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1 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
e des principes de la Religion Protestante : que, si les Ministres ne jugent pas à propos de les adopter ou de les avouer aujo
n plus qu’en aucune autre, c’est sur ce qu’on a écrit qu’on doit être jugé , & non sur ce qu’on est soupçonné mal à propo
que vous intentez aux Théologiens de Genève, vous déclarez les avoir jugés d’après des ouvrages, d’après des conversations p
ude morale ? Vous-même n’exigez-vous pas qu’un homme ne doit pas être jugé sur ce qu’il est soupçonné de penser ou d’avoir v
e qu’il est soupçonné de penser ou d’avoir voulu dire ? Pourquoi donc jugez -vous ces mêmes Pasteurs,5 en leur attribuant des
conséquences odieuses & fausses qu’ils désavouent ? Pourquoi les jugez -vous sur la simple opinion de quelques uns de leu
alisme ; & qui, pour prouver ce qu’il avance, diroit qu’il vous a jugé d’après vos ouvrages & d’après des conversati
urs une suite nécessaire de votre Philosophie ; & que, si vous ne jugez pas à propos de les adopter ou de les avouer aujo
ages parviendront jusqu’à eux, & ils sauront y répondre, s’ils le jugent à propos. Ce qui m’intéresse plus particulièremen
s laisse pas à moitié chemin, comme vous voyez. Blâmez-la, si vous le jugez à propos ; mais croyez du moins que c’est ainsi q
2 (1777) Il est temps de parler [Lettre au public sur la mort de Messieurs de Crébillon, Gresset, Parfaict] « Il est tems de parler. » pp. 27-36
uer leurs Piéces sur les Théâtres des grandes Villes ; ils y seroient jugés plus équitablement peut-être qu’à Paris. » Ils au
ôt à solliciter auprès des Auteurs, la permission de jouer les Piéces jugées vraiment bonnes dans cette espece d’essai. » Nous
au Théâtre, quatre dans le Tragique, quatre dans le comique, afin de juger les Poëmes que le génie a composé. Je ne suis poi
ans les beaux jours d’Athènes il y avoit cinq Magistrats établis pour juger de la bonté des Piéces de Théâtre, & si elles
ues du Temple de Mémoire : reste à savoir s’il est assez éclairé pour juger de l’effet que la Piéce peut produire au Théâtre,
nvéniens, mais il en auroit moins. Les Gens de Lettres alors seroient jugés par leurs pairs ; les avis seroient motivés ; on
a fait ses preuves de talens dans l’Art Dramatique ; on peut même en juger par les trois Piéces qui composent le premier vol
3 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — DEUXIEME PARTIE. — REGLEMENTS. Pour la Réformation du Théâtre. » pp. 99-116
lté de Théologie ; deux Poètes de Théâtre, d’un âge mûr et en état de juger des Pièces, et un ou deux anciens Comédiens. Dans
e l’on se propose d’introduire sur le Théâtre. Si pourtant le Conseil jugeait à propos d’en conserver quelques-unes, où la pass
atre examens particuliers. En premier lieu, le Substitut de la Police jugera si l’ouvrage n’est point contraire aux Loix du Go
théâtrale ; sur quoi les Comédiens sont plus en état que personne de juger  : il examinera sévèrement les plaisanteries, et s
éformation, sauf à les rectifier et à les augmenter, suivant qu’on le jugera à propos. Quant aux difficultés qui peuvent se pr
4 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
Monsieur, Je ne sais si l’auteur des Hérésies imaginaires jugera à propos de vous faire réponse. Je connais des ge
e lettre, qu’on ne se déclare point pour Desmarets, et qu’on laisse à juger au monde lequel est le visionnaire de lui ou de l
ela va, et vous n’en serez pas quitte pour dire que vous n’avez point jugé , que vous vous êtes contenté de laisser à juger a
que vous n’avez point jugé, que vous vous êtes contenté de laisser à juger aux autres, et que vous n’avez point appliqué les
me dire qu’il s’y connaît, et qu’il sait les règles par où il en faut juger . Il n’ignore pas que ce qu’il y a de plus fin dan
de fondement au reproche que vous faites à ceux de Port-Royal, de ne juger des choses que selon leur intérêt ? « On a bien s
ur les plus grandes vérités de la Religion, ne s’en est pas toutefois jugé digne par cette même humilité qui fait qu’il s’ac
esmarets, ni sur l’exemple de M. le Maître, que ceux de Port-Royal ne jugent que selon leurs passions et leurs intérêts. Votre
Cela ne me surprend point. Je commence à connaître votre humeur. Vous jugez à peu près de ces écrits comme des romans ; vous
5 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
prends point, mais je ne veux pas dire, comme vous, que « je laisse à juger au monde quel des deux est le Visionnaire b ». Je
, et il n’y a personne qui n’en pût dire bien davantage, s’il voulait juger des autres Poètes par vous-même. Que pensez-vous
irait de l’histoire et qu’on ne rit que de celui qui l’a inventée. On jugera si vos reproches sont plus raisonnables, voici le
grâce dans les Provinciales. Je vous demande seulement pourquoi vous jugez des intentions d’un Auteur, qui vous sont cachées
’un Auteur, qui vous sont cachées ? et pourquoi n’avez-vous pas voulu juger des actions et des livres de Desmarets qui sont v
omparaison, est forte, évidente, agréable, et très facile. On peut en juger par les efforts que vous avez faits contre lui, p
sieur, et ne vous imaginez point que le monde soit assez injuste pour juger selon votre passion, il n’y a personne au contrai
i connu dans le monde et dans l’Eglise ; ce sera par leur vertu qu’on jugera de vos discours, on joindra le mépris que vous av
DE] Goibaud du Bois cite presque textuellement Racine : « Je laisse à juger au monde quel est le visionnaire des deux », « Le
mpenses de celui-ci. Vous l’avez quitté il y a longtemps : laissez-le juger des choses qui lui appartiennent » (Lettre à l’au
6 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVIII. Eprouver par soi-même si les spectacles sont dangereux, c’est vouloir tomber dans les dangers qu’ils offrent. » pp. 154-163
résente comme dangereux l’est autant qu’on le dit. Ils croient qu’ils jugeront mieux de tout par leur propre expérience que par
mbé aux yeux de Dieu, que de se laisser affaiblir par la tentation de juger de ses commandements par sa propre expérience. En
des vrais biens, et en affaiblissent la connaissance. On y apprend à juger toutes choses par les sens, à ne regarder comme b
les fréquenter. D’ailleurs, est-il permis de se jeter à la mer, pour juger s’il y a un danger réel de s’y noyer, sous prétex
7 (1759) Remarques sur le Discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie « Remarques sur le discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie. » pp. 350-387
à l’imitation, de ce qu’un tel événement me présente une occasion de juger , ce que je ne fais jamais sans une secrete satisf
à l’imitation, de ce qu’un tel événement me présente une occasion de juger , ce que je ne fais jamais sans une secrete satisf
p réellement dans le cœur des Spectateurs leurs différentes passions. Jugeons par ce qui se passe dans le Poëte lui-même, de l’
e notre ame qui desire toujours la perfection, trouve naturellement à juger & à connoître les rapports des objets qui lui
leur allument & embrasent tout ce que l’on place dans leur foyer. Jugeons enfin, pour achever d’approfondir cette pensée, j
s leur foyer. Jugeons enfin, pour achever d’approfondir cette pensée, jugeons de l’Art par la nature, & de la fiction par l
sse assez de sang froid pour faire des comparaisons ; & pour bien juger de la fidélité du pinceau, il faut qu’elle nous t
ote : ils se réservent le plaisir de pleurer & d’être attendris . Juger de l’exacte observation des regles de l’Art, c’es
passe le plaisir plus abstrait & plus refléchi que nous prenons à juger de la justesse & de la fidélité de l’Imitatio
faite par un autre, ces plaisirs se changent en celui de comparer, de juger , d’exercer une espece de supériorité sur l’Ouvrag
nt naturellement à imiter, ce n’est pas précisément par le plaisir de juger , à quoi l’Auteur attribue dans la suite de son di
’apprendre, qui est le seul qu’Aristote ait touché, il joint celui de juger , que ce Philosophe n’a pas trouvé digne de son at
miere, il nous expliquât les raisons de ce plaisir que nous prenons à juger  ; & dans ce moment, il ne s’en présente que t
lleurs, & sa paresse la veut facile. Ainsi le goût qu’il trouve à juger des rapports est fondé en partie sur ce qu’il fai
mitation, il n’est pas surprenant qu’il prenne un plaisir singulier à juger des Ouvrages qu’elle produit. 3°. Quoique nous ai
après m’être brouillé avec lui en le commençant) que si le plaisir de juger de l’Imitation n’est pas le premier dont on soit
allume dans l’ame, commence à se refroidir. On en revient toujours à juger de sa vraie beauté par la justesse & la fidél
8 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
serait toujours sûre de les faire condamner, lors même qu’elle aurait jugé à propos de les accuser d’avoir voulu voler les t
l. Mieux vaudrait retirer la liberté de la presse : c’est au prince à juger dans sa sagesse, s’il doit adopter cette mesure.
esse, s’il doit adopter cette mesure. Les deux journaux qui vont être jugés d’après la loi de tendance précitée du 17 mars 18
ntre l’Etat et le peuple. La cour royale, en obtenant le privilège de juger d’après son opinion, va se trouver transformée, p
toujours d’obéir aux souverains pontifes, lorsque le chef de l’église jugerait à propos d’anathématiser les princes, de les exco
page 17). De quelque manière que M. de Sénancourt et ses semblables, jugent à propos de m’attaquer, je proteste avec toute la
9 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VIII. » pp. 42-43
troduite depuis quelque temps, que d’autres plus scrupuleux qu’eux ne jugeraient peut-être pas fort Canonique. Ce même Mercure, di
e soin à faire valoir ses prétentions, lorsqu’on sera sur le point de juger à qui on donnera la Pomme d’or qu’ils recherchent
10 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE III. » pp. 29-67
ique je sois absent de corps, je suis avec vous en esprit, & j’ai jugé ce coupable au Nom du Seigneur, je l’ai livré à S
ivre une lettre de Constantin, où cet Empereur mandoit aux Evêques de juger le différend survenu entr’eux, touchant les affai
sa bonne foi : la collection n’étant pas entre mes mains, je n’ai pas jugé que la chose valût la peine que j’allasse la véri
as, soit qu’il ne se rencontre point dans la Brochure, soit qu’il ait jugé à propos de le passer sous silence, est positivem
ersonne des Rois ; mais ils la tiennent des mains de l’Eglise qui l’a jugée nécessaire, sa puissance lui ayant été donnée pou
qui statue en un de ses Capitulaires, que les Pécheurs publics seront jugés publiquement, & condamnés à une pénitence pub
dans la discussion des peines ecclésiastiques ; aujourd’hui qu’ils en jugent dès qu’on appelle à leur Tribunal, les choses n’e
11 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE VIII. Dans quelle Nation la Poësie Dramatique Moderne fit-elle les plus heureux progrès ? » pp. 203-230
paroît une merveille ; mais je suis fâché de voir le P. Saverio mieux juger des Poëtes de la Grece que des nôtres. On ne m’ac
i avoient à contenter des Spectateurs moins difficiles que nous. Pour juger d’une Piéce de Poësie, les Papes, les Rois, les C
vailloit pour plaire à une Populace to please the Populace, & que juger Shakespear sur les Régles d’Aristote, ce seroit j
lace, & que juger Shakespear sur les Régles d’Aristote, ce seroit juger un homme sur les Loix d’un Pays où il n’a jamais
Lettres, elle seroit demeurée ensevelie dans l’oubli. Il est aisé de juger par cette Lettre, que Riccoboni, qui possédoit le
dira-t-on, qui vivoit à Londres sans savoir l’Anglois, ne pouvoit pas juger des Piéces qu’il n’entendoit pas. Mais l’Auteur d
tres, par le son d’une cloche : & M. de Voltaire, très-capable de juger de cette Tragédie, malgré les éloges qu’il a donn
12 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXII. De l’usage du Théatre relativement au Comédien. » pp. 104-121
ut ce qui regarde la scène. Ils sont dans une habitude continuelle de juger des impressions que nos Poëmes dramatiques produi
tourner ses connoissances au profit de l’assemblée ; il les employe à juger l’aspirant & non à faire des similitudes. Soi
sage du Théatre ne peut lui être d’aucune utilité, quand il s’agit de juger d’une piéce dramatique. Pendant la lecture, peut-
antes. Si l’usage du Théatre n’est d’aucune utilité au Comédien, pour juger sainement d’une piéce Dramatique, il est aisé de
13 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quinzième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 275-277
e ! toi ! au milieu de ces femmes… environnée de ces hommes… exposée… jugée par ce Public… Eh ! le savait-il, qu’il jugeait l
de ces hommes… exposée… jugée par ce Public… Eh ! le savait-il, qu’il jugeait la vertu, s’immolant pour un coupable !… Non, de
14 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « [Lettre] » pp. 4-32
ndamne, encore qu’elle n’y prenne point de part et qu’il soit aisé de juger qu’elle parlerait autrement si elle pouvait parle
mérite de son auteur ne lui eût suscité des envieux. Je vous laisse à juger si un homme sans passion et poussé par un véritab
e souvenir de celui que saint Paul donne à tous ceux qui se mêlent de juger leurs frères, lorsqu’il dite : « Qui es tu qui ju
, et ne s’émanciper pas si aisément et au préjudice de la charité, de juger même du fond des âmes et des consciences, qui ne
bien plus de prudence, et comme la matière était délicate, il n’a pas jugé à propos de faire entrer Don Juan en raisonnement
15 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
voit fort clairement, par tout le discours de la vieille, qu’elle ne jugerait pas si rigoureusement des déportements de ceux à
itte enfin brutalement, comme il avait déjà voulu faire : ce qui fait juger à l’autre que leurs affaires vont mal, et l’oblig
en de plus vrai, dans les cas comme celui-ci, que la maxime, que nous jugeons des autres par nous-mêmes, parce que nous croyons
de ces termes de piété de l’Acteur peut faire sur le Spectateur, pour juger si cet usage est condamnable. Et pour le faire av
me que le vice. Voilà comme raisonnent ces gens-là ; je vous laisse à juger s’ils ont tort, et reviens à mon histoire. Les ch
discours revenant à son premier sujet, il conclut qu’« elle peut bien juger considérant son air, qu’enfin tout homme est homm
qu’aussi loin qu’il voudra, et que c’est à lui de l’interrompre où il jugera à propos ». Il se cache, et Panulphe vient. C’est
en danger de souffrir une telle confusion : qu’au reste il peut bien juger par quel sentiment il avait demandé de le voir en
avec toute l’assurance imaginable, et tout cela parce que les hommes jugent des choses plus par les yeux que par la raison, q
t, en lui remontrant « sa mauvaise disposition d’esprit, qui lui fait juger de tout avec excès, et l’empêche de s’arrêter jam
épond en s’opiniâtrant, que « quelquefois il faut tout voir pour bien juger  ; que l’intention est cachée ; que la passion pré
s avaient faute de le connaître ; à cela près, je ne me mêle point de juger des choses de cette délicatesse, je crains trop d
peut-être étrange ce que j’avance ici ; mais je les prie de n’en pas juger souverainement, qu’ils n’aient vu représenter la
e pour cela, je doute même si sa lecture toute entière pourrait faire juger tout l’effet que produit sa représentation. Je sa
e qui manque de Raison, c’est proprement le sentiment par lequel nous jugeons quelque chose ridicule. Or comme la Raison produi
que, d’une part, personne n’agissant irraisonnablement à son su, nous jugeons que l’homme qui l’a faite ignore qu’elle soit dér
nt. Voilà, Monsieur, la preuve de ma réflexion ; ce n’est pas à moi à juger si elle est bonne, mais je sais bien que si elle
16 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
ns d’atrocités pour intéresser et fixer un moment l’attention !… Oui, jugez -moi, hommes éclairés et vertueux que je révère :
e que si je parviens à convaincre celui-là, il sera facile ensuite de juger ses coopérateurs. Je ne m’ingère pas de remettre
rapport dramatique ou littéraire ; cette cause a été plaidée et bien jugée  ; il y a long-temps que c’est une affaire finie ;
ens, qui ont combattu la comédie en question à sa naissance, et l’ont jugée dangereuse unanimement, par des présomptions, par
17 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PENSEES SUR LES SPECTACLES. » pp. 1-12
ésente comme dangereux, l’est autant qu’on le dit. Ils croient qu’ils jugeront mieux de tout par leur propre essai que par la lu
ombé aux yeux de Dieu que de se laisser affaiblir par la tentation de juger de ses Commandements par sa propre expérience. En
plus grand, et en affaiblissent encore plus les idées. On y apprend à juger de toutes choses par les sens, à ne regarder comm
18 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies a corriger. » pp. 295-312
en avoir un seul qui souhaitât avec empressement d’avoir des Procès à juger , et l’on s’imaginerait plutôt qu’un tel emploi es
t cependant vrai qu’il se trouve aussi des Juges qui ont la fureur de juger  : tant il est constant que la malice des hommes p
ntir, puisque Dandin père de Léandre est si emporté par la passion de juger , et Chicaneau père d’Isabelle par la passion de p
19 (1764) De l’Imitation théatrale ; essai tiré des dialogues de Platon : par M. J. J. Rousseau, de Genéve pp. -47
difforme aux yeux des spectateurs. Ainsi jamais il ne dépend d’eux de juger de la chose imitée en elle-même ; mais ils sont f
de juger de la chose imitée en elle-même ; mais ils sont forcés d’en juger sur une certaine apparence, & comme il plaît
apparence, & comme il plaît à l’imitateur : souvent même ils n’en jugent que par habitude, & il entre de l’arbitraire
’en sert à déterminer leur forme sur leur usage ; c’est à lui seul de juger si elles sont bien ou mal, & d’en corriger le
rtient qu’à celui qui les met en œuvre d’en donner le modèle & de juger si ce modèle est fidelement exécuté : loin que l’
it. C’est cette foiblesse de l’entendement humain, toujours pressé de juger sans connoître, qui donne prise à tous ces presti
re par ses productions, du moins quant au sens matériel qui nous fait juger des tableaux du Peintre. Considérons maintenant l
20 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224
de bon sens, qui leur observa que l’objet de leur assemblée étoit de juger des convenances théatrale, mais qu’il appartenoit
que qu’aucun tribunal ne vit jamais. Le Théatre de la Foire pourra le juger . On a bien vu des pieces agréées par la troupe re
approbation & permission, malgré les indécences que le censeur a jugé très-décentes. Les journaux ont fait une mention
la plus grande police, la Grand’-Chambre est seule compétente pour en juger . Il auroit dû demander l’assemblée des Chambres,
les Comédiens. Il s’est élevé un Tribunal qui s’arroge le droit de juger les Auteurs & leurs Ouvrages, qui ouvre &
édie Française. Après neuf mois de sollicitation, elle fut enfin lue, jugée & reçue le 8 Août 1773. Lorsqu’un Auteur a un
ême ; ils ont en outre des réglemens particuliers. En 1680 Louis XIV. jugea à propos de réunir les deux Comédies des Hôtels R
re relatifs. L’Auteur distribuera les rôles de sa piece comme il le jugera à propos. Personne ne pourra, sans des raisons va
Troupe le 4 Mars, comme ces deux dernieres ne sont ni reçues, ni même jugées , & qu’il n’est plus possible que le sieur Mer
eut bien se charger de cette commission : alors le sieur Mercier sera jugé par ses Pairs, forme bien préférable à tous égard
emblance, a chargé le sieur des Essarts de lui annoncer qu’elle avoit jugé sa premiere décision légale. C’est ici que le rid
siez les bornes de vos usages, que l’objet de vos assemblées étoit de juger des convenances théatrales ; mais qu’il n’apparte
utes vos délicatesses doivent disparoître, dès que l’Administration a jugé ce qui étoit de sa compétence. Vous vous êtes exp
egle à laquelle je me suis conformé, de manière que mon ouvrage a été jugé , non-seulement utile, mais nécessaire, par toutes
21 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. —  CHAPITRE V. Tribunal des Comédiens. » pp. 128-140
à subir les Arrêts d’un Tribunal commun : celui des spectateurs, qui jugent à même tems de la composition de la piéce & d
omparoître le vainqueur devenu coupable, devant le Prince qui doit le juger , & où il plaide sa cause, au risque de voir f
ques fois dans les Opéras, faisant venir Minos, Æacus, Radamante pour juger les ombres. Mais il est un autre tribunal qui n’a
al. Il me semble voir le Sénat des femmes établi par Héliogabale pour juger des modes, des habits des coëffures, du fard, de
22 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE IV. Apologie des Dames. » pp. 119-155
utôt de vous paraphraser une scène de cette Tragédie, pour vous faire juger , sinon de la sublimité de son style, au moins de
ge le plus distingué des talents de Mme Tagliazucchi. Pour vous faire juger de ses talents en peinture, puisse-t-elle se rend
is avec tant de délicatesse que ce n’est qu’avec une Loupe qu’on peut juger de la longueur et de la délicatesse du travail :
nserver toujours la supériorité du nombre et des talents. Voulez-vous juger combien les femmes réussiraient facilement dans l
et les femmes, que l’instinct parmi les Animaux ? Encore un coup, ne jugeons qu’après l’expérience, et nous aurons bientôt une
ce, la modération, la science militaire et politique ; il doit savoir juger les Chefs, qu’il doit préférer pour le bien de la
tous les membres doivent avoir les qualités patriotiques que vous ne jugez nécessaires qu’aux Républicains : tout Monarque q
remplis dignement du côté de la figure les rôles de feu M. Poisson : jugez Monsieur si je devrais être l’avocat du beau sexe
23 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre d’une Dame de la Ville de *** au sujet de la Comedie. » pp. 6-15
justement par le même endroit du danger que les Peres de l’Eglise ont jugé que les Chrêtiens faisoient une injure à la Majes
iter quelques-uns, que j’ai l’honneur de connaître, je sçai ce qu’ils jugent en ce point : & mon sentiment ne sçauroit qu’
Pesez donc, Madame, leurs maximes dans la presence de Dieu, qui vous jugera un jour selon les regles, que ses organes vous do
24 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SIXIEME DISCOURS. Si le Prince peut apprendre les Arts Libéraux, comme la Peinture, la Musique, et l’Astrologie. » pp. 195-201
s Démons. Les Grecs se servaient de la Musique dans le combat, et ils jugeaient que ses accords plus puissants que les fanfares d
oi que tous ses Soldats et tous ses Ministres. Car ceux-ci ne peuvent juger de l’avenir que par le passé, ils ne tirent leur
25 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE II. De la Tragédie. » pp. 65-91
tez-moi de vous raconter un fait qui, quoiqu’assez comique, vous fera juger de l’effet que cette excellente Tragédie est capa
fureur en criant : « Donnez-moi mon fusil que je tue ce B. là. » Vous jugez bien qu’une pareille scène fit oublier la catastr
t du spectacle, donnez toute votre attention aux Spectateurs, et vous jugerez par les épithètes dont ils honorent Atrée presqu’
flatter de sa confiance : nulle Autorité ne vous a donné le droit de juger publiquement les ouvrages de M. de Crébillon ou d
courus faire imprimer courageusement ma lettre ; elle eut, comme vous jugez bien, à peu près le succès qu’elle méritait2. Deu
un peu mieux les sentiments de la reconnaissance, je vous laisserais juger de l’étendue de la mienne : mais vous n’avez appr
26 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
t déplaire aux Grands, a pris le parti de les flatter ; ou il n’a pas jugé que ses contemporains fussent assez avancés pour
d le génie du Poète s’allume au feu de la vertu ? Ne supposons rien : jugeons de ce qu’on peut faire, par ce qui est déjà fait.
nsulter eux-mêmes les ouvrages que je cite ; et les mettre en état de juger , entre nous, d’après leur propre sentiment. 2.
iez ma naissance inconnue, Comtes, et les premiers, en cet événement, Jugiez en ma faveur si véritablement, Votre dédain fut j
é. 7. [NDA] C’est à ceux de mes lecteurs qui vont aux spectacles, à juger si l’Abbé Dubos a eu raison ou tort de dire que l
27 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — SECONDE PARTIE. Si les Comédies Françoises ont atteint le vrai but que se propose la Comédie. » pp. 34-56
idicule essentiel.) Il s’en suivra nécessairement de cette maniere de juger des François, que le vice exempt de ridicule cess
, qu’on jette un coup d’œil sur la maniere générale dont les François jugent du mérite des choses. Une piece dramatique étoit
confusion & obligé de sortir. Que résulte-t-il de cette façon de juger  ? Il en résulte que la vertu n’ose se montrer, &a
28 (1698) Caractères tirés de l’Ecriture sainte « [Chapitre 1] — DU SEXE DEVOT. » pp. 138-158
la peine à décider : Car outre que j’ai un penchant naturel à ne pas juger mal de mon prochain, les raisons qui se présenten
principalement pour le droit, que bien des gens, et même leurs maris, jugent qu’un procès réussit mieux entre leurs mains. Dan
, Agathon, le procès est suffisamment instruit : Recueillez les voix, jugez , prononcez, sans avoir égard à un petit nombre d’
29 (1825) Encore des comédiens et du clergé « PREFACE. » p. 6
il puisse être, de lire le présent ouvrage en son entier, avant de le juger . Le Baron d’Hénin de Cuvillers.
30 (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « letter » pp. 472-482
nt dans la piété. Je sais bien que vous avez beaucoup de lumière pour juger solidement de toutes choses, et qu’en vous servan
i ait besoin d’autre Casuiste que celui qu’il porte en soi-même, pour juger que ce divertissement est périlleux et contraire
ons de Théâtre, n’ont pas ces remords intérieurs, mais il ne faut pas juger de leur insensibilité, que ceux qui en sont inqui
esté foudroyante avec laquelle il paraîtra à la fin des siècles, pour juger nos justices et nos péchés, et pour rendre à un c
31 (1825) Encore des comédiens et du clergé « AVIS AU LECTEUR. » p. 10
le des Matières, qui les dirigera dans le choix des articles qu’elles jugeraient à propos de parcourir.
32 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « APPROBATION »
la foi de l’Eglise & aux régles de la Morale Chrétienne. Nous le jugeons propre à édifier les Fidéles, & à les détourn
33 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXII.  » p. 492
de ses grâces, nourri de son corps, héritier de son royaume; il doit juger qu'il n'y a rien de plus indigne d'une si haute q
34 (1675) Traité de la comédie « XXXII.  » p. 327
de ses grâces, nourri de son corps, héritier de son Royaume; il doit juger qu'il n'y a rien de plus indigne d'une si haute q
35 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264
es de pur dogme et qui ne tiennent point à la morale, comment peut-on juger de la foi d’autrui par conjecture ? Comment peut-
-on juger de la foi d’autrui par conjecture ? Comment peut-on même en juger sur la déclaration d’un tiers, contre celle de la
elle m’impose est de respecter les secrets des consciences. Monsieur, jugeons les actions des hommes, et laissons Dieu juger de
nsciences. Monsieur, jugeons les actions des hommes, et laissons Dieu juger de leur foi. En voilà trop, peut-être, sur un poi
produire en nous des sentiments que nous n’aurions pas, et nous faire juger des êtres moraux autrement que nous n’en jugeons
ons pas, et nous faire juger des êtres moraux autrement que nous n’en jugeons en nous-mêmes ? Que toutes ces vaines prétentions
prends bien qu’il ne faut pas toujours regarder à la catastrophe pour juger de l’effet moral d’une Tragédie, et qu’à cet égar
ans laquelle Molière a composé son Théâtre ; et nous peut mieux faire juger de ses vrais effets. Ayant à plaire au Public, il
celle qui contient la meilleure et la plus saine morale, sur celle-là jugeons des autres ; et convenons que, l’intention de l’A
pis encore. Au fond, dans le monde elles ne savent rien, quoiqu’elles jugent de tout ; mais au Théâtre, savantes du savoir des
la beauté, et qu’on y apprend encore pour surcroît de profit à ne pas juger sa Maîtresse sur les apparences. Qu’Orosmane immo
oilà fort bien instruits ! Encore une fois, je n’entreprends point de juger si c’est bien ou mal fait de fonder sur l’amour l
els) c’est la nature des occupations qu’ils interrompent qui les fait juger bons ou mauvais ; surtout lorsqu’ils sont assez v
t tous les jours et doit l’emporter à la fin. Il suit de là que, pour juger s’il est à propos ou non d’établir un Théâtre en
en ne paraît bon ni désirable aux particuliers que ce que le public a jugé tel, et le seul bonheur que la plupart des hommes
’établissement : car, dans une Nation toute guerrière, qui peut mieux juger des justes occasions de montrer son courage et de
oi même ne peut obliger personne à se déshonorer. Si tout le peuple a jugé qu’un homme est poltron, le Roi, malgré toute sa
r ainsi le combat sans distinction, sans réserve, c’est commencer par juger soi-même ce qu’on renvoie à leur jugement. On sai
es combats particuliers à la juridiction des Maréchaux, soit pour les juger , soit pour les prévenir, soit même pour les perme
ent il fallait leur laisser le droit d’accorder le champ quand ils le jugeraient à propos ; mais il était important qu’ils usassen
torité, savoir que, dans les affaires qui passent par-devant eux, ils jugent moins sur leur propre sentiment que sur la volont
s même à s’en abstenir, quand les raisons de l’accorder n’étaient pas jugées suffisantes ; mais il y en aura toujours à leur d
raient cachés pour se battre, et quand ceux que la Cour d’honneur eût jugé s’être mal27 battus, seraient, en qualité de vils
umis aux tribunaux criminels. Je conviens que plusieurs duels n’étant jugés qu’après coup, et d’autres même étant solennellem
parler le peuple ; les uns ne se battent que parce que les autres les jugent , et pour changer les actions dont l’estime publiq
istants alors entre les premiers du Royaume ; que le Tribunal les eût jugés définitivement autant qu’ils pouvaient l’être par
lhomme29 ; qu’il eût comparu en accusé avec sa partie ; qu’il eût été jugé solennellement, condamné à faire réparation au Ge
nt davantage dans l’uniformité des affaires, il faut attendre pour en juger , de les voir dans les plaisirs. Voulez-vous donc
aux idées naturelles, sont choquants pour qui n’en a pas l’habitude ? Jugez -en par la surprise et l’embarras des Etrangers et
Cours souveraines ne peuvent entretenir une Comédie à demeure ? Pour juger si nous sommes en état de mieux faire, prenons un
r la recette. Le Genevois aime excessivement la campagne : on en peut juger par la quantité de maisons répandues autour de la
mais une proposition semblable ; et sur votre propre Article, on peut juger assez comment elle serait reçue. Si nous avions l
établies à Genève sous le nom de cercles, et j’ai lieu, Monsieur, de juger par votre Article que vous n’avez point observé s
36 (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Avertissement. »
és s’étant formées dans une Paroisse de Paris touchant la Comédie, on jugea à propos de consulter en Sorbonne quelques Docteu
37 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DONATION EN FAVEUR DU PUBLIC. » p. 11
our, de concert avec lui, revoir et corriger ce même ouvrage, s’il le jugeait à propos. Le Baron D’HENIN DE CUVILLERS.
38 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVI.  » p. 485
u sur tout le corps de nos œuvres est elle-même souillée, que doit-on juger de tout le reste des actions ? « Si lumen quod in
39 (1675) Traité de la comédie « XXVI.  » p. 317
tout le corps de leurs œuvres sont elles-mêmes souillées, que doit-on juger de tout le reste de leurs actions ? « Si lumen qu
40 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XV. » p. 68
re ont-ils raison. On devait au moins avoir montré leur portrait pour juger du plus beau, ou du plus digne. Mais comme il n’y
41 (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62
a peinture qu’il fait des Spectacles. L’empereur Julien lui-même n’en jugeait pas plus favorablement, puisqu’il défendit aux pr
encore entendre, voici les principes d’après lesquels ils pourront se juger . I. L’Evangile nous oblige de combattre et de mor
de la Table sainte aux Spectacles… Point de règle plus fausse que de juger de la morale des Confesseurs par la conduite des
r de la morale des Confesseurs par la conduite des pénitents. Pour en juger sainement, il faudrait, avant tout, savoir les ef
des vrais Biens, et à n’en avoir que de faibles idées. On y apprend à juger de toutes choses par les sens, à ne regarder comm
approfondir. Toujours combattu et toujours faible, je différais de me juger , par la crainte de me rendre, et par le désir de
geront par leur présence ou autrement ces sortes de Spectacles seront jugées indignes de conserver leur emploi, et en conséque
42 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre I. De la Pudeur. » pp. 4-35
s ne sont qu’une satyre de leur foiblesse. Le premier est établi pour juger avec précision du degré de blanc & de rouge,
e vernis, fruit du caprice & de la folie. Le second est chargé de juger des modes, & de fixer le nombre des jours que
soit de la compétence des Dames ? Pour les tribunaux ordinaires, qui jugent les procès, on se plaint que les présens, les fav
tout comme là. Il en est un très-important & très-respecté pour juger de la comédie. Sept femmes choisies assistent à t
pote. Ses jugemens sont arbitraires ; il se croit très compétent pour juger de tout ; les matieres qu’on lui présente sont de
endre les armes ? S. Cyprien prétend qu’on peut au premier coup d’œil juger si une fille est vierge : Nemo te videns dubitet
me. Quelques Medecins ont prétendu avoir assez de pénétration pour en juger surement, & les phisionomistes croient en avo
43 (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Extrait du privilège du Roi. »
t ensemble ou séparément et en tel volume, marge et caractères, qu’il jugera à propos : et ce pendant l’espace de Six Années.
44 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
tinguer les ministres de l’autel. Ils eurent la prétention de vouloir juger les rois, non seulement au tribunal de pénitence,
des trois âges de la comédie, et contrôler cette division s’il l’eût jugé à propos. Il aurait pu admettre ou rejeter la man
45 (1664) Traité contre les danses et les comédies « A MADAME. MADAME LA PRINCESSE DE CONTI. » pp. -
plus réformée et plus Chrétienne qu’elle ne fut jamais, votre Altesse jugera sans doute, MADAME, que le grand Archevêque qui a
46 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE VI. Où l’on examine si le Bal public proposé par M. Rousseau ne serait pas plus préjudiciable aux mœurs de Genève, que le spectacle qu’il proscrit. » pp. 211-224
un Seigneur Commis, et que tous ensembles composent un Aréopage pour juger de la modestie et de la danse des jeunes gens ; m
re accompagnée de certaines circonstances que sa prudence lui faisait juger nécessaires, au lieu que l’ivresse l’aveuglant su
aises actions qu’ils se seraient interdites à jeun. Voyez Monsieur et jugez maintenant si Genève ne gagnerait pas beaucoup à
47 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre VIII. Qu’il n’est point permis aux particuliers de faire des Assemblées pour la danse, ni pour toute sorte de sujet. » pp. 33-35
ne juste police ; comme pour quelque victoire, ou pour des noces. Ils jugent même, que quoique la danse soit de sa nature indi
48 (1670) Du delay, ou refus de l’absolution [Les Instructions du Rituel du diocèse d’Alet] « Du delay, ou refus de l’absolution. » pp. 128-148
tion, mais qu’il est necessaire de les éprouver pendant un temps pour juger de leur contrition, & de leur conversion par
tellement accoutumé de pecher, que le Confesseur doit raisonnablement juger , qu’à raison de sa foiblesse & de sa mauvaise
pouvoir au Confesseur de differer la communion jusques au temps qu’il jugera à propos pour le salut du penitent. Que fera le C
arriveroit, on auroit toujours sujet, & mesme obligation de bien juger du salut d’une personne, qui estant vivement touc
49 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
rdonnez : mais c’est dans le Systême que je vais vous lire.   Si l’on jugeait qu’une Réforme aussi entière que vous l’avez prop
Elèves ne débuteront sur les Théâtres publics, qu’après en avoir été jugés dignes aux Exercices généraux qui se feront chaqu
t il est parlé dans l’Articles précédent, qui n’auront pas encore été jugés capables d’être admis au Théâtre de la Capitale,
a les plus formés. La Direction de la Capitale pourra, lorsqu’elle le jugera à propos, rappeler les Sujets qu’elle aura donnés
ntrainte. Adelaïde. Vous avez raison, belle Honorine, & vous jugez la Nation d’après la bonté de votre cœur. Sep
50 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VII. Paroles de l’auteur et l’avantage qu’il tire des confessions.  » pp. 28-29
sortes de spectacles. Le second moyen est encore plus sûr ; c’est de juger par les confessions des fidèles du mauvais effet
51 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIV. De l’usage de composer des Pièces, ou des Rôles pour un ou plusieurs Acteurs. » pp. 219-233
une nécessité absolue d’avoir toujours le Comédien sous les yeux pour juger par son jeu des effets de chaque partie de son ou
ui qui doit en représenter le Héros. Mais ce ne doit être que pour se juger soi-même, se mettre en présence de l’Acteur &
52 (1715) La critique du théâtre anglais « AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR. » pp. -
, tout mort qu’il est. Mais j’ai un concurrent à lui opposer qu’il ne jugerait pas indigne d’entrer en lice avec lui. C’est M. C
s du discours, dont l’Anglais peut se passer, et que nous autres nous jugeons nécessaires. Mais ces légers changements ne doive
53 (1658) L’agent de Dieu dans le monde « Des théâtres et des Romans. CHAPITRE XVIIII. » pp. 486-494
à remporter des victoires, sans avoir égard à la justice des armes, à juger des entreprises par l'evènement, à tenir les scep
ant de pompe, les passions et les désordres qu’elle condamne. On doit juger le même des Romans qui rapportent les merveilleus
54 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
u’aucun genre de pièces n’y est plus propre ; et s’il m’est permis de juger de l’impression des autres par la mienne, j’avoue
ûté pour déclamer contre elles avec chaleur, que pour les voir et les juger avec une indifférence philosophique. Mais comment
ne mettrait-elle pas les femmes à portée d’y réussir ? Descartes les jugeait plus propres que nous à la Philosophie, et une Pr
us avez au contraire étudié, analysé, composé vous-même pour en mieux juger les effets, le poison dangereux dont vous cherche
pectacle que d’y assister. Au reste, c’est à vos compatriotes seuls à juger de ce qui peut en ce genre leur être utile ou nui
ligent également tous les Citoyens, et qu’à Genève les hommes ne sont jugés ni par les richesses, ni par les habits. Enfin ri
r que l’énumération des moyens par lesquels vous supposez que j’ai pu juger de leur doctrine, n’est pas complète. Si je me su
ire des principes de la Religion Protestante ; et si vos Ministres ne jugent pas à propos de les adopter ou de les avouer aujo
55 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur le duc de Nemours » pp. -
abelle, dont les Comédies se peuvent maintenir, puisque vous les avez jugées , Monsieur, un plaisir semblable aux repos des Ave
56 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XV. Application de la doctrine précédente aux danses et aux bals qui se font aujourd’hui. » pp. 94-96
nt la seule composition du corps, ne soit un fondement raisonnable de juger que l’on ne peut y assister, et y prendre part sa
57 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « I. Occasion et dessein de ce Traité : nouvelle Dissertation en faveur de la Comédie. » pp. 1-3
s l’Eglise, et qui connaissent les dispositions des gens du monde ont jugé qu’il serait bon d’opposer à une dissertation qui
58 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXIV. Conséquences de la doctrine précédente. » pp. 136-137
ger parmi les choses les plus dangereuses ; et en particulier on peut juger si les pères ou les saints docteurs qui les ont s
59 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVIII.  » p. 489
stre, par le jeu et par le luxe n'est pas un petit péché, que doit-on juger de la dissipation des biens de la grâce, et de ce
60 (1675) Traité de la comédie « XXVIII.  » pp. 321-322
tre, par le jeu et par le luxe, n'est pas un petit péché; que doit-on juger de la dissipation des biens de la grâce, et de ce
61 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24
e et égal à soi-même. Mais s’il faut estimer les effets par la cause, juger l’action selon le dessein, combien celui d’Isabel
’en veut séparer 1’honnêteté. Pour opiner de l’un avec le vulgaire et juger de l’autre avec les sages, en dois-je chercher l’
nous ne tirons que la senteur et la couleur font le miel doucereux : Jugez qu’il n’y a rien qui puisse contenter ceux à qui
62 (1690) Entretien sur ce qui forme l’honnête homme et le vrai savant « VII. ENTRETIEN. » pp. 193-227
he. Car qu’est-ce que devenir Philosophe ? si ce n’est s’accoutumer à juger des choses par raison, et selon ce qu’elles sont
pour lui une Philosophie continuelle, puisque vous lui aurez montré à juger des choses par leurs véritables idées, et non poi
vieux métal ils ont négligé les lois de la charité Chrétienne ? Vous jugez bien, Eugène, que je ne prétends pas ici faire ma
63 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « [Introduction] » pp. 1-9
des relations bien fidèles d’un pays qu’on n’a jamais habité, on peut juger de ses mœurs par les naturelsb avec qui l’on vit
enchanté, et on répand si abondamment ses productions, qu’on peut en juger sans craindre de s’y méprendre. Nous nous proposo
64 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Troisième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 25-27
est tendre, sensible ; & ce n’est plus moi qu’il aime ! Lisez : Jugez de mes sentimens par ce que vous vîtes hier, Made
65 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « [Lettre] » pp. 1-4
cideriez avec moins d’autorité, si vous aviez réfléchi, que pour bien juger de la pureté d’intention & du désintéressemen
66 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre VII. De ceux qui sont aux autres occasions de ruine, et de péché. » pp. 30-32
s son Manuel. Mais ce n’est pas seulement celui qui peut probablement juger qu’une personne certaine péchera mortellement à l
67 (1677) L’Octavius « Paragraphe XII du texte latin » pp. 42-46
Paragraphe XII du texte latin Que ne jugez -vous pour le moins par l’expérience des choses pr
68 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Diversités curieuses. » pp. 5-37
s’embarrassoit ni de décoration, ni des trois unités. Je ne prétends juger ni des Auteurs ni des regles, mais il est vrai qu
manuscrite d’un voyage de Montagne en Italie. Sa famille n’avoit pas jugé à propos sans doute, pour des bonnes raisons, de
nt de genre de littérature où l’on ait plus mal écrit, & plus mal jugé qu’au théatre. Pour une bonne piece il y en a cen
ustice, il y en a cent qui ne le méritent pas, parce qu’on ne peut ni juger ni composer de bons ouvrages qu’autant qu’on est
, d’erreurs, des préjugés, de penchans, qui font mal écrire & mal juger . Comment dans un siecle aussi dépravé se trouvero
ses utiles, elegantes pour le temps, quoique très-groffiérement. A en juger par notre bel esprit, nos drames ont plus d’attra
69 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « introduction » pp. 175-177
ue, puisqu’elle contient tous les principes et les règles qui doivent juger le monde, non seulement dans les actions extérieu
70 (1824) Du danger des spectacles « INTRODUCTION. » pp. 1-3
d’après nos actes, comme d’après nos principes, que nous devons être jugés . On ne peut, d’ailleurs, mettre en doute que nos
71 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVII.  » pp. 471-473
contre son ami, parce qu'on le croyait auteur d'une chose dont il le jugeait lui-même innocent. « C'est peu pour négliger un
72 (1675) Traité de la comédie « XVII.  » pp. 297-299
contre son ami, parce qu'on le croyait auteur d'une chose, dont il le jugeait lui-même innocent. « C'est peu pour négliger un
73 (1700) IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, etc. [Sermons sur tous les sujets de la morale chrétienne. Cinquiéme partie] « IV. Sermon des spectacles, comedies, bals, &c. » pp. 95-126
éponse precise ; mais comme j’ay apporté toute la precaution que j’ay jugée necessaire pour ne pas exaggerer le desordre qui
elles sont plus ou moins criminelles, ou dangereuses. Il en faut donc juger par l’issuë, par l’experience, par l’intention, &
’est mal raisonner de la grandeur du peril où l’on s’expose, que d’en juger par la nature, ou par l’institution de ces specta
res sont obligez de leur donner exemple, & qui doivent prudemment juger , que leur presence authorifera ces divertissemens
es vers, & des pensées si noblement exprimées ? Certes si vous en jugez autrement, c’est la passion que vous avez pour ce
74 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien troisieme. Le danger des Bals & Comedies découvert par l’Auteur des Sermons sur tous les sujets de la morale Chrétienne de la Compagnie de Jesus. » pp. 26-56
éponse precise ; mais comme j’ai apporté toute la precaution que j’ai jugée necessaire pour ne pas exaggerer le desordre qui
elles sont plus ou moins criminelles, ou dangereuses. Il en faut donc juger par l’Issuë, par l’experience, par l’intention, &
’est mal raisonner de la grandeur du peril où l’on s’expose, que d’en juger par la nature, ou par l’institution de ces specta
es, sont obligez de leur donner exemple, & qui doivent prudemment juger , que leur presence authorisera ces divertissemens
es vers, & des pensées si noblement exprimées ? Certes si vous en jugez autrement, c’est la passion que vous avez pour ce
75 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 19-42
feront. Or ce sont les personnes en question, qui doivent prudemment juger , que leur présence authorisera ce divertissement,
probation éternelle, du moins elle ne porte pas celles, qui nous font juger , qu’elle est dans la voie de son salut. Vous vou
salut. Vous vous étonnez, Madame, de mon jugement : mais en puis-je juger autrement ? La Vérité éternelle ne nous dit-elle
mption vouloir trouver sa sureté au milieu des écueils, que de ne pas juger , que toutes les circonstances de la Comedie n’aie
76 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
s imprimés en caractères anglais, et des marges de quatre poucesa. Il jugera beaucoup plus avantageux pour sa bourse d’en reve
aron d’Hénin, qu’à son titre, bien qu’il ne soit pas très clair, j’ai jugé devoir présenter des faits et des raisonnements s
77 (1694) Lettre d’un théologien « Lettre d'un théologien » pp. 1-62
de grossierf. » De ces paroles de saint Thomas, il vous est aisé de juger , Monsieur, que sous le nom de jeux, il comprend a
sa réponse n’a pas moins de délicatesse et de solidité. Vous en allez juger par ses propres paroles, auxquelles je me ferais
bauchées, etc. » « Pater verborum , etc. » lib. 1. de ludis c. 20.  » Jugez si le reste que dit ce Père peut être quelque cho
Thomas, et s’ils ne l’avaient pas approuvée, du moins l’auraient-ils jugée indifférente. J’ai été bien aise de vous rapporte
qui font retentir les louanges des Idoles. D’où il vous est facile de juger que ce saint Docteur ne condamne pas absolument l
d Comédien que la France ait eu, étant né Gentilhomme, n’en fut point jugé indigne par la Profession dont il était : et dans
s sortes de Spectacles. Le second moyen est encore plus sûr, c’est de juger par les Confessions des Fidèles du mauvais effet
ici l’endroit de vous dire ce que je pense de vos Ouvrages ; et vous jugez bien que je ne vous en pourrais rien dire qui ne
78 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  dénombrement du clergé de france avant et depuis la révolution.  » pp. 346-350
us commander de craindre de les voir renaître, à une autre époque. On jugera par le dénombrement de l’ancien clergé de France,
79 (1825) Encore des comédiens et du clergé « NOTICE SUR LE MINISTERE FRANÇAIS EN 1825. » pp. 87-100
on, aux souverains, aux gouvernements et aux peuples. Je veux ensuite juger si, à la rentrée des chambres, le système des loi
livrés à eux-mêmes, seront bientôt connus par un public pénétrant. On jugera avec certitude de leurs inclinations, de leurs op
80 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVI. Il y a des divertissements plus utiles et plus décents que les spectacles. » pp. 138-149
r l’espèce criminelle dans les eaux du déluge : une seule famille est jugée digne de vivre et de perpétuer sur la terre la ra
et s’en retournera de même. Les poètes seront traînés, non pour être jugés par Minos ou Rhadamante, mais devant le tribunal
81 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XX. Exemples de pratique. » pp. 48-50
ue chose de plus pour nourrir tous ses pauvres ? De là il est aisé de juger quelles sont les sommes que ces hommes infâmes ga
82 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « I. » pp. 6-8
it autrefois aux Elections et aux Ordinations des Evêques. On en peut juger par ce qui se faisait à Rome, selon ce qu’on en a
83 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « PRÉFACE. » pp. 3-6
personnes qui tiennent un rang assez considérable dans l’Eglise, ont jugé à propos de le donner au Public. Car comme le Tor
84 (1731) Discours sur la comédie « Lettre à Monsieur *** » pp. -
voix, et je vous laisse le maître de tout pour le montrer à qui vous jugerez à propos. Au reste, quand on ne ferait paraître a
85 (1707) Lettres sur la comédie « LETTRE, de Monsieur Despreaux. sur la Comédie. » pp. 272-275
cun sujet de vous plaindre de moi, pour avoir écrit que je ne pouvais juger à la hâte d’ouvrages comme les vôtres, et surtout
86 (1715) La critique du théâtre anglais « PREFACE DE L’AUTEUR » pp. -
u ne lui devoir montrer qu’un échantillon lequel suffît pour le faire juger de tout le reste. En traduisant les Pères de l’
87 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIX. Les Spectacles condamnés par les saintes Ecritures. » pp. 164-167
timents aurait eus Jésus-Christ des fidèles qu’il formait, s’il avait jugé nécessaire de leur interdire, par une loi express
88 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
andale et des erreurs qu’on y débite, et que c’est à l’Eglise seule à juger de la morale et de la doctrine, à approuver les p
police des spectacles, et ne souffrirait pas que les Officiaux qui en jugeaient communément avec le Magistrat dans le seizième si
ent assez indulgents pour le théâtre, mais des Théologiens en état de juger de ce qui très souvent y intéresse la religion et
nna une juridiction supérieure sur tous leurs membres, et le droit de juger en dernier ressort toutes leurs petites affaires.
89 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74
qu’il en soit autrement ordonné. ». Il ne fut pas nécessaire de faire juger l’appel, la défense provisoire arrêta tout, et la
our la modestie, le protecteur zélé des bonnes mœurs ? Mais Montaigne jugeait du goût et des idées du public par les siennes, e
e sublime sainteté. Il y a bien de l’apparence que si ce procès a été jugé (ce que j’ignore), il a eu le dénouement de celui
n’a été ni dû être adressé au Parlement. Il n’y a que des arrêts qui jugent des différends particuliers survenus entre les Co
90 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
C’était plaider contre sa partie. M. Laverdi, fameux Avocat, qui à en juger par son plaidoyer, rapporté dans les Causes célèb
aux Officialités, de suivre les règles de précaution que les lois ont jugé nécessaires pour prévenir les désordres. C’en est
d, ils sont déclarés non recevables. L’Officialité et le Parlement le jugèrent ainsi contre la Duclos. On peut voir ces deux pla
e pour et contre, et où l’on rapporte nombre d’arrêts qui l’ont ainsi jugé . Tiberio Fiorelli, appelé Scaramouche, fournit un
91 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 4-42
e besoin. Ils font ensuite & disent sur le théatre tout ce qu’ils jugent à propos. Nous avons plusieurs volumes de ces squ
ur une Comédie. 2°. Un Tribunal composé de sept Juges en office, pour juger des piéces, & couronner les meilleures. 3°. U
ition, leur probite, leur intelligence, à l’abri de tout soupçon, qui jugeront avec connoissance, & sans partialité  ; au li
Seigneurs & petits maîtres , dit Voltaire, qui s’assemblent pour juger les pieces ; leurs séances sont des vraies scénes
nal me fait souvenir du Sénat des Dames, établi par Héliogabale, pour juger des modes, des coëffures, des pompons, &c. ai
inisse debet honestatis. Je n’ai point veu cette piéce je ne puis en juger  ; mais je n’en serois pas surpris. Le théatre se
92 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
des esclaves mutins qu’on achetait exprès pour cela. Dans la suite on jugea à propos de couvrir du voile de divertissement, u
veille, tout cela n’est que la pompe du diable. Que devons-nous donc juger de ce lieu horrible, plus exécrable que les parju
âmes de leur nature, font rejaillir leur infamie sur les spectateurs. Jugez donc encore, mes Frères, s’il est permis de prend
suspens la déclaration du Préteur…. Chacun débite ses extravagances. Jugez de leur folie par la vanité de leurs discours : i
connaître celui qui est le docteur de la vérité ; les Païens, dis-je, jugent du bien et du mal selon leur caprice. Ce qui leur
hap. 22. être surpris de l’inconstance de ces hommes aveugles, qui ne jugent du bien, ou du mal, que selon leur bizarre imagin
93 (1802) Sur les spectacles « FUITE DES MUSES ET DU BON GOUT : Peut-on compter sur leur retour ? » pp. 3-11
huit mille ; car les directeurs en agréent tout au plus une sur cent. Jugez du caput mortuum. Nous sommes tellement déchus, q
tacle les talents qui ne sont jamais riches. Est-ce Turcaretk qui ira juger du mérite de nos ouvrages dramatiques ? Est-ce Mi
94 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7
e prends point de parti entre Monsieur Desmarets et Vous. Je laisse à juger au monde quel est le Visionnaire de vous deux. J’
ompenses de celui-ci. Vous l’avez quitté il y a longtemps. Laissez-le juger des choses qui lui appartiennent. Plaignez-le si
95 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XI. Que les Poèmes Dramatiques n'ont point été condamnés. » pp. 230-236
donner, et ces voix extravagantes et fortes des Tragédiens ; et l'on jugera si ces choses leur pouvaient donner sujet de pron
96 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. » pp. 5-9
n ne donne que les enveloppes les plus minces. Songez encore, si vous jugez digne du nom de Chrétien et de Prêtre, de trouver
97 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 12. SIECLE. » pp. 187-190
it la sacrée Communion aux Comédiens e aux Farceurs; d'où vous pouvez juger quelle peine méritent ceux qui les favorisent, Si
98 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE IV. Pieces singulieres. » pp. 107-153
père en procura plusieurs à l’Auteur portant aussi l’image du Roi. Il jugea en sa faveur, & couronna la bourse. Mais la n
’état est portée à l’Empereur, qu’on fait venir de 800 lieues pour la juger . Il est instruit, il sauve l’amant & l’amante
é l’élever Ne l’a-t-il fait si grand que pour ne rien connoître, Pour juger au hazard en despotique maître, Pour laisser oppr
point une affaire de religion, c’est un procès criminel, bien ou mal jugé , contre un particulier ; c’est un assassinat qu’o
comme si le Roi de France alloit s’embarrasser des procés bien ou mal jugés des habitans de Novogorod. Mais les Religionnaire
pés, si l’on veut ; aucun d’eux ne se croit infaillible. Mais ils ont jugé selon leur conscience, le Roi ne leur en a fait a
divers changemens. La piece a été répetée devant le Magistrat pour la juger . La singularité du spectacle, le genre tout neuf
99 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre prémier. Qu’on ne doit pas se figurer que la composition des nouveaux Drames soit aisée. » pp. 116-120
lus riches venaient les trouver en foule, comme pour les narguer. Ils jugèrent la Chanson digne d’eux, & la jettèrent au feu
100 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VI. Les spectacles produisent et favorisent l’incrédulité. » pp. 86-89
ce sont des chrétiens qui leur mettent ces blasphèmes dans la bouche. Jugerait -on, en assistant à la représentation de leurs tra
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