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1 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217
ord il se moque de cette puérile vanité. Quel mérite donc suppose une longue queue ? en a-t-on plus d’esprit, de talens, de fo
Camille dans la tragédie de Horaces de Pierre Corneille, traînoit une longue queue. A la fin de la piéce, après les imprécatio
es Paons. Les danseurs y ont de grandes robes, de vastes manteaux, de longues queues. Cette danse est fort grave. Il faut de te
richesses de Vertumne. Il peut aussi être une comette, dont la queue longue ménace les détracteurs du théatre, & pourroit
u’à dix ou douze annes. Il faut plusieurs personnes pour porter cette longue grandeur, & écarter tout aux environs, pour l
. Chaque paire de mules ne tient au carrosse que par des courroies si longues qu’on les perd de vue. Un grand Seigneur avec ses
tes, de leurs mouvemens ; ce fatras d’étoffe y est peu favorable. Les longues queues sont rares, elles ne subsistent qu’au Pala
lles, entrées, mariages, couronnement des Princes, où elles jouent un long rôle, dans les écussons, où l’on voit une foule d
eau, homme de Palais, s’en est moqué depuis longtemps : D’une robe à longs plis balayer le barreau. Quelle bizarrerie de g
oiblesses des passions se combattent ! on ne peut souffrir les habits longs , qui de tout temps avoient regné en France, &
er de ce qui gêne, & on met de la dignité à s’embarrasser dans de longues queues. Les femmes, qui raccourcissent leurs robe
e ; ce qui fait un plaisant assemblage de la courte juppe & de la longue queue. La danse à queue est une danse royale tres
our ne pas suivre leurs traces ; elle aime aussi peu qu’elles l’habit long . A peine & par force un jeune Conseiller pren
arlement & le Trésorier de la Sainte Chapelle paroissent avec une longue queue, portée par un poliçon, qui la tire à lui &
ans les cérémonies avec une soutane & un manteau, terminés par de longues queues, qu’on dit avoir un air de grandeur. Ainsi
laris & polimita . Mais une robe traînante n’est qu’une robe trop longue , non une robe à queue. Talaris signifie seulement
u souffre différentes interprétations. Les uns l’appellent Manicata à longues manches, comme les robes des Bénédictins ; les au
élégant caudataire. Je pense que le sacré College a donné le ton. Le long manteau, devenu robe, fut d’abord un ornement imp
aux Evêques. Il est vrai que par modestie ils ne la portent pas aussi longue que les Cardinaux, & que l’emploi de leur Cau
brille au chœur par une pointe majestueuse, le grand manteau est fort long  ; mais ni l’un ni l’autre n’a eu encore la hardie
elogramme de la largeur du derriere de la robe, & prodigieusement long . C’étoit un tapis qu’on traînoit. Il falloit au m
queue ? Rien de plus aisé ; la queue traînante de sa robe, changée en longs crins, y suffira : Longæ pars maxima pallæ cauda
e en longs crins, y suffira : Longæ pars maxima pallæ cauda fit. Ce long tapis traînant, sur lequel on pouvoit s’asseoir,
vrais titres de noblesse. Quoi de plus gentilhomme qu’une belle & longue queue, bien recoquillée qui passe élégamment entr
forfaits dans toutes les tragédies, & vous affubler de toutes les longues robes de théatre, votre style n’en vaudra pas mie
ême langage, & appelle effeminés les hommes qui portent ces robes longues & flottantes sans ceinture, comme celles des
De Constantinople à Pekin, pas une queue, quoique tout porte l’habit long  ; & chez les Catholiques d’Europe, quoique to
ier les génoux, & courber le corps, mais de se prosterner tout du long devant eux, de ramper, de se trainer. La moitie d
te. On voit dans les enterremens des gens affublés de noir traîner de longues queues en signe de deuil, jusqu’aux Militaires, q
signe de deuil, jusqu’aux Militaires, qui couvrent leurs tambours de longs crepes, & font traîner leurs armes. En effet
guise même souvent au théatre en prenant une robe de Palais, & la longue queue n’est pas une des moindres parties de la fa
’elles peuvent faire. Cette raison de modestie a fait prendre l’habit long aux femmes dans tous les pays du monde, à tous le
e l’un & la vanité du prix de l’autre. La loi qui ordonne l’habit long , & la legereté qui le raccourcit en le releva
vent par un nouveau ridicule ceux qui par air de grandeur traînent de longues queues, relevent la soutane par élégance. Doublem
its avec une ceinture ; car dans toute l’antiquité on portoit l’habit long , même en voyage on le relevoit pour être plus lib
2 (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191
e : « Qu’il vaut mieux obéir à Dieu qu’aux hommes ». Qu’après un très long discours, il laisse la décision de la question im
le devraient faire, il ne leur faudrait pas de grands discours ni de longues preuves pour décider juste sur ce chapitre ; et p
Religion de Jésus-Christ, trouve sans peine. Il ne sue point dans une longue Dissertation, pour ne faire qu’embarrasser la que
3 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381
mp; le geste, des mains jettées en l’air, & des exclamations trop longues , manus jactare & dulces exclamationes theatri
ins dans leur prononciation faisoient quelquefois breves des syllabes longues . Cicéron dit que dans ces mots inclytus, composui
enne, nous apprend que Virgile a fait dans Italia la premiere syllabe longue , que jusqu’à lui les Poëtes avoient fait breve. Q
ari debet oratio. Ainsi quand nous trouvons dans Virgile des syllabes longues qui doivent être breves, des voyelles qui se renc
que circum, n’étoit pas l’accusatif de Circus. Quoique toute syllabe longue , dit-il dans un autre endroit, ait deux tems, &am
deux tems, & qu’une breve n’ait qu’un tems, il y a cependant des longues & des breves plus longues & plus breves l
n’ait qu’un tems, il y a cependant des longues & des breves plus longues & plus breves les unes que les autres. Cette
es les unes que les autres. Cette différence entre bréve & breve, longue & longue, qui ne nous est pas connue, étoit s
ue les autres. Cette différence entre bréve & breve, longue & longue , qui ne nous est pas connue, étoit si sensible à
it peu paululum à cette mesure, en allongeant un peu trop une syllabe longue , ou rendant un peu trop breve, une syllabe breve,
ens & des syllabes, mais la différence entre breves & breves, longues & longues ; il est aisé de comprendre que tou
syllabes, mais la différence entre breves & breves, longues & longues  ; il est aisé de comprendre que toute Déclamation
4 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Privilége du Roi. » pp. 369-370
intérêts : A la charge que ces Présentes seront enregistrées tout au long sur le Registre de la Communauté des Imprimeurs &
chement. Voulons que la copie des Présentes qui sera imprimée tout au long au commencement ou à la fin dudit Ouvrage, soit t
5 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PRIVILEGE DU ROI. » pp. -
béissance ; à la charge que ces Présentes seront enregistrées tout au long sur le Registre de la Communauté des Imprimeurs e
ement : Voulons qu’à la copie des Présentes qui sera imprimée tout au long au commencement ou à la fin dudit Ouvrage, foi y
6 (1731) Discours sur la comédie « PRIVILEGE DU ROI. »
t intérêts. A la charge que ces Présentes seront enregistrées tout au long sur le Registre de la Communauté des Libraires et
t. Voulons que la copie desdites Présentes, qui sera imprimée tout au long au commencement ou à la fin desdits Livres, soit
7 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XI. De l’amour & de ses impressions dans le Poéme Tragique. » pp. 165-178
incesse, qui se refusant à celui à qui le devoir la donne, me fera de longues élegies, me débitera de brillantes maximes sur la
passion peut-elle produire un effet durable, & laisser d’elle un long souvenir, tandis qu’on l’interrompt par des huit
semble avoir épuisé tous ses traits. Ses douceurs anéanties dans une longue habitude, ne trouvent plus d’accès dans leur ame.
8 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVI. Efficace de la séduction des Spectacles. » pp. 36-39
s’insinue quelque fois comme goute à goute. Les chûtes de l’ame sont longues , elles ont des préparations & des progrès. On
ns en former encore aucune tentation sensible : mais ensuite après un long tems, il les excite & les réveille sans même
9 (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44
ent des choses un peu singulieres. Il a même assez souvent raporté de longs Passages qui n’avoient rien de fort exquis. On pe
» De tous les Droicts assez entends l’affaire » Pour exploicter sans long temps pretendu » Au fonds d’enfer je puisse estre
e soigneusement aux traditions populaires. Il fourre Au V. Livre. un long Episode concernant Denys l’Aréopagite, & son
ordination à l’Episcopat. Il en fourreLà même. un autre beaucoup plus long touchant la Mort, la Resurrection, & l’Assomp
10 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VI. Du Cardinal Mazarin. » pp. 89-108
’a fait authentiquement rétracter (ce fait reviendra ailleurs fort au long ). Pour M. de Noailles, successeur de celui-ci, la
onnaissaient bien la Sorbonne, dont ils étaient Docteurs, prouvent au long (Dict. v. Comédie) que cet illustre Corps a toujo
t la consultation très raisonnée de la Sorbonne est rapportée tout au long dans le Dictionnaire de Fromageau, et n’a jamais
de ses principes, et la consultation très étendue, rapportée tout au long par Fromageau, prouve combien elle est éloignée d
e comique, qui ferait honneur au Trissotin de Molière. Il rapporte un long passage Latin des Annales de Baronius, dont peut-
verain Pontife. Il y a deux relations différentes, rapportées tout au long par le Cardinal Baronius à l’année 1177, des circ
11 (1733) Traité contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE TRAITÉ. CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 247-261
mphithéâtres. Vitruve, Juste-Lipse, Rosin, et d’autres en ont fait de longues descriptions. La forme en était ronde, et plus or
s. Il n’est peut-être aucune mode, qui ait tant varié que celle de la longue barbe, et des longs cheveux ; même parmi les eccl
aucune mode, qui ait tant varié que celle de la longue barbe, et des longs cheveux ; même parmi les ecclésiastiques. Pourquo
12 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre prémier. Déssein de cet Ouvrage. » pp. 2-7
çois, qui manque à notre Littérature, & qu’on lui souhaite depuis long tems. Le Traité de l’Art du Théâtre, que je prése
que je prenne cette liberté ; ou bien ce sera pour rapporter plus au long tout ce qui concerne un article intéressant. Sera
13 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [P] » pp. 441-443
On peut s’étonner que le véritable caractère de la Comédie ait été si long temps inconnu parmi nous ; les Grecs & les La
Nature sous les yeux : par quelle espèce de barbarie ne l’ont-ils si long temps imitée que dans ce qu’elle a de plus abject
14 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-10
e Dom Quichotte de la Manche est farcie de répétitions ennuyeuses, de longues histoires disparates, qui ne font que remplissage
mp;, pour y donner plus de jeu, tout y est mis en dialogue. C’est une longue comédie : on n’a qu’à la partager en actes &
le théatre ? La conséquence est aisée à tirer. Dans le cours de cette longue comédie, qui mérite mieux ce nom que le poëme du
15 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Actes ou des divisions nécessaires au Poème dramatique. » pp. 90-106
ut. Secondement, ceux-ci ne fesant pas attention qu’un amusement trop long devient enfin ennuyeux, s’étendraient autant qu’i
n aussi que l’intervalle d’un Acte à l’autre n’éxige pas un tems trop long , qui soit de beaucoup opposé à celui où le Théâtr
omédie-mêlée-d’Ariettes. Puisqu’il est démontré qu’ils sont déjà trop longs en trois, à plus forte raîson seraient-ils insout
16 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286
tre ; il est certain que nous avons aussi un grand nombre de Sillabes longues & brèves, que les personnes qui parlent bien
si dure, si peu mélodieuse qu’on le prétend. Quinault a prouvé depuis long  — tems l’énergie & la légèreté dont elle est
trude, est presque entièrement dans le genre Français. Il serait trop long de citer d’autres Drames. On peut aussi conna
Village n’est aucunement dans le goût Italien : sans y faire une trop longue attention, l’on s’appercevra qu’elle est tout-à-f
mp; la défigure sans scrupule ». Je vais citer tout de suite un assez long passage d’un Auteur Français, qui achèvera de pro
17 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VIII. De la Comédie les jours de fête. » pp. 159-179
r célébrer leur naissance spirituelle. Tout cela est expliqué fort au long dans le commentaire du Président Brisson : « Quam
leurs domestiques à beaucoup d’œuvres serviles, la toilette est plus longue et plus embarrassante, le baigneur, la coiffeuse,
e apprend-on, pratique-t-on cette sainte délicatesse ? Sa durée, plus longue que celle des plus longs offices, emporte une gra
n cette sainte délicatesse ? Sa durée, plus longue que celle des plus longs offices, emporte une grande partie du jour ; les
corps, par la cessation du travail. Mais un divertissement si vif, si long , si suspect, si opposé à la sainteté, ne fut jama
18 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre III. De l’Unité de lieu, de Tems & de Personne. » pp. 211-238
n trouve aucun précepte ni dans Aristote ni dans Horace ». Il fait un long raisonnement, dans lequel on entrevoit qu’il panc
e qu’on soit convenu de s’en écarter dans tous les Opéras-Bouffons de longue haleine. Quelle en est la raison. La rais
patience, la lègéreté Française, goûteraient-elles un amusement aussi long  ? Trois heures nous suffisent, & c’est encore
tenir. Que les vingt-quatre heures prescrites sont trouvées trop longues . Le sentiment d’Aristote au sujet de la durée
19 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre V. De l'impudence des Jeux Scéniques. » pp. 104-134
es occasions, pour apprendre d'eux les moyens de se délivrer d'une si longue et si cruelle maladie, et les Dieux leur répondir
ont à mon avis aucun rapport à ceux des Anciens : car elles sont trop longues pour être dansées tout d'une haleine, et les suje
es étaient rasés comme les autres Mimes, richement armés, et vêtus de longues robes de femmes. Ils y faisaient aussi paraître l
20 (1675) Traité de la comédie « VIII.  » p. 283
e à tomber quand on vient à s'en apercevoir. Les chutes de l'âme sont longues  ; elles ont des préparations et des progrès, et i
21 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VI. » pp. 27-35
peut encore servir à rappeler dans l’esprit la prise de Troie, et ces longues et cruelles guerres qu’Homère et Virgile ont décr
on leur impose que dans la crainte de blesser la charité par une plus longue résistance. Ils n’ont pas tous eu à la vérité la
22 (1733) Traité contre les spectacles « AVERTISSEMENT. » pp. 143-144
la terre ; mais surtout à l’idolâtrie, de laquelle il montre fort au long , que les spectacles tirent leur origine. 3°. Par
23 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 6. SIECLE. » pp. 180-181
dignation, et notre impatience : Si le Prêtre fait des prières un peu longues , nous sommes sans goût, et sans attention : Si ce
24 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — VII.  » p. 461
ce pas à tomber quand on tombe sensiblement, les chutes de l'âme sont longues , elles ont des progrès et des préparations; et il
25 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — VIII.  » p. 462
ans en former encore aucune tentation sensible ; et ensuite, après un long temps, il les excite et les réveille sans même qu
26 (1675) Traité de la comédie « IX.  » pp. 284-285
s en former encore aucune tentation sensible ; mais ensuite, après un long temps, il les excite et les réveille sans même qu
27 (1705) Traité de la police « Chapitre III. Du Théâtre Français, son origine, et qu’il n’a été occupé pendant plus d’un siècle, qu’à la représentation de pièces spirituelles, sous le titre de Moralités. » pp. 437-438
les commencements sous le nom de Chant Royal. Ce ne fut d’abord qu’un long récit en vers héroïques, d’un grand sujet qui éta
ait dans cette maison une grande salle de vingt-une toise et demie de long , sur six toises de large, élevée du rez de chauss
28 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre VI [V]. Élizabeth d’Angleterre. » pp. 142-187
frappé des medailles, & fait les plus belles fêtes, ne jouit pas long temps de ses crimes. A peine fut-elle affermie su
t sur le trône après elle. Leur regne ne fut ni plus heureux, ni plus long . Le nouveau Pape ne se croyoit pas infaillible, &
en avoit approché. Au reste, que réforma-t-elle dans les hommes ? les longues épées, les longs manteaux, les grandes fraises, c
Au reste, que réforma-t-elle dans les hommes ? les longues épées, les longs manteaux, les grandes fraises, c’est-à-dire ce qu
nois étoit estimé dix mille écus. Quoiqu’elle fut très fatiguée d’une longue cérémonie, & que ses habits fussent très-pesa
ur & toute la nuit précédente, quoique très-froide, & la plus longue de toute l’année, à se faire parer. Dès le matin,
ots sur l’importance des affaires qui leur faisoient trouver le temps long , & fort court à la Princesse. Elle lui donna
e assuré ? qui n’auroit pensé qu’après un si grand éclat, & un si long sejour, il ne se seroit pas accompli ? La France,
ge de théatre, comme l’avoient été tant d’autres. La piéce fut un peu longue . L’actrice joua bien son rôle. Cathérine de Médic
29 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVIII. D’une excuse de laquelle se servent ordinairement les gens du monde, pour justifier la conduite des jeunes hommes, et des jeunes filles qui vont au bal. » pp. 142-145
re avec ce bien imaginaire, qui traîne presque toujours après soi une longue suite de maux de toute espèce, les desseins abomi
30 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à conserver. » pp. 276-294
se, qui n’étant pas, ou ne voulant pas être sur ses gardes, l’avale à long traits : on n’y voit que l’excès de la passion.
tre de la Réformation. LES FACHEUX, J’ai parlé ailleurs trop au long de cette Comédie, pour m’étendre de nouveau sur s
31 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE III. Extrait de quelques Livres.  » pp. 72-105
r fait un chef d’œuvre en dialoguant en dramatisant tout l’Evangile : long tems auparavant on avoit fait contre la Reine Jea
e sa sœur fameuse dans l’histoire. Cette histoire à la vérité, seroit longue & fort sérieuse, peut-être même ennuyeuse &am
t les intéresse, les amuse, les instruit. Ce traducteur voyoit depuis long tems avec regret soustraire aux jeunes gens, à qu
plûpart mauvaises, toute médiocres. Le Mercure de Juin 1770, fait un long extrait, un juste éloge & une critique exacte
r la consommation des étoffes, & dont Boileau disoit d’une robe à longs plis balayer le barreau. Il imagina de faire ronf
e plusieurs de nos piéces modernes. Les premiers actes ne sont qu’une longue exposition ; l’action commence au quatrieme. Dans
32 (1824) Du danger des spectacles « INTRODUCTION. » pp. 1-3
lusieurs des usages et des plaisirs de la société, que l’empire d’une longue indulgence semble avoir consacrés. La nécessité d
33 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109
bit mondain. M. Bourdoise dans ses Sentences Cléricales, en a fait un long chapitre sous le nom de Prêtres déguisés. L’habit
erminé par des Canons & l’usage de tous les temps. C’est un habit long de couleur noire, d’une étoffe simple & modes
dont la figure a varié, & pour les voyages un habit un peu moins long , de la même couleur & simplicité. Ce qu’on y
se, sont plus délicats que les femmes, qui portent toujours des robes longues , & même à longue queue, &c. Il y a cent a
que les femmes, qui portent toujours des robes longues, & même à longue queue, &c. Il y a cent autres traits de ce ca
34 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XII. De l’autorité des Pères.  » pp. 49-51
Je ne veux pas me jeter sur les passages des Pères, ni faire ici une longue dissertation sur un si ample sujet. Je dirai seul
35 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — A SA MAJESTÉ IMPERIALE ELISABETH PREMIERE, IMPERATRICE DE TOUTES LES RUSSIES. » pp. -
eurs cœurs. J’offre donc à Votre Majesté Impériale les idées que de longues réflexions m’ont inspirées sur les moyens de réfo
36 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IX. Du Dialogue. » pp. 320-335
enre s’écartent presque toujours de la Nature, parce qu’ils sont trop longs , trop raisonneurs, à l’éxemple de Corneille. Au r
……………………… Je me dispense de rapporter le reste de cette Scène un peu longue , & j’espère que le Lecteur m’en saura gré. El
37 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre X. Les spectacles ne sont propres qu’à rendre romanesques ceux qui les fréquentent. » pp. 102-104
convient à une honnête femme. Les jours ne leur paraissent pas assez longs pour orner et embellir leurs personnes, afin de s
38 (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167
en convaincre, est-il besoin de rappeler des souvenirs amers ? De si longues années d’une expérience fatale à tant de victimes
ige à rentrer dans les sentiers de la vertu ? C’est ainsi qu’après de longs orages, et revenus enfin de leur égarement, les é
la plus parfaite résignation. Cessez donc, vous dira-t-il, cessez vos longs gémissements, épouse infortunée, que la faulx du
les temples retentissent du chant des fidèles qui demandent à Dieu de longs jours pour celui qui les a rachetés de la dispers
di et du nord, du couchant et de l’aurore, des hommes vieillis par un long âge ou par le malheur ; il est temps de leur donn
enaître à la fois avec l’éloquence des pères de l’église…. Pendant la longue nuit que la domination des barbares étendit sur p
s ont illustrés ? Le sort m’a refusé, je ne veux point le taire, D’un long amas d’aïeux l’éclat héréditaire : Et l’on ne me
raisonner contre la religion, de rassembler dans un grand ouvrage une longue énumération de maux qu’elle a produits, si l’on n
d’un véritable héroïsme, soutenu dans le calme et le sang froid d’une longue et pénible réflexion. Parmi ces jeunes gens si pr
s poètes contemporains ne la consolaient quelquefois de son triste et long veuvage. Faut-il donc s’étonner si tant de specta
qui empoisonnent jusqu’à la coupe du plaisir, quand il y veut boire à longs traits l’oubli même de ses devoirs, ou qu’il n’y
néreuse à cette famille infortunée, dont la chute épouvantable et les longs malheurs ont appris aux grands de la terre qu’il
sait au moins en adoucir l’amertume. En vain la nature épuisée par de longues veilles et de pénibles travaux, l’invite à consac
et de pénibles travaux, l’invite à consacrer à un repos salutaire ces longs jours où l’absence de Thémis écarte de la majesté
mortels, il évoque la déesse elle-même, et la force à rompre un trop long silence, en perpétuant ses oracles divins ; c’est
une doctrine ou fausse ou perverse. Avertis par une expérience et si longue et si douloureuse, du danger réel de l’influence
fleurs : Il n’avait que des cris, des sanglots et des pleurs. Mais de longs traits de feu, jetés à l’aventure, D’une chaleur
39 (1715) La critique du théâtre anglais « privilège du roi. » pp. 502-504
t intérêts. A la charge que ces Présentes seront enregistrées tout au long sur le Registre de la Communauté des Imprimeurs e
40 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129
in Platon (de Repub. Dialog. 3. et 10. de Legib. Dialog. 7.) parle au long des spectacles, de la poésie, de la musique et de
s, et l’y servir. Philon Juif (L. de Agricul.), après avoir décrit au long la frivolité, les désordres, les passions, les fu
aussi agréablement que sûrement et proprement, nous pouvons goûter à longs traits, par tous les temps et les heures entières
minima videtur de spectaculis loqui. » L. 3. Epist. 43. Il décrit au long les différentes espèces de spectacles, qu’il cond
41 (1590) De l’institution de la république « SIXIEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut lire et quels on doit rejeter des Théâtres. » pp. 117-127
ments des joueurs d’icelles, lesquels accoutrements étaient Toges, ou longues robes à la façon des Romains : et leur sujet étai
’est assez et plus qu’assez parlé des Poètes :Excuse d’avoir été trop long à discourir des Poètes. mais la douceur de leur b
et la joyeuse souvenance que j’ay d’eux, m’ont contraint d’être plus long  : et mêmes ne me semblait raisonnable de ne les p
li. 13. variæ hist. Volaterr. l. 19. Strabon. Excuse d’avoir été trop long à discourir des Poètes. L’auteur fort affectionné
42 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
au temps que j’ai vécu. J’ai consulté, outre les lumières de la plus longue expérience de mes doyens d’âge, les différents ge
babilité seulement, et sur qui j’ai donc l’avantage du temps, de plus longues observations, des faits, ou de raisons positives,
43 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE IV. Apologie des Dames. » pp. 119-155
ère sous ma plume, c’est ce qui me force à ne pas vous donner un plus long échantillon de ses talents. Dès que l’original pa
us y verrez que le catalogue des hommes abominables est beaucoup plus long que celui des femmes : vous y verrez à la vérité,
est un peu plus court que celui des hommes ; mais s’il n’est pas plus long , on doit conclure de la brièveté du premier catal
la Marquise du Châtelet ? L’Italie vous offre une liste beaucoup plus longue de femmes célèbres que la France, non seulement d
n’attendait pas de vous, après avoir dit le contraire tout le plus au long que vous avez pu] quand elles se battent, elles s
44 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XI. Les pères et mères perdent leurs enfants en les conduisant ou en leur permettant d’aller aux spectacles. » pp. 105-107
sant ou en leur permettant d’aller aux spectacles. « On y boit à longs traits l’oubli de ses devoirs. » Henriade, chant
45 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. » pp. 176-202
ces premiéres Piéces qui contenoient plusieurs Actions, étoient fort longues . Il y en eut une à Angers qui dura quatre jours,
rage parfait, & engagea Sarasin à le prouver. Sarasin qui dans sa longue Dissertation ne dit pas un mot de Corneille, donn
 ! Proh Curia, inversique Mores ! 7. Ce fait est rapporté plus au long dans le Supplément de Bayle.
46 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « V. » pp. 23-26
est ruiner en deux ou trois mois, autant que l’on peut, le fruit d’un long et pénible travail de tout Evêque, quelque Saint
47 (1715) La critique du théâtre anglais « PREFACE DE L’AUTEUR » pp. -
s dit : Un Inventaire de leurs meubles eût été etc. c’eût été un trop long ouvrage pour moi que de les recueillir tous exact
48 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Troisieme suite du Fard. » pp. 171-194
, que le Dictionnaire Neologique de l’Abbé des Fontaines, qui est une longue comédie de précieuses ridicules. Moliere, dit-on,
r procurer le double avantage de jouir quand on voudroit, des cheveux longs & des cheveux courts. La premiere mode, &
e tourna une troisieme fois, on voulut l’un & l’autre, les queues longues & les courtes queues. Pour contenter un goût
ut. La forme en a beaucoup varié, plates, gonflées, rondes, quarrées, longues , &c. Enfin, l’invention des perruques a porté
49 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
inventeur des modes aux abois. Ses manchettes d’un pied débordent ses longs doigts. Prenez un mandiant, trois jours qu’on le
tous les moralistes. On peut voir tout ce que nous avons dit fort au long sur la danse. Nous n’en sentons pas plus vivement
elles qualités, la divine Emilie étoit une actrice parfaite. Elle fit long temps l’honneur du théatre de Sceaux. Elle paroit
. Tout le monde est fait pour les erreurs . Chez les Magistrats en Long manteau redouble de fourure. Elle n’a d’yeux que
50 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
(dans son excellent Traité des Parlements), après avoir parlé fort au long des qualités, des mœurs, de la religion, de la gr
morion. Un plus grand détail serait inutile ; on peut le voir fort au long dans le recueil des statuts de la basoche, dans l
mmuniés, si elle peut demeurer dans son état, etc. L’Avocat, dans une longue consultation, soutenue d’un long mémoire, tranqui
son état, etc. L’Avocat, dans une longue consultation, soutenue d’un long mémoire, tranquillise la conscience timorée de la
51 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100
dégrade au-dessous de la canaille. Cette question est traitée fort au long par Tiraqueau (de Nobilitate C. 39. n. 13.). Il d
u théâtre, à l’occasion des diverses pièces de cet Auteur, et fort au long , Tom. 5. sur l’année 1633. La politique Romaine,
l’occasion de quelque tumulte qu’ils y avaient excité. Il en parle au long dans son Horloge des Princes, L. 3. C. 43. et sui
a même lettre à Lambertus que nous venons de voir, mais beaucoup plus longue , et dans bien des choses différemment tournées.
52 (1725) Mr. de Moliere [article des Jugemens des savans] « Mr. de Moliere, » pp. 339-352
ercher Qu’au bout du Vers jamais on ne le voit broncher Et sans qu’un long détour l’arrête ou l’embarrasse A peine a-t-il pa
Adversaire. 1. ¶. Baillet qui a si souvent écrit pédérastie tout au long , n’a osé écrire Cocu. 2. ¶. Il devoit dire en co
53 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7
s matières de la Grâce ? Ho, ho, direz-vous, il a fait auparavant une longue et sérieuse pénitence. Il a été deux ans entiers
’être. Retranchez-vous donc sur le sérieux. Remplissez vos Lettres de longues et doctes périodes. Citez les Pères. Jetez-vous s
54 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Suite d’Elisabeth d’Angleterre. » pp. 33-82
bertinage ; mais celle-là ayant refusé de se marier, celle-ci dans un long veuvage après avoir eu plusieurs enfans, & en
iez aussi long-temps que Mathusalem, puisque le chemin du Ciel est si long . Mais je n’en veux d’autre que toi. Il ne manque
suis lasse d’eux, il est temps de nous séparer. La Comédie avoit été longue , les Acteurs étoient fatigués, les Spectateurs en
le Chancelier Gardiner eurent avec Elisabeth par ordre de la Cour un long entretien pour tâcher de la convertir ; cet entre
onna, c’est-à-dire, l’accommoda à son goût, elle l’établit pendant un long règne ; il subsiste encore. Cet assemblage bisarr
Angleterre, elle pouvoit lui déclarer la guerre ; le voyage n’est pas long d’Edimbourg à Londres, elle y avoit bien des part
on esprit baissa sensiblement, fatiguée de tant d’affaires dans un si long règne, elle ne pensoit plus à rien, ne se mêloit
55 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XV. Des nouveautés & de leur nombre. » pp. 2-7
mp; qui ait contracté des infirmités qui soient la suite d’un travail long & opiniâtre ? Il n’y a sans doute trop de nou
56 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Diversités curieuses. » pp. 5-37
éra) livre tes sens aux doux plaisirs, dédommage-toi des peines d’une longue captivité, profite des avantages de la jeunesse ;
e la comédie italienne, alors nouvelle en France. C’est une espece de longue comédie qui n’est point divisée en actes & en
miracle, à la dent vorace des rats. C’en est un bien grand & bien long . Après ce débatromanesque d’un charlatan, cet hom
eçue ni mieux pratiquée que la sienne. On en avale encore le poison à longs traits. Qui peut s’en défendre ? Qui libenter fœ
e des Actrices n’est pas aussi éloignée : leurs amans n’ont pas un si long voyage à faire pour arriver à leur cœur. On a jou
57 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE VIII. Dans quelle Nation la Poësie Dramatique Moderne fit-elle les plus heureux progrès ? » pp. 203-230
tes un Italien habile, qui les connoissoit, parce qu’il avoit fait un long sejour parmi nous ; & Martelli qui avoit auss
i notre Rhodogune même n’a-t-elle pu lui plaire, ce qui paroît par la longue critique qu’il en a faite ? Quand il nous offrira
ciennes Tragédies sont presque toutes fort ennuyeuses, à cause de ces longs Monologues pleins de froides Réflexions, & qu
58 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
p; de rien lire. Ici mon jeune Poète recule de surprise, il reste long tems immobile, & me parcourt de la tête aux p
buveur d’eau ne fit des Vers capables de plaire & de se soutenir long tems11. » Il s’exprime dans un autre endroit de l
59 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [G] » pp. 408-415
Spectateurs. Le Théâtre, chez eux, était un lieu vaste, accompagné de longs portiques, de galeries couvertes, & de belles
les Confidens inutiles soient rendus nécessaires, qu’on leur fasse de longs détails de ce qu’ils devraient savoir, & que
60 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17
i en ont fait avant moi, et pour ne pas fatiguer les Lecteurs que les longs ouvrages rebutent. Si je faisais une longue Disse
iguer les Lecteurs que les longs ouvrages rebutent. Si je faisais une longue Dissertation, j’aurais ramassé toutes les maximes
61 (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « De Paris ce 10. Mai 1666. » pp. 193-204
re, vous ne traduiriez que des traductions. Vous vous étendez fort au long sur celle qu’on a faite de Térence, vous dites qu
é à la Sainte Mère. Vous voyez bien que je ne cherche pas à faire de longues Lettres, je ne manquerais pas de matière pour gro
62 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. Si la Musique Française est plus agréable que la Musique Italienne. » pp. 287-291
intres, ou qui ne charmerait seulement que ceux qui auraient fait une longue étude des règles de la peinture ? Il faut que tou
63 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Que le Compositeur doit chercher à peindre. » pp. 340-344
, qu’on éxécute avant que la toile soit levée ; ou, si l’on veut, une longue Ritournelle du premier morceau de chant qui fait
64 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVII. On y risque tout par une seule assistance. » pp. 40-44
ner de ce qui se passoit, il les y tint attachés ; buvant la fureur à longs traits, sans s’en appercevoir, & se laissant
65 (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386
s adultes, maîtres de leur sort, fixés par goût et par l’empire d’une longue habitude dans un genre de vie analogue au théâtre
attachement à ce brillant étalage de vices et de crimes, n’est qu’un long et opiniâtre parjure ? Montrez-moi ailleurs ces p
e de quelques mois, que les Drak et les Magellan n’en ont eu dans des longs et pénibles voyages au tour du globe… Quelle mati
’il faut des coups violens pour abattre des idoles consacrées par une longue superstition… O dépositaires de la puissance supr
66 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Autres Anecdotes du Théatre. » pp. 43-70
discours sur l’imitation par rapport à la tragédie ; il parle fort au long contre les spectacles, il dit entr’autres ces bel
en même tems le fameux Jean de Vert. L’auteur dit, Dieu permit cette longue prison, pour faire mieux connoître la piété extra
usement plusieurs questions dramatiques ; il y a quelques pieces fort longues , (c’est le goût des Castillans) prises de Lopez d
eines de lazzis, & non de choses. Les pieces Espagnoles sont très longues , très-remplies très-intriguées, c’est un fond iné
67 (1777) Des Spectacles « Des Spectacles. » pp. 75-92
ersonnes les plus vertueuses, durcies, pour ainsi dire, dans les plus longs travaux de la pénitence, aguerries après tant de
entateur attaque les héros chrétiens jusques dans le lieu saint ; les longues austérités ne désarmant pas l’ennemi, il faut êtr
68 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre V. Autres Mêlanges. » pp. 121-140
onna tous les secours que lui permettoit sa modique fortune, dans les longues & fâcheuses infirmités, jusqu’à sa mort. Il n
s rentrons dans les droits qu’ont perdu nos ancêtres. Le Peuple fut long temps par vous-même abusé ; Il s’est lassé du sce
gros, de la traduction de dix livres de Lucrece. Ce poëme didactique, long , difficile, métaphysique, d’un style sec, roide,
69 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IX. Défauts que les Etrangers ont coutume de reprocher à notre Tragédie. » pp. 231-259
que dans les Langues où l’on ne se régle pas sur la quantité breve ou longue des Syllabes, il n’y a point de Vers sans Rimes ;
ublie & mon devoir, & Médée, & moi-même ; Je m’enyvre à longs traits d’un aimable poison : L’Amour devient al
la sévérité de la Religion ? Aux Romans de Chevalerie succéderent ces longs Romans, qui moins raisonnables que l’Astrée, ne p
70 (1768) Compte rendu du Monthly Review pp. 288-290
e does. Here is popery and slavery with a witness! « She had not been long in the Bastille, when an order came from the cour
71 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVI. Sentiment de Saint Antonin. » pp. 93-96
e . Il est vrai qu’en cet endroit de sa seconde partie, après un fort long discours où il condamne amplement le jeu de dés,
72 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
re que « c’est un homme », de sorte qu’il semble qu’il aille faire un long dénombrement de ses bonnes qualités ; et tout cel
délicatesse et de la force de la passion même ; ce qui mériterait de longs commentaires. Enfin Dorine, demeurée seule, est a
rables de ce principe, que je passe sous silence, de peur d’être trop long . Ils continuent, que c’est ce que les Poètes ont
’était », et qu’elle était trop tranquille pour n’avoir pas médité de longue main cette pièce. Objection admirable dans la nat
de la chose, « il est avec le Ciel des accommodements ». Et après une longue déduction des adresses des Directeurs modernes, i
tée du saint personnage, n’en veut rien croire, et sur cela enfile un long lieu commun « de la médisance et des méchantes la
même, dont sous un autre nom il avait déjà ouï parler, et savait une longue histoire toute tissue des plus étranges friponner
73 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre II. Charles XII. » pp. 32-44
vent sur la dure, toujours à cheval, faisant sans s’arrêter, les plus longues courses, s’exposant comme un simple soldat aux pl
i fera des présens. Ces présens furent magnifiques. Charles part. Ce long voyage à travers la Turquie, la Pologne, l’Allema
74 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre I. Que les Spectacles des Anciens ont fait partie de la Religion Païenne. » pp. 2-35
cles en l’honneur d’Hercule. Et Valère MaximeL. 2. c. 4. décrivant au long l’origine des Jeux Séculaires, qui furent célébré
s sacrés aux Divinités infernales, et qui furent renouvelés après une longue intermission, comme un remède aux malheurs public
75 (1579) De l’Imposture et Tromperie « Livre premier. Des jeux et autres observations séculières retenues de l’ancien Paganisme. Chapitre 22. » pp. 101-107
ention spéciale de toutes sortes de divinations (pour être chose trop longue , et prolixe, et qui eût bien requis un œuvre à pa
autres erreurs et abus, que monsieur Saint Pierre déclare là plus au long , desquels nous en tenons et observons aussi quelq
76 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Fêtes de Théatre. » pp. 95-114
a Gazette, & très-nombreux pendant tout le carnaval, quoique fort long  ; on y a toujours vu une multitude étonnante de p
r ces symboles, l’ancien & le nouveau Sénat de la Province. Cette longue file de Portiques étoit couronnée, à chaque pilas
ers. On comprend bien que parmi ces Cavaliers, il y en avoit de robes longues & de robes courtes ; on y porta au déssert, l
77 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IV. Du Clergé considéré comme protecteur et fondateur des Comédiens du troisième âge en France, et comme en ayant lui-même exercé la profession. » pp. 113-119
ses dont ils prétendaient avoir été témoins pendant le cours de leurs longs voyages, et dont ils offraient la représentation
78 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CONCLUSION, de l’Ouvrage. » pp. 319-328
s, d’examens et de rapports combinés, qui supposent nécessairement de longues études, une tête bien faite, et surtout un génie
79 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 4-42
ondation des Barbares, & s’est peu-à-peu remise en bon état, même long tems avant les Medicis, quoiqu’elle avoue leur de
; faisoient ensemble leurs exercices académiques. Ce Programme est un long verbiage assez mal écrit, on y fait une espece de
as l’Academie théatrale de Parme, dont le Programme a donné lieu à ce long article, sans parler de son théatre. Selon Misson
op gai pour trouver du plaisir à pleurer & à craindre, & sera long tems fidéle à Pantalon & à Arlequin. Goldoni
e sa Nation, dont la plupart sont inconnus en France, il est parlé au long de ces hommes célébres dans le Dict. de l’Abbé l’
80 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Henri IV. » pp. 121-168
t d’abord tout seul, & ensuite avec Biron & d’Aumont ; 4°. le long dîné qu’il fait avec eux & le bon Roger ; 5°.
n Ana ; 10°. la célébrité du combat & de la victoire, par le trop long intervalle entre le départ de Henri pour une bata
Maintenon ; toutes les comédies morales sont des proverbes, mais plus longs , les fables, les contes moraux sont des proverbes
ne en France, l’autre en Espagne, devant deux Rois, toutes deux aussi longues , aussi essentielles : point d’unité d’action. Dan
inférieur à Henri ? Qui fut plus grand que Louis XIV, pendant le plus long regne ? Grand en tout, dans la paix, dans la guer
ne conversation amusante ; mais il n’a jamais tenu sur le champ un si long discours & si bien suivi. Et qui même des aud
81 (1804) De l’influence du théâtre « PREFACE. » pp. -
PREFACE. Quand le souffle empesté de longs orages politiques a corrompu, détruit ou renversé
82 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre III. Que les anciens Pères de l'Eglise défendirent aux Chrétiens d'assister aux Jeux du Théâtre, parce que c'était participer à l'Idolâtrie. » pp. 57-89
s grande partie des cérémonies du Paganisme ; ce qu'il traite fort au long , comme la plus puissante et la plus importante ra
te religieux et les Fêtes lui donnent tant de plaisir. » Et après une longue exagération des malheurs de l'Europe, par les inc
83 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — [Introduction] » pp. 2-6
ement M. Mercier a joint à sa piece, pour mieux peindre son héros, un long commentaire qui forme un gros livre : il a préven
84 (1684) Epître sur la condemnation du théâtre pp. 3-8
remière, Vole vers cet objet, s’y livre toute entière ; Et goûtant, à longs traits, l’aimable vérité, Conçoit pour tout le re
85 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêtres, contre des Comédiens français. » pp. 141-148
ereux. Ne voulant point donner plus d’étendue à ma réponse, déjà trop longue , à M. de Sénancourt, je me dispenserai de citer p
86 (1731) Discours sur la comédie « MANDEMENT DE MONSEIGNEUR L’EVEQUE DE NIMES, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 352-360
ous connaissons que ce n’est plus le temps de se taire, et qu’un plus long silence pourrait vous donner lieu de penser que n
87 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver sur le Théâtre de la Réformation. Avant Propos. » pp. 118-127
celles que je rejette. Mais, de crainte d’ennuyer par un détail trop long , car je crois que cet examen seul ferait la matiè
88 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
pravation étoit héréditaire à sa famille, ce sang avoit coulé de puis long temps dans les veines de Léon X. il y a quelques
erdit ; se plongea dans la débauche le reste de sa vie qui ne fut pas longue . L’Eglise ne le réclama point. L’Abbé Abeille éto
& composa des Comédies, & ne fut qu’un libertin qui passa une longue vie dans sa volupté, & de-là au jugement de D
suæ, & cum ipso in pulvere dormient.     Nectar qu’on avale à longs traits, Beaume que répand la nature Sur les maux
89 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31
orter leurs mains sacriléges. Le reste des ouvrages de Gesner sont de longues idilles, qu’il appelle drames, parce qu’elles son
beautés & de défauts, plus dramatique qu’épique, qui n’est qu’une longue comédie, faite uniquement pour le Théatre. Il n’e
erriers, tout le reste en est exclu, excepté les Actrices, il y a une longue conversation avec du Belloi, Moliere & Racine
90 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
de prêcher l’Evangilew. Mais après que vous avez bien raillé d’une «  longue et sérieuse pénitence », Vous dites pour achever
matières de la grâce ? Ho, Ho ! direz-vous, il a fait auparavant une longue et sérieuse pénitence. Il a été deux ans entiers
5 : « Retranchez-vous donc sur le sérieux ; remplissez vos lettres de longues et doctes périodes ; citez les pères ; jetez-vous
91 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142
s, ils la mettent à portée de tout le monde, et pour la faire boire à longs traits, la parent des grâces de la poésie et de l
nies, et qu’on y abolît le théâtre. Plusieurs Auteurs en ont parlé au long , et même fait des traités exprès. Danéus, célèbre
a même chose. Voetius (de excess. mundi, 6. command.) en fait un fort long traité. Vincent, Ministre de la Rochelle, a fait
92 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre III. Du Cardinal de Richelieu. » pp. 35-59
tte tragi-comédie, tombée dans l’oubli, est rare : on en peut voir un long extrait dans l’Histoire du théâtre (Tom. 6.) L’Av
nda les trois Commissaires, leur donna une audience particulière fort longue , leur parla très vivement, leur expliqua ses inte
royales pour trouver les grosses poutres de chêne de vingt toises de long , que l’on employa pour la couverture, elles valai
93 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre III. Recherches nécessaires pour s’éclaircir si les Anciens ont connus l’Opéra-Bouffon. » pp. 101-108
ui me sont échappées, & d’autres que je tais, crainte d’être trop long , sont des preuves convaincantes que les Anciens o
94 (1675) Traité de la dévotion « Chapitre III. De la trop grande sensibilité aux plaisirs de la terre ; troisième source de l’indévotion. » pp. 58-65
nt tout nouvellement au monde, tout leur y paraît beau. Ils avalent à longs traits ses plaisirs, et rien ne leur semble plais
95 (1807) Préface pour une édition des deux lettres à l'auteur des Imaginaires « [Chapitre 2] » pp. 78-82
nt obligé de la retenir. Je n’avais point prétendu m’engager dans une longue querelle, en prenant l’intérêt de la comédie : mo
96 (1698) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras au sujet des Tragédies qui se représentent dans les Collèges de son Diocèse [25 septembre 1698] « Mandement  » pp. 37-43
olique Evêque d’Arras. Il est de certains désordres, sur lesquels une longue habitude et une coutume invétérée ne permettent p
97 (1588) Remontrances au roi Henri III « [Chapitre 2] » pp. 128-135
t vilaine, au scandale de la jeunesse qui y assiste, laquelle avale à longs traits ce venin et poison, qui se couve en sa poi
98 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
esquels ils nous encouragent à l’applaudir. On jugera combien de plus longues recherches m’en auraient fourni, puisque le hazar
e du caprice & de la légéreté, « son regne dit-on, ne sera pas de longue durée ; il disparaitra aussi promptement que la m
99 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  RECAPITULATION. » pp. 382-390
ne Nature irritée, & qui demande vengeance. Philoctete ne fait un long récit de ses souffrances, que pour pouvoir exhale
100 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54
it vécu 80. ans et qui aurait commis beaucoup de crimes pendant cette longue vie, ne fût pas sauvé sans avoir jamais aimé Dieu
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