s Additions importantes. Tome I. Page 29, ligne 25, certaines ;
lisez
, certains. pag. 55, lig. 4, aucune indice ; lis.
ne 25, certaines ; lisez, certains. pag. 55, lig. 4, aucune indice ;
lis
. aucun indice. pag. 58, lig. 5, les Chanteurs ;
aucune indice ; lis. aucun indice. pag. 58, lig. 5, les Chanteurs ;
lis
. les Bouffons. Ibid. lig. 6, en 1748 ; lis. en 1
, lig. 5, les Chanteurs ; lis. les Bouffons. Ibid. lig. 6, en 1748 ;
lis
. en 1752, 53, & au commencement de 1754. pag
des pièces ; ajoutez, de nos jours. pag. 124, lig. 8, la Pastorale ;
lis
. la Parodie. pag. 156, lig. 2, trop admirables ;
la Pastorale ; lis. la Parodie. pag. 156, lig. 2, trop admirables ;
lis
. trop dans la Nature. pag. 165, lig. 8, de faire
admirables ; lis. trop dans la Nature. pag. 165, lig. 8, de faire ;
lis
. de taire. pag. 173, lig. dernière ; ajoutez cet
oir & de corriger les hommes. pag. 178. lig. 6. mis en Musique ;
lis
. remis en Musique. pag. 181. lig. 3 de la note 1
s. remis en Musique. pag. 181. lig. 3 de la note 16. multiples que ;
lis
. multiplex que. pag. 183. lig. 23. après ces mot
e renfermée dans la prémière Scène. page 189. au sommaire ; préarés,
lis
. préparés. pag. 223. lig. 8. le bien de la Scène
re ; préarés, lis. préparés. pag. 223. lig. 8. le bien de la Scène ;
lis
. le lieu de la Scène. pag. 288. avant dernière l
ne. pag. 288. avant dernière lig. de la note 35 ; soient l’Ouvrage ;
lis
. sont l’Ouvrage. pag. 336. lig. 3. un Spectateur
t l’Ouvrage ; lis. sont l’Ouvrage. pag. 336. lig. 3. un Spectateur ;
lis
. au Spectateur. Tome II. pag. 2. lig. 23.
particulièrement, ajoutez, ici. pag. 10. lig. 14. il me suffirait ;
lis
. il me suffira. pag. 23. lig. 20. la déclectatio
suffirait ; lis. il me suffira. pag. 23. lig. 20. la déclectation ;
lis
. la délectation. pag. 31. lig. 20. une Musique é
ion ; lis. la délectation. pag. 31. lig. 20. une Musique étrangère ;
lis
. une Musique légère. pag. 39. lig. 15. grand dom
ère ; lis. une Musique légère. pag. 39. lig. 15. grand dommage que ;
lisez
, grand dommage encore que. pag. 69. lig. 25. de
; lisez, grand dommage encore que. pag. 69. lig. 25. de pastorale ;
lis
. de la pastorale. pag. 80. lig. 10. éxtiait l’en
astorale ; lis. de la pastorale. pag. 80. lig. 10. éxtiait l’envie ;
lis
. éxcitait l’envie. pag. 128. lig. 18. après ces
fondamentale d’un chant qui le frappa.) pag. 140. lig. 15. le brut ;
lis
. le bruit. pag. 142. lig. prémiére ; après ces m
le 88. Livre 2. pag. 163. lig. 9. qu’Elisabeht, Reine d’Angleterre ;
lis
. que l’Empereur Leopold, que je viens de citer.
r Leopold, que je viens de citer. pag. 166. lig. 1. où l’on trouve ;
lis
. où l’on entend. pag. 183. lig. 5. tous simples
l’on trouve ; lis. où l’on entend. pag. 183. lig. 5. tous simples ;
lis
. tout simple. pag. 204. avant dernière ligne ; o
on écoute attentivement. pag. 266. lig. 9 & 15. Serva Padronna ;
lisez
Serva Padrona. Ibid. lig. 14. M. Favart ; lis. M
15. Serva Padronna ; lisez Serva Padrona. Ibid. lig. 14. M. Favart ;
lis
. M. Baurans. pag. 274. lig. 10. Monsigi ; lis. M
. lig. 14. M. Favart ; lis. M. Baurans. pag. 274. lig. 10. Monsigi ;
lis
. Monsigni. pag. 329. lig. 7. qu’ils paraissent ;
. 10. Monsigi ; lis. Monsigni. pag. 329. lig. 7. qu’ils paraissent ;
lis
. qu’il paraisse. pag. 342. lig. 18. pour être go
sent ; lis. qu’il paraisse. pag. 342. lig. 18. pour être gouvernée ;
lis
. pour être liée.
Fautes à corriger. page 68, ligne 9 : Citoyens ;
lisez
, Citoyennes. — 78, ligne 12 : ôtez le second pas.
. — 78, ligne 12 : ôtez le second pas. — 117, ligne 6 : gémissemens ;
lisez
mugissemens. — 122, ligne 20 : § IV ; lisez § V.
, ligne 6 : gémissemens ; lisez mugissemens. — 122, ligne 20 : § IV ;
lisez
§ V. — 145, ligne 2, après le mot Comédie, mettez
ait-elle pas, si la Représentation l’animait ? — 149, ligne 20 : ou ;
lisez
où. Ibid. avant-dern. l. mais jamais faire ; lis
, ligne 20 : ou ; lisez où. Ibid. avant-dern. l. mais jamais faire ;
lis
. mais qui ne saurait jamais faire. — 156, ligne 1
-la-cour, l’Embarras-du-choix. — 159, ligne 1 : l’Embarras-du-choix ;
lisez
les Engagemens-indiscrets. — 168, ligne dern. apr
arge, mettez le renvoi [O]. — 212, ligne dern. avant la note : xxix ;
lisez
xix. — 296, ligne antépén. se contentera-t-il ; l
a note : xxix ; lisez xix. — 296, ligne antépén. se contentera-t-il ;
lis
. se contentera-t-elle. — 426, ligne 5 : on donne
-il ; lis. se contentera-t-elle. — 426, ligne 5 : on donne encore à ;
lisez
, on donne encore ce nom à. — 448, ligne dernière,
l’impression : dont voici les plus grossiéres. Pag. 6. ligne 6. aiez
lisez
aviez. Pag. 10. l. 26 inventé lisez inventés. P
rossiéres. Pag. 6. ligne 6. aiez lisez aviez. Pag. 10. l. 26 inventé
lisez
inventés. Pag. 11. l. 21 declara lisez declama.
viez. Pag. 10. l. 26 inventé lisez inventés. Pag. 11. l. 21 declara
lisez
declama. Pag. 13. l. 14 personne lisez posture.
ntés. Pag. 11. l. 21 declara lisez declama. Pag. 13. l. 14 personne
lisez
posture. Pag. 14. l. 30 condamnés lisez condamné
ma. Pag. 13. l. 14 personne lisez posture. Pag. 14. l. 30 condamnés
lisez
condamné. l. 33 suiveront lisez suivront. Pag.
z posture. Pag. 14. l. 30 condamnés lisez condamné. l. 33 suiveront
lisez
suivront. Pag. 29. l. 2. peus je lisez puis je.
ez condamné. l. 33 suiveront lisez suivront. Pag. 29. l. 2. peus je
lisez
puis je. Le charitable Lecteur aura la bonté de
noncé de gaieté de cœur à sa plus belle qualité ? Combien de gens ont
lu
sa Lettre, qui ne l’eussent pas regardée, si le P
soient aussi agréables que les premières Provinciales, tout le monde
lisait
les unes, et vos meilleurs amis peuvent à peine l
tout le monde lisait les unes, et vos meilleurs amis peuvent à peine
lire
les autres. Pensez-vous vous-même que je fasse un
là était fort de vos amies, elle avait eu beaucoup d’envie d’entendre
lire
le Tartuffe, et l’on ne s’opposa point à sa curio
, me dit l’un de vous,j que vous avez de choses à faire avant que de
lire
les romans ! » Vous voyez qu’il ne défend pas de
vant que de lire les romans ! » Vous voyez qu’il ne défend pas de les
lire
, mais il veut auparavant que je m’y prépare série
plus solides. En effet quel moyen de retourner aux Romans, quand on a
lu
une fois les voyages de Saint-Amour, Wendrockk, P
couvertes que vous craignez tant, il faut bien que vous n’ayez jamais
lu
la première et la cinquième Scènes de l’Andrienne
passions naïvement exprimées, ou plutôt il faut que vous ne les ayez
lues
que dans le Français et en ce cas j’avoue que vou
z lues que dans le Français et en ce cas j’avoue que vous les avez pu
lire
sans danger. Voilà, Messieurs, tout ce que je vou
ois même que je ne vous écrirai pas davantage ; je ne refuse point de
lire
vos Apologies, ni d’être spectateur de vos disput
Je laisse à juger au monde quel est le Visionnaire de vous deux. J’ai
lu
jusqu’ici vos Lettres avec assez d’indifférence,
ourtant la liberté de vous dire, que l’Eglise ne nous défend point de
lire
les Poètes, qu’elle ne nous commande point de les
le. Qu’est-ce que vous concluez de là ? Direz-vous qu’il ne faut plus
lire
Virgile, et ne plus aller à la Comédie ? Mais Sai
était pas assez pour être savant d’avoir étudié toute sa vie, d’avoir
lu
tous les Auteurs, il fallait avoir lu Jansénius,
ir étudié toute sa vie, d’avoir lu tous les Auteurs, il fallait avoir
lu
Jansénius, et n’y avoir point lu les Propositions
u tous les Auteurs, il fallait avoir lu Jansénius, et n’y avoir point
lu
les Propositions. Je ne doute point que vous ne v
Comédies. Enfin je vous demanderais volontiers ce qu’il faut que nous
lisions
, si ces sortes d’Ouvrages nous sont défendus. Enc
-il que l’esprit se délasse quelquefois. Nous ne pouvons pas toujours
lire
vos Livres. Et puis, à vous dire la vérité, vos L
os Livres. Et puis, à vous dire la vérité, vos Livres ne se font plus
lire
comme ils faisaient. Il y a longtemps que vous ne
entrez maintenant en lice contre Desmarets, nous ne refusons point de
lire
vos Lettres. Poussez votre Ennemi à toute rigueur
ne Piéce, n’est point la source du plaisir, parce qu’on commence à la
lire
, sans avoir intention de s’instruire. Cette instr
auroit plus des trois quarts qui ne liroient point. Ces trois quarts
lisent
cependant. Est-ce sans aucun but ? Il peut y avoi
e de faire une bibliothéque ; mais il n’est pas croyable que ceux qui
lisent
, n’aient d’autre dessein que de lire. On peut par
’est pas croyable que ceux qui lisent, n’aient d’autre dessein que de
lire
. On peut partager les lecteurs en trois classes.
t mises dans un beau jour. Des traductions litérales ne se font guère
lire
. Les Poëmes Anciens nous affectent, nous charment
ier notre Langue ; il en résulte que le plaisir que nous ressentons à
lire
les ouvrages anciens & étrangers, ne peut ven
ie. Il y en a nombre qui ne manquent pas de goût & ne peuvent pas
lire
de vers. D’autres les lisent, & excellens jug
manquent pas de goût & ne peuvent pas lire de vers. D’autres les
lisent
, & excellens juges de Prose, ils ne portent s
nombre de ceux qui ne la connoissent que sur le raport des premiers,
lisent
& voyent le Cid avec un grand plaisir. C’est
à la chaleur du sentiment, au pathétique des passions. On ne sauroit
lire
Clovis n’y la Pucelle ; mais personne ne doute qu
gene. Tout cela signifie qu’il n’y a que les Philosophes qui puissent
lire
sans danger les ouvrages qu’on appelle de bel esp
ernes. Mais faut-il que mon fils apprenne la Philosophie avant que de
lire
Virgile et Horace, les Comédies de Térence, et le
ir déjà dit, que nos premières années y sont les plus propres. Faites
lire
les Poètes à votre fils, et faites-lui faire usag
on le garantira bien aussi de ceux des Orateurs. Quand on lui en fera
lire
quelqu’un, qu’on sépare toujours ce qui fait la p
us éclairent point par eux-mêmes ; et ceux qui pensent plus qu’ils ne
lisent
sont toujours les plus habiles. Eugene. Vous aur
ertaines figures, ils cousent diverses pensées des Auteurs qu’ils ont
lus
, ils apprennent par cœur avec bien de la peine, e
recherche ne regarde que certaines personnes. Il faut pourtant qu’il
lise
quelques bons Livres de Physique, et vous verrez
en ferez un admirateur de la Providence : mais encore qu’après avoir
lu
les Auteurs qu’on a coutume de faire lire aux jeu
: mais encore qu’après avoir lu les Auteurs qu’on a coutume de faire
lire
aux jeunes gens, il sera en état de lire tous les
urs qu’on a coutume de faire lire aux jeunes gens, il sera en état de
lire
tous les Livres des Philosophes ; et ni le faste
res sur le sujet de ses lettres, vous réussira mieux. « Vous les avez
lues
, dites-vous, tantôt avec plaisir, tantôt avec dég
dès qu’on en voit quelqu’un qui fait ces sortes de plaintes, on peut
lire
ses ouvrages en sûreté de conscience. Que s’il y
tait pas assez pour être savant, d’avoir étudié toute sa vie, d’avoir
lu
tous les auteurs, il fallait avoir lu Jansénius,
ir étudié toute sa vie, d’avoir lu tous les auteurs, il fallait avoir
lu
Jansénius, et n’y point avoir lu les propositions
u tous les auteurs, il fallait avoir lu Jansénius, et n’y point avoir
lu
les propositions. » Il ne manque rien à cela que
ui sort de la plénitude de votre cœur ? « Enfin, que faut-il que nous
lisions
si ces sortes d’ouvrages sont défendus ? » Il n’y
ion d’un discours qu’on aurait fait pour soutenir qu’il est permis de
lire
des romans et des comédies. Point du tout ; il ne
’il me semble que vous auriez de choses à faire avant que de songer à
lire
des romans. Mais vous avez pris votre parti, et i
e tiennent à ce que la traduction leur explique, et sont détournés de
lire
le reste où le secours de cette traduction leur m
ir soin de n’y rien dire que de nouveau. Il y a d’autres gens qui les
lisent
dans une disposition un peu différente de la vôtr
y avoir des gens de cette humeur-là ? Quoi ! on ne se lasse point de
lire
les écrits de théologie « pleins de longues et de
à Barbier d’Aucour cette substitution. g. [NDE] Thirouin propose de
lire
pour et non par. h. [NDE] Arnaud d’Andilly, dont
Troisième Lettre. De madame d’Alzan. Lundi matin 11. P
lus
d’espoir, plus de raison, plus de bonheur !… Ah !
r d’Alzan est tendre, sensible ; & ce n’est plus moi qu’il aime !
Lisez
: Jugez de mes sentimens par ce que vous vîtes h
de laisser tomber ce billet à mes pieds : je n’ai pu m’empêcher de le
lire
; & j’ai fait plus que vous n’eussiez osé peu
ent voir représenter ni Comédie ni Tragédie, mais il n’en faudra plus
lire
aucune ; il ne faudra plus lire ni Terence, ni So
ni Tragédie, mais il n’en faudra plus lire aucune ; il ne faudra plus
lire
ni Terence, ni Sophocle, ni Homère, ni Virgile, n
louanges, je ne les mérite point, et n’en veux point, j’aime qu’on me
lise
, et non qu’on me loue. On ne sait point l’anecdo
core été débitée à Paris. Mais l’auteur s’est imaginé peut-être qu’on
lirait
plus volontiers en deux volumes des Lettres qu’on
t plus volontiers en deux volumes des Lettres qu’on n’avait pas voulu
lire
en deux feuilles. Il a eu soin de les faire impri
’on commence à dire que la seconde partie de M. Pascal sera aussi peu
lue
que la suite du Cid et le supplément de Virgilec.
e commencement jusqu’à la fin ». Cela est décisif. Cependant elle fut
lue
de plusieurs personnes qui n’y remarquèrent rien
airement obligés par des personnes âgées, et plus sages qu'eux de les
lire
et de les apprendre. » Confes. l. 3.. Et se repr
s, car il n'en parle point ; il ne s'agit que des Ecclésiastiques qui
lisaient
les Comédies, au lieu de s'appliquer à l'étude de
plus Saints et des plus doctes Evêques de ce Royaume, qui se faisait
lire
ordinairement les Comédies de Terence au chevet d
ms fameux de Valère et de Colombine. Ces histoires intéressantes sont
lues
avec avidité, et c’est la seule partie de ces feu
tions et ses folies. On a fait le même reproche à S. Paul, pour avoir
lu
les comédies de Ménandre, dont il cite des vers,
lit ou qu’il cite, encore moins la représentation de tout ce qu’il a
lu
? Je serais bien à plaindre, si j’approuvais tous
rais bien à plaindre, si j’approuvais tous les livres qu’il m’a fallu
lire
pour en extraire ce que je rapporte dans cet ouvr
itaire de la vérité. Il y a même bien de la différence entre jouer et
lire
des comédies ; les décorations, les danses, le ch
l’aide, faveur et moyen dont ils auraient besoin. Et icelles lettres
lues
, les conclusions du procureur général du Roi, et
de faire jouer… ck. [NDE] Qu’il conviendrait. cl. [NDE] Après avoir
lu
les lettres patentes du roi, les conclusions du p
t de solz prandre a eulx ». Le document est peu lisible, mais il faut
lire
, comme le fait Floris :« et de s’en prendre à eux
it nécessaire de charger sa mémoire ? On oublie, aussitôt qu’on les a
lus
, & les fadaises dont elles sont remplies, &am
lueur de leurs écrits que je ferai marcher les Poètes qui voudront me
lire
. Mes raisonnemens doivent avoir quelque autorité,
uel est le dessein qui me fait prendre la plume : ceux qui daigneront
lire
cet ouvrage, comprendront assez quelles sont mes
sentiments le don de l’engager à m’entendre. Monsieur, Je viens de
lire
votre lettre à M. D’Alembert. Je laisse à d’autre
pas que ces pieds te menaient à la mort. Relisez l’histoire ; vous y
lirez
cent mille traits de passion. Faites-vous ouvrir
que nous pussions faire d’excellents Livres contre elles, après avoir
lu
le vôtre. Je vous avoue, Monsieur, que tout cela
ue, Monsieur, que tout cela devient bien incompréhensible, quand on a
lu
le portrait divin et presque magique que vous fai
mes, à se priver d’un plaisir, pour un plaisir plus grand, quand on a
lu
des maximes si nobles, si pures et si séduisantes
le portrait de la pudeur. Vous êtes dans l’état d’un homme dont j’ai
lu
autrefois l’histoire. Je retrouve vos erreurs dan
empoisonnée, et malheur aux amants jaloux ou chimériques qui auraient
lu
ces libelles horribles ; leur âme tourmentée n’eû
occuper des intérêts de la société, a vu qu’elle gagnerait beaucoup à
lire
vos écrits ingénieux, profonds et sublimes ; à vo
] En prononçant cette conclusion géometrique, une femme devant qui je
lisais
l’autre jour cette Lettre, s’écria : ah ! j’allai
Monsieur, J’ai
lu
ce que vous répondez à l’Auteur des Hérésies Imag
aints Pères qui le remplissent de leurs plus beaux sentiments. « J’ai
lu
vos lettres (dites-vous)c avec assez d’indiffére
Et vous comparez ces plaidoyers aux Romans de Desmarets qu’on ne peut
lire
sans horreur, où les passions sont toutes nues, e
s, que l’Auteur des lettres a rapportées, et que vous témoignez avoir
lues
. Mais en vérité pouvez-vous les avoir lues et par
t que vous témoignez avoir lues. Mais en vérité pouvez-vous les avoir
lues
et parler de Desmarets comme vous faites, le défe
: « Qu’est-ce que vous concluez de là ? Direz-vous qu’il ne faut plus
lire
Virgile, et ne plus aller à la comédie ? » (Op. c
êtres de Dieu eux-mêmes négliger les évangiles et les prophètes, mais
lire
les comédies, fredonner les mots sensuels des ver
. 23 : « Enfin, je vous demanderais volontiers ce qu’il faut que nous
lisions
, si ces sortes d’ouvrages nous sont défendus […]
sortes d’ouvrages nous sont défendus […] Nous ne pouvons pas toujours
lire
vos livres. Et puis, à vous dire la vérité, vos l
os livres. Et puis, à vous dire la vérité, vos livres ne se font plus
lire
comme ils faisaient. Il y a longtemps que vous ne
traiter. En effet, Monsieur, plus j’examine les Saints Pères, plus je
lis
les Théologiens, plus je consulte les Casuistes L
omme contre une des plus pernicieuses inventions du Démon, je ne puis
lire
nos Théologiens, ces grands hommes si distingués
r les combats des Gladiateurs, enfin de n’assister à aucun Spectacle.
Lisez
et relisez l’Ecriture, vous n’y trouverez point d
n de ces Sages à la mode en votre chemin, vous n’avez qu’à leur faire
lire
ce qu’en ont dit les Souverains Pontifes, Urbain
re, solidement établie contre tous ceux qui la voudraient disputere ;
lisez
, je vous en prie, avec attention ce que ce grand
comme les fauteurs de leur péché, ce qui semble être faux ; car nous
lisons
dans la Vie des Pères qu’il fut un jour révélé à
décrit bien au long toutes les infamies qui s’y pratiquaient. On peut
lire
aussi quelque chose de cette abominable coutume d
ue des lumières de la raison pour condamner de si grands excès. Aussi
lisons
-nous dans saint Chrysostome« Barbari quidem ipsi,
nd son Maître lui avait appris cette Doctrine : et les paroles que je
lis
à ce sujet dans saint Antonin Archevêque de Flore
mner (ce sont les propres paroles du Bienheureux Albert le Grand). Ne
lisons
-nous pas dans l’Exode « Sumpsit ergo, etc. »in 4.
de Comédies faisaient une si grande impression sur ceux mêmes qui les
lisaient
, qu’elles causaient toujours en eux quelque désor
conclure que la Comédie ne contient rien qu’on ne puisse réciter, ou
lire
, sans s’exposer à tomber dans aucun péché. Mais p
e de fuir dans les déserts pour les éviter ? On ne peut faire un pas,
lire
un Livre, entrer dans une Eglise, enfin vivre dan
s actions éclatantes dont elles ont été la cause. Sera-ce un crime de
lire
l’Histoire, parce qu’on y peut trouver une occasi
ent que par accident, n’est-ce pas toujours nuire ? On défend bien de
lire
la Bible en langue vulgaire, de peur que toute sa
s choses qui pourraient avoir des suites fâcheuses, on ne devrait pas
lire
l’Ecriture Sainte (pour me servir du même exemple
ervir du même exemple que vous apportez :) on ne devrait pas, dis-je,
lire
l’Ecriture Sainte, en latin même, puisqu’elle est
octrina mea non est mea. » et le sentiment des Saints Pères, que j’ai
lus
et relus, et dont j’ai tiré ce qu’il pouvait y av
enregistrées ensuite, et qui contiendraient, à peu près, ce qu’on va
lire
dans les articles suivants. 1°. Le Théâtre n’est
ne blesse en rien la Religion et la bonne morale ; ensuite elle sera
lue
par un des Poètes du Conseil, qui donnera ses avi
ommuniquées ; et ce n’est que lorsqu’il l’aura réformée, qu’elle sera
lue
au Conseil assemblé, qui décidera si elle doit êt
pectacles d’une autre espèce ; et quand, dans un âge plus avancé, ils
liraient
les Pièces de l’ancien Théâtre, loin de se plaind
t-être qu’il n’y avait jamais été. » J’ai peine à croire que ceux qui
liront
avec attention cet endroit de Tertullien, tirent
veut savoir quelle était la disposition des anciens théâtres, on peut
lire
les notes de Perrault sur Vitruve. Dans Chap. 12.
. vous avez répondu Amen pendant le sacrifice. Il me souvient d’avoir
lu
que les premiers chrétiens répondaient amen à la
Lacerda prétende que dans l’un et dans l’autre de ces pères, il faut
lire
quæstuarii filius, et non pas puæstuariæ, qui sig
re, etc. 329 Fautes à corriger. Page 25. ligne 19. dans ma seconde,
lisez
dans ma troisième. Page 273. ligne seconde, on dr
seconde, lisez dans ma troisième. Page 273. ligne seconde, on drait,
lisez
on dirait.
dissertation sur un si ample sujet. Je dirai seulement, que c’est les
lire
trop négligemment, que d’assurer comme fait l’aut
pénétrer les principes de leur morale, quelle sévère condamnation n’y
lira-t
-on pas de l’esprit qui mène aux spectacles, où po
’adressais à l’auteur même de la réponse. Voici cette réplique : J’ai
lu
votre réponse, Monsieur, (je parle au Laïc,) et n
ec lequel un sujet est traité. Si vous m’eussiez fait l’honneur de me
lire
avec un peu moins de prévention, vous auriez vu q
é de me fournir, par le courrier d’aujourd’hui, un argument de plus :
lisez
l’ordonnance du Roi du 8 décemb. 1824, qui a pour
r au bal), avez-vous oublié l’antiquité de la danse ? N’avez-vous pas
lu
dans Cahusac et Noverre que Socrate dansait aux b
on, la seule que vous ayez rapportée, était bien respectable, et j’ai
lu
dans une histoire abrégée, imprimée chez Leroy, à
IEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut
lire
et quels on doit rejeter des Théâtres De la Poési
e telles fables inutiles : néanmoins les gens de lettres les pourront
lire
particulièrement, pour en tirer et apprendre quel
Et partant que la Comédie soit chassée et bannie du Théâtre :On peut
lire
les Comedies à part et non les exhiber au peuple.
t non les exhiber au peuple. toutefois si les gens savants la veulent
lire
, qu’ils la lisent particulièrement en leurs étude
r au peuple. toutefois si les gens savants la veulent lire, qu’ils la
lisent
particulièrement en leurs études, en pesant plutô
se. Si ne suis-je toutefois d’opinion, que le populaire s’amuse à les
lire
. Car entre les déshonneurs qu’on reprochait aux A
hant les Poètes héroïques, je suis d’opinion, non seulement qu’on les
lise
,Quintil. li. 10. ch. 1. mais aussi qu’on les appr
liu. 2. ch. 13. de la cité de Dieu, et Viues sur le même cha. On peut
lire
les Comedies à part et non les exhiber au peuple.
n de la Table des Matières contenues en ce Volume APPROBATION. J’ai
lu
par ordre de Monseigneur le Garde des Sceaux, un
rend Père Général, L. Batterei. Secrétaire. ERRATA. Page 28. Fusco,
lisez
Tuscoc Page 74. Phenicie, lisez la Phénicie. P
crétaire. ERRATA. Page 28. Fusco, lisez Tuscoc Page 74. Phenicie,
lisez
la Phénicie. Page 118. faisait lisez sautait.
sez Tuscoc Page 74. Phenicie, lisez la Phénicie. Page 118. faisait
lisez
sautait. c. [NDE] En fait, p. 38. Les errata so
rer plus d’avantage de la conduite de plusieurs grands hommes qui ont
lu
des comédies ? les approuvent-ils pour cela ? S.
livre de l’Enéide ; il pleure ses criminelles larmes. S. Jérôme avoit
lu
Térence, Plaute, Ovide, Tibulle, &c. les liso
ince de Conti a été cent fois à la comédie, Bossuet & Fenelon ont
lu
Moliere & Racine ; sont-ils donc des approbat
e ? Un enfant riroit de cette objection. Il cite la Bruyere. L’a-t-il
lu
? il est déclaré contre le spectacle. Sénèque, qu
de bien assortir les mariages. On n’a donc jamais entendu de sermon,
lu
de livre de piété ; on auroit vu l’orgueil, l’ava
chansons pour des vérités ? Pourquoi donc représenter ? il n’y a qu’à
lire
. L’action, le mélange des sexes, les passions viv
s, les chants, les danses, n’est-ce qu’une lecture ? est-il permis de
lire
de mauvais livres, de chanter de mauvaises chanso
renfermées dans cette tragédie, unique dans son genre, sera de dire :
lisez
Britannicus. Et vous, Monsieur, si vous persistie
amatique ne consiste pas à purger les passions, je vous dirai aussi :
lisez
Britannicus. Mais si vous me répondez que pour un
, je me suis senti plus disposé à régler mes passions, qu’après avoir
lu
tous les Moralistes anciens et modernes : j’avoue
ané de lui ressembler ? Interrogez le plus vicieux des courtisans, et
lisez
sa réponse dans sa confusion. Ce n’est point par
mphante par ses propres forces, et supérieure à l’infortune : il faut
lire
la scène même, pour en bien concevoir tout le mér
Marquis Avec bien plus d’honneur qu’aux sentiments de fils. » Qu’on
lise
enfin ceux-ci tirés de la dernière scène du cinqu
n estime ; C’est la même vertu sous une autre maxime. » 4. [NDA]
Lisez
le second discours de Corneille, tome 1. p. 30 et
médie Française de la manière qu’elle se joue à Paris, n’ayant jamais
lu
de Comédies de Molière, et n’en ayant lu que fort
joue à Paris, n’ayant jamais lu de Comédies de Molière, et n’en ayant
lu
que fort peu d’autres et sans application, n’ayan
eurs qu’entendu parler des Rituels sur les Comédiens, sans avoir même
lu
celui de Paris. C’est ce manque d’attention et de
rien qui me semble si doux que d’être retiré en ma petite chambre, y
lire
l’Ecriture sainte, la méditer devant Dieu, en rec
z-leur importun, encore qu’ils aient de l’aversion pour la vérité. Je
lis
en S. Matthieu, qu’un serviteur qui n’avait point
t que possible, de la lecture de ces sortes d’ouvrages, qu’on ne peut
lire
sans danger pour l’innocence, la vertu, les mœurs
n ne peut lire sans danger pour l’innocence, la vertu, les mœurs. Les
lire
avec une délectation charnelle serait un péché mo
e délectation charnelle serait un péché mortel : mais ceux qui ne les
lisent
que par curiosité ou par manière de récréation, n
isqu’ils le font imprimer. Il est clair que leur dessein est qu’on le
lise
. Mais pourquoi le lirait-on s’il ne contient rien
er. Il est clair que leur dessein est qu’on le lise. Mais pourquoi le
lirait
-on s’il ne contient rien qui puisse amuser l’espr
e, ou fait quelque faute signalée en jouant, comme il me semble avoir
lu
que tous les autres y étaient obligés : mais je n
entation. Nous avons un exemple dans l'Andromaque d'Euripide, où nous
lisons
des Vers Elégiaques que je pense avoir été chanté
Il continue ses Réflexions sur saint François de Sales, et veut qu’on
lise
les autres Ouvrages de ce Saint pour se convaincr
avait un si grand soin de sa fille, qu’elle ne lui permettait pas de
lire
des Fables ni des Comédies, regardant comme une c
Ludus scenicus. Mais l’on reproche au Théologien de n’avoir pas bien
lu
une abréviation d’une lettre Gothique ; car au li
Dieu les renvoie à sa Loi pour y apprendre leurs devoirs : Qu’ils la
lisent
tous les jours de leur vie ; qu’ils la méditent n
is, Chez Jean-Baptiste Coignard, à la Bible d’or. 1695. Je n’ai pu
lire
sans surprise dans la Préface de la Tragédie de J
ndre si les Evêques ont droit de les excommunier. Cette Requête a été
lue
et examinée dans la Congrégation du Concile, parc
tié, afin qu’il prit des mesures pour en empêcher l’impression. Il la
lut
sans rien dire, corrigea plusieurs fautes de styl
erie des Templiers jusqu’à la mort du Chevalier de la Barre, on croit
lire
l’Histoire des Sauvages, on frémit un moment, &am
la rapine & la cruauté ? Choissez dans les fables que vous ferez
lire
, celle du Chien, qui, ayant trouvé un trésor, dev
, jusqu’à ce que les enfans, fortifiês contre le scandale, puisse les
lire
sans risque. Je souhaiterois que la fable du Loup
t, selon lui-même, doit produire ce mêlange ! Pour y remédier il faut
lire
, & quoi ? Les Dialogues de Fontenelle. Prése
étudiez-les ensemble avec passion, vous vous enivrerez du plaisir de
lire
de belles choses exprimées d’une maniere fine, dé
s ni pour former des précepteurs. Auroient-ils même la constance d’en
lire
trois pages ? Les Affiches de septembre 1776 don
y trouve son intérêt particulier. Il est certain qu’on ne doit point
lire
avec une entiere confiance les Traités sur la Poë
ion des Spectateurs, & la seconde leur différente condition. Nous
lisons
dans la Poëtique d’Aristote que ceux qui préféroi
Grecs à faire les délices de l’Esprit, elle est plus faire pour être
lue
que pour être représentée : cependant la Poësie D
nt la Poësie Dramatique n’a pas été dans son origine, destinée à être
lue
, mais à être représentée : elle n’eut pas pour ob
eur : les livres qu’on lui donnoit à relier lui donnerent occasion de
lire
; il avoit de l’esprit & de la mémoire, il go
e en convenoit, & il est certain qu’il n’avoit jamais appris qu’à
lire
& à écrire. On lui disputoit ses livres, comm
, dont la religion & les mœurs ont tant à se plaindre. Il l’avoit
lu
dans les sociétés ; c’étoit déja trop, c’étoit mê
daleuse. Il en sentoit parfaitement les excès, il se contentoit de la
lire
, & n’en donnoit point de copie, ni ne voulut
, de tous les Dieux sois le seul que j’implore ; que l’Art d’aimer se
lise
en traits vainqueurs, en traits de feu, tel qu’il
amp; médis. Achetes les faveurs par des dons de toute espece. Fai-lui
lire
les plus mauvais livres, Quinault, Petrarque, Laf
senté son poëme au Cardinal d’Est son Mécene, celui-ci, après l’avoir
lu
, lui dit : Où diable avez-vous pris tant de bali
ion de la plus scrupuleuse décence. Le Cardinal, dit-il, devoit avoir
lu
les ouvrages de Bajardo & de Pellei, aussi pl
tibles des plus légères impressions, feront encore mieux de ne pas le
lire
; je leur conseille d’éviter avec soin tous ce qu
omposer, de traduire, d’imprimer des livres qu’on conseille de ne pas
lire
? L’Arioste a beaucoup travaillé pour le théatre.
prononce, très-peu propres à procurer les prieres des fideles qui les
liront
. Telles sont les fleurs qu’on a jettées sur les c
e lueur de vos raisons ; ou le prévenir dans celles qui pourraient la
lire
dans la suite, et que je leur fasse connaître ce
infamies. Il me semble que je vous entends dire que je n’ai donc pas
lu
les témoignages des anciens que vous avez rapport
ignages des anciens que vous avez rapportés. Pardonnez-moi, je les ai
lus
. Aussi n’ai-je pas avancé que tous les anciens av
tout ce qu’ils ont dit sur ce sujet, et comparez-le avec ce que nous
lisons
dans les Pères, vous comprendrez mieux l’affectat
omiques, que nous avons encore entre nos mains. Je ne les ai que trop
lues
autrefois ; j’y ai trouvé quantité de bons mots q
que des Spectacles infâmes. Pour vous en désabuser, vous n’avez qu’à
lire
le Chapitre 15 suivant, où vous verrez qu’il cond
des anciens. Soyez-en vous-même le Juge, surtout si vous voulez bien
lire
encore le Chapitre 27 dans lequel il exhorte les
ien leur répond d’abord, qu’il vaudrait mieux pour eux n’avoir jamais
lu
l’Ecriture que d’en faire une si méchante applica
ns la 3e Partie titre 8. Chapitre 4. § 12, parle de la Comédie ; mais
lisez
bien ce qu’il en dit19, et vous verrez qu’il parl
favorables, ne vous a pas donné le temps de réfléchir sur ce que vous
lisiez
: car pour vous apercevoir de votre erreur, vous
ien ; on m’a assuré qu’il était fort suspect. Comme je ne l’ai jamais
lu
, et que je ne me mets pas fort en peine de le lir
me je ne l’ai jamais lu, et que je ne me mets pas fort en peine de le
lire
, je veux bien vous en croire sur votre parole ; m
it pas beaucoup : car il n’ignorait pas que son Official, après avoir
lu
les Pièces, ne manquerait pas de prétexte pour en
Poésie en soit si épurée, qu’il n’y ait point du tout de danger à la
lire
. Qu’on l’examine un peu de prés, et qu’on fasse r
de blâmable, le danger me paraît fort grand pour ceux qui n’auront ni
lu
, ni vu représenter ces Pièces ; tous les autres c
e. Peut-être auriez-vous raisonné d’une autre manière, si après avoir
lu
ces Pièces vous les aviez vu représenter ; surtou
g de son frère, et qu’il demande grâce et à Dieu et aux hommes. Qu’on
lise
enfin tant de livres que l’on voudra, s’ils sont
nt de livres que l’on voudra, s’ils sont méchants, il ne faut pas les
lire
sans permission, sans nécessité ni sans précautio
our, a-t-il de plus sûr moyen pour en venir à bout que de la porter à
lire
les Romans et à aller à la Comédie ou à l’Opéra.
oute, et je le crois aussi, que ce Poète le doit être mieux que moi ;
lisez
ce qu’il dit page 6, de la dernière Satyre qu’il
e ce pût être ». Et quelques lignes après, page 4, vous dites « qu’on
lise
et relise l’Ecriture, qu’on n’y trouvera point de
d Saint Docteur disait, qu’il vaudrait mieux pour vous n’avoir jamais
lu
l’Ecriture, que d’en faire un si méchant usage et
damne généralement sans en faire aucune distinction. Vous n’avez qu’à
lire
le commencement de la quatrième Partie des Actes
re d’attirer Saint Charles dans votre sentiment, surtout si vous avez
lu
le Livre 3 des Actes de Milan, où il croit qu’il
er une condamnation plus formelle. Si vous voulez prendre la peine de
lire
un peu plus exactement que vous n’avez fait Salvi
vec ceux des Théologiens. Quoique je ne doute pas que ceux qui auront
lu
mes réflexions avec quelque attention, ne se soie
L’Auteur de la Lettre n’a-t-il pas bonne grâce de nous venir dire : «
Lisez
et relisez l’Ecriture, vous n’y trouverez pas de
és dans la sainte Ecriture, que Dieu nous recommande pour ce sujet de
lire
avec attention, Scrutamini Scripturas. Passag
ant lui-même exercé la profession. Si on veut se donner la peine de
lire
le livre intitulé des Comédiens et du Clergé, on
la propagation du christianisme ; il suffit pour en être persuadé, de
lire
le soixante-deuxième canon de ce concile, où il e
mpression sur les esprits sensés ? Non, Monsieur, ceux d’entr’eux qui
liront
votre brochure vous plaindront de négliger la par
dans la solitude d’un cabinet, que dans la cohue du théâtre. Vous le
lisez
cependant. Que de momens avez-vous à vous reproch
ais qu’est-ce que vous concluez de là ? Direz-vous qu’il ne faut plus
lire
Virgile, & ne plus aller à la comédie ? Mais
a pris ou gardé une concubine, on lui défend de célébrer la messe, de
lire
l’évangile ou l’épître, de demeurer dans le sanct
canons, jouissez-en, mettez-y toute votre force, prenez plaisir à les
lire
, considérez-les comme vos armes, afin que par leu
s’y soumettre, s’ils veulent assurer le triomphe de la religion. Nous
lisons
encore dans l’Histoire du droit canonique, 1 vol.
iennent des articles malins et ironiques que le curé se garde bien de
lire
; sur ces entrefaites, l’eau court, le temps vole
héories stratégiques ; il est fort permis à un général de n’avoir pas
lu
Baronius, et ce n’est certainement pas dans les a
théâtre : je renvoie à l’ouvrage même le lecteur qui sera curieux de
lire
le récit des offices où chaque antienne était ter
se mettaient peut-être que pour plaire au peuple ignorant ; quand je
lis
les Tragédies d’Euripide, ou de Sophocle, et que
qu’on a dit contre les Comédies. Je vous avertis auparavant que j’ai
lu
une partie de ce que les Saints Pères ont écrit d
es, entrent insensiblement dans les sentiments des personnes dont ils
lisent
les aventures, et comme ils n’ont pas assez de fo
quoi consiste la beauté des Tragédies Grecques. Je n’ai jamais pu en
lire
une tout entière, tant j’y ai peu trouvé de goût.
ent de la peine, mais je n’ai pas été si délicat que vous ; je les ai
lues
: quand il vous plaira nous les lirons ensemble,
si délicat que vous ; je les ai lues : quand il vous plaira nous les
lirons
ensemble, et je vous ferai avouer que ma proposit
eligion pourraient produire de fort belles choses. N’avez-vous jamais
lu
d’Histoire de Martyr qui vous ait paru propre pou
quelques exemples ; je ne vous en dirai que deux ou trois. Vous avez
lu
sans doute l’Histoire d’Herménégildeae, celle de
s là-dessus, je le dois tout à la lecture des Anciens. Cependant j’ai
lu
depuis peu une Histoire qui me semble propre pour
diminuer le prix : Ce qui m’a le plus étonné ça a été qu’après avoir
lu
son libelle, intitulé (le Théâtre du Monde) par l
lequel ils furent pour la seconde fois bannis de tout le pays latin ;
Lisez
ce qu’en dit Eusebius, et Prosper Aquitanus, sur
s qu’il croit garrotter nos consciences, s’il était aussi soigneux de
lire
S. Cyprien qu’à médire de ceux qui la voient, il
s, c’est le pousser dans le crime plus avant. S’il prend la peine de
lire
Theodoret, il verra que les fautes, lesquelles so
u’un mépris de sa réputation, et une risée de ceux qui l’ont une fois
lu
. Il n’a trouvé de crédit que parmi les beurrières
ne de détourner les Fidèles de tous ces vains amusements. Il n’a qu’à
lire
le 9e Canon du Concile de Chalons sous Charlemagn
omme contre une des plus pernicieuses inventions du Démon, je ne puis
lire
nos Théologiens, ces grands hommes si distingués
té. » V. Les pères maltraités par l’Auteur, parce qu’il ne les pas
lus
dans leur source. Quand on entend parler des P
idée basse que l’Auteur a des Pères montre bien qu’il ne les a point
lus
dans leur source, et qu’il a été de bonne foi lor
e lieu uniquement destiné aux Sciences Ecclésiastiques, je n’ose vous
lire
des Vers, où les artifices de l’Amour déréglé et
ion tardive ou réchauffée sur cet auteur respectable, dont on ne peut
lire
les principaux ouvrages sans admiration, qu’enhar
es impartiaux de ne prononcer sur mon opinion nouvelle qu’après avoir
lu
attentivement cet essai ; et si je ne suis parven
inspiré, il ne me restera plus qu’à regretter qu’ils ne puissent pas
lire
dans mon cœur. 1. Associés probes, amis sincère
Malheur à ceux qui l’autorisent, qui en inspirent lenvie, qui en font
lire
les livres, qui y conduisent les jeunes gens, leu
qui a beaucoup travaillé pour l’éducation, dont on a long-temps fait
lire
les entretiens dans les Colleges, parce qu’ils so
ture des comédies & des tragédies, qu’on doit même les leur faire
lire
, que le Précepteur doit les lire avec eux, leur e
dies, qu’on doit même les leur faire lire, que le Précepteur doit les
lire
avec eux, leur en faire sentir la beauté, l’utili
eur sur le théatre sous la forme de drames. Est il plus permis de les
lire
dans la copie que dans l’original ? Les pieces du
. A-t-on jamais plus déraisonné ? Il faut cependant, dit-il, ne faire
lire
que les bonnes pieces, où il n’y a rien de danger
omme s’il pouvoit arracher le volume qu’il a donné, & empécher de
lire
les autres pieces avec d’autant plus d’avidité, q
musque negatum. Mais le Précepteur fera lui-même la lecture, il n’en
lira
pas d’autre. Il ne quittera donc plus son éleve l
Lettre à M. Fréron MONSIEUR, J’ai
lu
, je ne sais où, qu’un Seigneur Italien voyageant
’Auteur Périodique de l’exhortation qu’il fait à son correspondant de
lire
mon ouvrage ; mais n’ai-je pas lieu d’avoir quelq
z encore mieux. On peut dire dans le même sens à tous les Chrétiens :
lisez
l’histoire profane pour occuper vos loisirs, lise
us les Chrétiens : lisez l’histoire profane pour occuper vos loisirs,
lisez
des traités de Morale, des Pièces de poésie dicté
tées par le goût, la raison et la vertu, vous ferez bien ; si vous ne
lisez
que les Saintes Ecritures, vous ferez encore mieu
si vous ne lisez que les Saintes Ecritures, vous ferez encore mieux.
Lisez
L’Ode de Rousseau à la Fortune, ou plutôt aux Con
ousseau à la Fortune, ou plutôt aux Conquérants, vous ferez bien ; ne
lisez
que ses Odes sacrées, vous ferez encore mieux. Vo
Mr. de Crébillon se trouva par hasard à l’assemblée. Le jeune Auteur
lut
sa pièce en tremblant, rien n’est plus naturel de
nt de si près qu’un Docteur de l’Eglise s’écriait que toutefois qu’il
lisait
la vie de Socrates, il était prêt à s’écrier : O
ans cette même réponse à M. Voltaire soutient que Boileau n’avoit pas
lu
le Tasse qu’il ne pouvoit entendre : c’est, dit-i
de son Pere, Et quelquefois aussi parle-lui de sa Mere. Quand je
lis
ces Vers dans la traduction Italienne, très-exact
e volta Della tua bocca esca il mio nome ancora, ou quand je les
lis
dans le traducteur Anglois, Make him acquainte
moi Traître † qu’elle ait produit un monstre † tel que toi. Nous
lisons
même les Vers qui sont sans passion, tout autreme
xemple tout contraire. Après avoir passé beaucoup de tems de ma vie à
lire
des Poëtes, tems employé souvent avec ennui, tems
ent voir représenter ni Comédie ni Tragédie, il ne faudra pas même en
lire
aucune : il ne faudra plus lire ni Térence, ni So
ni Tragédie, il ne faudra pas même en lire aucune : il ne faudra plus
lire
ni Térence, ni Sophocle, ni Homère, ni Virgile, n
ais il se déchaîne aussi contre le torrent de la coutume, qui porte à
lire
des choses si chatouilleuses pour les bonnes mœur
PREFACE. Je prie le lecteur, de telle opinion qu’il puisse être, de
lire
le présent ouvrage en son entier, avant de le jug
d’Israël : et même 2. Rois. 6. 14. David a dansé devant l’arche. Nous
lisons
les Psaltérions, les Trompettes, les Tambours, le
mieux à ceux-ci, n’avoir aucune connaissance des lettres, que de les
lire
en cette façon. Car c’est détourner les paroles e
nt contre les bêtes cruelles, comme lions, taureaux, ours, et autres,
lis
une fort belle histoire d’un lion et d’un servite
nt contre les bêtes cruelles, comme lions, taureaux, ours, et autres,
lis
une fort belle histoire d’un lion et d’un servite
en jouant la Comédie. Del Monaco assure que tous les Auteurs qu’il a
lus
sur ce sujet sont du sentiment qu’il y a péché mo
qu’il n’y a pas plus de mal à voir représenter des Comédies qu’à les
lire
. 1°. Il est dangereux de les lire, et l’on doit s
r représenter des Comédies qu’à les lire. 1°. Il est dangereux de les
lire
, et l’on doit s’en abstenir. 2°. Il y a bien de l
r qu’il y a des gens qui condamnent la Comédie. 2°. Il suffit d’avoir
lu
l’Evangile, pour être convaincu que la Comédie ne
Préface. Ne préjugez point du titre de cet ouvrage ;
lisez
-le d’un bout à l’autre, et ouvrez votre âme à la
APPROBATION. J’ai
lu
par ordre de Monseigneur le Chancelier un Manuscr
Approbation. J’ ai
lu
, par ordre de Monseigneur le Vice-Chancelier, un
APPROBATION. J’ai
lu
par l’ordre de Monseigneur le Chancelier, La Crit
Les personnes qui n’auraient pas le temps de s’exposer à l’ennui de
lire
en son entier, le présent ouvrage, sont prévenues
e en rendent l’impression très-utile ; on desire ardemment qu’il soit
lu
avec pause, & l’esprit dépouillé de toute pré
e Nature est-elle admirable ? Est-elle utile à représenter ? Quand je
lis
dans Homere les fureurs d’Achile, comme je lis tr
représenter ? Quand je lis dans Homere les fureurs d’Achile, comme je
lis
tranquillement, j’ai le tems de réflechir, &
quel a été le sort de ma Lettre. Depuis, dites-vous, que vous l’avez
lue
, vous vous sentez non seulement assez éclairée, p
trois mois. Voici la monnoie, dont je l’ai payée. 1° Avez-vous jamais
lu
ces piéces anciennes, dont vous parlez ? lui dis-
en avez-vous jamais vu même le titre ? Si vous ne les avez jamais ni
lues
, ni vues, comment pouvez-vous assûrer qu’elles n’
Peres de l’Eglise certifient ce fait ? Mais êtes-vous en état de les
lire
, & de les entendre mieux, que le grand Bossue
Prélat renvoie aux Sts. Peres & aux Docteurs de l’Eglise. « C’est
lire
trop négligemment les Peres , dit-il, pag. 48 &am
le mal, & lui servent d’introducteur. 3°. Répondrez-vous, qu’on a
lu
les Peres pour vous ? mais en a-t-on trouvé un se
i en fis une autre. Celui dont vous êtes l’écho, lui dis-je, avoit-il
lu
lui-même ces piéces anciennes, & en savoit-il
filles, ou pour femmes ? » Ces savans, comme vous voyez, Madame, ont
lu
les piéces des siécles passés, & celles des s
s feuilles hebdomadaires des mêmes années, & dans lesquelles nous
lisons
expressément, que les spectacles sont contraires
uvrons l’Encyclopédie, non pour en étudier les erreurs ; mais pour en
lire
les paradoxes. La politesse gase les vices, est-
e le portrait de ces piéces, par respect pour l’innocence de ceux qui
liront
ceci. Mr. Collier continue… Quel est l’homme rais
atres, ils nous en donnent eux-mêmes la garantie. Ne m’en croyez pas,
lisez
vous-même l’Encyclopédie tom. 3. pag. 668. En par
eusement observée, aux dépens-mêmes de la pudeur. Ce n’est pas tout :
lisez
encore ce qu’ils disent des nôtres : le Comique
pédistes, ne doit pas etre ici oublié. Dans son éloge de Mr. Bossuet,
lu
dans les séances publiques de l’Académie François
nepties les plus risibles ? Permettez-moi d’ajouter, Madame, que j’ai
lu
l’excellent livre de Mr. de Fénélon, sur l’éducat
vous destinés. Il est presqu’inutile de rien sçavoir & de rien
lire
. Ici mon jeune Poète recule de surprise, il r
uffit de savoir ce qu’on a écrit de mieux sur les règles Dramatiques.
Lisez
attentivement les Auteurs qui ont parlé avec succ
Ariette. Ce Chapitre, & une partie des deux Livres qu’on vient de
lire
ne sont qu’un abrégé des principes nécessaires ;
scrit. Je vous supplie, mon révérend Père, de prendre la peine de les
lire
, & de marquer les fautes que je puis avoir fa
bizarre d’un Passage si clair, montre avec quelle précaution on doit
lire
un Ouvrage où les Anciens sont si souvent cités &
tii, mercatoresque superarunt. Nous serions également contens si nous
lisions
multi superarunt mercatores, & Quintilien com
ter les grandes Passions : & pouvons-nous seulement, lorsque nous
lisons
cet excellent Critique, entendre tout ce qu’il di
sût prononcer, nisi auditorem pronuntiator informet. Je les ai voulu
lire
, & j’ai été puni de n’avoir cherché dans Sain
des leçons d’un Maître à former la voix, apellé Phonascus, & nous
lisons
dans Ciceron qu’avant que de monter sur le Théâtr
cite des Anciens, ceux qui sans remonter aux sources se contentent de
lire
son Ouvrage, peuvent être souvent trompés. Je n’e
té de son avertissement. Je prévois que vous m’allez dire ce que j’ai
lu
dans votre critique, que ses termes sont trop har
chrétien. Il vous laisserait sans doute en repos, si ce n’est qu’il a
lu
qu’il fallait publier les défauts des gens pour l
us devoir la même charité ; mais si par hasard il arrive que ceux qui
liront
ce qu’il a fait contre vous connaissent qu’il s’e
sont abusés. J'ai demandé compte à ma mémoire de tout ce que j'avais
lu
; j'ai rappelé toutes mes vieilles idées, et j'ai
auté régnait comme l'impudence aux Jeux Scéniques, et sans que l'on y
lise
un seul mot concernant les Poèmes Dramatiques. Qu
iques avaient été notés d'infamie par les Lois Romaines, puisque nous
lisons
le contraire dans les textes formels de ces mêmes
age à vous faire part de mes deux Lettres sur la Comédie. Daignez les
lire
avec le mème esprit qui les a dictées, & mes
F. — (5.° Exemplis.) Ces premiers chrétiens avaient
lu
en l’Ecriture, que la dévote Sara, femme du jeune
t humain aime les sécousses, & les grands mouvemens. S’il falloit
lire
une mauvaise piéce, ou un livre plein d’un bout à
i de Perse : Veux-tu faire mieux que tu ne peux ! On profite plus à
lire
ou à entendre une bonne piéce, qu’à étudier le me
: — Ma sœur, croyez-vous que je la rende heureuse ? l’est-elle ? vous
lisez
dans son cœur ?… Ma sœur, écoutez-moi —. On press
e peuple ? Si ce malheur arrivait, l’exécution du Plan qu’on vient de
lire
, serait le seul remède efficace.
le D’Alzan . J’ai malicieusement cacheté ce Billet sans le lui faire
lire
: mais en le recevant, je m’apperçois que monsieu
n larmes, la bouche collée sur une de mes mains. Mademoiselle *** lui
lisait
votre dernière Lettre. — O ciel ! a-t-il dit enfi
Cette Pomme d’or, mes Pères, est propre à faire souvenir ceux qui ont
lu
les Poètes, de l’Histoire ou de la fable de ces t
olence pour l’accepter. C’est ainsi qu’en ont usé les Saints Evêques.
Lisez
, mes Pères, au lieu de vos Fables des Païens, l’H
e trouvera plus cette âpreté qu’on me reprochait, mais qui me faisait
lire
; je consens d’être moins lu, pourvu que je vive
’on me reprochait, mais qui me faisait lire ; je consens d’être moins
lu
, pourvu que je vive en paix. A ces raisons il s’e
quefois des gens d’esprit dans la troupe. Un Auteur fait fort bien de
lire
sa piéce à quelque Lecteur habile qui peut lui do
ut à peine respirer, parce que l’une dans l’autre, il y a une piéce à
lire
chaque mois. La multitude des visites qu’il faut
mérite de la piéce, elle la tout entier par elle-même, soit qu’on la
lise
ou qu’on la voie jouer. Une tragédie de Racine va
e plusieurs n’y peuvent assister sans pêché mortel. Que tout Chrêtien
lise
donc cette Dissertation Epistolaire : rien n’y es
gligeait l'étude, ce qui en est la suite ordinaire, lui recommanda de
lire
chaque jour avec attention le problème d'Aristote
èbre le Franc de Pompignan rapporte que ce jeune Prince ayant entendu
lire
la tragédie d'Athalie, l'avait fort goûtée, l'ava
osa oblectamenta et insaniam cecidisse. » On peut laisser la jeunesse
lire
toute sorte de livres, fréquenter toute sorte de
ucere debent, in turpibus verecundia, in honestis studium. Comœdiarum
lues
ad primum adolescentes impellit et a secundo abdu
e fut qu'un Jurisconsulte très médiocre, et mourut fort pauvre. Qu'on
lise
la vie des Comédiens dans l'ouvrage de M.M. Parfa
gens, à composer des farces à leur façon, à les jouer entre eux. Que
lisent
-ils ? Molière, Racine, Quinault. De quoi s'entret
r, de ce que vous m’ordonnez. Il est cependant vrai, Madame, que j’ai
lu
autrefois la plupart des livres, qui donnent des
pièces doivent avoir. Je crois, Madame, que vous ne feriez pas mal de
lire
quelqu’un de ces Auteurs, puisque vous voulez, di
ie. Si vous le voulez, Madame, je vous indiquerai les livres que j’ai
lus
sur cette matière, afin que s’il vous en tombe qu
né de leur temps à leur poésie, elle nous fait pitié maintenant. J’ai
lu
les sept livres, dans lesquels Jules-César de Les
formera mieux le goût, que tous les autres livres ne sauraient faire.
Lisez
surtout l’Art poétique de l’illustre M. Despreaux
erne les éblouit et les importune. Voilà, Madame, les livres que j’ai
lus
autrefois sur la matière que vous me proposez : M
rt ; mais pour en être mieux instruite, je vous conseille, Madame, de
lire
le Discours que le célèbre M. de Corneille a fait
volonté du prince et aux lois de l’Etat. Les principes qu’on vient de
lire
, qui découlent de la Charte, sont anathématisés s
lus étonnant qu’un curé fanatique, des environs de Blois, après avoir
lu
dernièrement le mandement de son évêque, à l’occa
il me sera possible ; il n’appartient qu’à vous d’être long et d’être
lu
, et je ne dois pas me flatter d’être aussi heureu
me en tâchant de la mériter. On n’écrit donc, Monsieur, que pour être
lu
, et on ne veut être lu que pour être estimé ; j’a
iter. On n’écrit donc, Monsieur, que pour être lu, et on ne veut être
lu
que pour être estimé ; j’ajoute, pour être estimé
i décrire, ni sentir l’amour même » v, il faut que vous n’ayez jamais
lu
les Lettres d’Héloïsew, ou que vous ne les ayez l
vous n’ayez jamais lu les Lettres d’Héloïsew, ou que vous ne les ayez
lues
que dans quelque Poète qui les aura gâtées. J’avo
partisans, que votre éloquence à leur en enlever. Le plaisir de vous
lire
ne nuira point à celui de vous entendre ; et vous
renvoyer et à vous en faire juge ; vous avouez que vous ne l’avez pas
lue
, c’était peut-être le moyen le plus sûr d’en être
matières d’entendre finesse et de n’entendre point raison, et qui ont
lu
cette Profession de Foi de Genève, en aient été a
ce sujet, jusques à ce que ce dernier Traité m’en a averti. Ceux qui
liront
ce qu’il y a couché, et le conféreront avec mon é
s ce n’est pas la première fois, que ceux qui traitent même sujet, et
lisent
mêmes Auteurs, coïncident en leurs observations.
u qu’il y en avait entre elles qui étaient honnêtes : De vrai si nous
lisons
les Tragédies de Sénèque entre les Latins, et cel
t en main, stipula de lui, que par chacun jour il ne manquerait de le
lire
. Lui aussi jugeait défavorablement des Théâtres,
défense pour les Comédies1 Tim. 6.9. dc , disant que saint Paul les a
lues
, et celles de Ménandre entre les autres, de sorte
rs, s’ils croient que saint Paul ait approuvé tous les Ecrits qu’il a
lus
, et dont il a tiré des convictions contre les Paï
oir rasé la tête, et rogné les onglesDeut. 21.12. dd , ainsi ceux qui
lisent
les Auteurs Païens, peuvent en extraire les belle
pour bien vivre. Mais au reste, c’est bien mal raisonné, saint Paul a
lu
Ménandre à son privé, pour de ce fientde, tirer q
es qui sont tout autant de honteux maquerellages : Donc, comme il l’a
lu
en privé, il n’aurait point fait de difficulté d’
s. Or il les faut pourtant admettre, pour inférer de ce que S. Paul a
lu
et cité Ménandre, qu’il a prêté faveur aux Théâtr
le Juge, qui à cause qu’il les voit en est le Juge ».dj Saint Paul a
lu
Ménandre, mais c’a été pour lui faire son procès,
i est de les jouer, permet qu’on les retienne, pour ce qui est de les
lire
, à cause de leur érudition. Ainsi il n’eût pas do
e Théâtre celles de ce Poète, poli et savant, à cause qu’il les avait
lues
. V. D’autres se présentent, qui veulent appuyer
écuse toute idée de représentation mais admet que les gens de lettres
lisent
les pièces (f. 123v de la trad. Trigeou, 1589).
ma surprise a cessé, lorsqu’elles m’ont avoué qu’elles achevaient de
lire
la Nouvelle-Héloïse, & qu’elles connaissaient
les y trouve. Des Arcis. Si j’ai bien entendu ce qu’on vient de
lire
, madame Des Tianges n’a pas écrit pour défendre l
, par l’examen des Pièces ? Des Arcis. Ma sœur, comme vous, j’ai
lu
la Réformation de Riccoboni : il faut vous faire
te sorte de plaisir, sans exposer leur innocence. Auparavant, j’avais
lu
plusieurs Ouvrages pour & contre : mais je me
r jugement. Ce fut alors que me parvint l’Ouvrage de Riccoboni. Je le
lus
avec réflexion, & le goûtai peu. Cet Auteur v
dire, que le Tableau en est dangereux dans cette Pièce : après avoir
lu
cet endroit de la Réformation je voulus, avant de
x qui pourraient nous associer à leurs peines ». Mon ami, vous l’avez
lue
comme moi ; rappelez-vous le reste ; & souven
oi ; rappelez-vous le reste ; & souvenez-vous de ce jour, où nous
lisions
ensemble la première Partie de la Nouvelle-Heloïs
he pas-à-pas. Honorine. J’ai remarqué les endroits ; je vais les
lire
: nous verrons ce que vous y opposerez. Monsieur
française est la plus parfaite qui ait encore existé. (Je continue de
lire
). On me dira, que dans les Pièces, le vice est to
oublier le physique : ce dernier a son importance : voici ce que j’ai
lu
quelque part : « Dans les lieux où il y a beaucou
quelque chose de plus grave : Honorine a paru révoltée, lorsque j’ai
lu
l’endroit de mon Règlement, où je propose de fair
incre, par une histoire abrégée du Théâtre, que je me propose de vous
lire
demain. En attendant, je pourrais vous citer tout
intéressée à vous voir aussi bien avec l’amour. Des Arcis. J’ai
lu
ce matin quelque chose sur cette passion, dont je
es écouter, & leur donne de l’argent. Les Calenders vont par-tout
lire
des Rimes qu’ils ont composées. Les Dervisen mang
ue la contradiction est frappante, & que le Projet que nous avons
lu
, est le seul moyen qui nous reste pour concilier
& le ton de l’Acteur à la mode*. Je conclus de ce que je viens de
lire
, que les Spectacles sont bons ; mais que les effe
base est la misanthropie, unie à l’absurdité. Il me reste à vous
lire
un essai de Plan, que j’ai tracé, tout opposé à c
e la Comédie a précédé la Tragédie. [Paris, Cailleau, 1768]. 3. J’ai
lu
quelque part, qu’il y eut des Tragédies satyrique
ont jugé qu’il serait bon d’opposer à une dissertation qui se faisait
lire
par sa brièveté, des réflexions courtes, mais ple
-je mieux remplir mes vues qu’en vous proposant pour éxemple ? Qu’ils
lisent
vos Ouvrages, ils y verront la manière dont on su
n’est pas que j’ignore que mon Lecteur, s’il a retenu tout ce qu’il a
lu
jusqu’à présent, ne soit en droit de me regarder
emier essai. Racine connaissait trop bien l’antiquité ; il avait trop
lu
Sophocle et Euripide, pour tirer vanité (comme a
on ne pouvait, sans frémir, en voir la représentation : après l’avoir
lue
, sans condamner tout à fait ceux qui m’en avaient
ne pourrait réussir de nos jours. Si pourtant on se donne la peine de
lire
avec attention la mort de César, de M. de Voltair
les Principes d’Aristote, nous met-elle en état de disputer aux Grecs
lu
supériorité dans la Tragédie ? CHAP. XII. De la
tant bien aise de le recevoir de vous quelques jours auparavant. J’ai
lu
aussi la lettre du Père Caffaro. Je ne regarde po
s méchamment et scandaleusement, d’être commises les jours des fêtes,
lise
les lieux ci après notés, savoir est : Chrysostom
es, inventos, et propositos esse propter idolarum cultumu. Nous ne
lisons
quasi aucun des Anciens, qui ait parlé de cette m
page 46]. dans les déserts. On ne peut, continue-t-il, faire un pas,
lire
un livre, entrer dans une Eglise, enfin vivre dan
ure des Romans, on les y comprendra souvent, et l'on prie ceux qui le
liront
de les y comprendre quand on ne le fera pas expre
Et en effet, Monsieur, elles sont toutes si frivoles, qu’après avoir
lu
cette Lettre avec beaucoup d’attention, j’ai dout
ernier ont fulminé contre la Comédie, et que de l’autre il ne saurait
lire
les Scolastiques modernes qui font grâce à la Com
ment de n’aller point au Cirque et au Théâtre. En effet, ajoute-t-il,
lisez
et relisez l’Ecriture, vous n’y trouverez point d
confirme lui-même d’un ton magistral, en prononçant ce bel arrêt : «
Lisez
et relisez l’Ecriture, vous n’y trouverez point d
il ne laisse pas cependant de nous présenter toujours le carteld : «
Lisez
, dit-il, et relisez l’Ecriture, vous n’y trouvere
mauvaises qu’il allègue en faveur de la doctrine de saint Thomas : «
Lisez
, je vous prie, avec attention, dit-il à son Ami,
, qu’il vaudrait bien mieux que ces gens-là n’eussent jamais appris à
lire
que de faire un tel usage de leur lecture : « Hoc
il prétend que les uns ne sont pas plus infâmes que les autres. Qu’il
lise
les Lois, et il verra qu’elles font tomber l’infa
conseille en tout cas de s’en tenir à sa bonne fortune, et de ne pas
lire
davantage de ces sortes de Pièces, qui ne sont pa
se, de peur d’y exciter la passion d’un libertin : il ne faudrait pas
lire
les Histoires, parce qu’elles se servent de parol
ctions éclatantes dont elles ont été la cause. On ne devrait pas même
lire
l’Ecriture sainte, puisqu’elle est la cause innoc
eur d’y exciter la passion de quelque libertin ; qu’on ne devrait pas
lire
les Histoires, parce qu’elles rapportent des fait
nts dont les passions ont été la cause ; et qu’on ne devrait pas même
lire
l’Ecriture sainte, parce qu’elle peut être l’occa
n s’accuse dans ses Confessions (ce Livre immortel qu’on ne peut trop
lire
, ni trop méditer) d’avoir répandu des pleurs sur
sur des aventures Romanesques vraiment dignes de mépris et de pitié.
Lisez
l’Histoire de l’Eglise, et vous verrez à quelles
téressent l’âme qui remuent le cœur et qui arrachent des pleurs, ah !
lisez
l’histoire de Joseph, celle de Moïse, celle des M
les mettre en vers, et qui ont cru les embellir, les ont défigurées ;
lisez
les souffrances de Jésus-Christ, les circonstance
e votre cœur n’a de sentiment que pour les crimes et pour les fables.
Lisez
les Actes des Martyrs, et c’est là que vous verre
roit la même action que les mêmes personnes se seroient contentées de
lire
. La représentation étant essentielle à la Comédie
er. Voici comme il parle : « Plus j’examine les Saints Pères, plus je
lis
les Théologiens, plus je consulte les Casuistes,
été aussi défendus. Examinons la faiblesse de toutes ces raisons. I.
Lisez
et relisez, dit-il, Pag. 4.l’Écriture, vous n’y t
rist ; on peut dire que toute la vie d’un homme ne suffirait pas pour
lire
l’Écriture, si elle était entrée dans le détail d
ou des impuretés, quoiqu’il soit libre à tout le monde de ne le point
lire
. C’est un scandale actif de mettre dans un Jardin
ue la beauté extérieure des Idoles, et cela suffisait, selon que nous
lisons
dans la Sagesse,Sap. 14. 18. que l’excellence de
it que la joie. Ce qui a trompé l’Auteur de la Lettre ; c’est qu’il a
lu
que sur quelques Théâtres il y avait un Autel dre
on représente des ordures. Mais une infinité d’autres passages qui se
lisent
dans les Pères, renversent sa prétention : Qu’ils
ce Prince religieux prit, de bannir de son Royaume tous les Baladins.
Lisez
encore les Registres du Parlement de l’année 1541
un sens vague, qu’il faut juger de la pensée d’un Auteur ; il faut le
lire
en plusieurs endroits pour en juger sainement. Or
ies folles et pernicieuses que s’accordent les gens du monde : A-t-il
lu
ce Pere, pour citer son exemple si mal-à-propos ?
e du roman de Dom Quichotte. Il n’est point de roman plus connu, plus
lu
, plus estimé ; &, si de pareils ouvrages pouv
n’est pas moins faux : on le donne pour un homme sensé qui n’a jamais
lu
de livres de chevalerie, & ne peut par conséq
rset 84]. , des mensonges et des inventions de leur esprit : ou comme
lisent
les Septanteas, « Ils me racontent, ils me propos
nvoie les Rois à sa loi, pour y apprendre leurs devoirs : « Qu'ils la
lisent
tous les jours de leur vie »Deut. XVII. 19. [Deut
ur et révérence ; non profanée par gesticulations et singeries. Aussi
lisons
-nous, que quelques Poètes anciens, pour avoir mêl
t avec tant d’inconvénients ? Si on réplique, qu’il est permis de les
lire
, et savoir, et que S. Paul même montre, qu’il a l
st permis de les lire, et savoir, et que S. Paul même montre, qu’il a
lu
les Poètes, alléguant de leurs vers, et entre aut
n de discourir comment, et pourquoi les Chrétiens peuvent, ou doivent
lire
les fables des Poètes, et autres écrits Païens ;
au moins ce bien, d’ouïr un peu la nuit ce grand personnage-là. Nous
lisons
un autre exemple, que décrit S. Ambroiselib. 2 de
e, qu’il aimait, lui envoie ce passage d’Aristote, et l’exhorte de le
lire
tous les jours. Cicéron les mépriseLi. 7 ep. I it
qu ’une détestation générale de ces choses. Je prie le lecteur de la
lire
sur le lieuew, et désirerais bien, que quelques-u
ntis letalis praevaricatio. », ibid. p. 204. ew. [NDE] comprendre :
lire
cette détestation dans le passage de Salvien que
ût de la Nation serait justifié. On doit conclure encore, après avoir
lu
cet Ouvrage avec attention, qu’il peut être utile
… la plus légère de l’indifférence !… Je pénétrerai dans son âme, j’y
lirai
; … mais il ne s’en doutera pas. Heureuse Adélaïd
Douzième Lettre. De madame d’Alzan. Lundi 16. J’achève de
lire
votre Projet. Mais oui, ma sœur, vous avez raison
ous donnent lieu d’espérer qu’il sera reçu favorablement du Public et
lu
sans scrupule par les personnes des états les plu
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