chaque Prix : quatre Prix formeront une somme de neuf mille six cents
livres
, ci…… 9,600 l. Accessits, au nombre de trente
des Théâtres, distingués en trois décuries ; ceux de la I.re à mille
livres
, les dix suivans, à sept cents livres, & la d
uries ; ceux de la I.re à mille livres, les dix suivans, à sept cents
livres
, & la dernière dixaine à cinq cents liv. les
Prix & Accessits des premiers Danseurs : huit Prix à deux mille
livres
, trente Accessits à mille livres, sur les deux Th
rs Danseurs : huit Prix à deux mille livres, trente Accessits à mille
livres
, sur les deux Théâtres : Total, 46 mille livres,
nte Accessits à mille livres, sur les deux Théâtres : Total, 46 mille
livres
, ci…… 46,000 l. De l’autre part…… 99,600 l.
minaire, & quelques Rafraîchissemens pour les Acteurs, cinq cents
livres
par jour à chaque Théâtre ; & par an, la somm
à peu près, qu’ils monteront, par an, à la somme de trente cinq mille
livres
: ce qui joint au Total, complèterait les 600,000
e cinq mille livres : ce qui joint au Total, complèterait les 600,000
livres
: mais cet article de Dépense sera comme nul, par
ds & petits jours, SAVOIR ; Le Parterre aggrandi, quatre cents
livres
, ci…… 400 l. L’Amphithéâtre destiné aux femmes
ci…… 400 l. L’Amphithéâtre destiné aux femmes seulement, deux cents
livres
, ci…… 200 l. Quatrièmes Loges, tant à l’année,
i…… 200 l. Quatrièmes Loges, tant à l’année, que journalières, cent
livres
, ci…… 100 l. Troisièmes Loges, cent livres, ci…
, que journalières, cent livres, ci…… 100 l. Troisièmes Loges, cent
livres
, ci…… 100 l. Secondes Loges, deux cents livres,
oisièmes Loges, cent livres, ci…… 100 l. Secondes Loges, deux cents
livres
, ci…… 200 l. I.res Loges, Balcons, Loges grillé
I.res Loges, Balcons, Loges grillées, Parquet, ensemble cinq cents
livres
, ci…… 500 l. Total pour les deux Théâtres, par
es, ci…… 500 l. Total pour les deux Théâtres, par jour, trois mille
livres
, ci…… 3,000 l. Par an, (365 jours) un million q
… 3,000 l. Par an, (365 jours) un million quatre-vingt-quinze mille
livres
, ci…… 1,095,000 l. Par conséquent la Dépense ex
ra la Recette de la somme de cinq cents vingt-neuf mille quatre cents
livres
… Excédent…… 529,400 l. *** On voit que par cett
ilement, toutes Dépenses supportées, laisser celle de plus de 500,000
livres
, dont on disposera, soit pour des ouvrages qui co
e se montent actuellement à 400 liv. la Recette ordinaire est de 2000
livres
; à pleine Salle, 4000 livres ; ce qui n’arrive g
0 liv. la Recette ordinaire est de 2000 livres ; à pleine Salle, 4000
livres
; ce qui n’arrive guères qu’aux premières Représe
Ambroise, qu’il a peine à concilier avec Aristote. Il est tiré de son
livre
des OfficesDe off. minist. I. 23. n. 102 [saint A
off. minist. I. 23. n. 102 [saint Ambroise, De Ofjiciis ministrorum,
livre
. I, chapitre XXIII, n. 102]., où ce père traite à
e traite à peu près les mêmes matières que Cicéron a traitées dans le
livre
de même titre, où ayant trouvé les préceptes que
sumus ? » En effet, il est bien certain qu’on ne voit dans les saints
livres
aucune approbation ni aucun exemple autorisé de c
regardait en ce lieu que les ecclésiastiques conformément au titre du
livre
rétabli dans l’édition des Bénédictins en cette f
ent également contre tous les chrétiens dont il explique par tout son
livre
les devoirs communs. Il est vrai que de temps en
[saint Jérôme, Commentaire sur la lettre de saint Paul aux Ephésiens,
livre
. III, chapitre V]., où expliquant ces deux vices
range parmi « les vices »4. Mor. 14. [Aristote, Ethique à Nicomaque,
livre
IV, chapitre 14]. [NDUL] Le texte visé se trouve
pitre 14]. [NDUL] Le texte visé se trouve dans la Morale à Nicomaque,
livre
IV, ch. VIII, al. XIV. Cf. Morale à Eudème, liv.
uvent faire ». Platon supposaitDe Rep. 10. [Platon, De la République,
livre
X].ao , au contraire, « qu’un homme sage avait h
off. minist. I. 23. n. 102 [saint Ambroise, De Ofjiciis ministrorum,
livre
. I, chapitre XXIII, n. 102]. a. a. q. 168. art. 2
[saint Jérôme, Commentaire sur la lettre de saint Paul aux Ephésiens,
livre
. III, chapitre V]. 4. Mor. 14. [Aristote, Ethique
livre. III, chapitre V]. 4. Mor. 14. [Aristote, Ethique à Nicomaque,
livre
IV, chapitre 14]. [NDUL] Le texte visé se trouve
pitre 14]. [NDUL] Le texte visé se trouve dans la Morale à Nicomaque,
livre
IV, ch. VIII, al. XIV. Cf. Morale à Eudème, liv.
iv. I, chap. XXVIII, al XXXI. De Rep. 10. [Platon, De la République,
livre
X].ao Amb. ibid. Hier. ibid. Basil. constitut. m
umaineDe Rep. Lib. 2. 3. 10. De Leg. 2. 7. [Platon, De la République,
livres
II, III, X ; Des Lois, livres II, VII]. ; parce q
e Leg. 2. 7. [Platon, De la République, livres II, III, X ; Des Lois,
livres
II, VII]. ; parce qu’ils vont le recueillant indi
hilosophes et les poètes »De Rep. 10. fin. [Platon, De la République,
livre
X, in fine].[NDE] D’après Urbain et Levesque, « l
gueur, en leur disantDe Rep. 3. De Leg. 7. [Platon, De la République,
livre
III ; Des Lois, livre VII]. : Nous ne pouvons end
e Rep. 3. De Leg. 7. [Platon, De la République, livre III ; Des Lois,
livre
VII]. : Nous ne pouvons endurer ce que vous criez
sir. De Rep. Lib. 2. 3. 10. De Leg. 2. 7. [Platon, De la République,
livres
II, III, X ; Des Lois, livres II, VII]. De Rep. 1
e Leg. 2. 7. [Platon, De la République, livres II, III, X ; Des Lois,
livres
II, VII]. De Rep. 10. fin. [Platon, De la Républi
es Lois, livres II, VII]. De Rep. 10. fin. [Platon, De la République,
livre
X, in fine].[NDE] D’après Urbain et Levesque, « l
philosophie (607b). De Rep. 3. De Leg. 7. [Platon, De la République,
livre
III ; Des Lois, livre VII]. I. Jo. II. 12 [1e épî
e Rep. 3. De Leg. 7. [Platon, De la République, livre III ; Des Lois,
livre
VII]. I. Jo. II. 12 [1e épître de saint Jean, cha
. 4. art.2 in corp. [saint Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences,
livre
IV, distinction 16, question 4, article 2 in corp
Ibid. ad. q. I. c. [saint Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences,
livre
IV, distinction 16, article 2, questiuncula 1, c]
éviterAd 2. q. eâd. [saint Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences,
livre
IV, distinction 16, article 2, réponse à questiun
ercices Ibid. ad 2. [saint Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences,
livre
IV, distinction 16, article 2, réponse à questiun
Mag. 4. dist.16 [Pierre Lombard (= magister sententiarum), Sentences,
livre
IV, distinction 16].ag Par toutes ces autorités,
qui pourtant on interdit tout jeu » : conformément à un passage d’un
livre
qu’on attribuaitLib. de ver. et. fal. poenit. c.
passage était dans le texte du Maître des sentencesLib. 4. dist. 16. [
livre
IV, distinction 16]., et la doctrine en passait p
. 4. art.2 in corp. [saint Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences,
livre
IV, distinction 16, question 4, article 2 in corp
Ibid. ad. q. I. c. [saint Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences,
livre
IV, distinction 16, article 2, questiuncula 1, c]
, c]. Ad 2. q. eâd. [saint Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences,
livre
IV, distinction 16, article 2, réponse à questiun
418.]. Ibid. ad 2. [saint Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences,
livre
IV, distinction 16, article 2, réponse à questiun
Mag. 4. dist.16 [Pierre Lombard (= magister sententiarum), Sentences,
livre
IV, distinction 16].ag Pag. 54. [« Lettre d’un t
15. [De vera et falsa pœnitentia, chapitre XV].ah Lib. 4. dist. 16. [
livre
IV, distinction 16]. af. [NDUL] Le Maître des S
embourg, Hôtel de la Comédie.) dit qu’il a coûté soixante-douze mille
livres
d’achat, et deux cent mille livres à bâtir, dont
qu’il a coûté soixante-douze mille livres d’achat, et deux cent mille
livres
à bâtir, dont le Roi a payé une grande partie. Le
édie. Les pièces du procès font foi qu’il avait coûté deux cent mille
livres
d’achat, et autant de construction. L’arrêt du 2
cinquante mille écus, celui de Marseille autant, Toulouse cent mille
livres
, la petite ville d’Auch trente mille livres, la R
tant, Toulouse cent mille livres, la petite ville d’Auch trente mille
livres
, la Rochelle quarante mille liv. etc. Plusieurs v
ne des familles ; à l’Opéra, par exemple, où les places coûtent douze
livres
, chaque représentation va communément à vingt mil
tent douze livres, chaque représentation va communément à vingt mille
livres
, à deux représentations par semaine, voilà plus d
e l’Opéra, les gages courants montent à soixante-sept mille cinquante
livres
; les dépenses sont énormes, les meubles, habits,
arsenal. Lully a laissé dans ses coffres six cent soixante-cinq mille
livres
en espèces. Les profits, tous frais faits, sont i
Quienet, en 1712, les dettes de l’Opéra montaient à quatre cent mille
livres
; à la mort de Berger, en 1745, elles montaient à
n pour jouer une douzaine de fois, ce qui revient à près de dix mille
livres
par représentation. L’histoire Romaine est pleine
’Henri III ajoute que pour le repas du Roi il fut levé soixante mille
livres
de soie verte, que celui de la Reine revenait à c
lle livres de soie verte, que celui de la Reine revenait à cent mille
livres
, qu’on leva par forme d’emprunt. Mézeray continue
urnal de Trévoux (avril 1753. art. 7.) donne un fort bon extrait d’un
livre
Espagnol contre la comédie, et il nous apprend qu
évaluer ce sixième ? quel fond peut-on faire sur la fidélité de leurs
livres
de recette ? l’Hôpital se trouva trop heureux de
op heureux de pouvoir s’abonner avec eux à la somme de quarante mille
livres
, qui n’est pas à beaucoup près le sixième. Il rés
la troupe avoue gagner tous les ans au moins deux cent quarante mille
livres
; je dis gagner ; car on commence par en déduire
urer que la comédie de Paris coûte au public au moins cinq cent mille
livres
, sans y comprendre les dons du Roi et des particu
e de l’abonnement du sixième parut bientôt après. Pour récompenser le
livre
et les travaux du Commissaire Lamarre, le Roi, pa
pes. Par acte du 19 février 1716, ce neuvième fut estimé quinze mille
livres
, dont on leur donna le capital, trois cent mille
quinze mille livres, dont on leur donna le capital, trois cent mille
livres
. Il y avait donc lésion de dix mille cinq cents l
ois cent mille livres. Il y avait donc lésion de dix mille cinq cents
livres
. Peut-on trop le répéter ? quelle dépense, quel i
rien pour lutter avec eux, on goûte aisément ce qui flatte, et on se
livre
au luxe et à la vanité. Oserait-on paraître aille
l’envie de rire »De Rep. 10. De Legib. 7. [Platon, De la République,
livre
X ; Des Lois, livre VII]. , que la comédie remue.
Rep. 10. De Legib. 7. [Platon, De la République, livre X ; Des Lois,
livre
VII]. , que la comédie remue. Ainsi la comédie et
tombât dans l’amour vulgaire »De Rep. 10. [Platon, De la République,
livre
X]. ; c’est-à-dire, comme il l’expliquait, dans
ssion » Ibid. . De Rep. 10. De Legib. 7. [Platon, De la République,
livre
X ; Des Lois, livre VII]. De Rep. 10. [Platon, De
Rep. 10. De Legib. 7. [Platon, De la République, livre X ; Des Lois,
livre
VII]. De Rep. 10. [Platon, De la République, livr
ivre X ; Des Lois, livre VII]. De Rep. 10. [Platon, De la République,
livre
X]. Ibid.
la compagnie des comédiens. C’est ce que j’ai fait connaître dans le
livre
intitulé : Les Comédiens et le Clergé, auquel je
opre et obligatoire dans ces canons, et je le leur ai rappelé dans le
livre
des Comédiens et du Clergé aux pages 344 et 347.
gitimes, et y répand les principes abominables du régicide. Parmi ces
livres
détestables, ou en distingue un entre autres, qui
aris, 1825, chez Potey, libraire, rue du Bac, n° 46)r. L’auteur de ce
livre
anonyme, par un reste de pudeur sans doute, n’a p
ompromettent, parcourent les boutiques de libraires, y empoignent des
livres
mis à un index secret qui n’a pas eu de publicité
licité ; d’autres avec un air d’intérêt, conseillent aux marchands de
livres
, de ne plus exposer tel ou tel ouvrage ; toutes l
ficaces et plus directes. C’est dans cette intention, que l’auteur du
livre
des crimes de la presse, qui ne rêve qu’inquisiti
dangereuses et antisociales, qui fourmillent de toutes parts dans le
livre
des crimes de la presse ; mais je me bornerai à f
ur s’exhale dans chaque page et pour ainsi dire à chaque ligne de son
livre
. Il oublie que les Pygmées ne savaient faire la g
aux pieds d’Euristhée, roi de Mycènest. De même aussi notre auteur du
livre
des crimes de la presse, en vrai Pygmée et sans ê
professèrent de tout temps et professent encore, et dont l’auteur du
livre
des crimes de la presse s’est rendu l’apôtre. S’i
emis si implacables de la liberté de la presse. L’auteur fanatique du
livre
des crimes attribués à la presse, est un logicien
jésuites. Je dois bien m’attendre à essuyer de la part de l’auteur du
livre
des crimes de la presse, un déluge de calomnies e
? On va en juger par les citations qui suivent, elles sont tirées du
livre
des crimes de la presse, dans lequel l’auteur, en
odoxie la plus méticuleuse. Mais pourquoi faudrait-il que l’auteur du
livre
des crimes de la presse, que cet écrivain du jésu
be et lycanthrope, que j’adresse la parole. La rage éclate dans votre
livre
des crimes de la presse, les hurlements épouvanta
ement et ses amis et ses ennemis. Nous en voyons des exemples dans le
livre
des crimes de la presse. On est tout étonné, en l
est textuelle, c’est ce qu’on pourra vérifier à la page 139 du fameux
livre
des Crimes de la presse. Hé ! qu’avait-il besoin
la page 70, du deuxième chapitre précédent. Quoi qu’il en soit de ce
livre
des crimes de la presse ; de ce manifeste des mis
donc la passion pour les images, comme Bibliomanie, passion pour les
livres
; Scénomanie, passion pour le théâtre ; Métromani
éraire est la passion des littérateurs, de mettre des images dans les
livres
. Abus sur lequel aucune Accadémie n’a encore port
re porté son jugement. Elle est aujourd’hui poussée à l’excès. Peu de
livres
nouveaux où les estampes ne soient répandus à ple
rie des dorures, qui, sans rien apprendre, ne servent qu’à grossir le
livre
, & à enrichir le Libraire & le Graveur, à
a science & de sa richesse. Cette Iconomanie n’est pas bornée aux
livres
. Les appartemens, ameublements, équipages, bijoux
st au reste que pour les images frivoles ou indécentes & dans les
livres
frivoles, Romans, historiettes, contes, comédies,
, contes, comédies, poésies, &c. qu’on a cette manie puérile. Les
livres
de droit, de Théologie, de Médecine, de Mathémati
Tous les hommes frivoles, qui ne sont que des enfans. Trouve-t-on un
livre
à estampes ; on le feuillette, non pour l’étudier
bannies de par-tout, on n’en souffre ni dans les maisons ni dans les
livres
, même dans les livres de priere & de piété, o
on n’en souffre ni dans les maisons ni dans les livres, même dans les
livres
de priere & de piété, où elles étoient autref
s cérémonies, les Papes, les Evêques, les Prêtres, les Religieux, les
livres
hérétiques en sont pleins ; toutes les sectes en
en vente, les acheter, avoir, tenir & garder. Il en est comme des
livres
hérétiques, des libelles diffametoires, des écrit
se défaire d’un poison fi dangéreux : une estampe, un tableau est un
livre
qui parle aux yeux, qui remplit l’imagination des
pants, la tentation plus délicate ; la conversation la plus libre, le
livre
le plus licencieux n’eurent jamais des couleurs a
s à portée de les étaler aux yeux du public, de les répandre dans les
livres
; c’est un vrai scandale qui rend l’auteur compta
pteur, le graveur qui les travaille, l’auteur qui les insére dans son
livre
, le libraire qui les débite, le libertin qui les
n ; elles font entendre les mystéres, les dogmes de la foi ; c’est le
livre
des ignorants, très-souvent même des sçavans ; el
out est plein de mauvais tableaux ? Où s’imprime-t-il plus de mauvais
livres
, où se grave-t-il plus d’estampes licentieuses qu
ollantur vel deleantur in omnibus. Le Concile de Francfort, & les
livres
de Carolins qui n’entendant pas bien celui de Nic
onscience ne fasse le procès à ses regards, à ses meubles & à ses
livres
. On fait une comparaison simple, mais juste &
e nouveaux écueils pour l’innocence, & qu’on ose les vendre douze
livres
; & il se trouve des gens assez imbéciles, ou
PREMIER. Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre l’auteur du
livre
intitulé : des Comédiens et du Clergé. Page 49 M
sie, les maximes pures, chrétiennes et évangéliques invoquées dans le
livre
des Comédiens et du Clergé. Page 50 CHAPITRE II.
en religion comme en politique. Page 54 L’auteur justifie le titre du
livre
des Comédiens et du Clergé. Page 55 Réflexions su
Page 107 Opinion de M. de Sénancourt sur les détails insérés dans le
livre
des Comédiens et du Clergé, concernant les prêtre
jouissance jésuitique, s’il réussissait à faire condamner l’auteur du
livre
des Comédiens et du Clergé. Page 108 Réflexions s
instruits dans les matières théologiques. Page 143 La publication du
livre
intitulé des Comédiens et du Clergé, a eu lieu à
-Acheul, etc., etc., pour subjuguer la France. Page 195 Critique d’un
livre
intitulé, des Crimes de la presse, dédié à la Sai
a presse, dédié à la Sainte-Alliance. Page 195 L’auteur anonyme de ce
livre
honteux cache son nom pour se dérober à l’infamie
en persécutant les imprimeurs et les libraires. Page 197 L’auteur du
livre
des Crimes de la presse, propose, contre les écri
bre de la Chambre des députés. Page 199 Comparaison entre l’auteur du
livre
des Crimes de la presse et les Pygmées, qui ne sa
savaient faire la guerre qu’à des grues. Page 200 L’auteur Pygmée du
livre
des Crimes de la presse ose attaquer un Hercule.
à mort quiconque ose nier de pareilles vérités. Page 201 L’auteur du
livre
des Crimes de la presse professe les affreux prin
e, n’est point complice des jésuites. Page 203 Le fanatique auteur du
livre
des Crimes de la presse affaiblit les preuves de
il était possible, par une pétition de principe. Page 204 L’auteur du
livre
des Crimes de la presse paraît ignorer ce que c’e
Page 204 Définition d’une pétition de principe. Page 205 L’auteur du
livre
des Crimes de la presse, à l’exemple de la secte
a terreur. Page 206 Des calomnies présumées de la part de l’auteur du
livre
des Crimes de la presse. Page 206 Calomnies et ci
du livre des Crimes de la presse. Page 206 Calomnies et citations du
livre
des Crimes de la presse contre M. Royer-Collard,
e la Chambre des députés. Page 207 Injures lancées contre l’auteur du
livre
des Crimes de la presse, considéré comme un jésui
e. Page 209 M. l’abbé de La Mennais mordu par l’auteur hydrophobe du
livre
des Crimes de la presse. Page 209 M. l’abbé de L
utile d’inoculer l’hydrophobie à M. l’abbé de La Mennais. Page 210 Le
livre
des Crimes de la presse considéré comme l’avant-c
ir leurs prétentions. Page 216 Noms des saints conciles cités dans le
livre
des Comédiens et du Clergé. Page 217 M. de Sénan
p; bien Amé : M.M.D.P. Nous a fait remontrer, qu’il auroit composé un
Livre
intitulé, l’Idée des Spectacles Anciens & Nou
ermettons & octroyons par ces Presentes, de faire Imprimer le dit
Livre
par l’un de nos Imprimeurs par nous choisis &
Exposant, ou de ceux qui auront droit de luy : à peine de deux mille
livres
d’amande, aplicable un tiers à l’Exposant, un tie
e l’exposer en vente, & que ces Presentes seront registrés sur le
Livre
de la Communauté des Marchands Libraires & Im
aire : Voulans en outre que mettant au commencement ou à la fin dudit
Livre
, coppie des Presentes ou Extrait d’icelles, elles
le vingt-cinq. Par le Roy en son Conseil. Laborie. Registré sur le
Livre
de la Communauté des Imprimeurs & Libraires d
e et débiter par tel Imprimeur ou Libraire qu'il avisera bon être, un
Livre
intitulé, Dissertation sur la condamnation des Th
Théâtres, pendant le temps de cinq ans, à commencer du jour que ledit
livre
sera achevé d'imprimer. Et défenses sont faites à
les soient, de l'imprimer, vendre et débiter, à peine de quinze cents
livres
d'amende, confiscation des Exemplaires, et de tou
res. Et ledit S.A.D a cédé et transporté le droit de son Privilège du
Livre
intitulé Dissertation sur la condamnation des Thé
evé d'imprimer pour la première fois le 23 Aout 1666. Registré sur le
Livre
de la Communauté des Libraires et Imprimeurs le v
Livre
premier. Des jeux et autres observations séculiè
ès Constitutions des Apôtres Es Constitution des Apôtres, chap. 36 du
livre
7., il est dit et déclaré pourquoi Dieu nous a or
à éviter le mal. La loi dit, Saint IrénéeSaint Irénée, chap. 19 du 4e
livre
Contre les hérésies. commandait qu’on s’abstînt d
monsieur Saint Pierre en ces mots pris de Saint ClémentSaint Clément,
livre
4 des Recognitions.. Plusieurs mauvaises et vagan
l refuse nos fêtes, nous admonestant, dit Saint IrénéeSaint Irénée au
livre
4 Contre les hérésies. , faire plutôt les choses
et même ès jours de fêtes et solemnités. Il est écrit (dira-t-ilAu 2e
livre
des Rois, 6m.) que David et tout le peuple jouaie
avid retournant de la victoire de Goliath et des PhilistinsAu premier
livre
des Rois, 18q.. Il dit aussi que les Juifs ayant
re deuxième où on se rompt la tête et s’entretue-t-on à bon escient2e
livre
des Rois chap. 2u.. Tels sont les tournois, jeux
ations. Κρονοβωμ en Lucien. Es Constitution des Apôtres, chap. 36 du
livre
7. Saint Irénée, chap. 19 du 4e livre Contre les
tution des Apôtres, chap. 36 du livre 7. Saint Irénée, chap. 19 du 4e
livre
Contre les hérésies. Saint Clément, livre 4 des R
aint Irénée, chap. 19 du 4e livre Contre les hérésies. Saint Clément,
livre
4 des Recognitions. Saint Irénée au livre 4 Contr
es hérésies. Saint Clément, livre 4 des Recognitions. Saint Irénée au
livre
4 Contre les hérésies. Chap. 33 Esaïe. [Isaïe, 3
u livre 4 Contre les hérésies. Chap. 33 Esaïe. [Isaïe, 33, 15] Au 2e
livre
des Rois, 6m. Judith, 16. [16, 20]. Exod., 15p. A
u 2e livre des Rois, 6m. Judith, 16. [16, 20]. Exod., 15p. Au premier
livre
des Rois, 18q. Au 3e chap. d’Esdras 2r. En Baruch
2, 22-23]. En Jérémie, 30 et 31 [31,4]s. En Zacharie, 8. [8, 4-5]. 2e
livre
des Rois chap. 2u. Es Proverbes 10. [10, 23]. Ecc
vons permis et permettons par ces Présentes de faire imprimer lesdits
Livres
ci-dessus spécifiés, en un ou plusieurs volumes,
faire imprimer, vendre, faire vendre, débiter ni contrefaire lesdits
Livres
ci-dessus exposés, en tout, ni en partie, ni d’en
: A peine de confiscation des exemplaires contrefaits, de trois mille
livres
d’amende contre chacun des contrevenants, dont un
Paris, dans trois mois de la date d’icelles ; que l’impression de ces
Livres
sera faite dans notre Royaume, et non ailleurs ;
manuscrits ou imprimés qui auront servi de copie à l’impression desd.
Livres
, seront remis dans le même état où les Approbatio
s, qui sera imprimée tout au long au commencement ou à la fin desdits
Livres
, soit tenue pour dûment signifiée, et qu’aux copi
s Extraits, & ce n’est point sa coutume de négliger cela quand un
Livre
contient des choses un peu singulieres. Il a même
a été préte Monsr. Sloane, Médecin célebre à Londres, qui a plusieurs
Livres
rares dans sa nombreuse Bibliotheque, m’a fait la
eurs les Presidens. Ce prémier Volume contient en 210. feuillets cinq
livres
des Actes des Apôtres. Voions le Titre de la II.
ge. Ce second Volume contient 165. feuillets, & finit au neuvieme
livre
des Actes des Apôtres. La III. Partie est l’Apoca
e tous bons & vrays Chrestiens. Il feroit voulentiers Imprimer le
livre
des Actes des apostres en cinq ou plusieurs volum
nt que l’on défendoit au Peuple de voir les Histoires Saintes dans le
Livre
qui les contient purement & fidélement, on lu
r c’est ainsi que je puis qualifier l’expédient qu’on raconte Premier
Livre
des Actes des Apôtres, folio 3. : Baillez les f
patens Là même, folio 8. verso. . » Par ces échantillons du prémier
Livre
, on pourra juger de tout le Volume ; mais il faut
se conforme soigneusement aux traditions populaires. Il fourre Au V.
Livre
. un long Episode concernant Denys l’Aréopagite,
Pag. 796. Monsr. Sloane, Médecin célebre à Londres, qui a plusieurs
Livres
rares dans sa nombreuse Bibliotheque, m’a fait la
i Parnasso. Il faloit mettre dans ses Ragguagli di Parnasso. Premier
Livre
des Actes des Apôtres, folio 3. Là même. Là même
ctes des Apostres, folio 8. verso. Là même, folio 8. verso. Au V.
Livre
. Là même. Des Preaux, Art Poëtique, Chant III.,
• Anonyme : Epitre à Mgr J. Ben. Bossuet, Evêque de Meaux, sur son
Livre
touchant la comédie, reprise in Desprez de Boiss
de Conti touchant la comédie et les spectacles, ou la Réfutation d’un
livre
intitulé Dissertation sur la condamnation des thé
llaume François (1704-1782 ; jésuite) : [traduction de l’essentiel du
livre
I du Triumpho Sagrado de la consciencia, de D. Ra
468-482. Besplas Voir Gros de Besplas . Bodin, Les Six
Livres
de la République, 1576 • Bodin, Jean (1530-159
Livres de la République, 1576 • Bodin, Jean (1530-1596) : Les Six
livres
de la République de I. Bodin Angevin a Monseigneu
u Puy, 1576, in-fol, (6 p.) 759 p. (72 p.). PDF : Gallica. → Texte :
livre
VI, chap. premier : « De la censure », p. 602-616
Jean-Baptiste (1794-1871 ; SJ) : Le Théâtre. Par l’Auteur des Mauvais
Livres
, Gand, T. et I. Impens, 1840, 43 p. PDF : Google.
t Bertault, 1632, (7 p) 549 p. PDF : Google. Corpus OBVIL. → Texte :
Livre
III, leçon X : « La comédienne convertie », p. 46
Chappuzeau, Samuel (1625-1721) : Le Théâtre françois, divisé en trois
livres
, où il est traité : I. de l’Usage de la comédie ;
et table (trad. de Jean Le Frère, de Laval). PDF : Google. → Texte :
Livre
I, Epistre dixiesme [À Eucratius] : « On peut con
us honneste estat, et mener une vie d’innocence. Tertullian a fait un
livre
des Spectacles, et S. Cyprian une epistre au peup
e (trad. de Jean Le Frère, de Laval). PDF : Google. → Texte : Second
Livre
des Epistres, Epistre seconde [À Donat], p. 38-43
t. V : « Des paroles et des discours déshonnêtes, des chansons et des
livres
obscènes » ; art. VI : « Des danses et des bals »
Texte : Satire à Mgr Jacques Bénigne Bossuet, évêque de Meaux sur son
livre
touchant la Comédie, p. 46-48. Édition moderne
t, 1705, 648-13-41 p. in-fol. PDF : Gallica. Corpus OBVIL. → Texte :
livre
III, titre 3, « Des Spectacles », p. 433-445. N.
ues et littéraires sur le théâtre, Avignon, Marc Chave, 1763-1778, 20
livres
. • Livre I (1763), 198 p. PDF : Google (livres I
éraires sur le théâtre, Avignon, Marc Chave, 1763-1778, 20 livres. •
Livre
I (1763), 198 p. PDF : Google (livres I et II). C
Chave, 1763-1778, 20 livres. • Livre I (1763), 198 p. PDF : Google (
livres
I et II). Corpus OBVIL. • Livre II (1763), 211 p.
Livre I (1763), 198 p. PDF : Google (livres I et II). Corpus OBVIL. •
Livre
II (1763), 211 p. PDF : Google (livres I et II).
ivres I et II). Corpus OBVIL. • Livre II (1763), 211 p. PDF : Google (
livres
I et II). Corpus OBVIL. • Livre III (1765), 202 p
ivre II (1763), 211 p. PDF : Google (livres I et II). Corpus OBVIL. •
Livre
III (1765), 202 p. PDF : Google (livres III et IV
vres I et II). Corpus OBVIL. • Livre III (1765), 202 p. PDF : Google (
livres
III et IV). Corpus OBVIL. • Livre IV (1765), 200
e III (1765), 202 p. PDF : Google (livres III et IV). Corpus OBVIL. •
Livre
IV (1765), 200 p. PDF : Google (livres III et IV)
res III et IV). Corpus OBVIL. • Livre IV (1765), 200 p. PDF : Google (
livres
III et IV). Corpus OBVIL. • Livre V (1766), 196 p
re IV (1765), 200 p. PDF : Google (livres III et IV). Corpus OBVIL. •
Livre
V (1766), 196 p. PDF : Google (livres V et VI). C
vres III et IV). Corpus OBVIL. • Livre V (1766), 196 p. PDF : Google (
livres
V et VI). Corpus OBVIL. • Livre VI (1767 [= 1768]
Livre V (1766), 196 p. PDF : Google (livres V et VI). Corpus OBVIL. •
Livre
VI (1767 [= 1768]), 196 p. PDF : Google (livres V
t VI). Corpus OBVIL. • Livre VI (1767 [= 1768]), 196 p. PDF : Google (
livres
V et VI). Corpus OBVIL. • Livre VII (1768), 192 p
1767 [= 1768]), 196 p. PDF : Google (livres V et VI). Corpus OBVIL. •
Livre
VII (1768), 192 p. PDF : Google (livres VII et VI
vres V et VI). Corpus OBVIL. • Livre VII (1768), 192 p. PDF : Google (
livres
VII et VIII). Corpus OBVIL. • Livre VIII (1769),
VII (1768), 192 p. PDF : Google (livres VII et VIII). Corpus OBVIL. •
Livre
VIII (1769), 199 p. PDF : Google (livres VII et V
VII et VIII). Corpus OBVIL. • Livre VIII (1769), 199 p. PDF : Google (
livres
VII et VIII). Corpus OBVIL. • Livre IX (1772), 20
III (1769), 199 p. PDF : Google (livres VII et VIII). Corpus OBVIL. •
Livre
IX (1772), 202 p. PDF : Google (livres IX et X).
s VII et VIII). Corpus OBVIL. • Livre IX (1772), 202 p. PDF : Google (
livres
IX et X). Corpus OBVIL. • Livre X (1768 [= 1773 ?
ivre IX (1772), 202 p. PDF : Google (livres IX et X). Corpus OBVIL. •
Livre
X (1768 [= 1773 ?]), 190 p. PDF : Google (livres
t X). Corpus OBVIL. • Livre X (1768 [= 1773 ?]), 190 p. PDF : Google (
livres
IX et X). Corpus OBVIL. • Livre XI (1768 [= 1773
68 [= 1773 ?]), 190 p. PDF : Google (livres IX et X). Corpus OBVIL. •
Livre
XI (1768 [= 1773 ?]), 214 p. PDF : Google (livres
X). Corpus OBVIL. • Livre XI (1768 [= 1773 ?]), 214 p. PDF : Google (
livres
XI et XII). • Livre XII (1768 [= 1773]), 4 + 222
Livre XI (1768 [= 1773 ?]), 214 p. PDF : Google (livres XI et XII). •
Livre
XII (1768 [= 1773]), 4 + 222 p. PDF : Google (liv
res XI et XII). • Livre XII (1768 [= 1773]), 4 + 222 p. PDF : Google (
livres
XI et XII). • Livre XIII (1773), 218 p. PDF : Goo
re XII (1768 [= 1773]), 4 + 222 p. PDF : Google (livres XI et XII). •
Livre
XIII (1773), 218 p. PDF : Google (livres XIII et
Google (livres XI et XII). • Livre XIII (1773), 218 p. PDF : Google (
livres
XIII et XIV). • Livre XIV (1773), 216 p. PDF : Go
II). • Livre XIII (1773), 218 p. PDF : Google (livres XIII et XIV). •
Livre
XIV (1773), 216 p. PDF : Google (livres XIII et X
Google (livres XIII et XIV). • Livre XIV (1773), 216 p. PDF : Google (
livres
XIII et XIV). • Livre XV (1763 [=1773]), 226 p. P
XIV). • Livre XIV (1773), 216 p. PDF : Google (livres XIII et XIV). •
Livre
XV (1763 [=1773]), 226 p. PDF : Google (livres XV
(livres XIII et XIV). • Livre XV (1763 [=1773]), 226 p. PDF : Google (
livres
XV et XVI). • Livre XVI (1774), 202 p. PDF : Goog
• Livre XV (1763 [=1773]), 226 p. PDF : Google (livres XV et XVI). •
Livre
XVI (1774), 202 p. PDF : Google (livres XV et XVI
: Google (livres XV et XVI). • Livre XVI (1774), 202 p. PDF : Google (
livres
XV et XVI). • Livre XVII (1775), 202 p. PDF : Goo
t XVI). • Livre XVI (1774), 202 p. PDF : Google (livres XV et XVI). •
Livre
XVII (1775), 202 p. PDF : Google (livres XVII et
Google (livres XV et XVI). • Livre XVII (1775), 202 p. PDF : Google (
livres
XVII et XVIII). • Livre XVIII (1776), 224 p. PDF
). • Livre XVII (1775), 202 p. PDF : Google (livres XVII et XVIII). •
Livre
XVIII (1776), 224 p. PDF : Google (livres XVII et
le (livres XVII et XVIII). • Livre XVIII (1776), 224 p. PDF : Google (
livres
XVII et XVIII). • Livre XIX (1776), 230 p. PDF :
. • Livre XVIII (1776), 224 p. PDF : Google (livres XVII et XVIII). •
Livre
XIX (1776), 230 p. PDF : Google. • Livre XX (1778
le (livres XVII et XVIII). • Livre XIX (1776), 230 p. PDF : Google. •
Livre
XX (1778), 214 p. PDF : Google. Rééditions • Id
liées par l’abbé Migne, Paris, J.-P. Migne, 1855, t. IV, col. 9-1346 [
livres
I à XI], et t. V, col. 9-1168 [livres XII à XX].
igne, 1855, t. IV, col. 9-1346 [livres I à XI], et t. V, col. 9-1168 [
livres
XII à XX]. PDF : Google (tome IV, tome V). L
pentier, 1863, 420 p. PDF : Google, Gallica. Corpus OBVIL. → Texte :
livre
IV, p. 189-194 [témoignage sur l’affaire Caffaro
p; exorcismes pourchasser & conjurer les Demons. Le tout en huict
livres
. Par Pierre Le Loyer, Conseiller du Roy au siege
s Buon, 1608, in-4º, (ff.) 979 p. + tables. PDF : Google. → Textes :
livre
II, chap. III, p. 102-103 ; livre VI, chap. VII,
+ tables. PDF : Google. → Textes : livre II, chap. III, p. 102-103 ;
livre
VI, chap. VII, p. 590 ; livre VI, chap. XV, p. 66
tes : livre II, chap. III, p. 102-103 ; livre VI, chap. VII, p. 590 ;
livre
VI, chap. XV, p. 661-662. Autres éditions • 1re
n-4º, [26] -976-[39] p. PDF : Gallica. Version très augmentée de : IV
livres
des spectres ou apparitions et visions d’esprits,
ntoine de Sommaville, 1652, (27 ff.) 294 p. PDF : Gallica. → Texte :
Livre
second, chap. I à VII, p. 74-136. Édition modern
BnF Tolbiac : RES P-R-919 (1) (cf. Notice). Corpus OBVIL. → Texte :
livre
I, chap. 22 : « Des jeux & autres observation
issy , éd. 1771, 1re partie, p. 639-642. Mézières, Critique d’un
livre
contre les spectacles, 1760 • Mézières, Eugène
s, Eugène-Eléonor de Béthizy (1709-1781 ; marquis de) : Critique d’un
livre
contre les spectacles intitulé J. J. Rousseau cit
965, p. 176-177. N.-B. • 1re éd. : Bordeaux, Simon Millanges, 1580 [
livres
I et II ] ; • 4e éd. : Paris, Abel L’Angelier, 15
, 1580 [livres I et II ] ; • 4e éd. : Paris, Abel L’Angelier, 1588 [3
livres
] ; • exemplaire de Bordeaux : éd. Villey-Saulnier
rbinum, 1575, in-8º, pièces limin. et 296 ff.PDF : Google. → Textes :
livre
II, titre vi : « De poetis et eorum virtutibus, e
, et qui legendi, quisque ex theatris exigendi sint » (f. 56v-64r) et
livre
VIII, titre xiv : « De theatris » (f. 258r-259r).
: anonyme 1520, Jean Le Blond, Jacques Tigeou. • Anonyme 1520 : [Le
Livre
de Françoys Patrice de l’Institution et administr
e langue par M. Jean Le Blond, plus y est adjousté un petit abrégé du
livre
d’Érasme, touchant la doctrine et enseignement du
85 ff.et la table. Rééd. 1590. PDF : Google. Corpus OBVIL. → Textes :
livre
II, chap. vi : « Des Poëtes et de leurs vertus. I
ines. Des Poetes Satiriques, Elegiaques et Liriques », ff.117v-135r ;
livre
VIII, chap. xiv : « Du Theatre et scène », ff.507
armontel , Apologie du théâtre, 1758-1759 ; Mézières , Critique d’un
livre
contre les spectacles, 1760 ; Villaret , Considé
olbiac : NUMM-8700061 ; NUMM-8700062 ; C-4319 (cf. Notice). → Texte :
Livre
VI « Ou toutes sortes de spectacles et jeuz sur l
damnez », f. 110v-141v. 2) par André Rivet (1639, trad. partielle du
livre
VI) : • « Version du latin de Salvian Prestre de
re VI) : • « Version du latin de Salvian Prestre de Marseille, du VI
Livre
du Gouvernement, ou Providence, de Dieu », p. 97-
se, SJ : • Les Œuvres de Salvian evesque de Marseille contenans Huit
livres
de la Providence, Les IV livres contre l’avarice.
n evesque de Marseille contenans Huit livres de la Providence, Les IV
livres
contre l’avarice. Avec plusieurs Epistres du mesm
Gaspar Meturas, 1655, (11 ff.) 406 p. (9 ff). PDF : Google. → Texte :
Livre
VI, p. 138-174. Sanchez de Arevalo, Le Miroi
: Lyon, Duplain, 1767, 2 vol. Sorel, De la connoissance des bons
livres
, 1671 • Sorel, Charles (1582?-1674) : De la co
, 1671 • Sorel, Charles (1582?-1674) : De la connoissance des bons
livres
ou Examen de plusieurs autheurs, Paris, André Pra
de Conti touchant la comédie et les spectacles ou la réfutation d’un
livre
intitulé Dissertation sur la condamnation des thé
PDF : Google. • Paris, Antonin Des Hayes, 1719. PDF : Google. N.-B.
Livre
condamné par Clément IX. Documents profanes
ou faire imprimer, vendre, faire vendre, débiter ni contrefaire ledit
Livre
en tout ni en partie, sans la permission expresse
, à peine de confiscation des exemplaires contrefaits, de quinze cent
livres
d’amende contre chacun des contrevenants, dont un
, et ce dans trois mois de la date d’icelles ; que l’impression dudit
Livre
sera faite dans notre Royaume et non ailleurs, en
dédites Présentes qui sera imprimée au commencement ou à la fin dudit
Livre
, soit tenue pour dûment signifiée, et qu’aux copi
é par l’Edit de Sa Majesté de 1686. et Arrêts de son Conseil, que les
Livres
dont l’impression se permet par chacun des Privil
is de garder le silence, ni de demeurer dans l’inaction au sujet d’un
Livre
pernicieux qui a pour titre : Libertés de la Fran
heve de révolter les esprits, & d’exciter l’indignation contre le
Livre
entier & contre l’Auteur. Le cri public qui s
entier & contre l’Auteur. Le cri public qui s’est élevé contre ce
Livre
, à l’instant qu’il a paru, nous a porté à en fair
u de l’Ordre des Avocats, que j’ai l’honneur de dénoncer à la Cour le
Livre
intitulé : Libertés de la France contre le pouvoi
la parole, ont dit : Que l’exposé qui vient d’être fait à la Cour, du
Livre
intitulé : Libertés de la France contre le pouvoi
, fut confirmé par le sceau de l’autorité de la Cour, & que ledit
Livre
fût flétri. Que dans ces circonstances ils croyen
s ces circonstances ils croyent donc devoir proposer à la Cour que le
Livre
en question sera lacéré & brûlé par l’Exécute
imé, la matiere sur ce mise en délibération : LA COUR, ordonne que le
Livre
en question sera lacéré & brûlé par l’Exécute
âtre qui avoit coûté vingt mille DucatsLe Ducat d’or vaut environ dix
livres
dix sols de notre monnoie.. Montrons-leur enfin l
z que chaque Représentation produit aux Comédiens aux environs de 150
livres
, ce qui fait près de 600. livres par semaine, &am
it aux Comédiens aux environs de 150 livres, ce qui fait près de 600.
livres
par semaine, & 2400. livres par mois ; de faç
150 livres, ce qui fait près de 600. livres par semaine, & 2400.
livres
par mois ; de façon que s’ils restent ici un an,
. de Civit. Dei c. 31. Ville d’Espagne Le Ducat d’or vaut environ dix
livres
dix sols de notre monnoie. Conclusion Ep. de S.
duré lesdits jeux, les aumônes ont diminué de la somme de trois mille
livres
, et en appert promptement par certification signé
procédant desdits jeux des Actes des Apôtres, la somme de huit cents
livres
parisisbb en la boîte aux pauvres par provision,
eur fallait et ont avancé grande somme de deniers, aux uns deux mille
livres
, aux autres sept cents, tellement qu’il y a oblig
cents, tellement qu’il y a obligation sur euxbl de plus de sept mille
livres
. Ont fait dresser le livre de l’Ancien Testament
bligation sur euxbl de plus de sept mille livres. Ont fait dresser le
livre
de l’Ancien Testament en rythmebm, icelui communi
é et ordonne que les anciens maîtres bailleront la somme de huit cent
livres
parisis par provision, pour employer à l’aliment
donné auxdits Maîtres anciens pour bailler ladite somme de VIII cents
livres
car ils n’avaient presentem pecuniam ce. A dit Br
de Conti touchant la comédie et les spectacles ou la réfutation d'un
livre
intitulé Dissertation sur la condamnation des thé
libri decem, Paris, Simon de Colines, 1533 (1e éd. ca 1472), tome 1,
livre
II, ff. 53 sq., 67, 69 sq. i. [NDE] Quand les o
l y eut. p. [NDE] Dépenses. q. [NDE] Référence au Codex Justiniani,
livre
XI, « De expensis publicorum ludorum » (des dépen
es de disputes qui dégénèrent en procès. ao. [NDE] Codex Justiniani,
livre
XI, 41, « Des spectacles de théâtre et de ceux do
fié cette permission. bl. [NDE] Ils ont contracté plus de sept mille
livres
de dette avec engagement de payer (obligation).
nterdiction. cc. [NDE] Les entrepreneurs soumettront à la cour leurs
livres
de compte pour que, après examen de ceux-ci, on l
e quelque chose de si dangereuxPolit. 7. 17. [Aristote, La Politique,
livre
VII, chapitre XVII]., qu’il n’y admet point la je
du même philosopheAristote, Politique, 8. 4. [Aristote, La Politique,
livre
VIII, chapitre IV]., que « l’action suit de près
ori de nos pièces de théâtre. Polit. 7. 17. [Aristote, La Politique,
livre
VII, chapitre XVII]. Aristote, Politique, 8. 4. [
, chapitre XVII]. Aristote, Politique, 8. 4. [Aristote, La Politique,
livre
VIII, chapitre IV].
e portrait, sur-tout du côté de la galanterie, qui est le sujet de ce
livre
. Lett. 1. Les vrais Comédiens sont rares, tout l
e excellente. Il n’y a pas de représentation qui ne coûte au Duc 4000
livres
, il en donne plusieurs par an, sans compter les p
rairie où n’entreroient que les miladis de l’ordre qui auroient 40000
livres
en pierreries. Une jeune & très-jolie débutan
rice n’est pas moins noble, jusqu’à ses nuits sont bien payées, 40000
livres
en fus les pierreries ! Lett. 88. C’en est fait,
nte avant sa noce, sans compter une maison avec ses meubles de 130000
livres
? C’est apparemment pour rentrer dans son bien qu
danseuses, figurantes, &c. qu’on trouve de toutes parts dans les
livres
& sur les stampes, n’annoncent que la volupté
en grand des Acteurs & des Actrices, à 30 sols pieces, & à 6
livres
en cadre doré. Il y en a beaucoup dont l’original
’est ainsi que par un commentaire plein de blasphemes on a profané le
livre
des Cantiques, & par une très-grande impiété,
-grande impiété, il est raconté dans le style des Prophètes & des
livres
historiaux de l’Ecriture, pour faire le portrait
bord la comédie nouvelle des Moissonneurs, une parodie licencieuse du
livre
de Ruth, de l’histoire de Boos, qui mérita la cen
é. Il fait remarquer plus de deux cents fautes de langage dans un des
livres
qui passe pour le mieux écrit. Il y en a bien dav
ille mettre Racine entre les mains des jeunes gens, & en faire un
livre
classique. C’est vouloir empoisonner la jeunesse.
que ceux-mêmes qui le préconisent, ne croient pas. Donneroit-on pour
livre
classique les Contes de la Fontaine ? Ils sont au
senter, ni les entendre lire, Racine étoit bien éloigné d’en faire un
livre
classique : absurdité qu’un homme sage ne sauroit
ion de l’opéra. M. le Prevôt des Marchands a fait pour quarante mille
livres
de dépense extraordinaire (digne emploi des denie
ans. Le Roi a fait la dépense de la décoration, qui a coûté dix mille
livres
, en considération de Madame la Dauphine, pour qui
les, 1 juin 1765. Je ne sais si les réflexions qu’on a faites dans le
livre
précédent sur l’indécence d’un monument si profan
eut faire passer pour un protecteur de la Comédie, a fait composer un
livre
particulier contre les Comédies, qui prouve qu’el
t de leurs effets, et que c’est pour cela qu’elles sont défendues. Ce
livre
a été traduit en Français, et imprimé à Toulouse
ic, et que cette Dissertation attaquait. C’est pourquoi il composa un
livre
in-4°. plein de preuves, et de faits les plus sol
premier siècle de l’Eglise jusqu’à présent. La dernière édition de ce
livre
est de 1731, et se trouve à Paris chez la veuve D
ralement tous les saints Pères, on y va suppléer. Tertullien dans son
livre
des Spectacles, chap. 4. 25. et 27. Saint Cyprien
Traité de la Fuite du siècle, chap. 1er. Saint Augustin, dans son 3e
livre
de ses Confessions, chap. 2. S. Thomas, 22. q. 16
ont. Jul. III. 21 [saint Augustin, Du mariage et de la concupiscence,
livre
I, chapitre 7, livre II, chapitre 21 ; Contre Jul
int Augustin, Du mariage et de la concupiscence, livre I, chapitre 7,
livre
II, chapitre 21 ; Contre Julien, chapitre III, §
ont. Jul. III. 21 [saint Augustin, Du mariage et de la concupiscence,
livre
I, chapitre 7, livre II, chapitre 21 ; Contre Jul
int Augustin, Du mariage et de la concupiscence, livre I, chapitre 7,
livre
II, chapitre 21 ; Contre Julien, chapitre III, §
s d’Ulysse mangent les bœufs du Soleil. Voilà ce que j’ai appris d’un
livre
qui est tombé en mes mainsd, où l’Auteur ressembl
ui ont été si religieusement observées par le passé. Mais pourquoi ce
livre
imprimé en Allemagne accuse-t-il les Catholiques,
êché, crié, invectivé contre eux, essayé de les réduire. Tertullien,
livre
De l’idolâtrie, réprouve la Fête des Calendes de
Calendes de Janvier, l’appelle superstition Païenne. Prudence en son
livre
Contre Symmachus les déteste. Entre les Sermons d
lébration de leurs Fêtes. Saint Augustin les blâme encore plus en son
livre
de la Conversation Catholique, et les interdit. A
prières solennelles aux mêmes heures et temps. Isidore nous l’apprend
livre
premier Du service de l’Eglise, chapitre 40. Puis
que l’auteur a donnée au passage de saint Augustin, 8e chapitre du 2e
livre
de la Cité de Dieu : et à Vivès qui parle des Mat
es Tuscul.i. Euripide était grand ami d’Archelaos. Aristote a fait un
livre
de la Scénique. Et de notre temps le docte Scalig
assujetti d’hommes par ces inventions, que par leurs armes. Aristote
livre
quatrième des Ethiques, chap. huitième, Qu’il lui
r et d’apprendre est naturelle en nous, et que notre âme est comme un
livre
blanc où nous pouvons graver ce qui la doit rempl
h. [NDE] C’est-à-dire, l’Héautontimoroumenos. i. [NDE] = Tusculanes,
livre
2. j. [NDE] Le texte porte la forme : « Nazienze
rs immense. Le détail des obscénités grecques ne finit point dans les
livres
de Pausanias, & les obscénités romaines rempl
pinceau se prostitue à tout. La licence du théatre a gagné jusqu’aux
livres
saints ; il vient de paroître de nouveaux Breviai
it la condamnation, & en montre le danger & le crime, dans un
livre
d’un mérite & d’une réputation médiocre, inti
es plus scandaleux. Saint Augustin dans ses confessions & dans le
livre
de la cité de Dieu rapporte ce trait de Terence,
es yeux sur cette source de corruption ? On a établi des censeurs des
livres
, on défend l’impression des mauvais, on les suppr
; ils sont sans nombre. Un tableau licencieux n’est il pas un mauvais
livre
où l’on apprend le vice bien mieux & plus fac
où l’on apprend le vice bien mieux & plus facilement que dans un
livre
? Tout le monde y sait lire, un coup d’œil suffit
aurem ; quam quæ sunt oculis subjecta fidelibus. Il n’y a pas même de
livre
si licencieux qu’un tableau. Les plus vives descr
n vente, on expose en public & en particulier les éditions de ces
livres
funestes ; mais on les multiplie à l’infini par l
avure, sorte d’impression qui se répand avec plus de facilité que les
livres
. Une estampe se distribue plus aisément, & n’
ne estampe se distribue plus aisément, & n’est pas si chere qu’un
livre
. Etalée où l’on veut, il ne faut ni l’ouvrir, ni
t tournées en ornemens typographiques, & souillent la plupart des
livres
? Les censeurs qui les tolérent méritent-ils la c
le du Prince ? Parmi les regles sur la lecture & l’impression des
livres
, faites par ordre du Concile de Trente, qu’on tro
ne fait point de mauvaise impression ; ces ordres ont été suivis. Les
livres
de Réligion imprimés depuis le Concile, ont été m
de Réligion imprimés depuis le Concile, ont été modestes, les autres
livres
même ont été plus réservés, à la place de ces ant
e raison, une place distinguée dans le régne de l’indécence. Tous les
livres
de comédie qui sont aussi une branche très-consid
comédie qui sont aussi une branche très-considérable du commerce des
livres
, n’ont pour vignettes, pour frontispice, & à
spice, & à la tête & à chaque acte que des planches dignes du
livre
qu’elles ornent. On s’attend bien que les Romans,
ie. Ce sont des esclaves si dévoués ! Mais on ne s’attend pas que les
livres
de la Réligion, qui jusqu’ici s’en étoient garant
bénéfices, que la succession fut obligée de payer quinze cents mille
livres
de réparations. Que dire à tout cela ? 2°. Il avo
nt on avoit soin de distribuer les statues. On voit dans le troisiéme
livre
des Rois, C. 15. que Maacka, Reine de Juda, à la
théatre, & fait transporter le théatre dans les maisons, dans les
livres
& dans les cœurs. Le prophete Ezéchiel &
s livres & dans les cœurs. Le prophete Ezéchiel & l’auteur du
livre
de la Sagesse, gens fort sérieux & très peu a
gure qui passe, præterit figura hujus mundi. Le Chapitre 14, du même
livre
de la Sagesse, semble n’être fait que contre l’ab
ore ; mais j’aimais à aimer » Conf. III [saint Augustin, Confessions,
livre
III, chapitre I]. : il cherchait, continue-t-il,
ont. Jul. IV. 14. Conf. X. 31 et seq. [saint Augustin, Contre Julien,
livre
IV, § 14. Confessions, livre X, chapitre 31 et su
et seq. [saint Augustin, Contre Julien, livre IV, § 14. Confessions,
livre
X, chapitre 31 et suivants]., cette malignité de
d’un théologien », page 40]. Conf. III [saint Augustin, Confessions,
livre
III, chapitre I]. Ibid, 2. [Ibid. chapitre II].
ont. Jul. IV. 14. Conf. X. 31 et seq. [saint Augustin, Contre Julien,
livre
IV, § 14. Confessions, livre X, chapitre 31 et su
et seq. [saint Augustin, Contre Julien, livre IV, § 14. Confessions,
livre
X, chapitre 31 et suivants]. g. [NDE] Ibid. vers
r, m’a révolté ; et je n’ai pu m’empêcher de faire la critique de son
Livre
, malgré toute la faveur où sa façon d’écrire et l
d’hui auprès du Public. Je joins à cette Critique les endroits de son
Livre
même, dans lesquels, oubliant l’intérêt de son sy
l a raison ; car la mort peut ne point faire de mal, et l’hypocondrie
livre
sa victime à la noire fureur de son bitume corros
s dans les forêts ? Il se dévoile lui-même, quand il dit dans ce même
Livre
contre les Spectacles, page 223 : « Le plus mécha
Dans sa Lettre sur la Musique Française. Page 91. 5. [NDA] Dans le
Livre
objet de la présente Critique. 6. [NDA] Il dit,
ent, et je leur promets de jeter à l’instant au feu mes Ecrits et mes
Livres
, et de convenir de toutes les erreurs qu’il leur
dire que vous aviez souffert patiemment qu’on vous eût loués dans ce
Livre
horrible. L’on fit venir au désert le volume qui
t donc avez-vous souffert qu’il ait tant fait de Traductions, tant de
Livres
sur les matières de la Grâce ? Ho, ho, direz-vous
’esprit se délasse quelquefois. Nous ne pouvons pas toujours lire vos
Livres
. Et puis, à vous dire la vérité, vos Livres ne se
ons pas toujours lire vos Livres. Et puis, à vous dire la vérité, vos
Livres
ne se font plus lire comme ils faisaient. Il y a
otre Ennemi à toute rigueur. Examinez Chrétiennement ses mœurs et ses
Livres
. Feuilletez les Registres du Châtelet. Employez l
our la brûlure, ou le secret pour empêcher les Jésuites de brûler les
livres
: poème de Barbier d’Aucour (1664). f. [NDE] Le
à saint Grégoire de Nazianze. g. [NDE] Saint Augustin, Confessions,
livre
X, chap. 33. h. [NDE] Le Maistre de Sacy avait p
nauld d’Andilly de 1658. (Voir Sainte-Beuve, Port-Royal, appendice du
livre
3, chap.7, Pléiade, t. II, p. 960). k. [NDE] Ent
lcinée, de Sancho Pansa, de Rossinante sont devenus des proverbes. Ce
livre
est amusant, les aventures en sont variées, la mo
es histoires disparates, qui ne font que remplissage pour allonger un
livre
, la plupart des plagiats. Tel le Curieux impertin
gne. Les questions captieuses qu’on lui fait, qui sont dans les vieux
livres
de logique, sur l’article de dilemme ; tout y est
pas moins faux : on le donne pour un homme sensé qui n’a jamais lu de
livres
de chevalerie, & ne peut par conséquent en êt
roman au commis d’un secrétaire d’état, qui aimoit la lecture de ces
livres
, qu’on voulut corriger ou plutôt ridiculiser. Il
otre temps, n’est pas moindre que celle que j’ai toujours eu pour les
livres
de chevalerie. La comédie doit être un tableau de
; bientôt après les plus sages, & même pieux : ce sont comme deux
livres
différens mêlés & confondus. Si, comme un hab
res que bon lui semblera, la traduction du Latin en Français du petit
Livre
de saint Charles Borromée contre les danses, dura
danses, durant l’espace de douze années, à compter du jour que ledit
Livre
sera achevé d’imprimer. Faisant très expresses in
re de l’année 1663. Les exemplaires ont été fournis. Registré sur le
Livre
de la Communauté le 20. Décembre 1662. Et ledit
plus déterminés Athées, sèment dans leurs conversations et dans leurs
livres
quelques traits de religion ; il en est dans Spin
vérité, ces apparitions de vertu suffisent, il n’est plus de mauvais
livre
, de mauvaise compagnie ; on peut tout voir et tou
s regardé comme un des plus grands dangers pour la foi la lecture des
livres
hérétiques et l’entretien des gens sans religion.
, que des extraits de ce qu’il y a de plus séduisant dans les mauvais
livres
? Qu’est-ce alors que le théâtre ? une école d’er
u plutôt on le fait indifféremment, et sans les avoir lus, à tous les
livres
de controverse, pour accréditer la mauvaise doctr
t pour les seules ; et en dégageant l’impiété du sérieux ennuyeux des
livres
, ils la mettent à portée de tout le monde, et pou
la pratique, la créance avec les mœurs, dans toutes les religions. Le
livre
de la discipline des Eglises Réformées, imprimé à
its de la comédie (C. 4. art. 18 et 28. des Reglem.). Elle dit. « Les
livres
de la Bible, soit canoniques ou autres, ne seront
t long traité. Vincent, Ministre de la Rochelle, a fait approuver son
livre
contre la comédie par douze Ministres de diverses
rt, selon l’usage des Presbytériens, s’avisa d’écrire un fort mauvais
livre
contre d’assez bonnes comédies qu’on représentait
n fut cité devant la chambre étoilée, condamné à voir brûler son beau
livre
, dont le P. le Brun a composé le sien, et lui les
eur était un très savant homme, qui a fait de fort bons ouvrages. Son
livre
contre la comédie est rempli d’érudition ; on n’y
e tout sur Voltaire, puisqu’il est impossible qu’il les ait faits. Le
livre
de Jansénius n’avait pas encore paru, un Protesta
at et le Roi Charles, qu’il peut bien avoir voulu satiriser ; mais ce
livre
ne fut point du tout la matière de son procès. C’
Cet habile homme n’avait aucun besoin du docteur Prinn pour faire son
livre
, bien meilleur que celui de l’Anglais, qu’il n’av
e voir paraître dans la même année une Apologie de la Comédie, par un
Livre
intitulé, Dissertation sur la condamnation des Th
médie, qu’il venait de donner au public. C’est pourquoi il composa un
Livre
in 4°. plein de preuves et de faits les plus soli
Ou Réfutation de la Dissertation sur la condamnation des Théâtres. Ce
Livre
a été imprime en 1671. Il parut en 1672. une autr
sieur l’Abbé Fleury a aussi dit quelque chose de la Comédie, dans son
Livre
des Mœurs des Chrétiens, imprime en 1682. On n’av
trésorier desdits pauvres de cette ville de Paris, la somme de mille
livres
tournoiscw c’est assavoir cinq cents livres au co
Paris, la somme de mille livres tournoiscw c’est assavoir cinq cents
livres
au commencement et avant que entrer à l’exécution
[NDE] C’est la même somme que pour les entrepreneurs des Actes : 1000
livres
tournois valent 800 livres parisis. cx. [NDE] Av
ue pour les entrepreneurs des Actes : 1000 livres tournois valent 800
livres
parisis. cx. [NDE] Avant le commencement des rep
, il écrivoit avec une extrême facilité, il a composé une infinité de
livres
dont quelques uns sont bons ; mais il ne savoit p
p; une sorte de misticité extraordinaire que Jurieu combattit dans un
livre
exprès, ne signifie chez lui qu’une piété commune
si éloignée ; que dans le même temps M. Arnaud démontra dans un gros
livre
qu’elle est le renversement de la morale chrétien
rieu à son tour attaqua très-vivement la morale sévère dans le fameux
livre
de l’Esprit de M. Arnaud. Jurieu cependant est un
les crimes énormes qu’on n’entreprend pas de défendre, quoiqu’on s’y
livre
, & les plaisirs qu’on traite d’indifférends :
sa morale est pure, & même sévère, ce qui lui donna du crédit, ce
livre
seroit utile s’il se fût borné à la morale, mais
le moyen des paroles lubriques. Il en faut dire de même des images ou
livres
(licencieux) & de l’assemblage des deux sex
celle, on peut y voir au moins comme en miroir & lire comme en un
livre
, les habits comme la bouche parlent de l’abondanc
it n’est pas suspect, homme du monde, livré à la galanterie, dont ses
livres
sont pleins, amateur du théatre, Auteur, neveu ad
echerchée pour une femme qui certainement n’a jamais lu la moitié des
livres
qu’elle cite, sur-tout pleins de galanterie, sans
Déesse de Cithère ? Quelle dévotion n’ont-ils pas pour son fils ? Ce
livre
poussé jusqu’à huit volumes est écrit assez décem
vous êtes aussi malade que le P. Garassi. Dans le même temps tous les
livres
des Protestans reprochent aux Catholiques l’invoc
me d’un crime de son amour pour le théatre & la lecture du second
livre
de Virgile, des amours d’Enée & de Didon, il
rus Aurelius, sous le nom duquel s’étoit déguisé l’Abbé de St. Ciran,
livre
plein d’erreurs que le Roi supprima & fit arr
plein d’erreurs que le Roi supprima & fit arrêter l’Imprimeur, ce
livre
contribua à l’emprisonnement de son Auteur, M. Go
logie, avitæ theologiæ in sinu éducatus . Nous n’aurions parlé ni du
livre
ni de son éloge, production d’un mérite médiocre,
Livre
seconda. L’ordre et le bonheur de la société hu
ligera ses ennemis même à la respecter. Nous avons vu dans le premier
livre
combien la religion alarmée lançait d’anathèmes s
’oserais souhaiter qu’on supprimât en France je ne sais quels mauvais
livres
contre les spectacles. Lorsque les Italiens et le
donne en la jouant. Il a été fait en Italie, comme en France, de bons
livres
contre les spectacles. Les statuts des diocèses n
e. Un pareil suffrage met peu de poids dans la balance. a. [NDE] Ce
livre
fait suite au premier dans le même volume. b. [N
d’une très-bonne morale, touchante & édifiante, sur le modele du
Livre
de Tobie : elle peut être extrêmement utile dans
vaste champ lui a fait manquer en partie son but & son succès. Ce
livre
, composé à Avignon, a tout l’air de la province d
nd sotte. Voici quelques traits pris au hasard qui feront juger de ce
livre
. (p. 50.) Soit mauvaise conduite, soit vanité, lu
insensés, ruineux pour sa famille ? Mon mari vous a fait pour 150000
livres
de billets. Voilà ce qui touche le monde, la bour
aiter, de l’autre désespérer (Ce style galant, très-fréquent dans les
livres
innombrables de cet Evêque, fort pieux, mais sing
nna sa main à baiser, lui accorda sa protection, la fit écrire sur le
livre
de vie, c’est-à-dire sur la liste des pauvres fil
, & la plupart bien coloriés. Les Journaux ont fait l’éloge de ce
livre
; il le mérite, il y a des sentimens nobles, de g
orcée par la misere, elle accepte une pension viagère de quinze cents
livres
que lui fournit la femme de son amant, partie par
ne rivale dangereuse, & va vivre pensionnaire dans un couvent. Le
livre
finit par le portrait déshonorant qu’elle fait d’
l’Actrice ; la femme n’y est qu’un moment. Il faudroit copier tout le
livre
, si on vouloit rapporter tous les traits qu’il la
énitent blanc, fait dans son Satyricon une réforme semblable. Dans ce
livre
, qui n’a guère plus de dévotion que les ouvrages
rémonies, les exercices pieux, les images, les habits, les lieux, les
livres
saints, tout ce qui tient au christianisme, dont
é leur plume contre ce divertissement qui a donné matière à plusieurs
Livres
. L’Apologie du Théâtre qui a été faite autrefois
présentations par exercice d’Esprit, de même qu’il avait déjà fait un
Livre
de la Pratique du Théâtre : Néanmoins on a pris s
e du Théâtre : Néanmoins on a pris sujet de là d’attaquer son dernier
Livre
. Un autre homme remarquable par sa doctrine et pa
toutes exprès par des Auteurs dont les noms sont aux affiches et aux
Livres
imprimés, comme voulant en tirer de la gloire, et
dit que les Comédies nous exposent. Celui qui a fait imprimer un gros
Livre
contre ces belles Représentations, a donné plusie
ition assez judicieuse qui est, que comme l’on examine toute sorte de
Livres
avant que de permettre de les imprimer, et de les
t-être qu’en réduisant tous les solitaires à celui à qui on envoya ce
livre
de Parish, et le plaisir que vous supposez qu’ils
ouffert, dites-vous, que M. le Maître ait fait des traductions et des
livres
sur la matière de la grâce ; et on trouve étrange
oisonneurs, et pour rendre ceux de Port-Royal coupables du mal que ce
livre
peut faire, que de dire qu’ils ont tâché d’y appo
ter. On l’a même reconnue au Concile de Trente ; et, dans l’Index des
livres
défendus, on a excepté expressément ceux que le b
ires. Que peut-on donc faire de mieux pour les jeunes gens qui ont ce
livre
entre les mains, et qui tâchent de l’entendre, qu
ssein des comédies toutes entières ? S'il y en a qui s’attachent à ce
livre
par le plaisir qu’ils y prennent, sans se mettre
. Couvrir les passions d’un voile d’honnêteté, ce n’est pas ôter d’un
livre
ce qu’il y a d’impur et de déshonnête. Un même li
st pas ôter d’un livre ce qu’il y a d’impur et de déshonnête. Un même
livre
peut avoir des endroits trop libres, et d’autres
rait un plaisant scrupule que de n’oser les ôter de peur de rendre le
livre
plus dangereux ; et je ne connais que vous qui le
ut ce qu’ils veulent, qui « examinent chrétiennement les mœurs et les
livres
», et qui vont chercher dans « Saint Bernard » et
our la brûlure, ou le secret pour empêcher les Jésuites de brûler les
livres
: poème de Barbier d’Aucour (1664). e. [NDE] « E
, politesse, urbanitas De Mor. 4. 14. [Aristote, Ethique à Nicomaque,
livre
IV, chapitre 14]. : selon l’esprit d’Aristote, on
i l’étymologie qu’AristoteMor. 4. 14. [Aristote, Ethique à Nicomaque,
livre
IV, chapitre 14]. donne à ce mot : mais ce philos
pitre XII, verset 36]. De Mor. 4. 14. [Aristote, Ethique à Nicomaque,
livre
IV, chapitre 14]. Ep. I .V. 4. [1e épître aux Eph
hésiens, “homélie XVII”]. Mor. 4. 14. [Aristote, Ethique à Nicomaque,
livre
IV, chapitre 14]. Chrysost. ibid. [Jean Chrysosto
quant en leçons publiques, en l’Académie de Leyden, le xx Chapitre du
livre
de l’Exode, auquel sont contenus les dix Commande
ut-être, qu’on n’y a représenté que des histoires sacrées, tirées des
livres
saints. Mais Mariana28 confesse qu’en Espagne, po
us même genre, nous inférons celles des plus grandes. Tertullien31 au
livre
qu’il a fait contre les spectacles, en use ainsi,
ec tant de soin pour voir et ouïr les Comédiennes sur le Théâtre ? Au
livre
du Deuter44. « La femme, dit la loi, ne portera p
s assaillent avec des troupes si grandes. » François Patrice49 en ses
livres
de la République, « Cela, dit-il, ne me plaît pas
apporte aussi la licence de les imiter. Car, (comme disait Sénèque ès
livres
de la République) jamais les Comédiens n’eussent
. Aussi les Lacédémoniens commandèrent qu’on jetât hors de Sparte les
livres
du Poète tragique Eschylebu, comme étant inutiles
as expédient qu’elles soient jouées ès Théâtres. Jehan Bodin aussi au
livre
6. de sa République où il parle de l’office des C
ines, et par les constitutions Ecclésiastiques. S. Augustin au second
livre
de la Cité de Dieu reproche aux Romains, que se s
nt pas crues vivre pudiquement et chastement »52. En un Canon tiré du
livre
des doctrines Ecclésiastiques en S. Augustin, ent
ce que nous venons de dire, est aussi remarqué par Patrice au second
livre
de sa République. « Les Anciens Romains, dit-il,
ce qu’ils pensent être bien, est mal. » Es constitutions Apostoliques
livre
VIII. chap. XXXII. où il est parlé de ceux qui vi
eurs poèmes58, selon la manière pour lors usitée, que les auteurs des
livres
, devant que les publier, les récitaient pour en a
des vices, d’être souillée des gestes histrioniques ? » Et encore au
livre
qu’il a fait des spectaclescy. « Pour passer, dit
nnêtes, on détractedw du prochain, on se querelle ; on lit de mauvais
livres
, pires que tout ce qu’on reprend en ces jeux. Mai
à la vérité à désirer, que l’élégance du style fût enseignée par des
livres
, qui auraient plus de pureté pour la matière, com
omme il s’en trouverait assez : Mais puisqu’il est malaisé d’ôter ces
livres
des mains de ceux qui s’étudient à bien dire en c
a voix, pour mieux empoisonner les auditeurs. François Patrice en ses
livres
de la République, ayant conclu pour cette cause73
étrer dans les cœurs. Ainsi y a-t-il bien de la différence, entre les
livres
et les Théâtres : combien qu’il serait besoin, qu
es jeux publics, est grandement aggravée. CE que le Sage disait au
livre
de l’Ecclésiastique, que « toutes choses ont leur
en mieux. VERSION DU latin de Salvien Prêtre de Marseille, du VI
Livre
du Gouvernement, ou Providence, de Dieu . fc
v. 21. l 11. 1. Cor. 9. 24. n 12. Voyez Clement Alexand. au 2.
livre
de ses tapisseries. Plat. en son Timée. Edonè meg
17.as 33. Ephes. 5. v. 3.au 34. Au même lieu.av 35. Au même
livre
Chap. 3. aw 36. Psalm. 1. ax 37. En l’orais
ique est très souvent invoqué, nous n’avons pas identifié la glose au
livre
8 du Digeste. 48. Epître 7.bt 49. Livre II,
as identifié la glose au livre 8 du Digeste. 48. Epître 7.bt 49.
Livre
II, Titre 6 [NDE : Francesco Patrizi (1413-1494),
publique, Paris, G. Chaudière, 1589, f. 123]. 50. Voyez Valer. Max.
livre
I. chap. 6 [NDE : Coquille : il s’agit en réalité
aler. Max. livre I. chap. 6 [NDE : Coquille : il s’agit en réalité du
livre
II, chap. 6, § 7 des Faits et dits mémorables de
II. Akroamazoï. cu 64. Cypr. Epist. 2.cv 65. Es divines Instit.
livre
6. chap. 20.db 66. En l’oraison touchant la le
stit. livre 6. chap. 20.db 66. En l’oraison touchant la lecture de
livres
des Paiens.dc 67. Du consent. des Evang. chap
En l’Homil. 6. sur le chap. 2 de S. Matth. dh 69. Epist. 463. du
livre
5. dk 70. Epist. au Grammairien, Ophelius. 517
dk 70. Epist. au Grammairien, Ophelius. 517.dm 71. Bellarmin au
livre
des Ecrivains Eccles. le fait Evêque de Marseille
ême en l’inscription de la préface l’appelle Salvien Evêque.dn 72.
Livre
3. Epist. 336 du 73. Livre 2. Titre 6.eh 74.
face l’appelle Salvien Evêque.dn 72. Livre 3. Epist. 336 du 73.
Livre
2. Titre 6.eh 74. En sa préface sur Lucrèce.ek
ivet ne suit pas le texte original, en français, de J. Bodin, Les Six
livres
de la République, Paris, Jacques du Puy, 1576, ma
autore redditi, Paris, Jacob Du Puys, 1586. Le passage traduit est au
livre
VI, chap. 1, p. 631-632, correspondant aux p. 611
libri VIII, Paris, J. de Marneffe et G. Cavellat, 1575, p. 196 sq. Le
livre
6 est entièrement consacré aux spectacles, mais R
recevant l’annonciation de l’Ange. Il fit le métier de relieur : les
livres
qu’on lui donnoit à relier lui donnerent occasion
it la Vie de Sainte Catherine de Sienne, quelques Commentaires sur un
Livre
de l’Ecriture Sainte, un Traité de l’Humanité de
démies. Sa religion, ses mœurs, ses aventures, ses comêdies & ses
livres
obscènes ne pesent rien dans la balance académiqu
dessous de sa réputation. Il écrivoit mal en vers & en prose. Ses
livres
eurent cours dans la nouveauté ; personne aujourd
n’avoit jamais appris qu’à lire & à écrire. On lui disputoit ses
livres
, comme n’étant pas à lui ; & quand l’Inquisit
onorera tes satyres contre le Clergé, celle d’épines appartient à tes
livres
pieux, celle de fleurs est le prix de tes agréabl
t des estampes, on le mettoit sur la porcelaine, aux frontispices des
livres
. Qui n’a vu les portraits des actrices, les figur
oulager la pauvreté qui m’égorge. Il composoit dans la même vue des
livres
de dévotion, qu’il dédioit à des personnes pieuse
mbreuse, parce que ses écoliers étoient allés à la comédie, jetta ses
livres
de dépit, renonça à la chaire, & ne voulut pl
entassés d’une foule d’Académies, dont on charge les frontispices des
livres
, sont autant de titres incontestables d’une noble
nes, en assure les éloges, en remplit les séances, & embellit les
livres
des académiciens qui lui doivent ordinairement to
contre la décence. On répondit, on répliqua, les passions firent des
livres
. Après avoir amusé le public par des scènes ridic
poëte a réduit le vice en systême, & en donne des regles dans son
livre
De Arte amandi. Il l’a réduit en pratique, &
s faveurs par des dons de toute espece. Fai-lui lire les plus mauvais
livres
, Quinault, Petrarque, Lafontaine, Petrone, Ovide,
trone, Ovide, Tibulle. N’en voila que trop pour donner une idée d’un
livre
détestable, & de l’esprit du théatre qui l’a
matiere de licence, qui pense ainsi de l’Art d’Ovide. C’est dans ce
livre
détestable que paroit la corruption, qui d’une do
lorre, on n’oubliera pas un des plus instructifs, & on en fera un
livre
classique. J’ai entendu souvent déclamer avec aig
l bien conforme à l’Evangile de composer, de traduire, d’imprimer des
livres
qu’on conseille de ne pas lire ? L’Arioste a beau
onner ou recevoir des éloges. Je ne le crois pas auteur du détestable
livre
du Systême de la Nature, qu’on lui attribue sans
il entendit cet homme récitant & chantant des stances du Roland,
livre
1, stance 32, où Renaud crie à son cheval de rent
s ténebres que tout a intérêts d’épaissir. Le roi de Prusse a fait un
livre
contre Machiavel, & le justifie par sa condui
tifie par sa conduite ; ses guerres sont la réponse à les écrits : ce
livre
vivant est lui-même un trait de Machiavélisme. L’
on besoin de prendre des précautions, quand on a la garantie d’un tel
livre
? Le matérialiste la Metrie a fait contre ses con
& la vie des malades. Les médecins le firent chasser. Tel est le
livre
des Maximes de la Rochefoucault, sur tous les hom
e philosophie de Berlin étoit aussi celle de Louis XI. & celle du
livre
de l’Esprit par Helvetius. Un autre secret du Mac
Ce n’est qu’une satyre, & par sa tournure systématique, c’est un
livre
très-dangereux. Les françois, qui avec raison se
sont trop affligeantes pour un cœur chrétien. Il vient de paroître un
livre
plein de calomnies & d’impiétés, intitulé l’E
es tyrans de la Grece en grand nombre. Ces moyens sont épars dans son
livre
, traités au long & appuyés par des exemples &
faste, les spectacles, le libertinage, en amollissant les peuples. Le
livre
de M de Montesquieu & de tant d’autres, sur l
e occupation Chrétienne, et vous ne trouverez pas non plus dans leurs
livres
cette manière méprisante dont vous traitez les Sa
l’imprime, il le publie, et on le peut voir dans les endroits de ses
livres
que l’Auteur des lettres a cités. Si vous aviez f
rainte dans les mystères incompréhensibles de l’Apocalypse. C’est son
livre
, il se plaît à dissiper par ses lumières, les omb
avisé de leur reprocher cette traduction, plutôt que celle des autres
livres
de Grammaire qu’ils ont donnés au public, puisqu’
cachées ? et pourquoi n’avez-vous pas voulu juger des actions et des
livres
de Desmarets qui sont visibles à tout le monde ?
Ouvrages les plus Chrétiens. Vous pensez qu’en nommant seulement les
livres
de Port-Royal, vous les avez entièrement détruits
ampion, 1998), on trouve cette idée chez Saint Augustin, Confessions,
livre
III chap.2 : « […] et si calamitates illæ hominum
t donc avez-vous souffert qu’il ait tant fait de traductions, tant de
livres
sur les matières de la grâce ? Ho, Ho ! direz-vou
e. [NDE] L’idée est récurrente dans La Cité de Dieu. Voir par exemple
livre
I chap. XXXII et livre II chap. X. af. [NDE] Sa
urrente dans La Cité de Dieu. Voir par exemple livre I chap. XXXII et
livre
II chap. X. af. [NDE] Saint Jérôme, lettre XXI
ouvrages nous sont défendus […] Nous ne pouvons pas toujours lire vos
livres
. Et puis, à vous dire la vérité, vos livres ne se
ons pas toujours lire vos livres. Et puis, à vous dire la vérité, vos
livres
ne se font plus lire comme ils faisaient. Il y a
er aux docteurs les approbations toutes dressées. La louange de leurs
livres
leur est une chose trop précieuse ; ils ne s’en f
scellerait à la chancellerie des privilèges fort éloquents, si leurs
livres
s’imprimaient avec privilège. b. [NDE] Les Visi
id. Le supplément de Virgile est un poème latin faisant suite au XIIe
livre
de l’Enéide. Il est de Maffée Vegio, mort en 1458
itions sont-elles condamnables ? C’était le droit. Sont-elles dans le
livre
de Jansénius ? C’était le fait. [NDE] Racine repr
e monde lui-même le condamne. Il a fallu pour cela parcourir bien des
livres
qui n’en valent pas la peine, pour trouver une pe
les premiers. C’est ainsi que les Docteurs de l’Eglise ont étudié les
livres
des infidèles et des hérétiques, pour combattre l
que la lecture. Mauvaise conséquence : qui jamais a approuvé tous les
livres
qu’il lit ou qu’il cite, encore moins la représen
t ce qu’il a lu ? Je serais bien à plaindre, si j’approuvais tous les
livres
qu’il m’a fallu lire pour en extraire ce que je r
e vertu ne tient pas, ne se trouve point dans la lecture ; on lit les
livres
des Médecins et des Casuistes, voudrait-on en voi
ieu dans l’Oraison, et que vous avez acquises par la lecture des bons
Livres
, vous pouvez vous satisfaire pleinement sur la qu
ées à plaisir, et tirées des Romans : les autres sont prises dans les
livres
de ceux qui ont écrit ce qui s’est passé de plus
lon le témoignage de saint Cyprien, en la première lettre du septième
livre
de ses Epîtres, sont les instruments funestes don
, comme un des points principaux de notre créance, et de composer des
livres
entiers pour les soutenir. Tertullien ne s’est pa
ns offenser ni le public, ni le particulier : Ce Docteur en a fait un
Livre
tout entier. S. Cyprien en a composé un sur le mê
à la religion et à la dévotion. Si vous voulez faire réflexion sur le
livre
de Tertullien, vous m’avouerez qu’il suffirait de
aculis qui perfectam vult consequi remissionis gratiam » Augustin, au
livre
de la vraie et de la fausse pénitence, cap. 15. [
lligere ut bene agat », Ps. 35. [Psaume 35, verset 4] p Augustin, au
livre
de la vraie et de la fausse pénitence, cap. 15. [
toujours beaucoup d’impuretés et de dissolutions. Tertullien dans son
Livre
des Spectacles les condamne dans plusieurs endroi
un autre endroit, savoir dans son Homélie 24 touchant la lecture des
livres
des Païens, vers la fin il dit : que pour conserv
nt été déclarés infâmes par les Lois des anciens ». Saint Augustin au
Livre
3 de ses Confessions Chapitre 2 suppose que les C
le ne devait point voir, elle ne se serait point perdue ». Salvien au
Livre
6 de la Providence, parle amplement contre les Sp
par rapport à ce que fit cet homme, dont Ruffin61 raconte l’histoire,
Livre
second, Chapitre16. et Livre 8. Chapitre 62, comm
homme, dont Ruffin61 raconte l’histoire, Livre second, Chapitre16. et
Livre
8. Chapitre 62, comme il ne devint Saint qu’après
aint Charles, et depuis lui jusqu’à présent. Dans les Actes de Milan,
Livre
troisième, il est défendu aux Clercs d’assister a
Spectacles par des raisons particulières qu’il explique en détail au
Livre
6 des Institutions divines Chapitre vingtième71 «
obtenir de pareilles Lettres, sous peine d’être condamnés à dix mille
livres
d’amende. Il est vrai que cet Historien ajoute qu
t Faubourg que ce fût, et au Collège de les recevoir à peine de mille
livres
d’amende. En l’année 1588, sur la remontrance fai
ue l’on s’accoutume de voir, comme remarque saint Cyprien88, dans son
Livre
des Spectacles, c’était à peu près ce qu’avait di
es Spectacles, c’était à peu près ce qu’avait dit Tertullien dans son
Livre
touchant la même matière Chapitre 1589. « Car qua
les excès de bouches, les bals, les danses, les Comédies, les mauvais
livres
, etc. Le Catéchisme de Bourges de l’an 1693, page
source des crimes » ; il ne nous suffit point, s’écrie Salvien103 au
Livre
cité, de « nous réjouir, il faut encore que notre
ême l’ont reconnu, et en ont fait un point de leur discipline dans le
Livre
de la Discipline des Eglises Réformées en France,
omme apportant corruption des bonnes mœurs. Ce sont les paroles de ce
Livre
. » A l’égard des Magistrats qui tolèrent la Coméd
en de Marseille, De Gubernatione Dei / De judicio et providentia Dei,
livre
6]. 4. [NDA] Concil. Mediol. 3 tit.I [3e concil
Basile, 24e homélie “De legendis libris Gentilium” (De la lecture des
livres
des Païens), vers la fin] « Hanc animae purgation
i [Salvien, De Gubernatione Dei / De vero judicio et providentia Dei,
livre
6), « Alia quippe crimina singulas sibi ferme in
. lib. 3 de vita et hon. Clericorum n. 34 [Actes du concile de Milan,
Livre
3. « De vita et honore Clericorum », n. 34]. « Fa
, Respons. moral., q. 12, n. 4 et 8 [Paolo Comitolo Responsa moralia,
livre
V, q. 12, n. 4 et 8]. 85. [NDA] S. Chrysost., H
ratus es. » 91. [NDA] Cassiod., lib. I, Ep. 27 [Cassiodore, Variae,
livre
I, épître 27]. « Mores graves in Spectaculis qui
iuntur ? » 103. [NDA] Salvian. lib. citato. [Salvien de Marseille,
livre
cité (=De Gubernatione Dei, livre 6)] « Nobis aut
lib. citato. [Salvien de Marseille, livre cité (=De Gubernatione Dei,
livre
6)] « Nobis autem ridere aut gaudere non sufficit
interpretatione divinae Scripturae epistolarum libri V, Paris 1638),
livre
5, épître 185, selon la version grecque] « Tamets
asile, 24e Homélie « De Legendis libris Gentium » (sur la lecture des
livres
des Païens). « Tanta sane melodiae rectae differe
effet, et peut-être point dans le temps de ce saint docteur. Dans son
livre
sur les sentences, il parle lui-même des « jeux d
6. q. 4. art. 2. c. [saint Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences,
livre
IV, distinction 16, question 4, article 2, répons
6. q. 4. art. 2. c. [saint Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences,
livre
IV, distinction 16, question 4, article 2, répons
5. SIECLE. SAINT AUGUSTIN Dans le 2. Chapitre du 3.
livre
de ses Confessions. J'avais en même temps une
s, est un effet de sa miséricorde. Dans le Chapitre 33. du premier
Livre
de la Concordance des Evangélistes. Quant à ce
ue le Christianisme a diminué la félicité du monde ; s'ils lisent les
livres
de leurs Philosophes, qui reprennent ces choses d
vertueux, plus il doit s'en éloigner. Dans le Chapitre 29. du 2.
Livre
de la Cité de Dieu. C'est avec raison, Peuple
e méchant à cause de ses méchancetés. Dans le 1. et 2. Chap. du 2.
Livre
du Traité du Symbole aux Catéchumènes. Sachez,
e. SAINT ISIDORE Prêtre de Damiette Dans l'Epître 336. du 3.
Livre
. Les Comédiens ne s'étudient principalement qu
ne peut être que pernicieuse et nuisible. Dans l'Epître 186. du 5.
Livre
. S'il est certain, comme on n'en peut pas dout
assion de ces honteux divertissements. Dans l'Epître 463; du même
Livre
. Celui qui a une passion violente pont les Spe
'estiment impossible. S. SALVIEN Evêque de Marseille Dans le 6.
Livre
de la Providence de Dieu. Quelle monstrueuse f
orsqu’on se dit à soi même ; que va-t-on penser de tel endroit de mon
Livre
? ceci peut déplaire ; je donne trop matière à la
a crainte de mal-faire que tel Auteur doit ses succès. En écrivant ce
Livre
, je ne me suis point dissimulé tout ce qu’on me r
éparerais-je pas, si je voulais éxcuser tout ce qui déplaira dans mon
Livre
, ou si je voulais même calmer les craintes que la
tres ont dit. J’ai au moins trouvé un prétexte honnête de composer un
Livre
sur le Théâtre. Encore une fois, il était nécessa
à profit mes leçons. Je démêle pourtant sans peine que l’amour propre
livre
dans son cœur un furieux combat. Il est désespéré
rages de génie, étudiait les mœurs des hommes, non-seulement dans les
Livres
, mais en parcourant différentes Contrées. Homère
oductions. Mon Élève est enchanté de ce qu’il vient d’entendre. Il se
livre
à la joie la plus vive. Dans son ivresse, il dema
portance. Je suis le prémier qui donne de semblables conseils dans un
Livre
fait plutôt pour instruire que pour égayer ; mais
à la Comédie-Mêlée d’Ariette. Ce Chapitre, & une partie des deux
Livres
qu’on vient de lire ne sont qu’un abrégé des prin
un abrégé des principes nécessaires ; je vais les développer dans les
Livres
suivans, en parlant de ce qui concerne les Drames
on a enterré une Actrice à Westminster, dans le tombeau des Rois. Les
livres
Chinois n’ont jamais mis l’Empereur Cham-hi, ni l
Rois. Les livres Chinois n’ont jamais mis l’Empereur Cham-hi, ni les
livres
Japonnois l’Empereur Taïcossarau avec les Histrio
rite. Le voyage de Cyrus, de M. Ramsai, est bien écrit ; c’est un bon
livre
plein de religion & de bonne morale, plus cha
clat de ses charmes, & les attraits de sa beauté. Les estampes du
livre
sont dans le même goût, des enfans autour de Cyru
une Sphere armillaire, une plume à la main, écrivant comme nous, des
livres
reliés comme les nôtres, une musique notée comme
ropos les amours de Cyrus & de Cassandane, qui malgré le titre du
livre
ne le laissent point en repos ; car l’amour &
des chansons, & ne pussent, s’ils s’y appliquoient, composer des
livres
qui vaudroient les Chevilles de Me. Adam, en y me
ue, il lui fit une pension. Les présens d’un homme qui paye six cents
livres
les misérables vers de Colletet sur la canne qui
ou François, des Poëtes de son temps, dont il remplit 92 pages de son
Livre
, sous le nom pompeux d’Approbation du Parnasse. C
qui avoient quelque rapport à un objet ; c’est la science d’un petit
livre
, indiculus universalis. Sur tout il se piquoit d
homme sans religion, sans mœurs, sans décence, pire que Bergerac. Ses
livres
sont innombrables, tous farcis d’obscenité &
; le plus souvent des farces ridicules. Le Divertissement de Sceaux,
livre
aujourd’hui oublié, dont on pouvoir se passer de
es honneurs. & c’est l’ouvrage de son compositeur, qu’à la fin le
livre
demasque. Tout y paroît sous des habits étrangers
res Actrices. Ainsi se passerent plusieurs années. Ansi se composa ce
livre
, qui n’est que le ramassis de ces bagatelles. Heu
u public, en souffrant qu’on le lui communique ; la presse gémit ; le
livre
est distribué, la Cour & la Ville l’achetent.
roit du titre de jeu d’esprit. On a fait bien de fautes en donnant ce
livre
au public. 1.° On a ramassé, sans choix, tout ce
conservées. Statues, médailles, tableaux, bas reliefs, inscriptions,
livres
, meubles, habits, armes, outils, ustencilles, pro
es pour le théâtre sont un phénomène incroyable. Qu'un particulier se
livre
à son penchant, et qu'aux dépens de la décence, d
étude, enseignement des hautes sciences, compositions innombrables de
livres
sérieux, sans compter une infinité de visites et
leur cœur, sur cette mer dont il a d'abord redouté les écueils, et se
livre
avec autant de plaisir que de goût et d'érudition
rature est monté sur le ton du théâtre. Bornons-nous à celui de leurs
livres
, qui, sans exception est le mieux écrit, et dont
ur conduite à l'égard du théâtre. Tous leurs Sermonnaires, tous leurs
livres
de piété le proscrivent sans restriction ; selon
s des Jésuites, il n'y en a pas deux qui aient seulement vu le dos du
livre
de Santarellit, et plus de quatre cent mille ont
eu les dents agacées, comme dit l'Ecriture : Dentes obstupescunt. Un
livre
nouveau (l'Education civile par M. Garnier) pense
ées à Villefranche (Tom. 2. Vie de S. Polyeucte), l'Auteur de ce bon
livre
dit très sensément : « Corneille a fait du martyr
ts d'entre eux composèrent des tragédies dont le sujet était tiré des
livres
saints(et même des comédies) et on ne le trouva p
i aient paru, elles ne feront jamais l'apologie des pièces tirées des
livres
saints, dont elles sont une profanation. Nous avo
criture sainte. Ces Pièces méritent une attention particulière, ce
livre
divin est digne de tout notre respect. On a toujo
lecture d’Ezéchiel, du Cantique des Cantiques, et de quelques autres
livres
, qu’à des gens sages et d’un âge mûr. L’hérésie e
aul ; les plus grands esprits sont éblouis de la profonde majesté des
livres
saints, s’ils ne les étudient avec une foi docile
nt pour amuser le parterre, le texte, les pensées, les événements des
livres
saints, souvent avec la plus grande indécence, pa
Comédiens des pièces profanes et galantes, que des pièces tirées des
livres
saints. Le Parlement de Paris a toujours pensé de
il ? Qu’on parcoure le cabinet d’un amateur, on trouvera peut-être le
livre
des Rois et d’Esther auprès de Boyer et de Racine
» Les spectateurs méritent-ils mieux de voir ouvrir les sceaux de ce
livre
adorable ? que cherchent-ils, que saisissent-ils
(l’Abbé Boyer), devait moins qu’un autre s’écarter du respect dû aux
livres
saints. Cependant ils y sont défigurés à chaque s
Poète, qui était honnête homme, et qui sentait que le respect dû aux
livres
saints condamne ces altérations, consulta, dit-il
ans une Actrice, que le capuchon et le voile. Qu’il se ferait un gros
livre
des inconséquences humaines ! Les Magistrats d’Am
français la représentation d’Athalie, comme une parodie indécente des
livres
saints, et un attentat sur la majesté de la relig
noblesse, comme nous avons vu (C. 4.), le paiement de quarante mille
livres
par an, que la Troupe fait à l’Hôpital, voudraien
’Hôpital a été forcé de traiter avec eux à la somme de quarante mille
livres
par an pour un sixième, qui va bien au-delà, tout
tes, ce qui n’est pas, les Comédiens ont constamment deux cents mille
livres
de pur profit à partager ; ce qui, ajouté aux fra
péra auront prélevé sur le produit de chaque représentation six cents
livres
pour leurs frais, ils seront tenus de donner le n
le total de la recette au profit de l’Hôpital général, cent cinquante
livres
pour les frais de chaque représentation, et sur l
Police, on obtient une ordonnance qui condamne la Foire à cinq cents
livres
de dommages. Appel au Parlement, qui réduisit le
de dommages. Appel au Parlement, qui réduisit le dédommagement à cent
livres
, avec défenses de récidiver, sous peine de voir a
L’arrêt ne leur fut pas favorable, ils furent condamnés à trois mille
livres
de dommages. Ils ont fait depuis ce qu’ils auraie
Celui de la Comédie avait coûté à la Troupe plus de trois cents mille
livres
, sans compter les bienfaits du Roi. Il y en a auj
nous l’avons prouvé, il n’est donc pas permis d’en rien recevoir. Le
livre
des constitutions apostoliques (L. 4. C. 10.) l’i
r de faim les pauvres, que de rien accepter d’eux. Il est vrai que ce
livre
n’a aucune autorité, et qu’il contient bien des c
d’un grenier à sel, entreposeuse du tabac, associée au deux sols pour
livre
; on sait qui a fait l’avance des fonds, & co
ue vous avez dépensé pour le bal . Il reçut le lendemain plus de 6000
livres
d’aumône. Le fameux satirique, Jean Barclay, Euph
e des marchandises ; ayant enfin doublé le Cap de Bonne-Espérance, se
livre
à la joie, après le Te Deum on joua une belle com
le laisse, tout le monde est content. Le Mercure ajoute sur un autre
livre
, le théatre grand chemin de l’enfer . L’auteur d
un autre livre, le théatre grand chemin de l’enfer . L’auteur de ce
livre
montre plus d’humeur que de raison. Le théatre, s
e s’occuper que du théatre ; & voilà la profession dominante : ce
livre
est en forme de lettre, sous envelope, comme le p
de leurs affaires, & pour cela ils avoient déposé six cent mille
livres
pour cautionnement ; (qui le croiroit, une troupe
portants services que l’opéra rend au public, Francœur a eu dix mille
livres
de pension de retraite, & Revel six mille, co
tour de Danaë. Un seul bal de l’opéra, en 1770, rapporta douze mille
livres
de profit au directeur ; ceux des trois jours gra
ofit au directeur ; ceux des trois jours gras valurent quarante mille
livres
: les François ont-ils droit de se plaindre des i
de recette générale, ce seroit bien pis si on pouvoit en faire un du
livre
de la recette particuliere, des acteurs & des
loue, Sainte Therese, Louis de Grenade, Alvares, sont les modeles des
livres
de dévotion : Suares, Vasques ont été les premier
s’écrient les Acteurs, parce que leur part qui ne va qu’à douze mille
livres
par an pour chacun, n’iroit pas à plus de six mil
dans la troupe ils n’avoient pas de pain, & aujourd’hui six mille
livres
sont au-dessous d’eux. Il s’en faut bien que les
art qu’incognito, sans en donner de reçu. M. Renou qui sait tenir des
livres
de compte, & des chapitres de recette & d
de religion qu’un grand nombre d’autres qu’il poursuit dans tout son
livre
, non seulement avec zele, ce qui est très-louable
dant l’effet du péché & porte au péché. On flatte une passion qui
livre
les plus ruder assauts, qu’il faut sans cesse com
réligion & du vice qui en fait l’apologie ? L’Art du Comédien, ce
livre
utile pour former les Acteurs & les Actrices
ue le portrait de Laïs. Le Mercure, dans l’extrait qu’il donne de ce
livre
, juillet 1774, ajoute un trait singulier, dont il
n secret fut découvert à sa mort. Il faisoit une pension de six cents
livres
à un homme dont l’emploi étoit de courir journell
i-je ? ce sont les plaintes journalieres dont tout retentit, dont les
livres
sont pleins. La cabale fait tomber ou valoir une
eois, imprimée à Geneve en 1619, & dédiée au Duc de Lesdiguieres,
livre
plein de recherches curieuses par le Sieur Perrin
s vérités ne leur ont pas échappé ; ils les ont consignées dans leurs
livres
. Le péché & la vérité qui les condamne sont b
ordre & sans suite ; on se trouve, on se perd, on s’égare, on se
livre
au premier venu, & on le quitte au hasard. On
uis de Roselle, le Comte de Valmon, & plusieurs auteurs Romans ou
livres
frivoles, ont condamné le théatre comme très-oppo
ution. Ce fut aussi à PlatonDe Rep. lib. 3 [Platon, De la République,
livre
III]. une des raisons de condamner le théâtre en
pour condamner la comédie. De Rep. lib. 3 [Platon, De la République,
livre
III].
rmis au Sieur L * * p * * * * de faire imprimer, vendre et débiter un
Livre
intitulé, Réfutation des Sentiments relâchés d’un
sur les peines portées à l’Original dudit Privilège. Registré sur le
Livre
de la Communauté des Imprimeurs et Libraires de P
13 et 1239. Nos lecteurs pourraient en vérifier les citations dans le
livre
des Comédiens et du Clergé, aux pages 67, 69, 127
s quelques-uns de ces canons et décrets des conciles, insérés dans le
livre
des Comédiens et du Clergé, M. de Sénancourt en r
’en sortant de la table d’un ministre ». Je n’ai point parlé dans mon
livre
de la table d’un ministre ; mais si M. de Sénanco
porte aussi le nom de Sénancourt, ait eu la fantaisie de déchirer mon
livre
des Comédiens et du Clergé sans l’avoir bien comp
justes qu’elles sont bien écrites, il serait difficile de trouver un
livre
plus achevé. Mais vous connaîtrez d’abord que la
ssein de servir Molière, encore qu’il le mette au commencement de son
livre
. On ne publie point les fautes d’un homme pour le
de ces remarques g, si Molière voulait faire des versions de tous les
livres
italiens et s’il introduisait dans Paris toutes l
umes des pays étrangers ? » Il semble, à l’entendre, que les méchants
livres
soient permis en Italie, et pour venir à bout de
veulent dire que la même chose que celles qui sont au commencement du
livre
. Je crois, Monsieur, que ces contre-observations
r remportera toute la gloire. Son zèle fera sans doute considérer son
livre
, il passera pour un homme de conscience, les tart
ents, est décisive pour les Magistrats, qui font l’objet de ce second
livre
. Ce saint Docteur, fils d’un Préfet du Prétoire d
« Et hæc fecit cum adhuc non haberet uxorem. » (Tom. 5.) 4.° Dans le
livre
des Offices ou des devoirs, qu’il a composé, à l’
facta divino, omnis creatura te pascat, etc. » S. Ambroise a fait un
livre
sur la fuite du monde (de Fuga sæculi Tom. 1.), o
qu’on l’ignore ou qu’on en doute, c’est par là même que commence son
livre
. La volupté perd tout, dit-il (C. 1.), elle a per
attitudes, des figures, de la danse, « saltantium strepitu » ; on s’y
livre
à la joie, on y rit aux éclats, « ridentium cachi
aveugle, on ne voit pas l’enfer ouvert sous ses pieds. Fin du Second
Livre
.
it par le B. Laurent Justinien Patriarche de Venise, qui dit dans son
Livre
de la chaste alliance du Verbe et de l’âme e, Cha
s. Des Auteurs Thomistes, il passe aux Jésuites, et il cite Sanchezk,
Livre
9.e disp. 46. n. 42. Mendozal quest. 9. Scholas.
mme elle défend l’homicide, l’adultère et le vol. Mariana Jésuite, au
livre
3 De Rege et Regis institutione, Cap. de Spectacu
onvaincu que la Comédie ne peut pas s’accorder avec les maximes de ce
Livre
divin. 3°. Si on a trouvé des Docteurs favorables
e de Milan, partie 2. Le troisième remède, est de Mariana Jésuite, au
livre
3 de Rege et Regis institutione, Cap. de Spectacu
but de les rendre aimables. Je n’en dirai pas davantage, parce que ce
Livre
est entre les mains de tout le monde. b. [NDE]
me, son nom est orthographié « Monacho », comme dans le catalogue des
livres
imprimés de la bibliothèque du roi, mais nous cor
rlesques essaye de donner du débit à sa marchandise ; le reste de son
livre
a son utilité, c’est un recueil des espèces diffé
qu’il a réuni dans celui-ci, y ajoutant ses propres découvertes ; ce
livre
peut aider ceux qui composent les Traités des Art
ens qui aiment si fort les odeurs, qu’ils font parfumer jusqu’à leurs
livres
; une bibliothèque odorante fera peu de savans, e
onné par l’Académie Françoise en 1772, que la manière de parfumer les
livres
, soit en les reliant, soit après qu’ils sont reli
que du linge battu, ils gardent l’odeur fort long-temps. J’ai vu des
livres
reliés depuis cinquante ans, qui en les ouvrant d
celle qui se prend le plus vîte & se conserve le mieux, plus les
livres
sont battus, plus l’odeur s’imbibe, pour ainsi di
cinnamomo myrrha & aloe ; les Actrices n’y manquent pas. 2.° Le
livre
des Paralipomènes pour marquer le luxe des embaum
te pigmantarii . 3.° Tel est encore le portrait des libertins dans le
livre
de la Sagesse, leur premier, leur plus grand plai
rosis, nullum sit pratum quod non pertranseat luxuria nostra . 4.° Le
livre
d’Esther fait un détail singulier du goût extrême
ur leur corps, 7.° Nous adorons les sublimes mystères que renferme le
livre
des Cantiques & la sainteté du mariage que ce
la Magistrature ; les canons des conciles, les Pères de l’Eglise, les
livres
de piété n’ont jamais parlé plus fortement et plu
et qu’ils videront dudit lieu, à peine de prison, et de quatre mille
livres
d’amende applicable à œuvres piesh, et commission
emps bien réglés une liberté pareille à celle qu’il se donne dans son
livre
, où l’obscénité, l’irréligion et la hardiesse des
r te animo valuisse ut ea quæ cæteri mirantur, neglexeris. » Dans le
livre
de la corruption de l’éloquence, que quelques-uns
s’engageait à représenter pendant trois mois, avec un dédit de mille
livres
, et Gaudron lui promettait la moitié du profit et
i promettait la moitié du profit et une gratification de quatre cents
livres
. A la veille de la première représentation, Rampo
Arrêt du Parlement de Rouen, du 15 mai 1684, sous peine de trois cens
livres
d’amende. Ibid. verb. Nuit. Arrêt du Parlement de
en quelque lieu de la ville ou faubourgs que ce fût, à peine de mille
livres
d’amende ». On est étonné de voir dès lors des Co
ésenter et plus obtenir de pareilles lettres, sous peine de dix mille
livres
d’amende ». Nonobstant ces défenses, ils recommen
t vrai qu’elle était médiocre : elle ne devait pas passer douze cents
livres
, puisqu’on n’en demande que six cents pour plusie
prendre le nom de ces acteurs on les trouvera aux pages 161 et 162 du
livre
des Comédiens et du Clergé. Molière est persécut
es pour le venger des injustices qu’il éprouve. J’ai rapporté dans le
livre
précité, page 162, l’épitaphe de Molière par le p
e suis proposée, et je n’en ai dit que quelques mots à la page 170 du
livre
des Comédiens et du Clergé. J’y renvoie le lecteu
chaque siècle un nouvel éclat. Les Empires se sont détruits, & ce
Livre
si profond est toujours le même, il ne périra san
dont chaque nation vient au bout de trois mille ans chercher dans son
Livre
la connaissance & les règles certaines. Si
istote sur-tout n’était pas au rang des réprouvés. Voetius a écrit un
Livre
éxprès, intitulé : De salute Aristotelis. J’ignor
gloire. Le Prince de Conti n’est pas plus épargné ; il sit en 1669 un
livre
contre la comédie, que l’Abbé de Voisin a défendu
Capitaine, ce grand politique, étoit-il Théologien ? a-t-il fait des
livres
en faveur des spectacles ? Le vertueux Riccoboni
cela ? S. Augustin s’accuse d’avoir pleuré à la lecture du quatrieme
livre
de l’Enéide ; il pleure ses criminelles larmes. S
en assortir les mariages. On n’a donc jamais entendu de sermon, lu de
livre
de piété ; on auroit vu l’orgueil, l’avarice, la
e sage peut-il avancer ces absurdités ? 5. excuse. Une comédie est un
livre
, la morale de l’opéra une chanson ; qui est assez
es danses, n’est-ce qu’une lecture ? est-il permis de lire de mauvais
livres
, de chanter de mauvaises chansons ? La belle &
ésole, ils se livrent au crime par désespoir. Faut-il pour un mauvais
livre
brûler une bibliothèque ? Non ; mais si tous les
our un mauvais livre brûler une bibliothèque ? Non ; mais si tous les
livres
sont mauvais, on doit la brûler. Faut-il aussi ap
lle passion. Saint AugustinConf. X. 33. [saint Augustin, Confessions,
livre
X, chapitre 33]. met en doute, s’il faut laisser
que faveur dans le monde. Conf. X. 33. [saint Augustin, Confessions,
livre
X, chapitre 33]. v. [NDUL] De anima et ejus orig
. Horace veut que, pour se former, un poëte dramatique lise des bons
livres
: il ne pouvoit en choisir de meilleurs que les l
lise des bons livres : il ne pouvoit en choisir de meilleurs que les
livres
de Socrate, c’étoit les livres de dévotion du tem
ouvoit en choisir de meilleurs que les livres de Socrate, c’étoit les
livres
de dévotion du temps. Ce sage célebre, le plus sa
dactique, donne des leçons bien différentes. Qu’elle ait par toi ces
livres
séducteurs, fait par l’Amour, dont l’atteinte est
e se suffit à elle-même pour rendre l’homme heureux & parfait. Ce
Livre
, quoique assez bien écrit, est peu dangereux, &am
ux, & en faire une sorte d’apologie (ce qui est tout le but de ce
Livre
), il y seme des traits de morale, sous le nom d’a
rdres dans tous les états, & en tous genres. C’est dommage que ce
Livre
, où l’on trouve de fort bonnes choses, renferme l
out le bonheur dans le plaisir des sens. Il jouissoit de trente mille
livres
de rentes en bénéfices, que lui avoit procuré le
ces excès, les censeurs royaux qui donnent leur approbation à de tels
livres
, se respectent-ils eux-mêmes ? M de la Harpe, M.
amp; entr’autre il lui montra une grande salle oû Montagne tenoit ses
livres
: elle étoit belle, dit-on ; il n’en reste que de
s y trouve une foule de lacunes, se confirma dans ses idées, & la
livre
sans peine à l’officieux historien qui veut la do
ventem risu fabulæ terminus ubi vis . Une vaste salle où il avoit ses
livres
& qu’on appelle sa bibliotheque, tout autour
Eloge historique de Montagne. C’étoit son rôle & son intérêt. Son
livre
eût-il été reçu & son travail récompensé, s’i
Religion & des mœurs. Rien n’est plus facile ; on feroit ainsi un
livre
de dévotion de Voltaire : mais il a un plus grand
, tous deux Religieux d’un Ordre sévere, S. Maur & Chancelade, le
livre
des Essais fera toujours le procès à la religion
e plaident sa cause, & font peu d’honneur aux deux écrivains. Ce
livre
original & singulier, que M. Huet appelloit M
t-il, est des plus décidés & des plus célebres Egoïste : tout son
livre
n’est que son histoire & son portrait. Il est
t peut-être pas été si agréable. Le titre d’Essais qu’il donne à son
livre
, promet quelque chose de suivi sur l’objet qu’il
ses ; qui ne voit qu’il les faut ranger avec les romans et les autres
livres
corrupteurs de la vie humaine ? Si le but de la c
n’est, dit Saint AugustinConfess. 3. 2. [saint Augustin, Confessions,
livre
III, chapitre 2., qu’on y voit, qu’on y sent l’im
théologien », page 47]. Confess. 3. 2. [saint Augustin, Confessions,
livre
III, chapitre 2. c. [NDE] Voir supra p. 9-10.
ure si peu sévère. Pour moi si j’ai jamais quelque juridiction sur ce
livre
par une seconde impression, je ne le traiterai pa
modèle de la plus parfaite éloquence, fait dire aux méchants dans le
livre
de la Sagesse : « Trompons le juste, parce qu’il
endroit judicieusement repris comme celui-là, j’abandonnerai tout le
livre
à la plus injuste censure, plutôt que de prendre
CHAPITRE III. Extrait de quelques
Livres
. Le Testament politique de Voltaire, dont je
par exemple ce portrait du théatre, page 56 : on remettra cent mille
livres
entre les mains du Prevôt des marchands de Lyon ;
l’avoit depuis peu exécuté pour ses pensionnaires, elle avoit mis le
livre
de la Genese en action, & se proposoit d’y me
livre de la Genese en action, & se proposoit d’y mettre tous les
livres
historiques de l’écriture. Ce seroit le moyen de
os jours, vous qui lisez par désœuvrement, qui ne connoissez d’autres
livres
; que ceux qui traînent sur la cheminée d’un boud
n. L’Abbé d’Olivet, quoique tenté de faire des tragédies de Racine un
livre
classique, n’a pas osé proposer ce parallele, ou
rment si peu la vertu commode & trop indulgente ? Que penser d’un
livre
qui ne les craint pas même pour la jeunesse. Tére
cer leur mémoire, des objets à remplir leur imagination ? Sont-ce des
livres
à leur faire lire, à leur faire étudier ? Et on l
leur faire étudier ? Et on leur défendra les Romans & les mauvais
livres
? Est-ce là le germe des mœurs & des vertus q
maximi momenti id esse ducendo. Pour ne laisser aux jeunes gens aucun
livre
licentieux, qu’on corrige ceux qui pourront être
Marquise de Pompadour, qu’on dit écrits par elle-même, ne sont pas un
livre
de galanterie, comme on pourroit le penser ; c’es
r ; Ainsi l’esprit nourri de spectacles frivoles, Rebute tout bon
livre
, & court aux fables folles, Aux scénes d’Ar
connoître son délire de voir sa complaisance pour les actrices : son
livre
en est pétri ; leur âge, leurs talens, leurs grac
oujours des nudités, des baisers, de l’ivresse, &c. Il y à peu de
livre
plus licencieux. La Religion n’y est pas plus mén
, sans excepter sa cervelle. Il ne s’épargne pas plus lui-même, il se
livre
au désespoir & au blasphême, Ode sur le Malhe
beau le prier, Prosterné devant lui, je n’adore que toi… Loin de moi,
Livres
saints, vos sombres vérités Ne peuvent consoler m
t, l’Auteur a la plus intime familiarité avec des Actrices ; tout son
livre
est plein de ces noms illustres : ce sont toutes
ergier, Chaulieu, Grecour, Lafontaine, &c n’est rien moins qu’un
livre
de morale ; c’est même un sublimé corrosif ; Vol
roge, on voltige, on s’empresse, Entre nos bras doucement soulevé, Le
livre
en main, il surmonte la presse, Vous étiez là vou
ouver que Dorat aime jusqu’à ses rivaux, évite toute satyre. Tout son
livre
est plein de sarcasmes contre tout le monde, même
smes contre tout le monde, même contre les actrices ses divinités. Le
livre
des trois Siecles qui fait l’éloge des talens poé
Mais tous les jours on désapprend à rougir par la lecture des mauvais
livres
. La licence de la Presse est incroyable, il s’imp
sse est incroyable, il s’imprime ; il se débite sans cesse de mauvais
livres
; le royaume en est inondé ; c’est l’objet d’un c
ief est fort augmenté, mais on n’a pas augmenté le prix de vingt-cinq
livres
. Il voulut que chaque année on donnât cette somme
prétendu ? Quand M. de Mortfontaine y établit une rente de cent ving
livres
, a-t-il gêné la liberté du choix ? l’a-t-il attri
un homme qui ne donne rien du sien, mais paie une dette de vingt-cinq
livres
sur le revenu du Fief qu’il possede ? Le Seigneur
prix, & prendre le ruban, la bague, les roses sur les vingt-cinq
livres
dont il est chargé, comme possesseur du Fief de S
pensent bien différemment ; celui-ci établit une rente de cent vingt
livres
, & laisse la liberté du choix ; l’autre se tr
it donner par le Seigneur vingt-cinq louis d’or, au lieu de ving-cinq
livres
de la fondation : jamais le Seigneur ne l’a fait,
ne l’a fait, sur-tout celui qui a plaidé pour diminuer les vingt-cinq
livres
qu’il doit. Quand le hasard nous amene des milit
ix à celui qui a le mieux réussi, a aussi fondé un prix de trois cens
livres
, en faveur de la fille de la Paroisse qui aura ét
à perpétuité, à Conon en Normandie, de deux prix chaque année de 300
livres
chacun, avec deux médailles d’argent de cinquante
année de 300 livres chacun, avec deux médailles d’argent de cinquante
livres
, que les vainqueurs auront droit de porter comme
des traits contraires à l’Ecriture. Le profond respect qu’on doit aux
Livres
saints, ne permet pas même aux Poëtes qui y prenn
la servir : cet aveu suffit pour proscrire ces sortes de drames. Les
Livres
saints méritent trop notre vénération pour les y
s beautés ; c’est pour lui le plus délicieux des spectacles. Tout son
livre
n’est en effet qu’un épanchement de cœur & d’
teés, lassent à la fin, même en réalité ; à plus forte raison dans un
livre
qui n’en est que l’ombre. Se promene-t-on toujour
i même lui sont défendus après sa Résurrection. Noli me tangere. Le
Livre
des Cantiques en parle, il est vrai, mais c’est e
ais c’est entre l’Epoux & l’Epouse. On fait d’ailleurs combien ce
Livre
est mystérieux, unique en son genre, & diffic
a, &c. sont des ouvrages très-faciles ; il ne faut que copier des
livres
. Les Opéras ne le sont gueres moins : ce sont de
ent, je ne savois de quoi il étoit question. Au lieu de faire un gros
livre
contre moi, que ne fait-il une Henriade meilleure
gagneroient bien davantage. Cet écrivain en a mis plusieurs dans son
livre
, qui à la vérité ne causeront point d’ivresse, ma
ire la religion & le théatre. Celui de ce fameux Poëte est un des
livres
le plus dangereux ; la douceur, le naturel, l’élé
it bien ou mal aux Missionnaires, aux Confesseurs, aux Casuistes, aux
livres
d’examen de conscience, d’enseigner le vice par l
amuser, mais pour s’instruire de la décision de quelque cas. Tous ces
livres
ne parlent des péchés que pour les condamner. Les
; Lubin se trouvent seuls à la campagne, sur le théatre & dans le
livre
, & prennent toute sorte de libertés criminell
de l’Évangile, les exhortations des Prédicateurs, les réflexions des
livres
pieux, ne portent donc plus qu’à faux, & ce n
rofanation la plus abominable (Philosophie de l’Histoire, C. 22.). Ce
livre
impie, si justement condamné par le Clergé de Fra
ui sont sans nombre, de faire des extraits du théatre qui seroient le
livre
le plus infame. Mais à Dieu ne plaise que nous so
chausser le cothurne en faveur des jeunes Demoiselles. Elle a mis le
livre
de la Genèse en drames, comme la Reine de Navarre
contribué à la corruption de la jeunesse. On fait ici d’un théatre un
livre
classique, & de la profanation des Écritures
baissé. » Il serait à souhaiter qu’on fît une nouvelle édition de ce
livre
unique, devenu rare, en retranchant un petit nomb
tolérer en aucune manière que ce soit ». Il consacre tout le huitième
livre
de son Traité des Parlements à parler des mœurs e
fait examiner les pièces par les Censeurs royaux, ainsi que tous les
livres
qui s’impriment avec privilège. On a certainement
s Avocats, fit rayer du tableau le nom du sieur la Mothe, condamna le
livre
au feu, et fit entrer le Bâtonnier dans la chambr
rmis de garder le silence, ni de demeurer dans l’inaction au sujet du
livre
pernicieux intitulé, Liberté de la France contre
achève de révolter les esprits, et d’exciter l’indignation contre le
livre
entier et contre l’Auteur. Le cri public qui s’es
re entier et contre l’Auteur. Le cri public qui s’est élevé contre le
livre
dans l’instant qu’il a paru, nous a porté à en fa
Avocat du Roi, a dit que l’exposé qui venait d’être fait à la Cour du
livre
en question, ne justifie que trop la sensation qu
ettent de leur corps, fût confirmé par le sceau de la Cour, et que le
livre
fût flétri, lacéré et brûlé par l’exécuteur de la
; dites que saint AugustinConf. III. 2. [saint Augustin, Confessions,
livre
III, chapitre 2]. n’a pas déploré dans les comédi
perdu le goût de Dieu ? Conf. III. 2. [saint Augustin, Confessions,
livre
III, chapitre 2]. Luc, XVIII. [Luc, chapitre XVII
il, n’est que corruption »De Rep. lib. 10. [Platon, De la République,
livre
X]. : et les chrétiens ne comprendront pas combi
contraires à la vertu ? De Rep. lib. 10. [Platon, De la République,
livre
X].
PREMIER.Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre l’auteur du
livre
intitulé : Des Comédiens et du Clergé. Le livr
contre l’auteur du livre intitulé : Des Comédiens et du Clergé. Le
livre
que j’ai publié sur les Comédiens et le Clergé b,
[Extrait 2 :
Livre
VI, chap. 7] A cette cause on peut et doit nom
s. I vol. in-16. Genêve. 1570. Ministre de l'Église de Zurich : Trois
livres
des apparitions des Esprits, Fantosmes, prodiges
mme il est dans le nôtre. TertullienIn Apolog. c. 5. et 30. a fait un
Livre
tout entier contre les spectacles, où il les reje
que. S. CyprienLib. 2. de spectaculis, et in epist. 2 lib. 2. dans le
Livre
qu’il a composé sur ce sujet, et dans ses Lettres
rudibus. parle encore des mêmes choses avec la même vigueur dans le
Livre
qu’il a fait touchant le soin de catéchiser, et d
des fournaises de Babylone. Saint Epiphane Can. 51. à la fin de son
Livre
contre les Hérétiques, le sixième Concile, et plu
ent pas moins puissamment sur ce sujet, comme l’on peut voir dans les
Livres
d’Arnobe contre les Gentils. Lactance parle ainsi
doute sur leur sentiment. Tertullien en a fait l’unique sujet de son
Livre
des spectacles. Saint Clément d’Alexandrie le sui
lées, et souvent renversées ? » Le même Saint Cyprien ajoute dans son
livre
des spectacles : « Que peut faire un vrai fidèle
et la représentation ? » Lactance s’explique en mêmes termes dans son
livre
du véritable culte : « Que dirai-je des Comédiens
ui ont de la piété et qui aiment Dieu. Disons donc avec Tertullien au
livre
des spectacles, ch. 16. « Si nous devons détester
phes. « Nous ne recevonsDe Rep. lib. 2. 3. [Platon, De la République,
livres
II et III]. , dit Platon, ni la tragédie ni la c
thieu, « Homélie 38 »]. De Rep. lib. 2. 3. [Platon, De la République,
livres
II et III]. Ibid. Ibid.
te a nommée eutrapelia De mor. 4. 14. [Aristote, Ethique à Nicomaque,
livre
IV, chapitre 14]., par un terme qu’il nous faudra
pages 4 et suivantes]. De mor. 4. 14. [Aristote, Ethique à Nicomaque,
livre
IV, chapitre 14].
a paraît dans l’exemple de David, qui comme il est rapporté au second
Livre
des Rois, jouait de toute sorte d’Instruments lor
qui mérite d’être bien considérée, que nous ne lisons jamais dans les
Livres
sacrés, qu’il se soit fait aucune assemblée d’hom
Qu’ils le doivent craindre comme leur Juge souverainS. Gregorius Papa
livre
II épitre 44 et livre 6 épitre 7., et penser dans
ndre comme leur Juge souverainS. Gregorius Papa livre II épitre 44 et
livre
6 épitre 7., et penser dans toutes leurs affaires
dence, tant dans la prospérité, que dans l’adversitéS. Gregorius Papa
livre
9 épitre 70.. Qu’ils doivent rapporter à Dieu la
pardonner celles qu’on commet contre leurs personnesS. Gregorius Papa
livre
11 épitre 44.. Dans ce qui regarde l’Eglise, il a
lise, à qui il a donné le pouvoir de les absoudre de leurs péchésIdem
livre
11 épitre 44.. Il avait une dévotion particulière
Si fecisti, decem dies in pane, et aqua pœnitere debes. » Burchardus
livre
chap. 8, c. 147.. « Les maisons particulières, d
gardiens, et les protecteurs de la paix de l’EgliseS. Gregorius Papa
livre
6 épitre 6.. Qu’ils doivent faire paraître l’amou
le culte de Dieu, en honorant les Prêtres, et surtout les EvêquesIdem
livre
4 épitre 54.. Qu’ils doivent trouver bon que les
tent ce qui est utile pour le service de Dieu, et pour leur salutIdem
livre
9 épitre 54 et 60.. Qu’ils sont obligés, principa
ur l’exécution de ce qui regarde le service, et la gloire de DieuIdem
livre
2, indic. 2, épitre 60 et livre 9, épitre 17.. Et
le service, et la gloire de DieuIdem livre 2, indic. 2, épitre 60 et
livre
9, épitre 17.. Et que bien loin d’avoir querelle
lane fidelis dispensatio ; sed crudelis dissipatio est. » S. Bernard,
livre
3 de consideration, c. 10, ex editione Rom jussu
ains. Il ajoutait ce qu’il avait lu dans S. GrégoireS. Gregorius Papa
livre
7, indict. 2, épitre 97., qu’il fallait traiter f
gler leur temps pour pouvoir s’acquitter de leurs devoirsCassiodorus,
livre
1, épitre 46.. Ils doivent être bien instruits da
nstruits dans la Religion Chrétienne, et dans les belles lettresIdem,
livre
10, épitre 3 et livre 3, épitre 11.. Ils doivent
ion Chrétienne, et dans les belles lettresIdem, livre 10, épitre 3 et
livre
3, épitre 11.. Ils doivent aimer la véritéIdem, l
10, épitre 3 et livre 3, épitre 11.. Ils doivent aimer la véritéIdem,
livre
3, épitre 3.. Ils ne doivent point se plaire aux
doivent point se plaire aux discours des flatteursS. Gregorius Papa,
livre
9, épitre 39.. Ils doivent prendre garde de ne se
ne se point laisser surprendre par les artifices des hypocritesIdem,
livre
4, épitre 34.. Ils ne doivent pas croire légèreme
itre 34.. Ils ne doivent pas croire légèrement ce qu’on leur ditIdem,
livre
3, épitre 4.. Ils doivent croire les choses, et e
elles sont véritablement, et non pas selon le rapport des autresIdem,
livre
4, épitre 31.. Ils doivent régler leur dépense, a
fin d’avoir de quoi faire des aumônes, et des libéralitésCassiodorus,
livre
10, épitre 3.. Ils doivent fuir l’avarice comme u
uir l’avarice comme un obstacle à toutes sortes de bonnes œuvresIdem,
livre
4, épitre 39.. Ils doivent prendre garde de ne r
garde de ne rien acquérir, ni posséder injustementS. Gregorius Papa,
livre
9, épitre 57.. Ils doivent avoir soin que ceux qu
pables de leur représenter ce qui se doit faire selon la justiceIdem,
livre
2, épitre 65.. Ils doivent être persuadés qu’il n
s peuvent ; mais ils doivent régler leur puissance par la raisonIdem,
livre
5, épitre 36. Cassiodorus livre 1, épitre 12.. Po
ler leur puissance par la raisonIdem, livre 5, épitre 36. Cassiodorus
livre
1, épitre 12.. Pour ce qui est de ses obligations
les Princes pour porter leurs sujets à son serviceS. Gregorius Papa,
livre
2, épitre 62.. Qu’ils doivent donner bon exemple
e le dérèglement des Grands est la ruine des bonnes mœursCassiodorus,
livre
3, épitre 16, livre 1, épitre 44.. Qu’ils sont ob
Grands est la ruine des bonnes mœursCassiodorus, livre 3, épitre 16,
livre
1, épitre 44.. Qu’ils sont obligés d’aimer leurs
conserver dans leurs privilèges, et leurs libertésS. Gregorius Papa,
livre
9, épitre 60, livre 11, épitre 36.. Qu’ils ne doi
s privilèges, et leurs libertésS. Gregorius Papa, livre 9, épitre 60,
livre
11, épitre 36.. Qu’ils ne doivent point se laisse
de vengeance, et de colère, même dans la punition des coupablesIdem,
livre
8, épitre 51, livre 7, indict. 2, épitre 126.. Qu
colère, même dans la punition des coupablesIdem, livre 8, épitre 51,
livre
7, indict. 2, épitre 126.. Qu’ils se rendent coup
rs sujets, en ne les corrigeant pas lorsqu’ils en ont le pouvoirIdem,
livre
3, épitre 23, livre 9, épitre 64.. Qu’ils ne doiv
corrigeant pas lorsqu’ils en ont le pouvoirIdem, livre 3, épitre 23,
livre
9, épitre 64.. Qu’ils ne doivent point favoriser
64.. Qu’ils ne doivent point favoriser ni protéger les méchantsIdem,
livre
4, épitre 18.. Qu’ils doivent suspendre leur juge
endre leur jugement jusqu’à ce qu’ils aient ouï les deux partiesIdem,
livre
7, indict. 2, épitre 43.. Que les Princes, et le
rsécute comme hérétiques ceux que l’Eglise n’a pas déclarés telsIdem,
livre
9, épitre 39.. Qu’ils doivent accomplir leurs pro
m, livre 9, épitre 39.. Qu’ils doivent accomplir leurs promessesIdem,
livre
9, épitre 14.. Qu’ils doivent donner gratuitement
doivent donner gratuitement les charges à ceux qui les méritentIdem,
livre
12, épitre 27.. Qu’ils ne doivent point user de v
ivent point user de violence, mais doivent agir selon la justiceIdem,
livre
7, épitre 120.. Qu’ils doivent être équitables, m
.. Qu’ils doivent être équitables, même dans les moindres chosesIdem,
livre
8, épitre 36. Cassiodorus, livre 6, épitre 4.. Qu
, même dans les moindres chosesIdem, livre 8, épitre 36. Cassiodorus,
livre
6, épitre 4.. Qu’ils ne doivent jamais recommande
c cette condition, en tant que la justice le permetS. Gregorius Papa,
livre
8, épitre 51.. Qu’ils doivent réparer les dommage
doivent réparer les dommages que leurs troupes ont causésCassiodorus,
livre
2, épitre 8.. Qu’ils doivent travailler à accorde
r les différends, se souvenant qu’ils sont les pères des peuplesIdem,
livre
1, épitres 5, 23, et 32.. Qu’ils doivent accorder
demandes qu’on leur fait ; et ne point différer à faire du bienIdem,
livre
4, épitres 11 et 14 et livre 3, épitre 40.. Qu’il
t ne point différer à faire du bienIdem, livre 4, épitres 11 et 14 et
livre
3, épitre 40.. Qu’ils doivent prendre garde que l
échargent pas sur les pauvres de ce qu’ils sont obligés de payerIdem,
livre
1, épitre 19.. Qu’ils doivent être persuadés que
cer ceux qui ont du mérite, de la science, et de la vertuCassiodorus,
livre
2, épitres 15 et 16.. Qu’ils ne doivent point ex
insi il traduisit l’Epître 105. de S. Augustin à Sixte, et ensuite le
livre
de la Prédestination des Saints. Et après son ret
l traduisit les lettres de Prosper et d’Hilaire à S. Augustin ; et le
livre
de ce saint, du don de la persévérance. L’utilité
rempli de cette pensée de S. Cyprien que S. Augustin rapporte dans le
livre
de la Prédestination des Saints, que son Altesse
e ces craintes. » Il se représentait encore ce qu’il avait traduit du
livre
de ce grand Saint, du don de la persévérance « Bo
Païens. Réfutation. Raison pour laquelle dans la suite de ce
Livre
, on se sert du terme de Réfutation. Dans celle-ci
es Evêque de Genève. Touchant la Comédie. Réfutation d’un
livre
intitulé Dissertation sur la condamnation des thé
ition qui n’était point agréable à la Divinité. Ainsi Sénèque dans le
livre
contre les superstitions que S. Augustin allègue
le livre contre les superstitions que S. Augustin allègue dans le 6e
livre
de la Cité de Dieu chap. 10. donne cet avis à un
as comme des choses qui soient agréables aux Dieux ». Et dans le même
livre
« Omnem illam ignobilem Deorum turbam, quam longo
le partie de la Religion Païenne ». Tite-Live nous apprend dans le 7.
livre
de sa première Décade, que l’institution des jeux
e plus docte des Païens, et de très grande autorité, composant divers
livres
des choses divines et humaines ; et traitant des
ces Jeux reçus au rang des choses divines. » Cicéron dans le second
livre
des lois traitant de la Religion, et des choses q
mée. Tite-Live nous l’apprend encore plus clairement sur la fin du 8.
livre
, où il remarque que cet emploi n’était pas fort c
préoccupation est une chose étrange : elle fait qu’on trouve dans un
livre
ce qui n’y est point, et qu’on n’y voie pas ce qu
es honneurs sales et honteux ; comme Hérodote nous l’apprend dans son
livre
intitulé Euterpe : où cet Historien condamne la
pas non plus le dire ». Cicéron remarque la même chose dans le second
livre
de la nature des Dieux. « On introduit, dit-il «
a introduit des fictions indignes des Dieux. » Et Macrobe dans le 1.
livre
sur le songe de Scipion chap. 2. « Lorsqu’on trai
’était donc pas des actes de révérence, et de ReligionSeneque dans le
livre
contre les superstitions. Voyez ci-dessus ce qui
laircissement tiré de ce qui nous reste des écrits de Varron dans les
livres
de S. Augustin de la Cité de Dieu. La différenc
et. » Ibid., est celui dont les Philosophes nous ont laissé plusieurs
livres
, où ils traitent de la nature des Dieux, du lieu
e faire. Cicéron nous en fournit plusieurs exemples dans le troisième
livre
de la nature des Dieux : Voici comme Médée parle
utation des hommes. « Parmi les lois des Grecs, dit Scipion, dans les
livres
que Cicéron avait composés de la République « Apu
nes. C’est pourquoi, comme Scipion l’Africain continue dans ces mêmes
livres
, Qui est-ce que la Comédie n’a point attaqué, ou
tre les Temples et les Théâtres. Le dessein de S. Augustin dans le 6.
livre
de la Cité de Dieu, est de montrer que le culte d
en les doit entièrement abolir. » Un savant Jésuite Espagnol dans un
livre
qu’il publia l’an 1614. dit que la Comédie est un
eté de leur Religion. Si l’Auteur de la Dissertation avait bien lu le
livre
des Confessions de S. Augustin, il n’aurait jamai
nd personnage ; il est vrai néanmoins que S. Augustin dans le premier
livre
de ses Rétractations déclare qu’il l’a trop loué
m. » S. Augustin. lib. Retract. cap. 2., dédié à Manlius Théodorus le
livre
que j’avais composé de la vie heureuse, mais quoi
ore tous les jours au Théâtre, comme le témoigne S. Augustin dans les
livres
de la Cité de Dieu, qu’il composa l’année suivant
qu’employant pour cet effet quatre chapitres qui font le tiers de son
livre
, il préoccuperait tellement l’esprit du lecteur,
ues, lui envoya ce qu’Aristote avait écrit contre telles gens dans le
livre
qu’il a intitulé les Problèmes Circulaires ; et l
ne saurait rapporter une vérité sans l’altérer ; car Cicéron dans ses
livres
de la République dit simplement, selon le témoign
j’ai rappelé toutes mes vieilles idées, et j’ai cherché dans tous les
livres
qui me sont tombés sous la main, et je n’ai rien
j’ai rappelé toutes mes vieilles idées, et j’ai cherché dans tous les
livres
qui me sont tombés sous la main, et je n’ai rien
ma mémoire me peut tromper ; mes idées sont trop vieilles ; les bons
livres
ne me sont pas tous tombés sous la main « Obest h
u’il avait lu, à rappeler ses vieilles idées, et à consulter tous les
livres
qui lui tombaient sous la main. S’il eût seulemen
ueux, plus il doit s’en éloigner. » Cicéron encore dans le quatrième
livre
de la République nous apprend que les Romains not
n lib. 4. de Repub. S. August. l. 2. de civit. Dei, cap. 9., dans ses
livres
de la République, ce que les Anciens Romains juge
ces fables, et de ces Comédies : mais ainsi que Scipion parle dans ce
livre
de Cicéron, estimant que l’art des jeux, et tous
rtain, qu’il ne faut que consulter les Dictionnaires du Droit, et les
livres
qu’on lit dans les Ecoles pour en être convaincu
sans aucune preuve, que ce que Quintilien dit encore dans le sixième
livre
chap. 2. où il montre que les Histrions, et les C
e renvoyer à la lecture de son Dictionnaire : En vérité ces sortes de
livres
suffiraient pour détruire tout ce qu’il dit en ce
les en général, par celle de leurs acteurs. Car ayant divisé, dans ce
livre
des Spectacles, tous les Jeux, en ceux du Cirque,
gé de faire représenter les Spectacles. Cet Edit se trouve dans le 3.
livre
du Digeste au titre 2. de ceux qui sont notés d’i
jeux, ou pour réciter des vers, est noté d’infamie. » Ulpien au même
livre
, dans la loi 2. au §. dernier, parle ainsi sur ce
I. Réfutation. Peut-on plus mal raisonner ? Saint Augustin dans le
livre
2. de la Cité de Dieu, chap. 13. et 27. dit l’Aut
Tragédies y sont compris. Car premièrement dans le Chapitre 13. du 2.
livre
de la Cité de Dieu qu’il allègue, S. Augustin par
ervaverunt, et c. » S. August. lib. 2. de Civit. Deicap. 9., dans les
livres
de la République, ce que les Anciens Romains juge
remiers honneurs de leurs villes. Car, comme Cicéron dit dans le même
livre
de la République, Eschine Athénien, ce personnage
ces fables, et de ces Comédies ; mais ainsi que Scipion parle dans ce
livre
de Cicéron, estimant que l’art des Jeux, et tous
nom de jeux scéniques. Quant à ce qu’il allègue du chapitre 27. du 2.
livre
de la Cité de Dieu de saint Augustin, il n’y réus
sit pas mieux que dans la précédente citation du chapitre 13. du même
livre
. Car peut-on faire un plus faux raisonnement que
raisonnement que celui-ci ? « S. Augustin dans le 27. chapitre du 2.
livre
de la Cité de Dieu, ne parle que de l’infamie des
Traité que ce grand Saint a composé de la manière qu’on doit lire les
livres
des Gentils ? Il y condamne en termes exprès les
on sens. Et le Poète Théodecte ayant voulu mêler quelque chose de ces
livres
sacrés dans une de ses Tragédies, devint aveugle
Dissertation pages 224. et 225. « Mais les Auteurs du Talmud ou
livre
de la narration d’Enoch condamnent les Mimes, cha
traite. Il appuie la défense des fables du Théâtre sur les fables des
livres
apocryphes ; et toutefois il aurait mieux fait de
fautes qu’il a faites en la rapportant. Il confond le Talmud avec le
livre
d’Enoch : Et cette erreur n’est pas excusable en
h : Et cette erreur n’est pas excusable en ce temps où il y a tant de
livres
qui nous apprennent ce que c’est que le Talmud, s
si nous ne sommes pas capables de le savoir par sa lecture. Quant au
livre
d’Enoch, Tertullien lui pouvait apprendre qu’il n
.. Mais il est admirable quand il dit qu’il n’est point parlé dans ce
livre
d’Enoch de Tragédies ni de Comédies. Comment a-t-
Comédie un Concile tenu sous saint Charles Borromée, qui a composé un
livre
exprès contre la Comédie ? lequel a été traduit e
soins de Monsieur l’Evêque de Montpellier. Dans le chapitre 13. de ce
livre
saint Charles parle en ces termes : « Nous avons
de deux passages de S. Augustin, dont l’un est tiré du chap. 8 du 2.
livre
de la Cité de Dieu ; et l’autre du 2. Chapitre du
p. 8 du 2. livre de la Cité de Dieu ; et l’autre du 2. Chapitre du 3.
livre
de ses Confessions ; car quant au premier, il est
l. 2. de Civ. Dei c. 8., qui sont les dernières du chapitre 8. du 2.
livre
de la Cité de Dieu. « Cependant c’est ce qu’il y
conséquent lorsque Augustin dit ensuite dans le chapitre 13. du même
livre
« Sicut apud Ciceronem Scipio loquitur, Romani cu
nt. » Ibid. cap. 13. : « Les Romains, ainsi que Scipion parle dans ce
livre
de Cicéron, estimant que l’art de divertissement,
on avait rapporté la suite des dernières paroles du Chapitre 8. du 2.
livre
de la Cité de Dieu, qu’il ne devait pas omettre ;
e qui m’oblige de répéter ici les dernières paroles du chapitre 8. du
livre
de la Cité de Dieu, et d’y joindre ce qui suit au
que l’on nomme honnêtes et libéraux. Or Cicéron nous apprend dans ses
livres
de la République ce que les anciens Romains jugea
e coutume de cette instruction qu’il condamne expressément dans le 1.
livre
de ses Confessions, où il demande pardon à Dieu d
ent sur le bois de la Croix de Jésus-Christ ? N’ai-je pas vu dans les
livres
que tu autorises, un Jupiter tonnant, et adultère
sciences profanes, et dans la Religion du Paganisme a écrit dans ses
livres
contre les imaginations des Poètes qu’ils estimen
nent ; et nous entendons ces personnes qui nous crient : c’est de ces
livres
que l’on apprend la pureté de la langue, c’est de
t de ces livres que l’on apprend la pureté de la langue, c’est de ces
livres
qu’il faut tirer cette éloquence qui est si néces
st certain que ce que Saint Augustin en dit dans ce chapitre 8. du 2.
livre
de la Cité de Dieu, n’est que selon le sentiment,
ssage que cite l’Auteur de la Dissertation, tiré du chapitre 2. du 3.
livre
des Confessions de S. Augustin, y a-t-il rien de
.. « Lisez ou rappelez en votre mémoire ce que vous avez lu dans les
livres
d’un Païen ; avec combien de prudence il y est re
é comme un crime à Saint Jérôme d’avoir lu étant Prêtre ces sortes de
livres
contre son serment. « Il n’y a pas longtemps, dit
ce n’est qu’un serment fait en songe » ; Mais quant à la lecture des
livres
profanes, il lui dit « Jurare possum me postquam
s lorsque le 4. Concile de Carthage défend aux Evêques la lecture des
livres
des Païens « Episcopus Gentilium libros non legat
éfendent la lecture des fables des Poètes, des Comédies et des autres
livres
des Païens, que lorsqu’on les lit pour le seul pl
a. in lib. Reg. lib. 2. cap. 9., est-il défendu de lire ces sortes de
livres
, puisqu’il y a tant de raisons qui font voir qu’i
» Sozomen. lib. 5. Eccles. Hist. cap. 17., estimant que c’était des
livres
des Païens seulement qu’on pouvait apprendre l’ar
l n’y a presque aucun genre de doctrine, qu’il n’ait exprimé dans ses
livres
, prenant toujours pour sujet de ses vers quelque
par cet exemple célèbre qui est rapporté dans le chapitre 34. du 12.
livre
de l’histoire Ecclésiastique de Nicéphore « Helio
« Héliodore Evêque de Tricala en Thessalie composa en sa jeunesse des
livres
d’amour qu’il intitula l’Histoire Ethiopique, aux
re, la gloire des Grâces. Il perdit son Evêché pour avoir composé ces
livres
: car leur lecture ayant fait une dangereuse impr
its de plusieurs jeunes hommes, le Concile Provincial ordonna que ces
livres
qui excitaient des flammes d’amour, fussent brûle
s et animées ; les muettes, sont celles qui ne se voient que dans les
livres
; les autres sont celles qu’on joue sur le Théâtr
in. lib. 2. de Civit. Dei cap. 13., ainsi que Scipion parle dans les
livres
que Cicéron a composés de la République estimant
iquit. Iudaic. lib. 12. cap. 2., ayant voulu mêler quelque chose des
livres
sacrés dans une de ces Tragédies, devint aveugle
pour rendre grâces à l’Empereur Trajan en qualité de Consul, un grand
livre
qu’il tenait et qu’un homme de son âge pouvait à
ar la loi Clementiæ nostræ placuit qui est la première du titre 6. du
livre
15. du Code de Théodose. Mais ce n’est pas agir d
e après tout à fait abolis, comme la loi 2. du même titre, et du même
livre
du Code de Théodose nous l’apprend. La 1. loi tou
n aucune manière leur vérité, afin que ces représentations servent de
livre
aux ignorants, et aux plus grossiers pour les en
urbon, des Comédies, à peine de punition corporelle, et de deux mille
livres
d’amende : Et à vous enjoint, et aux autres Offic
urbon, des Comédies, à peine de punition corporelle, et de deux mille
livres
d’amende, avec injonction aux Officiers, et au Su
Bourbon des Comédies à peine de punition corporelle et de deux mille
livres
d’amende. Enjoint aux Officiers, et au Substitut
duré lesdits jeux, les aumônes ont diminué de la somme de trois mille
livres
, et en appert par certification signée des Commis
procédant desdits jeux des Actes des Apôtres, la somme de huit cents
livres
parisis en la boîte aux pauvres par provision, et
r fallait ; et ont avancé grande somme de deniers, aux uns deux mille
livres
, aux autres sept cents, tellement qu’il y a oblig
t cents, tellement qu’il y a obligation sur eux de plus de sept mille
livres
. Ont fait dresser le livre de l’ancien Testament,
obligation sur eux de plus de sept mille livres. Ont fait dresser le
livre
de l’ancien Testament, icelui communiqué au Théol
donné auxdits Maîtres Anciens pour bailler ladite somme de huit cents
livres
, car ils n’avaient præsentem pecuniam. Α dit Bru
u’elle détruit au contraire tout ce qu’il a prétendu prouver dans son
livre
; car dans cette Déclaration il est marqué en ter
effet d’amour sous un voile de haine Il le fait pour me plaire, il ne
livre
l’assaut, Que pour me visiter et monter ici haut,
ables à la sienne : Elle aime la retraite, et fait son entretien D’un
livre
dont l’Auteur à son gré parle bien, Elle ne fut
à mentir. Et les Lacédémoniens ne purent souffrir dans leur ville les
livres
du Poète Eschyle, les jugeant impertinents, et ca
n prend aussi la liberté de les imiter. Et comme dit Scipion dans les
livres
que Cicéron a écrits de la République, « on n’eût
s des quatorze premiers rangs. C’est ce que témoigne Scipion dans ces
livres
que Cicéron a écrits de la République en ces term
bus. Il faut donc bannir les Comédies des Théâtres. ». » Et dans le
Livre
8. titre 14. « Il n’est point , dit-il, « Theatr
sanctifier les Fêtes. Ce qui est encore expressément marqué dans les
livres
des constitutions Apostoliques, qui nous apprenne
urs de Romans sont une même espèce de gens ; qui ne composent que des
livres
vains, et profanes, dont la lecture ne peut servi
x même qui sont d’un âge plus avancé ? Nous avons une infinité de ces
livres
en Espagne, et il n’y a presque que nous qui en a
ais parler. On nous apprenait autrefois les crimes par la lecture des
livres
; mais aujourd’hui on nous les apprend en nous le
239. « Il faut conserver un art qui peut plaire. » Bodin dans le 6.
livre
de la République chap. 1. n’est pas moins opposé
Comédies sont souillés de ce crime. Voyez Pierre de la Pallu sur le 4
livre
du Maître des sentences, dist. 16. q. 2. art. 3.
et parce qu’ils s’exposent au danger de la tentation. Gabriel sur le
livre
4. du Maître des Sentences, est aussi de ce senti
iser sans commettre un crime. Richard dans ses Commentaires sur le 4.
livre
du Maître des Sentences, infère de cette loi que
embrasent les cœurs des spectateurs des flammes des vices, non par un
livre
inanimé qu’ils présentent à leurs yeux ; mais par
Il rapporte premièrement l’autorité de Platon, qui dans le troisième
livre
de la République « ne veut point qu’on reçoive da
pparence de prudence, et d’honnêteté ? » Le Père Guzman a composé un
livre
en Espagnol des biens de l’honnête travail, où il
ce mal, cette peste, et cette ruine des âmes : et de brûler tous les
livres
de Comédies, dont les boutiques des Libraires son
es Comédies, dont il a fait lui-même l’abrégé dans le chap. 16. du 3.
livre
du Roi, et de son instruction. Où après avoir mon
rieur général de la Congrégation de l’Oratoire dans le 7. discours du
livre
qu’il a composé du Monarque, ou des devoirs du So
araître à Rome. Nous sortîmes ensemble, allâmes chez lui, où était le
livre
, nous l’ouvrîmes, en contemplâmes l’ordre, les pr
us Felix, saint Chrysostome, qu’il avait cités ; et trouvâmes dans ce
livre
les passages cités par le R. Père Oliva, qui fini
ar le R. Père Oliva, qui finit aussi par saint Bernard, comme fait le
livre
. C’est par un saint zèle de l’honneur de Dieu, et
mon le dessein, l’ordre, et le suc. Quelque temps après on publia un
Livre
excellent de l’Education Chrétienne des Enfants s
chapitre 10. il y a un Avis touchant les Comédies, ou l’Auteur de ce
Livre
fait voit clairement combien est imaginaire la di
beaucoup de justice aux Comédies de notre temps. Tertullien, dans le
livre
qu’il a fait des spectacles, entreprend de montre
résentations, « l’on ne laisse pas, comme remarque S. AugustinDans le
livre
3. de ses Confessions, chap. 2., de prendre part
de ses raisonnements, et pour la beauté de son éloquencebl ; comme ce
livre
est assez rare, j’ai cru obliger les Lecteurs, de
ieu dans l’Oraison, et que vous avez acquises par la lecture des bons
Livres
, vous pouvez vous satisfaire pleinement sur la qu
ées à plaisir, et tirées des Romans : les autres sont prises dans les
livres
de ceux qui ont écrit ce qui s’est passé de plus
lon le témoignage de saint Cyprien, en la première lettre du septième
livre
de ses Epîtres, sont les instruments funestes don
, comme un des points principaux de notre créance, et de composer des
livres
entiers pour les soutenir. Tertullien ne s’est pa
ns offenser ni le public, ni le particulier : Ce Docteur en a fait un
Livre
tout entier. S. Cyprien en a composé un sur le mê
à la religion et à la dévotion. Si vous voulez faire réflexion sur le
livre
de Tertullien, vous m’avouerez qu’il suffirait de
aculis qui perfectam vult consequi remissionis gratiam » Augustin, au
livre
de la vraie et de la fausse pénitence, cap. 15. c
, qui se sont introduits par les Comédies, et de composer lui-même un
Livre
plein d’érudition, contre ces sortes de divertiss
: tellement qu’on a lieu d’espérer un grand fruit de la lecture de ce
livre
, dans lequel Monsieur de Voisin continue aussi bi
aites à tous Imprimeurs, Libraires, et autres de faire imprimer ledit
Livre
, sous quelque prétexte que ce soit, à peine de qu
dit Livre, sous quelque prétexte que ce soit, à peine de quinze cents
livres
d’amende, de confiscation des Exemplaires contref
archands Libraires, suivant l’accord fait entre eux. Registré sur le
Livre
de la Communauté le 10. Mars 1668. D. Thierry, A
nome 6, v. 5. Luc 10, v. 27. S. Augustin épitre 54. S. Gregorius Papa
livre
II épitre 44 et livre 6 épitre 7. « Potentes pot
v. 27. S. Augustin épitre 54. S. Gregorius Papa livre II épitre 44 et
livre
6 épitre 7. « Potentes potenter tormenta patient
s potenter tormenta patientur. » Sapientiæ 6, v. 7. S. Gregorius Papa
livre
9 épitre 70. Idem liber 7 indict. 1 épitre 136. I
m liber 7 indict. 1 épitre 5. Cassiodorus épitre 7. S. Gregorius Papa
livre
11 épitre 44. Idem livre 11 épitre 44. « Fecisti
e 5. Cassiodorus épitre 7. S. Gregorius Papa livre 11 épitre 44. Idem
livre
11 épitre 44. « Fecisti quod quidam facere solen
Si fecisti, decem dies in pane, et aqua pœnitere debes. » Burchardus
livre
chap. 8, c. 147. S. Chrysostome sermon 32 in Matt
s eruditionem. » Concil. Trident. session 24, c. 8. S. Gregorius Papa
livre
6 épitre 6. Idem livre 4 épitre 54. Idem livre 9
. Trident. session 24, c. 8. S. Gregorius Papa livre 6 épitre 6. Idem
livre
4 épitre 54. Idem livre 9 épitre 54 et 60. Idem l
. 8. S. Gregorius Papa livre 6 épitre 6. Idem livre 4 épitre 54. Idem
livre
9 épitre 54 et 60. Idem livre 2, indic. 2, épitre
épitre 6. Idem livre 4 épitre 54. Idem livre 9 épitre 54 et 60. Idem
livre
2, indic. 2, épitre 60 et livre 9, épitre 17. Con
4. Idem livre 9 épitre 54 et 60. Idem livre 2, indic. 2, épitre 60 et
livre
9, épitre 17. Concil. Trident. session 24 de refo
lane fidelis dispensatio ; sed crudelis dissipatio est. » S. Bernard,
livre
3 de consideration, c. 10, ex editione Rom jussu
timete; et Regem honorificate. » I Petri 2, v. 18. S. Gregorius Papa
livre
7, indict. 2, épitre 97. « Quia et illorum, et v
et æqualiter est illi cura de omnibus », chap. 6, v. 8. Cassiodorus,
livre
1, épitre 46. Idem, livre 10, épitre 3 et livre 3
a de omnibus », chap. 6, v. 8. Cassiodorus, livre 1, épitre 46. Idem,
livre
10, épitre 3 et livre 3, épitre 11. Idem, livre 3
6, v. 8. Cassiodorus, livre 1, épitre 46. Idem, livre 10, épitre 3 et
livre
3, épitre 11. Idem, livre 3, épitre 3. S. Gregori
e 1, épitre 46. Idem, livre 10, épitre 3 et livre 3, épitre 11. Idem,
livre
3, épitre 3. S. Gregorius Papa, livre 9, épitre 3
3 et livre 3, épitre 11. Idem, livre 3, épitre 3. S. Gregorius Papa,
livre
9, épitre 39. Idem, livre 4, épitre 34. Idem, liv
Idem, livre 3, épitre 3. S. Gregorius Papa, livre 9, épitre 39. Idem,
livre
4, épitre 34. Idem, livre 3, épitre 4. Idem, livr
. Gregorius Papa, livre 9, épitre 39. Idem, livre 4, épitre 34. Idem,
livre
3, épitre 4. Idem, livre 4, épitre 31. Cassiodoru
, épitre 39. Idem, livre 4, épitre 34. Idem, livre 3, épitre 4. Idem,
livre
4, épitre 31. Cassiodorus, livre 10, épitre 3. Id
e 34. Idem, livre 3, épitre 4. Idem, livre 4, épitre 31. Cassiodorus,
livre
10, épitre 3. Idem, livre 4, épitre 39. S. Gregor
e 4. Idem, livre 4, épitre 31. Cassiodorus, livre 10, épitre 3. Idem,
livre
4, épitre 39. S. Gregorius Papa, livre 9, épitre
rus, livre 10, épitre 3. Idem, livre 4, épitre 39. S. Gregorius Papa,
livre
9, épitre 57. Idem, livre 2, épitre 65. Idem, liv
dem, livre 4, épitre 39. S. Gregorius Papa, livre 9, épitre 57. Idem,
livre
2, épitre 65. Idem, livre 5, épitre 36. Cassiodor
. Gregorius Papa, livre 9, épitre 57. Idem, livre 2, épitre 65. Idem,
livre
5, épitre 36. Cassiodorus livre 1, épitre 12. S.
e 57. Idem, livre 2, épitre 65. Idem, livre 5, épitre 36. Cassiodorus
livre
1, épitre 12. S. Gregorius Papa, livre 2, épitre
ivre 5, épitre 36. Cassiodorus livre 1, épitre 12. S. Gregorius Papa,
livre
2, épitre 62. Cassiodorus, livre 3, épitre 16, li
vre 1, épitre 12. S. Gregorius Papa, livre 2, épitre 62. Cassiodorus,
livre
3, épitre 16, livre 1, épitre 44. S. Gregorius Pa
Gregorius Papa, livre 2, épitre 62. Cassiodorus, livre 3, épitre 16,
livre
1, épitre 44. S. Gregorius Papa, livre 9, épitre
ssiodorus, livre 3, épitre 16, livre 1, épitre 44. S. Gregorius Papa,
livre
9, épitre 60, livre 11, épitre 36. Idem, livre 8,
épitre 16, livre 1, épitre 44. S. Gregorius Papa, livre 9, épitre 60,
livre
11, épitre 36. Idem, livre 8, épitre 51, livre 7,
44. S. Gregorius Papa, livre 9, épitre 60, livre 11, épitre 36. Idem,
livre
8, épitre 51, livre 7, indict. 2, épitre 126. Ide
a, livre 9, épitre 60, livre 11, épitre 36. Idem, livre 8, épitre 51,
livre
7, indict. 2, épitre 126. Idem, livre 3, épitre 2
e 36. Idem, livre 8, épitre 51, livre 7, indict. 2, épitre 126. Idem,
livre
3, épitre 23, livre 9, épitre 64. Idem, livre 4,
épitre 51, livre 7, indict. 2, épitre 126. Idem, livre 3, épitre 23,
livre
9, épitre 64. Idem, livre 4, épitre 18. Idem, liv
t. 2, épitre 126. Idem, livre 3, épitre 23, livre 9, épitre 64. Idem,
livre
4, épitre 18. Idem, livre 7, indict. 2, épitre 43
vre 3, épitre 23, livre 9, épitre 64. Idem, livre 4, épitre 18. Idem,
livre
7, indict. 2, épitre 43. Idem, livre 9, épitre 39
Idem, livre 4, épitre 18. Idem, livre 7, indict. 2, épitre 43. Idem,
livre
9, épitre 39. Idem, livre 9, épitre 14. Idem, liv
Idem, livre 7, indict. 2, épitre 43. Idem, livre 9, épitre 39. Idem,
livre
9, épitre 14. Idem, livre 12, épitre 27. Idem, li
épitre 43. Idem, livre 9, épitre 39. Idem, livre 9, épitre 14. Idem,
livre
12, épitre 27. Idem, livre 7, épitre 120. Idem, l
épitre 39. Idem, livre 9, épitre 14. Idem, livre 12, épitre 27. Idem,
livre
7, épitre 120. Idem, livre 8, épitre 36. Cassiodo
pitre 14. Idem, livre 12, épitre 27. Idem, livre 7, épitre 120. Idem,
livre
8, épitre 36. Cassiodorus, livre 6, épitre 4. S.
27. Idem, livre 7, épitre 120. Idem, livre 8, épitre 36. Cassiodorus,
livre
6, épitre 4. S. Gregorius Papa, livre 8, épitre 5
ivre 8, épitre 36. Cassiodorus, livre 6, épitre 4. S. Gregorius Papa,
livre
8, épitre 51. Cassiodorus, livre 2, épitre 8. Ide
ivre 6, épitre 4. S. Gregorius Papa, livre 8, épitre 51. Cassiodorus,
livre
2, épitre 8. Idem, livre 1, épitres 5, 23, et 32.
orius Papa, livre 8, épitre 51. Cassiodorus, livre 2, épitre 8. Idem,
livre
1, épitres 5, 23, et 32. Idem, livre 4, épitres 1
odorus, livre 2, épitre 8. Idem, livre 1, épitres 5, 23, et 32. Idem,
livre
4, épitres 11 et 14 et livre 3, épitre 40. Idem,
em, livre 1, épitres 5, 23, et 32. Idem, livre 4, épitres 11 et 14 et
livre
3, épitre 40. Idem, livre 1, épitre 19. S. Grégoi
, et 32. Idem, livre 4, épitres 11 et 14 et livre 3, épitre 40. Idem,
livre
1, épitre 19. S. Grégoire Naziane, épitre 76. S.
. Grégoire Naziane, épitre 76. S. Chrysostome, épitre 5. Cassiodorus,
livre
2, épitres 15 et 16. Idem lib. 2. epist. 7. Idem
admittit. » Macrob. lib. 1. in somn. Scipion. cap. 2. Seneque dans le
livre
contre les superstitions. Voyez ci-dessus ce qui
Traité des spectacles parmi les œuvres de saint Cyprien. Galat. 5. 2.
Livre
2. de ses Conf. chap. 17. n. 2. Chap. 10. des spe
ns le liv. 6. du gouvernement de Dieu. Chap. 26. des spect. Dans le
livre
3. de ses Confessions, chap. 2. Théodore Martyre.
lligere ut bene agat »,Ps. 35. [Psaume 35, verset 4] ci Augustin, au
livre
de la vraie et de la fausse pénitence, cap. 15. c
y est : le sens est qu'une telle permission existe. ba. [NDE] liv. =
livres
. bb. [NDE] Manque le "t" dans l'original. bc.
veut qu’on ait pour elle, 307. Altérée dans les Tragédies tirées des
Livres
saints, 305. Causes de cette altération ibid. 320
re. Selon lui, les hommes charnels abusent de certaines Histoires des
Livres
saints, 321 Justin Empereur permet aux Comédienne
la Veuve de Florentin Delaulne, Imprimeur et Libraire, d’imprimer un
Livre
intitulé : Traité Historique et Dogmatique des Je
t défendu à tous Libraires et Imprimeurs, d’imprimer et vendre aucuns
Livres
composés par ceux de notre Congrégation, sans not
funestes aux peuples. I. Raison. Obligation de défendre les méchans
livres
. Comme cette proposition est la principale de
je la prouve en premier lieu par l’obligation de défendre les méchans
livres
. La défense des livres contraires à la pieté &
lieu par l’obligation de défendre les méchans livres. La défense des
livres
contraires à la pieté & aux bonnes mœurs est
cher l’impression, d’arrester le debit, d’interdire la lecture de ces
livres
: on ne peut permettre leur édition, leur cours,
r usage, sans se rendre coupables de tous les méchants effets que ces
livres
pernicieux produisent ; & nous pouvons dire d
ceux qui permettent d’imprimer, de vendre, & de lire les méchans
livres
; les premiers sont d’autant plus coupables, que
x Magistrats, que celuy que les loix leur donnent de l’impression des
Livres
qui traitent des choses les plus saintes. Lact.
Leo. 10. sess 10. de Imp. Le Concile de Latran défend d’imprimer les
Livres
qui traitent des choses saintes, s’ils ne sont ex
eurs qui entreprennent, ceux mesmes qui debitent & qui lisent les
Livres
qui ne sont pas approuvez. Le Concile de Trente r
nce dans la Session 4. où il traite de l’edition & de l’usage des
Livres
sacrez. Les Magistrats y tiennent la main, ils so
privilege, point d’exemption ; il est défendu d’imprimer aucun de ces
Livres
qui n’ait passé par la censure, qui ne soit autor
à ses ordres. Les Pieces de theatre n’approchent pas du nombre de ces
Livres
, les Pieces de theatre sont courtes en comparaiso
e theatre sont courtes en comparaison de la plus grande partie de ces
Livres
; les Pieces de theatre ne demandent pas une appl
re ne demandent pas une application si forte & si génante que ces
Livres
, elles sont plus dangereuses que les méchans Livr
i génante que ces Livres, elles sont plus dangereuses que les méchans
Livres
; leur representation agit souvent avec plus de f
vec la Croix de notre divin Sauveur, et que cependant la multitude se
livre
sans scrupule à ces plaisirs. Mais, ne savez-vous
dans ses filets. Si Saint Augustin s’accuse dans ses Confessions (ce
Livre
immortel qu’on ne peut trop lire, ni trop méditer
é dans laquelle on veut vivre, on cherche avec avidité, soit dans les
livres
des impies, soit dans leurs discours, des prétext
appris de l’Apôtre Saint Jean, que quiconque ajoute un seul iota aux
Livres
Saints, doit s’attendre à être retranché pour jam
ta aux Livres Saints, doit s’attendre à être retranché pour jamais du
Livre
de vie, et si je suis coupable aux yeux de celui
e toujours vivante sur laquelle nous serons tous jugés. C’est dans ce
Livre
, et non ailleurs, que je puise, ô mon Dieu, les g
s grandes vérités que j’ose annoncer ici en votre nom ; c’est dans ce
Livre
qu’on trouve les plus fortes preuves contre les S
es preuves contre les Spectacles et contre ceux qui les fréquentent ;
Livre
éternel, Livre divin, où chaque page est un Arrêt
re les Spectacles et contre ceux qui les fréquentent ; Livre éternel,
Livre
divin, où chaque page est un Arrêt qui proscrit l
ême temps qu’il faisait des comédies, il se piquait de faire de beaux
livres
de dévotion. Les livres de dévotion ne l’empêchai
des comédies, il se piquait de faire de beaux livres de dévotion. Les
livres
de dévotion ne l’empêchaient pas de songer à plai
avoir écouté tout le reste, il lui donna de sa propre main six cents
livres
, avec ces paroles obligeantes, « que c’était seul
mieux dans sa vie : « Armand, qui pour six vers m’a donné six cents
livres
. Que ne puis-je à ce prix te vendre tous mes livr
a donné six cents livres. Que ne puis-je à ce prix te vendre tous mes
livres
! » On peut voir dans les Œuvres mêlées de Chev
ent du côté des mœurs une hérésie de conduite plus condamnable que le
livre
le plus séduisant. Enfin si on n’eût consulté que
ong, que l’on employa pour la couverture, elles valaient quatre mille
livres
chacune. Cette salle fut depuis occupée par la tr
la perfection, et compose Mirame, l’Europe, les Tuileries ; fait des
livres
de controverse, et fait faire la critique du Cid
également coupables, ceux qui font, impriment, vendent ou prêtent des
livres
impudiques, obscènes, qui ne sont propres qu’à ex
iter ou à nourrir les passions ; tels sont la plupart des romans, des
livres
de galanterie. Ces livres sont extrêmement danger
ions ; tels sont la plupart des romans, des livres de galanterie. Ces
livres
sont extrêmement dangereux, surtout pour les jeun
étiens ; ils ne veulent point de religion révélée, ils combattent les
livres
de Moïse, des prophetes, les cérémonies. Julien f
pour ambitionner de pareils prosélytes. Mais il a méprisé les saints
livres
, combattu, persécuté le christianisme, favorisé l
dien qui fut jamais, a composé beaucoup de pieces de théatre & de
livres
burlesques, en vers & en prose, qui ne sont q
e de quelques pensions viageres mal payées, & de quelques mauvais
livres
qu’il appelloit le marquisat de Quinet, du nom de
st un prélat qui du matin au soir, Au grand comme au petit se
livre
, Qui du bonheur de tous se fait un saint devoir,
able le plaisir qu’elle reçoit par le moyen du corps. Eugene. Et les
Livres
des Orateurs à quoi serviront- ils ? Theodore. A
nt commises dans l’art où ils se sont tant exercés. Car en un mot les
Livres
ne nous éclairent point par eux-mêmes ; et ceux q
de que certaines personnes. Il faut pourtant qu’il lise quelques bons
Livres
de Physique, et vous verrez que ce qui embarrasse
n. Cela peut le rendre Physicien avant même qu’il sache qu’il y a des
Livres
de Physique. Car en lui montrant, par exemple, le
utume de faire lire aux jeunes gens, il sera en état de lire tous les
Livres
des Philosophes ; et ni le faste des Stoïciens, n
ssions, et qui favorisent ses désirs. Ce n’est donc plus que dans les
livres
de Poétique que l’instruction est la fin du Poème
e année que le Traité de Monsieur le Prince de Conti ; c’est un petit
Livre
in 12. Hédelin qu’on en croit l’Auteur, s’appliqu
Conti, touchant la Comédie et les Spectacles : Ou La Réfutation d’un
Livre
intitulé, Dissertation sur la condamnation des Th
Or. 1672. L’Auteur cite l’endroit de Tertullien au Chapitre 28. du
Livre
des Spectacles, d’une femme Chrétienne, laquelle
eo af. Il continue par saint Augustin, qui remarque dans le troisième
Livre
de ses Confessions, Chapitre 2. qu’encore qu’il n
, l’Amphithéâtre de cruauté, et saint Augustin ajoute dans le sixième
Livre
de ses Confessions Chapitre 7. que le Cirque qui
bles, qui touchent et entretiennent ses passions, aux vérités que ces
Livres
saints lui découvrent et qui condamnent ses dérèg
après ces idées, une fameuse Miladi vient de payer ce tribut, dans un
livre
exprès imprimé à Londres, au prince des poëtes, d
elui-ci, mais c’est une chimere dans tout le reste. Il n’y a point de
livre
, quelque mauvais qu’on le suppose, dont on ne pui
lus agréables au flambeau ; les beautés y sont plus piquantes, on s’y
livre
plus à son aise à tous ses désirs, & on trouv
fait plus de mal que vingt bons exemples ne sont de bien, un mauvais
livre
perd plus d’ames que plusieurs bons livres n’en s
ne sont de bien, un mauvais livre perd plus d’ames que plusieurs bons
livres
n’en sauveront, une actrice sera commettre plus d
dieux à Londres, à Paris les actrices sont les déesses qu’on adore. (
Livre
intitulé Londres.) Le fanatisme anglois contre la
pas bien mûrs : ils auroient encore besoin de quelque soleil. Le même
livre
, disc. 7 & 11, parle de quelques singularités
u S. Siége ; on lui payoit même un tribut. Henri VIII composa un gros
livre
pour défendre ses droits, le lui fit présenter pa
s éventails, &c. Chacun auroit son étiquette, comme le titre d’un
livre
, & la figure de ce qu’il contient en relief o
s pour, &c. Chaque galerie auroit le nom d’une actrice, comme les
livres
d’Hérodote portent le nom d’une muse. L’Etat y ga
ẽtes comiques : leurs drames sont si froids que les feuilles de leurs
livres
découpées en flocons, servent de monceaux de neig
formeront ensemble le tableau de l’action ; chaque volume coûtera 24
livres
. Tous ces discours sont parfaits, qui en doute ?
e débit assuré. La dépense, il est vrai, seroit plus grande, & le
livre
plus gros ; qu’importe, peut-on trop faire pour l
travaux, il en fait part au public ; & pour faire rechercher son
livre
, il employe le secours des images. Elles invitero
licencieux & le plus scandaleux, d’une mauvaise Religieuse qui se
livre
en secret à sa passion, comme font tous les liber
es ouvrages ? Le Mercure au même endroit fait l’extrait d’un nouveau
livre
, le Spectateur François. Parmi cent morceaux qu’i
es celui de Freron, vont toujours cueillir ces fruits vereux dans les
livres
dont ils parlent, & les servent à leur lecteu
l’être. L’Auteur a fait un voyage dans cette ville pour présenter son
livre
aux Capitouls. Ces Magistrats municipaux, qui cha
l la présente sous le nom d’un Greffier. Idée burlesque ! Un Greffier
livre
des extraits des registres qui lui sont confiés,
rtionnée à leurs talents & à leurs graces, avec les deux sols par
livre
. Elles sont inscrittes sur le registre du Receveu
des offices d’Acteur, faire payer les provisions, mettre un sol pour
livre
sur la recette des droits d’entrée, taxer chaque
, & jamais ne peuvent parvenir à ce grand éclat. Voici comment ce
livre
estimable peint les Actrices. Je vis les beautés
tendresse qui amolissoit le cœur. Elle me parla (langage de l’Opéra)
livre
tes sens aux doux plaisirs, dédommage-toi des pei
us, savant critique, a ramassé cent. 1, chap. 17, divers passages des
livres
sapientiaux qu’il dit se trouver dans les deux co
’honneur ; aucun dramatique, ni Grec ni Latin, n’ont connu les saints
livres
. Il est bien rare que les modernes, ni Auteurs, n
que tout le monde ne sache & ne puisse dire, sans avoir besoin du
livre
des Proverbes ? Favus distillans labia meretrici
due, comme si l’on disoit : les Mathématiciens ont lu dans les saints
livres
, deux & deux font quatre, quatre & quatre
lus honteuses bassesses. Le Passe partout des Jesuites est un mauvais
livre
fait en 1606 contre ces Peres, à l’occasion de le
voici quelqu’un au hasard, pour en donner une idée ; car je crois ce
livre
absolument inconnu. Arlequin débute par des lazzi
Tout cela a bien l’air d’être un conte imaginé, pour mieux débiter un
livre
, en le donnant sous un nom célebre, & faire p
es, ne doutons pas qu’il ne les ait imitées & même surpassées. Ce
livre
a paru depuis. Il n’y a point de genre de littéra
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