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1 (1690) Entretien sur ce qui forme l’honnête homme et le vrai savant « VII. ENTRETIEN. » pp. 193-227
bel esprit, les Poètes anciens et les modernes. Mais faut-il que mon fils apprenne la Philosophie avant que de lire Virgile
mières années y sont les plus propres. Faites lire les Poètes à votre fils , et faites-lui faire usage de la raison en même t
l’impiété Epicurienne. Faites bien faire toutes ces remarques à votre fils , afin qu’il reconnaisse de plus en plus, que tout
aissaient pas Jésus-Christ. Il ne vous reste plus qu’à garantir votre fils de la contagion de leurs peintures et de leurs de
eu, que tout le reste du Paganisme. Eugene. Je souhaite fort que mon fils s’élève au dessus des pensées du vulgaire ; mais
ncienne. Theodore. Cependant il ne faut pas laisser négliger à votre fils les expressions vives agréables, et les tours ins
ene. C’est cet art de gagner les esprits que je voudrais bien que mon fils acquît, sans contracter les défauts ordinaires à
l’augmente à proportion qu’elle se fortifie ; et pour éloigner votre fils du précipice, vous n’avez pas d’autre parti à pre
rien moins sur cela que la raison. Mais cette Dialectique dont votre fils a besoin, se doit trouver comprise dans toute la
odore. Elle est bonne à tout ; et sans elle on ne peut rien. Si votre fils sait faire réflexion sur ce qui se passe en lui,
à la Philosophie, Théodore. Theodore. Si vous voulez faire de votre fils un Docteur, faites-lui apprendre la Philosophie s
s la Physique. Theodore. Cela du moins en ouvre le chemin ; et votre fils doit se contenter d’en savoir les principes génér
Entretiens fréquents de cette sorte au reste de l’éducation de votre fils , je vous suis garant que non seulement vous en fe
Theodore. Tout cela est incompatible avec la vraie Philosophie. Votre fils n’aimera que les choses qui pourront lui servir à
n’est pas nécessaire de rechercher davantage les sciences dont votre fils a besoin. Demain nous trouverons la matière de qu
2 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IX. Du Dialogue. » pp. 320-335
d’Erectée, Roi d’Athènes, se laissa séduire par Apollon qui en eut un fils . Cette Princesse voulant cacher le fruit de ses a
it, que le prémier qu’il rencontrerait en sortant du Temple était son fils . Xutus enchanté rencontra le jeune Ministre d’Apo
déclara son héritier. Creuse indignée, ne sachant pas qu’Ion est son fils , veut le faire empoisonner, Son dessein est décou
a suite le mistère, en montrant par hazard à Creuse le berceau de son fils  ; & le bon Roi Xutus l’ignora toujours. S
Creuse. Je suis dévouée à ce Dieu. Ion. N’as-tu pas voulu perdre son fils  ? Creuse. Devenu celui de Xutus, tu n’es plus fi
voulu perdre son fils ? Creuse. Devenu celui de Xutus, tu n’es plus fils d’Apollon. Ion. Mais je l’avais été, & c’est
st-ce un titre pour m’enlever la couronne ? Ion. Pour n’être pas ton fils , dois-je être privé de l’héritage paternel ? Cre
3 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE III. En quoi consiste le Plaisir de la Tragédie, & de la grande émotion que causoient les Tragédies Grecques. » pp. 49-62
n Pere, deux freres qui s’entretuent, un Mari égorgé par sa Femme, un Fils assassinant sa Mere, ce Fils poursuivi ensuite pa
retuent, un Mari égorgé par sa Femme, un Fils assassinant sa Mere, ce Fils poursuivi ensuite par les Furies, & quel Spec
sang de mon Pere, j’ai souillé le lit de ma Mere, j’ai eu d’elle des Fils qui étoient mes Freres, & que je viens de voi
ui étoient devenus Etres malfaisans, de la malédiction de Noé sur son Fils , du sacrifice demandé à Abraham, des suites d’un
sont inconnues : nous savons seulement qu’une Mere reconnoissoit son Fils dans le moment qu’elle alloit le tuer, ce qui suf
sur la Scene. Dans l’Antigone un Pere arrive tenant dans ses bras son Fils qui vient de se tuer ; on lui présente en même te
les yeux crevés, de conduire sa main tremblante, sur le corps de ses Fils & sur le corps de celle qui a été sa Mere &am
4 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174
es ouvrages qu’elle-même a déclaré exceller, l’Epître d’un Père à son Fils , par le sieur de Champfort, où en effet il y a de
Brutus, meurtrier de César, et de Caton, qui l’éleva : « C’est du fils de César que Caton fit Brutus. » Si l’assassin
de César que Caton fit Brutus. » Si l’assassinat de César par son fils est un acte de vertu, le tyrannicide est-il un cr
e en le préparant à l’assassinat de l’Empereur Phocas : « C’est du fils du Tyran que j’ai fait ce Héros. » Elle ajoute
t ce Héros. » Elle ajoute, en parlant à l’Empereur lui-même de son fils  : « C’est assez dignement répondre à tes bienf
est assez dignement répondre à tes bienfaits Que d’avoir dégagé ton fils de tes forfaits. Séduit par ton exemple, il t’a
l’auteur d’une belle imposture Malgré le nom de père et le titre de fils , Je deviens le plus grand de tous ses ennemis.
œur. Faisons que son amour nous venge de Phocas, Et de son propre fils arme pour nous le bras. Si j’ai pris soin de lu
rre. L’ordre est digne de nous, le crime est digne d’eux. Dans le fils d’un Tyran l’odieuse naissance Mérite que l’err
Et ne dédaignez pas d’ordonner de sa tête. Il arme puissamment le fils contre son père. Et je tiendrai toujours mon bo
le trône Charles II ou Jacques II, les Rois légitimes. Encore même le fils prétendu d’Athalie était-il un enfant inconnu, qu
théâtre n’est pas si scrupuleux ni si fidèle à nos maximes. Racine le fils , dans ses observations sur cette tragédie de son
t être employé. » Assassinat d’autant plus odieux que c’est au nom du fils , pour lui, et à ses yeux, qu’on égorge sa mère. J
irconstances est sans vraisemblance) et lui montrer le Roi. Racine le fils se tue de prouver, selon la doctrine Moliniste, q
toutes les mesures prises, tous les ordres donnés ? Est-ce même à un fils à faire poignarder sa mère, et convient-il de cré
ancêtres du Messie ? On imagine des conversations entre la mère et le fils qui ne furent jamais, et qui autorisent l’insolen
resses, qu’importe à quel prix ? Dans une lettre adressée à Racine le fils , et imprimée à la fin de ses remarques sur les ou
es de lui, et peu dignes d’un cœur Français. « Brutus, s’il est ton fils (de César) a plus fait pour ta gloire (en le tuan
main des assassins jusqu’au parricide le plus atroce. Brutus, reconnu fils de César, déterminément et par choix porte les pr
Quiconque, ainsi que lui, prétendra gouverner, Fussent nos propres fils , nos parents et nos frères. Scellons notre unio
tice, et un Ligueur qui sur ce prétexte aurait fait mourir son propre fils , eût-il été un héros ? Voilà toute la pièce. La r
ît pas. Nous sommes de leur gloire un instrument servile. Je suis fils de Brutus, et je porte en mon cœur La liberté g
i faire le procès. Il convient que c’est l’action la plus atroce : un fils qui égorge son père, un otage qui assassine le Ch
t par un ami du Héros, et le Héros en fait l’éloge, et le donne à son fils pour exemple de vertu à suivre : « O mon fils,
e, et le donne à son fils pour exemple de vertu à suivre : « O mon fils , vous voyez le prix de la vertu : A ses pieds t
indre. La rage dans le cœur, et le fer à la main, Je cesse d’être fils , pour n’être que Romain. Je n’avouerai jamais u
5 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
poser l’art dramatique. Si Dom Sanche n’était, jusqu’à la fin, que le fils d’un Pêcheur ; si ce fils d’un Pêcheur ne se trou
Dom Sanche n’était, jusqu’à la fin, que le fils d’un Pêcheur ; si ce fils d’un Pêcheur ne se trouvait pas tout à coup, je n
up, je ne sais comment, l’héritier légitime du trône d’Aragon ; si ce fils d’un Pêcheur ne devenait Roi que parce qu’il aura
avagantes et des plus anciennes préventions des hommes. Est-ce que le fils d’un Pêcheur ne peut avoir en soi toutes les vert
u vertueux Dom Sanche un père couronné. Peut-être a-t-il pensé que le fils d’un Pêcheur, élevé par son courage aux premiers
utilité du genre humain !… quels caractères !… Je vois un Hercule, un fils de Jupiter, plus grand que ce Dieu lui-même, embr
reté d’un maître avare et fastueux, et conduit en prison : je vois le fils de cet infortuné captif, racheter la liberté de s
encore le seul bien qui me reste ; On me vole mon père, etc. Je suis fils d’un Pêcheur, et non pas d’un infâme. La bassesse
de Comte et de Marquis Avec bien plus d’honneur qu’aux sentiments de fils . » Qu’on lise enfin ceux-ci tirés de la dernièr
e semble, l’esprit de Molière. Ce ne sont point les tours que joue le fils au père, qu’on veut faire passer pour honnêtes, i
6 (1761) Epître sur les spectacles « Epître sur les spectacles » pp. 3-14
éjour des Dieux abandonnant la Ville, Des trois Grâces suivie, et son fils dans les bras, Va priver les Mortels de ses riant
amoureux mystère ; Belles qui m’écoutez, quand vous saurez aimer, Mon fils vous montrera comme on peut enflammer."  Le soir
tre de mes sens Tu me fais éprouver tout ce que tu ressens ! Soit que fils vertueux d’une coupable mère, Servant d’un Dieu v
cable colère, Tu sortes tout sanglant du tombeau de Ninusn ; Soit que fils criminel du stoïque Brutuso, Tu pleures dans les
Brutus, qui ne fléchit pas devant la condamnation à mort de ses deux fils . En 1750, M. Lekain avait le rôle de Titus, l'un
s deux fils. En 1750, M. Lekain avait le rôle de Titus, l'un des deux fils , dans le Brutus de Voltaire. p. [NDE] Personnag
7 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur de Nemours » pp. -
lesse Mûris au Soleil du Printemps, D’un mérite qui te réserve Jeune, fils aîné de Minerve, Un triomphe dessus le temps. He
Princesse que l’honneur honore, Tu vois au lever de l’aurore De ton fils , renaître un Soleil, Luisant d’autant de gentille
gloire, Pour éterniser ta mémoire Par un immortel souvenir. Heureux fils d’une sage mère, Portrait des prouesses d’un père
8 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  piété et bienfaisance d’un comédien.  » pp. 365-370
i avoir sauvé la vie. Ce comédien mourut en septembre 1665. Il eut un fils qui parvint à un degré de célébrité, car, dès l’â
ous les jours à la messe, dans l’église métropolitaine de Paris ? Son fils , qui eût été alors le fils d’un excommunié, aurai
ans l’église métropolitaine de Paris ? Son fils, qui eût été alors le fils d’un excommunié, aurait-il eu l’honneur d’être le
9 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE X. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces six parties dans Athalie. » pp. 260-315
’ils le connoîtront, Un serment solemnel par avance les lie A ce fils de David qu’on doit leur révéler. Ainsi jusqu’
peu vraisemblables. Croira-t-on une mere capable de livrer son propre Fils à la mort, pour élever sous ce nom le fils de l’E
pable de livrer son propre Fils à la mort, pour élever sous ce nom le fils de l’Empereur mort ? Est-il vrai-semblable que de
lui fait prononcer. Quand on entend Agrippine dire en parlant de son Fils , Ah ! que de la Patrie il soit s’il veut le Pe
ce caractere s’embarrasse peu du bien public & de la vertu de son Fils , pourvu que ce Fils la laisse gouverner. A peine
rasse peu du bien public & de la vertu de son Fils, pourvu que ce Fils la laisse gouverner. A peine Achille est entré su
and il prévoit les dangers où il l’expose en le couronnant : O mon Fils , de ce nom j’ose encore vous nommer, Souffrez c
e à son arrivée avoue la sienne à son Confident. Il a trouvé ses deux Fils à Nymphée : qu’y viennent-ils faire ? L’un &am
 ? Cette inquiétude sera la cause de tout ce qu’il dira à ces deux Fils & à Monime, & la cause de ses malheurs. D
d, & croira qu’on va l’immoler, il sera tout prêt : Hélas ! un Fils n’a rien qui ne soit à son Pere. Le Grand-Prêt
pas ébranlé, il est sur la montagne où Abraham mit sur un bûcher son Fils unique, Laissant à Dieu le soin d’accomplir sa
ste. Uniquement occupé de son grand dessein, il ne parle jamais à son Fils , ni à sa Fille, il voit arriver son Fils, il sort
in, il ne parle jamais à son Fils, ni à sa Fille, il voit arriver son Fils , il sort sans lui dire de le suivre : mais aussit
, il sort sans lui dire de le suivre : mais aussitôt Josabet dit à ce Fils avec empressement,   Allez, ne vous arrêtez pas
ononçant ce très-mauvais Vers, Cependant, cependant, Seigneur, mon fils est mort. Par la passion avec laquelle il le p
re, l’Enfant paroît sur un Trône auprès de sa Nourrice : Josabet, son Fils , & ses Filles sont au pied du Trône, les Levi
10 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125
le font méritent l’infamie dont la loi les couvre. Premier effet. Un fils qui se donne au théâtre, peut être déshérité par
cordait. Ce Père, dit la loi, n’avait que trop raison de regarder son fils comme indigne de son patrimoine. Je n’ai point vu
e cas arrivé parmi nous ; mais je suis persuadé que s’il arrivait, le fils ne serait pas reçu à se plaindre de sa prétéritio
’exerce le même métier. Pourrait-il alors avec justice punir dans son fils une tache dont il l’a couvert et dont il s’est co
etriciam ducit. » Le père, dans ces occasions, a droit de chasser son fils de sa maison. Une fille qui se livrerait au théât
onc mis au monde, nourri, élevé, pour faire un Comédien, disait à son fils un père accablé de tristesse ? « Tene genui, alui
e s’y oppose pas ; métier pour métier, il lui est indifférent que son fils soit Savetier ou Comédien ; un homme de condition
un homme de condition aurait bien peu de crédit, s’il n’empêchait son fils de s’y livrer, ou s’il ne l’en retirait, ne fût-c
ait tragique arrivé de son temps, les éloges que les lois en font. Le fils d’un Magistrat à qui son père destinait sa charge
nait le droit. Dieu fit à ce père infortuné une terrible justice ; le fils misérable fut enfin assassiné par un de ses compa
n autre avantage sur Lully, qui n’avait été qu’un Marmiton. Quinault, fils d’un Boulanger, selon Furetière, dans son Factum
esoin de distraction utile, et ne prendront-ils jamais la bourse d’un fils prodigue ou d’un père avare pour celle de Léandre
11 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IV. » pp. 68-81
plus touché de cet évenement fabuleux, que du récit de la Passion du Fils de Dieu & des Saints Martyrs. Tel est, Mademo
ainsi3 : Tu ne l’ignores pas, depuis le jour infame Où de mon propre fils je me trouvai la femme, Le moindre des tourmens q
e Devoit-il attirer toute votre colere ? Le connoissois-je helas ! ce fils infortuné ? Vous même dans mes bras vous l’avez a
time qui s’offriroit devant lui ; son malheur lui fait rencontrer son fils Idamante, qui se tue dès qu’il apprend le vœu de
12 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Madame de Longueville. » pp. 40-83
joie que par la comedie & le bal : la Reine l’accepta, y mena son fils , & en fit les honneurs. Toutes les toilettes
e fut, pour un sujet bien différent, l’Impératrice-Reine montrant son fils entre ses bras aux Etats de Hongrie. Pour achever
ettez-moi en prison : je suis la plus malheureuse mere du monde ; mon fils , ma fille, mon gendre se sont déclarés contre vou
& cette même suppliante, deux ans après, poussant à la révolte ce fils & cette fille pour qui elle avoit demandé gra
age du Duc de Mercœur avec une niece du Cardinal Ministre. C’étoit le fils d’un bâtard de Henri IV. Cependant le Prince de C
tre une foule de courans & de vents qui soulevoient les flots, le fils de Vénus étoit l’Eole qui leur lâchoit la bride,
te requête au Parlement, pour demander justice de la détention de ses fils & de son gendre. Elle suivoit l’exemple de la
tique, pour se justifier & lui demander grace. Elle lui point ses fils en prison, sa fille fugitive, sa belle-fille dégu
ats, entre dans la salle où les Chambres étoient assemblées, avec son fils , se jette à genoux au milieu du parquet, & ve
e, mere de S. Louis, fondatrice de cette communauté, qui disoit à son fils , j’aimerois mieux vous voir mourir que de vous v
des Bénéfices passera pour un rêve aux yeux du monde. Elle avoit deux fils qui prirent l’Etat ecclésiastique, & tous deu
quitterent, l’un par inconstance, l’autre par libertinage. C’étoit le fils de la douleur, Benoni filius doloris . Ils avoie
le plus grand courage. Sa plus grande douleur fut d’apprendre que son fils n’avoit pas reçu les derniers sacremens. C’étoit
les eaux de la mer les repousserent jusqu’en France. Quoi, mon cher Fils  ! n’a-t-il pas eu un seul moment pour se reconnoî
it un testament où il avoit laissé une bonne partie de son bien à son fils naturel, appellé le Chevalier de Longueville. La
rivain qui les rapporte est-il un bon panégyriste de la mere & du fils  ? Le reste de sa vie n’eut rien de remarquable au
13 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV.  » pp. 113-155
i écrivoit pour le remercier d’avoir pris les armes contre le Roi son fils , armoit contre le Roi d’Espagne, & lui demand
t la somptuosité effaçoit tous les Princes, surtout de Henri III, son fils bien aimé & son image (Charles IX étoit moins
Ces deux femmes toutes puissantes, l’une sur le pere, l’autre sur le fils , partageoient la Cour par leur crédit & leurs
r avoir été empoisonnée sur le soupçon de ses amours avec Dom Carlos, fils de son mari. Peut-être y a-t-il quelque exagérati
te famille ou plutôt est inséparable de l’amour. Le grand Turenne son fils découvrit de même à Madame de Coatquin le secret
, On fit voir à la Reine dans un miroir magique le regne de ses trois fils , François II, Charles IX & Henri III, & c
Les quatre lettres initiales couronnées F.K.H.A. désignent ses quatre fils , François, Charles, Henri, Rois de France, &
quand elle fut mécontente de lui elle le decrédita auprès du Roi son fils , & causa sa retraite de la Cour. S. retraite
point les derniers sacremens, & donna pour dernier conseil à son fils , qu’il n’eût garde de suivre, d’accorder à tous s
thelemi ; elle a eu la barbarie & la bassesse de mener le Roi son fils à la Greve, pour le repaître du spectacle affreux
lettre qui subsiste encore, d’avoir pris les armes contre le Roi son fils  ; suspecte à tous les partis, & detestée de t
s flatter & leur faire des excuses, se brouillant avec ses quatre fils , & mariant ses filles avec ses ennemis &
égea, la fit autoriser par les Etats du Royaume, & par le Roi son fils , qui par son conseil s’en déclara le chef, &
né aux femmes ; ses filles même furent de bonnes compagnes. Louis son fils les bannit pour avoir été scandalisé de leurs amo
vie est remplie de fables, passe pour une incestueuse avec son propre fils Ninias, qui la tua. Cathérine ne passa-t-elle pas
tua. Cathérine ne passa-t-elle pas pour avoir trop aimé son troisieme fils Henri III. Quel plus gauche panégyriste, qui la r
s il faut trouver de quoi vivre. S. dissipation étoit telle, que son fils Henri III formé de sa main, & son image, voul
14 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE II. De la Tragédie. » pp. 65-91
ouler des pleurs lorsque dans L’Enfant prodigue Euphémon embrasse son fils repentant et que les larmes de la tendresse pater
ette pièce, ne partage au moins dans ce moment le repentir d’Euphémon fils , et qui ne soit alors du parti de la Vertu. Que p
ti de la Vertu. Que présumer de là, sinon que si ces libertins et ces fils dénaturés venaient souvent aux spectacles, s’ils
t à cet homme : « Phèdre est une Marâtre qui persécute cruellement le fils de son mari, jusqu’au moment qu’elle en devient é
le est coupable elle-même. Thésée, dans le premier moment, dévoue son fils à la vengeance des Dieux et ce fils en devient la
ans le premier moment, dévoue son fils à la vengeance des Dieux et ce fils en devient la victime » ; il est certain que sur
nhumaine ; Pour mieux te résister, j’ai recherché ta haine. […] Digne fils du Héros qui t’a donné le jour, Délivre l’univers
re ingratitude. bg. [NDE] Voltaire, L’Enfant prodigue, Paris, Prault fils , 1738 [repr. 1736], Acte V, sc. 6, p. 98 sq. bh.
bv. [NDE] P. J. de Crébillon, Catilina [repr. 1748], Paris, Prault fils , 1749, Acte V, scène dernière, p. 96. bw. [NDE]
15 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 13
ands de sa cour ; il avait fait auparavant jeter en prison son propre fils héritier de sa couronne, nommé Léon-le-Sage, prin
liberté dans le luxe et la bonne chère, pendant que le prince, votre fils , est au fond d’une basse-fosse, en captivité et à
16 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Suite d’Elisabeth d’Angleterre. » pp. 33-82
cret. Le Roi d’Espagne en fut jaloux, & se vengea d’abord sur son fils qu’il fit mourir dans un bain ; ensuite de sa fem
s romans, l’amour du vieux Prince n’a pu le porter a faire mourir son fils & sa femme, son successeur au trône qu’il avo
lle auroit eu le plaisir de mettre la division entre le père & le fils , & elle s’amusoit à offrir sa main & sa c
ransport ; Philippe ne s’en éloignoit pas, tandis qu’il avoit cru son fils soumis & Catholique ; mais quand ces espéranc
L’Espagne offrit quelque temps après à Elisabeth D. Jean d’Autriche, fils naturel de Charles-Quint, frère de Philippe : c’é
la délicatesse sur cet article, elle le refusa pourtant ; le père, le fils & le frère se brisèrent à cet écueil. Elisabe
mme les courses perpétuelles de Charles Quint aprirent à Philippe son fils à ne pas sortir de Madrid. Il est vrai , répond-e
réputés coupables de haute trahison, comme si on pouvoit empêcher un fils de faire voir l’innocence de son père, & de t
’indignation, mais Marie n’eut point de vengeur, même dans son propre fils , Roi d’Écosse, trop foible il est vrai pour punir
on petit-fils détrôné par son propre gendre ; il en fut puni dans son fils & son successeur Charles I qui périt sur un é
es plus tragiques qui furent jamais, de sa mère par Elisabeth, de son fils par Cromvel. Elisabeth plus politique que Jacques
rs d’y témoigner sa douleur, en fit faire des excuses au Roi d’Ecosse fils de Marie, & au Roi de France son beau-frère,
litique, feindre, dissimuler, tromper. Le Parlement rendit justice au fils de Marie, indigné de ces horreurs & de ces fa
ffet la condamnation la plus authentique de sa conduite ; déclarer le fils de Marie Roi d’Ecosse, & légitime héritier du
in à baiser aux hommes ; à l’exemple de Saint Louis, elle donna à son fils les avis les plus pieux & les plus sages, qu’
our le Royaume d’Écosse, de France & d’Angleterre pour le Roi son fils , la Reine Elisabeth, ses juges & ses persécut
17 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Première Lettre. De madame d’Alzan, À madame Des Tianges, sa sœur. » pp. 18-20
laisant, il est déjà changé ! Le gage précieux de notre tendresse, ce fils que je lui ai donné n’a pas retardé ce cruel chan
e le fait votre sincère Ursule d’Alzan. P.S. Votre fille & mon fils se portent bien : la petite Sophie demande sa mam
18 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Douzième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 250-253
e : si quelquefois j’hésite ; si je me sens intimidée, je regarde mon fils , & la force me revient. Il faut le gagner ; c
e !.. Ma sœur… Ah qu’Ursule vous aime ! P. S. Votre fille & mon fils ont fait bien des caresses à monsieur D’Alzan. Il
19 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
ge avez-vous d’être toujours du mauvais parti ! Eh ! non Monsieur, le fils d’Harpagon qui le vole et lui manque de respect n
e de respect n’est pas plus criminel que son père. Tous les crimes du fils sont les siens puisqu’il en est la cause : et qu’
là encouragent ceux-ci. Quand Molière donc fait voler un père par son fils , qu’il fait désirer à un valet l’occasion de vole
ent la cause. N’est-il pas vrai que si Harpagon ne refusait pas à son fils jusqu’au nécessaire ; s’il ne portait pas la lési
certain en un mot que s’il n’était pas un monstre dans la société son fils ne commettrait pas les fautes qu’il commet et que
pas en se comparant avec Harpagon votre protégé ? Il est odieux qu’un fils vole son père, il est odieux qu’il lui manque de
st mille fois plus excusable quand le père en est cause, que quand un fils est porté à ces excès par sa propre corruption ?
ruption ? Ergo si Harpagon est la cause de tous les égarements de son fils , il est le premier et le plus criminel ; et cette
20 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE III. Qu'une Mère est très coupable de mener sa fille aux Spectacles. Que c'est une erreur de croire que la Comédie soit destinée à corriger les mauvaises mœurs. Que rien au contraire n'est plus propre à les corrompre. » pp. 65-75
es de l'Eglise ont parlé conformément à ces règles Evangéliques. « Un fils , dit saint Augustin, doit obéir en tout à son pèr
e, excepté contre la Loi de Dieu, et quand dans cette circonstance un fils préfère Dieu à son père, le père n'a pas droit de
u à son père, le père n'a pas droit de se mettre en colere contre son fils . » « Il n'est permis de désobéir à ses parents qu
21 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-4
la Préface de Phedre reconnoît-il une partie de la vérité ; & son fils , élêve de ses dernières années, où il avoit embra
crédule, Tartuffe pour enlever son bien, Phedre pour faire punir son fils . Celle-ci apprivoise avec le vice, lie avec les c
22 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VIII. Comédie du Tartuffe. » pp. 161-179
ntillesses. 2.° C’est une grande indécence, ou plûtôt un crime, qu’un fils parle à son père ou à sa mère de la maniere la pl
ère ou à sa mère de la maniere la plus insolente, & le père à son fils avec le plus grand emportement. L’un résiste en f
famille, lui donne sa fille & tout son bien ; au préjudice de son fils unique, chasse pour lui son fils de sa maison, se
tout son bien ; au préjudice de son fils unique, chasse pour lui son fils de sa maison, se laisse gourmander par sa servant
leux. C’est encore un emporté, un furieux, un jureur, qui parle à son fils , à son frère, à sa mère, à sa servante, comme un
peindre le Héros, avec Dorine & le reste de la maison. Damis, le fils , n’est qu’un étourdi, un fou, un emporté, qui ne
aquelle il ne peut pas compter ? & après avoir été surpris par le fils , déféré au mari, abandonné par la femme, peut-il
23 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies a corriger. » pp. 295-312
et plus innocent. Pour ce qui est de la querelle entre le père et le fils à propos de l’usure et du mariage du Vieillard av
ons qui sont trop fortes, et même très indécentes dans la bouche d’un fils , quelque sujet de plainte qu’il puisse avoir cont
ue Crémante père d’Acante, est devenu amoureux de la prétendue de son fils et veut l’épouser. De l’autre côté, Ismène Maître
24 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
uestion cependant que de l’importante affaire de la reconnaissance du fils de Maurice, ces Amants ne se trouvent jamais tête
e ; mais Corneille a marché par une autre route : il a supposé Léonce fils de Maurice, et par conséquent frère de Pulchérie 
’aurait réduite à l’extrémité, si elle ne l’eût pas fait connaître au fils de son époux, dont elle était follement éprise. N
le père qui aime Zénobie et qui la veut épouser, pendant que les deux fils en sont éperduement amoureux l’un et l’autre. Voi
asmane ; mais elle rejette, avec la même fermeté l’amour d’Arsame son fils  ; quoiqu’elle soit prévenue en sa faveur, et cela
struire En effet, l’amour violent de Titus et de Tiberinus, tous deux fils de Brutus, pour Julie fille de Tarquin, est porté
25 (1608) Traitté contre les masques pp. 3-36
s ruës masquez & deguisez en fols, en l’honneur de la natiuité du fils de Dieu tenant des masses à la main farcies de pa
stin.Les heresies de Marcus, de Cerdon, & autres, estoient que le fils de Dieu eternel n’auoit pris qu’vn corps vmbratil
s, & leurs sectateurs déroboient a Iesus Christ l’honneur d’estre fils de Dieu & à la vierge la gloire de sa pudicit
en l’heresie des Carpocrasiens & Heluidiens, & enueloppent le fils de Dieu tout sainct, tout-pur & tout-net, dan
& de monstres, & en leur place de representer la natiuité du fils de Dieu, le reueil de l’Ange aux Pastres, la Circ
iarche Balsamõ la blasme Can. 16.ores que le Patriarche Theophilacte fils de l’Empereur Romanus Lucapenns l’eust instituée
ussez d’autres mouuemens, que c’est pour mener ioye de la natiuité du fils de Dieu, & s’esgayer honnestement comme l’on
ieurs endroicts qui veulẽt trop naïfuement representer la natiuité du fils de Dieu par le bœuf & l’asne. Ceste maniere d
mp; sacré, & porte au frontispice l’image d’vne vierge tenant son fils Iesus, arriere prophanes impures de cet objet de
eu ceste nuict la vierge mere de misericorde tenant sur son giron son fils qu’elle a enfanté ceste nuict, & a veu vne mu
26 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE III. Suite du Mariage. » pp. 55-79
ères, d’effrontées, de jureurs, de frippons, de débauchés, de mauvais fils , de mauvais maris, &c. en un mot, la lie de l
piquans de sa satyre, peu de familles où l’on n’en trouve de père en fils . Ce soupçon outrageant est devenu par son moyen u
-vous la voir jusqu’à la quatrieme génération, parce que vous êtes le fils d’un vertueux Israëlite, religieux & charitab
l’enfer ? Le sermon du bonhomme Tobie n’est pas moins roturier : Mon fils , payez vos dettes, ne faites pas attendre l’ouvri
L’éducation la plus sainte avoit depuis le berceau préparé le cœur du fils , les exemples de toutes les vertus avoient consta
dans la chambre & sur le lit d’un valet de chambre, où le mit son fils , le Roi des Romains, qui étoit auprès de lui &
& un moyen d’attirer la bénédiction du ciel sur le mariage de son fils . Les nouvelles publiques, qui n’osent parler qu’à
27 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
Montfleury, Auteur de la Mort d’Asdrubal, florissait en 1673. 17. Le fils du précédent, devint Avocat : il a composé 16 Com
r de 7 Comédies-Farces. 22. Clavareau, en 1712 ou 1717. 23. Ponteuil, fils d’un Notaire, se distingua dans les Rôles de Rois
la Déclamation, trop négligé avant lui (& après). 24. P. Poisson, fils de Raymond, Comédien-Auteur : son Théâtre est com
er & les Rôles à manteau dans la plus grande vérité. 31. Duchemin fils . 32. Le Grand, mort en 1728 : Auteur-Comédien : l
ièces : son Théâtre consiste en dix-huit Comédies. 33. La Thorillière fils , fameux Acteur dans le Comique : environ 1688. 34
ville, retiré en 1741. 36. Fleuri, retiré la même année. 37. Poisson, fils de Paul ; mort à Saint-Germain. 38. Le Grand, deb
39. La Thorillière, petit-fils de M. Le Noir de la Thorillière, & fils du fameux Acteur de ce nom ; jouait lui-même supé
28 (1574) Second livre. Seconde épître. Cécile Cyprien à Donat [extrait] « letter » pp. 40-41
t commis, mais par fureur qui les stimule. Les pères contemplent leur fils , le frère est au fond et au bas du Théâtre, la sœ
it présente, pour recevoir la tristesse et angoisse de la mort de son fils . O mon Dieu ! la mère Il y a en latin redimit. Il
29 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
ue si un homme naturellement doux & moderé, vient à perdre ou son Fils ou quelque autre chose qui lui soit extrêmement c
tié, comme par exemple lorsqu’un frere est prêt de tuer son frere, un fils son pere, une mere son fils, ou un fils sa mere,
u’un frere est prêt de tuer son frere, un fils son pere, une mere son fils , ou un fils sa mere, & ce sont ces événemens
st prêt de tuer son frere, un fils son pere, une mere son fils, ou un fils sa mere, & ce sont ces événemens qu’un Poëte
: si un ennemi tue son ennemi, la vue du sang en causera ; mais si un fils tue son pere, l’émotion sera bien plus grande. Ce
a Rhétorique, il rapporte l’exemple d’Amasis, qui voyant conduire son fils au supplice ne pleura point, & pleura à la vu
arracher sa fille pour l’immoler, trouve le cadavre du dernier de ses fils qu’elle croyoit avoir sauvé, souffre des maux qu’
teur de façon qu’il en épouse les intérêts, comme un Pere ceux de son fils . Je prens pour exemple l’Iphigénie Françoise : el
aines Familles. On ne voit point sur le Théâtre de la vie humaine, un Fils involontairement meurtrier de son Pere, & Mar
involontairement meurtrier de son Pere, & Mari de sa Mere, ni un Fils de dessein prémédité, assassin de sa Mere. Ainsi
t aux Exploits guerriers contre les ennemis de l’Etat, en disant à ce Fils , Ton premier coup d’épée égale tous les miens.
30 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Maurice de Saxe. » pp. 118-145
oit un tempéramment violent qui le livroit aux femmes (aussi étoit-il fils de l’amour) : mais, peu constant dans ses goûts,
ment du sien Le Roi son pere, qui n’étoit pas plus scrupuleux que son fils adultérin, il lui envoya sa grace, sans qu’il la
office divin, habillée en chanoinesse, souvent à son côté Maurice son fils , qu’elle menoit avec elle ? Il a doublement joué
vers aussi : le plus beau trône n’en est pas exempt. Elle accoucha du fils de Mars. Le Roi en eut une joie infinie, il y cru
spectacle, la fievre putride augmenta elle mourut bientôt après. Son fils lui survécut plusieurs années, porta de tous côté
mp; d’honneur ; & sans doute le pere n’eût point souffert que son fils en fût privé. Il étoit si considérable qu’il mit
ent en même-temps un cœur ? Berg-op-zoom se seroit rendu. Maurice fut fils de la comédie. Ce fut celle de Psyché, piece très
31 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54
omestique qui vole son maître, & est loué & récompensé par le fils qui veut avoir de l’argent pour fournir à sa pass
intrigue des Fourberies de Scapin & de cent autres comédies). Le fils & la fille se flattent mutuellement dans leur
; entr’eux, & à lui-même, le bravent, & se moquent de lui. Le fils parlant de son mariage lui dit insolemment (Act. 
maître Jacques leur cocher veut mettre la paix entre le père & le fils qui le prennent pour arbitre. Il les éloigne un p
. Ce grossier artifice est découvert dans le moment. Le père & le fils , plus irrités que jamais, recommencent à s’injuri
rez. Je te donne ma malédiction. Je n’ai que faire de vos dons. Et ce fils est récompensé, le mariage se fait malgré le père
rdinaires, est un grand mal sans doute ; mais l’énorme prodigalité du fils , qui pour contenter sa passion, emprunte de toute
32 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
Ministre, et venge l’injure par une peste. Adrastus et AmphiusIbid. fils de Merops Prophète étaient Maîtres d’une vaste ét
dait les troupes de la Mysie pour les assiégés. Phégeus et IdœusIbid. fils de Darès Prêtre de Vulcain sont en équipage de ge
e arx alta maneres.Æneïd. 2. Ce Laocoon était Prêtre de Neptune et fils de Priam ou frère d’Anchise qui était de la maiso
e Livre, nous voyons encore un autre Prêtre d’Apollon ; c’est Hélénus fils de Priam et Roi de Caonie. Il reçoit Ænée avec be
œte Prêtre de Cérès. Ce Polybœte est cité de compagnie avec les trois fils d’Antenor, avec Glaucus et avec Thersilocus qui c
n air grave et majestueux à l’injuste accusation, appelle le Roi, son Fils  ; et lui annonce son infortune prochaine. Euripid
iss. p. 358. Tirésias déclare à Créon l’alternative de la mort de son fils , ou de la perte de la ville : Créon se possède de
et n’éclate point en ces cruelles circonstances : après même que son fils s’est tué, il ne fait ni des plaintes aux Dieux,
33 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE IV. Pieces singulieres. » pp. 107-153
échal de Richelieu voulut accomoder ce procès. Le Duc de Fronsac, son fils , avoit donné la premiere médaille d’or ; le père
st dûe à leur soutien. Je vois les mêmes nœuds de la France & ses fils , Hors du terme commun leur montrer des vertus. Si
Lorsqu’en nommant leur Roi nos généreux ancêtres Ont choisi dans ses fils la race de leurs maîtres. Quand des soldats vainq
beau-pere, beaucoup plus âgé qu’elle, & que Sella, son troisieme fils , a été amoureux de Thamar, sa belle-sœur, veuve d
Puisqu’on dit qu’elle aimoit le père, pouvoit-elle vouloir épouser le fils  ? double amour, qui la rendoit méprisable, indign
& l’exposoit au dernier supplice. Elle se détermine enfin pour le fils , désire son mariage, fixe le jour des noces, se f
trature municipale. Le fond de la piece est une action généreuse d’un fils qui se rend volontairement forçat à la place de s
-peu fait à tous égards pour être célébre, fut accusé d’avoir tué son fils , parce qu’il vouloit se faire Catholique. Deux ho
upable. Catholique, Protestant, Juif, Mahométan, qui eût étranglé son fils , la Chambre Tournelle eût également fait expirer
les plus horribles forfaits impunis ? Mais il est innocent, c’est son fils qui s’est pendu lui-même : suicide sans vraisembl
mnestre que les Juges ont fait mourir pour venger l’assassinat de son fils Oreste ? Ayant été condamné à mort, Pilade son am
34 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128
x, des valets industrieux, ne prendra-t-il pas un jour la bourse d’un fils prodigue ? » Il nous fait assurément beaucoup d’h
es débauches des Enfans d’Israël ; celle du Roi Prophète & de son Fils  ? toutes ces citations pour faire haïr le crime n
p longtems à son gré, il résolut de l’empoisonner de concert avec son Fils César Borgia, qu’il avait eu étant Cardinal, de V
vin dont on ne devait servir qu’à ce Cardinal, mais le Pape & son Fils étant arrivés avant lui dans ce jardin, & aya
r les mérites des Vertus contraires à tous ces horribles vices. » Son Fils (dit-on) s’étant fait mettre dans le ventre d’une
un Cavalier qu’elle aimait éperduement. Jean & Garcie, tous deux Fils de Cosme, Duc de Florence, avaient conçu l’un pou
il avait tué son Frère, & le lui enfonça dans le sein. Mainfroy, Fils naturel de l’Empereur Fréderic II, fut voir ce Pr
at & dans la religion » seraient donc préférables à un Clovis II, fils de Dagobert I, Père du peuple44 à un Dagobert II,
fils de Dagobert I, Père du peuple44 à un Dagobert II, dit le Jeune, fils de Sigebert III, dont le gouvernement pacifique &
de boire autant que lui, le mit au tombeau, fin glorieuse. Winceslas, Fils aîné de Charles IV, ne commet que des actions de
une jambe fracassée. Ce fut dans un excès de vin qu’il fit mourir son Fils dans les tourmens les plus affreux ; s’il eut été
uloir. Les premiers effets du vin ont exposé un Père aux regards d’un Fils , dans un état que la décence ne me permet pas de
uement caressées par leurs maris ou leurs amans. Dieu sait combien le fils immortel de Sémèle, & l’aveugle amant de Psic
de leur travail, &c. 31. Favori de Tibère. 32. Martin Luther, Fils d’un Forgeron, né à Islèbe, Comté de Mansfeld. 3
font métier ; la conséquence est sûre. 36. Madame du Châtelet. 37. Fils du Chancelier, Homme charmant, de la plus belle f
Dédale pour une plume aussi faible que la mienne. N’imitons point le Fils téméraire de cet Architecte fameux qui sut cacher
sa Concubine, firent élever ce monument à C. Mamercius Janvarius leur Fils naturel, & à leur Cousine qui n’est point nom
35 (1865) Mémoires de l’abbé Le Gendre pp. 189-194
r le théatin qui en était l’auteur. Ce théatin était le Père Caffaro, fils d’un Sicilien qui avait fait révolter Messine, en
ensemble dans une maison de qualité, et de ce que Boursault avait un fils théatin. C’était ce poète qui avait excité le Pèr
36 (1834) Discours sur les plaisirs populaires « Discours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles » pp. 1-33
berté. Un jubilé insultant pour nos pères, injurieux pour nous, leurs fils , héritiers de leur courage et de leurs opinions,
n notre Dieu ; mais sa colère a été désarmée par le sacrifice que son fils lui a offert pour notre rédemption. Pourquoi ce s
e Dieu ne lui en fit point le reproche ; Dieu punit, au contraire, le fils qui n’avait point caché cette faiblesse d’un père
le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils , que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pau
us vous supplions d’arrêter les effets de ces menaces que votre divin Fils adresse aux faux interprètes de sa loi, et encore
Faites qu’ils répètent avec nous ces paroles si consolantes de votre Fils  : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et
r Constantin Ier, converti au christianisme, a fait mettre à mort son fils Crispus et sa femme Fausta pour des raisons assez
37 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « [FRONTISPICE] »
ieces qui y sont relatives. A AMSTERDAM,Chez Zacharie Chatelain et fils , Imprimeurs-Libraires.M. DCC. LIX.
38 (1707) Lettres sur la comédie « [frontispice] »
re Par le P. Desmolets Tome sept, partie premiere A PARISChez Nyon fils , Quai des Augustins,près la rue Gille Cœur,à l'Oc
39 (1733) Traité contre les spectacles « [FRONTISPICE] »
raduit en françois par M. Caubère [mention manuscrite] A PARIS Rolin fils , Quai des Augustins,à S. Athanase.MDCCXXXIII Avec
40 (1702) Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour. Lettre de Lettres curieuses de littérature et de morale « LETTRE. de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour, qui lui avait demandé quelques réflexions sur les pièces de Théâtre. » pp. 312-410
ipe apprend la mort de Polybe, Roi de Corinthe, dont il croit être le fils  ; il mêle à sa douleur quelque espèce de joie, pu
rtrier de son père ; mais il apprend en même temps, qu’il n’est point fils de Polybe ; et cette nouvelle emmène le dernier s
cette nouvelle emmène le dernier secret de sa destinée : Il se trouve fils de Laïos, qu’il a tué, et de Jocaste qu’il a épou
’il eût de la haïr, il n’y a point de raison, qui puisse autoriser un fils à commettre un parricide, et à tremper ses mains
s sa Phèdre. Cette Princesse conçoit un amour violent pour Hippolyte, fils de Thésée, son mari : Après bien des combats, ell
es que fait cette mère infortunée, après avoir trouvé le corps de son fils Polydore, que le perfide Roi de Thrace avait fait
ée à se venger, et qui arrache elle-même les yeux au meurtrier de son fils . Quoique ce Roi barbare eût bien mérité ce cruel
redoubler encore la douleur de Polyxène, c’est que Pyrrhus, le propre fils d’Achille, était celui qui demandait ce barbare s
41 (1646) Science du chrétien « [FRONTISPICE] »
Peres et Docteurs de l’Eglise. A Paris Chez Pierre de Breche Père et Fils , ruë S. Etienne des Grecs, à l’Image S. Joseph.
42 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Henri IV. » pp. 121-168
ui sont peu enthousiasmés de la noblesse commerçante. L’auteur est-il fils de marchand, où a-t-il voulu se moquer de la nobl
ayenne lui-même  ; que le pere de l’amant change & permette à son fils d’épouser une royaliste qu’il lui avoit défendue 
même après la mort de Henri, quoique la Cour de sa veuve & de son fils fût très-décidée, & lui fît sentir son mécont
intenue dans le Béarn, favorisée en Hollande & en Allemagne ; son fils a été obligé d’aller en Béarn, même en personne,
mp; établi les Italiens, que le Parlement avoit chassé. 5°. S. Louis, fils d’une Reine très-pieuse, qui l’éleva dans la piét
mens les plus chrétiens, après avoir reçu tous les Sacremens ; Henri, fils d’une Reine furieuse qui fit mourir des milliers
ince : Louis. XIII. portoit & méritoit le nom de Juste, comme son fils celui de Grand & son petit-fils celui de Bien
lui mérite-t-elle le titre de Juste qu’on ne lui a jamais donné ? Son fils se laissa éclipser par le Cardinal de Richelieu,
rochent-ils des sages leçons que ce saint Roi laissa en mourant à son fils  ? Enfans de S. Louis, imitez votre pere , écrivo
e après sa mort : poursuivie, éloignée de la Cour, brouillée avec son fils , en butte au Cardinal de Richelieu, elle alla mou
43 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE A M. RACINE, Sur le Théatre en général, & sur les Tragédies de son Père en particulier. » pp. 1-75
uroit gré. Vous avez toujours craint qu’on ne trouvât singulier qu’un fils s’érigeât en Commentateur des Tragédies de son pè
ulté qui vous arrête, n’en est pas une, selon moi. On ne blâme pas le fils d’un Grand homme d’être le panégyriste de son pèr
éputation du mort doit décider de la conduite du vivant. On diroit au fils de Pradon : Honorez la mémoire de votre père, mai
mémoire de votre père, mais oubliez qu’il ait fait des Tragédies. Au fils de Racine, comme à celui de Virgile, on leur crie
es Tragédies a paru se repentir d’avoir travaillé pour le Théatre. Le fils qui, quoique homme de Lettres & Poëte lui-mêm
le bon-sens. Je ne lis point sans attendrissement ce qu’il dit à son Fils aîné, pour le consoler d’avance des critiques qu’
de ce mot, & discutons clairement nos idées. Quoique je parle au Fils de Racine, je lui déclarerai ingénument que son P
Rodrigue, Amant aimé de Chimène. Le vieillard deshonoré confie à son fils le soin de sa vengeance. Quel coup de foudre pour
il projette, sa haîne implacable contre les Romains, secondée par son fils Xipharès, les liaisons de Pharnace avec ces mêmes
i prononcer le nom qu’avec respect, & j’adresse ma critique à son Fils . Vous en ferez l’usage que vous jugerez à propos 
44 (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32
il fallait que le père fût absolu, qu’il parlât toujours sans que le fils osât lui dire mot, que la religieuse, bien loin d
t paru pour tous personnages qu’un père qui eût fait des leçons à son fils et qui eût invoqué la colère de Dieu pour l’exter
hes transports que vos oreilles avaient entendus, que l’impiété de ce fils , que vous connaissiez pour imaginaire et pour chi
45 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Avertissement. » pp. -
t préférer à Bajazet une mort certaine au Thrône Ottoman ; à l’un des fils de Mithridate, une chûte honorable, aux avantages
mnon ; à Andromaque la main de Pirrhus, & la mort au salut de son fils . C’est par le choc tumultueux des passions &
46 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Huitième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 287-295
’avait pris la main, & qui la pressait faiblement, m’a montré son fils  : — Voila, m’a-t-il dit, le gage précieux d’une h
s même… Vous allez la voir —. J’ai cessé de l’écouter ; j’ai pris mon fils dans mes bras ; & plus clairvoyant par l’inst
47 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE PREMIER. Comparaison des Théâtres anciens avec les modernes. » pp. 2-17
présentation d’une Comédie si instructive. L’Avare a deux enfants, un fils et une fille : le fils aime éperdument la maîtres
die si instructive. L’Avare a deux enfants, un fils et une fille : le fils aime éperdument la maîtresse de son père ; et la
48 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XI. Les Grecs ont-ils porté plus loin que nous la perfection de la Tragédie ? » pp. 316-335
et odieux : un Poëte Grec n’eût pas épargné aux Athéniens la vue d’un Fils empoisonnant sa Mere. Il ne falloit pas un grand
te avec ses Conseillers, Ptolomée avec les siens, Mithridate avec ses Fils , Scenes que ne connoissoit point la Tragédie Grec
u tems d’Œdippe, Jocaste, sitôt qu’elle eut découvert qu’il étoit son Fils , se donna la mort, & il paroît par Homere qu’
49 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre I. Que les Spectacles des Anciens ont fait partie de la Religion Païenne. » pp. 2-35
auteur. Les PanathénéesSuid. in Panat. furent instituées par Erychton fils de Minerve et de Vulcain ; et ceux de Musique en
ussilla, et depuis à ses funérailles. A la naissanceDiod. l. 16. d'un fils de l'Empereur Claude les Préteurs en firent autan
avertir le Senat, afin de refaire les Jeux ; ce qu'ayant négligé, son fils mourut, et il demeura lui-même perclus de tous se
50 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — introduction » p. 2
Le Fils de Dieu étant venu en ce monde pour y apporter le
51 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I. Des Parfums. » pp. 7-32
distribuer à ses Officiers pour ne pas les rendre efféminés. Cambise fils de Cirus, élevé mollement, & pensant bien dif
’Esau étoient parfumés ; Isaac y fut trompé, & prit à l’odeur son fils Jacob pour son fils aîné, ut sensit vestimentoru
és ; Isaac y fut trompé, & prit à l’odeur son fils Jacob pour son fils aîné, ut sensit vestimentorum fragrantiam . Tout
yrie poursuivre son mari, disoit-elle, en Allemagne pour délivrer son fils Richard ; deux fois en Espagne pour aller cherche
e donnoit une vigueur, une force surprenante. Quand Thétis envoya son fils pour arrêter Prothée ; elle oignit tout son corps
52 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VII. Histoire des Cas de Conscience. » pp. 159-189
rasse de Théologie au théatre ? Aussi n’étoit-ce pas son ouvrage. Son fils , Religieux Théatin, le lui procura. Il alla déter
tille, craignit quelque disgrace, & pour lui même, & pour son fils . Il eut à essuyer les reproches du P. Caffaro, Pr
à ses enfans. Dans sa vie édifiante qu’a donné de son pere, Racine le fils , malgré l’analise, l’éloge, l’apologie qu’il fait
a chair de pourceau : Il vaut mieux être le pourceau d’Hérode que son fils . Enfin Mariamne, sa propre femme, la plus belle f
a corruption des mœurs, l’horrible Déicide ; qui sous le regne de son fils , fut consommé sur le Calvaire. Ce Prince fait dan
. Jesus-Christ nacquit sous son régne, & mourut sous celui de son fils , après saint Jean, son précurseur. Il fut méprisé
53 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Suites des diversites curieuses. » pp. 138-172
nt guere. Monfleuri, célebre Acteur & Auteur, aussi bien que son fils , dont les pieces sont indécentes, mourut presque
nquer, ou du moins contribua beaucoup à faire manquer l’entreprise du fils du Roi Jacques pour remonter sur le Trône. Il ne
s d’une femme, de la coqueterie d’une fille, de la désobéissance d’un fils , d’un mariage de passion, de la friponnerie d’un
de Crebillon, ce qui lui fit faire une replique très-piquante par son fils . On demandoit au pere quel de ses ouvrages il cro
rages il croyoit le meilleur. Il éluda la réponse, & montrant son fils qui étoit présent : Voilà , dit-il, le plus mauv
nt son fils qui étoit présent : Voilà , dit-il, le plus mauvais. Son fils repliqua : il est vrai que je ne suis pas l’ouvra
e de l’Opéra, de quatorze à quinze ans, plut si fort à M. le Dauphin, fils de Louis XIV, qu’il en voulut faire sa maîtresse 
54 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
Illustre rejetton de ce Prince qui conduisit l’armée grecque à Troye, fils d’Agamemnon, il vous est donc permis de revoir l’
la dépense. Thémistocle l’entreprit une fois pour Phrynicus. Sophocle fils d’un Maître de forges de Colone, bourg de l’Attiq
sont Arnauld Daniel de Tarascon, qui vivoit en 1189 ; Anselme Faydit fils d’un Bourgeois d’Avignon, pensionné du Légat, &am
Roi, à la réception de la Reine d’Angleterre, du Prince de Galles son fils , & du Prince Robert son neveu : en 1651, le b
stinien(a) voulant rechercher l’amitié des François, fit proposer aux fils de Clovis, Childebert Roi de Paris, & Clotair
ssant, que celui de toute une Nation réunie ! Là un pere diroit à son fils , « Vois au milieu de cette auguste assemblée, le
ujours en décroissant, depuis Charles le Simple. Louis d’Outremer son fils , & Lothaire son petit-fils avoient si peu de
55 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IX. Défauts que les Etrangers ont coutume de reprocher à notre Tragédie. » pp. 231-259
Agrippine irritée de ce qu’un homme qu’elle a fait Gouverneur de son Fils , ne la laisse jamais seule avec lui, dit à Burrhu
onc élevé si haut votre Fortune, Pour mettre une barriere entre mon Fils & moi ? quelle image présente ce mot ! Cet
vé si haut, est devenu une barriere, qui l’empêche d’approcher de son Fils . On ne doit donc pas attaquer notre Tragédie, sur
ple. Andromaque recommandant à sa Confidente de faire connoître à son Fils les Héros de sa Race, ajoute, Di-lui par quels
56 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V. Le but des auteurs et des acteurs dramatiques est d’exciter toutes les passions, de rendre aimables et de faire aimer les plus criminelles. » pp. 51-75
use sa mère, et se trouve le frère de ses enfants ; un autre force un fils d’égorger son père ; un troisième fait boire au p
s d’égorger son père ; un troisième fait boire au père le sang de son fils . On frissonne à la seule idée des horreurs dont o
et de prêter à usure ; mais n’en est-ce pas un plus grand encore à un fils de voler son père, de lui manquer de respect, de
nte, en est-elle moins punissable ? et la pièce où l’on fait aimer le fils insolent qui l’a faite, en est-elle moins une éco
57 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
cœur humain ; mais il n’y en aura pas un seul qui ne soit ou père, ou fils , ou mari, ou citoyen : et si, par hasard, il se r
par leurs enfants, prennent contre eux des sentiments de haine : les fils , de leur côté, deviennent ennemis de leurs propre
58 (2019) Haine du théâtre: Bibliographie France (traités, pamphlets, documents, etc.)
autres pièces qui y sont relatives, Amsterdam, Zacharie Chatelain et fils , 1759, in-8, IV-156 p. PDF : Google. Corpus OBVIL
e de M. Rousseau, citoyen de Genève, Amsterdam, Zacharie Chatelain et fils , 1759, in-8º, IV-156 p. PDF : Google. Réédition
ique des mœurs, Maximes de conduite propres à la Société, Paris, Nyon fils ,1751, 2 vol. in-12, tome I, viii-328 p. ; tome II
Mémoires de Litérature et d’Histoire, t. VII, 1re partie, Paris, Nyon fils , 1749, 478 p. (1 f.). PDF : Google. Corpus OBVIL.
des Peres & Docteurs de l’Eglise, Paris, Pierre de Breche père et fils et Mathurin et Jean Henault, 1646, (7 ff.) 726 p.
ugmentée, et corrigée avec beaucoup de soin, Lyon, Veuve Delaroche et fils , Frères Duplain, 1746, t. IV. PDF : Google. → Tex
ionnaires du monastère royal de S.-Louis de Poissy (Paris, F. Pralard fils , 1698, in-12, pièces limin., 199 p.) ; texte augm
’Abbé Parisis, docteur en théologie, Bruxelles, J.-J. Vanderborght et fils , 1829, X-242 p. PDF : Google. Marchant, L’Im
sur ses sentimens touchant les spectacles, Genève, Emanuel Du Villard fils , 1759, in-8º, VIII-160 p. • Repris dans les éditi
rmons de M. Massillon…, Carême, tome second, Paris, Veuve Estienne et fils , Jean Hérissant, 1746, 571 p. → Texte : passage p
M. Mauroy, avocat aux Conseils du Roi, Paris, impr. de Lachevardière fils , 1825, in-8°, 50 p. Exemplaire BnF Tolbiac : 8-LD
rtant sur les plaisirs et sur le jeu. Rééditions • Paris, Méquignon fils aîné, 1822-1824, 15 vol. • Paris, Parent-Desbarre
xions, par Lindley Murray, traduit de l’anglais, Paris, Lachevardière fils , 1824, in-12, 28 p. PDF : Google. Corpus OBVIL.  
i anno 1733 in Ludovici Magni collegio, Paris, Jean-Baptiste Coignard fils , 1733, in-4º, 52 p. PDF : Gallica.   Traduction f
par le P. Brumoy de la même compagnie, Paris, Jean-Baptiste Coignard fils , 1733, in-4º, 48 p. Ex. BnF Richelieu, Musique :
PDF : Gallica. Corpus OBVIL.   Éditions modernes • Genève, J. Gay et fils , 1869, in-12, XI-67 p. Voir Wikisource. • in Mol
des ouvrages de l’auteur par Charles Giraud, Paris, J. Léon-Techener fils , 1865, t. II, p. 320-334. PDF : Gallica. Transcri
ux martirs ; traduits en françois [par Mathieu Caubère], Paris, Rolin fils , 1733, in-12, (3 f.) XVIII p. (2 f.) 377 p. + tab
59 (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62
rmes.6. Il nous dit encore que Celui qui aime le péril y périra 7. Le Fils de Dieu a porté, contre les amateurs des joies pr
acles. II. Le Christianisme tend à nous rendre conformes à l’image du Fils de Dieu 26, et à nous faire acquérir les vertus q
aillé pour le Théâtre. Voici ce que le célèbre Racine écrivait à son fils sur les Spectacles. « Croyez-moi, mon fils, quand
èbre Racine écrivait à son fils sur les Spectacles. « Croyez-moi, mon fils , quand vous saurez parler de Romans et de Comédie
rdonnables. L’un tue son père, et épouse sa mère ; un autre force son fils d’égorger son père ; un troisième fait boire à so
’égorger son père ; un troisième fait boire à son père le sang de son fils . On frissonne, à la seule idée des horreurs dont
60 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Anecdotes de Cour. » pp. 171-202
e admirable . Au contraire, un grand roi dans l’histoire disoit à son fils  : N’as-tu pas honte de danser si bien ? Un comé
prendre le titre de Roi, & relegué Chilpéric dans un couvent. Son fils Pépin ne mit la couronne fut sa tête qu’après bie
singulier en cinq actes. 1°. La mort de Vespasien, les pleurs de son fils , les hommages du Sénat, en pas graves. 2°. Les fu
es. 2°. Les funérailles, l’apothéose de l’empereur, les larmes de son fils sur son buste, à force de douleur il s’endort, pa
es, tout le reste porte à faux. Vespasien triompha des juifs avec son fils Titus, & survécut plusieurs années à ce triom
lugubres de la mort & des funétailles de Vespasien, le sommeil du fils pendant la céremonie, sa joie folle & indécen
61 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 3 : Livre VI, chap. 15] » pp. 663-664
ésentées sur le Théâtre. Le Poète Euripide In Hecuba. feintj Polydore fils de Priam et d’Hécube retourner des Enfers, et pro
62 (1824) Du danger des spectacles « INTRODUCTION. » pp. 1-3
s préjugés qui ont pour eux l’autorité des temps et un vieux respect, fils de l’habitude ; de même que le résultat de ces at
63 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVII.  » pp. 471-473
e aussi ne s'est jamais blessé de ces paroles barbares d'un père à un fils , à qui il donne charge de le venger. « Va contre
64 (1675) Traité de la comédie « XVII.  » pp. 297-299
upable. » On écoute avec plaisir ces paroles barbares d'un père à un fils , à qui il donne charge de le venger. « Va contre
65 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
le, s’ils avaient autant de respect, d’estime et d’admiration que son Fils et elle pour M. Panulphe ; que toute leur méchanc
entrée du second, comme on a vu.   Ainsi le troisième commence par le fils de la maison et Dorine, qui attend le Bigot au pa
rien » ! Le bonhomme charmé par cette humilité, s’emporte contre son fils d’un étrange sorte, l’appelant vingt fois « Coqui
tte aussi d’abord pour le relever, avec des rages extrêmes contre son Fils . Enfin, après plusieurs injures, il veut l’oblige
n de tout son bien ; qu’un gendre vertueux comme lui vaut mieux qu’un fils fou » comme le sien. Après avoir exposé ce beau p
mande d’abord « quel bruit c’est qui court d’eux par le monde ? » Son Fils répond que c’est que « Monsieur Panulphe le veut
un long lieu commun « de la médisance et des méchantes langues ». Son Fils lui dit qu’« il l’a vu », et que ce n’est pas un
emples de sa jeunesse, et des citations de gens qu’elle a connus. Son Fils a beau se tuer de lui répéter qu’« il l’a vu » ;
s’assurer mieux de la chose avant que de faire éclat » : sur quoi son Fils s’emportant lui repart brusquement qu’« elle voud
66 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE II. Melanie. » pp. 29-71
porter une mauvaise nouvelle, dont personne ne l’a chargé, la mort du fils , comme pour se venger du père, en l’accablant de
i est toute à lui, il fait soupçonner l’amant d’être allé chercher le fils pour se battre avec lui, peut-être pour l’assassi
er à la profession religieuse, d’exiger d’Abraham le sacrifice de son fils Isaac. Le Prince, le Magistrat, n’ont pas droit d
doit-il être le vôtre ? Sans doute, s’il est fondé. S’il étoit votre fils , l’oseriez-vous forcer ? Il braveroit bien-tôt un
exhale sa fureur. Le gendre fait des menaces contre le père & le fils  : c’est un forcené. Nous n’oserions rapporter ce
l’ignore-t-il, ne doit-il pas le craindre pour lui-même & pour ce fils chéri qu’il veut enrichir des dépouilles de sa sœ
e me fasse un nombre d’ennemis dans un parti puissant qui protège mon fils  ? Et plus coupable encore, puisqu’elle connoît ce
e veut point se faire des ennemis, ni offenser les protecteurs de son fils , & que sa fille doit à son père un grand resp
67 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VIII. Les spectacles favorisent les duels. » pp. 93-95
rs ou tue, tel est le conseil barbare qu’un père chrétien donne à son fils . Ces maximes font sur l’esprit des spectateurs de
68 (1836) De l’influence de la scène « De l’influence de la scène sur les mœurs en France » pp. 3-21
ère ? le devoir conjugal que Pauline ? l’amour fraternel que les deux fils de Cléopâtre ? Le tableau de si hautes vertus, qu
urnes ; il avait déjà entendu Marguerite dire à Philippe d’Aulnay son fils et l’un de ses amants : « Je viens avant que tu n
de vanité, ou d’intérêt, et enfin pour dernier tableau elle entend un fils maudire sa mère. L’affluence des spectateurs s’ex
69 (1675) Entretien sur les tragédies de ce temps pp. 1-152
ras extrême où se trouve Phocas dans Héraclius q lorsqu’il cherche un fils entre deux Princes, qui ne veulent point le recon
’intrigues pour une belle Tragédie. Un Roi qui fait mourir son propre fils . Un Général d’armée qui sacrifie à sa foi ses enf
réputation. Une mère ambitieuse, qui pour se venger du mépris que son fils fait des dignités qu’on lui offre, va elle-même l
mais encore le mettre à la place de ce Tyran. Vous verriez ensuite un fils qui s’expose à la mort pour sauver son Père ; et
a mort pour sauver son Père ; et le père obligé, ou de voir périr son fils , ou de quitter la foiaj. Si cette Histoire parais
mnon n’aurait-elle pas les mêmes effets s’il s’agissait d’immoler son fils , que lorsqu’il s’agit d’immoler sa fille ? Vous v
70 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE IV. Spectacles singuliers. » pp. 106-127
t espece d’embaumement, en disant : Voilà les membres d’un tel, votre fils , votre frere, &c. comme autrefois Antoine mon
s ; qu’il avoit en vue, lorsqu’au lit de la mort, parlant à son petit fils il s’accusa d’avoir trop aimé ses bâtimens, &
nudités, l’indécence, le libertinage, les crimes, & de l’autre le fils d’une Vierge, plein de modestie, de douceur, d’hu
nies pareilles. Les Persans célébrent chaque année la mort de Hussein fils d’Ali & de Fatmé fille unique de Mahomet tué
71 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
si petit, si foible, si indécent, le Consul qui fait mourir ses deux fils . On a voulu, dit-on, faire parler la nature. Mais
, il lui applaudit, il le caresse, lui prend les mains, l’appelle son fils . Quel rôle méprisable ! quel caractere bas &
n a fait Prieur malgré lui ? encore depuis bien peu de temps, car son fils vient de mourir, ce fils pour lequel il a forcé s
i ? encore depuis bien peu de temps, car son fils vient de mourir, ce fils pour lequel il a forcé sa fille à être Vestale, &
72 (1590) De l’institution de la république « SIXIEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut lire et quels on doit rejeter des Théâtres. » pp. 117-127
plus favorable, vu qu’ils savaient bien, qu’il était né mortel, étant fils de Phoronce, et de Pithon, et qu’il avait été cru
i Dieu, devant la venue de notre Sauveur Jésus-Christ, vrai et unique fils de Dieu, lequel nous a donné son Père à connaître
ée, lequel (selon l’opinion d’aucuns) fut de Libethraville de Thrace, fils d’Oëager et de Calliope, et nourri au mont Pierus
rinite li. 1. ch. 5. des Poetes Latins. Pacuvius de Bronduse, qui fut fils de la sœur du Poète Ennius, et qui gagna sa vie p
73 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVI. Il y a des divertissements plus utiles et plus décents que les spectacles. » pp. 138-149
nciliation du genre humain avec Dieu le Père, par la médiation de son Fils  ; le triomphe de la vérité sur l’erreur et l’impo
a vengeance, et la modestie de l’orgueil. « Le dernier événement du Fils de Dieu est un nouveau spectacle que Tertullien n
74 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE V.  » pp. 415-435
e aux Juges : la première est quand il les appelle « des Dieux et les fils du Souverain » : et la seconde, lors qu’il leur d
naise de BabyloneHomélie 8. » : Lactance Firmien Précepteur de Crispe fils du Grand Constantin, dans son Livre des divines i
75 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [I] » p. 418
Comédien n’est pas recevable à intenter une accusation ; & qu’un fils , qui, contre la volonté de son père, s’est fait C
76 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189
bien que la misere d’un pere ne doit pas le faire méconnoître par son fils , n’avoit jamais si parfaitement senti la bassesse
protéger Égiste lorsqu’elle croit être persuadée qu’il n’est pas son fils  ? Écoutons cette Reine : Tendons à sa jeunesse
aroîtra aujourd’hui trop horrible, et; que l’on ne pourra souffrir un fils qui tue sa mere, et; une fille qui exhorte son fr
a mere, on entend Clytemnestre lui adresser ces tendres paroles : Mon fils  ! mon cher fils ! ayez pitié de celle qui vous a
d Clytemnestre lui adresser ces tendres paroles : Mon fils ! mon cher fils  ! ayez pitié de celle qui vous a donné la vie. Il
her fils ! ayez pitié de celle qui vous a donné la vie. Il faut qu’un fils soit bien dénaturé pour tuer sa mere avec pleine
onnelles. Cette barbare fille entendant sa mere demander la vie à son fils , lui répond : Mais auriez-vous donc eu pitié de l
celle de Sophocle ; on voit sur le Théatre Clytemnestre qui prie son fils de ne la pas tuer.7 Le même sujet est encore trai
les respectables droits des peres, que de faire voir avec quel art un fils soustrait à son pere la connoissance de ses maîtr
nombre d’eux consacré au Théatre dès leur enfance, parce qu’ils sont fils de Comédiens, ne savent rien au-delà de leurs rôl
personnes de Spectacle ? Le souverain Pontife, le Vicaire immédiat du fils de Dieu, les admet dans le sein de l’Eglise, les
amais de distractions utiles ? Ne prendront-ils jamais la bourse d’un fils prodigue ou d’un pere avare pour celle de Léandre
s ne sont rien. 7. Lorsque Sophocle fait dire à Clytemnestre : Mon fils  ! mon cher fils ! ayez pitié de celle qui vous a
7. Lorsque Sophocle fait dire à Clytemnestre : Mon fils ! mon cher fils  ! ayez pitié de celle qui vous a donné la vie. On
au lieu qu’Eschyle, fait paroître Clytemnestre demandant grace à son fils . 8. … Voyez dans nos Spectacles Quand on peint
ral, Eschius et; Aristonicus Sénateurs, et;c. 14. Esope laissa à son fils près de deux millions. Roscius avoit par an 6500
77 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des caractères & des Mœurs Tragiques. » pp. 131-152
Un Prince qui veut la guerre pour le bien de l’Etat ; qui déteste son fils , parce qu’il est aimé d’Antigone, qu’il aime lui-
lques Scènes après, veut la paix pour n’avoir pas à combattre ce même fils . Il s’applaudit de sa mort, parce qu’aimé du peup
78 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401
NDA] François de Montholon, second du nom, est un exemple unique d’un fils qui a succédé à son père dans la même charge émin
ême charge éminente de garde des sceaux de France. En effet, il était fils de François de Montholon, premier du nom, qui ava
79 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seizième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 278-281
ble, mon adorable sœur. Votre fille vous assure de ses respects : mon fils vous nomme ; c’est bien assez pour son âge. Monsi
80 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre IV.  » pp. 97-128
che, de superstitions & d’Athéisme. Cette Princesse conduisit son fils Henri III aux plus grands excès, & enfin à un
les ossemens de celui qu’elle venoit d’enterrer en Roi par l’ordre du fils de celui qu’elle avoit fait mourir comme tiran, &
un regne, que de si tragiques événemens auroient du rendre sage. Son fils naturel ne profita pas mieux de ces tristes leçon
dé n’ayant plus de commandement, & n’en ayant pu obtenir pour son fils , quoiqu’il offrit de servir avec lui, & d’êtr
&c. Cette idée est burlesque. Croit-on que si Louis XIV étoit né fils de berger dans quelque vallon des Pirennées, le m
81 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
jamais l’eussiez-vous ainsi pensé ? Sont-ce là les châtiments dont le Fils de Dieu menace les ennemis de son Evangile ? Sont
xception tous les divertissements de la vie ; je sais quels arrêts le Fils de Dieu a portés contre les heureux du siècle, lo
e votre ame ; Bonum tibi est. Pourquoi pensez-vous, Chrétiens, que le fils de Dieu se servît de cet exemple du pied, de l’œi
et projice abs te. Voilà, mes chers Auditeurs, le sens des paroles du fils de Dieu. Or à combien plus forte raison cette gra
freuse ; mais n’oubliez jamais les paroles de mon texte, et ce que le Fils de Dieu vous dit dans la personne de ses Apôtres 
82 (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32
ères, il a bien osé s’appliquer à la fin de sa Lettre, ces paroles du Fils de Dieu, « ma doctrine n’est pas ma doctrine Page
isseurs. Beau portrait des spectacles par Boileau et par M. Racine le fils . M. Despréaux[NDE] Il n’y a pas de retour à la
’est plus poétique ni plus chrétien, que la peinture que M. Racine le fils fait du Théâtre. « Des Discours trop grossiers l
83 (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44
sur leurs Voyages, y méloient le recit de la vie & de la mort du Fils de Dieu, ou du Jugement dernier d’une maniere gro
uarante ans que l’on a cessé de representer les Mysteres de la vie du Fils de Dieu. Ces Spectacles de pieté parurent si beau
84 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIII. La Comédie considérée dans les Acteurs. » pp. 26-29
le Seigneur des armées faisoit aux Juifs : Malach. c. i. v. 18.« Le fils honore son pere, & le serviteur révére son se
85 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatrième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 28-32
n mourant de veiller, de concert avec monsieur de Longepierre, sur un fils & une fille qu’il laissait, & de les pour
86 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. La Rosiere de Salenci. » pp. 10-37
u’elle avoit à Salenci où il s’établit, & qu’après leur mort leur fils Medard, en quittant le monde, donna pour la fonda
à ce que leur suffrage doit couronner. L’époux chérit sa compagne, le fils soulage la vieillesse de son pere, le pere a l’œi
nom de mere, L’enfant se plaît à nourrir son vieux pere, Pour que son fils le nourrisse à son tour. Fille on ne veut que mér
tenant d’une main sa mere âgée, & de l’autre appliquant son jeune fils à la charrue, avec cette exergue, Colligis amor
87 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XX. Suite des prétendus talents du Comédien & de la Déclamation théatralle. » pp. 63-85
e essentielle de l’Art oratoire, donne au discours , dit l’Auteur du Fils Naturel, tout ce qu’il a d’énergie . Elle sert no
rgé de la défense d’une mauvaise cause. « La violence du sentiment, [ Fils Naturel,] coupant la respiration, portant le trou
88 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE VI. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Romains. » pp. 145-175
ffranchi, sur plaire aux Grands de Rome, & si particuliérement au Fils de l’Ancien Lælius, & à Scipion le jeune, qu’
n étoit immense. Æsopus, grand dissipateur, laissa cinq millions à un Fils encore plus grand dissipateur que son Pere. Rosci
ragédies, institua les jeux Neroniens : & Domitien, qui se disoit Fils de Minerve, institua les jeux Capitolins. Malgré
89 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Parallèle du Poème épique avec les Pièces du nouveau genre. » pp. 107-112
début d’Homère dans l’Iliade. « Déesse, chantez la colère d’Achille, fils de Pélée ; cette colère pernicieuse qui causa tan
90 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Onzième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 244-249
embrasserons-nous ? quand presserai-je contre mon sein ma fille, ton fils … ou plutôt le mien ? Qu’a dit monsieur D’Alzan, e
91 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Treizième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 254-259
e ne suis pas digne de vivre… Quand je vois Ursule… Ursule, & mon fils que je serais au desespoir qui me ressemblât un j
92 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXIII. Passages de Saint Basile sur le sérieux de la vie chrétienne. » pp. 132-135
6].  : lorsque demandant ce que c’est que cette parole appelée par le Fils de Dieu à un si sévère jugement ; il répond, Reg
93 (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238
Corneille autorise le duel, mais dans quelle circonstance ? C’est un fils qui venge son père, et qui, réduit à l’alternativ
les sentiments naturels d’une mère, c’en est assez du danger de leurs fils pour les rendre malheureuses et intéressantes. La
lace. Tel se plaît à frémir en voyant Mérope le poignard levé sur son fils , et Oreste ou Ninias venant d’assassiner sa mère 
s-tu ce sang ? » Et à ce vers de Cléopâtre : Puisse naître de vous un fils qui me ressemble ! Les spectateurs, à son avis, a
et de prêter à usure ; mais n’en est-ce pas un plus grand encore à un fils de voler son père, de lui manquer de respect, de
ente, en est-elle moins punissable, et la pièce où l’on fait aimer le fils insolent qui l’a faite, en est-elle moins une éco
oux de son nom, soigneux de sa postérité, sensible à l’honneur de son fils , et inquiet sur le choix que ce jeune homme ferai
re ou l’habitude disposait son cœur à l’amour. Vous souhaitez à votre fils une âme insensible, lui dirai-je ; c’est souhaite
ction morale ; mais les animaux les plus stupides ont des sens, votre fils en aura comme eux, et comme eux il en sera l’escl
’amour ? Non, sans doute, lui répondrai-je ; mais supposons que votre fils ne soit pas naturellement pervers, qu’il soit né
de la patrie ? Qui de nous est complice dans l’âme de la trahison du fils de Brutus ? Mais qu’il plaise aux Romains de fair
jamais de distraction utile ? Ne prendront-ils jamais la bourse d’un fils prodigue, ou d’un père avare, pour celle de Léand
94 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVIII. Prétention des Comédiens au titre d’homme à talens, mal fondée. » pp. 19-44
e fit le personnage de coupeuse de bourses, & le Prince Royal son Fils , celui de Garçon Barbier. Dira-t-on que depuis ce
ge spécial, & pour la récompenser d’y avoir conduit elle-même son fils Euclée. Quelle différence d’admettre par grace, u
95 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IX. Sentiments de S. Ambroise. » pp. 200-211
es Magistrats, qui font l’objet de ce second livre. Ce saint Docteur, fils d’un Préfet du Prétoire des Gaules, la première d
ent au hasard les occasions. Ils ont attiré pourtant les anathèmes du Fils de Dieu, qui maudit le monde et nous ordonne de n
96 (1783) La vraie philosophie « La vraie philosophie » pp. 229-251
ouse sa mere, & se trouve frere de ses enfans. Un autre force son fils d’égorger son pere : un autre fait boire le sang
orce son fils d’égorger son pere : un autre fait boire le sang de son fils . On frissonne à la seule pensée des horreurs repr
me impossibles ? O familles infortunées ! qui redemandez à la mort ce fils qui a péri dans les fureurs d’un duel, voilà l’éc
97 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VI. Euphemie. » pp. 129-148
id deceat, quid non. 5.° Une femme riche, de qualité, chassée par son fils , à qui elle donne tout son bien, réduite à se met
; n’ont peut-être pas de pain. On a voulu faire un contraste entre le fils & la fille en faveur de l’amoureuse, & mé
vingt ans, de se faire Religieuse, pour assurer tous ses biens à son fils . Une veuve a peu d’autorité, la fille a sa légiti
98 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99
e. Voyez ce père tendre, qui s’épuise de travail, pour qu’un jour son fils & sa fille reçoivent de sa main, en le béniss
érivent de notre nature ; si le père y voit briller les talens de son fils  ; si le fils goûte l’inexprimable plaisir d’enniv
tre nature ; si le père y voit briller les talens de son fils ; si le fils goûte l’inexprimable plaisir d’ennivrer de joie l
99 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379
re ; de donner pour amusement, le Citoyen qui a rempli les devoirs de fils , d’époux, de père, de membre de l’Etat… Jeune ins
e dont la vie est si courte, & le temps précieux ; Qu’un père, un fils , un mari, un Citoyen, ont des devoirs si chers à
onnête Père-de-famille, d’une Mère desabusée sur les égaremens de son fils , d’une épouse vertueuse qui regagne le cœur de so
te, qu’auparavant. Ces traits affreux du Tableau, qui représentent un Fils , qui tue son Père, épouse sa Mère, & se trouv
père de ses Enfans ; un Brigand favorisé de la fortune, qui trompe un Fils & lui fait égorger son propre Père ; un Frère
ens s’ennivrant les premiers de la fumée de l’encens prodigué à leurs fils , à leurs filles : une bouche honnête, jamais soui
auques & cassés sont peu propres à cette fonction : mais il a des fils , & surtout des filles, dont la voix gracieuse
p; flexible doit donner un nouveau prix à l’air qu’il a composé : les fils & les filles chantent alternativement sans do
oit que le Directeur de la Peuplade le voit de plus près : cet homme, fils de l’aîné des frères d’une nombreuse famille, ces
éâtre les applaudissemens de la multitude : quelques siècles après le fils d’Enobarbus se méle parmi ses Histrions. Mais dep
les par Latone qu’ils ont moquée ; &c. Comme les Rois se disaient Fils des Dieux, les premiers d’entr’eux qui firent des
en pluie d’or pour Danaé, en taureau pour Europe ? de la Chaleur, le fils d’une femme, un Blondin inventeur de la Lyre ? Lo
des passions parmi la Jeunesse : les pères, qui virent souvent leurs fils s’abandonner au dérèglement avec ces femmes, qui
100 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 4-42
ouvée, & n’a jamais songé à la reformer. Jean Cardinal de Medicis fils du fameux Laurent fut élévé dans les plaisirs, l’
cretaire, & le fit entrer dans cette partie de l’éducation de son fils . Il en eut le département poëtique. Il se rendit
rent, qui les protégeoit, & qui étoit en état de les protéger. Le fils trop occupé de ses plaisirs pour s’embarrasser de
de Medicis, qui se chargea de la conduite du jeune Cardinal Jean son fils , (depuis Pape ;) car il entra de bonneheure dans
gneurs & Dames de la Cour. Son mari dit, Baile, Dict. critiq. Son fils , dit Joli, jaloux de la gloire de sa mere, en a d
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