essentiels, asservis de fait, ne jouissant que très-illusoirement des
droits
de citoyen et des bienfaits de la liberté, ils s’
curité la plus essentielle au bien-être ; il en résulte que, libre de
droit
, il est de fait l’esclave d’un homme, même sans v
tes influences, et rend illusoire par conséquent la jouissance de ses
droits
. Que nous importe, en effet, que nous sert ce plu
porte, en effet, que nous sert ce plus précieux don de la liberté, le
droit
de vote et de suffrage, le droit de contribuer à
plus précieux don de la liberté, le droit de vote et de suffrage, le
droit
de contribuer à l’élection de nos législateurs, d
société veut qu’à l’âge de raison tous ses membres jouissent de leurs
droits
en toute plénitude, ou ne soient soumis qu’à l’em
mancipé de quelques jours, qui, par abus de pouvoirs, le prive de ses
droits
, lui rend la vie insupportable !… J’entends ses p
ne puissent manquer sans châtiment. Alors nous pourrons participer au
droit
commun, et notre patrie cessera d’être pour nous
efs dignes de juger et conduire leurs semblables, dont ils pèsent les
droits
avec impartialité, et dont ils ménagent avec atte
CHAPITRE VI.Des Comédiens français rétablis dans leurs
droits
civils et religieux, à raison de leur profession,
nements, ils rentrèrent sans opposition dans l’exercice de tous leurs
droits
civils, de la part des autorités séculières, et d
roits civils, de la part des autorités séculières, et dans tous leurs
droits
religieux de la part de l’autorité ecclésiastique
Ce soin en effet les regardait, parce qu’au prince seul appartient le
droit
d’établir et de maintenir la discipline civile, e
es et aux évêques à s’y conformer et y obéir. En lisant l’histoire du
droit
canonique, au chapitre de la puissance des rois,
e, qui, étant protecteur des saints canons et décrets des conciles, a
droit
de veiller sur les mœurs des ecclésiastiques, afi
êques, touchant la prohibition des danses. La première est, s’ils ont
droit
de défendre sous des peines Ecclésiastiques, qu’o
être plus légitimement employée que pour appuyer et faire observer le
droit
commun, les Evêques peuvent la défendre par leurs
sust. ordi. suscep. DD. in d. Clement. ad gloss. Et même puisque le
Droit
menace de l’excommunication ceux qui font ces act
en ces mêmes jours dont nous parlons, ne serait pas expresse dans le
Droit
,Hostiensis in c. finali de offic. Archipresb. sui
, parce que la puissance Episcopale n’est pas tellement bornée par le
Droit
commun, pour ce qui regarde les mœurs, qu’elle ne
vant, et disent, Host. cit. que la coutume qui serait contraire à ce
Droit
, serait un abus et un dérèglement manifeste, parc
parmi la cire qu’ils vendent. Et ils rapportent un Chapitre exprès du
Droit
, Cap. de raptorib. par lequel ils montrent que l
r systeme de morale. Justinien fit deux compilations qui composent le
Droit
Romain, le Code qui est le recueil des Ordonnance
t impossible ou déshonnête, les promesses du mariage sont nulles. Le
droit
civil & canonique, plus sage & plus favor
ion ou en récompense le don ou la privation de quelque bien dont il a
droit
de disposer ; il ne peut pas, à la vérité, le pri
tre de son bien ; le pere n’est pas moins maître de ce qui excede les
droits
légitimaires. Il devient étranger à cet égard. §.
e si honteuse, de si mal assortie, dictée par le libertinage, qu’on a
droit
de faire des efforts pour empêcher le déshonneur
ariage brise tous les liens de la puissance paternelle ; cependant le
droit
naturel reconnoît toujours la même puissance ; le
cependant le droit naturel reconnoît toujours la même puissance ; le
droit
civil impose des peines à ces secondes noces. Le
noît pas ces minuties bourgeoises. §. 28. Si un homme, maître de ses
droits
, séduit une honnête fille sous promesse de mariag
me dans les autres contrats, roule sur des principes fort simples ; à
droit
égal de créancier à créancier, d’acheteur à achet
ur risu tabulæ, tu missus abibis. Un objet bien essentiel, c’est le
droit
que le Prince s’arroge d’accorder seul la dispens
côtés des Bureaux de dispense, & de recette pour en percevoir les
droits
. Que seroit-ce, s’il falloit aller de Cadix à Mad
ense de la publication d’un ban ? Parmi ces empêchemens, il en est de
droit
divin comme le premier degré de parenté ; il en e
n est de droit divin comme le premier degré de parenté ; il en est de
droit
naturel, comme l’erreur, la violence ; de l’objet
; de l’objet & de la nature du mariage, comme l’impuissance ; de
droit
ecclésiastique, comme le crime, la difference de
fusé de les satisfaire par le devoir conjugal. On a chez les Turcs le
droit
d’employer cette apologie, elle est fort dans le
ni ses enfans ne seront reçus dans la famille, & n’y auront aucun
droit
. Elle ne sera qu’une même chair avec son mari, &
n’ai voulu prouver autre chose, sinon que les prêtres ne sont plus en
droit
d’anathématiser ni les comédiens, ni leur profess
citoyens, puis qu’il est citoyen lui-même et qu’il jouit de tous les
droits
civils sous la protection des lois. Tous les cito
comédiens ou non, lorsqu’ils professent la religion chrétienne, n’ont
droit
aux prières de l’église et aux honneurs sacrés, q
ésiastiques, et au mépris des lois séculières, prétendraient avoir le
droit
d’anathématiser la profession théâtrale, et refus
s’en trouve toujours quelques-uns, assez fanatiques pour se croire en
droit
d’anathématiser la profession de comédien, la rai
oi David ne dédaigna pas de danser devant l’arche, la musique aussi a
droit
à nos hommages : cette science sublime dans sa th
ent l’intolérance fanatique, qui en abandonnant la morale se croit en
droit
d’exterminer dans ce bas monde quiconque se refus
je viens de le dire. Il équivaut à une déclaration hostile contre les
droits
de tous les peuples, et dont les conséquences att
es droits de tous les peuples, et dont les conséquences attaquent les
droits
des souverains. Les philosophes déjouèrent de tou
que tous les crimes du machiavélisme sont des vertus et se croient en
droit
de les commettre sans remords, toutes les fois qu
aussi que plus les hommes sont instruits de leurs devoirs et de leurs
droits
légitimes, plus ils sont civilisés, plus ils sont
rvir l’humanité, et à l’abrutir au point de lui faire méconnaître les
droits
de la raison et étouffer en lui les inspirations
sentiellement obéissantes, et les prêtres se réservent à eux seuls le
droit
d’en régler les croyances religieuses. C’est ains
sûrement, je diviserais la question, et j’en séparerais ce qui est de
droit
, d’avec ce qui est de fait. Quoi qu’il en soit de
; il est le créateur des dangers auxquels il s’expose en violant les
droits
légitimes de chaque particulier. C’est en excitan
i par conséquent se laissent plus aisément duper et spolier ? De quel
droit
ceux-là qui condamnent le peuple à l’ignorance, v
ence est un bien commun qui appartient à tous les citoyens ; chacun a
droit
d’y prétendre selon les circonstances dans lesque
s peuples, pour les empêcher de s’éclairer sur leurs devoirs et leurs
droits
et pour les dépouiller plus facilement. Il serait
n de la jeunesse, en dirigeant celle des princes et en s’arrogeant le
droit
de donner pour ainsi dire exclusivement des confe
orte à une déclaration hostile, faite contre la liberté et contre les
droits
les plus légitimes des peuples. L’autorité tempor
ns, d’épurations, de purifications, et de circulaires destructives du
droit
d’élection et qui souvent ayant un caractère d’in
souveraine ; que ce n’est point un crime d’invoquer paisiblement les
droits
naturels des peuples, et l’observation des lois d
e, et que c’est à tort qu’on voudrait l’accuser de prétendre avoir le
droit
de disposer de la vie, et de la couronne des prin
s tous leurs grades hiérarchiques, connaissent leurs devoirs et leurs
droits
légitimes. Les lumières ne peuvent que les rendre
veur des Paroissiens contre leur Seigneur. Ils sont maintenus dans le
droit
d’examiner les mœurs de leurs filles, de juger ce
taire son approbateur, étoient seigneurs de Salenci, & avoient le
droit
de l’adjuger : celle qui passeroit la nuit dans l
Le Seigneur de Salenci a porté en preuve une comédie qui lui donne le
droit
de ce choix. Peut-il ne pas sentir, qu’en montran
x de la Rosiere, & il a intenté procès pour se faire attribuer ce
droit
. La Communauté poussée à bout s’est défendue, &am
nser aux Seigneurs de Salenci, auxquels on veut qu’il ait attribué le
droit
exclusif de choisir la Rosiere. On dit ce saint S
ce saint Seigneur de Salenci, pour insinuer qu’il a voulu en faire un
droit
seigneurial attaché à sa terre. Grossier anachron
, qu’on le demanda pour son successeur. On ne voit-là aucune trace de
droits
seigneuriaux. C’est un berger pieux & riche q
oit aucun prix ; elle ne seroit qu’une attestation de foiblesse. Quel
droit
ce Seigneur peut-il avoir à cette élection ? est-
éritiers ou à ses successeurs Intendans de Soissons ? Il en eût eu le
droit
: il donnoit quatre fois plus que le Seigneur. Le
sseurs à l’Episcopat de S. Medard ont-ils jamais prétendu en avoir le
droit
? Ils étoient trop sages pour vouloir une chose p
ivrer au hasard d’un jugement si arbitraire & si suspect. Et quel
droit
peut avoir un homme qui ne donne rien du sien, ma
ire un procès si injuste. Le premier usage que la Paroisse fit de son
droit
fut de couronner la sœur de S. Medard. Il en avoi
t-elle inspiré cette idée à son frere, & peut-être avoit-elle des
droits
qu’elle céda sur le Fief de la Rose détaché de le
ctée, & depuis ce temps-là le Salenciens ont joui paisiblement du
droit
de couronner la plus sage de leurs filles. Une ju
tance que les Salenciens attachent à leur fête, à prétendu avoir seul
droit
de choisir la Rosiere. Cet amateur du théatre, in
, & a fort bien plaidé leur cause. Du Ravisseur de nos antiques
droits
, Auguste Reine, accourez nous défendre : Vous ai
e Seigneur du lieu, ou l’Intendant de la province, ou leur prepose, a
droit
de choisir la Rosiere, d’après le rapport du Bail
Bailli ; tout cela n’a paru que bien des siécles aprês S. Medard. Le
droit
d’un Seigneur restraint à choisir d’après le rapp
bligé d’avoir la confirmation de tous les notables du village, est un
droit
chimérique, & peu honorable. Le Sieur Denré &
de la Justice, Police & Finances, & n’exercent nulle part les
droits
de Seigneur, ni ne concourent avec eux dans leurs
r, Marquis de Segur, a bien voulu y consentir, & n’a pas exigé le
droit
de choisir la fille : mais la Marquise s’est char
eux médailles d’argent de cinquante livres, que les vainqueurs auront
droit
de porter comme une croix de Malthe au côté gauch
iberté. Lorsque cette Nation, lasse d’être avilie, veut ressaisir des
droits
imprescriptibles, elle doit commencer par secouer
d il gêne la publication de la pensée en tout ce qui ne nuit point au
droit
des Citoyens. Or, comme ce droit des Citoyens est
nsée en tout ce qui ne nuit point au droit des Citoyens. Or, comme ce
droit
des Citoyens est essentiellement égal pour tous,
e en exercice. Tous ces Messieurs ont leur coin de Magistrature, leur
droit
d’inspection sur les Pièces de Théâtre, leur priv
mp; s’assurer de son appui. Ce despote, jeune alors, aidé d’un esprit
droit
& d’une forte volonté, donna, pour un moment,
probre aux yeux de tous les Peuples qui avoient alors quelque idée du
droit
politique ; mais si les Danois aujourd’hui se rap
votre objection est absurde à tous égards. Mais pour surabondance de
droit
, je vous nie maintenant ce que j’ai pû vous accor
ne époque ni d’aucune Nation. Je n’exposerois que des motifs tirés du
droit
légitime de publier sa pensée. Ce chapitre est do
t les idées qu’ils ont adoptées, qui prennent souvent l’usage pour le
droit
, & sont plus aisément persuadés par des exemp
Vous me diriez qu’ils vivoient au sein d’une démocratie ; comme si le
droit
des hommes dépendoit de la forme des Gouvernemens
droit des hommes dépendoit de la forme des Gouvernemens, comme si le
droit
des hommes n’étoit pas le même dans Athènes &
voir, en effet, que l’une & l’autre sont également fondées sur le
droit
qu’ont tous les hommes de publier leur pensée ? D
fessions ; vous tous que nous avons chargés de rendre à la France les
droits
qu’on avoit usurpés sur elle ; ces droits qui son
s de rendre à la France les droits qu’on avoit usurpés sur elle ; ces
droits
qui sont à tous les hommes, & qui ne sauroien
out ce qui n’est pas expressément défendu par les loix, est permis de
droit
. XXV. Mais, me dira-t-on, les Représentans de la
l’Ordre public où l’opinion du Magistrat fait la loi, vous violez le
droit
naturel, & le despotisme est en vigueur. Les
te une singulière logique. Eh ! les Gens de Lettres, n’ont-ils pas le
droit
de réclamer pour eux-mêmes, après avoir réclamé p
. XXIX. Il est donc démontré que les Gens de Lettres François ont des
droits
à la reconnoissance de la Nation ; mais cette rec
Gens de Lettres, sans doute, & même ces grands hommes, n’ont pas
droit
d’attendre des loix une protection particulière,
s professions que n’en auroit un Historien véritablement instruit des
droits
de l’humanité. Si des Tragédies composées dans un
avait supportés depuis trente-quatre ans. Elle n’a point rappelé ses
droits
sur la féodalité, revendiqué ses seigneuries, ses
e lui a point rendu ses tribunaux spéciaux (les officialités), ni ces
droits
considérables, qui plus d’une fois, mirent la mon
a légitimité dans la personne du souverain, a spécifié et modifié les
droits
du prince, qui se trouve, en beaucoup de circonst
roi respecte la volonté du législateur ; il s’est soumis, quant à ses
droits
, quant à son autorité, à une marche nouvelle, qui
deraient impérativement la réintégration dans leurs biens, dans leurs
droits
, dans leurs privilèges, avec d’autant plus de for
on concordera avec notre loi constitutive, et n’attentera en rien aux
droits
qu’elle consacre à l’égard de tous les citoyens.
tent dans l’Etat à ne jamais permettre au Clergé de se soustraire aux
droits
de la puissance établie par Dieu même, pour proté
nt frappés par le mandement de M. l’archevêque de Rouen, sont bien en
droit
de lui rappeler les obligations qui lui sont impo
ient point de vœu). Quoi ! parce que la nature sacrifiée a repris ses
droits
, parce qu’une fille a cédé à ses désirs & à c
le mari d’une femme infidèle, parce que les Chanoines de Lion avoient
droit
de passer la premiere nuit des noces avec les épo
justiciers de ce temps-là prétendoient sur les nouvelles mariées des
droits
plus indécens & plus sordides que ceux qu’on
du si redoutables. C’est une hérésie. Le pouvoir d’excommunier est de
droit
divin. Le Pape excommunia Vigile, comme hérétique
jamais condamné qu’à des peines canoniques, aucune puissance n’avoit
droit
sur sa vie. Il est pourtant certain que dans les
y avoit envoyé. Il fit abjuration de son hérésie. Un Pape se crut en
droit
de donner le nouveau monde, parce que les Rois &a
Un arbitre qui partage un champ entre deux plaideurs, se croit-il en
droit
de le donner ? P. 79. Grégoire VII est le premie
apes, ils avoient pu porter ces ornemens, quand ils en auroient eu le
droit
! Il disoit que le Pape devient saint dès l’insta
loges qu’on y fait de ses actions ne fissent penser que les Papes ont
droit
de déposer les Rois ; mais les Parlemens n’ont ja
; méprisable peut quelquefois devenir un bien ; le peuple reprend ses
droits
& ses franchises, qui ne sont que trop souven
s Rois, quand leur foiblesse le lui permet, ne fait que reprendre ses
droits
& ses franchises, & même en le déposant,
Auteur très-républicain est-il conséquent ? le peuple a-t-il plus de
droit
sur les Rois que l’Eglise ? Si les Rois ne sont s
soumis qu’à Dieu, le sont-ils à leurs sujets, les sujets ont ils des
droits
& des franchises à reprendre ? Ne voit-il pas
lité. S’il est des cas où le peuple devienne libre & reprenne ses
droits
, qui peut empêcher le Pape de le déclarer ? On ne
? On ne peut donc combattre ce systême ultramontain qu’en refusant ce
droit
au peuple dans tous les cas. Alors le Pape ne peu
u d’honneur aux Curés. Ceux de Paris sont trop sages. Un Curé n’a pas
droit
d’excommuniet, la menace seroit très-répréhensibl
& plus nombreuses, & pourvu qu’elles soient approuvées, on a
droit
de s’y enrôler. Qui l’ignore ? L’Auteur a cru div
omédien), & qui font la plus grande & la plus belle partie du
droit
canonique, sont des oracles de raison & d’équ
it contre elle Boniface VIII, & révoqua les bulles contraires aux
droits
du Roi : révocation dont tous les savans font usa
u Roi : révocation dont tous les savans font usage pour maintenir ses
droits
. Il porta ses Clémentines en France qu’il n’a jam
tôt la France qui a fait naître la chicane Romaine. Quiconque a lu le
Droit
canonique sait que la plus grande partie des Décr
ons sur les proces de France. Mais où l’Auteur a-t-il pu apprendre le
Droit
? Est-ce dans son Régiment à Strasbourg, dans son
quement tous ces effets. Cette flétrissure civile, que la loi seule a
droit
d’ordonner, et le Magistrat de prononcer, est que
t trop chaste pour nous permettre d’appeler ce métier par son nom. Le
droit
canonique n’est pas moins précis que le droit civ
métier par son nom. Le droit canonique n’est pas moins précis que le
droit
civil, non seulement parce que l’Eglise regarde c
maculis aspergi. » (Caus. 4. Q. 1. C. 1. defimimus.) L’un et l’autre
droit
admet toutes les suites de ce châtiment. Nous le
roit admet toutes les suites de ce châtiment. Nous le verrons pour le
droit
canon dans le chapitre suivant, nous l’allons voi
on dans le chapitre suivant, nous l’allons voir dans celui-ci pour le
droit
civil. Cette infamie est si ancienne, si connue e
em patris, inter Mimos se sociaverit. » (Novell. 115. C. 3.) L’ancien
droit
antérieur aux nouvelles de Justinien ne leur étai
æredare quæ vitam meretriciam ducit. » Le père, dans ces occasions, a
droit
de chasser son fils de sa maison. Une fille qui s
to] Liv. 8. sect. 2. n. 52.) qui croie qu’en France on ne suit pas le
droit
Romain sur l’exhérédation des Comédiens, quoiqu’i
e de pareils héritages. Des pères de cet état, fort peu instruits des
droits
que la loi leur donne, fort peu sensibles à un dé
Mais la loi n’en existe pas moins, les parents n’en ont pas moins le
droit
, la tache de l’infamie n’est pas moins certaine,
. N’ayant pu réussir, il le déshérita, comme la loi lui en donnait le
droit
. Dieu fit à ce père infortuné une terrible justic
effet. Comme on peut déshériter un enfant qui se fait Comédien, on a
droit
de répudier une femme qui se livre au théâtre, qu
publique ? La laissant dans la nécessité de pécher, il renonce à ses
droits
, se rend complice, et ne peut se plaindre : « Mim
aison une Actrice séduite (si quelqu’une pouvait l’être) n’aurait pas
droit
de se plaindre de son séducteur, de l’obliger à l
folies : l’idée même pouvait-elle en venir ? Les Comédiens n’ont pas
droit
de bourgeoisie et ne sont pas mis au rang des cit
t. Les Préteurs et les Ediles, chargés des lois des théâtres, avaient
droit
, ainsi que les Consuls et tous les autres Magistr
vérités qui intéressent la nation entiere, et l’éclaireroient sur ses
droits
; on n’ose y débiter que des leçons d’une morale
njuste préjugé11. L’assemblée nationale a reconnu la justice de leurs
droits
, et ils ont obtenu le décret qu’ils desiroient. O
sant agir une autorité absolue, arbitraire, et absolument opposée aux
droits
de la propriéte. Le comité de constitution a rend
uestions principales : 1°. Tous les hommes ont-ils indistinctement le
droit
d’élever un théâtre ? 2°. Peut-on prescrire aux e
sur le théâtre ? §. I. Tous les hommes ont-ils, indistinctement, le
droit
d’établir un théâtre ? Je ne conçois pas qu’u
éâtre ? Je ne conçois pas qu’un homme qui a lu la déclaration des
droits
, quelque pénétré qu’il soit de la rouille des pré
préjugés, puisse être pour la négative. Tous les hommes sont égaux en
droits
. Ainsi tout privilége exclusif ne sçauroit existe
çauroit exister, puisqu’il priveroit absolument tous les citoyens des
droits
qu’il attribueroit à un petit nombre de citoyens.
homme peut élever un théâtre, tous les autres hommes ont donc le même
droit
. Ces principes ne sçauroient être contestés par
principes, il demeurera démontré que tous les hommes, étant égaux en
droits
, ont celui d’élever un théâtre, comme d’élever un
ra si un troisieme demandeur, un quatrieme, un cinquieme n’ont pas un
droit
égal à la concurrence ? La prudence du magistrat.
qui en empêchera la multiplicité. Ils pourront se multiplier par le
droit
; mais le nombre en sera toujours borné par le fa
d’un lieu particulier19. Tout entrepreneur de spectacle doit avoir le
droit
de l’établir quand il lui plaîra, et où il lui pl
débiteurs comme une hypotheque. La nation ne peut pas abandonner ses
droits
et sa propriété, parce que quelques particuliers
ournal et à la Chronique de Paris. L’article XI de la Déclaration des
droits
ne prononce-t-il pas que tout homme est libre de
censure existoit pour la représentation, l’auteur auroit toujours le
droit
de faire imprimer sa piece. On sait combien le pe
nse, A qui le seul amour dicte l’obéissance ; Qui laisse tous ses
droits
à son pere asservis, Sûre qu’il veut toujours le
à laquelle il seroit permis de les approcher. Ils ont encore moins de
droit
de solliciter la destruction de ce charmant spect
a, ce spectacle si magnifique, qui attire les étrangers, se croira en
droit
de le prendre, les comédiens Italiens aussi : nou
. Toutes les pieces étoient jugées par le peuple. L’Archonte avoit le
droit
de les admettre au concours ; c’est-à-dire, qu’il
changemens que l’auteur fit à leur gré malgré lui. Ils s’arrogent le
droit
de correction. Si Moliere revenoit à la tête de c
t des démêlés très-vifs, & même des procès sur l’étendue de leurs
droits
: il a fallu des arrêts pour fixer les frontieres
e à l’âge où je vous vois, sans tous être permis quelque essai de vos
droits
: J’aime votre embarras. Pourquoi vous en défendr
ions. La sienne est de braver la sagesse incommode, & chacun a le
droit
d’être heureux à sa mode. Rosalie est encore un e
econnoître ont jetté les hauts cris, jusqu’aux comédiens, gens peu en
droit
de se plaindre de la censure, & depuis long-t
ar le petit nombre de places libres, & prive les auteurs de leurs
droits
: enfin le tribunal est plein d’abus. L’humiliati
la jouer mal, quand l’autorité la leur faire jouer. L’auteur étoit en
droit
de porter ses plaintes ; mais il s’est contenté d
, contre les Comédiens. Il s’est élevé un Tribunal qui s’arroge le
droit
de juger les Auteurs & leurs Ouvrages, qui ou
page littéraire, où le génie, le patriotisme & la vertu ont seuls
droit
de prendre place, c’est la Troupe de Comédiens Fr
mp; reçue le 8 Août 1773. Lorsqu’un Auteur a une piece reçue, il a le
droit
d’exiger la lecture d’une seconde. Ce droit est f
une piece reçue, il a le droit d’exiger la lecture d’une seconde. Ce
droit
est fondé sur un usage très-ancien, & sur l’i
re lui une délibération de cette espèce ? Quelle réparation est-il en
droit
d’exiger ? Existe-t-il quelques réglemens qui dét
n droit d’exiger ? Existe-t-il quelques réglemens qui déterminent les
droits
des Auteurs dramatique. Le Conseil soussigné, qui
un dix-huitieme pour celles en un , art. 56. L’Auteur conservera ses
droits
sur sa piece, jusqu’à ce que la recette soit deux
pieces qu’ils ont reçues : 2° Que les Auteurs ont sur leurs piece un
droit
pécuniaire & utile, qui les met en quelque so
ece reçue ne sera pas jouée. Par-là le contrat est anéanti, & les
droits
du sieur Mercier lui sont enlevés. La loi qui vei
ce, exclure du Théatre un Ecrivain dramatique, c’est donc blesser des
droits
infiniment respectables. Ajoutons que c’est atten
ui touche à l’honneur n’est indifférent. Le sieur Mercier est donc en
droit
de recourir aux Tribunaux, de demander la radiati
omédiens envers le sieur Mercier, l’infraction la plus solemnelle aux
droits
d’un citoyen & à des réglemens enregistrés, &
es ont acheté les complaisances des Comédiens par un abandon de leurs
droits
, qui n’a d’exemple qu’en France. Ils ont eu la fo
trop voisine du ridicule. Les femmes qui parmi vous auroient plus de
droits
de s’exagérer la délicatesse morale, ne s’étoient
oliere. Qui a porté cet étrange décret ? Quelle autorité auroit eu le
droit
de nous donner ces nouvelles entraves ! Quoi ! Mo
ne pas avoir l’idée de toute leur valeur ? Envain, pour s’arroger des
droits
imaginaires, cette Troupe réclameroit-elle ses us
ipuler leurs intérêts & pour y veiller à la conservation de leurs
droits
. On sait combien ces droits ont été sacrifiés par
pour y veiller à la conservation de leurs droits. On sait combien ces
droits
ont été sacrifiés par les Comédiens, & qu’ell
ssaire ? Quoi ! des Comédiens, par humeur ou par caprice, auroient le
droit
de se montrer rebelles à l’institution du Théatre
sans violer le respect dû à l’Autorité. Le sieur Palissot est donc en
droit
de présenter sa requête à la Cour, & d’y conc
é à-peu-près le choix des Comédiens : & ceux-ci se sont arrogé le
droit
de recevoir les piéces ; ils ne les admettent que
oi leur goût n’est-il pas le sien ? Le public n’a pas même reclamé un
droit
, qui dans les mains des Comédiens, est la source
usurpations des Acteurs, & par l’abus qu’ils font de nos propres
droits
contre nous-mêmes, ce levain parviendra enfin à t
ges sur les autres classes de la société, quant à la noblesse ; Leurs
droits
à exercer leur profession, sans que le clergé soi
les prêtres qui s’en écartent. Sa personne est sacrée, et nul n’a le
droit
d’y attenter, sans encourir les anathèmes prononc
e guide aux autorités constituées du royaume, en ce qui regarde leurs
droits
comme déléguées du prince, et conduira à leur ins
ence, pour veiller à ce que chacun fasse son devoir et jouisse de ses
droits
. Les ministres des autels qui affichent l’indépen
volontés du prince, qui cherchent continuellement à empiéter sur les
droits
des souverains et qui font tous leurs efforts pou
légitime. Elle a enfin poussé la barbarie, jusqu’à prétendre avoir le
droit
de relever les peuples du serment de fidélité env
d’asservir les ministres d’Etat auxquels elle s’arroge insolemment le
droit
d’accorder sa protection. Elle veut enfin asservi
qui, sous ce rapport, sont entièrement indépendants des religions. Le
droit
naturel est en effet bien distinct du droit divin
endants des religions. Le droit naturel est en effet bien distinct du
droit
divin. Où en serions-nous, si les prêtres devenan
prêtres. L’ordre actuellement établi ne blesse en aucune manière les
droits
de la puissance ecclésiastique ; car cet ordre, p
gloire de Dieu. M. de Sénancourt, mon implacable adversaire, et j’ai
droit
de le considérer ainsi, essaiera peut-être de pro
ai entrepris de défendre. Ceux-ci en leur qualité de citoyens, ont un
droit
incontestable à la protection du prince, et ses a
arantir des entreprises du fanatisme et les faire jouir de tous leurs
droits
. Il a été déjà démontré que les comédiens du troi
s par les souverains et par les papes, aucun prêtre en France, n’a le
droit
de son autorité privée, d’anathématiser et d’exco
s anciennes et nouvelles qui les concernent, le clergé n’est point en
droit
, dans aucun cas, d’exiger d’un acteur l’abjuratio
ue, et romaine, est la religion de l’Etat. » L’Eglise n’a donc aucun
droit
de faire invasion dans l’Etat, car c’est par la v
o, se permettent-ils d’abuser d’un crédit qu’ils usurpèrent ? De quel
droit
, suivant leur caprice, refusent-ils la sépulture
ont point soumis à l’autorité ecclésiastique. Aucune puissance n’a le
droit
de contrarier leur législation et leurs instituti
tat. Nulle autorité, hors de notre gouvernement, n’a le pouvoir ni le
droit
de blâmer, d’infirmer, de condamner ce qui a été
s, aucune puissance ecclésiastique, telle qu’elle puisse être, n’a de
droits
à exercer sur la profession de comédien. En frapp
des Comédiens. On n’a pas besoin de l’excommunication pour être en
droit
, pour être même obligé de refuser les sacrements
ut-il qu’elle soit publique et notoire, d’une notoriété de fait ou de
droit
, constatée par des actes publics, et par quels ac
», selon l’expression de la loi. C’est même une sorte de notoriété de
droit
: un état public toléré par le Magistrat, objet d
bliques, se livrant au premier venu, elles se dénoncent de fait et de
droit
notoirement pécheresses publiques, et dès lors do
ire des effets civils, privation des bénéfices, incapacité d’ester en
droit
, etc. Il est dans l’ordre que son exécution porte
Comédiens auraient tort d’exiger une sentence qui fît la notoriété de
droit
. Aussi ne se sont-ils jamais retranchés là-dessus
’il est bon de rapporter, qui a passé dans toutes les compilations du
droit
canonique, comme une loi générale et constante de
brevet non enregistré, ils n’étaient pas personnes capables d’ester à
droit
et de faire des poursuites légales (comme M. l’Av
ent connu le noble désintéressement des Comédiens ; ils ont acheté le
droit
de faire des dialogues. Petite pluie abat grand v
e payer aussi. Pour éluder cette idée de chansons, et ne pas payer de
droits
à l’Opéra, ils se sont avisés de faire descendre,
des profits de leur métier. Il répond que sans doute elle est due de
droit
commun, puisque chacun la doit de son industrie,
ciscain flamand du 15e siècle. q. [NDE] réduits au silence, terme de
droit
.
ur du monde les a déchargées des preuves auxquelles les maris avaient
droit
dans le Judaïsme, contre celles qui n’avaient pas
portées contre eux par la même loi ; et qui n’allaient qu’à perdre le
droit
de pouvoir répudier leur femme, et à payer une am
la moitié du monde ? Un troisième bienfait est l’affranchissement du
droit
que les hommes s’étaient acquis par une condescen
le l’appelle le Libelle de répudiation ; et il a entièrement aboli ce
droit
, en assujettissant les hommes à l’indissolubilité
ujourd’hui tant d’esprit pour les Sciences, et principalement pour le
droit
, que bien des gens, et même leurs maris, jugent q
t la gloire et l’exemple. Ora pro devoto fœmineo Sexu. a. Terme de
droit
canonique. L'empêchement dirimant est un obstacle
ien n’admet donc point le rigorisme injuste et non fondé qu’on est en
droit
de reprocher à quelques prêtres fanatiques et ign
essives, cette secte impie et régicide, accorde encore aux prêtres le
droit
d’employer des anathèmes et des excommunications
s, non seulement la morale chrétienne et évangélique, mais encore les
droits
les plus sacrés de la légitimité. Les mesures fix
l des autres citoyens et comme ayant, aux mêmes conditions, les mêmes
droits
aux prières et aux honneurs de l’église. On doit
éloge, mais non pas celui de l’état auquel tout le monde se croit en
droit
d’en faire l’application. On joue jusqu’au goût d
ns que tout le reste la gravité et la modestie ? Tout le monde est en
droit
de les méconnaître. Débarrassés de la gênante déc
l d’être moins vertueux que ceux qu’ils corrigent, et n’aurait-on pas
droit
de leur dire avec Jésus-Christ, « Medice, cura te
ndifférente. Etienne Forcadel, natif de Béziers, disputa la chaire de
droit
à Toulouse avec le fameux Cujas, et l’emporta sur
il paraît par ses ouvrages, où l’on trouve une grande connaissance du
droit
, beaucoup d’érudition et de subtilité. C’était un
l donne à ses traités, sont bizarres et comiques. L’un, la Volière du
Droit
. Il y traite de tout ce qui regarde les oiseaux,
es à quatre pieds, relativement aux lois. L’autre, le Garde-manger du
Droit
, où l’on trouve toute la matière des aliments et
ù l’on se répand sur toute la nature. Un quatrième, la Nécromancie du
Droit
, en dialogues aussi, où après avoir discuté ce qu
e du Droit, en dialogues aussi, où après avoir discuté ce qui dans le
droit
peut avoir rapport à la sorcellerie, il examine l
e digne d’un Gentilhomme est sûrement honorable, je serais presque en
droit
de dire qu’elle est respectable. Mais où votre Av
fameux Roscius, cet Histrion si vanté, ne put convaincre le Sénat du
droit
qu’il voulait se donner de Citoyen Romain. Cicéro
ius accusait Roscius de l’avoir trompé. Jamais il n’y est question du
droit
de Bourgeoisie Romaine. Mais Cicéron se sert en p
os Tragédies mêmes, surtout les modernes, qui semblent être seules en
droit
d’attirer la foule, et d’être applaudies avec fur
t, a contracté des dettes considérables, la loi met ses créanciers en
droit
de saisir tous ses biens, et quelquefois même sa
tre reçu que par les Acteurs mêmes, à la pluralité des voix. Voilà le
droit
des Académies ; ç’a été longtemps celui des Coméd
pables d'aucunes charges de l'Etat, et ne voulut point les priver des
droits
les plus honorables de leur Bourgeoisie. Néanmoin
ges publiques, de porter les armes sous leurs Généraux, et d'avoir le
droit
de suffrage aux Assemblées de leurs Bourgeois, et
Acteurs du Poème Dramatique ont toujours été maintenus dans tous les
droits
et les honneurs de la République Romaine, et que
remier et le plus considérable est l'Edit du Préteur qui contenait le
droit
commun du peuple Romain, et qui déclare infâmes c
l, jamais ils ne furent notés d'infamie ; ils ne perdirent point leur
droit
de suffrage dans les assemblées publiques, ni le
és des honneurs publics par les sentiments de la vertu Romaine, et du
droit
de suffrage dans les assemblées, on connut leur t
u distribuer d’autre que de celle dudit Boude, ou par ceux qui auront
droit
de lui, sous prétexte d’augmentation, correction,
unauté le 20. Décembre 1662. Et ledit Boude a cédé et transporté son
droit
de Privilège à George Soly, Marchand Libraire de
is à tâche d’éclairer les Chefs sur leur devoir, et le Peuple sur ses
droits
? La manière de représenter les hommes, au Théâtr
serait tenu d’en remplir tous les rôles sans exception et perdrait le
droit
de former aucune prétention sur l’emploi des autr
à la réputation qu’ils se sont faits. L’Entrepreneur trompé n’a aucun
droit
de réclamer contre un engagement fait de loin et
menus plaisirs. » ff Où les Bourgeois d’ailleurs prendraient-ils le
droit
de mépriser les Comédiens ? Ceux d’entre eux qui
ier de Soldat, que faisaient tous les Spartiates. L’art de tirer bien
droit
, et de tuer quelqu’un avec grâce, voilà l’unique
i de me faire honneur dans votre esprit : le moindre petit écolier de
Droit
, un Clerc de Procureur même pourrait selon vous s
vous vous érigez en Législateur de ce Tribunal. Puisque j’ai le même
droit
que vous, puisque j’ai tous les titres que vous c
caractère de ceux qui s’y livrent. Vis-à-vis d’un ennemi barbare, le
droit
de guerre autorise la barbarie par représailles :
agresseur est donc l’ennemi vis-à-vis duquel la loi doit employer ce
droit
; mais comme la perte de l’agresseur ne justifier
nt que de tirer satisfaction ; et que l’offense prouvée, il obtint le
droit
de se faire justice par un Duel. Telle serait la
r faite. L’insulte alors deviendrait publique, et l’offensé serait en
droit
de se pourvoir. Si l’offenseur ne s’en vantait pa
la proscription des Acteurs fut légitime alors, plus on établira les
droits
de ceux du temps présent à l’estime publique et à
de l’argent, se soumet à l’ignominie et aux affronts qu’on achète le
droit
de lui faire, et met publiquement sa personne en
? Qu’est-ce que l’ignominie, quels sont les affronts qu’on achète le
droit
de faire à un Comédien ? On le siffle, quand il j
nu tout aussi respectable qu’un autre, puisque le Parterre a perdu le
droit
de nous siffler. « Un Clerc pour quinze sous, s
attaquer Attila. fn La façon dont Boileau donne ici aux étourdis le
droit
de siffler les meilleures choses, est sans doute
, Titre II « De ceux qui sont notés d’infamie », 2, § 5, in Corpus de
droit
civil, ca. 530 : « celui qui montera sur un théât
s Comédiens français rétablis à raison de leur profession, dans leurs
droits
civils et religieux, et entièrement affranchis de
ste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui se croient en
droit
d’anathématiser les Comédiens morts sans les seco
g des criminels, en leur faisant subir la peine du crime, n’ont aucun
droit
à ses trésors, jusqu’à ce que la conversion la pl
omédien, ne peut s’empêcher de conclure en ces termes : « Tout est de
droit
public dans cette cause, par la qualité des parti
dans tout cet ouvrage ? Ces procès ont fait naître deux questions de
droit
importantes. 1.° Les Comédiens de province sont d
e ville, et avoir plusieurs femmes ou plusieurs maris à la fois. Quel
droit
ont-ils de se soustraire à des règles de sagesse
nfâmes et ces scandaleux commerces ? Cependant, comme tout le monde a
droit
au mariage, on le leur permet ; mais le Curé à qu
ouche, fournit une autre aventure de théâtre et une autre question de
droit
, rapportée tout au long, T. 4. Plaid. 47. de M. D
mation était impossible, sur ce principe certain dans l’un et l’autre
droit
, que le mariage subséquent ne peut légitimer des
sion alimentaire. M. l’Avocat général traite savamment la question de
droit
, et démontre ce grand principe qu’il n’y a que le
admis. Les autres, qui ne voulaient avoir égard qu’à la notoriété de
droit
, ont cherché des différences entre les Comédiens
és en l’une de ces fautes griéves auxquelles l’Excommunication est de
droit
annexée. Il est donc possible de perdre la foi en
lateur des Décrétales de Gregoire IX. distingue1 l’Excommunication de
droit
& la personelle ab homine : on encourt la pre
édiens, il prétend qu’elle est abusive, les Conciles n’ayant eu aucun
droit
d’infliger cette peine, sans être autorisés par l
dans les Prêtres le pouvoir d’instituer des jeûnes, il ne donne aucun
droit
aux Comtes d’y trouver à redire : A Sacerdotibus
l’Excommunication avec les pénitences canoniques : la premiere est de
droit
divin ; celles-ci étant de pure discipline, ont v
le Confesseur impose est souvent trop légere, pour éteindre tous les
droits
de la Justice divine : on ne le prétendoit pas mê
ître d’accorder la liberté de conscience, sans que l’Eglise ait aucun
droit
de s’y opposer. L’appel, comme d’abus, est un nou
, chacun y rencontrera le doigt d’un Homme Dieu, qui a su établir des
droits
et prescrire des devoirs ; comme homme il a senti
séculière et ses délégués faisaient en cette matière l’usage de leurs
droits
, les ministres de la religion, qui s’écartent eux
rer le triomphe de la religion. Nous lisons encore dans l’Histoire du
droit
canonique, 1 vol. in-12, pages 385 et 393, au cha
401 ; « Que cette même qualité de protecteur des saints canons donne
droit
au roi de veiller sur les mœurs des ecclésiastiqu
errompoit & faisoit descendre le Prédicateur, prétendant avoir le
droit
de le faire en qualité de Gouvernante de l’Église
u’un tissu de contradictions & de changemens. La Reine se crut en
droit
, & dans la nécessité d’en composer une, on ne
amais disputé au Pape la qualité de Chef de l’Église ; sa primauté de
droit
divin est de foi, mais ne lui donneroit pas celle
ion au trône, ni Pape, ni Évêque, ni Prêtre, que des hommes ; de quel
droit
l’Église Anglicane change-t-elle l’ordre établi p
comme Reine, ou comme Chef de son Eglise ni l’un ni l’autre n’y donne
droit
L’Empire Britannique spirituel ou temporel n’est
erre prennent aussi le titre de Roi de France, auquel ils n’ont aucun
droit
, mais ils prétendent en avoir, & ils ont quel
licane fut déponillé, chassé, tourmenté, mis à mort jusqu’à violer le
droit
naturel & le droit des gens ; elle maltraita,
hassé, tourmenté, mis à mort jusqu’à violer le droit naturel & le
droit
des gens ; elle maltraita, fit emprisonner, accus
risque aux Protestans des deux Royaumes & de Hollande qui avoient
droit
de comprer sur lui ; elle le traitoit d’ingrat, d
décapiter ? Marie Stuart, Charles I ? Ont-ils chassés Jacques II ? Le
droit
du Parlement d’Angleterre de juger, de déposer le
Duc de Norfolk ses parens, parce qu’ils auroient pû faire valoir ses
droits
; elle fit même décapiter le Duc, parce que le br
& le faire proclamer Roi, en la privant de son Royaume ? De quel
droit
attenter sur la liberté d’une Souveraine ? De que
me ? De quel droit attenter sur la liberté d’une Souveraine ? De quel
droit
la privoit-elle de ses Etats, & lui donnoit-e
eu de ses actions. On n’avoit donc aucune juridiction sur elle, aucun
droit
de l’arrêter, de lui faire le procès, de la conda
p; légitime héritier du Royaume d’Angleltrre, c’étoit reconnoître les
droits
& la souveraineté de la mère qu’il représento
présomptive d’Elisabeth n’étoit pas sa justiciable, on n’avoit aucun
droit
sur sa vie. Cet acte condamnoit encore les demand
beïssance, sans le consentement dudit Exposant, ou de ceux qui auront
droit
de luy : à peine de deux mille livres d’amande, a
1661. Tierry. Et ledit Sieur, M.M.D.P. a cedé & transporté son
droit
du present Privilege à Michel Brunet, Marchand Li
ssion expresse & par écrit, dudit Exposant, ou de ceux qui auront
droit
de lui, à peine de confiscation des Exemplaires c
ieu de Paris, & l’autre tiers audit Exposant, ou à celui qui aura
droit
de lui, & de tous dépens, dommages & inté
in de mes troubles cruels. … … … Renonçant A mon nom, à mon rang, aux
droits
de ma naissance, Inconnu, devant eux je pleurois
un abus incomparablement plus grand. Pour un père qui abusera de ses
droits
, cent & mille enfans abuseroient de leur libe
doute l’amour seul à nos parens nous lie ; leurs bienfaits sont leurs
droits
. Quelle morale ! que deviendra l’autorité d’un pè
is d’alléguer, brise tous les liens ? Si les bienfaits sont les seuls
droits
des supérieurs, qui en aura ? quel inférieur indo
i vient d’être nommé, n’en aura de long-temps, & les tyrans quels
droits
auront-ils, … Quels bienfaits de vos droits son
& les tyrans quels droits auront-ils, … Quels bienfaits de vos
droits
sont venus m’avertir ? Comme si avoir donné la
é paternelle, de toutes la plus ancienne & la plus sacrée, n’a de
droit
que les bienfaits ; l’injustice brise tous les li
; l’injustice brise tous les liens entre lui & les enfans. Quels
droits
aura donc un mari ? quels liens ne brisera-t-il p
t Censeurs nés & Reviseurs en charge des pieces foraines, avec le
droit
de retrancher tout ce qu’ils jugeront à propos. D
famille ne négligea rien pour l’en détourner ; elle le fit étudier en
Droit
; il prit des Grades ; il entra au Barreau ; il y
ré des suffrages & qu’il eut deux fois la générosité de céder ses
droits
à un autre. Il est pourtant vrai que le Roi lui d
ue à l’âge où je vous vois Sans vous être permis quelque essai de vos
droits
. J’aime votre embarras : pourquoi vous en défendr
fut des citoyens avant qu’il fut des maîtres ; Nous rentrons dans les
droits
qu’ont perdu nos ancêtres. Le Peuple fut long t
fait la Métromanie, bonne piece ; tout le reste de ses Œuvres n’a pas
droit
à l’honneur du buste. Je ne sai même si une piece
défendue par honneur pour la Robe ; elle a été rétablie dans tous ses
droits
, & représentée avec le plus grand succès. On
amais soupçonné. Le Roi de Prusse, presque le seul qui n’eut point de
droit
sur la succession de la Maison d’Autriche, en for
traires à la probité, & ne ménage point son intérêt aux dépens du
droit
naturel & du sang humain, qu’il fait ruissell
i de Pologne comme à son Seigneur souverain, & ne lui donne aucun
droit
sur le reste. Les Chevaliers Teutoniques, fondés
debourg, un des ancêtres de Frederic dont il prétend exercer tous les
droits
, fut élu Grand Maître. Il continua la guerre ; ma
ssé la Maîtrise Duché à sa famille qui prétendant avoir hérité de ses
droits
, jouit de la Prusse sans avoir d’autre titre que
Roi de Pologne forcé d’avoir un vassal séculier, fit reconnoître ses
droits
, donna l’investiture à Albert, reçut son hommage,
en Royaume. Dans divers traités avec la Pologne où elle a reconnu ses
droits
, elle lui a promis fidélité, garantie & secou
pour lui envahir ses provinces où elle n’a & n’eut jamais aucuns
droits
, où au contraire elle est obligée de défendre son
que. Elle a fait des entreprises sur Dantzick où elle n’a pas plus de
droits
; c’est un torrent débordé que rien n’arrête. Pou
je regrette cinq cens mille livres qui m’en reviendroit par an de mes
droits
. Ne vous laissez pas éblouir par le mot de justic
cclésiastiques insultés tandis qu’ils étoient masqués, n’ont pas plus
droit
de se plaindre. Lucombe, Jurisp. crim. P. 3. C. 1
folie des Saturnales (carnaval des Romains). Tout le monde y avoit le
droit
de se masquer, se permettoit tout sous le masque.
oyaume, ses Officiers Roi, Chancelier, &c. Ils ont toujours eu le
droit
d’aller couper deux arbres dans la forêt du Roi,
carade, & un reste du goût de l’ancien théatre de la Basoche. Le
Droit
canonique n’est pas plus favorable aux déguisemen
eux-mêmes. Quand on les traiteroit indignement, ils n’auroient point
droit
de se plaindre. Ils exécutent sur eux-mêmes leur
asques, défendeurs, d’autre. Disent les demandeurs que combien que de
droit
commun les Maris soient en bonne, pleine & pa
peine d’être privés de leurs privilèges, & d’être déchus de leur
droit
, action, raison & poursuite, en la bonne grac
, d’être rêveur ou fâcheux. Lesquels privilèges servent de réponse au
droit
commun des maris, parce qu’un privilege spécial d
se au droit commun des maris, parce qu’un privilege spécial déroge au
droit
général ; que les maris ont assez de temps, voire
n usage depuis tant de siècles, et qui semblent avoir acquis un juste
droit
de prescription, c’est me rendre désagréable, enn
trouver des raisons, à forger des arguments pour se maintenir en ses
droits
, et fort éloquente à plaider une cause qu’elle af
xemples ; je ne les chercherai pas loin. J’aurois, ainsi que vous, le
droit
de choisir ; mais je ne profiterai pas de cette l
ions-nous, ne peut-il pas aimer Berenice sans l’épouser ? A-t-elle le
droit
de le dérober à l’univers, dont il doit faire les
est vice d’imagination. En disant qu’on aime la vertu, acquiert-on le
droit
de blâmer tout ce qui n’est pas conforme à notre
eurs, que leurs prétentions sont le moins fondées. Crispin a moins de
droit
qu’Eraste à la succession du bon homme Geronte, a
s indifférens, puisque de votre aveu le cœur de l’homme est toujours
droit
, sur tout ce qui ne se rapporte pas personnelleme
; le Ministre connoissent mieux que nous, & dont eux-seuls ont le
droit
de faire l’application. Le but de l’art Dramatiqu
donnez pas vos maximes pour regle : laissez aux femmes vertueuses le
droit
de nous attendrir sur la scene, & de nous don
ontre cette aimable moitié du genre humain. Si j’ose ici réclamer ses
droits
, n’allez pas, je vous prie, vous imaginer que ce
itude à se faire un systême extravagant, un vieillard avoit acquis le
droit
de nous donner ses sentimens pour regle ? Devons-
s’attache à la personne. Un Orateur à Rome gratifié pour soutenir le
droit
de ses parties, par conséquent aussi peu desintér
trouvoit un Patron qui se chargeoit de défendre la légitimité de ses
droits
. Je veux bien croire que tout Orateur étoit persu
entoit un caractere injuste & vicieux, étoit toujours condamné de
droit
, il étoit sur le Theatre pour perdre sa cause. Il
ntageux dans ses effets. J’ose reclamer, en faveur de l’humanité, les
droits
qu’il a de prétendre à l’approbation de tout homm
ministre qui parle au nom même du maître de la nature ? Qui donc aura
droit
d’exciter notre sensibilité, de nous attacher for
on nom, la règle de leurs devoirs, en leur enseignant à respecter les
droits
du peuple, ils leur apprendront le grand art de r
depuis l’honora des faveurs de l’épiscopat, « ce peuple n’a point le
droit
de murmurer et de se plaindre, mais il a celui de
l de l’autorité civile, sans invoquer la terreur des peines qu’elle a
droit
d’infliger aux coupables, lui seul les ramènera t
sant, qu’ai-je fait pour être réduit à ce dernier dénuement ! et quel
droit
a donc à toutes les jouissances de la vie celui q
sacrifices qui en produisent et toute la force et tout l’éclat ? Quel
droit
aurez-vous aux récompenses d’une autre vie, si da
s ceux qui auront le courage de la fournir désormais ; avec les mêmes
droits
, peut-être, aux dignités de l’église, tous ses mi
nt au bonheur et à la prospérité de l’état. A eux seuls appartient le
droit
d’attirer l’attention du gouvernement sur un obje
à l’envi de plaisanteries barbares le triste appareil de la mort. Les
droits
les plus sacrés, les plus touchants sentiments de
surer en champ clos avec le plus méprisable ennemi, pour soutenir ses
droits
personnels, ou venger ses injures, qu’il y aurait
verrons, j’espère, Si l’on peut ainsi d’un père Méconnaître tous les
droits
. » Qu’on me dise donc ce que, dans tout ceci, l
ouvent l’auteur altier de quelque chansonnette, Au même instant prend
droit
de se croire poète. » Sans doute, il est temps
teur effrayé se plaindre avec amertume et s’écrier, que j’attente aux
droits
sacrés du génie, en rappelant indiscrètement le d
près tout, si c’est au public seul qu’appartient incontestablement le
droit
d’orner ou de flétrir leur couronne, n’est-ce pas
e individu, dans un état civilisé, fait le sacrifice de partie de ses
droits
naturels ; quand le charlatan et l’empirique n’y
que l’art dramatique méritera toute la considération à laquelle il a
droit
de prétendre, comme tous les autres arts qui ne n
ent qu’il a naturellement des idées justes, un jugement sain, un cœur
droit
et pur, que conséquemment on a doublement tort de
ible portion du fruit de leurs travaux aux auteurs vivants, contre le
droit
desquels ils ont si souvent l’habitude et l’impud
citoyen ; l’avocat est leur égide tutélaire et le vengeur né de leurs
droits
violés. De si belles prérogatives, de si hautes d
nt moins au désir de priver les accusés de toute la latitude de leurs
droits
sacrés, qu’au peu de respect et de considération
onner de ces justes égards et de cette considération, qu’ont toujours
droit
d’attendre ceux qui, revêtus d’un caractère légal
in à cette époque heureuse où nous n’y devons plus voir que des cœurs
droits
et désintéressés, que des orateurs dignes d’en po
En cela, vrais émules et non rivaux des avocats, ils auront les mêmes
droits
qu’eux à l’estime et à la confiance publique, par
e sublime qui, de tant de nations ennemies ou rivales, et que le seul
droit
de conquête avait pu réunir sous un même joug, ne
eussent été pour le jurisconsulte les seuls objets à fixer ! mais le
droit
commun de la France n’était pas pour lui moins ut
e aujourd’hui la seule raisonnable et la seule digne de fixer un cœur
droit
, un esprit éclairé, mais je le dis par le sentime
er toute sa haine, et que le comédien honnête homme, a tout autant de
droits
qu’un autre à l’estime des honnêtes gens ». Perso
ion dans les athénées, dans les écoles de médecine, ou dans celles de
droit
. A la seule conférence de Saint-Sulpice, dirigée
géographie, de chronologie, de physique, d’histoire, d’éloquence, de
droit
et de politique. « Précédé d’un essai sur la cult
enseigner, par l’organe des plus habiles professeurs, les maximes du
droit
romain et français, les règles de la logique et c
ouvernement, dans sa dernière loi sur le rétablissement des écoles de
droit
, a assimilé les élèves de ces académies à ceux de
t admis à participer au gouvernement de l’Etat, s’imaginèrent y avoir
droit
comme évêques, tandis qu’ils n’avaient obtenu que
rois, non seulement au tribunal de pénitence, mais encore d’avoir le
droit
de les citer par-devant les conciles, comme étant
s. Il aurait pu admettre ou rejeter la manière dont j’ai envisagé les
droits
des comédiens, que j’ai placés sous l’égide de l’
e du Roi, ajoute-t-il, peut faire cet heureux changement ; il en a le
droit
, & je supplie ici les personnes qui l’entoure
sauf un meilleur.) Mais le tripot Comique existe, il s’est arrogé le
droit
d’accepter ou de refuser les Piéces, cela suffit
n habet, a lieu ici plus que jamais. Néanmoins le tripot Comique a le
droit
, quoique mal acquis, d’accepter ou de refuser les
teté, à qui seroit confié l’examen des Ouvrages Dramatiques, & le
droit
de prononcer sur leur refus ou leur acceptation.
riomphe. Les Satires d’Horace par Daru (meilleures que ses Odes), ont
droit
à notre reconnaissance. L’Ovide de Saint-Ange est
comédie a bien aussi quelques soutiens vivants, dont nous serions en
droit
de nous féliciter ; mais le génie malfaisant est
mettait un ou deux ans à composer une pièce, de nature à s’assurer un
droit
éternel à nos hommages. Aujourd’hui, je n’exagère
ourreau toujours prêt à mettre de côté l’écrivain qui lui conteste le
droit
de le comprimer dans les colonnes de sa feuille c
choses et les personnes, sans s'embarrasser de leur prix et de leurs
droits
. C'est un vice dans les ouvrages d'esprit : l'une
refuse de s'y assujettir. Par un faux air de grandeur on se croit en
droit
et on se fait un mérite d'agir avec les gens libr
ommé, à qui toutes les sciences sont familieres. Religion, politique,
droit
public, morale, intérêt des Princes, histoire, ph
es uns pour les autres. Aime-t-on, respecte-t-on ce qu'on se croit en
droit
de ridiculiser ? Il est si difficile de séparer l
se croit en droit de ridiculiser ? Il est si difficile de séparer les
droits
de la place des défauts de la personne. Cette dis
-vif sur une autre piece qui avoït été reçue, & dont par un passe
droit
injuste, ils reculerent la représentation pour jo
car c’est ici comme la Daterie du Pape, où le premier impétrant a un
droit
acquis sur le bénéfice avant ceux qui n’ont reten
ce étoit légalement reçue & jouée sans correction ; elle avoit un
droit
acquis à une seconde représentation. C’est la jur
; à la Justice de Melpomene. Il a beau se plaindre & réclamer ses
droits
, le jugement est sans appel. Offense-t-on impuném
ervé à l’Auteur ou à ses héritiers, tant que la piece est jouée, ou a
droit
de l’être. Il faudroit donc aussi que le Gouverne
. Il faudroit donc aussi que le Gouvernement déclarât l’étendue de ce
droit
bien en détail, pour prévenir les procès comiques
Seigneur veut choisir la fille à son gré. Les habitans croient avoir
droit
de faire le choix, ils offrent même par accommode
Il n’a d’autre titre que la comédie du Marquis du P. qui attribue ce
droit
au Seigneur, & qui contre le sentiment de la
oit dans ses terres, les baisers, de galanterie donneroient de grands
droits
à la rose. Il dit en parlant de l’âge de Voltaire
les Comédiens sur les débris de la fortune des Auteurs, qui, dans le
droit
, sont les seuls créateurs des plaisirs que le Thé
édien à sa propre place, & les Auteurs & le public dans leurs
droits
.
er des différentes espèces d’excommunications qui sont fondées sur le
droit
naturel, que toute société doit avoir, de bannir
; et on demanderait à l’autorité spirituelle si elle prétend avoir le
droit
de lancer un anathème dont l’effet puisse produir
i serait portée par une loi canonique et qui serait encourue de plein
droit
dès que l’action est commise ; par exemple, si on
ernements, non catholiques, ne peuvent pas obtenir le privilège ni le
droit
, d’avoir aussi des vérités religieuses légales. I
u’on ne pourrait taxer, tout au plus, que de médisance ? Aurait-il le
droit
de s’en plaindre en justice ? Je ne vois pas pour
i se disputent l’honneur de privilégier les Comédiens ; l’un tire son
droit
de la place dont il veut que ce soit une prérogat
pour la quatrième, & d’y affecter & hypothéquer les revenus,
droits
& biens patrimoniaux de la ville de Paris. Sa
ites rentes seront exemptes de lettres de marques & réprésailles,
droit
d’aubaine, bâtardise, confiscation ou autres auxq
dent la direction du dessein qu’ils ont enfanté, comme un père est en
droit
de donner l’éducation à son fils. Cette cause cél
s cartes sont libres ; mais les cartes sont timbrées, & il y a un
droit
à payer sur chaque jeu avant de pouvoir s’en serv
atre toujours florissant ne craint point de suppression. 3.° Dans le
droit
de donner à jouer aux jeux de hasard. Ces jeux s
ux sont défendus en France, l’État n’en tire aucun profit. A Milan ce
droit
est affermé à l’Entrepreneur du thêatre ; deux en
eneur du thêatre ; deux entreprises fort analogues, mais afin que les
droits
impériaux ne soient point fraudés, & que le t
aveurs, sans en faire part aux pauvres. Les Loix Romaines qui font le
droit
public de l’Italie & de la Pologne, se seroie
mit au rabais le prix de leurs grâces & de leurs talens. L’ancien
droit
Romain paroît moins rigoureux, ce qu’on pourroit
s s’ils font payés, qui mérite mieux d’en profiter ? qui a le plus de
droit
de héritier innocent ou du possesseur coupable ?
nace de Loyolal. L’Eglise, dites-vous, (et l’Eglise, c’est vous) a le
droit
de faire des lois de discipline. Oui, sans doute
t de faire des lois de discipline. Oui, sans doute ; mais a-t-elle le
droit
de faire des lois absurdes ? A-t-elle le droit de
ute ; mais a-t-elle le droit de faire des lois absurdes ? A-t-elle le
droit
de faire des lois d’exception ? Quand le maître a
atisme qui voue à l’enfer, des hommes, qui comme tous les autres, ont
droit
à notre estime, quand ils se recommandent par leu
eur, dont vous m’honorez depuis plus de vingt ans, vous ont donné des
droits
inviolables sur tous les miens ; je vous en dois
la censure, par l’intérêt que tout Citoyen qui pense doit prendre aux
droits
de la Vertu & de la Vérité. J’ai tout lieu d’
r une longue expérience, que la vérité a toute seule par elle-même le
droit
de vous intéresser indépendamment de la façon don
& ingenieuse, qu’elle s’imagine mille pretextes pour appuyer son
droit
, & que dans la crainte d’être privée de ce qu
sons ; & tout ce qu’ils disoient, c’est ce que nous avons le même
droit
qu’eux de vous dire. Enfin, je ne dis pas que ç’a
s & sans replique ; voila les guides dont les voyes sont les plus
droites
, & les garants sur qui l’on peut se reposer d
de la Henriade : Je chante ce Hèros qui règna dans la France, Et par
droit
de conquête & par droit de naissance. Rappor
ce Hèros qui règna dans la France, Et par droit de conquête & par
droit
de naissance. Rapportons actuellement les prémiè
on sait bien qu’elle n’y est point intervenue. Qui vous a donc donné
droit
de recevoir M. l’Evêque de Lavaur comme Archevêqu
qui sont aujourd’hui en très grand nombre en France prétendent avoir
droit
de gouverner leur Diocèse. Mais c’est ce qui est
u théâtre, soit comme auteurs2, soit comme acteurs, et reconnaître le
droit
qu’ils ont, lorsque d’ailleurs ils sont bons cito
ombre de gens de bonne foi, et à tous les gens de mauvaise humeur, le
droit
de traiter d’infâmes la profession ou les personn
énoncé simple et naturel, dépouillé de jeu magique ! Je reconnais vos
droits
à mes hommages, et je vous les offre avec autant
On éprouve que par cette franche direction des censures, les hommes
droits
et irréprochables seraient hors d’atteinte, plus
é, épreuves qu’ils font subir aux aspirants avant de leur accorder le
droit
d’instruire et former les autres, droit qui encor
nts avant de leur accorder le droit d’instruire et former les autres,
droit
qui encore n’est que la faculté de transmettre av
ne de ses plus importantes formes de garantie, jouissent également du
droit
d’instruire et de former ou réformer, en transmet
et injustes, croira peut-être pouvoir conserver aussi aux théâtres le
droit
de poursuivre en masse de simples ridicules ; c’e
et à leur personne, puisque étant dans la dernière classe, ils n’ont
droit
à aucune prérogative, et doivent être habillés de
me le propriétaire qui a loué la maison à quelqu’une de ces femmes, a
droit
de résilier le bail et de la congédier, et il se
du sur le même fondement. On peut en conclure que les voisins sont en
droit
de faire déloger une Comédienne, et la police sur
nner à quelque troupe, ce qui heureusement n’arrive guère, n’auraient
droit
à rien, ces excès n’étant tolérés nulle part. Que
tter ; libre ou esclave, fils ou étranger, ni père ni maître n’ont ce
droit
: « Nemini liceat ancillam vel libertam invitam i
st donc vrai, aux termes de l’édit, que les Comédiens sont infâmes de
droit
; mais ne pouvant être traités comme tels dans le
e règle, que quoique l’infamie soit attachée au crime, et encourue de
droit
dès qu’il est commis, elle n’est exécutée que par
édiens, sous quelque nom qu’ils se produisent, sont atteints de plein
droit
du vice dont nous parlons, sic putat Glossa quod
rouve nullement intéressée, la tolérance n’est pas une dérogation aux
droits
du Prince, le peuple songeroit moins à la révolte
emens, il regarde ses décisions anticipées, comme un attentat sur ses
droits
, & une tentative pour soumettre son suffrage
doit les pardonner à aucun âge. Monval dit au père de Mélanie : Quel
droit
avez-vous d’ordonner son malheur ? Nul être, quel
avez-vous d’ordonner son malheur ? Nul être, quel qu’il soit, n’a ce
droit
sur un autre. Est-ce mauvaise logique, ou doctrin
proposition générale & absolue, nul être, quel qu’il soit, n’a ce
droit
sur un autre, renferme tous les êtres sans except
e, renferme tous les êtres sans exception. Dieu donc lui même n’a pas
droit
d’ordonner les adversités, la mort, l’enfer ; il
’a pas droit d’ordonner les adversités, la mort, l’enfer ; il n’a pas
droit
d’imposer des loix difficiles pour toute la vie,
am le sacrifice de son fils Isaac. Le Prince, le Magistrat, n’ont pas
droit
d’ordonner l’exil, la prison, les galeres, la mor
, décelle la mauvaise doctrine plutôt que la mauvaise dialectique. Ce
droit
, s’il est fondé, doit-il être le vôtre ? Sans dou
eroit bien-tôt une puissance inique. Elle ne seroit pas inique, si le
droit
est fondé. Il iroit loin de vous, réclameroit les
plupart des mariages seroient rompus, la plûpart des soldats auroient
droit
de déserter, la plûpart des contrats seroient ann
ieu dont on ne peut sans témérité être toute remplie. Il y a moins de
droit
que la Divinité qu’on adore à Cythere. On ne se p
une loi de l’honneur, la vengeance est un devoir ; le suicide est un
droit
à sa propre vie, qui n’est ignoré que des lâches
sur lesquels elle est fondée ; il tourne en dérision les respectables
droits
des pères sur leurs enfants, des maris sur leurs
a fait dans son Misanthrope. Alceste, dans cette pièce, est un homme
droit
, sincère, estimable, un véritable homme de bien q
eurs parents ? L’union règne-t-elle davantage dans les familles ? Les
droits
de l’amitié sont-ils mieux connus et plus respect
uient ; que vos prêtres et vos prêtresses ne jouissent pas encore des
droits
que les lois accordent au dernier citoyen. J’ouvr
omme des accidens passagers, qui ne peuvent porter atteinte, ni à ses
droits
, ni à ses décisions. On est surpris que ce public
e intérêt que celui de la justice. Le public prétend-il conserver ses
droits
en abusant ? prétend-il qu’on veuille lui plaire,
que la Nation s’opposoit elle-même à ses plaisirs, méconnoissoit ses
droits
, & ignoroit que l’économie, & une sage di
dies. C'est encore avec cette même distinction que les Conciles et le
droit
des souverains Pontifes, ont condamné la Scène de
imes et les Danses de la Scène. Et quand on a mis entre les règles du
Droit
Ecclésiastique la défense que Saint Augustin fait
ntiers à ce vénérable théologien en quoi j’ai erré ; si c’est dans le
droit
, ou dans le fait d. J’ai avancé que la comédie ét
ormulaire. Les cinq propositions sont-elles condamnables ? C’était le
droit
. Sont-elles dans le livre de Jansénius ? C’était
pere : ce qui fit naître un grand procès dramatique, pour décider du
droit
d’aînesse, semblable au procès algébrique entre L
de quelque Eléonor. Pourquoi donc ne seroit-il pas permis d’user des
droits
de la guerre, & des commodités du voisinage ?
e ne fut jamais prohibée, ni au-deçà, ni au-delà des monts : tous les
droits
d’entrée & de sortie se bornent à quelques so
ns. Les Premiers-Gentilshommes de la Chambre rentrent ainsi dans leur
droit
: ils ont le glorieux privilége d’être chargés de
blerent point leurs jeux : le temple de Thémis n’a pas de plus grands
droits
. Le Duc d’Orléans a donné un bal magnifique à la
nt absurde, on abuse de tout. Faut-il sous prétexte d’abus violer les
droits
naturels ? Qu’il le demande à ce qu’il y a de pl
La charité peut-elle être aussi dure que la haine ? C’est violer le
droit
naturel, & toutes les loix justes & saint
moins d'un concile écuménique ; mais malheureusement les Etudiants en
droit
voulurent imiter les autres, et faire leurs fêtes
t alors la jurisprudence, et avait à cœur la discipline des écoles de
droit
, où se formaient les Magistrats qui devaient un j
t expressément, sous peine d'excommunication, à tous les Etudiants en
droit
, de paraître sur le théâtre, et de faire aucune d
ouvera cette matière savamment traitée par M. de Ciron, Professeur en
droit
et Chancelier de l'Université de Toulouse (L. 3.
t trouvé bien des copies, et dont la scène eût été dans les écoles du
droit
. Autre aventure dans la même ville et dans le mêm
ayant manqué en 1761, par je ne sais quelle raison, les Etudiants en
droit
formèrent une troupe, et les Etudiants en médecin
filles qui ne s'étaient pas avisés d'être Comédiennes, se sont cru en
droit
de suivre un si brillant exemple. Cet exemple pou
?… Ces Messieurs-là aiment tout le monde : rien n’est sacré pour eux.
Droits
de l’amitié, liens du sang… faibles barrières qu’
us soumis, plus tendre que jamais. Ah ! comme alors, j’userais de mes
droits
pour lui faire sentir… Mais que dis-je la ? Ursul
cocque de Genève, dont je me soucie très-peu, son urbanité suisse, le
droit
de s’ennivrer, l’agrément de médire à son aise, &
e. Examinons-les tour-à-tour. Le Spectacle est un amusement permis de
droit
divin & de droit humain : il se trouve par-to
-à-tour. Le Spectacle est un amusement permis de droit divin & de
droit
humain : il se trouve par-tout dans la nature ; l
, le Avril 1694.Signé AUBOIN, Syndic. Et ledit Sieur * * * a cédé son
droit
au présent Privilège à Théodore Girard, Libraire
ins la mort de son Prince, lui dit : « Oui, j’accorde qu’Auguste a
droit
de conserver L’empire où sa vertu l’a seule fai
une juste conquête. » S’il est Monarque légitime et vertueux, quel
droit
, quel prétexte a-t-on pour l’assassiner ? est-ce
véritables impiétés. Pompée était le Général de la République : quel
droit
avait-on sur ses jours ? César était un Tyran : m
« Sire, quand par le fer les choses sont vidées, La justice et le
droit
sont de vaines idées. Et du même poignard pour
uvaises ou bonnes, Ne fait qu’anéantir la force des couronnes. Le
droit
des Rois consiste à ne rien épargner : La timid
vient que l’ouvrage est mauvais, « loue les Ecrivains qui vengent les
droits
de la religion et de la société contre ceux qui s
oint des nœuds que lui-même a rompus, Les Dieux qu’il outragea, les
droits
qu’il a perdus. Il nous rend nos serments lorsq
rdé si longtemps à condamner Tarquin. Tarquin nous a remis dans nos
droits
légitimes. Le bien public est né de l’excès de
en fait plutôt la condamnation : ouvrage qui lui donne encore plus de
droit
d’avoir une chaire de Professeur dans l’Académie
l, Le punir, c’est des lois devenir le rival. C’est usurper leurs
droits
; mais lorsque la licence Des mains de la justi
1773 les Comédiens sont un grand éloge de Madame Favard. Elle y avoit
droit
. Ses talens, qu’on dit prématurés, ses galanterie
uses, & apparemment ne rendit pas compte aux Fermiers de tous les
droits
qu’il avoit perçus, & qui ne sont pas dans le
Les doctes suffrages, & la brillante protection des Ecoliers de
Droit
ne dissiperent pas tous les nuages. Quelque ennem
sans doute à dessein pour faire croire qu’elle vient d’un Ecolier de
droit
. Ce libelle est appelé delibération, tenue par le
ui fait tourner la tête à ses amateurs. Qu’est-ce que des Ecoliers de
droit
qui au lieu d’étudier le Code & le Digeste po
us qu’un divertissement arbitraire. Les masques ne payent-ils pas des
droits
? On a bien érigé en charges les Coeffeurs, Parfu
ire payer les provisions, mettre un sol pour livre sur la recette des
droits
d’entrée, taxer chaque représentation, faire paye
armée ; c’en est assez, le bandeau tombe, la Réligion rentre dans ses
droits
, & ils renoncent pour toujours aux funestes p
space de Six Années. Avec défenses à tous autres qu’à ceux qui auront
droit
dudit Sieur * * * * d’imprimer, vendre, ni débite
ù il est permis à tout le monde de tuer, même celui qui est prince de
droit
, soit par succession, soit par élection, mais qui
(romain) comme à la parole de J.-C., que s’ils y résistent il est en
droit
de les punir à titre de rebelles, et que s’ils fo
taire ? l’ai-je pu, sans trahir mon devoir et ma patrie ? Pour avoir
droit
de garder le silence en cette occasion, il faudra
es méchants. D’ailleurs, le mal qu’ils m’ont fait à moi-même m’ôte le
droit
d’en dire d’eux. Il faut désormais que je leur pa
nt porté par lesdites Lettres. Et ledit S.A.D a cédé et transporté le
droit
de son Privilège du Livre intitulé Dissertation s
il s’avise de vouloir garder Luzignan ; il se ressouvient qu’il a des
droits
au Trône, & que ces droits sont un crime. Il
zignan ; il se ressouvient qu’il a des droits au Trône, & que ces
droits
sont un crime. Il connoissoit bien peu ses intér
ou sur des incidents & des passions, comme dans Rodogune, sur le
droit
d’aînesse, que Cléopatre promet de donner à l’un
convenu généralement de ne la point disputer. Mais ceux-là seuls ont
droit
de prendre le titre d’Homme à talents ; parce qu’
econd, ni du troisiéme ordre. Ainsi leur service ne leur laisse aucun
droit
au titre dont il s’agit, auquel les Valets de pie
e Noblesse ne pouvoit jouer que dans ces Piéces, & avoit seule le
droit
d’y jouer. Le Théatre étoit donc regardé à Rome c
t article ; mais si les éloges dont vous honorez ma Patrie m’ôtent le
droit
de vous en rendre, ma sincérité parlera pour moi
due vérité n’est pas si claire, ni si indifférente, que vous soyez en
droit
de l’avancer sans bonnes autorités, et je ne vois
er la doctrine que vous leur imputez ; je dis seulement qu’on n’a nul
droit
de la leur imputer, à moins qu’ils ne la reconnai
es et d’imiter les gens qu’on estime. Le cœur de l’homme est toujours
droit
sur tout ce qui ne se rapporte pas personnellemen
En donnant des pleurs à ces fictions, nous avons satisfait à tous les
droits
de l’humanité, sans avoir plus rien à mettre du n
uels elle est fondée ; comment il tourne en dérision les respectables
droits
des pères sur leurs enfants, des maris sur leurs
me nier deux choses : l’une, qu’Alceste dans cette Pièce est un homme
droit
, sincère, estimable, un véritable homme de bien ;
ncs qu’il m’en pourra coûter ; Mais pour vingt mille francs j’aurai
droit
de pester. Un Misanthrope n’a que faire d’achete
i droit de pester. Un Misanthrope n’a que faire d’acheter si cher le
droit
de pester, il n’a qu’à ouvrir les yeux ; et il n’
e pas assez l’argent pour croire avoir acquis sur ce point un nouveau
droit
par la perte d’un procès : mais il fallait faire
l’envi, de plaisanteries barbares le triste appareil de la mort. Les
droits
les plus sacrés, les plus touchants sentiments de
eraient les plus utiles à la Société. Où est le plus petit écolier de
droit
qui ne dressera pas un code d’une morale aussi pu
erselle ne se règlent pas, comme celles de justice particulière et de
droit
rigoureux, par des édits et par des lois ; ou si
er l’offensé, ce sont de véritables jeux d’enfant. Qu’un homme ait le
droit
d’accepter une réparation pour lui-même et de par
oit même pour les permettre. Non seulement il fallait leur laisser le
droit
d’accorder le champ quand ils le jugeraient à pro
à propos ; mais il était important qu’ils usassent quelquefois de ce
droit
, ne fut-ce que pour ôter au public une idée assez
t eu des cessions de pas et de rang, personnelles et indépendantes du
droit
des places, des interdictions du port des armes o
ses qui déclaraient les Acteurs infâmes, leur ôtaient le titre et les
droits
de Citoyens Romains, et mettaient les Actrices au
de l’argent, se soumet à l’ignominie et aux affronts qu’on achète le
droit
de lui faire, et met publiquement sa personne en
le n’est qu’une invention des lois sociales pour mettre à couvert les
droits
des pères et des époux, et maintenir quelque ordr
ans avoir les sentiments des autres, n’en usurpent pas moins tous les
droits
. La société des deux sexes, devenue trop commune
s ont de la cordialité, de la franchise ; ils sont presque tous bons,
droits
, justes, fidèles, braves et honnêtes gens, à leur
tre gouvernement. Il ne faut point le dissimuler, les intentions sont
droites
encore ; mais les mœurs inclinent déjà visiblemen
sans mœurs, sans respect pour la foi conjugale, sans égards pour les
droits
de la confiance et de l’amitié ! Heureux qui sait
10. [NDA] Qu'on mette, pour voir, sur la Scène Française, un homme
droit
et vertueux, mais simple et grossier, sans amour,
bserve que les Anciens tiraient volontiers leurs titres d’honneur des
droits
de la Nature, et que nous ne tirons les nôtres qu
eur des droits de la Nature, et que nous ne tirons les nôtres que des
droits
du rang. 22. [NDA] S'ils en usaient autrement d
encore assez d’être aimé, les désirs partagés ne donnent pas seuls le
droit
de les satisfaire ; il faut de plus le consenteme
usage qu’on en peut faire, et nous devons songer que les plus mauvais
droits
hors d’une place, se trouvent excellents quand on
, Titre II « De ceux qui sont notés d’infamie », 2, § 5, in Corpus de
droit
civil, ca. 530 : « Le préteur ajoute : "celui qui
férée. Malgré le vermillon, les pompons & le fard, La nature a le
droit
de triompher de l’art. Il se moque d’une Dame qu
ger les oints du Seigneur ; & loin que sa dignité lui en donne le
droit
, elle devroit le rendre plus circonspect pour ses
terrible anathême. Tout le Clergé est aussi peu ménagé. A-t-il plus
droit
de l’être ? Mais son triomphe (de l’ignorance) e
ces amours badins allons couper les aîles, Et décochons leurs traits
droit
les cœurs de ces belles. Nous ne sommes enfin maî
: Primus in orbe Deos fecit timor. Les Rois n’ont ils donc d’autre
droit
que la force ? Il parle sans doute en Prophête de
deux législateurs : chacun a fait son code, pour assurer la paix, les
droits
, la propriété, le bonheur des hommes ; & ces
seil permanent qui les décide. Ils sont jaloux dans ces assemblées du
droit
d’arrêter tout par un mot, liberum voto, & da
Prague, & envahi la Silésie ? que la Cour Impéria a bien d’autres
droits
que le Margrave de Brandebourg ? que celui qui se
irer parti de tout ; c’est à-peu-près, comme dans bien des terres, un
droit
seigneurial d’avoir une forge banale, un moulin,
omédiens & les comédiennes sont d’habiles Arbalétriers qui tirent
droit
au cœur, & ne manquent gueres leur coup. Dans
raindre l’entière décadence. Plaise au ciel que la vertu reprenne ses
droits
sur des cœurs faits pour l’aimer et la pratiquer,
la Passion, les Comédiens de l’hôtel de Bourgogne ne payerent plus le
droit
accoutumé aux maîtres & gouverneurs de la Con
leur contrat de réunion, leurs pensions, le nombre de leurs parts, le
droit
que chacun y auroit, enfin tout ce qui les intére
ires comme eux. On voit dans l’histoire, que S. Louis ayant établi un
droit
de péage à l’entrée de Paris sous le petit Châtel
istoire, devant une multitude de spectateurs qui n’auroient acheté le
droit
d’y entrer, que pour contribuer aux sommes immens
d’y entrer, que pour contribuer aux sommes immenses que produiroit ce
droit
, seroit peut-être le projet le plus beau que l’on
chacun se rassemble sans se connoître, & en achetant seulement le
droit
de s’y rendre, des gens qui ne se sont point enco
hildebert Roi de Paris, & Clotaire Roi de Soissons, d’accepter le
droit
de venir présider, comme les Empereurs, aux jeux
nève, & plus encore les Protestans en général, ne sont-ils pas en
droit
de vous adresser les mêmes plaintes ? Vous conven
forte pour le soupçonner de Socinianisme, vous ne seriez pas plus en
droit
d’imputer ce sentiment à tout le corps des Pasteu
ur quiconque fait corps à part. Les Comédiens se croiront toujours en
droit
de circonscrire le Néomime dans les bornes les pl
orderaient au Théâtre-Ephébique, il suffirait que chacun d’eux eût le
droit
d’y prendre les Sujets exercés dans son genre, so
ns et désirons le bien, profit et utilité de ladite Confrérie, et les
droits
et revenus d’icelle être par Nous accrus et augme
ns fait mettre notre scel à ces Lettres ; sauf en autres choses notre
droit
et l’autrui en toutes. Ce fut fait et donné à Par
bserve que les Anciens tiraient volontiers leurs titres d’honneur des
droits
de la nature, et que nous ne tirons les nôtres qu
eur des droits de la nature, et que nous ne tirons les nôtres que des
droits
du rang. » « LesPage 82. vieillards dans les Trag
ui le persuaderez-vous ? Et si la société se relâche elle-même de ses
droits
; si elle vous dit : j’exige moins, pour obtenir
rs nationales d’un peuple, convient à ce peuple : nul homme privé n’a
droit
de lui en demander compte. Mais toute passion qui
? « Qu’on mette, dit-il, pour voir, sur la scène Française, un homme
droit
et vertueux, mais simple et grossier… qu’on y met
, y eût-il trouvé plus de bon sens. « Le cœur de l’homme est toujours
droit
sur ce qui ne se rapporte pas personnellement à l
rcit contre les cris de la nature ; celui-là foule aux pieds tous les
droits
de l’humanité. Il n’y a pas un méchant au Théâtre
Censeur du théâtre ; l’une, qu’Alceste dans cette pièce est un homme
droit
, sincère, estimable, un véritable homme de bien ;
, ils s’attribuent à eux seuls la sagesse de délibérer ; et jaloux du
droit
de gouverner, ils n’y instruisent que leurs sembl
uite vinrent la hache et l’épée ; et dans cette manière de régler les
droits
, il est clair que les femmes n’avaient rien à pré
tutelle des lois, ne tiennent à la constitution politique que par le
droit
de propriété, et par le tribut d’obéissance ; où
u’on leur enviait. Tout ce qui n’exige qu’une raison saine, un esprit
droit
, et une sensibilité modérée, leur est donc au moi
a donné une âme comme à nous, mais plus calme, plus modérée, de quel
droit
, sur quel rapport, d’après quel examen assurez-vo
t pas assez d’être aimé : les désirs partagés ne donnent pas seuls le
droit
de les satisfaire ; il faut de plus le consenteme
la reconnaissance le captivent : la nature et le sang ont sur lui des
droits
absolus. Au lieu qu’une âme froide et légère ne t
s charmes naturels de la beauté et de la vertu, conservent tous leurs
droits
sur nos âme. M. Rousseau a donc raison de dire qu
ils sont constamment plus vicieux que nous, c’est à leur état qu’on a
droit
de s’en prendre. M. Rousseau prend la chose à reb
cle est pernicieux, tel qu’il est, ou tel qu’il peut être, il n’a pas
droit
de conclure que le métier de Comédien soit en lui
iesse "Pourquoi ne le trouverais-je pas bon ?" répondit le Duc; "on a
droit
d’être hardi quand on dit la vérité". Il dit à p
voir bon. Sous le masque spécieux du patriotisme, vous vous croyez en
droit
d’exhaler une bile odieuse, et; pour prouver que
impiétés. Voilà contre qui les Magistrats et; les Prêtres ont été en
droit
de sévir ; l’abus du nom de Comédien chez les Anc
e faire. Vous avez raison de dire que le cœur de l’homme est toujours
droit
sur ce qui ne se rapporte pas personnellement à l
le tout l’ordre de la Société… il tourne en dérision les respectables
droits
des peres sur leurs enfans, des maris sur leurs f
ur l’en laisser le juge ! Est-ce tourner en dérision les respectables
droits
des peres, que de faire voir avec quel art un fil
i fait payer ses dettes ? Est-ce tourner en dérision les respectables
droits
des maris que de montrer combien une femme est ad
tromper son époux ? Est-ce enfin tourner en dérision les respectables
droits
des maîtres que de leur enseigner comment un frip
a vérité échauffe, excite, et; transporte ; ô vous zelé défenseur des
droits
de la simple vertu, répondez : Est-ce de bonne fo
visiter les Juges, non pour les corrompre, mais pour faire valoir ses
droits
? Si tous les hommes étoient tels qu’ils doivent
en priver. N’est-il pas absurde que nous nous soyons imaginés être en
droit
de décider impérieusement qu’elles doivent être d
osé à la raison, à la justice, et; même au simple sens commun, que le
droit
que nous nous sommes arrogés d’ériger en gentille
que d’ailleurs les choses de mœurs ne se réglent pas comme celles de
droit
rigoureux, par des Édits et; des Loix. A vous en
é des mœurs ne peut être réglé par des Édits, comme ce qui regarde le
droit
rigoureux ; mais au défaut des Édits qui seroient
utes les assemblées pour prévenir les disputes d’emploi. Il auroit le
droit
de prononcer et; de mettre à l’amende celui ou ce
argent, et; se soumet à l’ignominie et; aux affronts qu’on achette le
droit
de lui faire. » Je vous répondrai moi que le méti
i se soumettent aussi à l’ignominie et; aux affronts qu’on achette le
droit
de leur faire, lorsqu’après nous avoir vendu leur
aujourd’hui tous les Auteurs, et; il est si peu vrai qu’on achette le
droit
de faire des affronts aux Comédiens et; aux Poëte
ec indignation ; si, dis-je, lorsqu’elle brave ainsi les respectables
droits
de la bienséance, elle n’étoit payée de toutes se
Votre République subsiste à l’abri de la justice, de la bonne foi, du
droit
des gens, elle subsiste en un mot, telle qu’elle
c l’estime des Spectateurs. Quoi donc ! un Auteur s’interdira-t-il le
droit
de traiter une matiere si intéressante pour l’hum
. On peut donc dire que la Comédie n’a eu jusqu’ici parmi nous que le
droit
de se saisir de quelques défauts particuliers de
’ouverture de la Scène ? Ceux des spectateurs qui n’ont pas les mêmes
droits
, mais qui ne savent pas moins ce qui se passe dan
’avantage à tromper les yeux ; nous n’en aurons pas moins toujours le
droit
de nous plaindre de cet abus. Nous n’exigeons poi
’Evêque de Rome est notre chef, tous les Prélats du monde qui sont de
droit
divin, sont toutefois soumis à ce Pontife Œcuméni
votre Avocat l’insinue, elle emporte une vraie Jurisdiction & le
droit
de proposer le dogme, de convoquer les Conciles,
& ne peuvent devenir légitimes de la part d’aucune Puissance, les
droits
qu’y a l’humanité sont imprescriptibles. Aussi le
e eût détruit un Peuple libre, & sur lequel elle n’avait point de
droits
, on dansait dans les cours du Temple la Mitote ;
entinien et des autres furent faites ; et ce Canon est inséré dans le
Droit
. « Que celui-là soit excommunié, et retranché de
oisième Concile de Tolède, au dernier chapitre rapporté aussi dans le
Droit
, parle encore fortement sur ce sujet. « Il faut ,
ouvernement, est prendre le ton du siècle. Je crois y avoir autant de
droit
que ceux qui ont écrit sur les monnaies, les fina
r plus respecté au théâtre que S. Augustin, qu’on y méprise. On prend
droit
, pour le mieux confondre, des traits que la vérit
intriguant, & rejetter les sages conseils d’un homme simple &
droit
: j’y découvre, qu’on ne peut jamais violer impun
d’époux, de père, de membre de l’Etat… Jeune insensé ! quels sont tes
droits
? qu’as-tu fait ? que feras-tu ? peut-être un jou
onnant des pleurs a des fictions, on croit avoir satisfait à tous les
droits
de l’humanité, sans avoir rien à mettre du sien ;
de la Vertu, & de près la couvrent de boue, sans doute pour avoir
droit
de la méconnaître ? Cet honnête Citoyen ne dit pa
en ne dit pas un mot qui ne soit d’accord avec la raison dans un cœur
droit
. O mon amie ! que je le respecte ! Trouvez-vous,
la vertu qui se montre, n’amuse pas le Public, elle le subjugue : son
droit
, par-tout où elle daigne paraître, est de plaire
rée n’est pas le Public ; que c’est non l’assommer, mais réaliser son
droit
; j’ai pensé que des gens ennuyés par la première
t presque point de cérémonies. Un Vieillard respectable par les seuls
droits
de la nature, était Prêtre & Roi de la Peupla
istres ! Dites donc, insensés ? pouvez-vous donner à Dieu de nouveaux
droits
sur vous ? Vous vous consacrez !… Eh ne sommes-no
lir pour eux les devoirs de la Religion, s’attribuer exclusivement le
droit
de faire parvenir leurs Prières aux pieds du trôn
e passait soit au Théocrate au nom de Dieu, soit aux Prêtres comme un
droit
sur toutes les choses saintes. Au lieu du Cantiqu
ut les écoutait en silence, & se privait ainsi de lui-même de son
droit
de chanter les louanges de Dieu & de ses semb
t de rechercher les causes : le Théocrate va perdre une partie de ses
droits
. De hardis Particuliers s’emparent de la souverai
lui-même. Un Romain, c’est-a-dire, un Citoyen conservé dans tous les
droits
& dans toutes les prérogatives de l’homme-roi
mis. Dès que les femmes parurent sur le Théâtre, elles y jouirent des
droits
de leur sexe : elles plurent. Les Actrices Romain
tout les Prêtres sentirent qu’ils ne devaient pas laisser partager le
droit
de Représentation, qui leur appartient éminemment
en tout. De ce que l’Acteur, en montant sur le Théâtre, est privé des
droits
dont jouissent les autres hommes, il s’ensuit que
iendrait aussi respectable qu’utile : enfin, c’est alors qu’on aurait
droit
d’imposer silence au Bigotisme, & qu’on le fe
btile et ingénieuse, qu’elle imagine mille prétextes pour appuyer son
droit
, et que dans la crainte d’être privée de ce qui l
disons ; et tout ce qu’ils disoient, c’est ce que nous avons le même
droit
qu’eux de vous dire. Enfin je ne dis pas que ç’a
lues et sans replique ; voilà les guides dont les voies sont les plus
droites
, et les garants sur qui l’on peut se reposer de s
e présente de jouer. Tout cela veut dire qu’on sacrifie à son jeu les
droits
les plus inviolables et les intérêts les plus sac
d’un héritage qu’il n’a-pas, se dépouille au moins par avance de ses
droits
, et ne compte pour rien toute une succession qu’i
va point à des excès remarquables ; mais Dieu néanmoins prétend avoir
droit
de vous les défendre, et en effet il vous les déf
Que ne pourrois-je point vous dire en faveur des pauvres, qui ont des
droits
si sacrés & si imprescriptibles sur ce superf
; même des Eglises principales où les comédiens jouissent de tous les
droits
qui appartiennent à des Chrétiens & à des Cat
eux des jugemens publics & solemnels ; elle n’use pas toujours du
droit
qu’elle a de les retrancher de sa société. Et qu’
vos libéralités envers vos frères indigens ne vous donneroient pas le
droit
de fréquenter ces Spectacles profanes. Je dis plu
s libéralités à l’égard de vos frères indigens ne vous donnent pas le
droit
de les fréquenter. Je dis plus : la part que vous
libertinage & le théatre sont pour eux d’étiquette. C’est un des
droits
, un des devoirs de leur place, dont ils sont le p
aux point d’honneur une injustice criante qui entreprend même sur les
droits
du Très-haut, qui s’est réservé la vengeance : au
& qui enfin, connoissent leur carriere, & pour ainsi dire le
droit
du Jeu. Mais dans ma maniere, & le Cavalier &
eux-là , que selon eux, (p. 15.) aucun homme n’a reçu de la Nature le
droit
de commander aux autres.. Que si la Nature a étab
ou plutôt celles de Dieu même, qui ne s’est reservé qu’à lui seul le
droit
de la vengeance, mihi vindicta , (Rom. 12. v. 19
& je les confondrai avec les paroles mêmes d’Hypermnestre. Quel
droit
ont ils de nous en imposer & de prendre sur n
l’est pas dans les moyens propres à remplir cet objet ? Mais de quel
droit
, demanderois-je alors, le Législateur supprimero
ous des heureux à bonne fortune, que vous croirez vous-mêmes avoir un
droit
acquis sur la plus belle portion de votre appanag
tre aux contrevenans, pour procéder contr’eux par telles voyes que de
droit
. Si depuis plus d’un siecle le glaive n’a paru q
.) les plaintes de la société, de l’Etat & de la Religion… leurs
droits
sont violés ; leurs loix sont méconnues ; l’impié
Loix de la Religion, (p. 21.) l’ouvrage de l’Etre suprême, qui seul a
droit
d’en imposer à l’homme, parce que lui seul l’a fo
leurs talens & par leurs mœurs , quand ils nous disent : rendez
droites
les voies du Seigneur… (Jean 1. v. 23.).. Otez
héritier d’un sceptre qui est le prix de sa valeur. Creuse. Et quel
droit
un descendant d’Eole a-t-il sur le peuple de Pall
droit un descendant d’Eole a-t-il sur le peuple de Pallas ? Ion. Un
droit
acquis par son courage ; celui de libérateur. Cr
e, Quinaut, Gilbert, Boyer, Racine, & Mademoiselle Desjardins ont
droit
aux plus justes loüanges qu’on ait jamais données
rs quelque chose de leur foule, que leur oisiveté & leur pretendu
droit
rendent tousiours plus grande que celle des vrais
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