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1 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230
ceux qui ont eu plus de suffrages, & on exhorte les autres à les mériter une autre année. Si c’est l’année des filles, ell
distribution, une mere donna sa voix à une êtrangere, disant qu’elle méritoit mieux le prix que sa fille. A la seconde, le garç
t le mieux réussi : sera-ce aussi une belle émulation de vertu qui la méritera  ? Entrera-t-elle dans les vues des Aspirans &
tre plus précieuse dont l’éclat sera éternel : voilà celle qu’il faut mériter ainsi que vos Compagnes ; je les invite à prendre
& à venger ce siecle du reproche qu’on lui fait de les corrompre, méritoit de paroître dans une Paroisse où des hommes plein
e de vos compatriotes, vous défère la couronne. Vos compagnes qui ont mérité d’être vos émules, & dont la conduite me fait
du lustre à la beauté en continuant à être l’exemple des filles, vous mériterez bientôt une destiné aussi glorieuse & aussi u
lle caresses, & l’exhorterent à persévérer dans la vertu, & à mériter une plus prétieuse couronne de la main de Dieu mê
nt tes habitantes, Dignes d’un tel honneur, Par des vertus constantes Mériter leur bonheur.     5. Fruit de la bienfaisance,
2 (1620) L’Honneur du théâtre « Prologue » pp. 39-42
nts pour les faire aspirer à la grandeur, excite les plus puissants à mériter un los immortel, salaire de leurs bonnes vies, an
générosité ? Sans vanité, Messieurs, les louanges que l’histoire peut mériter sont légitimement redoublées sur nos personnes, v
es grands jeux Olympiques et Romains, où les plus ignorants pouvaient mériter le prix d’une insigne victoire. Ce Comédien Romai
3 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre II. Du Théâtre Moderne, & de celui des François. Celui-ci comparé au Théâtre Grec. » pp. 25-38
me des Latins, dans la Tragédie. Si elle en a quelques-unes qui ayent mérité les suffrages du bon goût, elles ont été faites d
e qui perçoient, de tems en tems, ce cahos informe, & le desir de mériter un applaudissement plus flatteur, découvrirent un
attira les regards du Monarque, entra dans ses divertissemens, & mérita ses bienfaits & sa protection : en un mot, il
elle voudroit pouvoir égaler la vie à celle de Nestor, continuent à y mériter les plus grands éloges. Pirrhus, Radamiste &
4 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la suprématie de la puissance séculière sur la puissance ecclésiastique ; des erreurs et des crimes du clergé et des anathèmes fulminés par les conciles contre les prêtres et les séculiers qui attentent à l’autorité et à la vie des souverains. » pp. 331-345
n exemple aux autres ordres de l’Etat. » Cette mercuriale, justement méritée et justement appliquée, devait porter le clergé à
citent l’indignation de tous les hommes de bien, en même temps qu’ils méritent toute la répression de l’autorité séculière. Mais
qui autem occiderit, etc. ; vous ne tuerez point : et quiconque tuera méritera d’être puni par le jugement. Evang. de S. Matth.,
et notre histoire leur paie à cette occasion un tribut d’éloges bien mérités . Il reste donc aux procureurs et avocats-généraux
5 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Treizième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 254-259
cœur à côté d’elle. Que va penser de moi le respectable ami que je ne méritais pas ? Des Tianges ! si tu connaissais celle qui m
vre… l’avoir trahie… m’être privé de mes droits à sa fidélité ! avoir mérité son mépris, sa haîne, sa vengeance… Eh ! qu’a don
dire !… Un goût, que je n’ai pu détruire, joint à des applaudissemens mérités , m’a jeté loin de moi-même… Voila la cause de ma
6 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. —  De la Comédie.  » pp. 267-275
préposés pour maintenir les Loix, et pour décerner les punitions que méritent les Prévaricateurs, qu’il appartient d’en prendre
Pourquoi la fait-on triompher toujours sur la Scène, comme si elle ne méritait pas la moindre correction ? Car les amours les pl
aminer si parmi les Pièces qui subsistent il y en a quelques-unes qui méritent d’être conservées, et si, dans la corruption géné
7 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre I. Du Théâtre des Anciens. » pp. 2-24
u’il ne fût aussi glorieux de donner des Spectacles au Peuple, que de mériter les honneurs du triomphe. Armand, après la conquê
vérité reconnue ; mais on ne nous en a guères donné de raisons. Elles méritent de trouver ici leur place. Le génie, ennemi de l
nétrer les unes d’admiration & les autres de ce desir noble de la mériter . Quelques Auteurs Latins ont fait des Tragédies,
s bourgs de leur naissance partageoient leurs honneurs. Les couronnes méritées , par leurs Citoyens, leur donnoient quelquefois d
moires que les premiers leur fournissent. Enfin les grands hommes ont mérité les regards de leur contemporains, avant les ridi
8 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. La Rosiere de Salenci. » pp. 10-37
s filles aspirent à la gloire de la couronne, & s’efforcent de la mériter par leur sagesse ; les garçons aspirent tous au b
pere, Pour que son fils le nourrisse à son tour. Fille on ne veut que mériter la rose : Epouse on songe à respecter la foi. Qua
eul arbitre de la Rose ! Au lieu de tâcher par une belle émulation de mériter l’estime publique, on ne songeroit qu’a lui plair
ne de la couronne. La faveur n’y eut point de part, sa vertu reconnue méritoit la préférence : peut-être même avoit-elle inspiré
êmes qui n’ont pas été préférées n’en sont pas moins estimées : c’est mériter l’estime de tout le monde que d’être jugée digne
énit sa pieuse ferveur, D’un commun choix sa sœur fut la premiere Qui mérita l’heureux nom de Rosiere. ……………………………………………………………
iere. ………………………………………………………………………………… Pour obtenir la rose il faut la mériter  ; On ne connoit la faveur ni la brigue, A sa riva
d’une fille qui ait eu quelque foiblesse, & d’une Rosiere qui ne méritât la couronne . Aveu qui condamne l’esprit, le lang
u’ont pris pour regle les juges de la rose & les filles qui l’ont méritée  : la couronne à ce prix seroit aisée à obtenir, &
deurs de l’Ordre, croyant que la vertu valoit bien la noblesse, & méritoit des distinctions. Le ruban bleu n’en seroit plus
9 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « L. H. Dancourt, Arlequin de Berlin, à Mr. J. J. Rousseau, citoyen de Genève. » pp. 1-12
i peut mieux que lui réfuter les reproches que vous lui faites, s’ils méritent de l’être ? Je me suis contenté de consulter là-d
, et ego te semel in mari »c . Alcibiade paya ce Comédien comme il le méritait . L’impudence ne peut exciter que la honte et la c
respectées des seuls Français n’auront pas acquis le crédit qu’elles méritent dans l’esprit des Dramatiques de toutes les natio
st travailler en faveur du vice. Il s’agissait de les corriger, s’ils méritent les reproches que vous leur faites : il fallait o
10 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IV. » pp. 68-81
l’en croire. Il ne comprend pas en quoi cette troupe académique a pû mériter l’indignation des Pasteurs : ceux-ci ont grand to
ts du Parterre. Moliere n’avoit aucun besoin de cette précaution pour mériter son suffrage : il a joué la dévotion, parce qu’il
s impies qu’ils leur attribuent doivent charmer les Spectateurs & mériter leurs applaudissemens. Le danger n’est pas moindr
11 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. Que le Musicien doit seconder le Poète, & que le Poète doit s’entendre avec le Musicien. » pp. 292-296
able, puisque la musique était une partie de l’Education. Mais ils ne méritent pas moins d’être proposés pour éxemple. Nous somm
e Musicien, enorgueilli des applaudissemens qu’on lui prodigue, croit mériter le pas. Si les uns & les autres voulaient sui
12 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
t le sujet. Je ne m’étendrai point sur cette question, qui cependant, mériterait d’être d’autant plus éclairée du flambeau de la c
social réclame les égards qui sont dus à celui qui, de son vivant, a mérité l’estime de ses concitoyens. Nous ajouterons qu’u
s que ce même député a prononcé avec toute la convenance que le sujet méritait , et sans blesser l’orthodoxie la plus méticuleuse
u poète Homère, et je lui lancerai la plus grosse injure, et la mieux méritée . « C’est à vous, jésuite hydrophobe et lycanthro
ne censure inquisitoriale, il n’en est pas moins vrai, que ce libelle mériterait à plus juste titre, d’être poursuivi par un réqui
13 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IV. » pp. 17-22
à l’esprit n’offre de tous côtés, Que pénitence à faire, et tourments mérités , Et de vos fictions le mélange coupable, Même à s
este de ses bévues et de ses sottises il en a reçu la confusion qu’il méritait par le jugement qu’a fait de son libelle l’Auteur
14 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228
rt des mœurs, offriraient la matière d’une discussion importante, qui mériterait d’être traitée avec une certaine étendue : mais c
regrettant de taire le nom de tant d’autres non moins illustres. Ils méritent notre admiration, car tout mortel qui excelle dan
15 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PRÉFACE. » pp. -
elle serait seulement plus ménagée, et se ressentirait des égards que mériterait l’Auteur : mais qu’il vienne de moi qui, pendant
rmi les Pièces soit anciennes soit modernes, on en trouverait peu qui méritassent l’approbation de ces deux Saints Docteurs. Quand
16 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « AVERTISSEMENT. » p. 2
Anonyme, pour attaquer impunément un homme illustre qui n’a pas moins mérité , par ses écrits, de sa république, que de celle d
17 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre III. But que le Spectacle moderne doit se proposer. » pp. 123-132
angue, on aurait bien dû insérér le mot Opéra-Bouffon. Cet article ne méritait pas d’être omis. En attendant, le Public se conte
éra-Bouffon ait aussi un motif, un dessein déterminé, sans quoi il ne mériterait pas le nom de Spectacle, & serait indigne de
18 (1846) Histoire pittoresque des passions « RELIGION » pp. 158-163
nous peint indignes du paradis, parce qu’ils n’ont rien fait pour le mériter , et que l’enfer même refuse d’admettre parmi les
, et on pourra dire alors qu’ils auront fait bien des efforts pour la mériter . Mais jetons un coup d’œil rapide sur les ministr
19 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152
uillés par leur séjour, il importe peu d’y voir leurs images : ils ne méritent pas d’être ailleurs. S’ils sont assez téméraires
e on doit faire l’aumône avec sagesse, et préférer les pauvres qui le méritent , que ce ne soit jamais qu’après qu’il auront quit
ruinés pour y fournir, qui même par ses talents en coquetterie avait mérité que les autres Actrices vinssent recevoir ses leç
rmettant néanmoins d’enchérir à l’envi les uns des autres, pour mieux mériter sa tendresse. Elle sait à propos faire la dévote,
à des filles de théâtre nées dans le libertinage ? quelle punition ne mériteraient pas les insultes qu’elles font à la vertu, si ell
i, Vadé, et cent autres dont la plupart des pièces en sont semées, et méritent qu’on les chassât. On ordonne à tous les Juges d’
20 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — section »
lle *** : on la chérit, on l’estima, & jamais elle ne cessa de le mériter . Madame Des Tianges & sa sœur jouirent d’une
21 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
ine, si les ministres du culte sont dignes de cette confiance si bien méritée , que leurs prédécesseurs obtenaient à des époques
ns, que je ne prétends pas avoir défendue aussi habilement qu’elle le méritait , est pourtant bien facile à comprendre. L’article
22 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrysostome. » pp. 181-192
rer le vice, & fournir les occasions de péché ? Quel châtiment ne méritez -vous pas ? vous refusez au pauvre, & vous pro
lement ceux qui commettent, mais encore ceux qui favorisent le péché, méritent la punition ? Vous louez, vous admirez cette dans
rt de ceux qui composent cet auditoire vivent régulierement, & ne méritent pas ce reproche ; mais la douleur d’en savoir tan
23 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
e l’exclusion à des Tragédies qui, en comparaison de celle de Phedre, mériteraient presque d’être placées parmi celles que je conser
dais point examiner les Tragédies dans tous les points qui pourraient mériter d’être critiqués, mais seulement par rapport à la
sont tous les trois amoureux ; leur conduite est si folle, qu’ils ne méritent pas moins que les Petites-Maisons. Leurs caractèr
24 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119
CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. Ces Pièces méritent une attention particulière, ce livre divin est di
parle que de son style, dont l’élégance a plutôt excité l’envie, que mérité la censure. Sans vouloir en faire l’apologie, je
dre : « Animalis homo non percipit ea quæ Dei sunt. » Les spectateurs méritent -ils mieux de voir ouvrir les sceaux de ce livre a
ique plus tendre, de donner de la galanterie à ses deux pièces, et de mériter la juste censure de Boileau contre le Romancier
pour cet ouvrage qui par l’assemblage du solide et du chimérique, ne mérita pas moins que les autres le titre de rêves d’un h
25 (1704) Des Bals et Comedies « Des Bals et Comedies. » pp. 31-33
ux qui y consentent, et à plus forte raison ceux qui y contribuent ne méritent pas moins d'être punis, que les auteurs. Nous enj
26 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « [Introduction]  » p. 2
ononçait la condamnation du théâtre, que funeste au bien public, elle méritait toute l’animadversion d’un sage gouvernement. Ce
27 (1640) L'année chrétienne « Des Recreations, Jeux, et autres di- vertissemens, desquels l’ame Chre- stienne se peut servir durant la journée. Chapitre IX. » p. 851
ve de la gloire, et celui qui la fait un accroissement de grâce, pour mériter les récréations éternelles. a. [NDE] Le passag
28 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95
e à l’esprit n’offre de tous côtés Que pénitence à faire et tourments mérités  : Et de vos fictions le mélange coupable, Même à
teurs, des pièces. C’est bien là la véritable fête des fous, elle n’a mérité ce titre que parce qu’on a transporté le théâtre
spectacle ? Dieu, ses mystères, sa parole, ses Saints, ses Ministres, méritent -ils moins des égards respectueux ? les choses sai
; ils étaient trop sages pour en courir le risque. Les choses saintes méritent la plus respectueuse circonspection. Le théâtre a
et de Comédien devenu Chrétien abjura le paganisme et le théâtre, et mérita la couronne du martyre. A propos de S. Genest, on
û faire des conversions, c’est dans des excès aussi ridicules, qui ne méritaient que la risée publique ; mais on n’arrête pas par
29 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVIII. Eprouver par soi-même si les spectacles sont dangereux, c’est vouloir tomber dans les dangers qu’ils offrent. » pp. 154-163
rce et plus d’orgueil, et qui n’est présomptueuse que parce qu’elle a mérité de ne pas connaître ce qu’elle vient de perdre. C
bé, et par quel remède Jésus-Christ veut le guérir ? Quelle confiance méritent donc ces personnes, quand elles assurent que les
30 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PENSEES SUR LES SPECTACLES. » pp. 1-12
rce et plus d’orgueil, et qui n’est présomptueuse que parce qu’elle a mérité de ne pas connaître ce qu’elle vient de perdre. C
é, et par quels remèdes Jésus-Christ veut le guérir ? Quelle croyance méritent donc ces personnes, quand elles assurent que les
31 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies a corriger. » pp. 295-312
n y verrait dans Crémante et dans Ismène la punition que reçoivent et méritent ceux qui, dans un âge mûr, n’ont pas honte de s’a
la vivacité impétueuse avec laquelle ils se témoignent leur passion, méritent aussi une juste critique : et au surplus, quelque
32 (1675) Traité de la comédie « XXXI.  » pp. 325-326
e principe de cette action ; c'est par votre Croix que vous me l'avez méritée  ? Y a-t-il quelqu'un assez aveugle ou assez endur
33 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
ndromaque, au contraire, ils sont punis avec toute la sévérité qu’ils méritent . De quel autre sort en effet pouvaient être suivi
t que j’attaque partout où je le rencontre, ne me paraît pas toujours mériter d’être bannie du Théâtre, comme je l’ai déjà dit.
. Je conviens que c’est là ce qui m’a le plus choqué, et qui m’a paru mériter tout ce que j’ai dit dans l’examen de la Tragédie
ni qui fût de mauvais exemple : et, quant aux petites bagatelles qui mériteraient ou d’être corrigées, ou d’être supprimées totalem
34 (1694) Lettre à l’abbé Menard « Lettre LIII. De remercîment à M. l’Abbé Menard. Il y est parlé de quelques Ouvrages dont ont porte le jugement. » pp. 62-63
’autres antisatyres. Je vous serai obligé si vous m’envoyez ce qui le méritera de ces petits ouvrages qui courent. J’ai été fort
35 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Lettre premiere. » pp. 2-17
de leurs Reglemens, & dans la démarche que vous faites, que vous méritiez leurs suffrages. Les fidéles particuliers ne font
s Comédiens, sans exception, font réellement excommuniés. 2°. Ils ont mérité de l’être, nos Spectacles étant propres à corromp
36 (1731) Discours sur la comédie « a tres-haut et tres-puissant seigneur, monseigneur louis-auguste d'albert d'ally, duc de chaulnes, pair de france. » pp. -
plus rare que vos vertus, ne me pardonnerait pas des louanges si bien méritées . Je me borne donc à prier le Seigneur pour la con
37 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouvrage intitulé : Des Comédiens et du Clergé, et sur les charlataneries littéraires, politiques et religieuses. » pp. 52-86
e la confiance des peuples. Tant que le premier ministre d’Angleterre méritera l’honorable confiance dont il est investi, ses su
convenances et d’expressions de mauvais goût. Un si puissant athlète, méritait bien d’être agrégé dans les jacobinières jésuitiq
ière qu’elles puissent servir à faire valoir les traits saillants qui méritent le plus grand jour. Je l’envisagerai sous différe
, libérateur, tant que ce dernier marchera sur les traces du premier, mériteront à jamais la reconnaissance et la vénération des p
38 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXI. Si les Comédiens épurent les mœurs. Des bienséances qu’ils prétendent avoir introduites sur le Théatre » pp. 86-103
même dans les grands crimes comme dans les moindres ; il ne faut pas mériter l’échaffaud pour sentir la voix des remords. S’il
se pour nous la bonne opinion & l’estime publiques. Moins nous la méritons , plus il redouble d’efforts pour nous l’obtenir.
39 (1664) Traité contre les danses et les comédies « INSTRUCTION, et avis charitable sur le sujet des Danses. » pp. 177-198
es danses non seulement, n’ont pas été mauvaises, mais même elles ont mérité louange, ayant été faites par un sentiment extrao
s passe-temps des danses, auxquels elle était passionnément attachée, mérita que la Sainte Vierge Marie mère de Dieu, avec les
40 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE V. Eloge de Moliere. » pp. 154-202
. Ce prodige du siecle dernier, dit-il, étant presque le seul qui pût mériter d’être vu & d’être écouté sur le Théatre, éto
amp; d’être écouté sur le Théatre, étoit d’une autre part le seul qui méritât de n’y jamais paroître : homme en effet qui dans
une apologie authentique du Théatre, a dû peupler le parterre, & méritoit un remerciment & une récompense de la Troupe.
en a rendu un très-grand par son Traité contre la Comédie. Son éloge méritoit plus que celui de Moliere, d’être le sujet du pri
en a pas trente de bons. Quelle énergie ! quel naturel ! Quelques-uns méritent des éloges ; mais les trois quarts ne font que le
mp; obtenir en effet les palmes littéraires, ce que la récompense peu méritée de son discours paroît n’avoir que trop justifié.
ses mœurs ont été plus corrompues, il n’a pas eu plus d’esprit, il a mérité aussi peu qu’on décernât des couronnes à ses pané
ophie, de mauvaise morale, de puérilité, d’erreurs & d’antitheses méritoit peu d’être couronné par l’Académie, & le suje
41 (1666) De l’éducation chrétienne des enfants « V. AVIS. Touchant les Comédies. » pp. 203-229
et que si celles contre lesquelles ils ont fait paraître tant de zèle méritaient le blâme qu’ils leur ont donné, celles qui se rep
dit Tertullien, qu’en donnant ce titre spécieux à cet ouvrage, qui ne méritait que d’être condamné, il éluda par cette superstit
et on se rend encore plus digne qu’eux de la condamnation qu’ils ont méritée . Si tout le monde s’accordait à ne vouloir point
42 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. L’Arétin, le Tasse, l’Arioste. » pp. 38-79
t, comme la Favart, ont aussi méconnu la sainteté de leur Juge, & mérité d’éprouver sa justice. Son libertinage fut sans b
prodigués ses admirateurs, & ceux qu’il se donne lui-même. Vous méritez les titres de Gallique, Germanique, Pannonique, I
Boispréaux, très-bien écrire, pleine de recherches, que cet homme ne méritoit pas qu’on fit pour lui. On y trouvera un très-gra
; car il n’y a gueres que son Aminthe & sa Jérusalem délivrée qui méritent l’impression ; tout le reste, en dévoilant les my
; la Maison de Médicis étoient fort maltraités. Les œuvres des poëtes méritent peu la colere des dieux, comme leurs flatteries m
s des poëtes méritent peu la colere des dieux, comme leurs flatteries méritent peu leurs faveurs : l’un n’est pas d’un plus gran
s ridicules, cette dispute académique est tombée dans l’oubli qu’elle méritoit  ; & quelques années après, le Tasse étant ven
43 (1640) L'année chrétienne « De la nature, nécessité, et utilité des ébats, jeux, et semblables divertissements. » pp. 852-877
der en ses récréations, jeux et autres divertissements, pour en iceux mériter l’Eternité. Article Second. Puisque Dieu vous a
vous vous recréiez extérieurement ; il faut conclure que vous pouvez mériter le Ciel en jouant, et en vous recréant ;On peut m
e vous pouvez mériter le Ciel en jouant, et en vous recréant ;On peut mériter le Ciel on jouant et se recréant. et d’autant que
able que les Saints ont fait çà bas en terre, et par laquelle ils ont mérité le Paradis ; et unie à celle, non pas que nous li
. Procurez donc, âme Chrétienne, cette intention en votre jeu, vous y mériterez beaucoup ; ne jouez pas par le seul motif de la n
en icelle. La Prudence. La Charité. La Modestie. La Dévotion. On peut mériter le Ciel on jouant et se recréant. Les récréations
44 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  RACINE. A Mlle. Le Couvreur. » pp. 77-80
e  Un jeune élève des neuf sœurs,  Qui par leurs premieres faveurs  A mérité ma confiance.  Hélas ! je me livre à sa foi.  Je
45 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129
beaux esprits, si c’est là le seul titre qui en ouvre les portes, le méritaient mieux que bien d’autres. Aussi quels noms à joind
et exprimé les sentiments de la Nation. » Rien sans doute n’est mieux mérité que ce beau titre ; mais je voudrais, pour l’honn
patrie, et je dirais, comme le Duc de Montausier à Louis XIV : « Vous méritez tous les éloges qu’on vous donne, mais est-ce à d
uable que votre vertu aura résisté à la séduction de la volupté. Vous mériterez des places plus élevées. Liv. 3. Ep. 51. Il fait
46 (1590) De l’institution de la république « SIXIEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut lire et quels on doit rejeter des Théâtres. » pp. 117-127
retenir les Poètes en la cité. et les honorer : car véritablement ils méritent d’être chéris et respectés de tous, tant pour ce
s. Et partant Hercule méprisant la première, et ensuivant la seconde, mérita louange immortelle.Eusebe liu. 12. ch. 2. de la p
le style familier, le rendant plus joyeux : en laquelle Callimaque a mérité le premier lieu entre les Grecs : de manière que
des Poetes La tins. comme la ville de Mevania par Properce, lequel ne mérita pas moindre louange en carme Elégiaque, que Tibul
47 (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45
sûr de nuire à la Religion, sur-tout si l’on fait parler ceux qui ont mérité la haine publique ? telle est la seconde objectio
lui manquer de respect que de l’éclairer ? Quel homme auroit le mieux mérité de ses Concitoyens ? celui qui dans des écrits ti
oquence. Ce n’est pas comme Ecrivain, c’est comme Citoyen que je veux mériter l’estime. Je consens que l’on dise de moi ; cet h
point, que des intérêts des Gens de Lettres. O François ! si vous ne méritez plus ce nom de Welches qu’un grand homme vous don
nce au fauteuil académique, à quelque misérable pension qu’il falloit mériter par la bassesse, à quelque place de Censeur Royal
48 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE III. Réflexions sur le renouvellement du Théâtre. » pp. 36-41
, d’un aveu unanime, que le Théâtre n’avait rien de mauvais, et qu’il méritait , au contraire, d’être soutenu et suivi ; mais, lo
49 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrisostome. » pp. 180-195
rentrer en eux-mêmes. Mais, dises-vous, quel est donc leur crime pour mériter d’être chassés de l’Eglise ? Quoi donc ! l’adultè
vous maltraitez cette épouse simple & modeste, non qu’elle l’ait mérité , mais parce que vous ne voyez votre maison qu’ave
mais pour voir des femmes sur la scène, où il n’est sûrement pas. Ne méritez -vous pas que la foudre tombe sur vous ? Si quelqu
50 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VII. De l’idolâtrie du Théâtre. » pp. 143-158
jamais. Cette idée de religion ne leur sauva pas une infamie si bien méritée . Le christianisme n’a point changé, il a augmenté
angé, il a augmenté ces idées ; l’infamie subsiste, et n’est que plus méritée , puisqu’ils osent se dire Chrétiens. Ils sont Prê
, d’abord grossier et sans règle, devint régulier, poli, agréable, et mérita d’être adopté par les passions d’un goût plus dél
51 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VIII. De la Folie. » pp. 163-179
olontaires et involontaires. Mais ceux-ci sont à plaindre, les autres méritent son indignation, parce qu'ils font librement prof
même un homme du commun. La simplicité et la grossièreté de la nation méritent cependant quelque indulgence, et les pieuses inte
tent cependant quelque indulgence, et les pieuses intentions de David méritent nos éloges. Il était ordinaire aux Juifs de danse
52 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des Sentences mélées à l’action Théatrale, chez les Anciens & les Modernes. » pp. 153-158
t les talens supérieurs dans d’autres parties de Littérature, lui ont mérité une place à l’Académie, a pourtant fait des effor
53 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XII. Des Spectateurs. » pp. 355-358
ivent souvent cette règle importante. Messieurs Sédaine & Quetant méritent entre-autres d’être cités. Le prémier fait sageme
54 (1715) La critique du théâtre anglais « PREFACE DE L’AUTEUR » pp. -
s ne nous ôtaient encore la vie. Pour leur rendre la justice qu’ils méritent  : leurs mesures sont bien prises dans le dessein
55 (1765) Apologie du théâtre français pp. 1-4
plaisirs ; Et tous unis ensemble ont les mêmes désirs : Tous veulent mériter l’honneur de vos suffrages. ***  Cette belle un
56 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31
et aveu suffit pour proscrire ces sortes de drames. Les Livres saints méritent trop notre vénération pour les y exposer, & n
coulant, une grande facilité à faire des vers, & de bons vers, il méritoit sa réputation littéraire, & la couronne poëti
le mal est fait. Que ne laisse-t-on les monstres dans l’oubli qu’ils méritent , pour ne proposer que les modeles des grands rois
e, tom. X, deux portraits de Moliere qui parurent de son temps, & méritent quelque attention par leur fidélité. Je sortis d
57 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Riccoboni. » pp. 4-27
blique, comme si c’étoient les murs, les décorations, les habits, qui méritent leur censure, non les pieces où se trouve le plus
nneur vous faites une prostituée qui n’est bonne qu’à corrompre. Vous méritez la punition que vous imposa Platon, vous chassant
é le théatre, que celui de leur temps, idolâtre, licencieux, emporté, méritoit leurs anathèmes ; mais que le nôtre bien différen
té, méritoit leurs anathèmes ; mais que le nôtre bien différent, peut mériter des éloges. Les nouveaux Docteurs ne pensent pas
58 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
, & que nous ne donnons plus à des jeux d’enfant, l’attention que méritent les choses sérieuses. IV. Outre les Théâtres de J
teur ou d’une Actrice les éléveraient à la perfection de l’art, & mériteraient l’attention du Prince & des recompenses de la
ectateurs. Ensuite, il prononcera tout-haut les peines que ces fautes méritent  ; à chaque sentence, le silence, ou le battement
teur. 42. Dubreuil, en 1723, quitté en 1758. 43. Grandval, Acteur qui mérita sa célébrité : les Rôles de Petit-maître, d’Homme
59 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
ou tout au moins d’en avoir les airs. Son orgueil et son libertinage méritent assurément d’être punis, et comme il est un sot,
els s’ils ne condamnent pas souvent au supplice des coquins qui l’ont mérité de la façon la plus comique ; quoique ceux-ci aie
faire un plus grand compliment à l’Auteur que d’observer qu’Angélique méritait d’être punie, et de lui reprocher qu’il avait mis
ous, un Philosophe qui loin d’être un Cynique sauvage s’est attaché à mériter par ses écrits le titre d’ami des hommes, qui ne
60 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIV. Le sentiment, juge plus sûr que le goût. Celui-ci préféré au premier. Pourquoi ? Amour du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop communs. Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on employe pour les éluder.  » pp. 129-150
ée avantageuse qu’on leur donne d’eux-mêmes, rallentit l’ardeur de la mériter . Elle porte le trouble dans leurs sens, & alt
veux, s’ils apprennent que quand des Acteurs ou des Actrices, avoient mérité d’être punis, ils se voyoient jusques dans leur p
61 (1698) Caractères tirés de l’Ecriture sainte « [Chapitre 1] — DU SEXE DEVOT. » pp. 138-158
’Église a donnée aux femmes ; l’on peut assurer que leur piété leur a mérité l’avantage d’être si glorieusement distinguées de
que nous ; et que cette tendre et fidèle piété ne leur ait justement mérité la louange d’être le Sexe dévot ? Nous parlons en
62 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 12. SIECLE. » pp. 187-190
ion aux Comédiens e aux Farceurs; d'où vous pouvez juger quelle peine méritent ceux qui les favorisent, Si vous vous représentez
63 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Henri IV. » pp. 121-168
e mariage du Roi avec Marie de Médicis. Ambassadeur en Angleterre, il mérita l’estime & la confiance d’Elisabeth & de
nisé, Henri a passé presque toute sa vie dans l’excommunication, bien méritée à cause de son hérésie, si bien reconnue qu’il en
uoique embellie par des détails & des notes. Ces petits sujets ne méritent ni le grand jour du Théatre, ni la décoration de
iecles, quand on en a sous les yeux ? Louis XV, Louis XIV, Louis XIII méritent d’en servir autant plus que Henri IV. Jamais Prin
ne parle pas du Théatre, dont les éloges innombrables & outrés ne méritent point qu’on les compte, & ne pourroient que f
e qualité la plus nécessaire à un Prince : Louis. XIII. portoit & méritoit le nom de Juste, comme son fils celui de Grand &a
Henri IV, qui avoit pour lui la plus grande confiance & la mieux méritée . Tout fut sacrifié au plaisir de se séparer de sa
64 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174
raver jusques dans les enfers. Oui, quand par son trépas je l’aurai méritée , Je veux joindre à sa main ma main ensanglantée
n exposant le vice paré des mêmes couleurs que la vertu ? Est-ce donc mériter le nom de grand, que de se jouer du vrai et du fa
rimer les Jésuites ? Si ces belles maximes dans une épître didactique méritent des couronnes littéraires, Buzembaun mérite-t-il
il du plaisir. Les charmes des Actrices ont obtenu la grâce de ce qui méritait les foudres ; leurs myrtes auraient-ils été flétr
, ce n’est pas ton sang qui l’a fait naître : Brutus, qui l’a versé, méritait mieux d’en être. Et vous sans redouter l’exempl
le Dieu des armées. Obéissez, frappez, teint du sang d’un impie, Méritez par sa mort une éternelle vie. J’en ai fait le
Hercule, la terreur et l’amour des mortels, Par de tels attentats mérita des autels. Destructeur des méchants, sois le D
65 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre prémier. Qu’on ne doit pas se figurer que la composition des nouveaux Drames soit aisée. » pp. 116-120
he & rampant, il ne faudrait pas les mépriser ; au contraire, ils mériteraient d’avantage notre estime. Qu’on juge de l’éffort q
66 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE V. Que la circonstance d'aller aux Spectacles un jour de Fête, et de jeûne est une circonstance aggravante. Que ceux qui les fréquentent ne sont pas disposés à approcher des Sacrements. » pp. 83-87
innocents. D. Sur ces principes ceux qui frequentent les spectacles méritent -ils de recevoir l'absolution quand ils se présent
67 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VI. Les spectacles produisent et favorisent l’incrédulité. » pp. 86-89
ts du parterre. Molière n’avait aucun besoin de cette précaution pour mériter son suffrage. Cependant il a joué la dévotion sou
68 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « AU LECTEUR. » pp. -
de mes raisonnements est vrai, juste et solide ; en voilà assez pour mériter son approbation. Ai-je eu l’art d’y joindre la dé
69 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre IV. Histoire de l’Opéra-Bouffon, autrefois Opéra-Comique & ses progrès. » pp. 50-66
ui l’Opéra-Comique a le plus d’obligation. Enfin celui qui devait mériter à jamais l’estime de la Nation, vint dissiper la
e. C’est alors que cet aimable Spectacle acheva de se polir, & de mériter tous les suffrages. Dernier accident qui lui
70 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatorzième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 260-274
sur cette Rivale odieuse qui lui enlevait un cœur qu’elle n’avait pas mérité de perdre. Elle voit donc la petite *** ; elle l’
toujours dans la suite pour sa tendre compagne, l’attachement qu’elle méritait si bien d’inspirer –. [Remarque de l’Éditeur.]
71 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
s des raisons pour lesquelles il a reçu une mortification qu’il avait méritée , croiront que c’est précisément pour avoir pris l
tacles, me paraît encore moins honorable pour eux. Une femme qui aura mérité quelque répréhension de la Police, se trouve sous
72 (1726) Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat « Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat » pp. 176-194
nos anciennes pièces de théâtre qui ont le plus réussi il y a 80 ans mériteraient d’être perfectionnées quelque temps après la mort
ux citoyens par des traits de ridicule le mépris et l’indignation que méritent les vices et les défauts, il négligeait fort l’ut
73 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  PRÉFACE. » pp. -
s les suffrages, ne me ravira pas le légitime salaire que mes travaux méritent  : s’il la trouve faible, je le conjure de m’honor
74 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XIII. S’il est nécessaire qu’une Pièce de Théâtre plaise autant à la lecture qu’à la représentation. » pp. 359-363
. Je suis, je crois, le prémier qui se soit avisé de la traiter. Elle méritait pourtant bien une place dans des Ouvrages faits a
75 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. Si la Musique Française est plus agréable que la Musique Italienne. » pp. 287-291
r m’a prévenu, & qu’il a senti quel était le genre de musique qui méritait la préférence. Mais comme il n’est que trop de ge
76 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PREFACE CONTENANT L’HISTOIRE DU DIX-SEPTIEME SIECLE, SUR LA COMÉDIE. » pp. -
st un faux Théologien : il y en eut même un, qui dit que cette Lettre méritait le feu, et que l’Auteur en devait faire une pénit
77 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE I. Faut-il permettre aux femmes d’aller à la Comédie ? » pp. 4-29
les fréquenter, on ne mérite que le mépris & la pitié ; & que méritent , que doivent bien-tôt mériter les femmes qui les
e le mépris & la pitié ; & que méritent, que doivent bien-tôt mériter les femmes qui les fréquentent ? En effet le théa
moins estimées ; leurs exploits font bien-tôt voir de quels lauriers méritent de ceindre leur front des guerrieres si bien exer
oient arrosée de leurs larmes, & bien peu d’Actrices l’ont autant mérité , Mais l’aimable Gaussin, retirée de la scène &
78 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125
cis et la description exacte de l’infamie légale. Cette infamie, trop méritée et trop bien justifiée, a fait donner aux Comédie
me sont toujours mauvais, et en général le métier et ceux qui le font méritent l’infamie dont la loi les couvre. Premier effet.
Parfait, on verra combien leur origine, leur conduite, leur fin, ont mérité le mépris que les lois en font. Les lois ont pour
. On ne peut déshériter une impubère incapable par son âge de l’avoir mérité  ; on ne peut de même déshériter un Comédien encor
79 (1632) Les Leçons exemplaires de M.I.P.C.E. « Livre III, Leçon X. LA COMEDIENNE CONVERTIE. » pp. 461-479
fait un dessert de ciguë aux représentations tragiques et sérieuses, mériteraient sans doute une sévère punition du Magistrat parce
ître ressentiront l’effet de votre Royale munificence. Si jamais j’ai mérité quelque grâce devant les yeux et les oreilles de
80 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
s’ensuivra seulement que les Auteurs dramatiques n’auront réellement mérité de leur patrie, que lorsqu’ils auront joint l’uti
agon ; si ce fils d’un Pêcheur ne devenait Roi que parce qu’il aurait mérité de l’être par ses vertus, je crois que la pièce a
exercé dans son obscurité aux vertus paisibles, et plus satisfait de mériter une couronne, que de la porter, était un personna
81 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — [Introduction] » pp. -1
îtresse, qui se moquoit de lui. Toutes les Vestales de Rome n’ont pas mérité l’apothéose. Les Vestales de l’opéra, des Italien
82 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [P] » pp. 441-443
ls de Scènes isolées, qu’on nomme Comédies-à-tiroirs. Momus Fabuliste mérita sans doute son succès par l’invention & l’esp
83 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « [Lettre] » pp. 4-32
c’était une nécessité absolue, et la moitié de Paris a douté qu’il le méritât . Ce n’est point un conte, c’est une vérité manife
uille prendre le parti de ceux qui sont dans ce doute, il suffit pour mériter le foudre qu’il fasse voir par un signe de tête q
84 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
accepte l’arrêt, Votre ressentiment choisit la main d’un autre, Je ne méritais pas de mourir de la vôtre, On ne me verra point e
rigue n’obtiendrait pas le rang qu’il a dans la Comédie s’il ne l’eût mérité par deux duels, en tuant le Comte, et en désarman
en donnant de fausses louanges aux choses, et aux personnes qui n’en méritent point, soit en déchirant l’honneur et la réputati
85 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. Des différens genres qu’embrasse le nouveau Théâtre. » pp. 14-20
’est pas que je ne sçache qu’on peut m’en montrer plusieurs qui ne la méritent pas ; mais en général c’est le nom qui convient l
86 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Cinquième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 33-39
ous la préférez Monsieur : mais en voulant me tromper, moi, qui ne le méritais pas, qui vous distinguais, que vous aviez su rend
87 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VI. Les obstacles qu’on peut rencontrer pour parvenir à la Réformation du Théâtre. » pp. 59-68
e instruction utile, on peut également l’estimer ou le mépriser, sans mériter ni louange ni blâme. Pour établir de nouvelles Lo
88 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VII. Histoire des Cas de Conscience. » pp. 159-189
n de loix & de décisions, ils deviennent l’objet du mépris qu’ils méritent . Mais à Rome, à Constantinople & dans les deu
ques, si authentiquement prononcées par l’Eglise, & toujours plus méritées . Les libertins se moquent des inutiles efforts d’
ues ou des peintures gazées, adroitement nuancées, dont il se fait un mérité , que les acteurs & les actrices attaquent la
répandit par tout des larmes, ce qui ne fut point exécuté. Le théatre méritoit d’avoir un tel fondateur. Il le fut moins par goû
89 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104
qu’il commençoit & menoit la danse de la fête. Toutes ces folies méritent -elles qu’on en parle ? Après ce dévot panégyrique
elles plus exemptes de désordre que ne l’ont été les danses sacrées ? mériteront -elles moins les anathèmes de tous les gens de bie
avoit si bien formées, & qui étoit elle-même si habile danseuse, méritoit bien les honneurs du Parnasse. Toutes ces folies
, parce qu’elle leur acquéroit le droit de continuer impunément de la mériter . Agamemnon, partant pour Troye, laissa auprès de
90 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Suite d’Anecdotes illustres. » pp. 184-225
une pièce où ce Prince étoit fort loué. Votre Majesté , lui dit-il, mérité tous les éloges qu’on lui donne, mais je suis sur
s je suis surpris qu’elle les laisse prononcer par des faquins qui ne méritent pas qu’on les écoute. C’est dans ce sens que le
tour ne fut pas en reste, ce sage Mentor y étoit infiniment haï & méritoit de l’être. Molière fit contre lui ses deux meille
médie, encore moins devoit-il honorer de sa presence une pièce qui le méritoit moins qu’une autre ? Le Festin de Pierre, ce suje
les mœurs qu’à donner un moment de plaisir par les jeux. Ce désordre mérité au comble dans les deux Royaumes, en est un des p
91 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197
. C’étoit un matérialiste déclaré, un blasphémateur, un athée, qui ne méritoit que le feu, à moins qu’on ne le renfermât dans le
de M. Gebelin ne doit point en souffrir, ses immenses recherches n’en méritent pas moins la reconnoissance du public. Le mot far
iers acteurs : cette négligence, regardée comme un manque de respect, méritoit l’animadversion. Les premiers acteurs furent mand
nt jouer comme il faut. Le comte de Rochefort étoit du nombre, & méritoit d’en être ; il ajoute fort naïvement, quoiqu’on
sope, Phedre, Lafontaine & les autres fabulistes, même médiocres, méritent des éloges. Mais il s’en faut de beaucoup que ce
ppercevoir ou laisser volontairement la matiere d’une condamnation si méritée  ? Encens d’ailleurs inutile à l’éloge du Chanceli
92 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 21-65
conclusion ! XI. Les applaudissements que les Auteurs s’efforcent de mériter , sont ordinairement ceux qui peuvent leur rapport
plaudissements qui lui sont dus ; les Acteurs jouiront de ceux qu’ils méritent  ; le Spectateur lui-même s’applaudira d’avoir été
93 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82
être regardés comme des séducteurs du genre humain. Voyons si nous ne méritons pas un titre moins odieux, en examinant vos auste
d’un préjugé frivole, des gens dont la conduite avec vous paroissoit mériter un jugement plus favorable. Est-il rien de plus i
énéreuse cede au desir de se rendre utile à ses concitoyens, & de mériter par ses travaux le prix de l’approbation & de
ambitionnant les applaudissemens, & redoutant le blâme public, en méritoit-t -il moins l’estime ? Mais, m’objectera-t-on, Horte
r la médiocrité de leur état pour raison de leur silence. Les voit-on mériter davantage l’attention des interpretes des loix, d
94 (1684) Epître sur la condemnation du théâtre pp. 3-8
sprit parmi nous allumé ! Mensonges séducteurs, pompeuses bagatelles, Méritiez -vous d’user nos plumes les plus belles ! Fallait-
95 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêtres, contre des Comédiens français. » pp. 141-148
comédiens, à des époques plus ou moins rapprochées, des outrages non mérités  ? Ces avanies, je le répète, affligent tous les h
96 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Diversités curieuses. » pp. 5-37
ils le panégyrique d’un tel Fondateur ? Voici peut-être ce qui lui a mérité grace. Le Sacerdoce du soleil n’étoit qu’un préte
mauvaises ; pour une applaudie avec justice, il y en a cent qui ne le méritent pas, parce qu’on ne peut ni juger ni composer de
                Le sifflet. Rotrou étoit un homme que le théatre ne méritoit pas ; sans en être amateur, il avoit le génie dra
les belles lettres, pour se livrer aux fonctions de sa chargé, & mériter mieux que Moliere les honneurs d’un éloge couronn
97 (1742) VIII. Conférence. De la Comédie, contraire aux promesses du Batême [Conférences théologiques et morales, IV] « X. Conference sur les sacremens. » pp. 223-247
salut des comédiens. Mais encore, qu’ont-ils donc de si odieux, pour mériter tous ces anathêmes lorsqu’ils ne disent & ne
modéle parfait sur lequel ils doivent se former. C’est vous seule qui méritez leur attention la plus sérieuse ; puisqu’en vous
bles honneurs : c’est par vos douleurs qu’on leur apprend le moyen de mériter de vraies délices & de goûter au Ciel les dou
98 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
atonique, n’est pas du nombre des Cagots & des Perroquets. Elle a mérité les plus grands éloges dans une vision, où il cru
he des Rois. On les écoute comme des oracles, & leur sagesse doit mériter cette confiance. Il puniroit ses sujets, s’ils s’
us les siécles de l’Eglise ont pensé comme nous sur l’irréligion. Ils méritent sa disgrace. Ecoutons le sage Salomon. Des impos
99 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE III. Théatre de S. Foix. » pp. 52-75
rrail, & le Derviche qui épouse six filles dans son isle déserte, méritent aussi-bien que les Veuves le double honneur, le s
étien, & que s’applaudir d’un succès qu’on devroit rougir d’avoir mérité , est bien contraire à l’esprit de l’Evangile. N’y
le public n’est pas scrupuleux ; on en fit de grandes plaintes, elle mérita l’animadversion de la police, qui en défendit la
100 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Moliere. » pp. 4-28
émie Françoise ne voulut jamais recevoir ce réformateur, quoiqu’il le méritât par son esprit, & son génie autant que Racine
es brillantes celui qui aura brulé le plus d’encens sur son autel, il méritoit donc bien d’être inscrit dans les registres de ce
eurs, tel le Pantomime qui fait rire. Nous serions trop heureux de le mériter  ; nos besoins ne sont plus de son ressort. Thalie
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