rent des protestations & des demandes, & enfin déclarerent la
guerre
. Sa Majesté Prussienne, non-plus que Machiavel, n
ises d’un ennemi qu’elle aura rendu plus fort : ce qui occasionna une
guerre
où il a péri un million d’hommes, pour en revenir
dans l’élection de l’Empereur Machiavel ou veut-il davantage ? Cette
guerre
où parurent sur la scène les plus grands hommes &
de siéges, où il a été tantôt vaincu, tantôt vainqueur, il y a peu de
guerres
aussi chargées, & peu d’acteurs sur le Théatr
p. p. 15. Tant d’intérêts divisés ne pouvoient manquer d’allumer une
guerre
générale ; mais elle commence par un endroit que
st-ce dont ainsi que les Princes chrétiens & civilisés se sont la
guerre
? Le Roi de Prusse, que notre Voltaire appelle, j
tendresses de l’amour ne flattent pas un palais blasé de débauche. La
guerre
suivante, pour l’élection du Roi de Pologne Stani
du droit naturel & du sang humain, qu’il fait ruisseller par des
guerres
cruelles, faisant pancher la balance, tantôt d’un
ice, qui avoit acheté son alliance ; il tâche d’allumer contr’elle la
guerre
dans toute l’Allemagne, s’empare de la Boheme com
s de troupes, se sert des armes, des arsenaux, prend les munitions de
guerre
& de bouche, enleve jusqu’aux manufactures &a
mée est assiégée dans son camp de Pyrna, & se rend prisonniere de
guerre
; il entre triomphant dans Dresde, va de suite à
battre les idolâtres du nord de l’Allemagne qui faisoient une cruelle
guerre
aux Chrétiens ; ils furent aidés dans cette espèc
debourg, &c. dont aucun ne pensoit à lui donner des terres. Cette
guerre
est une suite ennuyeuse de combats, de sieges, de
du Roi, & ne reconnoitroit point d’autre Souverain, qu’en cas de
guerre
, il demeureroit unis au Roi contre tous ses ennem
te dépendance. Il refusa le serment & l’hommage, & déclara la
guerre
à son Seigneur. Cette guerre ne fut ni heureuse n
erment & l’hommage, & déclara la guerre à son Seigneur. Cette
guerre
ne fut ni heureuse ni longue. La mort la suspendi
prétend exercer tous les droits, fut élu Grand Maître. Il continua la
guerre
; mais tout changea quand il donna dans les erreu
eligion Catholique, qui, pour la Prusse, se trouva confondue dans les
guerres
sur la religion, & terminé de même dans les D
digné, élut un autre Grand Maître, déclara Albert Apostat, lui fit la
guerre
, & engagea divers Princes dans sa cause : tou
ses fonctions bien abregées. Les Tribunaux ne sont que de Conseils de
guerre
, ses Ministres des Aumôniers de régimens. Tous le
uverainement de la vocation de tous ses sujets, & les engage à la
guerre
sans liberté, sans réflexions, sans connoissance,
que nous sommes Chrétiens, tout est perdu, nous sommes dupé : dans la
guerre
le moindre scrupule gâte tout. Pillage, carnage,
usace, la Boheme, qu’il envahit en pleine paix, sans avoir déclaré la
guerre
; les Maréchaux de Belle-isle & de Broglie, q
Cours de l’Europe qui avoient des intérêts avec la France, pendant la
guerre
où la Prusse joua le rôle très-peu philosophe de
de la violation de ses traité & de ses alliances, en déclarant la
guerre
, tantôt à l’un, tantôt à l’autre, selon ses intér
age : il faut la rompre sans scrupule quand l’avantage cesse. Dans ma
guerre
contre l’Impératrice j’étois allié à la France, j
occuperent leurs Soldats aussi bien en temps de Paix, qu’en temps de
Guerre
, & leur faisoient essuyer toutes les fatigues
e peu guerier. Ils eussent eû hõte de faire paroître mesme dans cette
Guerre
volontaire, plus de molesse que de force, de se v
molesses & les propretés de la Cour, les diverses fatigues de la
Guerre
. Le Camp est l’Echole des Braves ; & ie n’ay
aturel ; & qu’enfin ils sont plus propres à la Galanterie qu’à la
Guerre
, parce qu’ils ont esté plus assidus à la Ruelle q
e pour imiter le plus qu’ils pourroient les occasions d’une veritable
guerre
, qui sont presque toutes differentes. 2. Que l’on
ires & commodes : Car aprés tout, sa valeur qui luy fait aymer la
guerre
; & sa puissance qui le rend formidable à tou
bon Officier, servit sous quatre maîtres, le Prince de Condé dans la
guerre
de la Fronde, Louis XIV son Roi légitime, le Roi
rais qu’il a fallu faire. Le spectacle est un commerce en France. La
Guerre
d’Espagne, ou les Mémoires du Marquis de, … mieux
jolies, & sembloit rajeunir. La Cour de France n’a jamais fait la
guerre
avec moins de péril, & plus d’agrément. Le dé
pas, rien n’y manquoit. La galanterie est inséparable du métier de la
guerre
: depuis le Général jusqu’au dernier Soldat, tout
campagne de 1691, où le Roi avoit porté les plaisirs au milieu de la
guerre
, il voulut par un spectacle contraire porter la g
u milieu de la guerre, il voulut par un spectacle contraire porter la
guerre
au milieu des plaisirs. Ces spectacles étoient no
Je ne pouvois m’empêcher de rire en voyant ce superbe appareil d’une
guerre
en peinture. Ce n’étoit pas le champ de bataille
convallations, on bâtit la place, on la prit. Tandis qu’on faisoit la
guerre
d’un côté, on faisoit l’amour de l’autre ; &
mour de l’autre ; & les Dames eurent assurément plus de part à la
guerre
que les Guerriers. On leur donnoit, comme à Mons,
eur donnoit, comme à Mons, le bal & la comédie. Il n’est point de
guerre
plus agréable. Comme le François rit de tout, &am
amp; avec lui toute sa Cour. Ces exemples ont été suivis, celui de la
guerre
plus rarement, parce qu’il n’y a qu’un Souverain
& des combats simulés ; mais le mêlange de la comédie & de la
guerre
se voit tous les jours dans les garnisons, pendan
ndant la paix ; dans les camps, les siéges, les batailles, pendant la
guerre
; des troupes d’acteurs & d’actrices suivent
u Marquis de Louvois, alors Favori de Louis XIV, & Ministre de la
guerre
, dont on peignoit la vie & la personne avec l
t pas de peine de l’attirer dans son parti contre les Alliés, dans la
guerre
d’Espagne. On fait tout ce qu’on veut d’un homme
de ce Prince formeroient un volume plus gros que les événemens de la
guerre
d’Espagne, où il eut tant de part, & où ses a
ations qui viennent rendre visite aux Seigneurs Polonois. En temps de
guerre
, ce sont des munitions de guerre & de bouche
aux Seigneurs Polonois. En temps de guerre, ce sont des munitions de
guerre
& de bouche qu’on leur distribue. Ces grands
our l’Amour, dont elle paroit très-satisfaire. Suit un grand bruit de
guerre
& une clarté éblouissante, au milieu de laque
ressemblent en bien des choses, valeur, courage, talens, genie de la
guerre
, agrémens de la société, délices de la jeunesse,
rité. C’étoit l’homme le plus frivole, en voici un trait. Il étoit en
guerre
avec un Prince voisin, un jour on vint lui dire q
nir à tant de folles dépenses, il ruina son peuple, il occasionna des
guerres
qui, pendant plus de quarante ans, désolerent tou
invasion de la Lorraine, dans le temps qu’elle étoit le théatre de la
guerre
, qu’on y exerçoit des cruautés inouies, que les p
éperdument amoureuse, qu’elle le suivoit par-tout à cheval, même à la
guerre
, dans toutes ses courses. On l’appelloit communém
xtes, déclara le mariage nul. On écrivit contre ; il s’amusa de cette
guerre
littéraire, ou plutôt de cette comédie sacrilege.
& quoique d’un tempéramment vigoureux, il s’étoit usé par tant de
guerres
, de travaux, de débauches ; elle étoit dans sa tr
nnée. M. d’Apremont son pere, quoique Sujet du Duc, lui avoit fait la
guerre
jusques dans le centre de la Lorraine, aidé de qu
te comédie. Le Duc s’étoit attiré ces malheurs, non-seulement par des
guerres
faites à la France, par des infidélités sans nomb
en style de gazette, des petits combats qui se sont donnés pendant la
guerre
terminée à la paix de Nimegue. C’est toujours le
Nanci, où regnoit la plus grande misere après quarante huit ans d’une
guerre
qui avoit tout ravagé, il se trouve des Comédiens
sur le Royaume de Naples. Le Maréchal de Grancei faisoit en Italie la
guerre
aux Espagnols, & sans succès ; on lui envoya
éputation a ses galanteries. Il avoit un génie extraordinaire pour la
guerre
, mais rien ne le touchoit que son plaisir ; une b
d on pense comme lui. Malgré ce génie prétendu extraordinaire pour la
guerre
, il ne réussit qu’à se faire dépouiller deux fois
nce & la même hardiesse d’affaires d’Etat & de mascarades, de
guerre
& de galanterie ; le plus fin Conrtisan ne po
nêtrer, les plus rares politiques étoient ses dupes ; elle faisoit la
guerre
au Prince de Condé, & lui écrivoit pour le re
rance. Il gagna tous les états avec fureur, malgré les horreurs de la
guerre
. Il s’y est perpétué, il est monté jusqu’au combl
Amazones, chargée d’exécuter ses ordres, faisoit sous ses drapeaux la
guerre
la plus dangéreuse à sa famille, à ses amis, à se
ême hors du royaume chez le Duc de Savoye pour négocier la paix ou la
guerre
, & plus la guerre que la paix, mais toujours
ez le Duc de Savoye pour négocier la paix ou la guerre, & plus la
guerre
que la paix, mais toujours environnée de sa fidel
dit Monluc dans ses Mémoires, que dans les plus grands embarras de la
guerre
& des affaires le bal marchât toujours. Le so
même équipage traînoit les machines des ballets & les machines de
guerre
, & dans un même lieu on voyoit les combats où
ie que celle du Roi. Il a son état major, sa solde, ses provisions de
guerre
& de bouche ; les chevaux & les chariots
renne son fils découvrit de même à Madame de Coatquin le secret de la
guerre
de Hollande, de sorte que dans le même temps que
ps que la Princesse Henriette, sœur de Charles II, alloit négocier la
guerre
en Angleterre, une autre femme pensa faire échoue
ent une belle peur ; elles se virent au moment d’être prisonnieres de
guerre
auprès de Meaux. Le beau coup de fillet ! jamais
ans furent tous des Catholiques zelés ; malgré les troubles & les
guerres
civiles cette religion fut toujours dominante en
. Cependant cette Princesse ingrate favorisa le Calvinisme, causa les
guerres
de religion, procura tous les édits qui donnoient
bornes elle a voulu diviser pour regner, formé des partis, causé des
guerres
civiles, occasionné des guerres étrangeres ; elle
r regner, formé des partis, causé des guerres civiles, occasionné des
guerres
étrangeres ; elle a brouillé la Cour, la ville, l
sou goût, il la décrie encore davantages. Il passe rapidement sur les
guerres
civiles & les troubles où, contre le témoigna
oit sa Cour ordinaire , & la suivoit par-tout tant en paix qu’en
guerre
, soit pour résider, soit pour remuer. Elle marcho
i que les plumes volantes en l’air représentoient à demander amour ou
guerre
. L’homme de théatre est facile à connoître à ces
endant trente-trois ans que j’ai suivi la Cour. Elle les menoit à la
guerre
, montée à cheval comme la Reine Maphire , (c’est
aux Filles qui l’accompagnoient . Elles étoient exercées à une autre
guerre
; & dans les plaines de Meaux, où la Reine Ma
pour protéger la fête des plumes volantes, qui demandoient amour ou
guerre
. Ce jeu plairoit aussi peu à nos Actrices qu’il
bisarrement inventé, & une trentaine de violons sonnant un air de
guerre
; elles marcherent sous l’air de ces violons, &am
iste. Il est vrai qu’aucuns le disent un peu leger de créance, &
guerre
bon pour la balance de Monsieur S. Michel, où il
ongeant qu’à se divertir, furent prises comme dans un filet. Dans les
guerres
de notre temps, l’embarras et le bruit de l’artil
l étudiait un rôle, il lisait Molière. On attribue les malheurs d’une
guerre
à la faiblesse des troupes, au défaut des vivres,
lvien (L. 6. de Gubern. mund.) ? croira-t-on que ni les dangers de la
guerre
, ni les alarmes d’un siège, ni la terreur d’un as
doigts de sa perte, qu’à peine Rome a pu vaincre après trois grandes
guerres
, est aujourd’hui le jouet des barbares : « Illa a
t et campait avec lui ; il la prêtait même au Général ennemi. Dans la
guerre
de Flandres de 1744 les deux Généraux s’étaient a
ée venait les prendre et les conduire. A son retour à Paris, après la
guerre
, son premier soin fut d’aller à la comédie, et il
le a donné la vogue à la comédie dans nos camps et dans nos villes de
guerre
: il n’en est point où on ne la joue aussi réguli
le. Je pars de ces principes, et je demande si c’est là l’école de la
guerre
. Effrayer et attendrir, est-ce former des soldats
èche : que de coups de théâtre n’ameneraient pas les événements de la
guerre
! Mais, dites-vous, que fait le théâtre à cette m
ue l’on peut aimer. A peine fut-elle rétablie qu’il fut déclaré une
guerre
ouverte entr’elle & la Duchesse de Montbazon.
’écrie, pour se consoler, Pour plaire à ses beaux yeux, j’ai fait la
guerre
aux rois, je l’aurois faite aux dieux . La scène
rs : Pour ce cœur inconstant qu’enfin je connois mieux, j’ai fait la
guerre
aux rois, j’en ai perdu les yeux. Toutes ces ave
ente & la Duchesse, se disputant la souveraineté, se déclarant la
guerre
, se fuyant, se poursuivant, se caressant, se malt
tablissent une énorme sur le peuple, sur eux-mêmes, pour les frais de
guerre
, qui envoient des députés à la Cour rendre hommag
le alla joindre M. de Turenne qui s’y étoit retiré, pour continuer la
guerre
contre le Roi. Il s’ouvre deux autres scènes, l’u
, plus guerrier que tendre, s’en consola, & ne s’occupa que de la
guerre
. La fuite de la Princesse laissoit à Paris la Duc
it. Toute la grande affaire de la Fronde n’étoit dans le fonds qu’une
guerre
de femmes : les hommes qui y figuroient n’en diff
se mettre à la tête des armées espagnoles, & fait ouvertement la
guerre
au Roi. Qu’appellera-t-on jeu de théatre, si tout
ement à la Cour de la Reine. On étoit de part & d’autre las de la
guerre
: la paix se fit, tout rentra dans l’ordre, la Pr
les, avec l’Archiduc & les Ministres d’Espagne, pour continuer la
guerre
, faisoit des traités avec eux, composoit des mani
;c. Ses égaremens font plus de pitié que ses malheurs. Elle alluma la
guerre
de Bordeaux, y fit réfugier sa belle-sœur & s
it de tendres au Duc de la Rochefoucault, pour l’inviter à presser la
guerre
, & au Roi d’Espagne, pour lui demander des tr
d’après elle vous échappoit, elle alloit régler les opérations de la
guerre
avec Turenne, & négocier avec l’Espagne. Malg
, parloit, vivoit, agissoit en Reine, traitoit de la paix & de la
guerre
avec l’envoyé d’Espagne, remuoit le Parlement &am
ne cessa d’intriguer par ses lettres, & de souffler le feu de la
guerre
; elle y décida le Prince de Condé, qui reprit le
de plus de quatre cens lieues, pour se rendre à Paris, où il fit une
guerre
ouverte, & enfin se refugia à Bruxelles. Tout
es gardes, & s’alla loger à l’Hôtel-de-ville. On se lassoit de la
guerre
: on fit des prieres publiques pour demander la p
’état où se trouvoit la province que les troupes avoient ravagée, les
guerres
entreprises à son occasion, &, pour ainsi dir
;c. furent parfaitement rétablis. Paris lui-même, sans doute : car la
guerre
y avoit fait de grands ravages ; les revenus du R
mens. C’étoit au Passage du Rhin qu’il fut tué roide mort. Dans cette
guerre
de Hollande, également célebre par les succès &am
e de Louis XV. Chap. 2. LA peste désoloit la Provence, on avoit la
guerre
avec l’Espagne, la Bretagne étoit prête à se soul
terrompre les spectacles dans un si grand malheur. Chap. 17. Dans la
guerre
de la succession d’Autriche, après la mort de Cha
cteur, son ami, Roi de Pologne, pris à Pyrna son armée prisonniere de
guerre
, assiegea Dresde la capitale, & la prit ; il
aveur de l’Impératrice qu’il met fort au dessus de ce Prince, dans la
guerre
pour l’élection de l’Empéreur ; les troupes Autri
pes Autrichiennes prirent la ville de Genes, qui lui avoit déclaré la
guerre
, le Sénat craignant que la Reine de Hongrie ne de
; mais en deça de la mer entretenant la guerre civile, on évitoit les
guerres
étrangères pour ne pas risquer son crédit ; au-de
server en étaignannt la guerre civile, & occupant la nation à des
guerres
étrangères. Toutes deux fourbes berçoient tout le
la haine d’Elisabeth ; cependant elle fit pendant tout son règne une
guerre
implacable à Philippe, elle l’attaqua par tout, d
alta mente repostum . Philippe obligé de se désendre, lui déclara la
guerre
à son tour, envoya contre elle une flotte immense
sur le trône, il ambitionnoit la souveraineté des Pays-Bas, alors en
guerre
avec Philippe ; Les Députés pour faire diversion
ince, c’étoit un fameux guerrier ; l’Angleterre qui ne vouloit pas de
guerre
craignoit qu’il en suscitât, son petit état aux p
contre lui, & de sa nation dont toute l’histoire est un tissu de
guerres
civiles, de crimes & d’horreurs. Les prétendu
mes ne formoient le plus sombre magique. SES ATTENTATS. Acte I.
Guerre
des Pays-Bas. La révolte des Pays-Bas fut un véri
mp; on soutenoit celle de la Hollande ; encore si l’Angleterre eut en
guerre
avec l’Espagne, mais les deux nations étoient en
à Elisabeth, elle se ligua avec ses Sujets rebelles pour lui faire la
guerre
, leur fournit de l’argent, des troupes : ses géné
autrui. Elle en fit de même en France, avec qui elle n’étoit pas en
guerre
, où elle fut marreine de la fille de Charles IX,
urnit du secours au Prince de Condé, au Roi de Navarre, pour faire la
guerre
au Roi légitime ; un bras de mer change la morale
is. La décoration change, & l’Actrice joue un rôle différent. Ces
guerres
fournissent bien des scènes, des secours refusés
s Espagnols, certain jour qu’elle lui désigne, auquel elle déclare la
guerre
. Les Espagnols qui ne pouvoient déviner ni être a
ême pris le titre de Reine d’Angleterre, elle pouvoit lui déclarer la
guerre
; le voyage n’est pas long d’Edimbourg à Londres,
fermie sur son trône ; l’Ecosse seule n’étoit pas en état de faire la
guerre
, & la France depuis la mort de François II sa
ter. Cependant les Écossois révoltés contre Marie, lui déclarètent la
guerre
, animés & soutenus par Elisabeth, ils la pour
ances singulières où elle se trouva de l’ébranlement de l’Europe, des
guerres
de Religion où elle entra, des mariages qu’elle r
femme du logis, qu’il ne connoît pas, le détail de ses projets, de la
guerre
de Paris, des mesures qu’il prend. Femme dont le
ont les moindres notions, soit des usages, soit des opérations de la
guerre
, soit des convenances historiques, & de tout
émoin, & dont on veut qu’il s’occupe ; 3°. l’espece de conseil de
guerre
, qu’il tient d’abord tout seul, & ensuite ave
aux Protestans que tous les édits de pacification que la terreur des
guerres
avoit arraché à ses prédécesseurs : édit dont l’a
fiance de Henri, & d’un Courier flamand : ce n’est qu’une ruse de
guerre
fort commune, dialoguée & mise en scènes. On
ongues, aussi essentielles : point d’unité d’action. Dans un temps de
guerre
, assiégé par un ennemi redoutable, on envoie des
i a embrassé & abjuré deux fois les deux religions, qui a fait la
guerre
à son Roi, quitté sa premiere femme après vingt a
nutile & odieuse, puisqu’il fait & qu’il croit que toutes ses
guerres
ne le méneront à rien tandis qu’il sera Huguenot,
ra tout. Que d’inhumanité, d’inconséquence, de fureur, d’éterniser la
guerre
qu’il peut, qu’il doit, qu’il veut finir ! Cette
ient cruellement tourmenter le peuple à Paris, par les horreurs de la
guerre
& la famine ; tandis qu’il ne tient qu’à lui
IV, pendant le plus long regne ? Grand en tout, dans la paix, dans la
guerre
, dans les succès, dans les revers, dans les scien
e son fils celui de Grand & son petit-fils celui de Bien-aimé. La
guerre
que fit Henri IV. jusqu’à la mort d’Henri III, po
x fois à la Religion Catholique, & la persécutant par une cruelle
guerre
, où il périt plus de monde que Julien n’en fit mo
ces maux, ils étoient introduits avant que je fusse venu. Pendant la
guerre
j’ai couru où le feu étoit allumé pour l’étouffer
; flattoit la vanité de ses Sujets, lui rendit plus de service que la
guerre
& les intrigues : il le fit monter sur le trô
ience, & Henri l’Edit de Nantes, après avoir fait toute sa vie la
guerre
de religion. On croit que Charles mourut Catholiq
me l’en consola. Maurice, dit-on, a étendu les limites de l’art de la
guerre
, par le recueil de ses Rêveries : en voici une qu
falloit marcher à l’ennemi. Ce systême a été adopté en paix & en
guerre
, chaque garnison & chaque camp a son état maj
ds qu’on les représente : vous êtes plus utile. Ils ont fait dans des
guerres
injustes des conquêtes dont on n’a tiré aucun ava
& bien davantage. Elle-même, quelques lettres après, appelle les
guerres
de Maurice injustes, ridicules, puériles Elle dit
nsieur le Maréchal, qu’au milieu des travaux & des fatigues de la
guerre
, vous trouvez encore des momens pour faire l’amou
uches qui l’ont tué plutôt que la vieillesse & les fatigues de la
guerre
Cependant, malgré toutes ses foiblesses qui sont
qu’à peine savoit-il lire. Il étudia un peu dans la suite l’art de la
guerre
, mais fort peu par ses exploits. Il ne savoit que
Son fils lui survécut plusieurs années, porta de tous côtés la double
guerre
qui l’a rendu célebre, & vint mourir à Chambo
l’admiration de la postérité. Il est surprenant que, dans toutes les
guerres
que sa famille a eu avec le roi de Suede & le
it un livre contre Machiavel, & le justifie par sa conduite ; ses
guerres
sont la réponse à les écrits : ce livre vivant es
ir Florence, & y réussirent enfin, perfas & nefas, à force de
guerres
civiles, d’assassinats, d’intrigues sans nombre,
sa maitresse, comme fit depuis Henri VIII, roi d’Angleterre. Dans les
guerres
d’Italie, Louis se ligua & fit la guerre pour
d’Angleterre. Dans les guerres d’Italie, Louis se ligua & fit la
guerre
pour & contre avec le Pape, l’Empereur, le ro
p; l’acheteur sur le prix & sur la qualité des marchandises. A la
guerre
, il sonne avec la trompette, il tire avec le cano
sides & en grand nombre, pour les appauvrir. On doit susciter des
guerres
civiles & étrangeres ; les royaumes se soutie
entreprises criminelles, tant de troubles, tant de désordres, tant de
guerres
de religion, tant d’assassinats et de régicides,
mbler l’opposition. Si on en croit à l’auteur de cette déclaration de
guerre
, la liberté de la presse va être anéantie, ou tel
quisitoriales, comme étant leurs dernières ressources. Déjà la petite
guerre
est déclarée aux imprimeurs et aux libraires, déj
ue ligne de son livre. Il oublie que les Pygmées ne savaient faire la
guerre
qu’à des grues, et qu’un jour, réunis en corps d’
es pygmées se situe après la victoire d’Hercule contre Antée. Pour la
guerre
des pygmées et des grues, voir l’Iliade, l. 3, v.
ant, fidele à ses promesses, a pris les armes pour la défendre. Cette
guerre
n’a pas été heureuse : la Pologne a subi le joug.
qu’a fait le Grand-Turc avec la Russie. La Pologne devroit gémir, la
guerre
n’avoit été entreprise que pour conserver la Reli
sé en sept tableaux qui représentoient les principaux événemens de la
guerre
, heureuse pour la Russie : quatre batailles, la p
it dans les enfoncemens le dieu Mars chargé de chaînes, l’hydre de la
guerre
étouffé, la forge de Vulcain déserte, ses foudres
ions théatrales ne seront pas moins nécessaires que les provisions de
guerre
& de bouche. Ce genre de tactique étoit incon
& à rendre les habitans incapables de soutenir les fatigues de la
guerre
. La cour de Londres, qui en connoît les dangereux
aux dépens des polonois, en faveur desquels Sa Hautesse avoit fait la
guerre
, (le premier Septembre 1775.) Les nobles cadets d
ses amateurs. En effet, dans le fort & le plus grand danger de la
guerre
, le Czar & Auguste, pour prendre de concert l
harles ne fit rien de tout cela : il n’aimoit & n’estimoit que la
guerre
. Les Remarques critiques de la Motraie, sur l’Hi
s’embarrassa gueres de toute sa science ; il étoit trop occupé de la
guerre
de Pologne & de Saxe, pour s’amuser à des dis
me sans piété, comme stupide dans la Religion, qui ne pensoit qu’à la
guerre
. De tels partisans sont peu propres à recruter le
ette accusation en lisant aux Juges son Oedipe Colonne. Le tems de la
guerre
du Peloponese fut le tems de la gloire du Théâtre
Peloponese fut le tems de la gloire du Théâtre d’Athenes : mais cette
guerre
se termina à l’avantage des Lacédémoniens, peuple
es de ce genre. Dans ses Harangueuses cependant, Piéce jouée après la
guerre
du Peloponese, son sel est encore très-mordant, p
Sophocle & Euripide, qu’on avoit déja regrettés sur la fin de la
guerre
du Peloponese, puisque dans les Grenouilles d’Ari
aux frais de ces Représentations, furent assignés sur les fonds de la
Guerre
, & on décerna la peine de mort contre celui q
s Armes ne seroient point à craindre. Tous les malheurs qui depuis la
guerre
du Peloponese arriverent à ce Peuple si spirituel
il pensoit même que c’étoit donner de l’éclat à ses armes de faire la
guerre
en se jouant, & insulter à ses ennemis. Le si
tous les remparts ? On bâtit la chamade, on se rendit prisonnière de
guerre
; l’Enseigne suivi de l’État-Major s’avance ensei
e sujets des Princes & États, avec lesquels elle pourroit être en
guerre
; que lesdites rentes seront exemptes de lettres
aire d’État qu’on négocioit avec plus de chaleur que la paix & la
guerre
sous les auspices du Marquis de Marigni, Directeu
que mérite l’importance de l’objet. Lenet, dans ses Mémoires sur les
guerres
de Bordeaux, paroît un homme sage, grave, sérieux
cit, à la vérité, décent, de plusieurs aventures galantes. Toutes ces
guerres
de la Fronde ne sont qu’une comédie, nous en parl
s, des fureurs de la sédition aux douceurs de la galanterie. La vraie
guerre
est celle des passions, elle cause toutes les aut
alousie. La Princesse de Condé, cette femme courageuse qui soutint la
guerre
de Guienne pendant un an, avoit dans sa famille a
esse & Henri de Condé son beau-père s’étoient signalés dans cette
guerre
, & avoient recueilli autant de myrrhe que de
’Henri VIII, l’horreur des persécutions, l’embarras des factions, les
guerres
civiles, les troubles de religion, ne laissoient
uissante de Dieu, implore ses anciennes miséricordes, et touché d’une
guerre
que la justice et la Religion l’obligent de soute
t vos Princes sont sous des tentes, dans les brûlantes chaleurs de la
guerre
et de la saison, il vous sied bien d’écouter à vo
déré désir de gloire qui l’engageait tous les jours dans de nouvelles
guerres
, et qui ne lui permettait pas de jouir de ses anc
pitaine, qu’il ne savait pas chanter, mais qu’il savait bien faire la
guerre
et prendre des Villes. Pour l’Astrologie, si nous
confié les affaires de l’Eglise, dans un Royaume aussi agité par les
guerres
de la Religion ? En calomniant de si grands Ponti
il n’avoit jamais cru, & ensuite dans le Ciel, dont il ne s’étoit
guerre
plus embarrassé, non plus que de l’enfer, ainsi q
tacle régulier & fixe est une bataille rangée, & soutient une
guerre
suivie, qui dévaste tout. Chap. 146. Le théatre
jamais dans le vice, la grandeur dans la corruption. Ch. 4. Dans la
guerre
de la Fronde, lorsque le Cardinal Mazarin revint
ée. On y étoit continuellement au milieu de toutes les horreurs de la
guerre
. Une pluye de bombes, une grêle de coups de canon
astique. Luther & les Luthériens trop occupés de dispute & de
guerre
pendant la vie de Leon X, & de Charles Quint,
venus qu’après Leon X, & furent aussi occupés de dispute & de
guerre
. Le spectacles sous Henri II, François II, Charle
approcher sa derniere heure, & ses affaires en décadence dans la
guerre
de la succession d’Espagne. Tant il est vrai que
aire adorer à force de bienfaits ; A paru trop aymer les perils de la
Guerre
, Pour n’aimer pas un peu les plaisirs de la Paix.
grandeur & l’élévation sont le plus capables de le soutenir. Les
guerres
fréquentes des Grecs, ont encore contribué à fair
Le goût pour les ouvrages dramatiques, n’éclata à Rome, qu’après les
guerres
de Carthage, au milieu des délices de la paix. E
d’intérêt à se voir rappeller dans leurs Spectacles, les images de la
guerre
; ils ne songerent plus qu’à jouir des douceurs d
ssante de Dieu, implore ses anciennes miséricordes ; et touchék d’une
guerre
que la justice et la Religion l’obligent de soute
et vos Princes sont sous des tentes, dans les brûlantes ardeurs de la
guerre
et de la saison, il vous sied bien d’écouter à vô
passions lui cachent ; de se rendre juge des Princes, qui se font la
guerre
, pour lui donner du plaisir. Dans ce combat de pl
mille, et jusques aux cendres des défunts ; ce ne sont que duels, que
guerres
, qu’assassinats, où pour donner plus de compassio
ion. *Les Ovations estoient decernées à ceux qui avoient soustenu une
guerre
ou mal fondée ou peu glorieuse, & dont les su
ordonna au Senat de s’assembler pour deliberer sur les affaires de la
guerre
& des Triomphes. Le Senat estant assemblé, on
ntes, leurs machines, & generallement tous les autres apareils de
guerre
ou marques d’honneur. S’il s’agissoit d’un Combat
d’Albruzo) orna la Place publique de plusieurs reliefs de Chariots de
Guerre
, de Boucliers & d’autres armes. M. Fulvius, f
nt, & chacun portant les glorieuses marques dont la Fortune de la
guerre
avoit peu favoriser leur valeur. Le Soldat mesme
iptions, comme celuy de Cesar & de beaucoup d’autres. Il ne reste
guerre
plus à mon avis de choses à dire sur ces fameux S
rri au mont Pierus, et tient-on qu’il vesquitj onze siecles devant la
guerre
de Troie. Ce Poète affirma qu’il n’y avait qu’un
tamorph. comme, quand nous disons, que les Géants [lesquels firent la
guerre
à Dieu]Macrobe li. 1. c. 20. Satur furent gens mé
r leurs Comédies, et Fables Palliates, qu’és plus grosses et urgentes
guerres
qu’ils fissent. Les Latins ont eu pareillement le
s, ils se montrèrent plus négligents et abâtardis, tant au fait de la
guerre
, qu’ès autres affaires de conséquence, ayant reçu
s écrits les portraits et images des vaillants Capitaines et Chefs de
guerre
, pour les contempler et ensuivre : par lesquels n
Italie, & y fit des conversions innombrables, dans un temps où la
guerre
, le schisme, le vice, les factions des Guelphes &
i os meum quoniam refecisti. Des son enfance, Bernardin déclara une
guerre
ouverte à l’impureté. La moindre parole déshonnêt
de Juda qui en montrant ses trésors à ses ennemis se fit déclarer la
guerre
pour les lui enlever. Les assemblées du monde son
elle entre les poëtes, une découverte entre les savans, la paix ou la
guerre
entre les nouvelistes. Un visage bien paré, n’est
ouverte, plus intéressante que celle des longitudes ; c’est une vraie
guerre
déclarée à tous les cœurs des hommes, & à tou
louses de leur liberté peuvent-elles se charger de tant de liens ? La
guerre
des passions est bien plus terrible. Point de mer
de la chûte des femmes, & ce sont elles-mêmes qui se déclarent la
guerre
, & se crusent le précipice ! Quelles cessent
s. Pour punir la corruption des peuples. Dieu envoye sur la terre les
guerres
, les famines, les maladies, & toute sorte de
ne puis pas me soutenir moi-même. » Le Cardinal aurait déclaré la
guerre
à un Prince qui l’aurait ainsi joué. L’Amour Tyr
êtes en sûreté de ce côté-là, etc. » Le Cardinal triomphait de cette
guerre
littéraire, dont il était le secret mobile ; il a
ort difficile, et se mit à leur tête. » Ce fut une affaire d’Etat, la
guerre
qu’il faisait à la maison d’Autriche l’intriguait
blicain du cothurne produirait de mauvais effets. La fermentation des
guerres
civiles, qui éclata de nouveau quelques années ap
ants et indépendants. Depuis un siècle le royaume avait été agité des
guerres
civiles du Calvinisme, de la Ligue, etc. Richelie
ors qu’il dit, « que ce n’est point à la vérité un péché d’aller à la
guerre
, mais que l’on ne peut y aller sans péché, si on
s ; ce siècle plus que d’autres est fertile en Ecrivains politiques :
guerre
, noblesse, finances, ambassades, marine, agricult
gerons point la Pompe de leur appareil, ny ce qu’une vive Image de la
guerre
pouvoit y permetre de galanterie, ny ce que la dé
de galanterie, ny ce que la dépence pouvoit déguiser d’une veritable
guerre
. Nous suivons simplement les descriptions les plu
très-petit commencement de celle à laquelle il doit tendre. Faire une
guerre
ouverte aux vices qui désolent la société, inspir
é un peu surpris d’apprendre par votre Lettre, qu’on m’eût déclaré la
guerre
chez eux. Vraisemblablement ce bon Régent est du
d’âmes, qui dès la terre vivent au Ciel, nous voulussions dénoncer la
guerre
aux plaisirs du monde, et nous donnant du tout à
paix, encore que leur inclination fût à ne respirer que le sang et la
guerre
: ils nommaient les jeux humanité. Les Romains on
t les actions du théâtre du monde, et où chacun essaie de désarmer la
guerre
, louer la vertu, reprendre le vice. g. [NDE] Com
sujets, leur ordonner même de désobéir à leur prince, de lui faire la
guerre
, de courir sus, de l’assassiner enfin, par trahis
t sans cesse des troubles suscités par un fanatisme ambitieux, et des
guerres
de religion empreintes du caractère particulier d
côté l’un de l’autre, sans se nuire réciproquement, sans se faire la
guerre
. Enfin, l’un, prenant le dessus, détruit ou subju
t dira-t-il, aux riches de la terre Pendant toute sa vie a déclaré la
guerre
. Cependant un Prélat se croit en sûreté Avec ving
sçut captiver deux Empereurs Romains, César & Antoine, allumer la
guerre
entre Auguste & Antoine, & rendre douteus
nnis Romano non casta malo. Quoi, César, au milieu des fureurs de la
guerre
, au milieu de vos ennemis & des plus grands d
des Egyptiens, & voudroit avoir des prétextes pour leur faire la
guerre
, pour s’en emparer : Causas belli phariis cum ge
uatre mille ans dans cette partie du monde, théatre d’une infinité de
guerres
& de vicissitudes, on doit avoir perdu les tr
r ; dans l’établissement de Ruth qu’une aventure champêtre ; dans les
guerres
des Machabees que des actes héroïques d’une valeu
héroïques d’une valeur singuliere, dont, peu de tems auparavant, les
guerres
d’Alexandre, & dans le même tems les guerres
tems auparavant, les guerres d’Alexandre, & dans le même tems les
guerres
de la République Romaine, avoient donné une infin
eux & trop sage pour s’amuser de ces folies, & occupé dans la
guerre
qu’il fit en Allemagne n’avoit pas de temps à y p
mp; ses libéralités excessives. On se voyoit à la veille d’une grande
guerre
, n’ayant rien pour en soutenir les frais ; les re
ayant rien pour en soutenir les frais ; les revers si ordinaires à la
guerre
, pouvoient aisément flétrir ses lauriers, dont le
maisons rivales d’York & de Lancastre par un mariage, termina une
guerre
qui avoit bouleversé l’État pendant tant d’années
orable, En adresse, et valeur a nul autre semblable ; Au milieu de la
guerre
, & dans le champ de Mars Cultive les vertus &
t ces deux choses dans le même temps ébranlent la Religion à faire la
guerre
au Pape, & vouloir la maintenir en faisant la
n à faire la guerre au Pape, & vouloir la maintenir en faisant la
guerre
aux Huguenots. La révocation de l’édit de Nantes
t, qu’il prétend foible, lâche, misérable, hors d’état de soutenir la
guerre
, & forcé d’acheter la paix, sur quoi il fait
s Proverbes, les Lamentations de Jérémie, les Menaces d’Ezéchiel, les
Guerres
des Maccabées, la Loi de l’Evangile, l’Esprit de
Odenat, mari de Zenobie, qu’il déclara Impératrice, & qui fit la
guerre
à Aurelien, un de ses successeurs. Le but de l’Au
s qui veulent les soudoyer ; car voudroit-il condamner toute sorte de
guerre
, & tous les soldats qui reçoivent la solde ?
ui reçoivent la solde ? en trouveroit-on qui servit gratuitement ? La
guerre
est un grand mal sans doute, mais un mal nécessai
ontre la révocation de l’édit de Nantes, la dragonade des Sevenes, la
guerre
des fanatiques, & tout ce qu’a fait le gouver
e à Dieu d’une victoire remportée sur les ennemis de l’Etat. Dans les
guerres
de la religion, où les Hugenots, armés contre le
é du Purgatoire, la resurection des morts, l’immortalité de l’ame, la
guerre
que nous fait le Prince des ténèbres. Mais on n’e
on Empire, Tira d’un vaisseau des destins L’arrêt, que pour bannir la
guerre
, Ce chef d’œuvre des Cieux en terre Rendrait les
s, lorsqu’ils commencèrent à penser, se délassaient des travaux de la
Guerre
, en écoutant les Pièces de Plaute & de Térenc
ccès d’un genre rempli d’agrémens. Le public gagnera dans leur petite
guerre
intestine, parce qu’ils s’appliqueront à se surpa
finissent par donner un assentiment, en quelque sorte stupide, à des
guerres
injustes ou du moins sans un résultat heureux, te
guerres injustes ou du moins sans un résultat heureux, telles que la
guerre
d’Espagne ; ainsi qu’à des dilapidations criminel
amp; des démêlés de toilette ; faut-il qu’elles allument le feu d’une
guerre
sanglante ? De pareilles insultes, ainsi que des
gazettes piquantes, contribuerent à faire entreprendre à Louis XIV la
guerre
de Hollande, dont le succès ne fut pas plus heure
corps de l’acteur. Ce trait pouvoit être puni, & occasionner une
guerre
. Barrau eut ordre de se retirer ; la Cour de Fran
te de ces sages avis. Le Prince de…… qui a joué tant de rôles dans la
guerre
de la succession, en a joué bien d’autres dans la
nqua de confiance en celui dont il avoit éprouvé les bontés. Dans une
guerre
contre le Roi d’Israël, au lieu d’avoir recours à
ινουπόλεως. » tient que les Assyriens la portèrent les premiers en la
guerre
. Et le Prophète Isaïe a fait les Assyriens invent
loyer son génie, comme lorsqu’il s’agit de faire entendre un bruit de
guerre
, les cris furieux d’une troupe de combattans, les
urent chacun deux mille écus (trente mille livres) en récompense. Les
guerres
civiles, qui donnaient à la France des spectacles
eu était une satire très maligne de tous les Princes qui faisaient la
guerre
à la France. Toutes ces pièces politiques qui fon
à la méprise de l’Auteur des mémoires fournis à Boursault. Après une
guerre
et un schisme de dix-huit ans le Pape Alexandre I
ce : De donner à Thémis ni bandeau ni balance, De figurer aux yeux la
Guerre
au front d’airain, Où le temps qui s’enfuit une h
rs publics, et à cette grande défaite qui les affligea en la première
guerre
Punique, les blâme d'avoir rétabli des réjouissan
e grands Jeux et des Fêtes magnifiques agréables aux Démons parmi des
guerres
furieuses, des combats sanglants et des victoires
les festins, les danses, les comédies ont succédé aux horreurs de la
guerre
; ce prodige a été opéré par le caractère (frivol
ateurs. Au bout de la table, à droite, le Temple des Arts & de la
Guerre
, (deux choses qu’on n’a jamais fait aller de pair
de la Jurisprudence ; si ce n’est dans Pourseaugnac ; le Temple de la
Guerre
, termine ces belles allégories en sucre. Mars y e
ce saint Pape tenoit une conduite bien différente. Pour favoriser la
guerre
du Roi de Pologne contre le Turc, il lui envoya c
a société, en troublant la paix par les divisions qu’elle y seme, les
guerres
qu’elle y entretient. La médisance met obstacle à
rcées, plus rusées, plus animées, plus opiniâtres dans cette sorte de
guerre
. J’ai droit d’en conclure qu’elles doivent encore
is pâlir celui d’empereur et de conquérant ; si Washington soutint la
guerre
par nécessité, Napoléon la fit par manie. Tous de
s deux généraux habiles eurent cela de commun, qu’ils commencèrent la
guerre
sans argent, sans munitions, sans magasins. Mais
Ce nombre de cadavres comprenait sans doute ceux des deux nations en
guerre
l’une contre l’autre. Ce nombre des victimes d’un
t impitoyablement proscrites. La mission des Censeurs est de faire la
guerre
à la raison, à la liberté ; sans talens & san
établissement de l’Inquisition ; les forfaits d’un Alexandre VI ; les
guerres
longues & sanglantes que le Fanatisme-allumoi
ont plus. Cet esprit de fanatisme & d’intolérance qui a causé nos
Guerres
Civiles du seizième siècle, s’est beaucoup affoib
anéantissent devant l’intérêt public, si l’on fait aux préjugés cette
guerre
ardente & vigoureuse, digne du Peuple qui s’a
craindre ? N’ai-je pas effacé par assez de bontés, Les horreurs de la
guerre
et ses calamités ? Si mon bras a fait choir ces t
du Public. « On me dira qu’il en faut [des hommes] aux Rois pour la
guerre
. Point du tout. Au lieu de trente mille hommes il
convénient de leur sexe est de ne pouvoir soutenir les fatigues de la
guerre
et l’intempérie des saisons. [peu de chose : voi
aient comme vous sur le compte de leurs femmes, ils les menaient à la
guerre
avec eux ; ils étaient bien plus sages alors qu’a
la liberté. Alors les empereurs enchérirent encore sur les chefs des
guerres
civiles, qui, pour gagner l’amitié du peuple, lui
. Reflexions sur les sentimens des Peres & des Conciles. IX. La
guerre
profession Illustre, quoy que source de bien des
beaux pour aller à l’ennemy, & que la ruse n’est pas blâmée à la
guerre
, les Comediens qui la font adroitement au vice &a
i n’auoûra qu’on ne peut enuoyer nos jeunes Gentis-hommes nez pour la
guerre
à vne meilleure Ecole que celle-là, & qu’en v
ianisme, que les Conciles & les Peres se sont declarez. IX. La
guerre
Profession Illustre, quoy qu’elle soit cause de b
Profession Illustre, quoy qu’elle soit cause de bien des maux. La
guerre
n’a iamais esté generalement condannée entre les
Y font l’image des Enfers. C’est le portrait que nous fait de la
guerre
Monsieur l’Abbé Boyer, vn des Illustres de l’Acad
u’il à mise au iour sur la prise de Mastric. Sans venir aux mains, la
guerre
produit assez d’autres maux, & la marche d’vn
d’vne armée desole souuent tous les lieux où elle passe. Cependant la
guerre
est le noble mestier des Roys, la guerre est just
où elle passe. Cependant la guerre est le noble mestier des Roys, la
guerre
est juste & loüable, quand elle a pour fin la
puissant qu’il soit ne sçauroit fournir. Tandis que la France est en
guerre
au dehors auec l’Etranger, la paix & la joye
y ne vienne joüer chez eux de sanglantes Tragedies. Sans parler de la
guerre
, il ne se void jamais de Comediens dans l’vne des
edies, & qu’on les donnoit au Public dans le plus grand feu de la
guerre
du Peloponnese. Que n’aurois je pas eu aussi à di
pas à lui reprocher à des époques anciennes et modernes ! Combien de
guerres
de religion n’a-t-il pas suscitées ! et plus d’un
du ridicule, contre le probe, le délicat et trop sensible Alceste. La
guerre
injuste qu’il a faite ici à la vertu, ainsi que l
Alceste. La guerre injuste qu’il a faite ici à la vertu, ainsi que la
guerre
inconsidérée qu’il fit au vice dans le Tartufe, a
cours complet de démoralisation ; je vois qu’après avoir suscité une
guerre
cruelle à la vertu par le Tartufe, et lui avoir e
e ridicule peut-être jusqu’au mot sacré de Bienfaisance ! en temps de
guerre
, pendant le cours de la plus terrible calamité, à
nt de honte, qu’il refusa d’y assister. Ces folies occasionnerent une
guerre
particuliere, dite la guerre des amoureux, dont l
assister. Ces folies occasionnerent une guerre particuliere, dite la
guerre
des amoureux, dont la galanterie étoit le princip
oldat défend la patrie, & combat l’ennemi : l’Amazonne déclare la
guerre
à ses concitoyen., & les blesse mortellement.
& de réparer ses pertes, en inventant quelque nouvelle machine de
guerre
, & choisissant un meilleur poste ; chaque jou
ouer la comédie, & voulut que la Famille Royale sa prisonniere de
guerre
y assistât avec lui ; contraste bizarre & inh
; les immenses profusions. Ce Prince , dit il, n’étoit grand qu’à la
guerre
, & très-petit aux opéras ; tous les monumens
ns souci, doit avoir & montrer de la modération, même en temps de
guerre
, envers les Rois & les peuples ses ennemis. L
Naples lui demander du secours contre Barberousse qui lui faisoit la
guerre
. Ce Prince Africain perdu de débauches étoit sing
prétend qu’elle fut aimée de Saladin, allumant par-tout le feu de la
guerre
; en France pour se vanger de la jalousie de Loui
; embaume les campagnes ; l’hiver dépouille de tout, & déclare la
guerre
à tous les sens. Une Actrice, une coquette, un pe
’ai attrapé mon Confesseur, j’en ai dans mon cabinet une copie. » Les
guerres
de Charles VII contre les Anglais fournirent une
de Naples et Comtesse de Provence, dont les amours, les mariages, les
guerres
, les crimes, la mort tragique, donnaient beau jeu
pes des Basochiens et des Sots eussent abandonné la scène pendant les
guerres
du Calvinisme et de la Ligue ; ils auraient égale
de l’oisiveté à laquelle la Grece se livra, lorsqu’elle n’eut plus de
guerres
à soutenir, comme le dit Horace. Le repos & l
us fort tard chez les Romains. Ce ne fut, dit Horace, que lorsque les
guerres
puniques furent terminées, qu’on s’avisa de feuil
més d’une ceste, & de substituer ces combats aux armes & à la
guerre
. Les augures seront-ils dignes de la sainteté de
e, Reine des Amazones, &c. L’abolissement des tournois, & les
guerres
civiles firent cesser le goût de ces Romans héroï
noit la loi, & qui décidoit souverainement de la paix & de la
guerre
. Ils étoient remplis de conversations trop longue
e En faveur de la passion. *** Elle mêle l’amour aux fureurs de la
guerre
; Elle attendrit l’ambitieux ; S’il veut se fair
ls, politiques ou matériels dès ce bas monde, et peuvent susciter des
guerres
de religion ; ils se croient autorisés à employer
ent goûtés de Leurs Altesses. » Se peut-il que pendant cinq ans d’une
guerre
aussi affreuse pour tout l’Electorat, cette engea
pporte que le théâtre avait plus coûté aux Athéniens que toutes leurs
guerres
, quoique très considérables et presque continuell
ile à mon corps attaché. Ainsi ce que n’ont pu dans l’horreur de la
guerre
, Centaures, ni Geans, fiers Enfans de la terre,
é de ces Pasteurs négligents et lâches qui n’ont nul soin de faire la
guerre
aux vices, et qui au lieu de faire régner la paix
Etats du Béarn et les dames de la ville. Quelque juste que soit la
guerre
littéraire que je déclare au théatre, je sens que
s dangereuses liaisons avec les ennemis auxquels il aurait déclaré la
guerre
. En attendant l’édition de ce précieux recueil av
resse de l’admiration publique. Au commencement du dernier siècle les
guerres
civiles avaient tourné l’esprit français du côté
s de Corneille bien appréciés, ne sont donc que le ton sur lequel les
guerres
civiles avaient monté la nation. Il n’y avait plu
rent naître ce fléau destructeur de l’humanité, que nous appellons la
guerre
. En allant au combat, on s’éxcitait par des cris
sique. Cet Art resta long-tems enseveli dans l’obscurité. Les longues
guerres
que les Gaulois eurent à soutenir, & l’invasi
Auteur raconte d’après Homère36 ; « qu’Agamemnon, en partant pour la
guerre
de Troyes, laissa en sa maison, près sa femme Cli
me peut-être qu’on nomma Ambassadeur de Perse, fut fait prisonnier de
guerre
par Athan, roi des Scytes, & qu’il se mit aus
ui déposé dans le temple de Delphes, & destiné aux dépenses de la
guerre
. Les auteurs y représentoient eux-mêmes, & il
que lorsqu’il voulut se reposer & se délasser des fatigues de la
guerre
. Il avoit près de cent ans, lorsqu’il célébra sa
ux d’Agamemnon, au milieu d’un camp & de tous les appareils de la
guerre
, lui demande s’il doit l’éviter, & lorsqu’au
somptuosité jusqu’à une espèce d’excès ; Charles VII les abolit. Les
guerres
contre les Anglois lui servirent de prétexte : la
autre chose, que remuer les bornes de l’ordonnance Céleste, faire la
guerre
à Dieu, et à la Nature : Mais quand outre cette r
que demande l’état de la vie humaine en ce monde : Nous ne faisons la
guerre
, ni à la nature, ni à la société ; nous accordons
cela, qu’à cause de la perte de leurs biens et parents, perdus par la
guerre
. Les délicats qui trouvent notre langage trop âpr
sie aux Comédiens, mais ne les souffraient non plus entre les gens de
guerre
, tant ils les jugeaient dépravés et pernicieux. S
acchanales. fc. [NDE] les protestants français ont été, pendant les
guerres
de religion, les dignes successeurs des premiers
d’une gaze légere, on tient l’imagination toujours attachée, mêlé de
guerres
philosophiques, très-ridicules, entre des Profess
s vices, leurs foiblesses sur le théatre ? Il a raison, ce seroit une
guerre
cruelle ; mais c’est trop foiblement combattre un
oix de la Réligion & de la société. Moliere qui ne s’embarrassoit
guerre
des unes ni des autres, l’a souvent fait ; plusie
vent reprochée à notre Nation, vinrent troubler un si bel ordre ; les
guerres
sanglantes de Religion, absorberent les esprits p
lle Ecole fût moins utile aux Militaires. La Prudence est l’ame de la
guerre
; & il y a des loix à observer, les armes à l
rappeler dans l’esprit la prise de Troie, et ces longues et cruelles
guerres
qu’Homère et Virgile ont décrites, et dont votre
corriger : que s’il ne répare pas ses fautes, elle peut lui faire la
guerre
, et si les circonstances le permettent, lui porte
is excommuniés, déposés, assassinés ; on vit le fanatisme allumer des
guerres
de religion, suscitées contre les trônes ; et enf
florissait dans le siècle des grands hommes…. Ce fut surtout dans la
guerre
du Péloponèse, qu’il parut avec le plus d’éclat,
oyez rois sur la terre ; Prêtres d’un Dieu de paix, ne prêchez que la
guerre
; Armez et divisez pour vos opinions, Les pères,
éfaut important, de rejeter sur la religion en général le malheur des
guerres
civiles, et de montrer au peuple la puissance du
n nom, ils ne savent pas que chercher même à travers les périls de la
guerre
, l’honneur d’un trépas fameux, n’est pas toujours
si très fréquemment il était chargé du soin de conduire lui-même à la
guerre
les vassaux des monastères dont il était et le so
ode enfin, qui, conçu, achevé au milieu même des pénibles soins d’une
guerre
formidable, doit servir de règle et de modèle à t
aintenant préside à la Franceat, nous avons échappé aux fureurs d’une
guerre
étrangère et civile. La sagesse et la modération
rrompu et amolli par les délices de l’oisiveté, il est dévoré par une
guerre
intestine que lui livrent ses passions. C’est un
oppresseur, Au riche impitoyable, au cruel ravisseur, Déclarait-il la
guerre
? une voix fulminante A leur âme de fer imprimait
eu cette opinion des avocats. Dans les commissions et les conseils de
guerre
où mon ministère a pu m’appeler dans le cours de
te secte, pendant près de deux siécles, a causé les plus grands maux.
Guerres
, incendies, martyrs sans nombre, destruction des
bertin prodiguera des amours & des nudités, le théatre ne connoît
guerre
d’autre décoration, parce que c’est le sanctuaire
qu’ils étaient déja en usage. Cette Histoire prouve qu’on faisait la
guerre
aux boucs, parce qu’ils étaient apparemment trop
celle de ses progrès. Les Romains, que l’ambition portait à faire les
guerres
les plus injustes, éteignirent, sans doute, dans
s les passions que le Sauveur a combattues, entretenant vous-même une
guerre
ouverte avec cet Homme-Dieu, dont vous détruisez
iens, en considération de l’asile qu’ils lui avaient donné pendant la
guerre
; et particulièrement le droit d’avoir la troisiè
oi sitôt que j’appris par le Journal de Londres, la nouvelle de cette
guerre
littéraire, j’eus une impatiente curiosité de lir
s peuples en alarme, qui occupe le conseil des Princes, qui cause les
guerres
et les alliances, enfin l’on rapporte toutes chos
entretient que de combats. Ce n’est pas seulement quand il chante la
guerre
, qu’il ne songe point à parler d’amour ; il n’y p
hevalier amoureux de la femme de son voisin, obligé de partir pour la
Guerre
sainte, y mourut, après avoir ordonné par son Tes
semblait avoir une âme de fer et d’acier, et n’être fait que pour la
guerre
, se voulait mal de n’être pas bien affable aux oc
taille, où le vice et la vertu se donnent combat ; quelle paix, où la
guerre
est domestique et perpétuelle ? De plus c’est abu
d’un serpent : Qui pourrait s’aimer en une compagnie où on déclare la
guerre
à Dieu et à ses Saints ? Où il n’est point de ver
e c’est l’école du Démon, d’où personne ne sort, que pour déclarer la
guerre
à toutes les actions honorables.« Histrio enervis
s suis spectarentur. » Seneca de tranquill. c. 15. Les Officiers de
guerre
ne devraient quasi point avoir d’autres Jeux, que
seraient avec eux ce désir insatiable, qui tourmente les Officiers de
Guerre
, à qui le jeu dérobe tout : elles se présenteraie
ecevoir. Quelques-unsAristot. 2. polit. crurent du depuis que dans la
guerre
où ils menaient leurs femmes, il y pouvait avoir
uelques combats, ils reconnurent que les femmes n’étaient bonnes à la
guerre
que pour y faire plus de bruit, qu’elles amolliss
e les femmes dorénavant garderaient la maison, et que le métier de la
guerre
ne serait plus que pour les hommes. De très bons
emme en homme, buttaitao particulièrement à éloigner les femmes de la
guerre
: A quoi ces savants hommes n’ont pas été portés
per ni dans le trafic, qui est au-dessous de sa condition, ni dans la
guerre
, qui ne dure pas toujours, elle se consomme en un
doivent avoir pour leurs sujets, et n’y prissent trop d’amour pour la
guerre
, dont la Chasse est l’apprentissage.« Dat belli r
ravages dans la Société. Je les exhorte au-contraire à lui faire une
guerre
opiniâtre, & à le poursuivre jusque dans ses
nt écrit sur les monnaies, les finances, le commerce, la noblesse, la
guerre
, l’agriculture. La religion et les bonnes mœurs n
i les ai imaginés, ces documents. Un Officier Livonien, prisonnier de
guerre
à Berlin, discutait cette matière, il y a quelque
e de ceux qui s’y livrent. Vis-à-vis d’un ennemi barbare, le droit de
guerre
autorise la barbarie par représailles : tout agre
sime des troupes impériales et grand adversaire de Turenne lors de la
guerre
de Trente Ans et de la guerre de Hollande (où Tur
grand adversaire de Turenne lors de la guerre de Trente Ans et de la
guerre
de Hollande (où Turenne trouva la mort). C’est à
gouvernent des hommes ; il leur laisse le gouvernement des Etats, la
guerre
, le commerce, les sciences, où quelques-unes se s
nes des autres, toujours aux prises avec leurs compagnes, toujours en
guerre
pour se disputer le cœur d’un mari, servilement a
s, cette multitude de livres frivoles qui tous les jours déclarent la
guerre
à la vertu, font ouvrir & petiller l’œil du l
sans humanité, qui eurent & avec les habitans & entr’eux les
guerres
les plus cruelles ; cet esprit qu’ils y apportère
t consternés, mais comme pétrifiés par l’artillerie, les vaisseaux de
guerre
, la cavalerie espagnole, dont ils n’avoient aucun
emmes coûte beaucoup. Ces magasins de filles, comme des provisions de
guerre
& de bouche, étoient entretenus des offrandes
beaux de leurs amis, tous les esclaves qu’ils avoient pû prendre à la
guerre
. Iunius Brutus fut le premier parmy les Romains,
y eux tous, le bon-heur fut fort different, car les esclaues faits en
guerre
n’auoient ny esperance ny resource, ou si le haza
ignorance et l’abrutissement des nations qui auraient pu diminuer les
guerres
, les rébellions et les révolutions sans nombre, q
ûchers. Il est temps que tous les gouvernements aient en horreur, les
guerres
à la fois politiques et religieuses, dont le cara
u théâtre. L’amour, cet ennemi redoutable, à qui vous avez déclaré la
guerre
, y joue presque toujours le rôle principal ; mais
vec énergie, et en même tems avec douleur, ce combat intérieur, cette
guerre
continuelle que nous livre l’opposition de nos ac
journalistes en font régulierement mention à côté des affaires de la
guerre
& de la paix : A Vienne en Autriche le 3 mai
; on tire des remedes du poison, l’ambition a fait naître l’art de la
guerre
, l’injustice a fait porter des loix & établir
p; établir la jurisprudence. Faut-il donc prendre du poison, faire la
guerre
& des procès, se blesser & se donner des
vient à être séduite : c’est un risque attaché au métier, comme à la
guerre
d’être tué ou blessé, & plus encore. Le solda
, & semblent ne plus connoître d’autre profession que celle de la
guerre
. Treves, ma chere patrie, a esté prise & repr
sang versé en tant de batailles, on se bat encore sur mer ; & la
guerre
, lassée de marcher, vogue à rames & à voiles.
ination de prendre le Seigneur pour leur héritage, & de faire une
guerre
continuelle au monde & à Satan, se trouvent d
n’auront aucune part à la mort de tant de milliers d’hommes tués à la
guerre
; les Parques ne se mêleront point de couper le f
peuple d’ailleurs violent, que tant de fermentation avoit exalté. Les
guerres
des Protestans & de la Ligue, les troubles de
Nous avons en Angleterre bien d’autres spectacles. Combats de cocqs,
guerre
de chiens, joûte d’ours & de taureaux : tout
ue décroteur du Pont neuf. Quand on a pris la résolution de faire la
guerre
, ou qu’au retour de la campagne, on en rend compt
a donne ainsi des combats de Persée, de Bellérophon, &c. fait des
guerres
sanglantes, contre des ennemis de toile on de car
dureté des impôts. Telle était la politique des Romains, qui dans les
guerres
civiles amortissaient par des spectacles le feu d
t le feu partout, en renversant toute la discipline ; Charles, par la
guerre
qu’il déclara aux Protestants, Léon, par la conda
ion des armes, des disputes sur le rang & la préséance, soit à la
guerre
ou dans les Conseils d’Etat, mis la mésintelligen
au point que les deux Ordres en vinrent aux mains ; ils se firent la
guerre
avec un acharnement incroyable, que l’autorité du
et donné par l’Electeur de Brandebourg au Duc de Neubourg, excite une
guerre
sanglante entre ces deux Princes, le motif était
ader. Car pour les Spectacles où sont imprimées quelques images de la
guerre
, ils accoûtument peu à peu les Hommes à manier le
s utile à cette République superbe. Leur bravoure fut le succès de la
guerre
d’Annibal. Combien de Héros cimentèrent de leur s
e causer de la jalousie à leurs voisins, ce qui leur attira plusieurs
guerres
qu’ils terminèrent heureusement. Les Génois jalou
pas un jour sur vous, sur votre commerce, sur vos alliances, sur vos
guerres
? Les mœurs des différents Peuples sont comme les
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