bel esprit, les Poètes anciens et les modernes. Mais faut-il que mon
fils
apprenne la Philosophie avant que de lire Virgile
mières années y sont les plus propres. Faites lire les Poètes à votre
fils
, et faites-lui faire usage de la raison en même t
l’impiété Epicurienne. Faites bien faire toutes ces remarques à votre
fils
, afin qu’il reconnaisse de plus en plus, que tout
aissaient pas Jésus-Christ. Il ne vous reste plus qu’à garantir votre
fils
de la contagion de leurs peintures et de leurs de
eu, que tout le reste du Paganisme. Eugene. Je souhaite fort que mon
fils
s’élève au dessus des pensées du vulgaire ; mais
ncienne. Theodore. Cependant il ne faut pas laisser négliger à votre
fils
les expressions vives agréables, et les tours ins
ene. C’est cet art de gagner les esprits que je voudrais bien que mon
fils
acquît, sans contracter les défauts ordinaires à
l’augmente à proportion qu’elle se fortifie ; et pour éloigner votre
fils
du précipice, vous n’avez pas d’autre parti à pre
rien moins sur cela que la raison. Mais cette Dialectique dont votre
fils
a besoin, se doit trouver comprise dans toute la
odore. Elle est bonne à tout ; et sans elle on ne peut rien. Si votre
fils
sait faire réflexion sur ce qui se passe en lui,
à la Philosophie, Théodore. Theodore. Si vous voulez faire de votre
fils
un Docteur, faites-lui apprendre la Philosophie s
s la Physique. Theodore. Cela du moins en ouvre le chemin ; et votre
fils
doit se contenter d’en savoir les principes génér
Entretiens fréquents de cette sorte au reste de l’éducation de votre
fils
, je vous suis garant que non seulement vous en fe
Theodore. Tout cela est incompatible avec la vraie Philosophie. Votre
fils
n’aimera que les choses qui pourront lui servir à
n’est pas nécessaire de rechercher davantage les sciences dont votre
fils
a besoin. Demain nous trouverons la matière de qu
d’Erectée, Roi d’Athènes, se laissa séduire par Apollon qui en eut un
fils
. Cette Princesse voulant cacher le fruit de ses a
it, que le prémier qu’il rencontrerait en sortant du Temple était son
fils
. Xutus enchanté rencontra le jeune Ministre d’Apo
déclara son héritier. Creuse indignée, ne sachant pas qu’Ion est son
fils
, veut le faire empoisonner, Son dessein est décou
a suite le mistère, en montrant par hazard à Creuse le berceau de son
fils
; & le bon Roi Xutus l’ignora toujours. S
Creuse. Je suis dévouée à ce Dieu. Ion. N’as-tu pas voulu perdre son
fils
? Creuse. Devenu celui de Xutus, tu n’es plus fi
voulu perdre son fils ? Creuse. Devenu celui de Xutus, tu n’es plus
fils
d’Apollon. Ion. Mais je l’avais été, & c’est
st-ce un titre pour m’enlever la couronne ? Ion. Pour n’être pas ton
fils
, dois-je être privé de l’héritage paternel ? Cre
n Pere, deux freres qui s’entretuent, un Mari égorgé par sa Femme, un
Fils
assassinant sa Mere, ce Fils poursuivi ensuite pa
retuent, un Mari égorgé par sa Femme, un Fils assassinant sa Mere, ce
Fils
poursuivi ensuite par les Furies, & quel Spec
sang de mon Pere, j’ai souillé le lit de ma Mere, j’ai eu d’elle des
Fils
qui étoient mes Freres, & que je viens de voi
ui étoient devenus Etres malfaisans, de la malédiction de Noé sur son
Fils
, du sacrifice demandé à Abraham, des suites d’un
sont inconnues : nous savons seulement qu’une Mere reconnoissoit son
Fils
dans le moment qu’elle alloit le tuer, ce qui suf
sur la Scene. Dans l’Antigone un Pere arrive tenant dans ses bras son
Fils
qui vient de se tuer ; on lui présente en même te
les yeux crevés, de conduire sa main tremblante, sur le corps de ses
Fils
& sur le corps de celle qui a été sa Mere &am
es ouvrages qu’elle-même a déclaré exceller, l’Epître d’un Père à son
Fils
, par le sieur de Champfort, où en effet il y a de
Brutus, meurtrier de César, et de Caton, qui l’éleva : « C’est du
fils
de César que Caton fit Brutus. » Si l’assassin
de César que Caton fit Brutus. » Si l’assassinat de César par son
fils
est un acte de vertu, le tyrannicide est-il un cr
e en le préparant à l’assassinat de l’Empereur Phocas : « C’est du
fils
du Tyran que j’ai fait ce Héros. » Elle ajoute
t ce Héros. » Elle ajoute, en parlant à l’Empereur lui-même de son
fils
: « C’est assez dignement répondre à tes bienf
est assez dignement répondre à tes bienfaits Que d’avoir dégagé ton
fils
de tes forfaits. Séduit par ton exemple, il t’a
l’auteur d’une belle imposture Malgré le nom de père et le titre de
fils
, Je deviens le plus grand de tous ses ennemis.
œur. Faisons que son amour nous venge de Phocas, Et de son propre
fils
arme pour nous le bras. Si j’ai pris soin de lu
rre. L’ordre est digne de nous, le crime est digne d’eux. Dans le
fils
d’un Tyran l’odieuse naissance Mérite que l’err
Et ne dédaignez pas d’ordonner de sa tête. Il arme puissamment le
fils
contre son père. Et je tiendrai toujours mon bo
le trône Charles II ou Jacques II, les Rois légitimes. Encore même le
fils
prétendu d’Athalie était-il un enfant inconnu, qu
théâtre n’est pas si scrupuleux ni si fidèle à nos maximes. Racine le
fils
, dans ses observations sur cette tragédie de son
t être employé. » Assassinat d’autant plus odieux que c’est au nom du
fils
, pour lui, et à ses yeux, qu’on égorge sa mère. J
irconstances est sans vraisemblance) et lui montrer le Roi. Racine le
fils
se tue de prouver, selon la doctrine Moliniste, q
toutes les mesures prises, tous les ordres donnés ? Est-ce même à un
fils
à faire poignarder sa mère, et convient-il de cré
ancêtres du Messie ? On imagine des conversations entre la mère et le
fils
qui ne furent jamais, et qui autorisent l’insolen
resses, qu’importe à quel prix ? Dans une lettre adressée à Racine le
fils
, et imprimée à la fin de ses remarques sur les ou
es de lui, et peu dignes d’un cœur Français. « Brutus, s’il est ton
fils
(de César) a plus fait pour ta gloire (en le tuan
main des assassins jusqu’au parricide le plus atroce. Brutus, reconnu
fils
de César, déterminément et par choix porte les pr
Quiconque, ainsi que lui, prétendra gouverner, Fussent nos propres
fils
, nos parents et nos frères. Scellons notre unio
tice, et un Ligueur qui sur ce prétexte aurait fait mourir son propre
fils
, eût-il été un héros ? Voilà toute la pièce. La r
ît pas. Nous sommes de leur gloire un instrument servile. Je suis
fils
de Brutus, et je porte en mon cœur La liberté g
i faire le procès. Il convient que c’est l’action la plus atroce : un
fils
qui égorge son père, un otage qui assassine le Ch
t par un ami du Héros, et le Héros en fait l’éloge, et le donne à son
fils
pour exemple de vertu à suivre : « O mon fils,
e, et le donne à son fils pour exemple de vertu à suivre : « O mon
fils
, vous voyez le prix de la vertu : A ses pieds t
indre. La rage dans le cœur, et le fer à la main, Je cesse d’être
fils
, pour n’être que Romain. Je n’avouerai jamais u
poser l’art dramatique. Si Dom Sanche n’était, jusqu’à la fin, que le
fils
d’un Pêcheur ; si ce fils d’un Pêcheur ne se trou
Dom Sanche n’était, jusqu’à la fin, que le fils d’un Pêcheur ; si ce
fils
d’un Pêcheur ne se trouvait pas tout à coup, je n
up, je ne sais comment, l’héritier légitime du trône d’Aragon ; si ce
fils
d’un Pêcheur ne devenait Roi que parce qu’il aura
avagantes et des plus anciennes préventions des hommes. Est-ce que le
fils
d’un Pêcheur ne peut avoir en soi toutes les vert
u vertueux Dom Sanche un père couronné. Peut-être a-t-il pensé que le
fils
d’un Pêcheur, élevé par son courage aux premiers
utilité du genre humain !… quels caractères !… Je vois un Hercule, un
fils
de Jupiter, plus grand que ce Dieu lui-même, embr
reté d’un maître avare et fastueux, et conduit en prison : je vois le
fils
de cet infortuné captif, racheter la liberté de s
encore le seul bien qui me reste ; On me vole mon père, etc. Je suis
fils
d’un Pêcheur, et non pas d’un infâme. La bassesse
de Comte et de Marquis Avec bien plus d’honneur qu’aux sentiments de
fils
. » Qu’on lise enfin ceux-ci tirés de la dernièr
e semble, l’esprit de Molière. Ce ne sont point les tours que joue le
fils
au père, qu’on veut faire passer pour honnêtes, i
éjour des Dieux abandonnant la Ville, Des trois Grâces suivie, et son
fils
dans les bras, Va priver les Mortels de ses riant
amoureux mystère ; Belles qui m’écoutez, quand vous saurez aimer, Mon
fils
vous montrera comme on peut enflammer." Le soir
tre de mes sens Tu me fais éprouver tout ce que tu ressens ! Soit que
fils
vertueux d’une coupable mère, Servant d’un Dieu v
cable colère, Tu sortes tout sanglant du tombeau de Ninusn ; Soit que
fils
criminel du stoïque Brutuso, Tu pleures dans les
Brutus, qui ne fléchit pas devant la condamnation à mort de ses deux
fils
. En 1750, M. Lekain avait le rôle de Titus, l'un
s deux fils. En 1750, M. Lekain avait le rôle de Titus, l'un des deux
fils
, dans le Brutus de Voltaire. p. [NDE] Personnag
lesse Mûris au Soleil du Printemps, D’un mérite qui te réserve Jeune,
fils
aîné de Minerve, Un triomphe dessus le temps. He
Princesse que l’honneur honore, Tu vois au lever de l’aurore De ton
fils
, renaître un Soleil, Luisant d’autant de gentille
gloire, Pour éterniser ta mémoire Par un immortel souvenir. Heureux
fils
d’une sage mère, Portrait des prouesses d’un père
i avoir sauvé la vie. Ce comédien mourut en septembre 1665. Il eut un
fils
qui parvint à un degré de célébrité, car, dès l’â
ous les jours à la messe, dans l’église métropolitaine de Paris ? Son
fils
, qui eût été alors le fils d’un excommunié, aurai
ans l’église métropolitaine de Paris ? Son fils, qui eût été alors le
fils
d’un excommunié, aurait-il eu l’honneur d’être le
’ils le connoîtront, Un serment solemnel par avance les lie A ce
fils
de David qu’on doit leur révéler. Ainsi jusqu’
peu vraisemblables. Croira-t-on une mere capable de livrer son propre
Fils
à la mort, pour élever sous ce nom le fils de l’E
pable de livrer son propre Fils à la mort, pour élever sous ce nom le
fils
de l’Empereur mort ? Est-il vrai-semblable que de
lui fait prononcer. Quand on entend Agrippine dire en parlant de son
Fils
, Ah ! que de la Patrie il soit s’il veut le Pe
ce caractere s’embarrasse peu du bien public & de la vertu de son
Fils
, pourvu que ce Fils la laisse gouverner. A peine
rasse peu du bien public & de la vertu de son Fils, pourvu que ce
Fils
la laisse gouverner. A peine Achille est entré su
and il prévoit les dangers où il l’expose en le couronnant : O mon
Fils
, de ce nom j’ose encore vous nommer, Souffrez c
e à son arrivée avoue la sienne à son Confident. Il a trouvé ses deux
Fils
à Nymphée : qu’y viennent-ils faire ? L’un &am
? Cette inquiétude sera la cause de tout ce qu’il dira à ces deux
Fils
& à Monime, & la cause de ses malheurs. D
d, & croira qu’on va l’immoler, il sera tout prêt : Hélas ! un
Fils
n’a rien qui ne soit à son Pere. Le Grand-Prêt
pas ébranlé, il est sur la montagne où Abraham mit sur un bûcher son
Fils
unique, Laissant à Dieu le soin d’accomplir sa
ste. Uniquement occupé de son grand dessein, il ne parle jamais à son
Fils
, ni à sa Fille, il voit arriver son Fils, il sort
in, il ne parle jamais à son Fils, ni à sa Fille, il voit arriver son
Fils
, il sort sans lui dire de le suivre : mais aussit
, il sort sans lui dire de le suivre : mais aussitôt Josabet dit à ce
Fils
avec empressement, Allez, ne vous arrêtez pas
ononçant ce très-mauvais Vers, Cependant, cependant, Seigneur, mon
fils
est mort. Par la passion avec laquelle il le p
re, l’Enfant paroît sur un Trône auprès de sa Nourrice : Josabet, son
Fils
, & ses Filles sont au pied du Trône, les Levi
le font méritent l’infamie dont la loi les couvre. Premier effet. Un
fils
qui se donne au théâtre, peut être déshérité par
cordait. Ce Père, dit la loi, n’avait que trop raison de regarder son
fils
comme indigne de son patrimoine. Je n’ai point vu
e cas arrivé parmi nous ; mais je suis persuadé que s’il arrivait, le
fils
ne serait pas reçu à se plaindre de sa prétéritio
’exerce le même métier. Pourrait-il alors avec justice punir dans son
fils
une tache dont il l’a couvert et dont il s’est co
etriciam ducit. » Le père, dans ces occasions, a droit de chasser son
fils
de sa maison. Une fille qui se livrerait au théât
onc mis au monde, nourri, élevé, pour faire un Comédien, disait à son
fils
un père accablé de tristesse ? « Tene genui, alui
e s’y oppose pas ; métier pour métier, il lui est indifférent que son
fils
soit Savetier ou Comédien ; un homme de condition
un homme de condition aurait bien peu de crédit, s’il n’empêchait son
fils
de s’y livrer, ou s’il ne l’en retirait, ne fût-c
ait tragique arrivé de son temps, les éloges que les lois en font. Le
fils
d’un Magistrat à qui son père destinait sa charge
nait le droit. Dieu fit à ce père infortuné une terrible justice ; le
fils
misérable fut enfin assassiné par un de ses compa
n autre avantage sur Lully, qui n’avait été qu’un Marmiton. Quinault,
fils
d’un Boulanger, selon Furetière, dans son Factum
esoin de distraction utile, et ne prendront-ils jamais la bourse d’un
fils
prodigue ou d’un père avare pour celle de Léandre
plus touché de cet évenement fabuleux, que du récit de la Passion du
Fils
de Dieu & des Saints Martyrs. Tel est, Mademo
ainsi3 : Tu ne l’ignores pas, depuis le jour infame Où de mon propre
fils
je me trouvai la femme, Le moindre des tourmens q
e Devoit-il attirer toute votre colere ? Le connoissois-je helas ! ce
fils
infortuné ? Vous même dans mes bras vous l’avez a
time qui s’offriroit devant lui ; son malheur lui fait rencontrer son
fils
Idamante, qui se tue dès qu’il apprend le vœu de
joie que par la comedie & le bal : la Reine l’accepta, y mena son
fils
, & en fit les honneurs. Toutes les toilettes
e fut, pour un sujet bien différent, l’Impératrice-Reine montrant son
fils
entre ses bras aux Etats de Hongrie. Pour achever
ettez-moi en prison : je suis la plus malheureuse mere du monde ; mon
fils
, ma fille, mon gendre se sont déclarés contre vou
& cette même suppliante, deux ans après, poussant à la révolte ce
fils
& cette fille pour qui elle avoit demandé gra
age du Duc de Mercœur avec une niece du Cardinal Ministre. C’étoit le
fils
d’un bâtard de Henri IV. Cependant le Prince de C
tre une foule de courans & de vents qui soulevoient les flots, le
fils
de Vénus étoit l’Eole qui leur lâchoit la bride,
te requête au Parlement, pour demander justice de la détention de ses
fils
& de son gendre. Elle suivoit l’exemple de la
tique, pour se justifier & lui demander grace. Elle lui point ses
fils
en prison, sa fille fugitive, sa belle-fille dégu
ats, entre dans la salle où les Chambres étoient assemblées, avec son
fils
, se jette à genoux au milieu du parquet, & ve
e, mere de S. Louis, fondatrice de cette communauté, qui disoit à son
fils
, j’aimerois mieux vous voir mourir que de vous v
des Bénéfices passera pour un rêve aux yeux du monde. Elle avoit deux
fils
qui prirent l’Etat ecclésiastique, & tous deu
quitterent, l’un par inconstance, l’autre par libertinage. C’étoit le
fils
de la douleur, Benoni filius doloris . Ils avoie
le plus grand courage. Sa plus grande douleur fut d’apprendre que son
fils
n’avoit pas reçu les derniers sacremens. C’étoit
les eaux de la mer les repousserent jusqu’en France. Quoi, mon cher
Fils
! n’a-t-il pas eu un seul moment pour se reconnoî
it un testament où il avoit laissé une bonne partie de son bien à son
fils
naturel, appellé le Chevalier de Longueville. La
rivain qui les rapporte est-il un bon panégyriste de la mere & du
fils
? Le reste de sa vie n’eut rien de remarquable au
i écrivoit pour le remercier d’avoir pris les armes contre le Roi son
fils
, armoit contre le Roi d’Espagne, & lui demand
t la somptuosité effaçoit tous les Princes, surtout de Henri III, son
fils
bien aimé & son image (Charles IX étoit moins
Ces deux femmes toutes puissantes, l’une sur le pere, l’autre sur le
fils
, partageoient la Cour par leur crédit & leurs
r avoir été empoisonnée sur le soupçon de ses amours avec Dom Carlos,
fils
de son mari. Peut-être y a-t-il quelque exagérati
te famille ou plutôt est inséparable de l’amour. Le grand Turenne son
fils
découvrit de même à Madame de Coatquin le secret
, On fit voir à la Reine dans un miroir magique le regne de ses trois
fils
, François II, Charles IX & Henri III, & c
Les quatre lettres initiales couronnées F.K.H.A. désignent ses quatre
fils
, François, Charles, Henri, Rois de France, &
quand elle fut mécontente de lui elle le decrédita auprès du Roi son
fils
, & causa sa retraite de la Cour. S. retraite
point les derniers sacremens, & donna pour dernier conseil à son
fils
, qu’il n’eût garde de suivre, d’accorder à tous s
thelemi ; elle a eu la barbarie & la bassesse de mener le Roi son
fils
à la Greve, pour le repaître du spectacle affreux
lettre qui subsiste encore, d’avoir pris les armes contre le Roi son
fils
; suspecte à tous les partis, & detestée de t
s flatter & leur faire des excuses, se brouillant avec ses quatre
fils
, & mariant ses filles avec ses ennemis &
égea, la fit autoriser par les Etats du Royaume, & par le Roi son
fils
, qui par son conseil s’en déclara le chef, &
né aux femmes ; ses filles même furent de bonnes compagnes. Louis son
fils
les bannit pour avoir été scandalisé de leurs amo
vie est remplie de fables, passe pour une incestueuse avec son propre
fils
Ninias, qui la tua. Cathérine ne passa-t-elle pas
tua. Cathérine ne passa-t-elle pas pour avoir trop aimé son troisieme
fils
Henri III. Quel plus gauche panégyriste, qui la r
s il faut trouver de quoi vivre. S. dissipation étoit telle, que son
fils
Henri III formé de sa main, & son image, voul
ouler des pleurs lorsque dans L’Enfant prodigue Euphémon embrasse son
fils
repentant et que les larmes de la tendresse pater
ette pièce, ne partage au moins dans ce moment le repentir d’Euphémon
fils
, et qui ne soit alors du parti de la Vertu. Que p
ti de la Vertu. Que présumer de là, sinon que si ces libertins et ces
fils
dénaturés venaient souvent aux spectacles, s’ils
t à cet homme : « Phèdre est une Marâtre qui persécute cruellement le
fils
de son mari, jusqu’au moment qu’elle en devient é
le est coupable elle-même. Thésée, dans le premier moment, dévoue son
fils
à la vengeance des Dieux et ce fils en devient la
ans le premier moment, dévoue son fils à la vengeance des Dieux et ce
fils
en devient la victime » ; il est certain que sur
nhumaine ; Pour mieux te résister, j’ai recherché ta haine. […] Digne
fils
du Héros qui t’a donné le jour, Délivre l’univers
re ingratitude. bg. [NDE] Voltaire, L’Enfant prodigue, Paris, Prault
fils
, 1738 [repr. 1736], Acte V, sc. 6, p. 98 sq. bh.
bv. [NDE] P. J. de Crébillon, Catilina [repr. 1748], Paris, Prault
fils
, 1749, Acte V, scène dernière, p. 96. bw. [NDE]
ands de sa cour ; il avait fait auparavant jeter en prison son propre
fils
héritier de sa couronne, nommé Léon-le-Sage, prin
liberté dans le luxe et la bonne chère, pendant que le prince, votre
fils
, est au fond d’une basse-fosse, en captivité et à
cret. Le Roi d’Espagne en fut jaloux, & se vengea d’abord sur son
fils
qu’il fit mourir dans un bain ; ensuite de sa fem
s romans, l’amour du vieux Prince n’a pu le porter a faire mourir son
fils
& sa femme, son successeur au trône qu’il avo
lle auroit eu le plaisir de mettre la division entre le père & le
fils
, & elle s’amusoit à offrir sa main & sa c
ransport ; Philippe ne s’en éloignoit pas, tandis qu’il avoit cru son
fils
soumis & Catholique ; mais quand ces espéranc
L’Espagne offrit quelque temps après à Elisabeth D. Jean d’Autriche,
fils
naturel de Charles-Quint, frère de Philippe : c’é
la délicatesse sur cet article, elle le refusa pourtant ; le père, le
fils
& le frère se brisèrent à cet écueil. Elisabe
mme les courses perpétuelles de Charles Quint aprirent à Philippe son
fils
à ne pas sortir de Madrid. Il est vrai , répond-e
réputés coupables de haute trahison, comme si on pouvoit empêcher un
fils
de faire voir l’innocence de son père, & de t
’indignation, mais Marie n’eut point de vengeur, même dans son propre
fils
, Roi d’Écosse, trop foible il est vrai pour punir
on petit-fils détrôné par son propre gendre ; il en fut puni dans son
fils
& son successeur Charles I qui périt sur un é
es plus tragiques qui furent jamais, de sa mère par Elisabeth, de son
fils
par Cromvel. Elisabeth plus politique que Jacques
rs d’y témoigner sa douleur, en fit faire des excuses au Roi d’Ecosse
fils
de Marie, & au Roi de France son beau-frère,
litique, feindre, dissimuler, tromper. Le Parlement rendit justice au
fils
de Marie, indigné de ces horreurs & de ces fa
ffet la condamnation la plus authentique de sa conduite ; déclarer le
fils
de Marie Roi d’Ecosse, & légitime héritier du
in à baiser aux hommes ; à l’exemple de Saint Louis, elle donna à son
fils
les avis les plus pieux & les plus sages, qu’
our le Royaume d’Écosse, de France & d’Angleterre pour le Roi son
fils
, la Reine Elisabeth, ses juges & ses persécut
laisant, il est déjà changé ! Le gage précieux de notre tendresse, ce
fils
que je lui ai donné n’a pas retardé ce cruel chan
e le fait votre sincère Ursule d’Alzan. P.S. Votre fille & mon
fils
se portent bien : la petite Sophie demande sa mam
e : si quelquefois j’hésite ; si je me sens intimidée, je regarde mon
fils
, & la force me revient. Il faut le gagner ; c
e !.. Ma sœur… Ah qu’Ursule vous aime ! P. S. Votre fille & mon
fils
ont fait bien des caresses à monsieur D’Alzan. Il
ge avez-vous d’être toujours du mauvais parti ! Eh ! non Monsieur, le
fils
d’Harpagon qui le vole et lui manque de respect n
e de respect n’est pas plus criminel que son père. Tous les crimes du
fils
sont les siens puisqu’il en est la cause : et qu’
là encouragent ceux-ci. Quand Molière donc fait voler un père par son
fils
, qu’il fait désirer à un valet l’occasion de vole
ent la cause. N’est-il pas vrai que si Harpagon ne refusait pas à son
fils
jusqu’au nécessaire ; s’il ne portait pas la lési
certain en un mot que s’il n’était pas un monstre dans la société son
fils
ne commettrait pas les fautes qu’il commet et que
pas en se comparant avec Harpagon votre protégé ? Il est odieux qu’un
fils
vole son père, il est odieux qu’il lui manque de
st mille fois plus excusable quand le père en est cause, que quand un
fils
est porté à ces excès par sa propre corruption ?
ruption ? Ergo si Harpagon est la cause de tous les égarements de son
fils
, il est le premier et le plus criminel ; et cette
es de l'Eglise ont parlé conformément à ces règles Evangéliques. « Un
fils
, dit saint Augustin, doit obéir en tout à son pèr
e, excepté contre la Loi de Dieu, et quand dans cette circonstance un
fils
préfère Dieu à son père, le père n'a pas droit de
u à son père, le père n'a pas droit de se mettre en colere contre son
fils
. » « Il n'est permis de désobéir à ses parents qu
la Préface de Phedre reconnoît-il une partie de la vérité ; & son
fils
, élêve de ses dernières années, où il avoit embra
crédule, Tartuffe pour enlever son bien, Phedre pour faire punir son
fils
. Celle-ci apprivoise avec le vice, lie avec les c
ntillesses. 2.° C’est une grande indécence, ou plûtôt un crime, qu’un
fils
parle à son père ou à sa mère de la maniere la pl
ère ou à sa mère de la maniere la plus insolente, & le père à son
fils
avec le plus grand emportement. L’un résiste en f
famille, lui donne sa fille & tout son bien ; au préjudice de son
fils
unique, chasse pour lui son fils de sa maison, se
tout son bien ; au préjudice de son fils unique, chasse pour lui son
fils
de sa maison, se laisse gourmander par sa servant
leux. C’est encore un emporté, un furieux, un jureur, qui parle à son
fils
, à son frère, à sa mère, à sa servante, comme un
peindre le Héros, avec Dorine & le reste de la maison. Damis, le
fils
, n’est qu’un étourdi, un fou, un emporté, qui ne
aquelle il ne peut pas compter ? & après avoir été surpris par le
fils
, déféré au mari, abandonné par la femme, peut-il
et plus innocent. Pour ce qui est de la querelle entre le père et le
fils
à propos de l’usure et du mariage du Vieillard av
ons qui sont trop fortes, et même très indécentes dans la bouche d’un
fils
, quelque sujet de plainte qu’il puisse avoir cont
ue Crémante père d’Acante, est devenu amoureux de la prétendue de son
fils
et veut l’épouser. De l’autre côté, Ismène Maître
uestion cependant que de l’importante affaire de la reconnaissance du
fils
de Maurice, ces Amants ne se trouvent jamais tête
e ; mais Corneille a marché par une autre route : il a supposé Léonce
fils
de Maurice, et par conséquent frère de Pulchérie
’aurait réduite à l’extrémité, si elle ne l’eût pas fait connaître au
fils
de son époux, dont elle était follement éprise. N
le père qui aime Zénobie et qui la veut épouser, pendant que les deux
fils
en sont éperduement amoureux l’un et l’autre. Voi
asmane ; mais elle rejette, avec la même fermeté l’amour d’Arsame son
fils
; quoiqu’elle soit prévenue en sa faveur, et cela
struire En effet, l’amour violent de Titus et de Tiberinus, tous deux
fils
de Brutus, pour Julie fille de Tarquin, est porté
s ruës masquez & deguisez en fols, en l’honneur de la natiuité du
fils
de Dieu tenant des masses à la main farcies de pa
stin.Les heresies de Marcus, de Cerdon, & autres, estoient que le
fils
de Dieu eternel n’auoit pris qu’vn corps vmbratil
s, & leurs sectateurs déroboient a Iesus Christ l’honneur d’estre
fils
de Dieu & à la vierge la gloire de sa pudicit
en l’heresie des Carpocrasiens & Heluidiens, & enueloppent le
fils
de Dieu tout sainct, tout-pur & tout-net, dan
& de monstres, & en leur place de representer la natiuité du
fils
de Dieu, le reueil de l’Ange aux Pastres, la Circ
iarche Balsamõ la blasme Can. 16.ores que le Patriarche Theophilacte
fils
de l’Empereur Romanus Lucapenns l’eust instituée
ussez d’autres mouuemens, que c’est pour mener ioye de la natiuité du
fils
de Dieu, & s’esgayer honnestement comme l’on
ieurs endroicts qui veulẽt trop naïfuement representer la natiuité du
fils
de Dieu par le bœuf & l’asne. Ceste maniere d
mp; sacré, & porte au frontispice l’image d’vne vierge tenant son
fils
Iesus, arriere prophanes impures de cet objet de
eu ceste nuict la vierge mere de misericorde tenant sur son giron son
fils
qu’elle a enfanté ceste nuict, & a veu vne mu
ères, d’effrontées, de jureurs, de frippons, de débauchés, de mauvais
fils
, de mauvais maris, &c. en un mot, la lie de l
piquans de sa satyre, peu de familles où l’on n’en trouve de père en
fils
. Ce soupçon outrageant est devenu par son moyen u
-vous la voir jusqu’à la quatrieme génération, parce que vous êtes le
fils
d’un vertueux Israëlite, religieux & charitab
l’enfer ? Le sermon du bonhomme Tobie n’est pas moins roturier : Mon
fils
, payez vos dettes, ne faites pas attendre l’ouvri
L’éducation la plus sainte avoit depuis le berceau préparé le cœur du
fils
, les exemples de toutes les vertus avoient consta
dans la chambre & sur le lit d’un valet de chambre, où le mit son
fils
, le Roi des Romains, qui étoit auprès de lui &
& un moyen d’attirer la bénédiction du ciel sur le mariage de son
fils
. Les nouvelles publiques, qui n’osent parler qu’à
Montfleury, Auteur de la Mort d’Asdrubal, florissait en 1673. 17. Le
fils
du précédent, devint Avocat : il a composé 16 Com
r de 7 Comédies-Farces. 22. Clavareau, en 1712 ou 1717. 23. Ponteuil,
fils
d’un Notaire, se distingua dans les Rôles de Rois
la Déclamation, trop négligé avant lui (& après). 24. P. Poisson,
fils
de Raymond, Comédien-Auteur : son Théâtre est com
er & les Rôles à manteau dans la plus grande vérité. 31. Duchemin
fils
. 32. Le Grand, mort en 1728 : Auteur-Comédien : l
ièces : son Théâtre consiste en dix-huit Comédies. 33. La Thorillière
fils
, fameux Acteur dans le Comique : environ 1688. 34
ville, retiré en 1741. 36. Fleuri, retiré la même année. 37. Poisson,
fils
de Paul ; mort à Saint-Germain. 38. Le Grand, deb
39. La Thorillière, petit-fils de M. Le Noir de la Thorillière, &
fils
du fameux Acteur de ce nom ; jouait lui-même supé
t commis, mais par fureur qui les stimule. Les pères contemplent leur
fils
, le frère est au fond et au bas du Théâtre, la sœ
it présente, pour recevoir la tristesse et angoisse de la mort de son
fils
. O mon Dieu ! la mère Il y a en latin redimit. Il
ue si un homme naturellement doux & moderé, vient à perdre ou son
Fils
ou quelque autre chose qui lui soit extrêmement c
tié, comme par exemple lorsqu’un frere est prêt de tuer son frere, un
fils
son pere, une mere son fils, ou un fils sa mere,
u’un frere est prêt de tuer son frere, un fils son pere, une mere son
fils
, ou un fils sa mere, & ce sont ces événemens
st prêt de tuer son frere, un fils son pere, une mere son fils, ou un
fils
sa mere, & ce sont ces événemens qu’un Poëte
: si un ennemi tue son ennemi, la vue du sang en causera ; mais si un
fils
tue son pere, l’émotion sera bien plus grande. Ce
a Rhétorique, il rapporte l’exemple d’Amasis, qui voyant conduire son
fils
au supplice ne pleura point, & pleura à la vu
arracher sa fille pour l’immoler, trouve le cadavre du dernier de ses
fils
qu’elle croyoit avoir sauvé, souffre des maux qu’
teur de façon qu’il en épouse les intérêts, comme un Pere ceux de son
fils
. Je prens pour exemple l’Iphigénie Françoise : el
aines Familles. On ne voit point sur le Théâtre de la vie humaine, un
Fils
involontairement meurtrier de son Pere, & Mar
involontairement meurtrier de son Pere, & Mari de sa Mere, ni un
Fils
de dessein prémédité, assassin de sa Mere. Ainsi
t aux Exploits guerriers contre les ennemis de l’Etat, en disant à ce
Fils
, Ton premier coup d’épée égale tous les miens.
oit un tempéramment violent qui le livroit aux femmes (aussi étoit-il
fils
de l’amour) : mais, peu constant dans ses goûts,
ment du sien Le Roi son pere, qui n’étoit pas plus scrupuleux que son
fils
adultérin, il lui envoya sa grace, sans qu’il la
office divin, habillée en chanoinesse, souvent à son côté Maurice son
fils
, qu’elle menoit avec elle ? Il a doublement joué
vers aussi : le plus beau trône n’en est pas exempt. Elle accoucha du
fils
de Mars. Le Roi en eut une joie infinie, il y cru
spectacle, la fievre putride augmenta elle mourut bientôt après. Son
fils
lui survécut plusieurs années, porta de tous côté
mp; d’honneur ; & sans doute le pere n’eût point souffert que son
fils
en fût privé. Il étoit si considérable qu’il mit
ent en même-temps un cœur ? Berg-op-zoom se seroit rendu. Maurice fut
fils
de la comédie. Ce fut celle de Psyché, piece très
omestique qui vole son maître, & est loué & récompensé par le
fils
qui veut avoir de l’argent pour fournir à sa pass
intrigue des Fourberies de Scapin & de cent autres comédies). Le
fils
& la fille se flattent mutuellement dans leur
; entr’eux, & à lui-même, le bravent, & se moquent de lui. Le
fils
parlant de son mariage lui dit insolemment (Act.
maître Jacques leur cocher veut mettre la paix entre le père & le
fils
qui le prennent pour arbitre. Il les éloigne un p
. Ce grossier artifice est découvert dans le moment. Le père & le
fils
, plus irrités que jamais, recommencent à s’injuri
rez. Je te donne ma malédiction. Je n’ai que faire de vos dons. Et ce
fils
est récompensé, le mariage se fait malgré le père
rdinaires, est un grand mal sans doute ; mais l’énorme prodigalité du
fils
, qui pour contenter sa passion, emprunte de toute
Ministre, et venge l’injure par une peste. Adrastus et AmphiusIbid.
fils
de Merops Prophète étaient Maîtres d’une vaste ét
dait les troupes de la Mysie pour les assiégés. Phégeus et IdœusIbid.
fils
de Darès Prêtre de Vulcain sont en équipage de ge
e arx alta maneres.Æneïd. 2. Ce Laocoon était Prêtre de Neptune et
fils
de Priam ou frère d’Anchise qui était de la maiso
e Livre, nous voyons encore un autre Prêtre d’Apollon ; c’est Hélénus
fils
de Priam et Roi de Caonie. Il reçoit Ænée avec be
œte Prêtre de Cérès. Ce Polybœte est cité de compagnie avec les trois
fils
d’Antenor, avec Glaucus et avec Thersilocus qui c
n air grave et majestueux à l’injuste accusation, appelle le Roi, son
Fils
; et lui annonce son infortune prochaine. Euripid
iss. p. 358. Tirésias déclare à Créon l’alternative de la mort de son
fils
, ou de la perte de la ville : Créon se possède de
et n’éclate point en ces cruelles circonstances : après même que son
fils
s’est tué, il ne fait ni des plaintes aux Dieux,
échal de Richelieu voulut accomoder ce procès. Le Duc de Fronsac, son
fils
, avoit donné la premiere médaille d’or ; le père
st dûe à leur soutien. Je vois les mêmes nœuds de la France & ses
fils
, Hors du terme commun leur montrer des vertus. Si
Lorsqu’en nommant leur Roi nos généreux ancêtres Ont choisi dans ses
fils
la race de leurs maîtres. Quand des soldats vainq
beau-pere, beaucoup plus âgé qu’elle, & que Sella, son troisieme
fils
, a été amoureux de Thamar, sa belle-sœur, veuve d
Puisqu’on dit qu’elle aimoit le père, pouvoit-elle vouloir épouser le
fils
? double amour, qui la rendoit méprisable, indign
& l’exposoit au dernier supplice. Elle se détermine enfin pour le
fils
, désire son mariage, fixe le jour des noces, se f
trature municipale. Le fond de la piece est une action généreuse d’un
fils
qui se rend volontairement forçat à la place de s
-peu fait à tous égards pour être célébre, fut accusé d’avoir tué son
fils
, parce qu’il vouloit se faire Catholique. Deux ho
upable. Catholique, Protestant, Juif, Mahométan, qui eût étranglé son
fils
, la Chambre Tournelle eût également fait expirer
les plus horribles forfaits impunis ? Mais il est innocent, c’est son
fils
qui s’est pendu lui-même : suicide sans vraisembl
mnestre que les Juges ont fait mourir pour venger l’assassinat de son
fils
Oreste ? Ayant été condamné à mort, Pilade son am
x, des valets industrieux, ne prendra-t-il pas un jour la bourse d’un
fils
prodigue ? » Il nous fait assurément beaucoup d’h
es débauches des Enfans d’Israël ; celle du Roi Prophète & de son
Fils
? toutes ces citations pour faire haïr le crime n
p longtems à son gré, il résolut de l’empoisonner de concert avec son
Fils
César Borgia, qu’il avait eu étant Cardinal, de V
vin dont on ne devait servir qu’à ce Cardinal, mais le Pape & son
Fils
étant arrivés avant lui dans ce jardin, & aya
r les mérites des Vertus contraires à tous ces horribles vices. » Son
Fils
(dit-on) s’étant fait mettre dans le ventre d’une
un Cavalier qu’elle aimait éperduement. Jean & Garcie, tous deux
Fils
de Cosme, Duc de Florence, avaient conçu l’un pou
il avait tué son Frère, & le lui enfonça dans le sein. Mainfroy,
Fils
naturel de l’Empereur Fréderic II, fut voir ce Pr
at & dans la religion » seraient donc préférables à un Clovis II,
fils
de Dagobert I, Père du peuple44 à un Dagobert II,
fils de Dagobert I, Père du peuple44 à un Dagobert II, dit le Jeune,
fils
de Sigebert III, dont le gouvernement pacifique &
de boire autant que lui, le mit au tombeau, fin glorieuse. Winceslas,
Fils
aîné de Charles IV, ne commet que des actions de
une jambe fracassée. Ce fut dans un excès de vin qu’il fit mourir son
Fils
dans les tourmens les plus affreux ; s’il eut été
uloir. Les premiers effets du vin ont exposé un Père aux regards d’un
Fils
, dans un état que la décence ne me permet pas de
uement caressées par leurs maris ou leurs amans. Dieu sait combien le
fils
immortel de Sémèle, & l’aveugle amant de Psic
de leur travail, &c. 31. Favori de Tibère. 32. Martin Luther,
Fils
d’un Forgeron, né à Islèbe, Comté de Mansfeld. 3
font métier ; la conséquence est sûre. 36. Madame du Châtelet. 37.
Fils
du Chancelier, Homme charmant, de la plus belle f
Dédale pour une plume aussi faible que la mienne. N’imitons point le
Fils
téméraire de cet Architecte fameux qui sut cacher
sa Concubine, firent élever ce monument à C. Mamercius Janvarius leur
Fils
naturel, & à leur Cousine qui n’est point nom
r le théatin qui en était l’auteur. Ce théatin était le Père Caffaro,
fils
d’un Sicilien qui avait fait révolter Messine, en
ensemble dans une maison de qualité, et de ce que Boursault avait un
fils
théatin. C’était ce poète qui avait excité le Pèr
berté. Un jubilé insultant pour nos pères, injurieux pour nous, leurs
fils
, héritiers de leur courage et de leurs opinions,
n notre Dieu ; mais sa colère a été désarmée par le sacrifice que son
fils
lui a offert pour notre rédemption. Pourquoi ce s
e Dieu ne lui en fit point le reproche ; Dieu punit, au contraire, le
fils
qui n’avait point caché cette faiblesse d’un père
le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon
fils
, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pau
us vous supplions d’arrêter les effets de ces menaces que votre divin
Fils
adresse aux faux interprètes de sa loi, et encore
Faites qu’ils répètent avec nous ces paroles si consolantes de votre
Fils
: « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et
r Constantin Ier, converti au christianisme, a fait mettre à mort son
fils
Crispus et sa femme Fausta pour des raisons assez
ieces qui y sont relatives. A AMSTERDAM,Chez Zacharie Chatelain et
fils
, Imprimeurs-Libraires.M. DCC. LIX.
re Par le P. Desmolets Tome sept, partie premiere A PARISChez Nyon
fils
, Quai des Augustins,près la rue Gille Cœur,à l'Oc
raduit en françois par M. Caubère [mention manuscrite] A PARIS Rolin
fils
, Quai des Augustins,à S. Athanase.MDCCXXXIII Avec
ipe apprend la mort de Polybe, Roi de Corinthe, dont il croit être le
fils
; il mêle à sa douleur quelque espèce de joie, pu
rtrier de son père ; mais il apprend en même temps, qu’il n’est point
fils
de Polybe ; et cette nouvelle emmène le dernier s
cette nouvelle emmène le dernier secret de sa destinée : Il se trouve
fils
de Laïos, qu’il a tué, et de Jocaste qu’il a épou
’il eût de la haïr, il n’y a point de raison, qui puisse autoriser un
fils
à commettre un parricide, et à tremper ses mains
s sa Phèdre. Cette Princesse conçoit un amour violent pour Hippolyte,
fils
de Thésée, son mari : Après bien des combats, ell
es que fait cette mère infortunée, après avoir trouvé le corps de son
fils
Polydore, que le perfide Roi de Thrace avait fait
ée à se venger, et qui arrache elle-même les yeux au meurtrier de son
fils
. Quoique ce Roi barbare eût bien mérité ce cruel
redoubler encore la douleur de Polyxène, c’est que Pyrrhus, le propre
fils
d’Achille, était celui qui demandait ce barbare s
Peres et Docteurs de l’Eglise. A Paris Chez Pierre de Breche Père et
Fils
, ruë S. Etienne des Grecs, à l’Image S. Joseph.
ui sont peu enthousiasmés de la noblesse commerçante. L’auteur est-il
fils
de marchand, où a-t-il voulu se moquer de la nobl
ayenne lui-même ; que le pere de l’amant change & permette à son
fils
d’épouser une royaliste qu’il lui avoit défendue
même après la mort de Henri, quoique la Cour de sa veuve & de son
fils
fût très-décidée, & lui fît sentir son mécont
intenue dans le Béarn, favorisée en Hollande & en Allemagne ; son
fils
a été obligé d’aller en Béarn, même en personne,
mp; établi les Italiens, que le Parlement avoit chassé. 5°. S. Louis,
fils
d’une Reine très-pieuse, qui l’éleva dans la piét
mens les plus chrétiens, après avoir reçu tous les Sacremens ; Henri,
fils
d’une Reine furieuse qui fit mourir des milliers
ince : Louis. XIII. portoit & méritoit le nom de Juste, comme son
fils
celui de Grand & son petit-fils celui de Bien
lui mérite-t-elle le titre de Juste qu’on ne lui a jamais donné ? Son
fils
se laissa éclipser par le Cardinal de Richelieu,
rochent-ils des sages leçons que ce saint Roi laissa en mourant à son
fils
? Enfans de S. Louis, imitez votre pere , écrivo
e après sa mort : poursuivie, éloignée de la Cour, brouillée avec son
fils
, en butte au Cardinal de Richelieu, elle alla mou
uroit gré. Vous avez toujours craint qu’on ne trouvât singulier qu’un
fils
s’érigeât en Commentateur des Tragédies de son pè
ulté qui vous arrête, n’en est pas une, selon moi. On ne blâme pas le
fils
d’un Grand homme d’être le panégyriste de son pèr
éputation du mort doit décider de la conduite du vivant. On diroit au
fils
de Pradon : Honorez la mémoire de votre père, mai
mémoire de votre père, mais oubliez qu’il ait fait des Tragédies. Au
fils
de Racine, comme à celui de Virgile, on leur crie
es Tragédies a paru se repentir d’avoir travaillé pour le Théatre. Le
fils
qui, quoique homme de Lettres & Poëte lui-mêm
le bon-sens. Je ne lis point sans attendrissement ce qu’il dit à son
Fils
aîné, pour le consoler d’avance des critiques qu’
de ce mot, & discutons clairement nos idées. Quoique je parle au
Fils
de Racine, je lui déclarerai ingénument que son P
Rodrigue, Amant aimé de Chimène. Le vieillard deshonoré confie à son
fils
le soin de sa vengeance. Quel coup de foudre pour
il projette, sa haîne implacable contre les Romains, secondée par son
fils
Xipharès, les liaisons de Pharnace avec ces mêmes
i prononcer le nom qu’avec respect, & j’adresse ma critique à son
Fils
. Vous en ferez l’usage que vous jugerez à propos
il fallait que le père fût absolu, qu’il parlât toujours sans que le
fils
osât lui dire mot, que la religieuse, bien loin d
t paru pour tous personnages qu’un père qui eût fait des leçons à son
fils
et qui eût invoqué la colère de Dieu pour l’exter
hes transports que vos oreilles avaient entendus, que l’impiété de ce
fils
, que vous connaissiez pour imaginaire et pour chi
t préférer à Bajazet une mort certaine au Thrône Ottoman ; à l’un des
fils
de Mithridate, une chûte honorable, aux avantages
mnon ; à Andromaque la main de Pirrhus, & la mort au salut de son
fils
. C’est par le choc tumultueux des passions &
’avait pris la main, & qui la pressait faiblement, m’a montré son
fils
: — Voila, m’a-t-il dit, le gage précieux d’une h
s même… Vous allez la voir —. J’ai cessé de l’écouter ; j’ai pris mon
fils
dans mes bras ; & plus clairvoyant par l’inst
présentation d’une Comédie si instructive. L’Avare a deux enfants, un
fils
et une fille : le fils aime éperdument la maîtres
die si instructive. L’Avare a deux enfants, un fils et une fille : le
fils
aime éperdument la maîtresse de son père ; et la
et odieux : un Poëte Grec n’eût pas épargné aux Athéniens la vue d’un
Fils
empoisonnant sa Mere. Il ne falloit pas un grand
te avec ses Conseillers, Ptolomée avec les siens, Mithridate avec ses
Fils
, Scenes que ne connoissoit point la Tragédie Grec
u tems d’Œdippe, Jocaste, sitôt qu’elle eut découvert qu’il étoit son
Fils
, se donna la mort, & il paroît par Homere qu’
auteur. Les PanathénéesSuid. in Panat. furent instituées par Erychton
fils
de Minerve et de Vulcain ; et ceux de Musique en
ussilla, et depuis à ses funérailles. A la naissanceDiod. l. 16. d'un
fils
de l'Empereur Claude les Préteurs en firent autan
avertir le Senat, afin de refaire les Jeux ; ce qu'ayant négligé, son
fils
mourut, et il demeura lui-même perclus de tous se
Le
Fils
de Dieu étant venu en ce monde pour y apporter le
distribuer à ses Officiers pour ne pas les rendre efféminés. Cambise
fils
de Cirus, élevé mollement, & pensant bien dif
’Esau étoient parfumés ; Isaac y fut trompé, & prit à l’odeur son
fils
Jacob pour son fils aîné, ut sensit vestimentoru
és ; Isaac y fut trompé, & prit à l’odeur son fils Jacob pour son
fils
aîné, ut sensit vestimentorum fragrantiam . Tout
yrie poursuivre son mari, disoit-elle, en Allemagne pour délivrer son
fils
Richard ; deux fois en Espagne pour aller cherche
e donnoit une vigueur, une force surprenante. Quand Thétis envoya son
fils
pour arrêter Prothée ; elle oignit tout son corps
rasse de Théologie au théatre ? Aussi n’étoit-ce pas son ouvrage. Son
fils
, Religieux Théatin, le lui procura. Il alla déter
tille, craignit quelque disgrace, & pour lui même, & pour son
fils
. Il eut à essuyer les reproches du P. Caffaro, Pr
à ses enfans. Dans sa vie édifiante qu’a donné de son pere, Racine le
fils
, malgré l’analise, l’éloge, l’apologie qu’il fait
a chair de pourceau : Il vaut mieux être le pourceau d’Hérode que son
fils
. Enfin Mariamne, sa propre femme, la plus belle f
a corruption des mœurs, l’horrible Déicide ; qui sous le regne de son
fils
, fut consommé sur le Calvaire. Ce Prince fait dan
. Jesus-Christ nacquit sous son régne, & mourut sous celui de son
fils
, après saint Jean, son précurseur. Il fut méprisé
nt guere. Monfleuri, célebre Acteur & Auteur, aussi bien que son
fils
, dont les pieces sont indécentes, mourut presque
nquer, ou du moins contribua beaucoup à faire manquer l’entreprise du
fils
du Roi Jacques pour remonter sur le Trône. Il ne
s d’une femme, de la coqueterie d’une fille, de la désobéissance d’un
fils
, d’un mariage de passion, de la friponnerie d’un
de Crebillon, ce qui lui fit faire une replique très-piquante par son
fils
. On demandoit au pere quel de ses ouvrages il cro
rages il croyoit le meilleur. Il éluda la réponse, & montrant son
fils
qui étoit présent : Voilà , dit-il, le plus mauv
nt son fils qui étoit présent : Voilà , dit-il, le plus mauvais. Son
fils
repliqua : il est vrai que je ne suis pas l’ouvra
e de l’Opéra, de quatorze à quinze ans, plut si fort à M. le Dauphin,
fils
de Louis XIV, qu’il en voulut faire sa maîtresse
Illustre rejetton de ce Prince qui conduisit l’armée grecque à Troye,
fils
d’Agamemnon, il vous est donc permis de revoir l’
la dépense. Thémistocle l’entreprit une fois pour Phrynicus. Sophocle
fils
d’un Maître de forges de Colone, bourg de l’Attiq
sont Arnauld Daniel de Tarascon, qui vivoit en 1189 ; Anselme Faydit
fils
d’un Bourgeois d’Avignon, pensionné du Légat, &am
Roi, à la réception de la Reine d’Angleterre, du Prince de Galles son
fils
, & du Prince Robert son neveu : en 1651, le b
stinien(a) voulant rechercher l’amitié des François, fit proposer aux
fils
de Clovis, Childebert Roi de Paris, & Clotair
ssant, que celui de toute une Nation réunie ! Là un pere diroit à son
fils
, « Vois au milieu de cette auguste assemblée, le
ujours en décroissant, depuis Charles le Simple. Louis d’Outremer son
fils
, & Lothaire son petit-fils avoient si peu de
Agrippine irritée de ce qu’un homme qu’elle a fait Gouverneur de son
Fils
, ne la laisse jamais seule avec lui, dit à Burrhu
onc élevé si haut votre Fortune, Pour mettre une barriere entre mon
Fils
& moi ? quelle image présente ce mot ! Cet
vé si haut, est devenu une barriere, qui l’empêche d’approcher de son
Fils
. On ne doit donc pas attaquer notre Tragédie, sur
ple. Andromaque recommandant à sa Confidente de faire connoître à son
Fils
les Héros de sa Race, ajoute, Di-lui par quels
use sa mère, et se trouve le frère de ses enfants ; un autre force un
fils
d’égorger son père ; un troisième fait boire au p
s d’égorger son père ; un troisième fait boire au père le sang de son
fils
. On frissonne à la seule idée des horreurs dont o
et de prêter à usure ; mais n’en est-ce pas un plus grand encore à un
fils
de voler son père, de lui manquer de respect, de
nte, en est-elle moins punissable ? et la pièce où l’on fait aimer le
fils
insolent qui l’a faite, en est-elle moins une éco
cœur humain ; mais il n’y en aura pas un seul qui ne soit ou père, ou
fils
, ou mari, ou citoyen : et si, par hasard, il se r
par leurs enfants, prennent contre eux des sentiments de haine : les
fils
, de leur côté, deviennent ennemis de leurs propre
autres pièces qui y sont relatives, Amsterdam, Zacharie Chatelain et
fils
, 1759, in-8, IV-156 p. PDF : Google. Corpus OBVIL
e de M. Rousseau, citoyen de Genève, Amsterdam, Zacharie Chatelain et
fils
, 1759, in-8º, IV-156 p. PDF : Google. Réédition
ique des mœurs, Maximes de conduite propres à la Société, Paris, Nyon
fils
,1751, 2 vol. in-12, tome I, viii-328 p. ; tome II
Mémoires de Litérature et d’Histoire, t. VII, 1re partie, Paris, Nyon
fils
, 1749, 478 p. (1 f.). PDF : Google. Corpus OBVIL.
des Peres & Docteurs de l’Eglise, Paris, Pierre de Breche père et
fils
et Mathurin et Jean Henault, 1646, (7 ff.) 726 p.
ugmentée, et corrigée avec beaucoup de soin, Lyon, Veuve Delaroche et
fils
, Frères Duplain, 1746, t. IV. PDF : Google. → Tex
ionnaires du monastère royal de S.-Louis de Poissy (Paris, F. Pralard
fils
, 1698, in-12, pièces limin., 199 p.) ; texte augm
’Abbé Parisis, docteur en théologie, Bruxelles, J.-J. Vanderborght et
fils
, 1829, X-242 p. PDF : Google. Marchant, L’Im
sur ses sentimens touchant les spectacles, Genève, Emanuel Du Villard
fils
, 1759, in-8º, VIII-160 p. • Repris dans les éditi
rmons de M. Massillon…, Carême, tome second, Paris, Veuve Estienne et
fils
, Jean Hérissant, 1746, 571 p. → Texte : passage p
M. Mauroy, avocat aux Conseils du Roi, Paris, impr. de Lachevardière
fils
, 1825, in-8°, 50 p. Exemplaire BnF Tolbiac : 8-LD
rtant sur les plaisirs et sur le jeu. Rééditions • Paris, Méquignon
fils
aîné, 1822-1824, 15 vol. • Paris, Parent-Desbarre
xions, par Lindley Murray, traduit de l’anglais, Paris, Lachevardière
fils
, 1824, in-12, 28 p. PDF : Google. Corpus OBVIL.
i anno 1733 in Ludovici Magni collegio, Paris, Jean-Baptiste Coignard
fils
, 1733, in-4º, 52 p. PDF : Gallica. Traduction f
par le P. Brumoy de la même compagnie, Paris, Jean-Baptiste Coignard
fils
, 1733, in-4º, 48 p. Ex. BnF Richelieu, Musique :
PDF : Gallica. Corpus OBVIL. Éditions modernes • Genève, J. Gay et
fils
, 1869, in-12, XI-67 p. Voir Wikisource. • in Mol
des ouvrages de l’auteur par Charles Giraud, Paris, J. Léon-Techener
fils
, 1865, t. II, p. 320-334. PDF : Gallica. Transcri
ux martirs ; traduits en françois [par Mathieu Caubère], Paris, Rolin
fils
, 1733, in-12, (3 f.) XVIII p. (2 f.) 377 p. + tab
rmes.6. Il nous dit encore que Celui qui aime le péril y périra 7. Le
Fils
de Dieu a porté, contre les amateurs des joies pr
acles. II. Le Christianisme tend à nous rendre conformes à l’image du
Fils
de Dieu 26, et à nous faire acquérir les vertus q
aillé pour le Théâtre. Voici ce que le célèbre Racine écrivait à son
fils
sur les Spectacles. « Croyez-moi, mon fils, quand
èbre Racine écrivait à son fils sur les Spectacles. « Croyez-moi, mon
fils
, quand vous saurez parler de Romans et de Comédie
rdonnables. L’un tue son père, et épouse sa mère ; un autre force son
fils
d’égorger son père ; un troisième fait boire à so
’égorger son père ; un troisième fait boire à son père le sang de son
fils
. On frissonne, à la seule idée des horreurs dont
e admirable . Au contraire, un grand roi dans l’histoire disoit à son
fils
: N’as-tu pas honte de danser si bien ? Un comé
prendre le titre de Roi, & relegué Chilpéric dans un couvent. Son
fils
Pépin ne mit la couronne fut sa tête qu’après bie
singulier en cinq actes. 1°. La mort de Vespasien, les pleurs de son
fils
, les hommages du Sénat, en pas graves. 2°. Les fu
es. 2°. Les funérailles, l’apothéose de l’empereur, les larmes de son
fils
sur son buste, à force de douleur il s’endort, pa
es, tout le reste porte à faux. Vespasien triompha des juifs avec son
fils
Titus, & survécut plusieurs années à ce triom
lugubres de la mort & des funétailles de Vespasien, le sommeil du
fils
pendant la céremonie, sa joie folle & indécen
ésentées sur le Théâtre. Le Poète Euripide In Hecuba. feintj Polydore
fils
de Priam et d’Hécube retourner des Enfers, et pro
s préjugés qui ont pour eux l’autorité des temps et un vieux respect,
fils
de l’habitude ; de même que le résultat de ces at
e aussi ne s'est jamais blessé de ces paroles barbares d'un père à un
fils
, à qui il donne charge de le venger. « Va contre
upable. » On écoute avec plaisir ces paroles barbares d'un père à un
fils
, à qui il donne charge de le venger. « Va contre
le, s’ils avaient autant de respect, d’estime et d’admiration que son
Fils
et elle pour M. Panulphe ; que toute leur méchanc
entrée du second, comme on a vu. Ainsi le troisième commence par le
fils
de la maison et Dorine, qui attend le Bigot au pa
rien » ! Le bonhomme charmé par cette humilité, s’emporte contre son
fils
d’un étrange sorte, l’appelant vingt fois « Coqui
tte aussi d’abord pour le relever, avec des rages extrêmes contre son
Fils
. Enfin, après plusieurs injures, il veut l’oblige
n de tout son bien ; qu’un gendre vertueux comme lui vaut mieux qu’un
fils
fou » comme le sien. Après avoir exposé ce beau p
mande d’abord « quel bruit c’est qui court d’eux par le monde ? » Son
Fils
répond que c’est que « Monsieur Panulphe le veut
un long lieu commun « de la médisance et des méchantes langues ». Son
Fils
lui dit qu’« il l’a vu », et que ce n’est pas un
emples de sa jeunesse, et des citations de gens qu’elle a connus. Son
Fils
a beau se tuer de lui répéter qu’« il l’a vu » ;
s’assurer mieux de la chose avant que de faire éclat » : sur quoi son
Fils
s’emportant lui repart brusquement qu’« elle voud
porter une mauvaise nouvelle, dont personne ne l’a chargé, la mort du
fils
, comme pour se venger du père, en l’accablant de
i est toute à lui, il fait soupçonner l’amant d’être allé chercher le
fils
pour se battre avec lui, peut-être pour l’assassi
er à la profession religieuse, d’exiger d’Abraham le sacrifice de son
fils
Isaac. Le Prince, le Magistrat, n’ont pas droit d
doit-il être le vôtre ? Sans doute, s’il est fondé. S’il étoit votre
fils
, l’oseriez-vous forcer ? Il braveroit bien-tôt un
exhale sa fureur. Le gendre fait des menaces contre le père & le
fils
: c’est un forcené. Nous n’oserions rapporter ce
l’ignore-t-il, ne doit-il pas le craindre pour lui-même & pour ce
fils
chéri qu’il veut enrichir des dépouilles de sa sœ
e me fasse un nombre d’ennemis dans un parti puissant qui protège mon
fils
? Et plus coupable encore, puisqu’elle connoît ce
e veut point se faire des ennemis, ni offenser les protecteurs de son
fils
, & que sa fille doit à son père un grand resp
rs ou tue, tel est le conseil barbare qu’un père chrétien donne à son
fils
. Ces maximes font sur l’esprit des spectateurs de
ère ? le devoir conjugal que Pauline ? l’amour fraternel que les deux
fils
de Cléopâtre ? Le tableau de si hautes vertus, qu
urnes ; il avait déjà entendu Marguerite dire à Philippe d’Aulnay son
fils
et l’un de ses amants : « Je viens avant que tu n
de vanité, ou d’intérêt, et enfin pour dernier tableau elle entend un
fils
maudire sa mère. L’affluence des spectateurs s’ex
ras extrême où se trouve Phocas dans Héraclius q lorsqu’il cherche un
fils
entre deux Princes, qui ne veulent point le recon
’intrigues pour une belle Tragédie. Un Roi qui fait mourir son propre
fils
. Un Général d’armée qui sacrifie à sa foi ses enf
réputation. Une mère ambitieuse, qui pour se venger du mépris que son
fils
fait des dignités qu’on lui offre, va elle-même l
mais encore le mettre à la place de ce Tyran. Vous verriez ensuite un
fils
qui s’expose à la mort pour sauver son Père ; et
a mort pour sauver son Père ; et le père obligé, ou de voir périr son
fils
, ou de quitter la foiaj. Si cette Histoire parais
mnon n’aurait-elle pas les mêmes effets s’il s’agissait d’immoler son
fils
, que lorsqu’il s’agit d’immoler sa fille ? Vous v
t espece d’embaumement, en disant : Voilà les membres d’un tel, votre
fils
, votre frere, &c. comme autrefois Antoine mon
s ; qu’il avoit en vue, lorsqu’au lit de la mort, parlant à son petit
fils
il s’accusa d’avoir trop aimé ses bâtimens, &
nudités, l’indécence, le libertinage, les crimes, & de l’autre le
fils
d’une Vierge, plein de modestie, de douceur, d’hu
nies pareilles. Les Persans célébrent chaque année la mort de Hussein
fils
d’Ali & de Fatmé fille unique de Mahomet tué
si petit, si foible, si indécent, le Consul qui fait mourir ses deux
fils
. On a voulu, dit-on, faire parler la nature. Mais
, il lui applaudit, il le caresse, lui prend les mains, l’appelle son
fils
. Quel rôle méprisable ! quel caractere bas &
n a fait Prieur malgré lui ? encore depuis bien peu de temps, car son
fils
vient de mourir, ce fils pour lequel il a forcé s
i ? encore depuis bien peu de temps, car son fils vient de mourir, ce
fils
pour lequel il a forcé sa fille à être Vestale, &
plus favorable, vu qu’ils savaient bien, qu’il était né mortel, étant
fils
de Phoronce, et de Pithon, et qu’il avait été cru
i Dieu, devant la venue de notre Sauveur Jésus-Christ, vrai et unique
fils
de Dieu, lequel nous a donné son Père à connaître
ée, lequel (selon l’opinion d’aucuns) fut de Libethraville de Thrace,
fils
d’Oëager et de Calliope, et nourri au mont Pierus
rinite li. 1. ch. 5. des Poetes Latins. Pacuvius de Bronduse, qui fut
fils
de la sœur du Poète Ennius, et qui gagna sa vie p
nciliation du genre humain avec Dieu le Père, par la médiation de son
Fils
; le triomphe de la vérité sur l’erreur et l’impo
a vengeance, et la modestie de l’orgueil. « Le dernier événement du
Fils
de Dieu est un nouveau spectacle que Tertullien n
e aux Juges : la première est quand il les appelle « des Dieux et les
fils
du Souverain » : et la seconde, lors qu’il leur d
naise de BabyloneHomélie 8. » : Lactance Firmien Précepteur de Crispe
fils
du Grand Constantin, dans son Livre des divines i
Comédien n’est pas recevable à intenter une accusation ; & qu’un
fils
, qui, contre la volonté de son père, s’est fait C
bien que la misere d’un pere ne doit pas le faire méconnoître par son
fils
, n’avoit jamais si parfaitement senti la bassesse
protéger Égiste lorsqu’elle croit être persuadée qu’il n’est pas son
fils
? Écoutons cette Reine : Tendons à sa jeunesse
aroîtra aujourd’hui trop horrible, et; que l’on ne pourra souffrir un
fils
qui tue sa mere, et; une fille qui exhorte son fr
a mere, on entend Clytemnestre lui adresser ces tendres paroles : Mon
fils
! mon cher fils ! ayez pitié de celle qui vous a
d Clytemnestre lui adresser ces tendres paroles : Mon fils ! mon cher
fils
! ayez pitié de celle qui vous a donné la vie. Il
her fils ! ayez pitié de celle qui vous a donné la vie. Il faut qu’un
fils
soit bien dénaturé pour tuer sa mere avec pleine
onnelles. Cette barbare fille entendant sa mere demander la vie à son
fils
, lui répond : Mais auriez-vous donc eu pitié de l
celle de Sophocle ; on voit sur le Théatre Clytemnestre qui prie son
fils
de ne la pas tuer.7 Le même sujet est encore trai
les respectables droits des peres, que de faire voir avec quel art un
fils
soustrait à son pere la connoissance de ses maîtr
nombre d’eux consacré au Théatre dès leur enfance, parce qu’ils sont
fils
de Comédiens, ne savent rien au-delà de leurs rôl
personnes de Spectacle ? Le souverain Pontife, le Vicaire immédiat du
fils
de Dieu, les admet dans le sein de l’Eglise, les
amais de distractions utiles ? Ne prendront-ils jamais la bourse d’un
fils
prodigue ou d’un pere avare pour celle de Léandre
s ne sont rien. 7. Lorsque Sophocle fait dire à Clytemnestre : Mon
fils
! mon cher fils ! ayez pitié de celle qui vous a
7. Lorsque Sophocle fait dire à Clytemnestre : Mon fils ! mon cher
fils
! ayez pitié de celle qui vous a donné la vie. On
au lieu qu’Eschyle, fait paroître Clytemnestre demandant grace à son
fils
. 8. … Voyez dans nos Spectacles Quand on peint
ral, Eschius et; Aristonicus Sénateurs, et;c. 14. Esope laissa à son
fils
près de deux millions. Roscius avoit par an 6500
Un Prince qui veut la guerre pour le bien de l’Etat ; qui déteste son
fils
, parce qu’il est aimé d’Antigone, qu’il aime lui-
lques Scènes après, veut la paix pour n’avoir pas à combattre ce même
fils
. Il s’applaudit de sa mort, parce qu’aimé du peup
NDA] François de Montholon, second du nom, est un exemple unique d’un
fils
qui a succédé à son père dans la même charge émin
ême charge éminente de garde des sceaux de France. En effet, il était
fils
de François de Montholon, premier du nom, qui ava
ble, mon adorable sœur. Votre fille vous assure de ses respects : mon
fils
vous nomme ; c’est bien assez pour son âge. Monsi
che, de superstitions & d’Athéisme. Cette Princesse conduisit son
fils
Henri III aux plus grands excès, & enfin à un
les ossemens de celui qu’elle venoit d’enterrer en Roi par l’ordre du
fils
de celui qu’elle avoit fait mourir comme tiran, &
un regne, que de si tragiques événemens auroient du rendre sage. Son
fils
naturel ne profita pas mieux de ces tristes leçon
dé n’ayant plus de commandement, & n’en ayant pu obtenir pour son
fils
, quoiqu’il offrit de servir avec lui, & d’êtr
&c. Cette idée est burlesque. Croit-on que si Louis XIV étoit né
fils
de berger dans quelque vallon des Pirennées, le m
jamais l’eussiez-vous ainsi pensé ? Sont-ce là les châtiments dont le
Fils
de Dieu menace les ennemis de son Evangile ? Sont
xception tous les divertissements de la vie ; je sais quels arrêts le
Fils
de Dieu a portés contre les heureux du siècle, lo
e votre ame ; Bonum tibi est. Pourquoi pensez-vous, Chrétiens, que le
fils
de Dieu se servît de cet exemple du pied, de l’œi
et projice abs te. Voilà, mes chers Auditeurs, le sens des paroles du
fils
de Dieu. Or à combien plus forte raison cette gra
freuse ; mais n’oubliez jamais les paroles de mon texte, et ce que le
Fils
de Dieu vous dit dans la personne de ses Apôtres
ères, il a bien osé s’appliquer à la fin de sa Lettre, ces paroles du
Fils
de Dieu, « ma doctrine n’est pas ma doctrine Page
isseurs. Beau portrait des spectacles par Boileau et par M. Racine le
fils
. M. Despréaux[NDE] Il n’y a pas de retour à la
’est plus poétique ni plus chrétien, que la peinture que M. Racine le
fils
fait du Théâtre. « Des Discours trop grossiers l
sur leurs Voyages, y méloient le recit de la vie & de la mort du
Fils
de Dieu, ou du Jugement dernier d’une maniere gro
uarante ans que l’on a cessé de representer les Mysteres de la vie du
Fils
de Dieu. Ces Spectacles de pieté parurent si beau
le Seigneur des armées faisoit aux Juifs : Malach. c. i. v. 18.« Le
fils
honore son pere, & le serviteur révére son se
n mourant de veiller, de concert avec monsieur de Longepierre, sur un
fils
& une fille qu’il laissait, & de les pour
u’elle avoit à Salenci où il s’établit, & qu’après leur mort leur
fils
Medard, en quittant le monde, donna pour la fonda
à ce que leur suffrage doit couronner. L’époux chérit sa compagne, le
fils
soulage la vieillesse de son pere, le pere a l’œi
nom de mere, L’enfant se plaît à nourrir son vieux pere, Pour que son
fils
le nourrisse à son tour. Fille on ne veut que mér
tenant d’une main sa mere âgée, & de l’autre appliquant son jeune
fils
à la charrue, avec cette exergue, Colligis amor
e essentielle de l’Art oratoire, donne au discours , dit l’Auteur du
Fils
Naturel, tout ce qu’il a d’énergie . Elle sert no
rgé de la défense d’une mauvaise cause. « La violence du sentiment, [
Fils
Naturel,] coupant la respiration, portant le trou
ffranchi, sur plaire aux Grands de Rome, & si particuliérement au
Fils
de l’Ancien Lælius, & à Scipion le jeune, qu’
n étoit immense. Æsopus, grand dissipateur, laissa cinq millions à un
Fils
encore plus grand dissipateur que son Pere. Rosci
ragédies, institua les jeux Neroniens : & Domitien, qui se disoit
Fils
de Minerve, institua les jeux Capitolins. Malgré
début d’Homère dans l’Iliade. « Déesse, chantez la colère d’Achille,
fils
de Pélée ; cette colère pernicieuse qui causa tan
embrasserons-nous ? quand presserai-je contre mon sein ma fille, ton
fils
… ou plutôt le mien ? Qu’a dit monsieur D’Alzan, e
e ne suis pas digne de vivre… Quand je vois Ursule… Ursule, & mon
fils
que je serais au desespoir qui me ressemblât un j
6]. : lorsque demandant ce que c’est que cette parole appelée par le
Fils
de Dieu à un si sévère jugement ; il répond, Reg
Corneille autorise le duel, mais dans quelle circonstance ? C’est un
fils
qui venge son père, et qui, réduit à l’alternativ
les sentiments naturels d’une mère, c’en est assez du danger de leurs
fils
pour les rendre malheureuses et intéressantes. La
lace. Tel se plaît à frémir en voyant Mérope le poignard levé sur son
fils
, et Oreste ou Ninias venant d’assassiner sa mère
s-tu ce sang ? » Et à ce vers de Cléopâtre : Puisse naître de vous un
fils
qui me ressemble ! Les spectateurs, à son avis, a
et de prêter à usure ; mais n’en est-ce pas un plus grand encore à un
fils
de voler son père, de lui manquer de respect, de
ente, en est-elle moins punissable, et la pièce où l’on fait aimer le
fils
insolent qui l’a faite, en est-elle moins une éco
oux de son nom, soigneux de sa postérité, sensible à l’honneur de son
fils
, et inquiet sur le choix que ce jeune homme ferai
re ou l’habitude disposait son cœur à l’amour. Vous souhaitez à votre
fils
une âme insensible, lui dirai-je ; c’est souhaite
ction morale ; mais les animaux les plus stupides ont des sens, votre
fils
en aura comme eux, et comme eux il en sera l’escl
’amour ? Non, sans doute, lui répondrai-je ; mais supposons que votre
fils
ne soit pas naturellement pervers, qu’il soit né
de la patrie ? Qui de nous est complice dans l’âme de la trahison du
fils
de Brutus ? Mais qu’il plaise aux Romains de fair
jamais de distraction utile ? Ne prendront-ils jamais la bourse d’un
fils
prodigue, ou d’un père avare, pour celle de Léand
e fit le personnage de coupeuse de bourses, & le Prince Royal son
Fils
, celui de Garçon Barbier. Dira-t-on que depuis ce
ge spécial, & pour la récompenser d’y avoir conduit elle-même son
fils
Euclée. Quelle différence d’admettre par grace, u
es Magistrats, qui font l’objet de ce second livre. Ce saint Docteur,
fils
d’un Préfet du Prétoire des Gaules, la première d
ent au hasard les occasions. Ils ont attiré pourtant les anathèmes du
Fils
de Dieu, qui maudit le monde et nous ordonne de n
ouse sa mere, & se trouve frere de ses enfans. Un autre force son
fils
d’égorger son pere : un autre fait boire le sang
orce son fils d’égorger son pere : un autre fait boire le sang de son
fils
. On frissonne à la seule pensée des horreurs repr
me impossibles ? O familles infortunées ! qui redemandez à la mort ce
fils
qui a péri dans les fureurs d’un duel, voilà l’éc
id deceat, quid non. 5.° Une femme riche, de qualité, chassée par son
fils
, à qui elle donne tout son bien, réduite à se met
; n’ont peut-être pas de pain. On a voulu faire un contraste entre le
fils
& la fille en faveur de l’amoureuse, & mé
vingt ans, de se faire Religieuse, pour assurer tous ses biens à son
fils
. Une veuve a peu d’autorité, la fille a sa légiti
e. Voyez ce père tendre, qui s’épuise de travail, pour qu’un jour son
fils
& sa fille reçoivent de sa main, en le béniss
érivent de notre nature ; si le père y voit briller les talens de son
fils
; si le fils goûte l’inexprimable plaisir d’enniv
tre nature ; si le père y voit briller les talens de son fils ; si le
fils
goûte l’inexprimable plaisir d’ennivrer de joie l
re ; de donner pour amusement, le Citoyen qui a rempli les devoirs de
fils
, d’époux, de père, de membre de l’Etat… Jeune ins
e dont la vie est si courte, & le temps précieux ; Qu’un père, un
fils
, un mari, un Citoyen, ont des devoirs si chers à
onnête Père-de-famille, d’une Mère desabusée sur les égaremens de son
fils
, d’une épouse vertueuse qui regagne le cœur de so
te, qu’auparavant. Ces traits affreux du Tableau, qui représentent un
Fils
, qui tue son Père, épouse sa Mère, & se trouv
père de ses Enfans ; un Brigand favorisé de la fortune, qui trompe un
Fils
& lui fait égorger son propre Père ; un Frère
ens s’ennivrant les premiers de la fumée de l’encens prodigué à leurs
fils
, à leurs filles : une bouche honnête, jamais soui
auques & cassés sont peu propres à cette fonction : mais il a des
fils
, & surtout des filles, dont la voix gracieuse
p; flexible doit donner un nouveau prix à l’air qu’il a composé : les
fils
& les filles chantent alternativement sans do
oit que le Directeur de la Peuplade le voit de plus près : cet homme,
fils
de l’aîné des frères d’une nombreuse famille, ces
éâtre les applaudissemens de la multitude : quelques siècles après le
fils
d’Enobarbus se méle parmi ses Histrions. Mais dep
les par Latone qu’ils ont moquée ; &c. Comme les Rois se disaient
Fils
des Dieux, les premiers d’entr’eux qui firent des
en pluie d’or pour Danaé, en taureau pour Europe ? de la Chaleur, le
fils
d’une femme, un Blondin inventeur de la Lyre ? Lo
des passions parmi la Jeunesse : les pères, qui virent souvent leurs
fils
s’abandonner au dérèglement avec ces femmes, qui
ouvée, & n’a jamais songé à la reformer. Jean Cardinal de Medicis
fils
du fameux Laurent fut élévé dans les plaisirs, l’
cretaire, & le fit entrer dans cette partie de l’éducation de son
fils
. Il en eut le département poëtique. Il se rendit
rent, qui les protégeoit, & qui étoit en état de les protéger. Le
fils
trop occupé de ses plaisirs pour s’embarrasser de
de Medicis, qui se chargea de la conduite du jeune Cardinal Jean son
fils
, (depuis Pape ;) car il entra de bonneheure dans
gneurs & Dames de la Cour. Son mari dit, Baile, Dict. critiq. Son
fils
, dit Joli, jaloux de la gloire de sa mere, en a d
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