urs été cité avec éloge, & renferme très-exactement la vérité. Le
faux
dans les romans mérite le même reproche. Il forme
. Le faux dans les romans mérite le même reproche. Il forme un esprit
faux
dans les lecteurs, comme le théatre dans les spec
vallent-ils la peine d’être transmis à la postérité ? Mais tout y est
faux
. Quel est cet homme ? quelle est cette femme ? C’
tout cela un tout d’imagination théatral & romanesque, un goût de
faux
merveilleux ; on se familiarise avec le mensonge,
semblance qu’on y répand, & le mélange perpétuel de vrai & de
faux
qui donne un air de vérité à la fable, & un a
les allures, les langueurs, les transports, tout est masqué, tout est
faux
en lui. C’est un Caméléon, un Protée, qui prend t
i naturalisé avec la tromperie, qu’on ne peut savoir s’il dit vrai ou
faux
? L’amateur de théatre ne mérite pas plus de conf
ent une espèce d’Acteur qui approprie tout à son rôle. C’est un homme
faux
, dont toute la vie est une comédie ; il n’est rie
? Il n’y a de vrai chez eux que le libertinage & la débauche. Le
faux
de la galanterie est très-nuisible aux femmes ; i
ndonnent, les méprisent, les décrient ; ou si elles s’établissent, un
faux
goût donnera la préférence au flatteur sur le vra
r le compte du théatre ? Sans doute, pour la plûpart. Il accoûtume au
faux
& le fait goûter, enseigne à agir & à par
ccoûtume au faux & le fait goûter, enseigne à agir & à parler
faux
, à le couvrir du masque du vrai, & l’emporter
la plus malheureuse, & qu’elle paye de retour. Croiroit-on que ce
faux
du théatre, ainsi que des romans, nuit infiniment
ens de l’esprit & les crimes du cœur. Ce mélange du vrai & du
faux
a répandu de si épais nuages sur les annales du g
r par les faits pieux & édifians. Le théatre travestit le vrai en
faux
, ne connoît la vérité que pour la déguiser, le me
, libéral, courageux, généreux (ce qui est dans la réalité absolument
faux
; un menteur n’a ni probité, ni honneur, ni magna
nds crimes, & capable des plus affreux sentimens : on se charge à
faux
, aux yeux du public, de ce qu’on rougiroit d’ente
exemples & la plus pernicieuse morale, par l’esprit & le goût
faux
qu’on inspire. C’est le vice qui le compose, le v
religion que pour le tourner contre la vertu, en confondant la piété
fausse
avec la véritable, jouant l’une par l’autre par l
mptu des Acteurs, s’exprime plaisamment. L’esprit n’est plus qu’un
faux
brillant, Les caresses qu’un faux semblant, F
ent. L’esprit n’est plus qu’un faux brillant, Les caresses qu’un
faux
semblant, Fausse gloire, fausse grandeur, Par
n’est plus qu’un faux brillant, Les caresses qu’un faux semblant,
Fausse
gloire, fausse grandeur, Par-tout loge le faux
n faux brillant, Les caresses qu’un faux semblant, Fausse gloire,
fausse
grandeur, Par-tout loge le faux honneur, Par-
n faux semblant, Fausse gloire, fausse grandeur, Par-tout loge le
faux
honneur, Par-tout on voit fausse noblesse, Fa
fausse grandeur, Par-tout loge le faux honneur, Par-tout on voit
fausse
noblesse, Faux airs, fausse délicatesse ; Ver
Par-tout loge le faux honneur, Par-tout on voit fausse noblesse,
Faux
airs, fausse délicatesse ; Vertu nous montre un
oge le faux honneur, Par-tout on voit fausse noblesse, Faux airs,
fausse
délicatesse ; Vertu nous montre un faux maintie
se noblesse, Faux airs, fausse délicatesse ; Vertu nous montre un
faux
maintien, Clindor un faux homme de bien, Le c
usse délicatesse ; Vertu nous montre un faux maintien, Clindor un
faux
homme de bien, Le cœur est faux chez Amarante,
ntre un faux maintien, Clindor un faux homme de bien, Le cœur est
faux
chez Amarante, Lise est une fausse savante, F
faux homme de bien, Le cœur est faux chez Amarante, Lise est une
fausse
savante, Fausse apparence, faux dehors, Faux
n, Le cœur est faux chez Amarante, Lise est une fausse savante,
Fausse
apparence, faux dehors, Faux bruits, faux avis,
aux chez Amarante, Lise est une fausse savante, Fausse apparence,
faux
dehors, Faux bruits, faux avis, faux rapports,
te, Lise est une fausse savante, Fausse apparence, faux dehors,
Faux
bruits, faux avis, faux rapports, Les graces un
t une fausse savante, Fausse apparence, faux dehors, Faux bruits,
faux
avis, faux rapports, Les graces un faux étalage
e savante, Fausse apparence, faux dehors, Faux bruits, faux avis,
faux
rapports, Les graces un faux étalage, Les pro
faux dehors, Faux bruits, faux avis, faux rapports, Les graces un
faux
étalage, Les promesses un faux langage. Ains
avis, faux rapports, Les graces un faux étalage, Les promesses un
faux
langage. Ainsi tout est masque dans le monde,
eu même du théatre. Je sais qu’il n’a pas le premier formé des hommes
faux
& hypocrites, peut-être même un esprit faux &
mier formé des hommes faux & hypocrites, peut-être même un esprit
faux
& hypocrite contribua-t-il à le former ; mais
n peut se résoudre à être, même en masque, idolâtre, magicien, démon,
fausse
divinité, une Vénus, un Pluton, un Vulcain, un Ba
Les effets de la Comédie. L’usage des Poètes. Celui des Orateurs. La
fausse
éloquence. Comment on acquiert la véritable. Comm
acquiert la véritable. Comment on devient Philosophe. Les effets des
fausses
études. Eugene. Hé bien ! Théodore, proscrirons-
x qu’ils raillaient. Ceux-ci dans leur superstition craignaient leurs
faux
Dieux ; et cette crainte mettait des bornes à leu
s font usage de leurs lumières naturelles. Theodore. Cependant cette
fausse
éloquence n’est rien en comparaison de l’orgueil
s le tambour de son oreille, distingue exactement celle qui a fait un
faux
ton, lui qui ne sait pas seulement s’il a un tamb
point encore faute de cette sorte d’éducation que nous voyons tant de
faux
savants, tant de jeunes hommes, et même tant de v
Peut-on dire qu’on a donné à ceux-là la connaissance des vrais et des
faux
biens ? Qu’espèrent-ils répondre au Jugement de D
que l’esprit s’arrête à ces vains amusements quand on n’a fait que de
fausses
études. Car de quoi s’occuperait-on n’ayant idée
r de quoi s’occuperait-on n’ayant idée d’aucune chose ? Le vrai et le
faux
, le juste et l’injuste paraissent alors d’une val
ller ceux qui en appellent à la raison. Eugene. Ce fruit funeste des
fausses
études s’est prodigieusement étendu ; et cela me
stice sur la parole de ceux qu‘ils croient savants : Mais ces gens de
fausses
études joignent à leur ignorance une bonne opinio
erts que pour engager adroitement les spectateurs à confondre avec de
faux
cultes le culte véritable, et n’y sont marqués qu
ont marqués que du sceau de la haine et du mépris. Sous l’emblème des
fausses
religions on attaque la véritable : Mahomet, les
chrétienne. Ces tableaux tragiques remplissent l’imagination d’idées
fausses
qui affaiblissent presque toujours dans l’âme des
tous les dehors de la piété ; les ridicules forcés qu’il jette sur la
fausse
dévotion retombent sur la vraie dévotion par les
malheurs d’une auguste victime de la révolution7, et qu’au moyen d’un
faux
matériel, il en a tellement imposé, qu’il est par
ner de son emploi, sous peine d’être violemment soupçonné du crime de
faux
; telle est la conduite qui devrait lui être impo
e société des jésuites dont on ne saurait trop dévoiler les doctrines
fausses
et horribles ainsi que tant d’auteurs l’ont prouv
e M. Magnin, curé de Saint-Germain l’Auxerrois, peuvent lire : 1°. La
fausse
communion de la Reine, soutenue au moyen d’un fau
nt lire : 1°. La fausse communion de la Reine, soutenue au moyen d’un
faux
, etc., in-8° de 24 pages. Paris, 1824, chez Picha
ier, place du Palais-Royal. 2°. Mémoire au Roi, sur l’imposture et le
faux
matériel de la conciergerie, etc., in-8° de 30 pa
en dans ce qu’il entreprend et soutient parfaitement le caractère des
faux
dévots dont il défend la cause. Ils sont accoutum
ue je dise deux mots en sa défense et que je combatte tout ce que les
faux
dévots ont dit contre cette pièce. Ils ont parlé
aux tartufes. Je veux que ce qu’ils publient soit véritable et que le
faux
et le véritable dévots n’aient qu’une même appare
et se sont servis de la véritable dévotion pour empêcher de jouer la
fausse
. Je n’en dois pas demeurer là, et j’ai trop de ch
seul joué, et non pas le vrai dévot. Je sais bien que si les vrais et
faux
dévots paraissent ensemble, que s’ils avaient un
se détruit assez de soi-même, et l’on voit bien que c’est chercher de
fausses
couleurs pour déguiser la vérité. Molière n’a fai
t par ses exemples. Comment un Théologien s’avise-t-il de rebattre de
faux
arguments qui sont à tous moments dans la bouche
ait d’idolâtres les Chrétiens qui prononçaient seulement les noms des
fausses
divinités des Païens, et il ne pouvait souffrir q
ssent les Poètes à leurs Disciples, à cause qu’ils sont pleins de ces
fausses
divinités, quel sentiment aurait-il de nos Poètes
n faveur des Comédiens par la Consultation, fondée uniquement sur les
faux
principes avancés dans deux Mémoires à consulter,
une domination arbitraire . Ce début audacieux découvre l’application
fausse
& injurieuse, qu’on entend faire de ce qui se
elle & sa société, d’une autorité arbitaire. Enfin, on tire une
fausse
conséquence de cette maxime vrai en matiere crimi
st qu’un tissu de propositions scandaleuses, de principes erronés, de
fausses
maximes & de propos injurieux à la Religion,
s funestes à la vertu que ceux du paganisme. Si on n’y adore plus les
faux
dieux, on y divinise les vices les plus honteux,
s barbares que ces peuples idolâtres qui immolaient leurs enfants aux
faux
dieux : vous immoleriez les vôtres, non point aux
rs enfants aux faux dieux : vous immoleriez les vôtres, non point aux
faux
dieux, mais au démon de la volupté. N’est-ce poin
c de rechercher un divertissement dont vous sentez bien le vice et le
faux
: craignez que votre assiduité à y aller ne vous
lte du vrai Dieu qu’ils appelaient le Dieu de cette terre à celui des
fausses
divinités de leur pays ; Qu’ils avaient mis l’arc
e à la main : Et par tout des discours comme une idolâtrie, Dans leur
faux
zèle iront chasser l’allégorie. Laissons les appl
us follement idolâtres, au sens de M. Despreaux, que de mêler tant de
fausses
divinités, où on ne devait rien représenter qui n
n ne marie point, les œuvres du mariage sont illicites. Tout cela est
faux
, il n’y a que la solemnité de la bénédiction nupt
n donnoit la communion à ceux qui s’alloient battre en duel (cela est
faux
), & on refusoit les sacremens au mari & à
nation. Il y mêle, je ne sais pourquoi, des traits d’avarice vrais ou
faux
de quelque Curé de Picardie, & il ignore que
rétique, parce qu’il disoit qu’il y avoit des antipodes. (le fait est
faux
). P. 73. On agita fort dans un Concile si les fem
c. Toutes ces rapsodies sont émaillées de visions les plus folles, de
fausses
reliques, &c. On ne comprend pas ces excès. P
ce qu’il dit sur l’Inquisition & sur les Croisades est également
faux
& indécent. Ce ne sont pas les Moines qui con
rce que les Rois & les peuples y étoient idolâtres. Tout cela est
faux
. Les Rois d’Espagne & de Portugal se disputan
nce, qui remplit le troisieme tome, est un tissu de traits la plupart
faux
ou malignement défigurés, contre les Papes, les E
voit-il autre chose que la passion ? P. 108. Dans un extrait vrai ou
faux
de l’interrogatoire de Jean Châtel, il lui fait d
ire, au confessionnal & dans leurs theses. Ce fait est absolument
faux
; cette doctrine ne fut jamais enseignée : ni Pap
storien, est-il Catholique, a-t-il des mœurs ? Si ce Pape a suivi les
fausses
idées de son siecle sur les prétentions de la Cou
du à la capitale). Mais ce trait de pure malignité porte absolument à
faux
. La jurisprudence canonique est renfermée dans le
n commerce, & l’on peut abuser de tout ; du Serrurier, on fait de
fausses
clefs ; du Tailleur, on fait des habits immodeste
Bourgeois, au peuple qu’à un Seigneur. Mais il ajoute, & voici le
faux
: La comédie n’est pas moins utile, elle adoucit
ourgeois arrogant. Ta Muse en jouant l’Hypocrite A redressé les
faux
Dévots. La Précieuse à tes bons mots A reconn
ressé les faux Dévots. La Précieuse à tes bons mots A reconnu son
faux
mérite. L’Homme ennemi du Genre Humain, Le Ca
é, ne sont pas tant des qualités vicieuses ou criminelles que quelque
faux
goût, quelque sot entêtement, quelques affectatio
de l’Eglise de reprendre les Hypocrites, & de déclamer contre la
fausse
dévotion. On voit bien par la maniére dont il a c
s peut obliger pour chercher le reméde à notre hypocrisie & à nos
fausses
dévotions d’aller consulter Beelzebut, tandis que
a raison en est que les passions s'excitent par les objets et par les
fausses
opinions dont l'esprit est prévenu. L'opinion, qu
nts: mais ce qui les aigrit et les rend plus vifs, c'est l'impression
fausse
qu'il y a de la lâcheté à souffrir une injure. Or
ssions ne s'excitent pas seulement par les objets, mais aussi par les
fausses
opinions dont l'esprit est prévenu. L'opinion que
aient infiniment plus lents. Mais ce qui les rend plus vifs, c'est la
fausse
impression qu'il y a de la lâcheté à souffrir une
ue c'était publiquement solenniser avec les Païens les Fêtes de leurs
faux
Dieux, participer à la révérence qu'ils rendaient
re qu'il y a de ces Esprits immondes, qui trompent les hommes sous le
faux
titre de Dieux Serm. 8.qu'ils usurpent. Si vous c
détourne de Dieu : car la célébration de ces Jeux sont les Fêtes des
faux
Dieux ; Ils sont institués pour honorer leur nais
Religion, il abandonne le culte du vrai Dieu, et se met du parti des
faux
Dieux, dont il célèbre les Fêtes. » Mais après l
était loisible d'acheter et de vivre de ce qui avait été consacré aux
faux
Dieux par ces ridicules cérémonies, et Saint Paul
urs familles, à des ouvrages qui devaient être employées au culte des
faux
Dieux : il condamnait d'impiété l'Architecte qui
ée de cet Homme de Lettres, mais combattue encore dans son ame par la
fausse
gloire, par l’habitude, par l’autorité des exempl
volontaires contre l’empire de l’imagination & l’enyvrement de la
fausse
gloire ? Encouragé par l’indulgence dont le Publi
sa conduite en contradiction avec ses principes, & de se trouver
faux
à soi-même & mal avec soi. Je cherchois à éto
ais à corriger les vices, & sans parvenir à réprimer la manie des
faux
airs dans tous les genres, & les ridicules de
ces derniers. Pourquoi donc des ecclésiastiques, poussés par un zèle
faux
et si peu éclairé, méconnaîtraient-ils à ce point
utes qui leur sont inspirées par l’orgueil, et ils ne feraient pas de
fausses
applications des saints canons et décrets des con
, voulant se rendre importants et se faire craindre, font parade d’un
faux
zèle, qui est si indiscret et si orgueilleux, qu’
e, et possédés de l’enthousiasme poétique, nous hasardons des maximes
fausses
et scandaleuses, entraînés par l’harmonie du vers
fronder l’élévation et la dignité, et leur incompatibilité avec toute
fausse
modestie. Voilà les hommes, mon cher Monsieur, to
ire de l’éclat de leur voix et de la subtilité de leurs sophismes, du
faux
et de la vérité, selon vos propres expressions !
dans ce siècle l’abus scandaleux de ce titre respectable, et la plus
fausse
Philosophie. Vous voilà à présent engagé, Monsieu
consiste à contenir les passions, & à en affoiblir l’empire, a, 1
Fausse
idée de ce Philosophe, pour arrêter les mauvais e
il faut penser des actions équivoques des saints personnages, b, 229.
Fausses
idées sur l’indulgence qu’on lui a attribuée sur
ttachée à leur état, b, 490 Comédie Italienne. Son caractere, a, 85.
Faux
préjugés à l’égard des Comédiens Italiens, 121 &a
ne put obtenir la préférence sur celle de Mlle Déshoulieres, a, 497.
Fausses
idées sur la fin tragique des Héros de Théatre, 9
e nom chez les Romains, b, 25 Homme (l’) dangereux. Citation sur les
faux
Philosophes, b, 322 Homme (l’) du monde éclairé,
e sur le goût que les femmes ont pour la parure, a, 496. Caractere du
faux
Philosophe, 142 Jeunes gens. La plupart ne doive
ce dans le dix-huitieme siecle, a, 143 ; b, 338-340, 472-474 Moines.
Faux
préjugés à leur égard, b, 48 Moliere. Quels fure
Cardinal de Richelieu pour les Spectacles, b, 165 Montesquieu (de).
Fausses
idées sur ce qu’on appelle honneur, a, 94. Ses id
ilbert, a, 143. Caractere de la vraie Philosophie, 315. Egaremens des
faux
Philosophes, b, 412, 508, 519, 530, 540 Pie VI.
is en une même représentation au Théatre François, 112. Mépris de nos
faux
Philosophes pour les Anciens, b, 412. Ses réflexi
use des égaremens, a, 264. Corruption du siecle, b, 550. Portrait des
faux
Philosophes du siecle, 530. Corruption de la rais
mans, 61-63. Critiques de sa Lettre à M. Dalembert, 195. Portrait des
faux
Philosophes, 508. Mauvais goût du Théatre Italien
jeux de Théatre inférieurs à ceux des beaux temps d’Athenes, a, 168.
Faux
préjugés sur les Théatres de Rome moderne, 120, 4
res, ibid. Utilité des Spectacles, Discours en Vers, par M. Armand.
Fausses
assertions de ce discours, a, 598 V Vair (du),
ssionnés, 50. Excès de son attachement à la le Couvreur, 53, 266. Ses
fausses
idées sur les Spectacles, 58. Son jugement du Dis
ût du public pour la licence, 89. Son opinion sur le suicide, 92. Ses
fausses
idées sur l’éloignement que les bons Magistrats o
s. On y déprécie le courage qui supporte les injures, on y loue cette
fausse
bravoure qui ne sait point pardonner. On y fait e
des gens insensés, comme ils le sont en effet, si on représentait ce
faux
honneur comme une chimère et une folie, et la ven
regarder ces objets imaginaires, et qui ne s’est point occupé de ces
fausses
folies. La forme que les Auteurs donnent à ces ou
racines : les impressions que ces œuvres de ténèbres, revêtues d’une
fausse
lumière, leur font, leur servent d’entretien tout
idolâtrie, qui faisait de ces actions profanes des sacrifices à leurs
fausses
divinités : où comme s’il ne s’y passait rien qui
onvertir à Dieu. Si quelque tentation rappelant dans votre esprit ces
fausses
délices que vous avez goûtées dans votre conversa
onsequi remissionis gratiam » Augustin, au livre de la vraie et de la
fausse
pénitence, cap. 15. [pseudo-Augustin, De vera et
35. [Psaume 35, verset 4] p Augustin, au livre de la vraie et de la
fausse
pénitence, cap. 15. [pseudo-Augustin, De vera et
ou quatre heures après avoir commencé : car si tu n’as été informé à
faux
, ou si de Lyon allant à Genève tu n’as perdu la m
ur une seule vérité, qui est que le foudre tomba dans une tour, étant
faux
que cette tour soit joignant le collège ; faux qu
a dans une tour, étant faux que cette tour soit joignant le collège ;
faux
que le foudre y tombant un homme y fût ; faux par
t joignant le collège ; faux que le foudre y tombant un homme y fût ;
faux
par conséquent qu’il y fût blessé ; faux qu’une f
e y tombant un homme y fût ; faux par conséquent qu’il y fût blessé ;
faux
qu’une femme y fût tuée ; faux que le foudre romp
ux par conséquent qu’il y fût blessé ; faux qu’une femme y fût tuée ;
faux
que le foudre rompît aucune cheminée ; faux qu’il
qu’une femme y fût tuée ; faux que le foudre rompît aucune cheminée ;
faux
qu’il se soit jeté sur aucun bateau ; faux enfin
e rompît aucune cheminée ; faux qu’il se soit jeté sur aucun bateau ;
faux
enfin qu’il l’ait fait couler au fonds du Rhône.
spectacles d’impureté, cette licence de vanité, sont l’ouvrage de vos
faux
Dieux. Il vaudrait mieux adorer Scipion que les D
sont que des fables. Vous n’en êtes que plus impie de leur imputer de
faux
crimes. Quoi ! il ne sera pas permis de calomnier
i impute des forfaits, pourvu que ces idées et ces exemples, vrais ou
faux
, comme autant de filets où les hommes se laissent
ent véritables, ce qui est le comble de l’infamie, soit qu’ils soient
faux
, ce qui serait le comble de la calomnie. Vous ave
des Dieux, les adultères de Jupiter, les infamies de Vénus, vrais ou
faux
! Quels Dieux qui se plaisent à voir représenter
iones esse posse musicæ studiosos peritosque. » Cette proposition est
fausse
, dans l’idée que nous avons de la musique : un Co
êt à la vérité ; et c’est de cette science mauvaise, et véritablement
fausse
, que l’Ecriture a dit que tout pécheur, fût-il le
ut un zelé protecteur du théatre. J’aime tous les plaisirs qu’un
faux
mystique blâme. Ami des sentimens des Epicuriens,
Ce miroir toujours vrai regle votre parure ; Il vous fait arranger la
fausse
chevelure Qu’on emprunta d’autrui, qu’on boucle t
Europe Ma cervelle est assez bizarre pour barbouiller des vers aussi
faux
que mauvais. Dis-moi, que penses-tu d’un Maît
la plus grande stérilité. La méchanisme des vers est pitoyable : vers
faux
, fausse mesure, fausse rime ; d’une syllabe il en
s grande stérilité. La méchanisme des vers est pitoyable : vers faux,
fausse
mesure, fausse rime ; d’une syllabe il en fait de
ité. La méchanisme des vers est pitoyable : vers faux, fausse mesure,
fausse
rime ; d’une syllabe il en fait deux, de deux il
x En compte chez les Grands des plus fats, des plus sots, Desquels le
faux
orgueil trop imbu de la France Imite les Louis pa
’en ce jour Et fait rougir plus d’un Prélat de Cour, En démasquant la
fausse
hypocriste. Il parcourt tous les états, dont il
e, c’est fortifier et rendre agréables les vices du cœur humain. Quel
faux
jour est ceci ! Heureusement il est aisé à aperce
u’il existe des Pièces où l’on enseigne la vertu. XV. Qu’un sentiment
faux
est difficile à soutenir ! plus on parle et plus
Répétitions des mêmes injures. XXII. Laquelle faut-il croire ? XXIII.
Fausse
plaisanterie, puisque cela n’est nullement incomp
reconnaissance ne paraît point être la vertu de M. Rousseau. XXXVIII.
Fausse
réfutation ! La pudeur ou timidité naturelle, qui
e qu’une République, d’autant qu’ils sont moins excités. Ainsi il est
faux
qu’il soit indifférent à un Monarque de gouverner
à la mémoire de la Passion de Jésus-Christ. Ceux-là ont une idée bien
fausse
de la Pénitence Chrétienne, qui croient qu'elle n
qui nous mène au salut, et aux joies éternelles par la privation des
fausses
joies de ce siècle, les Conciles, et les Pères on
es qui se produit, dans une tragédie, enflammé d’amour et animé d’une
fausse
gloire ? Le véritable honneur m’attire bien moins
s défauts sont certaines qualités qui ne sont pas tant un crime qu’un
faux
goût et qu’un sot entêtement. Si la décision de c
ment de l’instruction de la jeunesse. Page 25 Efforts des prêtres des
fausses
religions, pour fatiguer l’esprit humain et pour
curé de Saint-Germain l’Auxerrois, de se justifier d’avoir commis un
faux
matériel et de s’être parjuré pour se procurer de
accusé. Page 109 Indication des imprimés contenant les accusations de
faux
dirigées contre M. Magnin, curé actuel de Saint-G
e Sénancourt blâmera sans doute la publicité donnée à l’accusation de
faux
et d’imposture dirigée contre M. le curé Magnin.
ux murailles blanchies dont parlent saint Paul et saint Luc. Page 142
Faux
zèle de certains prêtres fanatiques peu instruits
ge 169 Le clergé considéré comme se trouvant perpétuellement dans une
fausse
position, entre l’autorité du pape et l’autorité
nnes respectables de mon état, si je fusse resté muet aux imputations
fausses
de Jean-Jacques Rousseau. Révolté de son audace,
es partisans, s’il est possible qu’il en ait, n’importe. « Juste ou
faux
, mal ou bien, je pense à découvert. … … … La faus
délicieuses, il faut préférer les choses véritables à celles qui sont
fausses
, les éternelles, aux passagères, et les utiles au
e nous conduit à la mort : comme on acquiert le véritable bien par de
faux
maux, on se procure les véritables maux par de fa
table bien par de faux maux, on se procure les véritables maux par de
faux
biens. Il faut donc éviter les plaisirs comme des
noit qu’à regret sur les preuves les plus convaincantes. Rien de plus
faux
que cette précipitation ; on veut que le crime co
, comme des vétérans, des honoraires dans un Corps. Pourquoi donc ces
fausses
& injustes déclamations sur la perpétuité de
erre (la clôture religieuse qu’on veut rendre odieuse) ? Rien de plus
faux
. Les Vestales, semblables à nos Chanoinesses de F
absurde que cette piece ? L’exécution de la sentence n’est pas moins
fausse
que ses préludes. On suppose à la porte du Temple
e de Vesta, celle des couvents n’en a pas plus que les autres. Il est
faux
que les Vestales gardassent la clôture, elles all
leur faire justifier leur insolence par des principes de morale aussi
faux
que scandaleux : L’injustice a brise tons les nœu
, & par des calomnies contre les Religieuses, & par des idées
fausses
de l’état dans ceux-mêmes qui l’ont embrassé avec
ts ; à surprendre par mille ruses la bonne foi ; à ne tendre jamais à
faux
des pièges à l’innocence ; à se défaire en habile
récrie fort dans le monde contre cette morale : et l’on attribue à de
faux
préjugés le zèle chagrin de ces docteurs qui croi
é Tribunal, et passer de la table de la Communion aux spectacles. Ces
faux
Prophètes, qui s’étudient à ne dire jamais rien q
; que les libertins raisonnent tant qu’ils voudront, il sera toujours
faux
que les spectacles profanes soient licites ; il s
ts qu’ont les Ministres de l’Eglise de reprendre les hypocrites et la
fausse
dévotion. On voit bien par la manière dont il a c
ux jusques dans les pièces toutes Païennes. Le culte et le mépris des
fausses
Divinités contribuent à l’ébranler : leur culte e
er, les insulter, les maudire ? L’exemple du blasphème, même dans les
fausses
religions, laisse une impression d’impiété ; on a
te qui anéantit, et du parallèle qui égale ? peut-on avoir un goût si
faux
pour se repaître de chimères si palpables ? Les f
us de la puissance suprême des Dieux qu’on adore, est-il rien de plus
faux
et de plus insensé ? Cette pensée, tournée et ret
e parle que de certaines qualités qui ne sont pas tant un crime qu’un
faux
goût, comme l’humeur des prudes et des précieuses
ntre le jugement, et ne ravissent que ceux qui se laissent abuser aux
faux
brillants. » Soit défaut de jugement ou de piété,
emblables à des marionnettes qu’à des hommes. Deuxieme Obstacle.
Fausse
idée où sont nos Auteurs comiques, que les caract
rouve plus de caracteres sur lesquels elle puisse s’exercer, elle est
fausse
; & avec un peu d’attention, ils en conviendr
oduisent le fruit pour lequel je les ai mises au jour : si elles sont
fausses
, je souhaite qu’on me donne les moyens de les rec
vrai caractère de la charmante Isabelle, est d’être également faible,
fausse
& précieuse (une vraie Servante de Cabaret) :
p; toujours sans intérêt, ces espèces de Parades ne renferment qu’une
fausse
métaphysique, un jargon précieux, des caricatures
onnez pour les Comedies, n’en ignorent pas toujours le vuide & le
faux
: mais par la corruption de leur cœur, ils ne lai
eux que la morale des Comedies & des Romans ? Elle est un amas de
fausses
opinions, qui naissent de la concupiscence, &
qui les rend violens, & ce qui les porte à la vengeance, c’est la
fausse
opinion que donnent les Comedies & les Romans
s prophanes : il y faut quelque chose de plus vif, qui se sente d’une
fausse
grandeur, d’un amour aveugle, ou de quelque parei
utres qui ne se convertissent que pour retomber, ou enfin qui par une
fausse
temerité croient ne pas avoir besoin de se conver
vous croiés que ce sera vous, mon Frere ! vous vous calmés sur cette
fausse
confiance, vous qui avés plus de sujet de craindr
ités, & de les aider à se seduire & à se tranquiliser dans la
fausse
paix de leur conscience criminelle. Mais que conc
t de commerce avec un Peuple qui vous méconnoît : j’ai en horreur les
fausses
Divinités qu’il respecte : les Idoles qu’il adore
ue des ridicules : ici il attaqua la vertu même, sous le masque d’une
fausse
dévotion, avec lequel il défiguroit tous les gens
dans une piece faite pour enseigner la vraie piété & démasquer la
fausse
. Quelle école, qui mène à la vertu par le crime !
uffe, comme à une piece qui enseigne la vraie vertu & démasque la
fausse
, on fera brûler Buzembaum ! Ce n’est pas ici un s
e écoute les plus grandes infamies, & débite les maximes les plus
fausses
& les plus dangereuses à son mari & à ses
ossiers, d’idées triviales, de répétitions, de mauvais mots, de rimes
fausses
, de tours vicieux, de fautes de poësies, &c.
s outrés : De chaque caractère il passe les limites. Expression
fausse
dans la bouche de Cléante, personne ne passe les
ls tiennent, l’esprit se révolterait de s’occuper long-tems de choses
fausses
& méprisables. Nouvelles raisons qui nous
n, & n’écrivent que des chimères ; leur stile maniéré, plein d’un
faux
brillant, n’est qu’un vrai persiflage. Combien es
isonnemens & de mes dénominations paraissent quelquefois tomber à
faux
, j’ai découvert que mes contradictions apparentes
e ces jeunes Personnes dont le cœur est fragile ; après avoir fait un
faux
pas, elles jurent que le pied ne leur glissera pl
spectacles, dont parle ici le Docteur, faisoient partie du culte des
faux
Dieux ; & que c’étoit assés pour en inspirer
les paiens en representant ces spectacles prétendoient d’honorer les
fausses
DivinitésSalv. cap. 8. « & s’imaginerent que
tems. Mais la supposition n’est pas veritable ; & il n’y a qu’une
fausse
lumiere d’une prudence charnelle, qui fait voir d
iction. Or, le théâtre borne le génie, affaiblit l’âme, rend l’esprit
faux
, le style bas. Est-ce donc une bonne école ? 1° L
tice pour eux-mêmes, si on fait voir qu’on ne prend à son école qu’un
faux
goût de sublime, qu’il égare plus qu’il n’instrui
es dieux, c’est un Mézence que la foudre doit écraser. Quel goût plus
faux
que d’admirer des attentats dignes des plus grand
sse de génie. On ne sait pas trouver de vraies beautés, on se pare de
faux
brillants. On croit être grand en se guindant sur
ux servent César, mais Caton suit Pompée. Cette pensée est impie et
fausse
. Ce n’est qu’un sublime apparent, un faux sublime
Cette pensée est impie et fausse. Ce n’est qu’un sublime apparent, un
faux
sublime ; c’est-à-dire nul. L’impiété est détesta
ent, un faux sublime ; c’est-à-dire nul. L’impiété est détestable, le
faux
n’est rien. Impie : elle représente les dieux inj
t bien le leur. Un parallèle si méprisant offenserait un particulier.
Faux
, par rapport à Caton, qui était pieux dans sa rel
des charmes de la poésie et de la pompe du spectacle, donnent un goût
faux
, des idées d’enfant, un langage frivole. C’est un
e, Moliere, qui faisoit Sancho, étoit monté sur un âne (tout cela est
faux
& conte le costume. Dom Quichotte n’installe
les mœurs, par la pureté de la morale, par la religion même, quoique
fausse
, puisque Moliere n’en avoit aucune. Rousseau est
Qui pour mieux préparer son funeste poison, Sait donner à l’erreur un
faux
air de raison : Content que l’on affecte un dehor
e accompli. On ne voit pas régner, dans ce nouveau tragique, Tout le
faux
merveilleux de la vertu stoïque. Tes héros ne son
dicateurs, les réflexions des livres pieux, ne portent donc plus qu’à
faux
, & ce n’est pas sans doute pour le dix-huitie
lque mot rend inutile le zèle de la religion. Raisonnement ridicule ;
faux
dans le fait, le théatre n’est point épuré ; faux
onnement ridicule ; faux dans le fait, le théatre n’est point épuré ;
faux
dans la conséquence, les discours licencieux, les
on se laisse prendre, & où le cœur corrompu aime à être pris. Une
fausse
sécurité endort, on en est plûtôt dans le piege.
paration, si convenable, seroit ridicule à Paris, où l’on se fait une
fausse
politesse de mêler par-tout les femmes, jusques d
é, c’est la représentation sur un théatre. Le spectateur, par quelque
faux
jour, par l’éloignement, l’embarras de la foule,
n’y voit que la Morale des Païens, et l’on n’y entend que le nom des
faux
Dieux. Je ne veux pas pousser ces raisons plus lo
s ne trouvez point dans les Pèresn ? », comme si des Pères étaient de
faux
témoins, et qu’ils fussent capables de dire toute
tes ne l’avaient point corrompue. Cette seule raison détruit tous les
faux
raisonnements que vous faites, et que vous conclu
e vous faites, le défendre publiquement, et inventer pour lui tant de
fausses
raisons ? Ne craignez-vous point qu’on dise que v
reproche bien judicieux ? Vous ne dites point que cette histoire soit
fausse
, vous ne dites point qu’ils la rapportent mal, et
ne peut pas vous répondre plus doucement, qu’en disant qu’il est très
faux
que les Jésuites aient fait prendre le change à P
igny, Henri III et les Guises, Henri IV et le Duc de Mayenne. Vrai et
faux
, bien et mal, religion et hérésie, tout est bon à
er qui a lu ces mémoires et en donne un extrait pour en combattre les
faux
principes. Je doute qu’on puisse écrire plus maus
en faveur des Comédiens par la consultation, fondée uniquement sur de
faux
principes, avancés dans des Mémoires à consulter,
ne domination arbitraire ». Ce début audacieux découvre l’application
fausse
et injurieuse qu’on entend faire de ce qui sera é
sent envers la société d’une autorité arbitraire. » Enfin on tire une
fausse
conséquence de cette maxime vraie en matière crim
st qu’un tissu de propositions scandaleuses, de principes erronés, de
fausses
maximes, et de propos injurieux à la religion, co
dont il ne peut s’écarter sans pécher. Fagan prétend qu’ils portent à
faux
, & poursuivent le fantome d’une comédie qui n
son corps de doctrine erronnée, Fagan avance des principes également
faux
; 1.° le théatre est un danger ordinaire qu’on tr
e mérite pas un meilleur sort. C’est un amas d’erreurs, de bévues, de
faux
raisonnemens, de propositions téméraires, injurie
se condamnant au silence, il ménage sa réputation. Tout cela porte à
faux
; Gresset étoit applaudi & méritoit de l’être
, sans arriver jamais à corriger le vices, ni à réprimer la manie des
faux
airs dans tous les genres & le ridicule de to
prit dit bien des sottises. Il en faut, elles amusent. Il est souvent
faux
; cela est vrai ; mais il est toujours agréable.
i ; mais il est toujours agréable. Et puis, qui est-ce qui connoît ce
faux
? Oh ! bel esprit, tu suffis à tout. Traite-t-on
e idée nous plaît, nous avons bien de la peine à la rejetter, quelque
fausse
qu’elle puisse être. Au reste l’objet de l’Abbé T
operation du demon, luy firent un spectacle de divertissement par une
fausse
imitation des miracles de Moyse, afin que son esp
que la comedie a inventée, tirer les morts de leurs tombeaux par une
fausse
resurrection, & les faire paroître sur le the
comedies, dans lesquelles on tournoit en ridicule les autheurs de la
fausse
doctrine, & les maîtres des méchantes opinion
es demons. La raison est que cõme l’idolatrie est une ombre & une
fausse
image de religion, par laquelle on rend les honne
s cette tapisserie, qui voyés-vous paroître sur le theatre, sinon les
faux
dieux, & les ridicules deesses de l’antiquité
regoire de Tours, sinon, Sacramentum mendax prolatum à perfidis , un
faux
serment prêté par des traîtres & par des perf
ere in Ecclesiam diaboli, de cœlo in cœnumL. de spect c. 25.. Quelle
fausse
demarche est-ce icy, quelle horrible apostasie, &
n pretend que les Comediens qui sont les Acteurs qui representent ces
faux
Dieux sur le theatre, soient marquês d’infamie, &
ouveller les anciennes pompes qui étoient instituées en l’honneur des
faux
Dieux, puisque comme je l’ay déjà remarqué, on ne
ertullien répond aux méchans argumens des premiers, & confond les
faux
raisonnemens des seconds. Quam sapiens argumenta
y renoncer ; mais arriere tous ces argumens frivoles & toutes ces
fausses
raisons, le mensonge appuyé de tout le secours de
ar leur mauvais usage, en ce qu’ils étoient instituez à l’honneur des
faux
dieux, de même les comedies sont encore mauvaises
ié des textes qu'ils en ont empruntés ; ils n'en auraient pas tiré de
fausses
conséquences, et n'auraient pas détruit un plaisi
car depuis qu'ils ont été retirés des Théâtres anciens consacrés aux
faux
Dieux, ils n'ont plus été considérés comme une in
pables d’entendre les choses de Dieu. On s’y remplit de mille maximes
fausses
, directement opposées à celles de l’Evangile, car
otions. Ainsi il fait un exercice continuel d’ambition, de vanité, de
fausse
tendresse, de vengeance, tout est en combustion c
pareillement excités, tels sont l’orgueil, l’ambition, les maximes du
faux
honneur, la jalousie, la vengeance, tous peints a
e, car les idolâtres croyaient rendre par là un grand honneur à leurs
fausses
divinités dans leurs fêtes solennelles. Les plus
ous sommes devenus sincères et bons amis ! combien moins il y en a de
faux
depuis ce temps-là ! en un mot, on a joué le Tart
e rendant même plus grand. En effet, Molière a attaqué en général les
faux
dévots, ou les prêtres auxquels il a fait le plus
u Tontinières, représentant la mauvaise foi, la honteuse avidité, les
faux
calculs, les jeux cupides, en un mot, les iniquit
r les clients, les commerçants falsifient les marchandises, vendent à
faux
poids et à fausses mesures ; le marchand de comes
es commerçants falsifient les marchandises, vendent à faux poids et à
fausses
mesures ; le marchand de comestibles nous fait ma
bjets d’or plaqué ou mêlé pour de l’or pur ; le bijoutier des pierres
fausses
pour des pierres fines ; le drapier du drap de Ve
le drapier du drap de Verviers pour du Louviers ; le fripier vend, à
faux
jour, du drap taché, rapé, rapetassé, en assurant
é, de plus de cent Religieux, a le temps de s'y assembler (ce qui est
faux
encore, elle ne pourrait y tenir) ; la malade a t
ffe (bien inférieur au premier). Molière, sous prétexte de décrier la
fausse
vertu, rend suspecte la véritable, et fait triomp
es plus austères était unanimement respecté ; on n'avait pas même les
faux
prétextes d'ambition, d'intrigue, de cupidité, d'
arcasmes vont pleuvoir sur le Clergé ! combien d'anecdotes, vraies ou
fausses
, fourniront matière à une scène que la Trappe aur
urs quelque fraude). Mais la pensée, telle qu'elle est présentée, est
fausse
. Le portrait peut plaire,mais le monstre ne plaît
rs près qui sont beaux, il a mille endroits faibles. Mort et remord :
fausse
rime ; remords toujours au pluriel a une squi se
Moreri). L'aventure même est plus moderne, car Comminge dit : « Cette
fausse
raison, fantôme de nos jours. » Mais où Comminge
ssent porter qui que ce soit à avancer une chose aussi absurde, aussi
fausse
. Nos Vers ne sont-ils pas plus doux, plus sonores
élégance & de la douceur du langage Français. Elle est remplie de
faux
brillans & d’anthitèses. Qu’on a sujet de la
ique que nous adoptons. Quand ce reproche serait aussi vrai qu’il est
faux
en plusieurs points, nous ne mériterions pas moin
ion qui anime M. Rousseau, & lui fait souvent hazarder des choses
fausses
, ou de purs sophismes. « La musique Française, di
est beaucoup plus chantante ; peut-être pensera-t-on que je pars d’un
faux
principe. Il est vrai que les amateurs de la musi
ments et des religions démoralisés, ont tant à cœur de maintenir, est
faux
, inhumain, antisocial, antichrétien, et ne peut e
tiques, que dans des croyances symboliques et mystiques, qui dans les
fausses
religions, sont si fabuleuses et si ridicules. Ce
commettre pour la gloire de Dieu, en les érigeant en vertus. Tous les
faux
dévots et cette multitude d’esprits faibles ou ir
remplis d’ignorance, d’astuce, de subtilités et de mauvaise foi. Leur
fausse
dialectique y est perpétuellement en opposition a
urs maîtres. Leurs élèves trop dociles, lorsqu’ils sont bien imbus de
faux
principes et de doctrines détestables, deviennent
ont que de vaines images des choses temporelles, et souvent de choses
fausses
?
é en face du riche et du puissant ! – Auprès de l’un quel maintien de
fausse
pudeur, quel visage dédaigneux, quel air de haute
nts ; leur visage, empreint d’un sourire forcé ; leur regard, humble,
faux
et agité d’une secrète anxiété ; leur élocution,
es religions réservé aux seuls Prêtres, et ce n’est peut-être pas une
fausse
conjecture de dire qu’en punition de cet ouvrage,
loigné de dissimuler ce que l’on dit de plus fort contre nous. Il est
faux
qu’en Italie les spectacles soient plus permis qu
vent interrompue par le silence, ou par le tumulte des affaires : les
faux
bruits, les feintes, les passions particulières e
ésente des sacrifices de sang humain, quand l’on introduit toutes les
fausses
déités du Paganisme, et qu’on rapporte tous les é
. Les qualités des parties & de leurs familles sont ordinairement
fausses
ou très-douteuses, On écrit ce que dit le pere, l
tenu de Boerhaave, dont il avoit été écolier, mais quantité de choses
fausses
, hasardées : c’est un mauvais guide. Voltaire, Ma
ne du bien & du mal, de la vertu & du vice ; & cette idée
fausse
, contraire à l’oracle de Saint Paul, de ne pas fa
mp; font sans discernement des comparaisons qui font rougir. C’est un
faux
principe de morale & de religion, qui regarde
corps perdu. On a voulu faire une antithese : le premier membre est
faux
, Corneille n’a pris ni le ciel païen, ce ne sont
. Il vaut mieux ne point faire de gestes, que d’en faire des mauvais,
faux
, lâches, outres, monotones, &c. Les acteurs p
’ennuient, & lui coûtent trop à démêler. D’ailleurs ils voient le
faux
de ces entretiens des bêtes, & méprisent les
pprend d’abord, s’en amuse comme d’un chose vraie ; mais en voyant le
faux
& le ridicule, puisqu’il fait bien que les bê
conte, l’intrigue d’une piece de théatre est une fable, une histoire
fausse
est une fable, mais parce que, supposant la disti
; quand la défense de la jouer fut levée on la nomma l’Imposteur, le
faux
Dévot, enfin Tartuffe, & tout le monde aujour
ont que de vaines images des choses temporelles, et souvent de choses
fausses
.
s loué ton Ouvrage ? Pouvois-je plus faire pour toi, Que de rendre un
faux
témoignage ? On sçait que ce d’Aubignac, qui pa
s à tromper sur ce qui flatte leurs passions. Nous avons répondu à la
fausse
application des citations de S. Thomas, de S. Fra
laissoient à leurs esclaves L’art de nos escrimeurs, l’ardeur de nos
faux
braves, Et donnoient pour supplice aux plus grand
IIIe Piece sur la déf. des Duels. *** Animés de l’ardeur d’une
fausse
vaillance, Sur un léger soupçon, pour une foible
ent son ennemi, Et quand le Ciel vengeur ordonne qu’il punisse, Nulle
fausse
pitié ne corrompt sa justice. Mais sa rigueur
us les Spectacles des Romains ne furent pas institués à l’honneur des
faux
Dieux, & qu’il y en eut qui ne le furent que
qu’oppose une Doctrine qui porte faussement le nom de science69. Ces
faux
Casuistes sont du nombre de ceux dont il a été di
io : Que la saine raison ait plus d’autorité sur notre esprit que les
faux
préjugés de la multitude. Mandement de M. Bonnin
i sont les plus conformes aux passions, & par conséquent les plus
fausses
; & si le vice y est quelquefois condamné, c’
lus passionnés pour les Spectacles, en sentent bien le vuide & le
faux
, s’ils ont de l’esprit ; comme ceux qui aiment le
zele éclairé & véhément dicte à notre Auteur Espagnol contre leur
fausse
sécurité. L’Ecriture & les Peres lui fourniss
it dès le commencement de son épiscopat, d’attaquer vivement tous les
faux
préjugés des partisans des Spectacles. Il ordonna
Livre contient une chaîne de témoignages bien capables de détruire le
faux
préjugé que tant de gens ont sur la doctrine de l
ne espece de Philosophe, où pour se servir des termes de M. Fagan, un
faux
Philosophe rempli de lui-même, qui se complaît da
sse profane réunies, pour manifester & combattre la turpitude des
faux
raisonnemens que le P. d’Estrade avoit employés a
s modernes devoient être réformés ; parce que, dit-il, on y flatte de
fausses
vertus, & qu’on y fait passer des vices gross
e sçavez feindre. Ce n’est pas d’aujourd’hui que sous l’emblême des
fausses
Religions, les Poëtes dramatiques ont entrepris d
e ou morale. Ces tableaux tragiques remplissent l’imagination d’idées
fausses
qui affoiblissent presque toujours dans l’ame des
… … … … … L’esprit n’est plus qu’un faux-brillant ; La beauté qu’un
faux
étalage ; Les caresses qu’un faux-semblant ; Le
ux étalage ; Les caresses qu’un faux-semblant ; Les promesses qu’un
faux
langage. Fausse gloire, fausse grandeur Logent
es caresses qu’un faux-semblant ; Les promesses qu’un faux langage.
Fausse
gloire, fausse grandeur Logent par-tout le faux
un faux-semblant ; Les promesses qu’un faux langage. Fausse gloire,
fausse
grandeur Logent par-tout le faux honneur. Par-t
’un faux langage. Fausse gloire, fausse grandeur Logent par-tout le
faux
honneur. Par-tout on voit fausse noblesse, Faus
, fausse grandeur Logent par-tout le faux honneur. Par-tout on voit
fausse
noblesse, Fausse apparence, faux dehors, Faux a
Logent par-tout le faux honneur. Par-tout on voit fausse noblesse,
Fausse
apparence, faux dehors, Faux airs, fausse délica
e faux honneur. Par-tout on voit fausse noblesse, Fausse apparence,
faux
dehors, Faux airs, fausse délicatesse, Faux bru
. Par-tout on voit fausse noblesse, Fausse apparence, faux dehors,
Faux
airs, fausse délicatesse, Faux bruits, faux avis
on voit fausse noblesse, Fausse apparence, faux dehors, Faux airs,
fausse
délicatesse, Faux bruits, faux avis, faux rappor
sse, Fausse apparence, faux dehors, Faux airs, fausse délicatesse,
Faux
bruits, faux avis, faux rapports. Dans l’In-pro
apparence, faux dehors, Faux airs, fausse délicatesse, Faux bruits,
faux
avis, faux rapports. Dans l’In-promptu des Acte
faux dehors, Faux airs, fausse délicatesse, Faux bruits, faux avis,
faux
rapports. Dans l’In-promptu des Acteurs. Cepe
avid pour justifier les Théatres ; mais que S. Cyprien répondit à ces
faux
raisonneurs : « Ne vaudroit-il pas mieux que ces
sensées, & à corriger le ridicule des hommes. Elle n’offre que du
faux
merveilleux, que des scenes décousues, que des in
77 croient avoir fait des découvertes pour nous avoir apporté le goût
faux
, maniéré, petit, puérile ou sauvage, attroce, str
es se trouvent le gigantesque, l’extravagant, l’absurde, en un mot le
faux
& l’opposé du naturel. Et ces bornes si sages
universelle n’est qu’une maigre production. Tel est le délire de nos
faux
Philosophes, dont les effets ont été prévus dans
in de Dieu que l’humaine sagesse ? … … … … … Satyr. XII. *** Le
faux
est toujours fade, ennuyeux, languissant ; … Rien
Littéraire 1773 : l’éloge qu’il en fait, répond à son zele contre nos
faux
Philosophes, qui, plus aveugles que ne l’étoient
, dont aucun âge n’est exempt : ils remplissent l’imagination d’idées
fausses
& superficielles qui ne font que des turlupin
nomination antique ; on entend dire par-tout d’un ton doucereux &
faux
: C’est un homme honnête, une honnête créature, &
homme honnête, une honnête créature, & on appelle ainsi des cœurs
faux
, des amis perfides, de bas protégés, des valets d
olontaires contre l’empire de l’imagination, & l’enivrement de la
fausse
gloire ? Encouragé par l’indulgence dont le Publi
sa conduite en contradiction avec ses principes, & de se trouver
faux
à soi-même & mal avec soi. Je cherchois a éto
ais à corriger les vices, & sans parvenir à réprimer la manie des
faux
airs dans tous les genres, & les ridicules de
Aveu désespérant que la vérité m’arrache ! Ma raison, ma triste &
fausse
raison m’a donc trompé. Elle n’étoit donc pas cap
ligion Chrétienne246. M. J.J. Rousseau a aussi très-bien dépeint nos
faux
Philosophes. Il a assez vécu avec eux pour les co
gnage, lorsqu’il nous dit dans un de ses Ecrits : Gardez-vous de ces
faux
Sages. Fuyez ceux qui, sous prétexte d’expliquer
pardonnera encore la digression actuelle, si propre à contredire les
fausses
leçons que l’on reçoit aux Théatres, sur les vert
. De quelle importance n’est-il donc pas d’arrêter la témérité de nos
faux
Philosophes, dont les principes renversent les qu
rebalance dans l’esprit des Lecteurs la séduction propre à masquer le
faux
de leurs principes, & le frivole de leurs mép
l soit vrai, & qui ne fait courir aucun risque, en cas qu’il soit
faux
. Voilà ce que l’assoupissement des passions a pr
nte : Entendrons-nous vanter toujours Des beautés périssables, Des
faux
plaisirs, de vains amours Passagers & coupab
rabondamment à toutes leurs objections, quelles qu’elles soient ; aux
fausses
interprétations qu’ils donnent des Textes sacrés,
rés, le plus souvent sans les entendre ; aux conséquences encore plus
fausses
qu’ils tirent de ceux qu’ils peuvent avoir entend
’Abbé de Grainville, qui remporta le premier Prix, démontre que cette
fausse
Philosophie a été aussi nuisible à la Littérature
de la grâce, on les méprise jusques à ce que enfin on ait acquis une
fausse
sécurité de conscience. On arrive tard à cet aveu
qu’on peut pour prendre les remords d’une conscience effrayée pour de
fausses
allarmes. On regarde avec pitié tous ces Directeu
alors pensait-on que la morale avait été outrée, et qu’elle portait à
faux
? Crut-on qu’on avait eu tort de condamner ce que
ontre que dans la plupart des romans & des tragédies, l’amour est
faux
, absurde, monstrueux, qu’il ne peut plaire qu’à l
ui sont la terreur du bon sens, & le fleau de la raison. Tout est
faux
dans le raisonnement de Gacon ; il est faux que l
au de la raison. Tout est faux dans le raisonnement de Gacon ; il est
faux
que les Evêques réglés ou déréglés, aient jamais
e les Evêques, en disant que leurs mœurs sont déréglées : trait aussi
faux
qu’indécent. Le très-grand nombre des Evêques vit
d’affoiblir les idées qu’en donne la Réligion, d’en donner des idées
fausses
, pour rendre le vice agréable, & le faire aim
ux de mouvemens ; que Racine n’a jamais la majesté du tragique, (idée
fausse
, le terrible n’est pas majestueux, la vraye majes
ête de Gorgone, qui au lieu de les amuser, les pétrifie. Tel étoit le
faux
mérite des piéces d’Eschile, que des furies seule
elui de l’Olympe. Ainsi la scène fait un double mal, elle embellit la
fausse
religion, le paganisme, c’est-à-dire, le vice, &a
gion que pour corrompre les mœurs ; dans cette vue, il a favorisé les
fausses
religions qui en sont la corruption, il a ridicul
lique à leur montrer, qu’ils se trompent. Il commence par réfuter les
faux
raisonnements, dont on se servait pour prouver, q
ncre l’esprit du veritable Chrêtien, que toutes ces raisons portent â
faux
: puisque l’Auteur y demontre, que le nom de Jesu
lui, sous prétexte d’augmentation, correction, changement de titres,
fausses
marques, ou autrement en quelque sorte et manière
terres), il faut encore en couvrir leurs souliers. Elles se sont une
fausse
gloire de marcher au milieu des pierreries, de fo
ux qui n’en peuvent faire la dépense ont trouvé l’art de fabriquer de
faux
or, de faux diamans, qui taillés & distribués
peuvent faire la dépense ont trouvé l’art de fabriquer de faux or, de
faux
diamans, qui taillés & distribués artistement
rs & les actrices ne manquent pas de déployer sur leurs pieds ces
fausses
& ridicules richesses, sur tout quand ils dan
présenter les Dieux, les Héros & les Rois, que le peuple, par une
fausse
idée, suppose être fort au-dessus des autres homm
au des mœurs : il est sur le front, le masque est levé. Qu’il y a du
faux
& de la fadeur dans ce verbiage ! Moliere n’e
? mais à l’élevation, à la pénétration, au génie de Moliere, porte à
faux
. Il fut toujours nécessaire pour une bonne comédi
ne sont pas tant des qualités vicieuses ou criminelles, que quelques
faux
goûts, quelque sot entêtement, quelque affectatio
démasque ses profusions & sa chimerique importance. Ce Seigneur,
faux
libéral, qui prend sur ses gens ce qu’il distribu
la foule y entraîne machinalement, faut-il s’étonner que le Temple du
faux
goût soit si rempli ? Le ton des mœurs générales
du sentiment. La pensée de tel vers de votre Sonnet, par exemple, est
fausse
par telle ou telle raison. Je puis me tromper, et
q : votre conséquence tombe absolument. C’est le sort qu’un principe
faux
lui préparait et devait vous faire augurer. Vous
vec son digne cortège, de soins que les lois paient de la corde ; […]
Faux
acte, supposition, vol, fourberie, mensonge, inhu
’y prendra jamais aussi maladroitement que le Légataire pour faire un
faux
acte : Crispin et Lisette sont des fourbes trop a
t de plaire à des esprits corrompus, ou sa morale porte au mal, ou le
faux
bien qu’elle prêche est plus dangereux que le mal
ous les Fidèles que la Providence nous a confiés de s'abstenir de ces
faux
et malheureux plaisirs du Siècle, où quand on s'a
iens, les Grecs, &c. elles faisoient partie du culte de plusieurs
faux
Dieux, jamais dans la religion véritable. Aucun v
& de la danse, dont on la dit l’inventrice, ce qui est absolument
faux
, puisque les danses & les instrumens de musiq
plus ancienne que le paganisme, ait été introduite dans le culte des
faux
Dieux, il est certain que la danse & ce culte
reur tout ce qui appartient au culte & ramène aux infamies de ces
fausses
Divinités : Depuis la dépravation des mœurs, dit
qu’en pitié, comme des forcénés, &c. Il a une idée, que je crois
fausse
; il prétend que le chant ou les instrumens n’ont
& le Roi le refusa. Pour éluder la loi, on porte dans sa poche un
faux
nez qu’on s’applique en entrant, pour se déguiser
parle que de certaines qualités qui ne sont pas tant un crime, qu’un
faux
goût, ou un sot entêtement : comme vous diriez l’
de Jesus-Christ. Ce foible avantage est balancé par une multitude de
fausses
maximes qui n’ont pas peu contribué au déreglemen
t Béotiens avaient dans leurs Temples un Théâtre à l'honneur de cette
fausse
Divinité. Démosthène écrit que faire des Jeux de
ui se faisait dans le Théâtre, et tout ce qui s'y disait touchant les
faux
Dieux, était des actes de révérence : Et cette co
soin sont les plus conformes aux passions, et par conséquent les plus
fausses
; et, si un vice y est quelquefois condamné, c’es
les plus passionnés pour les spectacles en sentent bien le vide et le
faux
, s’ils ont de l’esprit ; comme ceux qui aiment le
oin, sont les plus conformes aux passions, et par conséquent les plus
fausses
; et si le vice y est quelquefois condamné, c’est
es plus passionnés pour les Spectacles, en sentent bien le vide et le
faux
, s’ils ont de l’esprit ; comme ceux qui aiment le
mpre toute intelligence entre les deux Amants. Fourberies, mensonges,
faux
témoignages, et tout ce qui peut lui servir pour
ommun à presque tous les hommes qui prennent aisément l’alarme sur de
fausses
apparences, et se livrent souvent à des résolutio
e sous prétexte de réforme elle travaille à abolir. Il est absolument
faux
que ce soit un abus de tous les jours. Les vocati
ferveur : elle lui en trace le portrait le plus hideux, & le plus
faux
: Et pour vous abuser sachez qu’on est d’accord :
ur l’état Religieux répette ce qu’ont dit les Protestans. Il fait une
fausse
application de l’Ecriture, il la défigure, il l’i
qu’il est des vœux autorisés & inspirés par le zèle. Il est donc
faux
qu’on ne doive rien promettre à Dieu, & se bo
prisable par le cœur que par l’esprit, aussi foible dans la vertu que
fausse
dans ses jugemens. Il semble qu’on ait voulu à de
mpette tragique, & on manque son but par des folies qui portent à
faux
: On affoiblit toujours tout ce qu’on exagere. Le
que peignoit la nature ? Ce n’est que du verbiage, & un verbiage
faux
& injuste. Elle conserve son innocence, devie
l les appartemens, &c. Il y a pourtant bien des fautes, des rimes
fausses
, des vers enjambés, du galimathias, des néologism
surmonter ? Et jusques vers le ciel élevant leurs paupieres. Cela est
faux
: les paupieres s’ouvrent & se ferment, &
ait venir Galien pour lever l’édit de défense : trois faits également
faux
. Jamais Galien n’est venu en Syrie, jamais les Gu
é, ont condamné à mort ce jeune Guebre. Autre erreur, les Prêtres des
faux
Dieux n’ont jamais eu le pouvoir de condamner à m
t, croyance, Trône, Autel, balance font une comparaison odieuse &
fausse
dans l’objet de l’Auteur. Sans doute il faut dist
ne : Qui crediderit saivus erit, qui non crediderit condemnabitur. Ce
faux
principe conduit à tolérer tous les crimes ; il n
si opiniâtre, pour venir au prêche, cette prétendue bonne foi n’étoit
fausse
& absolument impossible. Il n’y a pas jusqu’a
l dit de l’influence sur les mœurs, vrai dans le fait, est absolument
faux
& très-pernicieux dans la morale : Si nous ne
& ne doit pas faire fortune. La tragédie bourgeoise est une idée
fausse
qui confond les genres, comme le seroit la comédi
tout moment par des enjambemens, de mauvaises hémistiches, des rimes
fausses
, &c. Mais c’en est trop, l’intérêt de la reli
amp; du prophane, fort mal-à-propos assurément, mais sans avoir de si
fausses
idées sur la pénitence. Il ajoûte un trait souven
é ? N'est-ce pas une preuve sensible que leur conscience dément leurs
fausses
lumières, et qu'ils sont eux-mêmes convaincus au
e remède d’une occupation sérieuse. « Lorsque l’âme s’abandonne à de
faux
plaisirs, elle perd bientôt le goût des jouissanc
ier l’esprit par des plaisanteries immorales, ou en donnant des idées
fausses
sur l’amour, l’honneur et tout ce qui a rapport à
ui contribue à obscurcir les lumières de l’esprit, à donner un emploi
faux
et une direction vicieuse à notre intelligence, à
ommandent les saintes Ecritures, mais celle qu’elles condamnent comme
fausse
et criminelle, fondée sur l’orgueil, l’ambition e
eût bien de l’adresse ou du bonheur de débiter avec tant de succès sa
fausse
monnaie, et de duper tout Paris avec de mauvaises
; de même que ces Serpents, dont les piqûres mortelles répandent une
fausse
joie sur le visage de ceux qui en sont atteints.
onfondant enfin l’hypocrisie avec l’impiété, il a levé le masque à sa
fausse
dévote, et l’a rendue publiquement impie et sacri
rt qu’il se glorifie d’une vaine réputation, et qu’il se flatte d’une
fausse
estime que les coupables ont pour leurs compagnon
s sur le Théâtre, la patience qui supporte les injures, on y loue une
fausse
bravoure qui ne sçait point pardonner. Cornelie d
moi, s’il peut l’assassiner. La fureur des Duels vient de l’opinion
fausse
que l’on doit conserver son honneur aux dépens de
la sagesse de l’Evangile, les reprouvent ; les autres trompez par les
fausses
lumieres d’une prudence charnelle les justifient,
ez fonts la grace de Jesus-Christ, & de rechercher maintenant les
fausses
joïes qu’il vous presente dans une Assemblée ou d
es doctrines. Voilà pourquoi la morale du théâtre n’est qu’un amas de
fausses
opinions qui naissent de la concupiscence, et qui
ents, à surprendre par mille ruses la bonne foi, à ne tendre jamais à
faux
des pièges à l’innocence, à se défaire avec adres
ns l’attesteront. Il y a longtems qu’ils cherchent à se couvrir de ce
faux
prétexte. Qu’il est à craindre que de tels hommes
d’oublier une injure, Et préfère de voir ses passions aux fers, A la
fausse
grandeur de dompter l’Univers. Cependant, Grand
is ; ceux-ci sont devenus les trompeurs ; oui, ces espiègles ont fait
faux
bond à leurs fidèles moitiés ; ils ont eu à leur
avec honte et dépit à Célimène, à cette femme spirituelle, adroite et
fausse
(autre modèle charmant de ruses et de perfidies)
les de bon ton, de politesse et d’urbanité ; mais on y établissait de
fausses
bienséances sur les ruines des véritables devoirs
t des égoïstes impitoyables qui maudissent également les vrais et les
faux
bienfaisants, ces solliciteurs importuns de pitié
; puisqu’elle en a l’efficacité sans en avoir les inconvénients. Les
faux
bienfaisants n’en seront pas désormais plus à cra
rgent ou autres secours ? Et, dans d’autres circonstances, combien de
faux
bienfaisants, ou d’hommes poussés uniquement par
qu’on fit parler un payen contre la religion qu’il professe, quoique
fausse
; c’est un ait de blasphême, une sorte de scandal
udeur. Le temple des chimeres avance un principe de morale absolument
faux
dans la Réligion chrétienne ; mais qui peut adouc
ésente, qui n’a pas ici consulté les Canons & les Peres. Tout est
faux
dans cette doctrine, & pernicieux dans cette
adémie Françoise. Il a dans le fonds de bons sentimens. L’amour d’une
fausse
gloire l’a fait monter sur le ton du siécle ; pou
mais ces beautés sont noyées dans une foule de platitudes, de pensées
fausses
, de mauvais termes, de scénes languissantes, de d
langage corrupteur. Le fait est vrai, mais le fonds de la pensée est
faux
. Leur morale étoit moins pure, leur théâtre aussi
ue la morale poétique et romanesque, parce que ce n'est qu'un amas de
fausses
opinions qui naissent de ces trois sources, et qu
e la Morale Poétique et Romanesque, parce que ce n'est qu'un amas des
fausses
opinions qui naissent de ces trois sources, et qu
un carrefour qui commence par un 1, Saint-Nicolas du Chardonnet ». Le
faux
Talisman est un flageolet. Nicodême que M. Gigot,
épond : j’y vais quelquefois ; il ne s’agit dans cet ouvrage que de
faux
billets, de prostitutions, de rapt, & de plai
er à l’envi sur l’une et sur l’autre, d’affreuses histoires vraies ou
fausses
? Voulez vous que celle dont vous desirez de fair
ssiduité aux spectacles forains sont, tous funestes ; perte de temps,
faux
jugemens sur de objets graves, négligence des dev
peuvent que concevoir une haute opinion d’eux-mêmes et se former une
fausse
idée de ce qui constitue le vrai mérite, lorsque
soit nommé, la passion pour les richesses une véritable idolatrie, le
faux
point d’honneur une injustice criante qui entrepr
ure soit le R.P. de la Chaise, le personnage que l’on fait jouer à ce
faux
Dieu ne pouvant convenir qu’à sa Révérence. Car q
tions des Ames. Je dis miracles divins, pour les discerner d’avec les
faux
miracles du diable qui par ses prestiges et impos
dangereux que toutes nos représentations théatrales, elles mettent du
faux
dans l’esprit, elles échauffent l’imagination, af
ême parlé. Il faut qu’une cause soit bien désespérée, quand on cite à
faux
pour la défendre. Que des ignorans, disoit le gra
volontaires contre l’empire de l’imagination & l’enivrement de la
fausse
gloire ? encouragé par l’indulgence, dont le Publ
la conduite en contradiction avec les principes, & de se trouver
faux
à soi-même & mal avec soi. Je cherchois à éto
aucun bien. Cette historiette inutile à la piece, aussi ridicule que
fausse
, n’a été fabriquée que pour rendre les Couvents o
; il défigure si sort celle-ci, qu’elle est très-douteuse, ou plutôt
fausse
, & un nouveau crime. D’abord il est impossibl
eux de la religion & de la vertu, enseignent à se contenter d’une
fausse
conversion, & rendent suspectes les véritable
mes impropres, du précieux, du galimathias, des contresens, des idées
fausses
. En voici quelques exemples. Dieu m’a congédiée.
, pour authoriser le divertissement du theatre : mais ce ne fût qu’un
faux
prétexte : car l’Ecriture, répond ce grand Saint,
anger la viande que les Idolatres avoient offertes & immolées aux
fausses
divinités. Quelques-uns étoient dans la pensée, q
es Fonts la grace de Jesus-Christ, & de rechercher maintenant les
fausses
joies, qu’il vous présente dans ce spectacle de v
la mort, où l’on voit clairement toutes choses, & non plus par le
faux
jour de ses passions. Tel est mon souhait, Madame
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