/ 377
1 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [P] » pp. 441-443
[P] Parade, espèce de Farce, originairement préparée pour amuser le
ous les âges, les Auteurs ont eu la Nature sous les yeux : par quelle espèce de barbarie ne l’ont-ils si long temps imitée que
ntés de croire que l’on a peut-être montré trop d’indulgence pour ces espèces de recueils de Scènes isolées, qu’on nomme Comédi
e Comédies ? Souvent sans invention, & toujours sans intérêt, ces espèces de Parades ne renferment qu’une fausse métaphysiq
p; la malignité aient fait admettre & représenter une Parade de l’ espèce de celles que nous venons de définir ? Un Citoyen
2 (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386
xistence affoiblie par un libertinage forcené, flétrie par toutes les espèces d’épidémies qui marchent à sa suite ; constituant
s, conditions, groupée comme une masse immobile, se repaître dans une espèce de ravissement, d’un spectacle où ce qu’il y a de
ices ; où l’existence même physique de ces tendres rejettons de notre espèce , je veux dire, les premiers efforts de la croissa
le plus indolent, la législation ne s’occupe point d’un abus de cette espèce , c’est dans la nature même de son gouvernement et
itude. La nature de l’homme ne comporte point un état exempt de cette espèce de commotion qui troublant sa situation habituell
nergie de ses facultés et en affermit l’usage. Il lui faut plus d’une espèce d’étourdissement pour assurer l’heureux oubli de
Les histrions prétendoient partager la gloire des empereurs 10 ; une espèce de frénésie incompréhensible, mais dont la reprod
cise qui marque l’autorité et la considération du Christianisme ; une espèce de baromètre moral, mais sûr et infaillible, qui
jours aux yeux du public…. Sans parler des tyrans et des fléaux de l’ espèce humaine, tous les ennemis de la liberté et du dro
ce et de santé ! Une jeunesse vermeille et vigoureuse est devenue une espèce de phénomène dans l’ordre de la nature vivante ;
rés, l’impression des plus funestes présages sur la destinée de notre espèce . Un philosophe à tête exaltée, a fait un livre su
s mains de la nature ; où au lieu des émanations morbifiques de toute espèce concentrées dans un espace étroit24, on ne respir
au nouvel Alcide qui abattra le mimisme ; celui de restaurateur de l’ espèce humaine. » Tel est, s’il m’est permis de lever un
e brillante époque de la sagesse romaine, on ne voyoit encore d’autre espèce de baladins, que des chansonniers dont Thespis av
s du jardin des Tuileries. On y dresse des tentes ; ces jeux sont des espèces de fêtes qui doivent se renouveler toutes les sem
s à aller s’entasser au spectacle. 23. Dans un essai sur différentes espèces d’air, à Paris chez Gueffier 1779, Mr. Sigaud de
3 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [Q] » pp. 444-446
deux genres de Parodie : I. la Parodie narrative : elle comprend les espèces suivantes ; celle de mots, qui consiste, selon Ci
zei. (A moi, Vulcain, Platon implore ton secours). 4. Une quatrième espèce de Parodie de mots, consiste à faire des vers dan
ue, ordinairement faite sur une Pièce entière, peut réunir toutes ces espèces de Parodie, auxquelles elle en ajoute une nouvell
utantes, mais que la Langue Grecque rendait supportables. Une seconde espèce de Parodie Dramatique, est la Parodie-d’imitation
4 (1759) Remarques sur le Discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie « Remarques sur le discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie. » pp. 350-387
lui, on peut distinguer trois choses dans toute Imitation, de quelque espece qu’elle soit. Ce qu’on imite est la premiere ; la
former des traits & des contours sur la toile, ou sur toute autre espece de table rase ; & les instruments ou les seco
est bien plus utile pour leur perfection. Notre corps tombe dans une espece de langueur & d’abbattement, nous ne le sento
est bien plus utile pour leur perfection. Notre corps tombe dans une espece de langueur & d’abbattement, nous ne le sento
est le jugement qu’en ont porté tous ceux qui ont écrit contre cette espece de divertissement. En montrant combien il est dan
mme qui n’auroit que des vices sans aucune trace de vertu, seroit une espece de monstre dans la nature ; un homme qui n’auroit
encore, si les passions ne lui en disputoient l’empire par une autre espece de plaisir. Mais malgré leur révolte, la Vertu no
ésulte, le véritable effet qu’on doit en attendre ; & comme cette espece de plaisir vient du goût que nous avons naturelle
iere la suite des événements, qu’il en naisse un étonnement & une espece d’admiration différente de celle dont j’ai déja p
otre imagination par le nœud & l’intrigue de la piece ; c’est une espece de délivrance qui succéde heureusement aux douleu
se à notre esprit. Je viens d’en indiquer un grand nombre d’une autre espece , & j’y en ajouterois peutêtre de nouveaux, si
ns la Poësie comme dans la Peinture ? Je comparerois volontiers cette espece de prestige que l’une & l’autre exercent sur
rties de l’événement, qui excitent en moi cette agitation & cette espece de chaleur que j’éprouve. Ainsi, pour me servir e
& il ne faut pas croire que notre ame refuse de se prêter à cette espece d’enchantement : elle s’y livre au contraire avec
es plaisirs se changent en celui de comparer, de juger, d’exercer une espece de supériorité sur l’Ouvrage & sur l’Auteur.
s, par les louanges qu’on leur donne lorsqu’ils ont réussi dans cette espece de Comédie qu’ils jouent naturellement. Leur vani
ous goûtons le seul plaisir de l’Imitation. Comme les objets de cette espece sont bien éloignés d’avoir aucun attrait par eux-
ation, il restera d’expliquer les véritables causes de cette derniere espece de plaisir dont l’Imitation nous affecte. L’Auteu
un acte de supériorité, & nous regardons notre critique comme une espece de tribunal auquel nous attribuons presque le pri
chent à les découvrir : ils sentent un repos, un calme intérieur, une espece de bonheur actuel qui pénétre le fond de leur ame
orts est fondé en partie sur ce qu’il fait moins d’efforts dans cette espece de jugement. 2°. L’esprit qui se plaît à agir, co
plus de persévérance dans une application pénible, pour sentir cette espece de volupté purement spirituelle que les premiers
& augmente, même à mesure qu’une plus grande attention, & une espece de familiarité que l’on contracte avec l’ouvrage,
5 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Du Theatre. » pp. 73-99
déja dit. Pour débroüiller le mieux que nous pourrons cette nouvelle espece de Magnificence, il en faut expliquer les princip
itre precedent : La seconde comprenoit la Scene, qui cõsistoit en une espece de plate-forme, de perron, d’élevation ou d’échaf
ù les Ieux sceniques se donnoient. Cette Scene estoit precisément une espece de Tapisserie, qui separoit le Theatre, & qui
jets particuliers & distinguez. Les Acteurs Tragiques avoient une espece de Brodequins ou Patins Cothurnus eslevez, qui ha
diversité des trois ordres exactement observez, il y avoit encore une espece de miracle dans le choix & dans la diversité
l acquit dans les broüilleries de l’estat : & cependant il fit un espece de Theatre, suspendu & brise qui se separoien
ent mieux disposez. Il eut mesme des soins particuliers qu’il fit une espece d’Aqueduc pour porter de l’eau dans tous les rang
é : & il suffira apres ce que nous en avons dit, de faire icy une espece de petite recapitulation, qui conserve dans le so
6 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [K] » pp. 421-424
[K] Chez les Anciens, les masques de Théâtre étaient une espèce de casque qui couvrait toute la tête, & qui,
Prosopées ; ils représentaient les personnes au naturel : deux autres espèces moins communes, étaient les Mormolycées & les
ns communes, étaient les Mormolycées & les Gorgonées : la seconde espèce , ne servait qu’à représenter les ombres : l’usage
Il était rare qu’ils quittassent le masque, & même il y avait une espèce de Comédiens qui ne le quittaient jamais. Nous so
7 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Troisieme suite du Fard. » pp. 171-194
hommes, dans les femmes, dans les auteurs, dans les ouvrages de toute espece , a fait & fait encore bien du ravave, il ne l
qui fait apprécier les éloges en tout genre qu’il lui donne, & l’ espece de Réligion & de vertu, qu’il lui prête. Ces
cule & la vanité du fard, par son inutilité, & en même tems l’ espece d’attentat de ceux qui s’en servent sur la volont
es filles de se marier, sur les amis de Cour, &c. entr’autres une espece de drame, où en différentes scénes, les plaisirs
ignes de sa présence, les rayons de sa gloire. Il est aussi une autre espece de fard que les Peres conseillent : la blancheur
es fardées, il y ajoute les danseuses publiques, ce qui rentre dans l’ espece de comédiens, puisqu’ils dansent sur le théatre.
hospes abit. Saint Augustin est bien sévere, il appelle le fard une espece d’adultere, il prétend que les maris eux-mêmes n’
es. Il semble que les Payens, par superstition, y avoient attaché une espece de talisman, pour le faire aimer des hommes, ce q
Mais dans le fond, les femmes y attachent des agrémens, qui sont une espece de talisman, pour plaire aux hommes. Le meilleur
8 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49
e, ou bien après une victoire signalée, ne leur ait fait inventer une espèce de Spectacle ? Les uns célébraient par leurs dans
es hommes n’eussent point encore trouvé dans leurs divertissemens une espèce de Comédie. Cette aventure lui donna, tout-au-plu
vés ? Ma réponse est toute simple. L’usage était peut-être de jouer l’ espèce de Comédie des prémiers tems sous des arbres dans
ns les deux genres. Ses derniers ouvrages sont, dit-on, de la seconde espèce  ; mais l’on y découvre presqu’autant de libertés
de la sorte : voilà notre Comédie héroique. Les Acteurs de la seconde espèce étant habillés d’une robe nommée Toges, dont se s
naître l’art des Vers. La Provence & le Languedoc composaient des espèces de Comédies & des chansons charmantes, tandis
a Passion. Les singularités, les bizareries, que l’on mêlait dans ces espèces de farces sacrées, achévent de nous peindre les h
9 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE V. Du Mensonge. » pp. 100-113
; ce qu’il dit ; il en prend l’esprit & le ton, & devient une espèce d’Acteur qui approprie tout à son rôle. C’est un
en a pas une où l’en suive fidellement l’histoire. Il en résulte une espèce de pyrrhonisme qui fait tout mêler, tout confondr
s’embarrasser de la vérité, à réaliser tout ce qui plaît, former des espèces de Don Quichotte qui prennent tout à la lettre. N
rt qu’il fait, selon les circonstances & les personnes ; dans les espèces , joyeux quand il amuse, officieux quand il sert,
es mensonges, des perfidies, des friponneries, des intrigues de toute espèce , en avale à longs traits le plaisir, en admire l’
us pur & plus charitable ? Les objets qui nous frappent, sont une espèce de cadre & de moule, où notre ame s’enchasse
10 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168
orta, & de traité de matiere médicale, où on n’en trouve de toute espece . Les comédiens en ont plusieurs dans leurs archiv
si c’étoit leur ouvrage. On voit à la fin du miroir de la beauté, une espece d’Herbier, qui renferme plus de 200 figures de pl
regardent comme une indication des vices & des vertus ; & une espece de diagnostic des maladies spirituelles. Il est c
dresse, par ce criminel artifice. Les mouches sur le visage, sont une espece de fard, parce qu’elles servent, par le contraste
plus bas. Il en est de même des rubans, c’est par la même raison une espece de fard ; les ruban servent à plus d’un usage, il
emment, font corps avec le teint de la personne, & deviennent une espece de fard à des yeux savants, chaque situation donn
bien d’autres usages. Il nous suffit ici de rémarquer qu’ils sont une espece de fard. Les fleurs jouent encore un grand rôle s
œuvre, sur-tout le fard : d’abord il lui défend de faire usage d’une espece d’habit qui se travaille dans Lille ; de Co. vest
amp; c’est grand dommage. Le poëte nous dit seulement que c’étoit une espece de glu qu’on répandoit sur tout le visage, en sor
11 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VIII. De la Folie. » pp. 163-179
olies humaines dans les divertissements ; nous ne parlerons que d'une espèce qui s'était répandue dans toute la France pendant
minetur in vobis.  » L'obscénité règne partout dans quelqu’une de ses espèces d'obscénité grossière, voilée, gasée, délayée, ai
troupe de Comédiens on n'aurait qu'à choisir et combiner les diverses espèces de folie, on ferait aisément une pièce régulière 
Hôtel ont une étroite liaison. L'un est un amas de matériaux de toute espèce , l'autre l'édifice que l'Architecte Auteur en a f
n faire un portrait de toutes les passions. De là des danses de toute espèce , légères, graves, majestueuses, badines, bouffonn
he gracieuse, cette symmétrie des pas, ces figures entrelaçées, cette espèce de labyrinthe où à tout moment on se perd et on s
12 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE PREMIER. Comparaison des Théâtres anciens avec les modernes. » pp. 2-17
le même but, qui était la critique et la correction des mœurs. Cette espece de Comédie approuvée et établie parmi les Grecs,
ste du Théâtre des Latins, ne nous fournit que des intrigues de cette espèce  ; et, comme les vices sont de tout pays, Térence,
pivot que tournent les intrigues de la Comédie, depuis cette première espèce de correction jusqu’à présent. Suivant ce princip
13 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des caractères & des Mœurs Tragiques. » pp. 131-152
s sous toutes les faces qu’ils peuvent présenter. Cet art est de deux espèces , où l’on apperçoit d’un coup d’œil toutes les qua
moraux, où l’on n’y parvient qu’a l’aide de la réflexion. La premiere espèce se distingue par une pénétration vive & rapid
peut faire mêmes de mauvaises Piéces. Mais le jugement de la premiere espèce approche le plus du bel esprit, qui lui-même amus
inutile ! On lui suppose tout. Le bel esprit n’a donc pas besoin de l’ espèce de jugement, qui, au premier coup d’œil, saisit t
14 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
oir s’ingérer dans les gouvernements de ce bas monde ; d’affecter une espèce de suzeraineté terrestre au-dessus de tous les tr
és du nom de tyrannicides, et enfin tant de crimes religieux de toute espèce , qui inspirent l’horreur et l’effroi, et qui sont
dant et en opposition au prince légitime, de manière à constituer une espèce de gouvernement intérieur au milieu même des gouv
ergé les registres de l’état civil et le constituer comme formant une espèce de magistrature séculière, chargée d’enregistrer
rité civile et des fonctions mixtes, spirituelles et temporelles, une espèce de magistrature, enfin, comme nous l’avons déjà d
15 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
ement la fréquentation & l’usage habituel des Spectacles de toute espece , sont-ils donc deux choses adsolument impossibles
que, & passa des honneurs rendus à Bacchus, à des sujets de toute espece . Cela est beau, disoit le peuple, mais on n’y voi
frais de théâtres, salles, décorations & divertissemens de toute espèce . Sous Henri III en 1581, les nôces du Duc de Joye
seules la diversifient & donnent une nature particuliere à chaque espèce différente ; & cela est vrai au figuré comme
lles devenues considérables, & les Marchands détaillans de toutes espèces ayant été réunis en corps, des troupes de Comédie
& d’une vaine Philosophie, qui affecte de fouler aux pieds toute espece d’ordre & de regle, & qui semble caractér
ême des campagnes. Un Laboureur, ou un Vigneron possesseur de toute l’ espèce représentative de son pays, y tient toutes les fe
prunts. De-là les immenses fortunes de quelques-uns, qui accumulent l’ espece , & font la loi au plus grand nombre. De-là da
de nécessité sont à un prix fort haut, & relatif à la rareté de l’ espèce  : de-là les emprunts de toute nature & toujou
s. Rente y est encore le mot générique & le synonime de revenu. L’ espèce représentative est aux choses de commerce, comme
Louis, tout modeste qu’il étoit, y portoit la somptuosité jusqu’à une espèce d’excès ; Charles VII les abolit. Les guerres con
16 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VI. De l’Iconomanie théatrale. » pp. 141-158
ie image, & manie, c’est-à-dire, goût excessif ; passion extrême, espece de fureur, pour quelque chose. Iconomanie est don
ue les Dieux de la fable, les héros des Romans, le grotesque de toute espece , se sont emparés de tout. On ne voit pas une imag
acun s’arrange selon son goût ; les meubles & les habits sont une espece de Physionomie, qui peint les inclinations. On vo
ntant des armes. Qu’on présente à une compagnie des estampes de toute espece , chacun s’arrêtera à ce qui lui plaira d’avantage
les pour l’erreur, mépris des Conciles Œcuméniques ; il n’est point d’ espece de mal qu’ils n’ayent faits. Elle n’est pas même
re meilleur chrétien, & moins bon artiste. L’imagination est une espece d’appartement, où l’esprit de l’homme habite, &am
17 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
nt porté ce nom par l'institution des hommes; mais comme ce nom d'une espèce particulière est devenu en France un nom général
par ce qu'ils ont de commun, et en particulier, par ce qui fait leurs espèces différentes. L'idée générale qu'on peut former de
leur genre, il faut faire voir ce qui est de particulier dans chaque espèce , et discourir de sa nature et de son origine, en
ant ses circonstances, et ses effets comme je me le suis proposé. Les espèces du Poème Dramatique sont, la Tragédie, la Tragi-c
ntroduire un satyre dans son Aminte, se faisant en cette occasion une espèce de religion de son immodestie. Si l'on veut regar
relever au-dessus des autres femmes, en lui faisant un devoir, et une espèce même de piété, de sa haine pour César, qui attire
18 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre I. Du Théâtre des Anciens. » pp. 2-24
l’origine des Spectacles dont nous allons parler. Il a fallu que ces espèces de jeux eussent été précédés d’un amas suffisans
ages, & des traités solides, les Peuples se sont trouvés dans une espèce de désœuvrement, d’où ils ne se sont tirés, qu’en
te aux possessions patrimoniales. Celles-ci laissent le cœur dans une espèce d’inertie ; celles-là, au contraire, lui représen
en a-t-il guères qui n’ayent commencé par des Odes. L’esprit, par une espèce d’instinct, s’attache aux sujets dont la grandeur
19 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
omposer des Pièces pour le plus fameux de nos Spectacles. Il faut une espèce de noviciat. Il pourrait arriver même qu’un homme
Que rien ne soit au dessous de votre génie. Que vos Drames soient une espèce d’Encyclopédie, où nous trouvions tout ce qui con
ant fréquenter les Manœuvres, les derniers Artisans, & toutes les espèces de gens qu’ils nous obligent de contempler au Thé
Ecosseuse, une Bouquetière, un Batélier, & d’autres gens de cette espèce . Les Auteurs de l’Encyclopédie, de cet énorme col
20 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [G] » pp. 408-415
ous nous servons pour ce sujet. Pollux nous apprend que c’étaient des espèces de trappes qui élevaient les Acteurs au niveau de
nombreuse assemblée, les Anciens avaient soin de la tempérer par une espèce de pluie, dont ils fesaient monter l’eau jusqu’au
combats des bêtes : elles combattaient, ou contre d’autres de la même espèce , ou contre des bêtes de différente espèce, ou enf
contre d’autres de la même espèce, ou contre des bêtes de différente espèce , ou enfin contre des hommes. Les hommes exposés a
21 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre II. Des Naumachies. » pp. 100-111
mention de Ieux ny de Combats. Tout ce qu’ils en disent n’est qu’vne espece de Cavalcade de ce Prince, qui se fit de deux iou
ats de Mer & de Terre. Il fit élever sur des Tonneaux flotans une espece de Bastimens, où il fit de superbes Banquets, &am
la loge fit une liberalité aussi galante qu’ingenieuse. Il ietta une espece de billets, que le vent & le hazard firent vo
22 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre III. Du Bal. » pp. 178-183
probation des yeux. Comme cette affeterie dont ie parle, n’est qu’vne espece d’air & de tour que l’on donne à ce que l’on
ns les Assemblés ou dans les Bals. De donner des preceptes pour cette espece de Dance, c’est vouloir établir une langue vivant
23 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I. Des Parfums. » pp. 7-32
rchandise ; le reste de son livre a son utilité, c’est un recueil des espèces différentes de liqueurs & des parfums, de leu
des parfums de Cithére ? Qui peut résister à tant de parfums de toute espèce  ? Mais, dit-on, quel mal y a-t-il à sentir des bo
s crimes ? La passion pour les odeurs est criminelle aussi, c’est une espèce d’ivresse ; c’est ce que peignoit Catulle par ces
amp; aussi étendu que le monde, quoiqu’infiniment diversifié dans les espèces & dans les degrés ; l’un aime une odeur pour
ngèreux effet, elles s’élèvent comme une vapeur, & sont comme une espèce d’extrait de cette pernicieuse nourriture, &
pardonnons leur d’avoir recours à un remède si nécessaire, c’est une espèce de fard, le rouge prépare le défaut de la couleur
faut de la couleur, le parfum celui des odeurs ; on veut en faire une espèce de grâce, & lui donner un air de délicatesse.
24 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [M] » pp. 426-430
hommes chanteront & danseront jusqu’à la destruction totale de l’ espèce . La Danse Religieuse & Sacrée, est la plus an
& d’Alexandrie, qu’une des parties de ces Temples était formée en espèce de Théâtre, auquel les Juifs donnaient le nom de
atiqua un terrein élevé, auquel on donna le nom de Chœur ; c’était un espèce de Théâtre séparé de l’Autel, tel qu’on le voit e
25 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V bis. Le caractère de la plus grande partie des spectateurs force les auteurs dramatiques à composer licencieusement, et les acteurs à y conformer leur jeu. » pp. 76-85
toutes choses, excepté d’eux-mêmes. Qui ensuite ? Des oisifs de toute espèce , des paresseux de profession, dont l’unique affai
e de leurs propres faiblesses, ce soit sans ôter à leurs passions les espèces de dédommagements qui leur importent le plus sans
même libertinage qui produit dans la représentation je ne sais quelle espèce d’illusion et d’ensorcellement. La raison pour la
26 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre I. De la Pudeur. » pp. 4-35
e temps même destiné à la perdre ; c’est une coquetterie rafinée, une espece d’enchere que les belles mettent à leurs appas, u
s, & marquoit le cas infini que leur sexe faisoit de la chasteté, espece de prodige dans un peuple idolatre, dans une reli
her à la vue ce que la nature a destiné pour la conservation de notre espece , de peur d’accoutumer nos yeux à des objets qui v
usage de la nation étoit sans habit : A l’égard des parures de toute espece , que les Dames Angloises employent pour relever l
amp; veut pouvoit en liberté franchir toutes les barrieres. C’est une espece d’Ange gardien visible, qui, comme Raphael, condu
a parole d’un Ange : Turbata est in sermone ejus. La pudeur est une espece de maître, qui fait connoître le danger, & or
sateurs ou de panégyristes ? Je porte mon cœur sur la main. C’est une espece de proverbe. Il ne dit pas assez. Je porte mon cœ
e de la religion & de la vertu. On compare la pudeur à l’Hermine, espece de Belette, qui se trouve dans les pays froids, d
clud la familiarité, & qu’il ordonne des égards constans de toute espece . Est-il rien de plus opposé au respect que la lic
27 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VI. De la Poésie de style. Si elle fait seule la destinée des Poëmes. » pp. 94-121
avantage qu’on puisse retirer d’un livre ; mais la satisfaction de l’ espèce de besoin qu’éprouvent les lecteurs. Ceux qui ont
e pas avec justesse & précision les idées de l’Auteur. Toutes ces espèces , d’Auteurs & de styles, ne s’apprecient que p
e commune ou déplacée. Nous ne manquons pas d’exemples de la premiere espèce . Le fameux récit de Théramene, que la richesse &a
de l’eclair, d’une imagination prompte & féconde Celles de cette espèce ne cherchent point l’expression ; elle n’est qu’u
28 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien quatrieme. Sur la vanité & le danger des Bals, & des Danses en particulier, Tiré de la Bibliotheque des Predicateurs, composé par le Reverend Pere Vincent Houdry de la Compagnie de Jesus. » pp. 57-66
e l’ancien Testament, n’ayent quelque-fois témoigné leur joye par une espece de danse, mais c’estoit pour rendre graces à Dieu
qui a fait dire au plus éloquent de leurs Orateurs, que c’estoit une espece d’yvresse defendûë aux personnes, qui font profes
gens du monde condamneront avec indignation contre eux-mêmes avec une espece d’horreur de tous ces profanes divertissemens, ma
29 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre II. Regrèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. » pp. 94-100
faire des enfans à Madame sa Mère11, doit baisser pavillon devant l’ espèce d’énigme dont je parle. Les Grecs, les Romains, &
lle Aristote est tombé. Ces Logogriphes si spirituels & d’une espèce nouvelle, ont le bonheur de nous divertir alterna
30 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Parfums. » pp. 112-137
es parfums connus de son temps, dont il détaille un grand nombre leur espece , leur nom, leur origine, la maniere dont on les f
atum & unguentis illitum. Voici quelques vers qui peignent cette espece de fureur. On les trouve en deux endroits à la fi
bles de gens de toute nation & de tout état, des animaux de toute espèce , de jeunes garçons, de jeunes filles, des Faunes,
er le Sauveur du monde, lui porterent l’or, l’encens & la myrrhe, espece de parfum ; & la Reine de Saba en apporta à S
parfums. S. Chrisostome de Lazaro hom. 1. Tertullien le traite d’une espece d’idolâtrie, au moins d’une imitation criminelle
ne saisit pas moins l’esprit que l’odorat ; la femme parfumée est une espece de momie, un cadavre embaumé qui court au tombeau
délivre chaque pécheur par la grace du Baptême & de la pénitence, espece de bain salutaire où tout est lavé. Voilà le port
31 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Sixième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 40-72
pectacles n’eussent pas lieu dans la société humaine : mais de quelle espèce devaient-ils être, pour faire la plus grande impr
t cultivé l’un & l’autre également, & les Spectacles des deux espèces ont été en honneur chez elles. » Mais il y a cett
gédies, les Pantomimes. Mais une chose certaine, c’est que dans toute espèce de Spectacle, on veut être ému, touché, agité, ou
u par le plaisir de l’épanouissement du cœur, ou par son déchirement, espèce de plaisir : quand les Acteurs nous laissent immo
res de l’extérieur du Spectacle. Pour connaître celles de la première espèce , il ne faut que rentrer en soi-même & s’intér
; de nous corriger, mais d’embellir tous les genres d’expression de l’ espèce humaine ; puisqu’aussi bien l’Actricisme est au-d
32 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 21-65
hons d’en prendre un qui soit mieux entendu. » Page 17. « Quand à l’ espèce des Spectacles, c’est nécessairement le plaisir q
part et d’autre mêmes facultés de les satisfaire ? Que deviendrait l’ espèce humaine, si l’ordre de l’attaque et de la défense
homme n’est point un chien ni un loup. Il ne faut qu’établir dans son espèce les premiers rapports de la société, pour donner
r ; il oublie le démenti qu’il vient de donner. Qui dispute que notre espèce n’ait une idée de l’honnête et du beau ? Mais l’h
33 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVI. Il y a des divertissements plus utiles et plus décents que les spectacles. » pp. 138-149
s mains de la nature ; où, au lieu des émanations léthifères de toute espèce concentrées dans un espace étroit, on ne respire
toute la nature. Les êtres étaient plongés, pendant la nuit, dans une espèce de néant d’où cet astre les tire : il répand ses
ours. Dieu se repent d’avoir créé l’homme ; il est forcé d’en noyer l’ espèce criminelle dans les eaux du déluge : une seule fa
34 (1731) Discours sur la comédie « MANDEMENT DE MONSEIGNEUR L’EVEQUE DE NIMES, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 352-360
ère condescendance. Mais puisque c’est une habitude de plaisir et une espèce de libertinage qui se renouvelle tous les ans, no
dence divine semblait nous avoir mis à couvert pour toujours de cette espèce de séduction, par la chute des premiers qui vous
35 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
s les temps où il leur a été permis de se marier, les femmes de cette espèce leur furent toujours interdites, sous peine d’irr
rale qui doit les en rendre ; c’est la bigamie. Parmi les différentes espèces de bigamie, il en est une qui consiste à épouser
étier si opposé au christianisme, que d’autres canons appellent cette espèce d’hommes des apostats et des démons. Quant à l’ir
e indigne de l’Autel. 4.° Quoique par un usage immémorial, devenu une espèce de loi, dont on ne se serait pas dispensé impuném
dit-il, il est bien difficile, pour ne pas dire impossible, sans une espèce de miracle, qu’une Comédienne conserve sa vertu.
’Evêque et une annonce d’une pièce de théâtre. Mais c’était alors une espèce d’insulte et d’impiété, par le mélange des choses
36 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
ses menaces s’étendent à toute sorte de nations rebelles : Is. 19. l’ espèce renferme le genre ; et sous le nom de ces deux ro
aptême nous avons renoncé aux spectacles, dont l’idolâtrie a fait une espèce de sacrifice à Satan et à ses anges. Voyons donc
itres à quelle idole, et à quelle superstition ces jeux de différente espèce ont été consacrés. Ceux qu’on appelle Mégaliens,
l sacrifice est une véritable idolâtrie ; puisque l’idolâtrie est une espèce de culte que l’on rend aux morts : ces honneurs f
résentent les morts, ou ce qu’on appelle des Dieux. Or comme ces deux espèces d’idoles sont d’une même nature, d’autant que les
tés charnelles, il y en a aussi une des plaisirs. Or entre les autres espèces de plaisir, on peut compter les spectacles. Les c
lie devant Dieu ; et par conséquent que nous devons détester ces deux espèces de spectacles ; je veux dire la comédie, et la tr
quent de condamner en public.) On condamne donc authentiquement cette espèce de gens à la dernière ignominie, en les excluant
de la vérité ne saurait approuver rien de faux. Il regarde comme une espèce d’adultère tout ce qu’on réforme dans son ouvrage
37 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. » pp. 297-328
, qu’un chant simple, presque toujours sur le même mode, enfin qu’une espèce de Chansonnette. L’Ariette est donc pour le Music
ge est de terminer la plus part des Poèmes du nouveau Théâtre par une espèce de Chanson, qu’on appelle Vaudeville. Au reste le
donna le nom de Vaudeville : peut-être aussi pour èxprimer que cette espèce de Chanson est fort en usage dans les Villes.
homme d’esprit de faire bien des réfléxions. Il est certain que toute espèce de chant est peu naturel ; car on peut le regarde
r s’en est tiré avec habileté. On peut considérer l’Ariette comme une espèce de rondeau, dont le refrein doit toujours être am
38 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
expression qui fasse connaître leur passion, je trouve que c’est une espèce d’amour que ni les Anciens, ni les Modernes n’ont
’une manière sensible et éclatante. Dans les Pièces de cette dernière espèce (s’il y en avait) les gens sages ne trouveraient
la Tragédie, à la Tragicomédie, à la Comédie Héroïque, qu’aux autres espèces de Pièces où l’on introduit des gens de qualité,
la réforme plus sévèrement que je n’ai prétendu le faire. Après cette espèce de protestation, je dirais que le Brutus de M. de
premier à la condamner. 11. [NDA] Article quatrième de la seconde espèce de Parodie, page 192, et suivantes. k. [NDE] Pro
39 (1802) Sur les spectacles « FUITE DES MUSES ET DU BON GOUT : Peut-on compter sur leur retour ? » pp. 3-11
nnes de sa feuille comme dans la mâchoire d’un étau. Condamné à cette espèce d’étranglement, je m’exécute à mon ordinaire. Je
i qu’en confiant successivement à la terre des graines de différentes espèces , elle répond constamment au vœu de l’agriculteur.
ntion, par la manière dont il remplit un rôle si varié, que c’est une espèce de Protée. Les auteurs de ces inventions ont fait
40 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Post-scriptum. » pp. 201-216
honte et des tourments de leur servitude, trop souvent soumis à cette espèce d’élus devenus leurs chefs, leurs juges, les arbi
ceux, dit-il, de qui le pain d’autrui dépend, ces supérieurs de toute espèce sont d’autres pères de votre création ; achevez d
41 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
e, en l’année 789, qui rangeait au nombre des personnes infâmes cette espèce de comédiens histrions auxquels il n’était pas pe
cipe de la liberté des cultes. Cette liberté reconnaît sans doute une espèce d’intolérance, mais seulement en matière de dogme
42 (1698) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras au sujet des Tragédies qui se représentent dans les Collèges de son Diocèse [25 septembre 1698] « Mandement  » pp. 37-43
rait bien qui ne le sont pas si on y faisait attention, sont de cette espèce . Il arrive cependant sur ce sujet, comme il est a
me cela nous paraîtrait une profanation publique de ces lieux, et une espèce d’abomination dans le lieu saint, Nous défendons
43 (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426
criture pour approuver telles folies : puis discourant par toutes les espèces des Spectacles, en fait le diable auteur, et l’Id
te même matière, beaucoup plus amplement, car il décrit l’origine, et espèces de ces Jeux et Spectacles, les appareils, les pri
rder ce qu’elle prohibe de faire. Elle a condamné, dis-je, toutes ces espèces de spectacles, et jeux publics, quand elle a ôté
e fût aimée. Qu’est-il besoin d’en dire davantage ? ou déchiffrer les espèces monstrueuses des Sacrifices, qui se sont ès jeux
44 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VI. Suite de la Danse. » pp. 140-167
p; dangereux mouvemens, à quoi est-il propre lorsque, revenu de cette espece de délire, il veut s’occuper de quelque travail u
du peuple, ou la lie du vice. Je ne parle pas des désordres de toute espece & sans nombre qui s’y commettent, folles dépe
vrée aux bêtes féroces, qui y dansent ; il y met des animaux de toute espèce , des serpens, des hyboux, des monstres aquatiques
de se trouver, de se parler, de se donner des marques de tendresse, l’ espèce de voile dont la foule, le tumulte, la confusion,
le tumulte, la confusion, le spectacle, couvrent tout le monde, cette espèce de labyrinthe où tout s’égare & se retrouve,
’est pas le seul péché qui s’y commette, il n’en est presque d’aucune espèce dont ces criminels exercices ne soient les suites
er, pirouetter, remuer ses pieds & ses mains, s’agitter comme une espèce de convulsionnaire, comme un malade que la fievre
45 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  RECAPITULATION. » pp. 382-390
l faut louer les Grecs d’avoir si bien connu ce qui convient à chaque espece de Poësie, il faut encore les louer d’avoir dans
férente de celle des Grecs, & créa, pour ainsi dire, une nouvelle espece de Tragédie, qui est très-peu pleureuse. Sa Corné
46 (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44
mains, Et eulx deux, qui sont incertains Ou le signe est, n’en quelle espece , Viendront tirer chascun sa piece, Et celluy auqu
ces Dialogues des Démons, on en voit d’autres qui sont pires en leur espece  ; car les Discours que l’on fait tenir à Dieu &am
Coquilles & d’Images peintes de diverses couleurs, faisoient une espece de spectacle qui plut, & qui excita la pieté
47 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286
les charmes de l’harmonie. Les Sauvages les plus féroces chantent une espèce de Chanson, & se réjouissent au bruit de cert
riées. Je le répète, cet assemblage des mêmes sons donne au chant une espèce de dureté ; si l’on veut écouter les Arriettes It
econd morceau que chante Lubin, lorsqu’il arrive sur la Scène, dans l’ espèce de Pastorale si connue d’Annette & Lubin, rem
ie se verront toujours de mauvais œil. Il y aura de tout tems une espèce de haîne entre les Musiciens de France & ceux
nous ravissent la moitié de nos succès ? Origine singulière de l’ espèce d’inimitié qu’on voit entre-eux. On raconte u
48 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Sommaire. »
ervations particulières sur tous ce qui concerne le genre de ces deux espèces de Drames. Combien d’Actes doivent avoir les Poèm
49 (1709) Mandement de M. L’Evêque de Nîmes contre les Spectacles pp. 3-8
e condescendance : mais puisque c’est une habitude de plaisir, et une espèce de libertinage qui se renouvelle tous les ans, no
dence divine semblait nous avoir mis à couvert pour toujours de cette espèce de séduction, par la chute des premiers qui vous
50 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 15-18
nsidère en la thèse ou selon la théorie, dans leur genre ou dans leur espèce , parce qu’une action morale n’est bonne, mauvaise
rce qu’une action morale n’est bonne, mauvaise ou indifférente en son espèce , que par le rapport qu’elle a à son objet, selon
51 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142
t on enduisoit les cheveux comme on les enduit d’essence, c’étoit une espece de vernis appliqué sur les cheveux, qui faisoit u
diversifier la pensée, & en donner des nouvelles, ne sont qu’une espece de fard ; quand on les en dépouille pour les redu
reste, la nouveauté s’évanouit. Tout le théatre n’est lui même qu’une espece de fard, non seulement parce que acteurs, actrice
, ou immédiatement sur la peau, ou sur un enduit de pommade, ou d’une espece de plâtre dont on faisoit une calote ; il ne falo
lé. 2°. Pour imiter les cheveux, on donnoit de la consistance à cette espece de plâtre, on le faisoit descendre le long du col
ent les gens, comme font les perruques. Messaline se servoit de cette espece de masque : Crinem abscondente galero . Ces tête
52 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE I. Faut-il permettre aux femmes d’aller à la Comédie ? » pp. 4-29
lles habitoient, non sous des lambris dorés (Actrices), mais dans des espèces de huttes appelées clapiers ; elles ne pouvoient
ppelées clapiers ; elles ne pouvoient étaler ni pierreries, ni aucune espece de luxe ; une dorure, une boucle, un clou d’argen
eur & de leur gloire. Quels transports, quel enthousiasme, quelle espèce d’ivresse pour les femmes, que l’enchantement du
xprime, tout inspire les plus vifs & les plus délicieux, de toute espèce  ; pitié, fureur, langueur, fierté, chaque scène e
; elle est presque toute la philosophie. Voici des traits d’une autre espèce . L’un des plus intéressans, c’est la bonne œuvre
e pour prolonger sa pénitence ; dans ses derniers momens elle sit une espece de confession publique des désordres de sa vie, s
53 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381
qu’elle n’étoit pas un Chant Musical, & cependant elle étoit une espece de Chant, non seulement parce que toute Piéce de
& la Déclamation des Orateurs étoit aussi, comme dit Cicéron, une espece de Chant. Les Peuples qui mesuroient leur discour
dents. La plûpart de nos mots finissent par un M dont le son fait une espece de mugissement, au lieu que les mots Grecs finiss
pied d’un Vers, il faut élever & abaisser la voix. Voilà donc une espece de chant. Enfin il paroît dire que si dans ce Ver
une harmonie musicale : mais il est vrai qu’il étoit aisé dans cette espece de chant très-agréable, de se laisser emporter ju
lutte dans les funérailles ; les Anciens avoient des Fluttes de toute espece , & celles pour les chants tristes, suivant l’
54 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224
oli qui accompagne les femmes à l’Eglise pour leur faire honneur, une espece de Mentor sur lequel se repose un mari jaloux, un
rtes de danses [& de même de musiques] l’une imitative. C’est une espece de pantomime qui embellit l’action, si elle est f
a jamais : personne n’a plus en horreur que lui les ouvrages de cette espece  ; il aimeroit mille fois mieux en être l’objet qu
utoriser les Comédiens à prendre contre lui une délibération de cette espèce  ? Quelle réparation est-il en droit d’exiger ? Ex
contrat entre lui & la Troupe, auquel elle ne peut donner aucune espece d’atteinte. Cependant, aux termes de la délibérat
juge des Auteurs, comme il est le seul objet de leurs travaux. Dans l’ espece particuliere, c’est encore préjudicier aux mœurs.
s qui se sont dévoués à la carriere glorieuse du Théatre, ce seroit l’ espece de correspondance forcée qui s’est établie entr’e
u’à celle des Saturnales, n’a régné que trop long-temps ; & cette espece d’empire bizarre usurpé sur les véritables maître
ou l’Ecole des Mœurs. Cette piece a occasionné dans cet Aréopage une espece de schisme, Sept voix, en comblant le sieur Palis
e persuasion. Le jour où vous m’avez entendu, M. le Kain, frappé de l’ espece de contradiction qui régnoit dans vos suffrages,
cette Troupe réclameroit-elle ses usages & ses réglemens, & l’ espece de possession où elle est, à la honte de la Litté
55 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77
rde ou burlesque est une sorte de Pastorale. Nous avons une autre espèce de Drame naturel ou de Pastorale, à laquelle on d
appellés Opéras-Bouffon, dans lesquels agissent des Paysans, sont des espèces de Pastorales, mais trop grossières. Elles descen
eurs genres de musique, chacun trouvait sa place dans les différentes espèces d’ouvrages, & dans diverses circonstances. Ne
56 (1777) Des divertissements du Carnaval « Des divertissements du Carnaval. » pp. 92-109
dans le monde ? tant il est vrai qu’on donne nécessairement dans une espèce de folie, dès qu’on cesse de raisonner et de vivr
mbre, la qualité, l’éclat de ceux qui se trompent comme eux, fait une espèce d’autorité qui leur rend cette erreur plus plausi
ns du monde, condamneront avec indignation contre eux-mêmes, avec une espèce d’horreur, tous ces profanes divertissements, mai
57 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XVII. Que les femmes ne montaient pas sur l’ancien théâtre. » p. 65
udeur, ne devait pas ainsi se livrer au public, et que c’était là une espèce de prostitution. Ce fut aussi à PlatonDe Rep. lib
58 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. De la Parodie. » pp. 78-89
uveau, lorsqu’ils ne font que le calquer sur un modèle. C’est à cette espèce de Parodie, qu’est dû le nom d’imitation. La seul
u’on en diminue de beaucoup la durée. Il est aisé de sentir que cette espèce de Parodie est aussi très-peu estimable. Elle n’é
59 (1823) Instruction sur les spectacles « Conclusion. » pp. 195-203
st corrupteur. Mais fussiez-vous invulnérable et inaccessible à toute espèce de corruption, votre présence au théâtre est un s
nt point à y aller, si elles ne vous y voyaient point courir avec une espèce de fureur, et qui n’y vont que parce qu’elles y s
60 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. -
rée de l’Imprimerie : l’orgueil a produit des Métaphysiciens de toute espèce  : ils ont chassé la nature ; elle est devenue un
l’intérêt de son système, il parle dans la vérité, et fait comme une espèce d’amende honorable à l’humanité. J’ajoute l’opini
61 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « PRÉFACE » pp. -
es spectacles. Le préjugé barbare contre la profession de Comédien, l’ espèce d’avilissement où nous avons mis ces hommes si né
rit, le Courtisan qui rampe et qui ne paie point ses dettes : voilà l’ espèce d’hommes que nous honorons le plus. Si les Comédi
62 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre premier. Remarques Littéraires. » pp. 11-51
catholiques. C’est un grand homme par les plus rares talens de toute espece  ; un oracle, l’orateur le plus éloquent de tous c
d’autant mieux fondée dans sa colere, qu’elle étoit nymphe de Diane, espece de religieuse dans la mythologie, qu’elle avoit f
ont pas les plus chastes vestales. Qu’un petit-maître est une sotte espece  ! Il va, revient, est là-haut, est là-bas, il par
, les expressions, les lazzis du maître & des domestiques : cette espece de décoration est sans doute en raison de la vert
elles-mêmes, mais devenues trop insipides par un emploi trop répété, espece de jargon que les jeunes gens prennent pour de la
sifs de poëtes à toujours représenter l’héroïsme sous les traits de l’ espece humaine encore informe ? Que prouve cette présenc
t à peine un détachement de nos armées ! Quel peut être l’effet de l’ espece humaine, non-seulement informe, mais corrompue à
de la mythologie que des adulteres, des incestes, des vices de toute espece , placés sur les autels ? Quel peut-être , contin
63 (1733) Traité contre les spectacles « AVERTISSEMENT. » pp. 143-144
t on se servait pour prouver, qu’il n’y a rien de criminel dans cette espèce de plaisirs : Il fait voir ensuite, que ces spect
64 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. —  CHAPITRE V. Tribunal des Comédiens. » pp. 128-140
ntrer dans une troupe qui n’est qu’un ramassis d’avanturiers de cette espece , à qui le libertinage public donne du pain. Si un
corée des mêmes ornemens. On y entre par un large vestibule, sous une espece de porche, en colonne, où sont des boutiques de m
asses, dans des cours, dans un enclos planté d’arbres, & dans une espece de cirque découvert ; c’est dans ce cirque que l’
65 (1579) De l’Imposture et Tromperie « Livre premier. Des jeux et autres observations séculières retenues de l’ancien Paganisme. Chapitre 22. » pp. 101-107
convish et banquets, flûtes, chalumeaux, guiternes et autres diverses espèces de musique, se livrant eux-mêmes à toute ivrongne
qui se font ès jeux, afin qu’étant averti d’en fuir aucuns, comme une espèce d’idolâtrie qui dépend et qui vient des anciennes
Gentiles qu’aucuns Chrétiens retenaient et imitaient encore des deux espèces dont nous venons de parler, savoir est et de divi
66 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Faste. » pp. 154-183
étoffes, ou le pesent sur l’or & l’argent. Cet extérieur est une espèce d’échasse sur laquelle il se montre, qui d’un pyg
ice, des grâces séduisantes ou des invitations édifiantes ; c’est une espèce de sermon éloquent. La première démarche d’une ve
vous embellissez vos charmes ; Dieu pouvoit vous mieux partager, une espèce de jalousie l’a rendu réservé dans leur distribut
ité de recettes ; c’est un inventaire d’Apothicaire : fard nettoyant, espèce de favon pour ôter les tâches & les obscurité
du Mercure & celle du Censeur ne doivent-elles pas proscrire ces espèces de poison ? Voici le mot de l’énigme : chaque ann
sse pas changer de visage, & Fagnan applique ces paroles au fard, espèce de masque qui forme un second visage sur votre vi
67 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIV. De l’usage de composer des Pièces, ou des Rôles pour un ou plusieurs Acteurs. » pp. 219-233
là dans les différences infinies qu’elle jette dans les êtres de même espèce . Remplissez vos scènes, non d’idées difficiles à
ici & deviennent insurmontables. D’ailleurs chaque Comedien a une espèce de jeu qui lui est propre : que ce jeu soit plus
68 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [O] » pp. 436-440
antomime, qui signifie, Imitateur de toutes choses, fut donné a cette espèce de Comédiens, qui jouaient toutes sortes de sujet
s Tragiques & Comiques. Nous savons aussi que les Chinois ont des espèces de Pantomimes, qui jouent chez eux sans parler :
69 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « EXTRAIT DE QUELQUES PENSEES SAINES. Qui se rencontrent dans le livre de J.J. Rousseau contre le Théâtre, ou condamnation de son système par lui-même. » pp. 66-77
eux qui voudraient ôter aux peuples les fêtes, les plaisirs, et toute espèce d’amusement, comme autant de distractions qui le
tait en cadence et sans confusion, avec mille tours et retours, mille espèces d’évolutions figurées, le choix des airs qui les
70 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
ement, que les hommes en eussent auparavant essayé et usé de bien des espèces  ; quelqu’un qui s’ennuyait cruellement (c’était v
ux ce que la morale ne montre que d’une manière abstraite et dans une espèce de lointain. Elles développent et fortifient par
angereuse, elle est au contraire importune ; et un sentiment de cette espèce peut-il être une source de vices et de forfaits ?
en ce genre, la Conjuration de Venise j de l’Abbé de Saint Réal, et l’ espèce d’intérêt qu’il nous inspire (sans l’avoir peut-ê
ous ; ne fût-ce que par l’aversion dont on ne peut se défendre pour l’ espèce d’hommes si odieuse que Molière y a joués et déma
comme vous l’êtes, par votre caractère et par vos réflexions, à toute espèce de préjugés, était-ce là, Monsieur, celui que vou
ous aviez raison, quelle en serait la triste cause ? L’esclavage et l’ espèce d’avilissement où nous avons mis les femmes ; les
tre qui concerne les Spectacles en eux-mêmes, et les dangers de toute espèce dont vous les rendez responsables. Rien ne pourra
71 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XV. Application de la doctrine précédente aux danses et aux bals qui se font aujourd’hui. » pp. 94-96
nt l’honnêteté, et des postures qui ne sont propres qu’à produire des espèces dangereuses dans l’imagination, et à exciter des
72 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE III. Des Pièces de Collège. » pp. 48-67
ord c’est une défense générale à tous les Fidèles d’assister à aucune espèce de comédie ; ce qui leur a été défendu de tout te
mpose, imprime, représente dans tous ses collèges des pièces de toute espèce . C’est la tâche des jeunes Régents : elle a des t
s que rarement, avec de grandes précautions, et faisant au public une espèce d’excuse. MM. Desfontaines, Freron, Rainal, la Po
ute sans le vouloir, aux enfants, à leurs familles, au public ; cette espèce de décision pratique de gens très respectables, q
73 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XVI. » pp. 69-70
re de Dieu, et non pas le Dieu même qu’on adore : Et c’est dans cette espèce d’enivrement, que vous poussez la flatterie, jusq
74 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVIII. D’une excuse de laquelle se servent ordinairement les gens du monde, pour justifier la conduite des jeunes hommes, et des jeunes filles qui vont au bal. » pp. 142-145
i traîne presque toujours après soi une longue suite de maux de toute espèce , les desseins abominables de tant d’impuretés, et
75 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — TROISIEME PARTIE. Des obstacles qui s’opposent parmi nous à la perfection de la Comédie. » pp. 57-75
res à la Comédie sont épuisés, & de ce qu’ils regardent comme une espece de honte de travailler sur des sujets qui ont été
temps. J’ai dit aussi que nos Auteurs comiques regardoient comme une espece de honte de travailler sur des sujets qui ont été
76 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien premier. Sentiment du reverend Pere Bourdaloue de la Compagnie de Jesus, touchant les Bals & les Comedies en general. » pp. 8-16
e qu’elle est bonne, & a force de se le figurer, on s’en fait une espece de conviction, en vertu de la quelle on agit au p
determiner, mais de m’inspirer pour ces sortes de divertissemens une espece d’horreur. Ils m’aprendroient que les païens même
77 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
encore joindre à cette passion, devenue instructive, plusieurs autres espèces d’intérêts que la raison et les devoirs autorisen
nd il s’agit de satisfaire sa passion. On pourrait regarder comme une espèce de nouveauté l’amour que les Modernes ont introdu
78 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — DEUXIEME PARTIE. — REGLEMENTS. Pour la Réformation du Théâtre. » pp. 99-116
erain ou la République, qui l’aurait entreprise, pourrait établir une espèce de Conseil des personnes suivantes. Un Chef ou Pr
és, ne leur permettraient pas de souhaiter des Spectacles d’une autre espèce  ; et quand, dans un âge plus avancé, ils liraient
79 (1733) Traité contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE TRAITÉ. CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 247-261
eut-être jamais vu. « Tertullien, dit-il, montre l’origine de chaque espèce de jeux ; et parlant de ceux du cirque en particu
ux-mêmes, qui étaient à l’orchestre, faisaient paraître de là quelque espèce de mouchoir pour faire commencer le combat. Marti
80 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 36-74
ir produit le même effet. L’admiration & l’amour jettent dans une espece d’extase & de stupidité ; c’est l’ordinaire e
 ; le ciel, la terre, la mer, le nil, ont fourni des animaux de toute espece , les mets y sont servis dans des plats d’or, on y
it rendre Cléopatre par une foule d’esclaves & d’eunuques de tout espece , de tout âge, de tous pays & toute couleur ;
si sine, si transparente, qu’on le voit tout à découvert. C’étoit une espece de gaze qui se fabriquoit à Sydon, à peu près com
’Ozias, feroient de belles scenes, offriroient des sentimens de toute espece , pourroient ramener toute l’Histoire Sainte, sans
ce sermon & se l’appliquât. Voici quelques allusions d’une autre espece . Cloris partit si brusquement Pour un agréable
. Echauffée jusqu’à l’ébulition, il se forme une colle, ou plutôt une espece d’empoix, qui pourroit servir à colorer les coëff
81 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
n avec le théatre où ils deviennent scandaleux. Ce silence seroit une espece de tolérance qui feroit soupçonner que l’Eglise v
. Le Cardinal Passioneï a donné de nos jours des comédies d’une autre espece  ; il avoit des talens & des lumieres, mais il
e, où l’on voit qu’il a passé sa jeunesse dans des désordres de toute espece  ; qu’il se menage dans sa vieillesse, parce que s
ination la plus noire, qui ne peint que des objets terribles de toute espece , rien de plus hardi, de plus original, de plus ra
, du tendre, du naïf, du bouffon, il y a de tout en effet ; c’est une espece de Pouding, de ragoût à l’angloise, où on mêle to
ui le pardonnera à un Grand Vicaire que deux Prélats donnent pour une espece de saint, qui, par vertu, a refusé des Evêchés.
82 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
ure qu’elle est bonne ; et à force de se le figurer, on s’en fait une espèce de conviction, en vertu de laquelle on agit au pr
éterminer, mais de m’inspirer pour ces sortes de divertissements, une espece d’horreur. Suivez-moi, je vous prie. Ils m’appren
re en êtes-vous surpris : mais moi je ne m’en étonne pas, et sans une espece de miracle il falloit que cela fût ainsi. Ayant t
s y récréer avec la paix du cœur, et même, si je l’ose dire, avec une espece de bénédiction de la part du ciel. Je dis avec la
mps qui s’y consume et l’inutilité de votre vie. Je dis même avec une espece de bénédiction de la part du ciel, parce que vous
y a des récréations et des divertissements dans la vie de plus d’une espece  : il y en a d’honnêtes, sans excès et sans danger
83 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XX.  » pp. 478-479
es pensées et des occupations laborieuses, qui causent dans l'âme une espèce de lassitude qui a besoin d'être réparée. Cela su
84 (1675) Traité de la comédie « XX.  » pp. 306-308
es pensées et des occupations laborieuses, qui causent dans l'âme une espèce de lassitude qu'on a besoin de réparer. Cela suff
85 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IIbis. Autre suite du Fard. » pp. 61-89
C’est l’usage dans tout l’Orient de donner aux femmes, comme par une espece d’éloge, des raresse, de galanterie, des noms agr
cornes de bœuf ; mais les Dames firent faire ensuite de pôts de toute espece de matiere précieuse. Elles avoient raison. Une t
grande distance un grand cercle blanc embrassoit le tout. C’étoit une espece d’apothéose pour chacun. Mettre un Poëte dans ce
on style. La vivacité, la correction, la naiveté, la douceur sont une espece de coloris. Chaque Auteur a le sien, comme il a l
rend inhabiles. Cette domesticité établit l’esprit servile dans cette espece de nation plus nombreuse que celle qu’elle sert,
86 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109
isti mihi ? L’ordre de la providence fut toujours de distinguer les espèces , les sexes & les individus par des traits qui
des, de papillons, de reptiles, d’insectes, & dans leurs diverses espèces , mais dans chaque individu ; dans le plus nombreu
ne forêt, qui soient parfaitement semblables, quoique chacun dans son espèce soit composé des mêmes parties, arrangées dans le
u. C’est tromper la foi publique, c’est démentir la nature, c’est une espèce de sacrilège abominable : Mendacium fidei, mendac
commentaire latin d’un savant Jurisconsulte, où l’érudition de toute espèce est prodiguée à pure perte, on trouve l’Arrêt 42.
87 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-3
ion] ON a pu remarquer dans le nombre infini d’anecdottes de toute espece , répandues dans cet ouvrage, que tout s’éleve con
88 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VIII. Sentiment de S. Thomas. » pp. 178-198
jusqu’à la table de sa Somme, qui est bien faite, qui même en est une espèce de commentaire, au grand répertoire de Rainerius
ir, ce ravissement du chant, cet éblouissement des décorations, cette espèce d’extase où l’homme hors de lui-même, absorbé dan
 ? Ce saint Prélat parle au long, 2. P. Tom. 1. ff. 1. de différentes espèces de jeux. Il décide que les jeux de hasard sont un
osées aux yeux & aux désirs du public. Il n’y a pas jusqu’à cette espèce de lumiere magique, artistement graduée & dis
89 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Cirque. » pp. 9-43
ere. Les Acteurs estoient nommez & choisis : & il y avoit vne espece de sort qui regloit le rang & l’ordre de leur
les temps,) ou par celuy qui donnoit les Ieux. Il le donnoit auec une espece de voile blanc, que l’on deployoit en le jettant.
afoiblissoit, il estoit de sa dexterité de sauter subtilement sur vne espece de relais qui l’attendoit, & de changer ainsi
ce, qui avoit aussi son nom particulierPileatio.. On leur donnoit une espece de chapeau, pour marque de leur pleine liberté. L
90 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouvrage intitulé : Des Comédiens et du Clergé, et sur les charlataneries littéraires, politiques et religieuses. » pp. 52-86
issonances choquantes, qu’on pourrait en quelque sorte comparer à une espèce de hurlement et d’aboiement, d’autant plus remarq
révoyants et assez faibles pour se laisser mener et subjuguer par ces espèces de coteries religieuses qui sont autant de foyers
ice. Il est encore un autre genre d’espionnage très étendu. C’est une espèce de commérage sous la direction de confesseurs cur
exemples ! Les principaux séides de ce Vieux de la montagne sont des espèces d’envoyés extraordinaires accrédités en divers pa
91 (1685) Dixiéme sermon. Troisiéme obstacle du salut. Les spectacles publiques [Pharaon reprouvé] « La volonté patiente de Dieu envers Pharaon rebelle. Dixiéme sermon. » pp. 286-325
memoire l’histoire de tous les siecles passés, il veut encore par une espece de magie que la comedie a inventée, tirer les mor
ens aux Idolatres, & la comedie au Paganisme, pour s’en faire une espece de religion. Ce n’est point ma pensée, c’est cell
ins à des idoles de bois & de pierre : de même la comedie est une espece de religion payenne, par laquelle on rend aussi l
. L’on peut dire aussi que celuy qui assiste à la comedie, commet une espece d’idolatrie, parce qu’il se rend coupable par sa
fane aux yeux ; examinons la comedie dans son fond, & faisons une espece de dissection anathomique de sa nature, de ses ci
tatur, la divinité parmy vous dépend du jugement humain, elle est une espece de present qui vient de la liberalité des Consuls
luy adresse des prieres & des vœux : de même la comedie étant une espece d’apotheose, ou de canonization de ces illustres
uné, dont le Poëte fait le Heros de la piece, qu’il resuscite par une espece de negromantie, & auquel il fait rendre plus
plusieurs à leur imitation : d’où il arrive que cét exemple forme une espece de loy dans une ville, l’Artisan & le Bourgeo
92 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXI. Si les Comédiens épurent les mœurs. Des bienséances qu’ils prétendent avoir introduites sur le Théatre » pp. 86-103
ment, & qui allument des passions dangéreuses. Elles sont de deux espèces . Celles qui roulent sur des expressions convenabl
las d’aimer. C’est ainsi qu’on viole les bienséances de la premiere espèce . Cléopatre repond : « venez à moi, mon cher Solda
93 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Henri IV. » pp. 121-168
ri ou la Réduction de Paris, en prose, mêlé de vers & d’ariettes, espece de poëme nouvelle aux Italiens. Ce Théatre n’est
e les personnes qui liront son drame, de lire aussi sa dissertation : espece de portique en ce genre, à l’exemple de Fontenell
ucoup de génie & de fécondité pour ce tableau musical : c’est une espece de pantomime pour l’oreille qui a fort bien réuss
. Dans toute la Gascogne le peuple agit & parle comme lui ; cette espece de bons mots y naît comme les oranges en Provence
sieur Querlon, homme d’esprit & de goût : On ne concevroit pas l’ espece d’un drame lyrique en prose, si l’on ne savoit qu
ues dont on le rend témoin, & dont on veut qu’il s’occupe ; 3°. l’ espece de conseil de guerre, qu’il tient d’abord tout se
ses, &c. Personne qui, dans son état, ne forme de projet de toute espece  : mais les rêves d’un homme de bien, comme ceux d
lque chose de fort ingénieux & de fort glorieux à Henri, dans une espece d’antithese. Toi, qui sus enfin sans foiblesse,
94 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre dernier. Conclusion. » pp. 345-347
os communs & populaires, puisqu’on n’en voit presque que de cette espèce . Mais je n’ai point négligé de rappeller très-sou
95 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
ses & des gens vertueux, crut autant s’immortaliser en fesant une espèce d’Opéra Bouffon qu’en écrivant ces ouvrages qui c
des gens de la lie du peuple ; & les siens sont aussi de la même espèce . Il se ressentira toujours de son origine, malgré
n établissement qu’on s’apperçoit de la faiblesse de nos Muses, d’une espèce de létargie sur le Parnasse ? Soiez-en sûrs, vous
96 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [B] » pp. 380-390
rtrait ; non le portrait d’un seul homme, comme la Satyre, mais d’une espèce d’hommes répandus dans la Société, dont les trait
& auquel les honnêtes-gens ne peuvent rire sans rougir ; ni cette espèce de travestissement, où le Parodiste se traîne apr
il se connaît lui-même. La politesse gaze les vices ; mais c’est une espèce de draperie légère, à travers laquelle l’œil clai
97 (1666) De l’éducation chrétienne des enfants « V. AVIS. Touchant les Comédies. » pp. 203-229
nsonge : et tout ce qui tient de la fiction passe devant lui pour une espèce d’adultère. » Ceux qui renoncent au monde, et qui
que si selon S. Paul, l’attachement que l’on a aux richesses est une espèce d’idolâtrie ; celui que l’on a au plaisir en est
e Dieu. sans doute ce qui a fait dire à Salvien, que c’est comme une espèce d’apostasie de la foi, et une prévarication morte
98 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
elquefois lorsqu’il est joyeux des accens qui ressemblent assez à des espèces d’airs notés. Tient-il deux petits bâtons, ou que
ns, ou quelque autre jouet, il les frappe en cadence, il en forme une espèce d’harmonie. La musique est donc très-peu de chose
vœux vers le ciel, ils poussaient des cris confus, dont résultait une espèce de chant. Le père de famille, ou le chef de la so
loin que les Grecs cette vénération outrée. Ils ne savaient de quelle espèce de louanges combler la musique ; lorsqu’il fallai
cette Histoire était vraie, elle nous apprendrait la raison de cette espèce d’anthipatie que les Mahométans ont contre la mus
de nos jours. Si cet Ecrivain s’est trompé, s’il lui est échappé une espèce de blasphème musical, c’est à son siècle qu’on do
99 (1845) Des spectacles ou des représentations scéniques [Moechialogie, I, II, 7] pp. 246-276
n un mot, ils ont considéré la fréquentation des spectacles comme une espèce d’apostasie, parce que, disent-ils, une telle act
équenter des spectacles notablement obscènes ? Et puis encore, dans l’ espèce , est-ce que tout le monde n’est pas plus ou moins
l’opinion d’un grand nombre d’autres, donnent pour raison que, dans l’ espèce , cette simple assistance n’est point une grave co
iens et les bateleurs, et, sans aucune distinction, tous ceux de même espèce qui montent sur le théâtre pour le divertissement
100 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE IV. Spectacles singuliers. » pp. 106-127
usage, appellé les grandes ou les petites diableries, On jouoit cette espece de tragédie à deux ou à quatre personnages, d’où
sur l’olimpe pour les plans proposés. Il en est sans nombre, de toute espece , dans tous les goûts. L’Italie, l’Allemagne, l’An
s, si l’on en a, ou secs ou boucanés, qu’on a conservé exprès par cet espece d’embaumement, en disant : Voilà les membres d’un
ouanges du Saint. Ces chaires ne sont pas comme les notres : c’est un espece de thrône. On y monte par une grande estrade de d
/ 377