/ 271
1 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IV. » pp. 68-81
ient que ces circonstances étoient incompatibles avec la pureté de la foi qui abhorre le culte des fausses divinités, avec
ement à confondre les objets de l’idolâtrie ancienne & ceux de la foi présente, avec cette différence, que les premiers
te partie des Lettres, a fait tomber en décadence la simplicité de la foi  ; c’est depuis cette époque fatale à la Religion,
lui, persuadé que l’on m’en croira volontiers sur ma parole. Mais la foi de Corneille & de Racine n’a jamais été suspe
ur dramatique sacrifie tout & la raison & la probité & la foi , à la satisfaction d’éclore une prétendue belle p
ns. Le danger n’est pas moindre pour la pureté des mœurs, que pour la foi chrétienne ; en attendant la démonstration que je
2 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VI. Les spectacles produisent et favorisent l’incrédulité. » pp. 86-89
ux qui professent celle-ci de bonne foi. Corneille et Racine, dont la foi n’a jamais été suspectée, et qui même ont eu, dit
de maximes blasphématoires, et ont sacrifié la raison, la probité, la foi , à la satisfaction d’éclore une prétendue belle p
siblement à confondre les objets de l’idolâtrie avec les objets de la foi chrétienne. Voilà une des sources du déisme, qui
tte partie des lettres a fait tomber en décadence la simplicité de la foi . C’est depuis cette époque que les incrédules se
3 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE III. » pp. 29-67
ecclésiastique suppose toujours un délit : Or, on péche ou contre la foi , ou dans l’ordre des mœurs ; l’Excommunication es
le seul fait, mais lorsque les premiers ont renoncé publiquement à la foi , & les seconds, dès qu’ils sont dénoncés, sel
communication est de droit annexée. Il est donc possible de perdre la foi en demeurant uni au corps de l’Eglise, & d’êt
e, & d’être retranché de ce corps, sans que l’on ait renoncé à la foi . Tout homme qui nie en sécret une vérité revelée
roit d’être enfant de l’Eglise, conservant néanmoins l’habitude de la foi , celle-ci n’étant incompatible qu’avec la seule i
enleve au corps de l’Eglise, ne vous ôte point le don précieux de la foi , à moins que vous n’y renonciez en vous livrant à
vi l’exemple de Saint Paul, tous les Peres & les Conciles en font foi , elle n’a usé d’aucun ménagement envers les Hérét
eul qui soit favorable, & ce Compilateur n’est nullement digne de foi , pour avoir inséré dans son Livre une lettre de C
un grand nombre d’erreurs, de faussetés & d’impertinences, sur la foi de son Maître, sans y entendre malice : Or, l’opi
te infame & dangereuse profession, s’ils ont envie d’embrasser la foi , & s’ils y retournent après avoir reçu le Bap
d’une réchute, au tems des persécutions, ceux qui ayant renoncé à la foi , vouloient rentrer dans le sein de l’Eglise1. La
monter à leur origine, dès qu’elles n’emportent aucun dommage pour la foi . On n’ignore pas la maniere dont les élections au
4 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XX. Spectacles condamnés par les saints Pères et par les saints conciles. » pp. 168-178
nt mourir une seconde fois ; ce sont des conventicules de Satan où la foi se détruit, où la morale de l’Evangile est combat
eoir dans l’amphithéâtre, au milieu des infidèles, sans renoncer à la foi . On était si persuadé de cette vérité, dans la pr
tte infâme et dangereuse profession, s’ils ont dessein d’embrasser la foi , et, s’ils retournent à leur premier métier après
entraîne une sorte d’apostasie. Comparez ses maximes au Symbole de la foi , conciliez ses mystères avec ceux de la religion,
prendre le dessus sur les idolâtres, les empereurs ayant embrassé la foi chrétienne. Nous avons le concile d’Arles de l’an
5 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « AU LECTEUR. » pp. -
les fondemens de toute espece de Religion Chrétienne en abolissant la Foi . Quand un homme ne peut croire ce qu’il trouve a
a reçu de lui ? Si l’on ne voit pas là dedans l’anéantissement de la foi , et; le principe de l’incrédulité dans le refus d
s faire autre chose ? Ainsi chacun va être le maître des articles de foi les plus importans, en interprétant à sa guise le
6 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la discipline ecclesiastique, et des obligations imposees par les saints conciles dans la vie privee des pretres.  » pp. 341-360
u’elle commande, ne peut que fortifier les nations qui vivent dans sa foi . Le livre de l’Evangile est l’asile le plus assur
tre de vil prix ; sa table pauvre. Il doit soutenir sa dignité par sa foi et sa bonne vie. Canons du IVe concile de Carthag
rd, an 1222, can. 2 ; « 4° Il est ordonné aux évêques de prêcher la foi catholique par eux-mêmes et non par d’autres. Con
e laquelle devait nécessairement dériver un respect salutaire pour la foi , et une confiance sans borne pour les prosélytes
de sang, parce que chacun voulait payer de sa vie son entrée dans la foi , et obtenir la couronne céleste, en mourant pour
7 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IX. » pp. 158-170
ui a reçu le Baptême sera sauvé , pourvû qu’il n’agisse pas contre sa foi , comme on le reproche avec raison, aux Suppôts de
foi, comme on le reproche avec raison, aux Suppôts de la Comedie : la foi ne suffit point sans les œuvres, ainsi que l’Apôt
e l’est touchant le stile des Prophétes qu’elle a cru barbare, sur la foi du sieur d’Alembert. Mais elle compte parmi ses m
é sa retraite comme un vain scrupule ; c’étoit plutôt un retour de sa foi éclipsée ; il comprit qu’on ne sçauroit la concil
8 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VIII. » pp. 131-157
n doctrinale, on ne peut la démentir, sans s’écarter des bornes de la foi dont ces grandes lumieres ont conservé le précieu
nt mourir une seconde fois ; ce sont des conventicules de Satan où la foi se détruit, où la morale de l’Evangile est combat
vice radical ; il n’est pas possible d’y assister sans renoncer à la foi chrétienne. Ecoutons cet illustre Evêque de Carth
son zéle, il l’édifia par sa mort généreuse, versant son sang pour la foi de J. C. dans la persécution de Licinius. Pensez-
raîne une sorte d’apostasie : confrontez ses maximes au symbole de la foi , conciliez ses mystéres avec ceux de la Religion,
ire saisir à des personnes qui se disent éclairées des lumieres de la foi , & parfaitement soumises à la sévérité de l’E
9 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48
taire dans une occasion où sa Gloire est ouvertement attaquée, où la Foi est exposée aux insultes d’un Bouffon qui fait co
tre, et l’on faisait couler insensiblement dans l’âme la pudeur et la Foi , avec le plaisir et la joie. Mais Molière a ruiné
es commencements et ses progrès. Tertullien dit que la Chasteté et la Foi ont une alliance très étroite ensemble, que le Dé
taque ordinairement la pudeur des Vierges avant que de combattre leur Foi , et qu’elles n’abandonnent l’une, qu’après la per
r tous les autres, qu’il s’est maintenu toujours dans la pureté de la Foi , et dans un respect inviolable de ses Mystères. N
le Ciel, et qui se rit de ses foudres : un Athée qui réduit toute la Foi à deux et deux sont quatre, et quatre et quatre s
de la Religion dans la bouche d’un Valet impudent, d’avoir exposé la Foi à la risée publique, et donné à tous ses Auditeur
’avancer, qu’il n’y a point d’homme si peu éclairé des lumières de la Foi , qui ayant vu cette Pièce, ou qui sachant ce qu’e
10 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
« Aller aux théâtres, dit ce Saint, est une espèce d’apostasie de la foi , une prévarication mortelle de ses Symboles et cé
de sorte que retournant aux spectacles, nous faisons banqueroute à la foi de Jésus-Christ. C’est donc par ce moyen que tous
mier maître, qui préfèrent le démon à Dieu, qui font banqueroute à la foi de Jésus-Christ, qu’ils sont plus criminels que l
11 (1825) Encore des comédiens et du clergé « NOTICE SUR LE MINISTERE FRANÇAIS EN 1825. » pp. 87-100
que nous serons opprimés sous l’empire de l’influence des Pères de la foi . Pourquoi donc tant d’animosité contre les person
érêts, dont les jésuites de tout temps et aujourd’hui les pères de la foi , profitèrent avec un si grand avantage. Lorsqu’un
ne partout, à cette secte jésuitique et ultramontaine des pères de la foi , qui intime des ordres impératifs auxquels tous l
utter contre cette faction orgueilleuse et anarchique des pères de la foi  ? A la tribune, le premier ministre ne s’y montra
12 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE II. Réponse aux objections qu'on tire de saint Thomas pour justifier les Spectacles, et aux mauvaises raisons qu'allèguent ceux qui croient pouvoir les fréquenter sans péché. » pp. 55-63
n dit qu' « aller aux spectacles c'est en quelque sorte abandonner sa Foi , et abjurer le Christianisme. Ecoutez en quels te
matum fuerit generat mortem. » Jacob. c. 1. v. 5. D. Doit-on ajouter foi à ce que disent certaines personnes, que quelque
. n. 1. D. D'autres qui passent pour dévots, sont-ils plus dignes de Foi quand ils assurent qu'ils n'y font point de mal ?
13 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
rtout un danger, parmi tant d’autres, où bien souvent la pureté de la foi et l’innocence des mœurs font un triste naufrage 
jamais des spectacles toute personne honnête, qui respecte encore la foi et les mœurs ; mais dans une question que la pass
tre point à portée de réparer le mal que j’ai pu causer. Guidé par la foi , ce flambeau lumineux, devant lequel toutes les l
eur de la jeune Juive pour le baptême exprimée avec des sentiments de foi , est une attaque malicieuse contre le christianis
moderne est propre à détruire dans les cœurs des fidèles chrétiens la foi catholique. Ce que nous en avons dit, surtout dan
qui a été dit. Le théâtre est un funeste écueil contre lequel la foi et les mœurs font souvent à la fois un bien trist
ourrait régler sa conduite ? Ce serait en dépit de la raison et de la foi qu’un chrétien oserait fréquenter le théâtre ? no
vous excuse, il vous approuve, il applaudit à votre conduite, mais la foi vous condamne. Quel jugement terrible n’aurez-vou
é pour les en détourner ; ayez soin qu’ils conservent la pureté de la foi et des mœurs, et le Seigneur vous bénira dans vos
14 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106
vous en avez fait au Baptême, sachez et reconnaissez que l'état de la Foi , l'ordre de la vérité, et la Loi de la discipline
. Je passe à l'autorité principale qui est tirée du sceau de notre Foi . Lors que dans l'eau du Baptême nous faisons prof
tre Foi. Lors que dans l'eau du Baptême nous faisons profession de la Foi de Jésus-Christ, selon la forme et la manière de
errez l'impureté bannie par la Chasteté ; la perfidie détruite par la Foi  ; la cruauté abattue, par la Miséricorde; l'insol
aire voir ces choses qui vous puisse donner ce plaisir : Néanmoins la Foi vous les représente dès à présent par les Images
15 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIII. La Comédie considérée dans les Acteurs. » pp. 26-29
i-même & qui empoisonne les autres. Quel spectacle aux yeux de la foi  ! qu’il est horrible ! Que faut-il qu’il fasse po
du ciel ; & de la terre ; & on ne frémit pas ! Où est donc la foi  ? Où est la charité ? Est-ce être enfant du Pere
16 (1607) Recit touchant la comédie pp. 2-8
ns historiques, vol. I. récite avoir entendu d’un personnage digne de foi qu’ès contrées plus avancées vers le septentrion
leur profit de tout. J’ajouterai ce mot, venant de quelqu’un digne de foi , pour déclaration de ce que j’ay touché en un mot
oses me sont venues en pensée oyant raconter à un personnage digne de foi les tyrannies du malin ès contrées plus avancées
17 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Lettre premiere. » pp. 2-17
s l’Interpréte des Loix civiles, mais les décisions qui concernent la foi dans sa morale & dans ses dogmes, sont du res
es Conciles, & de prononcer un jugement infaillible en matiere de foi , de concert avec la pluralité des Evêques. J’aime
Ils ont mérité de l’être, nos Spectacles étant propres à corrompre la foi & les bonnes mœurs. 3°. Les Peres de l’Eglise
18 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien premier. Sentiment du reverend Pere Bourdaloue de la Compagnie de Jesus, touchant les Bals & les Comedies en general. » pp. 8-16
Tertulien, que l’on en voyoit presque plus s’éloigner de nôtre sainte Foi par la crainte d’être privez de ces divertissemen
lesquelles je n’ai rien trouvé que de très conforme à la pureté de la Foi & de la Morale Chrétienne. A Paris ce 3. Avri
a été vû & approuvé par trois Theologiens de nôtre Compagnie, en foi de quoi j’ai signé la presente Permission. A Pari
19 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre III. De la Fable Tragique. » pp. 39-63
emande seulement si ce bonheur n’est pas altéré par le souvenir de la Foi de ses Peres. Sais-je, réplique Zaïre, ce que j’a
t avec le lait. Cependant sa gouvernante lui parloit sans cesse de la foi de ses peres ; elle est Chrétienne où Musulmane a
ons qui fondassent son refus. Ce Prince, scrupuleux observateur de la foi qu’il avoit donnée, relève encore ce mérite, par
oit encore contribué ; mais on vient de voir un Prince rassuré sur la foi de sa fille, exciter ses amis à partager sa fermé
20 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VII. Sentimens des Prédicateurs. » pp. 168-180
à la conversion des infidèles, qui aimoient mieux ne pas embrasser la foi que de renoncer au théatre, &c. Ce n’est pas
rruption à l’irréligion le passage est facile, rapide, inévitable. La foi s’éteint des que les passions dominent. Les vrais
utenue. Comment résister ? on désire de douter, on doute ; on perd la foi , on devient ennemi de la vérité, on la combat ; o
e plus grand intérêt ? la charité s’y éteint, l’humilité s’y perd, la foi y est ébranlée, la modestie s’évanouit, la pureté
21 (1705) Pour le Vendredy de la Semaine de la Passion. Sur le petit nombre des Elûs. Troisiéme partie [extrait] [Sermons sur les Evangiles du Carême] pp. 244-263
e n’est point un conseil, c’est le devoir le plus indispensable de la Foi du Chrétien. Or où sont ceux qui soient plus fide
sont des obligations, les plus essentielles de vôtre vocation : vôtre Foi n’en connoît point de plus indispensables ; ce ne
rs, la haine de vous-même, la mortification de vos sens, la vie de la Foi , que vous avés embrassées, la conformité avec Jes
ui dit qu’il y aura peu d’élus,* pauci verò electi  : Il est donc de foi que vous ne pourrés vous sauver, tandis que vous
22 (1825) De quelques naïves coutumes « De quelques naïves coutumes. » pp. 262-266
ion exacte, le texte conserve une nudité qui révolte : « C’est par sa foi que l’évêque soutiendra son rang ; dans son petit
ant ma gloire en l’autre, et le partage à l’héritage de mon père ; en foi de quoi j’ai signé le contrat irrévocable de la m
23 (1686) Sermon sur les spectacles pp. 42-84
qui, ne craignant, ni la perte de l’innocence, ni le naufrage dans la foi , s’abandonnent au milieu des plus grands dangers.
uvrez les yeux, sortez de votre léthargie, reprenez les sentiments de foi dont vous vous êtes malheureusement dépouillés, e
et la chose ne doit pas nous paraître extraordinaire, attendu que la foi s’éteint presque toujours là où les passions domi
le plus grand nombre des personnes qui vivent sans espérance et sans foi . Il est tout naturel qu’à force de voir tout l’ét
’à cette extrémité, et si l’on conserve encore quelques étincelles de foi , ce n’est plus qu’une foi morte, une foi qu’on tr
l’on conserve encore quelques étincelles de foi, ce n’est plus qu’une foi morte, une foi qu’on trouve le moyen d’allier ave
ncore quelques étincelles de foi, ce n’est plus qu’une foi morte, une foi qu’on trouve le moyen d’allier avec la pratique e
24 (1607) Conviction véritable du récit fabuleux « letter » pp. 3-26
ertain ténébrione sans nom, sans pays, sans aveu, et qui pis est sans foi , sans justice, et sans religion, a osé ces jours
rgatoire. » ae Tu le nommes (malin) pour te moquer de ce point de la foi catholique, et tu le mets en avant pour ne change
sans avoir été ni peu ni prou atteints de maladie : de quoi te feront foi tes yeux et tes oreilles, si pour voir la laideur
atteste « n’y avoir rient trouvé qui ne soit conforme à notre sainte foi et religion catholique : ains être digne de lumiè
es hérésies de l’Eglise primitive est un moyen indirect d’attaquer la foi calviniste de l’auteur du Récit touchant la coméd
la représentation. Il dévalorise ainsi ses arguments comme issu d’une foi partisane. ae. [NDE] André Gaule cite, avec des
25 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES MATIERES. » pp. 229-258
rité sur terre. Page 16 L’apôtre saint Paul place la charité avant la foi . Page 17 Morale chrétienne d’après les quatre éva
’Etat, par la société monastico-politique des jésuites ou pères de la foi . Page 67 De la corruption des écrivains soudoyés
ministres, tant que durera l’influence pestilentielle des pères de la foi . Page 90 Le ministère, une fois délivré du joug h
à l’auteur d’avoir cité les conciles où il est dit que « c’est par la foi que l’évêque soutiendra son rang. — Il doit avoir
221 M. de Sénancourt a attaqué l’auteur pour plaire aux Pères de la foi . Page 222 CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité
26 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE II. » pp. 18-28
les Califes se sont érigés en tyrans, un sceptre de fer a plus d’une foi remplacé une domination raisonnable. C’est l’inté
elle est malheureuse pour les bonnes mœurs & pour la pureté de la foi , la Comédie a cessé d’être interdite dans le Roya
27 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119
la profonde majesté des livres saints, s’ils ne les étudient avec une foi docile et une profonde humilité. Les infâmes comm
ment du public, la parole divine, si on la lisait avec les yeux de la foi , serait-elle ainsi avilie ? l’esprit rempli d’une
t les Actrices. Ces travestissements font courir un grand risque à la foi et à la morale. La plupart des gens qui n’ont auc
plupart des gens qui n’ont aucune connaissance de l’Ecriture, sur la foi de l’Acteur et du Poète, en croient tout ce qu’il
. Qu’il est édifiant de voir un Martyr amoureux perdre sa vie pour la foi , en regrettant sa maîtresse, et joindre des péché
Les pièces du sacrifice d’Abraham, de Job, Adam et Eve, etc., en font foi . Enfin les mœurs y courent le plus grand risque.
28 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401
rent à se constituer eux-mêmes juges de tous les délits en matière de foi , et à faire couler à grands flots le sang des vic
tre de vil prix, sa table pauvre. Il doit soutenir sa dignite, par sa foi et sa bonne vie. » (Concile de Carthage, IVme can
ndra, selon le canon du saint concile de Carthage, sa dignite, par sa foi , son abstinence et sa charité, alors il aura tout
29 (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « letter » pp. 472-482
nous apprend que ceux qui aiment ces divertissements ont fort peu de foi , s’ils en ont, et qu’elle est fort infirme. Je di
es à ceux qui sont contraints de s’y amuser. Si la Comédie détruit la Foi en ruinant la Croix de Jésus-Christ, elle renvers
st, elle renverse encore les bonnes mœurs, qui doivent accompagner la foi si elle est vivante, et telle qu’elle doit être p
Idoles, pour ne blesser pas la conscience de son Frère infirme en la Foi , la nécessite de manger étant plus capable d’excu
30 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
d’autoriser le régicide. Telles sont les mesures que, les pères de la foi veulent adopter, depuis qu’ils sont poussés à bou
surdes. Il aurait dû plutôt annoncer, que la révélation existe par la foi , et que pour obtenir la foi, qui est un don de Di
annoncer, que la révélation existe par la foi, et que pour obtenir la foi , qui est un don de Dieu, il faut s’humilier et so
vre des crimes de la presse ; de ce manifeste des missionnaires de la foi  ; de cet avant-coureur de l’anéantissement de la
31 (1666) De l’éducation chrétienne des enfants « V. AVIS. Touchant les Comédies. » pp. 203-229
chrétien qu’il est, et prêt de souffrir la mort pour la défense de la foi et de la pureté même de cette Sainte, ne laisse p
rte que si l’on voit dans cette pièce en la personne d’une Sainte, la foi triomphante des supplices les plus honteux ; on y
n abstiennent, que parce qu’étant résolus de souffrir la mort pour la foi , ils renoncent à toutes les voluptés de la vie, a
i a fait dire à Salvien, que c’est comme une espèce d’apostasie de la foi , et une prévarication mortelle de ses sacrements,
32 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « APPROBATION »
la Comédie, dans lequel nous n’avons rien trouvé que de conforme à la foi de l’Eglise & aux régles de la Morale Chrétie
33 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 7. SIECLE. » p. 182
u que de s'amuser à ces vanités ; c'est se rendre prévaricateur de la Foi chrétienne que de rechercher après le Baptême les
34 (1715) La critique du théâtre anglais « AVIS. »
et si justement attaqué par M. Collier, s’était depuis converti à la Foi catholique ; qu’il fit une sincère pénitence de s
35 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Fêtes de Théatre. » pp. 95-114
composée par M. Peisonnel, Consul de la nation, intitulée Selim ou la foi du sujet ; elle a eu les plus grands applaudissem
t du public. Quelle estime pour la Réligion chrétienne doit donner la Foi du Sujet, qui, par son indifférence pour la Rélig
ouver son amour & la fidélité pour son Prince ; ce n’est point la foi Catholique qui fait les Martyrs, c’est la foi des
nce ; ce n’est point la foi Catholique qui fait les Martyrs, c’est la foi des Dieux, des tems de la Cour. La foi qui fait l
qui fait les Martyrs, c’est la foi des Dieux, des tems de la Cour. La foi qui fait le Luthérien en Suéde, l’Anglican à Lond
36 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « Approbation des Docteurs »
vrage, dans lequel nous n’avons rien trouvé qui ne soit conforme à la Foi et aux bonnes mœurs. Fait à Orléans ce 23. Mars 1
37 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
M. de Sénancourt en rapporte les citations suivantes. « C’est par la foi que l’évêque soutiendra son rang…. Il doit avoir
Sénancourt m’a attaqué si charitablement pour plaire aux pères de la foi et leur offrir une victime digne de leur être off
38 (1707) Réflexions chrétiennes « Réfléxions chrétiennes, sur divers sujets. Où il est Traité. I. De la Sécurité. II. Du bien et du mal qu’il y a dans l’empressement avec lequel on recherche les Consolations. III. De l’usage que nous devons faire de notre temps. IV. Du bon et mauvais usage des Conversations. Par JEAN LA PLACETTE, Pasteur de l’Eglise de Copenhague. A AMSTERDAM, Chez PIERRE BRUNEL, Marchand. Libraire sur le Dam, à la Bible d’Or. M DCCVII — Chapitre XII. Du temps que l’on perd à la Comedie, et aux autres spectacles de même nature. » pp. 269-279
t sensuels, et c’est là principalement ce qui fait la foiblesse de la foi , et la difficulté que nous trouvons à acquerir et
par ces mouvemens brutes et aveugles, mais par la pure lumiere de la foi , et de la raison. C’est à quoi non seulement tous
39 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Approbation qui peut servir de Preface. » pp. -
ise donc cette Dissertation Epistolaire : rien n’y est contraire à la Foi , ni aux bonnes mœurs ; elle sera utile à toutes l
40 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE V. » pp. 82-97
L’opposition dont on accuse les Poëmes dramatiques, aux regles de la foi , ne l’embarrasse point ; c’est une imputation qu’
état est opposé aux devoirs qu’il impose ? Une stérile profession de foi ne vous servira de rien, sans les œuvres du Chris
41 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « La tradition de l'Eglise sur la comédie et les spectacles. Les conciles » pp. 53-68
ile d'ELVIRE, tenu l'an 305. Si des Comédiens veulent embrasser la Foi Chrétienne, Nous ordonnons qu'ils renoncent aupar
ntraigne; si toutefois elles n'ont point encore fait profession de la Foi , et de la Loi de la très sainte et vénérable Reli
42 (1658) L’agent de Dieu dans le monde « Des théâtres et des Romans. CHAPITRE XVIIII. » pp. 486-494
Quand les peuples considèrent ces célèbres iniquités qui ont violé la foi divine et humaine pour l’accomplissement d’un des
eur gage et sous leur protection. Nous ne saurions plus douter que la foi Chrétienne ne soit extrêmement faible dans les cœ
43 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
es ? C’est dans ces différents repaires que les jésuites, pères de la foi et missionnaires universels, prétendent former l’
trigues et les cabales des congréganistes, si dévoués aux pères de la foi , et qui, par l’influence des coteries et des conf
nt en pratique la charité, cette vertu divine qui est au-dessus de la foi , ainsi que l’a dit saint Paul (voyez ci-dessus pa
44 (1579) Petit fragment catechistic « Que les jeux des théâtres et les danses sont une suite de la science diabolique, opérante par philaphtie et amour de soi-même contraire à la foi opérante par charité, fondement de la Cité de Dieu. » pp. 20-26
bolique, opérante par philaphtiea et amour de soi-même contraire à la foi opérante par charité, fondement de la Cité de Die
s véritable et digne d’être observé : il ne se faut jamais jouer à la foi , à l’œil, ni à la renommée. Grâce et bénédiction
45 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
les familles, le mépris de l’autorité paternelle, la violation de la foi conjugale, la dissipation des biens, et tous les
cours illicite des paroles et des actions licentieuses, comme en font foi plus d’une Comédie que le Lecteur connaîtra, sans
46 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « [Lettre] » pp. 1-4
ans doute, d’affirmer : Qu’en ce monde pervers les Auteurs sont sans foi , fourbes, intéressés, hors mes amis & moi. V
47 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
éme bierre, & lorsqu’Abeille on nommera, dame, postérité dira, ma foi s’il m’en souvient, il ne m’en souvient guere. I
leau disoit de lui : la raison conduit ordinairement les hommes à la foi , mais c’est la foi qui a conduit Racine à la rais
: la raison conduit ordinairement les hommes à la foi, mais c’est la foi qui a conduit Racine à la raison. Mot vrai &
nduit Racine à la raison. Mot vrai & profond. La raison & la foi toujours d’accord se conduisent l’une & l’aut
oujours d’accord se conduisent l’une & l’autre. La raison sans la foi n’est qu’égarement ; qu’on ne se flatte pas d’êtr
’est qu’égarement ; qu’on ne se flatte pas d’être raisonnable sans la foi  ; combattre la Religion, c’est combattre la raiso
48 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. 13-48
nes actions des hommes, que toutes leurs vertus, ne sont rien sans la foi , tandis que saint Paul, ce véritable apôtre de la
le contraire. Ecoutons-le, voici comme il s’exprime en parlant de la foi et de la charité : « Si linguis hominum loquar,
arfaite science de toutes choses ; « Quand j’aurais encore toute la foi possible, jusqu’a transporter les montagnes ; si
t ; elle espère tout ; elle souffre tout. « Or ces trois vertus, la foi , l’espérance et la charité, demeurent ; mais la c
49 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouvrage intitulé : Des Comédiens et du Clergé, et sur les charlataneries littéraires, politiques et religieuses. » pp. 52-86
nominations et les qualifications, si dignes de respect : Pères de la foi …, Missionnaires…, en deviennent plus recommandabl
e jésuitique, exercent sous les noms de Congrégations, de Pères de la foi , de Missionnaires, l’intrigue et le brigandage, e
es lois inquisitoriales. Mais, tremblez, Français !!! les Pères de la foi sont là !!! de tout côté ils promènent leurs rega
ques qui s’arrogent si audacieusement les beaux titres de pères de la foi et de missionnaires. Il faut bien en convenir, ce
50 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre d’une Dame de la Ville de *** au sujet de la Comedie. » pp. 6-15
; d’assister aux spectacles c’est en aucune façon une apostasie de la foi . » Et pourquoi une apostasie ? Parce que c’est se
; cependant le zelé Prêtre les traita encore comme des Apostats de la Foi  : & en les traittant de la sorte, il nous fit
51 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VIII. Les intrigues sont la vraie fin de la comédie. » pp. 15-17
age, dit-il, présuppose la concupiscence, qui, selon les régles de la foi , est un mal auquel il faut résister. De Nupt. &a
52 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VI. Ce que c’est que les mariages du théâtre.  » pp. 25-27
ue le mariage présuppose la concupiscence, qui selon les règles de la foi est un mal auquel il faut résister : contre leque
53 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VII. Les spectacles favorisent les suicides. » pp. 90-92
s loin qu’on ne pense ; ils n’attaquent pas seulement la pudeur et la foi , ils favorisent encore l’orgueil, l’ambition, la
54 (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426
aves en sainte vie et bonne conversation, que fermes et entiers en la foi  : Contre aucuns qui détournaient la sainte écritu
ne aux saintes écritures, car là trouvera des Spectacles dignes de sa foi . Il verra comme Dieu crée le monde, comme il fait
étant amassées à dextre et à senestre : il verra ès aucunsDaniel 3.la foi combattant contre le feu : Daniel 14. 31.Les bête
55 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE X. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces six parties dans Athalie. » pp. 260-315
est-à-dire, sa Fable. Le Grand-Prêtre qui soutient sa Dignité par une foi intrépide, ne songe point à avoir recours aux Off
par sa réponse à Ulysse, Dans les champs Phrygiens les effets feront foi , &c. & l’on juge qu’un Heros de ce caract
ilà un homme qui est intrépide, & qui à ce même Officier plein de foi , reproche son peu de foi, & lui fait une vive
épide, & qui à ce même Officier plein de foi, reproche son peu de foi , & lui fait une vive réprimande. On remarque
ses conseils à cet Enfant, rassure les craintes de Josabet, ranime la foi d’Abner, excite le courage des Levites, les fait
amp; pleure : lorsqu’elle apprend qu’Athalie vient avec son Armée, sa foi s’affoiblit, & dans sa frayeur il lui échappe
56 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  RACINE. A Mlle. Le Couvreur. » pp. 77-80
s premieres faveurs  A mérité ma confiance.  Hélas ! je me livre à sa foi .  Je ne sais quel trouble m’annonce Que puisqu’il
57 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Privilége du Roi. » pp. 369-370
onées par l’un de nos amés & feaux Conseillers & Sécretaires, foi soit ajoutée comme à l’original. Commandons au pr
58 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « II. » pp. 9-11
ns, dans la manière d’agir avec le prochain, dans la charité, dans la foi , dans la chasteté. Il fuyait les fables impertine
59 (1715) La critique du théâtre anglais « privilège du roi. » pp. 502-504
lationnées par l’un de nos aimés et féaux Conseillers et Secrétaires, foi soit ajoutée comme à l’original. Commandons au pr
60 (1825) Des comédiens et du clergé « Sommaire des matières » pp. -
t été comédiens de profession, et qui ont souffert le martyre pour la foi de Jésus-Christ ; Le récit de plusieurs processio
61 (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351
n saint Paul, vient « d’un cœur pur, d’une bonne conscience, et d’une foi sincère, et qui est la fin des Commandements ». «
lon Dieu doit procéder d’un cœur pur, d’une bonne conscience et d’une foi sincère 1. Tim[othée] 1. 5.." Et la charité défi
l’Ecriture Sainte, pour la faire paraître sur le Théâtre : « De la foi d’un Chrétien les Mystères terribles, D’ornements
ans un lieu saint, et ce lieu saint, dit Origène, c’est celui dont la Foi a formé les murailles, dont l’espérance est le so
faire ni approuver, ni dissimuler ce qu’elle trouve de contraire à la Foi ou aux bonnes mœurs Epist. 118. ad Joan.. « Eccle
62 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PRIVILEGE DU ROI. » pp. -
sera imprimée tout au long au commencement ou à la fin dudit Ouvrage, foi y soit ajoutée comme à l’original. Commandons au
63 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IX. Spectacles de la Religion. » pp. 180-195
ndez le terme de la consommation, intéressez-vous aux triomphes de la foi , à la gloire de l’Église, cueillez les palmes des
trée de la terre promise. Vous verrez dans la religion Chrétienne, la foi combattre le fer & le feu, vaincre & adou
s fournit l’Église, aussi innocens qu’agréables, qui nourriront votre foi & votre piété. Que voyez-vous dans le cirque 
64 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II. Excellentes raisons qui ont porté les Pères de l’Eglise à condamner les Comédies, et à les défendre aux Chrétiens. » pp. 12-28
reçoit dans son baptême, et qui le fait agir par les principes de la foi . C’est de lui que S. Paul parle ainsi. « Nous n’a
es, vous n’en faites point les actions, et si vous ne gardez point la foi que vous avez donnée à Dieu. Ne vous trompez pas,
loin de vous. Et néanmoins un Chrétien, soit qu’il n’ajoute point de foi aux paroles de Jésus-Christ même, soit qu’il les
65 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  AVERTISSEMENT DE. L’ÉDITEUR. » pp. -
par des beautés solides, & en écarter tout ce qui peut blesser la foi ou les mœurs. De-là il passe aux Pièces de Racine
66 (1731) Discours sur la comédie « PRIVILEGE DU ROI. »
lationnées par l’un de nos aimés et féaux Conseillers et Secrétaires, foi soit ajoutée comme à l’Original. Commandons au pr
67 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « II. PARTIE. Où l’on répond aux Objections de l’Auteur de la Lettre. » pp. 89-140
it une marque assurée qu’un Païen était converti et avait embrassé la foi , quand il cessait d’aller aux spectacles : « De r
u que de s’amuser à ces vanités ; c’est se rendre prévaricateur de la foi chrétienne, que de rechercher après le Baptême le
ion, « Qu’aller à la Comédie après le Baptême, c’est apostasier de la foi , et commettre une prévarication mortelle contre l
et à l’Eglise, dans les décisions qu’elle fait sur les matières de la Foi , des mœurs et de sa discipline générale, et dans
s saintes Ecritures ; et ils y trouveront des spectacles dignes de la foi , dont ils font profession. Voici aussi comme parl
rête à considérer ceux de Dieu, et se serve pour cela des yeux que la foi lui donne. Il exhorte dans un autre endroit les C
68 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
onfessé en participant à ses mystères ; apprenez par les régles de la foi , par les principes de la vérité, et par les lois
aître Dieu que par la lumière naturelle, et non par le flambeau de la foi  ; quand on ne le regarde que de loin, et non de p
sommes entrés aux fonts baptismaux, nous avons fait profession de la foi chrétienne dans les termes qu’elle nous prescrit.
ères armes, qu’en quittant l’étendard de son prince, qu’en violant sa foi , qu’en faisant serment de périr avec ceux à qui i
Voyez l’impureté abattue par la chasteté, la perfidie vaincue par la foi , la cruauté surmontée par la miséricorde, l’insol
que ces spectacles sont encore éloignés de nous ? Non, mes Frères, la foi nous les rend déjà présents ; et nous pouvons les
69 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques « [Traité] » pp. 3-62
e, doit être la seule loi, guide, règle, balance, et lumière de notre foi , et de toutes nos actions ; laquelle ils ébrèchen
ous puiserons en premier lieu de l’Ecriture S. et de l’Analogie de la foi  ; en après de la doctrine des Anciens, pour montr
enir pour immuables, et immobiles : à savoir que tout ce qui est sans foi , est péché. Que la règle et mesure de notre foi,
tout ce qui est sans foi, est péché. Que la règle et mesure de notre foi , est la parole de Dieu. Que l’on ne doit rien fai
Titus, chap. 15. ; celles-là se conduisent en toutes choses selon la foi , qui sait par la parole de Dieu, ce qui est loisi
uvres du Diable, que lorsque nous allons à ces jeux, nous laissons la foi de Jésus-Christ, souillant et rompant les Sacreme
pectacles publics, il y a une certaine apostasie, et dévoiement de la foi , et prévarication pestilente des articles et Sain
70 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre prémier. Qu’on ne doit pas se figurer que la composition des nouveaux Drames soit aisée. » pp. 116-120
’Ariettes, qu’à en écrire les Sçènes. On ne saurait refuser d’ajouter foi aux discours de ce Poète chansonnier. L’éxpérienc
71 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXI. Les spectacles condamnés par les auteurs profanes anciens et modernes. » pp. 179-182
ut à une décision de l’Eglise. Leur sentiment unanime appartient à la foi . Il est facile de voir que la conduite de certain
72 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE X. » pp. 171-209
n cette classe les amusemens du Théâtre. Envain auroit-on embrassé la foi chrétienne, si l’on prétend sécouer le joug qu’el
igion & de la nature, pour charmer tour-à-tour sa raison & sa foi . Le premier objet est celui qui tombe sous les se
as possible de vous justifier, dès que l’on écoute la raison & la foi . Fermez l’oreille à ces imposteurs qui vous annon
73 (1753) Compte rendu de Ramire « Compte rendu de Ramire » pp. 842-864
ne le persuadera jamais à S. Jérome qui proteste qu’il n’ajoute point foi à quiconque se porte pour n’avoir point été bless
gation ou sont les pères & mères d’instruire leurs enfans dans la foi , de les former à la piété, de veiller sur leur in
74 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « EXTRAIT Du Journal de Trevoux ; Mois d’Avril 1753. Art. XXXIX. » pp. 59-70
ne le persuadera jamais à S. Jérome qui proteste qu’il n’ajoute point foi à quiconque se porte pour n’avoir point été bless
gation où sont les pères & mères d’instruire leurs enfans dans la foi , de les former à la piété, de veiller sur leur in
75 (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191
a Théologie on ne fait profession de croire que ce qu’on veut pour la Foi et pour la Morale. Parmi Messieurs de la Religion
76 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IX. Sentiments de S. Cyprien et de quelques autres Pères. » pp. 175-201
t très importantes, sur l’explication de l’Ecriture, les dogmes de la foi et les règles de la discipline. Le second, Archev
à Dieu que de s’y livrer, « Deum negat ». C’est être un apostat de la foi Chrétienne, que de chercher les pompes et les œuv
rande injure. La fréquentation des spectacles est une apostasie de la foi et des sacrements, et une prévarication mortelle 
-vous à ce que vous avez solennellement abjuré, et abandonnez-vous la foi que vous avez authentiquement professée ? Vous vo
77 (1777) Des divertissements du Carnaval « Des divertissements du Carnaval. » pp. 92-109
se dispenser de le servir certains autres jours ? C’est un article de foi , que le monde est son irréconciliable ennemi : et
servir que le monde. Oserait-on débiter une maxime si contraire à la foi et au bon sens ? C’est cependant la maxime qu’on
78 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VI. Du Cardinal Mazarin. » pp. 89-108
c. Si ces deux hommes sont en paradis, ce qui n’est pas un article de foi , on peut bien assurer qu’ils ne sont pas sur la m
Boursault n’emploie l’infaillibilité du Pape pour faire un article de foi de la sainteté des spectacles. Cette historiette
s sur lesquels il établit son innocence, ou plutôt sa sainteté, et la foi que méritent ses défenseurs. Il y aurait plus d’a
79 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IV. » pp. 17-22
prendre de ces six Vers que vous trouverez au même Chant : « De la foi d’un Chrétien les Mystères terribles, D’ornements
80 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXIII. Passages de Saint Basile sur le sérieux de la vie chrétienne. » pp. 132-135
rait bon de soi, mais qu’on ne rapporterait pas à l’édification de la foi , n’est pas exempt de péril, sous prétexte du bien
81 (1834) Discours sur les plaisirs populaires « Discours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles » pp. 1-33
, l’enthousiasme avait remplacé toutes les passions humaines, et leur foi , portée jusqu’au fanatisme, leur a fait forcer le
t puissant protecteur, et en lui faisant envisager l’adoption de leur foi comme le moyen de se faire absoudre de tant de cr
nt ans, rougir par le reflet des innombrables bûchers allumés pour la foi et la domination de Rome. A droite le ciel de l’I
résent inconnue, et que nous civiliserons avec les principes de notre foi , et la morale douce de Jésus-Christ. Hé bien ! me
82 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre [V].  » pp. 156-192
eignons par des images communes, auxquelles, selon les lumieres de la foi , nous mettons la différence des deux états, &
aints Peres un chapitre exprès du spectacle qu’offrent aux yeux de la foi les merveilles de la nature, le paradis, l’enfer,
oleil dissipe ? Voilà l’idée de S. Bernardin, ou plutôt l’objet de la foi , de l’espérance, de la charité, de toute la rélig
la charité, comme des rayons du Soleil, couronnée de la lumiere de la foi , comme des étoiles, elevée au dessus des choses d
ée par l’art admirable de la toilette ? Oui sans doute aux yeux de la foi . Quoi de plus hideux que le péché, quelles ténébr
83 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre II. Regrèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. » pp. 94-100
ce fameux Philosophe comme un saint. Or, nous aurions ajouté plus de foi à ses paroles. La force de ses raisons nous persu
84 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Corrections et additions. » pp. 364-368
la hardiesse de mettre sur le Théâtre des femmes mariées, trompant la foi conjugale, ou du moins dont la conduite mérite d’
85 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IX. Les spectacles nuisent au bonheur et à la stabilité des gouvernements. » pp. 96-101
t des églises en ruines, n’attestent que trop l’affaiblissement de la foi et la décadence de la religion, qui est la base e
86 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — [Introduction] » pp. 2-6
sur le Théatre, & des spectateurs imbéciles qui l’admirent ?) Ma foi , non plus que nous, l’homme n’est qu’une bête. Q
87 (1668) Les Comédies et les Tragédies corrompent les mœurs bien loin de les réformer. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics en augmente le danger. On ne peut assister au spectacle sans péril « Chapitre XI. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics, en augmente le danger. L’on ne peut assister aux spectacles sans péril. » pp. 191-200
s du monde ; cependant les Pères de l’Eglise qui connaissaient par la Foi la nécessité de la prière, l’ont fort pesée et s’
88 (1731) Discours sur la comédie « MANDEMENT DE MONSEIGNEUR L’EVEQUE DE NIMES, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 352-360
récompense de leur sagesse. Ceux qui sont nés dans les lumières de la Foi et de la Religion Catholique, ne rougissent-ils p
89 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE III. Suite du Mariage. » pp. 55-79
moder. Et qu’il vaut mieux souffrir d’être au nombre des foux. Ma foi , je l’enverrois au diable avec sa fraize. En ef
Le temps presse, il fait nuit ; allons sans crainte aucune, A la foi d’un amant commettre ma fortune. Elle lui fait
e, qui a eu les plus grands soins de sa pupille, y va de la meilleure foi , jusqu’à jouer le rôle d’un imbécille, & l’a
90 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
sé sans faire aucune bonne action ; et les Chrétiens auront si peu de Foi , que de perdre inutilement le temps, que J. C. no
de ceux qui se trouvent à un bal. Mais qu’est-ce que la lumière de la Foi découvre dans ces assemblées profanes à ceux qu’e
raillent de leurs illusions et de leurs aveuglements. Voilà ce que la Foi nous apprend, voilà ce qu’elle nous découvre par
91 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81
sa naissance, corriger ses mœurs, et vivre en homme de bien. Oui, ma foi , il faut s’amender, dit ce scélérat. Encore vingt
’est en user bien mal avec lui, après lui avoir donné publiquement sa foi . Elle se moque de cela ; elle lui répond, que ce
e de cela ; elle lui répond, que ce n’est pas elle qui lui a donné sa foi  ; mais que c’est lui qui la lui a arrachée, et qu
92 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142
ôt sans mœurs, et un libertin ne tardera pas à faire naufrage dans la foi . Le théâtre réunit tout : l’irréligion et le libe
La piété a toujours regardé comme un des plus grands dangers pour la foi la lecture des livres hérétiques et l’entretien d
emps elle a été défendue aux Chrétiens, comme apportant corruption de foi et de bonnes mœurs, surtout quand l’Ecriture sain
93 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54
ercule, mais par les armes spirituelles d’un véritable Evêque, par la Foi , par la Prière, par la vigilance, la patience, la
94 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168
répond à Bellami qui voudrait tirer de lui un mensonge : « Monsieur, foi de pécheur, je vous ai déjà donné ma dernière bou
ieux de soutenir le libertinage au péril de sa vie, et de défendre la foi de l’Evangile jusqu’à l’effusion de son sang ! N’
es et infidèles : ils se vantent d’adorer ; mais ils n’ont ni zèle ni foi . Combien en trouverait-on qui semblables à Valent
de pair avec le Tout-puissant ? qu’elle soit adorée avec zèle et avec foi  ? et qu’on soit prêt d’endurer le martyre pour el
95 (1675) Entretien sur les tragédies de ce temps pp. 1-152
si on leur en donnait, elle paraîtrait indigne de la sainteté de leur foi . TIMANTE. Il serait aisé de remédier à cela ; j
qui fait mourir son propre fils. Un Général d’armée qui sacrifie à sa foi ses enfants, sa femme et sa réputation. Une mère
yrologe ? TIMANTE. Non, je ne voudrais pas qu’on fît mourir pour la foi un homme dont l’histoire n’aurait jamais parlé, o
l’histoire en parle, et s’il est vrai que ce Héros a souffert pour la foi , on peut changer la nature de ses souffrances, et
96 (1709) Mandement de M. L’Evêque de Nîmes contre les Spectacles pp. 3-8
récompense de leur sagesse. Ceux qui sont nés dans les lumières de la foi et de la Religion Catholique, ne rougissent-ils p
97 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 15-18
 ? Pensez-vous être excusé au jugement de Dieu, d’avoir plutôt ajouté foi à un casuiste à la mode qui se rend complaisant à
98 (1643) Les Morales chrétiennes « Des Théâtres. » pp. 511-519
nts des affaires à la fortune ; n’est-ce pas affaiblir extrêmement la foi d’un vrai Dieu ? n’est-ce pas nous ôter la craint
99 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
ment des spectacles. Il les regarde comme un amusement indifférent en foi , honnête même par le motif qu’on s’y propose, &am
eux questions. Le théâtre est-il, comme on le prétend, indifférent en foi  ? Je l’examinerai dans la premiere Partie. Et qua
un soit de l’autre sexe, qui vertueux sans affectation, pénétré de sa foi , fait son unique affaire de se sanctifier par le
100 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340
était encore lui remettre les choses de la religion sous les yeux. Sa foi était fortifiée par l’habitude qu’il contractait
temps, on ne raisonnait pas, on ne croyait pas profaner, on avait la foi , toute la foi : mais depuis ce temps, on a raison
raisonnait pas, on ne croyait pas profaner, on avait la foi, toute la foi  : mais depuis ce temps, on a raisonné, et la rais
et souverain de Naples ; cet excellent prince d’une dévotion et d’une foi réelles, aimait encore les sciences, les lettres
ttant ma gloire en l’autre et le partage à l’héritage de mon père, en foi de quoi j’ai signé le contrat irrévocable de la m
de moi, et de le servir de tout mon cœur pendant toute l’éternité. En foi de quoi j’ai signé de ma propre main le contrat i
/ 271