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1 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre I. Que les Spectacles des Anciens ont fait partie de la Religion Païenne. » pp. 2-35
et en prendre soin, ou par les vœux de Combattants et les actions de grâces que les Vainqueurs rendaient à leurs Dieux, ou pa
e, que leur père en crut les auteurs, et auxquels il en voulut rendre grâces par cette pieuse cérémonie. Ptolémée en établit e
les Jeux, et de les célébrer en leur honneur pour en obtenir quelques grâces , et le plus souvent pour les remercier de celles
et événement si avantageux à la République, qu'il résolut d'en rendre grâces aux Dieux par la célébration des grands Jeux dura
adieDiod. l. 15. Plut. Strab. des Jeux à Jupiter Roi, pour lui rendre grâces de la victoire de Leuctre ; et les Jeux Éleuthéri
Jeux de toutes les sortes. SyllaAppian. l. i. de bell. civil. rendit grâces aux Dieux par cette cérémonie après la victoireDi
oi de Macédoine après la prise d'Olynthe rendit celèbre son action de grâces par les Jeux et les Sacrifices. LesLiv. l. 33. Je
nt accoutumé de leur faire des vœux pour y vaincre et de leurs rendre grâces quand ils y avaient vaincu, comme fit le Philosop
ayant remporté le prix de la tragédie aux Fêtes Lénéennes, en rendit grâces aux Dieux par des Sacrifices ; où assistèrent ceu
2 (1632) Les Leçons exemplaires de M.I.P.C.E. « Livre III, Leçon X. LA COMEDIENNE CONVERTIE. » pp. 461-479
Livre III, Leçon X LA COMEDIENNE CONVERTIE. La Grâce de Dieu est un orient d’en-haut qui va du Ciel éc
andes âmes qui ont été des miroirs de pénitence faisant surabonder sa grâce où le péché avait abondé. Autrefois parmi les Mén
avance tout ceci pour préparer l’esprit de mon Lecteur au récit d’une grâce insigne que Dieu versa en l’âme d’une Comédienne
Je leur répondis que les Ecclésiastiques et Religieux n’avaient bonne grâce qu’à l’Autel devant sa Majesté divine et que deva
us-Christ Crucifié. C’est merveille Madame ou plutôt un miracle de la grâce comme un si faible roseau a pu résister à tant de
nt l’effet de votre Royale munificence. Si jamais j’ai mérité quelque grâce devant les yeux et les oreilles de votre Majesté
ous attend au ciel. » Les sanglots qui avaient souvent, mais de bonne grâce , entrecoupé son discours le tranchèrent ici tout
3 (1705) Traité de la police « Chapitre III. Du Théâtre Français, son origine, et qu’il n’a été occupé pendant plus d’un siècle, qu’à la représentation de pièces spirituelles, sous le titre de Moralités. » pp. 437-438
ages ; registrées au Châtelet, vol. 2. des Bannières, fol. 77. par la grâce de Dieu Roi de France, savoir faisons, à tous pré
t les droits et revenus d’icelle être par Nous accrus et augmentés de grâce et privilèges, afin qu’un chacun par dévotion se
nfrérie de la Passion de Notredit Seigneur, avons donné et octroyé de grâce spéciale, pleine puissance et autorité Royale, ce
Nous iceux Confrères, Gouverneurs et Maîtres, de notre plus abondante grâce , avons mis en notre protection et sauvegarde, dur
ffrent et laissent jouir pleinement et paisiblement de notre présente grâce , congé, licence, don et octroi dessus dits, sans
4 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « A MADAME LA MARQUISE DE B… » pp. 302-316
s n’y trouvez plus. A vous dire vrai la jeunesse de la Champmeslé, la grâce de Baron, et les fréquentes nouveautés que donnai
rnier, et que vous renouvellez dans la Lettre que vous m’avez fait la grâce de m’écrire, je n’ai autre chose à y répondre que
leur haut quand ils apprirent la chute de mon Ouvrage. Faites-moy la grâce , Madame, de ne point trembler pour eux : je les s
aque, Oédipe, Iphigenie, Horace, Où chaque Passion parle avec tant de grâce  : L’Histoire, où des Héros les Exploits éclatants
eurs traces. » MELPOMÈNE. « Le Ciel à peu de Gens fait de pareilles grâces . A peine en tout un Siècle en voit-on deux ou tro
5 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — VI.  » p. 460
e tentation recherchée de gaieté de cœur, ce qui éloigne bien plus la grâce de Dieu, et le porte davantage à nous abandonner
ption et de la folie à croire que Dieu nous délivrera toujours par sa grâce d'un danger où nous nous serons exposés volontair
6 (1675) Traité de la comédie « VII.  »
e tentation recherchée de gaieté de cœur; ce qui éloigne bien plus la grâce de Dieu, et le porte davantage à nous abandonner
ption et de la folie à croire que Dieu nous délivrera toujours par sa grâce d'un danger, où nous nous exposons volontairement
7 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II. Excellentes raisons qui ont porté les Pères de l’Eglise à condamner les Comédies, et à les défendre aux Chrétiens. » pp. 12-28
en. Le premier, est son esprit naturel ; et le second est l’esprit de grâce . L’esprit naturel est la lumière de la raison qui
les conduit dans les actions ordinaires de la vie Civile. L’esprit de grâce est celui que le Chrétien reçoit dans son baptême
ns les dons que Dieu nous a faits. »1. Cor. 2. 12. Or cet esprit de grâce met d’ordinaire dans ceux qui ne l’éteignent pas
criminels. Comme innocents, si par sa miséricorde ils ont conservé la grâce qu’ils avaient reçue dans leur Baptême ; ou comme
à présent le monde, de trouver des personnes qui aient conservé leur grâce baptismale. Mais supposé qu’il s’en trouve, je di
utions possibles pour conserver un trésor aussi précieux qu’est cette grâce , et qu’il y a un danger évident de la perdre en y
doit bien moins aller à la Comédie, s’il veut tâcher de recouvrer la grâce qu’il a perdue : « Cohibeat se à spectaculis, qui
us-Christ, qui le leur a mérité par l’effusion de son Sang, comme une grâce . Ainsi comme il ne leur en donne que l’usage, ils
8 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Onzième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 244-249
l’effaceras entièrement, si tu lui dérobes tous ces petits riens, ces grâces , qu’on nomme la magie des jolies femmes, & qu
faite au tour ; & joint à la régularité de la beauté, toutes les grâces des jolies femmes ; voila pour l’extérieur : quan
utes deux ; & que vous nous seconderez à notre manière ; c’est la grâce que j’ose exiger de vous. [*] Ne me croyez pas a
9 (1664) Traité contre les danses et les comédies « EXTRAIT du Privilège du Roi. » pp. -
EXTRAIT du Privilège du Roi. Par grâce et Privilège du Roi, il est permis à Jean Boude I
ivilège du Roi, Donné à Paris le 7. jour du mois de Décembre, l’an de grâce 1662. et de notre règne le vingtième. Par le Roi
10 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A la signore Isabelle » pp. 25-
ormé du limon de la terre ; et les vôtres tous divins reluisent d’une grâce céleste, qui ne termine leur fin qu’en celle de l
même, ainsi que d’une seule bague il ôte et envoie le sommeil, si des Grâces qui égalent celles qu’ils portent vous les devez
11 (1641) Déclaration du roi
TION DU ROIa Extraite des Registres du Parlement. Louis par la Grâce de Dieu Roi de France et de Navarre, à tous prése
de Parlement de Paris, etc. Donné à saint Germain le 6 Avril, l’an de Grâce 1641. Registrées, ouï le Procureur General, pour
12 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Mlle de Guise » pp. -1
attre Sur ce teint délicieux, D’œillets, de lys, et de roses Où mille grâces écloses Luy firent trouver les Cieux. Superbe se
es charmes De vos célestes vertus. Lors les Muses désireuses, De vos grâces amoureuses, Se logèrent dans le cœur : Python où
13 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 5. SIECLE. » pp. 147-179
ces malheurs véritables ou supposés, sont représentés avec si peu de grâce et d'industrie, qu'il ne s'en afflige pas, il sor
point de l'Eglise. Elles font attentivement réflexion sur toutes ces grâces que Dieu leur a faites, et qu'il a faites en même
tres parlent de lui de la même sorte. Certainement nous voyons par la grâce de Dieu de ces conversions merveilleuses, et elle
s conversions merveilleuses, et elles nous sont un sujet d'actions de grâce , et de joie: Mais si nous nous réjouissons à caus
faveurs, nous lui offrons des Jeux publics, et ce sont nos actions de grâces . Nous imitons en cela celui qui payerait d'une in
est payé que par les vices d'une vie débordée. Saint Paul dit, que la grâce s'est montrée, qu'elle nous a enseigné à vaincre
minel aime mieux entendre ce qui le condamne, que ce qui lui donne la grâce . Si un jour de Fête on apprend dans les Eglises,
14 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « I. Point. » pp. 178-200
s farouches qui ne sont enchaînées que par les liens invisibles de la grâce , c’est le principal exercice de la morale Chrétie
notre tâche, notre combat journalier, le tout de l’homme Chrétien, la grâce que Jésus-Christ nous a apportée du Ciel est une
e Chrétien, la grâce que Jésus-Christ nous a apportée du Ciel est une grâce militaire qui arme l’homme contre lui-même, et le
t les bons sentiments dont le Seigneur l’avait prévenue, que sans une grâce spéciale elle se fût engagée dans la voie de perd
amour, de haine, de joie, de tristesse, le cœur se ferme à ceux de la grâce plus calmes et plus modérés, et y devient impénét
dans sa maison, in meo inveni. Nous voyons encore aujourd’hui (car la grâce est uniforme) qu’une des choses qui pèse le plus
15 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE VI. Où l’on examine si le Bal public proposé par M. Rousseau ne serait pas plus préjudiciable aux mœurs de Genève, que le spectacle qu’il proscrit. » pp. 211-224
faudrait encore qu’il imaginât des danses dont les mouvements et les grâces ne fussent pas contraires à la modestie : car vou
xés sur ceux de votre Cavalier, que tous vos mouvements peignent avec grâce un sentiment, souriez agréablement. Tous ces prin
exigez ne s’accorde pas avec une parure excessive. Vous voulez de la grâce et de l’adresse, et qu’on applaudisse ces deux av
ces deux avantages dans ceux qui les auraient : ce seraient donc des grâces et une adresse de convention ? Car pour les grâce
seraient donc des grâces et une adresse de convention ? Car pour les grâces naturelles qui accompagnent les danses de toute l
16 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IX. Sentiments de S. Ambroise. » pp. 200-211
ur, où tout ce qui peut inspirer la volupté est étalé avec toutes ses grâces , beauté, nudité, danse, chant, parures, attitudes
la multiplicité des théâtres, il ne leur fait pas sans doute plus de grâce qu’aux logements des citoyens. Quelles sont en ef
uptueuses agitations. Cette fille ayant dansé devant Hérode, avec les grâces et l’indécence d’une Actrice (et sans doute beauc
une couronne immortelle, il m’a couverte des pierres précieuses de sa grâce , son sang adorable est le vermillon qui pare mes
s peintes de rouge, « genis picta » ; comme elle ne saurait avoir les grâces naïves de la nature, elle s’efforce, en se fardan
17 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « Stances à Madame Isabelle, sur l’admiration où elle a tiré la France » pp. -
Il voulut par divins mystères, Qu’elle eut le Ciel pour Elément : Les grâces en fussent nourrices, Que les Muses soient ses d
mps, D’échauffer les signes de glaces, Par ses deux bessons, dont les grâces Dominent mon âme en tout temps. Ainsi de la voût
18 (1715) La critique du théâtre anglais « privilège du roi. » pp. 502-504
privilège du roi. Louis par la grâce de Dieu Roi de France et de Navarre, à nos aimés
e plaisir, Donné à Versailles le dixième jour du mois de Juin l’an de grâce mil sept cent quatorze, et de notre Règne le soix
19 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XII. La représentation des pièces de théâtre est plus dangereuse que la lecture. » pp. 108-110
dangereuse que la lecture, c’est que le lecteur n’est sensible qu’aux grâces du style, qu’à la beauté des pièces : au lieu que
éduire le cœur, et s’attirer le tribut d’éloges qu’on peut rendre aux grâces et à la beauté d’un sexe qui n’a pas besoin de ta
20 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE V.  » pp. 415-435
mme le reste des hommes, en tant que unis à Dieu par la foi et par la grâce , mais encore par leur établissement dans leurs Ch
r fissent changer leur nom de Dieux, en celui d’Antéchrists ? car, de grâce , quelle est la pratique, quelle est la fin, quel
nes, parce que la grandeur du châtiment se prendra de la grandeur des grâces que vous aurez reçues : le haut rang que vous ten
consistoire de l’impudicité, l’arsenal de toute vilenie, qui prend sa grâce et sa gaité, de l’ordure et de la saleté », parce
21 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PRIVILEGE DU ROI. » pp. -
PRIVILEGE DU ROI. Louis par la grâce de Dieu Roi de France et de Navarre : A nos aimés
laisir. Donné à Paris le vingt-neuvième jour du mois de Juin, l’an de grâce mil sept cents cinquante-deux, et de notre Règne
22 (1709) Mandement de M. L’Evêque de Nîmes contre les Spectacles pp. 3-8
s Spectacles Aux Fidèles de son Diocèse a. ESPRIT FLECHIER, par la grâce de Dieu, et du Saint Siège Apostolique, Evêque de
désirs. Nous avions espéré que ces plaisirs ayant perdu pour vous la grâce de la nouveauté, et vous, ayant perdu le goût de
 ? c’est au Dieu vivant que nous offrirons nos solennelles actions de grâces  ; nous chanterons les Cantiques de Sion dans nos
23 (1731) Discours sur la comédie « PRIVILEGE DU ROI. »
PRIVILEGE DU ROI. LOUIS par la grâce de Dieu, Roi de France et de Navarre. A nos aimés
otre plaisir. Donné à Paris le treizième jour du mois de May, l’an de grâce mil sept cent vingt-neuf, et de notre Règne le qu
24 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100
ettres patentes, mais un simple brevet du Roi. Cependant la Cour, par grâce , n’a pas voulu user de cette rigueur (refuser l’a
lay, premier Président, à qui les Comédiens venaient demander quelque grâce  : l’Orateur ayant débuté par ces paroles : ma com
rateur ayant débuté par ces paroles : ma compagnie vous demande telle grâce , M. de Harlay l’interrompit, et lui dit : « avant
s passions, des folies, des fourberies, des crimes. Si l’on demandait grâce pour le compositeur des pièces ou du chant, on se
de l’Opéra ; mais il assure que la Comédie française jouit de la même grâce , ce qui serait très vraisemblable. Pourquoi les d
ublic ; les plus grands Seigneurs, épris de leurs talents et de leurs grâces , étalés dans le beau jour du théâtre, et bien sûr
et le relègue dans la République de Platon, et c’est encore lui faire grâce . Un homme sensé ne peut parler ainsi sérieusement
plutôt en Gaulois (dans le seizième siècle), d’une manière pleine de grâce dans sa naïveté. On sait que Marc-Aurèle chassa l
25 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Faste. » pp. 154-183
orgueil du tragique, la licence du comique ; l’un est l’ouvrage de la grâce , & mène à la vie, l’autre est le chef-d’œuvre
ataille ; qu’une coquette examine avec ses femmes de chambre la bonne grâce de sa robe & de sa coëffure ; le succès d’une
e Divinité habite dans celui d’une coquette ? C’est l’amour & les grâces , c’est la vanité, c’est son amant, c’est le finan
& les vices personnels dont on se déshonore ; des beautés par des grâces achetées chez le Marchand, & appliquées par l
xemples continuels & des objets frappans de vertu ou du vice, des grâces séduisantes ou des invitations édifiantes ; c’est
fets en flattant sa chair, il entretient sa sensualité en étalant les grâces , il entretient sa vanité en excitant l’impureté d
rtager votre vêtement entre les couleurs sombres du veuvage & les grâces riantes de la parure, vous aspirez sans doute à d
guerrier ne rendent pas moins ridicule un visage efféminé, enivré des grâces de la parure, qui dans cet état respectable, auta
tent à l’enchère à proportion de leur mérite ; leur temps & leurs grâces sont à l’aune, & l’aune est à tant, selon la
26 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VI. Des Poèmes Dramatiques représentés aux Jeux Scéniques. » pp. 135-144
rquer ordinairement les intervalles des Actes, ou pour donner quelque grâce extraordinaire au Poème ; mais toujours avec la b
urs, il montre bien que les choses honteuses ne se mêlaient point aux grâces de leurs représentations, bien que le plaisir n'e
27 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Suite d’Anecdotes illustres. » pp. 184-225
affermera à son profit les appartemens dont ils auront besoin. Cette grâce avoit d’abord été accordée au Prince Radzivil, qu
bord Protestant & fort instruit dans sa Religion, Dieu lui fit la grâce de connoître la vérité, il l’embrassa avec zèle ;
plongea par intérêt. C’est un phénomène, esprit fin, génie élevé, des grâces , des vertus pratiquées dans la Cour la plus volup
tes les Dames : nouveaux éloges, nouveaux remerîmens de la bouche des grâces  ; on visite les brêches, les fortifications, les
Reine assise sur un fauteuil, elle présentoit sa main de la meilleure grâce , elle y étaloit tous ses charmes, surtout ceux de
les Religieuses, & tout le Corps d’une commune voix demanda cette grâce en battant la générale ; cet assaut n’étoit pas s
se pour prendre possession de sa conquête. Vous demandez de si bonne grâce , dit cette Sainte Supérieure, que ce seroit être
; tous les Officiers, les Religieuses en firent de même de très-bonne grâce , l’Abbesse s’en applaudit. L’honneur que nous ve
aines ne sont pas, selon lui, le vice ou la vertu, la tentation ou la grâce , le bon ou le mauvais usage de la liberté, ce son
ver l’Hôtel de leur maître, de la gloire de loger les muses & les grâces , & eux-mêmes de la facilité de leur faire la
, & fit languir le commerce, & mit au rabais le prix de leurs grâces & de leurs talens. L’ancien droit Romain paro
28 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XII. Du Dimanche et des jours des Fêtes. » pp. 54-66
ue de ses inestimables bienfaits, nous l’honorions par des actions de grâces , et par des œuvres de vertu. Outre le Dimanche no
à l’Oraison, de porter des Oblations à l’Autel, de prendre part à la grâce des Saints, par le souvenir de leurs vertus, de s
ez donc le jour du Dimanche, qui nous a nouvellement enfantés, par la grâce de Jesus-Christ, et qui nous a délivrés de tous n
29 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [P] » pp. 441-443
rie se fait sentir au milieu des équivoques & des quolibets ; les grâces parent toujours de quelques fleurs le langage de
tentat. Un arrêt flétrissant fut signé… mais le Philosophe demanda la grâce du coupable. La Pièce rentra dans le néant avec s
30 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Septième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 282-286
cante, ces beaux bras, cette jolie main, ce pied abrégé de toutes les grâces & qu’a dessiné l’Amour. La première fois qu’e
, quel bonheur, si j’avais un appui tel que le vôtre ! J’espère cette grâce , Madame ; elle est nécessaire à celle qui veut êt
31 (1825) De quelques naïves coutumes « De quelques naïves coutumes. » pp. 262-266
de ne l’abandonner jamais, et lui donner pour avantage et pour dot ma grâce en cette vie, lui promettant ma gloire en l’autre
e mère Marie, de mon père saint Joseph, et de toute ma cour : l’an de grâce 1650. » La pièce porte que cet accord a été ratif
32 (1731) Discours sur la comédie « MANDEMENT DE MONSEIGNEUR L’EVEQUE DE NIMES, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 352-360
désirs. Nous avions espéré que ces plaisirs ayant perdu pour vous la grâce de la nouveauté ; et vous, ayant perdu le goût de
 ? C’est au Dieu vivant que nous offrirons nos solennelles actions de grâces  : nous chanterons les Cantiques de Sion dans nos
33 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
arication mortelle de ses Symboles et célestes Sacrements » : car, de grâce , quelle est la première confession que font les C
a citadelle où se commettent toutes sortes d’impuretés. Dites-moi, de grâce , mon cher Lecteur, oseriez-vous après cela baptis
34 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
r les défauts des Hérésies imaginaires. Quiconque aura bien senti les grâces des premières, aimera celles-ci, et verra bien qu
Il est certain que les Petites lettres sont inimitablesc. Il y a des grâces , des finesses, des délicatesses qu’on ne saurait
r. Il n’ignore pas que ce qu’il y a de plus fin dans l’éloquence, les grâces les plus naturelles, les manières les plus tendre
le Maître ait fait des traductions et des livres sur la matière de la grâce  ; et on trouve étrange que Desmarets en fasse sur
s été une vie fort réglée. Il n’a jamais écrit sur les matières de la grâce , et n’a rien entrepris que de simples traductions
35 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE III. Des Pièces de Collège. » pp. 48-67
eur conduite, leurs railleries et leur apologie ? On a vraiment bonne grâce de louer les Comédiens, de vouloir qu’un Prédicat
eunes gens en public pour les accoutumer à prononcer un discours avec grâce . Ce ne sont pas des Comédiens que nous formons, m
teurs au théâtre. En effet peut-on acquérir à cette école profane ces grâces extérieures, qui font des sermons un spectacle, q
ateur ainsi formé aurait plus perdu que gagné ; il aurait perdu cette grâce , ces lumières, cette inspiration du ciel, qui seu
r intérieure de la charité, la paix de la conscience, l’onction de la grâce , l’espérance de l’éternité, la vertu est délicieu
36 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
ne nous impute pas à crime la froideur qui procède de l’absence de sa grâce ou de l’enveloppe grossière de nos sens ; mais no
ement coupables aux yeux de Dieu, pour avoir fait si peu de cas de sa grâce , qu’au lieu d’en nourrir la flamme sacrée, elles
s, combien plus coupables sont ceux qui dissipent les richesses de la grâce , et ce précieux trésor dont parle l’Ecriture, tré
devons, chaque jour, prier l’Eternel de nous prêter le secours de sa grâce pour vaincre ce formidable ennemi. D’un autre côt
ssé de rendre à l’auteur de tout bien de dignes et pieuses actions de grâces pour les bénédictions non méritées que, dans sa b
37 (1698) Caractères tirés de l’Ecriture sainte « [Chapitre 1] — DU SEXE DEVOT. » pp. 138-158
son Évangile ne soit pour elles encore plus que pour nous, la loi de grâce  ? Que tout cela n’ait beaucoup servi à les attach
’une réformation si nécessaire, m’a données. Premièrement, puisque la grâce de Jésus-Christ, laquelle suppléait abondamment à
ainte Vierge, qu’elle daigne par son intercession procurer toutes les grâces nécessaires à ce Sexe, dont elle est la gloire et
38 (1761) Epître sur les spectacles « Epître sur les spectacles » pp. 3-14
Arrondit l’embonpoint, et calqua la figure, Sur le moule piquant des Grâces d’Epicure ; Sont faites pour orner ce superbe jar
l’aurore, Sur le sein d’une fleur, qu’il vient de faire éclore ; Les Grâces et les Ris accompagnent ses pas ; La fraîcheur du
e Camilleh Pour le séjour des Dieux abandonnant la Ville, Des trois Grâces suivie, et son fils dans les bras, Va priver les
39 (1802) Sur les spectacles « FUITE DES MUSES ET DU BON GOUT : Peut-on compter sur leur retour ? » pp. 3-11
es bienséances, les modernes forgerons, dépourvus de mignardise et de grâces naturelles, subissent la torture. Ils se plaignen
s bombardes. Au surplus, pour en revenir à la difficulté de dire avec grâce , ce que l’on ne peut risquer crûment, sans blesse
ver de l’or, et l’on court au Pactole. Les directeurs proscrivent les Grâces en gémissant, mais le profit les console. 4. [N
40 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre IV. Que la représentation des Poèmes Dramatiques ne peut être défendue par la raison des anciens Pères de l'Eglise. » pp. 90-103
os Acteurs consacrent leurs travaux, ni qu'ils rendent des actions de grâces , quand ils y reçoivent des applaudissements ; Tou
e tout le monde, comme des ouvrages dont toute l'estime dépendait des grâces et des beautés que la main des Artisans leur avai
41 (1675) Traité de la dévotion « Chapitre III. De la trop grande sensibilité aux plaisirs de la terre ; troisième source de l’indévotion. » pp. 58-65
nétré des fades douceurs du péché, trouvera toutes les douceurs de la grâce de mauvais goût. Il y a une autre sorte de plaisi
tées d’Egypte se trouvent consumées. Certes, cette divine manne de la grâce , ces ravissements, et ces joies de la dévotion, n
42 (1664) Traité contre les danses et les comédies « LE LIBRAIRE AU LECTEUR. » p. 
Bibliothèque du Cardinal François Barberin, avec la permission de sa grâce de l’imprimer en ta faveur : c’est l’avis que je
43 (1758) Lettre à M. Rousseau pp. 1-42
vois-je ? Vous le foulez aux pieds ? Vos mains cruelles déchirent les grâces , et à leur place, vous m’offrez les Euménidesb. L
happent en ce moment, ne servent qu’à m’en convaincre : le charme des grâces est connu ; quand on l’attaque, beaucoup d’esprit
uvrages, qui ne demandent que de la légéreté d’esprit, du goût, de la grâce , quelquefois même de la philosophie et du raisonn
it mis, quelle expression, quelle noblesse, quelle passion ! Non, les Grâces et l’Amour n’auraient jamais pu mieux peindre leu
ui qui rendait ses nuits si délicieuses. Il y rêva, mais, au lieu des grâces , il vit les furies. Leur aspect le fit frémir ; s
44 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXII.  » p. 492
comme membre de Jésus-Christ, illuminé par sa vérité, enrichi de ses grâces , nourri de son corps, héritier de son royaume; il
45 (1675) Traité de la comédie « XXXII.  » p. 327
comme membre de Jésus-Christ, illuminé par sa vérité, enrichi de ses grâces , nourri de son corps, héritier de son Royaume; il
46 (1675) Traité de la comédie « XXXIV.  » p. 330
XXXIV. Un des premiers effets de la lumière de la grâce est de découvrir à l'âme le vide, le néant, et l'
47 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXIV.  » p. 494
XXXIV. Un des premiers effets de la lumière de la grâce est de découvrir à l'âme le vide, le néant, et l'
48 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
umer tout leur feu dans un cœur sensible et privé justement alors des grâces , qui les lui auraient fait vaincre. Le saint nom
ducation chrétienne, vous dont le cœur a été si souvent touché par la grâce de Jésus-Christ, prenez courage. Si le monde cher
on doit être de l’y conserver avec soin comme la source de toutes les grâces nécessaires à votre salut et le gage, sans lequel
ossession du Ciel ; vous devez conserver J.-C. dans votre cœur par la grâce . Or, je vous le demande, pouvez-vous croire que J
séduction ainsi abandonnés de votre Dieu et privés des secours de sa grâce  ? Et si la mort vous surprenait dans cet état, je
*. Par ex. dans la Juive, les Huguenots, Robert le Diable, etc. **. Grâce à l’infâme répertoire de la scène française, on a
49 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125
ge. Qu’on est facile à séduire ! L’enchantement de la décoration, les grâces des Actrices, l’ivresse d’une volupté nouvelle, f
des lois, ne seraient pas moins châtiées. C’était aussi abuser de la grâce , que de laisser mettre toutes les débauches sous
assent peu d’une infidélité dont ils profitent, et accordent de bonne grâce une liberté qu’ils savent prendre pour eux-mêmes.
es créatures : les termes de la loi leur font acheter chèrement cette grâce  : « Mulieres quæ indignam honore conversationem i
i l’enleva à Filandre, et l’adopta pour sa fille. Charmée de la bonne grâce avec laquelle Beauval mouchait les chandelles, el
ont déserteurs. Dieu lui-même a grand tort de priver le pécheur de la grâce et de la gloire, et de le déclarer indigne des sa
50 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IX. Sentiments de S. Cyprien et de quelques autres Pères. » pp. 175-201
x, que les Comédiens pour gagner de l’argent chantent avec toutes les grâces dont ils sont capables (à l’Opéra) : « Nec fas es
la loi divine, professent la vraie religion. La vérité les dirige, la grâce les garde, la paix les protège, la sagesse les en
s ont de talents, plus ils sont dangereux ; ils s’insinuent par leurs grâces , se gravent plus profondément, et se font mieux r
plaint de l’ingratitude du Peuple Romain, qui oubliait une si grande grâce . J’ai honte de le dire ; mais il est nécessaire d
prières, qui ont fléchi la divine miséricorde, et nous ont obtenu la grâce , quand nous ne méritions que des châtiments ? « M
isto mimos offerimus. » N’est-ce pas frapper celui qui nous comble de grâces , insulter celui qui nous honore de ses caresses,
51 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXIX.  » p. 490
 » Si l'âme n'est fortifiée et affermie dans la vie intérieure par la grâce , elle se refroidit beaucoup dans les occupations
52 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VII. De l’idolâtrie du Théâtre. » pp. 143-158
ranlée, affligée, scandalisée, de voir revivre et parer de toutes ses grâces , des monstres et des absurdités qu’elle s’est fai
ne : le sang des innocents qu’elle séduit et qu’elle fait mourir à la grâce , crie-t-il moins vengeance contre la main qui l’a
méprisable par son irréligion, que célèbre par son génie ? « Muses, grâces , amours, dont elle fut l’image, O mes Dieux et le
ouveau : Voilà mon S. Denis, oui, c’est là que j’adore  L’esprit, les grâces , les appas : Je les aimai vivants, je les encense
53 (1675) Traité de la comédie « XXIX.  » p. 323
« Si l'âme n'est fortifiée et affermie dans la vie intérieure par la grâce , elle se refroidit beaucoup dans les occupations
54 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVII. Que les danses sont condamnées dans l’Ecriture, et par les Pères. » pp. 119-141
ui in levitate ambulant. » Et Job cet homme si droit, et si plein de grâce , marque très expressément, que la danse n’est pas
peine de savoir quel a été le jugement des personnes éclairées par la grâce , et animées de l’esprit de Jésus-Christ, puisque
ns être occupés à pleurer nos péchés, et à nous disposer à obtenir la grâce d’une parfaite pénitence. Cap. 9. « Cum salta
55 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — section »
lzan, sûr que son épouse pouvait tout charmer ; qu’elle possédait les grâces les plus séduisantes & tous les talens, l’aim
56 (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Extrait du privilège du Roi. »
Extrait du privilège du Roi. Par Grâce et Privilège du Roi, donné à Paris le 8 Mai 1694.
57 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « II. PARTIE. Où l’on répond aux Objections de l’Auteur de la Lettre. » pp. 89-140
vos prières au Seigneur pour ces personnes ; afin qu’il leur fasse la grâce de reconnaître la vanité de ces divertissements t
urs Parrains, en priant Dieu du fond de leurs cœurs, de leur faire la grâce de renoncer sincèrement à toutes les pompes et va
, le Te Deum fut chanté dans toutes les Eglises de Paris en action de grâces d’une santé si souhaitée, et si nécessaire à l’Et
es gens une louable hardiesse de paraître et de parler en public avec grâce et bienséance. Ce qui est l’unique fin qu’on doit
ieu où va l’autre, porte de soi-même au peché et à l’extinction de la grâce , qui peut seule préserver du péché. On pardonnera
Comédie, comme un divertissement très dangereux, qu’à lui demander la grâce d’être préservé de l’air contagieux qu’on y respi
e nous voulons détourner de ceux que nous blâmons ici ? Je vous rends grâces , ô mon Dieu, ajoute-t-il, de ce qu’il vous plaît
qui ont encore quelque affection pour les Théâtres ; après que votre grâce les en a retirés. Grand Dieu, vous avez fait dans
58 (1675) Traité de la comédie « XXXV.  » p. 331
hommes pour leur faire voir les vanités du monde avec plaisir. Et la grâce du Christianisme, en ouvrant les yeux de l'âme po
59 (1675) Traité de la dévotion « Prière. » p. 68
it paradis, viens y répandre une si grande abondance de ta lumière de grâce , qu’elle imite et approche la lumière de la gloir
60 (1675) Traité de la comédie « XXX.  » p. 324
leur Baptême. On ne considère pas, comme dit saint Paulin, que par la grâce de ce sacrement ils ont été ensevelis avec Jésus-
61 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Extrait du Privilège du Roi. » pp. -1
Extrait du Privilège du Roi. Par Grâce et Privilège du Roi, donné à Paris le quinze Janv
62 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXX.  » p. 491
de leur baptême. On ne considère pas, comme dit S. Paulin, que par la grâce de ce sacrement ils ont été ensevelis avec Jésus-
63 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXV.  » p. 495
hommes pour leur faire voir les vanités du monde avec plaisir: et la grâce du christianisme, en ouvrant les yeux de l'âme po
64 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
silence, ou le battement des mains, de la part du Public, signifiera grâce ou justice. XVI. Les peines qu’on infligera aux
s, des Citoyens, élevés au-dessus du vulgaire, par leur mérite, leurs grâces , leurs talens ; que leurs mœurs soient les plus h
é en 1763. 25. Gaussin : dans son Printemps, ce fut la plus belle des Grâces  ; c’était Cypris, durant son Eté ; l’Hiver parut,
peut-être plus de vérité. 38. DUBOIS, 1760 : Quelle majesté ! que de grâces  !… Si vous l’aviez voulu, vous nous consoliez de
SAINVAL, 1767 : Un geste forcé, des grimaces, peu d’organe, point de grâces  ; mais du feu, peut-être de l’âme. Elle parodie m
65 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
autres agréments où l’on juge qu’ils auront de l’éclat et de la bonne grâce . On étudie avec affection ses démarches, ses rega
porter l’Evangile par toute la terre, ce grand S. Paul est rempli de grâces et de bénédictions, et néanmoins il crie au secou
ne se salisse pas ? Vous seul ô mon Dieu, pouvez me préserver par la grâce que mon Sauveur m’a acquise. En effet, Notre Seig
u’il semblait n’y avoir plus rien à craindre pour S. Paul, puisque la grâce même lui est promise de la bouche même de Jésus-C
e n’est pas si difficile, que vous n’en puissiez venir à bout avec la grâce de Dieu. Nous en voyons souvent de votre qualité,
66 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
re lui-même qu’il a fait les aventures d’un Roman avec l’esprit de la Grâce , et pour s’imaginer qu’il peut traiter les mystèr
de la Grâce, et pour s’imaginer qu’il peut traiter les mystères de la Grâce avec une imagination de Roman. Vous deviez ce me
aint Esprit tous les égarements de son imagination. Il prend pour des grâces divines, les corruptions, les profanations et les
e un aussi grand défaut dans les Imaginaires, comme il est une grande grâce dans les Provinciales. Je vous demande seulement
l ait tant fait de traductions, tant de livres sur les matières de la grâce  ? Ho, Ho ! direz-vous, il a fait auparavant une l
67 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 11
marié, elles sont cause que voyant d’autres femmes qui ont meilleure grâce , qui vous semblent mieux faites, mieux parées et
68 (1640) L'année chrétienne « Des Recreations, Jeux, et autres di- vertissemens, desquels l’ame Chre- stienne se peut servir durant la journée. Chapitre IX. » p. 851
ieu en reçoive de la gloire, et celui qui la fait un accroissement de grâce , pour mériter les récréations éternelles. a. [
69 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE I. Du sombre pathétique. » pp. 4-32
son sexe, que sa jeunesse, sa délicatesse, son teint, sa beauté, ses grâces , et tout ce que la plume des Poètes et des Romanc
onnaître à son amant, encore moins le secours de la religion et de la grâce , puisqu'elle fut toujours, dit-elle, « des désord
ologies, ne valent pas mieux. Et l'humaine vertu, qu'est-elle sans la grâce  ? La cherche-t-on, la trouve-t-on au théâtre ? To
conter fleurette à Madame de Murat, prononce que ce Roman réunit «les grâces du style et les charmes du sentiment », il est tr
nc la liberté, si la nature s'élève au-dessus d'elle-même ? où est la grâce , etc. Autres défauts. On blesse l'histoire et la
a Trinité et se considère libéral. c. [NDE] Doctrine qui minimise la grâce en insistant sur le libre arbître. d. [NDE] Des
70 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE III. Est-il à propos que les jeunes gens aillent à la Comédie ? » pp. 55-83
pareille garnison. C'était alors une extrémité de la ville. Toute la grâce qu'on leur accorda dans le procès que leur firent
i inspire la plus folle vanité : éloge perpétuel de sa beauté, de ses grâces , de son empire : encens, flatteries, hommages, qu
ur. L’amplissimePrésident prononça l'arrêt d'abolition, et accorda la grâce , à condition qu'on jouerait Pourceaugnac, et que
les exposent davantage à la poursuite de ceux à qui on a étalé leurs grâces , et qu'enfin destinées à vivre dans leur maison e
e la Fondatrice et plusieurs de ses élèves avaient des talents et des grâces  ; on les exerça longtemps, on en fut satisfait. L
cœurs les feux les plus vifs, que des spectateurs, plus attentifs aux grâces qu'à la pièce, y formèrent des passions qu'il fal
71 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168
e Ciel qu’il en ait une bonne provision. » Telles sont les actions de grâces que rendent à Dieu nos Dramatiques ; telle est la
le ? A l’égard de la ville prochaine, pour laquelle M. Dryden demande grâce  ; où est l’allusion ? Ce n’était point de Segor q
onner plus de relief à sa profanation et pour plaisanter avec plus de grâce sur un passage de saint Luc. Alphonso se plaint
’a, pensez bien à ce que l’on vous dit ; et que le Ciel vous fasse la grâce de le mettre en pratique » ; c’est à-dire, de dev
rémès dit à sa femme de ne point ennuyer les Dieux par des actions de grâce  :Adelp. et Echine est tout à fait dégoûté d’un ma
t pour tourner ingénieusement les mauvaises choses, pour répandre des grâces sur la laideur même, et pour donner, s’il faut ai
t donc notre reconnaissance envers le Dieu-Homme, pour les dons de la grâce qu’il nous a mérités ? pour s’être rendu semblabl
72 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « La tradition de l'Eglise sur la comédie et les spectacles. Les conciles » pp. 53-68
reurs, que si quelqu'un des Acteurs des Jeux publics veut recevoir la grâce du Christianisme, et sortir de cet état d'infamie
Nous ordonnons aussi, que les femmes à qui nous avons accordé par une grâce spéciale, de ne point exercer cet honteux métier,
73 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVIII. Eprouver par soi-même si les spectacles sont dangereux, c’est vouloir tomber dans les dangers qu’ils offrent. » pp. 154-163
le chrétien ne peut remédier qu’avec le secours de la religion et des grâces que Dieu lui accorde ; mais les spectacles augmen
tacles n’en sont pas également blessées ; mais c’est la louange de la grâce de Jésus-Christ, et non la justification des spec
74 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Madame de Nemours  » pp. -
ière cause de l’honneur que j’ai reçu d’un Prince accompli de tant de grâces qu’il ne s’y peut rien ajouter que le désir qu’el
75 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur le duc de Nemours » pp. -
ur ni lumière que celle qu’il tirera de vous, qui portez en terre les grâces du Ciel où il éclairera ses ténèbres : Et parce q
76 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVIII.  » p. 489
s un petit péché, que doit-on juger de la dissipation des biens de la grâce , et de cet or enflammé dont parle l'Écriture, que
77 (1675) Traité de la comédie « XXVIII.  » pp. 321-322
s un petit péché; que doit-on juger de la dissipation des biens de la grâce , et de cet or enflammé dont parle l'Ecriture, que
78 (1638) L’Image du Vray Chrestien. Chapitre IV « Chapitre 4. » pp. 106-108
pprouve, sinon ce qui est réprouvé ailleurs, et auquelb la souveraine grâce est l’impiété. » Remarque. IL faut ici r
79 (1675) Traité de la comédie « XXXI.  » pp. 325-326
ï. Et comme il est le principe de toutes nos bonnes œuvres, et que la grâce par laquelle nous les faisons est le fruit de sa
80 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Avis au lecteur. » pp. -
Cabinet, on ne doit point s'étonner qu'il mêle quand il lui plaît les Grâces aux Muses, et qu'il imprime partout le caractère
81 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVIII. D’une excuse de laquelle se servent ordinairement les gens du monde, pour justifier la conduite des jeunes hommes, et des jeunes filles qui vont au bal. » pp. 142-145
alut des âmes, afin d’en bien faire l’application, c’est-à-dire, avec grâce et avec fruit.
82 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — V.  » p. 459
ien plutôt à éviter ce divertissement dangereux, qu'à lui demander la grâce d'être préservé de la corruption qui s'y rencontr
83 (1675) Traité de la comédie « VI.  » pp. 280-282
ien plutôt à éviter ce divertissement dangereux, qu'à lui demander la grâce d'être préservé de la corruption qui s'y rencontr
84 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152
ui n’avait point de pain avant que le théâtre eût étalé et offert ses grâces au public. Bien plus, elles donnent le ton et le
ucation des débutantes, en qui l’on ne demande que les talents et les grâces , c’est-à-dire les dangers et les moyens de séduct
, auprès desquels S. Ambroise avait le plus grand crédit. La première grâce fut accordée aux Actrices qui dans une maladie mo
 » (L. 1. C. de Scenic.) Le concile d’Afrique (399) demanda que cette grâce fût étendue, sans attendre l’extrémité de la vie,
rde par charité pour le reste de leurs jours ; ou sans métier et sans grâces , elles seraient sans ressource, et mourraient de
85 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXV. Conclusion de tout ce discours. » pp. 138-152
ris ni nos joies ni nos ris, et n’a pas voulu que ses lèvres, « où la grâce était répandue »Ps. XLIV [Psaume XLIV]. , fussent
ré sans agrément : « Tout le monde était en admiration des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche »Lc.VI. 22. [Luc, chap
86 (1759) Lettre à M. Gresset pp. 1-16
t-elle au-dessus des forces de l’homme, sans la toute-puissance de la grâce  ! Vous nous peignez dans votre Lettre avec énergi
é : elle en fait même le caractère. Vous joignez à cet enjouement les grâces du style, et cette facilité, cette aisance origin
87 (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « letter » pp. 472-482
die, est un effet, non d’une conscience erronée, mais plutôt de cette grâce qui la rend timorée, qui reste dans l’âme après q
ché, comme une semence de conversion. Il ne faut pas s’étonner que la grâce produise cet effet dans l’âme d’un Chrétien : car
C’est unei horrible présomption, de se persuader que le secours de la Grâce (sans lequel nous ne pouvons éviter le mal, ou fa
88 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. » pp. 32-50
séduisantesz. » Les talents de leur profession relèvent tellement les grâces de leur sexe, qu’elles semblent être des divinité
rtera sur la richesse des pierreries, sur le luxe des habits, sur les grâces , sur la beauté, sur l’adresse à suppléer aux agré
ses paroles, ses regards, ses gestes, ses postures, sa démarche, ses grâces affectées, toute sa personne en un mot reste grav
89 (1855) Discours sur le théatre, prononcé dans l’assemblée publique de l’Académie de Pau, où se trouvoient les Députés des Etats du Béarn et les Dames de la ville pp. 1532-1553
s et celui des princes, soutenu d’un côté par les troupes légères des grâces , et l’autre par la puissante phalange de l’Academ
. Vous savez faire quelques vers, dialoguer une scène, prononcer avec grâce  ; à quoi vous servent ces talents pour la société
t rivales, quoique sœurs. Le favori de l’une doit renoncer aux bonnes grâces de l’autre. Le poëte universel est encore à naîtr
on et Campistron. Molière s’est fait siffler dans son poëme du Val de Grâce . Homère et Pindare ne furent point émules de Soph
r fait encore plus de tort à Racine. Il énerve son style, affadit ses grâces , affaiblit son génie, et celui de tous ses élèves
is que les jolis officiers de la toilette des actrices sont pétris de grâces , et sèment à pleines mains dans leurs ouvrages, l
90 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre I. Que les Danses ne sont pas mauvaises de leur nature. » pp. 1-5
ruments d’autres marques visibles de sa joie intérieure, en action de grâces , et pour bénir la toute-puissance de Dieu, qui le
91 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVI. Il y a des divertissements plus utiles et plus décents que les spectacles. » pp. 138-149
rs qui sont chargés de la punir. On lui promet un rédempteur, dont la grâce anticipée est accordée à tous les hommes : on ass
roux, d’intéresser votre miséricorde, et d’obtenir, avec votre sainte grâce , le gage assuré d’une éternité bienheureuse. »
92 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95
ale la plus sévère, ce sont du moins des prodiges admirables de cette grâce victorieuse, que Racine faisait profession de cro
Vénus, elle règne à Paphos, elle traîne à sa suite les amours et les grâces  ; ne craint-elle pas que la comparaison ne parais
éâtre qu’on trouvera cette lumière céleste, cette onction divine, ces grâces surnaturelles, qui convertissaient les idolâtres,
même doivent avoir recours ; c’est dans la force de l’esprit et de la grâce de Dieu, que se recueille une abondante moisson.
lui. Retirez-vous, ce n’est pas au milieu de vous que je répands mes grâces et opère des prodiges : Recedite. Doit-on blâmer
93 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340
« 13. La bannière de Saint-George. « 14. La bannière de Notre-Dame de Grâce . « 15. La bannière de S. Joseph. « 16. La bannièr
esser à eux-mêmes un triomphe imaginaire sur le saint défenseur de la grâce , (S. Augustin) et ses disciples : « Le lundi gr
ar là, ces pères voulaient, à ce qu’ils dirent depuis, représenter la grâce efficace ; derrière eux on voyait une centaine d’
t écolier vêtu en ange, seul avec une croix en la main, et c’était la grâce suffisante ; il était précédé d’un autre écolier
particuliers qui l’enseignent. Elle ajoute que, pour se fouetter avec grâce , il ne faut qu’agir de la main et du poignet, san
fils de Marie, mère pieuse, afin qu’il nous remplisse des dons de la grâce septiforme et de la gloire, et que nous puissions
de ne l’abandonner jamais, et lui donner pour avantage et pour dot ma grâce en cette vie, lui promettant ma gloire en l’autre
ère Marie, de mon père S. Joseph et de toute ma cour céleste. L’an de grâce 1650, jour de mon père S. Joseph.   Jesus, l’épo
père Saint Joseph, mon ange gardien et toute la cour céleste, l’an de grâce 1650, jour de mon glorieux père Joseph.   Jesus,
94 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
t veut entrer dans le Clergé. Quoique la légèreté de son âge rende la grâce plus facile que pour un vil Acteur qui en fait mé
ut se fier à lui ; et si l’Evêque l’approuve, qu’on lui accorde cette grâce . Ainsi parle l’Empereur (Cod. Theod. L. 15. Tit. 
’irréligion de l’Auteur, et celle que le théâtre inspire. « Muses, Grâces , Amours, dont elle fut l’image, O mes Dieux et
n Saint-Denis, oui c’est là que j’adore Ton esprit et ton cœur, tes grâces , tes appas…. » Le même Auteur (Lettre 23 sur l
95 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IV. Suite des effets des Passions. » pp. 84-107
d il voudra dans une pente aussi rapide ! mérite-t-on d'en obtenir la grâce quand on s'abandonne volontairement aux attraits
ce. » Bien des gens m'abandonneront le théâtre Anglais et demanderont grâce pour le Français. Cette distinction est peu fondé
che ; quelle doit être sa contagion lorsqu'il l'étale avec toutes les grâces dont le Poète a paré le rôle, et l'Actrice a paré
saintes, dépourvues de cet éclat imposant, de ce sel piquant, de ces grâces séduisantes, en deviennent plus insipides. Ainsi
96 (1760) Lettre à M. Fréron pp. 3-54
s et vous ferez bien. Mais vous à qui Dieu a accordé une plénitude de grâces et le pouvoir de dompter toutes vos passions, ne
s’occuper que de Dieu, ce serait pêcher que de ne pas profiter d’une grâce aussi singuliere, ce serait pêcher de ne faire qu
ux, que dis-je, il y aurait de l’impiété à mépriser les tresors de la grâce  ; mais il y aurait de la témérité sans doute à s’
r me rendre digne aux yeux de l’Etre suprême de toute l’étendue de sa grâce  ; mais en supposant que je ne l’obtienne point ce
âce ; mais en supposant que je ne l’obtienne point cette plénitude de grâce , qu’on me permette de ne pas croire que je sais u
prouvé. La Théologie ne balance point à admettre différents degrés de grâce , dont il résulte qu’il y a différents degrés de v
97 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7
teurs de Comédies ? Encore, si vous nous les aviez données avec leurs grâces , le public vous serait obligé de la peine que vou
l ait tant fait de Traductions, tant de Livres sur les matières de la Grâce  ? Ho, ho, direz-vous, il a fait auparavant une lo
98 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Suite d’Elisabeth d’Angleterre. » pp. 33-82
Philippe la fit sortir de prison, lui ménagea son pardon, les bonnes grâces , les bons traitemens de la Cour, & en usa ave
mme n’avoit eu aucune part ; devoit être la matière de ses actions de grâces , elle s’en attribua toute la gloire, & en fit
e voulut, il est vrai qu’elle n’insista pas, & se rendit de bonne grâce  ; à son âge pouvoit-elle se flatter d’être aimée 
ui plaire. Il est rare qu’on règne sur les cœurs quand on a perdu les grâces de la jeunesse, & qu’on n’est recherchée que
ins que les autres un nouveau maître qui auroit disposé de toutes les grâces . Enfin malgré tous ces désirs & ces complimen
deux côtés que fêtes, bals, comédies, réjouissances, pour attirer les grâces du Ciel, & célébrer saintement un si grand Sa
Duc de Guise son parent & à son Confesseur qu’elle demanda. Cette grâce qu’on accorde aux plus coupables, lui fut inhumai
99 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seizième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 278-281
us que son maître, ne m’a pas reconnue. J’ai tout reçu, de fort bonne grâce , & je compte bien m’en parer, le jour où mon
100 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Punctum Unicum. » pp. 5-6
’autres plus grands péchés, ou qu’ils nous privent des secours et des grâces actuelles de Dieu, qui nous seraient très salutai
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