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1 (2019) Haine du théâtre: Bibliographie France (traités, pamphlets, documents, etc.)
1787, (3 ff.) 389 p. (4 ff.). Voir Drouas de Broussey . Anonyme, Lettre à Madame… sur les spectacles, 16.. • Anonyme (
nonyme, Lettre à Madame… sur les spectacles, 16.. • Anonyme (Ms) : Lettre à Madame… sur les spectacles, ms aux armes du duc
º, 172 p. du xviie  s. (bibliothèque de M. de Soleinne). Anonyme, Lettre à Mlle Cl.**** [=Clairon], 1761 • Anonyme : Le
). Anonyme, Lettre à Mlle Cl.**** [=Clairon], 1761 • Anonyme : Lettre à Mlle Cl.**** [=Clairon], actrice de la Comédie
Ballard, 1761, in-12, 32 p. PDF : Gallica. Corpus OBVIL. Anonyme, Lettre à M. l’abbé Desmares, 1824 • Anonyme : Lettre
OBVIL. Anonyme, Lettre à M. l’abbé Desmares, 1824 • Anonyme : Lettre à M. l’abbé Desmares, prédicateur-missionnaire, s
M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacl
sbourg, G. L. Schuler, 1824, in-8º, 16 p. PDF : Google. Anonyme, Lettre de M. le Chevalier de ***, 1759 • Anonyme : Le
. Anonyme, Lettre de M. le Chevalier de ***, 1759 • Anonyme : Lettre de M. le Chevalier de *** à M. de C[ampigneulles]
che, & de la Société Royale-Militaire de Besançon, au sujet de la lettre de M. Desp. de B* avocat en Parlement, sur les sp
ttin et Butard, 1759, in-8º, (2 ff.) 109 p. PDF : Google.   N.-B. [= Lettre II des Lettres sur les spectacles de Charles Desp
, 1759, in-8º, (2 ff.) 109 p. PDF : Google.   N.-B. [= Lettre II des Lettres sur les spectacles de Charles Desprez de Boissy ;
. de le Chevalier de ***, à la réponse de Campigneulles (1758) à sa Lettre sur les spectacles]. Voir Desprez de Boissy .
a Lettre sur les spectacles]. Voir Desprez de Boissy . Anonyme, Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis, 1671 • A
yme, Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis, 1671 • Anonyme : Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis où il lui ex
Paris, Louis Billaine, 1671. PDF : Google. Corpus OBVIL. Anonyme, Lettre d’un professeur en théologie d’une université pro
fesseur en théologie d’une université protestante, 1759 Anonyme : Lettre d’un professeur en théologie d’une université pro
F : Gallica. Corpus OBVIL.   N.-B. Publié en réponse à d’Alembert , Lettre de M. d’Alembert à M. J. J. Rousseau sur l’articl
ert à M. J. J. Rousseau sur l’article « Genève », 1759. Anonyme, Lettre II [et III] sur cette question, 1701 • Anonyme
Anonyme, Lettre II [et III] sur cette question, 1701 • Anonyme : Lettre II [et III] sur cette question : S’il est permis
chelieu, Estampes : RESERVE KH-159-4 (cf. Notice).   Autre édition • Lettre II sur cette question : S’il est permis de jouer,
43 p. Ex. Arsenal : 4-T-1835 ; 8-BL-37944 (cf. Notice). Anonyme, Lettre écrite par un Séculier à son amy, 1710 • Anony
Anonyme, Lettre écrite par un Séculier à son amy, 1710 • Anonyme : Lettre écrite par un Séculier à son amy, sur les desordr
1711, in-12, 8 p. Ex. Arsenal : 8-S-18542 (cf. Notice). Anonyme, Lettre sur la comédie de l’Imposteur, 1667 • Anonyme
1638-1710) ou à Claude-Emmanuel Lhuillier dit Chapelle (1626-1686)] : Lettre sur la comédie de l’Imposteur, s. l., 1667, in-12
7, in-12, (4 ff.) 124 p. PDF : Gallica. Corpus OBVIL.   Rééditions • Lettre et réflexions sur la comédie de « l’Imposteur »,
s. l. n. d., in-12, 94 p. Ex. BnF Tolbiac : 16-YF-312 (cf. Notice). • Lettre sur la comédie de l’Imposteur, s. l., 1668, in-12
47-1180. • in Molière, éd. Forestier-Bourqui, t. II, p. 1170-1199. • Lettre sur la comédie de l’Imposteur, éd. par Robert Mc
Series », 1994. • Transcription sur le site Molière 21. Anonyme, Lettre sur les observations, 1665 • Anonyme : Lettre
re 21. Anonyme, Lettre sur les observations, 1665 • Anonyme : Lettre sur les observations d’une comédie du Sieur Moliè
M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacl
plique, par le même auteur anonyme, à une réponse d’un laïc anonyme : Lettre à M. l’abbé Desmares, prédicateur-missionnaire, s
holique, Strasbourg, G. L. Schuler, 1824, in-8º, 15 p. Voir Anonyme, Lettre à M. l’abbé Desmares . Anonyme, Nouveaux ess
Voir la réponse catholique : de Gaule . Anonyme, Réponse à la lettre adressée à l’auteur des Hérésies imaginaires, 166
à l’auteur des Hérésies imaginaires, 1666 • Anonyme : Réponse à la lettre adressée à l’auteur des Hérésies imaginaires, s. 
Observations sur une comédie de Molière, 1665. Voir aussi Anonyme , Lettre sur les observations, 1665. Anonyme, Sermons
Le Blanc, 1687, in-12, 70 p. PDF : Google. Corpus OBVIL. A.D.L.B., Lettre apologétique, 1640 • A.D.L.B. (le Sieur) : Let
IL. A.D.L.B., Lettre apologétique, 1640 • A.D.L.B. (le Sieur) : Lettre apologétique ou défence contre le libelle du Pere
’imitation par rapport à la tragédie » de Valincour. d’Alembert, Lettre de M. d’Alembert à M. J. J. Rousseau sur l’articl
’article « Genève », 1759 Alembert, Jean Le Rond d’ (1717-1783) : Lettre de M. d’Alembert à M. J. J. Rousseau, sur l’artic
avec pour titre courant : « Déclaration des pasteurs de Geneve » et «  Lettre a M. Rousseau », signée d’Alembert.) Autre éditi
s ministres genevois, avec des notes d’un théologien, et réponse à la lettre de M. Rousseau, citoyen de Genève, Amsterdam, Zac
Chatelain et fils, 1759, in-8º, IV-156 p. PDF : Google. Réédition • Lettre de Monsieur d’Alembert à Mr. J. J. Rousseau, cito
oyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. A suscité en réponse Anonyme , Lettre d’un professeur en théologie d’une université pro
Champion, coll. « Sources classiques », 1995. N.-B. Expansion d’une lettre à Chapelain du 21 mars 1639. Barbier d’Aucou
ain du 21 mars 1639. Barbier d’Aucour (attribué à), Réponse à la lettre adressée à l’auteur des Hérésies imaginaires, 166
66 Barbier d’Aucour, Jean (1641-1694) [attribué à] : Réponse à la lettre adressée à l’auteur des Hérésies imaginaires, s. 
Paris, Dabo et Tremblay, 1819, t. IV. PDF : Gallica. • « Réponse à la lettre adressée à l’auteur des Hérésies imaginaires », p
c de Luynes. Daté à la fin : « Ce avril 1666 ». Publié en réponse à «  Lettre à l’auteur des Heresies imaginaires, et des deux
sionnaires », de Jean Racine. — En réponse, Racine a rédigé une autre lettre , qui a été imprimée pour la première fois in Œuvr
e Gosse, Pierre de Hondt, 1722, p. 193-204, sous le titre : « Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Heresies im
derne • in Urbain et Levesque , p. 285-289. N.-B. Voir Caffaro , Lettre d’un théologien, 1694. Barran, « Epistre au
Sabine Lardon, sur le site IdT — Les idées du théâtre. Bastide, Lettre à M. Rousseau, 1758 • Bastide, Jean-François d
ttre à M. Rousseau, 1758 • Bastide, Jean-François de (1724-1798) : Lettre à M. Rousseau au sujet de sa lettre à M. d’Alembe
e, Jean-François de (1724-1798) : Lettre à M. Rousseau au sujet de sa lettre à M. d’Alembert, par M. de B., Amsterdam [= Paris
e. → Texte : « Sur les spectacles », col. 1092-1101. Bellegarde, Lettres curieuses, 1702 • Bellegarde, Jean-Baptiste Mo
s, 1702 • Bellegarde, Jean-Baptiste Morvan (1648-1734 ; abbé de) : Lettres curieuses de littérature et de morale, Paris, Jea
702, in-12, (10 ff.) 456 p. PDF : Gallica. Corpus OBVIL. → Texte : «  Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde à une Dame de la Cour
8º, v, viii-167 p. PDF : Google. Corpus OBVIL. Boileau-Despréaux, Lettre de Monsieur Despreaux sur la Comédie, 1707 • B
ux sur la Comédie, 1707 • Boileau-Despreaux, Nicolas (1636-1711) : Lettre de Monsieur Despreaux sur la Comédie [à Jacques d
Richelieu, Arts du spectacle : 8-RT-629 (cf. Notice). Bordelon, Lettre de M. Bordelon, 1699 • Bordelon, (Laurent, 165
tre de M. Bordelon, 1699 • Bordelon, (Laurent, 1653-1730 ; abbé) : Lettre de M. Bordelon, Paris, 1699 (citée par Desprez d
de tous les siècles, Paris, Urbain Coustelier, 1699, t. II, dernière lettre . Cf. Journal des savans, 25 janvier 1700, p. 70.
, car publié par son éditeur.] N.-B. Publié en réponse à Caffaro , Lettre d’un théologien, 1694. Voir Anonyme , Epitre à M
1694. Voir Anonyme , Epitre à Mgr J. Ben. Bossuet, 1694 ; Caffaro , Lettre françoise et latine à Monseigneur l’Archevêque de
de Harlay, archevesque de Paris, duc et pair de France. Touchant une Lettre ou Dissertation en faveur de la Comédie » [1694],
ttre ou Dissertation en faveur de la Comédie » [1694], p. 394-406, in Lettres nouvelles de Monsieur Boursault. Accompagnées de
mots et d’autres particularitez aussi agréables qu’utiles, avec sept lettres amoureuses d’une dame à un cavalier, Paris, Veuve
derne • in Urbain et Levesque , p. 157-165. N.-B. Voir Caffaro , Lettre d’un théologien, 1694. Boursault, « A Madame
Madame la Marquise de B… Sur l’Indigence du Théatre », p. 302-316, in Lettres nouvelles de Monsieur Boursault. Accompagnées de
mots et d’autres particularitez aussi agréables qu’utiles, avec sept lettres amoureuses d’une dame à un cavalier, Paris, Veuve
iments sur la comédie, 1691 • Brillon : Sentiments sur la comédie. Lettre du sieur B… à son ami le Solitaire, manuscrit dat
formation du théâtre. Nouvelle édition augmentée, 1767. Caffaro, Lettre d’un théologien, 1694 • Caffaro, François (Fra
650?-1720 ; père, théatin, confesseur du maréchal duc d’Humières) : «  Lettre d’un théologien, illustre par sa qualité et son m
n Guignard, 1694. PDF : Gallica. Corpus OBVIL.   Éditions modernes • Lettre d’un théologien en faveur des spectacles, Lille,
Cf. le compte rendu du volume de Boursault (entièrement consacré à la lettre de Caffaro) : Journal des sçavans, Paris, Jean Cu
Coustel , Sentimens de l’Eglise et des SS. Pères, 1694 ; Gerbais , Lettre d’un docteur de Sorbonne, 1694 ; Le Brun , Disco
 ; Le Brun , Discours sur la comédie, 1694 ; Lelevel , Réponse à la lettre du théologien, 1694, Pégurier , Décision faite e
, Pégurier , Décision faite en Sorbonne, 1694. Voir aussi Caffaro , Lettre françoise et latine à Monseigneur l’Archevêque de
Bardou , Epistre sur la condamnation du théâtre, 1694 ; Fléchier , lettre à l’abbé Ménard, 20 avril 1694. Caffaro, Let
94 ; Fléchier , lettre à l’abbé Ménard, 20 avril 1694. Caffaro, Lettre françoise et latine à Monseigneur l’Archevêque de
(1650?-1720 ; père, théatin, confesseur du maréchal duc d’Humières) : Lettre françoise et latine du Reverend Père François Caf
texte français), p. 153-156 (texte latin). N.-B. Rétractation de la Lettre d’un théologien (voir). • Cf. le compte rendu de
tion de la Lettre d’un théologien (voir). • Cf. le compte rendu de la lettre dans le Journal des sçavans, Paris, Jean Cusson,
1 f.). PDF : Google. → Texte : Réponse pour le chevalier de *** à la lettre de M. Desprez de Boissy sur les spectacles, p. 12
laude, Saint-Brieuc, Prud’homme, t. IV. PDF : Google. Clairon, «  Lettre de Mademoiselle Clai** à Me Huer** de Lamot** »,
Me Huer** de Lamot** », 1761 • Clairon, Hippolyte (1723-1803) : «  Lettre de Mademoiselle Clai** à Me Huer** de Lamot**, Av
vir de décision sur la comedie et les comediens, opposez à ceux de la Lettre qui a parû à ce sujet depuis quelques mois, Paris
d., Paris, s. n., 1695, in-12. N.-B. Publié en réponse à Caffaro , Lettre d’un théologien, 1694. Croiset, Réflexions c
, De spectaculis, texte établi par André Boulanger, Paris, Les Belles Lettres , « Publications de la Faculté des lettres de l’Un
oulanger, Paris, Les Belles Lettres, « Publications de la Faculté des lettres de l’Université de Strasbourg. Textes d’étude (1)
ues Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. Dancourt, Lettre de l’Arlequin de Berlin à M. Fréron, 1760 • Da
Berlin à M. Fréron, 1760 • Dancourt, Louis Hurtaut (1725?-1801) : Lettre de l’Arlequin de Berlin à M. Fréron sur la retrai
in-8º, 54 p. PDF : Gallica. Corpus OBVIL.   N.-B. • Voir Gresset , Lettre à M. *** sur la comédie, 1759 ; La Font de Saint
et , Lettre à M. *** sur la comédie, 1759 ; La Font de Saint-Yenne , Lettre à M. Gresset, 1759. Daneau, Deux Traittez de
-B. Traduit le De spectaculis, p. 28-45, et, sur le même sujet, la «  Lettre à Eucratius », p. 49 [=46]-48. Voir aussi Cyprie
Rewarded with the Prize by the Society of Arts, Sciences, and Belles Lettres of Bordeaux, August 27, 1812 ; London, 1818, 29 p
47 [=347], anecdote p. 341-347. PDF : Google. Desprez de Boissy, Lettres sur les spectacles, 1771 • Desprez de Boissy,
r les spectacles, 1771 • Desprez de Boissy, Charles (1730?-1827) : Lettres de M. Des. de B. sur les spectacles, avec une His
l. 2).   Autres éditions (retirées à des dates diverses) • 1re éd. : Lettre de M. Des P. de B., avocat en Parlement, à M. le
éd. : Id., Paris, Veuve Lottin et J. H. Butard, 1758, in-8º, 170 p. • Lettre de M. le Chevalier de *** à M. de C[ampigneulles]
che, & de la Société Royale-Militaire de Besançon, au sujet de la lettre de M. Desp. de B* avocat en Parlement, sur les sp
Veuve Lottin et Butard, 1759, in-8º, (2 ff.) 109 p. PDF : Google. = «  Lettre  II » (éd. 1771, p. 187-406) : à la réponse de Ca
(éd. 1771, p. 187-406) : à la réponse de Campigneulles (1758) à sa Lettre sur les spectacles. • 3e éd. : Lettres de M. Desp
de Campigneulles (1758) à sa Lettre sur les spectacles. • 3e éd. : Lettres de M. Desp. de B*, avocat en Parlement, sur les s
teur, Paris, Butard, 1769, in-12, XVI-483 p. PDF : Google. • 5e éd. : Lettres sur les spectacles, avec une Histoire des ouvrage
rnet Archive (première partie) ; Google (deuxième partie). • 6e éd. : Lettres sur les spectacles, avec une Histoire des ouvrage
le (tome I, tome II) ; Internet Archive (tome I, tome II). • 7e éd. : Lettres sur les spectacles, avec une Histoire des ouvrage
pectacles », p. 193-197. D. T. Voir Tilenus . Du Coudray, Lettre au public, 1777 • Du Coudray, Alexandre-Jacque
andre-Jacques (1744-1790?) : « Il est temps de parler », p. 27-36, in Lettre au public sur la mort de Messieurs de Crébillon,
4, in-18. PDF : Google. • Anonyme [Jacques Joseph Duguet], « Premiere lettre . Réponse aux questions propres sur les Spectacles
lettre. Réponse aux questions propres sur les Spectacles », p. 1-15, Lettres sur divers sujets de morale et de piété, tome qua
cavalerie, pensionnaire du Roi, de l’académie des sciences et belles lettres de Dijon. A Paris chez l’auteur, à Liège, chez Le
p. 560 et mai 1781, p. 9). PDF : Google. Corpus OBVIL. Fléchier, lettre à l’abbé Ménard, 20 avril 1694 • Fléchier, Val
adémie française 1672, évêque de Lavaur 1685, puis de Nîmes 1687) : «  Lettre  LIII. De remercîment à M. l’Abbé Menard. Il y est
ux, 1782, in-8º. PDF : Google. Corpus OBVIL.   N.-B. Voir Caffaro , Lettre d’un théologien, 1694. Frain du Tremblay, Co
508 p., [3] ff.de pl. ; [8]-571 p., [3] ff.de pl.) → Texte : Tome II, lettre  XXIX, p. 98-168. PDF : Google (tome II). • Nombre
, 1777, 1778, 1781, 1792, 1807, 1821, 1826, 1830, 1844. Gerbais, Lettre d’un docteur de Sorbonne, 1694 • Gerbais, Jean
ettre d’un docteur de Sorbonne, 1694 • Gerbais, Jean (1629-1699) : Lettre d’un docteur de Sorbonne à une personne de qualit
. PDF : Google. Corpus OBVIL.   N.-B. Publié en réponse à Caffaro , Lettre d’un théologien, 1694. Géry, « Exorde sur le
in, éd., p. 124. Goibaud (attribué à), Response à l’auteur de la Lettre , 1666 • Goibaud, Philippe, sieur Du Bois (1626
e, sieur Du Bois (1626-1694) [attribué à] : Response à l’auteur de la Lettre contre les Heresies imaginaires et les Visionnair
º, 12 p. Corpus OBVIL.   Éditions modernes • « Première réponse à la lettre précédente par M. Dubois », p. 26-49, in Œuvres d
y, 1819. PDF : Gallica. • Goibaud du Bois, « Réponse à l’auteur de la Lettre contre Les Hérésies imaginaires et Les Visionnair
ica. • in L. Thirouin, éd., p. 233-248. N.-B. Publié en réponse à «  Lettre à l’auteur des Heresies imaginaires, et des deux
sionnaires », de Jean Racine. — En réponse, Racine a rédigé une autre lettre , qui a été imprimée pour la première fois in Œuvr
e Gosse, Pierre de Hondt, 1722, p. 193-204, sous le titre : « Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Heresies im
= § 644-651, p. 291-296. N.-B. Nombreuses rééditions. Gresset, Lettre à M. M*** sur la comédie, 1759 • Gresset, Jean
sur la comédie, 1759 • Gresset, Jean-Baptiste-Louis (1709-1777) : Lettre de M. Gresset, l’un des Quarante de l’Académie Fr
Hérissant, 1759, 20 p. PDF : Gallica. Corpus OBVIL.   Rééditions • «  Lettre sur la comédie à M. *** », p. 327-336, in Œuvres
Paris, chez les libraires associés, an XIII, 1805. PDF : Google. • «  Lettre sur la comédie à M. *** », p. 223-232, in Œuvres
ces inédites, Paris, Bleuet jeune, 1805, 3e partie. PDF : Google. • «  Lettre sur la comédie à M. *** », p. 295-302, in Œuvres
, s. n., 1761, in-12. Sans l’Avis de l’éditeur, p. v-xiv, et avec la Lettre de Mlle Clairon . N.-B. Sur l’affaire suscitée p
avril 1761 » [= arrêt condamnant Huerne], dans Joseph-Romain Joly  : Lettres historiques et critiques sur les Spectacles adres
, Avignon, chez les libraires associés, 1762, p. 210-223. 2) Anonyme, Lettre à Mlle Cl****, actrice de la Comédie françoise. A
émoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres , depuis Homère jusqu’à nos jours, Paris, Durand,
des comédiens, 1766.   N.-B. Préparé en 1766 pour le roi, mais resté lettre morte, non publié et attesté par lettres de Volta
1766 pour le roi, mais resté lettre morte, non publié et attesté par lettres de Voltaire du 4 février 1766 et du 1er mars 1766
u 4 février 1766 et du 1er mars 1766 (Besterman, D 13157). Joly, Lettres historiques et critiques sur les Spectacles, 1762
ectacles, 1762 • Joly, Joseph-Romain (1715-1805 ; abbé, capucin) : Lettres historiques et critiques sur les Spectacles adres
siècles. Ouvrage utile aux prédicateurs, et curieux pour les gens de lettres , Amsterdam, Paris, Lacombe, 1767, LII-540 p. (1 f
de l’indévotion », p. 58-68 [en particulier p. 60-62]. La Barre, Lettre apologétique, 1640 • La Barre, Antoine de (161
s la compagnie du prince d’Orange 1638, étudiant à Leyde 1640-1644) : Lettre apologétique ou defence contre le libelle du Pere
on est amputée des gros ajours de la 7e. La Font de Saint-Yenne, Lettre à M. Gresset, 1759 • La Font de Saint-Yenne, É
à M. Gresset, 1759 • La Font de Saint-Yenne, Étienne (1688-1771) : Lettre à M. Gresset, de l’Académie françoise, au sujet d
supérieure des beaux-arts, 2001, p. 380-386. N.-B. Voir Gresset , Lettre à M. *** sur la comédie, 1759 ; Dancourt , Lettr
. Voir Gresset , Lettre à M. *** sur la comédie, 1759 ; Dancourt , Lettre à M. Fréron, 1760. La Grange, Réfutation d’u
on • Id., 1697, in-12, 132 p. N.-B. Publié en réponse à Caffaro , Lettre d’un théologien, 1694. Lalouette, Histoire e
 siècles », 227 ff.: ff.125 sq. • Bibliothèque Mazarine, Ms 2427, «  Lettres , tiltres, mémoires et actes concernans les Jésuit
éédition • « Réponse de M. P. A. Laval Comédien, à M. Rousseau, a sa Lettre contre le projet d’établissement du Spectacle à G
Monsieur J. J. Rousseau, de Geneve. Nouvelle édition, augmentée de sa Lettre contre le projet d’établissement des spectacles à
360 p. (10 ff.). PDF : Google. N.-B. Publié en réponse à Caffaro , Lettre d’un théologien, 1694. Lefevre, In scenicum
te, Mathieu (15..-16..) : voir La Porte . Le Franc de Pompignan, Lettre à M. Louis Racine sur le théâtre, 1752 • Le Fr
héâtre, 1752 • Le Franc de Pompignan, Jean-Jacques (1709-1784) : «  Lettre à M. Louis Racine sur le théâtre en général et su
p.,. PDF : Google. Corpus OBVIL.   Autre édition • Édition séparée : Lettre à M. Racine sur le théâtre en général et sur les
uvelle édition, suivie d’une pièce de vers du même auteur et de trois lettres de Jean Racine qui n’avoient point été imprimées,
avec le sentiment d’un abbé sur le théâtre]. N.-B. Voir Caffaro , Lettre d’un théologien, 1694. Lejeune, Le Missionna
e. L’usage des Poëtes, etc. », p. 193-200. Lelevel, Réponse à la lettre du théologien, 1694 • Lelevel, Henri (1655?-17
e du théologien, 1694 • Lelevel, Henri (1655?-1705) : Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie, Paris, Th
. PDF : Google. Corpus OBVIL.   N.-B. Publié en réponse à Caffaro , Lettre d’un théologien, 1694. Le Loyer, Discours de
• Marmontel, Jean-François (1723-1799) : [compte rendu critique de la Lettre sur les spectacles de Rousseau], Mercure de Franc
yen de Genève à M. d’Alembert, 1758. A suscité en réponse Secousse , Lettre d’un curé du diocèse de *** à M. *** [Marmontel],
armontel], 1760. Rééditions • Édition en volume dans : Réponse à la lettre adressée par M. Jean-Jacques Rousseau à M. d’Alem
389 p. PDF : Gallica. → Texte : « Apologie du Théâtre. Analyse de la lettre de M. Rousseau, Citoyen de Geneve, à M. d’Alember
é de la comédie, 2 versions successives :   1) « L’Heresie imaginaire lettre  XI. Ou Première Visionnaire » et « L’Heresie imag
inaire lettre XI. Ou Première Visionnaire » et « L’Heresie imaginaire lettre  XII… » • Les Imaginaires, ou Lettres sur l’hérés
aire » et « L’Heresie imaginaire lettre XII… » • Les Imaginaires, ou Lettres sur l’hérésie imaginaire, Volume I. Contenant les
 ff.) 430 p. PDF : Gallica. • Les Visionnaires, ou seconde partie des lettres sur l’Hérésie Imaginaire, contenant les huit dern
Comédie », p. 327-359). PDF : Google.   N.-B. : voir Jean  Racine , Lettre à l’auteur des Hérésies imaginaires, 1666. 2) Es
Traité de la comédie ; présenté par Georges Couton, Paris, Les Belles Lettres , « Bibliothèque de la Faculté des lettres de Lyon
s Couton, Paris, Les Belles Lettres, « Bibliothèque de la Faculté des lettres de Lyon (6), 1961, 75 p. Édition moderne des deu
erre (1625-1695) : « Sur une critique de son Ecrit contre la Comédie. Lettre 102 à Mme de La F[ayette] » [1667-1675], p. 348-3
me de La F[ayette] » [1667-1675], p. 348-353, in Essais de Morale, ou Lettres écrites par feu M. Nicole, Tome VIII, Paris, Guil
1623-1662) : [Pensée sur la comédie], nº 630 in Pensées, opuscules et lettres , éd. Ph. Sellier, Paris, Garnier, 2010.   Autre é
: 8-T-5292 (cf. Notice). Corpus OBVIL. Publié en réponse à Caffaro , Lettre d’un théologien, 1694. Petit, Apologie du th
prez de Boissy , éd. 1771, 1re partie, p. 549-554. Racine, Jean, Lettre à l’auteur des Hérésies imaginaires, 1666 • Ra
auteur des Hérésies imaginaires, 1666 • Racine, Jean (1639-1699) : Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux V
ires, s. l., 1666, in-4º, 7 p. Corpus OBVIL.   Éditions modernes • «  Lettre de M. Racine à l’auteur des Hérésies imaginaires,
Jean Racine, t. IV, Paris, Dabo et Tremblay, 1819. PDF : Gallica. • «  Lettre à l’auteur des Hérésies imaginaires, et des Visio
e la 2e « Visionnaire ». — Publié en réponse à « L’Heresie imaginaire lettre  XI. Ou Première Visionnaire » et à « L’Heresie im
aire lettre XI. Ou Première Visionnaire » et à « L’Heresie imaginaire lettre  XII… », de Pierre Nicole. En réponse furent publi
Pierre Nicole. En réponse furent publiés « Response à l’auteur de la Lettre contre les Heresies imaginaires et les Visionnair
Philippe Dubois-Goibaud ou à Jean Barbier d’Aucour et « Réponse à la lettre adressée à l’auteur des Heresies imaginaires », a
, Isaac Lemaistre de Sacy, ou Louis-Charles d’Albert de Luynes. Cette lettre et la suivante auraient été réunies en plaquette
uivante auraient été réunies en plaquette en 1667. Racine, Jean, Lettre aux deux apologistes de l’auteur des Hérésies ima
auteur des Hérésies imaginaires, 1666 • Racine, Jean (1639-1699) : Lettre aux deux apologistes de l’auteur des Hérésies ima
aillant, Pierre Gosse, Pierre de Hondt, 1722, sous le titre « Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Heresies im
Jean Racine, Paris, Dabo et Tremblay, 1819, t. IV. PDF : Gallica. • «  Lettre aux deux apologistes de l’auteur des Hérésies ima
, p. 265-272. N.-B. Publié en réponse à « Response à l’auteur de la Lettre contre les Heresies imaginaires et les Visionnair
hilippe Dubois-Goibaud ou à Jean Barbier d’Aucour et à « Réponse à la lettre adressée à l’auteur des Heresies imaginaires », a
, Isaac Lemaistre de Sacy, ou Louis-Charles d’Albert de Luynes. Cette lettre et la précédente auraient été réunies en plaquett
aquette en 1667. Racine, Jean, Préface pour une édition des deux lettres à l’auteur des Imaginaires, 1667 • Racine, Jea
7 • Racine, Jean (1639-1699) : « Préface pour une édition des deux lettres à l’auteur des Imaginaires » [1667], p. 77-82, in
pus OBVIL.   Éditions modernes • « Préface pour une édition des deux lettres à l’auteur des Imaginaires » [1667], p. 277-282,
F : Gallica. • in L. Thirouin, éd., p. 273-277. N.-B. Voir les deux lettres précédentes de Racine. Réponse à Boileau sur la c
sur le site Molière 21. N.-B. A suscité deux réponses : Anonyme , Lettre sur les observations, 1665 ; Anonyme , Réponse a
.(errata et catalogue). PDF : Gallica. Corpus OBVIL.   Réédition • «  Lettre à M. d’Alembert », p. 194-458, in Collection comp
de 1782 retranscrite sur le site espace-rousseau. Édition moderne • Lettre à M. d’Alembert sur son article « Genève », chron
 Genève » de l’Encyclopédie, 1757. A suscité en réponse d’Alembert , Lettre de M. d’Alembert à M. J. J. Rousseau sur l’articl
mbert à M. J. J. Rousseau sur l’article « Genève », 1759 ; Bastide , Lettre à M. Rousseau, 1759 ; Dancourt , L. H. Dancourt
 ; Villaret , Considérations sur l’art du théâtre, 1759 ; Ximénez , Lettre à M. Rousseau sur l’effet moral des théâtres, 175
c-Michel Rey, 1764, in-8º, 47 p. PDF : Gallica. Rousseau, Thomas, Lettre à M. *** sur les spectacles de boulevard, 1781
les spectacles de boulevard, 1781 • Rousseau, Thomas (1750-1800) : Lettre à M. *** sur les spectacles de boulevard, par M. 
est datée du 1er décembre 1744. Le texte est sous-titré Reponse à la Lettre d’une Dame de la Ville de *** au sujet de la Come
ff.) 99 p. PDF : Gallica. Mode texte : Frantext (Q776). Secousse, Lettre d’un curé du diocèse de *** à M. M. *** [Marmonte
ache à Paris, frère du juriste Denis-François Secousse [1691-1751]) : Lettre d’un curé du diocèse de *** à M. M. *** [Marmonte
diocèse de *** à M. M. *** [Marmontel] sur son Extrait critique de la Lettre de M. Jean-Jacques Rousseau à M. d’Alembert, « En
acques Rousseau, Citoyen de Genève à M. d’Alembert, 1758. Sélis, Lettre à un père de famille, 1789 • Sélis, Nicolas-Jo
e à un père de famille, 1789 • Sélis, Nicolas-Joseph (1737-1802) : Lettre à un père de famille sur les petits spectacles de
oderne • Discours 7, in L. Thirouin, éd., p. 142-144. Singlin, [ Lettre à la duchesse de Longueville], s. d. • Singlin
duchesse de Longueville], s. d. • Singlin, Antoine (1607-1664) : [ Lettre à la duchesse de Longueville], paraphrasée dans l
nement des femmes, les spectacles, le batême et la patience, avec une Lettre aux martirs ; traduits en françois [par Mathieu C
8, 63-1 p. [Caen MBA : Mancel 1387 (2)]. Trébuchet (attribué à), Lettre d’un ancien officier de la reine, 1759 • Trébu
[attribué par Quérard à Trébuchet, membre de l’Académie d’Auxerre] : Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les Franç
Coustelier] 1759, in-8º, (4) 82 p. PDF : Gallica.   Autre édition • Lettre d’un écolier de philosophie a monsieur J. J. Rous
eau, citoyen de Genêve & habitant de Montmorency. En réponse à sa lettre à M. d’Alembert sur les Spectacles, Genève [i. e.
537 p. + table. PDF : Gallica.   N.-B. Article imprimé dès 1745 : «  Lettre sur les spectacles », p. 344-348, in Œuvres de Mr
erses • Voltaire, François-Marie Arouet dit (1694-1778) : diverses lettres en réaction à la question de l’excommunication de
D 9936, D 9973 ; D 10178 ; D 10635 ; D 12816 ; D 13157. Ximénez, Lettre à M. Rousseau sur l’effet moral des théâtres, 175
tres, 1758 • Ximénez (ou Ximenes), Augustin-Louis de (1728-1817) : Lettre à M. Rousseau sur l’effet moral des théâtres, s. 
.   Réédition • Œuvres Posthumes de M. Fléchier, t. I : Mandemens et lettres pastorales de M. Fléchier Evêque de Nismes. Avec
septembre 1769, p. 295-298. PDF : Google. → Texte : « Extrait d’une lettre écrite de Feltri (dans la Marche Trévisane, en It
iétaires. Récente protestation du président de la société des gens de lettres contre l’envahissante industrie pornographique, S
2 (1807) Préface pour une édition des deux lettres à l'auteur des Imaginaires « [Chapitre 2] » pp. 78-82
ne crois pas faire un grand présent au public en lui donnant ces deux Lettres . Il en a vu une, il y a un an, et je lui aurais a
pas que je crusse que son ressentiment dût aller loin. J’avais vu ma Lettre entre les mains de quelques gens de sa connaissan
le briguaient depuis dix ans, et je fus fort étonné quand je vis deux Lettres qu’ils prirent la peine de publier contre la mien
écoliers à n’y point aller ; et d’autres des leurs me dirent que les Lettres qu’on avait faites contre moi étaient désavouées
acilement à ces raisons ; je crus qu’il ne serait plus parlé ni de la Lettre ni des Réponses ; et sans m’intéresser davantage
st imaginé peut-être qu’on lirait plus volontiers en deux volumes des Lettres qu’on n’avait pas voulu lire en deux feuilles. Il
Il a eu soin de les faire imprimer en même caractère que les dix-huit Lettres provinciales, comme il avait eu soin de les pouss
s l’une de ses Préfaces que « quelques personnes ont voulu égaler ses Lettres aux Provinciales ». Il leur répond modestement, à
as de bon sens. On n’avait point encore honte d’avoir ri en lisant ma Lettre . Mais aussi ne fallait-il pas qu’un homme d’autor
e « je suis un jeune poète » ; il déclare que « tout est faux dans ma Lettre , et contre le bon sens, depuis le commencement ju
squ’il dit que le monde fut partagé entre les Réponses qu’on fit à ma Lettre , et qu’on disputa longtemps laquelle des deux éta
nt avec privilège. b. [NDE] Les Visionnaires, ou seconde partie des lettres sur l’Hérésie Imaginaire, contenant les huit dern
msterdam), Adolphe Beyers, 1667. Nicole réunit dans ce volume les dix Lettres Imaginaires et les huit Lettres Visionnaires qui
Nicole réunit dans ce volume les dix Lettres Imaginaires et les huit Lettres Visionnaires qui étaient jusque là parues séparém
e de Paris, qui supprimait un certain nombre de fêtes. L’auteur d’une Lettre sur l’ordonnance de l’Archevêque avait cru trouve
génieuse en faisant le rapprochement de ces deux circonstances. Cette lettre était en vers, et elle fut attribuée à Barbier d’
3 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [EN-TETE] »
EURDES HÉRÉSIESIMAGINAIRES,ET DES DEUXVISIONNAIRESa. a. [NDE] Cette lettre paraît sans mention d’auteur, de date ni de lieu
l s’adresse. Entre janvier 1664 et novembre 1665, Nicole a publié dix Lettres imaginaires et une Apologie pour les religieuses
es religieuses de Port-Royal qui conduit Nicole à rédiger une onzième Lettre imaginaire dans laquelle il dénonce les calomnies
il dénonce les calomnies de Desmarets. Il écrira ensuite sept autres lettres sous le titre de Visionnaires, qui renvoie à la c
ionnaires, qui renvoie à la comédie des Visionnaires de Desmarets. La lettre de Racine engendrera elle-même deux réponses (la
première, attribuée à Jean Barbier d’Aucour, intitulée « Réponse à la lettre adressée à l’auteur de Hérésies imaginaires », et
Hérésies imaginaires », et la deuxième : « Response à l’auteur de la Lettre contre les Hérésies imaginaires et les Visionnair
sera une dernière réponse, qu’il laissera pourtant inédite (« Seconde lettre de Monsieur Racine aux deux apologistes de l’aute
our l’établissement de ce texte : pour le texte, l’édition originale ( Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux V
4 (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « [EN-TETE] »
DE MR RACINE aux deux apologistesde l'auteur DES HERESIESIMAGINAIRES. LETTRE XIV a a. [NDE] Cette lettre est la réponse de
esde l'auteur DES HERESIESIMAGINAIRES. LETTRE XIV a a. [NDE] Cette lettre est la réponse de Racine à deux lettres : la prem
LETTRE XIV a a. [NDE] Cette lettre est la réponse de Racine à deux lettres  : la première, attribuée à Jean Barbier d’Aucour,
première, attribuée à Jean Barbier d’Aucour, intitulée « Réponse à la lettre adressée à l’auteur de Hérésies imaginaires », et
Hérésies imaginaires », et la deuxième : « Response à l’auteur de la Lettre contre les Heresies imaginaires et les Visionnair
er d’Aucour (également dans le corpus « La haine du théâtre »). Cette lettre a été laissée inédite par Racine et a été publiée
ment de ce texte a été réalisé grâce à l’édition originale (« Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Heresies im
5 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « HISTOIRE DES OUVRAGES. Qui ont paru pour et contre la Comédie, depuis le 17e Siècle. » pp. 161-175
de silence, un particulier entreprit de justifier la Comédie par une Lettre qu’on a voulu faire passer pour une réponse faite
aite à Boursault, auteur d’un volume de Pièces de Théâtre. Dans cette Lettre on feint d’avoir consulté un Théologien illustre
damné les Spectacles des Païens, qu’à cause de la seule idolâtrie. La Lettre de ce prétendu Théologien ayant paru à Paris en 1
s’opposer à tout ce qui pouvait leur nuire, s’élevèrent contre cette Lettre . Le premier ouvrage contre la Lettre du prétendu
nuire, s’élevèrent contre cette Lettre. Le premier ouvrage contre la Lettre du prétendu Théologien, a pour titre, Réponse à l
e contre la Lettre du prétendu Théologien, a pour titre, Réponse à la Lettre du Théologien défenseur de la Comédie, imprimée à
a Comédie, imprimée à Paris, chez Girard, en 1694. Le second, est une Lettre Française et Latine du Théologien accusé, (le P.
Spectacles. Le troisième ouvrage contre la Comédie qui parut après la Lettre du P. Caffaro, qui la défendait, est une Lettre d
ie qui parut après la Lettre du P. Caffaro, qui la défendait, est une Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de qualit
Général de l’Oratoire ; et enfin dans le Journal de la République des Lettres en différents endroits, principalement au mois d’
bre 1708, qui est imprimé à la fin du Traité du P. Le Brun. Depuis la Lettre du P. Caffaro, si on excepte les deux Requêtes de
6 (1705) Traité de la police « Chapitre III. Du Théâtre Français, son origine, et qu’il n’a été occupé pendant plus d’un siècle, qu’à la représentation de pièces spirituelles, sous le titre de Moralités. » pp. 437-438
ces devant lui ; elles lui furent agréables, et cela leur procura des Lettres du quatrième Décembre 1402. pour leur établisseme
u quatrième Décembre 1402. pour leur établissement à Paris. Comme ces Lettres ne se trouvent imprimées en aucun lieu, et que c’
leur entier ; voici ce qu’elles contiennent. Charles4. Décembre 1402. Lettres Patentes portant permission à une Compagnie établ
toutes, et à toujours perpétuellement, par la teneur de ces présentes Lettres , autorité, congé et licence, de faire jouer quelq
e ferme et stable à toujours, Nous avons fait mettre notre scel à ces Lettres  ; sauf en autres choses notre droit et l’autrui e
om. Visa, et scellé en lacs de soie de cire verte ; au dos desquelles Lettres était écrit : Le Lundi douzième jour de Mars, l’a
Doisemont, Maistres de la Confrérie nommée au blanc, présentèrent ces Lettres à Maître Robert de Thuillieres, Lieutenant de Mon
de Thuillieres, Lieutenant de Monsieur le Prévôt, lequel lues icelles Lettres , octroya que lesdits Maîtres, leurs Confrères et
le fait des jeux, selon ce que le Roi notre Sire le veut par icelles Lettres  ; et pour être présents avec eux en cette présent
ent de la douzaine, ou à Verge dudit Châtelet. Après avoir obtenu ces Lettres , il ne fut plus question que de trouver un lieu c
d’un siècle et demi. François I. en confirma tous les privilèges par Lettres Patentes du mois de Janvier 1518. qui furent publ
eurs autres anciennes prérogatives, leur furent depuis confirmées par Lettres Patentes de Henry II. du mois de Mars 1559. et de
Châtelet, fol. 167. Ban. du Chât. vol. 2. fol. 77. 4. Décembre 1402. Lettres Patentes portant permission à une Compagnie établ
7 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  AVERTISSEMENT. DU LIBRAIRE. » pp. -
ises de ce que le frontispice de ce second Volume portoit le titre de Lettres sur les Spectacles. Mais nous avons à leur répond
& nous ajoutons que les relations fréquentes qu’il y a entre les Lettres sur les Spectacles, & l’Histoire des Ouvrages
ur a desiré que nous continuions de réserver pour ce second Volume la Lettre , dont M. Gresset, de l’Académie Françoise, l’hono
sion de la sixieme Édition. Elles sont toutes les deux analogues à la Lettre que ce célebre Académicien donna au Public en 175
amp; capable de fixer les idées sur l’effet moral de nos Spectacles. LETTRES De M. Gresset, de l’Académie Françoise, à M. Desp
72. Une indisposition, Monsieur, m’a empêché de répondre plutôt à la Lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire. Recev
ez bien voulu me faire d’un Exemplaire de la quatrieme Édition de vos Lettres sur les Spectacles. Vous avez doublé le bienfait
7. Recevez toutes mes excuses, Monsieur, du délai de ma réponse à la Lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire. Il ne
8 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
e pas faire un jugement si aisé, et que voyant d’un côté l’Auteur des lettres , qui ne cite que les Saints Pères, comme vous lui
ères qui le remplissent de leurs plus beaux sentiments. « J’ai lu vos lettres (dites-vous)c avec assez d’indifférence, quelque
pas seulement parlé d’elle. On n’a pas nommé la Poésie dans toute la lettre , et tout ce qu’on y dit ne regardant que les Poèt
outumé de s’en offenser. Peut-être avez-vous oublié en écrivant votre lettre que la Comédie n’a point d’autre fin que d’inspir
pe, il vous déplaît encore plus que tout ce qu’a pu dire l’Auteur des lettres , et peut-être voudriez-vous à présent ne vous êtr
nt désagréable ? Et pourquoi n’avez-vous pu souffrir que l’Auteur des lettres ait dit, en passant, que les pièces de Théâtre so
u’on avait seulement proposé. Est-ce que vous croyez que l’Auteur des lettres ne puisse prouver ce qu’il avance ? pensez-vous q
faire connaître à quoi vous vous exposez d’écrire contre l’Auteur des lettres , qui peut bien en dire davantage, lui qui sait le
, mais il n’est rien de moins judicieux que de le dire à l’Auteur des lettres , et à ceux que vous joignez avec lui. Ce sont des
e n’approuve pas la Comédie. Ce n’est pas après tout que l’Auteur des lettres ait rien dit que vous ne disiez encore plus forte
vos railleries, sont des preuves particulières de ce que l’Auteur des lettres n’a dit qu’en général, et il n’y a personne qui n
z concevoir qu’il y en ait. Vous la demandez hardiment à l’Auteur des lettres , comme s’il ne pouvait la donner, et comme s’il é
, et on le peut voir dans les endroits de ses livres que l’Auteur des lettres a cités. Si vous aviez fait réflexion sur toutes
toutes ces conceptions chimériques et monstrueuses, que l’Auteur des lettres a rapportées, et que vous témoignez avoir lues. M
vinciales. C’est par là que vous commencez et que vous finissez votre lettre . « Vous prétendiez, lui dites-vous,ai prendre la
étendiez, lui dites-vous,ai prendre la place de l’Auteur des petites lettres . Je vois bien que vous voulez attraper ce genre d
sonne à la découvrir, et ne dites point de vous-même que l’Auteur des lettres a voulu écrire comme Monsieur Pascal. Il n’a voul
 : « Je laisse à juger au monde quel est le visionnaire des deux », «  Lettre de M. Racine à l’auteur des Hérésies imaginaires,
écrit Nicole dans la première des Visionnaires. L’Hérésie imaginaire, lettre XI. Ou Première Visionnaire, 1665. f. [NDE] Comm
la première des Visionnaires (Les Visionnaires, ou seconde partie des lettres sur l’Hérésie Imaginaire, contenant les huit dern
taque ad hominem développée par Racine dans les premières pages de sa lettre  : « Mais nous connaissons l’austérité de votre mo
y a longtemps : laissez-le juger des choses qui lui appartiennent » ( Lettre à l’auteur des Hérésies imaginaires…, Op. cit., p
p. 21-22). p. [NDE] L’auteur cite une nouvelle fois un passage de la lettre de Racine, avec une omission notable dans la seco
oqué plus haut (note 10). r. [NDE] Nouvelle citation textuelle de la lettre de Racine. Op. cit., p. 17. s. [NDE] Dans le pas
s sa disgrâce. »). Ce dernier aspect était soulevé dès le début de la lettre  : « Faut-il, parce que Desmarets a fait autrefois
, III, 26). w. [NDE] Laurent Thirouin cite ce passage de la première lettre aux Thessaloniciens : « Vous n’avez pas oublié, m
la est également profane, selon vous maximes. Il avoue aussi dans une lettre qu’il a été dans le dérèglement, et qu’il s’est r
le livre I chap. XXXII et livre II chap. X. af. [NDE] Saint Jérôme, lettre XXI (à Damase), n. 13. « Or, de nos jours encore,
, s’y adonner, eux, volontairement. » (trad. J. Labourt, « Les Belles Lettres  », 1949). Laurent Thirouin précise que les éditio
Ibid., p. 25 : « Retranchez-vous donc sur le sérieux ; remplissez vos lettres de longues et doctes périodes ; citez les pères ;
9 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PREFACE CONTENANT L’HISTOIRE DU DIX-SEPTIEME SIECLE, SUR LA COMÉDIE. » pp. -
e silence, un Particulier a entrepris de justifier la Comédie par une Lettre qu’on a voulu faire passer pour une Réponse faite
parce que le Père Caffaro Théatin, qu’on disait être Auteur de cette Lettre , l’a désavouée) veut justifier la Comédie par des
e la seule idolâtrie. Je ferai voir le contraire dans cet Ouvrage. La Lettre de ce prétendu Théologien ayant paru à Paris dura
s’opposer à tout ce qui pouvait leur nuire, déclamèrent contre cette Lettre  ; les uns faisant voir que la Comédie avait toujo
Comédie avait toujours été condamnée, d’autres que l’Auteur de cette Lettre est un faux Théologien : il y en eut même un, qui
ettre est un faux Théologien : il y en eut même un, qui dit que cette Lettre méritait le feu, et que l’Auteur en devait faire
re des Pères de l’Oratoire, plusieurs Conférences publiques contre la Lettre de ce Théologien. Les Auteurs ne sont pas demeuré
emeurés dans le silence ; car on a vu plusieurs Ouvrages contre cette Lettre . Il y a eu deux autres Traités faits en ce siècle
10 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Arrêt du Parlement de Paris autorisant, après avis du Roi, les représentations, sous conditions (25 janvier 1542) » pp. 167-166
ésentations, sous conditions (25 janvier 1542) Vues par la cour les lettres patentes du Roi données à Eschouench le XVIIIe jo
e de l’Ancien Testament, puissent et leur loistcj, suivant autres ses lettres de permission auparavant à eux données et octroyé
se toute l’aide, faveur et moyen dont ils auraient besoin. Et icelles lettres lues, les conclusions du procureur général du Roi
ur général du Roi, et tout considérécl, ladite cour, suivant lesdites lettres patentes et déclaration du Roi y contenue, a perm
e 1538 ? En décembre 1541, il est loin d’être achevé. ci. [NDE] Les lettres patentes adressées à cette cour. cj. [NDE] Verbe
e jouer… ck. [NDE] Qu’il conviendrait. cl. [NDE] Après avoir lu les lettres patentes du roi, les conclusions du procureur et
rocureur et avoir tout considéré, la cour… cm. [NDE] Impétrants des lettres royales : bénéficiaires de ces lettres. cn. [ND
ur… cm. [NDE] Impétrants des lettres royales : bénéficiaires de ces lettres . cn. [NDE] Monnaie frappée à Tours. co. [NDE]
11 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
ention. Probablement vous aurez su, Monsieur, que j’avais adressé une lettre à M. l’abbé Desmarès Sur deux péchés mortels, sel
ux actions innocentes, selon moi : le théâtre et les bals. Dans cette lettre j’ai exposé les motifs qui m’ont fait embrasser u
M. l’Abbé Desmares, et même un danger réel dans la publication de ma lettre . Ce Laïc, tout rempli d’un zèle auquel je suis le
vous adresser cette réplique : Premièrement, le Laïc qui répond à la lettre écrite à M. Desmares m’est parfaitement inconnu ;
 ; mais si j’ajoute, en ce moment, aux raisons que je donnais dans ma lettre à M. Desmares, pour qu’il daignât nous permettre
j’étais le premier à rendre justice à M. le missionnaire Desmares. Ma lettre contient (p. 1re.) un éclatant hommage au talent
ts qui nous occupent, et pour suivre l’ordre que j’ai observé dans ma lettre à M. l’abbé Desmares, je commence par le théâtre.
e donnez. A l’appui de mon opinion sur le théâtre, j’ai parlé dans ma lettre à M. Desmares, du bon effet que devaient y produi
lus adroit dans les vôtres, lorsque vous citez l’auteur de la fameuse lettre à d’Alembert. Je ne ferai point remarquer cette s
s, ma réponse sera toujours celle-ci : le même volume qui renferme sa lettre contre les théâtres, contient également ses pièce
galement ses pièces de théâtre ; et on lit à la note 66 de cette même lettre les paroles suivantes échappées à l’auteur du dev
onsieur, je crois qu’il s’y passe autre chose, et je l’ai dit dans ma lettre à M. l’abbé Desmares : on y saute en avant, en ar
l y a plus, Monsieur, et ce seul exemple devrait suffire, relisez les lettres de St.-Augustin et vous verrez quel nom mon respe
nté et dansé après la Pâque juive…. Mais reprenons votre réponse à ma lettre . Je faisais remarquer à M. l’abbé Desmares qu’on
ous-même avez invoqué. Voici ce qu’on lit sur là danse à la fin de la lettre à d’Alembert : « Je n’ai jamais conçu, dit l’aut
lettre à d’Alembert : « Je n’ai jamais conçu, dit l’auteur de cette lettre , pourquoi l’on s’éffarouche si fort de la danse e
ids de ses propres armes. Mais aussi pourquoi m’avez-vous parlé de la lettre à d’Alembert ? N’est-ce pas vous qui m’obligez de
12 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
CHAPITRE IV. SECTION PREMIERE. Lettre d’un Théologien illustre par sa qualité et par so
ualité et par son mérite. A Paris, Chez Jean Guignard. 1694. Cette Lettre a été mise au commencement du Volume de Pièces de
es remords de ce témoins intérieur, il aurait rétracté à la fin de sa Lettre , tout ce qu’il y avait avancé, et il aurait éparg
ses que ces Auteurs ont remarquées. SECTION SECONDE. Réponse à la Lettre du théologien défenseur de la Comédie. A Paris, C
1694. Cette Réponse est le premier Ouvrage qui a paru contre cette Lettre . L’Auteur y parle en Philosophe moral, qui s’appl
die peut causer dans l’esprit et dans le cœur. SECTION TROISIEME. Lettre Française et Latine du Révérend Père François Caf
Paris, Chez F. Muguet. Le Révérend Père Caffaro assure dans cette Lettre , qu’il a été sensiblement affligé du scandale qu’
te Lettre, qu’il a été sensiblement affligé du scandale qu’à causé la Lettre du Théologien ; il la désavoue absolument, il rec
Paris, et l’air méprisant avec lequel on a traité les Rituels dans la Lettre du Théologien ; il reçoit avec soumission la disc
e Monseigneur l’Archevêque lui ordonnera pour édifier l’Eglise. Cette Lettre est datée de Paris le 11. May 1694. SECTION QU
tte Lettre est datée de Paris le 11. May 1694. SECTION QUATRIEME. Lettre d’un Docteur de Sorbonne, à une Personne de quali
nt à répondre à l’Ordonnance de saint Charles Borromée, citée dans la Lettre du Théologien. Il soutient qu’elle est supposée,
éfutation. Il congratule le Révérend Père Caffaro d’avoir désavoué la Lettre du Théologien, d’où il conclut que le Théologien,
e le Théologien, sous le mérite duquel on a voulu mettre à couvert la Lettre favorisant la Comédie, n’est qu’un fantôme que le
n trouve dans cette Réfutation une découverte un peu fâcheuse dans la Lettre du nouveau Théologien. C’est en la page 38. de la
veau Théologien. C’est en la page 38. de la première Edition de cette Lettre , où saint Antonin Archevêque de Florence se trouv
n reproche au Théologien de n’avoir pas bien lu une abréviation d’une lettre Gothique ; car au lieu de Ludus scenicus, on trou
. A Paris, Chez Guérin et Boudot, rue S. Jacques. 1694. Il y a une Lettre en tête, dans laquelle l’Auteur de ces Discours s
sont les Conférences de saint Magloire, Séminaire de Mr. de Paris. La Lettre finit par une Eloge du Père Caffaro, qui a édifié
Ecclésiastique, Tit. 9. chap. 27. Ces deux titres, et le bruit de la Lettre du Théologien partisan de la Comédie, ont détermi
ause de l’Idolâtrie. Le premier Discours commence la Réfutation de la Lettre du Théologien, par une contradiction qui y est :
ère, en citant le jugement qu’en a fait l’Auteur de la République des Lettres dans son Recueil d’Avril 1684. où il parle de Mol
hez Anisson. 1694. Monsieur de Meaux commence par un Extrait de la Lettre du Théologien, qui avait avancé que la Comédie, t
e Décision sur la Comédie et sur les Comédiens : opposés à ceux de la Lettre qui a paru sur ce sujet depuis quelques mois. « N
13 (1731) Discours sur la comédie « Lettre Française et Latine du Révérend Père François Caffaro, Théatin ; à Monseigneur L’Archevêque de Paris. Imprimée à Paris en 1694. in-quarto. » pp. -
Lettre Française et Latine du Révérend Père François Caf
de Auteur d’un libelle fait en faveur de la Comédie, sous le titre de Lettre d’un Théologien, etc. et voir en même temps le sc
et pour l’honneur de mon ministère de déclarer publiquement que cette Lettre n’est point de moi, et que je n’y ai aucune part,
cujusdam Gallice ad Comœdiæ defensionem compositi, et sic inscripti, Lettre d’un Théologien etc. meme vulgo authorem circumfe
a confusion, que les principes et les preuves qui se trouvent dans la Lettre qui s’est donnée au public sans ma participation,
ait quelques endroits de différents entre les deux, où l’Auteur de la Lettre dit ce que je ne dis pas, et parle autrement que
nage, aussi bien que de la différence d’expression qu’il y a entre la Lettre et mon écrit au sujet des Rituels, que la Lettre
n qu’il y a entre la Lettre et mon écrit au sujet des Rituels, que la Lettre semble traiter d’un air qui ne marque pas d’assez
itualia aliquarum Diœceseum. Je ne puis disconvenir qu’à comparer la Lettre avec mon écrit, il ne soit visible qu’elle en est
tion a donné malheureusement et contre mon dessein, ouverture à cette Lettre ; Je n’ai jamais fait état d’imprimer mon écrit :
14 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614
ES Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. La Lettre a indique le tome I ; la Lettre b, le Tome II. A
t parlé dans les deux Volumes. La Lettre a indique le tome I ; la Lettre b, le Tome II. A Académiciens  ; devoirs des g
I ; la Lettre b, le Tome II. A Académiciens  ; devoirs des gens de Lettres , Tome a, Page 260 Adélaïde (Madame) de France. A
Amelot, a, 328 Aménités littéraires ; ouvrage cité en preuve de la Lettre d’un Anglois, rapportée, b, 499 Amitié. Son cara
Evêque de Novarre. Idée de son zele pastoral, b, 244. Citation d’une Lettre de ce Prélat, relativement aux Spectacles, 257 B
ent sur Scuderi, 113. Portrait de la corruption de nos Théatres, 160. Lettre faussement attribuée à Boileau sur les Spectacles
x, 136 Peinture de l’Opéra, b, 399. Belles leçons données aux gens de Lettres , b, 418 Bois (le Cardinal du). Comment il appell
e de la plupart des Pieces de Théatre, 47. Jugement qu’il a porté des Lettres sur les Spectacles, 156. Son sentiment sur le zel
expérience qui se fit chez lui, 79. Corruption du Paganisme, 142. Sa Lettre au P. Caffaro, 359. Témoignage de son contentemen
en Italie. Son zele contre les Spectacles, b, 240 Caffaro (le P.) Sa Lettre en faveur des Théatres, 188. Ses rétractations ad
qu’il pensoit de la place de Souverain Pontife, 253. Beau trait de sa Lettre circulaire aux Evêques, 255. Citation d’une de se
trait de sa Lettre circulaire aux Evêques, 255. Citation d’une de ses Lettres sur les Incrédules & sur la vérité de la Reli
représentations domestiques des Pieces de Théatre, 406 Clément. Ses Lettres contre M. de Voltaire, 550. Son sentiment sur le
, b, 195. Cet écrit est du nombre de ceux qui ont été faits contre la Lettre de M. J.J. Rousseau à M. Dalembert, sur les Spect
lui a été fait de la sépulture chrétienne, 266. Extrait d’une de ses Lettres , b, 564 Coyer (l’Abbé). Idée de son voyage d’Ita
l’amour, a, 1-12 Ganganelli. Voyez Clément XIV cité à l’occasion des Lettres qui ont paru sous son nom. Garnier (l’Abbé). Cit
ifs de son annoblissement, b ; 341. Portrait de notre siecle, 474. Sa Lettre pour annoncer son renoncement aux Ouvrages dramat
atre, a, 598 Juigné (le Clerc de), Evêque de Châlons. Citation de sa Lettre Pastorale contre la lecture des mauvais Livres, a
té sur l’usage des Romans, b, 67 Léon X. Son caractere, b, 180, 233 Lettre d’un Théologien illustre par sa qualité & par
par sa qualité & par son mérite, attribuée au P. Caffaro, b, 116 Lettre de M. Bossuet, Evêque de Meaux, au P. Caffaro, Th
ettre de M. Bossuet, Evêque de Meaux, au P. Caffaro, Théatin, a, 359 Lettre du P. Caffaro, en réponse à la Lettre précédente,
au P. Caffaro, Théatin, a, 359 Lettre du P. Caffaro, en réponse à la Lettre précédente, a, 380 Lettre Françoise & Latine
359 Lettre du P. Caffaro, en réponse à la Lettre précédente, a, 380 Lettre Françoise & Latine du P. Caffaro, a, 385 ; b,
a, 380 Lettre Françoise & Latine du P. Caffaro, a, 385 ; b, 157 Lettre touchant la Comédie, 131 Lettre écrite de Marsei
tine du P. Caffaro, a, 385 ; b, 157 Lettre touchant la Comédie, 131 Lettre écrite de Marseille à M. de la Roque, touchant le
de la Roque, touchant les discours du P. le Brun sur la Comédie, 151 Lettre d’un Docteur de Sorbone sur la Comédie, 157 Lett
la Comédie, 151 Lettre d’un Docteur de Sorbone sur la Comédie, 157 Lettre de M. de Bordelon sur les Spectacles, 189 Lettre
ur la Comédie, 157 Lettre de M. de Bordelon sur les Spectacles, 189 Lettre d’un Curé du Diocese de Paris à M. de Marmontel,
Lettre d’un Curé du Diocese de Paris à M. de Marmontel, &c. 356 Lettre de M. Gresset, où il annonce son renoncement aux
sset, où il annonce son renoncement aux Ouvrages dramatiques, a, 477 Lettre d’un Anglois menacé d’une mort prochaine, 499 Le
tiques, a, 477 Lettre d’un Anglois menacé d’une mort prochaine, 499 Lettre de J.J. Rousseau de Geneve à M. Dalembert, sur le
eve à M. Dalembert, sur les Spectacles, a, 195-221 ; b, 269-283, 278 Lettres sur l’Ouvrage intitulé : Querelles littéraires, b
278 Lettres sur l’Ouvrage intitulé : Querelles littéraires, b, 346 Lettres historiques sur tous les Spectacles de Paris, b,
mis d’indiquer l’Ecrit suivant, attribué à M. de la Dixmerie, a, 195 Lettres sur l’état présent de nos Spectacles, avec des vu
nir, sans s’obérer, à la pompe & à la dignité de leur Spectacle. Lettre d’un ancien Officier de la Reine sur les Spectacl
le. Lettre d’un ancien Officier de la Reine sur les Spectacles, 356 Lettres historiques sur les Spectacles, à Mademoiselle Cl
ttres historiques sur les Spectacles, à Mademoiselle Clairon, b, 356 Lettres à Eugénie, b, 424 Lettres sur les Spectacles, av
pectacles, à Mademoiselle Clairon, b, 356 Lettres à Eugénie, b, 424 Lettres sur les Spectacles, avec une Histoire des Ouvrage
Théatre de la Comédie Françoise, a, 288 Leval (de). Sa Réponse à la Lettre d’un Théologien défenseur de la Comédie, b, 144
n, Curé de S. Eustache de Paris, b, 182 Marmontel. Sa critique de la Lettre de Jean-Jacques Rousseau, a, 223. Son opinion sur
u’il disoit de ses Poésies licencieuses, b, 69 P Paige. (le). Ses Lettres historiques sur les Parlemens, a, 109 Pannart. S
eres de l’Eglise. Comment les principaux ont été caractérisés par une Lettre attribuée à Clément XIV, b, 528. Combien leur lec
de), ancien Premier — Président de la Cour des Aides de Montauban, Sa Lettre à Louis Racine, b, 276. Idée des anciennes Tragéd
ailler, 565. Mauvais goût de notre Théatre, 381. Son jugement sur les Lettres à Eugénie, 424. Ses réflexions judicieuses à l’oc
90, 306. Son hommage rendu à l’Evangile, 192. Pensées extraites de sa Lettre à M. Dalembert sur les Spectacles, 194-221. Ses i
Tragédie, b, 8. Ses réflexions sur les Romans, 61-63. Critiques de sa Lettre à M. Dalembert, 195. Portrait des faux Philosophe
glises, a, 585-587 Roustant (Antoine Jacques). Son témoignage sur la Lettre de M. J.J. Rousseau à M. Dalembert, b, 279 Rubin
qu’il a donné à l’occasion du mariage de Louis XVI, b, 168 285. La Lettre a indique le tome I ; la Lettre b, le Tome II.
ariage de Louis XVI, b, 168 285. La Lettre a indique le tome I ; la Lettre b, le Tome II.
15 (1588) Remontrances au roi Henri III « [Chapitre 2] » pp. 128-135
e cette ordure est maintenant par vous : car vous leur avez donné vos lettres de permission pour continuer cet abus encommencé
ur continuer cet abus encommencé devant votre règneLe Roi a donné ses lettres de permission pour continuer les jeux de Bourgogn
de Parlement et Prévôt de Paris de les faire jouir du contenu en vos lettres . Ce qu’ils ont très bien exécuté, ayant maintenu
et la défense des Pasteurs EcclésiastiquesLes magistrats ont entériné lettres de permission contre la défense des Pasteurs Eccl
certainement, que l’on a journellement si grande peine à obtenir vos lettres pour choses de justice, et quand on les a obtenue
es moqueries et vilenies qui sont contre le commandement de Dieu, vos lettres et les arrêts ne manquent point. Jugez (Sire) si
ont offensés par les jeux de l’hôtel de Bourgogne. Le Roi a donné ses lettres de permission pour continuer les jeux de Bourgogn
ion pour continuer les jeux de Bourgogne. Les magistrats ont entériné lettres de permission contre la défense des Pasteurs Eccl
lettres de permission contre la défense des Pasteurs Ecclésiastiques. Lettres du Roi sont aisément impétrées et vérifiées ès ch
16 (1777) Il est temps de parler [Lettre au public sur la mort de Messieurs de Crébillon, Gresset, Parfaict] « Il est tems de parler. » pp. 27-36
de parler. A Toutes les vexations des Comédiens envers les Gens de Lettres , je n’ai dit mot. Au tyrannique empire, au despot
ems, & je parle aussi ; mais je parle au nom de la République des Lettres . Ce n’est point ma cause que je vais plaider, c’e
étoit le vœu général : c’étoit la demande, non-seulement des Gens de Lettres , mais encore des Gens du Monde. Les Écrits sans n
e Chevalier du Coudray à donner la sienne, qui parut sous le titre de Lettre à Madame la Comtesse de Turpin 2. Rapportons ce q
l’Histoire du Théâtre Français. Au commencement de 1775, un Homme de Lettres estimable, Auteur du Roi & du Ministre, ou He
sont garnies que de ronces, épines & feuilles de houx. L’Homme de Lettres essuye mille désagrémens, dont le refus de son Ou
que les procédés de celle de Paris continuent de révolter les Gens de Lettres , on ne voit pas pourquoi ceux-ci ne rameneroient
ue mal acquis, d’accepter ou de refuser les Drames ; & l’Homme de Lettres ressemble à un Vassal de Fief qui va faire foi &a
odieux établissement, je propose un Tribunal composé de huit Gens de Lettres , qui auroient une réputation faire par trois succ
D’ailleurs, c’est une idée que l’amour du bien public, l’avantage des Lettres , & la gloire des Auteurs m’ont suggérée, &
autroit encore ses inconvéniens, mais il en auroit moins. Les Gens de Lettres alors seroient jugés par leurs pairs ; les avis s
ans cela, peut-être aurois-je été loin dans la carriere dramatique. » Lettre à M. Palissot. Quoique M. le Chevalier du Coudray
3. Célebre Critique que la mort vient d’enlever à la République des Lettres , au mois de Février 1775.
17 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 16-18
Reponse à la Lettre précedente. MONSIEUR, J’Ai reçû la Lettre, don
Reponse à la Lettre précedente. MONSIEUR, J’Ai reçû la Lettre , dont vous m’avez honorée : vous m’y invitez à be
ient utiles au prochain ; j’ai le plaisir de vous annoncer, que vôtre Lettre à eu bon effét : j’ai pris la liberté, de la fair
cune impression, & n’en sommes nullement touchées. L’Auteur de la lettre nous auroit obligées, s’il eut pris la peine de n
jeune Demoiselle de 24. ans, fille de condition : je lui donnai vôtre lettre . Après qu’elle en avoit fait la lecture ; hé mon
si n’y peut-il pas être grand mal ; car je ne vois nulle part dans la lettre , que la Comedie soit qualifiée de pêché mortel. E
18 (1759) Lettre sur la comédie pp. 1-20
Lettre sur la comédie LETTRE DE M. GRESSET, L’un des
Lettre sur la comédie LETTRE DE M. GRESSET, L’un des Quarante de l’Académie Fr
;ET Herissant, rue neuve Notre-Dame.M. DCC. LIX. *** On voit ici une Lettre imprimée à Amiens sous le titre de Lettre de M. G
. LIX. *** On voit ici une Lettre imprimée à Amiens sous le titre de Lettre de M. Gresset, l’un des Quarante de l’Académie Fr
à-coup la Religion, toujours reconnue & respectée de cet Homme de Lettres , mais combattue encore dans son ame par la fausse
aient paru dans l’Eglise de France. Cet exemple est si beau, & la Lettre est, à tous égards, si digne d’être conservée, qu
ume de nos Mémoires, dont elle fera l’honneur & l’agrément. *** LETTRE DE M. GRESSET, L’un des Quarante de l’Académie Fr
que je vous connois depuis si long-temps : ainsi le langage de cette Lettre ne vous sera point étranger, & je compte qu’a
lle est possible, dépend de votre agrément pour la publicité de cette Lettre  : j’espère que vous voudrez bien permettre qu’ell
s. Je vous demanderois grace ; Monsieur, sur quelques traits de cette Lettre , qui paroissent sortir des limites du ton épistol
19 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. De la Dédicace de la Statue de Voltaire. » pp. 71-94
l y a trois ans, dans tous les papiers publics, que plusieurs gens de lettres s’étoient cottisés par la voie de la souscription
e leurs poëmes n’ayent point été inutiles à Voltaire ; ni les gens de lettres , ni personne, n’ont songé à leur ériger des statu
mp; coutera dix mille livres, marché fait. On invite tous les gens de lettres à y contribuer, il auront part à la gloire de Vol
loire de Voltaire, cela est flatteur ; mais à toute la république des lettres , l’invitation est bien étendue, il est vrai que l
s lettres, l’invitation est bien étendue, il est vrai que les gens de lettres ne sont pas pécunieux, & qu’on n’espere de se
uoi non ? Arouet vaut bien Alexandre, ses conquêtes dans l’empire des lettres , ne sont pas moins étendues, sa reputation moins
c’est un véritable Apollon, qui inspire les poëtes, tout l’empire des lettres se tait en sa présence, & tombe à ses genoux.
lettres se tait en sa présence, & tombe à ses genoux. Les gens de lettres , continue le programme sont seuis admis à y cont
ra bien venu, & le secretaire de l’Académie n’exigera pas plus de lettres de noblesse qu’il n’en exige de la plupart des ac
’estal cette inscription, à Voltaire, pendant sa vie, par les gens de lettres de on tems. Cette inscription dont Voltaire est p
de ceux qui l’ont imaginé le déprécie, pourquoi dire par les gens de lettres de son tems . Est-il surprenant que pour illustre
s . Est-il surprenant que pour illustrer leur profession, les gens de lettres tâchent de décorer quelqu’un qui s’y est distingu
ent de décorer quelqu’un qui s’y est distingué ; qui sont ces gens de lettres  ? Une douzaine d’entousiastes à la Capitale. Dans
e douzaine d’entousiastes à la Capitale. Dans la totalité des gens de lettres répandus dans le royaume, il n’y en a pas un sur
tatue à Voltaire ; il faloit donc mettre non indéfiniment des gens de lettres , mais quelques gens de lettres. C’est quelque ama
nc mettre non indéfiniment des gens de lettres, mais quelques gens de lettres . C’est quelque amateur du théatre, aucun autre ge
illes célebrent ces fêtes avec le plus grand éclat, tout l’empire des lettres devoit solemniser de même la dédicace des statues
ait voler à l’apothéose de Voltaire, pendant sa vie, par les gens de lettres de son tems  ; cependant tous les instruments fon
parole à ce marbre insensible, qui, comme dit M. de la Harpe, dans la lettre qu’il a écrite à Voltaire, insérée dans le Mercur
etester les cabales, il faut respecter l’union des véritables gens de lettres . Je vous rémercie donc pour moi, & pour la be
ain. Il n’étoit pas de l’honneur de Voltaire, de rappeller Uranie, sa lettre à Uranie n’est rien moins que sage. Son grand cré
us juste que celle du divin Voltaire, pendant sa vie, par les gens de lettres . Voici un autre triomphe : le triomphe de la mort
20 (1807) Préface pour une édition des deux lettres à l'auteur des Imaginaires « [EN-TETE]. PREFACE. Pour une édition des deux Lettres à, l’auteur des Imaginaires , etc. » p. 77
[EN-TETE] PREFACE Pour une édition des deux Lettres àl’auteur des Imaginaires , etc.a a. [NDE] D
e explique les raisons pour lesquelles il n’a pas publié la « Seconde Lettre de Monsieur Racine aux deux apologistes des Hérés
ine aux deux apologistes des Hérésies imaginaires », réponse aux deux lettres attribuées à Barbier d’Aucour et à Goibaud-Dubois
aginaires et des Visionnaires en 1667 qui le pousse à réunir ses deux lettres avec une préface. Cependant, il abandonne finalem
21 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7
au monde quel est le Visionnaire de vous deux. J’ai lu jusqu’ici vos Lettres avec assez d’indifférence, quelquefois avec plais
marquais que vous prétendiez prendre la place de l’Auteur des Petites lettres b, mais je remarquais en même temps que vous étie
ais, Monsieur, si je m’en souviens, on a loué même Desmarets dans ces Lettres . D’abord l’Auteur en avait parlé avec mépris, sur
cela est également profane selon vos maximes. Il avoue aussi dans une Lettre qu’il a été dans le dérèglement, et qu’il s’est r
intenant en lice contre Desmarets, nous ne refusons point de lire vos Lettres . Poussez votre Ennemi à toute rigueur. Examinez C
es autres. Surtout, je vous le répète. Gardez-vous bien de croire vos Lettres aussi bonnes que les Lettres Provinciales. Ce ser
e répète. Gardez-vous bien de croire vos Lettres aussi bonnes que les Lettres Provinciales. Ce serait une étrange vision que ce
moyen de l’être. Retranchez-vous donc sur le sérieux. Remplissez vos Lettres de longues et doctes périodes. Citez les Pères. J
ut que chacun suive sa vocation. Je suis, etc. b. [NDE] Les Petites Lettres  : titre sous lequel étaient connues au XVIIe sièc
s. d. [NDE] Allusion à la « Réponse du Provincial aux deux premières lettres de son ami ». e. [NDE] Note de Thirouin : Les En
libres écrit par Le Maistre de Sacy (1654) ; Les Chamillardes : trois lettres « A Monsieur Chamillard, docteur de Sorbonne, sur
22 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IX. Qu’il faut craindre en assistant aux comédies, non seulement le mal qu’on y fait, mais encore le scandale qu’on y donne. » pp. 41-43
a dissertation fréquentent les comédies « sans scrupule » Page 38. [«  Lettre d’un théologien », page 38]., que je crains que l
. Mais ce sont gens, dit l’auteur,« d’une éminente vertu »Page 35. [«  Lettre d’un théologien », page 35].  , et il les compte
roient pouvoir être ensemble au monde et à Jésus-Christ. Page 38. [«  Lettre d’un théologien », page 38]. Mat, XI, 25. [Matth
ge 38]. Mat, XI, 25. [Matthieu, chapitre XI, verset 25]. Page 35. [«  Lettre d’un théologien », page 35]. I. Cor. X. 12 [1e é
Matt. XXIII, 24. [Matthieu, chapitre XIII, verset 24]. i. [NDE] «  Lettre d’un théologien », page 38. j. [NDUL] Couler, f
23 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « [EN-TETE] »
[EN-TETE] RÉPONSE à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires a
ttre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires a a. [NDE] Cette lettre est publiée anonymement le 1er avril 1666. Elle a
d’Albert, duc de Luynes. Elle est l’une des deux réponses faite à la  Lettre à l’auteur des Hérésies imaginaires, et des deux
pour l’établissement de ce texte : l’édition originale (Réponse à la lettre adressée à l’auteur de Hérésies imaginaires, s.n.
24 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74
é civile, par l’inspection de la police, les arrêts du Parlement, les lettres patentes, qu’ils disent avoir en foule, mais qui
uvent rien. Le Prince seul peut autoriser légalement un Corps par des lettres patentes enregistrées au Parlement. La tolérance,
ès de leurs libéralités. Qu’en conclure encore ? C’est que toutes les lettres patentes, tous les arrêts du monde, fussent-ils a
rer. 2.° Dans le fait est-il vrai que la Comédie Française ait eu des lettres patentes enregistrées, et des arrêts du Parlement
dmettre l’existence légale d’aucun Corps qui ne soit autorisé par des lettres patentes dûment enregistrées, eût-il établi la tr
x Comédiens, c’est donner au Diable. Assurément ce ne sont pas là des lettres patentes. » Il y en a pourtant de trois espèces,
cun avantage, elles lui sont même contraires. 1.° La Basoche a eu des lettres patentes de Philippe le Bel et de quelques autres
foi, pour confondre ces objets, et ne pas voir par les dates même des lettres patentes et des arrêts qu’ils citent avec tant de
ligieuses qui les firent accorder. 3.° Les Comédiens Italiens ont des lettres patentes fort anciennes, cela est vrai ; mais je
ns Italiens, attirés par la Reine Catherine de Médicis, obtinrent des lettres patentes, et les présentèrent au Parlement pour l
’amende arbitraire et de punition corporelle, quelques permissions ou lettres patentes qu’ils eussent obtenues. » En 1594, par
de ». On est étonné de voir dès lors des Comédiens Italiens, et leurs lettres patentes rejetées. Mézeray nous explique cette én
ouces, étaient de pernicieuses écoles d’impudicité. Ils obtinrent des lettres patentes pour leur établissement, comme si c’eût
infâmes, et leur défendit de jouer, ni de plus obtenir de semblables lettres  ; et néanmoins dès que la Cour fut de retour de P
ajoute : Le Parlement leur défendit de jouer, mais ils obtinrent des lettres patentes pour qu’il leur fût permis de le faire,
r fût permis de le faire, malgré le Parlement. Ils présentèrent leurs lettres le 27 juillet pour être enregistrées ; elles fure
et « défenses à eux faites de présenter et plus obtenir de pareilles lettres , sous peine de dix mille livres d’amende ». Nonob
ce refus authentique, ils n’ont plus osé se présenter, ni obtenir des lettres , qui sans doute leur auraient été refusées ; mais
tait. Cette pension se payait encore en 1608, comme il paraît par une lettre du Roi à M. de Sully pour la faire payer (Mémoire
autorisée dans aucun Parlement. Celui de Paris rejeta constamment les lettres patentes qu’on lui présenta, et on n’en a jamais
imposer au public, que de fonder la légitimité de la comédie sur des lettres patentes enregistrées. h. [NDE] pies = pieuses.
25 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « AVERTISSEMENT »
est aisé de voir qu’elle était prête à paraître, lorsqu’on publia la Lettre écrite à Monseigneur l’Archevêque de Paris, pour
pas entièrement ma Réfutation, et si le tort qu’avait pu causer cette Lettre , n’était pas suffisamment réparé. Cependant comme
eurs Ouvrages au Public, sans doute parce que les raisonnements de la Lettre subsistent toujours, et qu’on ne doit rien oublie
u reste je ne combats plus dans ma Réfutation celui qui a désavoué la Lettre avec édification du Public ; mais celui qui en es
26 (1731) Discours sur la comédie « Lettre à Monsieur *** » pp. -
Lettre à Monsieur *** Il est difficile d’entreprendre
les ai prononcés devant des personnes la plupart indignées contre la Lettre qui avait parlé en faveur de la Comédie. Ainsi s’
Au reste, quand on ne ferait paraître aucun ouvrage sur ce sujet, la Lettre du R.P. Caffaro suffit ce me semble pour détruire
e qu’on lui attribuait. Je ne puis vous exprimer le plaisir que cette Lettre m’a donné : car outre que tout le monde doit être
que le R. P. Caffaro. Je suis, etc. Le 2. mai 1694. IL paraît par la Lettre précédente, que l’Auteur des deux Discours qui su
27 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  AVERTISSEMENT DE. L’ÉDITEUR. » pp. -
plume d’un Ecrivain estimé est assuré d’être accueilli du Public. La Lettre qu’on publie aujourd’hui parut pour la première f
Dictionnaire de Bayle en a aussi senti le prix ; car le fond de cette Lettre lui a servi pour composer l’article Racine. Il en
n de la Littérature, qui s’accroît tous les jours. On a joint à cette Lettre une Pièce de Vers du même Auteur, composée lorsqu
ici naturellement sa place. On a inséré à la suite de ces Vers trois Lettres de Racine, non encore imprimées, & copiées d’
t d’examiner cette question, Racinius an Poëta ? an Christianus ? Ces Lettres feront connoître à la fois & la Religion de c
28 (1759) Lettre à M. Gresset pp. 1-16
Lettre à M. Gresset LETTREA M. GRESSET,De l’Académie
ubliée sur la Comédie. J’ai vu depuis peu de jours, Monsieur, votre Lettre imprimée sur la Comédie : elle annonce vos regret
e, sans la toute-puissance de la grâce ! Vous nous peignez dans votre Lettre avec énergie, et en même tems avec douleur, ce co
même digne de réfutation. Vous avez prévu, Monsieur, l’effet de votre Lettre sur les mondains et sur nos grands esprits : elle
iques. Je finis, Monsieur, en vous réitérant ma satisfaction de votre Lettre , malgré toutes les censures privées et publiques 
un Ecrivain fort connu et de beaucoup d’esprit, qui s’est adressé une Lettre d’un Poète Anglais, auteur de plusieurs Poésies d
blement son incompatibilité avec les bonnes mœurs, dans son éloquente Lettre à M. d’Alembert. En vain celui-ci a épuisé toutes
’être ; avec ces sentiments, Monsieur, etc. P. S. En finissant cette Lettre , je reçois le Journal de Trévoux, dont le princip
son impartialité et son désintéressement : le cas qu’il fait de votre Lettre , l’a engagé à la déposer toute entière dans son J
29 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « TABLE DES CHAPITRES ET DES SECTIONS. »
die, dans Les Mœurs des Chrétiens. page 66.   CHAPITRE IV. Section i. Lettre d’un Théologien illustre par sa qualité et par so
e par sa qualité et par son mérite. page 77. Section ii. Réponse à la Lettre du Théologien défenseur de la Comédie. page 80. S
a Lettre du Théologien défenseur de la Comédie. page 80. Section iii. Lettre Française et Latine du Père François Caffaro, A M
re François Caffaro, A Mr. l’Archevêque de Paris. page 80 Section iv. Lettre d’un Docteur de Sorbonne, à une Personne de quali
30 (1758) Lettre à M. Rousseau pp. 1-42
Lettre à M. Rousseau LETTRE A M. ROUSSEAU.AVANT-PROP
Lettre à M. Rousseau LETTRE A M. ROUSSEAU.AVANT-PROPOS. Venit ad me sæpe c
le don de l’engager à m’entendre. Monsieur, Je viens de lire votre lettre à M. D’Alembert. Je laisse à d’autres le soin d’e
la plume me tombe des mains en cet endroit. Quoi ! Monsieur, tant de Lettres passionnées, tant de Romans attendrissans, n’ont
te-feuilles de mille gens du monde ; vous y trouverez des milliers de lettres pleines des plus vives images de l’amour. Vous me
ives images de l’amour. Vous me direz que la passion qui est dans ces lettres ne fut point sentie, et n’est qu’un monument de l
dans un des points de notre dispute, parce qu’il est certain que ces lettres étant très tendrement écrites, si elles ne sont q
ui n’existe nullement dans le cœur. Vous ne voulez pas croire que les Lettres d’une Portugaise f soient l’ouvrage d’une femme ?
es de l’amoureuse la Suzeh, les vers de la tendre Des Houlièresi, les Lettres d’une Péruviennej, Cénie k, les Lettres de la Pré
la tendre Des Houlièresi, les Lettres d’une Péruviennej, Cénie k, les Lettres de la Présidente Ferrandl, etc. ne sont pas l’ouv
lusion géometrique, une femme devant qui je lisais l’autre jour cette Lettre , s’écria : ah ! j’allais le dire. a. [NDE] Jean
s naturel ou Les épreuves de la vertu, Denis Diderot, 1757. f. [NDE] Lettres d'une portugaise, Gabriel de Gilleragues, 1669.
Coligny (1618-1673), comtesse de Coligny et de la Suze, une femme de lettres française. i. [NDE] Antoinette Des Houlières (16
(1638-1694), née Antoinette du Ligier de la Garde, était une femme de lettres française. j. [NDE] Lettres d'une Péruvienne, Fr
u Ligier de la Garde, était une femme de lettres française. j. [NDE] Lettres d'une Péruvienne, Françoise de Graffigny, 1747.
figny, 1747. k. [NDE] Cénie, Françoise de Graffigny, 1750. l. [NDE] Lettres d'Anne Bellinzani Ferrand (1657?-1740), femme de
0. l. [NDE] Lettres d'Anne Bellinzani Ferrand (1657?-1740), femme de lettres française, à Louis Auguste le Tonnelier, baron de
31 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
i avec M. de Marandéb, je vous puis dire un mot sur le sujet de votre lettre . J'espère que cela ne sera pas inutile pour en fa
guère. Et comment peut-on dire dans les trois premières lignes d’une lettre , qu’on ne se déclare point pour Desmarets, et qu’
ue vous dites à l’auteur des Hérésies imaginaires sur le sujet de ses lettres , vous réussira mieux. « Vous les avez lues, dites
jusqu’à dire qu’il y a grande différence entre les Imaginaires et les Lettres au Provincial. Voilà un grand effort de jugement,
n n’a rien à dire. Vous dites pourtant quelque chose sur la fin votre lettre . Car vous savez approfondir quand il vous plaît.
d il vous plaît. Veut-on donc savoir ce qu’il y a de mauvais dans les Lettres de l’hérésie imaginaire ? Le voici : c’est que «
les, ce sont les Hérésies imaginaires. Il est certain que les Petites lettres sont inimitablesc. Il y a des grâces, des finesse
ruses ? Je ne prétends pas marquer tout ce qu’il y a de beau dans les Lettres de l’hérésie imaginaire : cela serait fort superf
étendez-vous par cette grande exagération qui fait la moitié de votre lettre  ? Que signifient tous ces beaux traits : « Que le
nt pas comme on veut, cela n’aide pas à penser juste ; et toute votre lettre se ressent de cette émotion qui vous a pris dès l
? Il est vrai que si vous ne vous étiez avisé de cet expédient, votre lettre aurait été un peu courte. Il a fallu mettre tous
n dit. Vous voyez bien à quoi se réduit ce que nous avons vu de votre lettre jusqu’ici. Et croyez-vous encore dire quelque cho
er et Léonard de Marandé, adversaire du jansénisme. c. [NDE] Petites lettres  : nom par lequel sont connues les Lettres au Prov
nsénisme. c. [NDE] Petites lettres : nom par lequel sont connues les Lettres au Provincial de Pascal au XVIIe siècle. d. [NDE
n vers libres de Le Maistre de Sacy (1654) ; Les Chamillardes : trois lettres « À Monsieur Chamillard, docteur de Sorbonne, sur
ne citait alors Nicole, L’Hérésie imaginaire ou Première visionnaire, lettre XI. k. [NDE] Honorius 1er, pape de 625 à 638, c
32 (1675) Lettre CII « Lettre CII. Sur une critique de son écrit contre la Comédie » pp. 317-322
Lettre CII Sur une critique de son écrit contre la Coméd
ire, ce qui n’est pas un grand mal. Pour les trois remarques de votre lettre , je ne m’arrêterai qu’à celle qui regarde les ver
i contraires à ces deux vers, que parce que vous témoignez dans votre lettre quelque désir de savoir ce que l’on en pouvait di
de prendre de la peine à le défendre. Sap. 2. 12. a. [NDE] : Cette lettre n’est pas datée avec précision, mais on peut la s
l’établissement de ce texte : l’édition Desprez (Essais de Morale ou lettres écrites par feu M. de Nicole, t. VIII, éd. Guilla
du Cid que l’on ne peut identifier avec certitude en l’absence de la lettre initiale. Pour L. Thirouin, ces deux vers ne peuv
33 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXX. Profanation du dimanche : étrange explication du précepte de la sanctification des fêtes. » pp. 109-116
is encore pour prendre du repos à l’exemple de Dieu même »Page 55. [«  Lettre d’un théologien », page 55].  : d’où il conclut «
fice achevé : à quoi il tâche encore de tirer Saint ThomasPage 55. [«  Lettre d’un théologien », page 55]., qui premièrement ne
mmence qu’après l’office, et comme dit notre auteur, Pag. 53. 56. [«  Lettre d’un théologien », pages 53 et 56].« lorsque les
anisme, et assister sérieusement à l’office de l’église. Page 55. [«  Lettre d’un théologien », page 55]. Page 55. [« Lettre d
’église. Page 55. [« Lettre d’un théologien », page 55]. Page 55. [«  Lettre d’un théologien », page 55]. Exod. XXIII. 12. [Ex
13. [Isaïe, chapitre LVIII, verset 13]. Ibid. V.14. Pag. 53. 56. [«  Lettre d’un théologien », pages 53 et 56]. 2. 2. q. 168.
34 (1865) Mémoires de l’abbé Le Gendre pp. 189-194
Mémoires de l’abbé Le Gendre a (1694.) En ce temps-là parut une lettre en faveur de la comédie, lettre assez bien écrite
(1694.) En ce temps-là parut une lettre en faveur de la comédie, lettre assez bien écrite et si ample, qu’elle pouvait pa
es des dévots, trouva un tempérament qui fut de ne point condamner la lettre , mais de punir le théatin qui en était l’auteur.
lume ; le Père fournit les matériaux et le poète les mit en œuvre. La lettre ne fut faite que pour être à la tête des ouvrages
ort irrités sans savoir de qui se venger, lorsqu'ils apprirent que la lettre avait été lue tout entière à l’Académie, et que,
e. Quoique une compagnie dans laquelle il y a toujours eu des gens de lettres d’un grand mérite ait mis cinquante ans à le fair
35 (1731) Discours sur la comédie « Préface de l'Editeur. » pp. -
rsault fit imprimer son Théâtre, et mit à la tête de son Recueil, une Lettre d’un Théologien, illustre par sa qualité et par s
t douze d’entre eux portèrent leurs plaintes à l’Official. Quoique la Lettre fut anonyme, le nom de l’Auteur des Pièces de Thé
nçois Caffaro. M. l’Archevêque, informé du scandale que causait cette Lettre , éclaircit le fait, et obligea ce Religieux qui n
ent ici de nommer, le mit en l’état où il a paru. Depuis ce temps, la Lettre du Théologien a été imprimée à la tête du Théâtre
gnorance de son Auteur ; et il parle avec mépris des réponses à cette Lettre . Je n’en suis pas étonné, la plupart des Adversai
36 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « PRÉFACE. » pp. 3-6
contes. »Ibid. 4. 3. Il a paru dans Paris depuis quelques mois une Lettre  ; où l’on entreprend de justifier la Comédie, qui
êque de Paris ayant ensuite été informé du scandale que causait cette Lettre , obligea à un desaveu public et solemnel le P. Ca
teur. après une réparation si solemnelle du scandale causé par cette Lettre , je ne crus plus nécessaire ce présent Traité, qu
être pleinement satisfaits. Mais comme les raisons contenues dans la Lettre , dont il s’agit ici, quoique frivoles et peu soli
37 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « [FRONTISPICE] »
ntre les Hérésies Imaginaires.et les Visionnaires a. a. [NDE] Cette lettre est publiée anonymement en 1666 (datée du 22 mars
Philippe Goibaud-Dubois. Elle est l’une des deux réponses faite à la  Lettre à l’auteur des Hérésies imaginaires, et des deux
lissement de ce texte : l’édition originale (Réponse à l’auteur de la lettre contre Hérésies imaginaires et les Visionnaires,
38 (1765) De l’éducation civile « De l’éducation civile » pp. 76-113
avantage, celui même qui engendre tous les autres, est de ramener les Lettres à l’esprit de leur véritable institution : elles
ent l’humanité. S’il en faut croire les anciens monumens, ce sont les Lettres qui ont rassemblé les hommes dispersés, qui les o
ncroyables, c’est que nous avons perdu de vue le véritable esprit des Lettres , & que nous les avons, en quelque sorte, déna
César & un Pompée. De tels hommes ne cherchoient point, dans les Lettres , un stérile amusement, ni la réputation plus stér
esprits, & de régner sur les cœurs ; au lieu que parmi nous, les Lettres ont été, ou entiérement méprisées, ou le plus sou
u de se promettre de ces heureux commencemens, si le Plan du Pere des Lettres eût été constamment suivi ? Mais un démon, envieu
divins ; ils n’ont point balancé à vous placer à la tête des gens de Lettres  ; que dis-je ? Ils n’ont plus estimé le reste des
tige qui fascine les yeux du commun des Lecteurs, & à ramener les Lettres à l’objet de leur véritable institution. Car enfi
ution. Car enfin, depuis qu’on a mis les Poëtes à la tête des gens de Lettres , & les Auteurs dramatiques à la tête des Poët
est-il résulté ? Que l’on s’est accoutumé à regarder tous les gens de Lettres en général comme des Artisans de volupté, & u
indre qu’il ne diminue encore de jour en jour, & que l’esprit des Lettres ne s’abâtardisse entiérement si l’on n’y apporte
; parmi les Romains, Lucullus, Brutus & Julien. La République des Lettres y gagneroit infiniment. On feroit peut-être moins
39 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
armi nous. Serait-il possible que Paris, le séjour des Arts & des Lettres , où règnent tout à la fois le faste & le goût
illeurs, quels sont les énnemis de notre Opéra ? de prétendus gens de Lettres  ; & ces Messieurs se sont acquis le droit de
a Comédie-mêlée-d’Ariettes. L’on sentait depuis long-tems que les Lettres avaient besoin d’un nouvel ornement, & que no
le aux Acteurs de ce Spectacle charmant de le faire écrire, en grosse lettres d’or, sur le rideau de leur avant scène. On jurer
a-Bouffon savent représenter les actions d’un manant : qu’un Homme de Lettres s’occupe à faire revivre Alexandre, Brutus &
rages ? Aurions-nous vu des Auteurs distingués dans la République des Lettres , ne pouvoir atraper sur ce Théâtre ce je ne sais
ontinue la satire outrée ; s’il est l’enfant des beaux Arts & des Lettres brillantes de gloire, pourquoi n’est-il pas né da
nouveau Théâtre corrompt le bon goût, & détruira tout-à-fait les Lettres . Ce n’est pas là les seuls sujets de reproche
e dans l’Europe & dans presque tout l’Univers, les Arts & les Lettres ne pouvaient être détruits que par le mauvais goû
poetica. 6. Poèt. Chap. 13. 7. Piron, la Métromanie, Comédie. 8. Lettres sécrettes. 9. Lettres secrettes. 10. Pratique d
ap. 13. 7. Piron, la Métromanie, Comédie. 8. Lettres sécrettes. 9. Lettres secrettes. 10. Pratique du Théâtre, l. 2. Chap. 
40 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. —  HISTOIRE. DES OUVRAGES. Pour & contre les Théatres Publics. » pp. 101-566
cisions contre les Spectacles publics, que nous avons citées dans nos Lettres , pages 121 & 122. Voilà ce qui concerne la pa
nac une si méchante Tragédie. Cet Ecrivain mourut à Nemours en 1676. Lettre d’un Théologien illustre par sa qualité & par
t permise ou doit être absolument défendue, in-12, Paris, 1694. Cette Lettre , avec un si beau titre, n’eut pour approbateurs q
rat & damnat, tertius districtè respondet. Basileæ 1619 ; in-4°. Lettre sur les désordres qui se commettent à Paris touch
mieux fondée & la plus réfléchie, qu’il a dit autant en homme de Lettres qu’en Philosophe Chrétien : « Ce n’est plus que d
ne seroient pas fondés à réclamer pour eux cet Ouvrage. Réponse a la Lettre d’un Théologien, défenseur de la Comédie. Paris,
re, est l’Auteur de ces Discours. Le premier est une réfutation de la Lettre du prétendu Théologien qui avoit entrepris la déf
rrêts des Magistrats qui les ont condamnés en France. Enfin, dans une Lettre qui est à la fin, l’Auteur résout quelques diffic
a Critique qui en fut faite. Voici le titre de l’Ecrit en question : Lettre écrite de Marseille, le premier Juillet 1731, à M
le Brun sur la Comédie. Si vous dites qu’il a réfuté si solidement la Lettre du P. Caffaro qui a justifié la Comédie ; pourquo
une du P. Caffaro ». L’Auteur du Mercure n’hésita pas à insérer cette Lettre dans son Journal. Il n’y ajouta aucune réflexion,
l se trouveroit vengé par le peu de cas que le Public feroit de cette Lettre . Mais quelque mépris qu’elle méritoit, il y eut u
te Lettre. Mais quelque mépris qu’elle méritoit, il y eut un homme de Lettres (M. Simonet) qui observa que « la plupart des par
ier les Théatres ». Et en conséquence, il se chargea de faire à cette Lettre une réponse, qui fut imprimée sous le titre qui s
qui suit : Dissertation sur la Comédie, pour servir de réponse à la Lettre insérée dans le Mercure d’Août 1731, au sujet des
; & fermant l’oreille à la vérité, ils l’ouvrent à des fables70. Lettre d’un Docteur de Sorbone à une personne de qualité
qualité, sur le sujet de la Comédie [par Jean Gerbois]. Paris, 1694. Lettre Françoise et Latine du P. François Caffaro à M. d
à M. de Harlai, Archevêque de Paris, 1694. Ce Religieux y désavoue la Lettre du prétendu Théologien qu’on lui avoit attribuée.
ttribuée. Cette rétractation édifiante est imprimée à la suite de nos Lettres sur les Spectacles, avec un Extrait de l’Ouvrage
r à cet Ouvrage l’Eloge que ce même Prélat a fait de Térence, dans sa Lettre à Innocent XI : qu’au reste, en lisant les maxime
Amateur zélé des Spectacles en a donné une Histoire sous ce titre : Lettres historiques sur tous les Spectacles de Paris, 171
octrine de ce Philosophe sur cet objet se trouve exposée dans une des Lettres de l’Empereur Julien, dont l’Abbé de la Bletterie
me odieuse opposée à celle qui suit, & qui devroit être écrite en Lettres d’or : Les Rois sont faits pour rendre heureux le
maxime que notre Roi paroît être fixé ; nous en avons un gage dans la Lettre que Sa Majesté a écrite aux Evêques à l’occasion
i énergiquement paraphrasée dans son Mandement du 35 Juin 1775. Cette Lettre nous a rappellé ces paroles du jeune Salomon mont
eur des Théatres publics. Ainsi c’est sans fondement que l’Auteur des Lettres historiques sur les Spectacles, donne le Cardinal
sion de la le Couvreur. Nous avons rapporté [pag. 53 & 266 de nos Lettres ] que cette Actrice, qui mourut le 30 Mars 1730, n
e représentent dans les Colleges. Nous avons placé à la suite de nos Lettres sur les Spectacles, les raisons au nombre de ving
Vossius, dans le mois d’Août 1702 des Nouvelles de la République des Lettres . Il y adopte, page 189, le sentiment de ce Sçavan
s, une histoire pour laquelle on doit avoir le plus grand respect ». Lettre de M. Bordelon. Paris, 1699. L’Auteur prouve que
le septieme Tome de la continuation des Mémoires de Littérature, une Lettre sous le nom de Despréaux pour la justification de
la justification des Théatres ; & on joignit une Réponse à cette Lettre . Mais on reconnut qu’on avoit abusé du nom de ce
espréaux, page 160, prouve que s’il avoit vécu, il auroit désavoué la Lettre qu’on lui attribuoit. Observations sur la Comédi
 : Il n’en est point qu’on doive exclure. Volt. Temple du Goût. Lettre à M. J.J. Rousseau au sujet de sa Lettre à M. Dal
Volt. Temple du Goût. Lettre à M. J.J. Rousseau au sujet de sa Lettre à M. Dalembert, par M. de Bastide, 1758. Lettre
sseau au sujet de sa Lettre à M. Dalembert, par M. de Bastide, 1758. Lettre à M. J.J. Rousseau, sur l’effet moral du Théatre,
Rousseau ne s’est pas ému à l’occasion de toutes les Critiques de sa Lettre contre les Spectacles. Il les a considérées comme
un Imprimé sous le titre de Réponse pour M. le Chevalier de ***, à la Lettre de M. Desprez de Boissy sur les Spectacles. Cette
eu occasion de parler90. Elles se trouvent dans le quatrieme Tome des Lettres de ce Sçavant, dont le Rocueil fut donné en 1733.
s du célebre Laurent de Médicis, surnommé le Grand, & le Pere des Lettres , mort en 1492, à 44 ans, Rome étoit si décriée pa
en a donnée103. « Cette Relation, dit-il, est distribuée en forme de Lettres adressées à une Dame que M. l’Abbé Coyer appelle
ste de nos Théatres ! » Achevons de les confondre, en leur citant une Lettre Pastorale du Cardinal Delci, dont M. Rulfo a fait
tendue de la charge du suprême Apostolat qui lui avoit été imposé. Sa Lettre Circulaire du 12 Décembre 1769, à tous les Evêque
conscience d’avoir rempli son devoir ». Ces paroles sont tirées d’une Lettre que ce respectable Pontife m’a fait l’honneur de
75. Elle respire la piété d’un Evêque nourri dès son enfance dans les Lettres saintes, & zelé pour l’instruction de son Tro
e Sales, de M. Bossuet, &c. Nous avons (ci-dev. p. 162-182 de nos Lettres ) démontré à cet égard le ridicule des prétentions
15 Novembre 1754 contre la Comédie. On le trouvera à la suite de nos Lettres sur les Spectacles. Lettre de M. le Franc, de l’
omédie. On le trouvera à la suite de nos Lettres sur les Spectacles. Lettre de M. le Franc, de l’Académie Françoise, ancien P
ue que le P. Porée l’a fait dans son Discours. Il y parle en homme de Lettres , Philosophe & Chrétien. Nous avons déjà rappo
& Chrétien. Nous avons déjà rapporté127 quelques traits de cette Lettre , & nous aurons occasion d’en citer d’autres.
nna en 1758 une seconde Edition. En 1759, nous donnâmes notre seconde Lettre sous le Titre de Lettre de M. le Chevalier de ***
Edition. En 1759, nous donnâmes notre seconde Lettre sous le Titre de Lettre de M. le Chevalier de *** à M. de Champigneulles,
ttre de M. le Chevalier de *** à M. de Champigneulles, au sujet de la Lettre de M. Desp. de B** sur les Spectacles. Ces deux L
au sujet de la Lettre de M. Desp. de B** sur les Spectacles. Ces deux Lettres furent réimprimées en 1769 & en 1771, avec un
p; fut enfin réimprimé pour la sixieme fois en 1777, sous ce titre : Lettres sur les Spectacles, avec une Histoire des Ouvrage
ojet d’établir un Théatre de Comédie à Geneve. Amsterdam, 1758. Cette Lettre combat supérieurement les Théatres publics. Mais
st pour éviter cet inconvénient, que j’en ai rapporté dans ma seconde Lettre ce qu’il y avoit de plus frappant. On en trouve a
bert, avec son génie géométrique, n’a pu triompher des argumens de la Lettre de M. J.J. Rousseau contre les Spectacles. « Cett
umens de la Lettre de M. J.J. Rousseau contre les Spectacles. « Cette Lettre , est-il dit dans une Histoire littéraire129, n’a
la suréminence des talens de M. Rousseau, qu’en plaçant à côté de sa Lettre , la Réponse qu’y a faite M. Dalembert. La nuance
a Patrie ; in-8° de 245 pages. « Je suis témoin, dit-il, p. 8, que la Lettre de M. Rousseau a éclairé sur les mauvais effets d
on ait des Comédiens » ! Comme nous avons eu occasion [page 59 de nos Lettres ] d’avancer que les Ministres Protestans condamnoi
de se permettre. Il eut la témérité d’adresser à Philippe Vincent une Lettre où il lui reprochoit à cet égard une austérité dé
e se déconcerta point. Il soutint sa mauvaise opinion par une seconde Lettre . Ce Religieux fut couvert de honte par une repliq
tant de chaleur les Jeux de théatre, que dans le début de sa premiere Lettre , il n’avoit pu s’empêcher de dire qu’il étoit élo
rendant compte de cet Ecrit, dans les Nouvelles de la République des Lettres , du mois de Juillet 1684, y déclare, page 478, qu
ondres, 1726 ; in-8°. L’objet de cet Ecrit se trouve confirmé par une Lettre insérée dans le Mercure du mois d’Août 1723, où l
rté d’un Roman de M. Dorat, intitulé : Les Sacrifices de l’Amour, ou Lettres de la Vicomtesse de Senanges & du Chevalier d
é critiqué. Est-ce parce que l’Auteur, l’ayant donné sous la forme de Lettres , l’action y est tournée en sentiment, & est p
commencer tard à parler d’amour ». Quelle foiblesse dans un homme de Lettres que ses sectateurs appellent le Poëte Philosophe 
stis. Tit. Liv. Dec. 1, l. 3, c. 67. On a du P. Souciet, Jésuite, une Lettre imprimée151, dont l’objet est de prouver que pour
on Planiùs ac meliùs … … … dicit. On le voit, pour l’honneur des Lettres , profiter de toutes les occasions pour venger les
d’amusement le plus dominant. Nous allons continuer de les indiquer. Lettre de M. Gresset, l’un des quarante de l’Académie Fr
volume. Le mérite de ce vertueux Académicien est caractérisé dans les Lettres de Noblesse que Louis XVI lui a accordées. On a d
une notice de cet annoblissement, dont les motifs, aux termes de ces Lettres , sont entre autres, « pour s’être distingué par d
; la vertu. Les Partisans du Théatre ont beaucoup murmuré contre la Lettre lumineuse & édifiante de M. Gresset que nous
ui a moins paru le langage du remords que celui de l’amour-propre. La Lettre de M. J.J. Rousseau contre les Spectacles, n’y es
bien, que vous parliez bien, & que vous soyez instruits dans les Lettres saintes. Car, quoique ce soit une meilleure chose
Querelles Littéraires. Elles ont été relevées dans un Recueil de neuf Lettres imprimées, dont huit sont de M. l’Abbé Baral, &am
ncet, Bénédictin. Celle-ci commence à la page 42. Il est parlé de ces Lettres dans l’Histoire Littéraire de la Congrégation de
ne haïr que leurs erreurs : Diligite homines, interficite errores. Lettre d’un ancien Officier de la Reine, à tous les Fran
s sur les Spectacles, par M. de Jean, Prieur de Longuy, 1760, in-12. Lettre d’un Curé du Diocese de *** à M. de Marmontel, su
é du Diocese de *** à M. de Marmontel, sur son Extrait critique de la Lettre de M. J.J. Rousseau à M. Dalembert ; Paris, 1760.
e de M. J.J. Rousseau à M. Dalembert ; Paris, 1760. L’Auteur de cette Lettre est Mr Secousse, Curé de la Paroisse de Saint Eus
sprit & du cœur, qui rendent un Pasteur précieux à son troupeau. Lettres Historiques & Critiques sur les Spectacles, à
pectacles sont contraires aux bonnes mœurs. Avignon, Paris, 1762. Ces Lettres sont une bonne critique de la Consultation que M.
aris, du 22 Avril 1761, qui condamne la Consultation. L’Auteur de ces Lettres est le P. Joseph-Romain Joly. Il en a donné tout
t le témoignage de M. de Voltaire que nous avons cité [pag. 89 de nos Lettres ], il est évident que si dans cette Tragédie, Corn
qui sont les premiers à ces jeux. » On a ci-devant vu page 112 de nos Lettres , que sous Charles VIII les Magistrats ne méritoie
n comparant ces Drames avec ceux de notre siecle, qui a prostitué les Lettres & les Arts à la mollesse, au luxe & à la
lebre M. de Fenelon, Archevêque de Cambrai, donne à entendre, dans sa Lettre à l’Académie Françoise, que par une considération
ormation est-elle moralement possible ? On a rapporté [page 84 de nos Lettres ] une opinion motivée qui décide négativement la q
; affections déshonnêtes ». Au reste on s’est expliqué page 81 de nos Lettres , sur l’hommage que l’on doit à la Musique, dont l
n Racine avoit eu la foiblesse de composer en faveur des Théatres une Lettre où il avoit mis toute la chaleur d’un Poëte intér
Despréaux à qui il l’avoit communiquée, lui fit cette réponse : Votre Lettre est très-bien écrite ; mais vous défendez une trè
ntre les Moralistes qu’il avoit alors pour adversaires, il déchira sa Lettre en présence de Despréaux. Tel auroit été le sort
Spectacles, si leurs Auteurs avoient sincérement consulté des gens de Lettres qui eussent une teinte de ce qu’on appelle présen
 : … …Video meliora, proboque, Deteriora sequor… …. Les gens de Lettres voient toujours avec peine attaquer un art dont i
e aux Acteurs de donner de grosses touches, comme le dit l’Auteur des Lettres à Eugenie, qui parurent en 1774, & qu’on attr
lême. M. de Bussy-Rabutin en résolut un autre de même genre, dans une Lettre qu’il écrivit à M. de Roquette, Evêque d’Autun. I
il avoit titre pour avoir autorité consultative sur cette matiere. Sa Lettre ne sera pas ici une Piece disparate ; on va donc
ppelloit la Poésie une Danse éloquente. Il n’est pas question ici des lettres de noblesse de la Danse, c’est-à-dire de son anci
e Liancourt, dont nous avons eu occasion de parler dans notre seconde Lettre sur les Spectacles, page 230, donnoit cet avis à
nnoître tout le mérite de cet important Ouvrage, dans l’une des trois Lettres insérées dans l’Avertissement de notre premier Vo
incipes scandaleux dans un Ecrit qui parut en 1775, sous le titre de Lettre à Madame la Comtesse de T***, sur un second Théat
tion & la mollesse actuelle de nos mœurs, que M. Darnaud, dans sa Lettre sur sa Tragédie d’Euphémie, regrette l’ancien esp
lie par les Auditeurs sensés, comme l’ouvrage d’un véritable homme de Lettres , d’un Auteur plein de raison, de graces & de
démicien du bon ton » : ces qualités se trouvent bien établies par la Lettre suivante, que M. Gresset 234 publia en 1759, &
ier Tome : nous l’avons réservée, pour en orner notre second Volume. LETTRE De M. Gresset, de l’Académie Françoise, à M. ***.
que je vous connois depuis si long-temps : ainsi le langage de cette Lettre ne vous sera point étranger ; & je compte qu’
lle est possible, dépend de votre agrément pour la publicité de cette Lettre  ; j’espere que vous voudrez bien permettre qu’ell
es. Je vous demanderois grace, Monsieur, sur quelques traits de cette Lettre , qui paroissent sortir des limites du ton épistol
les jeunes gens qui ont du talent pour la Poésie, profitent de cette Lettre de M. Gresset : Qu’ils sçachent, comme ce Poëte a
pas avoir été toujours fidele à ce premier Docteur. On voit dans ses Lettres , qu’il n’attendit pas la vieillesse & les inf
ajouter une d’un autre ton, bien capable de remuer le cœur : c’est la Lettre qu’un Anglois mourant écrivit à un de ses amis, q
onie de mon cœur. La plume me tombe des mains. Mais faites publier ma Lettre  ; & qu’on apprenne, par mon exemple, s’il est
, & dans lequel il ne voudroit pas qu’on le surprît. H.B. Cette Lettre se ressent de cette sorte de seve énergique que l
s leur caractere, & qui se communique à leurs Ecrits ; mais cette Lettre ne porte pas l’empreinte d’un repentir chrétien.
itence sincere…. Si la lumiere de la grace n’est jointe à celle de la lettre de l’Evangile, celle-ci ne fait qu’aveugler, comm
utres Sages du Paganisme. Observons (dit Clément XIV dans une de ses Lettres , Tom. I) que les anciens Philosophes qui n’étoien
ion des Sophistes. Car, comme l’a observé Clément XIV dans une de ses Lettres , Le Catéchisme suffit pour apprendre les vérités
qui répandent un parfum exquis. Nous avons rapporté, page 256 de nos Lettres , le reproche que M. l’Abbé Clément 257 faisoit mê
s nouveaux Incrédules, sur plusieurs endroits des Livres Saints ; les Lettres d’une Mere à son Fils, pour lui prouver la vérité
qu’on renouvelle de pareils réglemens ? Jugeons-en par ce trait d’une Lettre de la le Couvreur, écrite le 5 Mai 1728, & im
n maxima fortuna minima licentia est. Sall. 62. Voyez notre seconde Lettre depuis la page 161 jusqu’à la page 180. 63. Voye
tre depuis la page 161 jusqu’à la page 180. 63. Voyez notre premiere Lettre , page 96 & suiv. 64. Dans un Ouvrage qu’il a
and de Bourbon, mort en 1666, âgé de trente-sept ans. 67. Dans notre Lettre II, pages 226 & 229. 68. Nous les avons cité
age 361. 89. Isaïe, chap. 5, ℣. 20. 90. Pages 316 & 337 de nos Lettres sur les Spectacles. 91. Jacques-Joseph Duguet n
bord la vérité du texte sacré, d’y lever toutes les difficultés de la Lettre , d’y établir avec force les prophéties, d’en mont
ma non vi mancheranno particolari incitatori & corruttori. Cette Lettre est imprimée dans le Tome II des nouveaux Mémoire
Dans la Vie du Pape Clément XIV (Ganganelli) imprimée en 1775. 105. Lettres du Pape Clément XIV, part. II, page 306. 106. Jo
mpend. Mor. Ev. Tom. II. 117. Page 149 du tome II du Recueil de ses Lettres . M. de Caraccioli, qui en a été l’Editeur, a anno
obat, nec tacet, nec facit. S. Aug. tom. II, ep. 55 ad Januar. 120. Lettre de M. de Voltaire à M. de la Roque : elle se trou
 II de ses Sermons sur les Dimanches de l’année. 127. Page 87 de nos Lettres . 128. J.J. Rousseau mourut à Ermenonville le 2 
eureux Financier, dispensé des soupirs. 141. Pages 227-249 de nos Lettres . 142. Pages 107-113, & 330-333 de nos Lettre
ges 227-249 de nos Lettres. 142. Pages 107-113, & 330-333 de nos Lettres . 143. On comprenoit sous le nom de Publicains,
anv. 1775. 148. Mois de Mai 1701, des Nouvelles de la République des Lettres . 149. Œuvres de Madame de Ville-Dieu, tome IX, A
tome IX, Annales galantes, part. II, Maxime VI. 150. Dans une de ses Lettres à M. de la Roque : elle se trouve dans le Mercure
. M. l’Abbé Baral en donna dans le temps une Critique sous ce titre : Lettres à M*** sur l’Ouvrage intitulé, Querelles Littérai
quàm nosse, priùs tamen est nosse quàm facere. Ceci est extrait d’une Lettre que Charlemagne écrivit à un Abbé du Monastere de
monasteria dirigi non negligas, si gratiam nostram habere vis. Cette Lettre est rapportée dans le cinquieme tome du Recueil d
. Feuilles Hebdomadaires des Provinces de l’année 1770. 178. Dans sa Lettre sur sa Tragédie d’Euphémie, dont la deuxieme édit
die d’Euphémie, dont la deuxieme édition parut en 1768. 179. Dans sa Lettre sur Euphémie. 180. Ibid. 181. Ibid. 182.
Il a été ci-devant parlé de cette purgation, pages 41 & 94 de nos Lettres . 185. Flere commissa, & flenda non committe
eme Chant de la Jérusalem délivrée du Tasse. 195. Auteur de quelques Lettres sur un Ouvrage intitulé : Bibliographie instructi
& le duel dont nous avons eu occasion de parler, page 225 de nos Lettres , sont opposées à la Religion, au bon sens, &
4°. 201. Dans le Tome VII de l’Année Littéraire, 1774. 202. Dans sa Lettre à Louis Racine. 203. Jonatham Swift, surnommé le
e beaucoup de faits intéressans du dix-septieme siecle. 209. Dans sa Lettre à Louis Racine. 210. Dans une Dissertation que n
des Prov. du 26 Avril 1775. 214. Elle est imprimée à la suite de nos Lettres , page 425. 215. De quel Public M. du Coudrai pa
u, M. Necker sur fait Directeur-Général des Finances. 216. Dans une Lettre à un premier Commis. 217. Les Curés de Campagne,
parfaite sans les deux. Il faut que le Peuple entende l’esprit de la lettre , & que les habiles soumettent leur esprit à l
sprit de la lettre, & que les habiles soumettent leur esprit à là lettre , en pratiquant ce qu’il y a d’extérieur ». 218.
des partis les plus opposés, ne voulut point l’accepter. Et, dans sa Lettre au Roi, il représenta que l’inflexibilité de ses
telles que les Erreurs de M. de Voltaire, par M. l’Abbé Nonotte ; les Lettres d’un Juif Portugais, par M. l’Abbé Guénée ; le Su
 ; le Supplément à la Philosophie de l’Histoire, par M. Larcher ; les Lettres à M. de Voltaire, par M. Clément ; & récemmen
critique des anciens & nouveaux Apologistes du Christianisme ; la Lettre de Trasybule à Leucippe ; le Systême de la Nature
tegre. 262. Auteur du Livre de l’Esprit, caractérisé page 453 de nos Lettres sur les Spectacles. 263. Cette même Académie pro
né le 25 Août 1776, sur trente-cinq Concurrens. 264. Sous ce titre : Lettres à Madame la Marquise de P… sur l’Opéra, 1741. La
nd à apprécier les talens littéraires. On lira avec le même fruit les Lettres de M. Clément à M. de Voltaire : non (y est-il di
ent à M. de Voltaire : non (y est-il dit page 9 de la premiere de ces Lettres , imprimées en 1774) à M. de Voltaire homme plein
nt-Florentin écrivit le 23 Juillet 1753 aux Echevins de Marseille une Lettre , où cette Ville étoit menacée d’être privée de Tr
41 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. -
iez en santé, vous étiez gais et vigoureux. Depuis la renaissance des Lettres , que notre état est changé ! Une foule de cerveau
couté dans cette cause, du moins autant que lui ; et je finis par une Lettre , que j’écrivis il y a bien des années, dont je re
! Qui pense qu’ici-bas tout est misère et crime.8 » 1. [NDA] Les lettres italiques signifient dans ce Discours Préliminair
re, à des apparences. Pyrrhonisme du Sage, §. 114. 4. [NDA] Dans sa Lettre sur la Musique Française. Page 91. 5. [NDA] Dan
rivains sont à l’unisson pour les injures. 8. [NDA] M. de Voltaire, Lettre au Roi de Prusse. a. [NDE] Dans son Effets de
e et autorisée » et qu'il incorpore ses corrections ou changements en lettres italiques dans les Notes. b. [NDE] Pièce de Del
42 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16
sentation des Pièces les plus sages. Cette Aventure fait le sujet des Lettres qui servent d’enveloppe au Projet.   Le Plan de
ent d’enveloppe au Projet.   Le Plan de Réforme s’ouvre à la sixième Lettre , page 45 par une définition du Munisme ; ou de l’
la réponse aux objections, & l’Histoire du Théâtre. 60 Septième Lettre , ou continuation de l’Intrigue, à la suite de laq
épond aux huit questions par lesquelles monsieur Rousseau commence sa Lettre à monsieur d’Alembert. 86 Huitième Lettre, ou su
sieur Rousseau commence sa Lettre à monsieur d’Alembert. 86 Huitième Lettre , ou suite de l’Intrigue. 100 Le § III qui la sui
le dix-neuf, Prix. 230 Article vingt, Jouer à la Cour. 231 Neuvième Lettre , ou suite de l’Intrigue. 232 § IV. Conclusion. C
de la Recette avec la dépense dans le nouveau Système. 236 Dixième Lettre , ou suite de l’Intrigue qui n’est plus interrompu
sieur Pal… ne viennent pas à-propos. L’Auteur, au-lieu de feindre une Lettre de M. l’Abbé** sur l’insalubrité de l’air dans no
43 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Approbation qui peut servir de Preface. » pp. -
le précepte de saint Charles Borromée, & il allegue à la premiere lettre les Péres de l’Eglise, que Dieu nous a donnés apr
tout relachement ne manque jamais de patron ; on trouve à la seconde lettre les raisons, par lesquelles l’esprit du monde veu
’esprit du monde veut justifier ce divertissement : mais la troisiéme lettre doit convaincre l’esprit du veritable Chrêtien, q
44 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XI. Si on a raison d’alléguer les lois en faveur de la comédie. » pp. 46-48
vaise, on ne la tolérerait pas, on ne la fréquenterait pasPage 39. [«  Lettre d’un théologien », page 39]. : sans songer que sa
pist. ad Aur, 22. n. 5. Ol. 64 [Epître à Aurèle, évêque de Carthage , lettre XXII (ou LXIV) § 5].[NDE] Bossuet donne à la fois
e la cité sainte et celles du monde étaient différentes. Page 39. [«  Lettre d’un théologien », page 39]. I. 2. q. 39. 3. ad.
pist. ad Aur, 22. n. 5. Ol. 64 [Epître à Aurèle, évêque de Carthage , lettre XXII (ou LXIV) § 5].[NDE] Bossuet donne à la fois
45 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
Lettre d’un professeur en théologie LETTRE D’UN PROF
Lettre d’un professeur en théologie LETTRE D’UN PROFESSEUR EN THÉOLOGIE D’UNE UNIVERSITÉ PRO
STANTEA.M. D’ALEMBERT.Καὶ σὺ τέκνον ! Monsieur, Je viens de lire la lettre que vous avez adressée à M. Rousseau, pour répond
egarde pas ; & j’ose encore moins entrer en lice avec un homme de lettres , dont je reconnois la supériorité de génie. Mais
cru devoir vous communiquer une observation que j’ai faite sur votre Lettre  ; & j’espère que votre amour pour la justice
es. Permettez-moi de vous proposer mes doutes à cet égard. Dans votre Lettre à M. Rousseau,1 vous tâchez non seulement de just
46 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « II. PARTIE. Où l’on répond aux Objections de l’Auteur de la Lettre. » pp. 89-140
II. PARTIE.Où l’on répond aux Objections de l’Auteur de la Lettre . ARTICLE I. Du mépris injurieux que fait le T
Avant que d’entreprendre de répondre aux Objections de l’Auteur de la Lettre , il est bon de donner ici de l’horreur d’un princ
eux-ci les ont toujours suivis. C’est ce que reconnaît l’Auteur de la Lettre . « Jep. 2. me sens, dit-il,  accablé par un torr
les Pères de l’Eglise en parlassent autrement, puisque l’Auteur de la Lettre avoue qu’ils ont toujours regardé la Comédie, com
r les gens du monde, n’ont pas aussi été agréables à notre faiseur de Lettre . Il a mieux aimé se ranger du parti des Scholasti
de. Voilà les guides du salut et les conducteurs que notre faiseur de Lettre propose aux fidèles ; et il leur donne de magnifi
l’Eglise. Ecoutons-le parler. ARTICLE II.Paroles de l’Auteur de la Lettre . « Cep. 61. n’est pas mon sentiment, ni ma do
 ; il ose dire hardiment que c’est leur doctrine qu’il débite dans sa Lettre . Pour le faire rougir de honte, il faut les faire
iens Pères de l’Eglise, ne sont nullement favorables à l’Auteur de la Lettre , et qu’il en impose au monde, quand il dit qu’apr
ICLE III. Réponse à l’autorité de S. Thomas. Comme l’Auteur de la Lettre , tâche d’éblouir le monde par le nom de saint Tho
e S. Charles Borromée et de S. François de Sales, dont l’Auteur de la Lettre , tâche de se prévaloir. L’auteur de la Lettre n’
s, dont l’Auteur de la Lettre, tâche de se prévaloir. L’auteur de la Lettre n’a guère mieux réussi en prétendant que ce grand
e et de lumière les principaux fondements sur lesquels l’Auteur de la Lettre avait établi ses preuves, je répondrai ici seulem
ru les plus considérables. Réponses aux Objections de l’Auteur de la Lettre . OBJECTION I. Parolesp. 38. de l’Auteur. « Des
vita cap. 2. Ainsi, au lieu de conclure, comme fait notre faiseur de Lettre qu’on peut aller à la Comédie, il aurait dû dire
Réponse. L’on ne sait quelle peut être la pensée de l’Auteur de la Lettre tant il se contredit. Car tantôt il loue hautemen
uvaise ni scandaleuse. » C’est la conclusion que tire l’auteur de la lettre après l’éloge qu’il fait de ce Prélat. Réponse.
ge qu’il fait de ce Prélat. Réponse. La passion qu’a l’auteur de la Lettre pour la Comédie l’aveugle tellement, qu’il ne con
eur éloquence à invectiver contre un abus si pernicieux, avant que la lettre en question parût, ne sont-ce pas autant de témoi
Thomassin dans sa méthode d’étudier et d’enseigner chrétiennement les lettres humaines. 2. Peut-être que le diable qui tient dé
pleurer amèrement avec eux. Extrait du Privilège du Roi. Par Lettres Patentes du Roi, données à Versailles le 20. jour
bles Chrétiens, sur la Comédie et les Comédiens. Opposés à ceux de la Lettre scandaleuse qui a paru depuis quelques mois sur c
47 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224
la police des Spectacles, la discipline des Comédiens, la gloire des Lettres , l’émulation des Auteurs dramatiques, Lonvai comp
urrence, l’injustice de leurs arrêts a soulevé contre eux les gens de Lettres . A ces grands mots ne diroit-on pas qu’il s’agit
n montrer les avantages ; la cour, la ville l’approuvent, les gens de Lettres le désirent : je le crois lui seul tout cela. 2°.
que c’est la sœur d’un Fiacre, & fait découvrir la fausseté d’une lettre qu’on disoit écrite par un Milord qui vouloit l’é
-disans sont reconnus pour des laquais, & de vingt autres, où une lettre venue à propos dévoile le mystere & dénoue l’
eçons qui en donnent horreur. C’est ce qu’on voit clairement dans les Lettres de la Marquise de Pompadour, Lettre 44, à qui l’i
e qu’on voit clairement dans les Lettres de la Marquise de Pompadour, Lettre 44, à qui l’irréligion & le libertinage ont d
pour protecteur de la Religion & de la vertu, contre des gens de lettres , qui passent pour religieux & vertueux ? Cet
M. Palissot est un homme d’esprit, très-connu dans la République des Lettres  ; sa comédie des Philosophes est très-ingénieuse,
chaînement fort inutile contre le fanatisme, l’invitation aux gens de lettres d’écrire contre ce fantôme, ont de grands inconvé
roits : enfin le tribunal est plein d’abus. L’humiliation des gens de lettres , la corruption, la partialité des juges, la maniè
l’Aréopage, également éclairés & équitables, ont pour les gens de lettres les égards, le respect, la déférence que tout sub
dans ce même temps il a paru divers ouvrages où on ne les ménage pas. Lettre à Eugénie. M. Desprez de Boissi, &c. L’actri
ntéressante de la Littérature, n’est cependant pas composé de Gens de Lettres  ; ce n’est point cet Aréopage littéraire, où le g
oisi pour essayer sur lui jusqu’à quel point ils peuvent insulter aux Lettres . Après avoir donné différens Ouvrages au public,
pendant tout le cours de l’année 1774 ; il l’a demandée enfin par une lettre du 4 Mars, avec une troisieme piece. Voici la rép
une troisieme piece. Voici la réponse de la Troupe. « Monsieur, votre lettre datée du 4 Mars, & adressée à Mrs. les Comédi
la Comédie Française. Le sieur Mercier ne le dissimulera pas ; cette lettre ne lui a d’abord inspiré que du mêpris : la réfle
1759. Le 22 août 1760, lettres-patentes expédiées sur cet arrêt. Ces lettres furent enregistrées au Parlement le 7 septembre 1
es, ni les recevoir, ni même les entendre… La gloire que les Gens de Lettres réfléchissent sur la France, le mouvement qu’ils
le, s’il avoit pour objet un membre de la Troupe ; contre un Homme de Lettres , c’est le comble de l’indécence. A la vérité, la
der en outre que le jugement de ces pieces soit renvoyé à des Gens de Lettres  ; à l’Académie Française, par exemple, si elle ve
Si quelque chose pouvoit avilir aux yeux de la Nation les Gens de Lettres qui se sont dévoués à la carriere glorieuse du Th
igner dans ses registres une délibération injurieuse pour un Homme de Lettres , mais lui déclarer à lui-même, par l’organe d’un
odération. Les Comédiens auroient dû savoir quelque gré à un Homme de Lettres de cet excès de condescendance : mais, après une
d’un pareil Aréopage ? Qui ne seroit pas indigné de voir des Gens de Lettres soumis à cet humiliant despotisme ? Sur-tout si l
tous ces réglemens sont nuls ; du moins en ce qui regarde les Gens de Lettres , qui n’ont été ni consultés pour la rédaction de
te énumération l’on pourroit faire de tous les griefs que les Gens de Lettres auroient à leur reprocher : mais ce n’est pas ici
icles de ce Règlement qui pourroient blesser les intérêts des Gens de Lettres ) ; & à ce qu’il soit également défendu à la T
48 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Huitième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 287-295
Dix-Huitième Lettre . De madame D’Alzan. Lundi 6 le matin. P as
mérite donc enfin ce nom ? Hier, lorsque tout fut découvert par votre Lettre , je fus deux heures dans ses bras, baignée de ses
ule avec monsieur de Longepierre : il le faut. Ce soir, je finirai ma Lettre , & probablement mes Aventures : car vous voye
ur retarder. ……………………………………………………………………………… Mardi 7. J e n’achève ma Lettre que ce matin.… O ma chère Adelaïde !…   A cinq he
llée sur une de mes mains. Mademoiselle *** lui lisait votre dernière Lettre . — O ciel ! a-t-il dit enfin d’une voix étouffée,
49 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
on cœur palpite, & je m’encourage à pénétrer dans la carrière des Lettres . — Etes-vous un peu sçavant ? — J’ai lû l’Histoir
dans les Pièces de Théâtre ; ne vous éfforcez pas de les suivre à la lettre  : le nouveau Spectacle auquel vous déstinez vos t
use les porte à quitter, malgré eux, leurs Dieux Pénates. Les gens de Lettres dont l’humeur est plus douce, & la Verve moin
plutôt un Opéra-Bouffon, charmé d’avoir un moyen d’égaler des Gens de Lettres qu’il croyait être contraint de respecter toute s
l plaisir de les voir dans la chaleur de la composition, suivant à la Lettre le précepte d’Aristote, contrefaire les gestes &a
. Horace dans sa dix-neuvième Epitre à Mécène invite tous les Gens de Lettres à se rendre partisans d’un sistème aussi aimable.
, sans esprit & sans âme, c’est qu’ils ont pensés que les Gens de Lettres en sentiraient d’eux-mêmes l’importance. Je suis
50 (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « De Paris ce 10. Mai 1666. » pp. 193-204
it permis de vous répondre en même temps à tous deux, car quoique vos Lettres soient écrites d’une manière bien différente, il
de gaieté de cœur à sa plus belle qualité ? Combien de gens ont lu sa Lettre , qui ne l’eussent pas regardée, si le Port-Royal
Il a voulu peut-être imiter M. Pascal, qui dit dans quelqu’une de ses Lettres d, qu’il n’est point de Port-Royal. Mais, Messieu
r, vous avez pu croire que Messieurs de Port-Royal avaient adopté une Lettre si peu digne d’eux ? Ne voyez-vous point qu’elle
es Pères ont ri, que Dieu même a railléi. Et vous semble-t-il que les Lettres provinciales soient autre chose que des Comédies 
ainte Mère. Vous voyez bien que je ne cherche pas à faire de longues Lettres , je ne manquerais pas de matière pour grossir cel
els. Je suis, etc. De Paris ce 10. Mai 1666. b. [NDE] Au fil de la lettre , Racine distingue Philippe Goibaud-Dubois et Jean
51 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Douzième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 250-253
Douzième Lettre . De madame d’Alzan. Lundi 16. J’achève de l
Ma sœur, il faudrait engager monsieur Des Tianges, à vous confier une Lettre de mon mari qu’il doit recevoir, par le même ordi
vec surprise ; moi, je l’admirais… & je fesais plus encore. Votre Lettre à monsieur de Longepierre a produit l’effet que n
52 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82
nses de non passer outre à leur entrepriseav. Ils lui ont apporté une lettre de privilège qu’ils disent avoir obtenue du Roi,
civil, qui leur a répondu leur requête. Et pour ce que, par lesdites lettres , ils ont donné à entendre au Roi qu’ils le font p
en Testament par mystère et, à cette fin, lui avait fait expédier ses lettres patentes adressantesbh au Prévôt de Paris, juge o
ssantesbh au Prévôt de Paris, juge ordinaire. Le Royer ayant lesdites lettres , en demande en Châtelet la vérification, appelés
ntement, ledit Prévôt de Paris ou son lieutenant, en faisant lesdites lettres , permit audit Le Royer qu’il commence à faire fai
sser outre. Dit qu’ils ne veulent être désobéissants mais attendu les lettres patentes du Roi, la vérification du consentement
r le mystère. bg. [NDE] Le Mystère du Viel Testament. bh. [NDE] Les lettres patentes adressées au Prévôt de Paris. bi. [NDE]
atentes adressées au Prévôt de Paris. bi. [NDE] Il fait vérifier les lettres au Châtelet en faisant appel aux gens du roi. bj
, a répondu à la requête des maîtres entrepreneurs et authentifié les lettres patentes. C’est un lettré qui a les faveurs du ro
53 (1756) Lettres sur les spectacles vol.1 pp. -610
Lettres sur les spectacles vol.1 LETTRES SUR LES SPE
Lettres sur les spectacles vol.1 LETTRES SUR LES SPECTACLES ; avec Une Histoire des Ou
p; Privilege du Roi. AVERTISSEMENT DU LIBRAIRE. La premiere Lettre de M. Desprez de Boissy sur les Spectacles, fut i
acles, fut imprimée, pour la premiere fois, en 1756, sous le titre de Lettre de M. Desp. de B**, Avocat au Parlement, à M. le
qui parut en 1758, & qui fut épuisée en peu de temps. Comme cette Lettre avoit été souvent redemandée, on en donna une tro
n donna une troisieme Edition en 1769. On réimprima aussi une seconde Lettre que le même Auteur avoit donnée en 1759, sous le
onde Lettre que le même Auteur avoit donnée en 1759, sous le titre de Lettre de M. le Chevalier de ***, à M. de C***. Il est a
. Baillet sur les Auteurs déguisés, en est une preuve : cette seconde Lettre est comme le supplément de la premiere. L’Auteur
is, Evêque de Sénez, &c. Plusieurs autres Prélats l’ont honoré de Lettres qui respirent leur zele pour les mœurs. Et dans c
spectables sont équivalentes pour le fonds & pour les motifs, aux Lettres que feu M. de la Mothe, Evêque d’Amiens, & M.
Auteur, qui en a usé de même, Tome II, p. 257, dans la citation d’une Lettre dont M. l’Evêque de Novarre l’honora le 25 Janvie
t M. l’Evêque de Novarre l’honora le 25 Janvier 1775. Extrait de la Lettre de feu M. de la Motte, Evêque d’Amiens. Elle est
m de ceux qui sont chargés de l’instruction, &c. Extrait de la Lettre de M. le Cardinal de Frankemberg, Archevêque de M
de la Magistrature, l’état Militaire, & la profession des gens de Lettres . Parmi les nouvelles autorités que l’Auteur a rec
Volume, sous le titre de Preuves des Principes contenus dans les deux Lettres . Elles forment une chaîne de réclamations importa
dans le cœur de ses plus zélés Partisans. On peut regarder la seconde Lettre comme une sorte de supplément à la premiere. On s
graves en ont pour les autres. M. Desprez de Boissy a rendu ses deux Lettres encore plus intéressantes, en y ajoutant l’Histoi
uté un nouveau poids à ses bonnes raisons, en donnant dans sa seconde Lettre un assez long extrait de l’éloquent Ouvrage de M.
ce qui lui donne l’avantage sur les Partisans du Théatre. Sa seconde Lettre est un supplément naturel de sa premiere ; son Ad
encore plus mauvaise par beaucoup de frivoles raisons. Cette seconde Lettre est dans la forme de ces Ecrits où l’on fait face
s Sciences, Juin 1769, & Octobre 1771. Les premieres éditions des Lettres de M. Desprez de Boissy sur les Spectacles, ont é
ement du Public pour cet Ouvrage, a engagé l’Auteur à réunir ses deux Lettres , à les retoucher, & à réfuter d’une maniere p
du 23 Juillet 1774. Tous les Journalistes avoient prévu le succès des Lettres de M. Desprez de Boissy sur les Spectacles, dont
nt nous annonçons la cinquieme Edition. L’Auteur expose dans les deux Lettres , ses idées de la maniere la plus propre à les per
t Ouvrage, dans le Journal de Paris de l’année 1778, a donné lieu aux Lettres suivantes. M. le Chevalier de Leschar nous a hono
r de Leschar nous a honoré de la premiere, pour nous faire part de sa Lettre aux Auteurs du Journal de Paris ; & il nous e
une idée de l’accueil honorable qui a été fait à cette VIe Edition. LETTRE DE M. LE CHEVALIER DE LESCHAR. J’ai, Monsieur, ét
ge a toujours joui. Il fut même loué dès son origine, par des Gens de Lettres qui paroissoient avoir du goût pour la fréquentat
oit à rendre compte. C’est pourquoi, lorsque j’ai entendu des Gens de Lettres estimables, reprocher à l’Auteur de cette notice,
traction. C’est pourquoi j’ai hazardé de leur adresser à ce sujet une Lettre , en les priant d’avoir égard aux réflexions qu’el
faveur a été justifiée par l’accueil qu’ils ont bien voulu faire à ma Lettre  ; ils l’ont insérée toute entiere dans la Feuille
z de Boissy. Mais j’ai pensé que pour donner plus d’authenticité à ma Lettre , il convenoit, Monsieur, que vous en eussiez de m
t serviteur, Le Chevalier de Leschar. A Orléans, ce 2 Mars 1778. LETTRE de M. le Chevalier de LESCHAR Aux Auteurs du Jou
annoncé dans votre Feuille du Lundi 16 Février, un Ouvrage intitulé : Lettres sur les Spectacles, avec une Histoire des Ouvrage
n grand nombre de personnes constituées en dignité, & des Gens de Lettres les plus estimables, établissent la bonté de ce L
M. Gresset jugea devoir être précieux à la raison, comme l’énonce la Lettre qu’il écrivit à M. Desprez de Boissy, & qui e
en accueilli dans les Pays étrangers où il a pénétré ; & même les Lettres y ont été traduites en Latin & en Italien. L’
ale de la réponse équivoque de M. Bossuet à Louis XIV, ni celle de la Lettre de Benoît XIV à M. de Voltaire, sur la Tragédie d
e mets d’autre intérêt à soutenir ce Livre, que celui que les Gens de Lettres prennent aux bons Ouvrages. Il faut bien que celu
xions, vous voudrez bien insérer dans une de vos Feuilles la présente Lettre , que j’ai l’honneur de vous faire parvenir par un
Chevalier de Leschar. A Orléans, ce 21 Février 1778. Nota. Cette Lettre de M. le Chevalier de Leschar fut insérée dans la
ous sçavons que le 19 Février, M. Desprez de Boissy en avoit reçu une Lettre d’excuse bien motivée. Peut-être auroit-on dû gar
contre les fausses idées de la Notice en question. Voici une autre Lettre , dont M. le Chevalier de Leschar nous honora sur
ttre, dont M. le Chevalier de Leschar nous honora sur le même objet. LETTRE de M. le Chevalier de LESCHAR. A Orléans, ce 1
tites Pieces fugitives, qui m’ont paru capables de fortifier mes deux Lettres pour la défense de la sixieme Edition de l’Ouvrag
profession, comme on l’a fait dans la Notice qui a été l’objet de ma Lettre du 21 Février 1778, aux Journalistes de Paris. «
nçais. On a dans le Journal Helvétique du mois de Février 1744, une Lettre sur les dangers des Bals. On y trouve cette réfle
fit tomber le projet du Théatre ». On a de ce vénérable Cardinal une Lettre Pastorale, du 16 Janvier 1753, où il exhorte ses
de Boissy de l’avoir inséré dans son Ier Volume. Enfin, dans la même Lettre Pastorale, le Cardinal Querini fait connoître qu’
æcipuam quandam exprompsit eruditionem peculiari libro, cui titulus : Lettre de M. Desp. de B…, sur les Spectacles, &c. Il
 ». Cet éloge énergique est à joindre à ceux dont j’ai parlé dans ma Lettre du 21 Février dernier, & que j’ai dit être ém
r d’être, &c. Le Chevalier de Leschar. Le 10 Octobre 1778. Les Lettres dont M. le Chevalier de Leschar nous a honoré, pa
er, Evêque d’Egée, &c. Et quelques autres Prélats l’ont honoré de Lettres , qui expriment l’intérêt qu’ils prennent à cet Ou
eux dont on nous a procuré les Extraits qui suivent. Extrait d’une Lettre de M. Tinseau, Evêque de Nevers ; elle est du 23 
s remercîmens avec ceux du Public vertueux, &c. Extrait d’une Lettre de M. d’Apchon, Archevêque d’Auch ; elle est du 3
blics ; & cependant devenus si communs, &c. Extrait d’une Lettre de M. de Lauzieres-Thémines, Evêque de Blois ; el
atre est celui de mieux préparer le poison, &c. Extrait d’une Lettre de M. de Partz de Pressy, Evêque de Boulogne-sur-
ans, écrivit à notre Auteur, sans le connoître, le 10 Avril 1777, une Lettre dont voici un extrait : Il n’y a point d’homme e
sprez de Boissy sa nomination, lui fit l’honneur de lui mander par sa Lettre du 12 Juillet 1778 : « J’ai à me féliciter, Mons
Monsieur, de compter au nombre de mes fonctions celle d’expédier les Lettres d’un nouveau Confrere, avantageusement connu dans
Éditions. J’ai lu, par ordre de Monseigneur le Vice-Chancelier, les Lettres de M. Desprez de Boissy, sur les Spectacles ; ave
nseigneur le Garde des Sceaux, un Ouvrage imprimé, qui a pour titre : Lettres sur les Spectacles ; avec une Histoire des Ouvrag
aire réimprimer & donner au Public un Ouvrage, qui a pour titre : Lettres sur les Spectacles, avec une Histoire des Ouvrage
pour & contre les Théatres ; s’il Nous plaisoit lui accorder nos Lettres de Privilege pour ce nécessaires. A ces causes, v
nses, &c. A Paris, ce 14 Mai 1776. Signé, Lambert, Adjoint. LETTRES SUR LES SPECTACLES. Evitez cette Ecole où
ne résulte que de l’esprit & de la gaieté. Tel est le genre de la Lettre qu’il a placée en forme de Préface à la tête de s
a été ensuite imprimée. « Les Ouvrages de Théatre, (dit-il dans cette Lettre ) sont comme les enfans des hommes, conçus avec vo
mmée, & avoir écouté la voix solitaire du devoir, annonça par une Lettre imprimée en 175957, sa retraite du service de Mel
dans la corruption, a avancé dans un des volumes de sa République des Lettres , au mois de Mai 1684, qu’il ne croyoit nullement
rts, il ne faut pas pour cela nous rejetter dans la barbarie d’où les Lettres nous ont tirés. On leur doit les plus grands avan
fames, & leur défendit de jouer, ni de plus obtenir de semblables Lettres , sous peine de 10000 livres d’amende applicable a
’une dépendance féodale. Mais cela ne regarde point le sujet de cette Lettre . Je crois, Monsieur, avoir assez justifié mes idé
rent de l’impiété s’est-il débordé de nos jours sur la République des Lettres  ! Il n’est presque aucune de ses parties qui ait
spere éprouver les effets dans le jugement que vous porterez de cette Lettre . Hæc dixi, non quòd de ardore mentis tuæ quidquam
Je suis, &c. AVERTISSEMENT DEM. LE CHEVALIER DE ***, A qui la Lettre de M. Desprez de Boissy, sur les Spectacles, avoi
l’honneur de connoître, a jugé à propos de répondre pour moi 120 à la Lettre que M. Desprez de Boissy m’avoit écrite sur les S
d’en faire mes plaintes à M. de Campigneulles. C’est l’objet de cette Lettre que j’adresse à cet Académicien, & que je n’a
ur, la défense des Autels, & l’observation du Rit national ? LETTRE DE M. LE CHEVALIER DE ***A M. de CAMPIGNEULLES,Me
lusieurs Académies des Sciences& Belles-Lettres ; Au sujet de la Lettre de M. Desprez de Boissy ; sur les Spectacles.
otre noble office vous vous soyez chargé de répondre122 pour moi à la Lettre que M. Desprez de Boissy m’a écrite sur les Spect
êtes si fort éloigné du point de vue dans lequel j’ai considéré cette Lettre , & des impressions qu’elle a faites sur moi,
ue je me crois obligé de donner un désaveu public à votre Réponse. La Lettre que vous critiquez, est un Ouvrage philosophique
onnoît pas : mais le ton dogmatique n’est point ce qui domine dans sa Lettre . On n’y trouve que les motifs & les principes
vous m’ayez supposé des Spectacles, je n’en ai pas moins approuvé la Lettre de M. de B***. J’ai reconnu l’erreur où j’étois e
éron, qu’il parut, il y a plusieurs années, un petit Ecrit intitulé : Lettre de M. D…, Licencié en Droit, à M. Fréron, Directe
ile, ne doit avoir pour fondement & pour principe que l’amour des Lettres , & le goût du vrai. Or, suivant cette maxime,
eur, dans la réponse que vous avez faite indiscrétement pour moi à la Lettre de M. de Boissy, vous allez jusqu’à avancer que c
rt dramatique considéré en lui-même. M. de B*** déclare assez dans sa Lettre , le jugement qu’on en doit porter comme Littérate
t par un habile Casuiste & un célebre Directeur de conscience, la Lettre que le P. Caffaro fit pour prouver qu’il étoit pe
n & de lumieres, s’autoriseront, d’après ce Journaliste, de cette Lettre désavouée ; production indiscrete d’un jeune homm
oit-il cru obligé de donner la rétractation la plus authentique de la Lettre dont on ose s’autoriser ? Mais est-il facile de d
e qui n’en sont pas les fideles disciples. On en a un exemple dans la Lettre que M. Jean-Jacques Rousseau de Geneve a adressée
il l’éteint dans l’ame de ses Lecteurs. C’est ce dernier effet que sa Lettre à M. Dalembert paroît avoir produit sur vous, Mon
ssy, l’ancien Auteur du Mercure, les Poëtes Dramatiques ont besoin de Lettres de créance pour être reçus à faire l’apologie de
des Membres qu’elles reçoivent. Elles serviront de frein aux Gens de Lettres , si l’on ne peut mériter d’y être admis que par d
l’apprendre. Voici les réflexions qu’on trouve sur cet objet dans sa Lettre à M. Dalembert. Il y démontre que ce n’est point
ontribue autant à la correction des mœurs & à la conservation des Lettres , qu’à l’amusement du Peuple. Les gens sensés rega
, & ils en manifesterent à M. Linguet leur mécontentement par une Lettre anonyme qui se trouve dans le même Journal, page
paroissoit très-difficile à exécuter ; & M.J.J. Rousseau, dans sa Lettre à M. Dalembert, le soutient impossible. « Pour pr
lié avec des gens de mérite. Ne sçait-on pas qu’il en est des Gens de lettres comme des Négocians ? L’intérêt des Sciences &
al de la raison isolée de la Religion chrétienne. Vous finissez votre Lettre par ce sophisme dont Jean Racine avoit fait usage
ridicule. Voici la réponse qu’on y fit, & qu’on trouve dans deux Lettres qui furent écrites à ce célebre Poëte ; l’une par
le rendre encore utile à d’autres, en donnant au Public ce Recueil de Lettres si propre à faire connoître le cœur de ce grand h
& le ton de l’ancienne Magistrature, de même que par le goût des Lettres  ; vertus & qualités qu’on voit se propager da
, il ne le fait pas pour éluder la loi, en combattant l’esprit par la lettre , & la lettre par l’esprit, afin de se procure
as pour éluder la loi, en combattant l’esprit par la lettre, & la lettre par l’esprit, afin de se procurer par-là une bala
que pour la morale. « M. Racine, dit l’Abbé Duguet, dans une de ses Lettres , tome VI, a bien voulu nous lire chez M. le Marqu
g. Je suis, &c. PREUVES DES PRINCIPES Contenus dans les deux Lettres précédentes. AVERTISSEMENT. Nous avons promis
[pages 67, 115, 189, &c. de ce vol.] de donner à la suite de nos Lettres plusieurs Ecrits importans que nous avons eu occa
en donnant plus que nous n’avons annoncé. Nous placerons en tête une Lettre de l’illustre M. Bossuet, Evêque de Meaux, dont n
& qu’on plaça à la tête des Pieces de Théatre de Boursault. Cette Lettre de M. Bossuet ne fut pas alors imprimée, eu égard
sé présenter sous l’intitulé le plus imposant. Nous joindrons à cette Lettre la Réponse que le P. Caffaro y fit, & les Ecr
que le P. Caffaro y fit, & les Ecrits que nous avons annoncés. LETTRE De M. Bossuet, Evêque de Meaux, Au R.P. Caffaro,
s & moi, selon le précepte de l’Evangile, mes plaintes contre une Lettre en forme de Dissertation sur la Comédie, que tout
e point qu’il faut s’attacher, & c’est par-là que j’attaque votre Lettre , si elle est de vous. La premiere chose que j’y r
sible. Quittez, quittez ces illusions : ou révoquez, ou désavouez une Lettre qui déshonore votre caractere, votre habit &
Meaux. A Germini, le 9 Mai, 1694. Deux jours après la date de cette Lettre le Révérend Pere Caffaro fit la Réponse suivante 
ait, je ne serois pas dans la peine où je suis pour cette malheureuse Lettre qu’on m’attribue faussement. Car si avant que de
e je l’ai protesté à tout le monde, que je ne suis pas l’Auteur de la Lettre qui favorise les Comédiens, & dont il est que
s la langue, comme je le suis dans le cœur, pour avoir pu tourner une Lettre de la maniere dont celle-là est tournée ; & j
ablement semble être tirée toute la Doctrine qui se trouve dans cette Lettre . Malheureusement cet Ecrit est tombé entre les ma
dans tous ses raisonnemens, citations, &c. ils en ont tiré cette Lettre , & ils l’ont fait imprimer ; & ne voulant
lui ont mis ; ce qui a fait croire que c’étoit moi qui avoit fait la Lettre  ; & dans ce pays ici, il suffit qu’une person
grin mortel ; & je voudrois, pour toute chose au monde, ou que la Lettre n’eût jamais été imprimée, ou que je n’eusse jama
ison de Dieu que tous les autres Prélats du Royaume, de lui faire une Lettre , dans laquelle j’explique mes sentimens sur cela.
a. Je l’ai déjà faite en Latin, ne voulant pas hazarder au Public une Lettre en méchant François. On la fera traduire en Franç
nnois avec soumission que tout ce que Votre Grandeur me mande dans sa Lettre touchant les Comédies, est très-solide & très
& corrompu. Voilà, Monseigneur, tout ce que je puis répondre à la Lettre que Votre Grandeur m’a fait l’honneur de m’envoye
aucun doute sur la sincérité de cette Réponse, s’empressa d’écrire la Lettre suivante, en Latin & en François, à M. de Har
de Auteur d’un Libelle fait en faveur de la Comédie, sous le titre de Lettre d’un Théologien, &c. & voir en même temps
; pour l’honneur de mon ministere, de déclarer publiquement que cette Lettre n’est point de moi, & que je n’y ai aucune pa
usdam Gallicè ad Comœdiæ defensionem compositi, & sic inscripti : Lettre d’un Théologien, &c. meme vulgò auctorem circ
onfusion, que les principes & les preuves qui se trouvent dans la Lettre qui s’est donnée au Public sans ma participation,
ait quelques endroits de différens entre les deux, où l’Auteur de la Lettre dit ce que je ne dis pas, & parle autrement q
nage, aussi-bien que de la différence d’expression qu’il y a entre la Lettre & mon Ecrit au sujet des Rituels, que la Lett
u’il y a entre la Lettre & mon Ecrit au sujet des Rituels, que la Lettre semble traiter d’un air qui ne marque pas d’assez
tualia aliquarum Diœceseum. Je ne puis disconvenir qu’à comparer la Lettre avec mon Ecrit, il ne soit visible qu’elle en est
n a donné malheureusement & contre mon dessein, ouverture à cette Lettre . Je n’ai jamais fait état d’imprimer mon Ecrit :
94. A Paris, le 11 Mai 1694. M. Bossuet fut satisfait de ces deux Lettres du P. Caffaro. Et, dans son Ecrit intitulé : Maxi
allons rapporter. Enfin, le P. Caffaro à qui l’on avoit attribué la Lettre ou Dissertation pour la défense de la Comédie, a
amusement de la vertu. On ne doit pas être surpris de l’effet que la Lettre de M. Bossuet produisit sur le P. Caffaro. On sça
’Ecrit Italien que nous avons cité page 431, en donne pour preuve une Lettre du P. Mariana-Sozzini 294, de la Congrégation de
rouve dans la Gazette de France du 11 Septembre 1769. EXTRAIT d’une Lettre écrite de Feltri, dans la Marche Trevisanne, en I
hazardées dans les autres Pieces qui la précedent, notamment dans sa Lettre à l’Actrice, conçue en termes les plus outrés &am
nte d’expressions singulieres, l’adoption des mêmes idées à sa propre Lettre , font connoître évidemment que le tout est l’ouvr
démontra327 dans son Discours Latin sur le danger & l’utilité des Lettres . Le College de Beauvais fut un des premiers de l’
n caractérisée par l’épanchement de son cœur sur la Religion dans ses Lettres à son fils. Je veux, lui disoit-il358, me flatt
rouvé ceux de notre siecle. Il s’explique à cet égard dans une de ses Lettres . Attaquez, dit-il359, nos Tragédies & nos Co
rs été redoutée. Despréaux nous en fournit une preuve dans une de ses Lettres à Racine 360, où il l’informoit que les Comédiens
complément des preuves des principes que nous avons soutenus dans nos Lettres . Nous devons à la Bibliotheque du Roi la connoiss
aite l’édition dont nous avons parlé dans la cinquieme édition de nos Lettres sur les Spectacles. Nous sommes donc dans le cas
ous sommes donc dans le cas de partager la reconnoissance des Gens de Lettres envers le célebre Abbé Bignon 364, à qui l’on a o
en plus d’égard à ce qu’il dit contre l’intempérance dans sa premiere Lettre , où sa volonté paroît, qu’à ce qui se fait dans s
e des Fous376. La faculté de Théologie de Paris écrivit, en 1444, une Lettre à tous les Evêques, & à tous les Chapitres du
se que M. Dalembert a faite au nom des amateurs des Theatres, dans sa Lettre à M. J.J. Rousseau. « Il faut l’avouer, lui dit-
le seul. Les témoignages que nous avons rapportés dans notre premiere Lettre , pour prouver le danger des Théatres, émanent pre
tat humana societas, florent vigentque Imperia. 1. Nota. Cette Lettre de M. le Chevalier de Leschar fut insérée dans la
ous sçavons que le 19 Février, M. Desprez de Boissy en avoit reçu une Lettre d’excuse bien motivée. Peut-être auroit-on dû gar
des raisons. On sçait que dans plusieurs bons Ouvrages, tels que les Lettres de quelques Juifs Portugais, le Supplément à la P
Un célebre Philosophe (Nicole) en parle en ces termes dans une de ses Lettres à une dame : « Il y a dans ce livre tant d’esprit
exions sur la Comédie. Nous aurons lieu d’en parler à la suite de ces Lettres . Ce Traité n’a pas été omis dans la collection de
e benefactorum recordatio jucundissima est. Cic. Cat. Maj. 57. Cette Lettre sera imprimée à la suite de l’Histoire des Ouvrag
e Franc, ancien Premier-Président de la Cour des Aides de Montauban ; Lettre a Louis Racine. 76. Nimium risûs pretium est, s
quò quisque minus ab eis sanus est. 86. Œuvres de M. de Voltaire ; Lettre à un premier Commis. 87. Is Ordo vitio careto,
i du Temple) a donné en 1751, en deux volumes in-12, sous le titre de Lettres historiques sur les fonctions essentielles du Par
92. Cet Arrêt, qui est du 22 Avril 1761, est imprimé à la fin de ces Lettres . 93. Dans l’Eloge qu’il a fait du Maréchal de Ca
Puy. 115. M. le Clerc de Juigné, Evêque, Comte de Chaalons, dans sa Lettre pastorale contre la lecture des mauvais livres. E
Siecles de notre Littérature, édit. de 1772. 123. Voyez la premiere Lettre , page 13. 124. De l’Esprit. 125. Ecclesiast. c
e l’Esprit. 125. Ecclesiast. cap. 3, ℣. 27. 126. Voyez la premiere Lettre , pages 17, 18 & suiv. 127. Voyez la premier
la premiere Lettre, pages 17, 18 & suiv. 127. Voyez la premiere Lettre , pages 44, 76, 90, &c. 128. Polyeucte &
ieme Cahier de l’Année Littéraire 1757. 131. Voyez à la suite de ces Lettres , l’Histoire des Ouvrages pour & contre les Th
l ipsis sæcularibus hominibus. Concin. Ibid. 151. Voyez la premiere Lettre , page 61, 63 ; & l’Histoire des Ouvrages pour
onduire chrétiennement dans le monde ; édition de 1743. 154. Dans sa Lettre , qu’on a déjà citée pag. 67, & qui est imprim
r de l’Année Littéraire 1758. 157. Elle est imprimée à la fin de ces Lettres . 158. Année Littéraire, trente-septieme Cahier
eux petits volumes, sous le titre d’Avis d’une Mere à son Fils. 173. Lettre de Philippe de Mornai à M. de Harlai, Baron de Do
e. Or, si l’on veut rechercher les causes de la décadence du goût des Lettres & des Mœurs chez les Romains, c’est dans l’es
es autres langues encore. Les quatre Vers qui suivent, extraits d’une Lettre qu’il a adressée à M. Sabattier, de Castres, prou
de fermentation de bile. On en a relevé de pareilles dans la premiere Lettre , pages 106 & 130, &c. 189. M. Arcere fit
ce sujet une Ode qui fut couronnée. Elle est imprimée à la fin de ces Lettres . 190. Dans son Discours qui remporta le prix de
Ce qui donne lieu de relever cette faute, c’est que dans la premiere Lettre , p. 123, on a cité cet article de cette Collectio
plus grandes qualités, fondées sur une piété éclairée. Le Recueil des Lettres du sçavant Abbé Duguet en contient plusieurs adre
eut d’oreilles que pour la voix de la Justice. 227. Nous avons lu la Lettre que M. le Comte de Saint-Florentin écrivit de sa
des Finances. Ils n’avoient pas eu d’enfance ; leurs progrès dans les Lettres & dans la vertu furent si rapides, qu’à l’âge
. de leg. l. VIII. 235. Voyez le tome I de ses Œuvres. 236. Dans la Lettre I, pages 107, 108 & suiv. 237. M. le Chancel
no proibire, come pregiudicialissimi all’onestà. Le même dit dans une Lettre à Innocent XI : I Teatri, e gl’ Istrioni sono gra
rrhonisme du Sage, la Philosophie du bon Sens, la Religion naturelle, Lettres semi-philosophiques, Etrennes des Esprits forts,
n naturelle, Lettres semi-philosophiques, Etrennes des Esprits forts, Lettres au R.P. Bertier sur le Matérialisme, Encyclopédie
hier de l’Année Littéraire, 1773. 357. Nouvelles des Républiques des Lettres Décembre 1684, page 531. 358. Page 353 du Recuei
es des Lettres Décembre 1684, page 531. 358. Page 353 du Recueil des Lettres de Boileau & de Racine. 359. Page 260 du Rec
des Lettres de Boileau & de Racine. 359. Page 260 du Recueil des Lettres de Boileau & de Jean Racine. 360. Pages 110,
es de Boileau & de Jean Racine. 360. Pages 110, 115, &c. des Lettres de Boileau & de Jean Racine. 361. Les Romain
condes en hommes qui se sont distingués dans les armes & dans les Lettres . Il en est sorti quatre Patriarches de Venise, se
54 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PRIVILEGE DU ROI. » pp. -
uvelles Observations de M. Fagan, s’il Nous plaisait lui accorder nos Lettres de permission pour ce nécessaires : A ces causes,
autre permission, et nonobstant clameur de Haro, Charte Normande, et Lettres à ce contraires ; car tel est notre plaisir. Donn
. [NDE] Petit sceau apposé sur le tiret du parchemin qui attache les lettres scellées en chancellerie (Littré).
55 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IV. S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par accident.  » pp. 10-18
arlez ; et que ce n’est pas leur nature de les exciter »Pag. 46-47 [«  Lettre d’un théologien », page 47].  : mais au contraire
si sérieuse, se sert de paroles qui excitent les passions  »Pag.47 [«  Lettre d’un théologien », page 47]. , et qu’aussi vive à
uvelle merveille l’applaudissement de tout le théâtre. Pag. 46-47 [«  Lettre d’un théologien », page 47]. Hor. de. art. Poët.
de. art. Poët. versu 105 [Horace, Art Poétique, vers 105]. Pag.47 [«  Lettre d’un théologien », page 47]. Confess. 3. 2. [sain
56 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
bjuguerent l’Europe & l’Affrique, & acheverent d’étouffer les lettres & les arts. Constantin devenu chrétien, ayant
ulut voir leur Spectacle, & le 4 Décembre 1402, il leur donna des Lettres Patentes pour leur établissement à Paris, à l’hôt
ojet le plus beau que l’on pourroit exécuter, pour la renaissance des lettres qui ont dégénéré, pour l’éducation de la jeunesse
te, & pour le bien & l’avantage général de la Nation. Que les lettres ayent dégénéré, cela n’est que trop vrai & pe
odeles. C’est celui qui peint le mieux, qui est toujours nouveau. Les Lettres ont dégénéré, & cependant nous sommes encore
ns de décorations à la comédie. On confond ainsi tous les genres. Les Lettres , après avoir été portées à un degré de gloire aus
es ! On peut les réduire à trois. La premiere est le progrès même des Lettres . La seconde la corruption du goût & des mœurs
qui semble caractériser l’esprit de notre siecle. Le progrès même des Lettres y a contribué, en ce que depuis le premier Ecriva
celui qui a le moins de dispositions à l’étude & à la culture des Lettres , & à la pratique des arts & des sciences,
ons particulieres & à foi, les écrits contre les Loix, contre les Lettres & les Arts eux-mêmes, & la désunion dans
Racine l’ayant brouillé avec Messieurs de Port-Royal, il composa deux lettres  ; une qu’il fit imprimer, & la seconde qu’il
ainsi que dans la premiere, il soutenoit le parti du théâtre. « Votre lettre , lui dit Despréaux, est très-bien écrite ; mais v
crite ; mais vous soutenez une mauvaise cause ». Racine déchira cette lettre qui ne vit point le jour, & ne composa plus q
ils apprendront à connoître les Poëtes François qui ont illustré les Lettres , ils connoîtront l’Histoire & la Poësie de la
amp; contre les Spectacles, qui n’ont point décidé la question. (*). Lettre à M. Dalembert. (a). Patimur multos jam annos
eries il y a quelques années. (a). De l’Imitation théâtrale. (a). Lettre à M. Dalembert. (b). Pour avoir une juste idée d
ur, qui a remporté le prix de l’Académie & Inscriptions de belles lettres de Dijon, le 28 Avril 1767. (a). Agis, Roi de Sp
57 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100
médiens en 1709 : réflexion qui fait évanouir tout ce vain étalage de lettres patentes et de titres légitimes que rapportent le
. Ils ne peuvent se flatter d’être entendus en corps, n’ayant aucunes lettres patentes, mais un simple brevet du Roi. Cependant
arlement et les lois de l’Etat, de ne reconnaître pour légitime, sans lettres patentes dûment enregistrées, aucun Corps, même e
re à Louis XIV, et gagner un million à l’Opéra, s’avisa d’acheter des lettres de noblesse, et un an après une charge de Secréta
aita. Elle le quitta, et s’en vint auprès de son frère, où les belles lettres étaient en grand crédit. C’est dommage que la glo
ira une fois chanter pour son plaisir à l’Opéra, ne dérogera pas. Les lettres de noblesse accordées à Lully en 1672, et enregis
Roi et Conseiller d’Etat, et obtint, pour couronner ses exploits, des lettres d’anoblissement pour lui et pour ses frères ? le
oisrobert), qu’on trouvera dans Guipatin, Loret, Scarron, Ménage, les lettres de Costar, de Chapelain, et surtout dans l’histoi
attention ; il s’y occupait de choses utiles, lisait, apostillait ses lettres , donnait audience à ceux qui lui présentaient des
a vie de l’Empereur Marc-Aurèle, et par un jeu d’esprit a composé des lettres au nom de ce Prince, relatives aux événements de
relégua dans quelque île de l’Hellespont ; mais peu de gens ont vu la lettre 12 que Guevara, à cette occasion, fait écrire par
s pourrons ailleurs faire usage. Il rapporte (C. 45. 46. 47.) la même lettre à Lambertus que nous venons de voir, mais beaucou
58 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « [EN-TETE] »
[EN-TETE] LETTRE D’UN CURÉ DU DIOCÈSE DE *** A M. M***Sur son Extr
E D’UN CURÉ DU DIOCÈSE DE *** A M. M***Sur son Extrait Critique de la Lettre de M. Rousseau à M. d’Alembert.[...] EN FRANCEM D
59 (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45
rité. XXVIII. Mais la liberté du Théâtre n’intéresse que les Gens de Lettres . La proposition est fausse. Le Théâtre, je l’ai d
ar conséquent, il intéresse la Nation entière. Mais les seuls Gens de Lettres feront des réclamations sur ce point. Quand cela
t opprimé ? Voilà sans doute une singulière logique. Eh ! les Gens de Lettres , n’ont-ils pas le droit de réclamer pour eux-même
, après avoir réclamé pour tant de monde ? N’est-ce point un homme de Lettres qui a demandé justice pour les Calas & pour S
stice pour les Calas & pour Sirven ? Ne sont-ce point des Gens de Lettres qui ont tonné contre la superstition, contre le f
Tribunaux, & contre les jugemens par commission, & contre les Lettres de Cachet, & contre la corvée, & contre l
oid, qu’il n’est question, sur ce point, que des intérêts des Gens de Lettres . O François ! si vous ne méritez plus ce nom de W
nir une Nation libre & raisonnable, rendez-en grace à vos Gens de Lettres . L’orgueil & la foiblesse des Monarques, la v
néant politique, où elle s’est vue plongée si long-temps. Vos Gens de Lettres l’ont retirée insensiblement de l’abîme. On n’a r
r plus aisément sous la verge du despotisme. L’ambition d’un homme de Lettres étoit nécessairement bornée en France au fauteuil
era surpassée par leurs successeurs. N’outragez donc plus vos Gens de Lettres . Ils vous ont fait presque autant de bien, que vo
amp; votre Clergé vous ont fait de mal. Apprenez que sans les Gens de Lettres , la France seroit, en ce moment, au point où se t
uve aujourd’hui la France. XXIX. Il est donc démontré que les Gens de Lettres François ont des droits à la reconnoissance de la
ure qu’elle s’éloigne. Elle rajeunit de siècle en siècle. Les Gens de Lettres , sans doute, & même ces grands hommes, n’ont
60 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VII. Histoire des Cas de Conscience. » pp. 159-189
n. Racine mécontent de Port-Royal, qui l’avoit condamné, écrivit deux lettres pleines d’esprit & de sarcasmes, plutôt pour
tout le jargon scholastique. Boursaut la donna au public en forme de Lettre d’un Théologien sur la comédie ; y fit même des c
a aussi la Palinodie ; il écrivit à l’Archevêque de Paris, une grande lettre qui se trouve au second Tome du Recueil de ses Le
ris, une grande lettre qui se trouve au second Tome du Recueil de ses Lettres , mêlée à je ne sçai combien de galanteries &
emblage ridicule qu’un comédien est seul capable de faire. Dans cette lettre où il n’y a ni bonne foi, ni sens commun ; il com
une conduite si sage ; mais dont il avoit calmé les scrupules, par la lettre de son docteur. Ensuite prenant le ton érudit, lu
es décisions de la Sorbonne. L’Archevêque méprisa comme de raison, la lettre de Boursaut ; mais il crut devoir donner a son pe
tre ; il y démontre l’ignorance dans cette matiere, de l’auteur de la lettre que Boursaut avoit élevée jusqu’aux nues ; où il
de Harlai, Prélat habile & bien instruit des choses du monde, la lettre même de Boursaut auroient d’ailleurs terminé sa d
. Theodorit, Roi des Visigots, les tolléroit, comme il paroit par les lettres de calliodore ; mais ne les goûtoit pas, & le
& Rousseau, deux grands maîtres, célebres dans la République des lettres , gens de beaucoup d’esprit, en état d’en juger, t
édiation de Boileau, dans les œuvres duquel on a imprimé ses fameuses lettres , aussi malignes qu’ingénieuses. Il est vrai encor
es qui font rire par leur ton de Théologien ; mais il fit imprimer la lettre du P. Caffaro, homme pieux & savant, qui méri
dant pas résister à la tentation de donner du sien dans une prétendue lettre à l’Archevêque de Paris, qu’il fit imprimer, qui
61 (1697) A Monseigneur de Harlay, Archevêque de Paris « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] Lettres nouvelles De Monsieur Boursault. Accompagnées d
Mots et d’autres Particularitez aussi agréables qu’utiles. Avec sept Lettres Amoureuses d’une Dame à un Cavalier. A PARIS Che
62 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] Lettres nouvelles De Monsieur Boursault. Accompagnées
Mots et d’autres Particularitez aussi agréables qu’utiles. Avec sept Lettres Amoureuses d’une Dame à un Cavalier. A PARIS Che
63 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « AVERTISSEMENT. » p. 2
AVERTISSEMENT. Si cette Lettre n’est pas signée, ce n’est pas que l’on ait préte
pas moins mérité, par ses écrits, de sa république, que de celle des Lettres . D’ailleurs, cet écrit est plutôt une continuatio
64 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE VIII. Dans quelle Nation la Poësie Dramatique Moderne fit-elle les plus heureux progrès ? » pp. 203-230
cette Nation. Ne croyons pas qu’à Londres, où il y a tant de Gens de Lettres , & où les Poëtes Grecs sont si connus, le Thé
s, & amateurs des belles choses, comme j’en ai été assuré par une Lettre dont m’a honoré D. Montiano de l’Académie Royale
enera Cleopatre pour la faire servir d’ornement à son triomphe. Cette Lettre tombée de sa poche par hasard, est portée à Cleop
 ; mais c’est ce qu’il raconte d’une maniere bien différente dans une Lettre écrite à l’Abbé Desfontaines, & imprimée dans
s premiers complimens faits à l’Auteur par un petit nombre de Gens de Lettres , elle seroit demeurée ensevelie dans l’oubli. Il
roit demeurée ensevelie dans l’oubli. Il est aisé de juger par cette Lettre , que Riccoboni, qui possédoit le Théâtre François
nes, dans celles de Lazarini imprimées à Rome en 1743, & dans une Lettre écrite à M. de Voltaire qui se trouve dans ses Œu
levé tant de défauts, fut quand elle parut, si vantée par les Gens de Lettres de l’Italie, & même parmi nous. Elle parut éc
qu’il a donnés quelquefois au Théâtre Anglois, ne dit-il pas dans sa Lettre à M. Maffei : Il semble que la même cause qui pri
65 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIX. Nouvel abus de la doctrine de Saint Thomas. » pp. 102-108
6]. , il permet les comédies « dans tout le carême »Diss. Page 54. [«  Lettre d’un théologien », page 54]. . Il ne mériterait
entendre la comédie « tout le carême » (ce sont ses mots)Pag. 54. [«  Lettre d’un théologien », page 54]., sans que cela répug
XXII. 6. [Ecclésiastique, chapitre XXII, verset 6]. Diss. Page 54. [«  Lettre d’un théologien », page 54]. In 4. dist. 16. q. 4
r sententiarum), Sentences, livre IV, distinction 16].ag Pag. 54. [«  Lettre d’un théologien », page 54]. 2. 2. q. 168. art. 4
66 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Lettre à M. Rousseau, citoyen de Geneve. »
Lettre à M. Rousseau, citoyen de Geneve a. Quittez-m
t de dommage. La Font. L. XII. Fab. XX.b a. [NDE] Le texte de la lettre est précédé de l’article "Genève" et de la « Décl
67 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
rez pas surpris quand vous saurez les raisons qui m’y déterminent. La Lettre de M. J. J. Rousseau de Genève à M. d’Alembert, a
son mérite dans le Recueil des Pièces de Théâtre de Boursault, où sa Lettre est insérée ; qu’on nous oppose, dis-je, l’exempl
scrit contre la bienséance de leur état ; nous répondrons, 1°. que la Lettre du Père Caffaro Théatin, qui se trouve dans le Re
Boursault, n’est pas de ce Religieux, et qu’il l’a désavouée dans une Lettre adressée à M. de Harlai, Archevêque de Paris, et
, Monsieur. Mais je vous invite à ne vous occuper de l’objet de cette Lettre que l’Evangile à la main, sous les yeux de Jésus-
près l’Auteur de la Vie de Saint Charles. 6. [NDA] Lett. 105 de ses Lettres choisies. 7. [NDA] Journal des Sçavants. 6. Ma
er aux représentations qui se font sur des Théâtres publics. Voyez la Lettre de M. le Chevalier de *** sur les Spectacles, pag
[NDA] Vie de M. de Renti par le P. Saint-Jure, Jésuite. 15. [NDA] Lettres Chrétiennes de M. de Saint-Cyran. Tom. 1. pag. 68
68 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XII. Des Machines & du merveilleux. » pp. 179-203
; produire de grandes surprises. Telles sont les reconnoissances, les lettres ou billets, les poignards, l’évocation des mânes,
e en avons-nous qui se soutiennent quelques jours sur le Théatre. Les lettres ou billets offrent une maniere quelquefois heureu
servis. Il est pourtant à remarquer que Racine n’a mis qu’une de ces lettres dans toutes ses pièces. Elle sert à dénouer la Tr
partement, comment Zaïre a-t-elle pénétré jusqu’à lui, a-t-il reçu la lettre & a-t-il fait réponse ? La lettre de ce Princ
tré jusqu’à lui, a-t-il reçu la lettre & a-t-il fait réponse ? La lettre de ce Prince surprise par ses surveillans entre l
Je ne sçais qui l’emporte des deux Poëtes, dans le trouble que leurs lettres jettent dans les personnanges de leurs piéces. Ma
69 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVII. Profanation de la sainteté des fêtes et du jeûne introduite par l’auteur : ses paroles sur le jeûne. » p. 97
pratiques de l’Eglise. L’un est celui où l’auteur approuvePage 54 [«  Lettre d’un théologien », page 54]. que la comédie parta
orise l’abus de jouer les comédies durant ce saint temps. Page 54 [«  Lettre d’un théologien », page 54].
70 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VIII. Crimes publics et cachés dans la comédie. Dispositions dangereuses et imperceptibles : la concupiscence répandue dans tous les sens.  » pp. 30-40
médie, ni les crimes dont on veut qu’elle soit la source »page 40. [«  Lettre d’un théologien », page 40]. . Apparemment il ne
sujets aux grands crimes que les pauvres qui n’y vont pasPage 40. [«  Lettre d’un théologien », page 40]. : Vous n’avez encore
imagination blessée, que leur amour-propre leur cachent. page 40. [«  Lettre d’un théologien », page 40]. Prov. VII. 10. 21. 2
set 25]. Is, XIII, 22. [Isaïe, chapitre XIII, verset 22]. Page 40. [«  Lettre d’un théologien », page 40]. Conf. III [saint Au
71 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — CHAPITRE IV.  » pp. 109-114
sagers. Ils nous divertissent & nous instruisent, encouragent les Lettres & les font souvent refleurir. S’il en paraiss
lens d’un seul Auteur ; la plus-part n’enrichissent la République des Lettres que d’un seul homme de génie. L’Opéra-Bouffon, au
lui seront connues. Elle apprendra avec quel soin nous cultivions les Lettres . Nos Neveux, se fesant une gloire de suivre notre
72 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Onzième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 244-249
Onzième Lettre . De madame Des Tianges. Jeudi soir 12. M on
able Ursule. J’écris à monsieur de Longepierre ; voila la copie de ma Lettre  : EN vous instruisant, Monsieur, je connaissais
aut au contraire les dissiper. C’est le parti que j’ai suivi dans mes Lettres  ; où je prends le plus souvent un ton qui n’est p
73 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Avis » pp. -
Avis Cette Lettre est composée de deux parties : la première est un
tation et toute lecture de la pièce, sous peine d’excommunication. La Lettre sur la comédie de L’Imposteur est publiée le 20 a
Hypocrisie et Imposture dans la querelle du Tartuffe (1664-1669) : La Lettre sur la comédie de l’imposteur (1667) », Les Dossi
74 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES DISCOURS. » pp. -1
TABLE DES DISCOURS. I. DISCOURS. Sur la Lettre du Théologien Défenseur de la Comédie. Page 1. II
s qui en approchaient depuis les Scholastiques jusqu’à nos jours. 187 LETTRE . Où l’Auteur des Discours précédents répond à que
75 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49
à de telles marques qu’on doit estimer un Peuple. Les Arts & les Lettres firent en Grèce des progrès rapides. La Comédie s
s aux charmes de la Comédie, firent disparaître peu-à-peu l’amour des Lettres . Les troubles dont l’Empire Romain fut agité, l’i
ne de l’Italie, pour ne pas caresser à son exemple les Arts & les Lettres . La pluspart de nos connaissances, & sur-tout
Mécène, favori d’un second Auguste. L’amour qu’il ressentit pour les Lettres lui fit engager Louis XIV. à les chérir ; il sut
été le travail continu d’une foule de gens d’esprit qui a conduit les Lettres de progrès en progrès, de clartés en clartés ; un
seul homme de génie. Je demande d’où vient cette différence dans les Lettres & dans les Sciences ? Je n’ose entreprendre d
s de dire une preuve assez claire du frivole & de l’inutilité des Lettres . J’espère que le Lecteur me saura gré de ma franc
ré de ma franchise ; il est beau & très-rare, de voir un Homme de Lettres avouer que les Sciences sont de beaucoup au dessu
76 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VII. Paroles de l’auteur et l’avantage qu’il tire des confessions.  » pp. 28-29
ver l’innocence du théâtre par expérience. « Il y a, dit-il, p. 38 [«  Lettre d’un théologien », page 38]. trois moyens aisés d
n’y a rien que l’oreille la plus chaste ne pût entendre. » p. 38 [«  Lettre d’un théologien », page 38].
77 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VIII.  » pp. 195-221
ion, à laquelle on dit qu’il se fournit. Ses amours avec Heloïse, les lettres galantes, les burlesques avantures étoient de ces
recueil de tout ce qu’il put en déterrer, où étoient entr’autres ses lettres amoureuses, que personne ne connoissoit. André du
ire. On les a mis au jour ; on en a fait des Romans, on a traduit ses lettres , & dès lors on lui a donné le plus grand méri
a donné la vie & les amours d’Abaillard & d’Héloïse & ses lettres traduites & paraphrasées d’une maniere très-l
de la savante Climene, qui se le rappelloient mutuellement dans leurs lettres , dans le style qu’on appelle tendre, noble, pathé
t, dit-on, le censeur, & il n’entretient pas moins un commerce de lettres , où il se détaillent, l’un à l’autre, leurs ancie
u’on juge de son mérite par l’idée qu’elle donne d’elle même dans ses lettres . Une Réligieuse entend-elle le Latin, connoit-ell
amp; absurdes, qui n’ont pu échaper qu’à un homme de théatre. 1°. Une lettre écrite par Abaillard à Philinte, où ce philosophe
u, de la prudence, de la décence de son amant ; mais l’écrivain de la lettre à Philinte en donne-t-il une bien avantageuse de
ès-étroitement. & ne put jamais être persuadé ni par priere & lettre du Prince, ou de tous ses parents, à permettre qu
aisons, des autorités, des anecdotes qu’on y trouve. On y a opposé la Lettre du P. Caffaro, Théatin, qui est à la tête du théa
78 (1697) A Monseigneur de Harlay, Archevêque de Paris « A MONSEIGNEUR DE HARLAY, ARCHEVEQUE DE PARIS, DUC ET PAIR DE FRANCE  » pp. 394-406
E HARLAY, ARCHEVEQUE DE PARIS, DUC ET PAIR DE FRANCE Touchant une Lettre ou Dissertation en faveur de la Comédie. Monse
umblement de me regarder comme le seul coupable de l’impression d’une Lettre que j’ai mise au devant de quelques Pièces de Thé
usieurs fois réitéré la même prière il me renvoya mes Ouvrages, et la Lettre dont il m’a dit qu’on lui fait un crime auprès de
ompre. Voilà, Monseigneur, à quelle occasion ce Théologien a écrit la Lettre qui fait tant de bruit, et dans quel esprit j’ai
79 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Madame de Longueville. » pp. 40-83
ites qu’une liaison de politesse, par quelques visites & quelques lettres . Sa mere, Marguerite de Montmorenci, Princesse de
mp; des haies des grenadiers, mais dans quelque séjour affreux, votre lettre auroit adouci toute la rigueur de mon exil. Aprè
amp; le plus aimable. Tout ce qui soulagea un peu sa tristesse sut la lettre qu’elle écrivit à l’evêque de Vence, & la rép
ur la sellette. Dans le même temps elle écrivit à la Reine une longue lettre , éloquente & pathétique, pour se justifier &a
fficile de voir un plus grand contraste que cette requête & cette lettre  : elles eurent le même sort. La Duchesse de son c
l à prix, délibéré sur la requête de la Princesse de Condé, reçu cent lettres des prisonniers qui avoient recours à sa protecti
que-temps, il y eut des escarmouches, des manifestes, des arrêts, des lettres de négociations, des députations de la Cour du Pa
jouer leurs rôles. L’Evêque sortit le premier des coulisses, par les lettres les plus touchantes qu’il écrivit à la Princesse,
Carmelites, se repentoit de n’être pas religieuse, leur écrivoit des lettres de dévotion, comme une novice, & avec la même
oi d’Espagne, pour lui demander des troupes : elle composoit même les lettres que sa famille ne faisoit que copier. Ce mêlange
arches peu mesurées qui la firent exiler. Elle écrivit à la Reine une lettre très-respectueuse, pour l’assurer de sa fidélité.
’Evêque de Vence & les Carmélites écrivirent à cette occasion des lettres très-sages, la Princesse répondit sur le même ton
avec Turenne, & négocier avec l’Espagne. Malgré la sagesse de ces lettres , il y a des expressions fort singulieres. Dieu q
es : mais elle y porta son esprit, & ne cessa d’intriguer par ses lettres , & de souffler le feu de la guerre ; elle y d
armélites qu’elle avoit demandée, non-plus qu’à leurs livres, à leurs lettres & à leurs prieres, je suis persuadé que la pé
profondes, des pénitences rigoureuses, des conversations saintes, des lettres édifiantes aux Carmelites & à la Visitation,
80 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dixième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 242-243
Dixième Lettre . De madame D’Alzan. Lundi matin 9. I l est
. Mon Dieu ! comme il les aime : je le laisse avec eux pour fermer ma Lettre . Cet attachement si naturel ne suffirait-il pas p
81 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE. De Racine à Despréaux, » pp. 83-84
LETTRE De Racine à Despréaux, A Fontainebleau le 12 O
ites, je vous avoue que j’ai été un peu surpris d’apprendre par votre Lettre , qu’on m’eût déclaré la guerre chez eux. Vraisemb
82 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Septième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 282-286
Dix-Septième Lettre . De madame Des Tianges. Jeudi 2 novembre. I
te connaît pas, non, il ne t’a pas reconnue : en voici la preuve : Lettre de D’Alzan, à Des Tianges. Pas un sentiment, pas
premier Billet : je vais en transcrire un second d’un autre style. Lettre de Mlle ***, à Madame Des Tianges. C’EST bien sa
83 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VI. Du Cardinal Mazarin. » pp. 89-108
loire que l’établissement de l’opéra. Si nous en croyons l’Auteur des Lettres Chinoises (Tom. 1. Lett. 22.) qui le connaissait
dans un jour beaucoup plus haut que leurs appointements d’une année. ( Lettre 24.) L’on a rassemblé à l’opéra tout ce qu’il y a
le Bel fit jouer Boniface VIII ; après l’avoir traité de fat dans ses lettres , il le tourna en ridicule sur le théâtre. Pendant
rince cependant était délicat sur les bienséances. La Mothe le Vayer ( Lettre 47. sur les Magistrats) rapporte d’après Fevret,
omédie, surtout l’Italienne, comme plus libre et moins modeste. Cette lettre troubla la Reine, qui ne voulait souffrir rien de
nnaire de Fromageau, et n’a jamais été contredite. Boursault dans ses lettres , (Tom. 2. Let. 7.) veut étayer la comédie du suff
P. Caffaro son Confesseur (à ce qu’il dit) dont il a fait imprimer la lettre à la tête de ses œuvres. Celui-ci ne fait aller l
ter des fanons à son bonnet, comme une mitre d’Evêque, de sceller ses lettres avec du plomb, et d’avoir ses étendards bigarrés
84 (1694) Lettre à l’abbé Menard « Lettre LIII. De remercîment à M. l’Abbé Menard. Il y est parlé de quelques Ouvrages dont ont porte le jugement. » pp. 62-63
Lettre LIII. De remercîment à M. l’Abbé Menard. Il y est
se de le recevoir de vous quelques jours auparavant. J’ai lu aussi la lettre du Père Caffaro. Je ne regarde point le langage,
85 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatorzième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 260-274
Quatorzième Lettre . De madame D’Alzan. Lundi 23. N on, mon ado
démarche, ô ma sœur ! quelle démarche je viens de faire ! Mais cette Lettre que vous m’avez renvoyée, ne me permettait plus d
rait bien essayer mes talens, me donner ses avis, & m’obtenir une Lettre de Début. Croyez, ma sœur, que je m’étais préparé
tres Misomimes, j’en suis contente. La meilleure Réponse à la fameuse Lettre , ma sœur, c’est votre Projet.   Le fait qui sert
apitale de la France ? Je n’en sais rien : mais on m’a communiqué une Lettre , qui fait part à madame Du D** d’un trait tout se
86 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre premier. Origine des Spectacles. » pp. 1-14
une salle de l’hôtel de la Trinité, et ils obtinrent à cet effet des lettres patentes, datées du 4 décembre 1402. Les sujets d
ssiper l’orage. Ces alternatives ont paru jusqu’au rétablissement des lettres sous François Ier. Depuis cette époque, aussi fav
sions, étaient de pernicieuses leçons d’impudicité. Ils obtinrent des lettres patentes pour leur établissement, comme si c’eût
s infâmes, et leur défendit de jouer ni de plus obtenir de semblables lettres , sous peine de 10.000 livres d’amende applicable
[NDE] Les paragraphes précédents résument Charles Desprez de Boissy, Lettres sur les spectacles, Paris, 1777, vol. 2, pp. 2-12
87 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « [Lettre] » pp. 1-4
[ Lettre ] Monsieur, S i la pureté d’intention peut ins
re usage, que je vais prendre la liberté d’examiner, avec vous, votre Lettre datée de Montmorenci, du 20 Mars 1758. & que
88 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Christine de Suede. » pp. 111-153
 ; elle s’épargne encore moins, & dit d’elle-même dans une de ses lettres  : Je suis méfiante, soupçonneuse, ambitieuse à l
utation de sciences ; c’étoient des Officiers pour le département des lettres , comme elle avoit des Officiers de la bouche &
moins singuliers ? L’un dégrade la royauté, les autres dégradent les lettres . Elle ne vouloit pas les caresses des femmes, les
té de vouloir imiter François Ier qui fut en France le protecteur des lettres , & n’en fut pas moins libertin ; il est vrai
accueillit avec bonté & se faisoit honneur de son amour pour les lettres comme elle n’en connoissoit aucun. L’Abbé Menage
avoit adressé des vers, & qui connoissoit toute la république des lettres , fut chargé d’être son nomenclator ; il ne manquo
t que quand Charles IX venoit chez Ronsard aux assemblées des gens de lettres , tout le monde étoit assis ; la question fut déci
ste de cette Savante que quelques bons mots qu’on a retenu, & des lettres dont on a fait un recueil, il y a des traits ingé
mauvais style, de la hardiesse, de la hauteur, de la singularité. Ces lettres sont bien éloignées de celles de Madame Sevigné,
emences de la Catholicité ; que ce père fut chargé de faire tenir une lettre à son général dans laquelle elle lui demandoit de
du Philosophe, Ambassadeur de France, ce qui est confirmé par une des lettres de cette Reine ou pour s’excuser de sa facilité à
la pudeur de ne pas lui en faire un mérite, il a conservé une de ses lettres sur la révocation de l’Édit de Nantes, mai 1686.
femme qui le pense , dîsoit-on en France, quand Baile rapporta cette lettre dans son journal, c’est une Comédienne  : &
ir cette contradiction ? de quel côté est la comédie ? Au reste cette lettre qui parle avec beaucoup de respect de la Religion
89 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE II. » pp. 18-28
LETTRE II. LA matiere que je traite aujourd’hui, Made
ssiper l’orage. Ces alternatives ont paru jusqu’au rétablissement des Lettres , sous François I. depuis cette époque aussi favor
es, & leur défendit de jouer, ni de ne plus obtenir de semblables Lettres  ; & néanmoins dès que la Cour fut de retour d
90 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver sur le Théâtre de la Réformation. Avant Propos. » pp. 118-127
éâtres de l’Europe peuvent se ranger. Si, dans les ouvrages de belles Lettres , les Savants ont soin de laisser au Lecteur intel
tre quelque chose du sien à sa lecture. Au surplus, parmi les gens de Lettres il y en a qui sont, plus que tous les autres, en
s là avec le Tasse et ceux de son parti, est assez connue des gens de Lettres  : avec ce secours je me défiais moins de ma raiso
91 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « X. Différence des périls qu’on cherche et de ceux qu’on ne peut éviter. » pp. 44-45
dies, à ceux qu’on ne peut éviter « qu’en fuyant, dit-il, Page 46. [«  Lettre d’un théologien », page 46]. dans les déserts. O
 : « celui qui l’aime » et qui le cherche, « y périra ». Page 46. [«  Lettre d’un théologien », page 46]. Sap. XIV. 4. [Sage
92 (1781) Lettre à M. *** sur les Spectacles des Boulevards. Par M. Rousseau pp. 1-83
Lettre sur les Spectacles Des Boulevards & des Foire
se créent exprès des monstres pour avoir le plaisir de les combattre. Lettre à J. J. Rousseau Citoyen de Genêve. « La raison,
d’une administration plus utile au Public, plus honorable aux Gens de Lettres , plus ferme pour les Comédiens ; ces Théatres, en
it que la dépravation des mœurs s’opere en proportion de la chûte des lettres . Ces vérités ont été débattues & prouvées tro
es Spectacles Forains, sur la décadence du goût, des talens & des Lettres Les croquis en tout genre se multiplient à l’infi
s Bourgeois : (souvenez-vous, Monsieur, que je n’ai en vue dans cette Lettre , que les intérêts des enfans de cette classe) de
ignation, Euripide, faire dire à un personnage d’une de ses Pieces : Lettre sur les Spectacles, par M. D. de B. T. I. les ric
s Foires n’ignorent pas, comme je l’ai remarqué au commencement de ma Lettre , que la réussite de leurs chétives productions, d
t, répondre aux objections les plus spécieuses que l’on a faites à ma Lettre  ; elles sont au nombre de cinq, les voici : 1.° L
mais l’observation que j’ai fait à ce sujet, au commencement de cette Lettre , suffit pour prouver qu’elles n’y peuvent donner
; l’établissement d’une seconde troupe de Comédiens Français. Dans ma Lettre suivante, Monsieur, j’espere que j’aurai l’honneu
les qu’on pourrait me faire : je vais me résumer. Il résulte de cette Lettre . 1.° que les Spectacles du Boulevard & des Fo
auront des d’Alembert, des Buffon, des Cassini, & des Mayran. Les Lettres encouragées & protégées, seront cultivées par
aurai l’honneur de vous envoyer, le plutôt que je pourrai, ma seconde Lettre sur l’établissement d’un second Théatre Français,
lig. 13, lis. forcent. Même p., lig. 21, lis. faiseuses de modes. Lettre à J. J. Rousseau Citoyen de Genêve. 1. L’heureus
e bon sens, & ne le trouvant point. 11. J. J. Rousseau, dans sa Lettre sur les Spectacles, en parlant de leur effet. 12
oncitoyens ; voilà les seuls motifs qui me déterminent à écrire cette Lettre  : comme je n’ai jamais traité avec ces Entreprene
antage de les connaître, ils ne peuvent m’en supposer d’autres. 17. Lettre sur les Spectacles, par M. D. de B. Avocat au Par
us avantageux de cette étude, soit des Arts, soit des Sciences et des Lettres , c’est qu’elle cause des distractions qui affaibl
bonis flebilis occidit, Flebilior nulli quam mihi… Horat. Od. 32. Lettre II. Idée d’un Roi patriote, Ouvrage fort estimabl
e fort estimable, traduit de l’Anglais ; je l’ai déjà cité ci-devant. Lettre sur les Spectacles, par M. D. de B. T. I. 33. Pa
le sans doute ; les pieces de ce tems étaient intitulées : la Sotise. Lettre sur la Tragédie d’Euphemie. M. D*** ci-devant cit
Idée d’un Roi Patriote. Ouvrage trad. de l’Angl. Dans le Huron. Ibid. Lettre sur les Spectacles, à J. J. Rousseau. 35. Il est
ent cachée. C’était la Comédie d’Aristophane. Voyez le 2.e vol. de la Lettre de M. D. de B*** & l’Eloge de Moliere, par M.
h. 3. Liv. I. Ch. 5. Feuille Hebdomadaire de 1770, par M. de Querlon. Lettre sur les spectacles, à M. d’Alembert. 42. Cicéron
igands qui doivent un jour servir de victimes à la vindicte publique. Lettre de Mylord, Comte de Rochester, à son fils. 44. Q
93 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381
te attention continuelle aux pieds, que Cicéron garde jusque dans ses Lettres , parce que le stile Epistolaire a aussi ses pieds
Avons-nous attention à une pareille harmonie quand nous écrivons des Lettres  ? Quintilien [L. 9.] nous dit qu’un leger changem
omparant aux Grecs, se plaignoient d’avoir une Langue rude, pleine de lettres tristes & sauvages ? C’est la plainte de Quin
ont cinq sont simples, trois sont doubles. Le Sigma est selon lui une lettre ingratte dont les anciens Ecrivains faisoient peu
ue n’avoit pas la douceur de celle des Grecs, parce qu’elle avoit des lettres rudes. L’F rend un son, dit-il, qui n’est presque
e mugissement, au lieu que les mots Grecs finissent souvent par un U, lettre qui rend un son agréable, surtout en terminant un
n’ont pas la même douceur que ceux des Grecs. Il envie aux Grecs deux lettres , qui répandent, dit-il, l’amenité dans un discour
onne pour exemple ce mot zephiri. Ce même mot, dit-il, écrit avec nos lettres , rendra un son dur & barbare, surdum quiddam
e ponè sequens ou pone metum) je prononce deux mots qui ont les mêmes lettres & la même quantité, entendez-vous les mêmes s
dont l’exécution étoit si difficile. Il ne faut donc pas prendre à la lettre ce Vers de Juvenal, Grande Sophocleo carmen ba
94 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145
Seconde lettre contre les spectacles. On en démontre le pois
me faites plaisir, en m’apprenant vous-même quel a été le sort de ma Lettre . Depuis, dites-vous, que vous l’avez lue, vous vo
les raisonnemens des apologistes du Théatre. Ce sont les termes de la Lettre , que Mr. Gresset publia le 14 de Mai 1759, pour r
n 1660. Mr. Bourdelot, Avocat au Parlement de Paris, fit imprimer une lettre contre les désordres de la Comédie. En 1666. M. A
cet homme illustre, qui mourut en 1738, régretté de tous les gens de Lettres . La candeur & la probité formoient son caract
de Sorbonne, dit encore l’athlête du bon goût, dans le recueil de ses Lettres pag. 110 & 115 ; en acceptant le College des
illeurs, parlant à Mr. Jean Racine, qui avoit écrit avec chaleur, une lettre en faveur des spectacles : Votre lettre , lui di
voit écrit avec chaleur, une lettre en faveur des spectacles : Votre lettre , lui dit-il, est très-bien écrite ; mais vous d
Théatre ayant fait imprimer plusieurs piéces, fit mettre en tête, une lettre favorable aux spectacles ; elle fut attribuée au
bulaire François, tom. 10 pag. 340, &c fut enlevé à l’Eglise, aux Lettres & à la Patrie en 1715. « Cet Académicien, qui
’y dit-il au chap. 13 ? Les Comédies corrompent les mœurs. Et dans sa lettre à l’Academie Françoise, il dit, en parlant des sp
ombre des dévots &c dit, dans un des volumes de sa République des lettres , au mois de Mai 1684. Qu’il ne croit nullement, q
is, qui, selon le Dictionnaire Historique, par une société de gens de Lettres , édition de 1772, réunissoit l’esprit du Chrétien
ls, dont il connoissoit le danger. Voici comme il s’exprime, dans une lettre à Louis Racine son fils… « Vous sçavez ce que je
, les maximes de Mr. Gresset sur cette matiere. Ce véritable homme de Lettres , cet Auteur plein de raison, de graces & de g
lle est possible, dépend de votre agrément pour la publicité de cette Lettre  ; j’espére que vous voudrez bien permettre qu’ell
son témoignage ne peut pas etre suspect. On convient, dit-il dans sa Lettre à Mr. Dalembert, « & on le sentira chaque jou
Raphaël.1 » Le Public qui fréquente les spectacles, dit-il dans sa lettre déjà citée, « est aujourd’hui plus que jamais, da
, ancien Auteur du Mercure, que ces sortes de personnes ont besoin de lettres de créance, pour être reçues à faire l’apologie d
coup près, des lieux surs pour la vertu, dit M. de Pompignan, dans sa lettre à Mr. Racine fils. « Parmi les piéces de la Chaus
Sans les spectacles, à quoi &c ! Pour moi, dit Voltaire, dans sa lettre à Racine, je ne les regarde pas comme une occupat
z écouter comme J.C.… jugera cette question ? Voyez toute la premiere lettre . Cela ne mérite-t-il pas une réponse ? Quel mal
s Encyclopédistes eux-mêmes, ils vous l’apprendront. Voyez la seconde Lettre . Quel mal fait-on &c ? 1°. N’est-ce pas un m
de Valmont tom. 2. pag. 80. C’est celle de Mr. de Pompignan, dans sa lettre à Racine. « On vient, dit-il, de jouer Polieucte,
95 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIV. Troisième réflexion sur la doctrine de Saint Thomas : passage de ce saint docteur contre les bouffonneries. » pp. 85-87
Ep. ad Eph. Cap. 5. lect. 2. [saint Thomas d’Aquin, Commentaire de la lettre aux Ephésiens, chapitre V, leçon 2]. : « L’Apôtre
Ep. ad Eph. Cap. 5. lect. 2. [saint Thomas d’Aquin, Commentaire de la lettre aux Ephésiens, chapitre V, leçon 2]. Math. XII. 3
96 (1758) Réponse pour M. le Chevalier de ***, à la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles [Essais sur divers sujets par M. de C***] « Réponse pour M. le Chevalier de***, A la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles. » pp. 128-142
Réponse pour M. le Chevalier de***, A la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles *. E n c
ce que je n’ai pas pris la défense de l’opéra dans le cours de cette lettre  ; ce n’est pas parce que je crois ce spectacle pl
ire qu’il ne faut plus aller à l’Eglise ? Je suis, &c. *. Cette lettre a paru en 1757. *. Saint Charles Borromée examin
-même les pièces que l’on jouoit à Milan. Léon X, le restaurateur des lettres en Europe, fit représenter des tragédies dans son
97 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Privilege du Roy. » pp. -
en accorder la permission, & iceluy faire imprimer, requerant nos Lettres à ce necessaires : A ces causes, desirant favorab
autre permission, nonobstant clameur de Haro, Charte Normande, & Lettres à ce contraires Car tel est nostre plaisir : Donn
98 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXII. On vient à saint Thomas : exposition de la doctrine de ce Saint. » pp. 79-81
de la question de la modestie extérieure, et on ditPage 4 et suiv. [«  Lettre d’un théologien », pages 4 et suivantes]. qu’il n
ogique, IIª IIae, question 168, articles 2 et 3]. Page 4 et suiv. [«  Lettre d’un théologien », pages 4 et suivantes]. De mor.
99 (1836) De l’influence de la scène « De l’influence de la scène sur les mœurs en France » pp. 3-21
is) Inspiré sans doute par cette pensée, l’Athénée des sciences, des lettres et des arts, demande : Quelle est l’influence de
tationnaire pendant plusieurs siècles. Mais les obstacles opposés aux lettres ne firent qu’en retarder le développement. Au mom
inte, l’honnête homme fut sacrifié ; Rousseau le lui reproche dans sa Lettre à d’Alembert sur les théâtres . Entre l’école de
ute chose. » Cette déclaration de principes, faite au nom des gens de lettres d’alors, ne ferait pas fortune aujourd’hui. On es
ils ont pu croire utiles alors, ont évidemment retardé le progrès des lettres . . [NDE] Le titre exact est Lettre à d’Alembert
idemment retardé le progrès des lettres. . [NDE] Le titre exact est Lettre à d’Alembert sur les spectacles. a. [NDE] Magis
100 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Privilége du Roi. » pp. 369-370
itre L’Art du Théatre en général. S’il nous plaisoit lui accorder nos Lettres de Privilège pour ce nécessaires. A ces causes, v
permission, & nonobstant clameur de Haro, Charte Normande, & Lettres à ce contraires. Car tel est notre plaisir. Donné
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