/ 300
1 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des Sentences mélées à l’action Théatrale, chez les Anciens & les Modernes. » pp. 153-158
toutes les ressources qu’il fournit, se jettent sur les Sentences ou maximes , sans réfléchir qu’elles ne sont pas le moindre o
e nous apprend combien on doit apporter de précaution pour mettre les maximes sur le théatre, leur but est d’instruire, & c
à l’Académie, a pourtant fait des efforts pour justifier l’usage des maximes dans le poëme tragique. Il prétend qu’on n’y doit
d’enseignement. Euripide n’avoit point cette adresse dans l’usage des maximes , qui se rencontrent très-fréquemment dans ses pié
presque toujours le prix du Théatre sur l’autre. C’est qu’en lui les maximes étoient politiques & non instructives. C’est
dire que ce Parterre, qui applaudit avec tant de fracas, aux grandes maximes qui se débitent sur nos Théatres, comme la jeunes
uveauté ? Si l’application est juste, quel juge que ce Parterre ? Des maximes continuées pendant plusieurs vers, & embellie
laudissemens que l’ignorance accorde au tissu, à l’éclat emprunté des maximes mal enchassées. 8. * Iis qui se ad agendum com
2 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Extrait des Registres de Parlement, du 22 Avril 1761. » pp. 210-223
rdre, l’honneur de notre profession, notre attachement aux véritables maximes , & notre zéle pour la Religion, ne nous ont p
faux principes avancés dans deux Mémoires à consulter, & sur des maximes odieuses, hazardées dans les autres piéces qui la
age au sujet de l’Excommunication contre les Comédiens En abusant des maximes sages, & en confondant les objets, on attaque
autorité arbitaire. Enfin, on tire une fausse conséquence de cette maxime vrai en matiere criminelle, non bis in idem, « S
tissu de propositions scandaleuses, de principes erronés, de fausses maximes & de propos injurieux à la Religion, contrair
ses où la Passion est chantée à trois voix. Outre ces blasphémes, les maximes vicieuses sur les mœurs sont poussées jusqu’au po
reau ; que leur délicatesse, leur attachement à l’épreuve de tout aux maximes saintes de la Religion, & aux Loix de l’Etat,
3 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — PREMIERE PARTIE. Quelle est l’essence de la Comédie. » pp. 11-33
s ce principe, la plupart de nos Comédies, & l’on en tirera cette maxime générale, que l’exemption du ridicule est tout ce
les. Après la distinction que je viens de faire, je puis établir pour maxime générale, que la bonne Comédie exclut le ridicule
oivent être pleins de douceur & de bonté pour leurs éleves. Cette maxime leur enseigne à semer quelques fleurs sur le chem
& de la vertu, dans lequel ils veulent les faire marcher : cette maxime condamne ces maîtres durs & impérieux, qui dé
primande dure & sévere, peut être vrai ; mais non-seulement cette maxime n’a aucun rapport à la Comédie, mais même il est
a raillerie, comme un moyen propre à parvenir à ce but. Cette seconde maxime d’Horace ne reçoit donc aucune application par ra
4 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent. » pp. 15-28
s est. » Je ne sache qu’un seul peuple qui n’ait pas eu là-dessus les maximes de tous les autres ; ce sont les Grecs. Il est ce
célérat, et déployer tout son talent pour faire valoir de criminelles maximes  ? Hélas ! à cet égard, les poètes dramatiques n’o
de sagesse et d’honneur qu’elle débite au public. Et, de peur que ses maximes sévères ne fissent un progrès nuisible à son inté
de saint Paul : « Non faciamus mala ut eveniant bonao. » 1. [NDA] Maximes sur la comédie. 2. [NDA] Lettre à d’Alembert.
d’Alembert. l. [NDE] compatir = s’accorder avec (Littré). m. [NDE] Maximes et Réflections sur la Comédie, chapitre VIII. n.
imes et Réflections sur la Comédie, chapitre VIII. n. [NDE] Clément, Maximes pour se conduire chrétiennement, 1753, sur le sit
5 (1759) Lettre à M. Gresset pp. 1-16
de l’âge, et possédés de l’enthousiasme poétique, nous hasardons des maximes fausses et scandaleuses, entraînés par l’harmonie
isme du vulgaire ignorant et crédule. Voilà ce qui fait rimer tant de maximes erronées, que la voix impérieuse de la vérité qui
and il pense ainsi ! Non, non, l’esprit n’imagine point de si divines maximes  : c’est la plume du cœur qui les écrit ; c’est lu
, si l’on entend par ce mot ceux qui enseignent et qui pratiquent les maximes de la bonne morale, et si nous n’avions pas vu na
e Théâtre n’aura l’approbation de l’Eglise. L’opposition évidente des maximes de l’Evangile, avec celles qu’on y débite, et l’i
6 (1599) Des spectaculis pp. 406-419
entur enim quid facere possint, et inflammantur libidine, quæ aspectu maxime et auribus concitatur : puellæ præsertim et juven
nomini Christiano gravissimam ignominiam Censeo Principi eam rem vel maxime curæ fore, ne aut ipse suo exemplo auctoritatem c
ue sexum distinctas, œstrum mutuæ cupiditatis inservit, inter homines maxime , qua se invicem appeterent, majorem multo in viro
multitudine allicienda, quam non ignorant aspectu mulierum, et auditu maxime capi, omnes fraudes suscipiunt, nulla honestatis
itiorum radix est. Vitiis omnibus et fraudibus viam muniunt, libidini maxime , quæ auribus et oculis suscipitur. Divinum cultum
7 (1686) Sermon sur les spectacles pp. 42-84
, et où l’on corrige les mœurs ; en vain on tâche de rapprocher leurs maximes de celles de l’Evangile, d’interpréter la Religio
. PREMIER POINT. Si les Spectacles ne sont pas réellement les maximes du monde, et les pompes de Satan auxquelles nous
ent tout ce qui peut leur plaire, et les favoriser ; de sorte que les maximes du monde et les pompes de Satan se représentent à
héâtres, et comme le principal objet des acteurs ? Je dis d’abord les maximes du monde. Ah ! mes Frères, vous n’en disconviendr
ve, dit Saint Chrysostome, que vous ne recherchez au Théâtre, que les maximes du monde, et que vous n’aimez que tout ce qui vou
auguste qualité, fréquenter les Théâtres qui ne retentissent que des maximes du monde ? Ah ! je vous le demande, le Spectacle
rai vous avoir suffisamment confondu, en opposant tout simplement aux maximes du Théâtre l’image de Jésus-Christ dont toute vot
Baptême, et pour vous persuader qu’ils n’ont rien de commun avec ces maximes du monde auxquelles vous avez renoncé ? Il n’y a
cédents ; Dieu qui condamne le monde, et tous ceux qui en suivent les maximes , s’élèvera dans sa juste fureur contre le Chrétie
es Théâtres, que mes Temples ; parce que vous vous y êtes remplis des maximes d’un monde que j’ai maudit ; parce que vous y ave
tes pour vous affecter ; cependant, outre que les Spectacles sont ces maximes du monde, et ces pompes de Satan auxquelles vous
e n’est ni en suivant le torrent du siècle, ni en se conformant à ses maximes , qu’on peut arriver au Royaume des Cieux. Si l’on
8 (1765) De l’éducation civile « De l’éducation civile » pp. 76-113
nt d’être surpris dans les Temples où l’on débite si pompeusement vos maximes , que bien des gens sensés s’y ennuient ; que vos
vertu opprimée ; détestoient l’injustice, & corrigeoient, par des maximes pleines de sagesse & de gravité, ce qu’il y a
des Loix naturelles, que le coupable ne viola jamais impunément. Ces maximes , énoncées avec force, & accompagnées des char
u’elle rougit de s’avouer à elle même ; mais auriez-vous oublié cette maxime d’un Ancien, que les choses honteuses à faire ne
ens, l’ignorance la source de tous les maux, &c. Croit-on que ces maximes , qu’il est possible de démontrer aussi rigoureuse
aîtres, acheveroit la conviction. Or, où pourroit-on mieux puiser ces maximes , que dans une Ecole de la vie civile, formée sur
entifs & des amis secourables. Ils retiendroient la substance des maximes qu’on y enseigneroit ; mais sans pouvoir remonter
embellie des charmes de leur imagination, & leur prodigueront des maximes puisées dans le sein de la Philosophie ; & qu
9 (1609) De spectaculis pp. 127-188
entur enim quid facere possint, et inflammantur libidine, quæ aspectu maxime et auribus concitatur: puellæ in primis et juvene
res voluptates cum cæteris animantibus communes habemus eas solas aut maxime probro damus quasi in similitudinem brutorum homi
Porro insolita admirari, quotidiana contemnere, humanum est : suntque maxime mirabilia, et maximum exprimunt voluptatem, quæ m
est : suntque maxime mirabilia, et maximum exprimunt voluptatem, quæ maxime inexpectata continunt, maxime periculosa videntur
a, et maximum exprimunt voluptatem, quæ maxime inexpectata continunt, maxime periculosa videntur. Quod si nudis sæpe narration
ent auditorum memoria atque animo. Qui enim numeris constamus omnium, maxime numeris capimur, numerisque adstricta oratio vehe
acientia, quid si ad turpitudinem singula referantur ? quæ oblectatio maxime omnium devincit homines, atque ita ut vel ipsa nu
cæteris antiquatis, scenici ferme ludi relicti modo sunt, qui omnium maxime exterminari debebant, atque e moribus nostræ nati
am sensibus ducuntur, externo rerum apparatu, ornatu, pompa capiuntur maxime  : Contendo tamen histriones a festis populi Chris
itates mutuæ benevolentiæ atque amicitiæ vincula esse : quae res diis maxime curæ est. Amico præsente viro gravi convitium dic
ultitudinem alliciendam, quam non ignorant aspectu mulierum et auditu maxime capi, omnes fraudes suscipiunt nulla honestatis c
istinctas, æstrum mutuæ cupiditatis inservit corporibus inter homines maxime , qua se invicem appeterent et mutua conjunctione
animo multum sublata licentia et sermonis commercium prodest ; et ut maxime depravatus sit animus, si vitari prorsus peccata
itror, inter amantes serviret, eo nomine præter cæteros modos musicos maxime infamis. Quæ sunt a nobis desumpta ex Cassiodoro
in levitatem et turpitudinem incubuisse fractis passim modis musicis, maxime theatrali licentia concentu ad lasciviam dissolut
is magnitudo, tum facientium deliniendi aures populi cupiditate : tum maxime eorum qui tantum crimen et dedecus abire impune p
odo id generis operis in seculo evasit. Nam sæpe censores renascentia maxime theatra destruebant moribus consulentes, quorum s
tur utique quid facere possint, et inflammantur libidine, quæ aspectu maxime concitatur : ac se quisque pro sexu in illis imag
orabimus, sed etiam gentium mores et instituta earum, quarum probitas maxime laudatur. In quo genere Lacedæmones primi occurru
erbis. « Quapropter oportet a pueris omnia turpia procul removere, et maxime quæcumque habent in se vel obscœnitatem vel impro
Homerum ex civitate exturbandum censeat, pestem, jucundam quidem, sed maxime exitialem affectibus concitatis, ira, libidine al
diximus, neque crimine carere eam artem ad corrumpendos populi mores maxime proclivem. Nam quod ab adversariis opponitur fœmi
nsensus interpretativus se in ipsam flammam voluptatis conjicere ? ut maxime animus et constanter velit, certoque præjudicatum
peccatum pertractis, quod in viros graves auctoritate et professione maxime cadat necesse est, et aliquanto majori viri princ
itiorum radix est. Vitiis omnibus et fraudibus viam muniunt, libidini maxime , quæ auribus et oculis suscipitur. Divinum cultum
permissis, cum sciamus in quibus provinciis aut civitatibus ea labes maxime viget, ibi majorem scortorum numerum esse ; et in
esistit finibus. Metu suppliciorum, et diligentia principum cohibetur maxime , quod in conjunctis civitatibus in eadem provinci
tatibus in eadem provincia vidimus, in altera eam turpitudinem vigere maxime , alterius cives multo esse modestiores factos suo
lica scorta vel propter omnes quibus fieri placuerit, vel propter eos maxime qui habere privata non possunt », tum lib. XIV. c
iam criminis et turpitudinis remp. fieri unde lucrum refert ? Quod ut maxime licitum esset, honestatis et decoris nullam parte
as dent, quod libenter illi faciunt, ut ære alieno gravatæ, ut velint maxime inde discedere, aut cessare quasi alieno ære vinc
ria putabamus, præterea taurorum agitatio, de qua quoniam in Hispania maxime viget, hoco loco disputare constitui, atque hujus
siccitate et pabuli natura aucta mirum in modum ferocia. Ita quæ res maxime deterrere debuit, ne laniari homines viderent, ea
prudentiæ specie defendunt, oblectationi populari, quoniam eo studio maxime ducuntur homines, aliquid certe dandum. Quæ sente
Quanto fœdius est taurum in mediam multitudinem producere ; qui tunc maxime placet cum plures ad terram prostravit, alioqui n
promiscuus conventus fieri solet, quos uno impetu reprobare omnes, ut maxime nullum subesset aliud periculum nemo audeat. Hæc
sit, neque alia commisit spectacula, quo spatio domi forisque vigebat maxime , atque invicta virtute fundamenta imperii poneban
10 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
upériorité avec laquelle Racine l’a traitée) ne peut inspirer que des maximes dangereuses, pour apprendre à métaphysiquer sur u
a suivi parfaitement la nature, et selon ce principe, il établit une maxime très capable de séduire et de corrompre le cœur d
is-je, n’est capable que d’égayer l’Auditeur en le faisant rire d’une maxime que le penchant de la nature ne nous inspire pas 
les Spectateurs peuvent tirer de cette Tragédie, se réduisent à cette maxime  ; que dans les plus vertueux et les plus grands H
t excusable, mais que d’une certaine façon elle est même nécessaire ; maxime insoutenable et très pernicieuse : ainsi je ne cr
er : c’est la morale qui règne dans cette Pièce ; elle est remplie de maximes très pernicieuses, et même quelquefois impies. Je
11 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVIII.  » p. 474
XVIII. Il ne faut pas s'imaginer que ces méchantes maximes dont les Comédies sont pleines ne nuisent point,
peut nier que les Comédies, qui sont toutes pleines de ces mauvaises maximes ne contribuent beaucoup à fortifier cette impress
12 (1675) Traité de la comédie « XVIII.  » pp. 300-301
XVIII. Il ne faut pas s'imaginer que ces méchantes maximes dont les Comédies sont pleines ne nuisent point;
peut nier que les Comédies, qui sont toutes pleines de ces mauvaises maximes , ne contribuent beaucoup à fortifier cette impres
13 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVII.  » pp. 471-473
passions; et de les remplir d'amour, de sentiments d'orgueil, et des maximes de l'honneur humain. C'est ce qui fait qu'il n'y
s on croit qu'il est permis aux Poètes de proposer les plus damnables maximes pourvu qu'elles soient conformes au caractère de
14 (1675) Traité de la comédie « XVII.  » pp. 297-299
ns, et de les remplir ainsi d'amours, de sentiments d'orgueil, et des maximes de l'honneur humain. C'est ce qui fait qu'il n'y
s on croit qu'il est permis aux Poètes de proposer les plus damnables maximes pourvu qu'elles soient conformes au caractère de
15 (1742) VIII. Conférence. De la Comédie, contraire aux promesses du Batême [Conférences théologiques et morales, IV] « X. Conference sur les sacremens. » pp. 223-247
urs par tant de mauvais sentimens qu’ils inspirent, si contraires aux maximes de l’Evangile ? Voilà, M. P., ce que la plus véné
angile : mais il n’y a jamais envoyé de comédiens, pour y débiter des maximes contraires à cet Evangile, comme font tous les ge
rrompre le monde sous prétexte de le réjouir, ils ne débitent que des maximes pernicieuses, tout opposées aux maximes saintes d
ouir, ils ne débitent que des maximes pernicieuses, tout opposées aux maximes saintes de l’Evangile : maximes d’orgueil, en ne
ximes pernicieuses, tout opposées aux maximes saintes de l’Evangile : maximes d’orgueil, en ne parlant que de fierté, de hauteu
d’orgueil, en ne parlant que de fierté, de hauteur & de mépris : maximes de vengeance, en donnant la fausse valeur de leur
pour la vraie grandeur d’ame qui consiste à ne rien laisser impuni : maximes de cupidité & du plus sordide interêt, en exp
our s’enrichir du bien des familles, des orphelins & des veuves : maximes d’impureté, en exposant sur la scéne les intrigue
e suivre, nous nous sommes misérablement égarés. Nous renonçons à ses maximes pour toujours, & nous embrassons les vôtres.
16 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE PREMIER. Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre l’auteur du livre intitulé : Des Comédiens et du Clergé. » pp. 49-51
oute avec obligeance, qu’une intention inexcusable se décèle dans les maximes pures en apparence, dont mes récits sont entremêl
ractères odieux d’une dénonciation inquisitoriale ; à l’entendre, les maximes pures que j’ai proclamées, ne peuvent de ma part,
17 (1632) De spectaculis theatralibus pp. 339-351
tio, quæ etiam ad hoc nostrum institutum pertinet, et quæ hoc tempore maxime ventilari debet, est de eo fomento libidinis, quo
am in talibus consistere, sive privatim fiant, sive publice ; sed hoc maxime , ubi pluribus imminet periculum, et quo plures su
es coacervant Doctores », Tim. 4. v. 3. Sunt autem ludi scenici ad id maxime instituti, ut voluptatibus duos illos sensus affi
urimum, ad turpitudinem referantur ? Nam hæc est illa oblectatio, quæ maxime devincit homines, cum objiciuntur menti irritabil
natio adhuc inter nos obtinuerit, ut in locis sacristalia fiant, quod maxime in dubium vocatur, et in quo ubique peccatur, id
tque Ecclesias ubique dissipari. Inter reliqua autem hoc habet dignum maxime notatum. « Alia, inquit, crimina singulas sibi fe
itiorum radix est. vitiis omnibus et fraudibus viam muniunt, libidini maxime quæ auribus et oculis suscipitur. Dominicis diebu
18 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre d’une Dame de la Ville de *** au sujet de la Comedie. » pp. 6-15
orsqu’il s’agit de calmer la conscience. Telles sont les pernicieuses maximes du monde, qu’une Dame craint, qu’elle ne passe po
ferez justice, quand vous verrez, Madame, que je suiverai moi-même la maxime du Saint Esprit, qui vous a portée à me demander
ristie. Je crois qu’il ne convient pas ni à la Majesté Divine, ni aux maximes de l’Evangile, que la pudeur, & l’honneur de
nce, de vôtre ame, & de vôtre éternité. Pesez donc, Madame, leurs maximes dans la presence de Dieu, qui vous jugera un jour
19 (1751) Avertissement (Les Leçons de Thalie) pp. -
Que la Comédie présente : Portraits, Caractéres, Critique des mœurs, Maximes de conduite propres à la Société [...] tome prem
ortée au choix des matières, puisées dans les meilleurs sources ; les maximes appliquées aux différents morceaux choisis pour f
20 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VII. Les spectacles favorisent les suicides. » pp. 90-92
u’à des saints et à des martyrs. Le vice s’embellit sur la scène, les maximes qui feraient horreur dans le langage ordinaire, s
agination, et ne le porte à cette fatale extrémitéan », suivant cette maxime que Voltaire met dans la bouche de Mérope : « Q
21 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VIII. Les spectacles favorisent les duels. » pp. 93-95
ouvait pas inférieure à celle des vices qu’elles réprimentao ? » Ces maximes perverses, qui ne sont pas moins opposées à la re
tel est le conseil barbare qu’un père chrétien donne à son fils. Ces maximes font sur l’esprit des spectateurs de mauvaises im
22 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Premiere lettre de Mr. *** à Madame *** sur les spectacles » pp. 3-59
Eglise, vous vous faites gloire d’en écouter les Leçons. Attachée aux Maximes de l’Évangile, vous ne craignez rien tant que de
e des Théatres ? 2 C’est aussi la réflexion de Mr. Bossuet, dans ses maximes sur la Comédie : c’est celle de Benoit XIV, de Sy
int de fidéle, pour peu qu’il soit instruit de sa Réligion, & des maximes de l’Evangile, qui ne sache combien ces sortes de
érité, dont le grand Bossuet est aussi garant, quand il dit, dans ses maximes &c. que les Comédiens ont toujours été frapp
peine de l’excommunication. Pour appuyer sa décision, il abuse d’une maxime , qui n’est vraie qu’en matiere criminelle, savoir
y est audacieusement décidée en faveur des Comédiens… En abusant des maximes sages, & confondant les objets, on attaque l’
d’excommunier, … Et qu’enfin, on tire une fausse conséquence de cette maxime , vraie en matiere criminelle, (non bis in idem)
Bossuet nous en sera un nouveau garant. Voici ce qu’il dit, dans ses maximes & réfléxions sur la Comédie, en parlant des p
digne du nom de Chrétien, de trouver honnête la corruption réduite en maximes dans les Opera de Quinault &c. Si vous dites,
re sur les passions, sur les plaisirs, est en tout point, opposée aux maximes du Christianisme, jusques dans les piéces étrangé
insi, que le grand Bossuet s’est expliqué sur cette matiere, dans ses maximes &c. pag. 50. « Parmi les commotions, où cons
rcer leur profession, ne péchent aussi très-griévement, suivant cette maxime de St. Paul, que ceux qui font le mal, & ceux
et.1 C’est le raisonnement du grand Bossuet, pag. 30 & 31 de ses maximes , lesquelles, dit le savant Journaliste de l’année
& une pure invention du Démon, pour perdre les ames. Ce sont ces maximes , qu’il est particulierement ordonné aux Prédicate
r salut ? C’est la réfléxion du Grand Bossuet, pag. 6 & 7. de ses maximes . &c. Je l’abandonne aux vôtres, ainsi que les
23 (1705) Pour le Vendredy de la Semaine de la Passion. Sur le petit nombre des Elûs. Troisiéme partie [extrait] [Sermons sur les Evangiles du Carême] pp. 244-263
octrine dont le poison entre par tous les sens, & dont toutes les maximes ne tendent qu’à embraser les cœurs & les fair
prier & y adorer, qui ne suit point les usages, les coûtumes, les maximes du monde, & qui par son rang & ses exempl
urs, qui vous font croire qu’en suivant les Usages, les Coûtumes, les Maximes , & la multitude du monde, vous êtes dans la v
vous qu’il faille adorer, te oportet adorari Domine . Je renonce aux maximes de ce monde trompeur : je déteste ses Loix : je n
nombre, pensés sans cesse que ce grand nombre se danne : detestés ses maximes , méprisés ses usages, ne comptés pour rien ses co
24 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54
de lui donner moyen de pratiquer avec plus d’autorité les excellentes maximes , qu’il a enseignées dans cet Ouvrage. Voilà cepe
ulant plus qu’on y enseigne une Morale si pure, et si contraire à vos maximes relâchées, mais qu’on y substitue celle de M. Abe
t M. Abelly ont introduit dans la morale Chrétienne cette pernicieuse maxime  : Que l’on peut suivre une opinion moins probable
25 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « II. » pp. 9-11
nnemi de votre méchante Morale ; il n’avait que de l’horreur pour vos maximes  ; ses règles dans l’administration du Sacrement d
a conduite sera contraire à la votre et qu’il n’agira point selon vos maximes . Vous n’aviez donc garde de faire regretter un Ar
26 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V. Le but des auteurs et des acteurs dramatiques est d’exciter toutes les passions, de rendre aimables et de faire aimer les plus criminelles. » pp. 51-75
Je veux bien supposer que les spectateurs, renvoyés avec cette belle maxime , n’en concluront pas que le crime a donc un prix
e ; mais je demande enfin de quoi leur aura profité la pièce où cette maxime est mise en exemple ? « Quant à Mahomet, le déf
son caractère, est forcé de mettre dans la bouche des méchants leurs maximes et leurs principes, revêtus de tout l’éclat des b
i que les tableaux de l’amour font toujours plus d’impression que les maximes de la sagesse, et que l’effet d’une tragédie est
le sage de la pièce, un de ces honnêtes gens du grand monde, dont les maximes ressemblent beaucoup à celles des fripons, de ces
s dangereux que le mal même, en ce qu’il fait préférer l’usage et les maximes du monde à l’exacte probité ; en ce qu’il fait co
d’être surprises dans les temples où l’on débite si pompeusement vos maximes  ; que bien des gens sensés s’y ennuient ; que vos
27 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre IV. Que les Danses sont défendues dans les lieux saints. » pp. 22-25
ciorum strepitus conquiescat, nulla inibi causa per laicos criminalis maxime agitetur. » Lib. 3. sext. Decr. cap. 2. On peut
ciorum strepitus conquiescat, nulla inibi causa per laicos criminalis maxime agitetur. » Lib. 3. sext. Decr. cap. 2. 14. ND
28 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
ur secret dans la tragédie ; on y joue sa propre passion. » (Bossuet, Maximes et réflexions sur la comédie.) Mais tout cela, d
éfendre de celui qu’y sont les acteurs et les actrices, suivant cette maxime de St. Paul : Ceux qui font le mal et ceux qui l’
e. Commençons par ces derniers. « Corneille du théâtre abjurant les maximes , » Eût voulu n’en avoir jamais souillé ses rimes.
digne du nom de chrétien de trouver honnôte la corruption réduite en maximes dans les opéras de Quinault avec toutes les fauss
and nombre de pièces, il abjura ses travaux couronnés, et déclara les maximes de ces sortes d’ouvrages diamétralement opposées
lara les maximes de ces sortes d’ouvrages diamétralement opposées aux maximes du christianisme. J.-J. Rousseau avait écrit sur
dira ce qu’il faut penser du théâtre. « Quoi ! dit-il à ses amis, des maximes qui feraient horreur dans le langage ordinaire se
ir dans ces lieux, où Satan a élevé son trône ; dans ces lieux où les maximes de son Évangile sont contredites, méprisées et fo
mortelles ne doivent pas donner à leur innocence le nombre infini de maximes empestées, qui se débitent dans les tragédies, da
29 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « V. » pp. 23-26
les péchés de discours imposteurs, Infectant les Esprits d’exécrables maximes , Voulut faire à Dieu même autoriser les crimes. U
quelque Saint qu’il eût été, qui n’aurait pas approuvé vos mauvaises maximes et votre conduite relâchée. Mais venons au Prélud
30 (1707) Lettres sur la comédie « LETTRE, de Monsieur Despreaux. sur la Comédie. » pp. 272-275
, comme vous savez, exactement séparées. Du reste, vous y avancez une maxime qui n’est pas, ce me semble, soutenable ; c’est à
pu. La vertu convertit tout en bien, et le vice tout en mal. Si votre maxime est reçue, il ne faudra plus non seulement voir r
31 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIX. Les Spectacles condamnés par les saintes Ecritures. » pp. 164-167
nes du nom chrétien, si contradictoirement opposées à l’esprit et aux maximes du christianisme ? « Quels sentiments aurait eus
e sur les désirs, de la modération des plaisirs, de la perversité des maximes et des joies mondainesbq ? » Comment ose-t-on ava
32 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145
est lire trop négligemment les Peres , dit-il, pag. 48 &c, de ses maximes , que d’assûrer, qu’ils ne blament dans les specta
amp; l’athlète du bon goût. « Quoi ! disoit Despreaux à ses amis, des maximes , qui feroient horreur dans le langage ordinaire,
nement ailleurs. » Cherchons aussi dans ses réfléxions & dans ses maximes , ce qu’on doit penser des piéces de Moliere. &
. &c. Le grand Vocabulaire pag. 178, dit, que ce petit recueil de maximes … accoutuma à penser ; mais accoutuma-t-il quelqu
atteintes ne doivent pas donner à leur innocence, la nombre infini de maximes empestées, qui se débitent dans les Tragédies &am
’avoir travaillé pour le Théatre. Corneille, du Théatre abjurant les maximes , Eut voulu n’en avoir jamais souillé ses rimes.1
ir vu pleurer sur ses propres ouvrages. Songez, dit-il pag. 6. de ses maximes , &c si vous jugez digne du nom Chrétien, de t
ez digne du nom Chrétien, de trouver honnête la corruption réduite en maximes , dans les Opéra de Quinault… Pour moi, ajoute-t-i
eur de la France ? Il abjura ses travaux couronnés, & déclara les maximes de ces sortes d’ouvrages, diamétralement opposées
ara les maximes de ces sortes d’ouvrages, diamétralement opposées aux maximes du Christianisme. Dans son Ode sur la fuite du Mo
ez tom. 18. pag. 413. Nous ne devons pas passer ici sous silence, les maximes de Mr. Gresset sur cette matiere. Ce véritable ho
épurées, des piéces lubriques, une vive école des passions, & des maximes , qui feroient honneur dans le langage ordinaire ?
lébres de la nation, ont detestées, comme diametralement opposées aux maximes du Christianisme, & pernicieuses à la pudeur 
es plaisirs, il n’en est point qu’on doive exclure. Quelles horribles maximes  ! Et quand il n’y est point question de coquetter
ur du Roi, & jadis Aumonier & Confesseur des Dames de France. Maximes pour se conduire chrétiennement dans le monde. Le
de France. Maximes pour se conduire chrétiennement dans le monde. Les maximes & les réfléxions du Grand Bossuet sur la Comé
yez pag. 45 & suivantes, le Grand Bossuet pag. 29 & 30 de ses maximes  ; & réflexions sur la Comédie. S’il n’y a là
été proposée en 1694. Voici ce qu’y répond le grand Bossuet, dans ses Maximes & Réfléxions &c. pag. 40., 41., 42 &
a corruption des mœurs parmi la jeunesse ; parce qu’on y renforce les maximes les plus pernicieuses, & que les enfans, dans
de blamer l’hypocrisie, on introduit un fourbe, dont l’intrigue, les maximes & les démarches, de l’aveu même des sectateur
i & animæ C. 4. 1. Mr. Lebrun connu par ses Odes 1. Bossuet, maximes &c. pag. 6 & 7. 1. Le Corrége est le no
33 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. » pp. 5-9
de Chrétien et de Prêtre, de trouver honnête la corruption réduite en maximes dans les Opéras de Quinault, avec toutes les faus
rbain et Levesque. Urbain, Levesque, L’Eglise et le théâtre, Bossuet, Maximes et réflexions sur la Comédie, précédées d’une int
34 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 19-42
vai tracer ici, & le parallele que je ferai de sa vie, & des maximes de l’Evangile. Je suppose, qu’elle ne méne pas un
re faites par le mouvement de la grace de Jesus-Christ, & sur les maximes de l’Evangile : en sorte que les actions d’une vi
le principe de sa vie ordinaire, & si sa vie ordinaire répond aux maximes de Jesus Christ. Qu’elle me dise, mais qu’elle fa
Dieu. » Voila donc entre autres choses où porte la grace ; voila les maximes de vivre qu’elle inspire à toute ame, qui en veut
se défier de sa vie, & à croire que la Comedie est contraire aux maximes de l’Evangile. Le Seigneur nous dit : « Malheur à
sortes d’états : mais on n’en trouve jamais, s’ils ne s’opposent aux maximes du monde, & s’ils n’agissent pas par le mouve
s, objéts corrupteurs ; recits pleins de tendresse, Poësies lascives, maximes d’amours ingenieusement exprimées, airs languissa
35 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VI. Les spectacles produisent et favorisent l’incrédulité. » pp. 86-89
gens, dit Bayle, qui puissent se donner plus de carrière, en fait de maximes impies et libertines, que ceux qui composent des
mportés par la fougue de leur imagination, ont avancé une infinité de maximes blasphématoires, et ont sacrifié la raison, la pr
36 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXII. Le repentir de quelques auteurs dramatiques d’avoir travaillé pour les théâtres doit nous engager à éviter ces divertissements. » pp. 183-186
âtre. Houdar de La Mothe abjura ses travaux couronnés, et déclara les maximes de ces sortes d’ouvrages diamétralement opposées
lara les maximes de ces sortes d’ouvrages diamétralement opposées aux maximes du christianisme. Aucun poète moderne ne s’était
37 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE V. » pp. 82-97
ose au moins un doute : le sieur de la M… appréhende le porarelle des maximes du Théâtre & de celles de l’Evangile. Ce soup
ne daigne pas approfondir, parce qu’il fait peu de cas de nos saintes maximes , parce qu’il manque de Religion, ou du moins sa r
ortune, on la rejette avec mépris, & l’on choisit en sa place des maximes agréables ; on prend pour guides des maîtres dont
38 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VII. » pp. 115-130
s-Christ. Ce foible avantage est balancé par une multitude de fausses maximes qui n’ont pas peu contribué au déreglement de son
le rien de plus licencieux que la Psiché & l’Amphitrion ? Quelles maximes dans l’Ecole des Femmes, dans les Femmes Sçavante
s, l’habitude de les voir apprivoise l’esprit le plus intolérant. Ces maximes étant supposées, j’avance hardiment que le Théâtr
39 (1836) De l’influence de la scène « De l’influence de la scène sur les mœurs en France » pp. 3-21
à la morale publique ; le peuple n’entendait au théâtre que de saines maximes qui l’excitaient aux vertus, au respect des dieux
re, employé à la cour, vivait parmi des courtisans accoutumés à cette maxime consacrée dans les palais des rois : Pas de bruit
sacrée dans les palais des rois : Pas de bruit si je n’en fais. Cette maxime ne pouvant tolérer la brusque franchise d’Alceste
peut retirer d’épouvantables leçons de mensonge, de fourberie, et des maximes qui peuvent justifier le poignard ou le poison da
s suites funestes des passions, on ne l’en garantit pas par de saines maximes  ; si en lui dévoilant le crime on ne l’exalte pas
40 (1777) Des divertissements du Carnaval « Des divertissements du Carnaval. » pp. 92-109
a permis de n’aimer et ne servir que le monde. Oserait-on débiter une maxime si contraire à la foi et au bon sens ? C’est cepe
une maxime si contraire à la foi et au bon sens ? C’est cependant la maxime qu’on suit aujourd’hui dans le monde ? tant il es
ivre en Chrétien, de mener une vie pure et exemplaire, et d’avoir les maximes du monde en horreur, oblige moins qu’en un autre
nterdisant toutes ces fêtes peu chrétiennes. Alors on avouera que les maximes du monde étaient contraires à la véritable sagess
41 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
rmer ses sentiments, mais bien pour se divertir, il s’ensuive que les maximes coupables dont les pièces de théâtre abondent ne
es dont les pièces de théâtre abondent ne peuvent être funestes ; ces maximes ne manquent pas de faire impression, bien que nou
e en grande partie par les pièces de théâtre, qui sont pleines de ces maximes funestes. L’âme, transportée par ces productions
une nation chrétienne. Ce sont des écoles de vice et d’adultère. Les maximes impies qu’elles renferment tendent à inoculer de
jeunesse, cite avec éloge le passage suivant, extrait des Pensées et maximes de La Rochefoucauld : « Tous les grands divertiss
purs, dans d’impudiques amours, dans des passions violentes, dans des maximes d’immoralité, il n’en faut point douter, c’est qu
42 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
e, et l’honneur de notre profession, notre attachement aux véritables maximes , et notre zèle pour la religion, ne nous ont pas
de faux principes, avancés dans des Mémoires à consulter, et sur des maximes odieuses hasardées dans les autres pièces qui la
u sujet de l’excommunication contre les Comédiens. « En abusant des maximes sages et en confondant les objets, on attaque l’a
autorité arbitraire. » Enfin on tire une fausse conséquence de cette maxime vraie en matière criminelle « non bis in idem : S
tissu de propositions scandaleuses, de principes erronés, de fausses maximes , et de propos injurieux à la religion, contraires
la passion est chantée par trois personnes. Outre ces blasphèmes, les maximes vicieuses sur les mœurs sont poussées jusqu’à dir
la profession du Barreau ; que leur délicatesse, leur attachement aux maximes saintes de la religion et aux lois de l’état, ne
43 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XX. Spectacles condamnés par les saints Pères et par les saints conciles. » pp. 168-178
ù la foi se détruit, où la morale de l’Evangile est combattue par des maximes détestables. » Cet oracle n’est pas le seul d’où
e, la doctrine de l’un ne compatissant pas avec celle de l’autre. Les maximes de l’Evangile sont pures et vivifiantes, celles d
et que sa fréquentation entraîne une sorte d’apostasie. Comparez ses maximes au Symbole de la foi, conciliez ses mystères avec
44 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [Q] » pp. 444-446
vient du Grec Parà & d’odòs (voie, carrefour) c’.-à-d. proverbe, maxime triviale & populaire : il se dit plus proprem
ernières au contraire, à côté d’une fadeur, il peut se rencontrer une maxime sage, qu’il faudra bien se donner de garder de pr
45 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE IV. Détail des péchés qu'on commet en allant aux Spectacles. Réponse à ceux qui demandent s'il y a péché mortel, et si tous ceux qui y vont, sont également coupables. » pp. 76-81
ofanes, où toute la morale de l'Evangile est renversée, où toutes les maximes de l'amour se débitent au scandale de la Religion
s'expose-t-on pas à s'en rendre coupable si l'on y va ? R. C'est une maxime générale qu'il n'est pas permis d'agir dans le do
46 (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62
nt frappées ? D’abord, arrêtons-nous un instant aux principes et aux maximes de l’antiquité païenne. L’an 400 de Rome, les Cen
prêche, inspire l’amour profane, l’orgueil, l’ambition, l’estime des maximes du monde, la dissolution, la vengeance ; il tend
ds exemples ; mais ils ont contre eux des raisons invincibles. » Les maximes et les réflexions de ce grand Homme sur le même s
lui paraissait particulièrement offensée : « Eh quoi ! disait-il, des maximes qui feraient horreur dans le langage ordinaire, s
mortelles ne doivent pas donner à leur innocence le nombre infini de maximes empestées qui se débitent dans les Tragédies, dan
nuage et sans enthousiasme, que les Lois sacrées de l’Evangile et les maximes de la morale profane, le Sanctuaire et le Théâtre
son caractère, est forcé de mettre dans la bouche des méchants, leurs maximes et leurs principes, revêtus de tout l’éclat des b
s dangereux que le mal même, en ce qu’il fait préférer l’usage et les maximes du monde à l’exacte probité en ce qu’il fait cons
tez à l’alambic tous les Opéras, vous n’en retirerez jamais que cette maxime retournée en mille façons différentes… On a beau
47 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VIII. » pp. 131-157
gle aux Gentils qui se convertiroient, contiennent un grand nombre de maximes d’où suit naturellement l’interdiction des Specta
bres. Si vous suivez le Seigneur, vous devez renoncer au Théâtre, les maximes de l’un & de l’autre étant opposées. Enfin, l
que sa fréquentation entraîne une sorte d’apostasie : confrontez ses maximes au symbole de la foi, conciliez ses mystéres avec
ur les Spectacles, & que la seule raison les ait convaincus d’une maxime qu’on a tant de peine à faire saisir à des person
48 (1762) Apologie du théâtre adressée à Mlle. Cl… Célébre Actrice de la Comédie Française pp. 3-143
rt deviennent précieuses ? C’est même, en fait de goût, une espéce de maxime  : on s’occuppe plus volontiers du Portrait que de
ction, la réalité perce ; c’est qu’on prend tout dans nos usages, nos maximes & nos mœurs : le fonds & l’ordonnance d’u
mandée si scrupuleusement aux Acteurs ! Non : en leur prescrivant ces maximes délicates, c’est chercher sans doute à en faire d
on s’attache volontiers à ses principes, on tient naturellement à ses maximes  ; par conséquent tout ce qui dans le jeu d’un Act
. Chez celui-ci c’est une politique d’intérêt, & chez l’autre une maxime de sagesse. Quelle idée peut-on donc avoir du vic
’un autre côté qu’on essaye d’appliquer l’esprit, qu’on lui offre des maximes , qu’on lui propose des principes ; qu’on mette un
souvent la licence, quelquefois la crapule président, que non pas les maximes & les régles, mais seulement la réserve &
s frappés ; les caractéres plus grands, les principes plus beaux, les maximes plus délicates ? J’en atteste la représentation,
est pas sans intérêt aux Spectacles en ce que les principes & les maximes qui s’y débitent, respirent toujours la sagesse &
légion de missionnaires ; tandis qu’en la réduisant en préceptes, en maximes , loin de lui prêter de la force & du crédit,
prendre des incidens pour des principes, des traits détachés pour des maximes , des pensées folles pour des leçons, un accessoir
En fait d’amour l’exemple est impuissant, les leçons sont vaines, les maximes inutiles. Un jeune objet par sa présence vous en
49 (1691) Nouveaux essais de morale « XIV. » pp. 151-158
est beaucoup à plaindre, et il a sujet de tout appréhender. C’est une maxime certaine parmi les Casuistes, qu’un homme doit ré
autant qu’il est en nous, ôter le scandale que nous avons causé. Ces maximes sont certaines dans la Religion que nous professo
50 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IX. Les spectacles nuisent au bonheur et à la stabilité des gouvernements. » pp. 96-101
nocence, attaquée par leurs yeux, par leurs oreilles, séduite par les maximes d’une morale lubrique et par des danses lascives,
nt leur Dieu et leur roi ; mais, dès que les théâtres retentirent des maximes impies et libertines, leur bonheur disparut avec
51 (1788) Sermons sur les spectacles (2) « Sermons sur les spectacles (2) » pp. 6-50
ur luxe & leurs vaines parures, prêtant l’oreille à leurs fausses maximes , partageant leurs plaisirs les plus frivoles &
vous regardez Baal comme votre Dieu, attachez-vous à lui, suivez ses maximes , adoptez ses loix, prenez part à ses fêtes sacril
ue je profane la sainteté de la Chaire Evangélique, en citant ici les maximes insensées qu’on débite au théâtre sur l’usage des
le malheur de fréquenter les Spectacles, savent mieux que moi que ces maximes sont la corruption même, réduite en art & en
s Frères, de prendre pour règle de sa conduite & de ses mœurs les maximes qu’on débite dans cet autre spectacle, qui est de
a vertu leur est toujours étranger ; & lorsqu’ils en débitent les maximes , lorsque dans certaines pièces ils osent prendre
s, je n’ai considéré le théâtre que du côté de sa morale & de ses maximes , & je crois avoir suffisamment prouvé que sou
52 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
, parce qu'ils n'en sont pas incommodés ; et ne reconnaissant pas ses maximes (au moins dans la pratique) parce qu'elles condam
nes qui ont une piété feinte, ou peu éclairée; et qui accommodent les maximes de l'Evangile au relâchement de leurs mœurs, au l
monde trouve honnêtes. Les poètes se rendant d'abord esclaves de ces maximes pernicieuses, en composent tout le mérite de leur
onc la Comédie en l'état qu'elle est présentement, est si opposée aux maximes du Christianisme, n'est-ce pas encore ajouter cri
venu à la fin que je me suis proposée, pour ceux qui sont remplis des maximes de la chair et du monde, et que Dieu par un juste
53 (1684) Epître sur la condemnation du théâtre pp. 3-8
, l’exemple de leurs Dieux. Mais nous, que l’Evangile instruit de ses maximes , Nous verra-t-on ainsi diviniser les crimes ? En
même qui, après une lettre cinglante à l’intéressé, fait paraître ses Maximes et réflexions sur la Comédie (Paris, Jean Anisson
54 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
un mépris du monde plus entier, et une aversion plus héroïque de ses maximes et de ses plaisirs, en tâchant d’attirer les âmes
fussent, s’ils osaient justifier les Comédies. SECTION NEUVIEME. Maximes et Réflexions sur la Comédie, par M. Jacques Béni
shonnêtes. Mr. de Meaux conclut par ces paroles : « Voilà les saintes maximes de la Religion Chrétienne sur la Comédie. Ceux qu
our eux pire qu’un diable. » Dans le Festin de Pierre, on expose les maximes les plus impies ; et le tonnerre qui écrase l’Imp
es méchants qui assistent à cette malheureuse Représentation, que les maximes détestables qu’on lui entend débiter, n’en font s
55 (1715) Dictionnaire de cas de conscience « COMEDIE. » pp. 739740-750
le spécieux prétexte de les récréer, et pour renverser les véritables maximes de l’Evangile par des maximes contraires, qu’ils
créer, et pour renverser les véritables maximes de l’Evangile par des maximes contraires, qu’ils tâchent de rendre agréables pa
qui s’en fait dans la représentation des pièces de théâtre ; mais la maxime qu’il établit, en disant, que c’est une chose mau
duite, et par la sainteté de leur état doivent être très éloignés des maximes et des pratiques du monde, auxquelles ils ont abs
seul endroit que la vie à laquelle leur état les engage, condamne les maximes et la conduite des gens du siècle. La cinquième q
56 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « HISTOIRE DES OUVRAGES. Qui ont paru pour et contre la Comédie, depuis le 17e Siècle. » pp. 161-175
die, qui se trouve dans l’Education chrétienne des enfants, selon les maximes de l’Ecriture et les instructions des saints Père
glise et des saints Pères sur la Comédie, chez Couterot. Le huitième, Maximes et Réflexions sur la Comédie, par M. Jacques Beni
57 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « [FRONTISPICE] »
TISPICE] INSTRUCTIONCHRETIENNEPOUR L’EDUCATIONDES FILLES. Tirée des maximes de l’Evan-gile, des SS. Pères, etdes Conciles.DED
58 (1666) De l’éducation chrétienne des enfants « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] DE L'EDUCATION CHRETIENNE DES ENFANS, selon les maximes de l'ecriture sainte et les instructions des Sain
59 (1749) Maximes pour se conduire chrestiennement « [frontispice] »
[frontispice] : Maximes pour se conduire chrétiennement dans le monde, P
60 (1675) Traité de la comédie « XVI.  »
cœur et l'esprit corrompus par des passions déréglées et de mauvaises maximes .
61 (1751) Nouvelles observations pp. 393-429
s Jeux en horreur, & la révolte naissante de Luther, qui, par ses maximes relâchées, venoit de secouer le joug de la vraie
ne peut s’empêcher de dire qu’on y apperçoit, ainsi que dans quelques maximes de M. de la Rochefoucault, un peu trop de dégoût
ont trop sujettes à être mal interprétées. Il en est de même de cette maxime de l’Œdipe de M. de Voltaire ; Les Prêtres ne s
dans les Piéces de Théâtre, on entrevoit encore aujourd’hui quelques maximes douteuses, d’un autre côté quelle politesse, quel
p; le mal de cette profession consistent dans les bonnes ou mauvaises maximes qu’on y débite, & que la profession n’a rien
62 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
e trouve honnêtes : les Poètes se rendant d’abord les esclaves de ces maximes pernicieuses, en composent tout le mérite de leur
onc la Comédie en l’état qu’elle est présentement, est si opposée aux maximes du Christianisme : n’est-ce pas encore ajouter cr
venu à la fin que je me suis proposée. Pour ceux qui sont remplis des maximes de la chair et du monde, et que Dieu par un juste
édie, qui se trouve dans L’Education Chrétienne des Enfants selon les maximes de l’Ecriture sainte, et les Instructions des sai
font tout le divertissement et toute la joie de ceux qui suivent les maximes du siècle. Dieu nous a donne des yeux, une bouche
63 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVI.  »
cœur et l'esprit corrompus par de mauvaises passions et de mauvaises maximes .
64 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264
ous ont pu porter à nous proposer un établissement si contraire à nos maximes . Quelles que soient vos raisons, il ne s’agit pou
use ; à Goa, l’honneur de brûler des Juifs. Qu’un Auteur10 choque ces maximes , il pourra faire une fort belle Pièce où l’on n’i
le ferait supposer du temps de Molière. Le Théâtre a ses règles, ses maximes , sa morale à part, ainsi que son langage et ses v
ès à quoi servent tous ces grands sentiments et toutes ces brillantes maximes qu’on vante avec tant d’emphase ; à les reléguer
Je veux bien supposer que les Spectateurs, renvoyés avec cette belle maxime , n’en concluront pas que le crime a donc un prix
e ; mais je demande enfin de quoi leur aura profité la Pièce où cette maxime est mise en exemple ? Quant à Mahomet, le défaut
son caractère, est forcé de mettre dans la bouche des méchants leurs maximes et leur principes, revêtus de tout l’éclat des be
ière a mis dans la bouche d’Alceste un si grand nombre de ses propres maximes que plusieurs ont cru qu’il s’était voulu peindre
e Sage de la Pièce ; un de ces honnêtes gens du grand monde, dont les maximes ressemblent beaucoup à celles des fripons ; de ce
mirable dans toutes les scènes d’Alceste avec son ami, où les froides maximes et les railleries de celui-ci, démontant l’autre
t clair, net, il n’y a rien à répondre. La morale du monde a d’autres maximes , je ne l’ignore pas. Il me suffit de montrer que,
ar une apparence de raison ; en ce qu’il fait préférer l’usage et les maximes du monde à l’exacte probité ; en ce qu’il fait co
eur modestie, en se taisant sur leurs autres vertus. Ils avaient pour maxime que le pays, où les mœurs étaient les plus pures,
les lois de Rome, ni vendre le bonheur à l’ambition, vienne, avec des maximes opposées, abdiquer l’Empire aux pieds de Bérénice
i que les tableaux de l’amour font toujours plus d’impression que les maximes de la sagesse, et que l’effet d’une Tragédie est
et où la Police a sur tous une inspection facile, il faut suivre des maximes toutes contraires. S’il y a de l’industrie, des a
e au sein du commerce et de l’amour du gain. Si nous avions les mêmes maximes , on pourrait établir à Genève un Spectacle sans a
ration pour lui-même et de pardonner à son ennemi, en ménageant cette maxime avec art, on la peut substituer insensiblement au
duite et de leurs actions ; les autres, de leurs discours et de leurs maximes  : tous également sujets à être honorés ou flétris
établi dans une aussi petite ville que la nôtre, sera de changer nos maximes , ou si l’on veut, nos préjugés et nos opinions pu
t d’eux. Je ne sache qu’un seul Peuple qui n’ait pas eu là-dessus les maximes de tous les autres, ce sont les Grecs. Il est cer
élérat, et déployant tout son talent pour faire valoir de criminelles maximes , dont lui-même est pénétré d’horreur ? Si l’on ne
rs. Voulez-vous donc connaître les hommes ? Etudiez les femmes. Cette maxime est générale, et jusque-là tout monde sera d’acco
rices, des choix, des refus concertés, qui tiennent de bien près à la maxime d’irriter la passion par des obstacles. A l’infan
t fait naître ! Je ne voudrais pas d’autre exemple pour confirmer mes maximes . Appliquons aux mœurs des femmes ce que j’ai dit
urs de sagesse et d’honneur qu’elle débite au public. De peur que ces maximes sévères ne fissent un progrès nuisible à son inté
 : il est impossible qu’un établissement si contraire à nos anciennes maximes soit généralement applaudi. Combien de généreux C
sans passer pour rabâcheur, on ose être soi-même sans s’asservir aux maximes d’une caillette. Si le tour de la conversation de
’a plus de force, et le riche est toujours le vrai souverain. Sur ces maximes incontestables, il reste à considérer si l’inégal
était pas mûr encore pour Le Misanthrope. Tout ceci est fondé sur une maxime évidente ; savoir qu’un peuple suit souvent des u
ces effets ne sont pas assez rares pour n’être qu’une exception à la maxime de cet Auteur. i 14. [NDA] Les Grecs n’avaient
comme autant de distractions qui le détournent de son travail ? Cette maxime est barbare et fausse. Tant pis, si le peuple n’a
tais sur son compte de peur que la colère ne me rende injuste. Cette maxime est bonne à mes ennemis, en ce qu’ils me nuisent
65 (1700) IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, etc. [Sermons sur tous les sujets de la morale chrétienne. Cinquiéme partie] « IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, &c. » pp. 95-126
ire naître. En voulez-vous sçavoir la raison ? elle se prend de cette maxime incontestable, & de cette décision reçûë de t
e sujet de craindre qu’il ne nous en imprime les sentimens, & les maximes , sur lesquelles ensuite l’on regle sa vie & s
r le vice, authoriser l’injustice par d’illustres exemples, & les maximes les plus contraires à la Religion, passer pour de
ces Tragedies, où le profane est confondu avec le sacré, & où les maximes les plus opposées au Christianisme sont mises en
s’il y a du danger de s’accoûtumer à entendre des sentimens & des maximes contraires à la Religion que nous professons, si
s livres suspects, si la compagnie des personnes qui ont toûjours ces maximes dans la bouche, ou qui reglent leur vie selon ces
66 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien troisieme. Le danger des Bals & Comedies découvert par l’Auteur des Sermons sur tous les sujets de la morale Chrétienne de la Compagnie de Jesus. » pp. 26-56
ront faire naître. En voulez-vous savoir la raison ? Elle se prend de maximes incontestables, & de cette décision reçûë de
e sujet de craindre qu’il ne nous en imprime les sentimens, & les maximes , sur lesquelles ensuite l’on regle sa vie & s
r le vice, authoriser l’injustice par d’illustres exemples, & les maximes les plus contraires à la Religion, passer pour de
ces Tragedies, où le profane est confondu avec le sacré, & où les maximes les plus opposées au Christianisme sont mises en
s’il y a du danger de s’accoûtumer à entendre des sentimens & des maximes contraires à la Religion que nous professons, si
s livres suspects, si la compagnie des personnes qui ont toûjours ces maximes à la bouche, ou qui reglent leur vie selon ces se
67 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — II. Ce qui rend à irriter la concupiscence combat directement cette fin. » p. 7
i rend le monde plus redoutable ou plus séduisant ; qui accrédite ses maximes , & donne plus d’éclat à ses pompes ; que tout
68 (1777) Des Spectacles « Des Spectacles. » pp. 75-92
es du nom chrétien, si contradictoirement opposées à l’esprit, et aux maximes du christianisme. Quels sentiments aurait eu Jésu
des plaisirs, des victoires sur son propre cœur, de la perversité des maximes et des joies mondaines. On demande où c’est que l
ce que l’esprit du monde brille avec plus d’éclat ? Où est-ce que les maximes sont enseignées avec plus de succès ? Où est-ce q
69 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
dont les expressions cachent le plus souvent des obscénités, dont les maximes tendent toujours au vice et à la corruption, dont
en, dont les pensées doivent être toutes saintes, d’aller écouter des maximes pernicieuses, d’autant plus propres à corrompre l
sprit du monde, où on apprend à vivre comme lui, à se conformer à ses maximes , à ses coutumes, et à ses usages criminels ? Un c
70 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IV. » pp. 68-81
vement aux gens qui vous écoutent ; la populace n’entendroit rien aux maximes que vous débitez & les sottises des Histrions
en travaillant pour le Théâtre : comment donc ont-ils avancé tant de maximes blasphématoires ? C’est qu’ils se laissoient empo
71 (1749) Maximes pour se conduire chrestiennement « Des Plaisirs, et en particulier des Spectacles. » pp. 233-248
nnes, qui font profession d’une plus grande régularité ? Pourquoi les maximes du Monde même en excluent-elles ceux que leur éta
e représentation la plus fidèle de toutes les règles et de toutes les maximes que cet ouvrage renferme. a. [NDE] grief = gra
72 (1823) Instruction sur les spectacles « Conclusion. » pp. 195-203
énités les plus grossières, ils enduisent d’un vernis transparent les maximes les plus libertines, ils habillent de la gaze la
’ils se livrent au libertinage ; ce sont là les tristes résultats des maximes antichrétiennes et libertines qu’ils ont recueill
73 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « II. PARTIE. Où l’on répond aux Objections de l’Auteur de la Lettre. » pp. 89-140
isserai pas d’en dire encore ici un mot. S. Thomas ayant établi cette maxime , que l’esprit a autant besoin de relâchement et d
» Réponse. Ce n’est pas sur l’exemple de telles gens. Mais sur les maximes de l’Evangile, que les Chrétiens doivent régler l
ns criminelles ; elle ne peut être ni approuvée, ni excusée, selon la maxime constante de Tertullien, qui ne souffre point de
on prétend être mauvaises ? Je réponds à cela, que la prudence et les maximes de la politique obligent souvent les Magistrats à
rce que vous pleurerez un jour. » Que personne ne vous séduise. Cette maxime qu’on peut aller au bal, n’est pas une maxime de
ne vous séduise. Cette maxime qu’on peut aller au bal, n’est pas une maxime de chrétiens, mais une maxime d’infidèles qui n’o
qu’on peut aller au bal, n’est pas une maxime de chrétiens, mais une maxime d’infidèles qui n’ont pas de Dieu. Considérez, je
ir des sens qu’on cherche particulièrement dans la comédie. C’est une maxime de saint Augustin : qu’on peut faire beaucoup de
74 (1664) Traité contre les danses et les comédies « A MADAME. MADAME LA PRINCESSE DE CONTI. » pp. -
us fortes ; j'ai cru que le vôtre était nécessaire pour autoriser les maximes de saint Charles qu’il donne au public. Celles de
75 (1753) Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies et les mascarades [Missionnaire paroissial, II] « Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies & les mascarades. » pp. 268-287
abus que les Saints Pères ont combattu comme formellement opposé aux maximes de la religion. Dieu lui-même a souvent fait écla
peut donc soûtenir, ni suivre une semblable coûtume, si contraire aux maximes de l’Évangile. Tertul. ibid. Christus veritatem
ans votre baptême vous aviez renoncé à Satan, à ses pompes, & aux maximes du siécle, pour ne plus vivre que de la vie de Jé
76 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Approbation qui peut servir de Preface. » pp. -
les ames, qui aiment leur salut, puisqu’elle leur fera connoître les maximes du Christianisme à l’égard de ces sortes de diver
77 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142
public qui en sape les fondements, en éteint l’esprit, en combat les maximes , en fait mépriser les mystères ? C’est apparemmen
e monstrueux d’irréligion et de piété, de modestie et d’obscénité, de maximes chrétiennes et de principes de débauche, en forme
as la seule science qu’on apprend à son école, on y apprend aussi les maximes ordinaires du libertinage contre les sentiments v
conduite et la justice de nos reproches. Mettons le Roi, l’Etat, les maximes du gouvernement, à la place de Dieu, de l’Eglise,
ue, qu’on parlât des Princes, des Parlements, des Etats généraux, des maximes de l’Etat, comme l’on parle de Dieu, des Ministre
78 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVIII. Eprouver par soi-même si les spectacles sont dangereux, c’est vouloir tomber dans les dangers qu’ils offrent. » pp. 154-163
mérité de ne pas connaître ce qu’elle vient de perdre. Car c’est une maxime certaine, que l’orgueil est toujours dans la même
voit et qu’on y entend ne s’adresse qu’aux sens et à la cupidité. Les maximes établies avec plus de soin sont les plus conforme
79 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PENSEES SUR LES SPECTACLES. » pp. 1-12
mérité de ne pas connaître ce qu’elle vient de perdre. Car c’est une maxime certaine, que l’orgueil est toujours dans la même
voit et qu’on y entend ne s’adresse qu’aux sens et à la cupidité. Les maximes qui y sont établies avec plus de soin, sont les p
80 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « EXTRAIT DE QUELQUES PENSEES SAINES. Qui se rencontrent dans le livre de J.J. Rousseau contre le Théâtre, ou condamnation de son système par lui-même. » pp. 66-77
moderne, et les mœurs anciennes. » « LesPage 79. Anciens avaient pour maxime que le pays, où les mœurs étaient les plus pures,
autant de distractions qui le détournent de son travail32 ? » « Cette maxime est barbare et fausse ; tant pis si le peuple n’a
81 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82
ent leurs délices de nos Pieces & de nos Acteurs. En adoptant vos maximes , nous devons être regardés comme des séducteurs d
que les tableaux de l’amour font toujours plus d’impression que les maximes de la sagesse, & que l’effet d’une tragédie e
auxquels ils peuvent s’emporter. Il faut aimer la justice, c’est une maxime générale ; mais pour en faire l’application, il f
ruisent beaucoup , sont aussi très-agréables, à moins que selon votre maxime ordinaire, vous ne prétendiez conclure, que l’aff
les autres, & feront sur eux-mêmes l’application de leurs propres maximes . Il est redoutable au crime dont il démasque la d
de la volupté, vous doivent un remerciement ; mais ne donnez pas vos maximes pour regle : laissez aux femmes vertueuses le dro
us, ne peut s’excuser sur la nécessité qui le contraint d’adopter des maximes odieuses ; il dicte ses loix en pleine liberté, r
us aurois pas fait cette remarque, si je n’étois encore rempli de vos maximes , dont l’austere morale semble contredire une prés
82 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « ESSAI SUR LA COMEDIE MODERNE. » pp. 1-160
ociété que pour les mœurs. UnLe Tartuffe. fourbe dont l’intrigue, les maximes , et les démarches, de l’aveu même des sectateurs
t-elles remplies ? Pour quelques traits de morale inutile, combien de maximes affreuses ? Dans l’Ecole des maris, dont M.F. don
e vertu ne lui point faire peur. Mes soins pour Léonore ont suivi ces maximes . Des moindres libertés je n’ai point fait des cri
a beau dire que c’est un scélérat qui parle. C’est une bien mauvaise maxime , pour faire détester le vice, que de l’exposer pu
ine, de vengeance, de désespoir. Si nos Comédies contiennent quelques maximes que la raison, que les mœurs puissent adopter, qu
fournir de bonnes plaisanteries, des leçons utiles à la société, des maximes de politesse, des règles d’usage, des principes p
’autres, telles que l’indécence, l’équivoque, la mauvaise morale, les maximes dangereuses, les intrigues d’amour. Il est ensuit
en diminuer la force. On y aperçoit, dit-il, ainsi que dans quelques maximes de M. de la Rochefoucauld, un peu trop de dégoût
n’est pas raisonnable, ou ne doit pas faire impression, parce que ses maximes ne sont pas conformes à celles du monde ? Veut-il
s honneurs, ses plaisirs, ses vanités, ses coutumes pernicieuses, ses maximes corrompues, etc. et par les œuvres, toutes sortes
it des jeunes gens, par qui l’habitude fait souvent adopter comme des maximes sûres ces principes voluptueux ; et que le dérègl
clamer les droits de la Religion, ni combattre la Comédie suivant les maximes de l’Ecriture, et les instructions des saints Pèr
83 (1823) Instruction sur les spectacles « Introduction. » pp. -
c’est là que le père du mensonge règne en souverain, qu’il débite ses maximes , qu’il distille son poison, qu’il allume ses flam
84 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « TABLE DES CHAPITRES ET DES SECTIONS. »
s. page 89 Section viii. Discours sur la Comédie. page 94 Section ix. Maximes et Réflexions sur la Comédie, par Mr l’Evêque de
85 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
 ; sauf à examiner pourtant avec attention, s’il n’y a rien, dans les maximes et dans les expressions, qui puisse blesser la pu
Réforme ; après avoir pourtant fait précéder un examen très exact des maximes et des expressions de cette Pièce, pour corriger
le d’en parler ; je me contenterai seulement de citer et d’adopter la maxime d’un Auteur recommandable qui ne craint pas de di
re de la Réforme ; avec la seule réserve qu’il en faudra examiner les maximes , qui me paraissent cependant assez régulières, ou
86 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48
perte de l’autre. L’impie qui est l’organe du Démon, tient les mêmes maximes  ; il insinue d’abord quelque proposition libertin
ridicules ou des hypocrites : il a cru qu’il ne pouvait défendre ses maximes , qu’en faisant la Satire de ceux qui les pouvaien
é ses partisans : il a ruiné ses écoles : il a condamné hautement ses maximes  : il l’a reléguée dans les Enfers où elle a pris
impudence sur le Théâtre, elle enseigne publiquement ses détestables maximes , et répand partout l’horreur du sacrilège et du b
87 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XVIII. Sentiment d’Aristote.  » pp. 66-68
’on se laisse aisément gagner aux choses dont on aime l’expression »: maxime importante dans la vie, et qui donne l’exclusion
88 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — TROISIEME PARTIE. Des obstacles qui s’opposent parmi nous à la perfection de la Comédie. » pp. 57-75
corruption générale, il est toujours des ames disposées à goûter les maximes de la sagesse ; & quand la Comédie ne corrige
ites les plus cachées. Je souhaiterois qu’ils retournassent les mêmes maximes de cent façons différentes, jusqu’à ce qu’enfin i
89 (1759) Lettre sur la comédie pp. 1-20
& sans enthousiasme, que les Loix sacrées de l’Evangile & les maximes de la Morale profane, le Sanctuaire & le Théâ
établir des principes qu’on n’a point ; un vers brillant décide d’une maxime hardie, scandaleuse, extravagante : l’idée est té
90 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VI. » pp. 98-114
ssions indignes des grands cœurs ? Quand on entend débiter de telles maximes par des Héros que l’on est forcé d’admirer, il es
: ceux de Quinault ne respirent qu’une tendresse criminelle ; quelles maximes corrompues dans Atys ! Que l’on chante, que l’o
91 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien premier. Sentiment du reverend Pere Bourdaloue de la Compagnie de Jesus, touchant les Bals & les Comedies en general. » pp. 8-16
& malgré les plus pures lumieres de la grace. Or appliquons cette maxime generale aux points particuliers, sur tout à celu
les siécles, ils ont renouvellé les mêmes defenses, debité les mêmes maximes , prononcé les mêmes arrêts. Je ne dis pas que ç’a
92 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V bis. Le caractère de la plus grande partie des spectateurs force les auteurs dramatiques à composer licencieusement, et les acteurs à y conformer leur jeu. » pp. 76-85
autant qu’il est tempéré par un langage plus doux, et racheté par des maximes qui s’accordent mieux à leurs faiblesses. Ils veu
corrompues des spectateurs. Qu’on ne s’imagine pas que ces mauvaises maximes ne nuisent pas, parce qu’on n’y va que pour se di
93 (1760) Lettre à M. Fréron pp. 3-54
nuages et sans enthousiasme que les Lois sacrées de l’Evangile et les maximes de la Morale prophane, le Sanctuaire et le Théâtr
écentes que des Comédiennes. Comment Mr. Gresset peut-il dire que les maximes de l’Evangile sont inalliables avec l’art du Théâ
ir des principes qu’on n’a point, et qu’un vers brillant décide d’une maxime hardie, scandaleuse, extravagante. Mr. Gresset n’
seurs ne souffrent point dans une pièce de Théâtre l’exposition d’une maxime hardie encore moins d’une pensée téméraire, scand
aibles, les font désespérer de leur salut, et par l’outrance de leurs maximes en font souvent des incrédules au lieu d’en faire
personne ; qu’il me prouve clairement le danger qui peut résulter des maximes sages qu’il a repandues dans ses Ouvrages ; qu’il
ducation, pour qu’ils ne démentent point par leur conduite les belles maximes qu’ils seront chargés d’introduire dans le cœur d
94 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
e et malgré les plus pures lumières de la grâce : or appliquons cette maxime générale aux points particuliers, surtout à celui
s les siecles ils ont renouvellé les mêmes défenses, débité les mêmes maximes , prononcé les mêmes arrêts. Je ne dis pas que ç’a
transports, toutes les extravagances de l’amour ; où l’on ne voit que maximes d’amour, que protestations d’amour, qu’artifices
on s’y porte, tout cela contraire aux regles de la vraie piété et aux maximes éternelles de la loi de Dieu. Ne condamnons point
il est sujet à des charges et que vous en êtes redevables. Importante maxime que je voudrois pouvoir bien imprimer dans l’espr
paroles du fils de Dieu. Or à combien plus forte raison cette grande maxime doit-elle vous servir de regle à l’égard de vos d
95 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VII. Le mariage dans les Comédies n’est que le voile de ce vice. » pp. 13-14
laudissemens doivent lui être prodigués ; plus elle s’écartera de ces maximes si religieuses, plus les suffrages doivent être c
96 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « introduction » pp. 175-177
vous en ferai voir les désordres, et en même temps son opposition aux maximes de notre sainte religion, c’est ce que je traiter
97 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XI. Son opposition à l’Evangile. » pp. 23-24
t-il possible de se dissimuler à soi-même l’opposition décidée de ses maximes à celles de l’Evangile ? Ici tout est mis en œuvr
98 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99
issance Souveraine peut faire usage pour inculquer aux Peuples telles maximes qu’elle croira convenir ; en temps de guerre, par
ns une volupté dangereuse ; si leur conduite expose à la dérision les maximes que le Poète met dans leur bouche, c’est alors l’
rt revoir son enchanteresse, & dans la bouche de cette femme, les maximes saines, salutaires ne font plus que parer des cha
le jeune-homme ne voit que des objets séduisans ; il n’entend que des maximes libres ou mondaines ; on allume la volupté dans s
99 (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « letter » pp. 472-482
acile de conclure qu’on ne peut s’y engager sans péché, suivant cette maxime fondamentale de la Morale Chrétienne Quidquid ex
ersonne qui puisse assembler l’amour de l’un et de l’autre « Hinc vel maxime intelligunt Ethnici factum Christianum de repudio
de celui qui s’y abandonne. Sap. 4 [Sagesse, chap. 4].e « Hinc vel maxime intelligunt Ethnici factum Christianum de repudio
100 (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172
s Sacrements, qui sont les canaux de ses graces, y sont profanez. Ses maximes , qui font sa regle & sa discipline, y sont re
sang ! D’ailleurs,5. tous les devoirs de la Religion roulent sur deux maximes capitales, qui sont d’éviter le mal & de fair
yez le bien, & vous courez au mal, vous renversez donc toutes ses maximes . Ajoûtons6. encore, que toutes les vertus ont est
pour l’Evangile, & vous serez pour moy. Affermissez-vous dans ses maximes saintes, & vous confirmerez la vérité que je
le soûtiendroit dans un sens abusif, on ruineroit son opinion par la maxime qu’il a luy-même établie, qu’un Docteur particuli
eur fournissant dequoy le commettre ; & c’est icy qu’a lieu cette maxime de saint Paul, que ceux qui consentent au mal, so
/ 300