Chapitre II. Des différens
genres
qu’embrasse le nouveau Théâtre. L e nouveau T
au Théâtre. L e nouveau Théâtre nous offre pareillement plusieurs
genres
de comiques, les uns plus relevés, ou moins bas q
ouvert que mes contradictions apparentes naissaient toutes des divers
genres
adoptés par le nouveau Spectacle. Il est diffi
és par le nouveau Spectacle. Il est difficile de discerner le vrai
genre
du nouveau Spectacle. Il me suffirait de cite
res. Blaise le Savetier a-t-il quelque rapport avec le Cadi-dupé ? Le
genre
d’on ne s’avise jamais de tout est-il analogue à
l comparable à Isabelle & Gertrude. Le Maréchal-Ferrant est-il du
genre
de la Fée Urgèle ? Qu’on juge combien le Théâtre
u’on ne croye pas que la Comédie & la Tragédie embrassent tant de
genres
différens. Le Drame sérieux est toujours le même
grand & du terrible. La bonne Comédie adopte-t-elle plus de deux
genres
à la fois ? Le haut comique, où l’on voit un cara
oujours l’idée de ce qu’elle doit-être ; on découvre toujours que son
genre
est de faire rire & de corriger ; au-lieu que
Opéra-Bouffon. Il arrive d’une telle diversité de sujets & de
genre
, qu’il est très-difficile de le définir, & de
Mais l’on ne voit que trop que lorsqu’on veut éxceller dans tous les
genres
, on parvient enfin à ne se distinguer dans aucun.
Bouffon. Après bien des réfléxions, j’ai cru découvrir que le vrai
genre
du Théâtre moderne était le bas & le burlesqu
e & plaisant, à la manière dont ses Drames sont traités, & au
genre
qui le caractérise. Et d’ailleurs c’est la dénomi
ui donne le Public. Que le titre de ses Poèmes doit en marquer le
genre
. Il est pourtant utile de remarquer ici, que
s du nouveau Théâtre furent imaginées, afin de désigner les différens
genres
qu’il embrasse. Un Auteur ne doit pas ignorer l’u
de Comédie-mêlée d’Ariettes. Le Drame chantant & comique dont le
genre
est un peu relevé, dans lequel on introduit des c
leurs Pièces comme il leur vient en fantaisie, sans considérer que le
genre
de l’Ouvrage doit le faire nommer ou comique ou b
Acteurs du nouveau Théâtre ont résolus de préférer les Poèmes dont le
genre
serait un peu relevé. Leur dessein est de refuser
n suit delà qu’il est plus difficile d’y éxceller que dans les autres
genres
de Poèsies naïves : aussi avons-nous beaucoup d’Y
e qu’elle fut chez les Grecs. Les Grecs cherchèrent à embellir ce
genre
naissant, selon leur coutume de tout perfectionne
de Satyres ; ils les firent entrer naturellement dans l’intrigue d’un
genre
de Pièce qui était la vive image de ce qui se pas
ctement tout le contraire. Les Anciens ne connurent point le vrai
genre
de la Pastorale ; & pourquoi. Il me sembl
Il me semble que les Grecs ni les Latins n’ont point connus le vrai
genre
de la Pastorale, aussi-bien que plusieurs peuples
ogues de Virgile, leur fit naître l’envie de mettre sur le Théâtre ce
genre
admirable, par sa naïveté. Le Tasse composa son A
storale. Cependant les Italiens sont peu propres à travailler dans ce
genre
: ils sont loin d’avoir les qualités qu’il éxige.
ir perfectionné en partie la Pastorale. C’est en Allemagne que le
genre
de la Pastorale approche le plus actuellement de
mot, les Auteurs Allemands qui ont écrits & qui écrivent dans ce
genre
naïf, sont dignes d’être cités pour éxemple ; nos
e, se dénature, pour se montrer sous tant de formes différentes : son
genre
se corrompt, s’épuise, s’anéantit à la fin. O
en France autant de progrès qu’elle en pourra faire en Allemagne. Son
genre
n’a parmi nous qu’un petit nombre de Partisans. L
bscurité. Quel est l’Auteur qui veuille travailler sans fruit dans un
genre
ingrat ? peu d’applaudissemens s’il réussit, &
amp; complaisantes. Je m’en rapporte là-dessus aux connaisseurs en ce
genre
qui vivent dans nos campagnes ». Pour revenir à n
d’Annette & Lubin de M. Marmontel, est sur-tout assez analogue au
genre
champêtre. La Comédie Poissarde ou burlesque
a lie du Peuple, tels que les porteurs d’eau, &c. Le succès de ce
genre
de Pièce surpasserait de beaucoup celui de Pastor
ôme & Fanchonnette, dont il est l’Auteur, fera mieux connaître ce
genre
singulier que tout ce que j’en pourrai dire. Je c
talens encore plus estimables(13). L’Opéra-Bouffon serait dans le
genre
de la Pastorale, s’il n’était trop bas. J’obs
’on n’entend parler que Pierrot & Catin. J’ai dit ailleurs que le
genre
du nouveau Spectacle l’emportait sur la Pastorale
un article nécessaire actuellement, il faut qu’elle soit analogue au
genre
Pastoral ; que la symphonie & la mélodie ne s
n plus frappante, ce charme du Théâtre. Les Anciens avaient plusieurs
genres
de musique, chacun trouvait sa place dans les dif
Un Acteur Ex-Italien vient d’établir un Spectacle à-peu près dans le
genre
de l’Opéra & du Théâtre des Bamboches : mais
écouvre plus de moyens de perfection, puisque ce Théâtre réunit trois
genres
différens : Une sorte de Déclamation, rendue par
omime exécutée par les jeunes Acteurs. On n’ignore pas que ce dernier
genre
fit durant trois siècles les délices de Rome. (Vo
aits comme tous les autres hommes ; un Etablissement nouveau, du même
genre
que le leur les révolte, excite leur jalousie, &a
ce moyen, les jeunes Elèves s’accoutumeraient de bonne heure au vrai
genre
d’imitation, & s’exerceraient dans les Pièces
que chacun d’eux eût le droit d’y prendre les Sujets exercés dans son
genre
, soit pour jouer instantanément dans les Pièces o
plus présent pour le Public : Qu’on abandonne tout-à-fait le mauvais
genre
de Pièces, adopté, faute de pouvoir mieux par le
ns les Fables de Lafontaine de Lamotte &c. Ainsi l’on créerait un
genre
nouveau, utile à l’humanité commençante, de la mê
l’Opéra, ni la Tragédie, précisément parce qu’il tiendra de tous ces
genres
. 6. Qu’on en essaye, & l’on verra : car en ce
gretterait beaucoup qu’on négligeât tout-à-fait la Pantomime. L’autre
genre
n’est pas non-plus sans agrément : il y a certain
ur, pour l’Actricisme & la Danse. De l’expression dans le premier
genre
, & beaucoup de grâces dans le second. Agée de
ne rien oublier d’èssentiel dans cet Ouvrage, je dois parler des deux
genres
de musique qui divisent toute la France. Les Aute
es Italiens ne sentent pas le mauvais éffet qui en résulte, ou que le
genre
de leur musique les empêche de l’éviter ; ils pès
La France peut se vanter d’avoir de célèbres Compositeurs dans le
genre
héroïque. Plus j’y réfléchis, moins je conçoi
ir vu naître dans son sein une foule de Compositeurs célèbres dans le
genre
héroïque ; c’est-à-dire, même dans un genre, où l
ositeurs célèbres dans le genre héroïque ; c’est-à-dire, même dans un
genre
, où l’on a eu le plus sujet de nous critiquer ? J
ue nous ne fesons que copier aujourd’hui les Italiens dans le nouveau
genre
de musique que nous adoptons. Quand ce reproche s
-à-fait simple ; elle approche beaucoup de la Nature : elle adopte le
genre
Diatonique ; celle des Italiens suit le Chromatiq
ique ; celle des Italiens suit le Chromatique. Le prémier de ces deux
genres
est digne de plaire à ceux pour qui le beau natur
ces deux musiques si différentes l’une de l’autre ; on en compose un
genre
mixte, qui doit plaire tout-à-la-fois aux Partisa
Chromatico-Diatonico : notre Opéra-Bouffon actuel est dans ce dernier
genre
; on y découvre le goût Italien & le goût Fra
p; simple de la musique Française ? Qu’on peut discerner les deux
genres
, même joints ensemble. Malgré la difficulté d
s ensemble. Malgré la difficulté de démêler actuellement les deux
genres
, il est fort agréable de pouvoir se dire dans un
ctacle, telle Ariette est dans le goût Italien ; celle-ci est dans le
genre
Français. Afin de se procurer cette satisfaction,
nt attention à mes remarques, on distinguera tout de suite les divers
genres
de musique. On connaîtra, par éxemple, que la Rom
Comédie-mêlée-d’Arriettes, dans la classe qui leur sont due, selon le
genre
de leur musique. On verra que le Maréchal est ent
on verra qu’Isabelle & Gertrude, est presque entièrement dans le
genre
Français. Il serait trop long de citer d’autres D
long de citer d’autres Drames. On peut aussi connaître les divers
genres
de nos Compositeurs de musique enjouée. On jo
que enjouée. On jouira encore du plaisir de discerner quel est le
genre
des plus fameux Musiciens de notre Théâtre favori
s’appercevra d’une chose singulière, qui est qu’un Italien préfère le
genre
de notre musique à celui de sa Patrie ; je veux p
tte unité de Sons, cette mélodie si chantante, qui distingue tous les
genres
de notre musique. Je ne dois pas oublier de faire
& malgré ses admirateurs, que lui-même n’a travaillé que dans le
genre
Français. Qu’on ne croye point que j’avance un pr
ien dont le mode est simple & chantant, n’est qu’une imitation du
genre
Français. Afin de mettre les Lecteurs en état de
e se ressouvenir d’un ou de deux chef-d’œuvres de nos rivaux, dans le
genre
le plus simple & le plus chantant qu’il sera
i sensible que celle du chant. La raison en est toute simple. Le même
genre
de mélodie ne saurait être universel, parce que l
amatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau
genre
. A vant de donner les derniers avis à ceux qu
ndre capable de produire un bon Opéra-Bouffon, ou un Drame du nouveau
genre
; il est nécessaire de les préparer à recevoir me
— Vous êtes un prodige ; mais vous n’avez aucune disposition pour le
genre
auquel vous vous destinés. Il est presqu’inuti
livre dans son cœur un furieux combat. Il est désespéré de voir qu’un
genre
qu’il regardait comme devant le combler d’honneur
Le Spectacle moderne redevient admirable à ses yeux. La petitesse du
genre
considéré de près, la bassesse apparente qu’il éx
Les qualités qu’il faut avoir pour se distinguer dans le nouveau
genre
. Notre Opéra n’éxige pas un génie ordinaire.
er presqu’aussi bien que lui. Efforcez-vous de l’imiter dans un autre
genre
. Peignez le caractère des habitans du village, le
ur des Poètes qui se destinent à la composition des Pièces du nouveau
genre
. Que rien ne soit au dessous de votre génie. Que
. Les Auteurs de notre Spectacle, Copistes fidèles des Écrivains d’un
genre
un peu plus sublime, ne font pas de trop grandes
rs. Si nos Auteurs refusent de me croire, ils se rendront indignes du
genre
auquel ils se consacrent, & travailleront en
rades, jusqu’à boire avec eux. Votre réplique est séduisante, mais le
genre
de vos Drames vous oblige d’entrer dans des détai
ez de près, si vous n’êtes souvent à ses côtés ? Vadé, le créateur du
genre
poissard, ne parvint à s’y rendre habile qu’en fr
les Livres suivans, en parlant de ce qui concerne les Drames en tout
genre
, & des règles éssentielles auxquelles ils son
on histoire, mais on n’a presque rien dit de détaillé au sujet de son
genre
, & des règles dont il est susceptible42. Apr
p; sur celles que doivent adopter tous les Peuples qui connaissent ce
genre
de Spectacle : observons tout-à-la-fois ce qui co
mieux dire, il se montrait déjà avec un certain éclat, tandis que le
genre
des Aristophane & des Sophocle était encore f
; de délicatesse. Les Grecs ne sont point encore les inventeurs de ce
genre
brillant de Spectacle ; ils sont même privé de la
se passait dans les Temples aura conduit naturellement à composer un
genre
de Spectacle dans lequel des troupes d’hommes cha
r. On sut ainsi le conserver & se faire tout-à-la fois un nouveau
genre
de plaisir. L’Opéra Sérieux resta donc dans la Gr
oupe des Vers & leur marche rapide servent à nous en assurer : le
genre
principal de musique devait en être grave & p
s ce Spectacle, un chant moins grave ; ils conserveront une partie du
genre
de notre musique héroïque, estimable par sa noble
e d’un Opéra-Sérieux. La musique devait certainement être analogue au
genre
des paroles & de l’action ; elle formait donc
re des paroles & de l’action ; elle formait donc un Opéra dans le
genre
de ceux qui nous font actuellement tant de plaisi
conçois pas ce qui empêcha l’Opéra-Bouffon de se former dès-lors. Le
genre
des talens de Lully, & les mœurs graves de so
de l’autre siècle ? il serait absurde de le croire. Nous adoptons un
genre
nouveau de Spectacle, parce qu’il nous a paru qu’
lleurs, nous en avons retranché tout ce qui lui est étranger ; chaque
genre
à sa place & son Théâtre marqué. On ne vi
t mauvaise ; les Italiens sont loin de réussir dans une musique de ce
genre
: c’est sans doute pourquoi leurs Poèmes lyriques
lques libertés qui seraient ridicules sur d’autres Théâtres ; mais le
genre
de ce Spectacle semble les éxiger, & veut en
it être composée avec tous les soins de l’Art. Ses Drames, de quelque
genre
qu’ils soient, doivent être aussi l’ouvrage de la
res, & ce qu’il est important de savoir pour bien entrer dans son
genre
. Il est étonnant que l’énnemi de notre Scène lyri
ment la conséquence qu’il présente, & après avoir réfléchi sur le
genre
des Poèmes sérieux, donnons pour règle certaine,
qu’ils opéraient, fournissent des incidens qui sont très-analogues au
genre
du Spectacle lyrique. L’Histoire ne lui ouvre qu’
les employer rarement, ou les mêler de quelque chose de fabuleux. Son
genre
éxige absolument du Spectacle & de la variété
re vrais & d’éviter l’incroyable, avec autant de soin que dans le
genre
de Thalie & de Melpomène. Soyons convaincus q
a cause ; & l’on perd toute l’illusion, parce qu’un Miracle de ce
genre
n’est point recevable au Théâtre, qui veut toujou
s précèdent. Explications des différentes manières de désigner le
genre
des Poèmes lyriques. Les Poèmes de notre Opér
éra-sérieux sont désignés par différentes épithètes, pour èxprimer le
genre
de l’action qu’ils contiennent, & la qualité
des pensées grandes & majestueuses. Quinault connaissait bien le
genre
du Spectacle qu’il a formé ; & Lully qui ne p
ètique qu’en éxige la Tragédie récité, ne travaillerait point dans le
genre
de Quinault ; il pourrait faire de beaux vers, ma
ôt à èxécution ; car je ne sais s’il suffirait de retoucher un peu au
genre
de sa musique. Il faudrait donc réunir, ainsi qu’
s ne considéraient pas que l’Opéra ne s’écarte alors nullement de son
genre
, qui ne promet que du merveilleux & de l’èxtr
ocès ; il ne serait coupable que pour avoir voulu porter trop loin le
genre
naissant de l’Opéra. Puisque sans le vouloir, je
ts tels qu’ils sont. Tâchons que ceux qui tiennent pour les différens
genres
lyriques, soient contraints d’avouer que l’on ren
es lyriques, soient contraints d’avouer que l’on rend à chacun de ces
genres
la justice qui lui est due. Parallèle de l’Op
elquefois il enrichit ses décorations, s’il lui arrive d’annoblir son
genre
, il est toujours de beaucoup au-dessous du magnif
ut à l’autre rougir la vertu. Le nouveau Théâtre l’emporte par le
genre
de sa Musique. Je me serais bien gardé de tra
i paraît depuis quelques mois, des observations très-curieuses sur le
genre
& les règles des Poèmes de l’Opéra-Sérieux ;
rgeoise, ou Comique-Larmoyant. O n rencontre au Théâtre plusieurs
genres
de Drames dont on doit parler séparément, parce q
Ces diverses réfléxions m’ont engagé à traiter séparément de quelques
genres
de Poèmes, qu’il était à craindre qu’on ne remarq
& dans le Fils naturel l’idée que nous devions nous former de ce
genre
. Les tentatives de quelques Auteurs, nous font au
ndrienne. Quand la Comédie naquit en France, elle atteignait aux deux
genres
opposés. Les Mistères présentaient les choses les
t de nos Auteurs comiques ont cherchés en tout tems à réunir les deux
genres
. Néricault Destouches les réunit dans le Glorieux
is plaisans & sérieux. Les Comédies Italiennes sont assez dans le
genre
du Comique-Larmoyant ; plusieurs des Pièces que l
sociation ; je la crois révoltante & tout-à-fait ridicule. Chaque
genre
de Drame doit avoir son caractère propre ; confon
appartient de droit au Spectacle moderne par sa nature & par son
genre
. Je suppose que la Parodie chantante est plus anc
ner les principaux Athèniens, en sont une preuve. On peut donner à ce
genre
de Parodie, le nom de Comédie-ancienne. Molière m
gayait leur plume mordante : honneur insigne, qui prouve la beauté du
genre
dont je parle. Ce que signifie le mot Parodie
ble. J’ignore si dans la suite on s’éfforcera de perfectionner le
genre
de la Parodie ; peut-être ne voudra-t-on pas s’en
je ne prétens pas tout-à-fait que ce soient des Ariettes, des Duo. Ce
genre
de musique la gâterait peut-être, au lieu de l’em
s éloges dont plusieurs Auteurs l’ont comblés, je la regarde comme un
genre
ridicule & méprisable. Quelle gloire peuvent
rend indigne d’être soufferte. Quoi, disent-ils, nous estimerions un
genre
destiné à tourner en ridicule les Ouvrages des pl
de leur avis. La Parodie serait peut-être estimée, si elle n’était un
genre
favorable à la malignité, plutôt qu’à l’innocente
mère, comme une Parodie de quelques endroits de l’Iliade. Il y a deux
genres
de Parodie : I. la Parodie narrative : elle compr
ide, la seule Parodie des Anciens qui nous soit parvenue, est dans ce
genre
: on y voit des railleries sur Homère & sur l
ton-Rosette, sont des Parodies d’imitation. La Parodie est un mauvais
genre
en lui-même : elle est sur le Théâtre comme la mé
l est à présumer qu’on ne donnera plus de Parodies satyriques dans le
genre
déclamatoire. Cependant ce genre a son utilité, s
plus de Parodies satyriques dans le genre déclamatoire. Cependant ce
genre
a son utilité, sur-tout aujourd’hui, & je ne
rifier la vertu à un bon mot. Le Burlesque & la Parodie sont deux
genres
bien différens : la Parodie est une plaisanterie
exposition sert à préparer les événemens de la Pièce ; ainsi quand le
genre
d’un Drame est de n’en renfermer aucun, elle devi
, elle devient inutile. Ce qu’elle est dans les Drames du nouveau
genre
. Je remarque que dans notre Opéra l’on ne la
it toujours être éxposé. Le Poète qui compose un Drame du nouveau
genre
, & qui veut se distinguer de la foule, aura p
ctateur craignit à chaque instant de l’en voir déchu. Une Pièce de ce
genre
aurait autant de beautés, & réunirait peut-êt
e beautés, & réunirait peut-être plus de difficultés que celle du
genre
ordinaire. M. Diderot en est l’inventeur, & s
s, & donnent à la Pièce une certaine durée. Les Poèmes du nouveau
genre
demandent beaucoup plus d’action que de paroles.
pectacle moderne. Ce qui compose l’intrigue des Poèmes du nouveau
genre
. Au prémier coup d’œil, je n’apperçois qu’un
s Poèmes sont tout-à-fait dans les règles. D’ailleurs, les différents
genres
qu’il embrasse le rendent éxcusable de pècher dan
es Pièces dont l’action est un peu relevée ne sont nullement dans son
genre
. L’intrigue de nos Opéras, roule donc, du moins e
eux sujets. Si les amours qui forment l’Episode des Pièces du nouveau
genre
n’en doublent point l’action, parce qu’ils n’y on
une Comédie, que de la rendre un peu confuse dans un Poème du nouveau
genre
. Je me suis éfforcé de prouver que la simplicité
Ce qu’il faut observer dans les dénouemens des Pièces du nouveau
genre
. Le dénouement des Pièces du nouveau genre do
des Pièces du nouveau genre. Le dénouement des Pièces du nouveau
genre
doit venir promptement. Que les Auteurs qui se de
bservation d’un grand homme, on ne verrait pas tant de Pièces en tout
genre
dont la fin est défectueuse. Il serait à souhaite
e mérite de notre Opéra. Celui qui ne dissimule point les fautes d’un
genre
qu’il chérit, doit être cru quand il élève à leur
as de le traîner en longueur. Toutes les Scènes des Poèmes du nouveau
genre
, & sur-tout les dernières, sont & doivent
Drames : on dira que j’aurais mieux fait de traiter à part ce nouveau
genre
de Poème. J’ai d’abord été tenté de prévenir tout
s proposez-vous de ne parler principalement que des Poèmes du nouveau
genre
? Le dessein que je me propose est découvert au c
. Cette alliance, ce mêlange de ce qui regarde les Pièces du nouveau
genre
, & de ce qui concerne les divers Poèmes repré
éjouit ? Afin de varier les termes, je désigne sous plusieurs noms le
genre
de Spectacle si en vogue de nos jours ; je l’appe
’Opéra-Bouffon, vu qu’il présente tout d’un coup une idée de son vrai
genre
; aussi est-ce celui dont je me sers le plus volo
enferment au contraire une critique très-forte & très-vraie de ce
genre
de Spectacle. Lorsque je me récrie sur ses beauté
une opinion bisare, qu’il n’y a que l’observation des règles en tout
genre
qui promette de véritables succès. Tout ce qui s’
s continue de lire] : Comédie-Ariette : Opéra-comique ; Drames d’un
genre
mixte, qui tiennent de la Comédie & de l’Opér
ils peuvent embrasser la Parodie, la critique des Drames de tous les
genres
, les intrigues populaires & bourgeoises, l’al
voila la vraie, la principale cause des succès de la Comédie-Ariette,
genre
tout-à-fait monstrueux, & que les efforts des
t la Religion & les Loix. Remarquez encore ici en passant, que ce
genre
de Spectacle, plus contraire sans doute au Christ
; non-seulement la Jeunesse, mais toute la Ville se passionna pour ce
genre
, qui corrompit enfin la bonne Comédie ; craignons
ervant ses héros. Je n’irai pas, comme quelques Ecrivains, ravaler le
genre
& les personnages : un homme utile, que dis-j
e, quoique peu naturelle, pourrait devenir utile, en bannissant de ce
genre
les indécences ; en donnant aux Paysans & aux
s Pièces une naïveté qu’on chercherait en vain dans celles du nouveau
genre
. Ajoûtons que le Vaudeville étant né en France, u
it dans les Vaudevilles une grâce infinie. J’avouerai pourtant que ce
genre
de chant ne peut convenir qu’à des Pièces folles,
pour une pointe, elle serait sifflée avec raison. On peut dire que ce
genre
de mauvaise Comédie dont nous sommes surchargés,
ger l’honnête Spectateur de la mauvaise compagnie qu’on lui donne. Ce
genre
est donc à renvoyer par-delà les monts. Mais en r
s, & celle des gens de la Campagne, le Théâtre aussi a reçu trois
genres
de Poèmes dramatiques, savoir, la Tragédie, la Co
a Comédie, la Pastorale ou la Satire. » Cette explication des divers
genres
de Spectacles pouvait être juste du tems des Grec
t. Les Romains même divisaient en trois classes différentes les seuls
genres
propres à la Comédie. D’Aubignac aurait dû voir q
ire agir de manière qu’ils ayent toujours un certain rapport avec son
genre
primitif. Ce qui fait le genre principal du no
oujours un certain rapport avec son genre primitif. Ce qui fait le
genre
principal du nouveau Spectacle. Le dernier de
parce qu’elle lui ressemble souvent, & que lorsqu’elle adopte un
genre
plus noble, elle s’écarte trop de ce qui devrait
s, ils sont sujets aux mêmes travers, aux mêmes vices que le reste du
genre
humain. On fait donc bien de nous rendre chaque j
à leur vanité le plaisir de deviner les modèles. C’est dans ces deux
genres
qu’Aristophane triompha tant de fois, à la honte
manteaux à la Grecque. Afranius & Ennius se distinguèrent dans ce
genre
. 9. Celles qu’on nommait Togates, où les Acteurs
uelle on ne saurait faire un pas dans la carrière du Haut-comique, ce
genre
présente un obstacle qui lui est propre, & do
mique grossier. Celui-ci consiste dans la manière ; ce n’est point un
genre
à part ; c’est un défaut de tous les genres. Les
anière ; ce n’est point un genre à part ; c’est un défaut de tous les
genres
. Les amours d’une Bourgeoise & l’ivresse d’un
rendent intéressantes ; de-là le comique attendrissant. De ces trois
genres
, le premier est le plus utile aux mœurs, le plus
peintures de caractère, & ce que Molière, ce grand modèle en tout
genre
, possédait éminemment, c’est ce coup d’œil philos
d’où vient que l’on rit de la chute imprévue d’un passant ? c’est ce
genre
de plaisanterie, que Heinsius a eu raison de nomm
us sensiblement. C’est du moins l’opinion de Corneille. Mais comme ce
genre
ne peut être ni soutenu par la grandeur des objet
l’on pleure dès le premier Acte. Quelque critique, pour condanner ce
genre
, a osé dire qu’il était nouveau ; on l’en a cru s
nne beau jeu à l’ignorance & à l’effronterie. Tels sont les trois
genres
de Comique, parmi lesquels nous ne comptons ni le
une imitation burlesque, l’action la plus noble, la plus touchante ;
genre
méprisable, dont Aristophane est l’auteur. Mais u
touchante ; genre méprisable, dont Aristophane est l’auteur. Mais un
genre
supérieur à tous les autres, est celui qui réunit
ses Poèmes, fondés sur les règles qui constituent les Drames en tout
genre
, s’écartent assez souvent de ces règles si èssent
eur bassesse ; c’est ce que doivent se proposer les Poètes du nouveau
genre
qui voudront faire agir des gens obscurs, pris da
ns obscurs, pris dans le menu Peuple. Il faut au Spectacle moderne un
genre
qui lui soit propre ; eh, bien ! que ce soit celu
nant, de convenir du mérite de ses Acteurs. Plus il est prouvé que le
genre
naissant des Drames tant applaudis de nos jours s
u’il promet, je n’ai qu’à répéter les éloges flatteurs qu’on donne au
genre
qui me met la plume à la main. Mes seules pensées
rivolités. Ce n’est, dit-on, que pour son amusement qu’elle chérit le
genre
que vous préconisez. Quoi ! tout Paris ne voit da
fait rejetter ou préférer telle chose : le goût qu’elles ont pour un
genre
presqu’adoré dans la Capitale, est donc une preuv
lques beaux esprits. Si trente hommes de genie s’élèvent contre notre
genre
favori, deux cents le défendent avec succès. Et q
clairement désignées ? Osera-t-on disputer à Corneille le mérite d’un
genre
dont il fait l’éloge ? Ce grand homme connaissait
t tant applaudir les Sédaine & les Anseaume ? Il faut donc que le
genre
du nouveau Spectacle ait de certaines difficultés
Devin de Village, dans lequel on peut voir une grande partie de notre
genre
favori, le germe des Romances, des Ariettes &
clair que cet Auteur immortel avait sur-tout une forte estime pour le
genre
bouffon, puisqu’il s’exprime ainsi ; « Je voudrai
cès du nouveau Spectacle. Mr. Diderot ne dédaignerait pas non plus le
genre
pour lequel j’écris : « une farce éxcellente, dit
avec les mêmes termes dont se sert d’Aubignac ? Eh ! quel est donc ce
genre
si vanté ? N’est ce pas un amas de paroles sans g
u’il en soit, elles soutiennent que de pareils intitulés désignent un
genre
grossier & vil, & qu’ils ne promettent ri
èce de létargie sur le Parnasse ? Soiez-en sûrs, vous applaudissez un
genre
ridicule, il se répand alors, chacun veut avoir l
s difficultés du Drame. Ce qu’est le sujet dans les Drames en tout
genre
. La Comédie & la Tragédie souffrent un su
Drames contre-disent ce que j’avance. Mais ils s’écartent trop de son
genre
. Je prie le Lecteur d’en être persuadé ; ce n’est
r le nouveau Théâtre, puisqu’ils s’éloignent de la simplicité que son
genre
demande absolument. Le Public montre chaque jour
point susceptible ; on l’avouera sans peine si l’on connait bien son
genre
& sa nature ; il semble dire ce Vers à tous l
ne fois qu’on a eû le bonheur de le rencontrer. Les Drames du nouveau
genre
veulent être serrés dans leurs marches & dans
e livraient à la Tragédie, n’avaient guères de sujets propres pour ce
genre
de Drame. Ils ne leur était permis de mettre sur
que des actions enjouées, ou qui n’ayent rien de triste, est du vrai
genre
de la Comédie. On veut voir sur sa Scène une crit
uer ici, combien il est mal adroit dans une Comédie, quelque soit son
genre
, de mettre un des personnages en danger de mort.
ur fournissant des matériaux pour composer quelques Drames du nouveau
genre
, je leur enseigne plus fortement ce que j’entends
sera possible17. » En voilà assez pour éxcuser notre Opéra. Son vrai
genre
est énnemi des vains ornemens ; il est d’autant p
tre terme, & que les Italiens l’employent eux-mêmes dans le grand
genre
, il pourra trouver sa place dans notre Opéra-Séri
rovence pour aller réciter leurs Vers dans les Cours des Princes. Son
genre
a changé de nos jours, elle est présentement cons
& mélodieux : s’il était autrement, il ne se rapporterait plus au
genre
ni au sens des paroles ; il cesserait de peindre
quelque chose de sérieux à faire èxprimer ; secondement, parce que le
genre
de l’ariette du nouveau Théâtre ne comporte guère
d’observer que le Récitatif devrait être banni des Drames du nouveau
genre
. Des idées sombres & tristes ne sont point pl
non plus trop partisant des ariettes ; ce qu’il en dit peint assez le
genre
de celles qui sont tant applaudies au nouveau Thé
nd nombre de répétitions qui se trouvent dans les Ariettes du nouveau
genre
. On voudrait que la mélodie de nos Compositeurs n
ien ôter à sa mélodie. Je conseille aussi aux Compositeurs du nouveau
genre
de retrancher les Ritournelles, ou ces Simphonies
tes prouvent qu’il faut bannir la Ritournelle des Ariettes du nouveau
genre
. La Simphonie qui précède le chant & le termi
ur développement. S’il est certain que le chant des Pièces du nouveau
genre
, pour être naturel, ne doit être amené, ainsi que
yens de remédier aux fautes qu’on trouve dans les Ariettes du nouveau
genre
. Puisqu’on veut absolument conserver les Arie
les applaudir & à les approuver. Mais pour parvenir à relever le
genre
de l’Ariette, il faut qu’ils le croient susceptib
n ait seul la gloire de tout èxprimer. Je ne dirai rien des différens
genres
de l’Ariette, parce qu’ils ne contredisent point
. En faut-il d’avantage pour appuyer mon opinion ? S’il paraît que le
genre
tragique se soit plutôt perfectionné chez les Gre
culés, ils auraient découvert la Comédie déja florissante, lorsque le
genre
sérieux commençait à peine à se distinguer de la
issant sur ce qui s’est passé sous nos yeux. Le Comique-larmoyant, ce
genre
si bisare, ne doit-il pas sa naissance à la Coméd
e de famille, tout ce que je viens de dire ne paraît plus hazardé. Le
genre
de la plaisanterie enfante de nos jours des piéce
jusqu’à un point auquel ils ne seraient peut-être jamais parvenus. Le
genre
Dramatique prit chez eux une nouvelle forme ; ils
ce qu’on appelle Comédie-moyenne. Aristophane travailla dans les deux
genres
. Ses derniers ouvrages sont, dit-on, de la second
rouvé la cause du grand succès de notre Opéra-Bouffon ? Différens
genres
de leurs Spectacles comiques. On divisait à R
amenèrent à leur suite la Comédie, si l’on peut appeller de ce nom le
genre
monstrueux qui délassa long-tems les Français. Il
erait à peindre naivement les mœurs. On pouvait dès lors juger de son
genre
, & de ce qui ferait son principal mérite. On
en France n’est venu qu’après la Tragédie. Il me paraît que notre
genre
comique, ainsi que celui des Grecs, a beaucoup d’
ainsi du reste ; au lieu que les ouvrages d’esprit, chacun dans leur
genre
n’ont eu besoin que d’un seul homme de génie. Je
ste. Il me reste encore à parler de l’origine de l’Opéra-Bouffon ; ce
genre
nouveau de Spectacle qu’on se fait une gloire d’e
efois nos Tragédies s’y trouvent à l’étroit, tant-pis pour elles ; ce
genre
de Drame ne forme pas encore, chez les modernes,
comme ceux de la Grèce & de Rome. Les Pièces dans les deux autres
genres
ne représentant que les actions des particuliers,
e, mais la Scène elle-même qu’il faut changer. Le premier de ces deux
genres
a pour lieu de son action, des Temples, des Palai
pour lui. Parlons d’abord de la Tragédie ; car ce qui suffit pour ce
genre
, ne convient pas toujours à l’autre. Nos Salles a
ctérisent les crimes dont ils sont la source : c’est des Drames de ce
genre
, qu’on peut dire qu’ils affaiblissent l’horreur q
ns les mœurs de leurs Drames ; je voudrais même qu’on cultivât peu le
genre
où la Comédie n’est qu’un joli Roman dialogué, te
suivant cette méthode, on mettra toutes sortes d’intrigues, tous les
genres
de vices & de ridicules sur le Théâtre, non-s
te règle, de suivre la nature, peut s’appliquer au Tragique même ; ce
genre
veut de la grandeur, & point d’enflure ; que
illeurs, le monologue tel qu’il soit, n’est pas déplacé dans ces deux
genres
: quand on est seul, & qu’on s’ennuie, il fau
plus facile de paraître s’entendre tout seul : mais les A-parts de ce
genre
ont l’inconvénient des monologues, c’est qu’ils s
celle d’avoir le visage tourné du côté du Spectateur, est du premier
genre
. Ces deux choses réunies gênent dans les mouvemen
ux puisse rire sans répugnance à la nouvelle Comédie*. La plupart des
genres
d’indécence que je viens de reprendre, n’existent
sir, les jeux, la criminelle galanterie, voila la morale de l’Opéra ;
genre
d’ailleurs, qui, si vous lui ôtez sa mollesse &am
la sagesse de s’arrêter, & de ne pas chercher à perfectionner un
genre
imperfectible à certains égards. Les Français, au
la justesse de tout ce que j’avance ici. Mais, dira-t-on, quel pauvre
genre
ce fera que notre Lyrique, & qu’avec raison n
a magnificence & pour les talens : on peut ne rien épargner, à ce
genre
de Spectacle : les efforts des hommes seront touj
Enfin les Romanesques, comme Zaïre, Alzire, Zelmire, &c. Tous ces
genres
peuvent être cultivés pour le nouveau Théâtre : m
s Trois-Cousines, la Coupe-enchantée, & toutes les Pièces dans ce
genre
scandaleux. Ces treize sortes de genres Comiques,
amp; toutes les Pièces dans ce genre scandaleux. Ces treize sortes de
genres
Comiques, pourraient encore se soudiviser ; mais
Comédie est ordinairement excellente ; nous avons des Pièces, dans ce
genre
, supérieures à tout ce qu’ont produit nos voisins
nt peu d’efficacité pour la correction des mœurs. La quatrième est un
genre
neuf, qui a produit plusieurs chefs-d’œuvres. La
ces du jour, peut avoir une très-grande utilité ; mais il faut que ce
genre
soit traité avec sagesse ; alors, il sera peut-êt
il sera peut-être digne d’occuper le second rang. La septième est un
genre
peu fécond, & qu’on a raison de ne plus culti
neuvième offre une agréable variété ; on peut mettre les Pièces de ce
genre
dans la bouche des nouveaux Acteurs, mais en modé
’une valeur proportionnée au degré de mérite, & & sur-tout au
genre
de la Pièce. Les distinctions cesseront pour les
sses ; il ne sera pas même permis aux Auteurs qui réussiront dans ces
genres
, de se montrer sur le Théâtre, au cas qu’ils y fu
e leurs Compositions n’auront pas les licences des anciens Drames. Le
genre
de la Pièce ne sera jugé que par le Public, après
meilleures, jusqu’à ce que la fureur en soit passée1. Tout ce que ce
genre
a d’honnête, de fin, de délicat, nous le mettrion
omime[O] aurait avec le Drame un rapport marqué : des Danses, dans le
genre
des Pyrrhiques *, disposeraient merveilleusement
te Pièce d’abord ; qu’elle eût avec la Grande, au moins un rapport de
genre
: alors la principale action succédant à l’access
les Romains eux-mêmes. Fesons plus ; nous surpassons les Grecs par le
genre
de nos Comédies ; nous commençons à les imiter en
devoirs. La Patrie, en les couronnant, recompensera le mérite en tout
genre
. Les parens des enfans qui auront remporté les pr
mis à paraître sur le Théâtre, qu’après avoir mérité tous les prix du
genre
que l’on aura choisi* [J] [J]. Comme l’on s’est a
er ; l’on choisira, parmi les Jeunes-gens, des voix agréables pour ce
genre
en particulier, & ces Acteurs-citoyens ne ser
n de chaque Acte, ou de la Pièce entière, si elle est dans le nouveau
genre
proposé, c’est-à-dire, sans entr’Actes vides : al
tout cela avait peu de naturel. On pourrait composer des Pièces d’un
genre
particulier, qui seront appelées Comédies pour ma
, qui peuvent tout oser : la magnificence est nécessaire à ceux de ce
genre
, comme la livrée de l’indigence l’est à l’Enfant-
llentes Actrices, aux Rôles de mères, qui, dans les Pièces du nouveau
genre
, auront une toute autre importance que dans la pl
e pour nos Tragédies. C’est-là qu’on pourrait faire renaître tous les
genres
de Danse en usage chez les Anciens ; qu’on exécut
par la Pièce, qui, comme le porte l’ Art. v de ce Titre, sera d’un
genre
particulier : le saint nœud du mariage, acquerra,
ur. Les honoraires des Auteurs des Drames seront fixés, en raison du
genre
dans lequel ils auront travaillé, & le nombre
quelle on lira : Pour la Patrie. Ceux qui composeront dans les autres
genres
recevront une some moindre, avec une médaille d’a
us pas un Théâtre digne de ces derniers ? Pourquoi confondre tous les
genres
? Que l’Opéra puise dans Homère, dans Virgile, da
teur fou. Aussi proposé-je de mettre sur notre Théâtre tout ce que ce
genre
a de joli ; le goût du Beau peut souffrir de long
médiens. Tous les Sujets qui ont quelque talent, veulent embrasser ce
genre
, comme le plus estimé, le plus facile & le pl
ites dans Pietro della Valle, & dans Chardin, sont encore dans ce
genre
: les Négresses du Sénégal ont de même des Danses
ge subsiste encore à Naples. 1. Président des Spectacles, de quelque
genre
qu’ils fussent. 2. C’était encore sur le Théâtre
appréciée que pour le dix-huitième. Les degrés de mérite dans chaque
genre
se trouveraient alors recompensés par le nombre d
de la première Classe obtiendront le douzième, & celle du dernier
genre
, le vingt-quatrième. [Le taux actuel des Parts d’
e par lequel il est d’usage de précéder les Pièces chantantes en tout
genre
, & qu’on appelle Ouverture, soit un tableau d
chefs-d’œuvres. On veut donc que l’Ouverture donne une juste idée du
genre
de l’action qui fait le sujet d’un Poème lyrique,
n pourrait se dispenser de placer une Ouverture aux Poèmes du nouveau
genre
. Il est du moins bien difficile à un Compositeur
avoir de tels objets à peindre dans l’Ouverture des Pièces du nouveau
genre
, rien ne se présente à l’enthousiasme du Composit
après avoir satisfait aux affaires sérieuses, & il distingue deux
genres
de jeux : l’un indigne d’un honnête homme, quand
ingeniosum, facetum. Et Ciceron ajoute qu’on trouve des traits de ce
genre
dans Plaute, & dans la vieille Comédie d’Athe
Rousseau qui possédoit le talent de l’Epigramme, a travaillé dans le
genre
Comique, dont il avoit beaucoup étudié la Théorie
istophane, puisqu’il n’avoit pas la même liberté, sut réunir les deux
Genres
, celui d’Aristophane & celui de Menandre, &am
ient précédé, ignoroient ce que c’étoit qu’un pareil respect. De quel
genre
étoient les anciennes Comédies des Italiens, &
M. de Cambrai (Lettre à l’Académie) n’a pas fait assez d’attention au
genre
dans lequel Moliere écrivoit, quand il a condamné
uccesseurs ont pris une route différente, & ont travaillé dans un
genre
qu’ils ont appellé noble, & qui se passe du R
ore rassemblé dans un même ouvrage tout ce qui concerne les différens
genres
des pièces Théâtrales tant anciennes que modernes
être utile ; & combien je serai flatté d’écrire désormais dans un
genre
qui distingue l’homme de Lettres, & qui lui m
uriosité, puisque la Scène est décorée de nos jours de Poèmes dont le
genre
n’était guères connu autrefois. La Comédie larmoy
Spectacle moderne. En achevant d’éclairer les Auteurs des Pièces d’un
genre
tout-à-fait neuf, & dont on fait tant d’éloge
à ces pauvres enfants. Leur langage se forma de tout le répertoire du
genre
; rien n’était plus comique que leur conversation
ions, n’en serait pas moins cause de sa mort. Sur cent épreuves de ce
genre
, dans la société, on n’en voit pas deux réussir ;
e suffit pas même à nos âmes, faites depuis longtemps aux horreurs du
genre
. Le bruit de l’instrument du supplice s’est fait
ssance. L’habitude de voir reproduire sans cesse des événements de ce
genre
, rend presque insensible sur les nouveaux. Autre
se croiraient perdus de réputation, si deux ou trois aventures de ce
genre
ne donnaient à leurs vingt ans une malheureuse cé
nt avoir le diable au corps, pour fonder de grandes espérances sur un
genre
aussi restreint. Ce protecteur infernal n’avait p
pépinière, où les grandes firent des acquisitions précieuses en tous
genres
. Je ne prétends point dire que le Panorama dramat
tiers l’idée de réclamer un droit incontestable, et les Funambules56,
genre
de spectacle, partagé entre la danse de corde et
étamorphoses, qu’improvisateur comique et spirituel dans ses canevas,
genre
de pièces non écrites, dont il fit longtemps la v
qu’il faut passer le temps. Les interprètes de toutes les horreurs du
genre
ne veulent plus, avec raison, être regardés comme
? » — « On dit qu’ pour établir son despotisme, il a paralysé l’ vrai
genre
qui convenait à c’ théâtre qui, d’ premier pour l
qu’on a réuni à celui de la rue Feydeau, je ne sais pourquoi ? Si le
genre
y eut gagné, à la bonne heure ; mais la plupart d
38. [NDA] Sauteur de la troupe Nicolet. 39. [NDA] Acteur en tous
genres
et qui ne fut pas sans mérite. 40. [NDA] Ouvrag
qui ne fut pas sans mérite. 40. [NDA] Ouvrage de l’Ambigu. C’est ce
genre
de pièce qui depuis a pris le nom de mélodrame.
n, café d’Apollon et enfin ce qu’il est aujourd’hui. 56. [NDA] Même
genre
que l’établissement Saqui. 57. [NDA] Bon arlequ
ous en ont donné l’idée. Nous sommes redevables aux Italiens d’un
genre
d’amusement aussi précieux : ils ont, je crois, i
e pourquoi elles ont été si courrues ; on prévoyait déja la beauté du
genre
qu’elles feraient éclore un jour. Un Spectacl
iait un des principaux ornemens du Théâtre, & montrait un nouveau
genre
de burlesque qui conduisit insensiblement à la dé
analogie il peut y avoir entre une singularité sans exemple & le
genre
pour lequel j’écris. Je demanderai à mon tour sur
ens, firent une sensation étonnante ; mais ce n’était point encore le
genre
que nous avons adopté. M. Sédaine en est le vrai
oses ; mais nous ne conviendrons jamais qu’ils nous ayent indiqués le
genre
qui nous enchante. Afin de leur en ravir l’honneu
ult, tels qu’Alceste & Cadmus ; oui, nous prétendons y démêler le
genre
d’un Spectacle qui nous est si cher. La scène de
mais je n’ai assisté à ce silence de mort sans donner des larmes à ce
genre
d’infanticide, et sans ressentir la plus vive ind
leur famille ; on les a vus, dis-je, offrir leurs enfans à ce nouveau
genre
de prostitution ; et ceux qui ont été acceptés à
e, en rendre les transports, en figurer les opérations, avec ce fatal
genre
d’éloquence qui exprime plus qu’il ne dit, qui pa
jouissance. Je défie toutes les intelligences humaines d’expliquer un
genre
de mystère en morale, qui se présente ici d’une m
ur sort, fixés par goût et par l’empire d’une longue habitude dans un
genre
de vie analogue au théâtre, se dévouent à la friv
roie assurée à l’invasion des peuples barbares ; une récréation de ce
genre
ne pourroit être considérée que comme une calamit
mois dans l’année qui ne soient marqués par quelque catastrophe de ce
genre
. On en a vu périr 30 mille à la fois par l’écroul
c, et la discussion en appartient à tous les citoyens. Il en est d’un
genre
différent, dont les chefs du gouvernement doivent
r de produire quand les esprits et les cœurs sont flétris par un même
genre
d’avilissement, de lâcheté et d’abjection ? « Cep
t le sang devoit cimenter la victoire, expireroient dans le camp d’un
genre
de mort vulgaire ?…. Dans ces armées de Goths, de
mmes. Le monde subsistât-il dans toutes ses parties, je ne sais si ce
genre
d’êtres s’y trouvera encore. Ce qui en restera pe
es dans les règles de la décence et de la subordination aux lois ; ce
genre
de gêne qui pour eux est un supplice redoutable,
leur estomac. 6. Quel appât pour l’avidité des parens que ce nouveau
genre
de négoce ! Quel moyen prompt et facile de mettre
capitalement méphitique. 24. Une source affreusement féconde de tout
genre
de maladies, c’est incontestablement le théâtre.
des Nations ; dans leur prémière grossièreté, elles méconnaissent le
genre
dramatique ; leur ignorance se dissipe-t-elle ? l
traiter les Auteurs sur-tout, s’ils veulent balancer les succès d’un
genre
rempli d’agrémens. Le public gagnera dans leur pe
ectacle moderne diffère des autres Théâtres. Lorsqu’on invente un
genre
de spectacle qui n’a rien de semblable à ceux qui
& applaudi. Quel motif empêcherait qu’on accueillît avec joie un
genre
nouveau de plaisir & d’amusement ? Puisqu’il
ion. Je réponds en demandant d’abord, s’il est possible d’imaginer un
genre
nouveau de Spectacle qui ait rapport à la Littéra
s ce dernier cas. Qu’il devrait y avoir deux Spectacles de chaque
genre
. Je dis plus ; il serait à souhaiter qu’on ét
t du Théâtre. LE goût des arts, l’honneur de ma patrie, l’amour du
genre
humain, un respect inviolable pour la vérité, voi
optant vos maximes, nous devons être regardés comme des séducteurs du
genre
humain. Voyons si nous ne méritons pas un titre m
milieu d’une foule d’êtres incessamment agités. Prétendre réformer le
genre
humain sur le sage de l’école de Zenon, ce seroit
que la vertu descend sur la terre, & dicte ses oracles à tout le
genre
humain. Ce n’est pas dans la solitude que la vert
nt encore trop bornés pour ces Citoyens illustres qui enrichissent le
genre
humain de nouvelles lumieres, & qui ont si bi
respectable, la premiere de toutes, peut-être, la plus nécessaire au
genre
humain, qui donne de l’activité à toutes les autr
prouver que notre siécle peut fournir des exemples d’héroisme en tous
genres
, qui ne nous rendent point inférieurs aux Anciens
qu’ayant balancé long-tems entre l’amour de lui-même & l’amour du
genre
humain, il s’est enfin donné la préférence ? Je c
le de nous persuader que Titus n’étoit pas comptable de ses vertus au
genre
humain. Je vous interroge vous-même ; pouvez-vous
ul du mépris général, & de l’indignation dont on veut accabler le
genre
humain ? Cette prétention monstrueuse, qui prend
s ériger en réformateur universel, qui vous dévore. Prédicateur né du
genre
humain, vous vous croyez seul appellé à cette imp
elles nous procurent. J’ignore si un homme de génie peut inventer un
genre
de pieces, préférable à ceux qui sont établis ; m
genre de pieces, préférable à ceux qui sont établis ; mais ce nouveau
genre
, dites-vous, auroit besoin des talens de l’Auteur
iroit nécessairement avec lui. Pourquoi ne penseriez-vous pas, que ce
genre
nouveau dût se perfectionner ? Cela est au moins
venteurs. En attendant que quelque heureux créateur donne l’être à un
genre
nouveau, dont l’effet rende encore nos Théâtres p
s Théâtres plus agréables & plus utiles, renfermons-nous dans les
genres
connus jusques à présent. Ils représentent l’homm
outes les autres, dangereuse que par l’abus. C’est travailler pour le
genre
humain, que de l’assujettir aux regles d’une mora
vescence momentanée vous a fait écrire contre cette aimable moitié du
genre
humain. Si j’ose ici réclamer ses droits, n’allez
fâme d’être exposé aux jugemens des hommes ? Il n’y a que l’ennemi du
genre
humain qui puisse regarder l’obscurité comme une
uide, personne n’y contredira. Je reconnoitrai alors en vous l’ami du
genre
humain, qui s’occupe de la félicité de ses sembla
de son cœur. Or l’Etre raisonable si vivement entraîné vers ces trois
genres
de plaisir, les trouve réunis dans le Spectacle d
plus digne de notre respect & de notre vénération. Quel ennemi du
genre
humain entreprendrait de bannir de nos plaisirs l
Assemblées, les Fêtes, les Cérémonies des Religions en sont un autre
genre
plus rapproché de l’homme : enfin, il y a des Spe
t nécessaire que l’attente ne soit pas trompée, & qu’on trouve ce
genre
de plaisir à nos Théâtres, il est clair en même-t
térité Républicaine ne peut comporter les Drames de ces deux derniers
genres
, parce que, eu égard au besoin qu’ont les hommes
mant ; mais l’amante fort des bornes, & des Représentations de ce
genre
, doivent être interdites aux jeunes filles dont o
sé l’Auteur s’applaudir tout seul de cultiver ce qu’il nomme l’ancien
genre
* ? (Quel genre, bondieu ! où l’on ne débite que
plaudir tout seul de cultiver ce qu’il nomme l’ancien genre * ? (Quel
genre
, bondieu ! où l’on ne débite que des fadaises ; o
Concluons donc, que le Théâtre, uniquement composé des Pièces dans le
genre
dont je viens de parler, « ne peut être comporté
r le plaisir, il abusa des Spectacles, des Arts, des Sciences en tout
genre
qu’il protégea ; il parut encourager un Pylade, u
peuvent servir de modèle pour l’économie théâtrale, sont néanmoins du
genre
le moins utile ; elles ne rendent pas assez odieu
oûter beaucoup à la Nature. Cela est prouvé par les miracles, en tout
genre
, enfantés en France du temps de Louis XIV, et en
i a le plus contribué à ensevelir le bon goût et à confondre tous les
genres
. La prose règne, la prose étend son empire ; et q
erait plus signalée. Aussi croyons-nous qu’il y a des spectacles d’un
genre
à ne pas convenir aux femmes même. Lysistrata mis
nt-ils tentés que du désir de s’immortaliser par des ouvrages du même
genre
. Demandez à mon vieux camarade Ducis, si son Apol
e, elle va aujourd’hui porter ailleurs ce qu’elle peut sacrifier à ce
genre
de plaisir. On la voit en foule dans les salles d
(sous le rapport de l’art) cette nouvelle direction, qui confond les
genres
et qui imprime aux récits les plus véridiques les
! l’on pourrait penser que les modernes ont seuls imaginés ce nouveau
genre
de Drame ! Ce serait nous couvrir d’un honneur qu
Opéra-Bouffon, quoiqu’il n’ait eu peut-être guères de rapport avec le
genre
de Spectacle que nous désignons ainsi. Je me disp
issance. Nous devons cependant regarder Sannyrion comme le père de ce
genre
amusant, c’est-à-dire, comme celui qui lui prescr
e politique. Les Chœurs des Pièces anciennes pouvaient être de ce
genre
. Les Chœurs des Tragédies de la Grèce & d
miens ; je vous en dois compte, & je viens vous le rendre sur un
genre
d’Ouvrages, auquel j’ai cru devoir renoncer pour
juste, je souffrois, & je n’en travaillois pas moins dans le même
genre
. Il n’est guères de situation plus pénible, quand
int assez effacer le scandale que j’ai pu donner à la Religion par ce
genre
d’Ouvrages, & de n’être point à portée de rép
je finissois, & je les donnerai sous une autre forme que celle du
genre
Dramatique : cette Comédie avoit pour objet la pe
, & sans parvenir à réprimer la manie des faux airs dans tous les
genres
, & les ridicules de tous les rangs. Je laisse
nsformer : parce qu’il est aisé de voir que l’art ne réussit en aucun
genre
, qu’à la saveur d’une heureuse illusion, que non
puisse le disputer à celui de la représentation : c’est sans doute le
genre
de Peinture le plus accompli ; mais en revanche a
aractére de ces fortes de mouvemens, & personne ne se trompera au
genre
de la démonstration : s’il est noble, sublime &am
out cela il n’y a pas moyen de donner le change. La Comédie dans son
genre
familier n’est pas en ce qui concerne le Spectacl
es à garder, & qui sont d’autant plus difficiles à saisir, que le
genre
est naïf & peu maniéré : on est tantôt ouvert
délicates, c’est chercher sans doute à en faire des Auteurs dans leur
genre
; & non de simples Copistes dont le rolle n’e
teurs. Mais une derniere preuve que l’Acteur créé les Piéces dans son
genre
, qu’il a le privilége exclusif de leur donner un
de la couleur à des apparences, du relief à des sentimens : c’est un
genre
tout différent. Dans la composition c’est l’idée
on aussi éloignée du ton de commerce que du chant, ainsi que selon le
genre
, cette admirable familiarité aussi distante du ba
de pureté dans les lumieres. Quel sera donc l’arbitre souverain en ce
genre
? Ce ne sera pas chez le Spectateur le suffrage s
précision sans exemple. Car on doit observer qu’il n’en est pas de ce
genre
de tableau, comme de tous les autres. Ceux-ci peu
sentiment seul n’initie point, même où l’esprit éclaire peu. Dans ces
genres
divers une sorte de tact, un certain discernement
accens d’un Acteur ; & l’empire souverain que vous exercez en ce
genre
sur tous les esprits, est un témoignage bien préc
sique c’est-à-dire la Peinture & la Poësie, sont chacun dans leur
genre
incomplets : quelqu’achevés que soient les morcea
privilége insigne de tout rendre à une expression pitoresque en tout
genre
; c’est avec le geste, les paroles, le ton &
La vertu & le vice ont d’ailleurs sur le Théâtre chacun dans son
genre
un effet d’autant plus puissant, que l’un & l
jettit : Littérature ; elle applique : Poësie elle remue : tout autre
genre
; il attache, ou il échauffe & il n’est pas r
que le Commerce est bien précieux à nos récréations. La Promenade en
genre
d’amusement, ne laisse pas d’avoir son mérite ; m
misération son essor & son zèle ? Non : tout cela chacun dans son
genre
est manqué : c’est au Théâtre à fournir un modéle
est encensée, & par-tout la honte est pour le vice. Dans quelque
genre
de Spectacle que ce soit, c’est un ton, un style
ie en points de délicatesse & de sentiment. Il n’y a pas jusqu’au
genre
lyrique, quoique moins occupé de nos mœurs que le
te d’un Auteur. Je ne crois pas que les Poètes qui se consacrent à ce
genre
ayent plus de facilité à composer du frivole qu’à
erreur. Ses lumières, & l’étude profonde que j’ai faite de notre
genre
favori, m’ont ouverts les yeux. J’ai senti qu’on
x. J’ai senti qu’on devait travailler avec soin les Pièces du nouveau
genre
, que la précipitation leur nuisait, & qu’on e
ne à tous, dans la description qu’il en fait, la difformité dont leur
genre
est susceptible, c’est-à-dire, des traits outrés
s Spectateurs. On peut ajouter à ces trois sortes de masques, ceux du
genre
Orchestrique, ou des Danseurs. Ces derniers, dont
ridicule, & celle des masques tragiques inspirait la terreur*. Le
genre
Satyrique, fondé sur l’imagination des Poètes, re
s, les Cyclopes, & autres monstres de la Fable. En un mot, chaque
genre
de Poésie Dramatique avait des masques particulie
n Prométhée enchaîné sur le Caucase, pour avoir été le bienfaiteur du
genre
humain ? Que sert Iphigénie immolée à l’ardeur de
r & prendre des avis : c’est l’art de l’homme, & non l’art du
genre
. Le genre, il est vrai, s’y prête ; mais ce n’est
endre des avis : c’est l’art de l’homme, & non l’art du genre. Le
genre
, il est vrai, s’y prête ; mais ce n’est pas son o
bon à rien. L’impression que fit ce portrait, donna lieu de mettre ce
genre
en action. La Scene comique, dans le commencement
r de voir la vertu attaquée, & la Religion ridiculisée. Ce second
genre
de Comédie fut donc défendu. Mais la malignité a
toutes ces vues hautes & solides qu’on suppose à presque tous les
genres
de Poésie. Le but, dit-on, du Poëme épique est de
naturel ne fit que le rendre plus propre à suivre la loi générale du
genre
comique, qui exige que le Poëte se conforme à l’i
e les jouer, & elle abandonna aux Comédiens de profession le vrai
genre
dramatique. On inséroit des satyres dans les Atel
mique bas & licencieux ; mais qui conservoient en total le ton du
genre
dramatique par la composition du sujet. Les Atell
progrès à Rome. Cependant Horace dit que les Romains avoient dans ce
genre
imité avec succès les Grecs. Mais en même temps i
ui n’ont rien à perdre, aiment toujours le changement. Voilà les deux
genres
de Citoyens qui préparerent & avancerent la r
; chantoient les éloges de leurs Héros. A ces Bardes succéda un autre
genre
de Poëtes, nommé Maître Langer, c’est-à-dire, Maî
s’astreindre aux regles grammaticales qui regardent les cas & les
genres
. On cessa de donner une terminaison Latine aux no
emblées profanes. Il étoit naturel que des hommes qui embrassoient un
genre
de vie tout-à-fait différent des usages du siecle
’Europe, qu’à cause des chefs-d’œuvre qu’elle a fournis dans tous les
genres
. On a sur cet objet à consulter de bonnes Dissert
Théatre, il nous a paru à propos de donner ici épisodiquement sur ce
genre
de productions la notice historique que nous avon
-Varron, Pétrone, Apulée, imitateur de Lucien, furent féconds dans ce
genre
de productions. Les fictions romanesques avoient
s ne le composa que pour jetter un ridicule sur les productions de ce
genre
, dont sa Nation ne pouvoit se rassasier. L’Anglet
Calprenede 29, la Demoiselle Scudery 30, qui lui succéderent dans ce
genre
de productions, eurent la mal-adresse de choisir
toujours le vice en action. Cet Auteur, tout consacré qu’il fut à ce
genre
d’ouvrages, duquel il avoit eu le malheur de fair
lloit de brûler35. On exceptera toujours le Télémaque. C’est dans ce
genre
d’ouvrages celui qui est le plus intéressant tant
iété qu’on a de ce Prélat. Cette scene épisodique du Télémaque est du
genre
de ces Romans où l’on prétend qu’en représentant
ns sont ceux qui participent le moins à la corruption ordinaire de ce
genre
d’ouvrages, comme le disent Séneque & Martial
ersuadé que le Lecteur m’a prévenu, & qu’il a senti quel était le
genre
de musique qui méritait la préférence. Mais comme
le naturel & ce beau simple qui fait briller les Ouvrages en tout
genre
, pour n’être digne que de la seconde place dans n
uvrir une nouvelle raison des succès actuels de la musique du nouveau
genre
, & de ceux que lui promet un heureux avenir.
e que c’est que la Comédie-Bourgeoise. Ensuite on parle des différens
genres
que le Spectacle moderne a embrasse jusqu’à prése
res Théâtres : observations particulières sur tous ce qui concerne le
genre
de ces deux espèces de Drames. Combien d’Actes do
aire, qu’on doit s’éfforcer de copier dans un Drame, quelque soit son
genre
. Nous ne nous piquons pas d’éxceller dans le
ns la Comédie que dans les Poèmes tragiques. Les Poètes de ce dernier
genre
s’écartent presque toujours de la Nature, parce q
ain qu’on ne peut faire aucun reproche à ce sujet au Drame du nouveau
genre
. Il serait à souhaiter qu’il en fut aussi à couve
ses inutiles, de mauvaises plaisanteries, elles y sont amenées par le
genre
du Drame. Mais quelle vivacité ! quelle précision
s grecques ? Il serait à souhaiter que les Auteurs des Drames en tout
genre
eussent un Dialogue aussi vif, aussi serré.
Chapitre VII. Parallèle du Poème épique avec les Pièces du nouveau
genre
. J’ ai traité de tout ce qui concerne le Dram
en peu de mot ce que j’avance. Si la plus-part des Pièces du nouveau
genre
n’étaient point en Dialogue, elles approcheraient
que l’on voit dans l’Iliade & dans l’Odissée, sont assez dans le
genre
de notre Spectacle adoptif. On donne au Poème épi
La raison & la foi disent unanimement tous les supérieurs en tout
genre
, que leurs mœurs n’affoiblissent pas votre obéiss
er qu’une ou deux nouveautés, vous serez forcé de les prendre dans le
genre
qu’il nous plaira ; voulez-vous rire, nous voulon
e horrible, qu’il vient de donner, avance deux paradoxes, l’un sur le
genre
terrible qu’il dit être le seul vraiment tragique
re l’éloge de leurs ouvrages, commencent par donner des regles sur le
genre
qu’ils ont traité : ces regles auxquelles leurs é
qui ne connoit, qui n’estime que soi ; appeller son talent & son
genre
, le tragique par excellence, lui donner le privil
s, les histoires, ne sont-ils pas de vrais tableaux quoique de divers
genres
, & le fruit de divers talents ? Dans le genre
quoique de divers genres, & le fruit de divers talents ? Dans le
genre
sombre, terrible, affreux, les austérités de la T
s objets ne formeroient point de vrais tableaux ? Qu’il n’y a que son
genre
qu’on puisse appeller peinture ? La tragédie est
constances, &c. Tout cela ne forme que des sous-divisions dans le
genre
; mais n’est pas moins dans le genre du Tragique.
e que des sous-divisions dans le genre ; mais n’est pas moins dans le
genre
du Tragique. Les poëmes de Corneille, de Racine,
nt les seuls, on en rira : aura-t-on grand tort ? On lui dira, que ce
genre
, tout parfait qu’il le croit, plaira difficilleme
e seroit point goûté dans ces affreux climats, où les piéces & le
genre
de génie de Mr. Arnaud seroient très-analogues au
e tragique par excellence, le seul vrai tragique : le plaisir en tout
genre
est relatif au goût & au caractere ; musique
an de Réforme. 106 Il commence par des éclaircissemens sur les trois
genres
de Drames principalement en usage sur nos Théâtre
érieure. 141 5. On fait une digression sur l’Opéra, où l’on parle du
genre
propre à ce Spectacle. 145 L’Article premier de
nt. 398 La Note [E] est sur le Spectacle à la mode, & les autres
genres
du Théâtre de l’Hôtel de Bourgogne. 399 On dit u
les Farces & les Pièces satyriques. 440 La Note [Q] concerne le
genre
Parodique. 443 Enfin la Note [R], qui commence l
s, & l’estime qu’elle fait des chefs-d’œuvres Dramatiques en tout
genre
dont les Siècles de Louis xiv & de Louis xv l
’une Poètique sur l’Opéra-Bouffon. Que ne dirait-il pas au sujet d’un
genre
si goûté ? Nous y découvririons des beautés qui n
à l’Opéra-Bouffon, nous avons le bonheur d’inventer des Énigmes d’un
genre
nouveau, ou du moins de les remettre en crédit. C
on, dissipent agréablement la mélancolie & l’ennui. On appelle le
genre
d’Énigmes dont je veux parler Calembours ou Chara
artage de Sophocle, son successeur. Sophocle, heureusement né pour ce
genre
de Poésie, avec un grand fond de génie, un goût d
sentimens des hommes, qu’il falait émouvoir, vint inspirer un nouveau
genre
à Racine, lorsque Corneille commençait à vieillir
tateurs pour lesquels il écrivait. Corneille avait cependant connu ce
genre
, & sembla ne vouloir pas y donner son attache
surpassent en même-temps leurs Contemporains & les Anciens]. Le
genre
de Poème auquel Melpomène préside, affecte plus q
, un Prince contre lequel les Spectateurs étaient révoltés. Il y a un
genre
de Tragédie qu’on nomme Tragique-bourgeois. Il ar
é, pour les hommes en place, une source de prévarications de tous les
genres
. En fixant à un très-petit nombre les grands théâ
st de donner des leçons de morale et de vertus privées. Comme dans ce
genre
d’ouvrage on ne discute guere les intérêts des go
un prêtre fanatique à l’opprobre qu’il mérite8. Si la comédie est du
genre
héroïque, si elle représente des hommes d’une con
e de s’établir dans des quartiers ou des lieux particuliers ? 4°. Les
genres
doivent-ils être fixés ? 5°. Les pieces imprimées
it une action aussi ridicule que d’empêcher un spéculateur d’un autre
genre
d’exploiter une mine, sous prétexte que le filon
rs qui ne peuvent jouer que sur un seul théâtre, aux ouvriers de tous
genres
qui ne peuvent travailler que pour un seul théâtr
urra s’y opposer que dans les cas prescrits par la loi. §. IV. Les
genres
doivent-ils être fixés aux différens Spectacles.
ndre les auteurs et les musiciens à ne s’essayer que dans l’un de ces
genres
. Il auroit fallu, d’après ce principe, empêcher R
ave ; Destouches, le Rapatriage, etc. Enfin l’interdiction d’un seul
genre
ne pourroit se faire qu’en vertu d’un privilége q
se faire qu’en vertu d’un privilége qui attribueroit exclusivement ce
genre
à un seul théâtre ; ainsi elle porte par cela seu
Trois Noces, piece ornée de musique et de danses, qui réunit les deux
genres
de l’opéra et de la comédie italienne. Il faut co
oivent leur prouver que la nature ne les ayant point bornés à un seul
genre
de talent, tout privilége, qui les empêcheroit de
aître les talens des hommes de mérite qui travaillent dans le nouveau
genre
, tels que Messieurs Favard, Sédaine, Anseaume ? &
; en engageant enfin tous ceux qui voudront écrire désormais dans son
genre
, à ne se permettre aucune liberté. S’il m’était é
arler de la tragédie : car ce qui nous reste des anciens païens en ce
genre
-là, (j’en rougis pour les chrétiens) est si fort
trop émue pour de légers sujets. La tragédie a donc tort, et donne au
genre
humain de mauvais exemples lorsqu’elle introduit
les autres Poèmes. A Près avoir prouvé que les Poèmes du nouveau
genre
éxigent des soins de la part de ceux qui travaill
surpasser. Il faut posséder autant de savoir pour travailler dans son
genre
, que pour écrire une Tragédie. M. Quétant, si con
ce, le Maître et le vrai modèle de tous ceux qui se sont adonnés à ce
genre
d’écrire. Quelle autorité sur cette matière plus
galement opposés ; les uns sans aucun examen condamnent absolument ce
genre
d’écrire comme contraire aux bonnes mœurs. Les au
ppelé de trop loin. Il a fallu, ce me semble, pour imaginer un pareil
genre
de divertissement, que les hommes en eussent aupa
r ; dans Catilina, le mal que l’abus des grands talents peut faire au
genre
humain ; dans Médée et dans Atrée les effets abom
s Tragédies ont manqué leur objet ; c’est la faute du Poète et non du
genre
; vous trouverez des Historiens même qui ne sont
l’histoire ? Rappelez-vous, Monsieur, un de nos chefs-d’oeuvre en ce
genre
, la Conjuration de Venise j de l’Abbé de Saint Ré
et non la correction de nos vices qui demande des remèdes d’un autre
genre
. Mais son effet n’est pas pour cela de nous faire
qu’il sent qu’Oronte veut être loué, et que dans des bagatelles de ce
genre
on ne doit la vérité qu’à ses amis, encore faut-i
es animé contre la Comédie, ne vous permet pas de faire grâce à aucun
genre
, même à celui où l’on se propose de faire couler
ux bonnes mœurs, mais comme insipide et ennuyeux que vous attaquez ce
genre
. Dites, Monsieur, si vous le voulez, qu’il est le
lever le droit de nous attendrir ; il me semble au contraire qu’aucun
genre
de pièces n’y est plus propre ; et s’il m’est per
a bien plus de droits à nos larmes. Ce qui me paraît blâmable dans ce
genre
, ou plutôt dans la manière dont l’ont traité nos
e sage s’écriait autrefois, « où trouvera-t-on une femme forte ? » Le
genre
humain serait bien à plaindre, si l’objet le plus
n qu’ils connaîtront mieux les véritables sources de leur bonheur, le
genre
humain doit gagner à s’instruire. Si les siècles
nsoler dans nos peines : pourquoi refuser à la plus aimable moitié du
genre
humain, destinée à partager avec nous le malheur
Au reste, c’est à vos compatriotes seuls à juger de ce qui peut en ce
genre
leur être utile ou nuisible. S’ils craignent pour
tions Voisines n’épargnent pas le Spectacle dans leurs Pièces en tout
genre
, qui sont un peu moins correctes que les nôtres.
r le coup qu’on lui porterait peut être. Chez les Anciens, chaque
genre
de Spectacle avait sa décoration particulière.
s Théâtres des Anciens avaient chacun des décorations analogues à son
genre
. Vitruve nous l’apprend en termes formels : « La
ne vérité : mais, prenons la plus mauvaise de toutes les Pièces en ce
genre
, & choisissons-la nouvelle ; le Tuteur-Dupé,
re par soi-même : devenu père-de-famille, je devais acquérir tous les
genres
d’expérience : j’ai donc été au Spectacle, pour s
s a cessé ; & nous commençons, quant à l’autre, à mieux penser du
genre
humain : nous avons permis, nous avons fait une l
bien la vôtre, mon frère. Des Tianges. Passons aux Comédies : ce
genre
de Drame, si différent de l’autre, pour la forme
nt ici généralisés, on ne sait pourquoi : ce qu’on applique à tout le
genre
Comique, n’est vrai que des Pièces où l’on emploi
s amusemens variés à l’infini ; ils peuvent s’en procurer de tous les
genres
; le Peuple n’a guères à choisir : les Spectacles
t pas obligé de le connaître comme monsieur D’Alzan. Vos idées sur le
genre
de Tragédies à préférer ; vos Couronnes pour la T
ignes que du neuvième rang. Vous voyez, par la dixième Classe, à quel
genre
de Comédies je laisserais la dénomination de Comi
nd-on d’utile à l’Ecole-des-femmes, & à toutes les Comédies de ce
genre
? quel était le but de leurs Auteurs ? Comme l’a
efficace pour que nous n’ayions que très-rarement des Pièces dans les
genres
les moins estimables. Honorine. Vous conserv
s que vous approuvez les Spectacles, d’où vient n’admettre ce nouveau
genre
qu’avec répugnance ? Vos Moissonneurs, durant six
vous avouerai, que j’avais encore un autre motif. J’ai desaprouvé ce
genre
de Drames : je répugnais à mettre les fadeurs de
dans peu la République aurait eu des Auteurs qui vous eussent créé un
genre
nouveau, & propre pour elle ; vous auriez san
uquel une automate qui lui ressemblerait, eût également donné le seul
genre
de plaisir qu’il soit capable de goûter ? Le vrai
nsieur Rousseau ! monsieur Rousseau ! il fallait du moins suggérer ce
genre
de Spectacle à vos Genevois. Adelaïde. Les D
ur D’Alzan ? vous m’avez dit, que c’était des Notes sur les différens
genres
de Spectacles. Des Arcis. Je serai votre Lec
es, avant ou après les Spectacles, & le nom peut en être resté au
genre
Dramatique ; mais ni l’un ni l’autre de ces deux
s temps de simplicité, commencèrent à former lentement les chaînes du
genre
humain. L’admiration qu’on eut pour les Prêtres,
ination, les hommes doivent avoir négligé les véritables rapports. Le
genre
humain est donc presqu’idolâtre : l’hommage au li
satyriques de Thespis ; les Grecs avaient un terme, pour exprimer ce
genre
de chant ; il s’appelait Κωμῳδια (chant rustique
: il ne pouvait choisir celui de Comédie, trop éloigné d’exprimer le
genre
de son Ouvrage : il trouva que celui de Tragédie,
levé le Drame satyrique sur des tréteaux, ils prirent pour le nouveau
genre
, le nom qu’Eschyle avait dédaigné. Voila donc la
dans le centre de la politesse, ne donna d’abord, en suivant le même
genre
, que d’indignes Satyres, où les gens de bien étai
mule Euripide ; aux Comiques Cratinus & Eupolis, qui suivirent le
genre
d’Aristophane ; enfin à Ménandre, à Dyphille, à P
dans toute l’Italie, puis a Rome par la Jeunesse, forment le premier
genre
de Comédies connu dans cette contrée. Lorsqu’en 3
: le goût que Pylade, & Bathylle inspirèrent aux Romains pour ce
genre
frivole, tint de la fureur, & ne peut mieux s
la, les Heliogabale ; comparés à vous, ces tygres déchaînés contre le
genre
humain n’étaient que des méchans ordinaires. Vos
ôt elle est étouffée par la Farce : des Thespis modernes inventent un
genre
burlesque & satyrique1. Antoine Faydit donna
onnable : un seul homme devint ainsi le Père du Théâtre dans les deux
genres
. D’autres Dramatistes, que j’ai nommés plus haut,
toute espèce d’amusement, de Spectacles, & les Drames de quelque
genre
qu’ils soient, le Chrétien raisonne conséquemment
cupe des moyens d’être utile à ses semblables : le second, compose le
genre
humain ; il est le corps dont la Noblesse doit êt
cherchons les moyens de la tarir : ce sera, je crois, bien mériter du
genre
humain. Si les Censures étaient levées ; que les
ndre aussi à l’Ariette même ; car souvent les Accompagnemens & le
genre
de la Mélodie nous la rendent inintelligible. Il
r aux Français, dans les entre-Actes, des morceaux de musique dont le
genre
est à peu près semblable à celui de la Pièce repr
ourtant vrai que les duo sont supportables dans les Poèmes du nouveau
genre
. La gravité des personnages que l’on y fait agir,
ion, faire passer en revue tous les Auteurs qui ont travaillé dans le
genre
comique ; mais j’espere que le Lecteur me pardonn
plus illustré la scène comique ; ceux qui ont travaillé dans le même
genre
, bien loin de l’avoir surpassé, ne l’ont imité qu
art toutes les Comédies de Moliere, qui quoique très-bonnes dans leur
genre
, n’attaquent aucun vice essentiel, & n’offren
est ennemi des hommes : ce n’est pas seulement en déclamant contre le
genre
humain, qu’il dévoile son caractere, c’est par se
essaires au Poème dramatique. A près avoir parcouru les différens
genres
qui ont quelque rapport au Spectacle moderne, voy
érieuses ; mais depuis quelque tems, tout ce qu’il éxécute est lié au
genre
& même au sujet de la Pièce représentée, auta
rofondes réfléxions m’ont conduites à penser différemment. Que le
genre
de l’Opéra-Bouffon veut que ses Pièces soient trè
raîtront plus piquans, en restant moins sous les yeux. D’ailleurs son
genre
primitif, & peut-être le seul qui lui soit vr
lle, parurent sous le règne de ce Prince, qui aimait passionnément ce
genre
de Spectacle. Je n’ignore pas que les Danses des
de la Comique & de la Satyrique, & se distingua dans tous les
genres
. Bathylle, son élève & son rival, n’eut sur P
, leur fit négliger la bonne Comédie. En effet, on vit depuis le vrai
genre
Dramatique déchoir insensiblement, & bientôt
autre profession, que celle d’écrire pour le Théâtre. Entre tous les
genres
de Poésie, celui qui demande particulièrement un
s Règlements d’une bonne Police. Quel ouvrage d’esprit, et quel autre
genre
de Poésie pourrait-on imaginer qui fût plus utile
. Je crois que, pour y parvenir, il serait à propos de renouveller ce
genre
de Comédie inventé par les Grecs, qui, se renferm
langage et la perfection de ses tableaux. Molière, le régénérateur du
genre
comique, et le contemporain de Racine, conserva s
u glaive des lois. Ce sont sans doute les motifs qui font préférer ce
genre
extraordinaire à nos chefs-d’œuvre et aux tragédi
t sanglant. Cette préférence prouve au moins l’influence d’un mauvais
genre
sur le goût du public. Et pour peu qu’il fût susc
e un moyen de perversion. Examinons si dans les spectacles d’un autre
genre
nous trouvons plus de déférence pour les mœurs.
morale. Ainsi que cette réunion distinguée d’hommes célèbres en tout
genre
, ainsi que tous les hommes jaloux de la gloire na
Pourquoi l’on ne fait guères attention au stile des Pièces du nouveau
genre
. J’ai long-tems réfléchi sur une telle bisare
e de rapporter les endroits les plus mal-écrits des Pièces du nouveau
genre
. Peut-être que si je passais sous silence les
rases, les passages qu’on critique le plus dans les Poèmes du nouveau
genre
, parce qu’ils sont en éffet mal tournés, trivials
ombent presque toutes sur les ouvrages d’un seul Auteur. C’est que le
genre
que cet Auteur embrasse lui fait faire souvent de
s que je leur compare. Les prémïers travaillent ordinairement dans un
genre
simple & naïf ; les autres n’ont composés que
ns un genre simple & naïf ; les autres n’ont composés que dans le
genre
noble & sublime. Une faute d’éxpression ou de
devenu tranquille, produisit des chefs-d’œuvres de poésie, mais d’un
genre
étranger à la représentation. Roscius, acteur cél
rai au figuré comme au physique, & peut s’appliquer aux différens
genres
de Spectacles. Les Grecs ont eu des Spectacles, o
rien fait de plus. On s’amuse à de vaines dissertations dans tous les
genres
de littérature, Romans, Histoires, Comédies, Oper
oit que l’on n’a point encore eu jusqu’à présent une juste idée de ce
genre
. Des divinités célestes ou infernales, suspendues
nt tout le canevas de ce spectacle, & l’on finit par attribuer au
genre
tous les défauts du poëme & de la musique. Ce
est un monologue. Ceux qui nous ont précédé & qui ont imaginé ce
genre
de spectacle, semblent l’avoir mieux connu. C’est
les changemens de décorations à la comédie. On confond ainsi tous les
genres
. Les Lettres, après avoir été portées à un degré
premier Ecrivain du siecle, qui, pour avoir voulu embrasser tous les
genres
de littérature, n’a été le premier dans aucun, ju
sans regle : mais cela est absolument étranger à la distinction d’un
genre
de poésie à l’autre, & à la différence qu’il
les, &c. (a). On doit entendre ici la belle pantomime, dans le
genre
du Spectacle de Servandoni, donné aux Thuilleries
ures ; la manière & le faire honorent l’Artiste, quel que soit le
genre
qu’il ait adopté. II. Les Théâtres de Marionnett
à nos Foires & sur les Boulevards des merveilles de l’art dans le
genre
automatique ; tels étaient, il y a quelques année
s Acteurs qui décideront, d’après les dispositions des Sujets, à quel
genre
ils devront s’appliquer, & qui prescriront à
rovince, sans autre condition que de renvoyer des Eléves dans le même
genre
pour les remplacer. Mais ceux qui ne feraient pas
Vieillard dans le Tragique, dans le Haut-comique & les Drames du
genre
moderne. Dans ses dernières années, la nature le
bégayez moins. 61. D’AUBERVAL, 1761 : les seconds rôles dans les deux
genres
: son Jeu quelquefois est senti : mais sa démarch
rôles de Soubrette, avec cette facilité, cet enjoûment propres à son
genre
. 36. HUS, 1753 : Elle joue les Amoureuses ; &
tre de la Réformation, soit Tragédies, Comédies, ou autres de quelque
genre
que ce puisse être, la passion d’amour, telle qu’
sévèrement les plaisanteries, et surtout les équivoques d’un certain
genre
, qui ne percent pas aisément à la lecture, mais q
défendu d’ouvrir le Théâtre, ni de donner aucun Spectacle, de quelque
genre
que ce puisse être, les jours de Fêtes et de Dima
la Tragédie selon ce Philosophe ? Semblable en ce point à tout autre
genre
de Poësie, c’est une Imitation de la nature. Mais
i dans cette réflexion une nouvelle source du goût que l’on a pour ce
genre
de Poësie. On n’a pas de peine à comprendre qu’i
ues & des actions magnanimes font naître dans notre ame. C’est le
genre
du plaisir qui domine le plus dans les Pieces de
se trompe donc pas lorsqu’il lui donne la gloire d’avoir inventé un
genre
de Tragédie inconnu à Aristote, où, sans s’attach
ement. C’est enfin, parce que rien ne nous charme davantage dans tout
genre
de plaisir, qu’un mêlange & une combinaison p
temps, que l’homme a souvent des goûts contraires qui ont chacun leur
genre
de volupté, & que l’adresse du Poëte consiste
la vérité, plus étendue, plus ornée que celles d’Esope, mais du même
genre
& qui avoit le même but, c’est-à-dire, d’empl
c’est Emilie, c’est Maxime, c’est Auguste ; & de-là vient que ce
genre
d’imitation a un si grand avantage sur celle qui
onsens très-volontiers que l’on y ajoute encore un plaisir d’un autre
genre
, qui est indépendant de la représentation, &
est par l’imitation même que le Poëte Tragique prépare ces différents
genres
de plaisir. Il est vrai que tout l’art & tout
la Farce la plus amusante : celle-ci peut être aussi parfaite en son
genre
que la Tragédie dans le sien : le mérite de l’imi
les sont non expressa quidem sed adumbrata signa affectuum . Mais le
genre
de l’impression est le même, si le degré en est d
style, n’en est pas moins un ouvrage utile & même estimé dans son
genre
: c’est un diamant mal enchassé. Quelque savants
mplissent pas cet objet, on doit l’attribuer aux Auteurs & non au
genre
de ces Piéces. Quant aux autres espéces de lecteu
de choses. Ses pieces où il y a le plus de Poësie, sont celles de ce
genre
. On ne mérite le titre de grand écrivain, que par
plus judicieux que sublimes. Les meilleurs d’entr’eux, écrits dans le
genre
didactique, demandoient plus de jugement & de
observer des loix dont on s’écarte chaque jour dans des Ouvrages d’un
genre
encore plus relevé ? d’ailleurs, il rachète bien
inguer de la foule : les plus grands Auteurs qui travaillent dans son
genre
, oublient bien-tôt les sages préceptes d’Aristote
Scènes sont défectueuses, est si considérable, qu’on s’imagine que le
genre
adopté par le nouveau Théâtre, ne demande pas un
mes du grand Corneille serviront aussi d’éxcuse aux Poèmes du nouveau
genre
: il me suffira de prier le Lecteur de se rappell
on. L’Unité de lieu se trouve rarement dans les Drames du nouveau
genre
. Je ne puis dissimuler pourtant que cette Uni
sans doute, de ce qu’on craindrait d’ennuyer, si l’on ne soutenait ce
genre
de Pièce par un grand Spectacle. C’est bien peu c
nt. Si l’on formait les Opéras-Bouffons, & les Drames en tout
genre
, sur un modèle aussi beau, on les regarderait ave
e que je dis ici du Maréchal se rapporte à cent autres Poèmes du même
genre
. L’amour des personnages subalternes gâte les
e qui casse son pot au lait. Vous m’avouerez que cette Pièce est d’un
genre
tout-à-fait nouveau. Les Anciens ni les Modernes
les afflictions. S’il ne fut pas l’inventeur du Dramatique Pastoral,
genre
très-inconnu aux Grecs, il dut paroître du moins
& son esprit, sut éblouir toute l’Europe. L’Italie prit goût à ce
genre
Dramatique : un Michelagnolo mit sur le Théâtre u
it goût à ce genre Dramatique : un Michelagnolo mit sur le Théâtre un
genre
encore plus champêtre. Sa Piéce intitulée Fiera,
escembeni une belle & ingénieuse invention. Le goût de ce nouveau
genre
Dramatique & surtout le goût des Piéces en Mu
ité, ainsi que par ses Piéces de Théâtre, qu’il ne connoissoit pas ce
genre
de Poësie. Il brilla par plusieurs autres Ouvrage
comédiens de religion et de vertu. Il y a des tartufes dans tous les
genres
, et tous sont profondément corrompus. Il en est q
ans cet ouvrage ? Je vais enfin ajouter ici d’autres exemples du même
genre
qui viennent à l’appui de ce que j’ai avancé. N’e
damment de l’espionnage légitime de la police. Il est encore un autre
genre
d’espionnage très étendu. C’est une espèce de com
oups de milliards. Cette dernière expression n’a-t-elle pas aussi son
genre
d’éloquence ? Il faut le demander à ce brillant é
moins ambitieux, aspirèrent également, mais en vain, de parvenir à ce
genre
de monarchie idéale. Napoléon, ce souverain impr
olutions anarchiques, accompagnées d’attentats et d’atrocités de tous
genres
. Le pouvoir absolu, ennemi irréconciliable de la
’Opéra-Bouffon doit imiter la Nature. La raison en est simple. Le
genre
qui lui convient ne renfermant aucune apparence d
. Que le Beau naturel est rare de nos jours. Démontrer que le
genre
du Théâtre moderne est de réunir la Vérité &
raisons qui le déterminent à jouir du spectacle, sont d’un tout autre
genre
. Ce n’est guére que pour y voir le jeu d’un Acteu
pour les pensées, soit pour l’expression. Les sujets sont-ils de même
genre
? Les circonstances n’en sont pas. Sont-ce les ci
de jouer souvent les mêmes piéces, ou d’étudier des ouvrages de même
genre
. Il leur faut des efforts continuels pour remplir
rtain tour qui les rendent dignes du Théâtre. Notre Opéra est le vrai
genre
de la Bouffonnerie, j’en conviens ; & pourtan
ait inutile de souhaiter qu’on bannisse l’amour des Poèmes du nouveau
genre
, puisque sans l’amour nous ne sçaurions faire de
est persuadé de l’importance de cette règle, qui tire son origine du
genre
même du Théâtre-moderne ; chaque jour on la met e
l Ulysse chanté dans votre charmante Iliade, aussi excellente dans le
genre
comique, que celle du Poète Grec dans l’Héroïque,
utenu jusqu’au dernier vers. Peut-on trouver dans aucun ouvrage en ce
genre
, rien de si délicatement imaginé, et de si heureu
ieux et théologiques ; il en paraît tous les jours d’excellents en ce
genre
, et dont la plupart ne sont point lus par ceux po
l’esprit, des choses réelles ou feintes : voici comme on envisage ce
genre
de plaisir. « L’homme est né spectateur ; l’appa
es prisons, offrent une perspective des plus ignobles. » De tous les
genres
de Spectacles en usage chez les Anciens, il ne no
rs, ou des Farces indignes du nom de Spectacle). C’est cette unité de
genre
, que nous avons adoptée, qui paraît être la princ
s-unes des Loix civiles ! La forme de nos Spectacles consiste dans le
genre
du Drame, le jeu des Acteurs, & dans la Musiq
ont le but n’est que de divertir, & que je nomme Comédies dans le
genre
inutile ; sans doute on le doit ; & je suppos
ement de nous plaire & de nous corriger, mais d’embellir tous les
genres
d’expression de l’espèce humaine ; puisqu’aussi b
jouer de tout. Les romans et les comédies, tout frivole qu'en est le
genre
, ne suffisent pas ; il faut y choisir tout ce qu'
les pensées sont du ressort de l'esprit, surtout la tragédie, dont le
genre
est noble. Mais réduite à sa juste valeur, quel e
es rôles sont nécessaires à la pièce. Il est vrai, et voilà le mal du
genre
dramatique ; il met dans la nécessité de donner d
e sur la scène et Molière en chaire révolteraient également. Ces deux
genres
sont essentiellement différents : la chaire se dé
bre de Pièces, qui suffiront cependant pour donner une idée des trois
genres
différents, sous lesquels les Drames de tous les
le Public, j’ai dit librement que les Modernes, dans presque tous les
genres
de Littérature et de Sciences, avaient secoué le
tées & même surpassées. Ce livre a paru depuis. Il n’y a point de
genre
de littérature où l’on ait plus mal écrit, &
en de comparable avecceluide Corneille & de Racine ? Chacun a son
genre
qu’il ne faut point changer. Moliere est plus har
p; Moliere triomphera. Il est si vrai qu’on ne doit pas confondre les
genres
, que personne n’est illustre hors du sien ; sur-t
au-dessous du médiocre. Voltaire est le seul qui ait traité plusieurs
genres
avec succès, quoique fort inégal. Chacun a ses ta
re ; ils sont ailleurs déplacés. On ne réussit pas même dans tous les
genres
de drames. Zaïre est fort au-dessus de Nanine, &a
c’est la chose même. Les Napolitains ont beaucoup de passion pour ce
genre
de comédie. C’est un très-mauvais goût, parce que
& ne vient au théatre que dans ces vues. Il s’en faut bien que le
genre
tragique, quoique plus sublime, soit aussi goûté.
pour y parvenir, détruisent les meilleures choses dans tous les trois
genres
, animal, végétal & minéral, aujourd’hui même
il n’étoit pas si décrié, il ne fut jamais Tabarin ; il avoit en son
genre
autant & plus d’esprit & de génie. Ses Fa
sserent jusqu’à être des Comédiens, le valoient bien, chacun dans son
genre
. Un caractere rêveur, sombre, misantrope, fait-il
ens une véritable joie de ce qu’ils sont chez nous imparfaits en leur
genre
. Languissans, fades, doucereux, comme les romans,
ion, l’humilité une bassesse, la stérile chasteté l’anéantissement du
genre
humain. Les vertus du Prélat sont des vertus phil
nce, & créer en elle un monde, tout ce qu’il a conçu en faveur du
genre
humain, & pour cela il y imprimera les traits
commun, il finiroit tout. Il est de l’humanité de ne pas anéantir le
genre
humain. Le célibat volontaire, qui par une stéril
ps de bâton cette imitation parfaite ? On blâme le comique larmoyant,
genre
mixte entre la vraie comédie de Moliere & la
ses successeurs. Cela n’est pas toujours vrai ; on peut avoir en tout
genre
des successeurs très-médiocres, & être très-m
oltaire auroit bien dû excepter la divinité que rien n’égale en aucun
genre
; mais sa balance n’est pas toujours juste. Témoi
Moliere dans le dramatique, mais très-supérieur dans tous les autres
genres
de poësie, si même on peut être appellé supérieur
neries. Il a ouvert la carriere & l’a fermée. Il n’y a rien en ce
genre
avant lui ni après lui. C’est du trenchant, du so
Roi ; ils sont bien savants, & font une foule de savants en tout
genre
. N’auroit-on pas fait composer ce programme à que
elques gens de lettres. C’est quelque amateur du théatre, aucun autre
genre
de savant ou de littérateur, ne s’est occupé de l
d’une aveugle estime d’eux-mêmes, & d’un souverain mépris pour le
genre
humain. Analisons ces productions, dont on a réga
? Le Lieutenant de la police de Rouen & de Paris, qui connoît le
genre
de gloire qui s’y distribue, & à quel genre d
Paris, qui connoît le genre de gloire qui s’y distribue, & à quel
genre
de combattans, doit rire en apprenant à quelle ma
re sur l’horison. Ce Roi de l’opinion, dont l’éloquence a persuadé le
genre
humain. C’est une absurdité, les opinions de Volt
gite à une bonne table pour réveiller l’appétit, a produit un nouveau
genre
, le comique larmoyant, qui semble tenir aux mœurs
l’est quelquefois, Racine peu, Moliere jamais. Ce n’est pas même son
genre
. Le ridicule n’est pas sublime, quelque finement
un Comédien ne s’estime pas médiocrement. Le fameux Baron, qui en son
genre
valoit Moliere, ne vouloit pas recevoir les ordon
sez naïvement : La nature a prodigué d’excellens hommes dans tous les
genres
; il n’y a eu sur la terre que deux grands hommes
le beau siecle de Louis XIV, sur les hommes supérieurs même dans les
genres
de pur agrément. Ils influent plus qu’on ne pense
-vingt pour le croire. Que restera-t-il donc à Moliere, qui dans son
genre
vaut bien Corneille ? N’en soyez pas inquiet, les
, en feignant une extrême pudeur. En un mot, il paraît s’être fait un
genre
de l’indécence ; ses dernières Pièces sur-tout me
s yeux, leur auraient montré l’importance d’une vive sortie contre le
genre
plus que galant. Le Théâtre des Anciens respe
ames ? je répondrai, que l’idée peu avantageuse qu’on s’est formée du
genre
de notre Spectacle, en est la véritable cause. On
les il n’éxisterait plus. C’est être furieusement dans l’erreur ! son
genre
, loin d’être si méprisable, est de former une esp
propos de rapporter quelques endroits indécens des Pièces du nouveau
genre
. Je vais en faire passer un petit nombre sous les
relâche, Ni la nuit ni le jour. A chaque ligne on est averti que le
genre
de cet Opéra Bouffon respire la volupté, l’amour
mérite de mépris et de haine tout homme qui abuse, pour le malheur du
genre
humain, des talents que lui donna la nature ! «
soupirant de ruelle, Titus, le bienfaiteur du monde et les délices du
genre
humain. Qu’en pense le même spectateur après la r
ge. Il dit, à la vérité, qu’il a conçu une haine effroyable contre le
genre
humain, mais la raison qu’il rend de cette haine
s autres. S’il n’y avait ni fripons ni flatteurs, il aimerait tout le
genre
humain. Il n’y a pas un homme de bien qui ne soit
ison bien fermée, verraient voler, piller, égorger, massacrer tout le
genre
humain sans se plaindre, attendu qu’ils sont doué
us retenus par l’espoir d’une juste admiration, ambrassérent d’autres
genres
. Si quelques-uns cédérent à leur penchant ; ils s
décadence du Théatre. Doit-on s’étonner que ceux qui s’adonnent à ce
genre
périlleux, prennent presque autant de soin de gag
universel de la sagesse, le thrône des mœurs, & un lien sacré du
genre
humain. Paroissez dans ce siécle que vous avez éc
s Indiens savoient distinguer, (ce que nous avons longtems ignoré) le
Genre
noble & sérieux, du Genre bas & bouffon ;
(ce que nous avons longtems ignoré) le Genre noble & sérieux, du
Genre
bas & bouffon ; ils ne faisoient point un mél
idèle, sont-ils des personnages formés de la main des actrices ? Quel
genre
de littérature y apprendrez-vous. Thalie fait-ell
en loin de donner, on n’observe aucune règle de versification. Chaque
genre
de poésie à sa muse, dont le théâtre n’ambitionne
sa muse, dont le théâtre n’ambitionne, ni ne ménage les faveurs. Le
genre
dramatique , dit Fréron, est la maladie à la mode
ge l’emportera sur une brochure. Que sera-ce quand, à la frivolité du
genre
, à la médiocrité du mérite, on joindra comme au t
d’un père. Il avait un frère poëte comme lui, mais qui composa en des
genres
plus utiles des ouvrages de tout un autre prix, q
i d’une voix unanime condamnent dans tous les orateurs, dans tous les
genres
, et même dans la société, la prononciation du thé
sont nécessaires dans la pièce. Il est vrai, et voilà le désordre du
genre
dramatique : il impose la nécessité de composer e
ue sur la scène, Molière en chaire, révolteraient également. Ces deux
genres
sont essentiellement différents ; la chaire se dé
ut bien distingué ce qui concernoit-les différens caracteres des deux
genres
de la Poësie Dramatique, on songea à ce qui conce
par des Parodies dans le goût des nôtres ; les Poëtes chercherent un
genre
de Poësie destiné à faire rire, qui fût plus régu
en devint que plus fine. On croit qu’Aristophane fit des Piéces de ce
genre
. Dans ses Harangueuses cependant, Piéce jouée apr
vases, les ébranlât suivant leur consonance, qui étoit reglée sur les
genres
, en harmonique, chromatique, & diatonique, ce
nouvelle fut sans Chœurs. Plusieurs Poëtes réussirent dans ce nouveau
genre
: mais la gloire de Menandre couvrit de ténebres
ans cette donation, qui, si je ne me trompe, serait la première de ce
genre
, c’est d’offrir un écrit de peu de valeur, si on
uvrage, pour l’avoir oublié ; aussi n’omet-on rien d’essentiel sur ce
genre
brillant de Spectacle. L’on éxamine ensuite se le
ve, en faisant un rapprochement entre cette pièce et d’autres du même
genre
. J’en prends pour exemples deux ou trois du même
duite opposée à la sienne, cessez de déclamer contre la corruption du
genre
humain, trouvez-la supportable, familiarisez-vous
ou des raisons trop puissantes d’intérêts particuliers ; soit par le
genre
ou la dépendance des états ; soit enfin par la di
uccès les meilleures actions. Pendant cette nouvelle fermentation, du
genre
de la première, quoique moins grande, la voix d’u
matiere de littérature, l’excès est aussi funeste qu’en mille autres
genres
. Ut omnium rerum sic litterarum intemperantiâ la
es. On ne peut s’appesantir sur la théorie sans priver la nation d’un
genre
de beautés plus utiles. Elle regarde les discutio
’assez basse farce. Ses Tragédies en musique lui ont fait honneur. Ce
genre
inconnu aux Anciens, & à qui elle a donné l’ê
que. Il n’y a guère de Nation qui le dispute aux Grecs, dans tous les
genres
, comme les François. On ne doit point craindre d’
, dit qu’il ne sçait quel nom donner aux fautes qui sont le charme du
genre
humain. Je ne crois pas qu’il nie que ces fautes,
pres talents. Quand ils auroient fait plusieurs bonnes piéces dans le
genre
simple, les succès qu’ils y auroient obtenus leur
lle leur fasse souvent répandue des larmes. Parcourons les principaux
genres
de Drames qu’on voit au Théâtre, & commençons
tristes qui nous affligent. Il est donc naturel que l’on chérisse un
genre
de Drame qui console en même tems qu’il réjouit.
utile, vraiment ! il formera bien la Jeunesse ! Quelle fadeur ! quel
genre
méprisable !
cite deux pages après). Vade est l’inventeur, du moins le coriphée du
genre
poissard (découverte admirable, glorieuse au siec
t, c’est que l’on étoit prévenu qu’une liberté cynique constituoit ce
genre
, & en étoit le caractère distinctif (quelle h
honte & quelle perversion, de s’appliquer de propos délibéré à un
genre
dont le caractère distinctif est une liberté cyni
un si gros sel, ce n’est pas par respect pour les mœurs, c’est que le
genre
même l’exclud ; les Princes, les honnêtes gens ne
’en défendre. En tenter la réforme, ce seroit le détruire ; c’est son
genre
, son caractère distinctif, comme les grosses gaie
Chapitre VIII. De la Mascarade. C’ est un
genre
de Spectacle, qui ne consiste qu’en une seule &am
être regardée, convoiter ou se plaire d’être convoitée, c’est un même
genre
de péché : Videre et videri velle, est ejusdem li
articulier, le seul effet que peut produire un bon ouvrage d’un autre
genre
. IV. Un Gouvernement équitable encourageroit tout
la marche de Voltaire ? Il a parfaitement connu la majesté de ce beau
genre
de Poésie. Dans Mérope & dans Oreste, il a tr
t pas qu’on avoit fait, il y a plus d’un siècle, des tentatives en ce
genre
. J’ai choisi, pour mon coup d’essai, le sujet, j’
l sur cet écrit, s’il se trouve des personnes bien convaincues que ce
genre
d’ouvrages ne seroit pas moins utile qu’il seroit
ur inspirer sans cesse une nouvelle horreur, pour armer sans cesse le
genre
humain contre des fléaux dont le germe est toujou
un dénouement romanesque. Je serai toujours persuadé que le but de ce
genre
si important est de faire aimer la vertu, les loi
améliorées ! Comparez les temps et jugez ; vous verrez que plusieurs
genres
de tartufes ont disparu, à la vérité ; mais parce
rd’hui en commun avec toute une corporation, quelquefois avec tout le
genre
humain. Elle aurait encore l’effet salutaire de p
es dans toute l’Europe, qui appliquent leurs soins presque à tous les
genres
d’instruction, qui se chargent de l’éducation et
rage plus efficacement qu’on ne peut le faire aujourd’hui, surtout le
genre
de spectacles convenable à toutes les conditions
lois sur la liberté de la presse. Ils verront que les auteurs de tout
genre
, lorsqu’ils sont connus, sont seuls responsables,
régulière des maîtres et des établissements particuliers de tous les
genres
qui, d’ailleurs, réunissent dans leurs nombreuses
le Comte de Commenges, qu'on prétend donner pour modèle d'un nouveau
genre
de drame, le sombre pathétique. Tous les Journaux
losophe Italien Bernardin Teletius, qui ne donne qu'une âme à tout le
genre
animal, dans son livre que le concile de Trente a
ias. « Et qui prêts à brûler des plus coupables feux, Morts pour le
genre
humain pensent vivre pour eux. » Le Clergé sécu
rdé la palme académique de Docteur, Le Comte de Comminge est, dans le
genre
sérieux, un second Tartuffe (bien inférieur au pr
ligion, la morale, les bons effets, inviter l'Auteur à se livrer à ce
genre
de poésie, regretter que cette pièce ne soit pas
le branche de l'art dramatique, qui en étend la sphère par un nouveau
genre
de pathétique qu'on appelle le sombre tragique, c
de bons éleves qui ne se soient distingués par des compositions de ce
genre
. Sortis du Collége, ceux d’une condition plus rel
convenoit à une Actrice, & un plus brillant, mais moins dans son
genre
. On lui donna le choix néanmoins, on la pressa pl
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