ur opérer une certaine illusion : & la Pantomime exécutée par les
jeunes
Acteurs. On n’ignore pas que ce dernier genre fit
érée, le Nouveau-Théâtre pourra devenir une Ecole, où se formeront de
jeunes
Elèves pour les trois Spectacles de la Capitale.
p; dansante précédât & suivît ces trois Pièces. Par ce moyen, les
jeunes
Elèves s’accoutumeraient de bonne heure au vrai g
pas le seul ; il en est un autre, peut-être moins avantageux pour les
jeunes
Acteurs, mais dont l’effet serait plus présent po
même encore à ce que son Orquestre fût composé, comme son Théâtre, de
jeunes
Sujets, distingués par des talens déja supérieurs
t le Professeur : ainsi lorsque la Représentation serait achevée, les
jeunes
Acteurs rangés dans la Salle de Répétition, serai
p; sa Pantomime, non-seulement afin de procurer quelque relâche à ses
jeunes
Acteurs, mais encore parce qu’on regretterait bea
e le répète d’après l’Auteur, il faudrait envisager l’avenir pour ces
jeunes
Elèves, & dans les Pièces, respecter scrupule
enfance dans le Couvent de C**, n’en était sortie que pour épouser un
jeune
Conseiller ; soit qu’il eût beaucoup de mérite, o
sister dans sa première vivacité, le goût du Magistrat ; c’est que sa
jeune
épouse était obligée de rester auprès d’un père i
l fesait sa résidence. Le Directeur du Théâtre avait fait venir cette
jeune
Actrice de M… où ses talens commençaient à brille
bonheur d’une épouse vertueuse, en inspirant une passion violente au
jeune
Magistrat. Il était impossible que l’aventure res
eur ! Mais au-lieu de s’abandonner aux plaintes, aux reproches, cette
jeune
personne sans expérience, supporta patiemment son
e la *** ne jouera pas ; qu’une indisposition subite l’en empêche. La
jeune
Dame, qui n’avait eu d’autre dessein que de se do
arrive presqu’aussi-tôt quelle : sa surprise fut extrême en voyant sa
jeune
épouse. Elle lui dit qu’une curiosité fort nature
souvent à sa femme qu’elle lui ressemblait, elle lui demanda si cette
jeune
personne surpassait la *** ? L’avantage est tout
cte, où nous voyons Pauline faire une belle leçon de Coquetterie à de
jeunes
Damoiselles, en racontant à Stratonice, qu’elle a
e jeunesse,Dans le Malade Imaginaire. Profitez du printemps De vos
jeunes
ans, Donnez-vous à la tendresse, Ne perdez point
te le goût de ces doux passe-temps. » On voit après cela dans cette
jeune
Damoiselle des manières toutes mondaines, et des
es Femmes. Mais descendons au détail Méchantes instructions pour les
jeunes
Damoiselles. C’est là qu’elles apprennent à aime
sorcière vient faire des compliments à une Damoiselle de la part d’un
jeune
muguet, qui se disait transporté d’amour pour ell
cte II. Scene V Il peut tant qu’il voudra me venir voir ici. » Ce
jeune
Plumet ne manque pas de venir. Il la cajole. «
inin voulait faire curée. » Sut si bien pervertir l’esprit de cette
jeune
insensée, qu’elle lui écrivit cette lettre. « Je
puis l’on se repent tout le temps de sa vie. » Voilà donc ce que de
jeunes
Damoiselles apprennent à la Comédie. Instruction
e que pour eux. Je me moque bien de cela, et je ne veux pas mourir si
jeune
. Son mari lui représente que c’est en user bien m
ue de mauvais. Car c’est toujours un très dangereux spectacle, que de
jeunes
et belles filles qui paraissent sur le théâtre av
Chapitre XIII. De l’éducation des
jeunes
Poëtes, de leurs talents & de leurs sociétés.
& sur-tout de la Finance, qui par la protection qu’elle offre aux
jeunes
Poëtes, cherche à remplir l’intervale qu’il y a e
essentielle. Telles sont les études, les raisons qui déterminent les
jeunes
Poëtes à composer pour le Théatre. Tels sont les
rez, Comédiens, ouvrez vos portes & vos Théatres à ces essains de
jeunes
athlétes, qui la plûpart n’ont besoin, pour se di
du royaume n'ont pas oublié ce point important de discipline. Pour le
jeune
Clergé, on n'en doute pas ; quel Séminaire souffr
gogne, fait en 1761, le célèbre le Franc de Pompignan rapporte que ce
jeune
Prince ayant entendu lire la tragédie d'Athalie,
Cardinal Mazarin, qui pour gouverner sans obstacle, amusait ainsi ce
jeune
Prince (Annal polit. tom. 1. pag. 69.). « Ce Ca
oilà tout ce qu'on apporte en classe et au cabinet. Qu'on cherche les
jeunes
Etudiants, à peine paraissent-ils un moment aux é
st surtout à elle qu'on en veut. Il n'est point de comédie où quelque
jeune
personne du sexe ne soit l'objet des poursuites c
e du goût pour celui qu'elles jouent ailleurs. Cependant j'étais trop
jeune
pour m'attacher à ma Chimène ; d'ailleurs elle ét
Chimène ; d'ailleurs elle était à toute heure entourée de gens moins
jeunes
et plus riches que moi, et prévoyant bien que si
ces de Collège et les effets pernicieux que produit le théâtre sur un
jeune
cœur. L'Apologie des Jésuites (C. 12.), un peu m
de Balsamon sur le canon 71 du sixième Concile in trullo. Lorsque les
jeunes
Etudiants avaient fini leur cours d'étude et deva
sements que les spectateurs donnent à la beauté et aux talents de ces
jeunes
personnes, leur inspirent de l'orgueil. En exerça
r noblesse, tout peut et doit faire les plus vives impressions sur de
jeunes
cœurs susceptibles de tout. Mais ceux qui font ce
ne domine pas, en sont bannis. Quel froid n’y répandroit pas celui du
jeune
Tobie, & de la jeune Sara ? Avec quelle indif
nnis. Quel froid n’y répandroit pas celui du jeune Tobie, & de la
jeune
Sara ? Avec quelle indifférence n’écouteroit-on p
ux, & mettaient ces mêmes défauts dans le cas de trop séduire les
jeunes
Poètes. J’ai pu me tromper quelquefois dans mes j
ai cherché qu’à défendre les règles trop négligées, qu’à empêcher les
jeunes
Auteurs de suivre des exemples qui les égareraien
ou qui se concluent dans les comédies, sont bien éloignés de celui du
jeune
Tobie et de la jeune SaraTob. VIII, 5. [Tobie, ch
ans les comédies, sont bien éloignés de celui du jeune Tobie et de la
jeune
SaraTob. VIII, 5. [Tobie, chapitre VIII, verset 5
lle De Liane, qui doit faire un présent considérable à sa Nièce : les
jeunes
Amans sont bien moins sensibles que moi à ce reta
ent le mépris ; la prévention de son frère impatiente ; on a pitié du
jeune
étourdi, qui s’expose, en suivant les conseils du
qu’il est devenu si rare, qu’on ne le trouve plus guères que parmi de
jeunes
libertins, que le penchant au vice porte à se des
rel qu’une Suivante ait un libre accès & soit fort bien, avec une
jeune
Orfeline, étrangère dans la maison où elle vit ;
ante nouvellement introduite, qui veut lui enlever la confiance de sa
jeune
maîtresse ; qu’elle ait des sentimens conformes à
s hors de la portée des Spectateurs. Il serait donc à desirer que nos
jeunes
Auteurs, choisissent desormais plus souvent leurs
it Comédiens des Esclaves publics, que les Directeurs achetaient fort
jeunes
dans toutes les Provinces de l’Empire, pour les i
lent ordinaire de l’imitation, parvenaient à découvrir, dans quelques
jeunes
Elèves, les caractères du génie qui fait les gran
prévenir les cabales que pourraient faire les amis ou les ennemis des
jeunes
Acteurs, une des règles du nouveau Théâtre sera,
itoyens. Les Drames ne seront jugés qu’après avoir été appris par les
jeunes
Elèves destinés au Théâtre, & représentés tro
i plus libre ; parce qu’elles ne pourront être exécutées, que par les
jeunes
Acteurs & Actrices destinés à s’unir ensemble
ge. Art. VI. Imitation de la nature dans le jeu de Théâtre. Les
jeunes
Acteurs s’appliqueront sur-tout à saisir le ton &
utal, on le méprise, & l’on finit par rire de sa colère*. Que les
jeunes
Elèves imitent cet Acteur*, dont le jeu, devenu s
rudesse. Art. X. Rôles de Vieillards & de Mères. Dès qu’une
jeune
personne sera mariée, elle cessera de paraître su
, si tous les jours, les jeunes-gens que renferment nos Colléges, les
jeunes
personnes qu’on élève dans les Couvens de filles,
é, décideront de la parure des Actrices-Citoyennes ; & jamais une
jeune
personne ne se montrera sur le Théâtre que sous l
splendeur & de solennité : les applaudissemens que recevront les
jeunes
Amans, augmenteront, aux yeux, de l’époux le prix
les Théâtres d’Exercice, auxquelles assisteront, à tour de rôle, les
jeunes
Élèves. Ces Répétitions ne se feront, dans les Co
l leur fera permis de se parer de ces Prix, lorsqu’ils joueront : une
jeune
Actrice dont les diamans auraient une source si b
inon aux yeux, du moins à l’oreille, l’objet qui excite la terreur du
jeune
Prince. Il y avait matière à donner un Spectacle
ble. L’imitation française ne produit la terreur qu’à l’instant où le
jeune
Hamlet s’écrie derrière la scène : l’Acteur se fa
rge-t-on les passions en les excitant ? Je répons par un exemple. Une
jeune
personne de ma connaissance, lisait un des Romans
complément. Appliquez la même chose à la Comédie. Si l’on écoute nos
jeunes
Enthousiastes, les Français n’ont besoin ni de dé
on ne peut lire sans indignation, quel usage fesaient les Romains des
jeunes
Princes Asiatiques, qui leur étaient remis en ôta
s danger. [J] *. On fera en sorte que la nécessité de rassembler ces
jeunes
garçons & ces jeunes filles, serve à faire mi
usation au Sage de Genève, aussi-bien qu’aux autres Misomimes. 2. Un
jeune
Etranger en arrivant dans la Capitale, prenait à
: on y vit le Temple, l’Autel, l’Armée, la Victime, Calchas, & la
jeune
Eriphile se poignarder. On dit que le succès ne r
ns sa Lettre de plus facile à réfuter. Œdipe, ni Phèdre, Syphax ni le
jeune
Horace, Agamemnon, Oreste, Atrée, Mahomet, n’ense
ont le premier des droits est sans doute de s’amuser d’elle-même. Une
jeune
Beauté voit également, dans une glasse fidelle, s
le grand miroir moral où les deux sexes se voient au naturel ; tantôt
jeunes
, charmans ; tantôt laids à faire peur : ils doive
é ? dans sa bouche une phrase vide deviendra scandaleuse. Mais qu’une
jeune
Beauté, dont l’innocence n’est point un problème,
indre aux yeux, comme on le fait dans nos plus mauvaises Comédies, un
jeune
fou, qu’une jeune folle aime en dépit d’un père o
mme on le fait dans nos plus mauvaises Comédies, un jeune fou, qu’une
jeune
folle aime en dépit d’un père ou d’un tuteur ; en
mise aux caprices d’un Libertin ? Peut-elle souffrir que l’âme de ses
jeunes
Citoyennes & des jeunes-gens, sa glorieuse es
destinons dès l’enfance, comme ces Républicains au culte de Vesta, de
jeunes
& chastes Beautés à l’emploi important &
âces & de la souplesse. Ils font plus ; ils osent interdire à ces
jeunes
Beautés l’art innocent de la parure. Interdire la
onstant où l’on est de représenter une Comédie après la Tragédie. Une
jeune
personne est encore toute attendrie de la mort de
s, une école toute propre à porter le trouble & le ravage dans de
jeunes
cœurs. Une image vive & flatteuse de nos foib
ta l’extravagante satyre que déclama publiquement dans un Collége, ce
jeune
Régent, membre d’une Société respectable où M. Ra
ient lieu de tout, dédommage & console de tout. Racine me dira du
jeune
Britannicus privé du trône, mais adoré de sa maît
re, le Labyrinthe, le Minotaure, Phedre elle-même servant de guide au
jeune
Héros, l’un & l’autre combattant le Monstre,
onfie à son fils le soin de sa vengeance. Quel coup de foudre pour le
jeune
Guerrier, qui ne balance pas néanmoins à obéir à
s communs au trône. La vertu même autorise la passion mutuelle de ces
jeunes
amans. Je ne comprends pas comment une Piece de c
mp; de l’éloignement pour cette déplorable passion. Dans Sophocle, le
jeune
Hémon plein d’un amour effréné pour Antigone, se
, fruits de son expérience & de ses travaux. Ce n’est donc pas le
jeune
Auteur, c’est l’Ecrivain consommé qui parle. Il e
lus capable d’épouvanter que de séduire. Dans Britannicus, l’amour du
jeune
Prince & de Junie est respectable & vertu
èces qui ne peuvent que déranger des têtes foibles, & troubler de
jeunes
cœurs. Des passions de Sultanes ne sont point des
nce & de la pudeur. La Fille d’Agamemnon, promise par son Père au
jeune
Achille, n’aime dans son Amant que l’Epoux qui lu
cateurs, cette élégance attribuée à Racine, cette force accordée à de
jeunes
commençans, signifieroient-elles pour ceux-ci qu’
eur, & l’orphelin un père. Je voudrois que tout Instituteur de
jeune
Prince fît apprendre par cœur à son élève, &
remment avec le mauvais, sous le passe-port de la Capitale, donne aux
jeunes
Gens un goût confus & incertain, aussi nuisib
enait-on maître ouvrier. C’est un exercice que je ne méloue point aux
jeunes
enfants de maisoni ; et ai vu nos Princes s’y ado
ge de Guyenne. i. [NDE] Comprendre : que je ne condamne pas pour les
jeunes
enfants de bonne maison. j. [NDE] « Il découvre
de Tragédies : ces Représentations dureraient jusqu’à ce que tous les
jeunes
Acteurs & les jeunes Actrices eussent passé e
entations dureraient jusqu’à ce que tous les jeunes Acteurs & les
jeunes
Actrices eussent passé en revue. Ce serait après
t de leurs Camarades rendra plus ardens & plus attentifs. IV. Les
jeunes
Acteurs seront traités avec douceur ; on leur for
ces Elèves seront destinés pour l’Opéra. V. A treize ans, le sort des
jeunes
Actrices sera décidé, puisqu’elles auront alors a
l’entretien & l’habillement des Acteurs & Actrices. VII. Les
jeunes
Elèves ne débuteront sur les Théâtres publics, qu
rs Acteurs du Collége Dramatique de la Capitale : on leur enverra les
jeunes
Elèves des deux sexes dont elles auront besoin, s
utre obligation, envers le Public, que celle de donner des leçons aux
jeunes
Elèves. A plus d’un Article de ce Règlement, la
lle eut tous les talens de son état ; toutes les vertus de son sexe :
Jeunes
Actrices, qui nous charmez par vos attraits, pren
ins ; les Valets de la Comédie moderne ont un empire absolu sur leurs
jeunes
maîtres, comme les Esclaves et les Vieilles des L
erdument la maîtresse de son père ; et la fille, de son côté, aime un
jeune
Cavalier, qui s’est introduit dans la maison sur
mortel pour la jeunesse, devant qui cette Pièce est représentée : les
jeunes
personnes de l’un et de l’autre sexe n’effaceront
e vieillesse Mûris au Soleil du Printemps, D’un mérite qui te réserve
Jeune
, fils aîné de Minerve, Un triomphe dessus le temp
e Met les Sirènes dans les Airs. Belle et rare fleur de science, Qui
jeune
est chenu de prudence, Nos cœur seront à l’avenir
dans cette pièce. Que doit-il résulter de ce scandale inouï pour les
jeunes
spectateurs, ou pour les enfants qui, d’instinct,
t, d’avoir peu d’égards, et qui ne dirigeant pas dans leurs choix les
jeunes
cœurs sans ambition, deviennent plus tard, dans l
oir de peine à se persuader qu’on peut en faire autant à un mari trop
jeune
, léger, volage, et toutes les fois, bien qu’il so
même, l’épouse vient à se croire mal assortie, cesse d’aimer son mari
jeune
, et se trouve aussi malheureuse et dans la même p
t qu’en voulant contribuer de cette manière au plus grand bonheur des
jeunes
femmes, l’auteur les a rendues infiniment plus ma
u’ils n’étaient pas en état de renoncer aussitôt à leur goût pour les
jeunes
ils en ont pris pour maîtresses, et ont vécu avec
onoraient ou troublaient les familles. Dès-lors ce ne furent plus les
jeunes
épouses qui trompèrent les vieux maris ; ceux-ci
ou billets doux ; ils en ont écrit, ils ont donné des rendez-vous aux
jeunes
femmes qui avaient alors beaucoup d’attentions po
ur en choisir d’autres. En se conduisant de la sorte, ils avaient des
jeunes
femmes, et riaient les derniers en dépit de cette
fait moins de progrès que les autres. C’est ainsi qu’une multitude de
jeunes
personnes infortunées qui, sans autre dot que les
par les paroles & les sentimens. Est ce là qu’il faut conduire un
jeune
cœur, dont la concupiscence naissante, mais vive,
ons, les développe & les fortifie. On doit beaucoup se défier des
jeunes
personnes qui ont du goût pour le théatre, &
de tous les goûts du vice. On voit aisément ce qui frappe le plus une
jeune
personne, & dans ce qui lui plaît davantage,
imoit à ce taux, si on les mettoit dans ce creuset, L’Education d’un
jeune
Seigneur qui parut en 1724, est l’ouvrage d’un ho
la religion & des mœurs, qu’on éloigne les jeunes-gens, même les
jeunes
Seigneurs destinés à vivre dans le grand monde où
mes sont alors de mauvais guides. 4.° L’Instituteur doit faire à son
jeune
éleve le dénombrement des Seigneurs qui se sont c
r inspirer des sentimens si peu conformes au goût de ceux avec qui un
jeune
Seigneur doit vivre. C’est imiter le zele de S. C
é, des Auteurs qui en ont parlé. C’est ainsi qu’on instruiroit non un
jeune
Seigneur, mais un jeune Poëte qu’on y destineroit
t parlé. C’est ainsi qu’on instruiroit non un jeune Seigneur, mais un
jeune
Poëte qu’on y destineroit. Pour en mieux éloigner
re Genin, apparemment pour amuser dans l’autre chambre les laquais du
jeune
Seigneur. C’est dommage que dans un livre où il y
s dispositions qu’il faut que la Nature nous ait donnée. Je prends un
jeune
Poète qui brûle du desir de s’illustrer dans la c
Il est presqu’inutile de rien sçavoir & de rien lire. Ici mon
jeune
Poète recule de surprise, il reste long tems immo
’état, le métier, & la personne des gens de la lie du Peuple. Mon
jeune
Élève sent l’importance de mes conseils, il se pr
res & singulières, quand ces règles lui sont analogues. Voila mon
jeune
Éleve instruit en général des dispositions &
ndiquée, l’expression en est honnête ; et celui qui la cite, c’est un
jeune
libertin. Ces circonstances diminuent la faute de
le de vin, mesure de Malaga à son déjeuner ». En ce même endroit, une
jeune
paysanne en réprimande une autre pour son effront
langue : le premier Epilogue en fourmille dans une seule chanson : la
jeune
Marcelle se livre à des saillies obscènes, où l’i
tères, etc. Voici la fable de la manière que je la conçois. « La Mode
jeune
Cadet libertin et prodigue se trouve réduit à la
sein d’attraper le Lord-Fat son frère aîné lequel a de gros biens. Le
jeune
La Mode outré de n’avoir pu obtenir de son frère
sent. En effet, l’Intrigue et le Dénouement roulent uniquement sur le
jeune
La Mode, qui est sans contredit l’Acteur principa
e Dramatique. On y voit le libertinage tenir lieu de tout mérite : le
jeune
La Mode fait une grosse fortune, précisément pour
our arriver à une haute fortune. C’est cette maxime que s’applique le
jeune
La Mode, lorsque son impiété lui fait dire : « La
Lord-Fat, le vieux Coupler trahit les intérêts du Milord en faveur du
jeune
La Mode : il conseille à ce Cadet de prévenir son
servir comme de lettre de créance auprès du Chevalier campagnard. Le
jeune
La Mode muni de la lettre de Coupler se rend en p
blerait que douze degrés de latitude les séparent. Pour ce qui est du
jeune
La Mode, hors la lettre de Coupler, il a toutes l
cette héritière riche de cinq mille livres sterling de rentes. Cette
jeune
personne jure, dit des paroles sales ; et est tou
s aussi bien vivre que Mademoiselle son héritière ; il salue ainsi le
Jeune
La Mode : « Milord je vous demande la permission
toute la Pièce. En effet ce dameret dans un entretien qu’il a avec le
jeune
La Mode, oublie que Lord-Fat est son nom ; il lui
lagrant délit, vous en voilà aussi délivré d’une autre manière. » Le
jeune
La Mode frustré de son attente charge son frère d
nt arranger les choses, que ces mêmes pensées fussent dites ou par le
jeune
La Mode dans un à parte, ou par quelque autre enf
Examinons encore quelques-uns de ses caractères d’homme d’esprit. Le
jeune
La Mode juge à l’humeur vive de la Demoiselle Hoy
st assez en son lieu. J’allais oublier une autre pensée ingénieuse du
jeune
La Mode : « Je te montrerai, dit-il à Lori, l’exc
e reste ; ils ne sont par rapport à l’Intrigue ni pour ni contre : Le
jeune
La Mode ne les voit seulement pas jusqu’à la fin
que les Comédies et les jeux de hasard étaient des pièges tendus à la
jeune
noblesse et autres, et voyant de grands inconvéni
continue dans sa profession scandaleuse, qu’il y forme même plusieurs
jeunes
Païens, et qu’il leur enseigne ce qu’il n’a pu ap
ie. « Les sujets ordinaires de la Comédie c’est de corrompre quelques
jeunes
personnes ; c’est quelque intrigue de prostituées
assent souvent de la Comédie aux entretiens particuliers ; souvent de
jeunes
libertins, après les avoir entendues, expriment l
fussent-elles tolérables pour des laïques, peut-on sans gémir voir de
jeunes
Ecclésiastiques sur le théâtre, quitter leur habi
ciers dans les ordres sacrés ? Donnerait-on des rôles semblables à de
jeunes
Religieux ? Le Clergé séculier doit-il moins se r
s saintes ordonnances de l’Eglise, font représenter des pièces par de
jeunes
étudiants, et y entremêlent des danses et des bal
dans tous ses collèges des pièces de toute espèce. C’est la tâche des
jeunes
Régents : elle a des théâtres tout dressés dans p
antageuse pour les hommes, elles la renouvellent en présence de leurs
jeunes
élèves, qui deviennent les témoins et les garants
du respect pour la religion, et qu’on en grave les principes dans les
jeunes
cœurs ? Quoi ! le théâtre deviendrait l’école des
uses qu’ils présentent à l’esprit & au cœur ; afin de montrer aux
jeunes
Poètes ce qu’il faut éviter, & la réserve qu’
r elle. Mais elle lui préfère ensuite son Elève, parce qu’il est plus
jeune
. Elle s’en approche & lui demande comment il
es Scènes suivantes, Pigmalion surprend sa Belle qui baise la main du
jeune
Elève ? Ah, Madame, s’écrie-t-il, que faites-vous
; Ne vous retenez pas, Et prenez vos ébats. Que penserait-on d’une
jeune
personne qui découvrirait ainsi son caractère ?
ujet des plaintes qu’allègue notre Savetier contre sa femme. « On est
jeune
, dit-il, on est caressant ; je suis toujours à lu
ns l’Opéra-Bouffon ? On n’a qu’à lire les Vers qui suivent. C’est une
jeune
personne qui s’èxprime ainsi à son amant ; Quelq
me, ou de lui baiser respectueusement la main. Que prétendait donc ce
jeune
téméraire ? je le laisse à deviner. Mais citons q
e blessé du défaut de vraisemblance, qu’on voit même avec plaisir une
jeune
Comédienne, se charger d’un personnage de vieille
accessoires, la plus parfaite ressemblance qu’il est possible. Si une
jeune
Actrice peut jouer le rôle d’une vieille, celle-c
t jouer le rôle d’une vieille, celle-ci peut faire le personnage d’un
jeune
. Si on peut s’écarter de la vraisemblance en ce p
’ose me flatter que rien d’absolument essentiel ne m’est échappé. Les
jeunes
Poètes trouveront peut-être à s’instruire dans mo
e nouveau Théâtre employe le merveilleux, aussi-bien que l’Epopée. Un
jeune
Chevalier est aimé d’une Fée ; après nombre d’inc
e qualité, contentez vous d’en prendre un seul. Faute de quelques
jeunes
Poètes dramatiques. On apperçoit dans la plus
dans la plus-part de nos Tragédies nouvelles mises au Théâtre par de
jeunes
Auteurs, une faute assez considérable, qu’il me s
prémier pas dans la carrière dramatique. Voici de quoi il s’agit. Nos
jeunes
Auteurs croyent avoir tout fait dès que leur intr
es sont ils remplis des disparates que se permettent quelques uns des
jeunes
Poètes qui se distinguent dans la carrière du Thé
le moins qu’il me sera possible de mauvais modèles sous les yeux des
jeunes
Poètes. J’aurais cité avec plaisir un Opéra-Bouff
l’autre ! Mais ma sœur les aura plaint tous deux. Nous avons ici deux
jeunes
Beautés qui ne nous quittent pas ; l’une est la P
mme agréable, léger, prévenant, mais insensible : il n’a goûté que le
jeune
Des Arcis : peut-être ils se ressemblent ? Nous v
roîtra-t-il pas, si la Pièce n’offre qu’une intrigue amoureuse, où de
jeunes
fous dupent un vieillard insensé ! Le tumulte des
’on la suppose entre les bras d’un Amant-dieu, remue furieusement son
jeune
cœur. Quel sera le correctif des Folies amoureuse
amp; aux Martons beaucoup de défiance, bien de l’éloignement pour nos
jeunes
Militaires ? Ces Pièces, ou plutôt ces jolis coli
ns nos grands hommes ; ces Drames ne pourraient qu’échauffer dans nos
jeunes
Citoyens l’amour de la gloire, du Prince* & d
eau Théâtre voudraient le faire changer de forme. J’avertirai les
jeunes
Poètes, que je fais de bonne part que les Acteurs
suivre de sitôt un tel projet. Ils ont fait jusqu’à présent comme ces
jeunes
Personnes dont le cœur est fragile ; après avoir
Soldats estoient seulement dispensez de l’Exercice du matin. Mais les
jeunes
estoient obligez de se rendre à leur Quartier deu
grãdes actions, ny pour la gloire des belles pensées, il faut que ce
jeune
Conquerant ait auprés de sa principale Ville, &am
onologique pour un fait seulement, et nous rappellerons qu’en 1820 un
jeune
acteur du théâtre de la Gaîté se suicida. L’évêqu
e de monter sur le théâtre, et veut qu’elles soient remplacées par de
jeunes
castrats, habillés en femmes, ce reproche est plu
n profit. L’orateur finit en mettant la Rosiere sous la protection du
jeune
Roi, qui, en montant sur le trône, s’est déclaré
la fille vertueuse qui sera couronnée : pas un ne pense à séduire les
jeunes
villageoises ; ce seroit l’en rendre indigne, &am
ne chose presque impossible. Qui peut mieux connoître la conduite des
jeunes
Salenciennes, qui est plus intéressé à faire un b
s mœurs de toutes ces filles ? S’il est un libertin (ce qui parmi les
jeunes
Seigneurs n’est pas rare), est-ce la vertu qu’il
LE SEIGNEUR DE SALENCI. Chantez, chantez, amusez-vous, Amusez-vous,
jeunes
compagnes, Aimez, aimez, rien n’est plus doux. Il
d le hasard nous amene des militaires, des petits-maîtres de robe, de
jeunes
abbés, c’est un orage, tout est grélé, point de r
me soutenant d’une main sa mere âgée, & de l’autre appliquant son
jeune
fils à la charrue, avec cette exergue, Colligis
amais, chaque fois que cela arrivait, le fameux « dissimulons !»c. La
jeune
personne puisait toutes ses réponses dans les rôl
Médiateur dans une querelle d’enfants pour de pures vétilles, le plus
jeune
me répondit avec la gravité du Cid : on ne transi
que je vis une voiture s’arrêter devant la porte et en descendre une
jeune
élégante, accompagnée par un gros monsieur, que j
bien pardonnable me fit approcher des vitres, à l’instant même où la
jeune
personne regardait si la passe de son chapeaug n’
mblait les passants autour d’un cabriolet, dans lequel figuraient une
jeune
femme, couverte de plumes et de diamants, un jeun
eur que je nommai et qui la fit rougir en passant, me confirma que la
jeune
personne ne s’était pas seulement occupée de la g
fit doubler le pas ; oh ! oh ! m’écriai-je, voilà qui me rappelle mon
jeune
âge ; une noce à fracas chez le traiteur Mauduit7
it que l’Auteur est un Pigmalion, qui aime les statues : J’étois fort
jeune
, dit-il, quand je la fis. Il faut bien l’être enc
dérobent-elles aux mouvemens de son cœur ? Non : rempli de désirs, ce
jeune
cœur cherche par-tout des objets qui les lui expl
, & jusqu’aux peintures qui ornent les temples, l’instruisent. La
jeune
Prêtresse médite, & commente amoureusement ce
mp; se développe à lui-même un penchant vicieux, que sera-ce de cette
jeune
personne à la comédie, au milieu des décorations
ale qu’on y débitera. Quelle injustice ! on méprise, on fait haïr aux
jeunes
personnes les asyles de la vertu, où l’on en pren
un thème mis en trois façons ; mais en toutes l’excès du bonheur d’un
jeune
cœur qui peu à peu goûte l’amour pour la premiere
que des Danses grossieres, au son de la flute, sine carmine ullo. Les
Jeunes
Gens de Rome les voulant imiter, y ajouterent des
age. In rabiem verti cæpit jocus. Hor. Le Magistrat y mit ordre ; les
Jeunes
Gens reciterent des Vers plus sages, en les accom
ces Représentations eurent été abandonnées à des Personnes viles, les
Jeunes
Gens de Rome n’ayant plus la même considération p
p; si particuliérement au Fils de l’Ancien Lælius, & à Scipion le
jeune
, qu’on l’accusoit d’être secouru par eux dans ses
e de lui comme d’un homme qui ne devoit jamais mourir. Il formoit les
jeunes
Orateurs. Il jouoit plus souvent dans les Comédie
il était même puni de mort, conformément à la loi qui condamnait ces
jeunes
et secrètes pécheresses à être lapidées. N’est-ce
que bien des maris soupçonneux, emportés, et brutaux diffameraient de
jeunes
femmes sages et honnêtes, par une fausse accusati
les n’y venaient pas ; combien de Cavaliers et de prétendus Abbés, de
jeunes
Financiers et Officiers de Justice, n’y mettraien
Auteur de Podalire et de l’Aristenète français A PARIS Chez LE PETIT
jeune
, Libraire du Tribunat,galeries du bois, Nº 323. a
spect pour les femmes de leurs amis, ni pour leurs filles, ni pour un
jeune
époux, ni pour un jeune homme jusqu’alors vertueu
l facile de sauver sa vertu au milieu de ce tourbillon ? Aussi que de
jeunes
sujets en qui l’on avoit admiré les germes des ta
n écrivant contre les spectacles. Que se passe-t-il dans le cœur d’un
jeune
libertin quand il voit une amante soupirer après
e de bienséance ne la retenoit ! Quelle révolution dans le cœur d’une
jeune
veuve, d’une femme dégoûtée de son mari, quand on
s Théatres. Par-tout on n’y voit que des héros qui soupirent pour une
jeune
beauté, comme Rodrigue pour sa Chimène, Titus pou
Puisqu’ilL’Anglais dit : puisqu’il avait résolu de la noyer comme une
jeune
chatte, que ne la faisait-il nager, etc. avait ar
nement et à la réflexion. Par conséquent, quel guide plus sûr pour de
jeunes
personnes qui n’ont encore nulle expérience ? La
ien sur le Théâtre : c’eût été en ce temps-là trop de liberté pour de
jeunes
personnes dont on attendait beaucoup de réserve.
que de sortir de son caractère, quand on parle. Revenons.Eunuch. Une
jeune
personne flétrie par Chérée ne donne d’autres ind
poétique. Les Euménides souhaitent entre autres choses que toutes les
jeunes
personnes s’engagent par les liens légitimes d’un
, au milieu de ses autres malheurs déplore celui de se voir mourir si
jeune
; sans qu’il lui échappe une parole sur le chapit
. Sophocle mêle au récit de la mort d’Hémon celui de la passion de ce
jeune
Prince, qu’il orne de tout le merveilleux et de t
ue lui remontre qu’elle parle trop et qu’elle voit trop loin pour une
jeune
femme.Iphig. in Aulid. p. 277. Achille au premier
Hamlet. L’Anglais dit : puisqu’il avait résolu de la noyer comme une
jeune
chatte, que ne la faisait-il nager, etc. L’Astrol
de et n’a plus d’empire sur les sens, comment persuadera-t-elle à une
jeune
personne, de trancher dans le vif, de se priver d
se servir de ceux-ci que comme d’instituteurs et de curateurs de ces
jeunes
baladins, qui parfaitement modelés sur le ton et
eux, d’initier le premier âge à la pratique du mal. Si l’on voyoit de
jeunes
vierges exprimer par leurs gestes ou leurs regard
en autre chose encore : une seule représentation vient de produire au
jeune
Westris 3000 guinées ; quoiqu’il prétende n’en av
es d’incontinence. 13. Pour un exemple récent qui a éclaté (celui du
jeune
d’Argent) il y en a dix mille anciens ; et dix mi
de lire dans le Nouvelliste politique l’article suivant de Paris. Nos
jeunes
seigneurs ont établi des jeux de barre et des cou
peu-près comme à Montpellier on fait endosser la robe de Rabelais aux
jeunes
docteurs en médecine, laquelle aussitôt les rend
, malgré tous les mouvemens qu’il se donna pour rentrer en grace. Une
jeune
veuve d’Allemagne, de la premiere qualité, avec d
on connût, à Lille en Flandres, à l’âge de douze ans. Il étoit encore
jeune
: mais aux ames bien nées la valeur n’attend pas
nt cinq à six mois que dura cette intrigue, écrite avec la plume d’un
jeune
romancier, on fait écrire tous les jours ces deux
onne deux pour modeles, dont aucune n’est l’ouvrage de ces enfans. Le
jeune
allemand savoit trop peu le françois, pour écrire
out de l’isle se trouve une grande tente à la Turque, où vingt-quatre
jeunes
turcs superbement vêtus offrent des rafraîchissem
et qu’on l’aime, on ne veut pas que ce soit une erreur. Dites à cette
jeune
personne que ses parents prennent plaisir d’immol
eté invétérée ont presque éteint l’esprit de Religion ; dites à cette
jeune
femme qu’un leurre de fortune flatte et éblouit,
toujours imprevue, dissipera ces assemblées. Le temps viendra que ces
jeunes
personnes, ces libertins, ces gens du monde, cond
iers chrétiens avaient lu en l’Ecriture, que la dévote Sara, femme du
jeune
Tobie, invoquant le secours de Dieu en sa grande
couragent. Avec trop de régularité on mérite le reproche que Pline le
jeune
faisoit à un Orateur de son tems : « Il n’a pas d
acré les compilations de régles est plus fort. Il aveugle jusqu’à nos
jeunes
Auteurs. A peine ont-ils, par quelques essais, at
eux de Corneille & de Racine, passeront à la postérité. Plusieurs
jeunes
Poétes, encouragés par ces Maîtres, ont tenté d’e
truire, pour rendre au Théâtre son ancien éclat, & convaincre les
jeunes
Poétes de l’insuffisance des moyens qu’ils employ
sais bien, et ce que savent toutes les mères de famille, c’est que de
jeunes
personnes apprennent la musique de Joconde ou de
1824, qui a pour but de favoriser l’art dramatique et de procurer aux
jeunes
comédiens les avantages d’une instruction graduée
’égayer en commun. par une honnête récréation !…. Qu’on me dise où de
jeunes
personnes à marier auront occasion de prendre du
& de ce qu’on fait pour elle. Cela est dans l’ordre ; mais cette
jeune
beauté lui a-t-elle appris la cause de ce changem
la rançon de l’héritier du Trône à Orosmane ? N’a-t-il pas l’air d’un
jeune
étourdi, qui promet au hasard de ne rien tenir ?
; sur la haine de celle-ci pour celle-là ; & sur l’amour des deux
jeunes
Princes pour Rodogune. Cette derniere espèce d’in
our y participer. Si c’est un bien que de danser en public, et qu’une
jeune
personne mérite un prix pour avoir bien dansé, il
et pour que tout répondît à la gravité de l’habit, on interdirait aux
jeunes
garçons cet air de dissipation et de folie que la
e que de leur substituer le spectacle ? Car en supposant que quelques
jeunes
spectateurs en abusent comme ils abuseraient des
mbroise le loue d’avoir méprisé les spectacles et les Comédiennes. Ce
jeune
Prince, dit-il, malgré la faiblesse de l’âge, fai
avait à Rome une Courtisane d’une beauté parfaite, qui corrompait la
jeune
noblesse, d’autant plus dangereuse que c’était un
l’indécence d’une Actrice (et sans doute beaucoup moins, c’était une
jeune
Princesse plus noblement élevée qu’une vile danse
on ne fît des banquets et convis, de belles assemblées ès places des
jeunes
et des vieux, ensemble des devises et des charoll
battant et jouant. La vierge se réjouira alors en danse, ensemble les
jeunes
et les vieux, etc.En Jérémie, 30 et 31 [31,4]s..
e le chasser avec la mèreGenèse, 21. [21, 9]z.. L’autre Sara femme du
jeune
Tobie pleurant devant Dieu pour les accidents qui
dus cultivateurs du fonds fertile qui avoit porté ce riche trésor. La
jeune
femme parut avec éclat sur le théatre, & se f
& à la fin la reconnoissance, le départ, le retour, le mariage du
jeune
Tobie, l’entrevûe de Gabelus, le repas des noces,
eune Tobie, l’entrevûe de Gabelus, le repas des noces, l’entrée de la
jeune
épouse à la maison de son mari, la conversation a
r, purifier les mœurs, ramener à Dieu, est insipide & méprisé. La
jeune
Sara avoit épousé successivement sept maris qui t
les : Solâ posteritatis dilectione, in qua benedicetur nomen tuum. La
jeune
mariée se joignit à son époux par ces paroles : A
ires sur les Perses, par des trophées & des hymnes, que Sophocle,
jeune
encore, chanta à la tête de la jeunesse Athénienn
onnu par les vers qu’il fit en 1162, lorsque Raymond Berenger, dit le
jeune
, vint à Turin lui rendre hommage des Comtés de Pr
le ballet de Dreux dansé par les petits Seigneurs, lors auprès du Roi
jeune
encore : en 1515, le triomphe de Minerve, ballet
édien corrompit l’Auteur. Supposés au contraire une société formée de
jeunes
éleves, venant déployer les graces naturelles de
sfaction, avec quels transports de joie les spectateurs verroient des
jeunes
élèves de l’Ecole Militaire & de S. Cyr, enco
, soutenues de la noblesse de leur naissance. Ces transports pour les
jeunes
Militaires, seroient l’heureux présage des victoi
lui enlever les objets de sa tendresse sans en être abattu ». Ici une
jeune
beauté en secret, se diroit à elle-même, « Voilà
e merveilleuse pour surmonter les obstacles ; on donne des leçons aux
jeunes
personnes qui sont dans le cas, pour atteindre au
Aimable jeunesse, Profitez du tems, De vos
jeunes
ans, Donnez-vous à la tendresse, Ne perdez
Monsieur ****. I. Le grand écueil de tous les hommes, et surtout des
jeunes
personnes, est de vouloir éprouver si ce qu’on le
it point aussi jusqu’où il s’affaiblit et se corrompt. VII. Entre les
jeunes
personnes qui vont au Spectacle, y en a-t-il qui
je ne sais comment faire pour me la procurer. Parlez-moi de vos deux
jeunes
Compagnes : Monsieur D’Alzan croit que nous les a
p;c. Cependant ces mêmes Ouvrages n’ont fait aucune impression sur le
jeune
Des Arcis ; il ne connaît pas plus le Théâtre que
c’est toujours le même sentiment pour le fond : ce que m’inspire une
jeune
Beauté ; cette douce chaleur qu’elle excite dans
œurs, les femmes & les hommes se trouvent ensemble par-tout ; les
jeunes
Beautés se montrent aux Temples, aux promenades,
a rempli les devoirs de fils, d’époux, de père, de membre de l’Etat…
Jeune
insensé ! quels sont tes droits ? qu’as-tu fait ?
s en Province, pourvu que chaque Ville n’eût d’autres Acteurs que ses
jeunes
Citoyens, formés de la manière que vous l’indique
égoût, en ne les donnant qu’une ou deux fois. En temps de guerre, nos
jeunes
Actrices feraient sur le Théâtre l’éloge des Guer
a gloire, & l’impression qu’il devra faire, non-seulement sur les
jeunes
Acteurs destinés au Service, mais sur tous les Mi
ressive, précédera Mérope, dont elle aura dessiné les situations : de
jeunes
& vertueuses Citoyennes y laisseront, à la vé
es fadeurs de Quinaut, & de ses successeurs dans la bouche de nos
jeunes
Citoyennes. Honorine. Les précautions de l’A
que des talens* Voyez-vous-là quelque chose qui soit indigne de notre
jeune
Noblesse ?… Des Arcis. Je ne sais si vous se
anières. On les choisirait vertueux. Mais l’homme est si fragile ! de
jeunes
Actrices sont si séduisantes ! … l’on ne saurait
ial, pour en imposer à la multitude. Je ne répéterai pas ici ce qu’un
jeune
Philosophe, victime d’un cœur trop tendre, &
us belle des filles. On sait que dans toutes les Fêtes, des chœurs de
jeunes
Romains & de jeunes Romaines chantaient les l
sait que dans toutes les Fêtes, des chœurs de jeunes Romains & de
jeunes
Romaines chantaient les louanges des Dieux, &
Nations policées, & lorsqu’Homère fait immoler par Achille douze
jeunes
Troyens sur le Tombeau de Patrocle, le Poète donn
ui de l’être. Plus de passions, plus de dangers : les Actrices seront
jeunes
& belles ; mais leur nombre, la rareté des jo
nsidérables avantages du nouveau Théâtre, de mettre dans l’âme de nos
jeunes
Citoyens, une extrême sensibilité aux applaudisse
les Romains, Vincet amor Patriæ, laudumque immensa cupido. *. Les
jeunes
Officiers, dans les Garnisons, se sont mis depuis
a renaissance du Dramatisme. 2. Cette Réflexion n’a pas échappé à un
jeune
Auteur qui vient de publier un Livre singulier, i
ement écrites qu’elles sont conduites avec art. Voulant instruire les
jeunes
Poètes dramatiques, pouvais-je mieux remplir mes
deux petites Pièces dans une, ainsi que je le prouverai ailleurs. Le
jeune
Poète du nouveau Théâtre est donc contraint de fa
encontrer des sujets neufs, a la bonté d’en indiquer quelques-uns aux
jeunes
Poètes. Mais il aurait bien dû s’apercevoir que l
Sujets dont le nouveau Théâtre pourait tirer un grand parti. Les
jeunes
Poètes qui se consacrent au Théâtre moderne ont p
les y conduisent eux-mêmes ! Les effets de la concupiscence dans ces
jeunes
& tendres plantes sont-ils donc trop lents à
adame Deshoulieres.. De-là vient qu’on rencontre à Paris une foule de
jeunes
libertins, qui à vingt ans sont des escrocs déjà
adore sans les aimer ; qui les estime, les aime sans les adorer. Ces
jeunes
insensés, qui hantent les Salles du Rempart, ne c
vards jouissent de la fortune que leurs peres leur ont transmise, ou,
jeunes
encore, ils ont des moyens d’en faire une par eux
, l’entiere destruction du physique & du moral. On ne voit que de
jeunes
vieillards, dont les jambes en fuseau, peuvent à
end qu’il est permis d’entretenir un commerce adultere, de séduire de
jeunes
personnes dont la vertu fait le bonheur de toute
entrent avec quelques dispositions pour le Théatre, les perdent ; les
jeunes
personnes du sexe, qui y montent, ne servent qu’à
flétries pour jamais ! J’ai questionné à ce sujet plus de deux cents
jeunes
personnes du sexe, Ouvrieres, Marchandes de Modes
nge. Ce n’est ni aux Français ni aux Italiens, que vous trouverez les
jeunes
personnes des deux sexes, réunies par pelotons, f
pour les regarder tous du même œil. Je connais de ces maisons où les
jeunes
demoiselles, qui y travaillent avec assiduité, re
, cette Vérité sainte, il l’accueille, il est digne de l’entendre. Ce
jeune
& vertueux Monarque, qui signale chaque jour
and je pense qu’il ne faut qu’une misérable équivoque pour perdre une
jeune
personne de l’un ou de l’autre sexe. On veut devi
Edits de Sa Majesté43 ; ces gages généreux du cœur paternel de notre
jeune
Monarque, apprendront à la postérité, que le regn
pour les regarder tous du même œil. Je connais de ces maisons où les
jeunes
demoiselles, qui y travaillent avec assiduité, re
ue les représentations publiques (sans doute on y est moins gêné). De
jeunes
personnes bien élevées & pleines de candeur d
premier rôle. Il s’extasie sur la beauté, les graces, les talens des
jeunes
personnes qui y jouèrent ; elles l’emportent sur
ros de de la piece, l’idole pour qui on s’intéresse, est toujours une
jeune
personne aimable & amoureuse. Son exemple, so
blas. La maniere de représenter ne rompt point le charme, pas même la
jeune
Actrice qui paroît en habit d’homme pour réciter
es yeux sans dire une parole, tomba de son fauteuil, & mourut. Un
jeune
Abbé, riche & de condition, ayant vu jouer la
ls éloges n’avez-vous pas mérités, Monsieur lorsque vous voyant veuf,
jeune
encore, et peu riche, vous avez eu le courage de
, et qu’ils savent tout ce qu’il faut pour plaire. Ceux qui sont plus
jeunes
, les enfans même, ne leur cédent qu’en expérience
pas plus décente. Imaginez-vous l’impression que doivent faire sur de
jeunes
sens leur coëffure printanniere, leurs cheveux pa
tes de subsister, ne fût-ce que le labourage ou le mousquet. Pour les
jeunes
personnes du sexe, l’Enfant Jesus est un meilleur
phrase Espagnole, comment va le mal vénérien ? Avec quelle horreur le
jeune
imprudent qui court dans les bras de ces nymphes
avec sa troupe, & brille par-tout. Elle la quitte pour suivre un
jeune
François qui la conduit à Paris, & la donne a
) rapporte une conversion singuliere, qu’il assure vraie. C’étoit une
jeune
Actrice, dit-il, des mieux faites, des plus habil
us tendre, je ne vous aimois point. Vendue à la débauche dès mes plus
jeunes
années, mon cœur n’étoit susceptible d’aucun sent
dans les pieces de théatre qu’on y joue. Je ne répondrois pas que les
jeunes
Religieuses qui font représenter des pieces de Ra
vides de ces plaisirs, qui y courent avec fureur ? ne sont-ce pas les
jeunes
petsonnes ? circonstance qui prouve ce que j’ai a
teur ? que des gloses sur la morale outrée ? le tems viendra, que ces
jeunes
personnes, ces libertins, ces gens du monde conda
ant estimé, pouvait être de leur bande ; Que c’était chez lui que les
jeunes
Orateurs de Rome allaient étudier le geste et la
tant besoin de représenter des filles habillées en hommes, ç’a été de
jeunes
garçons qui ont représenté ce Personnage ; En ce
te loue, paraît te chercher, te desirer : trompeuses apparences ! une
jeune
personne vient de quitter la retraite où elle fut
e madame Des Arcis. Bon-dieu ! quelle ivresse ! ils s’aiment trop. Le
jeune
époux ne voit que sa femme : elle est pour lui to
on, pour n’être pas empoisonné : on dit que le sage Socrate menoit le
jeune
Alcibiade chez l’enchanteresse Aspazie, pour prév
, qu’à l’âge de 80 ans passés, elle avoit un commerce complet avec un
jeune
Ecclésiastique, récemment sorti des Jesuites, qui
. Il encherit même dans l’Amphitrion. Ce n’est pas sur le compte d’un
jeune
libertin qu’il la met, il lui donne bien plus de
tat où se montre le modele que les écoles de peinture font copier aux
jeunes
éleves : il en chargea le célebre Apellés ; Apell
licence en fait le prix. Apellés, se donna un autre modele. Voyant la
jeune
Laïs, il fut frappé de sa beauté, & la prit c
er voir dans toute sorte d’attitudes. Pense-t-on bien au salut de ces
jeunes
peintres ? Ignore-t-on les péchés innombrables qu
ce) Ecrivez-moi si je le puis. J’ai mis dans notre confidence Un
jeune
élève des neuf sœurs, Qui par leurs premieres fa
e les miladis de l’ordre qui auroient 40000 livres en pierreries. Une
jeune
& très-jolie débutante a demandé grâce d’un q
ce. Il est fort joliment monté. Les Actrices & les Danseuses sont
jeunes
, jolies, & d’une vertu éprouvée. La salle éto
mp; Acteurs, la bourse & le plaisir sont leur belle gloire. Cette
jeune
& belle étrangère fut fort heureuse de n’avoi
la comédie, elle y auroit perdu sa vocation. En voici un exemple. Une
jeune
personne élevée dans un couvent, avec beaucoup de
danser est un vrai phénomène). Son Académie est composée de soixante
jeunes
figurans & figurantes, les mieux faits qu’il
s on fait danser un enfant pour s’amuser & le faire briller ; une
jeune
Princesse, sans doute bien élevée & décente,
soit au milieu de ses rivales, avec les graces & les désirs d’une
jeune
Odalisque, qui a des desseins sur le cœur de son
âges confondus, Suivent, en se jouant, la Folie & Momus. Le
jeune
Poëte croit en faire l’éloge ; la sagesse en conc
e vertueuse qui veut procurer un délassement convenable à cette fille
jeune
& décente qu’elle éleve à ses côtés ? Quels a
jours dans son premier état de pureté. A Rome, Cicéron & Pline le
jeune
nous assurent en parlant des Comédies de Roscius
abinet. Vous avez compris qu’il y auroit de l’indécence à obliger une
jeune
Personne, à révéler, à une Assemblée respectable,
dont dépendoit principalement le succès de vos Pieces, étoient, ou de
jeunes
femmes, ou de jeunes gens inappliqués, qui n’acco
roposition de géométrie, si elles étoient une fois implantées dans de
jeunes
ames, n’y germassent pas avec le temps, & ne
l’occasion d’un Discours prononcé au Collége de Louis le Grand par un
jeune
Professeur de troisième, qui s’étoit proposé séri
e toute couleur pour couvrir leur passion. Au même temps il entra une
jeune
Demoiselle de 24. ans, fille de condition : je lu
les que les maîtres proposaient quelquefois dans les collèges à leurs
jeunes
élèves, pour les aider à former leur style et leu
se. Gresset l’a vivement peint dans un mot, dans le dérangement d’une
jeune
Religieuse qui faisoit son oraison dans Racine. R
ut arriver quelquefois, & on ne manque pas de donner cet avis aux
jeunes
Prêtres de parler avec beaucoup de discrétion. Ma
ge de la modestie ni du Poëte ni de la Favorite : Diane & ses
jeunes
compagnes, N’ont jamais dans leur jeux mis tant
a jeunesse, qui a jugé à propos de chausser le cothurne en faveur des
jeunes
Demoiselles. Elle a mis le livre de la Genèse en
us pas par expérience, que la naïveté malicieuse dans la bouche d’une
jeune
Comédienne, qui fait l’innocente Agnès, a débauch
demandait au Démon, qui l’avait fait si hardi que d’entrer dans cette
jeune
Fille, qui appartenait à Jesus-Christ par son Bap
armes, de les mettre à mort, et de les tuer sur la place. La Femme du
jeune
Tobie voulant se justifier devant Dieu, assure qu
Chrysostome, convertir tout le monde, a été le prix de la danse d’une
jeune
baladine. Le Diable ne trouve point de moyen plus
ouverts & d’un bal qui dura jusqu’au lendemain, où sans doute les
jeunes
Jésuites dansèrent, car il est juste & conven
mp; faisoit beaucoup étudier son élève, ce qui ne plaisoit guère à ce
jeune
Prince, à ses menins & aux Dames de la Cour ;
s attira sa mère à Paris, qui la mena avec elle, manquant de tout. La
jeune
d’Aubigné fut trop heureuse d’épouser Scarron, vi
spiritualité ; l’Abbesse de Salfines avec ses Religieuses, la plupart
jeunes
, jolies, & toutes filles de condition, se ren
r sa maîtresse ; & dès qu’il l’apperçut, lui parla par signe ; la
jeune
Princesse en fut surprise, se retira brusquement,
iment que le luxe & la vanité. En France, au contraire, vieilles,
jeunes
, prudes, coquettes, habiles & sottes, toutes
, dans la foiblesse de leur jugement, & dans leur incapacité. Les
jeunes
Auteurs regardent le Théâtre comme un champ ferti
ndu mon escalier, que je l’ai terrassé, étoit du second. Revenons aux
jeunes
Auteurs. Il faut convenir qu’il y en a peu qui n’
tre. Elles sont même comptées entre les disciplines libérales, et les
jeunes
enfants sont ordinairement obligés par des person
& de ces troubles, il dût se former un cahos dans l’esprit d’une
jeune
personne ; c’est-à-dire une incertitude, une indi
r Valet de chambre, pour Ministre , pour favoris, les hommes les plus
jeunes
& les mieux faits du Royaume. Elle livroit le
e , aux dépens des créanciers. Cette finesse n’est pas rare parmi nos
jeunes
Seigneurs pour payer les actrices. Ses Amours
s d’une femme vieille & mourante, qui ne peut se faire aimer d’un
jeune
libertin, tout cela est très-possible & très-
d’Anjou, qui fut depuis Henri III, & le Duc d’Alençon, qui mourut
jeune
. Le premier n’étoit pas son fait. Il étoit trop z
des comédies qui se fais soient à Paris. L’Ambassadeur se retira. Le
jeune
Prince étoit un étourdi, dit Fontenelle, libre, v
la Reine d’Angleterre, qui l’en prioit ? c’est qu’elle n’est plus ni
jeune
ni jolie. Tout cela pouvoit n’être que fantaisi
petits ouvrages de ses mains. Pourquoi ce Marquis, dont la femme est
jeune
, belle, spirituelle, du meilleur caractère &
nier. L’éxpérience donne toujours les meilleures leçons. O vous donc,
jeunes
Auteurs, qui destinés vos talens à un Spectacle q
oi), a tous les vœux de monsieur D’Alzan. Billet de M. D’Alzan à la
jeune
Débutante. Mademoiselle : Constance m’avait char
t que les passions de trahison et de vengeance pouvaient affecter les
jeunes
personnes. Platon, le maître d’Aristote, est bien
ont les archives de l’hôtel, & quoique les drames ingénieux de ce
jeune
viellard ne soient pas des chefs d’œuvres son suf
on d’un tas d’esclaves ; d’hommes & de femmes de mauvaise vie, de
jeunes
libertins, ou de vieux bourgeois qui forment tout
er que toutes ses pieces roulent uniquement sur les amours de quelque
jeune
libertin, pour une esclave, contre la volonté de
amp; forme à la vertu l’esprit & le cœur de ses éleves ? Pour les
jeunes
libertins, en faveur de qui se trament les intrig
t quelque chose de grand, qui n’est qu’un contre-tems malheureux. Une
jeune
personne, en lisant des avantures galantes, se di
nnes éternelles. Le théatre a perdu Latouche que lui-même a perdu. Ce
jeune
Poëte qui avoit du mérite & auroit pu faire d
la Scène est dangereux pour eux-mêmes. Il composa, selon la tâche des
jeunes
Régens, une comédie qu’il fit jouer au Collége :
ont dans les œuvres de Boileau. Il embrassa l’état ecclésiastique. Le
jeune
Abbé passa plusieurs années auprès d’un oncle, ho
opal. Quelle leçon pour ce Prélat Distributeur des Prélatures, qu’un
jeune
Poëte ne voye dans ces honneurs que l’étendue des
, porte dans le tombeau, comme dit le Prophete, tous les vices de son
jeune
âge qui ont infecté toute sa vie. Replebitur vit
les mêmes désordres ; entretien ordinaire des esprits frivoles et des
jeunes
personnes : on emploie les heures entieres à se r
prétendue honnêteté du Roman ? Mais ces lectures servent à former une
jeune
personne, et lui apprennent le monde. Ah ! Chréti
des spectacles d’autant plus capables de les amollir, que ce sont de
jeunes
cœurs beaucoup plus flexibles et plus sensibles ;
hrétienne ne doit pas sans ménagement et sans réflexion y exposer une
jeune
personne, qu’elle doit avoir égard aux temps, aux
rs si convenables et si légitimes. Ils posoient pour principe, qu’une
jeune
personne ne devoit jamais se produire au jour qu’
cet axiome il prend le langage d’un impertinent et d’un fat. Chamont
jeune
soldat appelle un Aumônier d’armée, le Chevalier
dont le papier, pour le dire ainsi, rougirait d’être dépositaire. Le
Jeune
La Mode dans la page suivante prie Bulle de se hâ
t P. 97. le Père fâché et la Fille rebelle. Le Chapelain Bulle dit au
Jeune
La Mode : »La piété de Vôtre Grandeur est inexpr
de la Comédie. Coupler Ibid. avec sa politesse accoutumée apprend au
Jeune
La Mode, que « la nuit dernière le diable a empor
x étaient nourris dans les Cours des Rois, employés à l’éducation des
jeunes
Princes et admis au Conseil d’Etat. Joseph Vice
nts de la passion, n’abuseront-ils jamais de cet art pour séduire les
jeunes
personnes ? ces valets filous, si subtils de la l
a bien de la peine encore à se conserver un cœur à l’épreuve ; et ces
jeunes
personnes audacieuses, sans autre éducation qu’un
a tête de cet Ouvrage : non, je n’ignore pas que j’en aurais besoin :
jeune
encore, c’est le premier que j’ai osé livrer à l’
t engagement que monsieur Des Tianges veut satisfaire, en unissant le
jeune
Des Arcis, à la fille d’un ami commun. Dans les c
sont tentés dans leur désert, et parmi les forets et les bois, et un
jeune
mondain me voudra persuader que dans la comédie i
onc une école de scandale et de libertinage. En effet c’est là qu’une
jeune
personne apprend comment on peut se livrer à des
nna ses soins, et dans toute l’étendue de son diocèse une infinité de
jeunes
personnes renoncèrent aux spectacles. Le saint év
és de blasphèmes et de malédictions, qui font frémir. L’horreur de la
jeune
Juive pour le baptême exprimée avec des sentiment
s éloigne du théâtre et vous épargne bien des chagrins et des larmes.
Jeunes
personnes, à qui le Seigneur a accordé le grand b
’Eglise pour le chant ; il en donnoit des leçons aux enfans & aux
jeunes
chantres. L’opéra, la comédie Italienne ont succé
e y a-t-il vingt personnes qui sachent écrire ; on dépista bientôt la
jeune
main qui s’étoit prêtée. Peu aguerri avec les man
ain qui s’étoit prêtée. Peu aguerri avec les manœuvres théatrales, le
jeune
écrivain a tout confessé, nommé les auteurs qui l
ient les principales & presque uniques Dames de la ville, la plus
jeune
en est la beauté. Les amans qu’on leur donne ne s
amp; appliqués aux arênes de Nîmes : C’est dans ce même lieu qu’une
jeune
beauté Qui ne respire ailleurs qu’amour & vol
obtient la préférence, sent-il ce qu’il en coûte de lui sacrifier un
jeune
Adonis ? Elles ont leurs fêtes, nos saintes Nones
iole ? Voudriez-vous le sauteur Lélius, ignorez-vous qu’il n’est plus
jeune
? Pour Bathylle, dites-vous, la presse est trop g
dicules : précieuses, savantes, prudes, coquettes, sages, libertines,
jeunes
& vieilles, les foiblesses des femmes font la
mis en partant. Mais comment étoit-il tombé en ses mains ? Elle étoit
jeune
quand son pere fut égorgé. On a peine à croire qu
blance que pour lui-même. N’est-ce pas aussi une leçon qui montre aux
jeunes
Auteurs non-seulement qu’un usage trop fréquent d
h pourquoi nos Paysanes seraient-elles plus réservées que tant de nos
jeunes
Demoiselles, qui se trouvent dans le même cas, ma
d’èxcuse à l’Auteur Français : « J’ai copié la Nature en rendant les
jeunes
garçons amoureux avant le mariage, & les jeun
en aurait été bien plus belle et les sentiments plus chrétiens, si ce
jeune
éventé se fût retiré de ses débauches et qu’il eû
ir, il me semble qu’il est plus à propos d’en laisser le soin au plus
jeune
avocat du barreau qu’au plus célèbre et au plus é
out éblouit, où tout brille, et dans laquelle il ne se trouve pas une
jeune
personne qui n’ait employé tout ce que l’art a de
ces plaintes amoureuses, et tous ces recits tendres qui s’y font. De
jeunes
personnes qui se font un point d’honneur de plair
ôté réunis à la croupe de l’autre, en laissant un vide qui permet aux
jeunes
cavaliers de placer leurs corps entre deux, pour
t disposé cette pieuse marche. On voit d’abord paraître une troupe de
jeunes
garçons, les plus beaux et les mieux faits qu’on
t de chambre. Parmi toutes ces jeunes filles, sont dispersés quelques
jeunes
égrillards déguisés en diables, qui ont de longue
fort loin, et prennent des libertés capables d’alarmer la pudeur des
jeunes
vierges. Cette farce ridicule est destinée à fair
jeunesse. Derrière elles, on porte en cérémonie, sur un brancard, une
jeune
et belle fille, remarquable par son éclatante par
nt les fonctions de leurs maîtres, de même dans la fête des fous, les
jeunes
clercs et les autres ministres inférieurs de l’Eg
vais, le 14 janvier, l’âne portait sur son dos, jusqu’à la porte, une
jeune
et jolie fille, qui figurait la vierge Marie, ten
urs de cette tragédie. Voici comme ils s’y prirent : ils placèrent un
jeune
novice sur la voûte de l’église, qui, à minuit, l
Cour, et sans beaucoup s’embarrasser des bienséances, il engageait le
jeune
Roi, les Princes, les Princesses, les plus grands
actions qui l’agitaient. Il en avait un autre, c’était de dissiper le
jeune
Roi par des amusements de son âge, pour le tenir
t VII, tous deux de la maison de Médicis. Ce ne furent d’abord que de
jeunes
gentilshommes Romains, qui jouaient sans doute fo
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