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1 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies a corriger. » pp. 295-312
se, ou de semblables et surtout de meilleures que tout autre pourrait imaginer , je crois que la Comédie de l’Avare peut être con
de l’injustice à ne pas avouer que cette Comédie de Quinault est bien imaginée et bien conduite ; mais quant à l’article des bon
qui souhaitât avec empressement d’avoir des Procès à juger, et l’on s’ imaginerait plutôt qu’un tel emploi est regardé comme une gèn
paraît particulier à une Province, et par cette raison on pourrait s’ imaginer que l’instruction ne serait pas générale pour des
2 (1576) De la Censure. pp. 611-613
une autre peste de la République des plus pernicieuses qu'on saurait imaginer  : car il n'y a rien qui gâte plus les bonnes mœur
s mouvements, et actions conduites avec tous les artifices qu'on peut imaginer , et d'un sujet le plus ord, et le plus déshonnête
3 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VII. Quelle doit être la Comédie après la réformation du Théâtre. » pp. 69-85
ntes ne ferait-elle pas contre les Poètes dramatiques modernes ? Je m’ imagine qu’elle leur reprocherait que, d’une femme d’honn
ice. Quel ouvrage d’esprit, et quel autre genre de Poésie pourrait-on imaginer qui fût plus utile à la société, et plus propre à
nteuse, et chercha tous les moyens de le guérir. Tout ce que l’on put imaginer s’étant trouvé inutile, le Prince eut enfin recou
4 (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32
aujourd’hui l’ont défigurée sous prétexte de l’embellira. Ils se sont imaginés qu’elle paraîtrait bien plus aimable s’ils en ren
ure lui a donné à traduire la vie des saints Pères ? Il s’est si bien imaginé que c’est une charité des plus chrétiennes de dif
n dût faire le même sort à son Festin de Pierre ; et il s’est si bien imaginé qu’il était assez fort de lui-même pour ne point
me regardait, et comme je n’avais encore rien mis au jour, je me suis imaginé que c’était commencer bien glorieusement que de s
5 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE VI. Où l’on examine si le Bal public proposé par M. Rousseau ne serait pas plus préjudiciable aux mœurs de Genève, que le spectacle qu’il proscrit. » pp. 211-224
le utile, parmi toutes celles que vous employez. Il vous a donc fallu imaginer bien d’autres motifs de dégoûts pour engager vos
nser lui-même, pour faire danser les autres. Il faudrait encore qu’il imaginât des danses dont les mouvements et les grâces ne f
. Tous ces principes ne vous paraîtraient pas modestes : il faut donc imaginer une danse exprès, ou si l’on danse à votre Bal de
pourront résulter de vos Cercles bachiques et médisants ? Pouvez-vous imaginer maintenant que le spectacle serait préjudiciable
6 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
éopâtre : l’Auteur, qui a senti la bassesse d’une telle action, s’est imaginé de la relever et de la rendre digne du tragique p
est ce point historique que Racine a traité dans sa Tragédie. On ne s’ imaginerait jamais que ce grand exploit d’Alexandre, fût anne
ant sur le Trône, qu’à condition qu’il l’épousera. On ne pouvait rien imaginer de plus adroit pour donner un air de bienséance à
de M. Quinault. Ce n’est pas une bonne Tragédie, et c’est l’amour mal imaginé , selon moi, qui lui fait tort. Agenor, la Reine e
7 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. Des différens genres qu’embrasse le nouveau Théâtre. » pp. 14-20
les diverses manières d’indiquer les Drames du nouveau Théâtre furent imaginées , afin de désigner les différens genres qu’il embr
iques des Grecs & des Latins ; on ne s’était point encore avisé d’ imaginer une Comédie lyrique, ou qui se chante sur la lyre
8 (1759) Lettre à M. Gresset pp. 1-16
propre gloire de son Créateur. Quel degré de grandeur aurait-elle pu imaginer qui lui fût comparable ! Mais par quelle voie ce
ut-on trouver dans aucun ouvrage en ce genre, rien de si délicatement imaginé , et de si heureusement décrit, que les Statuts de
 ! Qu’un homme est grand, quand il pense ainsi ! Non, non, l’esprit n’ imagine point de si divines maximes : c’est la plume du c
9 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 5. SIECLE. » pp. 147-179
Mais les cœurs des hommes sont si pervertis et si rebelles, qu'ils s' imaginent que le monde est dans une pleine félicité, lors q
tre pour nous attacher sur une Croix ainsi qu'un criminel ? Nous nous imaginons peut-être qu'il nous a fait des leçons d'impiété,
pourvu que ce soit innocemment. N'est-ce pas une étrange folie que s' imaginer que nos divertissements ne seraient pas agréables
tre Symbole est choqué, et tout ensemble affaibli ; Car le moyen de s' imaginer qu'une chose puisse demeurer debout quand son app
ta croyance, comment pourras-tu faire état de sa suite ? et comment t' imagineras -tu que le reste te pourra profiter ? Les membres
10 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
lant secret d’une Marquise, qui se sert de tous les moyens qu’il peut imaginer pour la séduire ; c’est de vous qu’on peut dire,
omme tourné mal à propos en ridicule ; si la pièce, comme vous vous l’ imaginez , est contraire aux bonnes mœurs ; si un homme qui
à savoir, que des Testateurs avares et cacochymes sont bien fous de s’ imaginer que les empressements de leurs Légataires aient d
ficile à faire en faveur de la Pièce, que toutes celles que vous avez imaginées contre elle, et vous êtes par conséquent le seul
sans s’apercevoir qu’on les trompe ? Enfin croyez-vous que personne s’ imagine qu’une pareille fourberie découverte, les acteurs
us paraisse plus puissant que ceux que j’ai attaqués, et si vous vous imaginez que j’ai évité prudemment d’y répondre, désabusez
11 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre V. Autres Mêlanges. » pp. 121-140
ici une Anecdote de Moliere que l’on a oubliée : car il ne faut pas s’ imaginer que cet homme aujourd’hui si vanté fit beaucoup d
Mais c’est la plus complette extravagance que la folie humaine puisse imaginer . Même Journal, art. 16, dans la description de
ible, est la plus complette extravagance que la folie humaine puisse imaginer , quoique le divin Platon & l’admirable Fenel
imaginer , quoique le divin Platon & l’admirable Fenelon l’ayent imaginé , sans être complettement extravagans  ; cet amou
mp; sa morale, sous les auspices du pere du Théatre, qui ait pu faire imaginer cette anecdote. Mais, en la supposant vraie, n’au
12 (1725) Mr. de Moliere [article des Jugemens des savans] « Mr. de Moliere, » pp. 339-352
; de converser dans le monde. Il faut être bon jusqu’à l’excès pour s’ imaginer qu’il ait travaillé pour la discipline de l’Eglis
galement bon Auteur & bon Acteur, que rien n’est plus plaisamment imaginé que la plupart de ses Piéces ; qu’il ne s’est pas
, Je ne reconnois plus l’Auteur du Misanthrope. Mr. Pradon qui s’est imaginé que par cette légére censure on avoit voulu profi
13 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre III. Recherches nécessaires pour s’éclaircir si les Anciens ont connus l’Opéra-Bouffon. » pp. 101-108
e d’un Siècle. Quoi ! l’on pourrait penser que les modernes ont seuls imaginés ce nouveau genre de Drame ! Ce serait nous couvri
étail de l’Opèra-Bouffon. Si l’on m’objectait qu’il est absurde d’ imaginer que l’Opéra-Bouffon ait éxisté chez les Anciens,
14 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — DEUXIEME PARTIE. — Méthode et règlement pour réformer le Théâtre. Avant Propos. » pp. 87-98
eurs fausses Divinités. Ils ajoutent que ces mêmes Pères ne pouvaient imaginer , pour lors, que les Spectacles prendraient quelqu
le bonheur de revivre, telles que les Grecs et les Latins les avaient imaginées . Il est aisé, en les confrontant, de se convaincr
15 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104
Missels, Rituels, de toute espèce que de tous côtés on enfante, n’ont imaginé de mettre la danse dans le cérémonial ecclésiasti
Les danses particulieres ne se sauvèrent pas mieux du naufrage. On en imagina pour peindre la volupté ; on ne fut pas long-temp
un nouveau genre de congruisme que Suarès & Molina n’avoient pas imaginé ). La danse entretient l’harmonie de tous les mouv
e une danse ronde), & assure que les Prêtres Egyptiens en avoient imaginé une très-ingénieuse pour représenter les mouvemen
toutes les infamies qui se sont passées sur la terre, ou qui ont été imaginées par les Poëtes, Enlèvement d’Europe, de Proserpin
tint dans un mouvement continuel son adresse & sa politique. Elle imagina fêtes sur fêtes pour lui faire perdre de vue le s
rant, flattant, amollissant le cœur, elle en augmente le danger. On a imaginé un nouveau genre de spectacle qui réunit tous les
16 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE IV. Apologie des Dames. » pp. 119-155
employés dans les affaires d’Etat, vous qui par conséquent ne pouvez imaginer des situations analogues à des intérêts d’Etat ?
is grandes Puissances l’environnent ; ce n’est pas, comme on se l’est imaginé jusqu’à présent, à la jalousie réciproque de ces
là vous ne peindrez que des Don Quichottes. L’imbécile Public s’était imaginé depuis longtemps que l’Achille de Racine, le Brit
e qui ne veut pas entendre l’éloge d’ « une femme de bien »dz  : je m’ imagine lui entendre dire encore ce qu’il pensait apparem
irez : ce sont vos dessinateurs de fabriques qui se cassent la tête à imaginer des goûts baroques. Encore un coup les hommes fon
ue ces deux dernières sciences valent bien toutes celles où vous vous imaginez qu’elles ne pourraient atteindre. Est-il plus dif
résente trop naturellement à l’esprit pour qu’il m’ait été possible d’ imaginer d’abord que vous ayez avancé votre paradoxe autre
17 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381
les Romains, ne doit point nous faire penser que l’Abbé du Bos l’ait imaginé le premier. Ces Ecrivains n’ont pas apparemment d
manus, & verborum velocitatem gestus assequitur. L’Abbé du Bos s’ imagine que dans cet endroit Seneque admire l’accord qui
s, cette Déclamation étoit dans le même goût : cependant nous ne nous imaginons pas que celle de la Comédie ait été un Chant musi
appellés, à ce qu’il prétend, artifices pronuntiandi. Quand ce qu’il imagine , seroit véritable, que voudroit dire Quintilien ?
admirable, & par conséquent n’étoit pas outrée comme nous nous l’ imaginons . §. IV. De l’idée qu’on peut se former de la D
rpris de l’image de la vérité, Quodque aget, id credes stupefactus imagine veri. Un Spectateur qu’étonne l’image de la vé
18 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XX. Suite des prétendus talents du Comédien & de la Déclamation théatralle. » pp. 63-85
biles Graveurs, qui n’ont pas moins réussi dans les sujets qu’ils ont imaginés , que dans les autres. Des Comédiens ont joué leur
ons ; mais en fut-elle moins admirée des connoisseurs désintéressés ? Imaginons -nous que ce Poëte célébre n’ait fait que cette pi
urces où il a puisé. Comparaison spécieuse ! Le Poëte est le maître d’ imaginer son sujet, & l’objection tombe d’elle-même. M
19 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre IX. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques n'étaient point infâmes parmi les Romains, mais seulement les Histrions ou Bateleurs. » pp. 188-216
blicis porticibus, vel in his civitatum locis in quibus solent nostræ imagines consecrari, pictura Pantomimum veste humili, vel
onnes d'honneur et de qualité ; et je ne crois pas que l'on se puisse imaginer que Roscius cet excellent Comédien, et Esope cet
blicis porticibus, vel in his civitatum locis in quibus solent nostræ imagines consecrari, pictura Pantomimum veste humili, vel
20 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120
ouveau demandoit un nom propre qui le distinguât : le sieur Sahalin a imaginé celui de Tailleur costumier, & a donné à ses
public dans une seconde édition. Les Tailleurs ne pourroient-ils pas imaginer aussi une pommade de couleur de chair qui collât
modeles, & ouvrent une nouvelle carriere aux Vitruves. Qu’a-t-on imaginé de plu ingénieux dans la musique, de plus élégant
e à se défendre, dans les lieux même consacrés à la vertu. Qu’on ne s’ imagine pas que ce langage soit emprunté des Peres de l’E
, & que la foule assiégeât la porte de la Comédie. La stérilité a imaginé des épisodes inutiles & fausses qui ne serven
célérat, au lieu de le chasser de la maison, de le rouer de coups, il imagine pour se venger, eh quoi ? de le jouer sous le rôl
sur-tout venant de voir jouer le Tartuffe de Moliere. L’auteur qui a imaginé ces absurdités, le Journaliste qui en fait l’élog
21 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
voyant seigneurs, et admis à participer au gouvernement de l’Etat, s’ imaginèrent y avoir droit comme évêques, tandis qu’ils n’avai
rire en faveur de ceux qui ont du crédit et de l’argent. Je ne puis m’ imaginer enfin, par quelle raison M. de Sénancourt, que je
22 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE PREMIER. Comparaison des Théâtres anciens avec les modernes. » pp. 2-17
s, et surtout les Esclaves, n’étaient pas dans nos mœurs, et qu’ils s’ imaginèrent peut-être que, sans les intrigues d’amour, le Thé
ndonné par les modernes. Si les modernes n’ont pas été les premiers à imaginer des Comédies de caractère ; du moins, après les G
23 (1678) Maxime LXXXI « LXXXI » pp. 39-41
une conscience fondée sur l’honnesteté de ces sentimens ; & on s’ imagine que ce n’est pas blesser la pureté, que d’aimer d
24 (1733) Traité contre les spectacles « AVERTISSEMENT. » pp. 143-144
, selon Pamélius. Quelques Chrétiens peu instruits, ou présomptueux s’ imaginaient , que sans blesser leur conscience ils pouvaient a
25 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVIII. Prétention des Comédiens au titre d’homme à talens, mal fondée. » pp. 19-44
tion d’homme à talent, est une de ces ressources que l’amour-propre a imaginées , pour élever certains arts au-dessus des autres.
ciences ; sans elle ils sont confondus avec les ouvriers. Le Musicien imagine-t -il une piéce ? Il crée son sujet : il le commence
’ils ayent, n’a rien qui leur mérite le titre d’Homme à talents. Je n’ imagine pas qu’ils osent se dire Officiers du Roi, ni du
26 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — VIII.  » p. 462
'ordinaire ne se croient donc pas pour cela en sûreté, et qu'ils ne s' imaginent pas que ces lectures et ces spectacles ne leur ai
27 (1675) Traité de la comédie « IX.  » pp. 284-285
de d'ordinaire, ne se croient pas pour cela en sûreté, et qu'ils ne s' imaginent pas que ces lectures et ces spectacles ne leur ai
28 (1823) Instruction sur les spectacles « Introduction. » pp. -
spéculation le mal qui en est inséparable dans la pratique ; et on s’ imagine ensuite qu’il n’y a point de mal à les fréquenter
29 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVIII.  » p. 474
XVIII. Il ne faut pas s' imaginer que ces méchantes maximes dont les Comédies sont
30 (1675) Traité de la comédie « XVIII.  » pp. 300-301
XVIII. Il ne faut pas s' imaginer que ces méchantes maximes dont les Comédies sont
31 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre III. Que les anciens Pères de l'Eglise défendirent aux Chrétiens d'assister aux Jeux du Théâtre, parce que c'était participer à l'Idolâtrie. » pp. 57-89
naient sans recevoir d'excuse ni de prétexte. Mais afin que l'on ne s' imagine pas que je tire de moi-même cette conséquence des
Et voici comme il en parleTertul. de Spect. c. 4.. « Il ne faut pas s' imaginer que la défense que nous faisons aux Chrétiens aux
croyance qu'elles sont les délices de leurs Dieux. Quelle folie de s' imaginer que le plaisir est léger, s'il ne fait injure au
32 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — I.  » pp. 455-456
que sorte touchés pendant qu'ils la représentent, et il ne faut pas s' imaginer que l'on puisse effacer de son esprit cette impre
33 (1675) Traité de la comédie « II.  » pp. 275-276
que sorte touchés pendant qu'ils la représentent; et il ne faut pas s' imaginer que l'on puisse effacer de son esprit cette impre
34 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE V. Des Comédiens. » pp. 156-210
à favoriser des nouveautés qui pourraient lui procurer, à ce qu’il s’ imagine , un sort plus heureux et des plaisirs qu’il désir
ux sexes sont si récalcitrants et si libertins qu’il est impossible d’ imaginer et d’établir des lois capables de les contenir. e
t de ses bontés sans abuser de sa générosité, voici le moyen que j’ai imaginé pour tirer encore parti de leurs talents même dan
i à mon égard. Quant à quelques idiots de Bourgeois, n’allez pas vous imaginer que moi ni aucun de mes consorts qui pensent à ma
ns : des coquins, des Catins, et des sots. Je ne voudrais pas qu’on s’ imaginât sur ce que je viens de dire que je méprise la Bou
me croire un petit Solon, et vous le faire croire aussi. N’ai-je pas imaginé des lois pour le maintien de la police et des mœu
foi pourtant : malgré toutes mes lumières ce n’est pas moi qui les ai imaginés , ces documents. Un Officier Livonien, prisonnier
avaient conçus contre le caractère de M. de Crébillon. Ils s’étaient imaginé , dit-il, qu’un homme qui avait pu traiter si éner
35 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 3 : Livre VI, chap. 15] » pp. 663-664
décédé. « Nam neque remeare viventes à corpore sensus nec tam videri imagines hominum quam cogitari et oculos luctibus credere.
36 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — X.  » pp. 464-465
uci extra patitur ». C'est pourquoi quelque honnêteté qu'on se puisse imaginer dans l'amour d'une créature mortelle, cet amour e
37 (1675) Traité de la comédie « XI.  » pp. 288-289
cu extra patitur. » C'est pourquoi, quelque honnêteté qu'on se puisse imaginer dans l'amour d'une créature mortelle, cet amour e
38 (1758) Lettre à M. Rousseau pp. 1-42
ns d’un esprit qui admire de bons principes, que d’un génie qui crée, imagine , enfante, dès qu’il voit de bons principes à suiv
é bon père, excellent mari ; et pour le rappeller dans son sein, elle imagina de lui inspirer des songes aimables. Bientôt les
rai, plus éblouissant que l’éclat des roses, une gorge telle qu’on en imagine à l’aurore naissante ; et la vérité, cette vérité
votre cœur. Malgré votre haine obstinée, n’avez-vous pas quelquefois imaginé une femme tendre, honnête, fidelle, caressante ;
39 (1758) Réponse pour M. le Chevalier de ***, à la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles [Essais sur divers sujets par M. de C***] « Réponse pour M. le Chevalier de***, A la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles. » pp. 128-142
donc, Monsieur, que Melpomène n’est pas si à craindre que vous vous l’ imaginez . Examinons maintenant si son aimable sœur a plus
nt rien à faire ; mais vous auriez tort, je le répete encore, de vous imaginer que je regarde le théâtre comme une école de reli
40 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVI. De la présentation des Poëmes aux Comédiens ; de leur réception, & du choix de ceux qu’on joue dans les intervales. » pp. 8-11
a révolution dont nous les ménaçons, n’est pas si éloinée qu’ils se l’ imaginent .
41 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre II. Que les nouveaux Drames sont susceptibles de règles, ainsi que les autres Poèmes. » pp. 121-122
ime à ce sujet avec beaucoup de force ; « C’est, dit-il, une erreur d’ imaginer qu’il faille moins d’art pour faire un Opéra-Comi
42 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VII. Les spectacles favorisent les suicides. » pp. 90-92
e elle-même, dans un lieu des enfers plein de tristesse, et parmi les imagines analogues à son désespoir. Molière, plus corrompu
43 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VIII. Les spectacles favorisent les duels. » pp. 93-95
t infiniment plus lents ; mais ce qui les rend si vifs, c’est qu’on s’ imagine qu’il y a de la lâcheté à souffrir une injure. Le
44 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIX.  » pp. 475-477
te y prête, et qu'on la considère par la raison, on ne saurait rien s' imaginer de plus détestable que la furie de cette fille in
45 (1675) Traité de la comédie « XIX.  » pp. 302-305
e Poète y prête; et qu'on la considère par la raison, on ne saurait s' imaginer rien de plus détestable que la furie de cette fil
46 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « I. Point. » pp. 178-200
Augustin, ne sont que des images de la vérité, ou plutôt d’une chose imaginée à plaisir, comme la représentation d’une idole es
présentation d’une idole est la figure d’une divinité feinte, « eorum imagines lambunt cogitatione famelica »Lib. 1. Conf.  ; or
s de lui-même, tantôt il se sent le cœur plein d’un feu martial, et s’ imagine combattre, tantôt agité de mouvements plus doux,
47 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92
, pour les insulter à la face d’une nombreuse Assemblée : ce serait s’ imaginer qu’elles se repaissent d’idées criminelles, qu’el
nt finesse. En un mot quiconque dit des infamies devant le sexe, ou s’ imagine par là plaire aux femmes, ou bien ne se l’imagine
evant le sexe, ou s’imagine par là plaire aux femmes, ou bien ne se l’ imagine pas : s’il croit leur plaire, quelle injure ne fa
ses tendres que M. Dryden dit que les Dames lui demandent ! Mais je m’ imagine qu’il entend les DamesLes Prostituées. trop modes
nsolations dans la souffrance ! Cette comparaison n’est-elle pas bien imaginée  ? c’est apparemment que ceux qui aiment, semblabl
é d’un Dieu. Voilà l’homme qu’Aristophane joue finement, à ce qu’il s’ imagine  : il lui prête un habillement de fou, et puis il
ie, un nouveau champ d’iniquité que personne avant nos Poètes n’avait imaginé . Aristophane tout coupable qu’il est par tant d’e
48 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
une prière qui se disait chaque jour ; & pourquoi n’aurait-on pas imaginé en même-tems une manière stable de la prononcer ?
rémiers tems de la Monarchie Française. Il ne faut pourtant pas s’ imaginer que les Gaulois ne la connurent qu’après la destr
e la Musique autant de mal que de bien. Il ne faut pourtant pas s’ imaginer qu’il n’y ait que des louanges à donner à cet Art
sique, qu’on s’est généralement moqué de ce Martin Scriblerius, qui s’ imaginait par les sons de sa lyre appaiser deux Harangères,
nt tous simples. Je ne hais point tant la musique qu’on pourrait se l’ imaginer . J’ai voulu seulement que le Lecteur fût instruit
i cesserait d’être agréable, s’il était trop réitéré. Tout le monde s’ imagine que le nouveau Théâtre ne serait rien sans le sec
49 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IX. Qu’il faut craindre en assistant aux comédies, non seulement le mal qu’on y fait, mais encore le scandale qu’on y donne. » pp. 41-43
es sages du monde qui ne savent s’ils sont chrétiens ou non, et qui s’ imaginent avoir rempli tous les devoirs de la vertu lorsqu’
50 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre II. Utilité des Spectacles. » pp. 8-21
dèshonorez les Auteurs des Ouvrages qu’ils représentent. Que peut-on imaginer de plus absurde ? En France on élève jusques aux
é en possession. Je réponds en demandant d’abord, s’il est possible d’ imaginer un genre nouveau de Spectacle qui ait rapport à l
51 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VIII. Erreurs des Modernes sur ce sujet. » pp. 165-186
onnêtes gens, et que leur vie n'était point licencieuse comme on se l' imagine  ; et sans distinguer les Jeux Scéniques des repré
 ; et bien loin de croire ces femmes fort honnêtes, comme il se l'est imaginé , il doit savoir qu'elles étaient l'opprobre du Th
52 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XI. Les pères et mères perdent leurs enfants en les conduisant ou en leur permettant d’aller aux spectacles. » pp. 105-107
, des personnes élevées en dignité, des vieillards y applaudir. Ils s’ imaginent que tout ce qu’on leur expose est à retenir : ils
53 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189
bons ne feroient de bien à personne. Malgré tout ce que vous pourrez imaginer , vous ne persuaderez à qui que ce soit au monde,
aisir même qu’on a en le voyant, ne vient point du tout, comme vous l’ imaginez , par la raison qu’il n’est pas Misantrope à la le
r le nôtre à les en priver. N’est-il pas absurde que nous nous soyons imaginés être en droit de décider impérieusement qu’elles
ours victorieuses de l’impudence ? Encore une fois, Monsieur, ne vous imaginez pas que je veuille autoriser les mauvaises mœurs,
esse de nos Monarques a proscrit les duels en France, elle n’a jamais imaginé réussir tout d’un coup à changer l’opinion, et; à
es Comédiens, qu’on voit tous les jours à la table des Grands. » Vous imaginez -vous que je puisse vous supposer assez peu d’espr
peut-être la preuve de mauvaise foi la plus caractérisée qu’on puisse imaginer . Rapportons-la dans toute son étendue. J’en rougi
, mais c’est au profit d’une Communauté dont il fait membre. J’aurois imaginé qu’après tout ce que votre mauvaise humeur vous a
tes femmes que vous nous avez débité toutes ces belles choses. Vous n’ imaginez pas comment, au milieu de toutes les occasions de
e les en empêcher…. » Vous vous abusez ici bien grossiérement de vous imaginer que les Comédiens seroient fâchés qu’on les contr
u de complimenter, et; qu’elle le fait toujours de la maniere qu’elle imagine devoir être agréable à celle qui lui donne sa con
rcequ’en vérité je ne crois pas le devoir. Je puis me tromper, mais j’ imagine avoir suffisamment rempli la tâche que je m’étois
ne. Cette observation mérite certainement plus d’attention qu’on ne s’ imagine . Ce que vous dites des Bals me donneroit lieu de
ubterfuge honnête et; suffisant. Voyons-la. « Il me paroît plaisant d’ imaginer quelquefois les jugemens que plusieurs porteront
 ? Je ne rapporte pas ici vos propres termes, je l’ai déjà fait. Vous imaginez -vous que votre livre auroit eu moins de poids qua
vantages, ils reviendront bientôt respirer l’air natal ; mais ne vous imaginez pas pouvoir y réussir en entretenant une austérit
54 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64
on en devait attendre. Molière s’est dit à lui-même, au moins je me l’ imagine  : « Les Français sont naturellement portés aux pl
pour les pièces de Molière, c’est précisément par la raison que vous imaginez plus capable de les rendre meilleures, c’est-à-di
d’Harpagon ; mais tous ces traits sont vrais. L’art de l’Auteur fut d’ imaginer des situations, de les coudre si artistement, que
e mémoire ne vous dédommage pas de cette privation, vous n’auriez pas imaginé qu’il est des caractères estimables qu’on n’ose m
ec un mépris héroïque, il lui dira : « frappe mais écoute »aj  ? Vous imaginez -vous, m’allez-vous dire, que ce point d’honneur p
t un vice et cela n’est pas si fort éloigné du succès que vous vous l’ imaginez . Je me trompe fort si vous n’avez imaginé un très
du succès que vous vous l’imaginez. Je me trompe fort si vous n’avez imaginé un très beau dénouement pour quelque Tragédie ou
55 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre III. De l’Unité de lieu, de Tems & de Personne. » pp. 211-238
ser dans un autre lieu. D’ailleurs, après que je me suis éfforcé de m’ imaginer que je suis véritablement dans une salle, ou tel
ntre sans peine. Plus on peut faciliter au Spectateur les moyens de s’ imaginer que ce qu’il voit est réel, plus on est certain q
t autour d’eux l’éclat nécessaire ; & ce serait à la Lune qu’on s’ imaginerait la devoir, ou à d’autres causes étrangères. Je ne
56 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à rejeter. » pp. 313-318
qui donne de l’esprit : l’une et l’autre de ces Pièces semblent être imaginées tout exprès pour gâter le cœur et pervertir l’inn
57 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
a fait les aventures d’un Roman avec l’esprit de la Grâce, et pour s’ imaginer qu’il peut traiter les mystères de la Grâce avec
c’est un Micahel, c’est un Eliachim. C’est enfin tout ce qu’un fou s’ imagine . Mais il ne se l’imagine pas seulement, il l’écri
un Eliachim. C’est enfin tout ce qu’un fou s’imagine. Mais il ne se l’ imagine pas seulement, il l’écrit, il l’imprime, il le pu
ent qu’ils ne sont pas nouveaux. Désabusez-vous, Monsieur, et ne vous imaginez point que le monde soit assez injuste pour juger
58 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 12. SIECLE. » pp. 187-190
ul œil n'a vue, que nulle oreille n'a ouïe, que nul esprit humain n'a imaginée , ces biens et ces trésors que Dieu a préparés pou
59 (1762) Apologie du théâtre adressée à Mlle. Cl… Célébre Actrice de la Comédie Française pp. 3-143
s-lors auroit un air de vérité frappant. Car enfin il est difficile d’ imaginer , que ce qui a le lustre & l’éclat du beau, so
ssé par un tour, flatté par un air fait grace aisément du reste, on l’ imagine aussi-tôt conforme. C’est un préjugé aussi commun
réalité même. Et en effet qu’est ce qu’une Piéce si accomplie qu’on l’ imagine , jusqu’au moment de la représentation ? C’est un
saisir ? Quand on parle ici de cette vérité célébre, il ne faut pas imaginer que ce soit l’expression naïve de ce qui se passe
nous devons en chercher la perfection : c’est chez lui. Delà on peut imaginer que s’il faut dans le Juge une grande sérénité ;
rs républicaines ; je ne sçais pas par quel endroit ; à moins qu’il n’ imagine que les Estaminès, les Cotteries soient le caract
s traits seront sans force & sans vertu. Comment au reste peut-on imaginer , que l’esprit occupé du fil d’une Piéce, ou des m
60 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre IV. Histoire de l’Opéra-Bouffon, autrefois Opéra-Comique & ses progrès. » pp. 50-66
& les chefs-d’œuvres de leurs grands maîtres, parce que nous nous imaginions bonnement qu’il serait impossible à des Français
à la gloire de l’Opéra-Comique. Il s’agit d’une nouvelle subtilité qu’ imaginèrent ses Auteurs afin de le faire paraître en dépit de
61 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
va beaucoup plus loin. Il éxige des compositeurs de Drames, qu’ils s’ imaginent être les personnages mêmes de leurs Pièces. Voici
rsonnages qu’ils cherchent a copier, mais ils auront soin encore de s’ imaginer qu’ils sont métamorphosés en Tonneliers, en Garde
62 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatrième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 28-32
es mesurent la gloire, par l’atrocité du scandale qu’elles ont donné. Imagine avec quelle surprise, mêlée de joie, j’ai vu, en
63 (1668) Les Comédies et les Tragédies corrompent les mœurs bien loin de les réformer. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics en augmente le danger. On ne peut assister au spectacle sans péril « Chapitre X. Les Comédies et les Tragédies corrompent les mœurs, bien loin de les réformer. » pp. 185-190
; et ceux d’Aristote, qui affectaient de bégayer comme lui. Nous nous imaginons facilement que ceux qui remarqueront en nous ces
64 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. L’Arétin, le Tasse, l’Arioste. » pp. 38-79
a mort d’Arétin. Je ne sai si elle l’avoit entendu dire, ou si elle l’ imagina  : elle en étoit très-capable. Gardez-vous bien d
’en étoit une en effet ; & le Tasse, par une autre imbécillité, s’ imagina que, pour faire excuser sa passion & obtenir
utres imaginations furent, ou la cause, ou l’effet de sa folie : il s’ imagina que la cause de son mal & la source de ses ta
talens & ses connoissances étoient au-dessus de l’humanité, il s’ imagina avoir, comme Socrate, un esprit-familier qui lui
.Mirabeau, dans sa préface sur Roland, se moque d’une calomnie si mal imaginée , sans preuve, sans vraisemblance. Il avoue cepend
amp; il dit vrai : c’est un tissu de tout ce que l’esprit humain peut imaginer de plus extravagant. L’auteur ne s’en cache pas.
65 (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191
vinités, quel sentiment aurait-il de nos Poètes Français, qui se sont imaginés qu’on ne saurait faire de bons vers, si on ne les
66 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « V. Si la comédie d’aujourd’hui purifie l’amour sensuel, en le faisant aboutir au mariage.  » pp. 19-24
as dans nos comédies des violences semblables à celles-là, on en fait imaginer d’autres, qui ne sont pas moins dangereuses ; et
67 (1707) Réflexions chrétiennes « Réfléxions chrétiennes, sur divers sujets. Où il est Traité. I. De la Sécurité. II. Du bien et du mal qu’il y a dans l’empressement avec lequel on recherche les Consolations. III. De l’usage que nous devons faire de notre temps. IV. Du bon et mauvais usage des Conversations. Par JEAN LA PLACETTE, Pasteur de l’Eglise de Copenhague. A AMSTERDAM, Chez PIERRE BRUNEL, Marchand. Libraire sur le Dam, à la Bible d’Or. M DCCVII — Chapitre XIII. Du temps que l’on perd au bal et à la danse. » pp. 280-284
ttirer les éloges, et l’admiration même des assistans. Et que peut-on imaginer de plus vain qu’une telle pretension ? Qu’y a-t’i
68 (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386
re qui semble diriger les opérations et fixer le goût de ce siècle, a imaginé de substituer des enfans aux comédiens, et de ne
ongé seulement à s’éloigner des limites de leur patrie, s’ils avoient imaginé que les guerriers, dont le sang devoit cimenter l
ngloutir les générations, se refermera sur lui-même…. Les nations ont imaginé toutes sortes de titres pour illustrer la mémoire
éconde de tout genre de maladies, c’est incontestablement le théâtre. Imaginez dans quelle crise doit se trouver l’état physique
69 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE II. Théatres de Société. » pp. 30-56
ification bien moins que les tournures adroites & voilées qu’il a imaginées pour adoucir la vivacité (la grossiereté) des tab
ris & dans les provinces, que pour en faciliter l’exécution, on a imaginé deux branches de commerce. Le sieur Renaudin a ét
tantôt la salle à danser, tantôt la scène à jouer, &c. On a même imaginé à l’opéra de lever le parterre à niveau du théatr
é occupé par l’Amour Architecte, ballet charmant, aussi joli que bien imaginé (c’est en effet l’amour qui est l’Architecte de t
70 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XII. Des Machines & du merveilleux. » pp. 179-203
est un des plus difficiles à faire jouer avec vraisemblance. Il faut imaginer des signes qui ne laissent aucun doute sur les ob
roire sur sa parole eût choqué la délicatesse du spectateur. Sophocle imagina de faire présenter par Oreste à Electre, un annea
71 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IX. Défauts que les Etrangers ont coutume de reprocher à notre Tragédie. » pp. 231-259
aces dans la bouche de ceux qui savent les prononcer. Les Etrangers s’ imaginent qu’en prononçant deux Vers, nous nous reposons qu
l’amour à celui de la dévotion, comme a fait Petrarque. Pouvoit-on s’ imaginer que l’amour ne devoit point s’accorder avec la ma
puisque dans le pays où il doit être mieux connu, tant de Personnes s’ imaginent que ce langage étoit toujours le sien, qu’il ne f
72 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
besoin de distraction n’est pas aussi nécessaire à l’homme qu’on se l’ imagine communément ; c’est bien moins une loi de la néce
bstituée à la vie véritable. « Ceux-là se trompent étrangement qui s’ imaginent que les ouvrages de ce genre ne font sur eux aucu
i qui méprise les petites choses tombera peu à peu". « Et qu’on ne s’ imagine pas que, de ce que l’on ne va pas au spectacle po
73 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE PREMIER. Peinture & Sculpture. » pp. 4-40
fornicationis in imaginibus & picturis. Les écoles de peinture s’ imaginent que pour former leurs éleves, il faut mettre sous
r le théatre prit ou donna dans tous les tems le ton du vice, obscenœ imagines in libris etiam in litteris grandiusculis, quas i
hristianæ familiæ instituto sunt indigna, & oculos Dei offendant, imagines obscenas incendat prophanos quæ ad inanam volupta
id genus incendi curet, sacras Christi. B. Virginis, & sanctorum imagines præsertim patronorum locis honestis statuat, libr
eux avec la plus violente passion : Cum vidisset depictas in pariete imagines chaldeorum insaniverunt & miserunt nuntios ad
74 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
ensuite : il joignit un interlocuteur au personnage de Thespis, & imagina le dialogue. Sophocle & Euripide, après lui,
qui inventa la mesure des vers ; & un autre après, le Poëte Leon, imagina la rime. Nos vers servirent d’abord aux anciens T
es ne sont pas toujours aussi faciles à répandre, qu’on pourroit se l’ imaginer , & que c’est dans la bonté de leurs cœurs que
d’illusion, est un monologue. Ceux qui nous ont précédé & qui ont imaginé ce genre de spectacle, semblent l’avoir mieux con
vant lui on ne connoissoit que la mélodie ou le chant. Ce fut lui qui imagina les lignes, la gamme & les six syllabes ut, r
75 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — CHAPITRE IV.  » pp. 109-114
oire de suivre notre éxemple, soutiendront que les Spectacles ont été imaginés , non pour faire bailler, mais pour éxciter au pla
76 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXIII. Passages de Saint Basile sur le sérieux de la vie chrétienne. » pp. 132-135
tre 12, Migne, P.G., tome XXXI, col. 1375-1376]., et il ne faut pas s’ imaginer qu’il ne parle que pour les moines ; puisqu’au co
77 (1768) Instructions sur les principales vérités de la religion « CHAPITRE LII. De la Comédie et des Spectacles ? » pp. 142-146
son : elle fait commettre cent fois plus de crimes que vous ne pouvez imaginer . Les fruits qui croissent sur les bords du lac de
78 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. —  CHAPITRE V. Tribunal des Comédiens. » pp. 128-140
, quelle chimere de penser qu’il les épure ! quel aveuglement de se l’ imaginer , de le dire ! & quelle imbecille crédulité de
age, y réunissent des danses ; enfin, d’après le Vauxhall Anglois, on imagine de construire à grands frais des lieux d’assemblé
79 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VI. Des Sçènes. » pp. 257-276
stote, & les utiles maximes de ses nombreux Commentateurs ; ils s’ imaginent sans doute que l’Opéra-Bouffon ou la Comédie-mêlé
erne, dont les Scènes sont défectueuses, est si considérable, qu’on s’ imagine que le genre adopté par le nouveau Théâtre, ne de
80 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45
et à la droite raison, ils ne l’auraient pas tant décriée... Ne vous imaginez pas, dit-ilPage 18. , qu’on n’y dît autrefois que
nde illusion que celle-là. Afin qu’il n’y manque rien le Théologien s’ imagine que son sentiment est le même que celui d’Albert
de son excellence, parce qu’il ne se peut que celui qui critique ne s’ imagine être plus parfait que celui qui est critiqué. Ain
e. Et il s’ensuit de là, ce me semble, qu’un certain Auteur qui s’est imaginé « qu’il faudrait ou fermer le Théâtre, ou prononc
81 (1760) Lettre à M. Fréron pp. 3-54
e, Caton, Cicéron et tous les sages de l’Antiquité Païenne, peut-on s’ imaginer qu’il ne sera pas plus facile alors de leur faire
irer les vertus des Héros et des Martyrs du Christianisme ? Peut-on s’ imaginer que l’Entousiasme prophétique de Joad dans Athali
ux usage des vérités chrétiennes mises en action ; peut-on, dis-je, s’ imaginer que ces spectacles soient sans effet sur des cœur
isser pénétrer des vérités de notre Sainte Religion ? peut-on enfin s’ imaginer qu’il ne soit pas facile de faire un bon Chrétien
des frais d’une nuit voluptueuse. Les auteurs Dramatiques qui se sont imaginés que la politesse, les mœurs et le bon esprit avai
82 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre II. Regrèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. » pp. 94-100
’ayons pas quelqu’ouvrage d’Aristote sur notre Spectacle favori. Se l’ imaginerait -on ? L’on regarde presque ce fameux Philosophe co
83 (1691) Nouveaux essais de morale « XIV. » pp. 151-158
on, la lecture en est encore plus dangereuse, parce qu’en lisant on s’ imagine voir et entendre les Acteurs ; et ainsi la lectur
84 (1677) L’Octavius « Paragraphes XXXVI-XXXVIII du texte latin » pp. 159-171
, ou que nous ayons honte de notre religion. Mais qui sont ceux qui s’ imaginent que nous n’osons toucher aux fleurs ? Ne cueillon
85 (1825) De quelques naïves coutumes « De quelques naïves coutumes. » pp. 262-266
à fonder une fête dans les temples chrétiens, ils ne pourraient rien imaginer de plus que ces « abominations mêlées d’une infin
86 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Sixième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 40-72
e Théâtre nous procure, sans nous exposer aux inconvéniens. J’ai donc imaginé de maintenir la Comédie, & de supprimer les C
fameux*. On y définit le mot Spectacles, Représentations publiques, imaginées pour amuser, pour plaire, pour toucher, pour émou
nt un art plus utile & plus estimable que ses partisans même ne l’ imaginent , la place qu’ils doivent occuper parmi les Citoye
87 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233
RIUS. Si l’on consulte la Préface de cette Tragédie, personne ne s’ imaginera qu’il y ait la moindre idée d’amour : Le grand Co
usage : cependant, je suis convaincu que l’histoire de Médée n’a été imaginée que pour en corriger l’abus. En examinant cette T
é que Quinault a changé d’avis en composant sa Pièce ; et que s’étant imaginé , par les raisons que nous avons tant de fois répé
88 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE II. » pp. 18-28
sible de vous sauver du naufrage. Votre Conseil fertile en expédiens, imagine une alliance essentielle entre votre troupe &
89 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — [Introduction] » pp. 2-6
e. Il dit lui-même que son Lucrece lui avoit beaucoup coûté, & il imagina le conte de la méprise de son prétendu valet-de-c
90 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
et un peu après, ce même Saint ajoute : s’il y a donc quelqu’un qui s’ imagine que de se trouver aux spectacles ne soit qu’une f
91 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver sur le Théâtre de la Réformation. Avant Propos. » pp. 118-127
sant, j’ai trouvé que les désordres de l’amour étaient souvent si mal imaginés par les Poètes, qu’il m’a été quelquefois impossi
92 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE III. Extrait de quelques Livres.  » pp. 72-105
leur étoient impossible de fournir d’aliment à tant d’années, ils ont imaginé des pieces de théatre, qui donnent de l’occupatio
p;c. Il est créateur de l’opéra : on lui fait surtout honneur d’avoir imaginé ces robes traînantes de trois ou quatre aulnes qu
p; dont Boileau disoit d’une robe à longs plis balayer le barreau. Il imagina de faire ronfler les furies par fureur, ce qui es
scélératesse si calme. Ce n’est point la nature ; c’est une atrocité imaginée par un esprit noir, sans aucune vraisemblance. Le
93 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Théatre de Pologne. » pp. 80-105
dans ce spectacle : il est difficile de croire que les Russes l’aient imaginé & exécuté ; sur-tout ceux qui étoient en Polo
’on disoit au théatre le Baron le Kainki, la Comtesse Claironka. On a imaginé encore à Varsovie une espece de Vauxhall, sous le
ssies, n’a pu faire cette dépense, ni trouver d’ingénieurs capables d’ imaginer de si vastes ressorts. Ces deux spectacles de Sca
94 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE III. Théatre de S. Foix. » pp. 52-75
rioste, Cirano Bergerac, les Chevaliers de la table ronde, n’ont rien imaginé de moins vrai-semblable. C’est un vrai conte de v
es avoient été faites pour une comédie qui n’avoit pas été jouée ; il imagina d’en faire une sur ces décorations, comme M. Ducl
féconde ! On n’a qu’à prendre au hasard quelques grotesques de Calot, imaginer une liaison, fût-elle aussi bizarre-que les morce
95 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Moliere. » pp. 4-28
, il est du moins vrai qu’il rend parfaitement les caractères qu’il a imaginés . Il suit bien le second précepte d’Horace, s’il n
ur représenter le caractère dominant. C’est une idée d’enthousiaste d’ imaginer avec le sieur Chamfort, Panégyriste couronné de M
de converser dans le monde ; il faut être bon jusqu’à l’excès pour s’ imaginer qu’il ait travaillé pour la discipline de l’Eglis
96 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE II. Le Théâtre purge-t-il les passions ? » pp. 33-54
r la vérité. « Je ne saurais concevoir quel plaisir on peut prendre à imaginer , à composer, à jouer le personnage d'un scélérat,
e tue de rage ? Un Auteur dramatique doit se mettre à la torture pour imaginer et rendre vivement tout ce qu'un malhonnête homme
ontrant expirants, dans la crainte d'être elle-même égorgée ; peut-on imaginer rien de plus dénaturé et de plus horrible ? Une f
97 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IV. Suite des effets des Passions. » pp. 84-107
pour un Chrétien, de se plaire dans le péché ! quel aveuglement de s' imaginer qu'il cesse d'être un péché, parce qu'on s'en fai
nt, ou plutôt avec empressement, tous les mouvements les plus vifs qu' imagine l'Auteur, qu'exprime l'Acteur, qu'applaudit le sp
é un art antiphilosophique, tout occupé à détruire ce que la raison a imaginé de plus parfait, à armer, à animer contre nous ce
98 (1675) Traité de la dévotion « Chapitre III. De la trop grande sensibilité aux plaisirs de la terre ; troisième source de l’indévotion. » pp. 58-65
ètre ne l’effleure pas. Il faut donc tirer les hommes d’erreur. Ils s’ imaginent se pouvoir partager entre ces deux joies, celle d
99 (1807) Préface pour une édition des deux lettres à l'auteur des Imaginaires « [Chapitre 2] » pp. 78-82
que défendue, n’a pas encore été débitée à Paris. Mais l’auteur s’est imaginé peut-être qu’on lirait plus volontiers en deux vo
100 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [B] » pp. 380-390
me Térence imita celle de Ménandre, dont il ne fut pas, comme on se l’ imagine , le simple traducteur : de même qu’aujourd’hui, u
nication & la jalousie mutuelle des petits Etats d’Italie, a fait imaginer à leurs Poètes. On voit, dans une même intrigue,
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