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1 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [N] » pp. 431-435
ur opérer une certaine illusion : & la Pantomime exécutée par les jeunes Acteurs. On n’ignore pas que ce dernier genre fit
érée, le Nouveau-Théâtre pourra devenir une Ecole, où se formeront de jeunes Elèves pour les trois Spectacles de la Capitale.
p; dansante précédât & suivît ces trois Pièces. Par ce moyen, les jeunes Elèves s’accoutumeraient de bonne heure au vrai g
pas le seul ; il en est un autre, peut-être moins avantageux pour les jeunes Acteurs, mais dont l’effet serait plus présent po
même encore à ce que son Orquestre fût composé, comme son Théâtre, de jeunes Sujets, distingués par des talens déja supérieurs
t le Professeur : ainsi lorsque la Représentation serait achevée, les jeunes Acteurs rangés dans la Salle de Répétition, serai
p; sa Pantomime, non-seulement afin de procurer quelque relâche à ses jeunes Acteurs, mais encore parce qu’on regretterait bea
e le répète d’après l’Auteur, il faudrait envisager l’avenir pour ces jeunes Elèves, & dans les Pièces, respecter scrupule
2 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatorzième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 260-274
enfance dans le Couvent de C**, n’en était sortie que pour épouser un jeune Conseiller ; soit qu’il eût beaucoup de mérite, o
sister dans sa première vivacité, le goût du Magistrat ; c’est que sa jeune épouse était obligée de rester auprès d’un père i
l fesait sa résidence. Le Directeur du Théâtre avait fait venir cette jeune Actrice de M… où ses talens commençaient à brille
bonheur d’une épouse vertueuse, en inspirant une passion violente au jeune Magistrat. Il était impossible que l’aventure res
eur ! Mais au-lieu de s’abandonner aux plaintes, aux reproches, cette jeune personne sans expérience, supporta patiemment son
e la *** ne jouera pas ; qu’une indisposition subite l’en empêche. La jeune Dame, qui n’avait eu d’autre dessein que de se do
arrive presqu’aussi-tôt quelle : sa surprise fut extrême en voyant sa jeune épouse. Elle lui dit qu’une curiosité fort nature
souvent à sa femme qu’elle lui ressemblait, elle lui demanda si cette jeune personne surpassait la *** ? L’avantage est tout
3 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81
cte, où nous voyons Pauline faire une belle leçon de Coquetterie à de jeunes Damoiselles, en racontant à Stratonice, qu’elle a
e jeunesse,Dans le Malade Imaginaire.  Profitez du printemps  De vos jeunes ans,  Donnez-vous à la tendresse, Ne perdez point
te le goût de ces doux passe-temps. » On voit après cela dans cette jeune Damoiselle des manières toutes mondaines, et des
es Femmes. Mais descendons au détail Méchantes instructions pour les jeunes Damoiselles. C’est là qu’elles apprennent à aime
sorcière vient faire des compliments à une Damoiselle de la part d’un jeune muguet, qui se disait transporté d’amour pour ell
cte II. Scene V Il peut tant qu’il voudra me venir voir ici. » Ce jeune Plumet ne manque pas de venir. Il la cajole. « 
inin voulait faire curée. » Sut si bien pervertir l’esprit de cette jeune insensée, qu’elle lui écrivit cette lettre. « Je
puis l’on se repent tout le temps de sa vie. » Voilà donc ce que de jeunes Damoiselles apprennent à la Comédie. Instruction
e que pour eux. Je me moque bien de cela, et je ne veux pas mourir si jeune . Son mari lui représente que c’est en user bien m
ue de mauvais. Car c’est toujours un très dangereux spectacle, que de jeunes et belles filles qui paraissent sur le théâtre av
4 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIII. De l’éducation des jeunes Poëtes, de leurs talents & de leurs sociétés. » pp. 204-218
Chapitre XIII. De l’éducation des jeunes Poëtes, de leurs talents & de leurs sociétés.
& sur-tout de la Finance, qui par la protection qu’elle offre aux jeunes Poëtes, cherche à remplir l’intervale qu’il y a e
essentielle. Telles sont les études, les raisons qui déterminent les jeunes Poëtes à composer pour le Théatre. Tels sont les
rez, Comédiens, ouvrez vos portes & vos Théatres à ces essains de jeunes athlétes, qui la plûpart n’ont besoin, pour se di
5 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE III. Est-il à propos que les jeunes gens aillent à la Comédie ? » pp. 55-83
du royaume n'ont pas oublié ce point important de discipline. Pour le jeune Clergé, on n'en doute pas ; quel Séminaire souffr
gogne, fait en 1761, le célèbre le Franc de Pompignan rapporte que ce jeune Prince ayant entendu lire la tragédie d'Athalie,
Cardinal Mazarin, qui pour gouverner sans obstacle, amusait ainsi ce jeune Prince (Annal polit. tom.  1. pag.  69.). « Ce Ca
oilà tout ce qu'on apporte en classe et au cabinet. Qu'on cherche les jeunes Etudiants, à peine paraissent-ils un moment aux é
st surtout à elle qu'on en veut. Il n'est point de comédie où quelque jeune personne du sexe ne soit l'objet des poursuites c
e du goût pour celui qu'elles jouent ailleurs. Cependant j'étais trop jeune pour m'attacher à ma Chimène ; d'ailleurs elle ét
Chimène ; d'ailleurs elle était à toute heure entourée de gens moins jeunes et plus riches que moi, et prévoyant bien que si
ces de Collège et les effets pernicieux que produit le théâtre sur un jeune cœur. L'Apologie des Jésuites (C.  12.), un peu m
de Balsamon sur le canon 71 du sixième Concile in trullo. Lorsque les jeunes Etudiants avaient fini leur cours d'étude et deva
sements que les spectateurs donnent à la beauté et aux talents de ces jeunes personnes, leur inspirent de l'orgueil. En exerça
r noblesse, tout peut et doit faire les plus vives impressions sur de jeunes cœurs susceptibles de tout. Mais ceux qui font ce
6 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VII. Le mariage dans les Comédies n’est que le voile de ce vice. » pp. 13-14
ne domine pas, en sont bannis. Quel froid n’y répandroit pas celui du jeune Tobie, & de la jeune Sara ? Avec quelle indif
nnis. Quel froid n’y répandroit pas celui du jeune Tobie, & de la jeune Sara ? Avec quelle indifférence n’écouteroit-on p
7 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Avertissement. » pp. -
ux, & mettaient ces mêmes défauts dans le cas de trop séduire les jeunes Poètes. J’ai pu me tromper quelquefois dans mes j
ai cherché qu’à défendre les règles trop négligées, qu’à empêcher les jeunes Auteurs de suivre des exemples qui les égareraien
8 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VI. Ce que c’est que les mariages du théâtre.  » pp. 25-27
ou qui se concluent dans les comédies, sont bien éloignés de celui du jeune Tobie et de la jeune SaraTob. VIII, 5. [Tobie, ch
ans les comédies, sont bien éloignés de celui du jeune Tobie et de la jeune SaraTob. VIII, 5. [Tobie, chapitre VIII, verset 5
9 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Huitième Lettre. De la même. » pp. 100-232
lle De Liane, qui doit faire un présent considérable à sa Nièce : les jeunes Amans sont bien moins sensibles que moi à ce reta
ent le mépris ; la prévention de son frère impatiente ; on a pitié du jeune étourdi, qui s’expose, en suivant les conseils du
qu’il est devenu si rare, qu’on ne le trouve plus guères que parmi de jeunes libertins, que le penchant au vice porte à se des
rel qu’une Suivante ait un libre accès & soit fort bien, avec une jeune Orfeline, étrangère dans la maison où elle vit ;
ante nouvellement introduite, qui veut lui enlever la confiance de sa jeune maîtresse ; qu’elle ait des sentimens conformes à
s hors de la portée des Spectateurs. Il serait donc à desirer que nos jeunes Auteurs, choisissent desormais plus souvent leurs
it Comédiens des Esclaves publics, que les Directeurs achetaient fort jeunes dans toutes les Provinces de l’Empire, pour les i
lent ordinaire de l’imitation, parvenaient à découvrir, dans quelques jeunes Elèves, les caractères du génie qui fait les gran
prévenir les cabales que pourraient faire les amis ou les ennemis des jeunes Acteurs, une des règles du nouveau Théâtre sera,
itoyens. Les Drames ne seront jugés qu’après avoir été appris par les jeunes Elèves destinés au Théâtre, & représentés tro
i plus libre ; parce qu’elles ne pourront être exécutées, que par les jeunes Acteurs & Actrices destinés à s’unir ensemble
ge. ‌ Art. VI. Imitation de la nature dans le jeu de Théâtre. Les jeunes Acteurs s’appliqueront sur-tout à saisir le ton &
utal, on le méprise, & l’on finit par rire de sa colère*. Que les jeunes Elèves imitent cet Acteur*, dont le jeu, devenu s
rudesse. ‌ Art. X. Rôles de Vieillards & de Mères. Dès qu’une jeune personne sera mariée, elle cessera de paraître su
, si tous les jours, les jeunes-gens que renferment nos Colléges, les jeunes personnes qu’on élève dans les Couvens de filles,
é, décideront de la parure des Actrices-Citoyennes ; & jamais une jeune personne ne se montrera sur le Théâtre que sous l
splendeur & de solennité : les applaudissemens que recevront les jeunes Amans, augmenteront, aux yeux, de l’époux le prix
les Théâtres d’Exercice, auxquelles assisteront, à tour de rôle, les jeunes Élèves. Ces Répétitions ne se feront, dans les Co
l leur fera permis de se parer de ces Prix, lorsqu’ils joueront : une jeune Actrice dont les diamans auraient une source si b
inon aux yeux, du moins à l’oreille, l’objet qui excite la terreur du jeune Prince. Il y avait matière à donner un Spectacle
ble. L’imitation française ne produit la terreur qu’à l’instant où le jeune Hamlet s’écrie derrière la scène : l’Acteur se fa
rge-t-on les passions en les excitant ? Je répons par un exemple. Une jeune personne de ma connaissance, lisait un des Romans
complément. Appliquez la même chose à la Comédie. Si l’on écoute nos jeunes Enthousiastes, les Français n’ont besoin ni de dé
on ne peut lire sans indignation, quel usage fesaient les Romains des jeunes Princes Asiatiques, qui leur étaient remis en ôta
s danger. [J] *. On fera en sorte que la nécessité de rassembler ces jeunes garçons & ces jeunes filles, serve à faire mi
usation au Sage de Genève, aussi-bien qu’aux autres Misomimes. 2. Un jeune Etranger en arrivant dans la Capitale, prenait à
: on y vit le Temple, l’Autel, l’Armée, la Victime, Calchas, & la jeune Eriphile se poignarder. On dit que le succès ne r
ns sa Lettre de plus facile à réfuter. Œdipe, ni Phèdre, Syphax ni le jeune Horace, Agamemnon, Oreste, Atrée, Mahomet, n’ense
10 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Sixième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 40-72
ont le premier des droits est sans doute de s’amuser d’elle-même. Une jeune Beauté voit également, dans une glasse fidelle, s
le grand miroir moral où les deux sexes se voient au naturel ; tantôt jeunes , charmans ; tantôt laids à faire peur : ils doive
é ? dans sa bouche une phrase vide deviendra scandaleuse. Mais qu’une jeune Beauté, dont l’innocence n’est point un problème,
indre aux yeux, comme on le fait dans nos plus mauvaises Comédies, un jeune fou, qu’une jeune folle aime en dépit d’un père o
mme on le fait dans nos plus mauvaises Comédies, un jeune fou, qu’une jeune folle aime en dépit d’un père ou d’un tuteur ; en
mise aux caprices d’un Libertin ? Peut-elle souffrir que l’âme de ses jeunes Citoyennes & des jeunes-gens, sa glorieuse es
destinons dès l’enfance, comme ces Républicains au culte de Vesta, de jeunes & chastes Beautés à l’emploi important &
âces & de la souplesse. Ils font plus ; ils osent interdire à ces jeunes Beautés l’art innocent de la parure. Interdire la
11 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE A M. RACINE, Sur le Théatre en général, & sur les Tragédies de son Père en particulier. » pp. 1-75
onstant où l’on est de représenter une Comédie après la Tragédie. Une jeune personne est encore toute attendrie de la mort de
s, une école toute propre à porter le trouble & le ravage dans de jeunes cœurs. Une image vive & flatteuse de nos foib
ta l’extravagante satyre que déclama publiquement dans un Collége, ce jeune Régent, membre d’une Société respectable où M. Ra
ient lieu de tout, dédommage & console de tout. Racine me dira du jeune Britannicus privé du trône, mais adoré de sa maît
re, le Labyrinthe, le Minotaure, Phedre elle-même servant de guide au jeune Héros, l’un & l’autre combattant le Monstre,
onfie à son fils le soin de sa vengeance. Quel coup de foudre pour le jeune Guerrier, qui ne balance pas néanmoins à obéir à
s communs au trône. La vertu même autorise la passion mutuelle de ces jeunes amans. Je ne comprends pas comment une Piece de c
mp; de l’éloignement pour cette déplorable passion. Dans Sophocle, le jeune Hémon plein d’un amour effréné pour Antigone, se
, fruits de son expérience & de ses travaux. Ce n’est donc pas le jeune Auteur, c’est l’Ecrivain consommé qui parle. Il e
lus capable d’épouvanter que de séduire. Dans Britannicus, l’amour du jeune Prince & de Junie est respectable & vertu
èces qui ne peuvent que déranger des têtes foibles, & troubler de jeunes cœurs. Des passions de Sultanes ne sont point des
nce & de la pudeur. La Fille d’Agamemnon, promise par son Père au jeune Achille, n’aime dans son Amant que l’Epoux qui lu
cateurs, cette élégance attribuée à Racine, cette force accordée à de jeunes commençans, signifieroient-elles pour ceux-ci qu’
eur, & l’orphelin un père. Je voudrois que tout Instituteur de jeune Prince fît apprendre par cœur à son élève, &
remment avec le mauvais, sous le passe-port de la Capitale, donne aux jeunes Gens un goût confus & incertain, aussi nuisib
12 (1580) De l’institution des enfants « De l’institution des enfants. Essais, I, 26 [fin] »
enait-on maître ouvrier. C’est un exercice que je ne méloue point aux jeunes enfants de maisoni ; et ai vu nos Princes s’y ado
ge de Guyenne. i. [NDE] Comprendre : que je ne condamne pas pour les jeunes enfants de bonne maison. j. [NDE] « Il découvre
13 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
de Tragédies : ces Représentations dureraient jusqu’à ce que tous les jeunes Acteurs & les jeunes Actrices eussent passé e
entations dureraient jusqu’à ce que tous les jeunes Acteurs & les jeunes Actrices eussent passé en revue. Ce serait après
t de leurs Camarades rendra plus ardens & plus attentifs. IV. Les jeunes Acteurs seront traités avec douceur ; on leur for
ces Elèves seront destinés pour l’Opéra. V. A treize ans, le sort des jeunes Actrices sera décidé, puisqu’elles auront alors a
l’entretien & l’habillement des Acteurs & Actrices. VII. Les jeunes Elèves ne débuteront sur les Théâtres publics, qu
rs Acteurs du Collége Dramatique de la Capitale : on leur enverra les jeunes Elèves des deux sexes dont elles auront besoin, s
utre obligation, envers le Public, que celle de donner des leçons aux jeunes Elèves. A plus d’un Article de ce Règlement, la
lle eut tous les talens de son état ; toutes les vertus de son sexe : Jeunes Actrices, qui nous charmez par vos attraits, pren
14 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE PREMIER. Comparaison des Théâtres anciens avec les modernes. » pp. 2-17
ins ; les Valets de la Comédie moderne ont un empire absolu sur leurs jeunes maîtres, comme les Esclaves et les Vieilles des L
erdument la maîtresse de son père ; et la fille, de son côté, aime un jeune Cavalier, qui s’est introduit dans la maison sur
mortel pour la jeunesse, devant qui cette Pièce est représentée : les jeunes personnes de l’un et de l’autre sexe n’effaceront
15 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur de Nemours » pp. -
e vieillesse Mûris au Soleil du Printemps, D’un mérite qui te réserve Jeune , fils aîné de Minerve, Un triomphe dessus le temp
e Met les Sirènes dans les Airs. Belle et rare fleur de science, Qui jeune est chenu de prudence, Nos cœur seront à l’avenir
16 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104
dans cette pièce. Que doit-il résulter de ce scandale inouï pour les jeunes spectateurs, ou pour les enfants qui, d’instinct,
t, d’avoir peu d’égards, et qui ne dirigeant pas dans leurs choix les jeunes cœurs sans ambition, deviennent plus tard, dans l
oir de peine à se persuader qu’on peut en faire autant à un mari trop jeune , léger, volage, et toutes les fois, bien qu’il so
même, l’épouse vient à se croire mal assortie, cesse d’aimer son mari jeune , et se trouve aussi malheureuse et dans la même p
t qu’en voulant contribuer de cette manière au plus grand bonheur des jeunes femmes, l’auteur les a rendues infiniment plus ma
u’ils n’étaient pas en état de renoncer aussitôt à leur goût pour les jeunes ils en ont pris pour maîtresses, et ont vécu avec
onoraient ou troublaient les familles. Dès-lors ce ne furent plus les jeunes épouses qui trompèrent les vieux maris ; ceux-ci
ou billets doux ; ils en ont écrit, ils ont donné des rendez-vous aux jeunes femmes qui avaient alors beaucoup d’attentions po
ur en choisir d’autres. En se conduisant de la sorte, ils avaient des jeunes femmes, et riaient les derniers en dépit de cette
fait moins de progrès que les autres. C’est ainsi qu’une multitude de jeunes personnes infortunées qui, sans autre dot que les
17 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. De l’Éducation. » pp. 60-92
par les paroles & les sentimens. Est ce là qu’il faut conduire un jeune cœur, dont la concupiscence naissante, mais vive,
ons, les développe & les fortifie. On doit beaucoup se défier des jeunes personnes qui ont du goût pour le théatre, &
de tous les goûts du vice. On voit aisément ce qui frappe le plus une jeune personne, & dans ce qui lui plaît davantage,
imoit à ce taux, si on les mettoit dans ce creuset, L’Education d’un jeune Seigneur qui parut en 1724, est l’ouvrage d’un ho
la religion & des mœurs, qu’on éloigne les jeunes-gens, même les jeunes Seigneurs destinés à vivre dans le grand monde où
mes sont alors de mauvais guides. 4.° L’Instituteur doit faire à son jeune éleve le dénombrement des Seigneurs qui se sont c
r inspirer des sentimens si peu conformes au goût de ceux avec qui un jeune Seigneur doit vivre. C’est imiter le zele de S. C
é, des Auteurs qui en ont parlé. C’est ainsi qu’on instruiroit non un jeune Seigneur, mais un jeune Poëte qu’on y destineroit
t parlé. C’est ainsi qu’on instruiroit non un jeune Seigneur, mais un jeune Poëte qu’on y destineroit. Pour en mieux éloigner
re Genin, apparemment pour amuser dans l’autre chambre les laquais du jeune Seigneur. C’est dommage que dans un livre où il y
18 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
s dispositions qu’il faut que la Nature nous ait donnée. Je prends un jeune Poète qui brûle du desir de s’illustrer dans la c
Il est presqu’inutile de rien sçavoir & de rien lire. Ici mon jeune Poète recule de surprise, il reste long tems immo
’état, le métier, & la personne des gens de la lie du Peuple. Mon jeune Élève sent l’importance de mes conseils, il se pr
res & singulières, quand ces règles lui sont analogues. Voila mon jeune Éleve instruit en général des dispositions &
19 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE V. Remarques sur L’Amphitryon, Le Roi Arthur, Don Quichotte et Le Relaps. » pp. 302-493
ndiquée, l’expression en est honnête ; et celui qui la cite, c’est un jeune libertin. Ces circonstances diminuent la faute de
le de vin, mesure de Malaga à son déjeuner ». En ce même endroit, une jeune paysanne en réprimande une autre pour son effront
langue : le premier Epilogue en fourmille dans une seule chanson : la jeune Marcelle se livre à des saillies obscènes, où l’i
tères, etc. Voici la fable de la manière que je la conçois. « La Mode jeune Cadet libertin et prodigue se trouve réduit à la
sein d’attraper le Lord-Fat son frère aîné lequel a de gros biens. Le jeune La Mode outré de n’avoir pu obtenir de son frère
sent. En effet, l’Intrigue et le Dénouement roulent uniquement sur le jeune La Mode, qui est sans contredit l’Acteur principa
e Dramatique. On y voit le libertinage tenir lieu de tout mérite : le jeune La Mode fait une grosse fortune, précisément pour
our arriver à une haute fortune. C’est cette maxime que s’applique le jeune La Mode, lorsque son impiété lui fait dire : « La
Lord-Fat, le vieux Coupler trahit les intérêts du Milord en faveur du jeune La Mode : il conseille à ce Cadet de prévenir son
servir comme de lettre de créance auprès du Chevalier campagnard. Le jeune La Mode muni de la lettre de Coupler se rend en p
blerait que douze degrés de latitude les séparent. Pour ce qui est du jeune La Mode, hors la lettre de Coupler, il a toutes l
cette héritière riche de cinq mille livres sterling de rentes. Cette jeune personne jure, dit des paroles sales ; et est tou
s aussi bien vivre que Mademoiselle son héritière ; il salue ainsi le Jeune La Mode : « Milord je vous demande la permission
toute la Pièce. En effet ce dameret dans un entretien qu’il a avec le jeune La Mode, oublie que Lord-Fat est son nom ; il lui
lagrant délit, vous en voilà aussi délivré d’une autre manière. » Le jeune La Mode frustré de son attente charge son frère d
nt arranger les choses, que ces mêmes pensées fussent dites ou par le jeune La Mode dans un à parte, ou par quelque autre enf
Examinons encore quelques-uns de ses caractères d’homme d’esprit. Le jeune La Mode juge à l’humeur vive de la Demoiselle Hoy
st assez en son lieu. J’allais oublier une autre pensée ingénieuse du jeune La Mode : « Je te montrerai, dit-il à Lori, l’exc
e reste ; ils ne sont par rapport à l’Intrigue ni pour ni contre : Le jeune La Mode ne les voit seulement pas jusqu’à la fin
que les Comédies et les jeux de hasard étaient des pièges tendus à la jeune noblesse et autres, et voyant de grands inconvéni
continue dans sa profession scandaleuse, qu’il y forme même plusieurs jeunes Païens, et qu’il leur enseigne ce qu’il n’a pu ap
ie. « Les sujets ordinaires de la Comédie c’est de corrompre quelques jeunes personnes ; c’est quelque intrigue de prostituées
assent souvent de la Comédie aux entretiens particuliers ; souvent de jeunes libertins, après les avoir entendues, expriment l
20 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE III. Des Pièces de Collège. » pp. 48-67
fussent-elles tolérables pour des laïques, peut-on sans gémir voir de jeunes Ecclésiastiques sur le théâtre, quitter leur habi
ciers dans les ordres sacrés ? Donnerait-on des rôles semblables à de jeunes Religieux ? Le Clergé séculier doit-il moins se r
s saintes ordonnances de l’Eglise, font représenter des pièces par de jeunes étudiants, et y entremêlent des danses et des bal
dans tous ses collèges des pièces de toute espèce. C’est la tâche des jeunes Régents : elle a des théâtres tout dressés dans p
antageuse pour les hommes, elles la renouvellent en présence de leurs jeunes élèves, qui deviennent les témoins et les garants
du respect pour la religion, et qu’on en grave les principes dans les jeunes cœurs ? Quoi ! le théâtre deviendrait l’école des
21 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58
uses qu’ils présentent à l’esprit & au cœur ; afin de montrer aux jeunes Poètes ce qu’il faut éviter, & la réserve qu’
r elle. Mais elle lui préfère ensuite son Elève, parce qu’il est plus jeune . Elle s’en approche & lui demande comment il
es Scènes suivantes, Pigmalion surprend sa Belle qui baise la main du jeune Elève ? Ah, Madame, s’écrie-t-il, que faites-vous
 ; Ne vous retenez pas, Et prenez vos ébats. Que penserait-on d’une jeune personne qui découvrirait ainsi son caractère ?
ujet des plaintes qu’allègue notre Savetier contre sa femme. « On est jeune , dit-il, on est caressant ; je suis toujours à lu
ns l’Opéra-Bouffon ? On n’a qu’à lire les Vers qui suivent. C’est une jeune personne qui s’èxprime ainsi à son amant ; Quelq
me, ou de lui baiser respectueusement la main. Que prétendait donc ce jeune téméraire ? je le laisse à deviner. Mais citons q
22 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre IV. De l’illusion Théâtrale. » pp. 64-79
e blessé du défaut de vraisemblance, qu’on voit même avec plaisir une jeune Comédienne, se charger d’un personnage de vieille
accessoires, la plus parfaite ressemblance qu’il est possible. Si une jeune Actrice peut jouer le rôle d’une vieille, celle-c
t jouer le rôle d’une vieille, celle-ci peut faire le personnage d’un jeune . Si on peut s’écarter de la vraisemblance en ce p
23 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Parallèle du Poème épique avec les Pièces du nouveau genre. » pp. 107-112
’ose me flatter que rien d’absolument essentiel ne m’est échappé. Les jeunes Poètes trouveront peut-être à s’instruire dans mo
e nouveau Théâtre employe le merveilleux, aussi-bien que l’Epopée. Un jeune Chevalier est aimé d’une Fée ; après nombre d’inc
24 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre III. De l’Unité de lieu, de Tems & de Personne. » pp. 211-238
e qualité, contentez vous d’en prendre un seul. Faute de quelques jeunes Poètes dramatiques. On apperçoit dans la plus
dans la plus-part de nos Tragédies nouvelles mises au Théâtre par de jeunes Auteurs, une faute assez considérable, qu’il me s
prémier pas dans la carrière dramatique. Voici de quoi il s’agit. Nos jeunes Auteurs croyent avoir tout fait dès que leur intr
es sont ils remplis des disparates que se permettent quelques uns des jeunes Poètes qui se distinguent dans la carrière du Thé
le moins qu’il me sera possible de mauvais modèles sous les yeux des jeunes Poètes. J’aurais cité avec plaisir un Opéra-Bouff
25 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99
l’autre ! Mais ma sœur les aura plaint tous deux. Nous avons ici deux jeunes Beautés qui ne nous quittent pas ; l’une est la P
mme agréable, léger, prévenant, mais insensible : il n’a goûté que le jeune Des Arcis : peut-être ils se ressemblent ? Nous v
roîtra-t-il pas, si la Pièce n’offre qu’une intrigue amoureuse, où de jeunes fous dupent un vieillard insensé ! Le tumulte des
’on la suppose entre les bras d’un Amant-dieu, remue furieusement son jeune cœur. Quel sera le correctif des Folies amoureuse
amp; aux Martons beaucoup de défiance, bien de l’éloignement pour nos jeunes Militaires ? Ces Pièces, ou plutôt ces jolis coli
ns nos grands hommes ; ces Drames ne pourraient qu’échauffer dans nos jeunes Citoyens l’amour de la gloire, du Prince* & d
26 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. Des différens genres qu’embrasse le nouveau Théâtre. » pp. 14-20
eau Théâtre voudraient le faire changer de forme. J’avertirai les jeunes Poètes, que je fais de bonne part que les Acteurs
suivre de sitôt un tel projet. Ils ont fait jusqu’à présent comme ces jeunes Personnes dont le cœur est fragile ; après avoir
27 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre IX. Des Exercices, ou Reveuës Militaires. » pp. 197-204
Soldats estoient seulement dispensez de l’Exercice du matin. Mais les jeunes estoient obligez de se rendre à leur Quartier deu
grãdes actions, ny pour la gloire des belles pensées, il faut que ce jeune Conquerant ait auprés de sa principale Ville, &am
28 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VII. De l’inconséquence de quelques prêtres ignorants envers les Comédiens, et de leur fanatisme mis en opposition avec l’autorité du pape et avec la conduite éclairée du haut clergé et des ecclésiastiques sensés en France. » pp. 134-140
onologique pour un fait seulement, et nous rappellerons qu’en 1820 un jeune acteur du théâtre de la Gaîté se suicida. L’évêqu
e de monter sur le théâtre, et veut qu’elles soient remplacées par de jeunes castrats, habillés en femmes, ce reproche est plu
29 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. La Rosiere de Salenci. » pp. 10-37
n profit. L’orateur finit en mettant la Rosiere sous la protection du jeune Roi, qui, en montant sur le trône, s’est déclaré
la fille vertueuse qui sera couronnée : pas un ne pense à séduire les jeunes villageoises ; ce seroit l’en rendre indigne, &am
ne chose presque impossible. Qui peut mieux connoître la conduite des jeunes Salenciennes, qui est plus intéressé à faire un b
s mœurs de toutes ces filles ? S’il est un libertin (ce qui parmi les jeunes Seigneurs n’est pas rare), est-ce la vertu qu’il
LE SEIGNEUR DE SALENCI. Chantez, chantez, amusez-vous, Amusez-vous, jeunes compagnes, Aimez, aimez, rien n’est plus doux. Il
d le hasard nous amene des militaires, des petits-maîtres de robe, de jeunes abbés, c’est un orage, tout est grélé, point de r
me soutenant d’une main sa mere âgée, & de l’autre appliquant son jeune fils à la charrue, avec cette exergue, Colligis
30 (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30
amais, chaque fois que cela arrivait, le fameux « dissimulons !»c. La jeune personne puisait toutes ses réponses dans les rôl
Médiateur dans une querelle d’enfants pour de pures vétilles, le plus jeune me répondit avec la gravité du Cid : on ne transi
que je vis une voiture s’arrêter devant la porte et en descendre une jeune élégante, accompagnée par un gros monsieur, que j
bien pardonnable me fit approcher des vitres, à l’instant même où la jeune personne regardait si la passe de son chapeaug n’
mblait les passants autour d’un cabriolet, dans lequel figuraient une jeune femme, couverte de plumes et de diamants, un jeun
eur que je nommai et qui la fit rougir en passant, me confirma que la jeune personne ne s’était pas seulement occupée de la g
fit doubler le pas ; oh ! oh ! m’écriai-je, voilà qui me rappelle mon jeune âge ; une noce à fracas chez le traiteur Mauduit7
31 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE III. Théatre de S. Foix. » pp. 52-75
it que l’Auteur est un Pigmalion, qui aime les statues : J’étois fort jeune , dit-il, quand je la fis. Il faut bien l’être enc
dérobent-elles aux mouvemens de son cœur ? Non : rempli de désirs, ce jeune cœur cherche par-tout des objets qui les lui expl
, & jusqu’aux peintures qui ornent les temples, l’instruisent. La jeune Prêtresse médite, & commente amoureusement ce
mp; se développe à lui-même un penchant vicieux, que sera-ce de cette jeune personne à la comédie, au milieu des décorations
ale qu’on y débitera. Quelle injustice ! on méprise, on fait haïr aux jeunes personnes les asyles de la vertu, où l’on en pren
un thème mis en trois façons ; mais en toutes l’excès du bonheur d’un jeune cœur qui peu à peu goûte l’amour pour la premiere
32 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE VI. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Romains. » pp. 145-175
que des Danses grossieres, au son de la flute, sine carmine ullo. Les Jeunes Gens de Rome les voulant imiter, y ajouterent des
age. In rabiem verti cæpit jocus. Hor. Le Magistrat y mit ordre ; les Jeunes Gens reciterent des Vers plus sages, en les accom
ces Représentations eurent été abandonnées à des Personnes viles, les Jeunes Gens de Rome n’ayant plus la même considération p
p; si particuliérement au Fils de l’Ancien Lælius, & à Scipion le jeune , qu’on l’accusoit d’être secouru par eux dans ses
e de lui comme d’un homme qui ne devoit jamais mourir. Il formoit les jeunes Orateurs. Il jouoit plus souvent dans les Comédie
33 (1698) Caractères tirés de l’Ecriture sainte « [Chapitre 1] — DU SEXE DEVOT. » pp. 138-158
il était même puni de mort, conformément à la loi qui condamnait ces jeunes et secrètes pécheresses à être lapidées. N’est-ce
que bien des maris soupçonneux, emportés, et brutaux diffameraient de jeunes femmes sages et honnêtes, par une fausse accusati
les n’y venaient pas ; combien de Cavaliers et de prétendus Abbés, de jeunes Financiers et Officiers de Justice, n’y mettraien
34 (1802) Sur les spectacles « [FRONTISPICE] »
Auteur de Podalire et de l’Aristenète français A PARIS Chez LE PETIT jeune , Libraire du Tribunat,galeries du bois, Nº 323. a
35 (1783) La vraie philosophie « La vraie philosophie » pp. 229-251
spect pour les femmes de leurs amis, ni pour leurs filles, ni pour un jeune époux, ni pour un jeune homme jusqu’alors vertueu
l facile de sauver sa vertu au milieu de ce tourbillon ? Aussi que de jeunes sujets en qui l’on avoit admiré les germes des ta
n écrivant contre les spectacles. Que se passe-t-il dans le cœur d’un jeune libertin quand il voit une amante soupirer après
e de bienséance ne la retenoit ! Quelle révolution dans le cœur d’une jeune veuve, d’une femme dégoûtée de son mari, quand on
s Théatres. Par-tout on n’y voit que des héros qui soupirent pour une jeune beauté, comme Rodrigue pour sa Chimène, Titus pou
36 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92
Puisqu’ilL’Anglais dit : puisqu’il avait résolu de la noyer comme une jeune chatte, que ne la faisait-il nager, etc. avait ar
nement et à la réflexion. Par conséquent, quel guide plus sûr pour de jeunes personnes qui n’ont encore nulle expérience ? La
ien sur le Théâtre : c’eût été en ce temps-là trop de liberté pour de jeunes personnes dont on attendait beaucoup de réserve.
que de sortir de son caractère, quand on parle. Revenons.Eunuch. Une jeune personne flétrie par Chérée ne donne d’autres ind
poétique. Les Euménides souhaitent entre autres choses que toutes les jeunes personnes s’engagent par les liens légitimes d’un
, au milieu de ses autres malheurs déplore celui de se voir mourir si jeune  ; sans qu’il lui échappe une parole sur le chapit
. Sophocle mêle au récit de la mort d’Hémon celui de la passion de ce jeune Prince, qu’il orne de tout le merveilleux et de t
ue lui remontre qu’elle parle trop et qu’elle voit trop loin pour une jeune femme.Iphig. in Aulid. p. 277. Achille au premier
Hamlet. L’Anglais dit : puisqu’il avait résolu de la noyer comme une jeune chatte, que ne la faisait-il nager, etc. L’Astrol
37 (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386
de et n’a plus d’empire sur les sens, comment persuadera-t-elle à une jeune personne, de trancher dans le vif, de se priver d
se servir de ceux-ci que comme d’instituteurs et de curateurs de ces jeunes baladins, qui parfaitement modelés sur le ton et
eux, d’initier le premier âge à la pratique du mal. Si l’on voyoit de jeunes vierges exprimer par leurs gestes ou leurs regard
en autre chose encore : une seule représentation vient de produire au jeune Westris 3000 guinées ; quoiqu’il prétende n’en av
es d’incontinence. 13. Pour un exemple récent qui a éclaté (celui du jeune d’Argent) il y en a dix mille anciens ; et dix mi
de lire dans le Nouvelliste politique l’article suivant de Paris. Nos jeunes seigneurs ont établi des jeux de barre et des cou
38 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Maurice de Saxe. » pp. 118-145
peu-près comme à Montpellier on fait endosser la robe de Rabelais aux jeunes docteurs en médecine, laquelle aussitôt les rend
, malgré tous les mouvemens qu’il se donna pour rentrer en grace. Une jeune veuve d’Allemagne, de la premiere qualité, avec d
on connût, à Lille en Flandres, à l’âge de douze ans. Il étoit encore jeune  : mais aux ames bien nées la valeur n’attend pas
nt cinq à six mois que dura cette intrigue, écrite avec la plume d’un jeune romancier, on fait écrire tous les jours ces deux
onne deux pour modeles, dont aucune n’est l’ouvrage de ces enfans. Le jeune allemand savoit trop peu le françois, pour écrire
out de l’isle se trouve une grande tente à la Turque, où vingt-quatre jeunes turcs superbement vêtus offrent des rafraîchissem
39 (1777) Des divertissements du Carnaval « Des divertissements du Carnaval. » pp. 92-109
et qu’on l’aime, on ne veut pas que ce soit une erreur. Dites à cette jeune personne que ses parents prennent plaisir d’immol
eté invétérée ont presque éteint l’esprit de Religion ; dites à cette jeune femme qu’un leurre de fortune flatte et éblouit,
toujours imprevue, dissipera ces assemblées. Le temps viendra que ces jeunes personnes, ces libertins, ces gens du monde, cond
40 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre »
iers chrétiens avaient lu en l’Ecriture, que la dévote Sara, femme du jeune Tobie, invoquant le secours de Dieu en sa grande
41 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Avertissement. » pp. -
couragent. Avec trop de régularité on mérite le reproche que Pline le jeune faisoit à un Orateur de son tems : « Il n’a pas d
acré les compilations de régles est plus fort. Il aveugle jusqu’à nos jeunes Auteurs. A peine ont-ils, par quelques essais, at
42 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre II. Du Théâtre Moderne, & de celui des François. Celui-ci comparé au Théâtre Grec. » pp. 25-38
eux de Corneille & de Racine, passeront à la postérité. Plusieurs jeunes Poétes, encouragés par ces Maîtres, ont tenté d’e
truire, pour rendre au Théâtre son ancien éclat, & convaincre les jeunes Poétes de l’insuffisance des moyens qu’ils employ
43 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
sais bien, et ce que savent toutes les mères de famille, c’est que de jeunes personnes apprennent la musique de Joconde ou de
1824, qui a pour but de favoriser l’art dramatique et de procurer aux jeunes comédiens les avantages d’une instruction graduée
’égayer en commun. par une honnête récréation !…. Qu’on me dise où de jeunes personnes à marier auront occasion de prendre du
44 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre III. De la Fable Tragique. » pp. 39-63
& de ce qu’on fait pour elle. Cela est dans l’ordre ; mais cette jeune beauté lui a-t-elle appris la cause de ce changem
la rançon de l’héritier du Trône à Orosmane ? N’a-t-il pas l’air d’un jeune étourdi, qui promet au hasard de ne rien tenir ?
; sur la haine de celle-ci pour celle-là ; & sur l’amour des deux jeunes Princes pour Rodogune. Cette derniere espèce d’in
45 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE VI. Où l’on examine si le Bal public proposé par M. Rousseau ne serait pas plus préjudiciable aux mœurs de Genève, que le spectacle qu’il proscrit. » pp. 211-224
our y participer. Si c’est un bien que de danser en public, et qu’une jeune personne mérite un prix pour avoir bien dansé, il
et pour que tout répondît à la gravité de l’habit, on interdirait aux jeunes garçons cet air de dissipation et de folie que la
e que de leur substituer le spectacle ? Car en supposant que quelques jeunes spectateurs en abusent comme ils abuseraient des
46 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IX. Sentiments de S. Ambroise. » pp. 200-211
mbroise le loue d’avoir méprisé les spectacles et les Comédiennes. Ce jeune Prince, dit-il, malgré la faiblesse de l’âge, fai
avait à Rome une Courtisane d’une beauté parfaite, qui corrompait la jeune noblesse, d’autant plus dangereuse que c’était un
l’indécence d’une Actrice (et sans doute beaucoup moins, c’était une jeune Princesse plus noblement élevée qu’une vile danse
47 (1579) De l’Imposture et Tromperie « Livre premier. Des jeux et autres observations séculières retenues de l’ancien Paganisme. Chapitre 22. » pp. 101-107
on ne fît des banquets et convis, de belles assemblées ès places des jeunes et des vieux, ensemble des devises et des charoll
battant et jouant. La vierge se réjouira alors en danse, ensemble les jeunes et les vieux, etc.En Jérémie, 30 et 31 [31,4]s.. 
e le chasser avec la mèreGenèse, 21. [21, 9]z.. L’autre Sara femme du jeune Tobie pleurant devant Dieu pour les accidents qui
48 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE III. Suite du Mariage. » pp. 55-79
dus cultivateurs du fonds fertile qui avoit porté ce riche trésor. La jeune femme parut avec éclat sur le théatre, & se f
& à la fin la reconnoissance, le départ, le retour, le mariage du jeune Tobie, l’entrevûe de Gabelus, le repas des noces,
eune Tobie, l’entrevûe de Gabelus, le repas des noces, l’entrée de la jeune épouse à la maison de son mari, la conversation a
r, purifier les mœurs, ramener à Dieu, est insipide & méprisé. La jeune Sara avoit épousé successivement sept maris qui t
les : Solâ posteritatis dilectione, in qua benedicetur nomen tuum. La jeune mariée se joignit à son époux par ces paroles : A
49 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
ires sur les Perses, par des trophées & des hymnes, que Sophocle, jeune encore, chanta à la tête de la jeunesse Athénienn
onnu par les vers qu’il fit en 1162, lorsque Raymond Berenger, dit le jeune , vint à Turin lui rendre hommage des Comtés de Pr
le ballet de Dreux dansé par les petits Seigneurs, lors auprès du Roi jeune encore : en 1515, le triomphe de Minerve, ballet
édien corrompit l’Auteur. Supposés au contraire une société formée de jeunes éleves, venant déployer les graces naturelles de
sfaction, avec quels transports de joie les spectateurs verroient des jeunes élèves de l’Ecole Militaire & de S. Cyr, enco
, soutenues de la noblesse de leur naissance. Ces transports pour les jeunes Militaires, seroient l’heureux présage des victoi
lui enlever les objets de sa tendresse sans en être abattu ». Ici une jeune beauté en secret, se diroit à elle-même, « Voilà
50 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VII. » pp. 115-130
e merveilleuse pour surmonter les obstacles ; on donne des leçons aux jeunes personnes qui sont dans le cas, pour atteindre au
       Aimable jeunesse,           Profitez du tems,           De vos jeunes ans,      Donnez-vous à la tendresse, Ne perdez
51 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PENSEES SUR LES SPECTACLES. » pp. 1-12
Monsieur ****. I. Le grand écueil de tous les hommes, et surtout des jeunes personnes, est de vouloir éprouver si ce qu’on le
it point aussi jusqu’où il s’affaiblit et se corrompt. VII. Entre les jeunes personnes qui vont au Spectacle, y en a-t-il qui
52 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dixième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 242-243
je ne sais comment faire pour me la procurer. Parlez-moi de vos deux jeunes Compagnes : Monsieur D’Alzan croit que nous les a
53 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379
p;c. Cependant ces mêmes Ouvrages n’ont fait aucune impression sur le jeune Des Arcis ; il ne connaît pas plus le Théâtre que
c’est toujours le même sentiment pour le fond : ce que m’inspire une jeune Beauté ; cette douce chaleur qu’elle excite dans
œurs, les femmes & les hommes se trouvent ensemble par-tout ; les jeunes Beautés se montrent aux Temples, aux promenades,
a rempli les devoirs de fils, d’époux, de père, de membre de l’Etat… Jeune insensé ! quels sont tes droits ? qu’as-tu fait ?
s en Province, pourvu que chaque Ville n’eût d’autres Acteurs que ses jeunes Citoyens, formés de la manière que vous l’indique
égoût, en ne les donnant qu’une ou deux fois. En temps de guerre, nos jeunes Actrices feraient sur le Théâtre l’éloge des Guer
a gloire, & l’impression qu’il devra faire, non-seulement sur les jeunes Acteurs destinés au Service, mais sur tous les Mi
ressive, précédera Mérope, dont elle aura dessiné les situations : de jeunes & vertueuses Citoyennes y laisseront, à la vé
es fadeurs de Quinaut, & de ses successeurs dans la bouche de nos jeunes Citoyennes. Honorine. Les précautions de l’A
que des talens* Voyez-vous-là quelque chose qui soit indigne de notre jeune Noblesse ?… Des Arcis. Je ne sais si vous se
anières. On les choisirait vertueux. Mais l’homme est si fragile ! de jeunes Actrices sont si séduisantes ! … l’on ne saurait
ial, pour en imposer à la multitude. Je ne répéterai pas ici ce qu’un jeune Philosophe, victime d’un cœur trop tendre, &
us belle des filles. On sait que dans toutes les Fêtes, des chœurs de jeunes Romains & de jeunes Romaines chantaient les l
sait que dans toutes les Fêtes, des chœurs de jeunes Romains & de jeunes Romaines chantaient les louanges des Dieux, &
Nations policées, & lorsqu’Homère fait immoler par Achille douze jeunes Troyens sur le Tombeau de Patrocle, le Poète donn
ui de l’être. Plus de passions, plus de dangers : les Actrices seront jeunes & belles ; mais leur nombre, la rareté des jo
nsidérables avantages du nouveau Théâtre, de mettre dans l’âme de nos jeunes Citoyens, une extrême sensibilité aux applaudisse
les Romains, Vincet amor Patriæ, laudumque immensa cupido. *. Les jeunes Officiers, dans les Garnisons, se sont mis depuis
a renaissance du Dramatisme. 2. Cette Réflexion n’a pas échappé à un jeune Auteur qui vient de publier un Livre singulier, i
54 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « A Monsieur le Comte de P***. » pp. -
ement écrites qu’elles sont conduites avec art. Voulant instruire les jeunes Poètes dramatiques, pouvais-je mieux remplir mes
55 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre prémier. Le sujet. » pp. 160-182
deux petites Pièces dans une, ainsi que je le prouverai ailleurs. Le jeune Poète du nouveau Théâtre est donc contraint de fa
encontrer des sujets neufs, a la bonté d’en indiquer quelques-uns aux jeunes Poètes. Mais il aurait bien dû s’apercevoir que l
Sujets dont le nouveau Théâtre pourait tirer un grand parti. Les jeunes Poètes qui se consacrent au Théâtre moderne ont p
56 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XV. Devoir des parens & des maîtres. » pp. 34-35
les y conduisent eux-mêmes ! Les effets de la concupiscence dans ces jeunes & tendres plantes sont-ils donc trop lents à
57 (1781) Lettre à M. *** sur les Spectacles des Boulevards. Par M. Rousseau pp. 1-83
adame Deshoulieres.. De-là vient qu’on rencontre à Paris une foule de jeunes libertins, qui à vingt ans sont des escrocs déjà
adore sans les aimer ; qui les estime, les aime sans les adorer. Ces jeunes insensés, qui hantent les Salles du Rempart, ne c
vards jouissent de la fortune que leurs peres leur ont transmise, ou, jeunes encore, ils ont des moyens d’en faire une par eux
, l’entiere destruction du physique & du moral. On ne voit que de jeunes vieillards, dont les jambes en fuseau, peuvent à
end qu’il est permis d’entretenir un commerce adultere, de séduire de jeunes personnes dont la vertu fait le bonheur de toute
entrent avec quelques dispositions pour le Théatre, les perdent ; les jeunes personnes du sexe, qui y montent, ne servent qu’à
flétries pour jamais ! J’ai questionné à ce sujet plus de deux cents jeunes personnes du sexe, Ouvrieres, Marchandes de Modes
nge. Ce n’est ni aux Français ni aux Italiens, que vous trouverez les jeunes personnes des deux sexes, réunies par pelotons, f
pour les regarder tous du même œil. Je connais de ces maisons où les jeunes demoiselles, qui y travaillent avec assiduité, re
, cette Vérité sainte, il l’accueille, il est digne de l’entendre. Ce jeune & vertueux Monarque, qui signale chaque jour
and je pense qu’il ne faut qu’une misérable équivoque pour perdre une jeune personne de l’un ou de l’autre sexe. On veut devi
Edits de Sa Majesté43 ; ces gages généreux du cœur paternel de notre jeune Monarque, apprendront à la postérité, que le regn
pour les regarder tous du même œil. Je connais de ces maisons où les jeunes demoiselles, qui y travaillent avec assiduité, re
58 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE II. Théatres de Société. » pp. 30-56
ue les représentations publiques (sans doute on y est moins gêné). De jeunes personnes bien élevées & pleines de candeur d
premier rôle. Il s’extasie sur la beauté, les graces, les talens des jeunes personnes qui y jouèrent ; elles l’emportent sur
ros de de la piece, l’idole pour qui on s’intéresse, est toujours une jeune personne aimable & amoureuse. Son exemple, so
blas. La maniere de représenter ne rompt point le charme, pas même la jeune Actrice qui paroît en habit d’homme pour réciter
es yeux sans dire une parole, tomba de son fauteuil, & mourut. Un jeune Abbé, riche & de condition, ayant vu jouer la
59 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
ls éloges n’avez-vous pas mérités, Monsieur lorsque vous voyant veuf, jeune encore, et peu riche, vous avez eu le courage de
, et qu’ils savent tout ce qu’il faut pour plaire. Ceux qui sont plus jeunes , les enfans même, ne leur cédent qu’en expérience
pas plus décente. Imaginez-vous l’impression que doivent faire sur de jeunes sens leur coëffure printanniere, leurs cheveux pa
tes de subsister, ne fût-ce que le labourage ou le mousquet. Pour les jeunes personnes du sexe, l’Enfant Jesus est un meilleur
phrase Espagnole, comment va le mal vénérien ? Avec quelle horreur le jeune imprudent qui court dans les bras de ces nymphes
60 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VII. De la Dévotion des Comédiens. » pp. 160-179
avec sa troupe, & brille par-tout. Elle la quitte pour suivre un jeune François qui la conduit à Paris, & la donne a
) rapporte une conversion singuliere, qu’il assure vraie. C’étoit une jeune Actrice, dit-il, des mieux faites, des plus habil
us tendre, je ne vous aimois point. Vendue à la débauche dès mes plus jeunes années, mon cœur n’étoit susceptible d’aucun sent
dans les pieces de théatre qu’on y joue. Je ne répondrois pas que les jeunes Religieuses qui font représenter des pieces de Ra
61 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien quatrieme. Sur la vanité & le danger des Bals, & des Danses en particulier, Tiré de la Bibliotheque des Predicateurs, composé par le Reverend Pere Vincent Houdry de la Compagnie de Jesus. » pp. 57-66
vides de ces plaisirs, qui y courent avec fureur ? ne sont-ce pas les jeunes petsonnes ? circonstance qui prouve ce que j’ai a
teur ? que des gloses sur la morale outrée ? le tems viendra, que ces jeunes personnes, ces libertins, ces gens du monde conda
62 (1671) De la connaissance des bons livres « DE LA COMEDIE  » pp. 232-248
ant estimé, pouvait être de leur bande ; Que c’était chez lui que les jeunes Orateurs de Rome allaient étudier le geste et la
tant besoin de représenter des filles habillées en hommes, ç’a été de jeunes garçons qui ont représenté ce Personnage ; En ce
63 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seconde Lettre. De madame Des Tianges, À sa Sœur. » pp. 21-24
te loue, paraît te chercher, te desirer : trompeuses apparences ! une jeune personne vient de quitter la retraite où elle fut
64 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quinzième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 275-277
e madame Des Arcis. Bon-dieu ! quelle ivresse ! ils s’aiment trop. Le jeune époux ne voit que sa femme : elle est pour lui to
65 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE PREMIER. Peinture & Sculpture. » pp. 4-40
on, pour n’être pas empoisonné : on dit que le sage Socrate menoit le jeune Alcibiade chez l’enchanteresse Aspazie, pour prév
, qu’à l’âge de 80 ans passés, elle avoit un commerce complet avec un jeune Ecclésiastique, récemment sorti des Jesuites, qui
. Il encherit même dans l’Amphitrion. Ce n’est pas sur le compte d’un jeune libertin qu’il la met, il lui donne bien plus de
tat où se montre le modele que les écoles de peinture font copier aux jeunes éleves : il en chargea le célebre Apellés ; Apell
licence en fait le prix. Apellés, se donna un autre modele. Voyant la jeune Laïs, il fut frappé de sa beauté, & la prit c
er voir dans toute sorte d’attitudes. Pense-t-on bien au salut de ces jeunes peintres ? Ignore-t-on les péchés innombrables qu
66 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  RACINE. A Mlle. Le Couvreur. » pp. 77-80
ce)  Ecrivez-moi si je le puis.  J’ai mis dans notre confidence  Un jeune élève des neuf sœurs,  Qui par leurs premieres fa
67 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE IV. Extrait des Lettres de M. Clément. » pp. 85-106
e les miladis de l’ordre qui auroient 40000 livres en pierreries. Une jeune & très-jolie débutante a demandé grâce d’un q
ce. Il est fort joliment monté. Les Actrices & les Danseuses sont jeunes , jolies, & d’une vertu éprouvée. La salle éto
mp; Acteurs, la bourse & le plaisir sont leur belle gloire. Cette jeune & belle étrangère fut fort heureuse de n’avoi
la comédie, elle y auroit perdu sa vocation. En voici un exemple. Une jeune personne élevée dans un couvent, avec beaucoup de
68 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE II. De la Danse. » pp. 30-51
danser est un vrai phénomène). Son Académie est composée de soixante jeunes figurans & figurantes, les mieux faits qu’il
s on fait danser un enfant pour s’amuser & le faire briller ; une jeune Princesse, sans doute bien élevée & décente,
soit au milieu de ses rivales, avec les graces & les désirs d’une jeune Odalisque, qui a des desseins sur le cœur de son
âges confondus, Suivent, en se jouant, la Folie & Momus. Le jeune Poëte croit en faire l’éloge ; la sagesse en conc
69 (1768) Observations sur la nécessité de la réforme du Théatre [Des Causes du bonheur public] «  Observations sur la nécessité de la réforme du Théâtre. » pp. 367-379
e vertueuse qui veut procurer un délassement convenable à cette fille jeune & décente qu’elle éleve à ses côtés ? Quels a
jours dans son premier état de pureté. A Rome, Cicéron & Pline le jeune nous assurent en parlant des Comédies de Roscius
70 (1765) De l’éducation civile « De l’éducation civile » pp. 76-113
abinet. Vous avez compris qu’il y auroit de l’indécence à obliger une jeune Personne, à révéler, à une Assemblée respectable,
dont dépendoit principalement le succès de vos Pieces, étoient, ou de jeunes femmes, ou de jeunes gens inappliqués, qui n’acco
roposition de géométrie, si elles étoient une fois implantées dans de jeunes ames, n’y germassent pas avec le temps, & ne
71 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  AVERTISSEMENT DE. L’ÉDITEUR. » pp. -
l’occasion d’un Discours prononcé au Collége de Louis le Grand par un jeune Professeur de troisième, qui s’étoit proposé séri
72 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 16-18
e toute couleur pour couvrir leur passion. Au même temps il entra une jeune Demoiselle de 24. ans, fille de condition : je lu
73 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXIII. Impossibilité de réformer entièrement les spectacles. » pp. 191-194
les que les maîtres proposaient quelquefois dans les collèges à leurs jeunes élèves, pour les aider à former leur style et leu
74 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VII. Suite de l’Indécence. » pp. 138-160
se. Gresset l’a vivement peint dans un mot, dans le dérangement d’une jeune Religieuse qui faisoit son oraison dans Racine. R
ut arriver quelquefois, & on ne manque pas de donner cet avis aux jeunes Prêtres de parler avec beaucoup de discrétion. Ma
ge de la modestie ni du Poëte ni de la Favorite :   Diane & ses jeunes compagnes, N’ont jamais dans leur jeux mis tant
a jeunesse, qui a jugé à propos de chausser le cothurne en faveur des jeunes Demoiselles. Elle a mis le livre de la Genèse en
75 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
us pas par expérience, que la naïveté malicieuse dans la bouche d’une jeune Comédienne, qui fait l’innocente Agnès, a débauch
demandait au Démon, qui l’avait fait si hardi que d’entrer dans cette jeune Fille, qui appartenait à Jesus-Christ par son Bap
armes, de les mettre à mort, et de les tuer sur la place. La Femme du jeune Tobie voulant se justifier devant Dieu, assure qu
Chrysostome, convertir tout le monde, a été le prix de la danse d’une jeune baladine. Le Diable ne trouve point de moyen plus
76 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Suite d’Anecdotes illustres. » pp. 184-225
ouverts & d’un bal qui dura jusqu’au lendemain, où sans doute les jeunes Jésuites dansèrent, car il est juste & conven
mp; faisoit beaucoup étudier son élève, ce qui ne plaisoit guère à ce jeune Prince, à ses menins & aux Dames de la Cour ;
s attira sa mère à Paris, qui la mena avec elle, manquant de tout. La jeune d’Aubigné fut trop heureuse d’épouser Scarron, vi
spiritualité ; l’Abbesse de Salfines avec ses Religieuses, la plupart jeunes , jolies, & toutes filles de condition, se ren
r sa maîtresse ; & dès qu’il l’apperçut, lui parla par signe ; la jeune Princesse en fut surprise, se retira brusquement,
iment que le luxe & la vanité. En France, au contraire, vieilles, jeunes , prudes, coquettes, habiles & sottes, toutes
77 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des caractères & des Mœurs Tragiques. » pp. 131-152
, dans la foiblesse de leur jugement, & dans leur incapacité. Les jeunes Auteurs regardent le Théâtre comme un champ ferti
ndu mon escalier, que je l’ai terrassé, étoit du second. Revenons aux jeunes Auteurs. Il faut convenir qu’il y en a peu qui n’
78 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XI. Que les Poèmes Dramatiques n'ont point été condamnés. » pp. 230-236
tre. Elles sont même comptées entre les disciplines libérales, et les jeunes enfants sont ordinairement obligés par des person
79 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre VI [V]. Élizabeth d’Angleterre. » pp. 142-187
& de ces troubles, il dût se former un cahos dans l’esprit d’une jeune personne ; c’est-à-dire une incertitude, une indi
r Valet de chambre, pour Ministre , pour favoris, les hommes les plus jeunes & les mieux faits du Royaume. Elle livroit le
e , aux dépens des créanciers. Cette finesse n’est pas rare parmi nos jeunes Seigneurs pour payer les actrices. Ses Amours
s d’une femme vieille & mourante, qui ne peut se faire aimer d’un jeune libertin, tout cela est très-possible & très-
d’Anjou, qui fut depuis Henri III, & le Duc d’Alençon, qui mourut jeune . Le premier n’étoit pas son fait. Il étoit trop z
des comédies qui se fais soient à Paris. L’Ambassadeur se retira. Le jeune Prince étoit un étourdi, dit Fontenelle, libre, v
la Reine d’Angleterre, qui l’en prioit ? c’est qu’elle n’est plus ni jeune ni jolie. Tout cela pouvoit n’être que fantaisi
80 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XV. Des nouveautés & de leur nombre. » pp. 2-7
petits ouvrages de ses mains. Pourquoi ce Marquis, dont la femme est jeune , belle, spirituelle, du meilleur caractère &
81 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre prémier. Qu’on ne doit pas se figurer que la composition des nouveaux Drames soit aisée. » pp. 116-120
nier. L’éxpérience donne toujours les meilleures leçons. O vous donc, jeunes Auteurs, qui destinés vos talens à un Spectacle q
82 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seizième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 278-281
oi), a tous les vœux de monsieur D’Alzan. Billet de M. D’Alzan à la jeune Débutante. Mademoiselle : Constance m’avait char
83 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXI. Les spectacles condamnés par les auteurs profanes anciens et modernes. » pp. 179-182
t que les passions de trahison et de vengeance pouvaient affecter les jeunes personnes. Platon, le maître d’Aristote, est bien
84 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE III. Extrait de quelques Livres.  » pp. 72-105
ont les archives de l’hôtel, & quoique les drames ingénieux de ce jeune viellard ne soient pas des chefs d’œuvres son suf
on d’un tas d’esclaves ; d’hommes & de femmes de mauvaise vie, de jeunes libertins, ou de vieux bourgeois qui forment tout
er que toutes ses pieces roulent uniquement sur les amours de quelque jeune libertin, pour une esclave, contre la volonté de
amp; forme à la vertu l’esprit & le cœur de ses éleves ? Pour les jeunes libertins, en faveur de qui se trament les intrig
t quelque chose de grand, qui n’est qu’un contre-tems malheureux. Une jeune personne, en lisant des avantures galantes, se di
85 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
nnes éternelles. Le théatre a perdu Latouche que lui-même a perdu. Ce jeune Poëte qui avoit du mérite & auroit pu faire d
la Scène est dangereux pour eux-mêmes. Il composa, selon la tâche des jeunes Régens, une comédie qu’il fit jouer au Collége :
ont dans les œuvres de Boileau. Il embrassa l’état ecclésiastique. Le jeune Abbé passa plusieurs années auprès d’un oncle, ho
opal. Quelle leçon pour ce Prélat Distributeur des Prélatures, qu’un jeune Poëte ne voye dans ces honneurs que l’étendue des
, porte dans le tombeau, comme dit le Prophete, tous les vices de son jeune âge qui ont infecté toute sa vie. Replebitur vit
86 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
les mêmes désordres ; entretien ordinaire des esprits frivoles et des jeunes personnes : on emploie les heures entieres à se r
prétendue honnêteté du Roman ? Mais ces lectures servent à former une jeune personne, et lui apprennent le monde. Ah ! Chréti
des spectacles d’autant plus capables de les amollir, que ce sont de jeunes cœurs beaucoup plus flexibles et plus sensibles ;
hrétienne ne doit pas sans ménagement et sans réflexion y exposer une jeune personne, qu’elle doit avoir égard aux temps, aux
rs si convenables et si légitimes. Ils posoient pour principe, qu’une jeune personne ne devoit jamais se produire au jour qu’
87 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
cet axiome il prend le langage d’un impertinent et d’un fat. Chamont jeune soldat appelle un Aumônier d’armée, le Chevalier
dont le papier, pour le dire ainsi, rougirait d’être dépositaire. Le Jeune La Mode dans la page suivante prie Bulle de se hâ
t P. 97. le Père fâché et la Fille rebelle. Le Chapelain Bulle dit au Jeune La Mode :  »La piété de Vôtre Grandeur est inexpr
de la Comédie. Coupler Ibid. avec sa politesse accoutumée apprend au Jeune La Mode, que « la nuit dernière le diable a empor
x étaient nourris dans les Cours des Rois, employés à l’éducation des jeunes Princes et admis au Conseil d’Etat. Joseph Vice
88 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent. » pp. 15-28
nts de la passion, n’abuseront-ils jamais de cet art pour séduire les jeunes personnes ? ces valets filous, si subtils de la l
a bien de la peine encore à se conserver un cœur à l’épreuve ; et ces jeunes personnes audacieuses, sans autre éducation qu’un
89 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  PRÉFACE. » pp. -
a tête de cet Ouvrage : non, je n’ignore pas que j’en aurais besoin : jeune encore, c’est le premier que j’ai osé livrer à l’
90 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatrième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 28-32
t engagement que monsieur Des Tianges veut satisfaire, en unissant le jeune Des Arcis, à la fille d’un ami commun. Dans les c
91 (1646) Science du chrétien « Des comédies. » pp. 638-643
sont tentés dans leur désert, et parmi les forets et les bois, et un jeune mondain me voudra persuader que dans la comédie i
92 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
onc une école de scandale et de libertinage. En effet c’est là qu’une jeune personne apprend comment on peut se livrer à des
nna ses soins, et dans toute l’étendue de son diocèse une infinité de jeunes personnes renoncèrent aux spectacles. Le saint év
és de blasphèmes et de malédictions, qui font frémir. L’horreur de la jeune Juive pour le baptême exprimée avec des sentiment
s éloigne du théâtre et vous épargne bien des chagrins et des larmes. Jeunes personnes, à qui le Seigneur a accordé le grand b
93 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VIII.  » pp. 195-221
’Eglise pour le chant ; il en donnoit des leçons aux enfans & aux jeunes chantres. L’opéra, la comédie Italienne ont succé
e y a-t-il vingt personnes qui sachent écrire ; on dépista bientôt la jeune main qui s’étoit prêtée. Peu aguerri avec les man
ain qui s’étoit prêtée. Peu aguerri avec les manœuvres théatrales, le jeune écrivain a tout confessé, nommé les auteurs qui l
ient les principales & presque uniques Dames de la ville, la plus jeune en est la beauté. Les amans qu’on leur donne ne s
94 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE I. Faut-il permettre aux femmes d’aller à la Comédie ? » pp. 4-29
amp; appliqués aux arênes de Nîmes : C’est dans ce même lieu qu’une jeune beauté Qui ne respire ailleurs qu’amour & vol
obtient la préférence, sent-il ce qu’il en coûte de lui sacrifier un jeune Adonis ? Elles ont leurs fêtes, nos saintes Nones
iole ? Voudriez-vous le sauteur Lélius, ignorez-vous qu’il n’est plus jeune  ? Pour Bathylle, dites-vous, la presse est trop g
dicules : précieuses, savantes, prudes, coquettes, sages, libertines, jeunes & vieilles, les foiblesses des femmes font la
95 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XII. Des Machines & du merveilleux. » pp. 179-203
mis en partant. Mais comment étoit-il tombé en ses mains ? Elle étoit jeune quand son pere fut égorgé. On a peine à croire qu
blance que pour lui-même. N’est-ce pas aussi une leçon qui montre aux jeunes Auteurs non-seulement qu’un usage trop fréquent d
96 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77
h pourquoi nos Paysanes seraient-elles plus réservées que tant de nos jeunes Demoiselles, qui se trouvent dans le même cas, ma
d’èxcuse à l’Auteur Français : « J’ai copié la Nature en rendant les jeunes garçons amoureux avant le mariage, & les jeun
97 (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32
en aurait été bien plus belle et les sentiments plus chrétiens, si ce jeune éventé se fût retiré de ses débauches et qu’il eû
ir, il me semble qu’il est plus à propos d’en laisser le soin au plus jeune avocat du barreau qu’au plus célèbre et au plus é
98 (1777) Des Spectacles « Des Spectacles. » pp. 75-92
out éblouit, où tout brille, et dans laquelle il ne se trouve pas une jeune personne qui n’ait employé tout ce que l’art a de
ces plaintes amoureuses, et tous ces recits tendres qui s’y font. De jeunes personnes qui se font un point d’honneur de plair
99 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340
ôté réunis à la croupe de l’autre, en laissant un vide qui permet aux jeunes cavaliers de placer leurs corps entre deux, pour
t disposé cette pieuse marche. On voit d’abord paraître une troupe de jeunes garçons, les plus beaux et les mieux faits qu’on
t de chambre. Parmi toutes ces jeunes filles, sont dispersés quelques jeunes égrillards déguisés en diables, qui ont de longue
fort loin, et prennent des libertés capables d’alarmer la pudeur des jeunes vierges. Cette farce ridicule est destinée à fair
jeunesse. Derrière elles, on porte en cérémonie, sur un brancard, une jeune et belle fille, remarquable par son éclatante par
nt les fonctions de leurs maîtres, de même dans la fête des fous, les jeunes clercs et les autres ministres inférieurs de l’Eg
vais, le 14 janvier, l’âne portait sur son dos, jusqu’à la porte, une jeune et jolie fille, qui figurait la vierge Marie, ten
urs de cette tragédie. Voici comme ils s’y prirent : ils placèrent un jeune novice sur la voûte de l’église, qui, à minuit, l
100 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VI. Du Cardinal Mazarin. » pp. 89-108
Cour, et sans beaucoup s’embarrasser des bienséances, il engageait le jeune Roi, les Princes, les Princesses, les plus grands
actions qui l’agitaient. Il en avait un autre, c’était de dissiper le jeune Roi par des amusements de son âge, pour le tenir
t VII, tous deux de la maison de Médicis. Ce ne furent d’abord que de jeunes gentilshommes Romains, qui jouaient sans doute fo
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