e dont il est charmé, et qui lui fait haïr la paix et la douceur d'un
heureux
repos. Il est bien clair qu'il n'y a rien de soli
que le cœur conçoit par l'oreille ? Et cependant combien cette vanité
heureuse
, ou plutôt cette vaine félicité produit-elle de m
cœur, selon ce qui est écrit : O mon peuple, ceux qui vous appellent
heureux
, vous trompent. C'est de là que viennent les pein
ous nous avez fait éprouver des outrages, quand même vous étiez assez
heureux
pour pouvoir nous faire entendre des vérités. Cep
r nous-mêmes leurs reproches : l’amour n’a pas suffi pour nous rendre
heureux
; le plaisir nous a rendu ingrats, la douceur nou
D’ailleurs, pouvez-vous dire que des êtres que la dépendance rendait
heureux
, et qui n’étaient enchaînés que de fleurs, conser
Ils vous diront que les plans les plus ingénieux, les idées les plus
heureuses
, leur sont souvent venus des femmes ; qu’ils ont
elle aigrit son sang, blessa sa raison ; il se sentait fait pour être
heureux
, il voyait mille coquins merveilleusement constit
était livré à tout le danger de sa maladie. Ces Solitaires n’étaient
heureux
et sages qu’en apparence. La fougue et l’imbécill
us lequel il s’asseyait toujours, et cet arbre, autrefois peut-être l’
heureux
berceau des tendres amours, n’était plus maintena
conservé leurs premiers charmes : ils étaient faits pour nous rendre
heureux
; mon cœur, sans les avoir jamais connus, en chér
ance d’un premier préjugé. Zima fut désabusé, devint sensible, et fut
heureux
. Puisse votre fin ressembler à la sienne ! Zirbé
pête. Triste, rêveur au moins, je le vois, monsieur d’Alzan n’est pas
heureux
… Il ne le serait pas ! lui, dont le sourire, un s
e pénétrerai dans son âme, j’y lirai ; … mais il ne s’en doutera pas.
Heureuse
Adélaïde ! c’est un sort tel que le vôtre que vou
consternation quand ils perdent, ou éclatant de joie si leur sort est
heureux
. Une vaste sale qui mugit, des Orateurs qui tienn
ocilité à profiter des avis, à changer, à retrancher, à ajouter. Trop
heureux
qu’on dirige sa main tremblante ; il s’anéantit e
vec des huées, avec des leçons, des exhortations à mieux faire ; trop
heureux
encore si on y joint quelque politesse, & que
rez beau, comme dit Diogéne la lanterne à la main, chercher ce mortel
heureux
sur le théatre, il n’y fut, il n’y sera jamais ;
é au bout des Champs-Elisées, ne pouvoit être dans une situation plus
heureuse
. Si notre Ciel plus constant, & moins pluvieu
par vous que Monime, Hermione, Athalie, Phedre, Roxane, Iphigénie,
Heureux
enfans de mes loisirs Vivent chez les François, f
vale, Actrice, on devine aisément Si sa colère fut modeste. Mais un
heureux
évènement En suspendit le cours, & m’épargna
lité. Puis ayant cet esprit agile Recouru le premier mobile, Et vu l’
heureux
trône des Dieux Il passe les deux Hémisphères, Et
n nuage, Pleure de toutes ses maisons. Soudain Jupiter qui désire Qu’
heureux
fleurisse son Empire, Tira d’un vaisseau des dest
ente vanité se disputoit ses vœux, C’étoit Agamemnon que l’on rendoit
heureux
: Il conservoit son rang aux pieds de ses maîtres
utables, Et si les Dieux sont adorables, C’est quand les mortels sont
heureux
. Il y a donc plusieurs Dieux ? On les donne à Di
la cime Et de ses pieds d’airain presse un immense abyme. Il seroit
heureux
que ces justes remords opérassent sa conversion.
es secret tributs qu’il rend à son auteur : Et ne savoir nuir, par un
heureux
lien, Les plaisirs d’un amant aux devoirs d’un ch
plaisirs, Ces Sirenes enchanteresses Trouveront des juges plus doux,
Heureux
si leurs tendres foiblesses Pouvoient arriver jus
acrées de la pudeur. L’amour qui te doit ses succès & plus d’une
heureuse
nuitée. (Quel torme, quelle image !) L’amour re
Il s’est chargé de ce soin dans la plupart de ses ouvrages fugitifs.
Heureux
s’il n’avoit pas porté trop loin un talent danger
eroit pas en quoi consiste le bonheur de la France. Nous sommes fort
heureux
qu’il existe à Geneve un vieillard pour nous fair
e prodige de science & de talens de faire rire. Que la France est
heureuse
d’avoir un Bouffon de quatre-vingt ans. Dans quel
rêver dans l’autre monde, puisque la vie est un sommeil, rendons-nous
heureux
par des songes. Il faudroit copier toutes ces pe
s mêmes ! Les Spectacles n’ont pû pénétrer chez les Romains, dans les
heureux
tems de la République S. Aug. de Civ. Dei, cap.
là les Spectacles des Chrétiens. ConclusionQue nous nous estimerions
heureux
, s’il plaisoit à Dieu de répandre sur ce petit Ec
s par un mariage. C’est le dénouement légitime de toute l’intrigue, l’
heureux
terme des artifices des Auteurs & des Acteurs
gnité de sacrement, qui n’est un lien indissoluble & ne peut être
heureux
que par sa bénédiction ? Les Acteurs & les sp
son avantage, en sorte qu’on est tenté d’imiter sa conduite, toûjours
heureuse
, quoique toûjours coupable. Il conclud par ce mot
es pour séduire les femmes qu’il aime. On lui applaudit, on le trouve
heureux
de se connoître si bien en plaisirs, & de sav
quelqu’un de ces griefs ? est-ce même à un mari à se plaindre ? Trop
heureux
que Madame veuille bien l’honorer de ses ordres &
e mariage que par des vûes pures & saintes, & on ne peut être
heureux
, si on ne met Dieu dans ses intérêts : & comm
contenter. Le théatre couronne toutes ces entreprises ; le dénouement
heureux
de la piece est la récompense de l’intrigue &
a passion en couronne les folies : & ces mariages insensés seront
heureux
! La comédie de l’Avare, l’une du petit nombre de
posséder, tout le monde applaudit à son bonheur. Mais qui sera assez
heureux
pour trouver ce trésor ? Il faut aller au bout du
s et la Philosophie, Je vous laisse Amants de Sophie L’honneur de cet
heureux
séjour. Et en ce labeur invincibles, De ces peti
el de ta gloire, Pour éterniser ta mémoire Par un immortel souvenir.
Heureux
fils d’une sage mère, Portrait des prouesses d’un
’à la démonstration, il n’est pas besoin d’en rapprocher ici tous les
heureux
effets. Il suffira de considérer sa puissance en
ensent point assez qu’ils n’ont le pouvoir en main que pour faire des
heureux
. Soumis eux-mêmes à la volonté du suprême législa
jamais s’y développer, ni troubler la prospérité commune. Désolée des
heureux
effets qu’on devait naturellement attendre du rét
e tempêtes avaient retenu sur des mers étrangères. Un événement aussi
heureux
, et qui doit faire époque dans les annales de la
ais, non content de conserver entre le souverain et les sujets, cette
heureuse
harmonie d’où résulte la félicité publique, l’ora
victimes. Mais ne nous abusons pas : jamais nous n’arriverons à cette
heureuse
révolution dans les mœurs, tant que l’asile de la
ousiasme à la finesse et à la conduite d’une intrigue dont chez lui l’
heureux
succès troublerait au moins la paix domestique, s
nce et mort dans des supplices inouis12 ! n’est-il donc pas écrit : «
heureux
ceux qui pleurent ! parce qu’ils seront consolés
ain barbare et dénaturée ! Et combien ne devons-nous pas nous estimer
heureux
, si, avant d’en venir à cette extrémité douloureu
ment depuis longtemps cherche à la venger du mépris ou de l’oubli des
heureux
du siècle ; que désespérant de les amener à la pr
que dans ces climats lointains on trouvera de vrais prosélytes ! Cet
heureux
événement était également l’objet des vœux de ceu
pour les bienfaits signalés dont nous ressentons encore aujourd’hui l’
heureuse
influence : inutilement aussi relèverons-nous ces
ement tous les Français aux maximes d’une religion austère ; ce temps
heureux
où les liens du sang et de l’amitié étaient assez
ix ; Il ne doit de leurs mains sortir que des bienfaits ; C’est par l’
heureux
emploi de consoler la terre Qu’ils honorent le te
, le remède est trop faible, et vient trop tard. » Quelle est donc l’
heureuse
influence du théâtre pour nous corriger, s’il ne
qui, à moins d’une abnégation purement religieuse, ne peut se trouver
heureux
ni se complaire dans un état, même apparent, d’in
ute avec reconnaissance, et se corrige avec empressement ou docilité.
Heureux
! cent fois heureux ! le siècle qui peut donner n
nce, et se corrige avec empressement ou docilité. Heureux ! cent fois
heureux
! le siècle qui peut donner naissance à ces érudi
halie ne parleront plus que le langage des Muses, quand sous le voile
heureux
de l’allégorie, nos poètes ne nous montreront plu
jamais le sanctuaire auguste par une coupable acception des parties.
Heureux
! si par tant de zèle et de fidélité dans l’exerc
itable jurisconsulte. Ah ! que celui qui n’en ressent pas l’influence
heureuse
, abandonne le sanctuaire des lois ! Tôt ou tard i
vraiment utiles à la patrie, dont ils sont les lumières et l’ornement
heureux
, n’en obtiennent souvent, pour prix de leurs nobl
ide défenseur de ses concitoyens, il devient le paisible arbitre et l’
heureux
conciliateur du pauvre habitant des campagnes. La
pour un trait échappé dans la chaleur même de l’action, en arrêter l’
heureux
effet par un scandale public, ou frapper de nulli
briller de sa propre gloire. Oui, nous touchons enfin à cette époque
heureuse
où nous n’y devons plus voir que des cœurs droits
iscuter et de défendre les intérêts de leurs concitoyens. Ainsi, plus
heureux
que nous, et moins distraits par des travaux arid
s efforts généreux et constants, vainement tenteront-ils de la rendre
heureuse
et florissante, si la scène, par sa licence et se
cessité de le faire pour rendre justice à la vérité, est d’un présage
heureux
pour les amis sincères de la religion et doit les
ion à l’auteur de lu i avoir ménagé un spectacle aussi moral et aussi
heureux
dans ses effets ? 35. NDA Que Dorat, à son lit
tout point à la morale de la religion ou de celui qui en méconnaît l’
heureux
empire, en refusant de croire, soit à sa vérité,
voir son présent ! Imagination, bien inestimable ! ah ! que tu fais d’
heureux
!) Vous le voyez ; je suis adorée. Chose étrange
es dons : il le verra : il deviendra plus passionné, plus hardi, plus
heureux
! Cher époux, sois-le, dût ton erreur être éterne
s d’être long et d’être lu, et je ne dois pas me flatter d’être aussi
heureux
en écarts. Le caractère de votre Philosophie, Mon
d’embarras en coupant le nœud, et vous n’avez cru pouvoir nous rendre
heureux
et parfaits, qu’en nous réduisant à l’état de bêt
ieux aussi des chagrins qui les accompagnent. Rendez les peuples plus
heureux
, et par conséquent les Citoyens moins rares, les
e quand il voudra consulter sa raison, il trouvera qu’il ne peut être
heureux
que par la vertu ; et c’est en ce seul sens que v
i souvent aux yeux des spectateurs des monstres impunis et des crimes
heureux
? Un Atrée qui s’applaudit des horreurs qu’il a e
ée par une musique effrayante, eût produit, ce me semble, un des plus
heureux
dénouements qu’on puisse imaginer au Théâtre lyri
s yeux la peine de Titus, c’est le spectacle de tout un peuple devenu
heureux
par le courage du prince : rien n’est plus propre
tié ; sentiment qui dans l’intention de la nature, devait nous rendre
heureux
, et que pour notre malheur nous avons su altérer
nt plus, que le talent dont vous avez montré au Théâtre lyrique de si
heureux
essais, comme Musicien et comme Poète, est du moi
n s’amuse ailleurs ; parce que Dieu, pour me servir d’une de vos plus
heureuses
expressions, les a doués d’une douceur très mérit
ent. Personne, Monsieur, ne prétendra le contraire ; des hommes assez
heureux
pour se contenter des plaisirs offerts par la nat
évu ; mais quiconque écrit, doit s’attendre à ces légères injustices,
heureux
quand il n’en essuie point de plus graves. Je sui
e avec lui lorsqu’il est en danger de la perdre, & qu’on s’estime
heureux
avec cet amant qui la posséde enfin ? Cet Auteur
sance, L’amour dispense, Il faut souvent pour devenir
heureux
Qu’il en coute un peu d’innocence : Laissez mon
s ipsas flete. Je ne puis, Mademoiselle, vous faire un souhait plus
heureux
que celui de ces pleurs salutaires, en vous assur
des personnages de comédie. Vous ne les croyez pes plus grands, plus
heureux
pour avoir représenté l’Empereur, & vous ne v
i quand vous verrez des gens opulens, ne les croyez pas véritablement
heureux
& riches ; ils n’en ont que l’apparence. Comm
ivaux ! que d’aventures funestes, souvent à sa vie ! On est bien plus
heureux
de ne pas les aimer ; il est bien plus doux de va
la facilité affadit la conquête. Mais, dites-vous, l’un jouit, il est
heureux
; l’autre ne l’est pas, il ne jouit pas encore. E
qui n’excite ni la Crainte ni la Pitié, & dont la Catastrophe est
heureuse
pour tous les principaux Personnages. Auroit-il r
les sentimens, ni par les caracteres, & jamais Sujet ne fut plus
heureux
pour la Tragédie : c’est le sujet qu’Aristote avo
es uns des autres, & deviennent tous si contraires à cet homme si
heureux
jusqu’au moment qu’il est entre sur la Scene, que
ourir. Cet Etranger qui est venu dans l’intention de lui apporter une
heureuse
nouvelle, est cause que l’affreux mystere se dévo
s les plus estimables. Que n’avoit-on pas lieu de se promettre de ces
heureux
commencemens, si le Plan du Pere des Lettres eût
z si c’est un ennemi qui vous poursuit. J’admire bien sincérement les
heureux
talens que la Nature vous a si libéralement prodi
hés des tragiques Grecs ; & je ne doute presque point qu’avec les
heureuses
dispositions que vous aviez reçues de la Nature,
ontairement à l’usage de ses yeux ; qu’il est aussi impossible d’être
heureux
, avec une ame souillée de vices, que de se bien p
inistrer. Mais en vain la nature nous offre les moyens de nous rendre
heureux
, si notre inapplication & notre lâcheté nous
i prêche la mortification & la pénitence, pour le rendre à jamais
heureux
. Elle répand mille douceurs. Elle interdit les pl
Vous faut-il des spectacles, dit S. Cyprien, sans attendre ceux que l’
heureuse
éternité doit étaler à vos yeux, le monde vous of
éveloppera les plus secrets replis ; le ciel recevant en triomphe ses
heureux
habitans ; l’enfer ouvrant ses abîmes, & engl
xercet suis. Dieu n’a point élevé des théatres pour rendre les hommes
heureux
dans le paradis terrestre, où tous les biens étoi
tes les autres, par la séduction & ses effets. Si on ne peut être
heureux
qu’au spectacle, le genre humain est bien à plain
lient rien pour ennoblir le vice, ils n’épargnent rien pour le rendre
heureux
. Dans La Femme Provoquée ; Constant jure comme un
e, de politesse, de bel esprit ; et il est encore représenté riche et
heureux
, afin que son exemple fasse sûrement son impressi
ean. ce fameux Petit-maître après toutes ses extravagances trouve une
heureuse
issue et épouse un riche parti. Mais alors le Poè
oint de divertissement à espérer, à moins qu’on ne représente le vice
heureux
, ou qu’on ne lui ouvre toutes les voies pour le d
s anciens, dont les dénouements n’étaient pas toujours des événements
heureux
, mais souvent des misérables, des rivaux, des esc
de les y attirer ? M. Dryden pour se laver de ces reproches, est trop
heureux
d’abandonner enfin son principe. « De peur qu’on
donc pas la fin principale) je déclare nettement que nous ne faisons
heureux
les hommes vicieux, que comme le Ciel laisse heur
nous ne faisons heureux les hommes vicieux, que comme le Ciel laisse
heureux
les pécheurs etc. » Si le reste répond à ce début
r que la Religion naturelle se suffit à elle-même pour rendre l’homme
heureux
& parfait. Ce Livre, quoique assez bien écrit
rez à un instant que je laisse venir, je dont que votre fin soit plus
heureuse
que la mienne. Il finit en reprochant aux Capuci
e, parjure, injuste, le peuple respectant ces imperfections prendra d’
heureuses
dispositions à la vengeance, à la haine, à la fou
ieuses. Les petites villes, les familles laborieuses ne font pas les
heureux
climats où la Scène a établi son plus brillant em
erain, Et leur indulgence pleniere. Château Saint-Ange-aimable asyle,
Heureux
qui dans ton sein tranquille, D’un carême passe l
ne valent pas mieux. On appelle ces folies des folies des négligences
heureuses
, on veut y trouver du naturel, de la délicatesse,
n 1592. Ces chiffons cachoient un trésor inconnu à tout, & dont l’
heureux
chanoine régulier fit la découverte. Je fouille
ait mis celle-ci qui les renverseroit toutes. Le supplément n’est pas
heureux
. On veut conclure de ses sentences que l’ orgueil
u contraire on a profité de ses sages avis, on s’est corrigé. Voilà l’
heureux
effet que devroit produire la critique ; mais à P
larant trois fois sa ruine authentique, trois fois s’est enrichi d’un
heureux
deshonneur, & qui pourtant jouant, le grand S
Religion & les vertus des Grands produisent sans cet héroïsme, d’
heureux
effets pour le bien public. Au milieu du monde, l
eurs richesses, le desir de leur estime, tout concourroit à opérer un
heureux
changement. Les Auteurs excités par une noble ému
ude ne s’élevera pour la demander. Nous ne sommes plus dans le siecle
heureux
des Athéniens. Le Théâtre ayant une fois retenti
ces d’un homme aimable, qui possède tout ce qui peut rendre une femme
heureuse
. Que n’ai-je plutôt vu dans monsieur D’Alzan, l’é
; c’est réellement, que monsieur D’Alzan a pu… Ma chère Ursule, tu es
heureuse
, & je le suis aussi. Reçois le plus doux des
es saints Docteurs, qui depuis ont rempli l’Univers du bruit de leurs
heureux
succès, et ont fait de la France le berceau comme
’immoralité, je me suis hâté de porter mes regards sur des temps plus
heureux
. Alors, bénissant la main auguste et libérale qui
institutions humaines, loin de rendre les citoyens plus sages et plus
heureux
, contribuent très souvent à les rendre insensés e
actions qui partagèrent l’Empire sous Justinien. Les Français furent
heureux
tant qu’ils furent unis, tant qu’ils eurent du re
ils en ont, pourquoi les exposer aux flammes ? D’ailleurs, s’ils sont
heureux
, ils n’en ont que faire, et s’ils ne le sont poin
ngrats ? Pourquoi envierions-nous notre bonheur? Si nous avons été si
heureux
, que la vérité divine soit manifestée en nos jour
je dois l’ajourner, et peut-être indéfiniment. J’attendrai d’abord l’
heureuse
issue du procès intenté contre les deux journaux,
ue sorte stupide, à des guerres injustes ou du moins sans un résultat
heureux
, telles que la guerre d’Espagne ; ainsi qu’à des
encement de la présente Notice, je ne me mettrai à l’œuvre qu’après l’
heureuse
issue, si elle a lieu, du procès intenté contre l
e dirai rien de l’Episode de Misaël, il a paru si naturel et a été si
heureux
que ce serait me rendre indigne de l’approbation
instruire et divertir quand ils sont maniés par des mains savantes et
heureuses
; mais peut-on douter que les matières Saintes qu
de se réjouira, vous serez dans la tristesse », que l’on ne peut être
heureux
ici sur la terre et ensuite dans le Ciel, que cha
être heureux ici sur la terre et ensuite dans le Ciel, que chacun est
heureux
et malheureux à son tour. « Vicibus disposita res
que dont il a honoré assez mal à propos la mémoire de ce coquin : «
Heureux
si son grand cœur détestant l’injustice, Eût fait
que vous en allez dire de nouvelles, et qu’elles auront un sort plus
heureux
? Avec un peu de réflexion pourriez-vous l’espére
monde qu’il jouirait tranquillement de ses forfaits, et qu’il serait
heureux
au sein du crime : ceux qui se seraient attendris
ice deviendraient eux-mêmes ses bourreaux, au moment qu’ils le voient
heureux
. Les grands Auteurs, qui savent cela, ne risquent
t ; c’est votre faute enfin de ne pas savoir que plus un Scélérat est
heureux
, plus il est en horreur à tous ceux qui le connai
le Diadème pour la calotte de Crispin. Je jouissais du temps le plus
heureux
de ma vie ; le bonheur d’être instruit par M. de
perverse, que sa conduite est celle d’un de ces brigands déguisés et
heureux
qui troublent le repos des honnêtes gens, et entr
d’une belle campagne qu’il ne peut parcourir. Nous né sommes pas plus
heureux
aujourd’hui par la liberté de notre pays que nous
omme sage, au libertin sur le vertueux. Ces mariages peuvent-ils être
heureux
? la passion, la vanité, la frivolité en ont form
ntir la bassesse ; pour, car il le montre par-tout ingénieux, adroit,
heureux
, récompensé. Son Dorante ment à tout le monde ; i
lui cède lâchement. Qui se fera scrupule du mensonge, le voyant ainsi
heureux
? Aussi le valet véridique qu’on lui oppose, term
offrent des traits semblables, par-tout quelque mensonge adroit &
heureux
; on pourroit leur donner le même titre & la
i qui les dévore, par aucun moyen qui soit en eux-mêmes, ont été trop
heureux
de recevoir ceux qu’on leur a présentés, pour se
essous de lui. Il s’élève jusqu’à la région des Etoiles, par les plus
heureux
écarts. Sur les aîles du désordre, il perce jusqu
teur & le modèle. Alors le changement des circonstances fournit d’
heureuses
applications, des intérêts différens, des situati
e la vertu, comme dit le Mercure d’octobre 1774, qui en fait l’éloge.
Heureux
à tous ses articles étoient aussi favorables aux
ntageusement dans l’année de son triomphe. Quel homme ne s’estimeroit
heureux
d’unir sa destinée à celle d’une fille reconnue p
os Palais, vous ne pouvez comprendre, Que sous le chaume on vive plus
heureux
. C’est un secret, & l’on peut vous l’apprendr
ture, Sont les seuls biens estimés parmi nous. La fille apporte à son
heureux
époux L’honneur pour dot & quinze ans pour pa
ieuse ferveur, D’un commun choix sa sœur fut la premiere Qui mérita l’
heureux
nom de Rosiere. ………………………………………………………………………………… P
rale fausse & pernicieuse dans sa généralité. Il est des naturels
heureux
portés à la vertu, qui ont moins besoin de secour
eroit, ou que la satiété & l’inconstance le feroient abandonner :
heureuse
révolution, dont on ne sauroit se flatter ; le Th
rdonna tout à D’Alzan : Ursule ne fut plus Florise qu’aux yeux de son
heureux
époux. L’aimable société vit Mademoiselle *** : o
C’est le moyen de perfectionner des talens dont les essais sont d’un
heureux
présage. En augmentant le nombre des bons Drames,
l’un est bien fait, l’autre est démontrée. Nous n’avons pas été assez
heureux
pour qu’on refusât nos Piéces, parce que nous n’e
evint un établissement chéri & scellé de l’autorité Royale. Cette
heureuse
métamorphose produisit de nouveaux chefs-d’œuvres
llons les causes de cette triste décadence. Puissions-nous être assez
heureux
pour les détruire, pour rendre au Théâtre son anc
heure encore, l’on me disait : — Ma sœur, croyez-vous que je la rende
heureuse
? l’est-elle ? vous lisez dans son cœur ?… Ma sœu
en qu’on n’a plus, que pour celui dont on n’a jamais joui. Malgré ces
heureuses
conjectures, j’engage monsieur de Longepierre, qu
, m’a montré son fils : — Voila, m’a-t-il dit, le gage précieux d’une
heureuse
union. La mère de cet enfant m’est bien chère : b
les éprouvais aussi vivement que mon époux : ce moment était le plus
heureux
de ma vie : des soupirs, des cris, des caresses,
es ferme pour les choses séculières, par un aveuglement beaucoup plus
heureux
que cette vue misérable que le péché nous a procu
es ferme pour les choses séculières, par un aveuglement beaucoup plus
heureux
que la vue malheureuse que le péché nous a procur
t facile de conçevoir que le dénouement des Pièces comiques doit être
heureux
. Le vice ne doit pourtant pas triompher de la ver
rs un personnage de Comédie ; je voudrais qu’il se promit d’être plus
heureux
une autre-fois, ou que sa punition fut telle qu’i
n s’appliquât d’avantage à les rendre imprévus. Il faut qu’ils soient
heureux
, c’est-à-dire, qu’aucun des Acteurs n’ait lieu d’
vent dans le cours de la Pièce sur le point de se trouver tout à-fait
heureux
ou malheureux. Ils sont peut-être excusables.
e, non seulement elle ne se fourvoie pas du chemin de l’Eternité bien
heureuse
, mais plutôt qu’elle s’y avance et mérite un Para
égoûtante ivrognerie, qu’entre la volupté que l’on goûte au sein d’un
heureux
ménage, et l’infâme débauche ; qu’entre les vertu
su s’arrêter à cette douce ivresse, oublieuse des maux et créatrice d’
heureuses
illusions ? Rappelons-nous que le patriarche Noé,
pénible, douloureuse et sans avenir, avec la situation si douce et si
heureuse
de l’homme riche, et avec l’oisiveté dans laquell
ruyantes et animées, et plus ils sont convaincus que les peuples sont
heureux
et satisfaits de ceux qui régissent leurs destiné
tés à nos regards par notre inimitable auteur comique, quel contraste
heureux
il leur oppose, et comme tous les vices et les tr
rs ont eu encore un vaste champ à exploiter, et beaucoup y ont fait d’
heureuses
récoltes, mais à lui la palme, que personne ne so
étendre la grande école du Théatre par la création d’un nouveau genre
heureux
& fécond. Rien n’empêche d’étendre cette heur
un nouveau genre heureux & fécond. Rien n’empêche d’étendre cette
heureuse
invention à toutes les sciences, & même à tou
de tous les arts, il ne rend personne, il n’en est pas lui-même plus
heureux
. Henri III dit le Noir, Empereur, fut plus heureu
pas lui-même plus heureux. Henri III dit le Noir, Empereur, fut plus
heureux
& plus sage. Lors de son mariage une multitud
qui l’éblouissent : Jamais comique ne rencontra des circonstances si
heureuses
; Corneille avoit élevé ses idées, on n’avoit poi
vrai. Il n’a fallu à Moliere qu’un talent médiocre pour réussir ; un
heureux
hasard a fait les frais de sa réputation. Dans un
par leurs vertus & leurs victoires, y passoient une vie à jamais
heureuse
dans les jeux, les repas, les plaisirs, la chasse
ou la pitié ; ainsi les pièces, dont l’événement ou le dénouement est
heureux
, ne sont pas des Tragédies ; car elles doivent to
nnaître, conçoivent de la haine ou de l’amitié, et en deviennent plus
heureux
ou plus malheureux. Rien n’est si beau dans la Tr
e, ni être trop court ni trop simple. Catastrophe, c’est l’événement
heureux
, ou funeste d’une Tragédie ; c’est la nature du d
gné une confiance réciproque ; le dénouement, qui ne répond pas à ces
heureux
commencements, surprend extrêmement le spectateur
. Il y a des sujets simples, c’est-à-dire, dont le Héros est toujours
heureux
ou malheureux depuis le commencement jusqu’à la f
ents du Héros que l’on expose sur la scène, soit que sa destinée soit
heureuse
, ou malheureuse. La qualité des personnes qui sou
La même règle doit être observée pour condamner le vice, qui demeure
heureux
et impuni : Il faut, au moins, le menacer de quel
dont, sans y penser, j’ai été la cause, a été comme une de ces pluies
heureuses
, qui redoublent la fertilité de la Terre ; et que
é un peu de curiosité ils ont bien causé des bâillements ; et le plus
heureux
fruit que puisse faire ce qu’ils ont écrit, c’est
its d'ordures, et il y a même des personnes qui appellent ces peuples
heureux
, en ce que quittant leurs affaires, et les occupa
sauver, je vous tiens en grand danger. Mais voyons si vous serez plus
heureux
dans le reste, et si ce que vous dites à l’auteur
être aussi embarrassé à en marquer les beautés, que vous avez été peu
heureux
à trouver les défauts des Hérésies imaginaires. Q
z admirer. Mais il est vrai aussi qu’il n’y a jamais eu de sujet plus
heureux
que celui de M. Pascal. On n’en trouve pas toujou
is ? Est-ce ainsi que vous raisonnez ? Mais si cette fougue n’est pas
heureuse
pour le raisonnement, au moins elle sert à embell
rir l’ignorance, la misère et la mort, se sont avisés, pour se rendre
heureux
, de n’y point penser : c’est tout ce qu’ils ont p
a obéi à un sentiment de charité religieuse, et s’il en est résulté d’
heureux
et vastes effets, sa conscience lui dit qu’il par
able prix et seules dignes de fixer l’ambition d’un être raisonnable.
Heureux
, alors, heureux ceux qui auront su être sages à t
les dignes de fixer l’ambition d’un être raisonnable. Heureux, alors,
heureux
ceux qui auront su être sages à temps, qui, renon
II. Dans quelle Nation la Poësie Dramatique moderne fit-elle les plus
heureux
progrès ? §. I. Le désordre regna longtems par t
i paraisse à mes yeux digne de ton emploi. Le Théâtre Français où mes
heureuses
Veilles Ont de tant d’Auditeurs enchanté les Orei
e fois pour remplir mes projets J’ai trouvé de grands Noms, et pris d’
heureux
Sujets, Comme Andromaque, Oédipe, Iphigenie, Hora
t dans leur fortune, la convenance qui peut leur annoncer une société
heureuse
: ils doivent encore, avant que d’aller plus loin
mour de Théâtre, et surtout celui de la Comédie, a toujours un succès
heureux
; et le Spectateur en conclut avec raison, que le
ls font des actions ou forcées ou volontaires, & qu’il deviennent
heureux
ou malheureux, à ce qui leur semble, par ces acti
urrit, au lieu de les faire obéir les rend maîtresses, & par-là d’
heureux
& de vertueux que nous étions, nous rend les
introduire un méchant homme, qui de malheureux qu’il étoit, devienne
heureux
: car il n’y a rien de plus opposé au but de la T
é de la Tragédie. Quand il dit que l’exemple d’un méchant qui devient
heureux
, est opposé au but de la Tragédie, il devroit nat
é : il aime au contraire à le voir sortir de ses périls & devenir
heureux
. Il n’en est pas de même de celui qui va au Spect
l les a occupés pendant quelque tems. Si le Poëte par une Catastrophe
heureuse
pour les bons & funeste aux méchans, remet le
: il en est de même parmi nous. Ce cœur si disposé à la pitié, est un
heureux
présent de la Nature, qui permet que notre facili
amp; imprimé à Londres en 1698. Il y soutient que pour rendre l’homme
heureux
, il est nécessaire de remuer ses Passions ; que l
z avoir la force de vous immoler à cette que vous nommates votre trop
heureuse
Rivale… Non, je ne méritai jamais ni son amour, n
l’éloquence, l’expression, avantages merveilleux et propres à faire d’
heureuses
impressions, s’ils étaient bien employés : car la
gréablement en signe d’affection, ou du moins de reconnaissance. Quel
heureux
changement ! combien les hommes ont dû applaudir
é, pourraient encore fréquemment trouver des partis avantageux, vivre
heureuses
et honorées, servir d’exemples encourageants à le
-souvent nos oreilles aujourd’hui. Il s’ensuit qu’il n’a pas été plus
heureux
précepteur de grammaire que de morale. Mais reven
le prix. Je voudrais bien pouvoir aussi réduire son influence à cette
heureuse
inutilité ; mais je suis invinciblement entraîné
x audiences des ministres ; mais leurs démarches, qui étaient souvent
heureuses
et utiles, ont été qualifiées de menées, et leurs
par le même mobile, et qui n’en ont pas moins les résultats les plus
heureux
, dont les auteurs par conséquent n’en doivent pas
Cette
heureuse
femme catéchisée auprès du puits de Jacob par le
par jour dix ménages à faire, le mien était de ce nombre. Ce couple,
heureux
dans sa médiocrité, avait si sagement réglé l’emp
nstances amènent au théâtre des innovations, qui ne sont pas toujours
heureuses
et qui offrent des contrastes, non moins comiques
fiés à ses soins, et que les coulisses du Montparnasse recelaient son
heureux
vainqueur. Nouvelle matière à réflexion : voilà,
ès sa naissance à de hautes destinées, restera toujours ce qu’il est,
heureux
! si Plutus veut bien lui continuer ses faveurs,
les grivoises du boulevard des Panoramas75. Du reste, ce théâtre est
heureux
et mérite de l’être. Administrations théâtrales,
du vice dans l’ordre moral ou politique, & de lui représenter les
heureux
effets de la vertu ? La Comédie a un grand avanta
oins il ne souffre pas que la tragédie fasse paraître les hommes « ou
heureux
ou malheureux » par des biens ou des maux sensibl
servent dans les bonnes œuvres . On ne peut être associé à ce peuple
heureux
, qu’ v. 12 en renonçant à l’impiété & aux pa
qu’il est dans la crainte de la perdre, & qu’avec lui on s’estime
heureux
lorsqu’il espére de la posséder. » En vain lui di
i dévoré par l’ennui : n’est-ce pas mon amie ?… Va, il t’aime, il est
heureux
; sois-le comme lui, ma sœur ; c’est l’amitié la
t distribués aux nécessiteux. » Ce fut un des plus grands et des plus
heureux
Princes qu’ait eu la France. Ce seul trait est un
sur la fidélité de leurs livres de recette ? l’Hôpital se trouva trop
heureux
de pouvoir s’abonner avec eux à la somme de quara
? C’est une concussion, un larcin, de se faire payer deux fois. Trop
heureux
le public, s’il ne payait que deux fois ! Mais le
théologien », page 35]. , et il les compte par milliers. Qu’il est
heureux
d’en trouver tant sous sa main et que la voie étr
ide immolée, Ne coûta tant de pleurs à la Grèce assemblée, Que dans l’
heureux
spectacle à nos yeux étalé N’en a fait sous son n
la joie, & dans la véritable joie, comme celle que nous cause une
heureuse
nouvelle, nous ne rions jamais. Le rire est causé
vorables à notre Poësie, à le regarder comme le Maître de la Comédie.
Heureux
s’il eut acquis sa gloire en respectant toujours
galité politique de tous les Citoyens ; & plus chaque Citoyen est
heureux
dans son intérieur, plus la société entière est p
grand homme. X. Et que n’eût-il pas fait dans des circonstances plus
heureuses
? Quel essor n’eût pas pris son génie ? Quelle im
I. Il n’auroit point, sans doute, (je suppose toujours des temps plus
heureux
,) il n’auroit point dégradé la Tragédie nationale
ce, je m’occuperai, dans le silence du Cabinet, d’une génération plus
heureuse
& plus raisonnable que la nôtre. Je travaille
lairés, & par conséquent plus vertueux, & par conséquent plus
heureux
.
excitent les passions, la seule agitation des organes y met obstacle.
Heureux
qui peut dire, comme Esther disoit dans le palais
Il est plus rare encore que les mariages qui s’y font, soient jamais
heureux
; ce n’est pas là que se rendent les gens sages :
Sage nous apprend, aussi-bien que l’expérience, que le mariage n’est
heureux
qu’autant qu’il est béni du ciel, & contracté
amp; la cendre, les fautes que sans doute vous y avez commises : trop
heureux
si elles ne sont que vénielles ! L’amant de Laure
pertinentes ? Corpus difforme fit saliendo, quantò magis anima ? Trop
heureux
encore, si des passions, des vices, des péchés in
onds furent les Olympiens. Pelops passe pour leur Instituteur apres l’
heureux
combat qu’il fit contre Oenomau, & par où il
urs, enleva tout d’un coup l’admiration de son Siécle, & fut plus
heureux
dans sa fortune que ne l’a été un de ses Successe
e succès de son Torismond. J’espérois, dit-il, que cette Piéce seroit
heureuse
dans la Représentation ; mais que notre Seigneur
ravina qui avoit écrit sur les Regles de la Tragédie, ne fut pas plus
heureux
quand il donna ses Piéces pour exemples de ses Pr
ur le génie de chacun de ces deux Poëtes. Ceux qui savent apprécier l’
heureux
accord des talens Littéraires & des sentimens
peine de nous dire, si les personnes, tels qu’ils soient, qui ont cet
heureux
charactére, pecheroient, quand ils useroient mode
plus propre à former un engagement indécent qu’à produire un mariage
heureux
q » ; il jette le trouble dans l’âme et dans les
ample Apologie ; N’est-ce pas trop tenter pour un petit génie ? Trop
heureux
si je puis l’amener jusqu’au bout ; La remplir di
e ces mots, que je prie d’entendre sans tire. Il est un de ces génies
heureux
destinés par la providence dont ils paroissent l’
S. Foix dans son Théatre, en conviennent. Les pieces de Moliere sont
heureuses
d’être admises au Théatre, elles ne paroîtroient
us appelle. Des Grands sans dignité, & sans consistance sont trop
heureux
de cacher leur superbe néant ; ne les attendez qu
contre les vapeurs, tel le Pantomime qui fait rire. Nous serions trop
heureux
de le mériter ; nos besoins ne sont plus de son r
e-t-on même à les reprendre ? n'y sont-ils pas applaudis, et toujours
heureux
? Les comédies font plus des trois quarts des spe
. Il rapporte nombre de pièces où la vertu est malheureuse et le vice
heureux
, Œdipe, Atrée, Inès de Castro, Mithridate, etc. I
et aux enfants de secouer ce joug tyrannique, et de ne regarder comme
heureuse
qu'une vie de dissipation ! Souffrirait-on qu'un
ation. Aussi fait-il de dignes élèves. Les enfants de Boursaut furent
heureux
d'aller à une autre école : son fils se fit Théat
verser des torrents de larmes. Lui à qui la vérité incarnée a dit : «
Heureux
ceux qui pleurent, malheur à ceux qui rient ; le
e, la musique, l'art de tromper les yeux par les couleurs, l'art plus
heureux
de séduire les cœurs, de cent plaisirs font un pl
se, une bataille, etc. tout cela n'est pas de la joie, et ne rend pas
heureux
. L'Homme de qualité, le Cleveland de l'Abbé Prévô
enue qui pese tout au poids du sanctuaire est imposante, et produit d'
heureux
effets ! C'est un sermon perpétuel, dont ceux mêm
s Cours étrangères, s’y fit craindre. Le règne de la Suédoise d’abord
heureux
par la sagesse des Ministres de son père, pendant
e de quoi faire un bon Roi ; les premières années de son règne furent
heureuses
, son père dans son testament lui donna pour tuteu
toit venue. Si Christine n’avoit point connu le théatre, elle eut été
heureuse
, & eut rendu ses peuples heureux. Le théatre
connu le théatre, elle eut été heureuse, & eut rendu ses peuples
heureux
. Le théatre fut l’époque de tous ses malheurs, sa
des réparties vives, quelques réflexions judicieuses, quelques tours
heureux
. Voltaire en a extrait quelques-uns, sur lesquels
différence que le premier, homme de naissance, guerrier, habile &
heureux
, revêtu des plus grandes charges de l’État, ajout
. Elle est exécutée aux yeux de l’amour-propre, de la maniere la plus
heureuse
. On ne la communique à ses amis que pour jouir de
nsidération publique qui, n’est autre chose que le fruit d’un travail
heureux
, a de tous tems été le plus vif aiguillon qui ait
lle en vain ce Dieu dans les champs de l’honneur ; Plus content, plus
heureux
de posséder son cœur, Qu’il n’était autrefois jal
encensent tous les hommes ; Nous vivons pour jouir ; il suffit d’être
heureux
, On est justifié dès qu’on est amoureux. Ainsi d
des Anges rebelles est donc une idée qui n’a d’autre fondement que l’
heureux
effort d’une imagination vive ? Après avoir cité
ltraité, s’il eût eu les bonnes grâces de M. Dryden, lequel n’est pas
heureux
à marquer aux personnes son respect et son estime
qu’il adresse à Madame la Duchesse d’Ormond : « C’est, Madame, de l’
heureuse
étoile de votre Grandeur, que je date ma fortune.
y prend toujours les choses du bon côté, et est déterminé à se rendre
heureux
par des interprétations favorables. Sérieusement,
eur principal. C’est pourquoi, Le Cadet Prodigue, ou bien L’Imposteur
Heureux
étaient les noms qui convenaient mieux à cette Co
à ses dérèglements. Tel est l’homme de bien à qui le Poète ménage une
heureuse
issue. Franchement, il est rare que le vice ne pr
nse d’aller à la Comédie, quoique les termes précis n’y soient pas : "
Heureux
l’homme qui s’est toujours éloigné des conseils e
ne pas de la sorte ; selon l’idée du plus grand nombre, le siècle est
heureux
, lorsque la plupart des simples particuliers sont
ort qu’ils se plaignent, les Païens, comme si les temps étaient moins
heureux
, depuis précisément que le Christianisme a éclair
ées touchant une autre vie, au droit incontestable que nous avons à l’
heureuse
immortalité. Mais quand nous voudrions souscrire
dans le décri. On y sape le bien par ses fondements ; on y arrête les
heureux
penchants à la vertu ; on y détruit les principes
ipent tous les préjugés et pénètrent jusqu’au fond de l’âme. Mais ces
heureuses
circonstances ne se rencontrent pas tous les jour
ôture, fidélité à son mari, horreurs de la coquéterie : elles ne sont
heureuses
& estimées qu’autant qu’elles y sont fideles.
médiocre peut mettre en œuvre comme lui. Il y a quelquefois des vers
heureux
, des tableaux rians, des sentimens nobles : mais
u & le péché. Je m’égalois à cet Etre suprême. Péché du démon.
Heureux
par le bonheur de tant d’êtres qu’il aime. Erreu
de tant d’êtres qu’il aime. Erreur grossiere. Dieu n’étoit donc pas
heureux
avant la création du monde ? Il est heureux par l
re. Dieu n’étoit donc pas heureux avant la création du monde ? Il est
heureux
par lui-même, & n’a besoin d’aucun être créé.
es amours la suivroit. Apelles le sentoit bien. Mon rival est moins
heureux
que moi, il est moins aimé. Le vice se connoît p
igénie sont de la race d’Abraham. On doit à M. de Saint-Lambert cette
heureuse
découverte. Il inspire plus que toutes les tragéd
yte. Quoiqu’il y ait dans cette déclaration si connue quelques traits
heureux
empruntés de la Tragédie d’Hippolyte attribuée à
de l’élégance & de l’harmonie, mais dans lesquels encore le choix
heureux
des expressions forme un tableau parfait des mœur
e sont ceux-ci, va m’attendre, Phœnix. J’y ajouterai ces deux vers si
heureux
du Visir Acomat à Osmin, sur l’entrevûe que Roxan
le, que ces deux vers d’un Opera célèbre. Il faut souvent pour être
heureux
Qu’il en coûte un peu d’innocence. Pensée fauss
un peu d’innocence. Pensée fausse d’ailleurs ; car on n’est jamais
heureux
dans le crime. Racine, ainsi que Corneille, est s
un Empereur. Ne vous attendez pas que las de tant d’alarmes, Par un
heureux
hymen je tarisse vos larmes. En quelque extrémit
onnage odieux, mais savamment imaginé pour amener un dénouement aussi
heureux
qu’inattendu. UnPhedre. mot suffira pour Phedre.
isé de voir que l’art ne réussit en aucun genre, qu’à la saveur d’une
heureuse
illusion, que non ; seulement il ménage aux espri
’expérience est toujours plus éloquente, que les difinitions les plus
heureuses
; on me pardonnera si je lui laisse le soin de vo
que l’un & l’autre y sont toujours habilement contrastés : moyen
heureux
sans doute pour aiguiser leur impression. Parce q
ontinuelles ; ou il peut se relâcher sans crime, se permettre quelque
heureuse
distraction. Le premier cas n’a pas besoin d’exam
nt à se promettre, sous des auspices pareils, que la carrière la plus
heureuse
. La Musique devient pitoresque, la Peinture éloqu
e. Mais qu’on en rie : voilà ce que la bagatelle peut espérer de plus
heureux
; du reste c’est un mouvement fugitif & passa
re ; que tout cela se passe avec dextérité, & par des voies aussi
heureuses
que naturelles : c’est un motif d’écarts pour des
ée de rebelles. Il s’applaudit d’avoir rappellé son armée pour une si
heureuse
expédition. Zaraès revient ensuite, se fait conno
randes qualités du Roi & de la Reine : mais l’allégorie n’est pas
heureuse
; il n’y a de trait ressemblant que la bonté du c
uptueuses, qui mettent les spectateurs en désordre. Qu’est devenu cet
heureux
temps où tous les évenemens de la vie étoient tra
ut de s’imaginer d’après les romans, que la vie pastorale est la plus
heureuse
: il s’habilla en berger & la chanteuse en be
l y a de bons principes ; des idées chrétiennes, quelques expressions
heureuses
, on eût pardonné à l’auteur, quoique la sagesse n
enchantés où des Yvetaux chantoit ses amours. Voilà dequoi réaliser l’
heureuse
découverte qui l’en fait l’auteur, & faire se
a générosité d’y pourvoir en se ruinant pour elle ? Elle eût été fort
heureuse
d’avoir en dot le centieme de ce qu’elle prodigue
foible ? Un amant un jour homme sage, un homme sûr, capable de rendre
heureuse
celle qui les méprise, mérite seul la préférence.
un mari ou une femme selon son cœur, si l’on veut que le mariage soit
heureux
. L’immodestie le mettra-t-il dans nos intérêts ?
erce infame de sa femme, une Actrice qui ne rougit pas de s’y prêter.
Heureux
, dit l’Apocalyse, qui garde avec soin ses habits,
s, comblées de présens, brillant avec le plus grand éclat, & trop
heureuses
enfin d’obtenir une modique pension de retraite,
n appercevoir, les usages de ceux qu’ils traitaient en maîtres : trop
heureux
de pouvoir donner des loix à des Peuples policés,
courut plus briguer l’honneur de se faire empaler par les Turcs. Cet
heureux
changement fit naître en France la bonne Comédie.
erfectionnées aussi promptement ? Les Arts peuvent-ils citer un génie
heureux
qui les ait fait connaître par son seul travail,
tinences ; je m’offris, & dans l’instant je m’armai de la plume ;
heureux
si ma prompte obéissance m’obtient à jamais son e
tuels de la musique du nouveau genre, & de ceux que lui promet un
heureux
avenir. Que c’est avec raison que la mélodie
ils ne sont plus connus que d’un petit nombre d’honnêtes gens, assez
heureux
pour avoir rencontré de ces femmes rares tendres
d à la vérité, mais bien sincèrement, d’un talent trop facile et trop
heureux
. Il a baigné de larmes des lauriers qu’il devait
ction à la Princesse vaincue. Le Duc de Longueville, qui avoit aimé l’
heureuse
rivale, se trouvoit partagé entre son amante &
& son adorateur, dépose à ses genoux les lauriers de Rocroi, trop
heureux
d’entendre ses oracles. La Cour & la Reine, i
nce éloignée. Elle y fit de nouvelles amours : le succès n’en fut pas
heureux
. Le Duc de la Rochefoucault, troublé dans son anc
ation. Faites-moi la grace de m’écrire souvent. Ce fut pour elle une
heureuse
époque : elle se convertit sincerement, quoique t
, après un profond sommeil, où elle a songé qu’elle avoit été grande,
heureuse
, estimée de tout le monde, se réveille en sursaut
personnes dont la plus grande célébrité a répandu par tout la gloire.
Heureux
qui, comme elle, a le temps & la grace de rép
fulminez contre nous, vous nous reprochiez une corruption dont votre
heureuse
patrie est exempte, la vertu ne nous est pas si é
rojet est que Titus abdique l’empire, pour aller avec Berenice vivre
heureux
& ignoré dans un coin de l’univers . Si vous
ertus au genre humain. Je vous interroge vous-même ; pouvez-vous être
heureux
par l’image du plaisir d’un autre, lorsque ce pla
-delà des vûes de leurs premiers inventeurs. En attendant que quelque
heureux
créateur donne l’être à un genre nouveau, dont l’
, & contre les spectacles, que vous aimez à la passion. Vous êtes
heureux
, si cette opposition de vos sentimens à vos écrit
d’une nouvelle secte de Philosophie, & le législateur d’un peuple
heureux
: dispensez-vous seulement de proposer à vos nouv
caché, et nous faisons descendre de là-haut les Dieux immortels, trop
heureux
de paraître sur ce théâtre pour publier leurs amo
t aux Entrées des Souverains, ou par l’ordre des Magistrats, pour les
heureux
succez de l’Etat, ni les marques de magnificences
Beatus homo qui non respexit in vanitates, & insanias falsas !
Heureux
celuy qui n’a point ouvert les yeux pour s’arrête
posent toûjours au danger du peché : Beatus homo qui non respexit ;
heureux
celui qui ne les regarde pas, parce que plus il s
amp; qui exciteront ces fortes passions que vous apprehendez si peu ?
Heureux
donc encore une fois, celuy qui n’ouvre point les
es Rois ne viennent point consulter, & de qui on ne dira jamais ;
heureux
qui est à portée d’entendre vos oracles ! Ils ont
la premiere idée à ceux qui y apportent la simplicité de l’innocence.
Heureuse
ignorance, vous n’y rendrez plus étranger, &
r, & les rafinemens à ceux qui n’en avoient encore que l’ébauche.
Heureuse
inexpérience, vous n’y rendrez plus inhabile, &am
e ces pensées lorsqu’elles commençoient à s’effacer ou à s’affoiblir.
Heureux
oubli, vous n’y rendrez plus indifférent ; quel f
t aux Entrées des Souverains, ou par l’ordre des Magistrats, pour les
heureux
succez de l’Etat, ni les marques de magnificences
, Beatus homo qui non respexit in vanitates, & insanias falsas !
Heureux
celuy qui n’a point ouvert les yeux pour s’arrête
posent toûjours au danger du peché : Beatus homo qui non respexit ;
heureux
celuy qui ne les regarde pas, parce que plus il s
amp; qui exciteront ces fortes passions que vous apprehendez si peu ?
Heureux
donc encore une fois, celuy qui n’ouvre point les
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