteurs appelé la Scène ; celui des Spectateurs, nommé particulièrement le Théâtre ; & l’Orquestre,
Jeunes-gens y étaient aussi placés dans un endroit particulier, qu’on nommait Ephêbikós ; & les femmes y voyaient le Specta
culiers qui avaient rendu de grands services à l’Etat : les Grecs les nommaient Proedrias (premières Places), parce qu’elles étai
ntendons aujourd’hui par ces termes. La seconde partie de la Scène se nommait indifféremment par les Grecs Proscênion & Lom
ne ; l’Odéon, le Podion, l’Episcénion ; la principale des Machines se nommait le Théologéon (c’-a-d. propre à faire parler un D
olonnes, lorsqu’il y en avait trois l’un sur l’autre : le Sciadion se nommait Umbella chez les Romains : c’est notre Parasol. L
rs rangés circulairement, voyent également bien : aussi les Latins le nommaient -ils Visorium. C’était un bâtiment spacieux, rond,
9 (1726) Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat « Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat » pp. 176-194
es mœurs, c’est-à-dire, aux mœurs désirables dans la société ; le Roi nommera les quatre premiers, ces quatre nommeront le cinq
bles dans la société ; le Roi nommera les quatre premiers, ces quatre nommeront le cinquième, les cinq nommeront le sixième, les
mera les quatre premiers, ces quatre nommeront le cinquième, les cinq nommeront le sixième, les six nommeront le septième, et ain
quatre nommeront le cinquième, les cinq nommeront le sixième, les six nommeront le septième, et ainsi de suite. Il faut que le sp
tragique ou sérieux, et une autre de premier Poète comique, qu’il les nomme d’entre les trois que nommera le Bureau des spect
autre de premier Poète comique, qu’il les nomme d’entre les trois que nommera le Bureau des spectacles, ils seront choisis entr
s a fait cesser en Espagne et même en France, la folie de ce que l’on nommait autrefois Chevalerie qui faisait mépriser les dev
10 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [P] » pp. 441-443
règner la licence grossière & révoltante des anciennes Comédies, nommées Tabernaires (ou de Taverne). On peut s’étonner qu
op d’indulgence pour ces espèces de recueils de Scènes isolées, qu’on nomme Comédies-à-tiroirs. Momus Fabuliste mérita sans d
u son pardon, avec un grand nombre de gens de bien, parmi lesquels on nomme un de ses Bienfaiteurs. Mais tel est le fort de c
11 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. Des différens genres qu’embrasse le nouveau Théâtre. » pp. 14-20
nera-t-on sûrement que dans le cours de cet ouvrage j’aie quelquefois nommé le Théâtre moderne Opéra-Bouffon, & que j’aie
te d’être décoré du titre de Comédie-mêlée-d’Ariettes. On a très-bien nommé l’Ecole de la jeunesse, la Fée Urgèle, Isabelle &
en fantaisie, sans considérer que le genre de l’Ouvrage doit le faire nommer ou comique ou bouffon. Les Acteurs du nouveau
12 (1705) Traité de la police « Chapitre III. Du Théâtre Français, son origine, et qu’il n’a été occupé pendant plus d’un siècle, qu’à la représentation de pièces spirituelles, sous le titre de Moralités. » pp. 437-438
; Jean Aubery, Jean Dupin, et ... Doisemont, Maistres de la Confrérie nommée au blanc, présentèrent ces Lettres à Maître Rober
alors deux cents ans, que deux Gentilhommes Allemands frères utérins, nommés Guillaume Escuacol et Jean de la Passée, avaient
un théâtre, et y représentèrent leurs jeux ou spectacles ; ils ne les nommèrent encore ni Tragédie, ni Comédie, mais simplement M
ivertissements, où il entre plus d’imagination que d’esprit ; ils les nommèrent par un quolibet vulgaire, les jeux des pois pilés
13 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXI. Réflexions sur la vertu qu’Aristote et Saint Thomas après lui ont appelée Eutrapelia. Aristote est combattu par Saint Chrysostome sur un passage de Saint Paul. » pp. 117-123
isé d’expliquer par des paroles précises. Et remarquez que Saint Paul nomme un tel discours de son plus beau nom : car il pou
s avoir pris la plaisanterie sous la plus belle apparence, et l’avoir nommée de son plus beau nom, la range parmi les vices :
ée sur les anciens Philosophes, qu’il a coutume de reprendre sans les nommer , n’en douteront pas. Voilà donc ce qu’il a pensé
14 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233
t à Londres je lus ma Dissertation à M. de Voltaire qui, s’y trouvant nommé et critiqué, ne cessa pas de convenir que j’avais
é par là de reconnaître que plusieurs des Tragédies modernes sont mal nommées , et que d’autres le sont exactement : par exemple
die : je dirais plus, je trouve la Tragédie de la mort de Pompée bien nommée  ; parce que Pompée, quoi que mort avant l’action,
pisodes qui naissent de l’action principale. Voilà des Tragédies bien nommées  : mais en revanche il y en a une infinité qui le
gédies (comme quelques Modernes le prétendent) devaient toujours être nommées du nom de l’Acteur qui y meurt, nous serions bien
du nom de l’Acteur qui y meurt, nous serions bien embarrassés comment nommer la Tragédie qui s’appelle Médée ; serait-ce Créus
La Pièce d’Agrippa ou du faux Tiberinus, que M. Quinault son Auteur a nommée lui-même Tragicomédie, a fait longtemps mes délic
est vrai que, dans le cours de l’action, Tibérinus et Agrippa ne sont nommés par les Princesses, que comme leurs Amants, sans
ou retrancher ; mais l’ouvrage serait très aisé : et nous avons déjà nommé bien des Tragédies dans la classe des Pièces à co
15 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. » pp. 176-202
s tems étoient si amoureux, & que les Zanni rendent ce Personnage nommé par Ciceron Sannio, Acteur qui, au rapport de Cic
it dans l’Europe : elle fut traduite en Latin & en François. J’ai nommé ces premiéres Piéces, parce que les Ecrivains de
yé, on l’égaya encore davantage par des Scenes burlesques, qui furent nommées les Jeux des pois pilés. Les Clercs de la Bazoche
r ici que de ces Piéces Dramatiques entiérement chantées, qui ont été nommées Opera. Ce ne fut point un Sulpitius Verulanus qui
r de l’Opera, puisque Muratori dans son Traité de la parfaite Poësie, nomme un Poëte Musicien de Modene, mort en 1605, qui ap
s concentibus præficiendus decessit. L’Epoque du bizarre Spectacle, nommé Opéra, est très-incertaine. En 1574 la République
un Milord passa & demanda le nom du Mort. Sitôt qu’il eut entendu nommer Dryden, Eh quoi ! s’écria-t-il, la gloire, &
16 (1733) Traité contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE TRAITÉ. CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 247-261
teurs. Cette place était entourée d’une galerie ou plate-forme, qu’on nommait l’orchestre ; c’est là qu’étaient assis les sénat
t que les anciens appelaient cunei spectaculorum. Ce que notre auteur nomme donc voies, étaient les escaliers différents, et
me il paraît dans Térence, étaient consacrés à Cybèle, que les poètes nomment la grand-mère des dieux, et en grec Μεγάλη. Les A
omposé un grand ouvrage sur ces hautes colonnes pyramidales, que l’on nommait obélisques. Erichtonius Chap. 9. fruit abominabl
17 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre X. Que l'extrême impudence des Jeux Scéniques et des Histrions fut condamnée. » pp. 217-229
lib.. Il fait même trois sortes de censures contre le Théâtre ; et le nomme une chaire de pestilence, et l'école de la débauc
re divertissement ; « Le stade et le Théâtre, dit-il, peuvent bien se nommer une chaire de pestilence, et l'assemblée que s'y
Farceurs, et ces termes ne se peuvent étendre plus loin ; car il les nomme Bateleurs et Bouffons, et les conjoint aux Combat
18 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre III. Du Cardinal de Richelieu. » pp. 35-59
ssieurs avaient un banc à part dans l’endroit le plus commode, on les nommait avec éloge », et tout le parterre battait des mai
e satisfaire. La cause fut donc instruite dans toutes les formes, on nomma trois Commissaires pour examiner les pièces du pr
iner la mécanique des vers : et pour ôter toute suspicion, ils furent nommés par scrutin à la pluralité des suffrages. Cet exa
t fort peu les savants. Quoiqu’il en soit, on se remit au travail, on nomma de nouveaux Commissaires pour polir et retoucher
rt longue, leur parla très vivement, leur expliqua ses intentions, et nomma un rédacteur pour y mettre la dernière main. Celu
dernière main. Celui-ci ne le satisfit pas plus que les autres, il en nomma un nouveau, qui refondit tout et mit l’ouvrage da
donné son nom ; aux dépens du Roi que fut bâti le Palais Royal, qu’il nomma Palais Cardinal, expression que Balzac soutenait
Cid ; il a à ses gages des troupes de Comédiens et des Missionnaires, nomme des Evêques et choisit des Actrices, prend la Roc
19 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. » pp. 5-9
z appris de Saint Paul que ces infamies ne doivent pas seulement être nommées parmi les fidèlesb, ne m’obligez pas à répéter ce
i, occupé de sujets plus dignes de lui, renonce à sa Bérénice, que je nomme parce qu’elle vient la première à mon esprit ; et
20 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE II. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Grecs. » pp. 17-48
qu’il faut placer la naissance de la Poësie Dramatique, qui fut ainsi nommée du terme Grec, Action, lorsqu’on eut commencé à r
Tragédie. Ce fut ce qui donna naissance aux Piéces Satyriques, ainsi nommées des Satyres, cortège de Bacchus, qui composoient
Jamais Jeux ne furent plus célebres par la dignité de ceux qui furent nommés pour en être les Juges. Ils ne furent pas, comme
uple par ces Piéces Satyriques dont j’ai parlé, par des Silles, ainsi nommées du Dieu Silene qui y paroissoit, & par des Pa
ement, réprima la liberté des Poëtes Comiques. Il leur fut défendu de nommer les Personnes, ce qui donna lieu à la moyenne Com
ps, répondant à celui qui lui demande quels ont été ses bourreaux, en nomme plusieurs. L’un l’a énervée en mettant douze cord
rent pas renaître ces grands Poëtes. Quelque tems après Alexandre, un nommé Rhinton, fit des Piéces sérieuses & plaisante
21 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seizième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 278-281
A propos ; on m’a demandé hier, si je savais beaucoup de Pièces. J’ai nommé Ariane, & voila tout. Mademoiselle *** m’a di
dorable sœur. Votre fille vous assure de ses respects : mon fils vous nomme  ; c’est bien assez pour son âge. Monsieur de Long
22 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VI. Des Poèmes Dramatiques représentés aux Jeux Scéniques. » pp. 135-144
bonne heure en ces divertissements furent les Fables Atellanes, ainsi nommées de la Ville d'Atelle dans la Campanie, qui fut to
l'on veut dire qu'ils pouvaient même sortir de ce grand lieu que l'on nommait Théâtre, et aller à travers la Ville jusques dans
23 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXII. Le repentir de quelques auteurs dramatiques d’avoir travaillé pour les théâtres doit nous engager à éviter ces divertissements. » pp. 183-186
. Cependant, « après avoir apprécié dans sa raison ce phosphore qu’on nomme esprit, ce rien qu’on nomme la renommée, et avoir
pprécié dans sa raison ce phosphore qu’on nomme esprit, ce rien qu’on nomme la renommée, et avoir écouté la voix solitaire du
24 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [N] » pp. 431-435
année 1662, on vit à Paris, à la Foire St-Germain, la Troupe d’Enfans nommée la Troupe du Dauphin, sous la Direction du sieur
ec un Théâtre où il ne fit paraître que de petits Enfans : ce qui fit nommer son Théâtre, le Théâtre des Bamboches, du nom d’u
ces actuelles du Théâtre Français. Ambigu-Comique, (qui serait mieux nommé théatre-éphébique 2, & Comédiens-de-Bois. Un
25 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre II. Que la représentation des Comédies et Tragédies était un acte de Religion parmi les Grecs et Romains. » pp. 36-56
comme une même chose, avaient eu même nom au rapport d'Athénée, et se nommaient toutes deux Comédie, et que nous avons insensible
urs par l'honneur des Dieux, et que c'est un sentiment de Religion de nommer le Théâtre un Temple ou un Sanctuaire et la proce
s adoraient comme Dieux, en représentant des actions que l'on pouvait nommer criminelles, comme des meurtres, des adultères et
26 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Onzième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 244-249
tièrement, si tu lui dérobes tous ces petits riens, ces grâces, qu’on nomme la magie des jolies femmes, & qu’on nomme bie
iens, ces grâces, qu’on nomme la magie des jolies femmes, & qu’on nomme bien. Si j’ai différé jusqu’à présent de te parl
27 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VII. » pp. 36-41
comme Archevêque d’Aix ? Direz-vous que c’est assez que le Roi l’ait nommé à cet Archevêché ? Mais le Roi lui a-t-il donné e
remettant son autorité. Il est vrai que c’est par là que les Evêques nommés qui sont aujourd’hui en très grand nombre en Fran
28 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre I. Que les Spectacles des Anciens ont fait partie de la Religion Païenne. » pp. 2-35
attribuée à Mercure, que Philostrate en fait le père, et qu'Horace en nomme l'auteur. Les PanathénéesSuid. in Panat. furent i
le ; et en la procession on portait les Images des douze Dieux qu'ils nommaient les Grands, auxquels tous les autres furent peu a
nt célestes, divins, demi Dieux et même des Dieux : Les Athlètes sont nommés enfants et imitateurs d'Hercule par Galien. Euthy
firent sous Catulus durant trois nuits avec plusieurs Sacrifices, les nomme la Religion des Jeux séculaires, aussi bien que l
29 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Cirque. » pp. 9-43
distinguées par leurs differentes couleurs, mais qui mesme en furent nommées & specifiées. * La premiere troupe fut apellé
es, car les deux noms estoient en usage ; & ceux qui avoient esté nommez ou choisis pour courre se preparoient, & se t
de partir à certain signe que l’on faisoit. Ces prisons furent ainsi nommées à mon avis, de ce que dans les commancements il y
se mettoient en estat de fournir leur carriere. Les Acteurs estoient nommez & choisis : & il y avoit vne espece de so
; le poursuivoit de pres pour ne luy pas donner le temps, d’où il fut nommé Sequutor. Les 3. portoient le nom de leurs païs,
ec, qui signifie des gens qui combatent à cheval. Les 9. furent ainsi nommez , parce qu’ils portoient deux épées, une en chaque
30 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
cevoir que sa fille y manque ? C’est elle qu’on lui livre sans la lui nommer , sans qu’il en demande le nom ; ce n’est que par
même pouvoit ignorer que son pere qu’elle doit avoir vu & entendu nommer cent fois, est le souverain Pontife, son supérieu
prendre, & disposer ses amis, ce souterrain, cette entrée à point nommée  ? & comment toutes ces scènes avec la novice
ur en sortir. Son amant arrive assurément bien à propos & à point nommé  : Un petit moment plus tard j’étois, j’étois perd
indocile avoue des bienfaits ? Du moins un supérieur qui vient d’être nommé , n’en aura de long-temps, & les tyrans quels
euses ! Dans un gouffre de maux on cherche à s’égarer. C’est ce qu’on nomme zèle. On l’égare, & je dois l’éclairer, on vo
31 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340
rmi lesquels on distingue une mauvaise farce, qu’en patois du pays on nomme Réguigneou, elle consiste dans un mouvement vif e
et les ballets ; car lorsque M. de la Berchère, évêque de Lavaur, fut nommé à l’archevêché d’Aix, ils célébrèrent son arrivée
d’un autre ballet donné par les jésuites en l’année 1653, et qui fut nommé le ballet de la vérité. L’impureté, l’indécence e
que sa tête. Les lazzis et niaiseries de ce personnage, que le peuple nommait grimpe sur l’air, faisaient rire tous les assista
s, ne dédaignèrent point de se trouver à cette singulière procession, nommée la procession noire. Les clercs de chœur qui rega
chanoine Bouteille. Un chanoine du même chapitre d’Evreux, et qui se nommait Bouteille, (il vivait l’an 1270) fit une fondatio
procession singulière, à laquelle le clergé portait un monstre, qu’on nommait Gargouille. On prétend que c’était une bête horri
le jour de l’an (c’est pourquoi cette fête était dans certains lieux nommée fête des Calendes), on élisait, dis-je, un évêque
t que le célèbre Gerbertae, dans son traité de la musique d’Eglise, a nommé musica falsa ; mais nous verrons par l’intimation
itre. Ces graves arbitres rendirent un arrêt qui condamnait l’accusé, nommé Guillaume Taynoard, aux frais du repas qu’il deva
profanes, dans le lieu saint, venait ensuite la débauche, qui a fait nommer , ainsi que je l’ai déjà dit plus haut, cette fête
les plus saintes et les plus sacrées ? Un carme déchaussé d’Orléans, nommé frère Arnoux de S. Jean-Baptiste, faisait contrac
l’esprit de quelqu’un d’enterré dans l’église ; il répond oui. On lui nomme plusieurs personnes ; on arrive enfin à celui de
ire obéir, fut trouver le prévôt, qui en appela devant le roi. Le roi nomma quelques conseillers du parlement de Paris, et An
32 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VIII. Erreurs des Modernes sur ce sujet. » pp. 165-186
l les fit avec plus d'art, et qu'il se rendit si célèbre qu'il en fut nommé l'Auteur ou le premier. Aussi Valère « Paulatim
s de Poésie, contenant quelques Fables ou quelques Moralités que l'on nommait aussi Mimes, et qui se dansaient avec la voix et
les intervalles des Actes, sauter et danser en bouffonnant, ce qu'on nommait Embola ou Intermèdes ; et si cet Apologiste eût p
33 (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325
s corps & des troupes de plaisirs, & que Tertullien auroit pû nommer les theatres des camps de delices, comme il les a
partie innocentes, & en partie criminelles. Si la poësie est bien nommée une peinture parlante, c’est sur le theatre que c
ert. cap. 24. de Spect. Tertulien nous le declare dans le lieu où il nomme les theatres des camps établis pour faire la guer
um. Chrys. Omnem virtutis pestem. Hom. 33 in Matth. Les Peres ne nomment pas seulement les theatres où l’on jouë ces Piece
bsoluë, des camps assemblez pour l’aider à défaire les vertus. Ils ne nomment pas seulement les Comedies les alimens & les
eché, des pestes qui menacent toute la terre. Ces Oracles de l’Eglise nomment ces Comedies la ruine actuelle des bonnes œuvres 
se nomment ces Comedies la ruine actuelle des bonnes œuvres ; ils les nomment des crimes communs à ceux qui joüent, & à ceu
parlé en termes aussi absolus, & aussi veritables ; il les avoit nommez non seulement la peste des ames, mais la ruine ge
’ont emporté sur les vices énormes de ceux qui avoient le front de se nommer Chretiens, & que ces grandes parties du monde
les mœurs dans ces Colleges, & dans ces forts d’iniquité. Salvien nomme ces assemblées & leurs suites l’ouvrage du Di
bâtir un theatre, fit edifier un temple à Venus au dessus de ce lieu nommé par Tertullien Impudicitiæ consortium, ubi nihil
34 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
me Phèdre dit à sa nourrice, à propos d’Hippolyte, c’est toi qui l’as nommé ,) je vous dirai donc qu’attendu le malheur de not
mour est-il jamais autre chose que l’amour ? Or, si des Auteurs l’ont nommé la fièvre chaude de la raison, l’étonnement doit
urait moins d’approbateurs. Ariane même, que j’ai quelque scrupule de nommer après le chef-d’œuvre du Théâtre, Ariane a bien a
35 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE II. » pp. 19-41
rnommé Beltramex, et à deux autres écrits de deux Comédiens Italiens, nommés Cecchinoy et Andreinoz, surnommé Lelio. L’Ouvrage
e ces instances auprès des Supérieurs. Dans le troisième Chapitre, il nomme les Supérieurs auxquels il faut s’adresser, savoi
rt injurieux nous donne pour parents. Tu blâmes ma douleur, tu l’osez nommer lâche, Je l’aime d’autant plus, que plus elle te
gien italien. g. [NDE] Antonino Pierozzi (1389-1459, dominicain, est nommé archevêque de Florence en 1446. h. [NDE] Petrus
36 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [K] » pp. 421-424
ement au sujet. Les masques les plus ordinaires étaient ceux que l’on nommait Prosopées ; ils représentaient les personnes au n
h ! comme elles seraient punies !] *. Aussi leur premier inventeur nommé Sannyrion, donna naissance au mot Grec Sônnas, &a
37 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre premier. Origine des Spectacles. » pp. 1-14
e, le peuple et les prêtres chantaient en chœur des hymnes qui furent nommées tragédies ou chants de bouc. On y promenait un ho
nt nus. Il prescrivit des règles aux comédiens. Ayant su qu’un acteur nommé Stéphanion avait pour serviteur une femme déguisé
s est celle de Patelin. Le principal personnage de cette pièce est un nommé Patelin ; ses fourberies, ses impostures et ses i
38 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
On s’obstine toujours à le méconnoître. Peut-être même en vain en le nommerai -je aujourd’hui, en vain en découvrirai-je le dang
antiquité, que Tertullien, Saint Augustin, Saint Clément d’Alexandrie nomment dans le détail, & dont les représentations so
ans l’Ecriture. Non, répond ce Docteur, ils n’y sont pas expressément nommés  ; mais toute l’Ecriture ne tend-elle pas à les dé
& les égarements d’une imagination corrompue. Mais si ce que nous nommons passion est véritablement un crime, il faut avoue
Religion traiter tout penchant de nécessité, de destinée invincible ; nommer devoir, appeler vertu, le désordre des sens &
oie éclate, ailleurs les larmes coulent ; & dans ces pieces qu’on nomme saintes, dans ces pieces où l’on ne cherche qu’à
39 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. La Rosiere de Salenci. » pp. 10-37
roit fut de couronner la sœur de S. Medard. Il en avoit une à Salenci nommée Agnès, qui vivoit comme une sainte : tous les hab
puis subi la peine de la collusion. Le Seigneur, de concert avec lui, nomma de son autorité la Rosiere, la mena à l’église, &
’institution d’une fête d’un jour ; il ne l’est pas moins qu’on n’ose nommer S. Medard, mais qu’on le désigne par les deux let
iales S. M. qui par-tout signifient Sa Majesté. Il n’ose pas non plus nommer le lieu où se fait la céremonie (c’est la Chapell
hapelle de S. Medard, celui qui la couronne est un Prêtre qu’on n’ose nommer ), ensuite on forme un bal champêtre . Ce bal cha
e des anciens & nouveaux syndics & marguilliers, pour par eux nommer séparément la fille qui lui paroître plus digne d
40 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE PREMIER. Comparaison des Théâtres anciens avec les modernes. » pp. 2-17
a Comédie, en se corrigeant, n’abandonna pas son premier motif : sans nommer les particuliers, elle se contenta de les désigne
ore cet abus, et la critique redevint générale comme auparavant, sans nommer et sans désigner personne. Se voyant resserrée da
41 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — introduction » p. 2
rtissements que les réprouvés appellent innocents, et que S. Augustin nomme lugendas lætitias, des joies déplorables, parce q
42 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49
e-ancienne était une satyre amère de différens particuliers, que l’on nommait sans crainte ; elle alla même jusqu’à se jouer de
amp; réprima les dèsordres du Théâtre. Alors il ne fut plus permis de nommer personne sur la Scène ; mais l’on se servit de ma
ore à les indiquer. La prémière s’appelait Prætexta, à cause que l’on nommait ainsi la robe de pourpre, à large bande, que port
héroique. Les Acteurs de la seconde espèce étant habillés d’une robe nommée Toges, dont se servait le Peuple, & ne représ
43 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
remplacer Michel Baron, en 1691. 13. Raisin, excellent Comique. On le nommait le petit Molière. 14. Champmêlé, Auteur-Comédien,
en. 1741, retiré en 1755. 48. Lanoue, 1742 ; a quitté en 1757. On l’a nommé l’Acteur de la raison. Auteur de Mahomet II, Trag
parce qu’il nuit trop à l’illusion. 3. Duclos : j’ai toujours entendu nommer cette Actrice avec transport par les Vieillards,
à demeure, qu’un ressort fait aller. Des Arcis. Vous n’avez pas nommé cette Actrice célèbre dont on ne parle qu’avec ad
parler. 4. Quelques animaux étrangers, tels que le Chameau, un animal nommé Subsilvania, pesant 3 108 livres, & un Monstr
44 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [EN-TETE] »
de lieu mais on sait qu’elle a été publiée à Paris en 1666. Racine ne nomme pas Nicole, puisque les Hérésies sont parues de m
45 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « A Monsieur le Comte de P***. » pp. -
idées seraient opposées aux leurs ! Votre modestie me défend de vous nommer . Quoique je lui obéisse, j’en ai dit assez pour v
46 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IX. Défauts que les Etrangers ont coutume de reprocher à notre Tragédie. » pp. 231-259
e Cambrai à soutenir que dans nos Tragédies, toute belle personne est nommée un Soleil, ou tout au moins une Aurore ; que tous
ais parmi nous un mot, que ne recevroit pas notre Vers Tragique. Sans nommer la fiévre, nous disons, Phedre atteinte d’un m
seront surpris de m’entendre attribuer cette réforme au Poëte qu’ils nomment le Tendre, & qui croiront que mon attachement
inité. Enfin il fit une troisiéme réforme. L’Amour avoit toujours été nommé la belle Passion des ames ; la Théodore de Cornei
47 (1759) Lettre sur la comédie pp. 1-20
t déterminé. Après avoir apprécié, dans sa raison, ce phosphore qu’on nomme l’Esprit, ce rien qu’on appelle la Renommée, ce m
on nomme l’Esprit, ce rien qu’on appelle la Renommée, ce moment qu’on nomme la Vie, qu’il interroge la Religion qui doit lui
48 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XX. Spectacles condamnés par les saints Pères et par les saints conciles. » pp. 168-178
on, theatrum idem et prostibulum. « Les histrions sont, dit-il, ainsi nommés , parce qu’ils racontent des événements à la maniè
ibus, vitium est immane, non virtus36. » Le concile de Trulle, ainsi nommé parce qu’il se tint dans le dôme du palais à Cons
49 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre IV.  » pp. 97-128
table. Qui croira-t-on si on ne croit pas un Historiographe en titre, nommé & payé pour dire la vérité ? Qui le croiroit 
p; du roman ; mais qui est un grand titre chez Voltaire.) Un musicien nommé Rizzio fut trop avant dans les bonnes graces de l
déclarée batarde, & née d’adultere, & un jeune frere d’Henri, nommé Alphonse, fut couronné Roi à la place de celui qu
lanche étoit celle du Roi : Isabelle celle du Prince de Condé : ainsi nomme t-on les Noirs & les Gris les Compagnies des
maître, l’enthousiasme & la flatterie ont passé. Henri IV qui fut nommé le Grand, après sa mort, non par la flatterie, ma
distinguer, par ce nom, des autres Princes de son nom ; si on l’avoit nommé Condé le Grand, ce titre ne lui fût pas demeuré.
50 (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30
n’est point embarrassé aujourd’hui pour raisonner, si l’on veut bien nommer raison les traits que sa mémoire lui fournit ; il
exions sur les effets, les causes et les suites de ce qu’on veut bien nommer le point d’honneur. Je serais resté longtemps dan
souvent à la Bourse, surtout quand il y a ce qu’en jargon du lieu on nomme un coup à faire. Un désir bien pardonnable me fit
ipe, et tout en brodant sur ce sujet, j’arrive à ce boulevard qu’on a nommé , je ne sais pourquoi, Montparnasse. Je cherchai e
empressement de la petite bonne, et le nom d’un certain acteur que je nommai et qui la fit rougir en passant, me confirma que
51 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XI. Son opposition à l’Evangile. » pp. 23-24
eu, l’impureté un crime si horrible qu’il ne veut pas même qu’il soit nommé , la passion pour les richesses une véritable idol
52 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 13
t auparavant jeter en prison son propre fils héritier de sa couronne, nommé Léon-le-Sage, prince très innocent, mais fausseme
53 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VIII. Sentiment de S. Thomas. » pp. 178-198
la sévérité. Aussi fait-il une vertu particuliere de la gaieté, qu’il nomme eutrapelie, & non de la tristesse, quoiqu’on
’on trouve dans les Auteurs contemporains, qui en parlant des jeux ne nomment jamais le théatre, dont ils n’avoient point d’idé
couroient les rues pour faire rire la populace, ayant à leur tête un nommé Ister, ce qui leur fit donner le nom d’Histrions.
o intendi, in pœnitentia tamen hæc sunt vitanda. Quoique S. Thomas ne nomme pas expressément le théatre, ses principes suffis
54 (1664) Traité contre les danses et les comédies « INSTRUCTION, et avis charitable sur le sujet des Danses. » pp. 177-198
a-Chapelle, les appelle des actions infâmes. Un Concile d’Afrique les nomme des actions très méchantes. Il y a huit Conciles
ne s’était naturalisée dans nos mœurs, nous nommerions folie ce qu’on nomme gentillesse : et c’est à bon droit qu’on appelle
55 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — V. La Comédie donne des leçons de l’amour impur. » pp. 9-11
e plus dangereux de tous, ne devroit pas même, selon saint Paul, être nommé parmi des Chrétiens. Quel crime n’eut-ce pas été
56 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXII. On vient à saint Thomas : exposition de la doctrine de ce Saint. » pp. 79-81
à la récréation de l’esprit, qu’il rapporte à une vertu qu’Aristote a nommée eutrapelia De mor. 4. 14. [Aristote, Ethique à Ni
57 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VII. Les spectacles favorisent les suicides. » pp. 90-92
art des pièces tragiques sont pleines de cette sorte de fureur, qu’on nomme force d’esprit, mais qui n’est au fond qu’une fai
58 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIX.  » pp. 475-477
rt injurieux nous donne pour parents. Tu blâmes ma douleur, tu l'oses nommer lâche ; Je l'aime d'autant plus que plus elle te
59 (1675) Traité de la comédie « XIX.  » pp. 302-305
rt injurieux nous donne pour parents. Tu blâmes ma douleur, tu l'oses nommer lâche ; Je l'aime d'autant plus que plus elle te
60 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379
Pièces de caractère, telles que le Misanthrope, avec celles que vous nommez Pièces d’Instruction : mais presque toutes les Co
ette dénomination a quelques Drames, que parce qu’ils ne pouvaient se nommer Pièces de caractère. La seconde Classe est aussi
aru mériter d’en être distinguée : ces Drames auraient dû plutôt être nommés Comédies familières, parcequ’elles peignent les m
on orale rendit monstrueuses au bout d’un siècle, on composa ce qu’on nomme la Fable ; & l’on représenta les actions de c
. Puisque nous sommes arrivés au temps de Thespis, premier Dramatiste nommé dans l’Histoire, il ne sera pas mal de parler de
é que la Tragédie (toujours regardée comme Chant du Bouc) était ainsi nommée , parce que le Chanteur qui réussissait le mieux a
ne imitation des Chansons & des Danses des Dieux Rustiques, qu’on nommait Satyres. [Ces Satyres, Faunes, &c. avaient ét
aient une Dramatique indépendante de celle des Grecs : c’est ce qu’on nomme l’ancienne Comédie (Comœdia vetus.) Celle que cul
Rimes qu’ils ont composées. Les Dervisen mangent d’une certaine herbe nommée Asserad ou Marslach, qui les ennivre, & leur
esquels ils dressèrent un Théâtre, où ils représentèrent l’Enfer. Des nommes fesaient le personnage de Démons ; d’autres, des
Père du Théâtre dans les deux genres. D’autres Dramatistes, que j’ai nommés plus haut, avaient préparé la voie à notre Cornei
ea les talens de ce grand-homme, & Rotrou, que Corneille lui-même nommait son père, brillaient sous Louis XIII ; la Mariamn
mportance que toutes les chimères de Cagotisme. M. Rousseau, que j’ai nommé après M. Nicole, est un homme sage, qui a cru voi
. *. M. de Caylus, Evêque d’Auxerre. *. Elles occupaient un endroit nommé le Cercis. *. De sancire, signifie mieux qu’auth
tait-ce que ces Ludiones ? Denys d’Halicarnasse nous l’apprend : « On nommait Ludii des Jeunes-gens distingués, vêtus de robes
tina les criminels à donner cet abominable amusement. Ces Gladiateurs nommés Pegmates, combattaient dans l’arène sur des Théât
it pas encore bien décidé sous Jules César : nous voyons un Patricien nommé Furius, & le Sénateur Q. Calpeus, se donner e
61 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82
on signée des commissaires pour le fait des pauvres. Ce néanmoins, un nommé Le Royeras et vendeur de poisson, un tapissierat,
qu’il ferait bon voir la représentation de l’Ancien Testament bg, un nommé Le Royer s’était retiré vers lui et lui aurait do
ra, n. 31. ak. [NDE] Pour de l’argent. al. [NDE] Ecus soleil, ainsi nommés parce qu’ils sont frappés d’un soleil ou d’une ét
62 (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426
le chariot d’Israël, cela ne fait rien pour preuve des jeux publics, nommés Circenses étaient jeux publics de lutteurs, et de
s, et autres, lis une fort belle histoire d’un lion et d’un serviteur nommé Androdus Gellius lib. 5. ca. 4. noct. att.On nour
s, et autres, lis une fort belle histoire d’un lion et d’un serviteur nommé Androdus Gellius lib. 5. ca. 4. noct. att. 15.
63 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE V.  » pp. 415-435
qui les regardent. Saint Chrysostome en une Homélie de la Pénitence, nomme le Théâtre, « la boutique commune de la luxure, l
tendre saint Cyprien, lequel parlant des exercices des bateleurs, les nomme « un lieu infâme, publici pudoris lupanarium  »,
64 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [I] » p. 418
lissent pour un temps dans nos Villes de la seconde grandeur : on les nomme Comédiens de Campagne. La profession de Comédien
65 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre IV. Que les Danses sont défendues dans les lieux saints. » pp. 22-25
uelque lieu Saint ; que ce qui est marqué dans un Canon de ceux qu’on nomme Pénitentiaux, qui condamne à trois ans de péniten
66 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [H] » pp. 416-417
ventées & mises en pratique dès le temps d’Eschyle par un Peintre nommé Agatharcus, qui en laissa même un Traité. Parmi l
67 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
voilà du moins trois, qui ne sont pas de Perroquets. Il auroit pu en nommer d’autres. S’il eût vu couronner l’éloge de Molier
sa disgrace. Ecoutons le sage Salomon. Des imposteurs mitrés, qu’on nomme les Saints Peres, N’accusons point Julien (l’Apos
, voyons tous les pays, S’en trouve-t-il un seul, je consens qu’on le nomme , Dont le culte insensé n’ait pas dégradé l’homme.
quand même après nous une foible éteincelle, Un atôme inconnu, qu’on nomme ame immortelle. Pourroit braver les loix de la de
68 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Huitième Lettre. De la même. » pp. 100-232
je pensais qu’un indiscret aveu allait s’échapper, c’est toi qu’il a nommée . Oh ! comme ils sont adroits !… Je me suis levée 
Dans tous ces cas, on doit donner à la Scène une vraisemblance que je nomme , la vraisemblance extérieure ou matérielle. Lorsq
’Opéra, c’est celle des Danses, & même celle de la Musique, qu’on nommera mieux inconvenance, &c. je dois en dire un mo
tes, les Précieuses-Ridicules, le Chevalier-à-la-Mode, &c. que je nommerai , Pièces surannées ; & de nos jours, la Matiné
ormeront la neuvième Classe. ¶ Sous la dixième, est renfermé ce qu’on nomme le Comique-Larmoyant, l’Ile-Déserte, Julie, Eugén
Opéra. On porterait l’art, jusqu’à rendre insensibles les intervalles nommés entr’actes : il serait à desirer, que dans le peu
aces : la première présentera les objets d’imitation, que je pourrais nommer Imitemens ; la seconde, les Modelemens, ou manièr
fois sur l’un des Théâtres d’Exercice, non-seulement devant les Juges nommés , mais encore en présence de tous ceux que l’Auteu
ant le rougir & le pâlir [K] [K] ? On usera sobrement de ce qu’on nomme Tons de vérité. Les Actrices éviteront sur-tout l
u aux Anciens : ses Drames, comme le jeu de l’Actrice que je viens de nommer , marchent quelquefois dans une nuit profonde ; to
ère & creuse, enflaient la voix ; [c’est de-là que ces Masques se nommèrent en latin Persona, du verbe personare, se faite en
ses, la forme des habits, &c. je ne trouve nulle part ce que j’ai nommé l’Actricisme, dangereux comme à l’Opéra. *. Je s
sirer, qu’on admît, pour les Drames tragiques, les Vers blancs, qu’on nommerait , Vers dramatiques : j’y vois un triple avantage :
69 (1777) Il est temps de parler [Lettre au public sur la mort de Messieurs de Crébillon, Gresset, Parfaict] « Il est tems de parler. » pp. 27-36
que, de nos Athletes intrépides du tripot Comique, qui sont, sans les nommer , MM. Linguet, Palissot, Mercier ; Kerlon, & C
Ville & la Cour. M. le Chevalier du Coudray, (il m’a permis de le nommer ) fut le premier qui proposa l’établissement de la
70 (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « Instruction chrétienne sur la Comédie. » pp. 443-453
uses y parussent en leur habits ordinaires, le Théâtre sans ce qu’ils nomment décoration, Il ne se pourrait rien voir de plus i
nt par la bouche de S. Paul, défendit aux Ephésiens Ad Eph. 5. 3. de nommer aucune sorte d’impureté, de vilenie, de sottise,
71 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 1 : Livre II, chap. 3] » pp. 104-105
le folie, je vous prie, que le Diable auteur des spectacles, comme le nomme TertullienDe Spectaculis., gagne tant en nous, qu
72 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIII. Première et seconde réflexion sur la doctrine de Saint Thomas. » pp. 82-84
ù il traite des jeux de son temps, les théâtres ne sont pas seulement nommés . Je ne les ai non plus trouvés dans Saint Bonaven
73 (1640) Lettre apologétique pp. 2-42
e qui obligea la ville de Rome de les chasser, et particulièrement un nommé Hyster, qui s’étant retiré à Athènes, fut suivi d
ésenter s’associa de plusieurs garcesf, et enfants perdus, qui furent nommés Scéniques, à cause qu’ils discernaient leurs acti
vu même des Ministres assister à leur représentations, entre autre un nommé Joannes Davenantius Professeur de l’Académie Roya
74 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie ? » pp. 8-25
qu’on appelle théâtre. Aux deux côtés on voit dans de petits réduits, nommés loges, des hommes et des femmes qui jouent ensemb
. Tout ce que je dis ici se passe de même dans un autre endroit qu’on nomme l’Opéra. Toute la différence est que l’on parle à
es dieux, les hommes et les bêtes. Il mérite mieux qu’Octavien d’être nommé l’Empereur Auguste, et puisque, selon Orphée, il
75 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [C] » pp. 391-398
sion mêlée de terreur, (jointes à un sentiment qu’on pourrait presque nommer satisfaction) ; parce que nous voyons des hommes
l les Spectateurs étaient révoltés. Il y a un genre de Tragédie qu’on nomme Tragique-bourgeois. Il arrive tous les jours dans
76 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent. » pp. 15-28
exceptions : supposons qu’il en soit jusqu’à trois que l’on pourrait nommer  : je veux bien croire pour un moment ce que je n’
ne manière plus dangereuse qu’on ne ferait dans les lieux qu’on n’ose nommer . On les encourage par l’attrait du gain et des ap
77 (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « De Paris ce 10. Mai 1666. » pp. 193-204
on originale] Ils en avaient effectivement changé, car M. Daucourt se nommait Barbier, et M. Dubois se nommait Goisbaut. f. [N
ctivement changé, car M. Daucourt se nommait Barbier, et M. Dubois se nommait Goisbaut. f. [NDE] Goibaud-Dubois : « David, Sal
78 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIII. La Comédie considérée dans les Acteurs. » pp. 26-29
ne maniére plus dangereuse qu’on ne feroit dans des lieux qu’on n’ose nommer  ? Qui ne les regarde pas, ajoûte-t’il, comme des
79 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatrième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 28-32
plu… Elle veut s’immoler… Elle n’est donc pas… Tu as oublié de me la nommer  : mais je la crois une Actrice. De quel théâtre ?
80 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PREFACE CONTENANT L’HISTOIRE DU DIX-SEPTIEME SIECLE, SUR LA COMÉDIE. » pp. -
peut regarder ce Traité comme une Réponse ; car quoique l’Auteur n’y nomme ni Hédelin ni ses Ouvrages, il se plaint pourtant
81 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE IV. Des Femmes de Théâtre. » pp. 42-48
mes et des Pantomimes, ni de ces Farces Atellanes, que nous venons de nommer , où les Acteurs parlaient et dansaient à visage d
82 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PLAN. DU THEATRE. et autres Règlements, Qui sont la suite de ce qu’on a déjà vu, page 106 de l’Ouvrage. » pp. 329-337
uatrième à l’ordinaire des grands Théâtres ; pour le cinquième, qu’on nomme à Venise le Rez de chaussée, parce qu’il est au-d
83 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381
de l’Opéra ? Il est vrai que le Comédien chez les Anciens est souvent nommé Cantor, & qu’il est dit de Néron, Tragedias c
qui ne me suffit maintenant qu’à montrer, que les Comédiens ayant été nommés par Quintilien, Artifices pronuntiandi, n’étoient
senter les Piéces Dramatiques des Poëtes ? Il trouve ces Compositeurs nommés par Quintilien dans ce Passage que j’ai déja rapp
omaque, il dansoit les malheurs d’Andromaque. Ce Canticum étoit aussi nommé Soliloquium, (mot que nous rendons mal par Monolo
84 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
ités claires, ou ce qu’on appelloit autrefois des quolibets et qui se nomme aujourd’hui des calembourgs ; figurez-vous des da
e une grande passion ; elle se retire néanmoins avec l’Olive, qu’elle nomme Finette ; au dernier acte, l’Olive, dans ses vrai
vois que l’on donne dans les Animaux raisonnables à la Poule toujours nommée timide auparavant, de la Loterie du coq de villag
la débauche, dont ces théâtres sont le foyer. La maladie si justement nommée honteuse, y consume en secret la fleur des deux s
85 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
être que cette Tragédie (ou Comédie héroïque, ainsi que Corneille l’a nommée ) aurait été mieux à sa place dans la classe des P
arer à l’original Grec les imitations des deux Poètes que je viens de nommer , et d’examiner l’art avec lequel chacun d’eux a t
, ou d’être supprimées totalement, je m’en rapporte à ceux qui seront nommés , en cas que mon projet réussisse, pour examiner l
86 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
nge singulier du bruit & du silence qu’on voit naître ce que nous nommons Harmonie. La musique vocale s’attache à copier le
rum Famuli tuorum, Solve polluti Labii reatum Sancte Joannes. Un nommé le Maire, Musicien du dernier Siècle, ajouta le S
raconte pourtant39 que sous le règne de Henri III, un fameux Musicien nommé Claudin, mit tellement en fureur un jeune Seigneu
-pernicieuse ; on ne pouvait même s’empêcher de détester à Athènes un nommé Phrynis, qui amolit, dit-on, la musique ancienne.
rapporte qu’Isménias, fameux joueur de flûte, le même peut-être qu’on nomma Ambassadeur de Perse, fut fait prisonnier de guer
87 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE X. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces six parties dans Athalie. » pp. 260-315
’expose en le couronnant : O mon Fils, de ce nom j’ose encore vous nommer , Souffrez cette tendresse, & pardonnez aux
té moins de peine à l’Auteur. Joas parle souvent de Dieu, & ne le nomme jamais l’Eternel, comme il est nommé par Abner da
rle souvent de Dieu, & ne le nomme jamais l’Eternel, comme il est nommé par Abner dans le premier Vers de sa Piéce : ce s
qui n’auroit rien que de très-intelligible pour elle, malgré ce qu’on nomme la contrainte des Vers. §. VI. La Musique. Les
able. Se non perfetta, almen sofferibile al quanto. Ces Auteurs qu’il nomme , sont Lemene, Manfredi, Maffei, Monsignor Bernini
88 (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303
e les Acteurs, qui sont souvent appelés Tragœdi et Comœdi, sont aussi nommés Cantores. Horace38 désigne de cette manière, les
fle. » C’est ainsi que les célèbres Comédiens, Roscius et Esope, sont nommés dans Cicéron, dans S. Augustin, et dans Macrobe I
es gestes ; et ceux qui savaient contrefaire toute sorte de choses se nommaient Pantomimes. Lucien au Traité de la Danse donne ce
. Att[icae]. L. 20. c.4., Ludiones, periti Artis Ludicræ, et l’Art se nommait Ars Ludicra Val. M. lib. 8. c. 7. p. 10., Ars Th
s noms ; on les appelait Togatæ 56 Palliatæ, Attellanæ. Celles qu’on nommait Togatæ tiraient leur nom de l’habit Romain Toga a
qu’ils appelaient en général la Scène ; celui des Spectateurs qu’ils nommaient particulièrement le Théâtre et l’Orchestre qui ét
aliers qui divisaient les degrés dans leur hauteur, et que les Latins nommaient Præcinctiones, il y avait des escaliers particuli
it le Proscenium, parce qu’il était au bas du Théâtre principal qu’on nommait en général la Scène. Le Proscenium des Romains ét
z les Grecs et les Romains. La première et la plus considérable qu’on nommait proprement Scène, était une grande face de bâtime
s. Enfin la troisième était un espace ménagé derrière la Scène, qu’on nommait Postscenium, où s’habillaient les Acteurs, où l’o
ont il ne souffrait pas qu’ils abusassent. Dès qu’il sut qu’un Acteur nommé Stephanion avait pour serviteur une femme déguisé
. Chronic. p. 288. . Peu de temps après un riche Sénateur d’Antioche nommé Sosibius étant à la suite d’Auguste, vint mourir
nt trente jours. On apprend ces particularités d’un Auteur d’Antioche nommé Jean Malela qui vivait au 9e siècle, et dont la C
andro, nous apprenons, dis-je, de ces Auteurs qu’une femme prostituée nommée Flore, laissa en mourant de grands biens à la Rép
qu’on appelait nouvelle, se distinguaient des autres, parce qu’ils ne nommaient ni indiquaient personne, et qu’ils traitaient tou
’est ainsi qu’il s’exprime dans sa Lettre à une illustre Dame Romaine nommée Furia. Les Evêques des Villes d’Afrique ne manqua
x Evêques. Un Concile de la Province de Bordeaux tenu dans un endroit nommé Copriniacum, en 1215. et non pas en 1260. comme l
ies Italiennes jouées à l’impromptu étaient examinés par une personne nommée par S. Charles, qui les approuvait et signait ens
nner après des bagatelles si indignes, comme sont les choses que j’ai nommées , lesquelles outre leur inutilité nous mettent en
éanmoins qu’avant sa mort, il y eut à Paris, de ces lieux qu’on n’ose nommer , dont les Maîtres dans la suite se maintinrent en
ament, avec la farce au bout pour recréer les assistants. » Le peuple nommait ce Théâtre le Paradis. Si le P[ère] le Brun avait
89 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — CHAPITRE IV.  » pp. 109-114
cun accourt remplir la bourse de ses favoris, (c’est ainsi qu’on peut nommer ceux qui le font tant valoir sur la Scène) la for
90 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIII. Si l’on peut excuser les laïques qui assistent à la comédie, sous le prétexte des canons qui la défendent spécialement aux ecclésiastiques. » pp. 52-57
drait trop supprimer de ces plaisirs et publics et particuliers qu’on nomme innocents. N’entrons point dans ces discussions q
91 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228
voudrais en inscrire ici les noms ; pour en décorer mon écrit. De les nommer seulement, serait pour eux, un éloge complet. Je
92 (1731) Discours sur la comédie « Préface de l'Editeur. » pp. -
dre public. On prétend qu’un de ses Confrères qu’on s’abstient ici de nommer , le mit en l’état où il a paru. Depuis ce temps,
93 (1698) Théologie du cœur et de l’esprit « Théologie du cœur et de l’esprit » pp. 252-267
cuser la Comedie, qui ne fut jamais un divertissement permis. Car que nomme-t -on divertissemens permis ? Sont-ils autre chose q
ce grand Saint, est une Ecole publique, où l’on apprend tout ce qu’on nomme impudicité. Elle est une assemblée, dont le Démon
94 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99
ittent pas ; l’une est la Pupille de monsieur Des Tianges, l’autre se nomme mademoiselle De Liane, la même qui doit épouser l
ales sont utiles aux mœurs » ; voila la question qu’un certain Auteur nommé Cicéron 1, a, dit-on, jadis décidée à leur desava
dont on a laissé l’Auteur s’applaudir tout seul de cultiver ce qu’il nomme l’ancien genre * ? (Quel genre, bondieu ! où l’on
95 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouvrage intitulé : Des Comédiens et du Clergé, et sur les charlataneries littéraires, politiques et religieuses. » pp. 52-86
rs progrès y sont sensibles, déjà ils commencent à s’y montrer, à s’y nommer , et les plus impudents croient pouvoir quelquefoi
ennent également en tutelle les ministres d’état, qu’ils surveillent, nomment et changent à leur gré. Ceux-ci en devenant créat
E] A l’époque, le général des jésuites était Louis Fortis, de Vérone, nommé en 1820, à la suite du rétablissement des jésuite
96 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Cinquième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 33-39
son ton ; j’imite sa voix, son sourire, jusqu’à son geste. Elle s’est nommée  ; vous la connaissez : vous n’ignorez pas combien
97 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IV. Du Clergé considéré comme protecteur et fondateur des Comédiens du troisième âge en France, et comme en ayant lui-même exercé la profession. » pp. 113-119
s, on jugera bientôt qu’à cet égard les conciles, que nous avons déjà nommés plus haut, ne sont plus applicables aujourd’hui n
98 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VII. De l’inconséquence de quelques prêtres ignorants envers les Comédiens, et de leur fanatisme mis en opposition avec l’autorité du pape et avec la conduite éclairée du haut clergé et des ecclésiastiques sensés en France. » pp. 134-140
0. Evêque d’Avranches, en 1685. Ce fut en 1670 que Bossuet, ayant été nommé précepteur du Dauphin, Huet lui fut adjoint, en q
99 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CONCLUSION, de l’Ouvrage. » pp. 319-328
a été tel que nous le voyons dans les deux Poètes qui viennent d’être nommés  ; tout le monde se révolterait contre un sentimen
100 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE II. Anecdotes de Théatre.  » pp. 41-71
ésident receuille les voix, & prononce l’arrêt d’installation, il nomme des commissaires qui vont dans toutes les autres
ils donnent des pieces, où ils font fort souvent acteurs ; ils ne se nomment modestement que la Société Bourgeoise, le Théatre
gnes de la barbarie de ses peuples ; il avoit à sa cour un vieux fou, nommé Jotof, qui lui avoit appris à écrire, & s’ima
Ce ne fut pas une folie passagere, après la mort de Jotof un officier nommé Butalir, fut créé Pape à Moscou & à Petersbou
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