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1 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Fêtes de Théatre. » pp. 95-114
édiens, qui, en réfusant de jouer les pieces, l’ont forcé de se faire justice par l’impression. La manie des petites loges , d
emples étoient destinés aux quatre vertus cardinales, la Prudence, la Justice , la Force, la Tempérance, & enfin à la Réligi
mier, il est vrai, placé au centre de la table, étoit le Palais de la Justice , les autres n’étoient pas tout-à-fait des vertus.
toit. C’est un nouveau goût, un nouveau genre de culte. A celui de la Justice on voyoit Themis avec son bandeau, sur des nuages
fait honneur des attributs d’une vertu. Le Roi porte le sceptre de la Justice , jamais la Justice n’a porté les armes de France,
tributs d’une vertu. Le Roi porte le sceptre de la Justice, jamais la Justice n’a porté les armes de France, encore moins d’un
vince, quoique Prince du sang, n’a qu’une autorité déléguée, & la justice n’est point rendue en son nom : son écusson ne pe
’écusson de M. le Chancelier ; il eût été mieux placé à la main de la justice , dont il est le chef. Celui de M. le Comte de Pér
ller de pair avec eux. Les deux Temples suivants aux deux côtés de la Justice ne sont pas dédiés à des vertus, mais apparamment
e Présidente des graces, avec lesquelles elle assiége le Temple de la justice , dont les barrieres ne sont pas difficiles à forc
nos nouveaux Magistrats ont l’esprit guerrier, au lieu que l’ancienne Justice passoi pour pacifique. Aussi sont-ils tous Marqui
par la régularité de la vie, & l’austérité des Mœurs. La nouvelle Justice est toute jeune ; & n’est ce pas l’appanage d
e ; & n’est ce pas l’appanage de la jeunesse, de faire asseoir la Justice entre Vénus & les Graces, de quitter un momen
2 (1759) Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles. Avec un Postcriptum à toutes les Nations pp. 3-84
evoir de tout Chrétien, de tout Citoyen, de déférer au tribunal de la Justice toute manœuvre sourde & secrette, dès que ven
eux balances , (Prov. 20. v. 10.) sont en abomination aux yeux de la Justice . Mais ne consultons que la raison ; elle nous di
e consultons que la raison ; elle nous dit qu’en vain d’un bras cette Justice chasseroit du milieu de nous (p. 2.) une société
pplaudir dans l’Orphelin, à peine de passer pour grimaud ? Non, non, justice & vérité ; voilà les premiers devoirs de l’ho
dont les noms serviront à jamais pour désigner les cœurs pervers ! La justice humaine & ses tortures ne pourroient rien con
l’exerce & le réalise à nos yeux, échapperoit-il au glaive de la Justice  ? le Ministre trouveroit-il encore un sujet de tr
ans le commerce de la société, quelle règle, quelle honnêteté, quelle justice dans toutes nos actions !… Seigneur, (Luc. 10. v
corruption de l’homme, ni former le lien d’une Société fondée sur la justice . Combien moins le pourront cette portion malheu
épendance, de barbarie, de mauvaises mœurs ? Il est donc réservé à la Justice de juger s’il n’est pas plus expédient de châtier
uand tu leur donnas la naissance, ne mis tu pas en elles ce germe de justice & de vérité , que tu sçais si bien être (Lett
ent de la raison, & qui ne peut en imposer aux yeux perçans de la justice , mais seulement lui apprendre que la cause de no
er avec elles dans l’édifice de la céleste Sion ! Vérité, guide de la Justice , Justice, appui de la vérité, votre concours nous
lles dans l’édifice de la céleste Sion ! Vérité, guide de la Justice, Justice , appui de la vérité, votre concours nous fut-il j
déjà je crois voir le cizeau sacré de la Religion dans la main de la Justice . Justice, qu’allez-vous faire ? Nous donner la pa
crois voir le cizeau sacré de la Religion dans la main de la Justice. Justice , qu’allez-vous faire ? Nous donner la paix ? Dans
 ? Nous donner la paix ? Dans quels transports dirons-nous donc : la Justice & la paix se sont embrassées . (Ps. 84. v. 11
mœurs , ce n’est pas nous ôter la liberté de penser (p. 15.) que la justice travaille à nous donner un moyen d’accorder nos p
phe, ni pour le Peuple  : moyen qui est tellement du ressort de cette justice , que nous ne pouvons le tenir que de sa main, (qu
ivis. Il est écrit au Ps. 121 : parce qu’il y a ici des trônes de la justice pour le bien de la Maison de David, demandez la p
zèle  ! Placés que je les vois les uns sur les degrés du Temple de la Justice , les autres au fond du Sanctuaire, tous pour ente
ères de la publicité. Qu’ai-je dit qui ne soit prêché sur les toits ? Justice & vérité. Quel est mon cri qui ne soit le cri
la miséricorde & la vérité se rencontrer par le ministère de la Justice , comme nous l’avons vû il y a trois mois pour une
3 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — I. Fin principale de l’Incarnation du Verbe. » pp. 5-6
 ; qu’ v. 13 en vivant dans le siécle présent avec tempérance, avec justice & avec piété, étant toujours dans l’attente d
is un Chrétien qui désire sincérement de conserver ou de recouvrer la justice , a-t-il des combats à essuyer, a-t-il des combats
4 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Résumé et moyens de réformation. » pp. 105-200
manie en Angleterre, il ne manquerait plus que de livrer de même à la justice précipitée du public malin, qui a besoin de rire,
artufes de religion, de mœurs, de bienfaisance, etc., les tartufes de justice , d’indulgence ou de pitié, de patience ou de modé
n occuperont, et trouveront convenable à notre temps et conforme à la justice de faire revivre une ancienne déclaration d’un ro
 ? Il ne faudrait qu’y tenir la main sans relâche. Après cet acte de justice que je regarde comme devant être le premier moyen
s compromis dans ce cas que nous ne le sommes tous chaque fois que la justice appréhende et punit personnellement un scélérat a
faire baisser les yeux aux honnêtes gens, parler de délicatesse et de justice plus haut que les de La Haye et les Valton. Mais
cilement qu’ils échappent au glaive lent, formaliste et éloigné de la justice , surtout lorsqu’ils n’ont à faire qu’à d’obscurs
nir encore réparation. L’utilité de légitimer et bien organiser cette justice intermédiaire qui n’aurait d’action que sur les j
ennent à se jouer de la morale et des principes, ôtent peu à peu à la justice et à l’humanité leur empire sur les cœurs. La soc
urd’hui, par défaut d’unité ; ce qui compléterait l’institution de la justice intermédiaire et la contiendrait dans les limites
5 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Extrait des Registres de Parlement, du 22 Avril 1761. » pp. 210-223
Livre en question sera lacéré & brûlé par l’Exécuteur de la Haute Justice , au pied du grand Escalier du Palais ; qu’il sera
Livre en question sera lacéré & brûlé par l’Exécuteur de la Haute Justice , au pied du grand Escalier du Palais ; fait défen
lais, au pied du grand Escalier d’icelui, par l’Exécuteur de la Haute Justice , en présence de moi Dagobert-Etienne Ysabeau, l’u
6 (1726) Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat « Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat » pp. 176-194
et fortifier l’amour pour la patrie et des sentiments de courage, de justice , et de bienfaisance ; je crois de même que dans l
talents les plus utiles à la société, et surtout de la pratique de la justice et de la bienfaisance. 3°. Inspirer à l’Auditeur
rages de Molière un grand nombre d’endroits où quelques sentiments de justice et de bienfaisance sont dans la bouche de gens d’
ce jointe à l’adresse et à la finesse est louée, et où la vertu et la justice jointe à des défauts personnels est blâmée ou tou
7 (1658) L’agent de Dieu dans le monde « Des théâtres et des Romans. CHAPITRE XVIIII. » pp. 486-494
ruines des peuples, à remporter des victoires, sans avoir égard à la justice des armes, à juger des entreprises par l'evènemen
tre pas emportés. Mais qui en fera les plaintes, qui en poursuivra la justice , puisque les parents même donnent ouverture à cet
ils mettent le feu à la paille, pourquoi s’étonner si elle brûle ; La justice s’arme afin de punir les auteurs et les complices
8 (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167
énérée ; c’est d’asseoir les fondements de l’autorité publique sur la justice et l’humanité envers les peuples ; c’est de les y
ance ou la grandeur, pour les retenir sans cesse dans les voies de la justice , de la raison, de l’humanité ; elle produit encor
nfliger aux coupables, lui seul les ramènera tous à des sentiments de justice et de raison. On peut se montrer rebelle à la vo
m’y arrêter. Assez de bons esprits les ont faites et en ont senti la justice avant moi. Mais quoiqu’il en soit de ce point imp
el de moins, l’harmonie sociale sera bientôt rétablie. Non, jamais la justice humaine, en déployant toute la sévérité de ses ve
ener à la pratique du plus saint des devoirs par les sentiments de la justice et de l’humanité, il s’est vu forcé de mettre à c
s de l’enfer contre celui qui n’abandonnant jamais les sentiers de la justice , trouve dans sa conscience un abri tutélaire et s
accabler d’un souverain mépris, des hommes qui, dans l’oubli de toute justice et de toute pudeur, avaient eu le front d’attaque
en le Dieu des nations, Je répands sur vous tous ses bénédictions. Sa justice ici bas vous livre vos victimes ; Sachez qu’il ro
a bouche de ses acteurs et l’imposture et le blasphème, était cité en justice réglée comme un ennemi de la morale publique, com
bientôt la génération actuelle ne connaîtra pas même de nom. Plus de justice à l’égard des poètes du moyen âge leur épargnerai
et peut-être surpassé son ancienne splendeur. DU BARREAU. « La Justice , disait un ancien magistrat42, est l’âme du monde
ue la magistrature, aussi noble que la vertu, aussi nécessaire que la justice . « A l’exemple de ces anges que l’écriture nous
parties amenées en jugement, soit que nouveau Cicéron, il implore la justice ou la clémence d’un autre César, et fasse tomber
rce de lumière, qui seule, dans l’épaisseur des ombres, peut aider la justice incertaine et flottante, à discerner l’innocent d
un apprentissage des fonctions d’avocat et de l’administration de la justice . « Ils y faisaient de même recevoir leurs enfants
ême de l’entreprise, et un saint dévouement aux grands intérêts de la justice ou à ceux de l’humanité, l’élèvent au-dessus des
x temple d’Ephèse. Mais, ne chercher que des triomphes fondés sur la justice et l’humanité, être assez généreux pour renoncer
au salutaire, à la lueur duquel, dans les jours les plus nébuleux, la justice peut marcher avec confiance et sécurité, puisqu’i
es hommes et les plus probes et les plus éclairés du sanctuaire de la justice , dans les jours même les plus intéressants pour e
l’état sur un pied respectable, de placer la vertu sur le trône de la justice , et d’environner les tribunaux d’éclat et de maje
publique, parce qu’ils se montreront aussi les vrais défenseurs de la justice . Réunis dans son temple auguste, ils en formeront
e règle et de modèle à toutes les nations qui se montreront avides de justice et de prospérité ». Dans l’étude de nos anciennes
ssité, puis-je leur refuser ma voix ? » Avec combien de raison et de justice , disait l’abbé Mauri, dont la cour de Rome a réco
aux premières dignités de l’église, oui, avec combien de raison et de justice il disait dans son panégyrique de S. Augustin. «
ur ; et c’est un hommage public que je me plais à leur rendre, et par justice et par reconnaissance, j’ai toujours remarqué dan
pour modèle de leur conduite dans le cours de l’administration de la justice . De l’aveu de toute la France, que je ne crains p
9 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IV. Du Conquérant de Sans-souci. » pp. 88-120
mes & endormir le monde par une réputation de modération & de justice . Il a composé & répandu par-tout un livre con
losophe Sans-souci se soucie-t-il des traités, de la bonne foi, de la justice , de la religion. Il en fait plus que Machiavel &a
issez les circonstances, sur-tout laissez les routes ordinaires de la justice  : c’est par le merveilleux même du crime qu’on ré
elon le bon sons, & on y établira mon systême. 9.° Nous devons la justice à nos sujets, mais il ne faut pas s’en laisser su
n nouveau code ; je craignois les yeux, & je sai de quel poids la justice est sur le peuple. Il est aisé de se faire adorer
droit par an de mes droits. Ne vous laissez pas éblouir par le mot de justice , il est fort équivoque ; la justice est l’image d
laissez pas éblouir par le mot de justice, il est fort équivoque ; la justice est l’image de Dieu ; qui peut atteindre à cette
er ses actions. Je n’aurois rien entrepris si j’avois été gêné par la justice  ; je passerois pour homme de bien, mais non pour
10 (1690) Entretien sur ce qui forme l’honnête homme et le vrai savant « VII. ENTRETIEN. » pp. 193-227
ur des miséricordes de Dieu sur nous, qui nous a montré la voie de la Justice et la manière de l’adorer, pendant que tant de Na
un discernement exact de ce qu’ils ont de faible et de solide, de la justice ou de l’injustice des causes qu’ils défendaient ;
e suffiraient pas. Eugene. Ah ! Théodore, ce qu’on appelle raison et justice , ne sont que des mots pour ces gens-là : ils prét
lés de science en aucune manière, respectent du moins la vérité et la justice sur la parole de ceux qu‘ils croient savants : Ma
11 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82
me entrer dans aucun examen, pour revêtir au moins d’une apparence de justice cet anathême que vous fulminez contre nous, vous
pour anéantir, mais pour faire usage de tout selon les lumieres de la justice & de la raison. Tout ce qui tend à multiplier
êtres. Rien n’est plus propre à développer dans nos ames les idées de justice , à fortifier le penchant qui nous porte à la vert
des passions ; on s’habitue à en rectifier l’usage sur les loix de la justice . Les exemples vertueux nous excitent au bien ; no
ger les méchans sur la scene, éclaire & perfectionne nos idées de justice . L’amour du beau moral inné dans l’homme (je parl
veillant dans le fonds de leurs cœurs ces sentimens de bonté & de justice que vous reconnoissez dans tous les hommes. Le ri
préserver des excès auxquels ils peuvent s’emporter. Il faut aimer la justice , c’est une maxime générale ; mais pour en faire l
able générosité, sans laquelle on n’a que des idées imparfaites de la justice . Les Lacedemoniens devoient être les plus grands
rté, rien ne l’empêche de consulter la vertu. Voyons quel monument de justice ils laisserent dans Athenes, lorsqu’ils s’en empa
moins noble ? Il faisoit regner les mœurs. J’ose même ajouter que la justice est une, & que dans toutes les causes soumise
12 (1684) Epître sur la condemnation du théâtre pp. 3-8
t déréglé se trouva malheureux. Mais toi-même, bientôt, en te rendant justice , N’as-tu pas du Démon reconnu l’artifice, Qui pou
ouveraine. De sa gloire invisible on sent la majesté ; On y craint sa justice , on chérit sa bonté. Mon âme, qui se sent de sa g
13 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêtres, contre des Comédiens français. » pp. 141-148
qui ne sont point en faute ? Pourquoi prétendraient-ils, contre toute justice et en dédaignant les formes prescrites par l’égli
tre réprimé. L’autorité séculière se doit à elle-même ces exemples de justice  : ils sont absolument nécessaires pour restreindr
14 (1588) Remontrances au roi Henri III « [Chapitre 2] » pp. 128-135
a journellement si grande peine à obtenir vos lettres pour choses de justice , et quand on les a obtenues, la plus grande peine
ttres et les arrêts ne manquent point. Jugez (Sire) si cela est faire justice . Ceux qui défendent telles choses disent une seul
15 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XII. Que la représentation des Comédies et Tragédies ne doit point être condamnée tant qu'elle sera modeste et honnête. » pp. 237-250
au sentiment de la piété, et aux bonnes mœurs, ranimeront bientôt la justice de nos Rois, et y rappelleront la honte et les ch
r font des libéralités, ne pèchent point, et qu'au contraire ils font justice en les payant du service qu'ils en reçoivent, si
16 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIII. Que les lois civiles défendent de danser, et d’aller à la Comédie les jours des Fêtes. » pp. 67-75
qu’ils soient profanés par aucune exaction, ou même par aucun acte de justice  ; et nous ordonnons que l’on conserve un respect
sistant aux spectacles un jour de fête, ou en faisant quelque acte de justice , sous prétexte des affaires publiques ou particul
17 (1804) De l’influence du théâtre « [frontispice]  »
lerie du Tribunat, galerie vitrée, no. 229 Madame Dufresne, Palais de Justice . Et A Rouen Chez Periaux, rue de la Vicomté, no.
18 (1643) Les Morales chrétiennes « Des Théâtres. » pp. 511-519
sions, qui commet tous les désordres imaginables, sous un prétexte de Justice . On y voit les premières complaisances, d’une bea
ement la foi d’un vrai Dieu ? n’est-ce pas nous ôter la crainte de sa Justice , et les consolations de sa Providence ? Si les co
19 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Du Législateur de Sans–souci. » pp. 93-109
un contrat, ni le Législateur dans la loi. A quoi serviroit-elle ? La justice a-t-elle quelque prise sur cet affreux secret ? §
consentement, est un aveu tacite. §. 15. Ils doivent le révoquer en justice dans quinze jours ; un homme privé de raison ou p
i qui le raccommode : Il faut que la personne forcée se plaigne a la Justice dans la huitaine, de la violence qu’on lui a fait
nt huit jours les mauvais traitemens pour empêcher de s’adresser à la Justice . Les Canons du Concile de Trente sont plus équita
20 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « II. Point. » pp. 201-218
s livre un jour sans retour à vos véritables ennemis, ministres de sa justice . Mais Jésus-Christ a-t-il défendu la comédie dans
hrétiens d’être moins réglés en ce point que les Juifs, quoique notre justice doive de beaucoup surpasser la leur, et même que
s qu’ont-elles de comparable à votre Loi ? Vos ordonnances pleines de justice , seront mes cantiques dans mon pèlerinage, elles
21 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « PRÉFACE » pp. -
es devoirs que pour ceux dont toute la morale consiste en apparences. Justice et vérité, voilà les premiers devoirs de l’homme.
Sans y songer, je substituerais l’amour de la vengeance à celui de la justice  ; il vaut mieux tout oublier. J’espère qu’on ne m
22 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  résume général et comparatif du clergé de france.  » pp. 363-364
en jetant le cri de tous les hommes de bien : la religion, le roi, la justice égale pour tous, et le respect pour toutes les pr
23 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre VIII. Qu’il n’est point permis aux particuliers de faire des Assemblées pour la danse, ni pour toute sorte de sujet. » pp. 33-35
ntrent point. Et cette doctrine est toute dans la prudence et dans la justice  ; car si on ne donne point de bornes au plaisir,
24 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie ? » pp. 8-25
le dénouement, ne roule que là-dessus. Un Sénateur dont on implore la justice , au lieu de donner audience, ne parle que de théâ
les premiers ; les lois ne les appellent-elles pas les Prêtres de la justice , justitiæ Antistites ? Le Préfet du Prétoire envo
es Parlements des offices de Conseillers-clercs ? les Ministres de la Justice ne font-ils pas sur leur tribunal les mêmes fonct
aut peu, dit la Bruyère (C. de quelques usages) que la religion et la justice n’aillent de pair dans la république, et que la m
25 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE II. Le Théâtre purge-t-il les passions ? » pp. 33-54
ciens spectacles. Quel goût peut-on trouver dans les exécutions de la justice  ? est-il rien de si hideux qu'un homme sur la rou
s démons et des furies ? Mais, dira-t-on, c'est un bien public que la justice s'exerce par la punition des criminels, et que le
tion, la Clairon, le Kain, revêtus d'un office de Conseiller. Mais la justice , qui étale le châtiment, fait-elle représenter le
unitions régulières. Les autres tragiques ne font pas plus d'actes de justice , et sur quels crimes s'exerce-t-elle ? les conspi
dont l'Auteur, bien payé par les trois théâtres, se fait un devoir de justice et de reconnaissance d'aller composer sous les be
26 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
j’ai faite sur votre Lettre ; & j’espère que votre amour pour la justice & pour la vérité vous la fera recevoir favora
t ; tâchez, je vous en conjure, de le réparer en nous rendant plus de justice . Les Protestans sont déjà trop injustement noirci
27 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VII. » pp. 115-130
n pratiquant les mêmes finesses. On dira que je ne rends pas assez de justice à la délicatesse de notre siécle ; on veut de la
inal est dans l’Ecriture ; mais c’est le langage de ces impies que la Justice divine abîma en un déluge de feu, dans les délici
28 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVIII. Eprouver par soi-même si les spectacles sont dangereux, c’est vouloir tomber dans les dangers qu’ils offrent. » pp. 154-163
amné. « Comme la loi de Dieu est juste et sainte, on ne doute de sa justice que parce qu’on est dans les ténèbres ; et on ne
ils s’y abandonnent ; et dans ceux qu’il punit selon la rigueur de sa justice , la passion qui occupe plus souvent le théâtre, j
29 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PENSEES SUR LES SPECTACLES. » pp. 1-12
mné. III. Comme la Loi de Dieu est juste et sainte, on ne doute de sa justice , que parce qu’on est dans les ténèbres ; et l’on
ils s’y abandonnent ; et dans ceux qu’il punit selon la rigueur de sa justice , la passion qui occupe le plus souvent le Théâtre
30 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106
rée, qui fuyons l'injustice, qui bannissons le péché, qui exerçons la justice , dans qui la Loi de Dieu règne, qui pratiquons la
ils les notent d'infamie, combien plus sévère sera le jugement que la Justice de Dieu exercera contre eux ? Chap. 25. Un
ils commenceront à tomber dans l'état épouvantable de douleur, que la Justice de Dieu leur reserve, nous puissions entrer dans
31 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « A MADAME LA MARQUISE DE B… » pp. 302-316
ue l’on fait courir, où la passion dérobe toujours quelque chose à la Justice  : si Corneille trouve moins de Gens qui l’imitent
e. Toi, qui vois d’un même œil toutes les Nations, Qui rends par tout justice aux grandes Actions, Et tires de l’Oubli dont la
32 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XI. Son opposition à l’Evangile. » pp. 23-24
; que l’amour des spectacles dépouille des richesses précieuses de la justice , Tom. 4. 3. 1655. istorum pectus justitiæ divit
33 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre VI. Des Courses de Bague, & des Testes. » pp. 188-190
n’ayent quelque sorte de fondement ; & tel qui voudra leur faire justice ne condamnera pas absolument ma pensée. Il est de
34 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-10
ment la pureté, elles embrassent la charité pour le prochain & la justice . La satyre & la médisance ne blessent pas moi
oliere & de Regnard secouent les scrupules de la probité & la justice , apprennent & font imaginer une infinité de t
35 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Henri IV. » pp. 121-168
estime & le respect. L’enthousiasme va si loin que dans le Lit de Justice du 12 Mars 1776, où le Roi supprima les Jurandes,
comme lui dans l’histoire ? Son grand-père y est bien moins grand. La justice est une qualité la plus nécessaire à un Prince :
de France, rien ne put lui faire suivre d’autre avis que celui de la justice . Louis XIV, tout irrité qu’il fut, admira cette b
urai ce que peut le temps de la paix. Je sai que la Religion & la Justice sont les colonnes & les fondemens de ce Royau
et argent ? Que ne le rendoit-il du moins aux innocens ? La bonté, la justice , la probité permettent-elles de garder ce qu’on f
sare avaritiam, & latro potest. Ce n’est pas même un principe de justice , c’est un principe de vanité pour se faire aimer.
 : il semble faire la parodie de son grand-père. Mais je rens plus de justice au premiers des Bourbons : ces miseres ont été la
es innombrables composés contre lui dans toute la France. Il n’y a ni justice , ni bon goût, ni vérité, ni respect pour la majes
36 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre dernier. Conclusion. » pp. 345-347
ces règles si èssentielles. J’ôse me flatter qu’on me rendra assez de justice pour sentir que ce n’est que par ironie que je pa
37 (1775) Voyage en Italie pp. 206-208
e bien fournie en marchandises de mode. Il peut témoigner et jurer en Justice , remplir le devoir Pascal comme un autre ; et, à
38 (1825) Des comédiens et du clergé « Sommaire des matières » pp. -
t maires, qui sont les délégués du prince, tant en ce qui concerne la justice que la police du royaume, doivent le représenter
39 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  dénombrement du clergé de france avant et depuis la révolution.  » pp. 346-350
ou de capitaines d’armées, qu’elle y fait stationner. On sait que la justice , et la modération du souverain pontife actuel, et
40 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE V.  » pp. 415-435
les Ministres de son Royaume, vous n’avez point observé la Loi de la Justice ni marché selon sa volonté : ce qui fait qu’en pe
entant de faire parler ceux qui en ont écrit avec tant de force et de justice  : écoutez-donc, mon cher Lecteur, quel a été le s
41 (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45
oin de limiter son pouvoir, qu’on peut trouver de l’indécence à faire justice d’un Tyran, deux siècles après sa mort ? L’indéce
vail. Le desir d’être utile à ma Patrie, l’amour de la liberté, de la justice , & non pas l’amour de la gloire, m’excite à r
pour tant de monde ? N’est-ce point un homme de Lettres qui a demandé justice pour les Calas & pour Sirven ? Ne sont-ce poi
nd elles contrarient les pensées de la multitude. Mais le temps de la justice vient tôt ou tard, & sur la question que j’ai
mp; sur la question que j’ai traitée dans cet ouvrage, le temps de la justice n’est pas, je crois, fort éloigné. Ces idées qui,
42 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre IV. Que les Danses sont défendues dans les lieux saints. » pp. 22-25
ue l’on ne permette point aucune sorte de trafic, ni l’exercice de la Justice séculière dans les Cimetières.« Nullus in locis e
43 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Machiavel. » pp. 198-214
tête. Tout cela n’étoit-il pas le Machiavélisme ? & peut-on avec justice combler l’un d’éloges & charger l’autre d’ana
s défauts de chaque état, l’oppression des foibles, la vénalité de la justice , la bassesse de l’adulation, le despotisme de la
plait le plus, ce qui en forme l’intrigue. Quand y a-t-on consulté la justice , la religion, la conscience ? Le théatre n’est qu
44 (1715) La critique du théâtre anglais « PREFACE DE L’AUTEUR » pp. -
richesses, s’ils ne nous ôtaient encore la vie. Pour leur rendre la justice qu’ils méritent : leurs mesures sont bien prises
45 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « JUGEMENT DE M. DE VOLTAIRE, SUR LES SPECTACLES. » pp. 78-81
rtant que le Théâtre peut être utile : il eut assez de bon sens et de justice pour sentir le mérite de cet art, tout informe qu
46 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
la plus variée, la morale la plus saine, le plus sincère amour de la justice , les vues les plus sages pour le bien public. Ce
6.) sur le bon exemple que doivent partout donner les Ministres de la justice  ; (C. 15. 34. 35. 37. 45.) sur la retenue dans le
e ce qui s’y est passé. Cependant tout languit, le public souffre, la justice n’est pas rendue, les affaires s’accumulent et ne
que le livre fût flétri, lacéré et brûlé par l’exécuteur de la haute justice au pied du grand escalier du Palais ; qu’il fût f
47 (1686) La Comédie défendue aux chrétiens pour diverses raisons [Traité des jeux et des divertissemens] « Chapitre XXV » pp. 299-346
qu’ils puissent être puns & apprehendez, & mis prisonniers en justice . » « Et si par leur rebellion, défensea, desobé
nir grace, remission ou pardon consequemment reprins ni aprehendez en Justice . » « Défendons (dit Charles IX. dans une Ordonn
nnes masquées : Nous voulons qu’il leur soit courusus par autorité de Justice & avec les Officiers d’icelle, en toute voïe
& incapables de faire des Testamens & de servir de temoins en justice . a « Je croi (dit-il) que ceux qui s’habillent en
it, & incapables de faire testament & de servir de témoins en Justice  ; & je ne sçai si je les dois appeller ou de
ue chose qui blesse & qui bannit l’honnêteté, qui est l’ame de la Justice . Y-a-t-ïl une folie pareille à celle qui porte le
48 (1698) Caractères tirés de l’Ecriture sainte « [Chapitre 1] — DU SEXE DEVOT. » pp. 138-158
ier et leur premier amour : Et ce défaut de sagesse aussi bien que de justice envers un mari qu’on avait trompé en l’épousant,
Cavaliers et de prétendus Abbés, de jeunes Financiers et Officiers de Justice , n’y mettraient pas le pied, ni pour le Salut, ni
49 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « AU LECTEUR. » pp. -
jettent l’Eternité des peines, s’ils la trouvent incompatible avec sa justice . Qu’en pareil cas ils interprétent de leur mieux
50 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Anecdotes de Cour. » pp. 171-202
ent de l’Ecole Militaire & d’un Concert. Le Roi a tenu son Lit de Justice , & il a dansé sur le théatre de la Comédie it
çu par les officiers municipaux, le présidial & tous les corps de justice en habits de cérémonie. On le conduisit avec ce c
. Une autre piece, le Noble journalier, (c’est une satyre des gens de Justice ) se fit d’autres ennemis. Elle avoit été jouée pl
’est pas si délicat en France. Tous les jours les nobles, les gens de justice sont joués, sans que personne s’en plaigne. Molie
ouveau Roi. Ce grand homme se rendit à l’Opéra le lendemain du Lit de Justice , & y recuillit le prix de ses travaux. Dès qu
51 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIII. Si les Comédiens doivent prendre le titre de Compagnie. » pp. 122-128
de l’Etat, & des volontés suprêmes de nos Rois, les organes de la Justice , les appuis du Trône, des Peuples & des Loix 
52 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIII. La Comédie considérée dans les Acteurs. » pp. 26-29
n instrument dont il se sert pour perdre les ames ! Quels tourmens la justice inéxorable du Très-haut ne réserve t’elle pas à d
53 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVII. On y risque tout par une seule assistance. » pp. 40-44
e assistance. Ces principes, commencent-ils à dire, condamnent avec justice ceux en qui l’assistance aux Spectacles a dégénér
54 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « V. Si la comédie d’aujourd’hui purifie l’amour sensuel, en le faisant aboutir au mariage.  » pp. 19-24
la terre de plus riches monuments n’en sont pas plus à couvert de la justice de Dieu : ni les beaux vers, ni les beaux chants
55 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Conclusions générales. » pp. 371-378
es maires qui sont les délégués du prince, tant en ce qui concerne la justice que la police du royaume, doivent, avec tous les
56 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XV. Les spectacles éteignent le goût de la piété. » pp. 133-137
ouvaient de joie et de consolation que dans la pratique des œuvres de justice  ! La mortification, la prière, les bonnes lecture
57 (1802) Sur les spectacles « RÉFLEXIONS DE MARMONTEL SUR LE MEME SUJET. » pp. 13-16
iente stupidité ; mais dans une constitution de choses fondées sur la justice et la raison, pourquoi craindre d’étendre les lum
58 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. La Rosiere de Salenci. » pp. 10-37
paisiblement du droit de couronner la plus sage de leurs filles. Une justice toujours exacte dans la distribution des récompen
t ; la Paroisse le prendra, & fera volontiers tous les frais : la Justice devroit l’y obliger. Ce procès odieux, imaginé su
. Du haut du Trône où le ciel aujourd’hui A vos côtés fait asseoir la justice , Daignez nous tendre une main protectrice. ………………
it rire. Les Intendans & leurs Subdélégués ne se mêlent que de la Justice , Police & Finances, & n’exercent nulle pa
59 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125
, à moins que le père n’exerce le même métier. Pourrait-il alors avec justice punir dans son fils une tache dont il l’a couvert
oi lui en donnait le droit. Dieu fit à ce père infortuné une terrible justice  ; le fils misérable fut enfin assassiné par un de
mêmes se pardonner mutuellement leurs galants exploits, ou s’en faire justice dans quelque scène mordante, et tâcher de sauver
plein théâtre, ni personne publiquement qu’après une condamnation en justice  ; mais dans toutes les villes du royaume le Magis
60 (1833) Discours sur les spectacles « [Discours sur les spectacles] » pp. 3-16
a fureur ; quand il a pour lui la force, il se passe volontiers de la justice , et sacrifie sans pitié quiconque n’est pas de so
Mes frères, depuis longtemps les lumières et la civilisation ont fait justice de cette barbarie du fanatisme qui voue à l’enfer
61 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48
se sont montrés très sévères en ces rencontres, et ils ont armé leur justice et leur zèle autant de fois qu’il s’est agi de so
et n’est qu’une occasion à Molière pour braver en dernier ressort la Justice du Ciel, avec une âme de Valet intéressée, en cri
du Ciel ; qu’un abîme attire un autre abîme, et que les Foudres de la Justice divine ne ressemblent pas à ceux du Théâtre : ou
62 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168
lui ou ceux qui poursuivront pour le même sujet, à quelque Chambre de Justice que ce soit à Westminster : sur quoi nul prétexte
e saletés chez nous sans y en apporter d’ailleurs. Mais, il est de la justice qu’on rende à un Auteur tout ce qui lui appartien
e ; parce qu’on ne se comporte ainsi, que par un esprit d’équité ? La justice due à un tel Auteur, ce serait de le brûler : ou
que l’Aigle ne jetât une partie du cadavre de Polynice dans le lit de justice de Jupiter.  » Transport violent ! mais Creon le
ète semble ensuite se repentir ; il s’assure que les Dieux lui feront justice , et il leur adresse souvent des prières respectue
63 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE V. Des Comédiens. » pp. 156-210
de leurs sous-ordres, les friponneries des suppôts subalternes de la Justice  ; tout cela n’est pas propre, je crois, à aveugle
amment de quoi vivre, c’est alors qu’elles pourront s’appesantir avec justice sur les gens de mauvaise vie attachés au spectacl
pour prévenir tous les abus qu’on a pu jusqu’à présent reprocher avec justice au spectacle ; et vous avouerez peut-être qu’en s
squ’ici. L’abus, dit-il, qu’il s’agit de détruire, est barbare, et la justice devrait employer selon moi quelque chose du carac
tisfaction ; et que l’offense prouvée, il obtint le droit de se faire justice par un Duel. Telle serait la loi du combat : si l
peine de la vie, à tous particuliers non militaire ou préposés de la Justice , de porter des Armes quelconques. Cette loi, j’en
64 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [P] » pp. 441-443
du coupable. La Pièce rentra dans le néant avec son Auteur ; mais la justice du premier & la générosité du Philosophe pass
65 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Avis » pp. -
s’en consoler, puisqu’il ne fait enfin que ce qu’il croit devoir à la Justice , à la Raison et à la Vérité. a. [NDE] Tartuffe,
66 (1579) De l’Imposture et Tromperie « Livre premier. Des jeux et autres observations séculières retenues de l’ancien Paganisme. Chapitre 22. » pp. 101-107
e mal, apprenez et accoutumez-vous à faire bien. Cherchez jugement ou justice , tirez d’ennui celui qui souffre par envie, faite
ez d’ennui celui qui souffre par envie, faites droit à l’orphelin, et justice à la veuve, et puis venez disputer et vous plaind
67 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. 13-48
ur les autels de Plutus, de ce dieu des richesses, et la morale et la justice  ; c’est dans ce but qu’ils trahirent et qu’ils sa
la sûreté des souverains, et le bonheur des peuples, résident dans la justice qui protège également le faible, et le pauvre com
on franche, loyale, faite avec une humilité chrétienne, fondée sur la justice , fondée sur l’évangile, fondée enfin sur les divi
68 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189
 ? Le plaisir de dire du mal des Spectacles doit-il l’emporter sur la justice que la probité vous doit obliger de leur rendre ?
sir de faire une épigramme l’emportera-t-il toujours chez vous sur la justice et; l’équité ? Vous soutenez que l’homme est né b
sommes purement spectateurs, nous prenons à l’instant le parti de la justice … mais quand notre intérêt s’y mêle… c’est alors q
s sommes purement spectateurs nous prenons à l’instant le parti de la justice , mais que quand notre intérêt s’y mêle, bientôt n
surément assez forte pour l’entreprendre. Heureusement on lui rend la justice qu’il mérite. Il étoit trop honnête homme pour at
ire, et; il peut très-bien arriver que la maniere dont on exposera la justice de ses prétentions, empêchera les Juges d’être ab
te homme, il suffit de n’être pas un franc scélérat. Vous devez cette justice à la mémoire de cet Auteur, que vous flétrissez p
che seulement à prouver, que rien n’est plus opposé à la raison, à la justice , et; même au simple sens commun, que le droit que
. Que chez vous, au contraire, Monsieur, par un esprit d’humanité, de justice et; de raison, on juge les Comédiens d’après eux-
périeure armoit contre vous. Votre République subsiste à l’abri de la justice , de la bonne foi, du droit des gens, elle subsist
xcuser un vice tel que l’yvrognerie, voilà ce qui me fait écrier avec justice  : O stultas hominum mentes et; pectora cœca ! To
ire, qu’excepté les esprits prévenus, on me rendra peut-être assez de justice pour avouer que la vérité seule m’a inspiré. En i
e dans son Electre que les méchans tôt ou tard n’échappent point à la justice divine ; voilà l’utilité qu’il vouloit que ses sp
69 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
nfesse qu’il est trop bon, que son indulgence est un violementamde la Justice , et qu’elle sied mal à la gravité d’un homme de s
ceté. Mais Falstaff est un personnage de Tragédie : et les lois de la Justice sont plus austèrement observées en ce genre de Po
es ne sont que pour les Grands et les personnes de condition ? que la justice ne doit point porter ses coups plus bas que sur u
alets, des Maîtres mêmes châtiés : et tout cela dans les règles de la Justice , le devoir d’un Poète étant d’instruire au nature
70 (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325
é attirent dans ces lieux contagieux ? Pourquoy recevoir l’épée de la justice , si l’on ne s’en sert point contre ces ennemis de
i peu d’égard pour eux, que pour de purs neants ; il leur rendra avec justice les mépris qu’ils ont eu si injustement & pou
e Dieu. Si vous entendez parler de ces Pieces condamnées avec tant de justice par les Peres, ayez autant de courage pour les em
s aux ordres qu’il nous donne de le fuïr comme un monstre. Faisons la justice à Tertullien de croire que c’est ce qu’il pretend
t. Les Magistrats ne doivent pas moins craindre les foudres de la Justice divine s’ils ne donnent des ordres pour reformer
forcent de ruïner ce que vous estimez avec le plus de raison & de justice . II. Raison. Facilité de ses précautions.
71 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174
r les Rois : « Sire, quand par le fer les choses sont vidées, La justice et le droit sont de vaines idées. Et du même po
pour César destiné Je perce, en soupirant, son cœur infortuné. La justice n’est pas une vertu d’Etat. Le choix des action
t Henri IV, étaient-ils criminels ? leur mort eût-elle été un acte de justice , et un Ligueur qui sur ce prétexte aurait fait mo
’est usurper leurs droits ; mais lorsque la licence Des mains de la justice arrache la puissance, Que la force peut seule e
pour maître en terre et dans les cieux Que la vertu, l’honneur, la justice et les Dieux.  (Andronic) Courez les commander,
rans le ciel semble complice : Il oublie, ou du moins il suspend la justice . Je donnerais ma main pour lui percer le flanc,
72 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IX. Les spectacles nuisent au bonheur et à la stabilité des gouvernements. » pp. 96-101
re bien éloigné d’être entièrement anéanti ? Ne peut-on pas dire avec justice que dans ce cas le remède devient pire que le mal
73 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Suite du Clergé Comédien, » pp. 52-67
es belles-lettres, dépouillant les églises, & affectant un air de justice & de modération : mais, bien-tôt levant le ma
isé, fécond, énergique. On a de lui des mots ingénieux, des traits de justice & de générosité ; mais encore plus de mauvais
74 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
sans doute, nous menacent encore ; mais on sait, il est vrai, que la justice et la modération du souverain pontife actuel, ain
rler plus haut, annonçait le désir de les obtenir, il serait de toute justice de prononcer auparavant, la dissolution de la cha
75 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Madame de Longueville. » pp. 40-83
’ordre de la Grand’Chambre, & se réglant sur les formalités de la Justice  ; des Soldats & des Officiers passant de la t
lence sous les yeux des Etats, faisant massacrer, sas aucune forme de justice , le Duc & le Cardinal de Guise, idoles de la
un procès en forme. Elle présente requête au Parlement, pour demander justice de la détention de ses fils & de son gendre.
ettres des prisonniers qui avoient recours à sa protection & à sa justice , enregistra sans difficulté leur condamnation &am
ait-il pas ? C’est un nouveau genre de ridicule. Je lui rends plus de justice  ; &, quoiqu’elle eût pris quelques couches de
76 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE II. » pp. 18-28
ce motif plein de force sur l’esprit humain, étouffe les leçons de la justice & de l’honnêteté ; mais dans la défense des S
77 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XI. Qu’on ne peut danser sans péché les jours qui sont particulièrement destinés à l’exercice de la piété Chrétienne. » pp. 41-53
d’une âme vraiment pénitente, qui s’afflige pour rendre honneur à la Justice de Dieu, par la haine qu’elle a conçu contre le p
78 (1668) Les Comédies et les Tragédies corrompent les mœurs bien loin de les réformer. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics en augmente le danger. On ne peut assister au spectacle sans péril « Chapitre XI. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics, en augmente le danger. L’on ne peut assister aux spectacles sans péril. » pp. 191-200
ls commenceront à tomber dans l’état épouventable des douleurs que la Justice de Dieu leur réserve, nous puissions entrer dans
79 (1731) Discours sur la comédie « MANDEMENT DE MONSEIGNEUR L’EVEQUE DE NIMES, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 352-360
eu, implore ses anciennes miséricordes, et touché d’une guerre que la justice et la Religion l’obligent de soutenir, met tout s
80 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
ation de ces lieux infâmes, et quand j’en ai ainsi usé, ça a été avec justice , l’ayant trouvée sur ma terre, et dans un lieu où
81 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
eusement du Théâtre, et poursuivi par les huées de la canaille. Belle justice  ! Le Poète prend à tâche de travestir ce Religieu
écations accompagnées des plus grandes infamies : les Officiers de la Justice le bernent et le donnent en spectacle comme un fi
honorable, eu égard à la Religion et au monde même qui lui donne avec justice de la considération. La qualité de Clerc est pour
reprocher lorsqu’il s’agit nécessairement de se défendre : c’est pure justice que de se laver des taches dont on est noirci, et
82 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54
de Dieu ? Hélas, nullement, on peut au contraire leur appliquer avec justice ce que J.C. dit aux Juifs. Vous êtes les véritabl
lise, s’ils avaient une telle pensée ? Jésus-Christ ayant acquis avec justice sur tous les Chrétiens le droit d’être le princip
ns de la société humaine, en les jugeant indignes de toute créance en Justice , et de toutes sortes d’emplois, qui ont besoin de
83 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE II. De la Tragédie. » pp. 65-91
nt, ont eu la témérité de détourner de dessus sa tête le glaive de la Justice  : d’où vient ce sentiment ? C’est qu’alors on ne
ais quelque honneur que vous portiez à sa personne, vous ne devez que justice à ses pièces ; et vous ne savez point acquitter v
se ; mais, quelque honneur que je porte à sa personne, je ne dois que justice à ses Pièces, et je ne sais point acquitter mes d
84 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74
ait bien éloigné de les fréquenter et d’y souffrir les arbitres de la justice  : « Scenica arti spectacula ut irritamenta vitior
a bonne foi suspecte, à titre de Comédien. Cicéron ne conteste pas la justice de ce reproche en général ; il se retranche sur l
ranche sur la tolérance de l’autorité publique, pour faire voir qu’en justice on ne peut regarder la convention comme illicite,
85 (1685) Dixiéme sermon. Troisiéme obstacle du salut. Les spectacles publiques [Pharaon reprouvé] « La volonté patiente de Dieu envers Pharaon rebelle. Dixiéme sermon. » pp. 286-325
s bras ? j’espere pourtant d’en faire mes meilleurs amis, soit par la justice de ma cause, soit par l’équité de leurs jugemens.
que de prononcer un arrest de condamnation contre eux, l’ordre de la justice demande que nous informions du fait à charge &
atuës qui nous restent des debris de l’antiquité, sont appellées avec justice des ouvrages de Phidias & de Praxitele, lors
cipare debemus . Or il est certain, selon toutes les loix de la bonne justice , qu’il ne vous est plus permis de participer par
dans le cœur, on les sacrifie toutes à son plaisir, prudence, force, justice , pudeur, innocence, vous ne vous rencontrez point
avez pû resister à l’amorce d’un dangereux plaisir ; vous y étes sans justice , puisque vous n’avez pas rendu ny à Dieu l’honneu
86 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Post-scriptum. » pp. 201-216
s rapports, et dont rien ne lui garantit la bienveillance, ni même la justice .. ! Mais voici plus qu’une inconséquence, c’est l
87 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
uels il n’était pas permis de tester, ni de former des accusations en justice . Une autre ordonnance de l’an 813, du même empere
88 (1865) Mémoires de l’abbé Le Gendre pp. 189-194
e et que le tiers était de lui, accoururent à l’archevêché y demander justice avec un empressement qui fit rire M. l’archevêque
89 (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « letter » pp. 472-482
éché, de s’en abstenir, leur devant cette condescendance avec plus de justice , que celui dont parle S. PaulI Cor. 8 [1e Epître
oyante avec laquelle il paraîtra à la fin des siècles, pour juger nos justices et nos péchés, et pour rendre à un chacun selon s
90 (1666) De l’éducation chrétienne des enfants « V. AVIS. Touchant les Comédies. » pp. 203-229
eur temps aux spectacles, qui ne se puisse appliquer avec beaucoup de justice aux comédies de notre temps. Tertullien, dans le
en contre les spectacles des anciens, qui ne se puisse appliquer avec justice aux comédies de notre temps. Et c’est ainsi, ma S
91 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64
e l’humanité et préférant l’intérêt de la vérité, de la raison, de la justice et de l’amitié, à leur intérêt propre. Quant à l’
leur voracité, les Procureurs et les autres Commis subalternes de la Justice de leur friponneries, au moins par les avis qu’on
n faite pour prouver à tout le monde que, puisqu’on a les voies de la Justice pour se venger de l’injure, c’est se rendre aussi
que d’anticiper sur les droits du Gouvernement en se faisant soi-même justice , il y aurait plus d’oreilles que vous ne croyez d
la France : on applaudit cependant moins à la bravoure du Cid qu’à la justice du coup qui punit un insolent, vu que l’insulte e
92 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIII. L’Opéra est le plus dangereux de tous les spectacles. » pp. 111-117
a capitale, et leur dit d’exécuter ce que tout le public regarde avec justice comme un chef-d’œuvre de la musique instrumentale
93 (1705) Traité de la police « Chapitre II. De l’origine des Histrions, des Troubadours, des Jongleurs, et des autres petits spectacles qui ont précédé en France l’établissement des grandes pièces de Théâtre, et des Règlements qui les ont disciplinés. » p. 436
s, et auxquelles il n’était pas permis de former aucune accusation en Justice . Les Conciles de Mayence, de Tours, de Reims, et
94 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SEPTIEME DISCOURS. De la Magnificence des Princes dans les Habits, dans les Festins et dans les Spectacles publics. » pp. 202-209
péché, que dans l'état d’innocence, l’homme n’était revêtu que de la Justice originelle, que cette robe précieuse était à l’ép
95 (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172
out le cours de sa vie, & qu’il leur fasse produire des fruits de justice & de sainteté.1. Cor. 3. 9. Mais bien loin qu
& elles exécutent les unes sur les autres l’arrêt de mort que la justice divine a prononcé contre elles. Mais, poursuivoit
tout n’ont droit de recevoir la nourriture, qu’aux conditions que la Justice divine veut bien la leur accorder, & la princ
elle en seroit outragée. Dieu ne veut pas, que le pécheur raconte ses justices , ny qu’il parle de son Testament sacré avec une b
96 (1781) Lettre à M. *** sur les Spectacles des Boulevards. Par M. Rousseau pp. 1-83
rêts flétrissans ; faut il pour cela renverser tous les Temples de la Justice  ? L’homme serait égal à la Divinité, s’il pouvait
point d’argent, il en demande, on lui en refuse, & toujours avec justice , puisqu’il n’a pas de besoin réel. Comment faire 
ore, finissent par être mis au rang des victimes, que le glaive de la Justice immole à la sûreté publique. Les gens les moins s
entre le bien & le mal, & de détruire ainsi l’ordre & la justice  ; vertus essentielles qui entretiennent l’ordre d
e la terre. A quoi les attribuer ? Serait-ce à l’impunité ? Jamais la Justice ne fut si sévere ni si prompte à Paris. Serait-ce
, que le regne de Louis XVI, fut celui de la Bienfaisance & de la Justice , qu’il fit asseoir à ses côtés sur le Trône. Avec
nt de cette réforme, & qu’il va faire rendre aux Auteurs toute la justice qu’il avaient lieu d’attendre de lui. 4. Les mœu
de tout le mal que causent leurs Spectacles ; & je rend tellement justice à leur probité, & à l’honnêteté de leurs mœur
97 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IX. » pp. 158-170
ere étoit indigne d’écrire pour les intérêts de la Vérité & de la Justice *, craignant qu’encouragé par cet essai scandaleux
98 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre III. But que le Spectacle moderne doit se proposer. » pp. 123-132
que de fadeurs & de déclarations d’amour, nous les quittons avec justice en faveur d’un Théâtre qui satisfait en partie un
99 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE II. Réponse aux objections qu'on tire de saint Thomas pour justifier les Spectacles, et aux mauvaises raisons qu'allèguent ceux qui croient pouvoir les fréquenter sans péché. » pp. 55-63
es sont assez malheureuses pour en trouver, « Dieu par un effet de sa justice répandant des ténèbres sur leurs passions déréglé
100 (1846) Histoire pittoresque des passions « RELIGION » pp. 158-163
ablir parmi ceux-ci les saintes lois de la fraternité, le règne de la justice et de l’union. Dégénérée plus tard par les dérègl
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