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1 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Suite d’Anecdotes illustres. » pp. 184-225
a désolation que les Polonois, ils ont fait une grande fête dans leur maison aux portes de Dantzic où ils invitèrent toute la
int femme du Prince, le rendit pieux, & lui fit fonder la fameuse Maison de St. Cyr, c’est un diamant tiré du fumier qu’on
n le goût qu’ils passèrent leur vie en fêtes, en spectacles dans leur maison de Sceaux ; ce qui a fourni la matière d’un recue
préparé dans le vaste Réfectoire de l’Abbaye de Salsines, magnifique maison à une lieue de Namur ; les Officiers du Régiment
avoit toujours vécu avec décence, elle l’a sévèrement établie dans sa Maison de St. Cyr. Comment a-t-elle pu sans aucune néces
struit à Paris sur la partie du terrein de l’Hôtel de Condé & des maisons qui y sont contiguës, comprise entre les rues de
die Françoise avec les bâtimens accessoires, ordonne que l’Hôtel, les maisons , bâtimens & terrein compris dans ledit emplac
runter à cet effet quinze cents mille livres, & donner à toute la maison de Condé le spectacle gratis, & les Comédiens
auguste famille doivent à jamais fermer au spectacle les portes d’une maison où ils ont été si solennellement condamnés. L’éta
troupe fut inconsolable de n’avoir pas l’honneur d’être logée dans la maison d’un Prince du sang, & quel Prince ? Le grand
siéges dont les rayons rejailliroient sur elle ; les Officiers de la maison de Condé n’étoient pas moins intéressés à ne pas
it le carrosse des Princesses, & s’alla mettre à la fenêtre d’une maison voisine pour voir sa maîtresse ; & dès qu’il
 : celle-ci enflâmée de colère en fit mille reproches au maître de la maison qui l’avoit invitée, & qu’elle crut de la con
clusive des cartes à jouer, soit dans les jeux publics, soit dans les maisons particulières . En France la fabrication & la
trésor royal, il est employé à payer les frais de l’entretien de leur maison , de la garde & de la sûreté de leur personne 
leurs biens sont saisis & distribués en bonnes œuvres, & leur maison vendue d’autorité publique, quand même ils n’en s
nnemi & persécuteur des Chrétiens ; il y est dit que le loyer des maisons , quand même il viendroit d’un lieu de débauche, d
es venient licet à lupanari perceptæ  ; comme il est dit ailleurs des maisons où à l’insu du maître on fait la contrebande, la
es loix du Digeste décident, que si quelqu’un a son logement dans une maison , il ne peut y tenir des personnes de mauvaise vie
2 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VIII. Comédie du Tartuffe. » pp. 161-179
L’un résiste en face, l’autre menace de coups de bâton, chasse de la maison , donne sa malédiction. Moliere a cru sans doute c
ien ; au préjudice de son fils unique, chasse pour lui son fils de sa maison , se laisse gourmander par sa servante, &c. Il
on veut inspirer pour Tartuffe, en la partageant avec le maître de la maison  ? 8.° Les autres personnages ne sont ni moins dép
mp; très-propres à peindre le Héros, avec Dorine & le reste de la maison . Damis, le fils, n’est qu’un étourdi, un fou, un
en venant chasser de chez lui un homme à qui il dit : Toute votre maison m’a toûjours été chère, Et je fus serviteur de
rconstances qui en diminuent la noirceur. On lui donne la fille de la maison en mariage, mais ce n’est point lui qui l’a deman
n’est pas lui non plus qui a rien demandé ; il veut même sortir de la maison , & ne plus voir la femme. C’est Orgon seul qu
emme. C’est Orgon seul qui fait tout, de lui-même, le retient dans la maison , & l’oblige à voir familierement sa femme. Ta
n’est que le développement & la preuve de ces deux vers dans les maisons les plus austères ; tous les Moines ne sont que d
t louis de ce qui lui demeure, & l’Huissier ne lui demande que la maison , il lui laisse les meubles jusqu’au moindre usten
remiere scène la belle-mère & le frère, qui ne logent pas dans la maison , se trouvent rassemblés pour attendre Orgon qui a
3 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE II. Des Spectacles des Communautés Religieuses. » pp. 28-47
hanson fort connu : « Nous jouons des comédies Dans l’enclos de nos maisons , Et même des tragédies Mieux que Molière et Baron
x de hasard dans un brelan ; entre un menuet dansé en famille dans sa maison , et un bal nocturne, un bal d’opéra, un charivari
n ne l’est à Rome, à Venise, à Naples, à Florence, etc., de louer des maisons aux femmes publiques. Elles sont souffertes par l
le de ce qui s’y passe de mauvais per accidens, que celui qui loue sa maison à un Aubergiste n’est comptable de l’ivrognerie,
Lieutenant de Police en fait l’ouverture, et vient ce jour-là dans la maison de S. Lazare tenir une audience de grande police.
une audience de grande police. C’est à lui à y maintenir l’ordre, la maison n’y a aucune inspection, et ne peut ni la réforme
de ce prétendu secret, comme si les Novices et les domestiques de la maison pouvaient l’ignorer, et en particulier les Comédi
unauté des philosophes, à celle de Lisieux, avait dans chacune de ses maisons de campagne des théâtres toujours dressés, qu’en
toute sorte de dissipation ; aucun laïque, même les domestiques de la maison , n’y était admis. Les Evêques les honoraient de l
une liste des pièces qu’ils savent, qu’ils présentent au maître de la maison  ; celui-ci choisit, et sans autre préparation, il
4 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE IV. Spectacles singuliers. » pp. 106-127
d’avantage pour la construction du Louvre ; n’est-ce pas en effet la maison des Rois, des Dieux & des Déesses ? L’importa
e de l’Opéra, qui fut brûlé en 1762. Le Prince de Condé voyant que la maison d’Orléans avoit obtenu le théâtre de l’Opera, aux
& comme un digne objet de ses prérogatives, la préférence sur la maison de Conti, pour le théâtre de la comédie Françoise
bien juste de l’y incorporer. Le théatre italien est réservé pour la maison de Conti, qui n’est que la branche cadette ; elle
aliens sont aussi lucratifs que les autres. Ainsi les trois premieres maisons du Royaume, régneront sur les trois théâtres du R
sur le théatre de la Nation, qu’il a si souvent rendu victorieuse. La maison de Conti jouira dans ses domaines, du théatre étr
onné d’un attique dont le fronton circulaire renferme le Blason de la maison d’Orléans, soutenus par des figures ailées. Cet é
fin, c’est la dignité, la Majesté du trône qui exige d’avoir dans ses maisons un théâtre. C’est encore, dit-on, pour montrer le
s petits appartemens, &c. une salle de garde suffit pour toute la maison  ; en faut-il une à chaque appartement ? Le théâtr
on ; en faut-il une à chaque appartement ? Le théâtre est-il donc une maison différente, où le Roi daigne passer sa vie, ou pe
5 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100
ple, à moins que quelque enfant prodigue ne quitte par libertinage la maison de son père, n’aille dissiper son patrimoine avec
l il est connu, et qui ne sera jamais inséré dans la généalogie de sa maison . Lully était Marmiton, Molière Tapissier, etc. Il
roupes nombreuses à la Chine, au Japon, qui vont pour de l’argent, de maison en maison, comme nos vielleurs, sauteurs et joueu
breuses à la Chine, au Japon, qui vont pour de l’argent, de maison en maison , comme nos vielleurs, sauteurs et joueurs de mari
France se prêtaient autrefois aux plaisirs du public, et allaient de maison en maison, comme les femmes de Golconde. Depuis q
prêtaient autrefois aux plaisirs du public, et allaient de maison en maison , comme les femmes de Golconde. Depuis que les déc
lie (Tacit. L. 4. C. 13.). Il défendit aux Sénateurs d’entrer dans la maison de ces personnes infâmes (Tacit. L. 1. in fine. D
ient louées par les ris des sages ! quel plus grand scandale, que les maisons des Princes soient ouvertes aux fols ! quelle plu
taines avec leurs triomphes ! Quand ces misérables allaient à Rome de maison en maison, témoignant leur légèreté, et accumulan
c leurs triomphes ! Quand ces misérables allaient à Rome de maison en maison , témoignant leur légèreté, et accumulant leurs pa
6 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre III. Du Cardinal de Richelieu. » pp. 35-59
n qui ait jamais été. La gloire de gouverner la France, d’abaisser la maison d’Autriche, de remuer à son gré toute l’Europe, n
au Cid, dans la construction d’une salle de spectacle dans sa propre maison , et, ce qui est encore plus, il trouva le théâtre
leur tête. » Ce fut une affaire d’Etat, la guerre qu’il faisait à la maison d’Autriche l’intriguait moins que celle qu’il déc
pas moins dignes de censures, la fondation même d’un théâtre dans sa maison , les pensions des Auteurs et des Acteurs, sa prot
tion du portail, dénomination que par son testament il ordonna que la maison porterait ; aux dépens du Roi qu’il bâtit la sall
ier Prince du sang. Honteux sans doute de laisser à ses héritiers une maison royale, il la restitua au Roi, qui en avait fait
l’Eglise de Sorbonne et celle de Richelieu, et les théâtres dans ses maisons de ville et de campagne ; il fait paraître la Con
die, composant des pièces, les faisant représenter, bâtissant dans sa maison un théâtre. Tel Racine faisait profession de la m
lé que son Ministre, et qui après la mort du Cardinal alla occuper sa maison , pour être logé d’une manière plus décente : goût
e maladie contagieuse dans les villes, les bourgs, les campagnes, les maisons particulières, le Clergé, la magistrature, l’épée
7 (1607) Recit touchant la comédie pp. 2-8
lus avancées vers le septentrion les diables conversent privémentl ès maisons , y servent, et sont appelés « drôles »m. A ce com
equel prononcer furent introduits plusieurs jeunes hommes de diverses maisons de Lyon, au nombre de quatre-vingts ou cent, en d
aussi des vrais tonnerres d’en haut et de la foudre qui tomba sur une maison proche de celle des jésuites, où elle fit du rava
il ne se fit onc. Il disait que les diables y conversent privément ès maisons , y servent, et sont appelés Drôles par ceux du pa
8 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies a corriger. » pp. 295-312
ette Scène que Valère s’est déguisé en Domestique pour entrer dans la maison au service d’Harpagon père de sa Maîtresse, et ce
rise de la Comédie Italienne de Lélio et Arlequin Valets dans la même maison , qui a fournit de même à Molière les épisodes de
nsée de ce que Valère ne lui a point obéi, et n’est point sorti de la maison selon ses ordres dès le premier moment qu’elle a
des nouvelles de ses parents, il trouve un prétexte pour sortir de la maison  : et supposé qu’il n’en sortit point, elle jure (
9 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Siécle de Louis XV. Chap. 2. » pp. 161-170
ccl. 22, 6. Le fête que le Surintendant Fouquet donna au Roi dans sa maison de Vaux, & qui hata sa ruine, fut au-dessus d
ruine, fut au-dessus de tout ce qu’on avoit vu en ce genre : la seule maison de Vaux étoit un prodige (une folie) il s’en falo
s’en faloit beaucoup, que St-Germain & Fontainebleau, les seules maisons de plaisance qu’eût alors le Roi, approchassent d
grace on l’y a laissé mourir. Le Roi vouloit le faire arrêter dans sa maison même, pendant le repas, la Reine qui vouloit joui
d’abord dans les convents, à l’exemple de Saint-Cir, ensuite dans les maisons particulieres ; ainsi les gens de bien se compose
10 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  dénombrement général du personnel et des revenus de l’ancien clergé séculier et régulier de france.  » pp. 351-362
ésuites se montaient au nombre d’environ… 3.000 1.500.000 2°. Seize maisons , chefs d’ordre ou de congrégations, parmi lesquel
, chef de la congrégation de son nom, Le revenu total de ces seize maisons chefs d’ordre, était de … 1.110.000 3°. Six cen
bre de 21.000 sans revenus (quoiqu’il n’y eût peut-être pas une seule maison qui ne possédât en propre au moins un jardin pota
11 (1705) Traité de la police « Chapitre IV. De la Comédie Française ; son origine, son progrès, et les Règlements qui ont été faits pour en permettre, corriger et discipliner les représentations, ou pour en assurer la tranquillité. » pp. 439-445
res, du consentement de ceux-ci élevèrent un nouveau théâtre dans une maison nommée l’Hôtel d’Argent au quartier du Marais du
ne. Les Français ont depuis fait bâtir un magnifique théâtre dans une maison qu’ils ont acquise rue des Fossés, où ils sont à
blissement ; mais ayant encore voulu en l’établissant dans une de ses Maisons Royales, pourvoir en même temps à la commodité de
uelque qualité et condition qu’elles soient, même aux Officiers de Sa Maison , ses Gardes, Gendarmes, Chevaux-Legers, Mousqueta
rue des Petits-Champs, ils auraient acquis l’Hôtel de Lussan, et une maison contiguë audit Hôtel, appartenante aux Religieuse
e au Châtelet de Paris, pour la somme de cent mille livres, et ladite Maison par Contrat volontaire du cinquième Décembre dern
re, et le trentième jour de Janvier dernier ; sur le prix de laquelle maison acquise desdites Religieuses, lesdits Comédiens a
uelque qualité et condition qu’elles soient, même aux Officiers de sa Maison , Gendarmes, Chevaux-Legers, Mousquetaires et autr
uelque qualité et condition qu’elles soient, même aux Officiers de sa Maison , ses Gardes, Gendarmes, Chevaux-Legers, Mousqueta
12 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrisostome. » pp. 180-195
es prétextes, la ville entiere va courir au spectacle ; les rues, les maisons seront désertes ; on montera sur les toits, on se
les convertir, comme un bon père interdit quelquefois à ses enfans sa maison & sa table dans la vue de les corriger, comme
modeste, non qu’elle l’ait mérité, mais parce que vous ne voyez votre maison qu’avec dégoût, que vous ne soupirez qu’après ces
s). Grand nombre y passent les jours entiers, ce qui cause dans leurs maison de grands désordres ; ils apprennent avec grand s
vos épouses, ne corrompez pas vos enfans, n’introduisez pas dans vos maisons la peste du théatre. Si votre épouse est pieuse,
ils se donnoient ces libertés, vous ne les souffririez pas dans votre maison , & lorsque les derniers, les plus vils, les p
rs enivré des folies des spectacles ? Vous portez du théatre dans vos maisons ces ordures empestées dont par les yeux & les
13 (1731) Discours sur la comédie « a tres-haut et tres-puissant seigneur, monseigneur louis-auguste d'albert d'ally, duc de chaulnes, pair de france. » pp. -
un Héros du Christianisme. Ces exemples ne sont pas rares dans votre Maison  ; sans recourir à l’an mille, temps où elle possé
tées. Je me borne donc à prier le Seigneur pour la conservation d’une Maison qui donne tant de grands hommes à l’Eglise et à l
14 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Théatre de Pologne. » pp. 80-105
se à l’infamie du théatre, a eu le courage d’offrir 20000 ducats à la maison de Radzivil, pour le loyer du palais dont il s’es
a Société y étoit plus accréditée & plus riche ; elle y avoit des maisons & des sujets sans nombre, & enseignoit se
tout charge si bien & si subitement, qu’ils sont chassés de leurs maisons , quoique peuplées de bons sujets, qu’on vend leur
te, & généralement de tous les spectacles, de louer de l’illustre maison des Sultowki tous les bâtimens nécessaires à leur
r mis la corde au cou & montré le gibet au bon receveur, brûlé sa maison & ses meubles, on le mena au port en cérémoni
mbler tous les juifs de la ville, & les y loger : le loyer de ces maisons , qu’il mettra au prix qu’il voudra, lui fera le p
s, de danseurs, courant, chantant, dansant, s’arrêtant aux portes des maisons qui lui étoient attachées ; & qui, mêlant leu
n avant dans la nuit, à la lueur des flambeaux, une irruption dans la maison du Sérénissime Prince Weroninski, Nonce du même P
de la salle des spectacles, qu’ils ont été jaloux d’y consacrer leurs maisons , leurs différends sont devenus des farces grossie
15 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 2 : Livre VI, chap. 7] » p. 590
rs, brouille et renverse tout l’état de sa famille, met en trouble sa maison , acharnef Egiste à vengeance, incite à fureur Cly
tragédies, ains des prières et dévotions. Elles ne brouillent pas nos maisons et familles, ains composent et redressent ce qui
16 (1670) Du delay, ou refus de l’absolution [Les Instructions du Rituel du diocèse d’Alet] « Du delay, ou refus de l’absolution. » pp. 128-148
asions les plus ordinaires de la premiere sorte ? C’est d’avoir en sa maison des tableaux, ou des sculptures de nuditez lasciv
a compagnie de personnes dissoluës & libertines : d’avoir dans sa maison , ou en sa disposition quelque personne qui serve
teurs & les servantes, ou autres personnes qui demeurent dans des maisons où il y a quelque personne qui leur est occasion
mber dans le peché d’impureté. Secondement celles qui frequentent des maisons ou des compagnies où elles tombent ordinairement
& la sœur, ou autres proches parens, qui demeurant dans une mesme maison , commettroient ordinairement le peché d’impureté 
faire prendre à son penitent, pour se separer, & pour quitter la maison de son pere ; comme de conseiller à une personne
t pour excuse : Ie ne puis quitter cette occasion, ny sortir de cette maison , parceque je perdrois ma fortune, & tomberois
17 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE II. Théatres de Société. » pp. 30-56
e spectacle public a pour elles des difficultés, il faut quitter leur maison & leurs parties de plaisir pour l’aller cherc
de la comédie. En Canada, où le bois est commun, il se construit des maisons de planches fort commodes, on en numérote avec so
ù il fait grand chaud & où le bois est rare. Chacun va acheter sa maison toute faite, la fait placer & monter où il ve
, efféminée, licencieuse, dissipée, frivole ; ils portent dans chaque maison tous les désordres du spectacle, & s’y répand
qui ne vont point au spectacle, voient impunément la comédie dans les maisons particulieres ; il s’y en trouve grand nombre, la
er d’un homme qui vit dans le sein d’une famille comme l’enfant de la maison  ? il n’a plus de suffrages à acquérir, il est jug
e quelque Acteur ou Actrice qui le lui enseigne, qui est fêté dans la maison , qui y dirige le spectacle, & vit familiereme
d’autant plus de promptitude & de facilité cette teinte dans les maisons particulieres, que la comédie adoptée & entée
e ne s’occupe du théatre, tous les Princes y sont assidus, toutes les maisons riches ont des théatres de société, les grands, l
18 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Le Comte de Chavagnac & le Marquis de… » pp. 188-216
tacle, où il recevoit tout le monde, & se rendoit dans toutes les maisons où on le demandoit, avec ses rats. Il gagna de tr
de se moquer de ces foiblesses ? On voit à Amsterdam trois sortes de maisons qui ont le crime pour objet, les deux premieres p
pour le punir, savoir, le théatre & les lieux publics, & une maison de correction pour les femmes perdues. Il y a des
ts revenus des Indes à tous les autres. On tient chaque nuit dans ces maisons une espece de bal, où ces filles dansent tour-à-t
etour aux Indes. N’est-ce pas un bel amusement ? Le Spinguis est une maison de pénitence où l’on renferme les filles quand el
and elles en sortent, elles sont aussi libertines. Ces deux sortes de maisons , l’une pour prévenir le péché, l’autre pour le co
une troupe d’Officiers comédiens la suivit, comme les Officiers de sa Maison , & fit chaque jour son service ? non ; ces pr
tre de l’Evangile ; mais un prodigue, qui par ostentation renverse la maison , un joueur qui met tout son bien sur une carte, A
forfaits & les extravagances méritent d’autres noms. Les petites maisons , les échaffauds & les roues punissent quelque
19 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE III. Est-il à propos que les jeunes gens aillent à la Comédie ? » pp. 55-83
Comédiens Français voulant s'établir à Paris, achetèrent d'abord une maison près des Carmélites, rue Chapon. Ces saintes fill
hercher fortune ailleurs. On se tourna d'un autre côté, on acheta une maison près du Collège des Quatre nations. Le Principal
ccorda dans le procès que leur firent les vendeurs des deux premières maisons pour obtenir des dommages et intérêts, ce fut de
d'adresse et d'élévation, Madame de Maintenon a fait composer pour la maison de S. Cyr et représenter des pièces de théâtre pa
qui on a étalé leurs grâces, et qu'enfin destinées à vivre dans leur maison et avoir soin d'une famille, la dissipation et le
cun Lazariste, dont il y a grand nombre à Versailles, et même dans la maison de S. Cyr, n'y a paru, ni pour lors, ni dans les
ival et imitateur de la célèbre Fondatrice, dans son petit S. Cyr (la maison de l'Enfant Jésus), a fait aussi son théâtre, et
on en jouera de profanes, on y invitera des laïques ; dans toutes les maisons religieuses, au lieu de former des Novices, on dr
que de sages leçons et de bons exemples ; mais les liaisons de cette maison avec la Cour, qui y attire ce qu'il y a de plus g
20 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVII. Du gouvernement & de la Police intérieure du Théâtre. » pp. 12-18
forme étoit indifférente. A peine a-t-on trouvé dans Paris une seule maison pour l’y donner. Les Magistrats municipaux d’alor
ommencemens, comme nous l’avons déjà dit, que les propriétaires d’une maison , y ordonnassent à leur gré, tout ce qui y avoit r
21 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 3. SIECLE. » pp. 107-119
laisir à voir représenter dans la Comédie ce qu'on y peut faire en sa maison , ou à entendre ce qu'on y peut faire: On apprend
portant les vices du Théâtre, s'en retournent plus corrompus en leurs maisons . Il faut donc fuir les Spectacles, non seulement
homme impudique et de mauvaise vie, qui tiendrait des Comédiens en sa maison  ? Or si vous ne pouvez être spectateur de la Comé
22 (1705) Traité de la police « Chapitre III. Du Théâtre Français, son origine, et qu’il n’a été occupé pendant plus d’un siècle, qu’à la représentation de pièces spirituelles, sous le titre de Moralités. » pp. 437-438
rte de Paris, du côté de S. Denis, et y avaient fait bâtir une grande maison pour y recevoir les Pèlerins et les pauvres Voyag
se fermaient en ce temps. Entre autres édifices il y avait dans cette maison une grande salle de vingt-une toise et demie de l
principaux Mystères, qui en faisaient le plus souvent la matière. La maison de la Trinité fut de nouveau destinée à un Hôpita
23 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. L’Arétin, le Tasse, l’Arioste. » pp. 38-79
l fut successivement domestique de trois ou quatre Seigneurs de cette maison , dont il flattoit le libertinage, & tous gran
s : il appella une de ses filles Austria, comme si elle eût été de la maison d’Autriche ; une autre Adrienne, du nom de l’Empe
e Scaramouche, de Moliere, de Corneille ; à tous les foyers, dans les maisons , les boudoirs, à tous les coins des rues ? On a p
ialogues attribués au Tasse, où l’on crut que les Florentins & la Maison de Médicis étoient fort maltraités. Les œuvres de
is d’Est, & lui avoit donné onze enfans ; d’où est venue toute la Maison d’Est, Duc de Ferrare. Celle-ci subsiste encore d
légitima les enfans qu’il en avoit eu, dont il la laissa tutrice. La maison d’Est doit sa légitimation a ce mariage tardif, q
s risques. Cette femme, comme c’est l’ordinaire, fit la fortune de la maison d’Arioste, jusqu’alors pauvre & obscure. La f
re de tous les Seigneurs & de toutes les femmes de cette illustre maison , dont il a enchassé les éloges pompeux dans son R
lle avoit été long-temps la maîtresse, & dont est sortie toute la maison d’Est, ne soit cette Lippa Ariosta, femme d’Obizo
Cardinal, & sont peu honorables au poëte : mais les princes de la maison de Ferrare ni les italiens de ce siecle, ne faiso
dinal avoit-il assez mauvais goût pour le mépriser ? Et lui, & sa maison y étoient loués à l’excès. Pouvoit-il n’en être p
e théatre. Dès son enfance, ce digne fils de Thalie s’amusoit dans la maison paternelle à composer de petites comédies, qu’il
24 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109
habits d’homme, c’est pour la femme ne pas faire la maîtresse dans la maison , être soumise à son mari, & se borner au déta
aller au bal, elle envoya dès le matin un carrosse à six chevaux à la Maison Professe chercher le P. le Comte, son Confesseur.
agistrat courut le bal habillé en diable. En se retirant il manqua sa maison , & frappa rudement à une porte. Il faisoit gr
rs. En marchant le long de la rue, il apperçut de la lumiere dans une maison dont la porte n’étoit pas fermée. Il vit en entra
la force est devers eux, & les maris ne sont plus maîtres on leur maison , leur disent des paroles outrageantes, & comm
donner, confort, aide & faveur à tous les Masques, leur ouvrir la maison , sans les faire songer à la porte, sans faire dir
& à la mi-Carême. A tous Masqués est donné la liberté d’entrer ès maisons , & jouir de leurs privilèges ; mais n’auront
ou prendre autre assignation. Tous Masqués doivent pour l’honneur des maisons où ils vont, mener un tabourin ou haut bois, ou p
25 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. De la Dédicace de la Statue de Voltaire. » pp. 71-94
de récueillir ses mauvaises phrases. Réponse à M. de la Harpe. La maison de Mlle. Clairon est donc devenue le temple de la
une harangere. La dédicace de la statue ne s’est point faite dans la maison de la Clairon ; comment est-elle devenue le templ
ue, & à quel genre de combattans, doit rire en apprenant à quelle maison le grand Voltaire doit sa gloire ; il n’a paru au
qui, sans doute est assidu chez elle, tout cela est encore né dans la maison de la Clairon ; car c’est leur patrie ; mais peut
ent-ils tous leurs talents, leur génie, leur esprit à la Clairon ? Sa maison est leur patrie. Je doute qu’ils souscrivent à ce
les lys de la virginité l’ont couvert : cette même Prêtresse, dont la maison est le temple de la gloire, & la patrie des t
ue Casimo dans l’assemblage des objets lugubres de toutes especes. La maison meublée, les équipages drapés, les chevaux capara
26 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE III. Suite du Mariage. » pp. 55-79
t du jaloux ; dans toutes les deux une jeune fille qui s’enfuit de la maison pendant la nuit, & va se réfugier dans les br
Le grand grief de la Moliere étoit que son jaloux entretenoit dans sa maison , à la barbe de sa moitié, la de Brie autre Comédi
e en fils. Ce soupçon outrageant est devenu par son moyen un titre de maison . Avant sa scandaleuse médisance notre illustre co
evûe de Gabelus, le repas des noces, l’entrée de la jeune épouse à la maison de son mari, la conversation avec une belle-mère,
onduise dans votre voyage, vous fasse arriver heureusement dans votre maison , où vous trouviez vos parens dans une santé parfa
mère, d’aimer votre mari, de régler votre famille, de gouverner votre maison , & de vous montrer irrépréhensile dans votre
. Que tout cela est bourgeois ! Ennoblissons-nous donc. Abandonner sa maison à des domestiques, livrer sa famille à des nourri
27 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVIII. Prétention des Comédiens au titre d’homme à talens, mal fondée. » pp. 19-44
us formel ? Le Roi a gagé les Comédiens, comme des gens attachés à sa maison & à sa suite. Cette seule prérogative n’est-e
, conclura-t-on qu’ils n’en ont point ? C’est comme Domestiques de la Maison du Roi, qu’ils en sont gagés ; & cette qualit
amp; les riches, ne purent vivre décemment sans avoir dans une petite maison une Actrice à leurs gages. Cette dépense devint u
’amertume du répentir, les usures immenses & la ruine entiere des Maisons . Aux considérations générales sur la comédie, le
28 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Fêtes de Théatre. » pp. 95-114
peaux d’entr’eux, qui passent quatre mois dans leurs terres, ou leurs maisons de campagne, ne veulent pas se donner la peine d’
exercé que par des femmes prostituées, qui, pour de l’argent, vont de maison en maison, se livrer au goût du public. Quelle es
par des femmes prostituées, qui, pour de l’argent, vont de maison en maison , se livrer au goût du public. Quelle estime pour
r un théatre, encore moins à le placer dans le plus bel endroit de la maison . Si quelquefois on représentoit des Drames ; on c
it pas d’en construire un à demeure, comme le plus bel ornement d’une maison Royale. On commença d’y faire de ces théatres mob
s. Aujourd’hui on prend d’autres mesures, on bâtit exprès un corps de maison pour le théatre, dans le plan d’un hôtel. L’Archi
29 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IV. Du Conquérant de Sans-souci. » pp. 88-120
sse, presque le seul qui n’eut point de droit sur la succession de la Maison d’Autriche, en forma : tandis que les autres écri
Silésie & s’en emparerent. La couronne étoit toute neuve dans sa Maison , Léopold lui avoit conféré le titre de Majesté ;
lles d’un simple particulier : il revendiquoit quelques terres que sa Maison avoit achetées, & il s’empara de la plus bell
rre ; mais tout changea quand il donna dans les erreurs de Luther. La maison de Brandebourg a toujours convoité la Prusse qui
a divers Princes dans sa cause : tous ses efforts furent inutiles. La maison de Brandebourg demeura maîtresse de la Prusse duc
e 37e, acheta le titre de Roi de prusse, je ne suis que le 38e. Notre maison , comme toutes les autres, a eu des gens de mérite
a succession de Cleves. Nous avons eu toutes les religions dans notre maison , elles nous doivent être toutes indifférentes. Mo
rocès fut fini à coups de canon. La France vouloit ôter l’Empire à la Maison d’Autriche, & faire un Etat en Italie à l’Inf
30 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 4-42
ur tous les deux ; mais l’histoire dement tout cela, Ce Pontife de la maison de Médicis, dont on a beaucoup parlé, & en bi
, & en bien & en mal, qui eut en effet tous les défauts de sa maison , ne fut point un protecteur de la majeste tragiqu
ent inutiles Estafiers qu’il s’étoit donné, & tout le reste de sa maison à proportion ; il s’abandonna à tous les plaisirs
uccesseurs n’a donné un pareil scandale, même Clément VII, de la même maison de Médicis ; encore moins Léon XI, qui vécut &
Bibiana : plusieurs sont prises de Varillas, histoire secrette de la maison de Médicis. Je sai que cet auteur est accusé de m
st pas douteux dans l’histoire. Etant Cardinal, le renversement de la maison l’avoit mis-hors d’état de satisfaire son goût ;
à chanter & à composer, il avoit chez lui des concerts, & sa maison devint le plus curieux spectacle de Rome. Le fame
; un jour qu’il contrefaisoit devant lui les Florentins ennemis de sa maison , le Cardinal lui dit, qu’il réussiroit bien mieux
nnement, comme le triomphe des anciens Romains ; Julien, bâtard de sa maison , y parut d’abord en Chevalier de Rodhes (de Malth
es les plus licencieuses : on invitoit même les enfans des meilleures maisons à monter sur le théatre & y servir d’Acteurs.
31 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-10
p; ne peut par conséquent en être infatué, & qui cependant quitte maison , femme & enfans, pour courir avec un fou, qu’
gneur, qui entretient cet extravagant, & s’en fait, avec toute la maison , un aussi extravagant divertissement Mais, pour p
ne plus revenir, après l’avoir fait accabler d’injures grossieres. La maison nombreuse du Duc fait mille folies plus grandes q
32 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la discipline ecclesiastique, et des obligations imposees par les saints conciles dans la vie privee des pretres.  » pp. 341-360
nête, le S. Concile défend à tous ecclésiastiques de tenir dans leurs maisons , ou dehors, des concubines ou autres femmes dont
 9° Défense aux clercs et aux moines d’avoir des servantes dans leurs maisons et leurs prieurés, et aux bénéficiers ou clercs e
alamité que le zèle des hommes fervents, qui demeurent encore dans la maison du Seigneur, doivent s’empresser de réparer. Les
33 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
ses habits on n’aurait garde de prendre pour la mère du maître de la maison , si le respect et l’empressement avec lequel elle
érence et de l’amitié avec laquelle il est traité par le maître de la maison  ; que ce n’est pas merveille qu’ils le haïssent c
arrêté depuis longtemps, d’un fort brave Cavalier avec la fille de la maison , et que pourtant le Père de la Fille diffère fort
orter avec vraisemblance et bienséance à un homme qui n’est pas de la maison , quoique intéressé pour sa sœur dans tout ce qui
remier de tout ce qu’il y a de meilleur » ; comment « le maître de la maison et lui ne se traitent que de frère ». Enfin, comm
chemin, Monsieur arrive. Il lui demande d’abord « ce qu’on fait à la maison  », et en reçoit pour réponse que « Madame se port
s affaires vont mal, et l’oblige d’y aller pourvoir.   La Fille de la maison commence le second Acte avec son père. Il lui dem
econd, comme on a vu.   Ainsi le troisième commence par le fils de la maison et Dorine, qui attend le Bigot au passage, pour l
s ont raison de le traiter de la sorte ; qu’il doit être chassé de la maison comme un ingrat et un infâme ; qu’il mérite plus
r « si, par un motif tel que celui-là, il croit pouvoir chasser de la maison le légitime héritier, et accepter le don extravag
oisir de s’expliquer, épouvanté de son effronterie, « le chasse de sa maison et lui commande d’en sortir ». Comme Panulphe voi
menaces par d’autres plus fortes, et dit que « c’est à eux à vider la maison dont il est le maître » en vertu de la donation d
re pour sommer toute la famille dans la personne du chef, de vider la maison au plus tôt : car enfin comme il se déclare lui-m
34 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VI. De l’Iconomanie théatrale. » pp. 141-158
oclaste : elles sont bannies de par-tout, on n’en souffre ni dans les maisons ni dans les livres, même dans les livres de prier
es objets de corruption, y trouve ses délices, & l’ornement de sa maison  ? La dépravation a seule présidé à la décoration 
e doivent avoir les peres de familles, de n’en pas laisser dans leurs maisons  ; & il ne fait que répéter les oracles des an
& frappante ; si J.C. vivoit encore ici bas & venoit dans nos maisons comme il alloit chez Marthe, chez Zachee, chez le
p; les défend ? On voit que quand on porte le Saint Viatique dans les maisons , s’il se trouve dans la chambre du malade, quelqu
35 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74
passagère des carrosses, étant ladite rue Michel-le-Comte composée de maisons à portes cochères, appartenantes et habitées par
leurs familles et domestiques, empêchés de sortir, non pas même d’une maison à l’autre, contraints le plus souvent d’attendre
le plus souvent d’attendre la nuit bien tard pour rentrer dans leurs maisons , au grand danger de leurs personnes par l’insolen
iants tous les jour de comédie en péril de voir voler et piller leurs maisons , dont s’étant plaints plusieurs fois audit Avenet
nq ou six quartiers de Paris, où elle avait successivement acheté des maisons , jusqu’à ce qu’enfin elle trouva plus accommodant
, que la folie et le scandale eussent des établissements fixes et des maisons publiques, où tout le monde fût reçu et invité à
36 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VI. Du Cardinal Mazarin. » pp. 89-108
ne le connaissait qu’en Italie, il avait été ébauché en faveur de la maison de Médicis, à qui on doit en Europe la naissance
nna de son côté Andromède de Corneille. Le Marquis de Sourdeac, de la maison de Rieux, fit représenter avec la magnificence d’
re aussi puissant que Mazarin, qui l’aimait jusqu’à le donner dans sa maison et à faire venir en France la comédie Italienne,
pes que quelquefois aux pièces qui se jouent dans les collèges ou les maisons religieuses, ce qui se réduit à quelque exercice
de théâtre représentées devant Léon X et Clément VII, tous deux de la maison de Médicis. Ce ne furent d’abord que de jeunes ge
37 (1588) Remontrances au roi Henri III « [Chapitre 2] » pp. 128-135
des Français, et par-dessus tous, ceux qui se font en une Cloaque et maison de Satan nommée l’hôtel de BourgogneJeux abominab
eries = bagarres. d. [NDE] Se réfère à ces temps. e. [NDE] berlan - maison de jeu, de boisson. f. [NDE] cuidant = croyant.
38 (1675) Traité de la dévotion « [FRONTISPICE] »
a Quevilly Par jean lucas demeurant à Rouën, ruë aux Juifs, près la Maison de Ville.M DC LXXV.
39 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. » pp. 32-50
ur la plupart des chrétiens le tabernacle de Dieu avec les hommes, la maison du salut et la porte du ciel ; mais la profanatio
ures mortelles. N’est-ce point de là que viennent le renversement des maisons , la perte de la sagesse, la dissolution des maria
nts, vos enfants vous sont à charge, vos serviteurs incommodes, votre maison ennuyeuse ; les soins journaliers de vos affaires
La cause de tout cela, c’est que vous ne revenez pas seul dans votre maison , mais que vous y amenez avec vous une courtisane,
40 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre II. Est-il du bien de l’Etat que les Militaires aillent à la Comédie ? » pp. 20-34
le, et qui elle-même servait d’amphithéâtre, puisque des fenêtres des maisons , bâties sur la croupe, on pouvait voir les Acteur
prendre de beaux habits, faire de grands repas, construire de belles maisons , des bains, des portiques, et les prit par les am
ectacula publicè oscularetur. » (Suet. in Calig.) g. [NDE] brelan = maison de jeu. h. [NDE] Peut-être un écho d’un usage vi
Peut-être un écho d’un usage vieilli : Baigneur: Celui qui tenait une maison de bain et de plaisir pour les hommes de bon ton
41 (1844) Théologie morale « [FRONTISPICE] »
offre et cie, libraires-editeurs 90, rue Bonaparte, 90 lyon, ancienne maison perisse freres, 47, rue Mercière et rue Centrale,
42 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre X. Des Décorations. » pp. 336-344
p; de tout ce qui orne le palais des Rois. La Comédie fesait voir des maisons particulières, avec leurs balcons & leurs cro
des différens Théâtres. Tantôt sa Scène représente l’intérieur d’une maison , ou bien une rue ; tantôt une vaste campagne ; ic
43 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE PREMIER. Peinture & Sculpture. » pp. 4-40
est forcée de baisser les yeux, & n’est point en sureté dans vos maisons . Cette vertu aussi ancienne que le monde, est de
ice sur le trône. Les décorations théatrales s’emparent de toutes les maisons  ; chaque chambre est un théâtre. Les mêmes orneme
inévitable, sont moins zélées que nos actrices. Renfermées dans leurs maisons , elles reçoivent ceux qui viennent ; mais ne vont
dit St. Pierre. Les payens portoient l’infamie à l’excès, dans leurs maisons , & sur-tout dans leurs jardins, par les statu
tout le monde au théatre, & fait transporter le théatre dans les maisons , dans les livres & dans les cœurs. Le prophet
elles pleuroient la mort. Idola depicta in pariete per circuitum. Nos maisons sont ainsi devenues les temples des Dieux, leurs
théatre. S. Clement Alexandrin, in protept. semble, en décrivant les maisons des Payens, avoir fait la description des nôtres.
tion des nôtres. Sans pudeur & sans crainte ils remplissent leurs maisons jusqu’aux plafonds de peintures obscénes, omni pu
44 (1733) Dictionnaire des cas de conscience « [FRONTISPICE] »
du royaume. Par feus Messieurs de Lamet et Fromageau, Docteurs de la Maison et Société de Sorbonne TOME PREMIER A PARISChez
45 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « APPROBATION »
APPROBATION N ous soussignés Docteurs de la Maison & Société de Sorbonne, avons lû le présent Ec
46 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Maurice de Saxe. » pp. 118-145
r fournir des alimens à la malignité, il faisoit des soupers dans des maisons suspectes. Quand on lui représentoit le scandale
d’avoir gagné le cœur de Jupiter, & au mari d’être entré dans une maison de qualité, les loix le condamnoient à mort ; mai
uché crapuleux, sans goût, sans délicatesse, à qui tout étoit bon. Sa maison , quoique maison royale, n’étoit, avec ses meubles
sans goût, sans délicatesse, à qui tout étoit bon. Sa maison, quoique maison royale, n’étoit, avec ses meubles magnifiques, sa
, attendoit le matin pour s’en retourner sans être connue, lorsque la maison fut investie pendant le siège qu’il soutint, ayan
ébauchant sous ses yeux quatre de ses filles d’honneur, des premieres maisons du pays. La derniere qui fut découverte fit décou
47 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54
ettres & dont le crime n’est qu’un jeu, une comédie jouée dans sa maison , où le mari & la femme ont des rôles. La piec
veut rendre ridicule. Quelques amis se proposent de la jouer dans la maison du mari, lui donnent un rôle & un autre à sa
ue les règles de l’Église défendent aux fiancés de loger dans la même maison , pour écarter le danger des familiarités criminel
causent les plus vives inquiétudes, le déshonneur, la ruine de leurs maisons  ; à ces enfans eux-mêmes, lorsque leur passion ra
ne Actrice ! La femme forte se lève de grand matin, parcourt toute la maison , s’instruit de ce qui s’y passe, met ordre à tout
s gênées : le beaupère est méprisé, la bellesœur chassée, l’ami de la maison congédié, l’enfant livré à une nourrice ou à une
48 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE I. Faut-il permettre aux femmes d’aller à la Comédie ? » pp. 4-29
les faisons monter sur le théatre public, nous leur élevons dans les maisons des théatres de société, nous leur laissons appre
-vous ; elles forment des troupes d’Acteurs & d’Actrices dans les maisons particulieres. Plusieurs femmes ont composé pour
it des troupes nombreuses de Comédiennes courir de ville en ville, de maison en maison, jouer toutes les pieces qu’on leur dem
upes nombreuses de Comédiennes courir de ville en ville, de maison en maison , jouer toutes les pieces qu’on leur demande, &
s commencent aux yeux du public une scène qu’elles achèvent dans leur maison avec ceux des spectateurs qui veulent en acheter
les chefs-d’œuvre des plus grands maîtres ; que chante-t-on dans les maisons que les airs qu’on y a appris ? La danse développ
49 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE III. Immodestie des Actrices. » pp. 57-84
çon, vous dites que le poisson vient vous surprendre ? Vous courez de maison en maison, vous vous montrez dans les promenades,
dites que le poisson vient vous surprendre ? Vous courez de maison en maison , vous vous montrez dans les promenades, au bal, à
re même devient dangereuse. Mais, dit-on, combien de femmes dans leur maison , combien d’enfans, & même des personnes avanc
sous le joug de la clôture & de la règle. La liberté de sa propre maison ne dispense pas plus de la modestie. Craignez, vo
à payer le dommage l’imprudent qui par hasard auroit mis le feu à la maison de son voisin. Le prochain doit-il être victime d
les ames les plus pures. Cette indécence a passé du théatre dans les maisons des amateurs ; par-tout les tapisseries, les port
50 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152
que les voisins peuvent obliger une femme de mauvaise vie de vider la maison qu’elle a louée, et même sa propre maison. On voi
de mauvaise vie de vider la maison qu’elle a louée, et même sa propre maison . On voit souvent à Paris le Lieutenant de police
rrêt 14.), qui en effet décide que même le propriétaire qui a loué la maison à quelqu’une de ces femmes, a droit de résilier l
ccessivement de quatre différents quartiers où ils avaient acheté des maisons , et obligés de s’en défaire avec perte, jusqu’à c
leurs repas, leurs parties ? que penser de ceux qui leur louent leurs maisons  ? Dans la plupart des villes les Comédiens n’ont
al.) remarque que Tibère défendit aux Sénateurs d’entrer même dans la maison des Comédiens. Ces lois sont peu nécessaires pour
51 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 11. SIECLE. » p. 186
set 17. du Chapitre 4. de l'Ecclésiaste. Quand vous entrez dans la maison de Dieu, prenez garde à vos pieds, e approchez-vo
52 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. De l’Éducation. » pp. 60-92
les. Ils les élevoient dans les places publiques, ou louoient quelque maison particuliere. L’établissement fixe d’un spectacle
d’élégance que de sagesse : Il n’est pas plus permis d’avoir dans les maisons des images lascives, que d’y tenir des discours l
au spectacle, qui par leur liaison avec les Actrices, ont ruiné leur maison & leur fortune ; il en trouvera des exemples
leur maison & leur fortune ; il en trouvera des exemples dans la maison même de son disciple. Il n’y a gueres de familles
& ne passeroit pas seule la nuit avec son amant, à la porte de sa maison , à invoquer avec lui le Dieu des amours  : terme
compagnie assez indue. En effet il seroit bien surpris de trouver sa maison ouverte, & sa fille à la porte avec son amant
on, il prononce en faveur de la belle. Il va prendre son pere dans sa maison , le mene par la main, insulte son Bailli, qu’il t
53 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-7
ice, pour séduire les simples, comme les retours des esprits dans les maisons , ces apparitions de génies que le Théatre a joué
t un plaisir singulier à ces spectacles, en les représentant dans les maisons particulieres : il y avoit des diableries de soci
54 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXII.  » p. 481
leur deviennent insupportables; et quand elles reviennent dans leurs maisons avec cet esprit évaporé et tout plein de ces foli
55 (1675) Traité de la comédie « XXII.  » p. 310
leur deviennent insupportables. Et quand elles reviennent dans leurs maisons avec cet esprit évaporé et tout plein de ces foli
56 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
mais, quoique celles dont j’ai parlé, aient été représentées dans des maisons d’éducation et par conséquent devant des ecclésia
e Sa Majesté ; au reste je renvoie votre compliment au ministre de la maison du Roi : il ne m’appartient pas de l’accepter. En
privilège du Roi), lorsque David fit transporter l’arche sainte de la maison d’Obédedom dans sa ville, il dansait de toutes se
57 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 6. SIECLE. » pp. 180-181
res œuvres du Diable. Nous quittons le manger, nous abandonnons notre maison , nous négligeons nos affaires importantes, pour n
58 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
Magistrats, que la loi Romaine leur défend d’aller jamais dans leurs maisons , non plus que dans celles des personnes infâmes (
normes dissolutions des Césars), s’il les eût vus recevoir dans leurs maisons , admettre à leur table, mener dans leurs voyages,
urs maisons, admettre à leur table, mener dans leurs voyages, à leurs maisons de campagne, cette engeance pernicieuse, si oppos
eur, insolente par ses horreurs contre une tête couronnée alliée à la maison royale, fut bien reçue par l’Antipape, irrité con
f. [NDE] Au XVIIe s. terme employé pour désigner celui qui tenait une maison de bains et de plaisir pour les hommes de bon ton
59 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 11
ndant que vous êtes en ces divertissements vous êtes absente de votre maison , et ne veillant pas sur vos domestiques, vos serv
60 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Suites des diversites curieuses. » pp. 138-172
& par ordre du Roi, une à Versailles & deux à Paris, dans les maisons de deux Princes du sang ; l’Opéra chez le Duc d’O
tous les genres de la comédie, ont célebré sa fête, le 15 août, à sa maison de Vaugirard, en lui donnant une représentation d
ndignation une Actrice assez riche pour a^oir aux portes de Paris une maison de plaisance avec un vaste enclos & des bosqu
. Des Actrices, après ces folies, devroient être envoyées aux petites maisons  ; mais les Seigneurs, encore moins sages qu’elles
erau joue la comédie comme Moliere, quoique moins savamment, comme la maison commode d’un bourgeois est un ouvrage d’architect
que pour lui ; elle n’étoit composée que des enfans des plus grandes maisons de l’empire. Le peuple avoit la fienne qui ne se
die aux Indes, à la Chine, au Japon ; les troupes se rendent dans les maisons , on les fait représenter comme on veut. Chaque jo
61 (1658) L’agent de Dieu dans le monde « Des théâtres et des Romans. CHAPITRE XVIIII. » pp. 486-494
ostitutions, les rapts, les adultères, ces crimes qui noircissent les maisons , qui perdent les âmes, et offensent Dieu, passent
hes toujours ouvertes à persuader le mal, aient libre entrée dans les maisons , dans les cabinets pour y débaucher tous les espr
62 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVIII.  » p. 474
ue l'Espagne impute à ma mémoire D'avoir mal soutenu l'honneur de ma maison ... N'écoutons plus ce penser suborneur. » Et la
63 (1675) Traité de la comédie « XVIII.  » pp. 300-301
que l'Espagne impute à ma mémoire D'avoir mal soutenu l'honneur de ma maison ; N'écoutons plus ce penser suborneur. » Et la ra
64 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Suite du Clergé Comédien, » pp. 52-67
sa chûte : mais tout le monde ne fait pas que cet arlequin, est d’une maison distinguée dans la robe, fut d’abord ecclésiastiq
le déposa & lui donna un successeur. Paul refusa de lui céder la maison épiscopale. L’empereur Aurélien, à qui on eut rec
épiscopale. L’empereur Aurélien, à qui on eut recours, décida que la maison appartiendroit à celui des deux évêques qui auroi
65 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 4. SIÈCLE. » pp. 120-146
eler après leur amendement. Comme les Pères chassent souvent de leurs maisons , et de leur table leurs enfants qui se laissent e
rs par cette correction, ils rentrent avec louange et honneur dans la maison , et dans la compagnie de leurs Pères. Les Pasteur
entendre publiquement ces infamies que vous détestez si fort dans vos maisons  ; non seulement vous n'en avez point de peine, ma
66 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — V.  » p. 459
n plus forte raison des âmes enfermées dans des corps, comme dans des maisons de boue, seront-elles sujettes à la corruption et
67 (1675) Traité de la comédie « VI.  » pp. 280-282
bien plus forte raison des âmes renfermées en des corps, comme en des maisons de boue, seront-elles sujettes à la corruption et
68 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 75-112
pour toute réponse. Je ne serois pas allé chercher ce fou aux petites maisons , s’il n’avoit appartenu au Théatre, mais il avoit
à donner des fêtes, des divertissemens, des spectacles, dans sa belle maison de Sceaux. A l’occasion de ces fêtes il y pleuvoi
es y reçutent les plus grands applaudissement. C’étoit un homme de la maison , aimé maître & de la maîtresse, Sont altesse
lus. Mais le Roi de Naples faisant bâtir, il y a quelques années, une maison de plaisance à Porticci, qui est dans le voisinag
de Naples l’a préféré à tout le reste de son royaume pour y bâtir une maison de plaisance. Herculea étoit tellement une ville
i vellent boc licuisse sibi. Ce n’est pas un homme, ce n’est pas une maison , consumés par la foudre, ce sont des milliers d’h
onsumés par la foudre, ce sont des milliers d’hommes, des milliers de maisons , c’est une ville entiere subitement ensevelie sou
69 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Diversités curieuses. » pp. 5-37
 ; il leur a abandonné la campagne ; chacune s’y bâtit une cabane, ou maison de plaisance. Tout le pays en est couvert, comme
’ils dressent promptement, & sans beaucoup d’appareil, dans leurs maisons . Ils sont peu jaloux de la décoration qu’ils ne c
vieux coffre, dans un antique château de la Guienne, appartenant à sa maison . Il a échappé, comme par miracle, à la dent vorac
Le lieu de la scene n’etoit pas une décoration peinte, mais une vraie maison , un jardin, une rue. Dans cette maison, dont on v
oration peinte, mais une vraie maison, un jardin, une rue. Dans cette maison , dont on voit l’intérieur, l’amant & la maîtr
on les enterre dans le tombeau des Rois. En France on leur bâtit des maisons , les grands Seigneurs élevent chez eux des théatr
70 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Parfums. » pp. 112-137
n digne de lui, se déclare contre le luxe des odeurs. Le maître de la maison offre aux convives toute sorte de parfums. Il n’e
amp; la même dépravation. Reine de Gnide, belle Venus, venez dans les maisons de Glicere qui vous appelle, vous y trouverez les
rte de figures, couronne, fleurs, arbres, oiseaux, pyramides, tables, maisons , &c., au moyen des rubans, aiguilles, cartons
ir à table, aider à la cuisine, & dans les plus bas offices de la maison , sans que la noblesse, la fortune, les talens en
ne la pratiquent pas. Cela n’est inconnu que dans ces Séminaires, ces maisons Religieuses, qu’on prendroit pour de boutiques de
71 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE V. Des Jésuites. » pp. 108-127
ame de Maintenon ne fit qu'imiter à S. Cyr ce qu'elle voyait dans les maisons les plus régulières. Elle trouva bien des censeur
l se formera des troupes d'Acteurs, on dressera des théâtres dans des maisons particulières. Le germe de cette fureur théâtrale
objet que des chimères. Quel conflit dans le même Ordre, dans la même maison  ! Bourdaloue foudroie, Sanchez capitule, la Santé
proche en aucune manière des spectacles, et ne les introduise dans sa maison (approuverait-il qu'un Corps Religieux eût des thé
72 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340
une troisième, gratia perficiens. Cette procession étant partie de la maison des jésuites, dans ce bel ordre, ou pour mieux di
a collégiale ; et ensuite aux jacobins, aux cordeliers, et aux autres maisons religieuses. Les jésuites s’étaient promis de don
rre, et celles des églises des jacobins, des cordeliers et des autres maisons religieuses, pour servir de stations à cette masc
ient abandonné leur divin maître, et ne l’avaient point suivi dans la maison du pontife. Tant que le repas durait, il était dé
ans les archives du chapitre, conseiller de ce prince. Il était de la maison des Mansel, seigneur d’Erdinton en Angleterre, et
. Reprenons notre auteur. « Quand un disciplinant se trouve devant la maison de sa maîtresse, c’est alors qu’il redouble les c
ansaient et sautaient avec leur clergé, dans les monastères, dans les maisons épiscopales, et où ce divertissement s’appelait l
né, les enfants de chœur allaient quérir en procession l’évêque en la maison de la maîtrise, ils l’amenaient dans l’église ave
et sautaient par toute l’église comme des insensés, et profanaient la maison du Seigneur par mille indécences. » Cette fête s’
lus rigoureux. Car ce n’est pas punir un moine que de l’envoyer d’une maison dans une autre de son ordre, sans autre châtiment
73 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien quatrieme. Sur la vanité & le danger des Bals, & des Danses en particulier, Tiré de la Bibliotheque des Predicateurs, composé par le Reverend Pere Vincent Houdry de la Compagnie de Jesus. » pp. 57-66
dis que les danseurs, & les joueurs d’instrumens seroient dans la maison  ; c’est pourquoi il les fit chasser avant que d’y
conscience sont ceux, qui donnent le bal, & ceux qui prêtent leur maison à un usage si pernicieux : & ainsi, comme vou
74 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IX. Du Dialogue. » pp. 320-335
impie. Creuse. Je n’ai fait que me venger d’un énnemi déclaré de ma maison . Ion. D’un énnemi ! Ai-je envahi ton trône à mai
trône à main armée ? Creuse. Oui, cruel, tu as mis en combustion la maison d’Erectée. Ion. Ai-je porté à Athènes le fer &am
75 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
bien policé, de sorte qu’en définitif le char funèbre, repoussé de la maison du seigneur se dirige, au travers des murmures et
ermina, en 1546, les révérends Pères de la Trinité à expulser de leur maison les confrères de la Passion, qui y avaient eu jus
76 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Suite d’Elisabeth d’Angleterre. » pp. 33-82
mais la première en avoit vu pratiquer la profonde politique dans sa maison qui lui devoit toute sa fortune ; la seconde n’av
e d’Elisabeth, ce qui renversoit toutes ses prétentions au trône ; la Maison d’Autriche devoit lui être aussi odieuse que chèr
emière, il en répudia une autre. Elisabeth, témoin des horreurs de la maison paternelle, née elle-même d’un de ses mariages in
ne riche dot, il devoit s’attendre aux refus ; l’Archiduc étoit d’une maison trop puissante pour être écouté, & D. Jean d’
té des Religions. Selon le passage, il y a plusieurs demeures dans la maison de mon père. Cette réponse ne permet pas de dout
Mahométisme, l’idolatrie, & dans les différentes demeures de la maison du Père céleste  ; Le Musulman & l’Adorateur
otestans dont elle étoit l’espérance, elle partagea les charges de sa maison , donna celles de confiance aux Protestans, &
chiduc d’Autriche, parce qu’étant Gouverneur des Pays-Bas & d’une maison si puissante, elle le craignoit ; avec le Comte d
77 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE II. Melanie. » pp. 29-71
gé nombreux, un Officiant distingué, ordinairement le Supérieur de la maison , une assemblée choisie & nombreuse, des domes
eu a éprouvé les vœux des Nazaréens de ne pas boire du vin, bâtir des maisons , &c. & il dit expressément, vovete &
souffrir qu’on oppose à son autorité le suffrage du Confesseur de la maison , qui approuve la vocation de Mélanie, ni même qu’
& si injurieusement, d’une maniere à ne plus paroître dans cette maison , revient demi heure après, sans être appelé, uniq
aucun trait de violence, ni menace, ni mauvais traitement, ni dans la maison , où elle n’a point demeuré depuis son enfance, ni
us les yeux ont été également fermés ; rien n’a transpiré, ni dans la maison , ni dans le monde. Ce n’est qu’au moment de la cé
in quand elle se tue. Son père ne doit-il pas la destiner aux petites maisons , lorsqu’il l’entend dire : Votre cœur dès-longtem
est une contradiction perpétuelle dans le lieu de la scene, c’est une maison , un parloir grillé, on passe les mains à travers
78 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre X. Les spectacles ne sont propres qu’à rendre romanesques ceux qui les fréquentent. » pp. 102-104
? Elles dédaignent de s’abaisser jusqu’à s’occuper des soins de leurs maisons . Elles abandonnent aux femmes du peuple la connai
79 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIX.  » pp. 475-477
uge de feux. Puissé-je de mes yeux voir tomber cette foudre, Voir ses maisons en cendre, et tes lauriers en poudre; Voir le der
80 (1675) Traité de la comédie « XIX.  » pp. 302-305
éluge de feux. Puis-je de mes yeux voir tomber cette foudre, Voir ses maisons en cendre, et tes lauriers en poudre; Voir le der
81 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230
e aussi precieux à l’Eglise qu’à l’Etat, (les Bénédictins qui ont une maison à saint Ferjeux,) le suffrage éclaïré, impartial
? Le Magistrat prit la Rosiere par la main & la conduisit dans sa maison à travers un foule immense, au bruit des fanfares
nfares & de l’artillerie. Elle y reçut une infinité de visites la maison ne désemplissoit pas, elle y trouva deux jeunes P
82 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre V. De la Dépense des Spectacles. » pp. 75-88
meubles des Comédiens et des Comédiennes sur le théâtre et dans leurs maisons , leurs fêtes continuelles, leurs repas, leur jeu,
ient les Magistrats quand ils entraient en charge. Les plus opulentes maisons de Rome s’y ruinaient pour gagner la faveur du pe
illes. Flavius Vopiscus (in Carino) rapporte de Julius Messala, d’une maison la plus opulente et la plus distinguée, mais fou
83 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 2-36
d, afin d’établir son droit au trône : une guerre sanglante contre la maison de Lancastre, dans laquelle y périt, son propre G
Rose blanche, qui avoient si long-tems divisé l’Angleterre, entre les maisons d’Yorck & de Lancastre, & qui finirent à
rt de Richard III, parce que son vainqueur, Comte de Richemont, de la maison de Lancastre, ayant épousé l’héritiere de la mais
Richemont, de la maison de Lancastre, ayant épousé l’héritiere de la maison d’Yorck, réunit sur sa tête les droits des deux f
nt être à peu près les mêmes. Ce n’est que dans les rues, ou dans les maisons particulieres, que des troupes de comédiens vont
spectacle au Cap, & on ne l’y désire pas, chacun in voit dans sa maison de fort touchants ; des domestiques heureux, des
84 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139
, charge considérable qui avoit sur cette matiere juridiction dans la Maison du Roi & dans tout le royaume (l’empire de ce
endoit le mariage entre parens jusqu’au septieme degré, & dans la maison des Evêques & des Abbés, & dans les Cloit
t d’injustice. Il y a des milliers de Couvents, & il n’y a qu’une maison pour les Officiers & Soldats estropiés, qui n
ous les vices c’est à ses yeux le plus grand. P. 87. Il avance que la maison de Charlemagne a péri parce qu’il força les Saxon
kins se fit volontairement Chrétien ; son élévation & celle de sa maison fut la récompense de sa conversion très-sincère,
nnorum series & fuga temporum, &c. On parle ainsi aux petites maisons  ; le théatre en a la réalité, il ne lui manque qu
85 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « Stances à Madame Isabelle, sur l’admiration où elle a tiré la France » pp. -
eur ôte le courage : Apollon couvert d’un nuage, Pleure de toutes ses maisons . Soudain Jupiter qui désire Qu’heureux fleurisse
86 (1697) Essais de sermons « POUR LE VINGT-TROISIÈME DIMANCHE D’APRÈS LA PENTECÔTE. » pp. 461-469
e ; et à l’heure même cette femme fut guérie. Jésus étant arrivé à la maison de ce Prince de la Synagogue, vit les joueurs de
tandis que ces danseurs et ces joueurs d’instruments seraient dans la maison du Prince de la Synagogue ; c’est pourquoi il les
87 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. »
la différence entre les Comédiens publics et ceux qui jouent dans les maisons particulières, 207 Nerva favorise les Comédiens,
92 Pline le Jeune, tolère les Comédiens qu’on faisait venir dans les maisons particulières, 208 Pomponius Secundus Poète, son
88 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVIII. Autorité des loix. » pp. 45-47
e dans les vieillards ? L’opprobre des familles, la discorde dans les maisons , les larcins, les jalousies, les meutres ne sont-
89 (1590) De l’institution de la république « QUATORZIEME TITRE. Du Théâtre et Scène. » pp. 507-508
sentant leur Royauté ou Seigneurie. Ceux de la Comique représentaient maisons d’hommes particuliers, ayant leurs fenestrages et
90 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Fêtes de Théatre. » pp. 169-185
le fondation : non pas d’un Hôpital, d’un Collége d’une Eglise, d’une maison Réligieuse, mais d’un Théatre dans sa patrie, qu’
is d’un Théatre dans sa patrie, qu’il a élevé à grands frais, dans sa maison & dans la plus belle salle, petite à la vérit
e accourut pour l’éteindre, il y fut étouffé, le feu se porta à seize maisons voisines, & menaçoit toute la Ville, heureuse
91 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Machiavel. » pp. 198-214
résenter à Rome. Léon, éleve dans le faste & le luxe des Médicis, maison qui a fait tant de mal à la France & à l’Egli
Trois Papes de son temps avoient favorisé les Médicis, deux de cette maison , Léon X & Clément VII, directement & par
l’indigence. Ces Papes avoient menagé l’alliance des Médicis avec la maison de France, qui fut pour elle un puissant appui. Q
92 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VIII. De la Folie. » pp. 163-179
au peuple qui va voir rouer un voleur. Je la compare ici aux petites maisons , et les spectateurs aux personnes qu'une misérabl
x, et une troupe composée de ces Acteurs ; on verrait que les petites maisons et l'Hôtel ont une étroite liaison. L'un est un a
ppelle heureuse  ? Comme un Prédicateur qui irait prêcher aux petites maisons , on dira de moi : « Souvent, comme Joli, perd son
93 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [H] » pp. 416-417
en voit communément dans les Villes : & les Satyriques, quelques maisons rustiques, avec des arbres, des rochers, & le
94 (1580) De l’institution des enfants « De l’institution des enfants. Essais, I, 26 [fin] »
Comprendre : que je ne condamne pas pour les jeunes enfants de bonne maison . j. [NDE] « Il découvre son projet à l’acteur tr
95 (1686) La Comédie défendue aux chrétiens pour diverses raisons [Traité des jeux et des divertissemens] « Chapitre XXV » pp. 299-346
maniere de gens, soit par forme de logis & hosteleries, en leurs maisons privées, sur les autres peines : ainsi nous le vi
à chacun des delinquans, ensemble de ceux qui les retireront en leurs maisons de cent écus d’amende pour la premiere fois : &am
ent, ou pour avoir plus de liberté d’aller joüer, ou danser, dans les maisons & dans les assemblées. Les Chrêtiens peu inst
es se masquent & courent les Villes en cet état, dansant dans les maisons des Grands & des riches, où ils sçavent qu’il
onde un plus grand divertissement que de courir ainsi masquez par les maisons . Ils voïent & ils connoissent tout le monde,
dit il, assez ordinaire parmi les François, d’aller masquez dans les maisons d’autrui, ne voulant pas estre connus, leur consc
96 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16
mains, qui prendraient tout l’emplacement qu’occupent aujourd’hui les maisons  : l’on découvrirait le fleuve des deux côtés ; l’
être goûtée dans notre siècle : mais d’abattre, d’un côté, toutes les maisons jusqu’à l’Hôtel-du-Premier-Président, & toute
97 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XV. Des nouveautés & de leur nombre. » pp. 2-7
est jeune, belle, spirituelle, du meilleur caractère & de grande Maison , l’abandonne-t-il pour courir après les caresses
98 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XX. Silence de l’Ecriture sur les spectacles : il n’y en avait point parmi les Juifs : comment ils sont condamnés dans les saintes Ecritures : passages de saint Jean et de saint Paul. » pp. 72-75
comédies, me fait souvenir qu’il n’avait pas besoin d’en parler à la maison d’Israël pour laquelle il était venu, où ces plai
99 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120
Ils firent connoissance à Avignon, lorsque ce comédien, fugitif de la maison de son pere, amoureux de quelque actrice, se donn
ui ne servent à rien. Pour augmenter l’embarras, on introduit dans la maison de Moliere, je ne sai à quel titre, de domestique
s les jours ? Furieux contre le scélérat, au lieu de le chasser de la maison , de le rouer de coups, il imagine pour se venger,
e Moliere en a bien d’autres). Ce dévot se glisse furtivement dans la maison , à l’insu de tout le monde (qui le connoît hypocr
t hypocrite). Il parle aux Bejard, qu’il faut supposer logées dans la maison de Moliere. (Pourquoi donc Moliere veut-il enleve
100 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
it à tout ce que le monde a de plus vicieux ; mais d’en remplir votre maison , et de ne vouloir pas que rien là-dessus de nouve
er. Parce qu’on ne peut accorder ensemble le jeu et l’entretien d’une maison , on abandonne la maison, et l’on ménage tout pour
accorder ensemble le jeu et l’entretien d’une maison, on abandonne la maison , et l’on ménage tout pour le jeu ; on voit tranqu
ceux que la famine dévore. Par où ? par les besoins domestiques d’une maison , où tout manque afin que votre jeu ne manque pas.
-mêmes ? David se trompoit-il, lorsqu’il s’écrioit qu’un jour dans la maison de Dieu et avec Dieu, valoit mieux pour lui que d
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