ème sorte de violateurs et de pécheurs publics auxquels Messieurs les
Juges
devraient s’opposer, parce qu’il y va de la gloir
n’est qu’un prétexte de la part des Magistrats ; combien y a-t-il de
Juges
et autres Gens du Roi, qui ne les ont jamais voul
s âmes pendant toute une semaine. Cependant qu’en est-il arrivé à ces
Juges
Chrétiens, sinon la bénédiction des gens de bien
entendre le Saint Esprit, qui leur parle et qui leur crie, « apprenez
Juges
, ouvrez, les oreilles, vous qui tenez sous votre
lques-uns entendent cette répréhension, de la criminelle conduite des
Juges
, lesquels pour asseoir leurs Jugements, n’envisag
leur accommodement, que dans la perte des autres. Si Dieu ordonne aux
Juges
par la bouche du même Prophète de prendre le part
uement et impunément : qui pourra, je vous prie, mettre à couvert les
Juges
de si grands maux, vu que c’est leur criminelle t
ue encore deux choses bien considérables, que le Prophète adresse aux
Juges
: la première est quand il les appelle « des Dieu
ieu, au pouvoir duquel ils participent. Or si le Prophète appelle les
Juges
, « des Dieux, et les enfants de Dieu », n’est ce
our les faire les esclaves de Satan, par la liberté que Messieurs les
Juges
leur ont donnée ? « Vous mourrez comme des hommes
e ? « Vous mourrez comme des hommes », ajoute le Prophète parlant aux
Juges
, comme s’il disait, vous ne mourrez pas comme Jug
phète parlant aux Juges, comme s’il disait, vous ne mourrez pas comme
Juges
, comme Pasteurs et Supérieurs des autres, mais co
ceux qui président, et qui ont abusé de leur autorité, comme font les
Juges
qui préfèrent la satisfaction d’un Tabarin, d’un
Chapitre XXIV. Le sentiment,
juge
plus sûr que le goût. Celui-ci préféré au premier
ces sont impérieuses. Elles appellent sans cesse au tribunal du goût,
juge
assez intégre, pris généralement, & si partia
r. Elle en connoît le nom, c’en est assez à son gré. La voilà établie
juge
du génie, d’une maniere plus honorable que par le
; des suffrages si injustement distribués, les préviennent contre les
juges
. Ils plaignent les Poëtes, oublient l’Acteur, son
voir. Quand on est capable de se prévenir, on n’est pas digne d’être
juge
. On ne l’est plus quand on a un autre intérêt que
chée à leur profession. Qui les enhardit à manquer de respect à leurs
Juges
? Ces Juges qui ne sçavent pas se modérer eux-mêm
profession. Qui les enhardit à manquer de respect à leurs Juges ? Ces
Juges
qui ne sçavent pas se modérer eux-mêmes. Qui fait
e déclarés infâmes, et autres peines qu’il y échera. Enjoignons à nos
Juges
, chacun en son détroit, tenir la main à ce que no
ontreviennent à notre présente Déclaration, nous voulons que nos dits
Juges
leur interdisent le Théâtre, selon la qualité de
femmes est un souffle empesté qui détruit toute idée de vertu. Qu’on
juge
donc si l’argent qu’on leur donne, est bien emplo
blement repentantes, elles agissent dans des vues de religion, que le
Juge
des lieux y envoie un Commissaire ; et si elles d
ves de leur sincérité, qu’on les leur accorde, pourvu que l’Evêque le
juge
à propos : « Ante omnia diligenti observatione, a
déclarés infâmes, et autres peines qu’il y écherra. Enjoignons à nos
Juges
, chacun dans son district, de tenir la main à ce
à notre présente déclaration, nous voulons et entendons que nos-dits
Juges
leur interdisent le théâtre et procèdent contre e
en sont semées, et méritent qu’on les chassât. On ordonne à tous les
Juges
d’y veiller de près, de faire observer religieuse
ls le sont. La déclaration juridique de l’infamie est une sentence du
Juge
qui déclare encourue l’infamie imposée par la loi
de droit dès qu’il est commis, elle n’est exécutée que par l’ordre du
Juge
. C’est une règle commune à toutes les peines : le
icier coupable n’est dépouillé de son bénéfice que par la sentence du
Juge
. La déclaration du Roi, en la supposant vraie, ne
confirmer la loi générale de l’infamie des Comédiens, et ordonner au
Juge
de la leur déclarer juridiquement encourue, s’ils
d il se trouve dans une condition dangereuse pour luy, par exemple de
juge
d’avocat, de soldat, ou autre semblable, dans laq
isent aussy certaines personnes publiques, comme sont les curez ; les
juges
, les medecins, les apotiquaires, les chirurgiens,
uoiqu’il l’ait veritablement quittée : mais il faut que le Confesseur
juge
s’il n’y a pas sujet de craindre qu’il ne s’y eng
mment se doit conduire le Confesseur dans toutes les rencontres où il
juge
devoir differer l’absolution à son penitent ? Il
qui se presente au dernier jour de la quinzaine de Pasque, lorsqu’il
juge
luy devoir refuser l’absolution ? Il seroit à sou
royant qu’il n’y a point de mal en certaines choses que le Confesseur
juge
mauvaises, le peut-il absoudre sur la considerati
fesseur voit son penitent dans cette derniere sorte d’ignorance, s’il
juge
qu’il y ait danger de luy découvrir la verité à r
ices. J’honore les talens, mais je ne puis souffrir qu’ils soient les
juges
, ou plutôt les tyrans des Auteurs. Je n’ai rien e
u’il étoit ridicule, pour ne pas dire indécent, de voir les Histrions
juges
des Piéces que les Auteurs leur présentent. En ef
as la mienne ; mais je souffre de voir des Histrions tyrans despotes,
juges
souverains des productions du génie. A-t-on jamai
« Vous êtes admis à la Lecture, vous la faites en tremblant ; on vous
juge
, vous frémissez ; on recueille les voix, une seul
t sans cesse menacés, les paralyserait, et l’opinion déjà connue d’un
juge
inamovible, pèserait sans cesse sur leur tête, co
dance précitée du 17 mars 1822, sont à la merci de l’opinion de leurs
juges
. Chacun, il est vrai, peut avoir son opinion ; ma
effet, cette loi n’est autre chose qu’un jury, uniquement composé de
juges
inamovibles, dont on connaît de longue main l’opi
es inamovibles, dont on connaît de longue main l’opinion. Quoique ces
juges
soient en apparence indépendants, ils ne sont que
oique ces juges soient en apparence indépendants, ils ne sont que des
juges
ordinaires, dont l’indépendance ne ressemble en r
bagnas, les Fourberies de Scapin, le Sicilien, Pourceaugnac, la Femme
juge
et partie, Arlequin Procureur, etc. Qui ne connaî
orte de sacerdoce, et chez plusieurs nations, les Prêtres étaient les
juges
nés de tous les différends. Il est du bien de l’E
à la comédie ? On se ferait siffler. Il faut déposer le caractère de
Juge
; il jure avec le théâtre ; n’y en dépose-t-on pa
ereur se félicita qu’on eût cru digne de l’épiscopat quelqu’un de ses
Juges
: « Electos a se Judices ad sacerdotium postulari
unissent-ils pas, s’ils sont coupables, même après les Evêques, leurs
Juges
naturels, dont ils réforment les sentences ? Ils
et par conséquent un Magistrat amoureux, étant aveugle, peut-il être
Juge
, etc. ? Voici deux traits les plus singuliers. Il
re esprit et votre façon de dire auraient entraînés et convaincus les
Juges
les plus sévères. Sans se donner la peine de comp
ogeait pas ; il ne m’en faut pas davantage. Une Profession que le Roi
juge
digne d’un Gentilhomme est sûrement honorable, je
n Citoyen recommandable. Cet homme, dit-il, que tout le Peuple Romain
juge
aussi digne de paraître sur la Scène pour ses tal
de paraître sur la Scène pour ses talents, que d’être assis parmi les
Juges
pour sa probité. Si Roscius avait exercé une Prof
jours : les peres & les meres de familles, s’assemblent devant le
Juge
qui reçoit leur suffrage ; celui qui pendant l’an
es à quatorze ans & les garçons à quinze peuvent y concourir. Les
Juges
après avoir recueilli les voix en choisissent tro
a ? Entrera-t-elle dans les vues des Aspirans & de la balance des
Juges
? C’est elle du moins elle seule qui décidera des
Huit jours avant la fête de saint Louis ; le Curé nomma au Prône onze
juges
, qui le 25 entendirent la Messe du Saint-Esprit a
ompagnies bourgeoises, se rendit chez la Rosiere où se trouverent les
Juges
& le cortege tout formé, la prit par la main
res ; & dans la suite un Magistrat, un Avocat, un Prédicateur, un
Juge
ne plaide, ne prêche pas mieux ; ordinairement il
la volupté à la main, où tous ses adorateurs vont s’enivrer. Qu’on en
juge
par le caractere de ceux qui fréquentent les mauv
Autres scenes déplacées, on fait venir le Bailli du village, un des
Juges
de la rose. Le Bailli est amoureux de la fille, l
s déclarations, la menace, verbalise contre elle, instruit les autres
Juges
, lui fait perdre la rose, la fait insulter, &
amours nocturnes. Peut-on penser qu’une fille de bon sens insulte son
Juge
, lui oppose un rival aimé, lui fasse des aveux dé
sa pureté ! Le rôle du Bailli est une satire des Magistrats. C’est un
Juge
qui n’agit que par passion, pour obtenir une fill
re, si c’est là leur portrait. C’est avec raison qu’on fait dire à ce
Juge
amant d’une Actrice : La rose étoit digne d’envi
tiquement de la rose, contre l’avis des sages vieillards établis pour
Juges
, & qui la donne à celle qui la mérite le moin
bjets moins frivoles ? S’il a peint dans le Bailli la corruption des
Juges
, a-t-il moins peint dans le Seigneur la hauteur,
ns : on établit des prix, que les Poëtes devoient disputer, & des
Juges
pour décider du mérite des Piéces. Ils prêtoient
ces. Ils prêtoient serment de juger avec équité ; cependant comme ces
Juges
étoient tirés au sort, qui pouvoit tomber sur des
us célebres par la dignité de ceux qui furent nommés pour en être les
Juges
. Ils ne furent pas, comme à l’ordinaire, tirés au
on lui-même avec les autres Généraux, qui nommeroit le vainqueur. Ces
Juges
, après avoir prêté serment, donnerent le prix à u
accusé comme défenseur du parjure, & il reclama la protection des
Juges
préposés aux Représentations. On ignore quel fut
qu’il étoit en démence : il répondit à cette accusation en lisant aux
Juges
son Oedipe Colonne. Le tems de la guerre du Pelop
aroître vouloir plaisanter. Lorsque dans les Plaideurs, le Portier du
Juge
vante sa condition, parce qu’on n’entroit pas che
ces derniers mots dits sérieusement, font rire du Portier & du
Juge
. Lorsque le Juge répond au Plaideur qui lui deman
ots dits sérieusement, font rire du Portier & du Juge. Lorsque le
Juge
répond au Plaideur qui lui demande audience,
thletes qui combattent pour l’emporter, l’objet de la récompense, les
juges
qui doivent prononcer, tout est ici bien éloigné
’amitié & les jeux champêtres de l’innocence. Tous les habitans,
juges
des mœurs de leurs filles, rougiroient de manquer
r sa pieuse fondation ; ce n’est pas celle qu’ont pris pour regle les
juges
de la rose & les filles qui l’ont méritée : l
r un titre dans cette piece. Il auroit dû y voir sa condamnation. Les
Juges
y ont vu les risques que couroit le monument de l
art avoit des rôles à distribuer, & créoit des personnages. Qu’on
juge
de la sagesse d’un amateur qui étudieroit l’histo
née : mais, bien différent de S. Medard qui établit toute la Paroisse
juge
du mérite de la fille, ce Corps vénérable, par in
clarés infâmes, & autres peines qu’il écheoira : enjoignons à nos
Juges
, chacun en son district, de tenir la main à ce qu
notre présente Déclaration, nous voulons & entendons que nosdits
Juges
leur interdisent le théâtrea, & procédent con
tien & Valentinien, défendirent par une Loi du 19 Mai 386, à tous
Juges
de se trouver aux jeux publics, soit du Théâtre,
; les prééminences respectives, dont on est très-jaloux. Le quatrieme
juge
des querelles, des railleries, des médisances, &a
s sur un blanc distingué. Elles composent un tribunal littéraire, qui
juge
souverainement de toutes les piéces de théatre. A
il donne l’allarme, fait voir l’ennemi, previent l’attaque. Comme un
Juge
severe, & un témoin incorruptible, il reproch
ocat comédien défendroit mal sa partie, & affoibliroit auprès des
Juges
les meilleurs moyens de sa cause. C’est bien pis
t, & ce n’est pas par cet endroit que ce Saint Pere veut qu’on en
juge
; c’est sur la parure, les habits, la modestie ;
es assaisonne, les combine, pour flâter le goût des convives, dont il
juge
par le sien. Il faut bien distinguer dans la paru
; damnera tous ceux qui auront le malheur de s’y livrer. Le souverain
Juge
ne l’admet point à son tribunal ; la toilette y p
ce après le premier modèle ou la vérité. Mais le Poëte, qui n’a pour
juge
qu’un peuple ignorant auquel il cherche à plaire,
ier s’il l’est en effet. S’il peint la valeur, aura-t-il Achille pour
juge
? S’il peint la ruse, Ulysse le reprendra-t-il ?
met ses raisons à notre jugement ; le Poëte & l’imitateur se fait
juge
lui-même. En nous offrant ses images, il les affi
ours que l’homme a pour vérifier les rapports des sens, afin qu’il ne
juge
pas de ce qui est grand ou petit, rond ou quarré,
sçavoir la raison ; mais une faculté différente & inférieure, qui
juge
sur l’apparence, & se livre au charme de l’im
jeu des Comédiens. Mais les Poëtes ont à paroître devant deux autres.
Juges
souverains. 1°. le public par l’impression de leu
te l’arrêt de la Tournelle ; c’est le tribunal des Comédiens, où l’on
juge
souverainement de la vie poétique, de l’honneur d
es auteurs & sur les piéces. C’étoient à Athènes & à Rome des
juges
préposés pour décider de la bonté des drames qu’o
au pied du Tribunal vous declarer coupable devant Jesus-Christ vôtre
Juge
, dont le Confesseur tient la place. Quoi ! diriés
même situation où nous devons tous paroître un jour devant Dieu nôtre
Juge
, & où je vous prie de vous mettre dès mainten
ivés dès à present comme si vous êtiés prêts de paroître devant vôtre
Juge
; veillés pour vous preserver de la corruption du
x seulement. Mais ils étaient si religieux en cette pratique, que les
Juges
des Jeux punissaientPausan. in Æliac. et alibi. p
s de la Lutte, de l'escrime et d'autres Jeux qui avaient corrompu les
Juges
, et les Juges mêmes avaient été condamnés, et les
de l'escrime et d'autres Jeux qui avaient corrompu les Juges, et les
Juges
mêmes avaient été condamnés, et les inscriptions
Constitutionnel et le Courrier, sont à la merci de l’opinion de leurs
juges
, et probablement seront condamnés. Page 167 La lo
considérée comme n’étant qu’une espèce de jury, uniquement composé de
juges
inamovibles, dont on connaît les opinions de long
t on connaît les opinions de longue main. Page 167 Réflexions sur les
juges
de la cour royale, comparés aux anciens conseille
omparés aux anciens conseillers au Parlement, et considérés comme des
juges
ordinaires. Page 167 De la nécessité d’annuler la
n tel aveu ; si on sent le coup qu’il porteroit à la Religion ; qu’on
juge
de là au moins dans quel embarras on se met, quan
ui ne sont jamais médiocres dans ceux qui s’y laissent entraîner. Les
Juges
ordinairement exercent leur Charge ou avec une at
le et très ennuyeuse. Il est cependant vrai qu’il se trouve aussi des
Juges
qui ont la fureur de juger : tant il est constant
qui exposent leur salut pour divertir leurs Spectateurs. L’Eglise les
juge
si criminels, qu’elle ordonne à ses ministres de
ent la dévotion. Et ainsi ils ne doivent point douter que Dieu ne les
juge
très coupables d'avoir fait si peu d'état de son
ent la dévotion. Et ainsi ils ne doivent point douter que Dieu ne les
juge
très coupables d'avoir fait si peu d'état de son
n qu’il soit véritablement une lumière du Monde, un Dépositaire et un
Juge
de la doctrine de l’Eglise et un parfait observat
Varron qui nomme un Poëte qui avoit fait des Tragédies Toscanes ; on
juge
que les Spectacles Dramatiques furent très-ancien
isons seroit incroyable, si nous ne le lisions dans Ciceron, si grand
Juge
dans l’Art de la Déclamation. Quoiqu’il fût deven
, ils ont regardé les Grecs comme leurs maîtres. Quintilien, ce grand
juge
, que l’amour de sa Nation n’aveugle point, après
ujourd’hui, puisque du tems même d’Horace tout Romain n’étoit pas bon
Juge
de cette partie de la Poësie ? Non quivis vide
blic, est sujet à de fâcheuses rencontres : il peut compter autant de
Juges
et de Censeurs, qu’il a d’Auditeurs et de Témoins
a d’Auditeurs et de Témoins de ses actions ; et parmi cette foule de
Juges
, il y en a si peu d’équitables et de bien sensés,
DE] Dans le premier Placet, Molire dit effectivement que sa Majesté «
juge
bien elle-même combien il m’est fâcheux de me voi
DE] Dans le premier Placet, Molire dit effectivement que sa Majesté «
juge
bien elle-même combien il m’est fâcheux de me voi
idéré une maxime qui est très véritable, à savoir que le Vulgaire qui
juge
d’ordinaire des choses comme un aveugle des coule
ouvaient mêler une honnête raillerie pour relâcher de la sévérité des
Juges
. Ils ont même donné des règles pour exciter le Ri
s Orateurs, d’autant qu’ils savent prudemment récréer les esprits des
Juges
? Et qui oserait estimer les Clercs du Palais gen
rver toute la modération que l’Auteur demande. Je ne m’érige point en
Juge
de la querelle des deux Religieux : il ne convien
mp; tout ce qu’il a eu jusqu’à present sur ces sortes de matieres, de
juges
competens, de juges reconnus, & autorisez, on
eu jusqu’à present sur ces sortes de matieres, de juges competens, de
juges
reconnus, & autorisez, ont decidé : mais ce n
conséquences. Or est-ce ainsi que l’expérience nous apprend qu’on en
juge
au Théâtre ? Non sans doute. Des mariages où la p
même Mercure, dites-vous, promet aux Génies de les avertir lorsque le
Juge
que Jupiter a déterminé voudra décider le différe
t n’être point contre la loi de Dieu. Nôtre conscience est donc nôtre
juge
en cette matiere, & nous ne pouvons recuser c
st donc nôtre juge en cette matiere, & nous ne pouvons recuser ce
juge
incorruptible, & ce fidele témoin, lorsqu’il
es ecclésiastiques sont reconnus et révérés par les peuples comme des
juges
suprêmes en fait de religion et d’affaires de con
ple lecture. Il faut qu’elle soit déclamée dans le sanhédrin, où l’on
juge
si elle peut être exposée au public ou non, c’est
ur mieux faire sentir l’urgence des remèdes que je propose. Soyez mes
juges
, hommes de bien, observateurs sages qui, étranger
d’ennemi et d’esclave de l’art dramatique. C’est pourquoi je prie mes
juges
impartiaux de ne prononcer sur mon opinion nouvel
ses vendanges : à peine rentre-t-il dans le devoir, Dieu suscite des
juges
qui le délivrent de l’oppression. Il est gouverné
pour être jugés par Minos ou Rhadamante, mais devant le tribunal d’un
juge
qu’ils ont méprisé ; ils trembleront de frayeur e
énients par une Loi du 19. Mai de l’an 386. Elle fait défenses à tous
Juges
de se trouver aux jeux publics, « soit du théâtre
épense en sera réglée par les Consuls, et fait défenses à tous autres
Juges
d’en connaître. Elle défend enfin d’en représente
nion qui dure encore. Pendant cette altercation le Public s’érigea en
Juge
; et ne consultant, à son ordinaire, que son prop
es moyens d’instruction. L’élite des hommes éclairés de la Grèce, les
juges
d’Athènes blâmaient tellement le dernier que d’ap
nt un peuple, sans en excepter la plus vile canaille, en censeurs, en
juges
de religion et de moralité, en inquisiteurs et sc
aient de voir jeter parmi eux des coupables vêtus de l’habit de leurs
juges
. La sage précaution que prend la politique de dég
de sa mort, qui est toujours incertaine, n’arrive bientôt, et que son
Juge
irrité ne le livre aux démons, qui sont les Exécu
le temps qui lui reste de sa vie à gémir, pour tâcher de fléchir son
Juge
par ses gémissements, et d’obtenir le pardon de s
rs langues ou leurs oreilles pour offenser un Dieu qui doit être leur
Juge
, et cependant l’on va sans crainte à la Comédie.
tent qu’à raison de leur nouveauté ? Si l’application est juste, quel
juge
que ce Parterre ? Des maximes continuées pendant
ngé, sans nous mettre en colère ? Cette vicieuse apreté tient plus au
juge
qu’à la faute…. La moyenne région loge les tempêt
ituations dans lesquelles les personnages se trouvent. Demandez à nos
Juges
criminels s’ils ne condamnent pas souvent au supp
us comique ; quoique ceux-ci aient pu déconcerter la gravité de leurs
Juges
dans leur interrogatoire, par ce qui s’est trouvé
qui d’ailleurs mérite tous les chagrins qu’il éprouve. En qualité de
Juge
, il reprend très fort son sérieux, quand il est q
sonne, qui prend le Dé à tous coups, et s’établit orgueilleusement le
Juge
et le Précepteur du genre humain, qui joint l’ins
peu près comme dans les affaires criminelles les lois veulent que les
Juges
soient à jeun quand ils prononcent : « Nullus omn
incestos, exegerit. » Menochius (ibid. art. 49.) demande si c’est au
Juge
ecclésiastique ou au Juge laïque de réprimer et d
ochius (ibid. art. 49.) demande si c’est au Juge ecclésiastique ou au
Juge
laïque de réprimer et de punir les Comédiens, et
dies blessent la religion ou les mœurs. Il croit que c’est d’abord au
Juge
séculier à y mettre ordre, mais qu’à son défaut c
uvés si beaux que le Roi n’était pas assez riche pour les payer » (on
juge
bien que toutes ces largesses étaient de l’argent
fondateur, l’Académie naissante lui devait l’être et la vie : jamais
Juges
ne furent plus récusables. D’un autre côté, un ho
ous les défauts du Cid. Scudéry crut sa cause gagnée, et remercia les
Juges
. Corneille en fut piqué et consterné, s’en plaign
un faste, une magnificence, qui effaçait la majesté royale. Qu’on en
juge
par le Palais Royal, qu’il s’était fait bâtir pou
trouverait, par ce fait, supérieur à la Charte, supérieur aux autres
juges
du royaume, qui ne peuvent, qui ne doivent qu’app
e de voter ces lois de sang, ils parvinrent à se constituer eux-mêmes
juges
de tous les délits en matière de foi, et à faire
qu’après avoir examiné les preuves, & entendu les Parties, que le
Juge
prononce. Il est juste que le prévenu se défende,
e viande. Or tout cela depend du devoir des Censeurs, attendu que les
juges
et autres officiers n'y prendront jamais garde.
haut de son trône la flétri de la maniere la moins flateuse pour les
Juges
qui l’ont prononcé. L’Académie est à plaindre ; q
qué un traître, insulté un Magistrat, flétri un délateur, calomnié un
Juge
. Il pouvoit ajouter, & livré, comme dit Boile
Enfin ils ont des titres de noblesse du Parnasse, des provisions des
Juges
du mérite littéraire. Aucun de ces titres ne donn
ie respecte. C’est une contradiction : peut-on louer en même temps le
Juge
qui condamne, & le prévenu condamné ? Le crim
mnation par la bouche de leur Héros, avoient d’ailleurs à ménager des
Juges
qui n’en sont pas moins partisans, & qui n’au
Moliere, à qui sont-ils plus injurieux ? à l’orateur, au héros, ou au
juge
qui y met le sceau de son approbation ? Ce modèle
& honorés d’une couronne par le premier Corps littéraire, établi
Juge
du mérite, & composé de tout ce qu’il y a de
humilié, d’un Dieu anéanti se formeroient-ils de l’orgueil ? Si on en
juge
par les portraits qu’il en trace, rien de plus no
riser ; au contraire, ils mériteraient d’avantage notre estime. Qu’on
juge
de l’éffort que doivent faire des gens d’esprit p
vous ai jamais vû, Mademoiselle, ni aucunes de vos compagnes, je n’en
juge
que par le bruit public ; toute la France rétenti
e ses vendanges. A peine rentre-t-il dans le devoir, Dieu suscite des
Juges
qui le délivrent de l’oppression. Il est gouverné
pour être jugés par Minos ou Radamante, mais devant le Tribunal d’un
Juge
qu’ils ont méconnu, qu’ils ont méprisé ; ils trem
ts à M. le Maistre, il ne faut point pour cela que vous souleviez les
Juges
, et le Palais contre moim, je reconnais de bonne
oyez-vous qu’on fasse de votre conduite, quand vous offensez tous les
juges
en comparant le Palais avec le théâtre, la jurisp
ention sévère qu’on fait aux Ouvertures des Pièces, par lesquelles on
juge
souvent des talens d’un Compositeur : toutes les
ce qu’il y a de plus essentiel à la veritable regeneration. Qu’on en
juge
par les reproches que le Prophete Amos faisoit à
tif qui doive conduire des Chrétiens ? Des Chrétiens qui savent qu’un
Juge
exact & rigoureux doit un jour leur demander
tendre dire ? J’en appelle à vous, ô mon Dieu, je vous en prends pour
Juge
! Quoi ? dans les sentiments, dans les pensées d’
un fil, un simple fil prêt à se rompre, un Chrétien qui sait que son
Juge
l’épie comme un voleur pour le surprendre, ce Chr
enflammé, réduit en poudre ; l’étonnement, l’effroi des nations ; un
Juge
rayonnant de gloire, porté sur les nues, les Ange
palpables, le monde en appelle à son expérience ; & alors témoin,
juge
& partie, peut-il ne pas se donner gain de ca
! Quid miseriùs misero non miserante se ipsum ! Que c’est un mauvais
juge
de la prétendue expérience de sa force, qu’un hom
he la vie du prévenu, la matiere fut trouvée abondante, la vie de ses
Juges
n’en eût pas moins fourni, & aucun d’eux n’au
vous faire oublier notre saute, &c. Belcour étoit pourtant un des
Juges
qui avoient opiné à l’exclusion de Dubois, pour n
s et les façons de faire des Gentils et des Idolâtres : mais ce qu’il
juge
encore plus intolérable, c’est qu’ils veulent jus
le son de leurs instruments ; car ils rendront compte devant le juste
Juge
de tous les péchés auxquels ils ont donné occasio
s trop qu’il est facile de le disculper au moins en partie : qu’on en
juge
par ce que j’ai déjà dit, & par ce que je vai
ne s’est peut-être que trop ennuyé. Fesons lui grace du reste : s’il
juge
à-propos d’en voir d’avantage, il n’a qu’à se don
de distinguer de ses yeux mortels des esprits, ou des âmes ; qu’on en
juge
par ses termes ; C’est-là, ce qui fait peur aux
est sûr qu’il y aura quelqu’un de condamné. Le monde s’y connaît ; il
juge
; il fait justice ; mais il veut des preuves et d
ée : ils les regardent dans un ordre dont ils ne sont pas, et où l’on
juge
autrement des choses. Voilà donc les bons Poètes
dans Jansénius demeurent sans preuve sur une chose dont les yeux sont
juges
, ceux qui nient qu’elles y soient, quoiqu’ils fus
érogatives : on les divise en autant de parties, ou d’Actes, que l’on
juge
à propos. Enfin un dernier trait achèvera de prou
remarquer que dans tout ce petit Ouvrage il ne se trouvera pas qu’il
juge
en aucune manière de ce qui est en question, sur
édiens, plus séveres que la Police, trouver indécent ce que la Police
juge
ne l’être pas. Mais ce n’est qu’un jeu & un p
approuvée. Je doute pourtant que l’auteur gagne son procès, qu’aucun
Juge
puisse ni veuille forcer les comédiens à se jouer
. L’humiliation des gens de lettres, la corruption, la partialité des
juges
, la manière d’opiner, le jugement des pieces, la
ment respectables. Ajoutons que c’est attenter à ceux du Public, seul
juge
des Auteurs, comme il est le seul objet de leurs
re d’injustice, qui n’est pas le moindre de tous : cette délibération
juge
qu’un Livre intitulé, l’Art Dramatique, est un li
eur, quoique cet ouvrage ne porte pas son nom ; &, tout à la fois
juges
& parties, les Comédiens lui imposent la néce
ece où il étoit question de jouer les Courtisannes, la plupart de ses
juges
auroient la maladresse de devenir ses parties, &a
trouvez-vous trop forts ; comment soutiendrez-vous ceux du souverain
Juge
, qui vous demandera compte de toutes vos actions
lus sages dans les choses les plus graves, des Législateurs & des
Juges
dans la punition des crimes. Tandis qu’on punit u
dre de vuider. Une sommation n’est pas un ordre ; la partie somme, le
Juge
ordonne. Et quelle ordonnance y a-t-il à porter a
donne. Et quelle ordonnance y a-t-il à porter avant la sommation ? Le
Juge
n’agit qu’en cas de résistance. Il s’est trahi lu
Orgon ; qu’il ait une expédition de la donation, pour la présenter au
Juge
, & en obtenir une ordonnance ; qu’il ait un H
on dîne le plus souvent, qui donne le plus impérieusement le ton, qui
juge
, tranche, décide, prononce, assigne aux talents,
la nature vous trompe. Vous seriez demain plus équitable, et meilleur
juge
, si vous vous portiez mieux….2 Je suis persuadé q
ns les siennes, vos songes dans les siens ; il faut que je vous fasse
juge
de cette ressemblance. Cet homme, qui était Indie
ouvernementales, une infâme morale astucieuse et machiavélique. Qu’on
juge
maintenant de l’asservissement pénible dans leque
s, en offrent les preuves les plus convaincantes. Chez les Juifs, des
juges
théocrates et absolus gouvernaient despotiquement
ent encore des atrocités du saint office où des prêtres sanguinaires,
juges
et parties, condamnaient des hérétiques à être br
ertrude. Le Maréchal-Ferrant est-il du genre de la Fée Urgèle ? Qu’on
juge
combien le Théâtre moderne embrasse de sujets dif
up plus recueilli & plus attentif aux objets de l’autre, & en
juge
bien mieux. Un sourd a la vue plus perçante, un a
é. Dubois, for mauvais Acteur, vouloit du moins passer pour excellent
Juge
des pieces de théatre ; il avoit en effet cette r
agnies, pour dire par-tout avec enthousiasme : Dubois est le meilleur
Juge
des pieces de théatre. Personne n’ayant intérêt à
onduité indécente devrois la priver de cet honneur. Tout le public le
juge
de même, à l’exception de Voltaire, à qui l’Auteu
nnent de si vrais plaisirs, Ces Sirenes enchanteresses Trouveront des
juges
plus doux, Heureux si leurs tendres foiblesses Po
s Dieux des Jardins, & dont il blâmé la grossiere obscénité. Quel
juge
! Si les ouvrages les plus obscenes sont precieux
e. Les Grecs, excessifs, ou detracteurs cruels, persécutoient leurs
juges
, & deifioient les bouffons ; c’etoit un peupl
mille, les rendant prodigues, dissipateurs, libertins, corrompus, les
Juges
dictant leurs arrêts ; jamais on n’en a dit tant
ue le péril est passé, qu’elle s’en souvient, & les renvoie à son
Juge
, amant & beau-pere, quand ils ne servent plus
. Deux hommes furent impliqués dans la procédure comme complices. Les
Juges
crurent le crime assez prouvé pour condamner le p
public, saisi d’horreur d’un parricide dont personne ne doutoit. Les
Juges
également décidés sur la condamnation des complic
fit tout remuer dans l’intervalle, & dans la nouvelle séance les
Juges
furent partagés. En matiere criminelle le partage
du Roi qui fit faire une information & publier un monitoire. Les
Juges
au nombre de dix examinerent l’affaire avec le pl
mere, complice du meurtre. Calas est-il un autre Clitemnestre que les
Juges
ont fait mourir pour venger l’assassinat de son f
le véritable sens du Canon les Danses de ce temps, quoique on ne les
juge
pas déshonnêtes ; sont néanmoins opposées à l’hon
ister à tout hormis à son Dieu, à qui il est ; Enfin triompher de son
juge
, car celui-là est victorieux, qui a obtenu ce qu’
upérieur, ni devant les Evêques. On est encore moins voilé devant son
Juge
: un accusé y paroît toujours découvert. Les mouv
en dégradant l’homme & le Pontife ? Il oublie même son devoir de
Juge
, il laisse impuni le complice, ou plutôt l’auteur
Quelle morale ! que deviendra l’autorité d’un père, d’un maître, d’un
Juge
, d’un Roi, si l’injustice, qu’on ne manque jamais
le de modestie et gentillesse, que lieu de honte : C’est pourquoi nos
Juges
nous les permettent ; nos Pasteurs ne nous le com
cellents messagers, qui sont les yeux et les oreilles; par l’œil elle
juge
les couleurs, par l’oreille les paroles. La parol
visigoths tous les vers de Corneille. L'Artisan à côté du Seigneur
juge
tout comme lui, souvent aussi bien et mieux que l
ance méprisante ; on n'y connaît ni la prudente circonspection qui ne
juge
qu'avec connaissance, ni la sage timidité qui arr
nt jouer successivement, y sont exposés au grand jour : le spectateur
juge
. Les hommes ont des passions ; cela est certain.
e de séparer la cause primitive, des forces qu’elle fait mouvoir ; on
juge
non les moyens employés, mais l’intention. Qu’un
ui peut être assez présomptueux, pour ne pas craindre un tribunal qui
juge
tout en dernier ressort, & qui ne varie jamai
ns publics couronnent ses efforts ? La condamnation prononcée par ses
juges
fait son ignominie ; mais est-ce sur sa professio
e lui, des passions qui n’étoient pas les siennes, pour persuader ses
juges
, & les déterminer à favoriser une prétention
L’amour propre cherche à pallier ses défauts, mais un miroir sert de
juge
. Je ne puis mieux vous comparer les charges qu’on
nnuyer le Lecteur. Je lui en ferois l’exposition pour l’en laisser le
juge
! Est-ce tourner en dérision les respectables dro
e. Vous ne voulez pas que Philinte conseille à Alceste de visiter les
Juges
, parce que c’est dire, en termes honnêtes, qu’on
, que de lui représenter combien il est de son intérêt de visiter les
Juges
, non pour les corrompre, mais pour faire valoir s
maniere dont on exposera la justice de ses prétentions, empêchera les
Juges
d’être abusés ; car enfin ce sont des hommes, suj
ité par des bonnes et; solides remontrances. En un mot, solliciter un
Juge
n’est un mal que quand on sent bien qu’on travail
e n’est donc pas vouloir faire une méchante action que de visiter les
Juges
, pour qu’ils ne soient ni aveuglés par la chicane
vous n’en pouvez être soupçonné. A l’égard de la mauvaise foi, je ne
juge
mal de mon prochain que le plus tard que je puis,
Voilà des gens bien pernicieux. Mais, Monsieur, qui vous a constitué
Juge
en Israël ? Qui vous a découvert les secrets les
s sera-t-il bien commun. Que si par un barbare et; stupide préjugé on
juge
chez vous les Comédiens comme l’ignorance et; le
ire, Monsieur, par un esprit d’humanité, de justice et; de raison, on
juge
les Comédiens d’après eux-mêmes, et; non d’après
i connu particulierement ne peut qu’honorer un honnête homme. » Si je
juge
de vous par vos écrits celui-ci m’apprendra qui v
a dans mes idées, si on les approuve ; ou me les fera rejetter, si on
juge
que je me sois trompé. 10. [NDA] Della Poëtica
Roi. C’est bien assez qu’il l’écoute sans qu’il l’exerce, et qu’il en
juge
sans qu’il s’expose comme Néron au jugement que l
âmes, ignorassent sur ce point leurs obligations essentielles ? Comme
juges
, où serait leur prudence ? comme docteurs, où ser
ce et du salut ; tout ce qu’il y a eu, sur ces sortes de matières, de
Juges
compétents, et reconnus, ont décidé : n’importe ;
qu’il contemple fixément la Mort ; qu’il regarde au-delà, et qu’il me
juge
… Le temps vole, la nuit s’avance, le rêve va fini
» « Enfin, quelle idée peut-on se former des Spectacles, si l’on en
juge
par le caractère des personnes qu’on se propose p
nnaissant parfaitement le théâtre, lié avec le plus célèbre Comédien,
Juge
éclairé et équitable du mérite des pièces et du p
e peut regarder la convention comme illicite, et qu’en conséquence le
Juge
doit accorder un dédommagement. Il compare cette
ute pas en corps dans leurs procès, ils n’en font pas un aux yeux des
Juges
; on ne leur doit aucune audience, et ce n’est qu
trop souvent soumis à cette espèce d’élus devenus leurs chefs, leurs
juges
, les arbitres de leur sort !5 …………… …………… ……………
bas. Je rapporte quelques-unes des paroles de M. D'Urfey, pour qu’on
juge
si j’exagère et si je lui en impose :« Paraissez
celle-ci c’est un grand fou. Il y a donc des gens qui sont aussi bons
juges
que bons modèles du bel esprit, et qui n’en ont p
e Chevalier Ventre-de-Tonne s’accorde avec lui-même. Le Poète le fait
Juge
de paix et Député Lieutenant ;Charges en Angleter
Hoyden, pour se donner le loisir de faire un plus ample informé ? Un
Juge
n’a-t-il jamais entendu parler de friponnerie ? e
ore quelques-uns de ses caractères d’homme d’esprit. Le jeune La Mode
juge
à l’humeur vive de la Demoiselle Hoyden, qu’elle
hui. A ces témoignages, je joins ceux de quelques Poètes qui sont des
Juges
compétents pour l’affaire dont il s’agit. Le prem
? » Ibid. Cap. 23.« Puis donc que le Tribunal de la sagesse humaine
juge
à propos d’avilir le Théâtre, malgré le divertiss
as que cette partie du Théâtre porte directement au crime : car je ne
juge
jamais de ce que je ne sais point : ceux qui ont
nt : ceux qui ont coutume d’aller à ces assemblées sont là-dessus des
Juges
compétents. Mais ce que je puis dire, c’est que l
te, que comme c’est par cette distinction & cette vivacité que je
juge
de leur proximité, je crois voir la Lune au bout
us avions eu à faire le même Ouvrage. Nous sommes à peu près comme un
Juge
, pour suivre la même image, qui se remercieroit s
nous paroît d’autant plus intéressante que c’est le sentiment qui en
juge
au dedans de nous, beaucoup plus que la raison, &
mitation du Poëte : notre esprit plus serein & plus tranquille en
juge
mieux alors, parce qu’il est bien moins offusqué
la raison qui n’étant pas sujette aux mêmes changements parce qu’elle
juge
avec plus de maturité, assure à l’Auteur la durée
é nécessaire pour la conduite des affaires, et ne lui a donné d’autre
juge
que sa conscience. Le Prince n’est donc comptable
ouve de vicieux dans cette administration. L’Orateur en ce cas est un
juge
qui ne connaît rien au-dessus de lui que les lois
-dessus de lui que les lois, qui peut parler aussi fortement qu’il le
juge
à propos pour le bien public, parce qu’il a le dr
doute, qui remontre, qui supplie, ici c’est un client qui parle à son
Juge
, là c’est un Rapporteur qui l’instruit. Si les Au
Cette pièce ne paraît pas avoir eu un succès bien complet, si l’on en
juge
par la négligence des Comédiens de Paris à la rep
ne doit pas durer plus de tems que ne dure le tour d’un Soleil. Deux
Juges
président à ces Représentations, pour décider du
de prison, et de punition corporelle : il fait aussi défenses à tous
Juges
de leur donner permission de jouer que sous ces c
me semble, qu’il faut entendre ce qu’Aristote dit des Mœurs, & je
juge
de sa pensée par ce qu’il dit dans un autre endro
, Dans les champs Phrygiens les effets feront foi, &c. & l’on
juge
qu’un Heros de ce caractere ne se laissera pas ai
ontente de répondre, Tout vous a réussi, que Dieu voye, & nous
juge
. Cette même tranquillité étonne dans Joas : il
e d’une Action touchante, ne s’en apperçoit pas ; mais le Lecteur qui
juge
avec tranquillité, & que des Vers médiocres r
s concurrents à la direction de l’enseignement et de l’éducation, les
juges
de nos secrètes iniquités, les conseillers de nos
l’Epître à Uranie, des Cadenas, de la Pucelle, etc.c, est un mauvais
juge
de la sévérité chrétienne. L’Evangile, si opposé
endre la liberté d’écrire à VOTRE GRANDEUR vous reconnassant pour mon
Juge
né et d’institution divine en matière de Doctrine
amne dans le monde que les péchés extérieurs et grossiers ; mais Dieu
juge
plus rigoureusement, il condamne plus sévèrement
causes, que la police et que les passions lui cachent ; de se rendre
juge
des Princes, qui se font la guerre, pour lui donn
s de la justice, les faisant accuser, juger, condamner à mort par des
juges
, & des faux témoins intimidés ou corrompus ;
de prononcer sur ce lien sacré. La cause est plaidée devant le Pape,
juge
reconnu de toutes les parties, & par lui-même
lui-même chef de l’Eglise, s’erige un tribunal, où il s’assit, &
juge
sa propre cause, casse son premier mariage, &
Ils ne furent pourtant pas respectés, même à Cithere, par le nouveau
Juge
qui les avoit accordés. L’amour les effaça bien-t
es étant rapportées à Elizabeth, elle lui fit grace, & traita ses
Juges
de coquins. Alton dansoit trop bien pour être mal
l le premier Roi des Juifs, n’userent de pareilles toilettes ; ni les
Juges
, ni Moyse dans le désert, ni les anciens Patriarc
cherche à leur plaire. Ils sont donc les premiers & les meilleurs
Juges
des impressions que sont leurs ouvrages, & d’
’être rajeunis que votre tête. Philippe, son pere, appercevant un des
Juges
de l’aréopage, qui se fardoit les cheveux & l
disent quelques uns une plante qui croît dans l’Arabie. Le P. Catrou
juge
que c’est du romarin, & l’Abbe de Maroles que
a cinnamome, le gingembre. Dans la verité on ne sait ce que c’est. On
juge
seulement que c’est une aromate estimée du temps
éche point. Déguiser son visage pour ne pas donner des soupçons à ses
Juges
en changeant de couleur n’est pas un plus grand m
▲